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Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta

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Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Empty Re: Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta

Message par Invité Sam 14 Aoû 2021 - 11:10


SAMEDI 14 AOÛT 2021


Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Ob_7672d1_b-enfants


Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à moi; car le royaume des cieux est pour ceux qui leur ressemblent.…Mt 19,14

En tout ce que j’ai fait sur la terre, lorsque je priais, parlais, souffrais ou bénissais les petits enfants, je cherchais mes enfants, les enfants de ma Divine Volonté…



Le livre du Ciel Tome 23, 6 novembre 1927

En tout ce que j’ai fait sur la terre, lorsque je priais, parlais, souffrais ou bénissais les petits enfants, je cherchais mes enfants, les enfants de ma Divine Volonté, pour leur donner le premier acte et tout ce qui s’y rapporte, tout le bonheur que mes actes contenaient ; et j’ai donné ces actes comme remèdes à ces malheureux enfants du péché, serviteurs de la volonté humaine, pour leur salut. Ainsi, tous mes actes s’écoulaient comme le premier acte qui était censé vivre dans la Volonté suprême, pour devenir le centre de leur vie. C’est ainsi que celui qui vit dans ma Volonté peut dire :

« Tout est à moi », et je lui dis : « Tout est à toi. »





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Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

[size=16](…) il se penche pour caresser des enfants qui, tout doucement, quittant leurs parents, se sont approchés de lui. Quelques mères les imitent pour lui amener des enfants dont la marche n’est pas sûre, ou qui sont encore au sein.

« Bénis nos enfants, toi qui es béni, pour qu’ils soient des amis de la Lumière ! » demandent les mères.

Jésus leur impose les mains. Cela produit un remous dans la foule. Tous ceux qui ont des enfants veulent la même bénédiction. Ils poussent et crient pour qu’on leur fasse place.

Les apôtres, en partie parce qu’ils sont énervés par les méchancetés habituelles des scribes et des pharisiens, en partie par pitié pour Lazare qui risque d’être renversé par les flots de parents qui apportent les enfants à cette divine bénédiction, se fâchent et crient, en réprimandant ou en repoussant l’un ou l’autre, surtout les enfants venus seuls. Mais Jésus, doux, affectueux, les reprend :

« Non, non ! Ne faites pas cela ! N’empêchez jamais les enfants de venir à moi, ni leurs parents de me les amener. C’est justement à ces innocents qu’appartient le Royaume. Eux seront innocents du grand Crime, et ils grandiront dans ma foi. Laissez-les donc pour que je les consacre à elle. Ce sont leurs anges qui me les con­duisent. »

Jésus se trouve maintenant au centre d’une couronne d’enfants qui le regardent d’un air extasié ; tant de petits visages levés, tant d’yeux innocents, tant de bouches souriantes…





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Message par Invité Dim 15 Aoû 2021 - 14:47


DIMANCHE 15 AOÛT 2021

ASSOMPTION DE LA VIERGE MARIE


[Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 2c0eb9333b3fde42fcb3b908b419380e


« Mon âme exalte le Seigneur, exulte mon esprit
en Dieu mon Sauveur » Lc 1, 46-47

Cette Reine Vierge est un prodige continu.



Le livre du Ciel Tome 36, 15 août 1938

Ma bienheureuse fille, aujourd’hui, la fête de l’Assomption est la plus belle, la plus sublime et la plus grande fête dans laquelle nous sommes le plus glorifiés, aimés et honorés. Le ciel et la terre sont investis d’une joie inhabituelle jamais encore expérimentée. Les anges et les saints se sentent eux-mêmes investis par des mers de joies nouvelles et de bonheurs nouveaux, et ils chantent les louanges de la Reine souveraine avec des cantiques nouveaux qui l’emportent sur tout et donne de la joie à tous. C’est aujourd’hui la fête des fêtes. C’est l’unique et le nouveau qui n’a jamais été répété. Aujourd’hui, le jour de l’Assomption, la Divine Volonté opérant dans la Dame souveraine a été célébrée pour la première fois. Les merveilles sont ravissantes. En chacun de ses plus petits actes, même dans son souffle et dans son mouvement, on peut voir un si grand nombre de nos vies divines qui s’écoulent comme autant de rois dans ses actes, qui l’inondent mieux que de brillants soleils, qui l’entourent d’ornements et la rendent si belle qu’elle fait l’enchantement des célestes Régions.

Cela te semble-t-il peu de chose que chacun de ses souffles, de ses mouvements, de ses travaux et de ses peines ait été rempli de tant de nos vies divines ? Le grand prodige de la vie opérante de ma Volonté dans la créature est exactement cela : former autant de nos vies divines que d’entrées de ma Volonté dans le mouvement et dans les actes de la créature.

Et comme mon Fiat possède la vertu de bilocation et de répétition, et qu’il répète toujours sans jamais s’arrêter ce qu’il fait, la grande Dame sent ces vies divines se multiplier en elle, ce qui ne fait qu’étendre immensément ses mers d’amour, de beauté, de puissance et de sagesse infinie. Tu dois savoir que la multiplicité des actes qu’elle possède contient tant de nos vies divines qu’en entrant dans le ciel, elle peupla toute la céleste région qui ne put les contenir toutes, et qu’elles remplirent toute la Création. Il n’y a donc pas de lieu où ne s’écoulent ses mers d’amour et de puissance, et toutes nos vies dont elle est la propriétaire et la Reine.

Nous pouvons dire qu’elle nous domine, et que nous la dominons. Et en se déversant dans notre immensité, notre puissance et notre amour, elle a peuplé tous nos attributs de ses actes et de toutes nos vies divines qu’elle avait conquises. Ainsi, de partout, de l’intérieur et de l’extérieur de nous, de l’intérieur des choses créées et dans les lieux cachés les plus reculés, nous nous sentons aimés et glorifiés par cette céleste Créature et par toutes nos vies divines que notre Fiat a formées en elle.

Oh ! puissance de notre Vouloir, toi seul peux accomplir tant de prodiges au point de créer tant de nos vies divines dans celle qui te laisse dominer, pour nous faire aimer et glorifier comme nous le méritons et le voulons ! C’est pourquoi elle peut donner son Dieu à tous, car elle le possède. Plus encore, sans perdre aucune de nos vies divines, lorsqu’elle voit une créature disposée et qui veut recevoir notre vie, elle a la vertu de reproduire de l’intérieur de notre vie ce qu’elle possède : une autre de nos vies divines pour la donner à celle qui nous veut.

Cette Reine Vierge est un prodige continu. Ce qu’elle a fait sur la terre, elle le continue au ciel. Parce que notre Volonté, quand elle opère autant dans la créature qu’elle le fait en nous, cet acte alors ne finit jamais. Et lorsque notre Volonté demeure dans la créature, elle peut se donner à tous. Le soleil arrête-t-il de donner sa lumière parce qu’il a tant donné aux générations humaines ? Pas du tout. Même s’il a tellement donné, il est toujours riche de sa lumière, sans perdre même une seule goutte de lumière.

Ainsi, la gloire de cette Reine est insurpassable parce qu’elle a en sa possession notre Volonté opérante qui a la vertu de former dans la créature des actes éternels et infinis. Elle nous aime toujours et ne cesse jamais de nous aimer avec nos vies qu’elle possède. Elle nous aime avec notre amour. Elle nous aime partout. Son amour remplit le ciel et la terre et court se décharger dans notre sein divin. Et nous l’aimons tellement que nous ne savons comment être sans l’aimer. Et alors qu’elle nous aime, elle aime toutes les créatures et nous fait aimer par toutes. Qui peut lui résister et ne pas lui donner ce qu’elle veut ? De plus, c’est notre Vouloir lui-même qui demande ce qu’elle veut et qui, par ses liens éternels, nous lie partout ; et nous ne pouvons rien lui refuser.

Ainsi, la fête de l’Assomption est la plus belle parce que c’est la fête de ma Volonté opérante dans cette grande Dame, ce qui l’a rendue si riche et si belle que les cieux sont incapables de la contenir. Les anges eux-mêmes en restent muets et ne savent comment parler de ce que ma Volonté accomplit dans la créature.[/b]





Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Maria-Valtorta

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :


– Combien de jours se sont passés ? Il est difficile de l’établir sûrement. Si on en juge par les fleurs qui font une couronne autour du corps inanimé, on devrait dire qu’il est passé quelques heures. Mais si on en juge d’après le feuillage d’olivier sur lequel sont posées les fleurs fraîches, et dont les feuilles sont déjà fanées, et d’après les autres fleurs flétries, mises comme autant de reliques sur le couvercle du coffre, on doit conclure qu’il est passé déjà des journées.

Mais le corps de Marie est tel qu’il était quand elle venait d’expirer. Il n’y a aucun signe de mort sur son visage, sur ses petites mains. Il n’y a dans la pièce aucune odeur désagréable. Au contraire il y flotte un parfum indéfinissable qui rappelle l’encens, les lys, les roses, le muguet, les plantes de montagne, mélangés.

Jean, qui sait depuis combien de jours il veille, s’est endormi, vaincu par la lassitude. Il est toujours assis sur le tabouret, le dos appuyé au mur, près de la porte ouverte qui donne sur la terrasse. La lumière de la lanterne, posée sur le sol, l’éclaire par en dessous et permet de voir son visage, fatigué, très pâle, sauf autour des yeux rougis par les pleurs.

L’aube doit maintenant être commencée car sa faible clarté permet de voir la terrasse et les oliviers qui entourent la maison. Cette clarté se fait toujours plus forte et, pénétrant par la porte, elle rend plus distincts les objets mêmes de la chambre, ceux qui, étant éloignés de la lampe, pouvaient à peine être entrevus.

650.2 – Tout d’un coup une grande lumière remplit la pièce, une lumière argentée, nuancée d’azur, presque phosphorique, et qui croît de plus en plus, qui fait disparaître celle de l’aube et de la lampe. C’est une lumière pareille à celle qui inonda la Grotte de Bethléem au moment de la Nativité divine. Puis, dans cette lumière paradisiaque, deviennent visibles des créatures angéliques, lumière encore plus splendide dans la lumière déjà si puissante apparue d’abord. Comme il était déjà arrivé quand les anges apparurent aux bergers, une danse d’étincelles de toutes couleurs se dégage de leurs ailes doucement mises en mouvement d’où il vient une sorte de murmure harmonieux, arpégé, très doux.

536> Les créatures angéliques forment une couronne autour du petit lit, se penchent sur lui, soulèvent le corps immobile et, en agitant plus fortement leurs ailes, ce qui augmente le son qui existait d’abord, par un vide qui s’est par prodige ouvert dans le toit, comme par prodige s’était ouvert le Tombeau de Jésus, elles s’en vont, emportant avec eux le corps de leur Reine, son corps très Saint, c’est vrai, mais pas encore glorifié et encore soumis aux lois de la matière, soumission à laquelle n’était plus soumis le Christ parce qu’il était déjà glorifié quand il ressuscita.

Le son produit par les ailes angéliques est maintenant puissant comme celui d’un orgue.

650.3 – Jean, qui tout en restant endormi s’était déjà remué deux ou trois fois sur son tabouret, comme s’il était troublé par la grande lumière et par le son des voix angéliques, est complètement réveillé par ce son puissant et par un fort courant d’air qui, descendant par le toit découvert et sortant par la porte ouverte, forme une sorte de tourbillon qui agite les couvertures du lit désormais vide et les vêtements de Jean, et qui éteint la lampe et ferme violemment la porte ouverte.

L’apôtre regarde autour de lui, encore à moitié endormi, pour se rendre compte de ce qui arrive. Il s’aperçoit que le lit est vide et que le toit est découvert. Il se rend compte qu’il est arrivé un prodige. Il court dehors sur la terrasse et, comme par un instinct spirituel, ou un appel céleste, il lève la tête, en protégeant ses yeux avec sa main pour regarder, sans avoir la vue gênée par le soleil qui se lève.

650.4 – Et il voit. Il voit le corps de Marie, encore privé de vie et qui est en tout pareil à celui d’une personne qui dort, qui monte de plus en plus haut, soutenu par une troupe angélique. Comme pour un dernier adieu, un pan du manteau et du voile s’agitent, peut-être par l’action du vent produit par l’assomption rapide et le mouvement des ailes angéliques. Des fleurs, celles que Jean avait disposées et renouvelées autour du corps de Marie, et certainement restées dans les plis des vêtements, pleuvent sur la terrasse et sur le domaine du Gethsémani, pendant que l’hosanna puissant de la troupe angélique se fait toujours plus lointain et donc plus léger.

Jean continue à fixer ce corps qui monte vers le Ciel et, certainement par un prodige qui lui est accordé par Dieu, pour le consoler et le récompenser de son amour pour sa Mère adoptive, il voit distinctement que Marie, enveloppée maintenant par les rayons du soleil qui s’est levé, sort de l’extase qui a séparé son âme de son corps, redevient vivante, se dresse debout, car maintenant elle aussi jouit des dons propres aux corps déjà glorifiés.

537> Jean regarde, regarde. Le miracle que Dieu lui accorde lui donne de pouvoir, contre toutes les lois naturelles, voir Marie qui maintenant qu’elle monte rapidement vers le Ciel est entourée, sans qu’on l’aide à monter, par les anges qui chantent des hosannas. Jean est ravi par cette vision de beauté qu’aucune plume d’homme, qu’aucune parole humaine, qu’aucune œuvre d’artiste ne pourra jamais décrire ou reproduire, car c’est d’une beauté indescriptible.

Jean, en restant toujours appuyé au muret de la terrasse, continue de fixer cette splendide et resplendissante forme de Dieu – car réellement on peut parler ainsi de Marie, formée d’une manière unique par Dieu, qui l’a voulue immaculée, pour qu’elle fût une forme pour le Verbe Incarné — qui monte toujours plus haut. Et c’est un dernier et suprême prodige que Dieu-Amour accorde à celui qui est son parfait aimant : celui de voir la rencontre de la Mère très Sainte avec son Fils très Saint qui, Lui aussi splendide et resplendissant, beau d’une beauté indescriptible, descend rapidement du Ciel, rejoint sa Mère et la serre sur son cœur et ensemble, plus brillants que deux astres, s’en vont là d’où Lui est venu.

650.5 – La vision de Jean est finie.






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Message par Invité Lun 16 Aoû 2021 - 10:52


LUNDI 16 AOÛT 2021


Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 ?format=1500w


Jésus lui dit: Si tu veux être parfait, va, vends ce que tu possèdes, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Mt 19,2



Le livre du Ciel Tome 33, 29 juin 1934

Lorsque la créature est devenue pour nous cet aimant, notre amour en vient à des excès. Lorsqu’elle forme ses actes, même les plus petits, il y imprime notre sceau divin et nous les faisons passer pour nos actes avec une empreinte de notre Image suprême, et nous les plaçons dans nos trésors divins comme notre propre monnaie que la créature nous a donnée.

Et si tu pouvais savoir ce que signifie pouvoir dire que notre Être suprême a reçu nos pièces de monnaie des créatures avec notre image frappée sur ces pièces pour les authentifier, ton cœur en exploserait de joie. Nous avons le pouvoir de donner aux créatures et ce n’est rien d’autre qu’un exutoire de notre amour, mais lorsque la créature est rendue capable de donner et que ce sont nos actes mêmes et non les siens qu’elle nous donne, des pièces de monnaie frappées à notre image, l’amour qui surpasse tout ne peut plus être contenu et dans notre enthousiasme nous disons :

« Tu nous as blessés. L’aimant de tes actes nous a enchantés et nous a faits les doux prisonniers de ton âme. Nous allons nous aussi te blesser pour te ravir et t’emprisonner avec nous. » Par conséquent, ma fille, je veux que tu sois tout œil et tout oreille afin de bien voir et de bien savoir ce que ma Divine Volonté veut faire en toi.





Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Maria-Valtorta

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :


Jésus quitte la route de Jéricho pour un chemin secondaire qui va à Doco.

576.6 – Il s’y trouve depuis peu quand, d’une caravane qui vient je ne sais d’où — une riche caravane qui certainement vient de loin. Les femmes sont montées sur des chameaux, renfermées dans des palanquins qui oscillent, attachés sur les échines gibbeuses[4]. Les hommes sont montés sur des chevaux fougueux ou d’autres chameaux — se détache un jeune homme qui fait agenouiller son chameau et glisse en bas de la selle pour aller vers Jésus. Un serviteur qui est accouru lui tient la bête par la bride.

Le jeune homme se prosterne devant Jésus et Lui dit après une profonde salutation :

« Je suis Philippe de Canata, fils de vrais Israélites et resté tel. Disciple de Gamaliel jusqu’à la mort de mon père qui m’a mis à la tête de son commerce. Je t’ai entendu plus d’une fois. Je connais tes actions, j’aspire à une vie meilleure pour avoir cette vie éternelle dont tu assures la possession à celui qui crée ton Royaume en lui-même.  Dis-moi, bon Maître : que dois-je faire pour avoir la vie éternelle ? »

« Pourquoi m’appelles-tu bon ? Dieu seul est bon. »

« Tu es le Fils de Dieu, bon comme ton Père. Oh ! dis-moi que dois-je faire ? »

« Pour entrer dans la vie éternelle, observe les commandements. »

« Lesquels, mon Seigneur ? Les anciens ou les tiens ? »

« Dans les anciens, les miens se trouvent déjà. Les miens ne changent pas les anciens. Ils sont toujours : adorer d’un amour vrai l’Unique vrai Dieu et respecter les lois du culte, ne pas tuer, ne pas voler, ne pas commettre l’adultère, ne pas attester le faux, honorer père et mère, ne pas faire du tort au prochain, mais au contraire l’aimer comme tu t’aimes toi-même. En agissant ainsi, tu auras la vie éternelle. »

« Maître, toutes ces choses, je les ai observées depuis mon enfance. »

Jésus le regarde d’un œil affectueux et doucement il lui demande :
   
229> « Et cela ne te paraît pas encore suffisant ? »

« Non, Maître. C’est une si grande chose le Royaume de Dieu en nous et dans l’autre vie. C’est un don infini Dieu, qui se donne à nous. Je sens que tout est peu de chose de ce qui est devoir, par rapport au Tout, à l’Infini Parfait qui se donne. Je pense qu’on doit l’obtenir avec des choses plus grandes que celles qui sont commandées pour ne pas se damner et Lui être agréable. »

« Tu parles bien. Pour être parfait il te manque encore une chose. Si tu veux être parfait comme le veut notre Père des Cieux, va, vends ce que tu as, et donne-le aux pauvres, et tu auras dans le Ciel un trésor qui te fera aimer du Père qui a donné son Trésor pour les pauvres de la terre. Puis viens et suis-moi. »

Le jeune homme s’attriste et devient pensif, puis il se relève en disant :

« Je me rappellerai ton conseil… » et il s’éloigne tout triste.






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Message par Invité Mar 17 Aoû 2021 - 10:28


MARDI 17 AOÛT 2021


Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Big_artfichier_555580_4024791_201408191444536


Je vous le dis en vérité, un riche entrera difficilement
dans le royaume des cieux. Mt 19,23

..notre pauvreté était une marque d’amour c’était la pauvreté de l’exemple pour enseigner aux créatures le détachement envers toutes les choses basses de la terre.



Le livre du Ciel Tome 20, 28 janvier 1927

Je me suis dit alors : « Bien que les enfants véritables du Fiat suprême seront heureux et dans l’abondance, pourtant, ma Maman Reine et Jésus lui-même, qui étaient la Divine Volonté même, étaient pauvres sur cette terre; ils souffraient les misères et les difficultés de la pauvreté. » Et mon doux Jésus ajouta :

Ma fille, la pauvreté véritable, c’est lorsqu’une créature est dans le besoin – on veut prendre et il n’y a rien à prendre, et l’on est obligé de demander aux autres le strict nécessaire pour vivre. Cette pauvreté est de nécessité et presque forcée ; au contraire, avec moi et ma céleste Maman, en qui il y avait la plénitude du Fiat éternel, ce n’était pas une pauvreté de nécessité et encore moins forcée, mais une pauvreté volontaire, spontanée, inspirée de l’amour divin. Tout nous appartenait ; nous aurions pu faire surgir des palais somptueux et des banquets garnis de mets inconnus.

Et de fait, si nécessaire, il suffisait d’un simple souhait pour que même les oiseaux nous servent et nous apportent des fruits, des poissons et d’autres choses dans leur bec, en se faisant une joie de servir leur Créateur et leur Reine. Avec leurs trilles, leurs chants et leurs gazouillis, ils nous jouaient les plus belles mélodies si bien que pour ne pas attirer l’attention des créatures, nous devions leur demander de partir et de poursuivre leur vol sous la voûte des cieux où notre Volonté les attendait ; et, obéissants, ils se retiraient.

Par conséquent, notre pauvreté était une marque d’amour – c’était la pauvreté de l’exemple pour enseigner aux créatures le détachement envers toutes les choses basses de la terre. Ce n’était pas une pauvreté de nécessité et elle n’aurait pu l’être de façon absolue parce que là où règne la vie de ma Volonté, règne la plénitude et tous les maux perdent leur vie et disparaissent d’un seul coup.





Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Maria-Valtorta

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :


« Comme difficilement un riche entrera dans le Royaume des Cieux dont la porte est étroite, dont le chemin est escarpé, et que ne peuvent parcourir pour y entrer ceux qui sont chargés du poids volumineux des richesses ! Pour entrer là-haut, il ne faut que des trésors de vertus, immatériels, et il faut savoir se séparer de tout ce qui est attachement aux choses du monde et aux vanités. » Jésus est très triste.

Les apôtres, entre eux, se regardent du coin de l’œil…

Jésus reprend, en regardant la caravane du jeune homme riche qui s’éloigne :

« En vérité je vous dis qu’il est plus facile qu’un chameau passe par le chas d’une aiguille que pour un riche d’entrer dans le Royaume de Dieu. »

« Mais alors qui pourra jamais se sauver ? La misère rend souvent pécheur à cause de l’envie et du peu de respect pour ce qui appartient à autrui et de la défiance envers la Providence… La richesse est un obstacle à la perfection… Et alors ? Qui pourra se sauver ? »

Jésus les regarde et leur dit :

230> « Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu, car à Dieu, tout est possible. Il suffit que l’homme aide son Seigneur par sa bonne volonté. Et c’est de la bonne volonté d’accepter le conseil reçu et de s’efforcer d’arriver à se libérer des richesses [5]. À se libérer de tout pour suivre Dieu. Car voici ce que c’est que la vraie liberté de l’homme : suivre les paroles que Dieu murmure au cœur et ses commandements, ne pas être esclave ni de soi-même, ni du monde, ni du respect humain, et donc pas esclave de Satan. User de la splendide liberté d’arbitre que Dieu a donné à l’homme pour vouloir librement et uniquement le Bien et obtenir ainsi la vie éternelle, toute lumineuse. libre, bienheureuse. Il ne faut pas être esclave même de sa propre vie si pour la seconder on doit résister à Dieu. Je vous l’ai dit [6] : « Celui qui perdra sa vie par amour pour Moi et pour servir Dieu la sauvera pour l’éternité » [7]

576.8 – « Voilà ! Pour te suivre nous avons quitté toutes choses, même les plus licites. Que nous en arrivera-t-il donc ? Entrerons-nous alors dans ton Royaume ? » demande Pierre.

« En vérité, en vérité, je vous dis que ceux qui m’auront suivi de cette façon, et qui me suivront — car il est toujours temps de réparer la paresse et les fautes faites jusqu’ici, toujours temps, tant que l’on est sur la Terre et que l’on a devant soi des jours où on peut réparer le mal commis – ceux qui me suivront seront avec Moi dans mon Royaume. En vérité je vous dis que vous qui m’avez suivi dans la régénération vous siégerez sur des trônes pour juger les tribus de la Terre avec le Fils de l’homme assis sur le trône de sa gloire. En vérité je vous dis encore qu’il n’y aura personne qui, ayant par amour de mon Nom quitté maison, champs, père, mère, frères, épouse, enfants et sœurs, pour répandre la Bonne Nouvelle et me continuer, qui ne reçoive le centuple en ce temps et la vie éternelle dans le siècle futur. »

« Mais si nous perdons tout, comment pourrons-nous centupler notre avoir ? » demande Judas de Kériot.

« Je répète : ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu. Et Dieu donnera le centuple de joie spirituelle à ceux qui d’hommes du monde auront su se rendre fils de Dieu, c’est-à-dire hommes spirituels. Ils jouiront de la vraie joie ici et au-delà de la Terre. »






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Message par Invité Mer 18 Aoû 2021 - 11:27

MERCREDI 18 AOÛT 2021


Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Unnamed-4


Etant sorti vers la onzième heure, il en trouva d’autres qui étaient sur la place, et il leur dit: Pourquoi vous tenez-vous ici toute la journée sans rien faire? Ils lui répondirent: Parce que personne ne nous a embauchés. Mt 20, 6-7

Par contre, si elle n’a rien fait dans ma Volonté et qu’elle n’en sait rien, nous n’avons rien à lui donner parce qu’elle ne mérite rien.



Le livre du Ciel Tome 33, 6 juin 1935

Ma fille, ma Volonté ! Ma volonté ! Elle est tout, elle fait tout, elle donne à tous. Qui peut dire qu’il n’a pas tout reçu de ma Volonté ? Tu dois savoir que la créature n’est sainte que dans la mesure où elle est en ordre et
en relation avec ma Volonté. Plus elle est unie à elle, plus elle est en union avec Dieu. Sa valeur et ses mérites se mesurent à la relation qu’elle a eue avec ma Volonté. Le fondement, la base, la substance et l’origine des biens dans la créature dépendent du nombre des actes qu’elle a accomplis dans ma Volonté et de la connaissance qu’elle en a.

Si bien que si elle a fait entrer mon Vouloir dans tous ses actes, elle peut dire que tout est saint, pur et divin en moi, et nous pouvons tout lui donner, tout mettre en son pouvoir, même notre vie. Par contre, si elle n’a rien fait dans ma Volonté et qu’elle n’en sait rien, nous n’avons rien à lui donner parce qu’elle ne mérite rien, car il lui manque la semence pour générer le bien qui nous appartient. Par conséquent, elle ne reçoit pas le droit au salaire de son Père céleste. Si elle n’a pas travaillé dans notre champ, nous pouvons dire : Je ne te connais pas.

C’est pourquoi, si en toutes choses, ou au moins partiellement, elle n’a rien fait dans ma Volonté, le ciel sera fermé à la créature. Elle n’a pas le droit d’entrer dans la Patrie céleste. Voilà pourquoi nous insistons tellement pour que la créature fasse notre Volonté et qu’elle soit connue, car nous voulons peupler le ciel de nos enfants bien-aimés, et comme tout est sorti de nous, nous voulons que tout revienne dans notre sein divin.





Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Maria-Valtorta

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :


[size=16]Un maître sortit au point du jour pour engager des travailleurs pour sa vigne et il convint avec eux d’un denier pour la journée.

Il sortit de nouveau à l’heure de tierce et, réfléchissant que les travailleurs engagés étaient peu nombreux, voyant d’autre part sur la place des travailleurs désœuvrés qui attendaient qu’on les embauche, il les prit et il leur dit :

« Allez à ma vigne, et je vous donnerai ce que j’ai promis aux autres ». Et ils y allèrent.

Il sortit à sexte et à none et il en vit d’autres encore et il leur dit :

« Voulez-vous travailler dans mon domaine? Je donne un denier par jour à mes travailleurs ».

231> Ces derniers acceptèrent et ils y allèrent. Il sortit enfin vers la onzième heure et il en vit d’autres qui paressaient au coucher du soleil.

« Que faites-vous, ainsi oisifs ? N’avez-vous pas honte de rester à rien faire pendant tout le jour ? » leur demanda-t-il.

« Personne ne nous a embauchés pour la journée. Nous aurions voulu travailler et gagner notre nourriture, mais personne ne nous a appelés à sa vigne »

« Eh bien, je vous embauche pour ma vigne. Allez et vous aurez le salaire des autres ». Il parla ainsi, car c’était un bon maître et il avait pitié de l’avilissement de son prochain.

Le soir venu et les travaux terminés, l’homme appela son intendant et lui dit :

« Appelle les travailleurs, et paie-leur leur salaire selon ce que j’ai fixé, en commençant par les derniers qui sont les plus besogneux, n’ayant pas eu pendant la journée la nourriture que les autres ont eue une ou plusieurs fois et qui, même par reconnaissance pour ma pitié, ont travaillé plus que tous. Je les ai observés : renvoie-les, pour qu’ils aillent au repos qu’ils ont bien mérité et pour jouir avec les leurs du fruit de leur travail ».

Et l’intendant fit ce que le maître ordonnait en donnant à chacun un denier.

Vinrent en dernier ceux qui travaillaient depuis la première heure du jour. Ils furent étonnés de ne recevoir, eux aussi, qu’un seul denier, et ils se plaignirent entre eux et à l’intendant qui leur dit :

« J’ai reçu cet ordre. Allez vous plaindre au maître et pas à moi ».

Ils s’y rendirent et ils dirent :

« Voilà, tu n’es pas juste ! Nous avons travaillé douze heures, d’abord à la rosée et puis au soleil ardent et puis de nouveau dans l’humidité du soir, et tu nous as donné le même salaire qu’à ces paresseux qui n’ont travaillé qu’une heure !… Pourquoi cela ? »

Et l’un d’eux, surtout, élevait la voix en se déclarant trahi et indignement exploité.

« Ami, en quoi t’ai-je fait tort ? De quoi ai-je convenu avec toi à l’aube ? Une journée de travail continu pour un denier de salaire. N’est-ce pas ? »

232> « C’est vrai. Mais tu as donné la même chose à ceux qui ont si peu travaillé… »

« N’as-tu pas accepté ce salaire qui te paraissait convenable ? »

« Oui, j’ai accepté, parce que les autres donnaient encore moins ».

« As-tu été maltraité ici par moi ? »

« Non, en conscience, non ».

« Je t’ai accordé un long repos pendant le jour et la nourriture, n’est-ce pas ? Je t’ai donné trois repas. Et on n’était pas convenu de la nourriture et du repos. N’est-ce pas ? »

« Oui, ils n’étaient pas convenus. »

« Pourquoi alors les as-tu acceptés ? »

« Mais… Tu as dit : ‘Je préfère agir ainsi pour que vous ne soyez pas trop lassés en revenant chez vous’. Et cela nous semblait trop beau… Ta nourriture était bonne, c’était une économie, c’était… »

« C’était une faveur que je vous faisais gratuitement et personne ne pouvait y prétendre. N’est-ce pas ? »

« C’est vrai ».

« Je vous ai donc favorisés. Pourquoi vous lamentez-vous ? C’est moi qui devrais me plaindre de vous qui, comprenant que vous aviez affaire à un bon maître, vous travailliez nonchalamment alors que ceux qui étaient venus après vous, avec le bénéfice d’un seul repas, et les derniers sans repas, travaillaient avec plus d’entrain faisant en moins de temps le même travail que vous avez fait en douze heures. Je vous aurais trahis si, pour payer ceux-ci, je vous avais enlevé la moitié de votre salaire. Pas ainsi. Prends donc ce qui te revient et va-t-en. Voudrais-tu venir chez moi pour m’imposer tes volontés ? Moi, je fais ce que je veux et ce qui est juste. Ne sois pas méchant et ne me porte pas à l’injustice. Je suis bon ».

329.12 – O vous tous qui m’écoutez, je vous dis en vérité que Dieu le Père propose à tous les hommes les mêmes conditions et promet un même salaire. Celui qui avec zèle se met au service du Seigneur sera traité par Lui avec justice, même s’il n’a pas beaucoup travaillé à cause de l’imminence de sa mort. En vérité je vous dis que ce ne sont pas toujours les premiers qui seront les premiers dans le Royaume des Cieux, et que là-haut on verra de ceux qui étaient les derniers, devenir les premiers et d’autres qui étaient les premiers être les derniers. Là on verra beaucoup d’hommes, qui n’appartiennent pas à Israël, plus saints que beaucoup d’Israël.[/size]





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Message par Invité Jeu 19 Aoû 2021 - 13:14


JEUDI 19 AOÛT 2021


Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 DonnisonTraitorLL


Alors il dit à ses serviteurs: Les noces sont prêtes;
mais les conviés n’en étaient pas dignes.

Il ne serait pas digne de notre suprême Majesté d’avoir des enfants qui ne nous ressemblent pas ou qui ne sont pas revêtus des vêtements royaux de notre Fiat.



Le livre du Ciel Tome 36, 28 décembre 1938

Tu dois savoir que bien que nous aimions beaucoup la créature, nous ne pouvons pas tolérer qu’elle soit parmi nous indécente, sale, sans beauté, dénudée ou couverte de haillons misérables. Il ne serait pas digne de notre suprême Majesté d’avoir des enfants qui ne nous ressemblent pas ou qui ne sont pas revêtus des vêtements royaux de notre Fiat.

Ce serait comme un roi dont l’armée et les sujets sont mal vêtus, couverts de saleté, au point de rendre leur apparence répugnante. Certains seraient aveugles, d’autres boiteux ou difformes. Ne serait-ce pas un déshonneur pour ce roi d’être entouré d’une armée de misérables qui inspirent la pitié ? Ne devrait-on pas condamner ce roi qui ne veille pas à se former une armée digne de lui ? Ne devrait-on pas être en admiration, non seulement à la vue de la majesté de ce roi, mais également de sa belle armée bien ordonnée, de sa belle jeunesse et des habits qu’elle porte ? Ne serait-ce pas un honneur pour ce roi d’être entouré par des ministres et une armée qui font plaisir à voir ?

Notre invincible amour, avec une infinie sagesse, désireux de traiter avec chaque créature individuellement, a disposé de donner ma Volonté à la créature afin que ma Volonté puisse l’embellir de sa lumière, l’habiller de son amour, et la sanctifier de sa sainteté. Vois-tu ainsi combien il est nécessaire que notre Volonté règne dans la créature ? Parce que ma Volonté seule a le pouvoir de purifier la créature et de l’embellir afin de former notre divine armée. Et nous serons alors honorés de vivre avec eux et en eux. Ils seront nos enfants qui seront autour de nous, habillés de nos vêtements royaux et embellis à notre ressemblance.





Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Maria-Valtorta

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :


Mais écoutez-moi et vous comprendrez mieux comment les inquiétudes, les richesses et les ripailles empêchent d’entrer dans le Royaume des Cieux.

Un jour, un roi fêta le mariage de son fils. Vous pouvez imaginer quelle fête eut lieu dans le palais du roi ! C’était son unique fils et, arrivé à l’âge voulu, celui-ci épousait sa bien-aimée. Celui qui était père et roi voulut que tout ne soit qu’allégresse autour de la joie de son fils bien-aimé, devenu enfin l’époux de sa bien-aimée. Parmi les nombreuses fêtes des noces, il fit un grand repas, qu’il prépara en s’y prenant tôt, veillant sur chaque détail pour que ce soit une réussite magnifique, digne des noces d’un fils de roi.

Au moment voulu, il envoya ses serviteurs prévenir ses amis et ses alliés, mais aussi les principaux grands de son royaume que les noces étaient fixées pour tel soir et qu’ils étaient invités à venir pour entourer dignement le fils du roi. Mais ni les amis, ni les alliés, ni les grands du royaume n’acceptèrent l’invitation.

Alors le roi, pensant que les premiers serviteurs ne s’étaient pas expliqués convenablement, en envoya encore d’autres chargés d’insister et de dire : “ Mais venez ! Nous vous en prions. Maintenant, tout est prêt. La salle est préparée. Des vins précieux ont été apportés de partout et l’on a déjà entassé dans les cuisines bœufs et animaux gras pour les cuire. Les esclaves pétrissent la farine pour confectionner des desserts et d’autres pilent les a­mandes dans les mortiers pour préparer des friandises très fines auxquelles ils mélangent les arômes les plus rares. Les danseuses et les musiciens les meilleurs ont été engagés pour la fête. Venez donc pour ne pas rendre vains tant de préparatifs. ”

Mais les amis, les alliés et les grands du royaume soit refusèrent, soit répondirent : “ Nous avons autre chose à faire ” ; d’autres firent semblant d’accepter l’invitation, mais se rendirent à leurs occupations, les uns à leurs champs, les autres à leurs commerces ou à d’autres affaires encore moins nobles. Enfin, il y en eut qui, agacés par tant d’insistance, se saisirent des serviteurs du roi et les tuèrent pour les faire taire, parce qu’ils ajoutaient : “ Ne refuse pas cela au roi sinon il pourrait t’en arriver malheur. ”

Les serviteurs revinrent vers le souverain et lui rapportèrent tout ce qui s’était passé. Enflammé d’indignation, le roi envoya ses troupes punir les assassins de ses serviteurs et châtier ceux qui avaient méprisé son invitation, se réservant de récompenser ceux qui avaient promis de venir. Mais, le soir de la fête, à l’heure fixée, il ne vint personne.

Indigné, le roi appela ses serviteurs et leur déclara : “ Qu’il ne soit pas dit que mon fils reste sans personne pour le fêter en cette soirée de ses noces. Le banquet est prêt, mais les invités n’en sont pas dignes. Et pourtant, le banquet nuptial de mon fils doit avoir lieu. Allez donc sur les places et les chemins, postez-vous aux carrefours, arrêtez les passants, rassemblez ceux qui s’arrêtent et amenez-les ici. Que la salle soit pleine de gens en fête. ”

Les serviteurs partirent donc. Sortis dans les rues, répandus sur les places, envoyés aux carrefours, ils rassemblèrent tous ceux qu’ils trouvèrent, bons ou mauvais, riches ou pauvres, les amenèrent à la demeure du roi et leur fournirent le nécessaire pour qu’ils puissent entrer dignement dans la salle du banquet. Puis ils les y conduisirent et, comme le roi le voulait, elle fut pleine d’un public joyeux.

Mais le roi entra dans la salle pour voir si on pouvait commencer les festivités et il vit un homme qui, malgré le nécessaire procuré par les serviteurs, n’était pas en habits de noces. Il lui demanda : “ Comment se fait-il que tu sois entré ici sans les vêtements de noces ? ” Il ne sut que répondre car, effectivement, il n’avait pas d’excuses. Alors le roi appela ses serviteurs et leur ordonna : “ Saisissez-vous de lui, attachez-lui les pieds et les mains et jetez-le hors de ma demeure, dans la nuit et la boue gelée. Là, il sera dans les larmes et les grincements de dents, comme il l’a mérité pour son ingratitude et l’offense qu’il m’a faite, et à mon fils plus qu’à moi, en entrant avec un habit pauvre et malpropre dans la salle du banquet, où ne doivent entrer que ceux qui sont dignes d’elle et de mon fils. ”

Comme vous le voyez, les soucis du monde, l’avarice, la sensualité, la cruauté attirent la colère du roi et font en sorte que ceux qui sont pris par tous ces embarras n’entrent jamais plus dans la maison du Roi. Vous voyez aussi comment, même parmi ceux qui sont invités, par bienveillance à l’égard de son fils, il y en a qui sont punis.

Combien y en a-t-il, aujourd’hui, sur cette terre à laquelle Dieu a envoyé son Verbe ! Dieu a vraiment invité ses alliés, ses amis, les grands de son peuple par l’intermédiaire de ses serviteurs, et il les fera inviter d’une manière toujours plus pressante à mesure que l’heure de mes noces approchera. Mais ils n’accepteront pas l’invitation parce que ce sont de faux alliés, de faux amis et qu’ils ne sont grands que de nom, car ils sont pleins de bassesse. »







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Message par Invité Ven 20 Aoû 2021 - 13:03

VENDREDI 20 AOÛT 2021


Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 2b24d10acde2fbb5f693f4cc48a3f8ae


Jésus lui répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. Mt 22,37

il n’y a pas de plus grand bonheur pour nous que d’être aimés par celle que nous avons créée dans le seul but de nous aimer et d’accomplir notre Volonté.



Le livre du Ciel Tome 33, 7 octobre 1934

Ma bonne fille, ne sois pas étonnée. Tout est possible pour celle qui vit dans ma Volonté. Il existe un amour réciproque entre Dieu et la créature à tel point que la petitesse humaine en arrive à vouloir et à faire les actes de
Dieu, et elle les aime tant qu’elle donnerait sa vie pour défendre, aimer et donner toute la gloire, la première place d’honneur à un seul de ces actes divins. En échange, Dieu fait siens les actes de la créature qui sont alors
l’exutoire de son amour, la hauteur de sa sainteté. Oh ! combien il les aime.

Et dans cet amour réciproque, ils s’aiment tellement qu’ils demeurent prisonniers l’un de l’autre, mais d’un emprisonnement volontaire qui les rend inséparables. Ils sont heureux que Dieu se sente aimé et trouve son poste dans la créature qui, elle, se sent aimée par Dieu et occupe son poste dans l’Être suprême. Il n’y a pas de plus grand bonheur pour la créature que de pouvoir dire qu’elle est certaine d’être aimée par Dieu, et il n’y a pas de plus grand bonheur pour nous que d’être aimés par celle que nous avons créée dans le seul but de nous aimer et d’accomplir notre Volonté. La créature qui vit dans son Créateur voudrait que tous l’aiment et le reconnaissent, et en vertu du divin Fiat qui l’anime, elle veut rappeler tous les actes des créatures en Dieu afin de pouvoir lui dire : « Je vous donne tout et je vous aime. »

Elle s’unit à la pensée du divin Vouloir pour chaque intelligence, à son regard pour chaque œil, à sa parole pour chaque voix, à son battement pour chaque cœur, à son mouvement pour chaque acte, à son pas pour chaque pied. Y a-t-il une chose que la créature qui vit dans ma Volonté ne veuille pas me donner ? Elle veut tout me donner. C’est pourquoi elle dit à ma Volonté : « J’ai besoin de posséder ton amour, ta puissance, afin d’avoir un amour qui puisse te dire « Je t’aime » pour toutes les autres créatures. » Notre Volonté trouve ainsi en elle l’amour et l’échange de tous les actes des créatures. Oh ! ma Volonté, quelle puissance tu accordes à l’âme qui vit en toi ! C’est un labyrinthe d’amour dans lequel la petitesse humaine se sent submergée par l’amour, et l’âme ressent le besoin de répéter son petit refrain, « Je t’aime, Je t’aime », pour exprimer le grand amour que ma Divine Volonté lui donne. Notre vie est une histoire d’amour ab aeterno et elle doit être celle de l’âme qui vit dans notre Volonté.





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Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :


Jésus se tait et, comme s’il voulait couper court à toute discussion, se tourne vers l’enceinte du Temple.

Mais un docteur de la Loi, qui s’était assis pour écouter sérieusement sous le portique, se lève et s’avance pour demander :

« Maître, que dois-je faire pour obtenir la vie éternelle ? Tu as répondu à d’autres, réponds-moi, à moi aussi.

Pourquoi veux-tu me tenter ? Pourquoi veux-tu mentir ? Espères-tu que je dise des choses qui déforment la Loi parce que je lui ajoute des idées plus lumineuses et plus parfaites ? Qu’est-ce qui est écrit dans la Loi ? Réponds ! Quel est son principal commandement ?

– “ Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toutes tes forces, de toute ton intelligence. Tu aimeras ton prochain comme toi-même. ”

– Voilà, tu as bien répondu. Fais cela et tu auras la vie éternelle.

– Et quel est mon prochain ? Le monde est plein de gens qui sont bons et mauvais, connus ou inconnus, amis et ennemis d’Israël. Qui est mon prochain ?







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Message par Invité Sam 21 Aoû 2021 - 12:01



VENDREDI 20 AOÛT 2021


Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 3274397532_1_2_8VCJR4fl


Faites donc et observez tout ce qu’ils vous disent; mais n’agissez pas selon leurs œuvres. Car ils disent, et ne font pas.…Mt 23,3

Non seulement elles me refusent leur cœur, mais elles me volent l’affection des autres.



Le livre du Ciel Tome 12, 30 décembre 1917

J’étais dans mon état habituel et mon toujours aimable Jésus se montra très affligé. Il se plaina de ceux qui lui volent l’affection des créatures en prenant sa place dans les âmes. Je lui dis: «Mon Amour, ce vice est il laid au point de tant t’affliger?» Il me répondit: «Ma fille, cela est plus que laid, c’est terrible! C’est le renversement de l’ordre prévu par le Créateur. La créature se place au dessus du Créateur. Cela équivaut à dire: “Je suis aussi bon que Dieu.” Que dirais tu de quelqu’un qui volerait un million de dollars à un autre en le plongeant dans la pauvreté et le malheur?» Je lui répondis: «Il devrait remettre l’argent volé ou bien être condamné.» Jésus reprit: «Cependant, quand on me vole l’affection des créatures, c’est plus que de me voler des millions.

L’argent est matériel et bas alors que l’affection des créatures est spirituelle et grande. L’argent peut être restitué, mais l’affection des créatures ne le peut jamais! C’est un vol irrémédiable. Même si le feu du purgatoire purifie ce vol, il ne pourra jamais remplir le vide d’une seule affection qui m’a été volée. Cela n’est aucunement pris en considération. Au contraire, il y a des gens qui vendent leur affection. Ils sont contents de trouver quelqu’un pour l’acheter. Ils me volent sans aucun scrupule. Il ont des scrupules s’ils volent une autre créature.

Mais me voler moi même ne leur cause aucun scrupule. Ah! ma fille, j’ai tout donné aux créatures en leur disant: “Prenez tout ce que vous voulez, mais laissez moi seulement votre cœur.”  Non seulement elles me refusent leur cœur, mais elles me volent l’affection des autres. De plus, cela ne vient pas seulement des personnes séculières, mais aussi d’âmes pieuses, d’âmes consacrées. Quel mal on me fait par une certaine direction spirituelle à l’eau de rose, par certaines condescendances, par tant de sentimentalité, par l’usage de séductions! Au lieu de faire le bien aux âmes, on les plonge dans un labyrinthe.

Quand je suis contraint d’entrer sous la forme sacramentelle dans ces cœurs complaisants, j’aimerais fuir, voyant que leur affection n’est pas pour moi, que leur cœur n’est pas mien. Et cela, de la part de qui? De ceux qui devraient conduire les âmes vers moi! Plutôt, ils ont pris ma place. Je ressens une telle nausée que je n’arrive pas à m’accommoder de rester dans leur cœur. Même si je suis contraint de le faire jusqu’à ce que les accidents de l’hostie soient consumés. Quel massacre d’âmes! Ce sont les vraies blessures de mon Église!





Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Maria-Valtorta

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :


Jésus, qui avait commencé à parler d’une voix douce, a haussé peu à peu le ton et, à la fin de son développement, elle est puissante comme une sonnerie de trompettes.

Juifs et païens sont attentifs. Si les premiers applaudissent Jésus lorsqu’il rappelle les devoirs envers la patrie et qu’il nomme ouvertement par leurs noms les étrangers qui les ont assujettis et fait souffrir, les seconds admirent l’éloquence du discours et se félicitent d’assister à cet exposé digne d’un grand orateur.

Jésus reprend, en baissant de nouveau la voix :

« Je tenais par ces mots à vous rappeler la raison d’être des scribes et des pharisiens. Je vous ai expliqué comment et pourquoi ils se sont assis sur le siège de Moïse, comment et pourquoi ils tiennent des propos qui ne sont pas vains. Faites donc ce qu’ils disent, mais n’imitez pas leurs actes. Car ils demandent que l’on agisse d’une façon qu’eux-mêmes ne mettent pas en pratique. Certes, ils enseignent les lois d’humanité du Pentateuque, mais ils chargent les autres de fardeaux énormes, impossibles à porter, inhumains, alors que, s’agissant d’eux-mêmes, ils ne lèvent pas le petit doigt pour porter ces fardeaux, pas même pour les toucher.

Leur règle de vie, c’est d’être remarqués et applaudis pour leurs œuvres, qu’ils accomplissent de manière à ce qu’on les voie, pour en être loués. Et ils contreviennent à la loi de l’amour, car ils aiment à se définir comme des êtres à part, ils méprisent ceux qui ne sont pas de leur secte, et ils exigent de leurs disciples le titre de maîtres et un culte qu’eux-mêmes ne rendent pas à Dieu. En ce qui concerne la sagesse et la puissance, ils se prennent pour des dieux. Ils veulent avoir la première place dans le cœur de leurs disciples, au-dessus des parents. Ils prétendent que leur doctrine surpasse celle de Dieu, et ils exigent qu’on la pratique à la lettre, même si elle altère la vraie Loi ; leur doctrine est pourtant inférieure à cette dernière plus que ne l’est cette montagne comparée à la hauteur du grand Hermon qui domine toute la Palestine. Certains d’entre eux sont hérétiques : il en est qui croient, comme les païens, à la réincarnation et à la fatalité ; d’autres nient ce que les premiers admettent et, de fait sinon effectivement, ils refusent ce que Dieu leur a demandé de croire, quand il s’est défini comme le Dieu unique à qui rendre un culte, et quand il a dit que le père et la mère viennent immédiatement après Dieu et, comme tels, ont le droit d’être obéis plus qu’un maître qui n’est pas divin
.







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Message par Invité Dim 22 Aoû 2021 - 12:03


DIMANCHE 22 AOÛT 2021


Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Ia__ea10


Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie. Jn 6,63

Ne sais-tu pas que je suis parole à chaque instant ?



Le livre du Ciel Tome 36, 5 décembre 1938

Après quoi je continuais à penser au grand bien de la vie dans le divin Vouloir et mon doux Jésus reprit :

Ma fille, ce bien est si grand que je sens notre vie palpitante vivre dans cette créature, de sorte que nous n’avons plus besoin de paroles pour nous comprendre. Notre souffle dans le souffle de la créature est parole qui investit l’être humain et le transmue en notre parole ; et la créature sent que notre parole parle dans son esprit, dans ses œuvres et dans ses pas. Et la vertu de notre parole créatrice l’investit de telle sorte que notre parole se fait sentir dans les fibres les plus intimes de son coeur et change la créature elle-même en parole. Ma parole devient en elle nature, et ne pas faire ce que je dis et ce que je veux serait comme si mon Verbe allait contre lui-même, ce qui ne peut pas être.

Ainsi, pour celle qui vit dans mon Vouloir, je suis parole dans son souffle, dans son mouvement, dans son intelligence, dans son regard, en toute chose, si bien qu’en se sentant fusionnée et trempée dans ma parole, sans avoir entendu le son de ma voix, elle s’émerveille et dit : Combien je sens ma nature changée en sa parole, et je ne sais pas comment il me l’a dite. Et je lui dis : « Ne sais-tu pas que je suis parole à chaque instant ? Et même si tu ne m’entends pas, je parle, sachant que lorsque tu rentreras dans la petite chambre de ton âme, tu trouveras et prendras le don de ma parole. » Mes paroles ne s’envolent pas, elles restent dans la nature humaine et transforment cette créature. Il y a une telle union et une telle transformation entre celle qui vit dans notre Vouloir et nous, que nous nous comprenons sans parler, et que nous parlons sans paroles. Et c’est le plus grand don que nous puissions faire à la créature : parler avec le souffle, avec le mouvement.

Cette créature est tellement identifiée à nous que nous agissons avec elle comme avec nous-mêmes. Et bien que notre Être divin soit entièrement parole et voix, lorsque nous le voulons, nous ne laissons personne nous entendre. Aussi, sois attentive et laisse-toi guider en toute chose par mon Vouloir.





Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Maria-Valtorta

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :


« Vous êtes scandalisés par mes paroles ? Et si je vous disais que vous verrez un jour le Fils de l’homme monter au Ciel, où il était auparavant, et s’asseoir à côté du Père? Et qu’avez-vous compris, assimilé, cru, jusqu’à présent ? Et avec quoi avez-vous écouté et saisi ? Seulement avec ce qui est tout humain ? C’est l’esprit qui vivifie et a de la valeur. La chair n’a rien à y voir. Mes paroles sont esprit et vie, et c’est spirituellement qu’il faut les écouter et les comprendre pour y puiser la vie. Mais il y en a beaucoup parmi vous dont l’esprit est mort parce qu’il est sans foi. Beaucoup d’entre vous ne croient pas vraiment, et c’est inutilement qu’ils restent près de moi. Ils n’y trouveront pas la Vie, mais la Mort. Car ils restent, comme je l’ai déjà dit, par curiosité ou par affection humaine, ou pire, dans une intention encore plus indigne. Ils n’ont pas été amenés ici par le Père en récompense de leur bonne volonté, mais par Satan.

438> Personne, en vérité, ne peut venir à moi, si cela ne lui est pas accordé par mon Père. Partez vous aussi, vous qui restez difficilement parce que vous avez honte, humainement, de m’abandonner, mais qui avez encore plus honte de rester au service d’un homme qui vous semble fou et dur. « Partez. Il vaut mieux que vous soyez loin pour nuire. »

Plusieurs autres disciples se retirent alors, parmi lesquels le scribe Jean et Marc, le Gérasénien possédé, guéri par Jésus qui envoya les démons dans les porcs. Les bons disciples se consultent et courent derrière ceux qui ont abandonné, en essayant de les arrêter.

354.16 – Il reste maintenant dans la synagogue Jésus, le chef de la synagogue, et les apôtres…

Jésus se tourne vers les Douze, désolés, regroupés dans un coin: « Voulez-vous vous en aller, vous aussi ? »

Il dit cela sans amertume, sans tristesse, mais avec beaucoup de sérieux. Dans un élan douloureux, Pierre lui dit :

« Seigneur, où veux-tu que nous allions ? Vers qui ? Tu es notre vie et notre amour. Toi seul as les paroles de vie éternelle. Nous savons que tu es le Christ, le Fils de Dieu. Si tu veux, chasse-nous. Mais, pour notre part, nous ne te quitterons pas, pas même… pas même si tu ne nous aimais plus… »

Pierre pleure sans bruit, avec de grosses larmes… André aussi, Jean et les deux fils d’Alphée pleurent ouvertement; les autres, pâles ou rouges par suite de l’émotion, ne pleurent pas, mais souffrent visiblement.

« Pourquoi devrais-je vous chasser? N’est-ce pas moi qui vous ai choisis, tous les douze ? »

Prudemment, Jaïre s’est retiré pour laisser Jésus libre de réconforter ou de réprimander ses apôtres. Jésus, qui remarque sa retraite silencieuse, s’assied d’un air accablé, comme si la révélation qu’il fait lui coûtait un effort supérieur à ses moyens, épuisé comme il l’est, dégoûté, endolori. Puis il dit :

« Et pourtant, l’un de vous est un démon[33]. »

La parole tombe lentement, effrayante, dans la synagogue où il n’y a que la lumière des nombreuses lampes qui soit joyeuse… et personne n’ose rien dire.

439> Mais ils se regardent les uns les autres avec un frisson de peur, en se posant une question angoissée et, par une réponse encore plus angoissée et intime, chacun s’examine lui-même…

Personne ne bouge pendant un moment. Jésus reste seul sur son siège, les mains croisées sur les genoux, la tête basse. Il la relève enfin et dit :

« Venez. Je ne suis tout de même pas un lépreux ! Ou bien me croyez-vous tel ? »

Alors Jean s’avance rapidement et lui passe les bras autour du cou en disant :

« Dans ce cas, j’ai la lèpre avec toi, mon seul amour. Avec toi dans la condamnation. Avec toi dans la mort, si tu crois que c’est cela qui t’attend… »

Et Pierre rampe à ses pieds, il les lui prend et les pose sur ses épaules en sanglotant :

« Presse-moi, foule-moi aux pieds ! Mais ne me laisse pas penser que tu te méfies de ton Simon. »

Voyant que Jésus caresse les deux premiers, les autres s’avancent et lui donnent des baisers sur ses vêtements, sur ses mains, sur ses cheveux… Seul Judas ose lui embrasser le visage.

Jésus se lève tout à coup et semble le repousser brusquement tant son mouvement est imprévu, et il dit :

« Allons à la maison. Demain soir, à la nuit, nous partirons en barque pour Hippos. »








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Message par Invité Lun 23 Aoû 2021 - 11:02

LUNDI 23 AOÛT 2021


Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 AnnasandCaiaphas


Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Mt 23,14

Ma fille, la douleur qui m’affligea le plus au cours de ma Passion fut
l’hypocrisie des pharisiens



Le livre du Ciel Tome 13, 22 novembre 1921

«Ma fille, la douleur qui m’affligea le plus au cours de ma Passion fut l’hypocrisie des pharisiens ; ils feignaient la justice alors qu’ils étaient les plus injustes. Ils simulaient la sainteté, la rectitude et l’ordre, alors qu’ils étaient les plus pervertis, en dehors de toute règle et dans un total désordre. Pendant qu’ils feignaient d’honorer Dieu, ils s’honoraient eux-mêmes, soignaient leurs propres intérêts, leur propre confort. La lumière ne pouvait entrer en eux, car leur hypocrisie en avait fermé toutes les portes. Leur vanité était la clé qui, à double tour, les enfermait dans leur mort et arrêtait même toute faible lumière. Même l’idolâtre Pilate a trouvé plus de lumière que les pharisiens, car tout ce qu’il a fait et dit découlait non d’une prétention, mais de la peur. « Je me sens plus attiré par le pécheur, même le plus pervers, s’il n’est pas fourbe, que par ceux qui sont meilleurs mais hypocrites.

Oh ! comme me dégoûte celui qui fait le bien en surface, prétend être bon, prie, mais en qui le mal et l’intérêt égoïste sont camouflés ; pendant que ses lèvres prient, son cœur est loin de moi. Au moment où il fait le bien, il pense à satisfaire ses passions brutales. En dépit du bien qu’il accomplit en apparence et des paroles qu’il prononce, l’homme hypocrite ne peut pas apporter la lumière aux autres parce qu’il en a verrouillé les portes.





Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Maria-Valtorta

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :


Donc malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, qui croyez pouvoir fermer par vos sentences impraticables — si elles étaient confirmées par Dieu, ce serait réellement des serrures inviolables pour la majorité des hommes — qui croyez pouvoir fermer le Royaume des Cieux à la face des hommes qui élèvent leur esprit vers lui pour trouver de la force dans leur pénible journée terrestre ! Malheur à vous qui n’y entrez pas, qui ne voulez pas y entrer, car vous n’accueillez pas la Loi du Royaume des Cieux et n’y laissez pas entrer les autres, qui se tiennent devant cette porte que vous, par votre intransigeance, renforcez par des verrous que Dieu n’y a pas mis.

Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, qui dévorez le bien des veuves sous prétexte de faire de longues prières. Vous en serez sévèrement jugés !

Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, qui allez par terre et par mer pour faire un seul prosélyte en dépensant des biens qui ne vous appartiennent pas, et, quand vous l’avez, le rendez fils de l’enfer, deux fois pire que vous !

Malheur à vous, guides aveugles, qui dites : “ Si quelqu’un jure par le Temple, son serment ne vaut rien, mais s’il jure par l’or du Temple, il reste lié par son serment. ” Sots et aveugles que vous êtes ! Qu’est-ce qui compte le plus : l’or, ou le Temple qui sanctifie l’or ? Vous prétendez : “ Si quelqu’un jure par l’autel, son serment ne vaut rien, mais s’il jure par l’offrande posée sur l’autel, alors son serment est valide, et il reste lié par son serment. ” Aveugles ! Qu’y a-t-il de plus grand : l’offrande, ou l’autel qui sanctifie l’offrande ? L’homme qui jure par l’autel jure par lui et par tout ce qui est posé dessus, celui qui jure par le Temple jure par lui et par Celui qui l’habite, et celui qui jure par le Ciel jure par le Trône de Dieu et par Celui qui y est assis.

Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, qui payez la dîme de la menthe et de la rue, de l’anis et du cumin, mais négligez les préceptes les plus graves de la Loi : la justice, la miséricorde et la fidélité. Ce sont elles, les vertus qu’il fallait avoir, sans laisser de côté les détails moins importants !

Guides aveugles, qui filtrez les boissons de crainte de vous contaminer en avalant un moucheron qui s’est noyé, et ensuite avalez un chameau sans vous croire impurs pour autant. Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, qui lavez l’extérieur de la coupe et du plat, mais qui êtes intérieurement remplis de rapines et d’immondices. Pharisien aveugle, lave d’abord l’intérieur de ta coupe et de ton assiette, de façon que l’extérieur aussi devienne propre.

Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, qui volez dans les ténèbres comme des oiseaux de nuit pour accomplir vos œuvres de péché ou négociez de nuit avec les païens, les voleurs et les traîtres, et ensuite, le matin, après avoir effacé les signes de vos marchés occultes, montez au Temple, bien vêtus.







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Message par Invité Mar 24 Aoû 2021 - 10:39


MARDI 24 AOÛT 2021


Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Cd54204dad77ce6a04faaa65348ab7ed


Jésus lui répondit: Parce que je t’ai dit que je t’ai vu
sous le figuier, tu crois; Jean 1, 45-51

Ainsi, on peut dire que tout est écrit dans les cœurs
de ceux qui croient, qui espèrent et qui aiment.



Le livre du Ciel Tome 4, 9 janvier 1903

« Ma fille, pour bien comprendre un sujet, il est nécessaire d’avoir de la foi. Parce que, sans la foi, tout est sombre dans l’intelligence humaine alors que le seul fait de croire allume une lumière dans l’esprit. Au moyen de cette lumière, on peut percevoir clairement la vérité et la fausseté des choses, pour discerner si c’est la grâce qui opère, ou la nature, ou le diable.
« Vois-tu, l’Évangile est connu de tous, mais qui comprend la signification de mes paroles ? Qui comprend les vérités que l’Évangile contient ? Qui conserve ces vérités dans son cœur et en fait un trésor pour acheter le Royaume de Dieu ? Ceux qui croient.

Pour tous les autres, non seulement ils n’y comprennent rien, mais ils s’en servent pour s’en moquer et pour plaisanter sur les choses les plus saintes. « Ainsi, on peut dire que tout est écrit dans les cœurs de ceux qui croient, qui espèrent et qui aiment. Pour tous les autres, on peut dire que rien n’est écrit pour eux. Il en est ainsi de toi. Celui qui possède un peu de foi voit les choses avec clarté et découvre la vérité. Celui qui ne croit pas voit les choses dans la confusion. »





Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Maria-Valtorta

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :


Un autre, qui est ton ami, attend, lui aussi est un Israélite sincère. Va lui dire : « Nous avons trouvé Jésus de Nazareth, fils de Joseph, de la race de David. Celui dont ont parlé Moïse et les prophètes ! Va ! »

Jésus reste seul, jusqu’à ce que revienne Philippe avec Nathanaël - Barthélemy.

« Voici un vrai Israélite en qui il n’y a pas de fraude. La paix à toi, Nathanaël. »

« Comment me connais-tu ? »

« Avant que Philippe vînt t’appeler, je t’ai vu sous le figuier. »

« Maître, tu es le Fils de Dieu, tu es le Roi d’Israël ! »

« Parce que je t’ai dit t’avoir vu pendant que tu réfléchissais sous le figuier, tu crois ? Tu verras des choses bien plus importantes que celle-là. En vérité je vous dis que les Cieux sont ouverts, et vous, par la foi, vous verrez les Anges descendre et monter au-dessus du Fils de l’Homme : Moi, qui te parles. »

« Maître ! Je ne suis pas digne d’une telle faveur ! »

« Crois en moi, et tu seras digne du Ciel. Veux-tu croire ? »

« Je le veux, Maître. »







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Message par Invité Jeu 26 Aoû 2021 - 11:12

MARDI 24 AOÛT 2021


Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Veilleur1


C’est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts Mt 24,44

Mais si inépuisables que nous soyons, nous ne donnons pas nos biens, nos grâces, et nous ne confions pas non plus nos vérités à celle qui n’est pas disposée, qui ne prête pas attention à nous…



Le livre du Ciel Tome 11, 17 juin 1915

«Je prends en compte tout ce qui aboutit à ma Volonté, parce qu’en elle seule se trouve ma vie réelle. Il est juste que je considère les plus petites choses, voire les bagatelles, comme mes propres choses, parce que, pour chaque petite chose que la créature fait en union avec ma Volonté, je sens que cela provient de moi et qu’ensuite la créature agit. Chacune de ces petites choses comprend la totalité de ma sainteté, de ma puissance, de ma sagesse, de mon amour et de tout ce que je suis et, ainsi, en ces choses, je sens ma vie, mes travaux, mes paroles, mes pensées, etc. Donc, si tes choses se terminent dans ma Volonté, que veux-tu de plus ?

Chaque chose a un objectif ultime. Le soleil a celui d’envahir toute la terre de sa lumière. Le fermier sème, herse et travaille la terre, il souffre du froid et de la chaleur, mais son objectif ultime est de récolter les fruits et d’en faire sa nourriture. Il en va de même pour beaucoup d’autres choses qui, aussi variées qu’elles soient, ont comme objectif ultime la vie de l’homme. Pour ce qui est de l’âme, elle doit veiller à ce que tout ce qu’elle fait se termine dans ma Volonté : ma Volonté constituera sa vie et je ferai de sa vie ma nourriture.»/size]





Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Maria-Valtorta

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :


Ma parole ne sera pas prise en défaut. Ce que je dis sera. Le cœur et la pensée des hommes peuvent changer, mais ma parole est immuable. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas. Quant au jour et à l’heure précise, personne ne les connaît, pas même les anges du Seigneur, mais le Père seul.

Il en sera de la venue du Fils de l’homme comme au temps de Noé. Dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient, sans réfléchir au signe, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ; alors s’ouvrirent les cataractes du ciel et le déluge submergea tous les vivants et toutes choses. Il en sera de même à la venue du Fils de l’homme. Deux hommes seront l’un près de l’autre dans un champ : l’un sera pris, l’autre laissé ; deux femmes seront appliquées à faire marcher la meule : l’une sera prise, l’autre laissée, par les ennemis de la patrie et plus encore par les anges qui sépareront la bonne semence de l’ivraie, et ils n’auront pas le temps de se préparer au jugement du Christ.

Veillez donc, car vous ne savez pas à quelle heure viendra votre Seigneur. Réfléchissez : si le chef de famille savait à quelle heure vient le voleur, il veillerait et ne laisserait pas dépouiller sa maison. Veillez donc et priez, en étant toujours préparés à sa venue, sans que vos cœurs tombent dans la torpeur par des abus et des excès de toutes sortes ; que vos âmes ne soient pas éloignées et fermées aux affaires du Ciel par le souci excessif des réalités de la terre, et que le lacet de la mort ne vous prenne pas à l’improviste quand vous ne serez pas préparés. Car, rappelez-vous, tous vous devez mourir. Tous les hommes, dès leur naissance, sont destinés à la mort. Cette mort et le jugement subséquent sont une venue particulière du Christ, qui devra se répéter pour tous les hommes à la venue solennelle du Fils de l’homme.

Qu’en sera-t-il donc de ce serviteur fidèle et prudent préposé par son maître à donner en son absence la nourriture aux gens de sa maison ? Il serait heureux pour lui que son maître, revenant à l’improviste, le trouve en train d’accomplir son travail avec sollicitude, justice et amour. En vérité, je vous dis qu’il s’exclamera : “ Viens, bon et fidèle serviteur. Tu as mérité ma récompense. Tiens, administre tous mes biens. ” Mais s’il paraissait bon et fidèle sans l’être, si intérieurement il était mauvais comme extérieurement il était hypocrite, si, après le départ de son maître, il a pensé : “ Le maître ne reviendra pas de sitôt ! Prenons du bon temps ”, et s’il se mettait à battre et à maltraiter ses compagnons serviteurs, s’il faisait de l’usure sur eux pour la nourriture et mille autres délits afin d’avoir plus d’argent à dépenser avec les noceurs et les ivrognes, qu’arrivera-t-il ? Le maître reviendra à l’improviste, quand le serviteur ne le croit pas si proche : sa mauvaise conduite sera découverte, son emploi et l’argent lui seront retirés, et il sera chassé pour toujours, comme le veut la justice.

Il en est ainsi du pécheur impénitent qui, au lieu de se demander si sa mort peut être imminente et son jugement proche, jouit de la vie et commet toutes sortes d’abus en se disant : “ Je me repentirai plus tard. ” En vérité, je vous dis qu’il n’aura pas le temps de le faire, et qu’il sera condamné à rester éternellement dans le lieu de la redoutable horreur où il n’y a que blasphèmes, pleurs et tortures. Il n’en sortira pas avant le Jugement final, quand il revêtira sa chair ressuscitée pour se présenter dans son intégralité au Jugement final comme il a péché avec tout son être durant sa vie terrestre. C’est avec son corps et son âme qu’il se présentera au Juge Jésus dont il n’a pas voulu comme Sauveur.








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Message par Invité Ven 27 Aoû 2021 - 14:09


VENDREDI 27 AOÛT 2021


Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 112216267


Les folles, en prenant leurs lampes,
ne prirent point d’huile avec elles; Mt 23,3

Et si l’huile manque à l’âme, c’est-à-dire si elle cesse de produire
des actes, sa petite lumière s’éteint et tombe dans le noir.



Le livre du Ciel Tome 16, 2 mars 1924

« Le soleil a lui aussi cette propriété : sa lumière est unique et, cependant, combien sont inondés par elle ? Si, par sa lumière, le soleil peut faire cela de là-haut sans avoir à descendre ici-bas pour éclairer et réchauffer chacun  lui qui, cependant, ne possède que l’ombre de ma lumière  je peux faire cela beaucoup plus, moi qui possède la lumière infinie. Parce que ma Volonté en a le pouvoir, quand l’âme entre en elle, elle ouvre en cette âme le courant de sa lumière par laquelle chacune des pensées de cette âme, chacun de ses mots et chacun de ses actes s’étendent à tous.

« Il n’y a rien de plus sublime, de plus grand, de plus divin, de plus saint que de vivre dans ma Volonté. Quand l’âme n’est pas unie à ma Volonté et n’y entre pas, elle ne fait pas ses petites rondes et n’ouvre pas le courant de la lumière infinie de ma Volonté. Par conséquent, tout ce qu’elle fait lui est personnel, le bien qu’elle fait et ses prières sont comme les petites lumières qu’on utilise dans les chambres, incapables d’éclairer toutes les salles de la maison et encore mois de rayonner à l’extérieur. Et si l’huile manque à l’âme, c’est-à-dire si elle cesse de produire des actes, sa petite lumière s’éteint et tombe dans le noir. »






Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Maria-Valtorta

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :


Or il arriva dans un pays que l’on fit des noces. Pendant que les époux, avec leurs parents et amis, s’en donnaient à cœur joie dans la maison de l’épouse, dix jeunes filles se rendirent à leur place dans le vestibule de la maison de l’époux, prêtes à sortir à sa rencontre quand le bruit lointain des cymbales et des chants viendrait les avertir que les époux avaient quitté la maison de l’épouse pour venir à celle de l’époux. Mais le banquet, dans la maison des noces, se prolongeait et la nuit survint. Les vierges, vous le savez, gardent toujours leurs lampes allumées pour ne pas perdre de temps au dernier moment. Or, parmi ces dix vierges qui avaient leurs lampes allumées et qui éclairaient bien, il y en avait cinq sages et cinq sottes. Les sages, pleines de prudence, s’étaient munies de petits vases pleins d’huile pour pouvoir remplir les lampes si la durée de l’attente était plus longue que prévu, alors que les sottes s’étaient bornées à bien remplir leurs petites lampes.

Les heures passèrent, l’une après l’autre. Conversations gaies, bonnes histoires, plaisanteries charmaient l’attente. Mais après cela, elles ne surent plus que dire ni que faire. Ennuyées, ou simplement fatiguées, elles s’assirent plus à leur aise avec leurs lampes allumées toutes proches et tout doucement elles s’endormirent.

206.3 – Minuit arriva et on entendit un cri : « Voici l’époux, allez à sa rencontre ! » Les dix vierges sursautèrent en entendant l’ordre, prirent les voiles et les guirlandes, se coiffèrent et coururent vers la table où étaient les lampes. Cinq d’entre elles étaient en train de languir… La mèche, que l’huile ne nourrissait plus, toute consumée, fumait avec des éclairs de plus en plus faibles, prête à s’éteindre au moindre souffle d’air. Les cinq autres, au contraire, garnies par les vierges prudentes avant leur sommeil, avaient une flamme encore vive qui se raviva davantage quand on ajouta de l’huile dans le réservoir de la lampe.

« Oh ! dirent les sottes suppliantes, donnez-nous un peu de votre huile, car autrement nos lampes vont s’éteindre, rien qu’à les prendre. Les vôtres sont déjà belles!… » Mais les prudentes répondirent: « Dehors souffle le vent de la nuit, et la rosée tombe à grosses gouttes. Il n’y a jamais assez d’huile pour faire une flamme robuste qui puisse résister au vent et à l’humidité. Si nous vous en donnons, il arrivera que nos lumières vacilleront elles aussi. Et bien triste serait le cortège des vierges sans les palpitations des petites flammes ! Allez, courez chez le marchand le plus proche, priez-le, frappez à sa porte, faites-le lever pour qu’il vous donne de l’huile ». Et elles haletantes, froissant leurs voiles, tachant leurs vêtements, perdant les guirlandes, en se heurtant et en courant, suivirent le conseil de leurs compagnes.

  362> Mais, pendant qu’elles allaient acheter de l’huile, voilà qu’apparaît au fond de la rue l’époux accompagné de l’épouse. Les cinq vierges, qui étaient munies des lampes allumées, allèrent à leur rencontre et, au milieu d’elles, les époux entrèrent dans la maison pour la fin de la cérémonie, lorsque les vierges auraient escorté en dernier lieu l’épouse jusqu’à la chambre nuptiale. La porte fut close après l’entrée des époux et qui se trouvait dehors, dehors resta. Ce fut le sort des cinq sottes qui, arrivées enfin avec leur huile, trouvèrent la porte verrouillée et frappèrent inutilement en se blessant les mains et en criant d’une voix gémissante : « Seigneur, seigneur, ouvre-nous ! Nous faisons partie du cortège des noces. Nous sommes les vierges propitiatoires, choisies pour apporter honneur et fortune à ton mariage ».

Mais l’époux, du haut de la maison, quitta pour un instant les invités plus intimes auxquels il faisait ses adieux pendant que l’épouse entrait dans la chambre nuptiale, et leur dit : « ‘En vérité je vous dis que je ne vous connais pas. Je ne sais pas qui vous êtes. Vos visages n’étaient pas en fête autour de mon aimée. Vous êtes des usurpatrices. Restez donc hors de la maison des noces ». Et les cinq sottes, en pleurant, s’en allèrent par les rues noires, avec leurs lampes désormais inutiles, leurs vêtements fripés, leurs voiles arrachés, leurs guirlandes défaites ou perdues…

206.4 – Et maintenant vous comprenez la parole renfermée dans la parabole.

Je vous ai dit au début que le Royaume des Cieux est la maison des épousailles qui s’accomplissent entre Dieu et les âmes. Aux noces célestes sont appelés tous les fidèles, car Dieu aime tous ses enfants. Les uns plus tôt, les autres plus tard se trouvent au moment des épousailles et c’est un sort heureux que d’y être arrivé. Mais écoutez encore. Vous savez que les jeunes filles considèrent comme un honneur et une heureuse fortune d’être appelées comme servantes autour de l’épouse. Voyons dans notre cas ce que représentent les personnages et vous comprendrez mieux.

L’Époux c’est Dieu. L’épouse c’est l’âme d’un juste qui, après avoir passé le temps des fiançailles dans la maison du Père, c’est-à-dire sous la protection de la doctrine de Dieu et dans l’obéissance à cette doctrine, en vivant selon la justice, se trouve amenée dans la maison de l’Époux pour les noces.

363> Les servantes-vierges sont les âmes des fidèles qui, grâce à l’exemple laissé par l’épouse, cherchent à arriver au même honneur en se sanctifiant. Pour l’épouse, le fait d’avoir été choisie par l’époux à cause de ses vertus, est le signe qu’elle était un exemple vivant de sainteté.

206.5 – Les jeunes filles sont en vêtements blancs, propres et frais, en voiles blancs, couronnées de fleurs. Elles ont dans les mains des lampes allumées. Les lampes sont bien propres, avec la mèche nourrie de l’huile la plus pure afin qu’elle ne soit pas malodorante.

En vêtements blancs. La justice pratiquée avec fermeté donne des vêtements blancs et bientôt viendra le jour qu’ils seront parfaitement blancs, sans même le plus lointain souvenir d’une tache, d’une blancheur surnaturelle, d’une blancheur angélique.

En vêtements propres. Il faut, par l’humilité, tenir toujours propre le vêtement. Il est si facile de ternir la pureté du cœur, et celui qui n’est pas pur en son cœur ne peut voir Dieu. L’humilité est comme l’eau qui lave. L’humble, parce que son œil n’est pas obscurci par la fumée de l’orgueil, s’aperçoit tout de suite qu’il a terni son vêtement. Il court vers son Seigneur et Lui dit : « J’ai perdu la netteté de mon cœur. Je pleure pour me purifier. Je pleure à tes pieds. Et Toi, mon Soleil, blanchis mon vêtement par ton pardon bienveillant, par ton amour paternel ! »

En vêtements frais. Oh ! La fraîcheur du cœur ! Les enfants la possèdent par suite d’un don de Dieu. Les justes la possèdent par un don de Dieu et par leur propre volonté. Les saints la possèdent par un don de Dieu et par une volonté allant jusqu’à l’héroïsme. Mais les pécheurs, dont l’âme est en loques, brûlée, empoisonnée, salie ne pourront-ils alors jamais plus avoir un vêtement frais ? Oh ! oui, qu’ils peuvent l’avoir. Ils commencent à l’avoir du moment où ils se regardent avec mépris, ils l’augmentent quand ils ont décidé de changer de vie, le perfectionnent quand par la pénitence ils se lavent, se désintoxiquent, se soignent, refont leur pauvre âme. Avec l’aide de Dieu qui ne refuse pas son secours à qui demande son aide sainte, par leur propre volonté portée à un degré qui dépasse l’héroïsme, car en eux il n’y a pas lieu de protéger ce qu’ils possèdent, mais de reconstruire ce qu’ils ont abattu, donc effort double et triple et septuple et enfin par une pénitence inlassable, implacable à l’égard du moi qui était pécheur, ils ramènent leur âme à une nouvelle fraîcheur enfantine, rendue précieuse par l’expérience qui fait d’eux des maîtres pour ceux qui autrefois étaient comme eux, c’est-à-dire pécheurs.

364> En voiles blancs. L’humilité ! J’ai dit [1] : « Quand vous priez ou faites pénitence, faites en sorte que le monde ne s’en aperçoive pas ». Dans les livres sapientiaux, il est dit : « Il n’est pas bien de révéler le secret du Roi »[2]. L’humilité est le voile blanc que l’on met pour le défendre sur le bien que l’on fait et sur le bien que Dieu nous accorde. Ne pas se glorifier de l’amour privilégié que Dieu nous accorde, ne pas chercher une sotte gloire humaine. Le don serait tout de suite enlevé. Mais le chant intérieur du cœur à son Dieu : « Mon âme te glorifie, ô Seigneur… parce que Tu as tourné ton regard vers la bassesse de ta servante » [3].

Jésus s’arrête un instant et jette un regard vers sa Mère qui rougit sous son voile et s’incline profondément comme pour remettre en place les cheveux de l’enfant assis à ses pieds, mais en réalité pour cacher l’émotion de son souvenir…

Couronnée de fleurs. L’âme doit tresser sa guirlande quotidienne d’actes de vertu, car en présence du Très-Haut, rien ne doit rester de vicieux et rien ne doit rester d’un aspect négligé. Guirlande quotidienne, ai-je dit, car l’âme ne sait pas quand Dieu-Epoux lui apparaîtra pour lui dire : « Viens ». Il ne faut donc pas se lasser de renouveler la couronne. N’ayez pas peur. Les fleurs perdent leur fraîcheur, mais les fleurs des couronnes vertueuses ne la perdent pas.  L’ange de Dieu, que chaque homme a à côté de lui, recueille ces guirlandes quotidiennes et les apporte au Ciel et on en fera un trône au nouveau bienheureux quand il entrera comme épouse dans la maison nuptiale.

206.6 – Elles ont leurs lampes allumées. À la fois pour honorer l’Époux et pour se guider en chemin. Comme elle est brillante la foi et quelle douce amie elle est ! Elle donne une flamme qui rayonne comme une étoile, une flamme qui rit car elle est tranquille dans sa certitude, une flamme qui rend lumineux même l’instrument qui la porte. Même la chair de l’homme que nourrit la foi semble, dès cette terre, devenir plus lumineuse et plus spirituelle, exempte d’un vieillissement précoce.

365> Car celui qui croit se laisse guider par les paroles et les commandements de Dieu pour arriver à posséder Dieu, sa fin, et par conséquent il fuit toute corruption, il n’a pas de troubles, de peurs, de remords, il n’est pas obligé de faire des efforts pour se rappeler ses mensonges ou pour cacher ses mauvaises actions, et il se conserve beau et jeune de la belle incorruptibilité des saints. Une chair et un sang, un esprit et un cœur nets de toute luxure pour conserver l’huile de la foi, pour donner une lumière sans fumée. Une volonté constante pour nourrir toujours cette lumière.

La vie de chaque jour avec ses déceptions, ses constatations, ses contacts, ses tentations, ses frictions, tend à diminuer la foi. Non ! Cela ne doit pas arriver. Allez chaque jour aux sources de l’huile suave, de l’huile de la sagesse, de l’huile de Dieu. Une lampe peu alimentée peut s’éteindre au moindre vent, peut être éteinte par la lourde rosée de la nuit. La nuit… L’heure des ténèbres, du péché, de la tentation vient pour tous. C’est la nuit de l’âme. Mais si elle se remplit, elle-même, de foi, sa flamme ne peut être éteinte par le vent du monde ni par le brouillard de la sensualité.

Pour conclure, vigilance, vigilance, vigilance. L’imprudent qui ose dire : « Oh ! Dieu viendra à un moment où j’aurai encore la lumière en moi », qui se met à dormir au lieu de veiller, à dormir dépourvu de ce qu’il faut pour se lever promptement au premier appel, qui attend le dernier moment pour se procurer l’huile de la foi ou la mèche résistante de la bonne volonté, court le risque de rester dehors à l’arrivée de l’Époux. Veillez donc avec prudence, avec constance, avec pureté, avec confiance pour être toujours prêts à l’appel de Dieu car en réalité vous ne savez pas quand Il viendra.








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Message par Invité Sam 28 Aoû 2021 - 19:46

SAMEDI 28 AOÛT 2021


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Serviteur méchant et paresseux, tu savais que je moissonne où je n’ai pas semé, et que je ramasse le grain là où je ne l’ai pas répandu.; Mt 25,26

Malgré toute sa lumière, la créature reste paresseuse, elle n’apprend rien du divin et ne conquiert rien.



Le livre du Ciel Tome 31, 14 août 1932

Bienheureuse fille, la différence entre l’un et l’autre est grande et incalculable. Celui qui ne vit pas dans ma Volonté est comme le soleil pour ceux qui sont paresseux ; bien que ses rayons les revêtent de sa lumière et de sa chaleur, ils ne font rien, ils n’apprennent et ne gagnent rien. La lumière du soleil est pour eux rendue stérile, et comme ils restent sans rien faire, ils se fatiguent, ils sont dérangés par sa lumière et recherchent les ténèbres comme repos pour leur malheureuse paresse. Par contre, pour ceux qui travaillent, la lumière est active. Elle est lumière pour l’œil afin de voir tout ce qu’il doit faire ; car peu importe la lumière qu’il puisse y avoir en dehors de l’œil, si l’œil n’a pas la lumière de la vie, la lumière qui l’entoure ne servira à rien. Et si l’œil n’a pas la lumière extérieure, le fait d’avoir la lumière comme vie dans son œil ne lui sera d’aucune utilité. Ma bonté paternelle a placé cette union et cette harmonie entre la lumière extérieure de la créature et la lumière de son œil. L’une ne peut agir sans l’autre. Ma Volonté est lumière pour les mains si elles veulent travailler, si elles veulent écrire, lire, etc. Ainsi la première partie active de la créature est faite par la lumière ; sans elle, il serait presque impossible de pouvoir faire un peu de bien et de pouvoir gagner un morceau de pain pour vivre.

Telle est la lumière de ma Volonté pour celui qui ne vit pas en elle. Elle brille et existe pour tous, mais elle n’opère pas et ne domine pas dans l’acte de la créature. Malgré toute sa lumière, la créature reste paresseuse, elle n’apprend rien du divin et ne conquiert rien. Les plus belles choses sont fatigantes et ennuyeuses pour cette créature. La volonté qui veut vivre dans la mienne est comme un œil rempli de lumière et qui se rend capable de s’unir avec la lumière de ma Volonté. Comme elles sont en accord, elles accomplissent des œuvres grandes et prodigieuses qui étonnent le ciel et la terre. Vois-tu ce que signifie vivre dans ma Volonté ? C’est ne pas être paresseux. La petite lumière de l’âme en harmonie avec la lumière du Fiat éternel la rend opérante dans les actes du Fiat et forme l’inséparabilité entre les deux.






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Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :


« Un homme, qui était sur le point de faire un long voyage et de s’absenter pour longtemps, appela tous ses serviteurs et leur confia tous ses biens. À l’un il donna cinq talents d’argent, à un autre deux talents d’argent, à un troisième un seul talent d’or [1]. À chacun selon sa situation et son habileté. Et puis il partit.
Maintenant le serviteur qui avait reçu cinq talents d’argent s’en alla faire valoir habilement ses talents et, après quelque temps, ceux-ci lui en rapportèrent cinq autres. Celui qui avait reçu deux talents fit la même chose et il doubla la somme qu’il avait reçue. Mais celui auquel le maître avait donné davantage, un talent d’or pur, paralysé par la peur de ne pas savoir faire, par celle des voleurs, de mille choses chimériques et surtout par la paresse, fit un grand trou dans la terre et y cacha l’argent de son maître.

De nombreux mois passèrent, et le maître revint. Il appela tout de suite ses serviteurs pour qu’ils lui rendissent l’argent donné en dépôt. Celui qui avait reçu cinq talents d’argent se présenta et il dit : « Voici, mon seigneur. Tu m’en as donné cinq. Comme il me semblait qu’il était mal de ne pas faire fructifier l’argent que tu m’avais donné, je me suis débrouillé et je t’ai gagné cinq autres talents. Je n’ai pas pu faire davantage… ». « C’est bien, très bien, serviteur bon et fidèle. Tu as été fidèle pour le peu. actif et honnête. Je te donnerai de l’autorité sur beaucoup de choses. Entre dans la joie de ton maître ».

Puis celui qui avait reçu deux talents se présenta et dit : « Je me suis permis d’employer tes biens dans ton intérêt. Voici les comptes qui montrent comment j’ai employé ton argent. Tu vois ? Il y avait deux talents d’argent, maintenant il y en a quatre. Es-tu content. mon seigneur ? » Et le maître fit au bon serviteur la même réponse qu’au premier.

   426> Arriva en dernier celui qui, jouissant de la plus grande confiance de son maître, avait reçu le talent d’or. Il le sortit de sa cachette et il dit : « Tu m’as confié la plus grande valeur parce que tu sais que je suis prudent et fidèle, comme moi je sais que tu es intransigeant et exigeant, et que tu ne supportes pas des pertes pour ton argent mais en cas de perte, tu t’en prends à celui qui est près de toi. Car, en vérité, tu moissonnes où tu n’as pas semé et tu récoltes où tu n’as rien répandu, ne faisant pas cadeau de la moindre pièce de monnaie à ton banquier ou à ton régisseur, pour aucune raison. Il te faut autant d’argent que tu en réclames. Or moi, craignant de diminuer ce trésor, je l’ai pris et l’ai caché. Je ne me suis fié à personne ni non plus à moi-même. Maintenant, je l’ai déterré et je te le rends. Voici ton talent ».

« Ô serviteur injuste et paresseux ! En vérité, tu ne m’as pas aimé puisque tu ne m’as pas connu et que tu n’as pas aimé mon bien-être, ayant laissé mon argent improductif. Tu as trahi l’estime que j’avais eue pour toi et c’est toi-même qui te contredis, t’accuses et te condamnes. Tu savais que je moissonne où je n’ai pas semé, que je récolte où je n’ai rien répandu. Et pourquoi alors n’as-tu pas fait en sorte que je puisse moissonner et récolter ? C’est ainsi que tu réponds à ma confiance ? C’est ainsi que tu me connais ? Pourquoi n’as-tu pas porté mon argent aux banquiers pour qu’à mon retour je le retire avec les intérêts ? Je t’avais instruit avec un soin particulier dans ce but et toi, paresseux et imbécile, tu n’en as pas tenu compte. Que te soit donc enlevé le talent et tout autre bien, et qu’on le donne à celui qui a les dix talents ».

« Mais lui en a déjà dix alors que celui-ci reste sans rien… » lui objecta-t-on.

« C’est bien. À celui qui possède et le fait fructifier, il sera donné encore davantage et au point qu’il surabonde. Mais à celui qui n’a pas parce qu’il n’a pas la volonté d’avoir, on enlèvera ce qui lui a été donné. Quant au serviteur inutile qui a trahi ma confiance et a laissé improductifs les dons que je lui avais fait, qu’on l’expulse de ma propriété et qu’il s’en aille pleurer et se ronger le cœur ».

427> Voilà la parabole. Comme tu le vois, ô rabbi, à qui avait reçu le plus il est resté le moins, car il n’a pas su mériter de conserver le don de Dieu. Et il n’est pas dit qu’un de ceux dont tu dis qu’ils ne sont disciples que de nom ayant par conséquent peu de chose à faire valoir et même de ceux qui, comme tu dis, m’entendent par hasard et qui n’ont comme unique capital que leur âme, n’arrive pas à avoir le talent d’or et même ce qu’il aura rapporté, qu’on aura enlevé à quelqu’un qui avait davantage reçu. Infinies sont les surprises du Seigneur parce qu’innombrables sont les réactions de l’homme. Vous verrez des païens arriver à la vie éternelle et des samaritains posséder le Ciel, et vous verrez des Israélites purs et qui me suivent perdre le Ciel et l’éternelle Vie.








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Message par Invité Dim 29 Aoû 2021 - 10:40

DIMANCHE 29 AOÛT 2021


Évangile du jour avec Luisa Picaretta et Maria Valtorta - Page 9 Matthieu-23efbc9a13-e28093-jecc81sus-condamne-les-pharisiens


C’est du dedans, du cœur de l’homme que sortent les pensées perverses. Mc 7,21

Par conséquent, sois attentive aux premiers mouvements, aux pensées et aux paroles qui ne sont pas droites et saintes..



Le livre du Ciel Tome 4 ,16 avril 1902

« Ma fille, le point essentiel est de réprimer les premiers mouvements. Si l’âme est attentive à faire cela, tout ira
bien. Mais, si elle ne le fait pas, les passions monteront à la surface et elles nuiront à la force divine qui, comme une barrière, entoure l’âme pour la garder bien protégée et pour éloigner ses ennemis qui cherchent toujours à lui tendre des pièges et à lui nuire. « Dès que l’âme se rend compte d’un premier mouvement, si elle entre en elle-même, s’humilie, se repent et, avec courage, y renonce, la force divine encercle l’âme de nouveau.

Si, au contraire, elle n’y renonce pas, les barrières de la force divine étant rompues, l’âme ouvre la porte à tous les vices. « Par conséquent, sois attentive aux premiers mouvements, aux pensées et aux paroles qui ne sont pas droites et saintes, si tu veux que la force divine ne te laisse pas seule un seul instant. Autrement, si les premiers mouvements t’échappent, ce n’est plus l’âme qui règne, mais les passions qui dominent. »






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Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :


La voix arrogante d’un pharisien qui, piqué au vif, hausse le ton de la discussion, attire l’attention des apôtres qui sont dans la pièce en face, séparée par un couloir large d’un peu plus d’un mètre, sans portes ni lourdes tentures qui isolent. Entendant qu’on les met en cause, ils se lèvent et viennent, sans faire de bruit, écouter dans le couloir.

« En quoi le font-ils ? Explique-toi, et si ton accusation est vraie, je les avertirai de ne plus faire de choses contraires à la Loi.

– Moi, je sais en quoi ils le font, et beaucoup d’autres avec moi. Mais toi qui ressuscites les morts et qui prétends être plus grand qu’un prophète, découvre-le par toi-même. Nous ne te le dirons certainement pas. Tu as des yeux, du reste, pour voir aussi beaucoup d’autres actions commises par tes disciples alors qu’on ne doit pas les faire ou omises quand on doit les faire. Et tu ne t’en soucies pas.

Veuillez m’en indiquer quelques-unes.

– Pourquoi tes disciples transgressent-ils les traditions des anciens ? Aujourd’hui, nous les avons observés. Aujourd’hui même, pas plus tard qu’il y a une heure ! Ils sont entrés dans leur salle pour manger sans s’être purifiés les mains auparavant ! »

Si les pharisiens avaient dit : “ et ils ont égorgé des habitants auparavant ”, ils n’auraient pas pris un ton d’aussi profonde horreur.

« Vous les avez observés, oui. Il y a tant de choses à voir, et qui sont belles et bonnes ! Des choses qui font bénir le Seigneur de nous avoir donné la vie pour que nous ayons la possibilité de les voir et parce qu’il les a créées ou permises. Et pourtant vous ne les regardez pas, et avec vous beaucoup d’autres. Mais vous perdez votre temps et votre paix à poursuivre ce que vous ne jugez pas bon.

Vous ressemblez à des chacals, ou plutôt à des hyènes qui suivent à la trace une pestilence en négligeant les senteurs que le vent apporte des jardins parfumés. Les hyènes n’aiment pas les lys et les roses, le jasmin et le camphre, les cinnamomes et les œillets. Pour elles, ce sont des odeurs désagréables. Mais la puanteur d’un corps en putréfaction au fond d’un ravin, ou dans une ornière, enfoui sous les ronces où l’a enseveli un assassin, ou rejeté par la tempête sur une plage déserte, gonflé, violet, crevé, horrible, oh ! Quel fumet agréable pour les hyènes ! Et elles hument le vent du soir, qui condense et transporte toutes les émanations que le soleil a évaporées après les avoir chauffées, pour sentir cette vague odeur qui les attire. Après les avoir découvertes et en avoir trouvé la direction, les voilà qui partent en courant, le museau à l’air, les lèvres déjà retroussées dans ce frémissement des mâchoires semblable à un rire hystérique, pour aller là où se trouve la putréfaction. Et que ce soit un cadavre d’homme ou de quadrupède, celui d’une couleuvre tuée par un paysan, ou encore d’une fouine par une ménagère, que ce soit simplement un rat crevé, ah ! Voilà qui plaît ! Elles enfoncent alors leurs crocs dans cette puanteur repoussante, se régalent et se pourlèchent les babines…

Des hommes qui se sanctifient de jour en jour, cela n’a rien d’intéressant ! Mais si un seul fait du mal, ou si plusieurs négligent ce qui n’est pas un commandement divin mais une pratique humaine – appelez-la même tradition, précepte, comme vous voudrez, c’est toujours une règle humaine –, alors on se dérange, alors on note. On suit même un soupçon… seulement pour se réjouir, en voyant que le soupçon est réalité.

Mais répondez donc, répondez, vous qui êtes venus non par amour, non par foi, non par honnêteté, mais dans une intention malveillante, répondez : pourquoi transgressez-vous un commandement de Dieu par une de vos traditions ? Vous ne viendrez tout de même pas me dire qu’une tradition est plus importante qu’un commandement ? Et pourtant Dieu a dit : “ Honore ton père et ta mère, et qui maudira son père ou sa mère mérite la mort ” ! Or vous déclarez au contraire : “ Quiconque a dit à son père et à sa mère : ‘ ce que tu devrais avoir de moi est corban ’, celui-là n’est plus obligé de s’en servir pour son père et sa mère. ” Par votre tradition, vous avez donc annulé le commandement de Dieu.

Hypocrites ! Isaïe a bien prophétisé à votre sujet : “ Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi, car son culte et ses doctrines ne sont que vrais commandements humains. ”

Alors que vous transgressez les commandements de Dieu, vous vous en tenez au cérémonial des hommes, au lavage des amphores et des calices, des plats et des mains, et autres usages semblables. Alors que vous justifiez l’ingratitude et l’avarice d’un fils en lui offrant l’échappatoire de l’offrande du sacrifice pour ne pas donner un pain à celui qui l’a engendré, qui a besoin d’aide et qu’on a l’obligation d’honorer parce qu’il est père, vous vous scandalisez devant quelqu’un qui ne se lave pas les mains. Vous altérez et violez la parole de Dieu pour obéir à des paroles que vous avez inventées et que vous avez élevées à la dignité de préceptes. Vous vous proclamez ainsi plus justes que Dieu. Vous vous arrogez un droit de législateurs alors que Dieu seul est le Législateur dans son peuple. Vous… »


Et il continuerait sur sa lancée, mais le groupe ennemi sort sous la grêle des accusations en bousculant les apôtres et ceux qui étaient dans la maison, hôtes ou aides de la maîtresse de maison, et qui s’étaient rassemblés dans le couloir, attirés par l’éclat de la voix de Jésus.

300.9 Jésus, qui s’était levé, s’assied en faisant signe aux assistants d’entrer tous là où il est, et il leur dit :

« Ecoutez-moi tous et comprenez cette vérité. Il n’est rien en dehors de l’homme qui puisse le contaminer en entrant en lui. C’est ce qui sort de l’homme qui contamine. Que celui qui a des oreilles pour entendre entende, qu’il se serve de  son intelligence pour comprendre, et de sa volonté pour agir. Maintenant, allons. Vous autres, habitants de Naïm, persévérez dans le bien et que ma paix soit toujours avec vous. »








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Message par Isabelle-Marie Dim 4 Juin 2023 - 15:03

"Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique"

https://www.vaticannews.va/fr/evangile-du-jour.html

Correspondance dans "L'Épitre aux Romains"
On a dit: "Il n'y a pas d'amour plus grand que l'amour de celui qui donne sa vie pour ses amis". Mais on devrait dire aussi qu'il y a un amour encore plus grand: C'est l'amour du Père qui sacrifie son vrai et unique Fils pour sauver la vie de ses enfants adoptifs qui, tels de vrais enfants prodigues, ont volontairement abandonné la maison paternelle, se sont rendus malheureux et ont fait souffrir le Père
http://www.maria-valtorta.org/Epitre/Epitre23.htm#Deluge
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