Maria de la Divine Miséricorde c'est faux! Révélation, preuves...

Cher Emmanuel, désolé de n'avoir pas de meilleures nouvelles de vous.

Et on ne vous sollicitera pas davantage.

En fait je voulais juste savoir quels étaient les points d'achoppement, importants au point d'empêcher une réconciliation.

Dans la mesure où je doute qu'il y en ait d'autres que secondaires, vu que je ne connais pas de traditionalistes qui contestent le moindre dogme de l'Eglise.

Je verrai ça sur internet.

Bien cordialement

Tout tourne autour de l'interprétation du Concile Vatican II.

Beaucoup dans la Fraternité le considèrent comme mauvais et hérétique, tandis que l'Église insiste pour qu'on l'interprète correctement sans se fier aux abus qui ont eu lieu après ce concile dont on s'est réclamés à plusieurs endroits pour tomber dans un certain modernisme quasi protestant.

Mais malgré les nuances apportées par les différents papes, l'ouverture au rite latin de la messe, etc., il y a toujours un nouveau point d'achoppement.

Par exemple, pour certains dans la Fraternité, le texte "Nostra aetete" est scandaleux car il parle du dialogue avec les autres religions. On affirme là qu'on fait du relativisme.

Le Pape Benoît XVI s'est voulu très ouvert en disant qu'une réintégration serait possible pour la Fraternité si elle acceptait le Concile en admettant qu'on puisse encore discuter l'interprétation de ses différents textes, mais qu'il ne faudrait plus s'attaquer directement à Rome, au Pape, à "l'Église conciliaire", etc.

Mgr Fellay doit gérer différentes factions dans sa Fraternité. Il est plutôt modéré, mais s'il avait accepté l'offre de Rome, soumise peu de temps avant la renonciation de Benoît XVI, il aurait pu y avoir des scissions dans la Fraternité. Celle-ci a refusé la proposition.

Fraternellement,

Emmanuel

P.S. C'est vraiment le gros maximum que je puisse écrire. J'espère que vous trouverez le reste en complément sur Internet.

http://catholicwatchdogs.e-monsite.com/pages/maria-de-la-divine-misericorde.html#DxYHlT0GpP3ldlse.99

Maria de la Divine Miséricorde - La supercherie révélée

Prise au piège, la fraudeuse avoue avoir berné ses fanatiques

Pendant plus de quatre ans, Mary Carberry a réussi à berner une multitude impressionnante de lecteurs, dont plusieurs catholiques (même de la tradition) en prétendant recevoir des messages privilégiés en provenance du Ciel.



Se présentant sous le pseudonyme de Maria de la Divine Miséricorde et prétendant être la "dernière de la lignée des prophètes", la fausse visionnaire, résidente de Dublin (Irlande), livra le contenu de ses prétendues révélations sur son site internet, fréquenté quotidiennement par des au-delà de 425 000 lecteurs. Au total, plus de 1 200 messages ont été diffusés sur son site.

Mary Carberry est aussi une femme d'affaires à la tête d'une compagnie de relations publiques qu'elle opère sous le nom de Mary McGovern. L'on comprendra que les fausses révélations furent donc commercialisées par la vente, entre autres des livres de ses "visions" ainsi que des "médailles du salut" toutes inventées par Carberry, lesquelles furent distribuées dans plusieurs pays à travers le monde. Un sceau, supposément inspiré par la Vierge Marie et devant être béni, était également censé protéger les adeptes (en fait, le logo de couleur rouge était l’œuvre d'un spécialiste en arts graphiques de San Diego).

Comment Mary Carberry a-t-elle pu créer une page Facebook au nom de "Maria de la Divine Miséricorde" le 2 juin 2010, alors que c'est six mois plus tard qu'elle allait apprendre - supposément de la voix du Seigneur - qu'elle devrait désormais utiliser ce nom ?


Autrefois reliée à un médium nommé Joe Coleman, Mary McGovern s'associa à un dentiste millionnaire retraité du nom de Breffni Cully pour le projet de Maria de la Divine Miséricorde, en 2010. Elle commença à attirer l'attention du journaliste du journal Irish Mail, Michael O'Farrell, en février 2015. Suite aux recherches du journaliste, on compara électroniquement la voix de McGovern à celle de Maria de la Divine Miséricorde, via l'expertise d'un spécialiste américain, pour finalement conclure hors de tout doute que Maria McGovern et Maria de la Divine Miséricorde étaient en fait une seule et même personne.

En avril 2014, l'archevêque de Dublin, Mgr Diarmuid Martin, dénonçait les messages de la fausse visionnaire, geste qui fut imité par sept autres prélats de l'Église catholique :

Mgr Denis J Hart (Australie)
Mgr Peter Fabbro (Canada)
Mgr Stephen Secka (Slovaquie)
Mgr Richard. J. Malone (États-Unis)
Mgr Mark Coleridge (Australie)
Mgr Greg O’Kelly (Autralie)
Mgr Andreas Laun (Autriche)

La révélation de la fraude fit la une du Irish Mail du 20 mars 2015 (photo ci-dessus). Le même jour, Mary McGovern fut captée par les caméras de sécurité de certains commerces en train d'acheter plus de 300 copies de l'édition du journal pour les faire disparaître (photo ci-dessous).


Appelé à justifier ses actions, Maria McGovern expliqua que le projet n'était pas son idée et qu'elle avait agi pour le compte de "quelqu'un d'autre". Elle s'est dite heureuse que toute cette affaire soit enfin terminée:


Le site de Maria de la Divine Miséricorde ferma le 21 mars 2015.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, malgré la révélation de l'arnaque et les aveux de Mary Carberry, plusieurs fanatiques continuent tout de même de croire aux messages.

Un livre a d'ailleurs été écrit sur le suje, The Outing of Mary Carberry - Exposing the woman behind the secret "visionary" Maria Divine Mercy. Il est disponible gratuitement sur le net à cette adresse: https://midwaystreet.files.wordpress.com/2015/04/outing-of-mary-carberry-010615.pdf

@joannes maria

 Merci de nous remettre cette enquête en ligne  qui aura disparu de notre forum  "mystérieusement " par 5 fois successives  depuis le 24 octobre  dernier !!!!

Preuve que cette enquête gêne des pirates , hackeurs , qui sont rudement doués en informatique pour retirer du web toute possibilité pour les pauvres catholiques  de ne plus se faire avoir par ceux qui diffusent ses  hérésies et ses diffamations  contre le pape François  sur leurs sites  forums  dit "Catholiques "  lesquels se gardent bien de donner  , soi dit en passant les excommunications , interdictions de diffusion et condamnattions faites par 7 éveques dans le monde entier et par l'éveque de Dublin qui en enquéte en 2003  sur cette faussaire , habitant dans son diocèse , et prétendant recevoir des messages de Jésus

Maria de la Divine Miséricorde c'est faux! révélation!

J'ai retranscrit ( avec l'aide de google traducteur) l'information concernant cette fameuse Maria de la Divine Miséricorde.
Je sais que même si les gens à l'origine du canular direz à des chrétiens que c'est faux, il ne les croiraient pas...(c'est psychologique
le fait de vouloir rester dans le mensonge même si les preuves sont là) voici donc la preuve irréfutable:

Le dentiste irlandais, PR gourou et fille liée à la secte recevant des messages de Dieu
Publié le 01 février 2015.

TROIS hommes d'affaires irlandais - y compris un éminent responsable des relations publiques et un dentiste millionnaire devenu développeur - ont été liés à une entreprise religieuse de type culte qui a été condamnée par les dirigeants de l'église dans le monde entier.

Le gourou des relations publiques Mary Carberry, sa fille Sarah Carberry (photo de droite) et le dentiste Donegal Breffni Cully cette semaine ont refusé d'être attirés sur le site de Maria Divine Mercy qui a propagé prophéties prophétiques de Dieu - y compris une imminente guerre mondiale.

Le site affirme que Maria Divine Mercy, une femme anonyme qui émet les avertissements, a été choisie par Jésus. Les adeptes sont encouragés à acheter des livres et des médailles et un message dit que ceux qui ont des médailles de salut seront sauvés quand le retour imminent arrivera.

Grâce à une campagne mondiale de médias sociaux, MDM a gagné près d'un demi-million de followers et le site principal reçoit chaque année jusqu'à 1,2 million de visiteurs uniques. Les messages ont été condamnés par l'archevêque de Dublin Diarmuid Martin, qui a déclaré qu'ils n'étaient pas approuvés par l'Église et qu'ils étaient dans certains cas contradictoires avec l'enseignement catholique. Le phénomène MDM est apparu en 2010 lorsque le groupe a affirmé qu'il recevait des messages prophétiques directement de Dieu. Mais l'identité des personnes à l'origine du projet MDM est restée entourée de secret - tout comme le montant qu'elles pourraient tirer des dons et des ventes de livres et de médailles. La seule fois où une femme représentant MDM a parlé publiquement impliqué une interview 2011 à une petite station de radio chrétienne américaine.

Au cours de l'entrevue de 45 minutes, elle a parlé de la façon dont elle avait été «catholique» avant qu'elle ait eu une révélation.

«Ma vie était loin d'aller à l'église ou d'aller à la messe. J'étais une femme d'affaires de haut vol», a-t-elle dit.

La femme n'a pas révélé son identité mais a informé les auditeurs qu'elle était irlandaise et mère de quatre enfants.

Le mystère de son identité est resté jusqu'à ce qu'un groupe de blogueurs catholiques basés dans différents pays autour du monde se soient réunis et aient pris sur eux d'enquêter. Ils ont mis au jour un document qui a mis en relation Mary Carberry, une dirigeante renommée des relations publiques, connue dans les cercles de relations publiques comme Mary McGovern, sa fille Sarah et un associé, Breffni Cully, à l'entreprise Maria Divine Mercy. Tous les trois noms apparaissent dans des registres de sociétés irlandaises liés à des entreprises qui tirent profit du site Web de Second Selling.

«Les trolls Internet tentent de détruire ma vie à cause d'un travail que j'ai fait pour quelqu'un» Malgré cette documentation, aucun des trois irlandais n'a jamais répondu lorsque les blogueurs ont à plusieurs reprises cherché à les contacter.

Au lieu de cela, ils ont fermement refusé de commenter, de reconnaître ou de nier les liens avec l'opération MDM.

Sarah Carberry et M. Cully ont de nouveau refusé de parler lorsqu'ils ont été contactés, en personne et au téléphone, à de nombreuses reprises par le ministère de la Défense au cours des deux dernières semaines.

Cependant, lorsqu'elle a été approchée en personne, Mary Carberry a répondu brièvement pour confirmer qu'elle avait travaillé pour MDM.

Elle a soutenu qu'elle était injustement ciblée par les blogueurs à cause d'un travail qu'elle avait fait.

'Je suis désolé. Je ne vais pas m'impliquer avec des trolls d'Internet qui essaient de détruire ma vie à cause d'un travail que j'ai fait pour quelqu'un. C'est tout ce que j'ai à dire, dit-elle.

Mme Carberry n'a pas précisé à quel travail elle faisait référence ni pour qui elle l'avait fait. Elle a cependant indiqué qu'elle était au courant de l'allégation selon laquelle elle était impliquée avec Maria Divine Mercy. Elle a dit: «Je ne peux pas faire face à cette merde. Je suis désolé. Mais si vous croyez honnêtement que c'est ***, vous pouvez.


«C'est ce qu'on appelle l'incitation au crime de haine, les trolls d'Internet qui parlent d'une bande de mensonges, et je ne vais pas m'engager parce que, une fois que je fais cela, je donne de la crédibilité».

Le MoS a enregistré la conversation et a fourni une copie à Ed Primeau (http://PrimeauForensics.com) un analyste audio légendaire renommé pendant plus de 30 années. Son travail a été utilisé comme preuve dans les tribunaux américains et internationaux. M. Primeau a passé quatre jours à examiner et comparer la voix de Mme Carberry à celle du représentant anonyme du MDM dans l'interview à la radio américaine. "La voix inconnue correspond à celle de la voix connue au-delà d'un degré de certitude scientifique de 90%", conclut le rapport médico-légal.

Écoutez le fichier de comparaison de voix dos à dos utilisé par Ed Primeau ci-dessous. Le fichier épelle la voix de Mary Carberry en parlant au Mail le dimanche pour le comparer à la voix de l'interview de Maria Divine Mercy en 2011.

Pour écouter l'enregistrement cliquer sur ce lien:
http://www.newsscoops.org/?p=1829

Étant donné que plus de trois ans séparent les deux enregistrements - et le fait qu'ils ont été enregistrés dans des formats et des circonstances différents - le résultat est aussi fort que possible, selon l'expert. Nous avons informé Mme Carberry des résultats et nous l'avons invitée à clarifier son association avec MDM et M. Cully, mais elle a refusé de répondre. Nous lui avons demandé si le travail qu'elle a reconnu comprenait le rôle de porte-parole de MDM à la radio américaine, mais n'a pas reçu de réponse.

Plus tôt ce mois-ci, les blogueurs ont publié un livre en ligne détaillé révélant leurs découvertes. Cette recherche identifie les entreprises qui semblent relier Sarah Carberry à MDM et au dentiste à la retraite millionnaire M. Cully. Une société, Trumpet Publishing Ltd, est propriétaire de Coma Books, qui publie et vend des livres MDM. Trumpet a été créé par Mme Carberry et M. Cully en 2012. Depuis, elle a démissionné et a transféré ses actions à un citoyen allemand associé au projet MDM.

Une deuxième société a ensuite été créée par cet Allemand et M. Cully, qui s'identifie comme Joseph Gabriel lorsqu'il participe aux événements MDM.

Cette société, Merdel Ltd, a été créée pour «fabriquer et vendre au détail des médailles religieuses».

Le témoin qui a signé les documents de constitution de Merdel Ltd était Mary Carberry, utilisant son nom de jeune fille, McGovern, et son adresse habituelle à Malahide, au nord de Dublin.

Aucun compte n'a été déposé pour Merdal et la société semble avoir été fermée avant même d'avoir réellement fait du commerce.

Au lieu de cela, une société britannique établie par la suite, Unico Distribution Ltd, qui vend des médailles annoncées sur le site Web de MDM, a fait du commerce. Ni M. Cully ni Mme Carberry ne sont administrateurs d'Unico.

De nombreux évêques du monde entier ont condamné les messages et l'Archidiocèse de Dublin a publié une clarification en avril 2014, disant qu'il n'avait donné aucune approbation à MDM.

"Des demandes de clarification ont été adressées à l'Archidiocèse de Dublin concernant l'authenticité des prétendues visions et messages reçus par une personne qui s'appelle" Maria Divine Mercy "et qui peut vivre dans l'archidiocèse", a déclaré l'archevêque Martin. ces messages et prétendues visions n'ont aucune approbation ecclésiastique et beaucoup de textes sont en contradiction avec la théologie catholique.

"Ces messages ne devraient pas être promus ou utilisés au sein des associations de l'Eglise catholique."


Si vous avez été affecté par l'un des problèmes de cette histoire, appelez le 01 5547336 ou écrivez à michaelofarrell@newsscoops.org en toute confiance.
Source:
http://www.newsscoops.org/?p=1829

Autres preuves:

La révélation de la fraude fit la une du Irish Mail du 20 mars 2015 (photo ci-dessus). Le même jour, Mary McGovern fut captée par les caméras de sécurité de certains commerces en train d'acheter plus de 300 copies de l'édition du journal pour les faire disparaître (photo ci-dessous).

Mary Carberry achetant de multiples copies du Irish Mail publiant le récit de sa fraude

Appelé à justifier ses actions, Maria McGovern expliqua que le projet n'était pas son idée et qu'elle avait agi pour le compte de "quelqu'un d'autre". Elle s'est dite heureuse que toute cette affaire soit enfin terminée:



"Je n'en pouvais plus de toute cette machination. J'en suis désolée. Mais si, dorénavent, vous croyez toujours à cette merde, c'est votre affaire..." - Mary Carberry (Irish Mail, 1er février 2015)

Le site de Maria de la Divine Miséricorde ferma le 21 mars 2015.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, malgré la révélation de l'arnaque et les aveux de Mary Carberry, plusieurs fanatiques continuent tout de même de croire aux messages.

Un livre a d'ailleurs été écrit sur le suje, The Outing of Mary Carberry - Exposing the woman behind the secret "visionary" Maria Divine Mercy. Il est disponible gratuitement sur le net à cette adresse: https://midwaystreet.files.wordpress.com/2015/04/outing-of-mary-carberry-010615.pdf
Source
http://catholicwatchdogs.e-monsite.com/pages/maria-de-la-divine-misericorde.html#4fc63mupgDYv7UzY.99

http://jeanderoquefort.free.fr/maria_divine_misericorde_la_supercherie_revelee.html



 
Source : http://catholicwatchdogs.e-monsite.com/pages/maria-de-la-divine-misericorde.html#DxYHlT0GpP3ldlse.99
 

Prise au piège, la fraudeuse avoue avoir berné ses fanatiques

Pendant plus de quatre ans, Mary Carberry a réussi à berner une multitude impressionnante de lecteurs, dont plusieurs catholiques (même de la tradition) en prétendant recevoir des messages privilégiés en provenance du Ciel.
 
 
Se présentant sous le pseudonyme de Maria de la Divine Miséricorde et prétendant être la "dernière de la lignée des prophètes", la fausse visionnaire, résidente de Dublin (Irlande), livra le contenu de ses prétendues révélations sur son site internet, fréquenté quotidiennement par des au-delà de 425 000 lecteurs. Au total, plus de 1 200 messages ont été diffusés sur son site.
Mary Carberry est aussi une femme d'affaires à la tête d'une compagnie de relations publiques qu'elle opère sous le nom de Mary McGovern. L'on comprendra que les fausses révélations furent donc commercialisées par la vente, entre autres des livres de ses "visions" ainsi que des "médailles du salut" toutes inventées par Carberry, lesquelles furent distribuées dans plusieurs pays à travers le monde. Un sceau, supposément inspiré par la Vierge Marie et devant être béni, était également censé protéger les adeptes (en fait, le logo de couleur rouge était l'oeuvre d'un spécialiste en arts graphiques de San Diego).
Comment Mary Carberry a-t-elle pu créer une page Facebook au nom de "Maria de la Divine Miséricorde" le 2 juin 2010, alors que c'est six mois plus tard qu'elle allait apprendre - supposément de la voix du Seigneur - qu'elle devrait désormais utiliser ce nom ?
 
 
Autrefois reliée à un médium nommé Joe Coleman, Mary McGovern s'associa à un dentiste millionnaire retraité du nom de Breffni Cully pour le projet de Maria de la Divine Miséricorde, en 2010. Elle commença à attirer l'attention du journaliste du journal Irish Mail, Michael O'Farrell, en février 2015. Suite aux recherches du journaliste, on compara électroniquement la voix de McGovern à celle de Maria de la Divine Miséricorde, via l'expertise d'un spécialiste américain, pour finalement conclure hors de tout doute que Maria McGovern et Maria de la Divine Miséricorde étaient en fait une seule et même personne.

En avil 2014, l'archevêque de Dublin, Mgr Diarmuid Martin, dénonçait les messages de la fausse visionnaire, geste qui fut imité par sept autres prélats de l'Église catholique :
Mgr Denis J Hart (Australie)
Mgr Peter Fabbro (Canada)
Mgr Stephen Secka (Slovaquie)
Mgr Richard. J. Malone (États-Unis)
Mgr Mark Coleridge (Australie)
Mgr Greg O’Kelly (Autralie)
Mgr Andreas Laun (Autriche)

La révélation de la fraude fit la une du Irish Mail du 20 mars 2015 (photo ci-dessus). Le même jour, Mary McGovern fut captée par les caméras de sécurité de certains commerces en train d'acheter plus de 300 copies de l'édition du journal pour les faire disparaître (photo ci-dessous).
 
 
Appelé à justifier ses actions, Maria McGovern expliqua que le projet n'était pas son idée et qu'elle avait agi pour le compte de "quelqu'un d'autre". Elle s'est dite heureuse que toute cette affaire soit enfin terminée :

 "Je n'en pouvais plus de toute cette machination. J'en suis désolée. Mais si, dorénavent, vous croyez toujours à cette merde, c'est votre affaire..." - Mary Carberry (Irish Mail, 1er février 2015)

Le site de Maria de la Divine Miséricorde ferma le 21 mars 2015.


Aussi incroyable que cela puisse paraître, malgré la révélation de l'arnaque et les aveux de Mary Carberry, plusieurs fanatiques continuent tout de même de croire aux messages.
Un livre a d'ailleurs été écrit sur le sujet, The Outing of Mary Carberry - Exposing the woman behind the secret "visionary" Maria Divine Mercy. Il est disponible gratuitement sur le net à cette adresse : https://midwaystreet.files.wordpress.com/2015/04/outing-of-mary-carberry-010615.pdf