Actualité sur le clonage humain

Père Nathan a écrit:Extrait introductif :


Notre nature humaine, notre humanité est captive du Meshom, nous sommes en-dessous du filet dans la cage et nous regardons vers en-haut, nous voudrions bien nous envoler ....... 


Il ne reste plus qu'une solution, que le filet se déchire, que nous puissions partir, que nous puissions nous échapper, nous envoler.

Mais il n'y pas un seul être humain qui puisse s'échapper en ce moment, pas un seul ....

Notre humanité est là et il faut que le Fils de l'Homme venant sur les nuées du ciel vienne pour ainsi dire toucher le filet de l’Église de Pierre en le déchirant en deux, par le haut si je puis dire. 


Nous aspirons à cela et nous sommes dans cette situation pendant que nous célébrons la messe pour demander pardon, pour demander PITIÉ, plus exactement …. 



Vous avez remarqué, que nous ne demandons pas pardon, nous disons : « Pitié ! ….. , Pitié ! » et nous y aspirons …...


Nous disons la messe comme cela, c'est une messe qui dit: « Pitié ! …. »


Elle doit pouvoir réaliser ce qu'elle signifie, parce que tout subsistants que nous sommes dans le Verbe de Dieu, c'est le Verbe de Dieu à travers nous qui demande : «Pitié ! » .  


Alors en nous qui sommes captifs, Il vient libérer l'humanité captive.


Cette prière-là, comme toutes les  messes qui auraient dû être dites pour cela  ( Dieu sait le nombre incroyable de messes qui auraient dû être dites pour cela ... Chaque prêtre aurait dû dire cette messe, tous les soirs depuis le début, le nombre des millions de messes, un milliard de messes toutes les trois années qui auraient dû être dites ....!!)




. Toutes les messes donc qui n'ont pas été dites,  auraient dû être dites en toute justice, en tout amour, en toute grâce, et cela aurait été bien normal.




Toutes les messes donc qui n'ont pas été dites et qui auraient dû être dites, pour dire sacramentellement : Père, Voici ! : « Pitié ! » . Et Le Fils disant OUI je viens, je viens libérer l'humanité captive.

C'est cela un petit peu notre intention mystique, surnaturelle, spirituelle dans la messe du soir, dans la messe du Meshom, la messe que nous célébrons puisque désormais la nature humaine entière s'est laissée enfermer dans le Meshom .....  


Heureusement que la messe s'unit après l'épiclèse à la dernière messe du monde, au moment que la petite hostie se plonge dans le calice  : A ce moment-là, apparait transubstantiellement une Présence réelle du sacrifice de la messe de la terre du coeur du Meshom avec le sacrifice d'Immolation de la messe du sixième Sceau de l'Apocalypse. 


Et à cause de cela, cette tension entre les deux, nous permet d'y  crier : « Pitié ! ». 


Et permet donc à l'intervention du Verbe, en fait de Dieu vivant et toute la famille glorifiée de Dieu, de venir toucher le filet des pêcheurs, le filet de Pierre. 


Que le filet se puisse déchirer, et que l'on puisse échapper

Les successeurs des Apôtres sont mobilisés pour dire : « Pitié ! »

Père Nathan a écrit:Extrait introductif :


Notre nature humaine, notre humanité est captive du Meshom, nous sommes en-dessous du filet dans la cage et nous regardons vers en-haut, nous voudrions bien nous envoler ....... 


Il ne reste plus qu'une solution, que le filet se déchire, que nous puissions partir, que nous puissions nous échapper, nous envoler.

Mais il n'y pas un seul être humain qui puisse s'échapper en ce moment, pas un seul ....

Notre humanité est là et il faut que le Fils de l'Homme venant sur les nuées du ciel vienne pour ainsi dire toucher le filet de l’Église de Pierre en le déchirant en deux, par le haut si je puis dire. 


Nous aspirons à cela et nous sommes dans cette situation pendant que nous célébrons la messe pour demander pardon, pour demander PITIÉ, plus exactement …. 



Vous avez remarqué, que nous ne demandons pas pardon, nous disons : « Pitié ! ….. , Pitié ! » et nous y aspirons …...


Nous disons la messe comme cela, c'est une messe qui dit: « Pitié ! …. »


Elle doit pouvoir réaliser ce qu'elle signifie, parce que tout subsistants que nous sommes dans le Verbe de Dieu, c'est le Verbe de Dieu à travers nous qui demande : «Pitié ! » .  


Alors en nous qui sommes captifs, Il vient libérer l'humanité captive.


Cette prière-là, comme toutes les  messes qui auraient dû être dites pour cela  ( Dieu sait le nombre incroyable de messes qui auraient dû être dites pour cela ... Chaque prêtre aurait dû dire cette messe, tous les soirs depuis le début, le nombre des millions de messes, un milliard de messes toutes les trois années qui auraient dû être dites ....!!)




. Toutes les messes donc qui n'ont pas été dites,  auraient dû être dites en toute justice, en tout amour, en toute grâce, et cela aurait été bien normal.




Toutes les messes donc qui n'ont pas été dites et qui auraient dû être dites, pour dire sacramentellement : Père, Voici ! : « Pitié ! » . Et Le Fils disant OUI je viens, je viens libérer l'humanité captive.

C'est cela un petit peu notre intention mystique, surnaturelle, spirituelle dans la messe du soir, dans la messe du Meshom, la messe que nous célébrons puisque désormais la nature humaine entière s'est laissée enfermer dans le Meshom .....  


Heureusement que la messe s'unit après l'épiclèse à la dernière messe du monde, au moment que la petite hostie se plonge dans le calice  : A ce moment-là, apparait transubstantiellement une Présence réelle du sacrifice de la messe de la terre du coeur du Meshom avec le sacrifice d'Immolation de la messe du sixième Sceau de l'Apocalypse. 


Et à cause de cela, cette tension entre les deux, nous permet d'y  crier : « Pitié ! ». 


Et permet donc à l'intervention du Verbe, en fait de Dieu vivant et toute la famille glorifiée de Dieu, de venir toucher le filet des pêcheurs, le filet de Pierre. 


Que le filet se puisse déchirer, et que l'on puisse échapper

Les successeurs des Apôtres sont mobilisés pour dire : « Pitié ! »

Père Nathan  pour la suite du texte a écrit:Extrait introductif :


Notre nature humaine, notre humanité est captive du Meshom, nous sommes en-dessous du filet dans la cage et nous regardons vers en-haut, nous voudrions bien nous envoler ....... 


Il ne reste plus qu'une solution, que le filet se déchire, que nous puissions partir, que nous puissions nous échapper, nous envoler.

Mais il n'y pas un seul être humain qui puisse s'échapper en ce moment, pas un seul ....

Notre humanité est là et il faut que le Fils de l'Homme venant sur les nuées du ciel vienne pour ainsi dire toucher le filet de l’Église de Pierre en le déchirant en deux, par le haut si je puis dire. 


Nous aspirons à cela et nous sommes dans cette situation pendant que nous célébrons la messe pour demander pardon, pour demander PITIÉ, plus exactement …. 



Vous avez remarqué, que nous ne demandons pas pardon, nous disons : « Pitié ! ….. , Pitié ! » et nous y aspirons …...


Nous disons la messe comme cela, c'est une messe qui dit: « Pitié ! …. »


Elle doit pouvoir réaliser ce qu'elle signifie, parce que tout subsistants que nous sommes dans le Verbe de Dieu, c'est le Verbe de Dieu à travers nous qui demande : «Pitié ! » .  


Alors en nous qui sommes captifs, Il vient libérer l'humanité captive.


Cette prière-là, comme toutes les  messes qui auraient dû être dites pour cela  ( Dieu sait le nombre incroyable de messes qui auraient dû être dites pour cela ... Chaque prêtre aurait dû dire cette messe, tous les soirs depuis le début, le nombre des millions de messes, un milliard de messes toutes les trois années qui auraient dû être dites ....!!)




. Toutes les messes donc qui n'ont pas été dites,  auraient dû être dites en toute justice, en tout amour, en toute grâce, et cela aurait été bien normal.




Toutes les messes donc qui n'ont pas été dites et qui auraient dû être dites, pour dire sacramentellement : Père, Voici ! : « Pitié ! » . Et Le Fils disant OUI je viens, je viens libérer l'humanité captive.

C'est cela un petit peu notre intention mystique, surnaturelle, spirituelle dans la messe du soir, dans la messe du Meshom, la messe que nous célébrons puisque désormais la nature humaine entière s'est laissée enfermer dans le Meshom .....  


Heureusement que la messe s'unit après l'épiclèse à la dernière messe du monde, au moment que la petite hostie se plonge dans le calice  : A ce moment-là, apparait transubstantiellement une Présence réelle du sacrifice de la messe de la terre du coeur du Meshom avec le sacrifice d'Immolation de la messe du sixième Sceau de l'Apocalypse. 


Et à cause de cela, cette tension entre les deux, nous permet d'y  crier : « Pitié ! ». 


Et permet donc à l'intervention du Verbe, en fait de Dieu vivant et toute la famille glorifiée de Dieu, de venir toucher le filet des pêcheurs, le filet de Pierre. 


Que le filet se puisse déchirer, et que l'on puisse échapper

Les successeurs des Apôtres sont mobilisés pour dire : « Pitié ! »

Et d'ailleurs il le dit lui-même dans l'Apocalypse : Les vingt-quatre Vieillards se mettent à genoux, se prosternent et jettent leur couronne devant l'Agneau, vingt-quatre Vieillards, c'est 888 (8 + 8 + , c'est vraiment le mystère de la Résurrection, le Christ en entier  :   L'Agneau a un poids énorme par rapport au mystère de la Résurrection.

Père Nathan a écrit:

L'heure est déterminée quand le nombre des élus sera atteint

(c'est la réponse usuelle de l'Eglise !)

Père Nathan a écrit:

Père Nathan  pour la suite du texte a écrit:Extrait introductif :


Notre nature humaine, notre humanité est captive du Meshom, nous sommes en-dessous du filet dans la cage et nous regardons vers en-haut, nous voudrions bien nous envoler ....... 


Il ne reste plus qu'une solution, que le filet se déchire, que nous puissions partir, que nous puissions nous échapper, nous envoler.

Mais il n'y pas un seul être humain qui puisse s'échapper en ce moment, pas un seul ....

Notre humanité est là et il faut que le Fils de l'Homme venant sur les nuées du ciel vienne pour ainsi dire toucher le filet de l’Église de Pierre en le déchirant en deux, par le haut si je puis dire. 


Nous aspirons à cela et nous sommes dans cette situation pendant que nous célébrons la messe pour demander pardon, pour demander PITIÉ, plus exactement …. 



Vous avez remarqué, que nous ne demandons pas pardon, nous disons : « Pitié ! ….. , Pitié ! » et nous y aspirons …...


Nous disons la messe comme cela, c'est une messe qui dit: « Pitié ! …. »


Elle doit pouvoir réaliser ce qu'elle signifie, parce que tout subsistants que nous sommes dans le Verbe de Dieu, c'est le Verbe de Dieu à travers nous qui demande : «Pitié ! » .  


Alors en nous qui sommes captifs, Il vient libérer l'humanité captive.


Cette prière-là, comme toutes les  messes qui auraient dû être dites pour cela  ( Dieu sait le nombre incroyable de messes qui auraient dû être dites pour cela ... Chaque prêtre aurait dû dire cette messe, tous les soirs depuis le début, le nombre des millions de messes, un milliard de messes toutes les trois années qui auraient dû être dites ....!!)




. Toutes les messes donc qui n'ont pas été dites,  auraient dû être dites en toute justice, en tout amour, en toute grâce, et cela aurait été bien normal.




Toutes les messes donc qui n'ont pas été dites et qui auraient dû être dites, pour dire sacramentellement : Père, Voici ! : « Pitié ! » . Et Le Fils disant OUI je viens, je viens libérer l'humanité captive.

C'est cela un petit peu notre intention mystique, surnaturelle, spirituelle dans la messe du soir, dans la messe du Meshom, la messe que nous célébrons puisque désormais la nature humaine entière s'est laissée enfermer dans le Meshom .....  


Heureusement que la messe s'unit après l'épiclèse à la dernière messe du monde, au moment que la petite hostie se plonge dans le calice  : A ce moment-là, apparait transubstantiellement une Présence réelle du sacrifice de la messe de la terre du coeur du Meshom avec le sacrifice d'Immolation de la messe du sixième Sceau de l'Apocalypse. 


Et à cause de cela, cette tension entre les deux, nous permet d'y  crier : « Pitié ! ». 


Et permet donc à l'intervention du Verbe, en fait de Dieu vivant et toute la famille glorifiée de Dieu, de venir toucher le filet des pêcheurs, le filet de Pierre. 


Que le filet se puisse déchirer, et que l'on puisse échapper

Les successeurs des Apôtres sont mobilisés pour dire : « Pitié ! »

Suite du texte du mp3 baptisé : "Pitié" 
http://catholiquesdu.free.fr/2017/10/30_3Priere.mp3


Aucun successeur de Pierre n'a jamais célébré la messe pour la Transgression déchirante pour Dieu.



Cette Transgression qui a déchiré Dieu d'une manière presque irréformable et c'est cela que désigne le triple reniement de Pierre : il a duré deux mille ans quelque part. Je ne sais pas peut-être que Saint Pie X, peut-être que Saint Léon le Grand, peut-être, je ne sais pas, que Saint Grégoire le Grand peut-être  .... ? Mais il semblerait que non, je ne sais pas ..... J'espère que je me trompe ....

 

Tandis que quand Saint Jean a suivi les pas de Marie, qu'il s'est enfoncé dans le Sacré-Cœur de Jésus-décidant de rester immolé et donné comme cela :  de nourrir tout son peuple jusqu'à la fin dans l'Hostie avant de subir sa Passion ! Jésus va s’enfouir immolé dans l'Eucharistie pour que sa Passion, comme dit Pascal, s'amplifie jusqu'à la fin du monde : "Jésus est en agonie jusqu'à la fin du monde".



Marie a suivi Jésus dans ce mystère de Compassion qui est le sien pour s'y associer et pour que cette immolation soit bien réellement présente et vivante au milieu de nous. Tandis que, tout en même temps, Jésus va laisser ici-bas, si je puis dire, le Corps Mystique tout entier accomplir ce qui manque à accomplir sur la terre, et Il part à la Droite de Dieu le Père : Il ressuscite d'entre les morts.




Mais le poids d'Amour de Dieu est-il à la Droite de Dieu le Père dans la Gloire de la Résurrection ou est-il dans l'Eucharistie ?



Marie a jugé que le poids d'Amour était dans l'Eucharistie et Saint Jean, il l'a suivie parce qu'il a entendu les battements de Cœur de Jésus et il en a pénétré la Grâce. Il a suivi le chemin de Marie pour rentrer dans l'Immolation jusqu'à la fin dans l'Arbre de Vie, jusqu'à l'Amour accompli. En jugeant que le poids était plus grand...



Et d'ailleurs il le dit lui-même dans l'Apocalypse : Les vingt-quatre Vieillards se mettent à genoux, se prosternent et jettent leur couronne devant l'Agneau, vingt-quatre Vieillards, c'est 888 (8 + 8 + , c'est vraiment le mystère de la Résurrection, le Christ en entier  :   L'Agneau a un poids énorme par rapport au mystère de la Résurrection.



Du reste, le mystère de la Résurrection lui-même se déchire....

Les quatre Vivants aussi : Même si nous rentrons dans le Noël Glorieux, le mystère de l'Agneau est encore plus Aspirant….., dans Son poids d'Amour ......



Et dans le Sacré-Cœur de Jésus c'est le poids d'Amour qui compte, pondus Amoris, comme dit Saint Thomas d'Aquin !


Jésus l'a précisé pour Saint Jean : c'est « jusqu'à ce que Je vienne ». Et donc pour qu'Il soit vivant sur la terre « jusqu'à ce que Je vienne », il a fallu que toute son union transformante s'engloutisse, soit absorbée corps, âme et esprit à l'intérieur du Royaume du Pain de la Vie et que rien, jamais, ne le sépare de Lui, à jamais, jusqu'à la fin. Jean a suivi Marie sur ce chemin-là.

 

Eh bien, la messe du soir, c'est la convocation -  et je vous assure, je tiens beaucoup moi personnellement à cela puisque je suis sûr que c'est vrai  - c'est la convocation du Saint Père, la convocation de tous les successeurs de Pierre, de tous les reniements de Pierre pour qu'ils soient engloutis, disparaissent dans le Cœur de Marie, dans le Cœur eucharistique du Sacerdoce victimal d'Amour, et qu'il rentre en ce moment là et dise : « Pitié ! ». Mais il va dire ce "Pitié!" avec celui qui vient sur les nuées du ciel ( « jusqu'à ce que Je vienne » ), avec les anges qui montent et qui descendent.




Il y a comme un effacement du ministère de Pierre et pourtant il reste là dans son dernier acte : un acte d'Apocalypse, c'est un acte de contrition quasi éternel.




C'est une très grande grâce de Dieu de pouvoir nous unir au Saint Père pour le suivre dans cette apparition à l'intérieur de l’Église militante de cette grâce-là: Recueillir tout le poids d'Amour dans le Royaume eucharistique pour nous faire échapper désormais à tout ce qui est en dessous du filet.

L’homme ne change pas, c’est une fable

Père Nathan a écrit:

Père Nathan  pour la suite du texte a écrit:Extrait introductif :


Notre nature humaine, notre humanité est captive du Meshom, nous sommes en-dessous du filet dans la cage et nous regardons vers en-haut, nous voudrions bien nous envoler ....... 


Il ne reste plus qu'une solution, que le filet se déchire, que nous puissions partir, que nous puissions nous échapper, nous envoler.

Mais il n'y pas un seul être humain qui puisse s'échapper en ce moment, pas un seul ....

Notre humanité est là et il faut que le Fils de l'Homme venant sur les nuées du ciel vienne pour ainsi dire toucher le filet de l’Église de Pierre en le déchirant en deux, par le haut si je puis dire. 


Nous aspirons à cela et nous sommes dans cette situation pendant que nous célébrons la messe pour demander pardon, pour demander PITIÉ, plus exactement …. 



Vous avez remarqué, que nous ne demandons pas pardon, nous disons : « Pitié ! ….. , Pitié ! » et nous y aspirons …...


Nous disons la messe comme cela, c'est une messe qui dit: « Pitié ! …. »


Elle doit pouvoir réaliser ce qu'elle signifie, parce que tout subsistants que nous sommes dans le Verbe de Dieu, c'est le Verbe de Dieu à travers nous qui demande : «Pitié ! » .  


Alors en nous qui sommes captifs, Il vient libérer l'humanité captive.


Cette prière-là, comme toutes les  messes qui auraient dû être dites pour cela  ( Dieu sait le nombre incroyable de messes qui auraient dû être dites pour cela ... Chaque prêtre aurait dû dire cette messe, tous les soirs depuis le début, le nombre des millions de messes, un milliard de messes toutes les trois années qui auraient dû être dites ....!!)




. Toutes les messes donc qui n'ont pas été dites,  auraient dû être dites en toute justice, en tout amour, en toute grâce, et cela aurait été bien normal.




Toutes les messes donc qui n'ont pas été dites et qui auraient dû être dites, pour dire sacramentellement : Père, Voici ! : « Pitié ! » . Et Le Fils disant OUI je viens, je viens libérer l'humanité captive.

C'est cela un petit peu notre intention mystique, surnaturelle, spirituelle dans la messe du soir, dans la messe du Meshom, la messe que nous célébrons puisque désormais la nature humaine entière s'est laissée enfermer dans le Meshom .....  


Heureusement que la messe s'unit après l'épiclèse à la dernière messe du monde, au moment que la petite hostie se plonge dans le calice  : A ce moment-là, apparait transubstantiellement une Présence réelle du sacrifice de la messe de la terre du coeur du Meshom avec le sacrifice d'Immolation de la messe du sixième Sceau de l'Apocalypse. 


Et à cause de cela, cette tension entre les deux, nous permet d'y  crier : « Pitié ! ». 


Et permet donc à l'intervention du Verbe, en fait de Dieu vivant et toute la famille glorifiée de Dieu, de venir toucher le filet des pêcheurs, le filet de Pierre. 


Que le filet se puisse déchirer, et que l'on puisse échapper

Les successeurs des Apôtres sont mobilisés pour dire : « Pitié ! »

Suite du texte du mp3 baptisé : "Pitié" 
http://catholiquesdu.free.fr/2017/10/30_3Priere.mp3


Aucun successeur de Pierre n'a jamais célébré la messe pour la Transgression déchirante pour Dieu.



Cette Transgression qui a déchiré Dieu d'une manière presque irréformable et c'est cela que désigne le triple reniement de Pierre : il a duré deux mille ans quelque part. Je ne sais pas peut-être que Saint Pie X, peut-être que Saint Léon le Grand, peut-être, je ne sais pas, que Saint Grégoire le Grand peut-être  .... ? Mais il semblerait que non, je ne sais pas ..... J'espère que je me trompe ....

 

Tandis que quand Saint Jean a suivi les pas de Marie, qu'il s'est enfoncé dans le Sacré-Cœur de Jésus-décidant de rester immolé et donné comme cela :  de nourrir tout son peuple jusqu'à la fin dans l'Hostie avant de subir sa Passion ! Jésus va s’enfouir immolé dans l'Eucharistie pour que sa Passion, comme dit Pascal, s'amplifie jusqu'à la fin du monde : "Jésus est en agonie jusqu'à la fin du monde".



Marie a suivi Jésus dans ce mystère de Compassion qui est le sien pour s'y associer et pour que cette immolation soit bien réellement présente et vivante au milieu de nous. Tandis que, tout en même temps, Jésus va laisser ici-bas, si je puis dire, le Corps Mystique tout entier accomplir ce qui manque à accomplir sur la terre, et Il part à la Droite de Dieu le Père : Il ressuscite d'entre les morts.




Mais le poids d'Amour de Dieu est-il à la Droite de Dieu le Père dans la Gloire de la Résurrection ou est-il dans l'Eucharistie ?



Marie a jugé que le poids d'Amour était dans l'Eucharistie et Saint Jean, il l'a suivie parce qu'il a entendu les battements de Cœur de Jésus et il en a pénétré la Grâce. Il a suivi le chemin de Marie pour rentrer dans l'Immolation jusqu'à la fin dans l'Arbre de Vie, jusqu'à l'Amour accompli. En jugeant que le poids était plus grand...



Et d'ailleurs il le dit lui-même dans l'Apocalypse : Les vingt-quatre Vieillards se mettent à genoux, se prosternent et jettent leur couronne devant l'Agneau, vingt-quatre Vieillards, c'est 888 (8 + 8 + , c'est vraiment le mystère de la Résurrection, le Christ en entier  :   L'Agneau a un poids énorme par rapport au mystère de la Résurrection.



Du reste, le mystère de la Résurrection lui-même se déchire....

Les quatre Vivants aussi : Même si nous rentrons dans le Noël Glorieux, le mystère de l'Agneau est encore plus Aspirant….., dans Son poids d'Amour ......



Et dans le Sacré-Cœur de Jésus c'est le poids d'Amour qui compte, pondus Amoris, comme dit Saint Thomas d'Aquin !


Jésus l'a précisé pour Saint Jean : c'est « jusqu'à ce que Je vienne ». Et donc pour qu'Il soit vivant sur la terre « jusqu'à ce que Je vienne », il a fallu que toute son union transformante s'engloutisse, soit absorbée corps, âme et esprit à l'intérieur du Royaume du Pain de la Vie et que rien, jamais, ne le sépare de Lui, à jamais, jusqu'à la fin. Jean a suivi Marie sur ce chemin-là.

 

Eh bien, la messe du soir, c'est la convocation -  et je vous assure, je tiens beaucoup moi personnellement à cela puisque je suis sûr que c'est vrai  - c'est la convocation du Saint Père, la convocation de tous les successeurs de Pierre, de tous les reniements de Pierre pour qu'ils soient engloutis, disparaissent dans le Cœur de Marie, dans le Cœur eucharistique du Sacerdoce victimal d'Amour, et qu'il rentre en ce moment là et dise : « Pitié ! ». Mais il va dire ce "Pitié!" avec celui qui vient sur les nuées du ciel ( « jusqu'à ce que Je vienne » ), avec les anges qui montent et qui descendent.




Il y a comme un effacement du ministère de Pierre et pourtant il reste là dans son dernier acte : un acte d'Apocalypse, c'est un acte de contrition quasi éternel.




C'est une très grande grâce de Dieu de pouvoir nous unir au Saint Père pour le suivre dans cette apparition à l'intérieur de l’Église militante de cette grâce-là: Recueillir tout le poids d'Amour dans le Royaume eucharistique pour nous faire échapper désormais à tout ce qui est en dessous du filet.