Les femmes au synode
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Philippe-Antoine
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Re: Les femmes au synode
Philippe-Antoine a écrit:.... de plus (j'ajoute ici , ne pouvant éditer les messages sur ce fil)
Il ne faut pas confondre ce qui relève du dogme avec ce qui est simplement autorisé de croire comme dans reconnaissance des apparitions et révélations privées surtout si cette très hypothétique reconnaissance ultérieure n'a pas eu lieu!
Tout ce qu'il nous plaît de croire ne doit pas être forcément assimilé au sensus fidei.
C'est la même démarche.
Pour que quelque matière soit confirmée par Rome elle doit avoir été cru par le peuple AVANT.
le dogme relève de la foi divine et catholique
L'apparition relève de la foi simple et sa reconnaissance engagé l'infaillibilité de premier degré
Cf décret ad tu endam Fidem
Il y a ceux qui bâtissent et sont source de la foi et des sanctuaires de de mains et il y a les autres qui attendent ce qu'on leur dise de croire.
Il y a les rois (sacerdoce royal) et les suiveurs
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Re: Les femmes au synode
Philippe-Antoine a écrit:.... de plus (j'ajoute ici , ne pouvant éditer les messages sur ce fil)
Il ne faut pas confondre ce qui relève du dogme avec ce qui est simplement autorisé de croire comme dans reconnaissance des apparitions et révélations privées surtout si cette très hypothétique reconnaissance ultérieure n'a pas eu lieu!
Tout ce qu'il nous plaît de croire ne doit pas être forcément assimilé au sensus fidei.
Pour le dire autrement les deux (apparition et dogme) relève du magistère infaillible. L'un est infaillible et dogmatique, l'autre est infaillible et non dogmatique.
C'est comme une canonisation ça relève de l'infaillibilité. Mais vous n'êtes pas obligé d'invoquer tous les saints canonisés. Mais l'acte de canonisation ne peut pas être remis en cause.
Alors qu'une condamnation ne relève que de la vertu de prudence du gouvernement de l'évêque. Elle ne porte pas sur un objet positif, elle ne peut donc pas être cru.
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Re: Les femmes au synode
mais seulement suivie...
A medjugorje ils ont cru même après la sanction de 94. Et la sanction à été levée.
Prenez l'index avant 1960 le nombre d'écrits qui étaient interdits et qui ont été autorités.
Pour tous les écrits des saints c'est pareil.
Ce qui est condamné l'est pour éprouver les esprits et voir ce qui restent à la fin. Parce que toute œuvre qui vient de Dieu ne se décourage pas.
A manduria la condamnation à été prophétisée et la reconnaissance aussi.
Quand cela sera reconnu ceux qui auront cru recevront centuple des grâce liées au lieu. Ceux qui n'auront pas ne les partagerons pas autant. Il n'auront pas le même mérite.
A medjugorje ils ont cru même après la sanction de 94. Et la sanction à été levée.
Prenez l'index avant 1960 le nombre d'écrits qui étaient interdits et qui ont été autorités.
Pour tous les écrits des saints c'est pareil.
Ce qui est condamné l'est pour éprouver les esprits et voir ce qui restent à la fin. Parce que toute œuvre qui vient de Dieu ne se décourage pas.
A manduria la condamnation à été prophétisée et la reconnaissance aussi.
Quand cela sera reconnu ceux qui auront cru recevront centuple des grâce liées au lieu. Ceux qui n'auront pas ne les partagerons pas autant. Il n'auront pas le même mérite.
Invité- Invité
Re: Les femmes au synode
tlig a écrit:Alors qu'une condamnation ne relève que de la vertu de prudence du gouvernement de l'évêque.
Eh bien justement, lorsqu'on parle de "prudence" (qui est la première des 4 vertus cardinales reconnues par l'Eglise) pensez-vous sincèrement qu'il est "prudent" de "valider" une apparition sous le faux prétexte du "sensus fidei" avant même qu'elle ait été reconnue?
Philippe-Antoine- Avec les anges
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Re: Les femmes au synode
Tlig a écrit:
Il y a les rois (sacerdoce royal) et les suiveurs
De par notre baptême effectivement et notre confirmation nous sommes tous "prêtres prophètes et rois", cependant, tout le monde ne peut être d'accord sur une révélation privée donc invoquer le sensus fidei pour valider une apparition relève (à mon sens) du sophisme pour et simple!
Donc, attention à l'orgueil spirituel qui nous guette!
Mieux vaut s'en tenir à la foi du charbonnier!!!
Philippe-Antoine- Avec les anges
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Re: Les femmes au synode
vous etes trop dogmatique ... personne "n'oblige" à croire ou se conformer à une vision, message et apparition fut elle reconnue (en tous cas non condamnée par l'ordinaire ) mais on ne la rejettera pas non plus ;Philippe-Antoine a écrit:Tlig a écrit:
Il y a les rois (sacerdoce royal) et les suiveurs
De par notre baptême effectivement et notre confirmation nous sommes tous "prêtres prophètes et rois", cependant, tout le monde ne peut être d'accord sur une révélation privée donc invoquer le sensus fidei pour valider une apparition relève (à mon sens) du sophisme pour et simple!
Donc, attention à l'orgueil spirituel qui nous guette!
Mieux vaut s'en tenir à la foi du charbonnier!!!
Par exemple Medjugorje où les révélations "privées" continuent je viens de faire un pèlerinage diocésain ( donc mon eveque a autorisé des pèlerinages organisé par lui avec un prêtre cure de paroisse et un diacre de son service diocésain de pèlerinage à Medjugorje ... ou là on a constaté quelle nonce apostolique était en permanence sur place c'était même a l'ancien presbytère mitoyen de l'eglise ) et bien sur place pleins de prêtres pour célébrations, confessions dans toutes les langues
Vous n'êtes pas "obligé" d'aller dans les sanctuaires mariaux : Lourdes, Assise , Fatima, Guadalupe ou Jerusalem ; La paroisse déjà c'est la base ...
et en matière révélations privées ; Vassula , Garabandal , ou même du genre AC Emmerich, maria Valtorta, ou de retraites spirituelles on a le choix entre toutes les spiritualités franciscaines, carmelitaines, ignaciennes, dominicaines, bénédictines, cartésiennes , foyers de charité , charismatiques : mais là aucune n'est exclusive des autres ,
l'essentiel c'est de faire l'expérience personnelle de l'amour , de la presence de Dieu et de la grâce de Dieu qui me transforme ..
et en matière de charité st Vincent de Paul, petits frères des pauvres, secours catholique , apprenti d'Auteuil, samu social, sos écoute, magnificat, aumônerie d'hôpital , service évangélique des malades , Domasile ,bon samaritain, et autres humanitaires Caritas ,Raoul Follereau, medecins du monde, mary'sMeal , ordre de malte ... on a le choix , il y a de la place pour tout le monde, on ne pourra pas dire au jugement particulier j'avais pas beaucoup de choix à " qu'as tu fait quand j'étais à ta porte ???"
azais- MEDIATEUR
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Re: Les femmes au synode
Octobre 2024.
Pas de dérapage jusqu'à présent et l'option favorable du diaconat féminin est refusée:
VILLE DU VATICAN (LifeSiteNews) – Après la consternation des membres du Synode et de la presse de gauche, le cardinal Victor Manuel Fernández a déclaré que la question du diaconat féminin n’était « pas mûre » pour l’instant, mais que le Vatican envisageait d’autres options pour le « leadership féminin dans l’Église ».
La tempête qui entoure la question des diacres féminins tout au long de cette session du Synode sur la synodalité – bien qu’elle ne fasse officiellement pas partie des discussions – a atteint de nouveaux niveaux vendredi.
Les membres du Synode ont profité d’un après-midi libre pour rencontrer Groupe d’étude 5, qui évalue la question du diaconat féminin.
La réunion avait été demandée après que le le cardinal informe les membres du synode Le Dicastère a déclaré au début du mois qu’aucune approbation ne serait donnée aux femmes diacres pour le moment, mais qu’une « étude approfondie » se poursuivrait jusqu’en 2025. « Le Dicastère estime qu’il n’y a pas encore de place pour une décision positive du Magistère concernant l’accès des femmes au diaconat, compris comme un degré du sacrement de l’ordre », a déclaré M. Fernández, préfet du Dicastère pour la doctrine de la foi (DDF), excluant ainsi les femmes diacres, mais semblant également le faire sur une base temporaire.
LIRE : Couverture intégrale du Synode en direct de Rome
Un nombre considérable de membres du Synode ont assisté à la réunion, au cours de laquelle ils espéraient rencontrer le cardinal Fernández en tant que chef du groupe d’étude et discuter de leurs idées sur la question.
Cependant, Fernández ne s’est pas présenté, ce qui a conduit les députés à appel Il s’agit d’une « honte » et d’un « désastre ».
La presse, favorable au diaconat féminin, s’est empressée de critiquer M. Fernández, comme elle s’est empressée de critiquer les détails imprécis concernant la composition du personnel du groupe d’étude 5.
Fâchés par l’absence de Fernández vendredi, les critiques se sont interrogés sur la réalité du concept de synodalité.
M. Fernández a réitéré ses propos antérieurs sur le diaconat féminin, l’excluant à nouveau et semblant le faire de manière temporaire :
Fernández a également souligné Querida Amazonie (QA) issu du Synode des Amazones 2019 et ses propositions pour que les femmes « dirigent les communautés et exercent diverses fonctions », notamment en l’absence de prêtres.
Il a également fait remarquer que peu de prêtres ont souhaité que des femmes soient instituées comme acolytes, ce que François a autorisé en 2021 avec la loi sur les femmes. Spiritus Domini – et a également souligné la pénurie de diacres permanents.
« Ces quelques exemples nous montrent que se précipiter pour demander l’ordination de diaconesses n’est pas la réponse la plus importante aujourd’hui pour promouvoir les femmes », a déclaré Mme Fernández.
Il a également insisté sur le fait que, malgré ce qu’il a décrit comme un moment inopportun pour approuver les femmes diacres, le Vatican continuera d’étudier la question en convoquant à nouveau la commission mise en place en 2020 pour étudier la question, et qui est dirigée par le cardinal Guiseppe Petrocchi. Les membres du Synode sont invités à envoyer leurs propositions au cardinal Petrocchi.
« Je suis convaincu que nous pouvons avancer pas à pas et obtenir des résultats très concrets afin de faire comprendre que rien dans la nature des femmes ne les empêche d’occuper des rôles très importants dans l’orientation de l’Église. Ce qui vient vraiment de l’Esprit Saint ne peut être arrêté », a conclu M. Fernández.
La commission 2020 de M. Petrocchi est la deuxième commission mise en place par M. François. La première commission de ce type était composée de 12 membres d’étudier la question des « femmes diacres » convoquée en août 2016, à laquelle participait Phyllis Zagano, une des principales avocates de l’initiative « l’ordination de femmes au diaconatet l’ancien préfet de la CDF, le cardinal Luis Ladaria Ferrer comme présidente.
La position de M. Fernández à l’encontre des femmes diacres est conforme à l’enseignement immuable de l’Église. Dans sa lettre apostolique de 1994 Ordinatio SacerdotalisLe pape Jean-Paul II a enseigné : « Je déclare que l’Église n’a aucune autorité pour conférer l’ordination sacerdotale aux femmes et que ce jugement doit être définitivement tenu par tous les fidèles de l’Église ».
Cardinal Ladaria défendu Le texte de Jean-Paul en 2018comme portant la marque de « l’infaillibilité ».
Cependant, la position de M. Fernández contre les femmes diacres semble être assortie d’une mise en garde : les exclure, mais pas de façon permanente. Décrire la question comme « pas mûre » ou « pas la réponse la plus importante aujourd’hui pour la promotion des femmes » n’est pas la même chose que de réitérer ouvertement la condamnation immuable de l’Église sur le sujet.
Compte tenu de cela et de sa promotion de nouvelles formes de « ministères » pour les femmes, il semble de plus en plus probable que l’on tentera de dissocier le diaconat de la prêtrise et de l’ouvrir ainsi à tous.
C’est d’ailleurs ce qu’ont demandé un certain nombre d’organisations de la société civile. les membres du synode, y compris Les cardinaux américains Blase Cupich et Robert McElroy. Au début de l’année, M. McElroy a affirmé que le divorce entre le diaconat et la prêtrise « pourrait faciliter la présence de femmes diacres ».
Pas de dérapage jusqu'à présent et l'option favorable du diaconat féminin est refusée:
VILLE DU VATICAN (LifeSiteNews) – Après la consternation des membres du Synode et de la presse de gauche, le cardinal Victor Manuel Fernández a déclaré que la question du diaconat féminin n’était « pas mûre » pour l’instant, mais que le Vatican envisageait d’autres options pour le « leadership féminin dans l’Église ».
La tempête qui entoure la question des diacres féminins tout au long de cette session du Synode sur la synodalité – bien qu’elle ne fasse officiellement pas partie des discussions – a atteint de nouveaux niveaux vendredi.
Les membres du Synode ont profité d’un après-midi libre pour rencontrer Groupe d’étude 5, qui évalue la question du diaconat féminin.
La réunion avait été demandée après que le le cardinal informe les membres du synode Le Dicastère a déclaré au début du mois qu’aucune approbation ne serait donnée aux femmes diacres pour le moment, mais qu’une « étude approfondie » se poursuivrait jusqu’en 2025. « Le Dicastère estime qu’il n’y a pas encore de place pour une décision positive du Magistère concernant l’accès des femmes au diaconat, compris comme un degré du sacrement de l’ordre », a déclaré M. Fernández, préfet du Dicastère pour la doctrine de la foi (DDF), excluant ainsi les femmes diacres, mais semblant également le faire sur une base temporaire.
LIRE : Couverture intégrale du Synode en direct de Rome
Un nombre considérable de membres du Synode ont assisté à la réunion, au cours de laquelle ils espéraient rencontrer le cardinal Fernández en tant que chef du groupe d’étude et discuter de leurs idées sur la question.
Cependant, Fernández ne s’est pas présenté, ce qui a conduit les députés à appel Il s’agit d’une « honte » et d’un « désastre ».
La presse, favorable au diaconat féminin, s’est empressée de critiquer M. Fernández, comme elle s’est empressée de critiquer les détails imprécis concernant la composition du personnel du groupe d’étude 5.
Fâchés par l’absence de Fernández vendredi, les critiques se sont interrogés sur la réalité du concept de synodalité.
Le cardinal Fernández explique
Pour tenter de calmer le jeu, M. Fernández s’est adressé à l’assemblée lundi matin et son discours a été suivi d’un débat. commentaires ont ensuite été communiqués à la presse. Il a confirmé ce que était déjà connue, à savoir que Monseigneur Armando Matteo – secrétaire doctrinal du DDF – coordonne le groupe d’étude et a expliqué que l’absence de Matteo était due à une procédure médicale.M. Fernández a réitéré ses propos antérieurs sur le diaconat féminin, l’excluant à nouveau et semblant le faire de manière temporaire :
M. Fernández s’est éloigné de la présence féminine dans les ordres sacrés et s’est orienté vers d’autres « ministères » tels que celui de catéchiste institué par le Pape François dans le cadre de l’Année européenne de l’éducation. Antiquum ministeriumqui prévoyait l’institution formelle de femmes comme catéchistes, et le première institution de femmes dans les rôles en 2022.Nous savons que le Saint-Père a exprimé qu’en ce moment, la question du diaconat féminin n’est pas mûr et a demandé que nous ne nous attardions pas sur cette possibilité pour le moment. La commission d’étude sur ce thème est parvenue à des conclusions partielles, que nous publierons le moment venu, mais je dois dire que je suis tout à fait d’accord. {Je dois dire que je suis tout à fait d’accord.}
Pourquoi ? Parce que penser au diaconat pour quelques femmes ne résout pas le problème des millions de femmes de l’Eglise. En outre, nous n’avons pas encore pris certaines mesures que nous pourrions prendre.
Fernández a également souligné Querida Amazonie (QA) issu du Synode des Amazones 2019 et ses propositions pour que les femmes « dirigent les communautés et exercent diverses fonctions », notamment en l’absence de prêtres.
Il a également fait remarquer que peu de prêtres ont souhaité que des femmes soient instituées comme acolytes, ce que François a autorisé en 2021 avec la loi sur les femmes. Spiritus Domini – et a également souligné la pénurie de diacres permanents.
« Ces quelques exemples nous montrent que se précipiter pour demander l’ordination de diaconesses n’est pas la réponse la plus importante aujourd’hui pour promouvoir les femmes », a déclaré Mme Fernández.
Le plan du Vatican avance
Pour approfondir l’enquête du groupe d’étude, il a demandé des témoignages de femmes « qui sont vraiment à la tête de leur communauté ou qui ont des rôles d’autorité importants, non pas parce qu’ils ont été imposés par les communautés, ou à la suite d’une étude, mais parce qu’elles ont acquis cette autorité sous l’impulsion de l’Esprit face à un besoin de la population ».Il a également insisté sur le fait que, malgré ce qu’il a décrit comme un moment inopportun pour approuver les femmes diacres, le Vatican continuera d’étudier la question en convoquant à nouveau la commission mise en place en 2020 pour étudier la question, et qui est dirigée par le cardinal Guiseppe Petrocchi. Les membres du Synode sont invités à envoyer leurs propositions au cardinal Petrocchi.
« Je suis convaincu que nous pouvons avancer pas à pas et obtenir des résultats très concrets afin de faire comprendre que rien dans la nature des femmes ne les empêche d’occuper des rôles très importants dans l’orientation de l’Église. Ce qui vient vraiment de l’Esprit Saint ne peut être arrêté », a conclu M. Fernández.
La commission 2020 de M. Petrocchi est la deuxième commission mise en place par M. François. La première commission de ce type était composée de 12 membres d’étudier la question des « femmes diacres » convoquée en août 2016, à laquelle participait Phyllis Zagano, une des principales avocates de l’initiative « l’ordination de femmes au diaconatet l’ancien préfet de la CDF, le cardinal Luis Ladaria Ferrer comme présidente.
La position de M. Fernández à l’encontre des femmes diacres est conforme à l’enseignement immuable de l’Église. Dans sa lettre apostolique de 1994 Ordinatio SacerdotalisLe pape Jean-Paul II a enseigné : « Je déclare que l’Église n’a aucune autorité pour conférer l’ordination sacerdotale aux femmes et que ce jugement doit être définitivement tenu par tous les fidèles de l’Église ».
Cardinal Ladaria défendu Le texte de Jean-Paul en 2018comme portant la marque de « l’infaillibilité ».
Cependant, la position de M. Fernández contre les femmes diacres semble être assortie d’une mise en garde : les exclure, mais pas de façon permanente. Décrire la question comme « pas mûre » ou « pas la réponse la plus importante aujourd’hui pour la promotion des femmes » n’est pas la même chose que de réitérer ouvertement la condamnation immuable de l’Église sur le sujet.
Compte tenu de cela et de sa promotion de nouvelles formes de « ministères » pour les femmes, il semble de plus en plus probable que l’on tentera de dissocier le diaconat de la prêtrise et de l’ouvrir ainsi à tous.
C’est d’ailleurs ce qu’ont demandé un certain nombre d’organisations de la société civile. les membres du synode, y compris Les cardinaux américains Blase Cupich et Robert McElroy. Au début de l’année, M. McElroy a affirmé que le divorce entre le diaconat et la prêtrise « pourrait faciliter la présence de femmes diacres ».
pax et bonum- Avec les anges
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Re: Les femmes au synode
pax et bonum
Octobre 2024.
Pas de dérapage jusqu'à présent et l'option favorable du diaconat féminin est refusée:
...
VILLE DU VATICAN (LifeSiteNews) – Après la consternation des membres du Synode et de la presse de gauche, le cardinal Victor Manuel Fernández a déclaré que la question du diaconat féminin n’était « pas mûre » pour l’instant, mais que le Vatican envisageait d’autres options pour le « leadership féminin dans l’Église ».
La tempête qui entoure la question des diacres féminins tout au long de cette session du Synode sur la synodalité – bien qu’elle ne fasse officiellement pas partie des discussions – a atteint de nouveaux niveaux vendredi.
...
Le Dicastère a déclaré au début du mois qu’aucune approbation ne serait donnée aux femmes diacres pour le moment, mais qu’une « étude approfondie » se poursuivrait jusqu’en 2025.
« Le Dicastère estime qu’il n’y a pas encore de place pour une décision positive du Magistère concernant l’accès des femmes au diaconat, compris comme un degré du sacrement de l’ordre », a déclaré M. Fernández, préfet du Dicastère pour la doctrine de la foi (DDF), excluant ainsi les femmes diacres, mais semblant également le faire sur une base temporaire.
...
Le pape Jean-Paul II a enseigné : « Je déclare que l’Église n’a aucune autorité pour conférer l’ordination sacerdotale aux femmes et que ce jugement doit être définitivement tenu par tous les fidèles de l’Église ».
Cardinal Ladaria défendu Le texte de Jean-Paul en 2018comme portant la marque de « l’infaillibilité ».
Cependant, la position de M. Fernández contre les femmes diacres semble être assortie d’une mise en garde : les exclure, mais pas de façon permanente. Décrire la question comme « pas mûre » ou « pas la réponse la plus importante aujourd’hui pour la promotion des femmes » n’est pas la même chose que de réitérer ouvertement la condamnation immuable de l’Église sur le sujet.
Compte tenu de cela et de sa promotion de nouvelles formes de « ministères » pour les femmes, il semble de plus en plus probable que l’on tentera de dissocier le diaconat de la prêtrise et de l’ouvrir ainsi à tous.
...
Au début de l’année, M. McElroy a affirmé que le divorce entre le diaconat et la prêtrise « pourrait faciliter la présence de femmes diacres ».
On voit ainsi la duplicité de déclarer que l'accès des femmes au diaconat est "temporairement définitif" et "définitivement temporaire" ... ! hypocrisie cette 'marche', un pas en avant dans le bon sens et deux en arrière dans le mauvais, hélas ! ...
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territoire en héritage- Pour la Paix
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Re: Les femmes au synode
Il est curieux que l'expression "ministère ordonné" n'est plus jamais employée alors qu'il s'agit bien de cela.
Le diaconat,comme le sacerdoce et autres ordres mineurs,sont des ministères ordonnés qui sont une configuration et plus encore une conformité à la personne même du Christ.
On dit bien que le prêtre est un autre Christ.Le diacre est aussi autre Christ en tant que serviteur et transmetteur de la parole divine.
Il est évident que la femme ne peut être un autre Christ tout comme un homme ne serait pas "une autre Vierge Marie".
Que chacun et chacune reste donc à sa place.
Le diaconat,comme le sacerdoce et autres ordres mineurs,sont des ministères ordonnés qui sont une configuration et plus encore une conformité à la personne même du Christ.
On dit bien que le prêtre est un autre Christ.Le diacre est aussi autre Christ en tant que serviteur et transmetteur de la parole divine.
Il est évident que la femme ne peut être un autre Christ tout comme un homme ne serait pas "une autre Vierge Marie".
Que chacun et chacune reste donc à sa place.
pax et bonum- Avec les anges
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territoire en héritage aime ce message
Re: Les femmes au synode
Diaconat féminin toujours à l'étude, mode lgbt introduite dans l'église de diverses manières, démocratie rampante qui se substitue à la hiérarchie éternelle de l'Eglise et voulue par notre Seigneur...tout cela ressort de ce "synode" et Mgr Vigano (l’excommunié) l'analyse très bien. Vous pouvez le lire sur médias presse info et vous faire votre avis.
Prions...réparons !
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Enfant du Père- Combat avec Sainte Marie
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pax et bonum aime ce message
Re: Les femmes au synode
POUR L'INSTANT.
Voilà la nouvelle expression utilisée par le Magistère,le Cardinal Fernandez avec l'approbation du pape François.
Pour l'instant,le diaconat féminin,c'est-à dire l'ordination diaconale des femmes, est refusé.
Alors cela signifie qu'elle peut être acceptée plus tard.
Pour l'instant,l'homosexualité est un péché,mais peut-être que plus tard elle ne le sera plus.
Jusqu'au pape Benoit XVI,la parole de l'Eglise était absolue et définitive,mais maintenant,les actes du magistère peuvent changer...
Le SYNODE DES TABLES EN FORMICA donne des avis provisoires.
Mais,sauf erreur, c'est bien ce qu'on appelle le relativisme et notre bien-aimé Benoit XVI l'a souvent combattu.
Google:
Le relativisme religieux affirme que toute religion ne détient que des vérités partielles et provisoires, aucune religion n'apporte des réponses définitives pour découvrir la vérité dernière de l'existence humaine.
Donc notre Eglise n'est plus certaine de la parole qu'elle prononce ,elle se restreint d'elle même dans le temps aussi bien que dans l'espace lorsqu'elle dit officiellement que le décret "Fiduccia Supplicans"(encore lui) est applicable pour toute l'Eglise SAUF l'Afrique!
Chacun se fera son avis...
Voilà la nouvelle expression utilisée par le Magistère,le Cardinal Fernandez avec l'approbation du pape François.
Pour l'instant,le diaconat féminin,c'est-à dire l'ordination diaconale des femmes, est refusé.
Alors cela signifie qu'elle peut être acceptée plus tard.
Pour l'instant,l'homosexualité est un péché,mais peut-être que plus tard elle ne le sera plus.
Jusqu'au pape Benoit XVI,la parole de l'Eglise était absolue et définitive,mais maintenant,les actes du magistère peuvent changer...
Le SYNODE DES TABLES EN FORMICA donne des avis provisoires.
Mais,sauf erreur, c'est bien ce qu'on appelle le relativisme et notre bien-aimé Benoit XVI l'a souvent combattu.
Google:
Le relativisme religieux affirme que toute religion ne détient que des vérités partielles et provisoires, aucune religion n'apporte des réponses définitives pour découvrir la vérité dernière de l'existence humaine.
Donc notre Eglise n'est plus certaine de la parole qu'elle prononce ,elle se restreint d'elle même dans le temps aussi bien que dans l'espace lorsqu'elle dit officiellement que le décret "Fiduccia Supplicans"(encore lui) est applicable pour toute l'Eglise SAUF l'Afrique!
Chacun se fera son avis...
pax et bonum- Avec les anges
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Re: Les femmes au synode
“Coresponsabilité ”, c’est le mot principal à retenir de ce synode. Il s’attaque à la question du gouvernement de l’Église et appelle à une gestion liant les évêques, les prêtres et les laïcs. “Pendant le synode, les évêques se sont aperçus combien cela enrichissait la discussion et le discernement de réfléchir avec des laïcs, sans rien enlever à leur responsabilité” relate sœur Nathalie Becquart, sous-secrétaire du synode.
Dans leur conclusion, les 364 membres souhaitent par exemple rendre “obligatoire” un plus grand contrôle des activités et des décisions des évêques par des laïcs compétents. L’ouverture de la “prédication” pendant la messe, aux hommes et aux femmes non ordonnés est également suggérée. “Ce qu’exprime ce synode, c’est qu’on ne peut pas penser les uns sans les autres” assure Nathalie Becquart.
Une réflexion s’ouvre donc, mais les actes attendront, car la question de l’ouverture du diaconat féminin est renvoyée à plus tard. D’ailleurs ce point présenté comme prioritaire a suscité la plus forte résistance, deux propositions ayant recueilli le plus grand nombre de "non", avec environ 20 % des votes. L’article est donc le plus mal voté du synode.
Enfin, on attendait de ce synode une prise de position sur la bénédiction de couples homosexuels. Le sujet passe presque inaperçu. Le terme "LGBTQ+" n'apparaît même pas dans le rapport final. La synthèse évoque les "personnes qui se sentent marginalisées ou exclues de l’Église en raison de leur situation matrimoniale, de leur identité et de leur sexualité". À leur égard une proposition inédite : “instituer un ministère de l’écoute et de l'accompagnement”.
Le débat est donc passé sous les radars, mais Nathalie Becquart essaie d’avoir une autre lecture : “La question prioritaire pour tous est de savoir être une Église accueillante, à l’écoute et qui peut accompagner tout le monde. Dans certains pays, cela va être une attention aux personnes homosexuelles alors que dans d’autres pays, on va plus réfléchir à l’accueil de la population indigène”. Il faut comprendre que la problématique de la bénédiction des couples homosexuels n’est pas abordée concrètement, car certaines Églises, notamment en Afrique, refusent la question.
Il y a un désir de promouvoir l’implication des femmes dans les processus décisionnels et dans des responsabilités pastorales
Dans leur conclusion, les 364 membres souhaitent par exemple rendre “obligatoire” un plus grand contrôle des activités et des décisions des évêques par des laïcs compétents. L’ouverture de la “prédication” pendant la messe, aux hommes et aux femmes non ordonnés est également suggérée. “Ce qu’exprime ce synode, c’est qu’on ne peut pas penser les uns sans les autres” assure Nathalie Becquart.
Places des femmes dans l’Église
Dès le début du synode tout a changé puisque le pape a convié 54 femmes dotés d’un droit de vote. Résultat : la question de la place des femmes dans l’Église a bien été débattue et les pères et mères synodaux y consacrent une large part de leur synthèse. “Il est urgent de garantir que les femmes puissent participer aux processus décisionnels et assumer des rôles de responsabilité dans la pastorale et dans le ministère” écrivent-ils. “Il y a un désir de promouvoir l’implication des femmes dans les processus décisionnels et dans des responsabilités pastorales” traduit la sous-secrétaire du synode.Une réflexion s’ouvre donc, mais les actes attendront, car la question de l’ouverture du diaconat féminin est renvoyée à plus tard. D’ailleurs ce point présenté comme prioritaire a suscité la plus forte résistance, deux propositions ayant recueilli le plus grand nombre de "non", avec environ 20 % des votes. L’article est donc le plus mal voté du synode.
Bénédiction des couples homosexuels
Même tendance concernant l'abolition du célibat des prêtres. Là aussi, avec 55 votes contre, cette question a été l'une des moins consensuelles parmi les participants. Ils la remettent donc à plus tard.Enfin, on attendait de ce synode une prise de position sur la bénédiction de couples homosexuels. Le sujet passe presque inaperçu. Le terme "LGBTQ+" n'apparaît même pas dans le rapport final. La synthèse évoque les "personnes qui se sentent marginalisées ou exclues de l’Église en raison de leur situation matrimoniale, de leur identité et de leur sexualité". À leur égard une proposition inédite : “instituer un ministère de l’écoute et de l'accompagnement”.
Le débat est donc passé sous les radars, mais Nathalie Becquart essaie d’avoir une autre lecture : “La question prioritaire pour tous est de savoir être une Église accueillante, à l’écoute et qui peut accompagner tout le monde. Dans certains pays, cela va être une attention aux personnes homosexuelles alors que dans d’autres pays, on va plus réfléchir à l’accueil de la population indigène”. Il faut comprendre que la problématique de la bénédiction des couples homosexuels n’est pas abordée concrètement, car certaines Églises, notamment en Afrique, refusent la question.
Et maintenant ?
La synthèse du synode est présentée comme un “point d’étape” et elle va être travaillée dans les diocèses du monde entier. Ils pourront faire remonter leurs remarques à Rome avant l’été prochain. Une seconde session du synode aura lieu en octobre 2024. Le pape seul décidera début 2025 ce qu’il retiendra du synode pour réformer l’Église catholique.
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