Vaccin Covid , et si on en parlait ici ....

granny a écrit:@azais

je ne dénigre personne de ma paroisse.  Vous trouvez Chrétien que l'on s'adresse à des personnes qui ont été vaccinés en leur disant en clair, vous allez avoir de graves problèmes !! 
(...)

Desiderius Ulixes a écrit:Ça ne s'invente pas !

BFM a écrit:
L'objectif est d'encourager cette tranche d'âge à se faire immuniser.
Depuis maintenant plusieurs semaines, différents États américains ont mis en place des systèmes de loteries et de récompenses afin d'encourager leurs citoyens à se faire vacciner. Dans certaines zones du pays, ce sont même des armes à feu qui sont en jeu pour les personnes qui se font immuniser

...

L'Académie de médecine préconise de ne plus rembourser certains tests PCR ou antigéniques afin d'encourager la vaccination. Une question qui "se posera autour de la rentrée", indique ce lundi le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal.

ALG - Publié aujourd’hui à 11h00, mis à jour à 11h07

Faut-il mettre fin à la gratuité de certains tests de dépistage du Covid-19 en France ? Cela serait en tout cas pertinent de l'avis de l'Académie de médecine qui propose de ne plus rembourser certains tests PCR ou antigéniques soupçonnés de détourner une partie de la population de la vaccination. "Pour vaincre le Covid-19, une bonne vaccination vaut mieux que des tests à répétition", résume ainsi l'institution parisienne dans un communiqué du 23 juin. 

Ce lundi 28 juin, au micro de franceinfo, Gabriel Attal a indiqué que la question "pourra se poser autour de la rentrée".

Desiderius Ulixes a écrit:Ça ne s'invente pas !

BFM a écrit:
L'objectif est d'encourager cette tranche d'âge à se faire immuniser.
Depuis maintenant plusieurs semaines, différents États américains ont mis en place des systèmes de loteries et de récompenses afin d'encourager leurs citoyens à se faire vacciner. Dans certaines zones du pays, ce sont même des armes à feu qui sont en jeu pour les personnes qui se font immuniser

1.  Le vaccin ne fonctionne pas du tout, OU ;
   
2.  Le virus bénéficie de la facilitation de l'infection par des anticorps (Antibody Dependent Enhancement) https://fr.wikipedia.org/wiki/Facilitation_de_l%27infection_par_des_anticorps (ADE), ce qui signifie qu'il se propage en fait PLUS RAPIDEMENT chez les personnes vaccinées.
   

andree78 a écrit:

Desiderius Ulixes a écrit:Ça ne s'invente pas !

BFM a écrit:
L'objectif est d'encourager cette tranche d'âge à se faire immuniser.
Depuis maintenant plusieurs semaines, différents États américains ont mis en place des systèmes de loteries et de récompenses afin d'encourager leurs citoyens à se faire vacciner. Dans certaines zones du pays, ce sont même des armes à feu qui sont en jeu pour les personnes qui se font immuniser

Quand j'étais petite on m'a appris de ne jamais monter dans la voiture d'un inconnu ou d'accepter des bonbons d'un étranger. Les jeunes n'apprenent plus cela aujourd'hui ou bien ils ont oublié ? 150 euros c'est beaucoup de bonbons !

territoire en héritage a écrit:

ALG - Publié aujourd’hui à 11h00, mis à jour à 11h07

Faut-il mettre fin à la gratuité de certains tests de dépistage du Covid-19 en France ? Cela serait en tout cas pertinent de l'avis de l'Académie de médecine qui propose de ne plus rembourser certains tests PCR ou antigéniques soupçonnés de détourner une partie de la population de la vaccination. "Pour vaincre le Covid-19, une bonne vaccination vaut mieux que des tests à répétition", résume ainsi l'institution parisienne dans un communiqué du 23 juin. 

Ce lundi 28 juin, au micro de franceinfo, Gabriel Attal a indiqué que la question "pourra se poser autour de la rentrée".

difficile de faire plus hypocrite ! ...

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En Israël ou en Grande-Bretagne les cas de la variante Delta sont désormais de 15 000 par jour et montrent que les décès sont contenus, mais c'est précisément le fait qui représente le coup de grâce à la théorie de l'immunité collective : la campagne de vaccination massive n'arrête pas la infections.

Le vaccin peut représenter un avantage individuel et personnel pour le vacciné lui-même, mais pas pour les autres. En effet, il est possible que ces asymptomatiques deviennent des propagateurs du virus.
Pourtant, même face à de telles preuves, les indications gouvernementales restent inchangées, suivant le mythe de la vaccination globale et totale. 
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Depuis quelques jours, les professionnels de l'alarme procurés disposent d'un nouvel outil pour alimenter la peur, dans une phase très délicate de la pandémie, qu'est l'été, une période où les températures sont toutes contre le virus.

L'année dernière, ces jours-ci, les décès pouvaient se compter sur les doigts d'une main, à tel point que le directeur de Spallanzani lui-même a dû admettre qu'il y avait de grandes difficultés à mener des essais de vaccination en raison du manque de cas de Covid.

L'été a aussi apporté un peu plus d'optimisme , un désir de normalité, et cela semble agacer terriblement les cassandres de l'urgence continue.
Ainsi, en plus d'annoncer de futures catastrophes à l'automne prochain, un puissant outil anxiogène a été trouvé dans les variantes du virus, notamment le soi-disant Delta, qui n'est autre que la variante indienne dont le nom a été changé pour des raisons de politiquement correct .

La question des variants du Covid est présente depuis mars 2020. Il s'agit d'un virus qui a la particularité de muter dès le départ, et les mutations qui se sont produites sont déjà plusieurs dizaines.

Cependant, malgré des caractéristiques différentes en ce qui concerne la contagiosité et la propagation plus rapide, la pathogénicité de ces variantes ne semble pas différente de celle du Covid-19 d'origine.

Et surtout, ces variantes peuvent être traitées de la même manière et avec les mêmes médicaments utilisés depuis plus d'un an maintenant. Un fait confirmé par les médecins de thérapie à domicile que nous avons contactés.
Des anti-inflammatoires aux suppléments, de l'ivermectine à l'hydroxychloroquine, les syndromes de variante Delta répondent très bien, comme toujours, aux soins précoces à domicile.

Si, en revanche, la « prise en charge » des patients Covid est livrée à l'habituelle Tachipirina avec attente attachée, force est de constater que la variante Delta a le champ libre habituel pour faire des dégâts même graves.

Cependant, l'existence des variants nécessite une réflexion sur leur origine, et en particulier sur la relation avec les vaccins.
Un chiffre impressionnant vient de l'un des pays avec le taux de vaccination le plus élevé, et où la variante Delta se propage de manière alarmante, Israël.

En fait, dans l'État juif, 40 % des cas Delta ont été vaccinés avec deux doses de Pfizer.

Un chiffre qui ne peut manquer de soulever des questions sur l'efficacité des préparatifs qui cette année ont été annoncés comme la solution au problème du Covid.

Si Israël a été jusqu'à présent le laboratoire mondial pour mesurer l'efficacité des campagnes de vaccination, il peut maintenant le devenir pour examiner une autre question : qu'en est-il de l'effet de l'immunité collective ? Et maintenant, comment les gens qui pensaient qu'ils étaient en sécurité parce qu'ils étaient immunisés se comporteront-ils, quand la possibilité émergera que le virus puisse surmonter le soi-disant bouclier vaccinal ?  

Une situation qui a également été prise en considération par le célèbre microbiologiste le professeur Crisanti, qui se place parfois dans une position critique vis-à-vis de l' établissement.
La variante Delta est l'une de ces occasions.
Crisanti a déclaré que la probabilité d'émergence d'une variante est directement proportionnelle au niveau de transmission.

Si nous chevauchons ces données avec la vaccination, la situation est créée dans laquelle des variantes résistantes au vaccin sont sélectionnées.
Et le professeur de Padoue a également rappelé l'une des normes fondamentales de l'immunologie, soulignée à plusieurs reprises par quelque voix extérieure au chœur, systématiquement réduite au silence : on ne peut pas vacciner avec des niveaux élevés de transmission d'un virus.

Plus il y a de multiplication virale, plus les probabilités que des variants augmentent et notamment qu'un variant résistant au vaccin puisse émerger. Fondamentalement, il ne faut pas vacciner en présence de variants.

Une indication que l'on connaît très bien n'a pas été écoutée , avec les conséquences auxquelles on assiste justement dans les pays les plus vaccinés, comme Israël ou la Grande-Bretagne, où les cas de la variante Delta sont désormais de 15 000 par jour.

Bien sûr, les décès sont proportionnellement contenus, mais précisément ces données représentent le coup de grâce pour la théorie de l'immunité collective : la campagne de vaccination massive n'arrête pas les infections.

Le vaccin peut représenter un avantage individuel et personnel pour le vacciné lui-même, mais pas pour les autres. En effet, il est possible que ces asymptomatiques deviennent des propagateurs du virus.

Pourtant, même face à de telles preuves , les indications gouvernementales restent inchangées, suivant le mythe de la vaccination globale et totale. Une fois de plus, l'urgence de freiner l'avancée de la vaccination jusqu'au bout apparaît avec force au moins en l'empêchant de tomber en dessous de douze ans, une limite qui doit être considérée comme infranchissable, aussi pour éviter que les enfants ne tombent en dessous de douze ans [qui] peuvent sélectionner - grâce aux vaccins - d'autres variantes, encore plus dangereuses que les actuelles

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Le Vatican salue les vaccins comme " l’une des plus grandes réussites de la science moderne "


Le Vatican souhaite déployer tous les efforts possibles pour lutter contre l’hésitation à se faire vacciner.


Une multitude d’associations médicales mondiales ont été rejointes par l’académie de bioéthique officielle de l’Église catholique pour demander la fin des « mythes et de la désinformation » qui, selon elles, entravent la lutte contre le Covid-19.

Le Conseil pontifical pour la vie (VPCL) ainsi que plusieurs groupes internationaux de médecins se sont entretenus avec des journalistes vendredi dans le cadre de ce qui a été décrit comme un « effort total » pour mettre fin à la désinformation entourant la place du vaccin dans la doctrine religieuse.

Ils ont insisté sur le fait que le mélange pharmaceutique était non seulement sûr et efficace, mais aussi éthique au regard de la foi catholique.
L’archevêque Vincenzo Paglia a fait remarquer que son académie de bioéthique et le bureau de la doctrine du Vatican ont tous deux déclaré que les vaccins Covid-19 étaient sûrs, efficaces et éthiques.

RT rapporte : Tout en reconnaissant qu’une certaine réticence à se faire vacciner dans les « communautés défavorisées » était liée à de précédents « abus de confiance dans la recherche médicale » et à une « suspicion » générale à l’égard des entreprises pharmaceutiques, la déclaration commune de vendredi a indiqué qu’une « forme plus pernicieuse » d’hésitation à se faire vacciner était alimentée par « des affirmations et des mythes infondés et trompeurs » et amplifiée sur les médias sociaux.

« Considérés comme l’une des plus grandes réalisations de la médecine moderne, les vaccins jouent un rôle essentiel dans la prévention des maladies infectieuses », ont-ils déclaré.

Les groupes ont noté que le problème devient encore plus complexe étant donné le scepticisme à l’égard des vaccins au sein de nombreux groupes religieux, et même de la communauté médicale, appelant à un front uni contre la désinformation parmi les chefs spirituels et les professionnels de santé.

Tous les acteurs concernés doivent épuiser tous leurs efforts pour lutter contre l’hésitation à se faire vacciner en envoyant un message clair sur la sécurité et la nécessité des vaccins et en contrecarrant les mythes et la désinformation sur les vaccins.

Cette déclaration fait suite à un séminaire en ligne d’une journée parrainé par la VPCL, ainsi que par l’Association médicale mondiale de France et l’Association médicale allemande.

Les groupes ont également réitéré le message du Vatican selon lequel toutes les nations devraient avoir le même accès aux vaccins, arguant que les pays riches et les pays pauvres devraient pouvoir obtenir le même niveau de soins.

Pointant du doigt ce qu’ils appellent le « nationalisme vaccinal », ils ont condamné les pays riches qui s’arrachent autant de doses que possible tout en laissant les pays pauvres « désavantagés » en raison d’un manque de fonds ou d’une capacité de production insuffisante.

Cependant, certains participants à l’événement virtuel se sont plaints que les groupes concernés par la sécurité des vaccins, notamment les organisations conservatrices et catholiques, n’aient pas été invités, et ont fait remarquer qu’il n’y avait aucun sceptique parmi les intervenants. Les organisateurs ont cependant mis fin à ces inquiétudes, en « rejetant fermement » tout doute sur la sécurité des vaccins, selon l’Associated Press.

Le responsable des affaires internationales de l’Association médicale allemande, le Dr Ramin Parsa-Parsi, a tenu des propos désobligeants à l’égard des sceptiques, laissant entendre que leurs préoccupations sont en contradiction avec la science.
« Nous sommes des médecins. Nous représentons les médecins. Et nous sommes liés à la science et à la médecine fondée sur des preuves », a-t-il déclaré.

Ceux qui s’opposent à la vaccination pour des raisons religieuses ont cité l’utilisation de cellules de fœtus avortés il y a plusieurs décennies dans le développement de vaccins, y compris dans ceux destinés à combattre le Covid-19.

En février, l’archidiocèse de la Nouvelle-Orléans a dénoncé le vaccin de Johnson & Johnson comme étant « moralement compromis » en raison de son utilisation de cellules fœtales. La Conférence des évêques catholiques des États-Unis, quant à elle, a donné son aval aux vaccins produits par Pfizer et Moderna, estimant que leur lien avec l’avortement était trop indirect, mais a exhorté les catholiques à éviter les vaccins d’AstraZeneca et de Johnson & Johnson si possible.

La Congrégation pour la doctrine de la foi – la plus ancienne des neuf congrégations de la Curie romaine – a déclaré en décembre que, tant qu’aucune autre option n’est disponible, il est moralement acceptable de recevoir des vaccins à base de cellules prélevées sur des fœtus avortés.

Et si l’Académie pontificale pour la vie a affirmé qu’il existe une « responsabilité morale » de se faire vacciner, elle n’est pas allée jusqu’à imposer le vaccin à tous les catholiques. Cette décision a été laissée au pape François, qui a dénoncé toute appréhension à l’égard des vaccins comme un « déni suicidaire ».

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Le Vatican salue les vaccins comme " l’une des plus grandes réussites de la science moderne "


Le Vatican souhaite déployer tous les efforts possibles pour lutter contre l’hésitation à se faire vacciner.


Une multitude d’associations médicales mondiales ont été rejointes par l’académie de bioéthique officielle de l’Église catholique pour demander la fin des « mythes et de la désinformation » qui, selon elles, entravent la lutte contre le Covid-19.

Le Conseil pontifical pour la vie (VPCL) ainsi que plusieurs groupes internationaux de médecins se sont entretenus avec des journalistes vendredi dans le cadre de ce qui a été décrit comme un « effort total » pour mettre fin à la désinformation entourant la place du vaccin dans la doctrine religieuse.

Ils ont insisté sur le fait que le mélange pharmaceutique était non seulement sûr et efficace, mais aussi éthique au regard de la foi catholique.
L’archevêque Vincenzo Paglia a fait remarquer que son académie de bioéthique et le bureau de la doctrine du Vatican ont tous deux déclaré que les vaccins Covid-19 étaient sûrs, efficaces et éthiques.

RT rapporte : Tout en reconnaissant qu’une certaine réticence à se faire vacciner dans les « communautés défavorisées » était liée à de précédents « abus de confiance dans la recherche médicale » et à une « suspicion » générale à l’égard des entreprises pharmaceutiques, la déclaration commune de vendredi a indiqué qu’une « forme plus pernicieuse » d’hésitation à se faire vacciner était alimentée par « des affirmations et des mythes infondés et trompeurs » et amplifiée sur les médias sociaux.

« Considérés comme l’une des plus grandes réalisations de la médecine moderne, les vaccins jouent un rôle essentiel dans la prévention des maladies infectieuses », ont-ils déclaré.

Les groupes ont noté que le problème devient encore plus complexe étant donné le scepticisme à l’égard des vaccins au sein de nombreux groupes religieux, et même de la communauté médicale, appelant à un front uni contre la désinformation parmi les chefs spirituels et les professionnels de santé.

Tous les acteurs concernés doivent épuiser tous leurs efforts pour lutter contre l’hésitation à se faire vacciner en envoyant un message clair sur la sécurité et la nécessité des vaccins et en contrecarrant les mythes et la désinformation sur les vaccins.

Cette déclaration fait suite à un séminaire en ligne d’une journée parrainé par la VPCL, ainsi que par l’Association médicale mondiale de France et l’Association médicale allemande.

Les groupes ont également réitéré le message du Vatican selon lequel toutes les nations devraient avoir le même accès aux vaccins, arguant que les pays riches et les pays pauvres devraient pouvoir obtenir le même niveau de soins.

Pointant du doigt ce qu’ils appellent le « nationalisme vaccinal », ils ont condamné les pays riches qui s’arrachent autant de doses que possible tout en laissant les pays pauvres « désavantagés » en raison d’un manque de fonds ou d’une capacité de production insuffisante.

Cependant, certains participants à l’événement virtuel se sont plaints que les groupes concernés par la sécurité des vaccins, notamment les organisations conservatrices et catholiques, n’aient pas été invités, et ont fait remarquer qu’il n’y avait aucun sceptique parmi les intervenants. Les organisateurs ont cependant mis fin à ces inquiétudes, en « rejetant fermement » tout doute sur la sécurité des vaccins, selon l’Associated Press.

Le responsable des affaires internationales de l’Association médicale allemande, le Dr Ramin Parsa-Parsi, a tenu des propos désobligeants à l’égard des sceptiques, laissant entendre que leurs préoccupations sont en contradiction avec la science.
« Nous sommes des médecins. Nous représentons les médecins. Et nous sommes liés à la science et à la médecine fondée sur des preuves », a-t-il déclaré.

Ceux qui s’opposent à la vaccination pour des raisons religieuses ont cité l’utilisation de cellules de fœtus avortés il y a plusieurs décennies dans le développement de vaccins, y compris dans ceux destinés à combattre le Covid-19.

En février, l’archidiocèse de la Nouvelle-Orléans a dénoncé le vaccin de Johnson & Johnson comme étant « moralement compromis » en raison de son utilisation de cellules fœtales. La Conférence des évêques catholiques des États-Unis, quant à elle, a donné son aval aux vaccins produits par Pfizer et Moderna, estimant que leur lien avec l’avortement était trop indirect, mais a exhorté les catholiques à éviter les vaccins d’AstraZeneca et de Johnson & Johnson si possible.

La Congrégation pour la doctrine de la foi – la plus ancienne des neuf congrégations de la Curie romaine – a déclaré en décembre que, tant qu’aucune autre option n’est disponible, il est moralement acceptable de recevoir des vaccins à base de cellules prélevées sur des fœtus avortés.

Et si l’Académie pontificale pour la vie a affirmé qu’il existe une « responsabilité morale » de se faire vacciner, elle n’est pas allée jusqu’à imposer le vaccin à tous les catholiques. Cette décision a été laissée au pape François, qui a dénoncé toute appréhension à l’égard des vaccins comme un « déni suicidaire ».

Desiderius Ulixes a écrit:Non pas qu'ils soient convertis au covidisme... mais si les choses fonctionnent comme en politique avec les petites fiches, il suffit d'en agiter une : attention, je révèle ça si vous ne faites pas ce que je demande... pour qui n'a aucune idée du péché et de ses conséquences, ça va devenir très visible.

Isabelle-Marie a écrit:...
Si les vaccins étaient efficaces, il n'y aurait pas besoin de persuader par tous les moyens et d'exercer une monstrueuse pression pour que chacun livre son corps à la science et si vraiment certaines personnalités du Vatican usent de leur autorité morale à cette fin, c'est qu'elles se sont converties à la nouvelle religion vaccinale et non plus à l'Évangile de Notre Seigneur Jésus-Christ !

...
...
d'un point de vue éthique, tout le monde doit se faire vacciner
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pourquoi ne pas le prendre? Il y a là un négationnisme suicidaire
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Isabelle-Marie a écrit:Le Vatican "souhaite déployer tous les efforts possibles pour lutter contre l'hésitation à se faire vacciner" et salue les vaccins comme "l'une des plus grandes réussites scientifiques" :

https://www.aubedigitale.com/le-vatican-salue-les-vaccins-comme-lune-des-plus-grandes-reussites-de-la-science-moderne/

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Le Vatican salue les vaccins comme " l’une des plus grandes réussites de la science moderne "


Le Vatican souhaite déployer tous les efforts possibles pour lutter contre l’hésitation à se faire vacciner.

(...)
Ceux qui s’opposent à la vaccination pour des raisons religieuses ont cité l’utilisation de cellules de fœtus avortés il y a plusieurs décennies dans le développement de vaccins, y compris dans ceux destinés à combattre le Covid-19.

La Congrégation pour la doctrine de la foi – la plus ancienne des neuf congrégations de la Curie romaine – a déclaré en décembre que, tant qu’aucune autre option n’est disponible, il est moralement acceptable de recevoir des vaccins à base de cellules prélevées sur des fœtus avortés.

(....) elle n’est pas allée jusqu’à imposer le vaccin à tous les catholiques. Cette décision a été laissée au pape François, qui a dénoncé toute appréhension à l’égard des vaccins comme un « déni suicidaire ».

Si les vaccins étaient efficaces, il n'y aurait pas besoin de persuader par tous les moyens et d'exercer une monstrueuse pression pour que chacun livre son corps à la science et si vraiment certaines personnalités du Vatican usent de leur autorité morale à cette fin(...) 

Territoire en héritage a écrit:Et parmi ces pressions la principale a déjà été vue et la preuve officielle donnée sur le forum : https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2021-01/unite-et-fraternite-contre-la-crise.html

Isabelle-Marie a écrit:... Et il est regrettable que beaucoup aient considéré ces propos comme une injonction magistérielle.

« À la suite d’une pétition citoyenne, explique l’article, un tribunal de Lisbonne a été contraint de fournir des données vérifiées sur la mortalité covid-19.

Selon la décision (lire l’intégralité du jugement ici), le nombre de décès vérifiés dus au covid-19 de janvier 2020 à avril 2021 n’est que de 152, et non d’environ 17 000 comme le prétendent les ministères. 

Tous les « autres » sont décédés pour diverses raisons, bien que leur test PCR soit positif.

Les données proviennent du Sistema de Informação dos Certificados de Óbito (Système d’information sur les certificats de décès – SICO ), le seul système de ce type au Portugal.

La référence à 152 certificats de décès délivrés « sous la supervision du ministère de la Justice » est fallacieuse, car tous les certificats de décès sont délivrés sous les auspices du ministère de la Justice, étant la seule institution qui les délivre. »

« L’année dernière, rappelle GreatGameIndia, une cour d’appel portugaise a statué que les tests PCR ne sont pas fiables et qu’il est illégal de mettre en quarantaine des personnes uniquement sur la base d’un test PCR. Le tribunal a déclaré que la fiabilité du test dépend du nombre de cycles utilisés et de la charge virale présente. Citant Rita Jaafar et l’Oxford Academy, le tribunal concluait que ‘’si quelqu’un est testé par PCR comme positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est la règle dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit infectée est inférieure à 3%, et la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97%‘’ ».

azais a écrit:
Je laisse l'entière responsabilité morale de ses propos à https://www.aubedigitale.comdans son article particulièrement orienté ....contre le pape  .

Isabelle-Marie a écrit:

Territoire en héritage a écrit:Et parmi ces pressions la principale a déjà été vue et la preuve officielle donnée sur le forum : https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2021-01/unite-et-fraternite-contre-la-crise.html

A mon avis, la condition présentée par le Pape («si les médecins le présentent comme quelque chose qui fonctionne et qu’il n’y a pas de dangers particuliers») ne peut pas jamais se réaliser telle quelle : il y a toujours au moins quelques médecins qui douteront, interrogeront et c'est la condition même de la vérité scientifique, d'autant plus que nous sommes dans une science empirique et non une science exacte ; sauf si cette présentation de la vérité scientifique se fait par médias interposés qui comme on sait parlent tous d'une seule voix... Et il est regrettable que beaucoup aient considéré ces propos comme une injonction magistérielle.