✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Méditation sur le message du pape François pour le carême
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Pape François- Procession pénitentielle et Messe 2018-02-14
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Le pape François dit prier pour ceux qui le traitent d’hérétique
Lors de son dernier voyage au Chili et au Pérou, le pape François s’est entretenu longuement avec des jésuites.
Des échanges d’une grande richesse dont le journal italien Corriere Della Sera a publié quelques extraits.
On y découvre notamment que le souverain pontife prie pour ceux qui l’accusent d’être un hérétique.
Du 15 au 21 janvier, le pape François s’est rendu au Chili et au Pérou.
Un voyage au cours duquel il a pu dialoguer avec les jésuites des deux pays sur différents sujets tels que les joies et les peines de son pontificat, la solitude des personnes âgées, les abus sexuels et… les résistances qu’il rencontre, au quotidien.
Le quotidien italien Corriere Della Sera en a publié quelques extraits ce mercredi.
Au sujet des oppositions auxquelles il doit faire face quotidiennement, le souverain pontife explique ainsi qu’il essaye de faire preuve de discernement et de prendre du recul car
« il est facile de dire qu’il y a de la résistance sans se rendre compte que dans cette opposition, il peut aussi y avoir une once de vérité ».
Quand une solide résistance apparaît, le pape François avoue avec humilité être « désolé ».
« Certaines personnes me disent qu’il est normal qu’il y ait de la résistance quand quelqu’un veut changer les choses.
Le fameux “ça a toujours été comme ça” règne partout, c’est une grande tentation que nous avons tous vécue », explique-t-il encore.
« Quand je n’arrive pas à faire preuve de bonté spirituelle envers eux, je prie simplement pour eux »
« Les résistances après Vatican II, encore présentes, tendent à relativiser, à diluer le Concile.
Je suis encore plus désolé quand quelqu’un s’engage dans une campagne de résistance.
Et c’est avec tristesse que je le constate. […]
Il y a une résistance doctrinale », souligne le pape François qui fait ici référence à une opposition qu’il rencontre… chez des chrétiens.
« Quand je perçois des résistances, j’essaie de dialoguer quand le dialogue est possible ; mais certaines résistances viennent de gens qui croient détenir la vraie doctrine et vous accusent d’être un hérétique.
Quand je n’arrive pas à faire preuve de bonté spirituelle envers eux, je prie simplement pour eux, explique le pape François.
Je suis désolé, mais je ne peux pas m’attarder pas sur ce sentiment ».
Lors de son dernier voyage au Chili et au Pérou, le pape François s’est entretenu longuement avec des jésuites.
Des échanges d’une grande richesse dont le journal italien Corriere Della Sera a publié quelques extraits.
On y découvre notamment que le souverain pontife prie pour ceux qui l’accusent d’être un hérétique.
Du 15 au 21 janvier, le pape François s’est rendu au Chili et au Pérou.
Un voyage au cours duquel il a pu dialoguer avec les jésuites des deux pays sur différents sujets tels que les joies et les peines de son pontificat, la solitude des personnes âgées, les abus sexuels et… les résistances qu’il rencontre, au quotidien.
Le quotidien italien Corriere Della Sera en a publié quelques extraits ce mercredi.
Au sujet des oppositions auxquelles il doit faire face quotidiennement, le souverain pontife explique ainsi qu’il essaye de faire preuve de discernement et de prendre du recul car
« il est facile de dire qu’il y a de la résistance sans se rendre compte que dans cette opposition, il peut aussi y avoir une once de vérité ».
Quand une solide résistance apparaît, le pape François avoue avec humilité être « désolé ».
« Certaines personnes me disent qu’il est normal qu’il y ait de la résistance quand quelqu’un veut changer les choses.
Le fameux “ça a toujours été comme ça” règne partout, c’est une grande tentation que nous avons tous vécue », explique-t-il encore.
« Quand je n’arrive pas à faire preuve de bonté spirituelle envers eux, je prie simplement pour eux »
« Les résistances après Vatican II, encore présentes, tendent à relativiser, à diluer le Concile.
Je suis encore plus désolé quand quelqu’un s’engage dans une campagne de résistance.
Et c’est avec tristesse que je le constate. […]
Il y a une résistance doctrinale », souligne le pape François qui fait ici référence à une opposition qu’il rencontre… chez des chrétiens.
« Quand je perçois des résistances, j’essaie de dialoguer quand le dialogue est possible ; mais certaines résistances viennent de gens qui croient détenir la vraie doctrine et vous accusent d’être un hérétique.
Quand je n’arrive pas à faire preuve de bonté spirituelle envers eux, je prie simplement pour eux, explique le pape François.
Je suis désolé, mais je ne peux pas m’attarder pas sur ce sentiment ».
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Synode 2018 : jeunes, « la balle est dans notre camp »
Les hashtags de la réunion pré-synodale en mars
« La balle est dans notre camp. »
C’est ce qu’a répété avec conviction Stella Marilene Nishimwe, jeune fille du Burundi, en présentant au Vatican, ce 16 février, la réunion pré-synodale organisée sept mois avant le synode sur les jeunes d’octobre 2018.
« Je voudrais seulement inviter tous les jeunes du monde à participer à ce moment précieux que l’Église nous offre pour faire arriver notre voix le plus loin possible », a-t-elle déclaré depuis le Bureau de presse du Saint-Siège.
La réunion verra la participation de 300 jeunes, du 19 au 24 mars à Rome.
Stella a aussi insisté sur l’universalité de ce rendez-vous :
« La voix de chacun de nous compte… nous invitons tous les jeunes du monde, qu’ils soient plus ou moins engagés dans l’Église catholique, dans d’autres confessions chrétiennes ou d’autres religions mais aussi ceux qui ne croient pas en Dieu.
Le synode des jeunes concerne tous les jeunes. »
Détaillant les hashtags qui seront utilisés sur les réseaux sociaux, la jeune burundaise a souligné que le synode était « enfin une opportunité pour nous de pouvoir exprimer ce que nous avons au plus profond de nous… sans intermédiaire, sans lettres officielles, sans demande d’audience et encore le faire à travers ce qui est devenu notre style de vie : les réseaux sociaux… c’est peut-être une nouvelle ère qui s’annonce pour nous au sein de l’Église ».
Intervention de Stella Marilene Nishimwe
Bonjour à tous!
Je ne m’attarderai pas sur les questions traitées par ceux qui m’ont précédée dans la prise de parole.
Ils ont déjà pris le temps de bien expliciter ce qu’est cette réunion pré-synodale des jeunes qui se tiendra au mois de mars.
Je voudrais seulement inviter tous les jeunes du monde à participer à ce moment précieux que l’Église nous offre pour faire arriver notre voix le plus loin possible : le Pape lui-même a affirmé que chaque jeune a quelque chose à dire à l’Église, aux évêques et au Pape.
La balle est alors dans notre camp.
En premier lieu, j’aimerai souligner comment, l’Église, pour pouvoir écouter la voix de tous les jeunes, a commencé par s’approcher de nous à travers ce que nous utilisons de plus: les réseaux sociaux.
Désormais, chaque jeune qui voudra participer à cette réunion pré-synodale pourra le faire via les réseaux sociaux.
Pour faciliter les interventions des jeunes, il s’agira de répondre à l’aide de 15 #hashtag qui ont été mis sur ces réseaux sociaux.
Ces hashtags sont les suivants:
#quisuisje
#diversité
#futur
#viedigitale
#interiorité
#jésus
#jecrois
#appelé
#choix
#guide
#église
#protagoniste
#lieu
#propositions
#langages
À chacun de ces hashtags sera liée une fiche pour faciliter le chemin de réflexion. Ces fiches seront publiées sur www.synod2018.va.Ici
Chers jeunes, dans ce synode on parlera de nous, il sera question de nous, en bref, nous serons le sujet.
Cette réunion qui se tiendra en mars est une opportunité que nous devons saisir pour faire entendre notre voix, pour communiquer ce que nous ressentons au plus profond de nous.
Cependant, on ne pourra pas tous être à Rome en même temps, mais la voix de chacun de nous compte pour construire ce synode.
C’est pourquoi, nous invitons tous les jeunes du monde, qu’ils soient plus ou moins engagés dans l’Église catholique, dans d’autres confessions chrétiennes ou d’autres religions mais aussi ceux qui ne croient pas en Dieu.
Le synode des jeunes concerne tous les jeunes.
Je n’ai pas manqué de manifester personnellement ma joie lorsque j’ai appris cette réunion pré-synodale et la possibilité de participer à travers les réseaux sociaux.
Je me suis dit :
« Enfin une opportunité pour nous de pouvoir exprimer ce que nous avons au plus profond de nous (notre conception de la vie, de l’Église, nos doutes, nos peurs, nos suggestions,…), le faire sans intermédiaire, sans lettres officielles, sans demande d’audience et encore le faire à travers ce qui est devenu notre style de vie : les réseaux sociaux ».
Pour moi, c’est peut-être une nouvelle ère qui s’annonce pour nous au sein de l’Église et partout ailleurs puisque ça concerne tous les jeunes, pas seulement les catholiques.
Qui sait ce que ce synode portera comme fruit?
Ce dont je suis sûre c’est que tout dépendra de notre participation.
Je le répète, la balle est dans notre camp.
Bref, si vous êtes intéressés, pendant le déroulement de la réunion pré-synodale, il vous sera possible de participer aux travaux en envoyant vos réflexions à l’un des groupes linguistiques auquel il faut s’inscrire préalablement.
Pour vous inscrire, visitez le site www.synod2018.va ou Facebook.com/synod2018.Ici
En répondant à cette invitation, nous prendrons part au parcours que l’Église est en train d’effectuer.
Je vous remercie.
C’est ce qu’a répété avec conviction Stella Marilene Nishimwe, jeune fille du Burundi, en présentant au Vatican, ce 16 février, la réunion pré-synodale organisée sept mois avant le synode sur les jeunes d’octobre 2018.
« Je voudrais seulement inviter tous les jeunes du monde à participer à ce moment précieux que l’Église nous offre pour faire arriver notre voix le plus loin possible », a-t-elle déclaré depuis le Bureau de presse du Saint-Siège.
La réunion verra la participation de 300 jeunes, du 19 au 24 mars à Rome.
Stella a aussi insisté sur l’universalité de ce rendez-vous :
« La voix de chacun de nous compte… nous invitons tous les jeunes du monde, qu’ils soient plus ou moins engagés dans l’Église catholique, dans d’autres confessions chrétiennes ou d’autres religions mais aussi ceux qui ne croient pas en Dieu.
Le synode des jeunes concerne tous les jeunes. »
Détaillant les hashtags qui seront utilisés sur les réseaux sociaux, la jeune burundaise a souligné que le synode était « enfin une opportunité pour nous de pouvoir exprimer ce que nous avons au plus profond de nous… sans intermédiaire, sans lettres officielles, sans demande d’audience et encore le faire à travers ce qui est devenu notre style de vie : les réseaux sociaux… c’est peut-être une nouvelle ère qui s’annonce pour nous au sein de l’Église ».
Intervention de Stella Marilene Nishimwe
Bonjour à tous!
Je ne m’attarderai pas sur les questions traitées par ceux qui m’ont précédée dans la prise de parole.
Ils ont déjà pris le temps de bien expliciter ce qu’est cette réunion pré-synodale des jeunes qui se tiendra au mois de mars.
Je voudrais seulement inviter tous les jeunes du monde à participer à ce moment précieux que l’Église nous offre pour faire arriver notre voix le plus loin possible : le Pape lui-même a affirmé que chaque jeune a quelque chose à dire à l’Église, aux évêques et au Pape.
La balle est alors dans notre camp.
En premier lieu, j’aimerai souligner comment, l’Église, pour pouvoir écouter la voix de tous les jeunes, a commencé par s’approcher de nous à travers ce que nous utilisons de plus: les réseaux sociaux.
Désormais, chaque jeune qui voudra participer à cette réunion pré-synodale pourra le faire via les réseaux sociaux.
Pour faciliter les interventions des jeunes, il s’agira de répondre à l’aide de 15 #hashtag qui ont été mis sur ces réseaux sociaux.
Ces hashtags sont les suivants:
#quisuisje
#diversité
#futur
#viedigitale
#interiorité
#jésus
#jecrois
#appelé
#choix
#guide
#église
#protagoniste
#lieu
#propositions
#langages
À chacun de ces hashtags sera liée une fiche pour faciliter le chemin de réflexion. Ces fiches seront publiées sur www.synod2018.va.Ici
Chers jeunes, dans ce synode on parlera de nous, il sera question de nous, en bref, nous serons le sujet.
Cette réunion qui se tiendra en mars est une opportunité que nous devons saisir pour faire entendre notre voix, pour communiquer ce que nous ressentons au plus profond de nous.
Cependant, on ne pourra pas tous être à Rome en même temps, mais la voix de chacun de nous compte pour construire ce synode.
C’est pourquoi, nous invitons tous les jeunes du monde, qu’ils soient plus ou moins engagés dans l’Église catholique, dans d’autres confessions chrétiennes ou d’autres religions mais aussi ceux qui ne croient pas en Dieu.
Le synode des jeunes concerne tous les jeunes.
Je n’ai pas manqué de manifester personnellement ma joie lorsque j’ai appris cette réunion pré-synodale et la possibilité de participer à travers les réseaux sociaux.
Je me suis dit :
« Enfin une opportunité pour nous de pouvoir exprimer ce que nous avons au plus profond de nous (notre conception de la vie, de l’Église, nos doutes, nos peurs, nos suggestions,…), le faire sans intermédiaire, sans lettres officielles, sans demande d’audience et encore le faire à travers ce qui est devenu notre style de vie : les réseaux sociaux ».
Pour moi, c’est peut-être une nouvelle ère qui s’annonce pour nous au sein de l’Église et partout ailleurs puisque ça concerne tous les jeunes, pas seulement les catholiques.
Qui sait ce que ce synode portera comme fruit?
Ce dont je suis sûre c’est que tout dépendra de notre participation.
Je le répète, la balle est dans notre camp.
Bref, si vous êtes intéressés, pendant le déroulement de la réunion pré-synodale, il vous sera possible de participer aux travaux en envoyant vos réflexions à l’un des groupes linguistiques auquel il faut s’inscrire préalablement.
Pour vous inscrire, visitez le site www.synod2018.va ou Facebook.com/synod2018.Ici
En répondant à cette invitation, nous prendrons part au parcours que l’Église est en train d’effectuer.
Je vous remercie.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Voici une réponse claire à tous ceux qui prétendent, parfois avec grande agressivité, que le Pape actuel (cela n'est pas propre au pontificat de François) ne serait pas un Pape légitime, voire serait un imposteur ou carrément l'Antéchrist.
Que ce pontificat en déconcertent beaucoup - moi le premier - est tout à fait normal mais ne tombons pas dans le piège de douter des paroles de Jésus qui a promis qu'il prierait pour que la foi de Pierre ne défaille pas (dont chacun des Papes canoniquement élu jusqu'à François fut le successeur légitime) et que les portes de l'Enfer ne prévaudront pas contre son Église. Ne scandalisons pas ceux qui mettent leur foi en Jésus en condamnant le Saint Père à l'hérésie ou à je ne sais quoi d'autre encore.
Si nous ne comprenons pas certaines paroles ou certains gestes du Pape, faisons comme la Sainte Vierge Marie, ne médisons pas ! mais méditons ces choses dans notre cœur et l'Esprit Saint nous enseignera ce qui légitimement peut nous sembler incompréhensible.
La question que vous pouvez lire ici est provocante (et je le dis : indigne d'un Catholique !) mais la réponse donnée par le site reponses-catholiques.fr est édifiante et mérite d'être publiée sur ce blog :
Cette question rebondit à l'article « Destituer le pape et apostasier » publié sur le même site reponses-catholiques.fr.
Nous pouvons faire grosso modo une réponse reprenant les mêmes thèmes. La question ne fait que propager les mêmes hérésies qu’au temps de Marcion, de Novatien, des Cathares ou de Luther. L’Eglise a tenu bon et puisse le Seigneur tenir sa promesse que « les portes de la mort ne tiendront pas contre elle » (Mt 16, 18).
Tout discours qui pousse à apostasier la foi catholique ne peut venir que du démon, et ce n’est pas en le travestissant en dénonciation des « ingérences de Satan » que cela y change quelque chose. Rappelons que c’est le péché le plus grave qui soit, qui contrevient au premier commandement.
En effet, l’Ecriture nous le confirme dans la Première Lettre de Jean, qui nous encourage à nous garder des antichrists : « Petits enfants (…) déjà beaucoup d’antichrists sont survenus (…). Ils sont sortis de chez nous mais ils n’étaient pas des nôtres. S’ils avaient été des nôtres, ils seraient restés avec nous ». (1 Jn 2, 18-19). De même, les deux Epîtres à Timothée et celle de Tite enjoignent les épiscopes de l’Eglise que sont Timothée et Tite de lutter contre les faux docteurs, leurs fausses doctrines, de garder le dépôt de la foi et de se tenir éloignés des querelles doctrinales. Comme l’Ancien de 1 Jn, Timothée et Tite, les épiscopes de nos jours sont les évêques et le premier d’entre eux, le Pape François.
Ce que cette question-ci comporte de plus grave que celle de l’article en référence, c’est qu’elle relaie également le schisme sédévacantiste, niant que le Pape est Pape, son ordination épiscopale, son baptême. Donc St Jean-Paul II qui l’a nommé évêque, les évêques qui l’ont ordonné, le prêtre qui l’a baptisé, l’évêque qui l’a confirmé, le maitre des novices, puis le provincial jésuites qui l’ont admis aux vœux, l’évêque qui l’a ordonné prêtre… Toutes ces personnes commettent « toutes les ingérences de Satan » aux yeux de l’auteur de la question. Ne serait-ce que la figure de St Jean-Paul II est un démenti cinglant à ces divagations.
Notons au passage que l’auteur de la question trafique l’Ecriture. En Ap 3, 16, Dieu dit à l’église de Laodicée : « Puisque te voilà tiède… je vais te vomir de ma bouche ». Il n’est écrit nulle part que Dieu hait les tièdes. Interpréter ainsi ce verset est commettre une erreur méthodologique et une faute théologique dignes d’un Témoin de Jéhovah, qui falsifie l’Ecriture.
De même, la déformation de la pensée de St Thomas d’Aquin est aussi grossière. La légitime défense est bien en cas de menace sur la vie et l’intégrité physiques d’innocents. Il n’est jamais question chez le Docteur angélique de refuser la disputatio théologique entre gens qui savent de quoi ils parlent.
Mais, tout comme dans la question en référence, le plus grave est certainement de proférer ces insanités et ces appels à l’apostasie alors que tant de catholiques souffrent parce qu’ils restent fidèles à leur foi. Ces chrétiens acceptent d’être égorgés, décapités, violées, parce que, eux, justement, refusent d’apostasier. Que le Seigneur pardonne à l’auteur de cette question.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Résumé vidéo - Messe à Sainte-Marthe du 16 février 2018
Lors de la messe matinale à la Maison Sainte-Marthe, le Pape a mis en garde contre le risque de jeûner avec incohérence, c’est-à-dire en méprisant les autres.
Le jeûne, au contraire, est destiné à aider les autres.
Lors de la messe matinale à la Maison Sainte-Marthe, le Pape a mis en garde contre le risque de jeûner avec incohérence, c’est-à-dire en méprisant les autres.
Le jeûne, au contraire, est destiné à aider les autres.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Des personnes séparées fidèles reçues à Rome
Mardi 30 janvier, le Saint-Père a invité à sa messe de Sainte-Marthe une délégation d’une dizaine de membres de la Communion Notre-Dame de l’Alliance (CNDA),Cliquer qui regroupe des hommes et des femmes mariés, mais blessés par la séparation – parfois divorcés civilement –, ayant choisi de rester fidèles au sacrement de mariage.
En septembre, ils avaient envoyé au pape leur réflexion sur Amoris laetitia.Cliquer
Dans une lettre, qui saluait en préambule la beauté de l’exhortation apostolique, ils insistaient sur leur volonté de prendre « de la distance par rapport aux bruits ambiants et aux inquiétudes ».
Mais ils posaient aussi un certain nombre de questions et émettaient deux réserves, notamment sur le peu d’encouragements présents dans le texte pour les personnes séparées voulant rester fidèles.
Pour celles présentes le 30 janvier, l’invitation du pape fut une très belle réponse.
« Parce que l’eucharistie a une place très particulière pour nous.
C’est là où se forge notre chemin de foi et d’espérance après une séparation », confia l’une d’elles.
En marge de cette rencontre, la délégation emmenée par l’évêque référant de la CNDA, Mgr d’Ornellas, a été reçue par le cardinal Farrell, préfet du Dicastère pour les laïcs, la famille et la vie, par Mgr Ladaria, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, et par le cardinal Sarah.
« Chacun nous a rassurés sur la volonté de l’Église de toujours encourager les séparés à rester fidèles.
Ils ont tous également insisté sur l’importance du témoignage. »
En septembre, ils avaient envoyé au pape leur réflexion sur Amoris laetitia.Cliquer
Dans une lettre, qui saluait en préambule la beauté de l’exhortation apostolique, ils insistaient sur leur volonté de prendre « de la distance par rapport aux bruits ambiants et aux inquiétudes ».
Mais ils posaient aussi un certain nombre de questions et émettaient deux réserves, notamment sur le peu d’encouragements présents dans le texte pour les personnes séparées voulant rester fidèles.
Pour celles présentes le 30 janvier, l’invitation du pape fut une très belle réponse.
« Parce que l’eucharistie a une place très particulière pour nous.
C’est là où se forge notre chemin de foi et d’espérance après une séparation », confia l’une d’elles.
En marge de cette rencontre, la délégation emmenée par l’évêque référant de la CNDA, Mgr d’Ornellas, a été reçue par le cardinal Farrell, préfet du Dicastère pour les laïcs, la famille et la vie, par Mgr Ladaria, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, et par le cardinal Sarah.
« Chacun nous a rassurés sur la volonté de l’Église de toujours encourager les séparés à rester fidèles.
Ils ont tous également insisté sur l’importance du témoignage. »
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Le Pape remercie le père Tolentino pour ses prédications
Pape François / Le pardon " le pape aussi se confesse tous les 15 jours ! " (3 entretiens)
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Vie consacrée
Soeur Carmen Ros Nortes, N.S.C., sous-secrétaire
Soeur Carmen Ros Nortes, N.S.C., sous-secrétaire
Elle a été missionnaire en Corée
Une religieuse espagnole de Notre Dame de la Consolation, soeur Carmen Ros Nortes, a été nommée par le pape François, ce 23 février 2018, comme sous-secrétaire du dicastère pour la vie consacrée où elle était auparavant “officiale”, annonce le Saint-Siège, en italien.
Elle a été missionnaire en Corée.
Ce dicastère dont le préfet est un Brésilien, le cardinal João Braz de Aviz, et le secrétaire un Espagnol, Mgr José Carballo, franciscain, compte déjà deux autres sous-secrétaires, un Italien, le p. Sebastiano Paciolla, cistercien, et une Italienne, soeur Nicla Spezzati, des Adoratrices du Sang du Christ .
Après la nomination de deux femmes, des laïques, Gabriella Gambino, et Linda Ghisoni, comme sous-secrétaires au Dicastère pour les laïcs, la famille et la vie, en novembre dernier, c’est la troisième femme nommée par le pape François à un poste de “numéro trois”.
En 2004, saint Jean-Paul II avait nommé sœur Enrica Rosanna, salésienne des Filles de Marie Auxiliatrice, également comme sous-secrétaire du dicastère pour la vie consacrée.
Une spécialiste en théologie mariale
Religieuse espagnole de Notre Dame de la Consolation, soeur Carmen Ros Nortes est née en 1953 (64 ans), à Murcie.
Entrée dans la Congrégation des sœurs de Notre-Dame de la Consolation, elle a prononcé ses vœux perpétuels en 1986.
Elle est diplômée en théologie, en pédagogie catéchétique et en sciences humaines.
En 1985, elle a obtenu une licence en mariologie, au Marianum de Rome.
Elle a exercé différentes charges dans sa congrégation religieuse et elle a été missionnaire en Corée du Sud.
Elle travaillait à la Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique depuis 1992, comme “assistante d’étude”.
Elle a assuré différents services au bureau du gouvernement ordinaire, de la vie et de l’apostolat, et au bureau de la promotion et de la formation.
Elle enseigne au Studium du même dicastère.
Elle a participé, au nom du dicastère, à la VIIe Rencontre d’Amérique latine et des Caraïbes pour la vie consacrée, à Quito (Equateur) en octobre 2014.
Une religieuse espagnole de Notre Dame de la Consolation, soeur Carmen Ros Nortes, a été nommée par le pape François, ce 23 février 2018, comme sous-secrétaire du dicastère pour la vie consacrée où elle était auparavant “officiale”, annonce le Saint-Siège, en italien.
Elle a été missionnaire en Corée.
Ce dicastère dont le préfet est un Brésilien, le cardinal João Braz de Aviz, et le secrétaire un Espagnol, Mgr José Carballo, franciscain, compte déjà deux autres sous-secrétaires, un Italien, le p. Sebastiano Paciolla, cistercien, et une Italienne, soeur Nicla Spezzati, des Adoratrices du Sang du Christ .
Après la nomination de deux femmes, des laïques, Gabriella Gambino, et Linda Ghisoni, comme sous-secrétaires au Dicastère pour les laïcs, la famille et la vie, en novembre dernier, c’est la troisième femme nommée par le pape François à un poste de “numéro trois”.
En 2004, saint Jean-Paul II avait nommé sœur Enrica Rosanna, salésienne des Filles de Marie Auxiliatrice, également comme sous-secrétaire du dicastère pour la vie consacrée.
Une spécialiste en théologie mariale
Religieuse espagnole de Notre Dame de la Consolation, soeur Carmen Ros Nortes est née en 1953 (64 ans), à Murcie.
Entrée dans la Congrégation des sœurs de Notre-Dame de la Consolation, elle a prononcé ses vœux perpétuels en 1986.
Elle est diplômée en théologie, en pédagogie catéchétique et en sciences humaines.
En 1985, elle a obtenu une licence en mariologie, au Marianum de Rome.
Elle a exercé différentes charges dans sa congrégation religieuse et elle a été missionnaire en Corée du Sud.
Elle travaillait à la Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique depuis 1992, comme “assistante d’étude”.
Elle a assuré différents services au bureau du gouvernement ordinaire, de la vie et de l’apostolat, et au bureau de la promotion et de la formation.
Elle enseigne au Studium du même dicastère.
Elle a participé, au nom du dicastère, à la VIIe Rencontre d’Amérique latine et des Caraïbes pour la vie consacrée, à Quito (Equateur) en octobre 2014.
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
La Vierge aimerait que chacun de nous substitue son prénom à celui de Marga
Quelle nouvelle? Parce que certain(e)s attacheraient plus d'importance à Marga qu'à la Sainte Vierge
Je suis indécis au sujet de Marga
Il me semble possible qu'elle soit une prophète des ténèbres, pas forcément en en étant consciente
Il me semble davantage possible qu'elle soit l'instrument d'une tentative de pression, de chantage sur le pape François, là encore pas forcément consciemment mais adroitement manipulée par les loups déguisés en bergers dans l'Eglise, ceux comme disait notre pape, qui sont assis sur la cathèdre de Moïse et qui manquent totalement de miséricorde. Cette attitude me dégoute profondément. Désolé.
Quelle nouvelle? Parce que certain(e)s attacheraient plus d'importance à Marga qu'à la Sainte Vierge
Je suis indécis au sujet de Marga
Il me semble possible qu'elle soit une prophète des ténèbres, pas forcément en en étant consciente
Il me semble davantage possible qu'elle soit l'instrument d'une tentative de pression, de chantage sur le pape François, là encore pas forcément consciemment mais adroitement manipulée par les loups déguisés en bergers dans l'Eglise, ceux comme disait notre pape, qui sont assis sur la cathèdre de Moïse et qui manquent totalement de miséricorde. Cette attitude me dégoute profondément. Désolé.
Ami de Saint Bernard- Combat l'antechrist
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
« Dieu est jeune », nouveau livre-entretien du pape François
Sortie le 20 mars en 6 langues
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« Dieu est jeune »
C’est le titre d’un nouveau livre-entretien du pape François qui sera publié le 20 mars 2018, en vue du synode des évêques qui aura lieu à Rome en octobre 2018 sur le thème
« Les jeunes, la foi et le discernement vocationnel ».
Quelques jours avant la Journée mondiale de la jeunesse célébrée le Dimanche des Rameaux (25 mars), l’ouvrage géré par le groupe d’édition italien Mondadori paraîtra en six langues – aux éditions Robert Laffont pour le français.
Le pape signe lui-même ce livre, indique le site de Robert Laffont : dans ce « dialogue sincère avec Thomas Leoncini, journaliste et écrivain italien de 32 ans, il délivre un message libérateur aux nouvelles générations – les plus exclues de ces temps troublés – souhaitant les sortir de la marginalité… et les identifier comme les acteurs de notre histoire commune ».
Le pape François « s’adresse aux jeunes du monde entier, qu’ils soient catholiques ou non ».
Il affirme que « Dieu est jeune, il est toujours neuf » et qu’ainsi les jeunes sont faits « de la même étoffe » que Dieu.
Parmi les grands thèmes abordés :
Le climat, les extrémismes, la mort, la pauvreté, la dignité, l’espoir, l’individualisme, la corruption, l’éducation…
Au fil de l’entretien, comme il l’a souvent fait, le pape encourage à créer des pont entre les générations afin de permettre à la société de se régénérer.
C’est le titre d’un nouveau livre-entretien du pape François qui sera publié le 20 mars 2018, en vue du synode des évêques qui aura lieu à Rome en octobre 2018 sur le thème
« Les jeunes, la foi et le discernement vocationnel ».
Quelques jours avant la Journée mondiale de la jeunesse célébrée le Dimanche des Rameaux (25 mars), l’ouvrage géré par le groupe d’édition italien Mondadori paraîtra en six langues – aux éditions Robert Laffont pour le français.
Le pape signe lui-même ce livre, indique le site de Robert Laffont : dans ce « dialogue sincère avec Thomas Leoncini, journaliste et écrivain italien de 32 ans, il délivre un message libérateur aux nouvelles générations – les plus exclues de ces temps troublés – souhaitant les sortir de la marginalité… et les identifier comme les acteurs de notre histoire commune ».
Le pape François « s’adresse aux jeunes du monde entier, qu’ils soient catholiques ou non ».
Il affirme que « Dieu est jeune, il est toujours neuf » et qu’ainsi les jeunes sont faits « de la même étoffe » que Dieu.
Parmi les grands thèmes abordés :
Le climat, les extrémismes, la mort, la pauvreté, la dignité, l’espoir, l’individualisme, la corruption, l’éducation…
Au fil de l’entretien, comme il l’a souvent fait, le pape encourage à créer des pont entre les générations afin de permettre à la société de se régénérer.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Le Pape encourage le développement des soins palliatifs
Dans une lettre signée par le cardinal Parolin et adressé à Mgr Vincenzo Paglia, président de l’Académie pontificale pour la Vie, le Pape François encourage l’utilisation des soins palliatifs, à l’occasion d’une convention sur ce sujet qui se tient à Rome jusqu’au 1er mars.
La vocation la plus profonde de la médecine consiste dans le fait de «toujours soigner», même s’il n’est pas toujours possible de guérir.
Le Pape le rappelle dans une lettre signée par le cardinal Pietro Parolin et adressée aux participants à la convention sur les soins palliatifs, organisé par l’Académie pontificale pour la Vie.
La limite : un lieu de rencontre et non de solitude
Ce message évoque le sens de la «limite» qui s’expérimente dans les moments de fin de vie.
Ces moments suscitent parfois de la rébellion et de l’angoisse, et la société d’aujourd’hui évite donc souvent de s’y confronter.
Les soins palliatifs, au contraire, montrent que la limite, si elle est acceptée, peut devenir «non plus un lieu de séparation et de solitude», mais une occasion de rencontre.
La mort elle-même est introduite dans un horizon symbolique, dans lequel elle peut ressortir non pas tant comme le terme contre lequel la vie succombe, mais comme l’accomplissement d’une existence «gratuitement reçue et partagée avec amour».
La thérapie de la douleur
Parmi les thèmes centraux de la lettre revient la question de la «thérapie de la douleur».
Il est rappelé que Pie XII avait déjà clairement légitimé «l’administration d’analgésiques pour alléger des douleurs insupportables qu’il ne serait pas possible de traiter autrement, même si, dans la phase de mort imminente, ils seraient la cause d’un raccourcissement de la vie».
Même si aujourd’hui le raccourcissement de la vie n’est plus un effet collatéral fréquent, il souligne que «la même interrogation se repose avec des médicaments nouveaux, qui agissent sur l’état de conscience et rendent possibles diverses formes de sédation».
La lettre explique que «le critère éthique ne change pas, mais l’emploi de ces procédures requiert toujours un discernement attentif et beaucoup de prudence».
Avec la sédation, «surtout quand elle est prolongée et profonde», on annule en effet la dimension relationnelle et la communication, «cruciale dans l’accompagnement des soins palliatifs».
La sédation profonde «demeure toujours au moins en partie insatisfaisante, et doit donc être considérée comme un remède extrême».
Diffuser l’accès aux soins palliatifs
La lettre exhorte donc à continuer la réflexion sur les soins palliatifs et à en diffuser la pratique pour faciliter l’accès.
Un objectif dans lequel les croyants peuvent trouver des compagnons de route parmi les nombreuses personnes de bonne volonté.
Dans cette perspective, la présence à la convention de représentants de différentes religions et de différentes cultures est importante.
Il faut jeter un pont entre le soin reçu depuis le début de la vie, qui lui permet de se déployer, et le soin à prêter aux autres d’une façon responsable, dans la succession des générations.
Les soins palliatifs montrent donc leur valeur pour l’entière coexistence humaine.
La vocation la plus profonde de la médecine consiste dans le fait de «toujours soigner», même s’il n’est pas toujours possible de guérir.
Le Pape le rappelle dans une lettre signée par le cardinal Pietro Parolin et adressée aux participants à la convention sur les soins palliatifs, organisé par l’Académie pontificale pour la Vie.
La limite : un lieu de rencontre et non de solitude
Ce message évoque le sens de la «limite» qui s’expérimente dans les moments de fin de vie.
Ces moments suscitent parfois de la rébellion et de l’angoisse, et la société d’aujourd’hui évite donc souvent de s’y confronter.
Les soins palliatifs, au contraire, montrent que la limite, si elle est acceptée, peut devenir «non plus un lieu de séparation et de solitude», mais une occasion de rencontre.
La mort elle-même est introduite dans un horizon symbolique, dans lequel elle peut ressortir non pas tant comme le terme contre lequel la vie succombe, mais comme l’accomplissement d’une existence «gratuitement reçue et partagée avec amour».
La thérapie de la douleur
Parmi les thèmes centraux de la lettre revient la question de la «thérapie de la douleur».
Il est rappelé que Pie XII avait déjà clairement légitimé «l’administration d’analgésiques pour alléger des douleurs insupportables qu’il ne serait pas possible de traiter autrement, même si, dans la phase de mort imminente, ils seraient la cause d’un raccourcissement de la vie».
Même si aujourd’hui le raccourcissement de la vie n’est plus un effet collatéral fréquent, il souligne que «la même interrogation se repose avec des médicaments nouveaux, qui agissent sur l’état de conscience et rendent possibles diverses formes de sédation».
La lettre explique que «le critère éthique ne change pas, mais l’emploi de ces procédures requiert toujours un discernement attentif et beaucoup de prudence».
Avec la sédation, «surtout quand elle est prolongée et profonde», on annule en effet la dimension relationnelle et la communication, «cruciale dans l’accompagnement des soins palliatifs».
La sédation profonde «demeure toujours au moins en partie insatisfaisante, et doit donc être considérée comme un remède extrême».
Diffuser l’accès aux soins palliatifs
La lettre exhorte donc à continuer la réflexion sur les soins palliatifs et à en diffuser la pratique pour faciliter l’accès.
Un objectif dans lequel les croyants peuvent trouver des compagnons de route parmi les nombreuses personnes de bonne volonté.
Dans cette perspective, la présence à la convention de représentants de différentes religions et de différentes cultures est importante.
Il faut jeter un pont entre le soin reçu depuis le début de la vie, qui lui permet de se déployer, et le soin à prêter aux autres d’une façon responsable, dans la succession des générations.
Les soins palliatifs montrent donc leur valeur pour l’entière coexistence humaine.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Formation au discernement spirituel
Le monde dans lequel nous vivons nous oblige à développer une capacité profonde à discerner ...
Discerner, parmi toutes les voix, quelle est la voix du Seigneur, la voix de Celui qui nous conduit à la Résurrection, à la Vie, celle qui nous empêche de tomber dans la « culture de la mort ».
Nous avons été créés par Dieu par amour et pour aimer.
Nous devons « lire depuis l’intérieur » ce que le Seigneur nous demande, pour vivre dans l’amour et poursuivre sa mission d’amour.
Prions ensemble pour que l’Eglise tout entière reconnaisse l’urgence de la formation au discernement spirituel, au niveau personnel et communautaire.
Le monde dans lequel nous vivons nous oblige à développer une capacité profonde à discerner ...
Discerner, parmi toutes les voix, quelle est la voix du Seigneur, la voix de Celui qui nous conduit à la Résurrection, à la Vie, celle qui nous empêche de tomber dans la « culture de la mort ».
Nous avons été créés par Dieu par amour et pour aimer.
Nous devons « lire depuis l’intérieur » ce que le Seigneur nous demande, pour vivre dans l’amour et poursuivre sa mission d’amour.
Prions ensemble pour que l’Eglise tout entière reconnaisse l’urgence de la formation au discernement spirituel, au niveau personnel et communautaire.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Saint-Siège
La liberté religieuse reste menacée dans le monde
La liberté religieuse reste menacée dans le monde
Le fondamentalisme et le laïcisme nuisent à la liberté religieuse dans le monde, selon Mgr Ivan Jurkovič, l’observateur permanent du Saint-Siège auprès des agences onusiennes basées à Genève, en Suisse.
Il estime que l’éducation des jeunes, l’objection de conscience et l’identité culturelle des peuples sont également à risque.
L’observateur permanent du Saint-Siège auprès des agences onusiennes de Genève est intervenu ce vendredi 2 mars lors de la 37ème session du Conseil pour les Droits humains, dénonçant avec énergie les violations faites à la liberté religieuse aujourd’hui dans le monde.
Mise à l’écart et persécutions
De nombreux Etats « semblent être dans une attitude de refus vis-à-vis de la liberté religieuse, adoptant un comportement de marginalisation et parfois même de persécutions ouvertes des minorités », a expliqué Mgr Ivan Jurkovič.
Il souligne que les lois et les politiques discriminant les minorités religieuses et limitant la liberté de religion et de croyance, comme celles sur le blasphème ou punissant la conversion, sont encore présentes dans le monde d’aujourd’hui.
« D’autres Etats ne protègent pas leurs citoyens appartenant à des minorités religieuses quand ils sont la cible de violences ou alors ils les empêchent d’avoir accès à la justice et ne leur garantissent pas de procès équitables. »
Par ailleurs, dans les Etats qui promeuvent « une idéologie de sécularisation radicale niant les sentiments religieux de leurs citoyens », on remarque des « formes plus silencieuses et sophistiquées de préjudices et d’opposition envers les croyants et les symboles religieux », en particulier dans l’éducation des jeunes et concernant l’objection de conscience.
Pour une société ouverte à la transcendance
Mgr Ivan Jurkovič répète qu’une « société basée sur le respect de la liberté religieuse et de confession est plus forte, et non plus faible ».
Respecter les convictions les plus profondes des membres d’une société est, en effet, la condition préalable sur laquelle peut être construite une authentique culture des droits humains.
Chaque société, en tant « qu’expression de la personne et de l’ensemble de ses composantes, doit vivre et s’organiser de telle manière que soit favorisée l’ouverture à la transcendance ».
Pour cette raison, les lois et les institutions d’une société ne peuvent être configurées en ignorant la dimension religieuse des citoyens, estime le prélat.
« Malheureusement, a-t-il regretté, ce comportement réducteur est parfois perçu dans certains milieux », au sein des agences et organisations internationales par exemple , « comme des idéologies et des notions controversées qui ne sont pas en lignes avec les instruments internationaux ».
A l’instar du Pape François, il observe qu’il peut y avoir « le risque, d’une certain manière, paradoxal, qu’au nom des droits humains, des formes modernes de colonisations idéologiques se voient instaurées, celles des plus forts et des plus riches sur les plus faibles et les plus pauvres ».
Un tel positionnement, loin d’être rare, ne peut qu’affaiblir ces institutions, juge-t-il, en rendant inutiles le système multilatéral des droits humains, alors qu’il est déjà critiqué.
Une vision réductive de la personne humaine
Le Saint-Siège juge aussi « extrêmement préoccupant » le fait que le Rapporteur spécial de l’ONU ait utilisé l’expression « liberté vis-à-vis de l’Eglise », un concept qui n’existe pas dans les instruments internationaux et qui révèle une idée paternaliste de la religion.
Citant le Pape François, Mgr Jurkovič a répété avec force que « la dimension religieuse est pas une sous-culture, mais une partie prenante de chaque peuple et de chaque nation ».
Ne pas prendre en compte l’importance des religions, « nier ou limiter de manière arbitraire » la liberté religieuse signifie cultiver une vision réductive de la personne humaine et, en dernière analyse, cela signifie rendre impossible une paix authentique et pérenne de toute la famille humaine ».
Fondamentalisme et laïcisme, ennemis de la laïcité
Dans une seconde intervention, en date du 1er mars, le prélat a répété la nécessité de respecter l’identité culturelle des peuples qui est étroitement liée à la liberté de pensée de conscience et de religion.
« Même la religion est une dimension essentielle de la culture , et en effet, la distinction entre l’Etat et la religion est d’une importance centrale. Trouver le juste équilibre entre Etat et religion exige que la sûreté de l’Etat et de ses peuples ne soit pas menacée par le fondamentalisme religieux, ni que la religion ne soit écrasée par le sécularisme ».
Comme l’a dit Benoît XVI « le fondamentalisme religieux et le laïcisme sont des formes spectaculaires de refus du légitime pluralisme et du principe de laïcité », a-t-il conclu.
Il estime que l’éducation des jeunes, l’objection de conscience et l’identité culturelle des peuples sont également à risque.
L’observateur permanent du Saint-Siège auprès des agences onusiennes de Genève est intervenu ce vendredi 2 mars lors de la 37ème session du Conseil pour les Droits humains, dénonçant avec énergie les violations faites à la liberté religieuse aujourd’hui dans le monde.
Mise à l’écart et persécutions
De nombreux Etats « semblent être dans une attitude de refus vis-à-vis de la liberté religieuse, adoptant un comportement de marginalisation et parfois même de persécutions ouvertes des minorités », a expliqué Mgr Ivan Jurkovič.
Il souligne que les lois et les politiques discriminant les minorités religieuses et limitant la liberté de religion et de croyance, comme celles sur le blasphème ou punissant la conversion, sont encore présentes dans le monde d’aujourd’hui.
« D’autres Etats ne protègent pas leurs citoyens appartenant à des minorités religieuses quand ils sont la cible de violences ou alors ils les empêchent d’avoir accès à la justice et ne leur garantissent pas de procès équitables. »
Par ailleurs, dans les Etats qui promeuvent « une idéologie de sécularisation radicale niant les sentiments religieux de leurs citoyens », on remarque des « formes plus silencieuses et sophistiquées de préjudices et d’opposition envers les croyants et les symboles religieux », en particulier dans l’éducation des jeunes et concernant l’objection de conscience.
Pour une société ouverte à la transcendance
Mgr Ivan Jurkovič répète qu’une « société basée sur le respect de la liberté religieuse et de confession est plus forte, et non plus faible ».
Respecter les convictions les plus profondes des membres d’une société est, en effet, la condition préalable sur laquelle peut être construite une authentique culture des droits humains.
Chaque société, en tant « qu’expression de la personne et de l’ensemble de ses composantes, doit vivre et s’organiser de telle manière que soit favorisée l’ouverture à la transcendance ».
Pour cette raison, les lois et les institutions d’une société ne peuvent être configurées en ignorant la dimension religieuse des citoyens, estime le prélat.
« Malheureusement, a-t-il regretté, ce comportement réducteur est parfois perçu dans certains milieux », au sein des agences et organisations internationales par exemple , « comme des idéologies et des notions controversées qui ne sont pas en lignes avec les instruments internationaux ».
A l’instar du Pape François, il observe qu’il peut y avoir « le risque, d’une certain manière, paradoxal, qu’au nom des droits humains, des formes modernes de colonisations idéologiques se voient instaurées, celles des plus forts et des plus riches sur les plus faibles et les plus pauvres ».
Un tel positionnement, loin d’être rare, ne peut qu’affaiblir ces institutions, juge-t-il, en rendant inutiles le système multilatéral des droits humains, alors qu’il est déjà critiqué.
Une vision réductive de la personne humaine
Le Saint-Siège juge aussi « extrêmement préoccupant » le fait que le Rapporteur spécial de l’ONU ait utilisé l’expression « liberté vis-à-vis de l’Eglise », un concept qui n’existe pas dans les instruments internationaux et qui révèle une idée paternaliste de la religion.
Citant le Pape François, Mgr Jurkovič a répété avec force que « la dimension religieuse est pas une sous-culture, mais une partie prenante de chaque peuple et de chaque nation ».
Ne pas prendre en compte l’importance des religions, « nier ou limiter de manière arbitraire » la liberté religieuse signifie cultiver une vision réductive de la personne humaine et, en dernière analyse, cela signifie rendre impossible une paix authentique et pérenne de toute la famille humaine ».
Fondamentalisme et laïcisme, ennemis de la laïcité
Dans une seconde intervention, en date du 1er mars, le prélat a répété la nécessité de respecter l’identité culturelle des peuples qui est étroitement liée à la liberté de pensée de conscience et de religion.
« Même la religion est une dimension essentielle de la culture , et en effet, la distinction entre l’Etat et la religion est d’une importance centrale. Trouver le juste équilibre entre Etat et religion exige que la sûreté de l’Etat et de ses peuples ne soit pas menacée par le fondamentalisme religieux, ni que la religion ne soit écrasée par le sécularisme ».
Comme l’a dit Benoît XVI « le fondamentalisme religieux et le laïcisme sont des formes spectaculaires de refus du légitime pluralisme et du principe de laïcité », a-t-il conclu.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Le Pape françois et la damnation
Il y a quelques jours le pape François recevait un groupe de jeunes Roumains qui l’ont interrogé au sujet de la possible damnation de l’un des leurs, mort en état de péché. Il leur a répondu : « Personne d’entre nous ne peut dire qu’une personne n’est pas allée au Ciel. Nous ne pouvons même pas dire cela de Judas. ». Or, comme je l’expose, entre autres considérations, dans mon ouvrage Judas est-il en Enfer ?, la damnation de Judas a toujours été une vérité de foi jusqu’à la moitié du XXe siècle. Le Pape poursuivait : « Une brebis perdue, quand le Bon Berger la trouve, Il la rapporte à la maison. Je suis sûr, connaissant Jésus, je suis sûr que c’est ce que le Seigneur a fait pour votre ami. ». Ainsi donc, sans connaître le défunt, ni avoir reçu les conclusions d’une enquête canonique ayant instruit le cas, voilà que le Pape affirme le salut d’un inconnu… mais non sans avoir d’abord pris soin de nier la damnation de Judas… tant il est vrai que la foi en celle-ci est le verrou qui empêche de passer de l’espérance dans le salut du plus grand nombre possible à la croyance en un enfer vide. Puisque, selon François, personne ne peut dire que Judas est damné, alors, comme il en donne l’exemple, tout le monde peut dire que tout le monde est sauvé. Peut-être certains vont-ils tenter de justifier son propos en supposant qu’il aurait reçu une révélation privée au sujet du sort éternel de ce jeune défunt ? Mais le Pape ne dit pas tenir sa certitude d’un tel moyen, mais de sa connaissance de Jésus. Or, il se trouve que je connais moi aussi Jésus, et que la connaissance que j’en ai m’interdit absolument de dire la même chose…
Si « personne d’entre nous ne peut dire qu’une personne n’est pas allée au Ciel. » parce que certainement elle y est, qui qu’elle soit et quoi qu’elle ait fait, et cela parce que Jésus est Jésus, alors, à quoi bon encore prêcher l’urgence absolue de fuir le péché, et la conversion à la foi catholique ? Cela n’a plus d’intérêt. La raison d’être de l’Église et sa mission se trouvent ruinées. Enfin, nous allons pouvoir chanter avec tout le monde, catholiques ou non, pécheurs ou non (à l’exception, il est vrai, des musulmans, qui croient bien, eux, à l’Enfer… mais uniquement pour les non-musulmans !) : « Nous irons tous au Paradis ! ».
Je sais que la pensée de l’Enfer est terrifiante, et je comprends que l’on puisse craindre de faire de la peine, mais la charité est d’un autre ordre que la sentimentalité : « Si je voulais encore plaire à des hommes, je ne serais plus le serviteur du Christ ! (Ga 1.10) ».
Bref, ce malheureux événement révèle très éloquemment la raison même de la crise de l’Église, à laquelle je prétends apporter une solution avec mon livre Judas est-il en Enfer ?.
« Luttez pour entrer par la porte étroite, car beaucoup, Je vous le dis, chercheront à entrer et n’y arriveront pas (Luc 13.24) ».Abbé Guy Pagès
Article paru dans Riposte Catholique et Boulevard Voltaire.
J'ai omis le titre par respect pour le Pape
Yeshoua- Avec Saint Joseph
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Santé
La tendresse est la « clé » pour comprendre le malade
La tendresse est la « clé » pour comprendre le malade
Discours du pape à des infirmières
La tendresse est la « clé » pour comprendre le malade, a affirmé le pape François devant les membres de la Fédération nationale italienne des Ordres professionnels d’infirmiers (IPASVI), qu’il a reçus dans la salle Paul VI du Vatican, le 3 mars 2018.
Saluant leur profession d’« experts en humanité », il a encouragé à la « médecine des caresses » et du sourire, et non pas à agir « de manière distante, indifférente ou impatiente ».
Le pape les a encouragés à une « écoute continuelle » pour « comprendre quelles sont les exigences du malade » : « devant la singularité de chaque situation, a-t-il fait observer, suivre un protocole n’est jamais suffisant, mais demande un effort continu – et fatiguant ! – de discernement et d’attention à la personne unique ».
Il les a invités à être
« des promoteurs de la vie et de la dignité des personnes » :
« Soyez capables de reconnaître les justes limites de la technique, qui ne peut jamais devenir un absolu et mettre au second plan la dignité humaine.
Soyez aussi attentifs au désir, parfois non exprimé, de spiritualité et d’assistance religieuse, qui représente pour beaucoup de patients un élément essentiel de sens et de sérénité de la vie, encore plus urgent dans la fragilité due à la maladie. »
Mais le pape François a aussi mis en garde contre l’épuisement d’un « engagement excessif » et du manque de personnel qui n’est « d’aucune manière … une source d’économie ».
Il a recommandé enfin aux malades d’être « attentifs à l’humanité des infirmières » :
« Demandez sans prétendre ; ne vous attendez pas seulement à un sourire, mais aussi offrez-le à celui qui se dévoue pour vous. »
Voici notre traduction du discours que le pape a prononcé lors de cette rencontre.
Discours du pape François
Chers frères et sœurs, bonjour !
Je suis heureux de vous rencontrer et avant tout, je voudrais vous exprimer ma reconnaissance et mon estime pour le travail si précieux que vous faites pour tant de personnes et pour le bien de toute la société.
Merci, merci beaucoup !
J’adresse mes cordiales salutations au Président et à toute la Fédération Nationale des Ordres Professionnels d’Infirmiers, représentés aujourd’hui par vous.
Provenant vraiment d’une longue tradition associative, cette fédération peut se dire « nouvellement née » et est en train maintenant d’accomplir ses premiers pas.
Sa constitution, confirmée depuis quelques jours par le Parlement italien, met mieux en lumière la valeur des professionnels infirmiers et garantit une plus grande valorisation de votre professionnalisme.
Avec pratiquement 450 mille inscrits, vous formez le plus grand ordre professionnel italien, et vous représentez une référence également pour les autres catégories professionnelles.
Le chemin commun que vous accomplissez vous permet non seulement d’avoir une seule voix et une plus grande force contractuelle, mais surtout de partager des valeurs et des objectifs qui sont à la base de votre action.
Le rôle des infirmières dans l’assistance aux malades est vraiment irremplaçable.
En comparaison avec tous les autres, l’infirmière a une relation directe et continue avec le patient, si elle le soigne tous les jours, elle entend ses besoins et entre en contact avec son corps lui-même, quand elle s’en occupe.
L’approche des soins que vous réalisez est particulière : en vous chargeant intégralement des besoins des personnes, c’est par cette sollicitude typique que les patients vous reconnaissent, et cela représente une partie fondamentale dans le processus de soin et de guérison.
Le code déontologique infirmier international, dont s’inspire aussi le code italien, identifie quatre tâches fondamentales de votre profession :
« promouvoir la santé, prévenir la maladie, rétablir la santé et alléger la souffrance » (Introduction).
Il s’agit de fonctions complexes et multiples, lesquelles touchent tous les aspects des soins, que vous accomplissez en collaboration avec les autres professions du secteur.
Le caractère aussi bien curatif que préventif, de réhabilitation ou palliatif de votre action exige un professionnalisme élevé de votre part, qui demande une spécialisation et une remise à niveau, de par les évolutions constantes des technologies et des soins.
Cependant ce professionnalisme ne se manifeste pas seulement dans un environnement technique, mais aussi et peut-être encore plus dans la sphère des relations humaines, dans les lieux de soins et dans les maisons où se croisent mille relations, qui demandent attention, compétence et réconfort.
Et c’est vraiment dans cette synthèse de capacités techniques et de sensibilité humaine que se manifeste pleinement la valeur et la beauté précieuse de votre travail.
En prenant soin des femmes et des hommes, des enfants et des plus âgés, pendant chaque phase de leur vie, de la naissance à la mort, vous êtes engagés dans une écoute continuelle, dans l’attention à comprendre quelles sont les exigences du malade, dans la phase qu’il est en train de traverser.
En fait, devant la singularité de chaque situation, suivre un protocole n’est jamais suffisant, mais demande un effort continu – et fatiguant ! – de discernement et d’attention à la personne unique.
Tout cela fait de votre profession une véritable et spécifique mission, et de vous des « experts en humanité », appelés à accomplir une tâche irremplaçable d’humanisation dans une société distante, qui trop souvent laisse en marge les personnes les plus faibles, ne s’intéressant qu’à ceux qui « valent », ou qui répondent aux critères d’efficacité et de gain.
Que la sensibilité que vous acquérez chaque jour au contact des patients fasse de vous des promoteurs de la vie et de la dignité des personnes.
Soyez capables de reconnaître les justes limites de la technique, qui ne peut jamais devenir un absolu et mettre au second plan la dignité humaine. Soyez aussi attentifs au désir, parfois non exprimé, de spiritualité et d’assistance religieuse, qui représente pour beaucoup de patients un élément essentiel de sens et de sérénité de la vie, encore plus urgent dans la fragilité due à la maladie.
Pour l’Eglise, les malades sont des personnes dans lesquelles Jésus est présent d’une manière spéciale, il s’identifie à elles quand il dit :
« J’étais malade et vous m’avez visité » (Mt 25,36).
Dans tout son ministère, Jésus a été proche des malades, il les a approchés avec amour et en a guéri beaucoup.
Rencontrant le lépreux qui lui demande d’être guéri, il tend la main et le touche (Cf Mt 8,2-3).
L’importance de ce simple geste ne doit pas nous échapper : la loi mosaïque interdisait de toucher les lépreux et leur interdisait de s’approcher des lieux habités.
Cependant Jésus va au cœur de la loi, qui trouve sa synthèse dans l’amour du prochain, en touchant le lépreux il réduit la distance qui le sépare, afin qu’il ne soit pas séparé de la communauté des hommes et perçoive, à travers un simple geste, la proximité de Dieu lui-même.
Ainsi, la guérison que Jésus lui donne n’est pas seulement physique, mais rejoint le cœur, parce que le lépreux n’a pas seulement été guéri mais il s’est aussi senti aimé.
N’oubliez pas la « médecine des caresses » : c’est tellement important !
Une caresse, un sourire, c’est plein de signification pour le malade.
Le geste est simple, mais il le fait grandir, il se sent accompagné, il sent la guérison proche, il se sent une personne, pas un numéro.
Ne pas l’oublier.
Etant avec les malades et exerçant votre profession, vous-mêmes vous touchez les malades et, plus que tout autre, vous prenez soin de leur corps.
Quand vous le faites rappelez-vous comment Jésus toucha le lépreux : pas de manière distante, indifférente ou impatiente, mais attentive et amoureuse, qui le fasse sentir respecté et pris en compte.
En faisant ainsi, le contact qui s’établit avec patience les porte comme un reflet de Dieu le Père, de sa tendresse pour chacun de ses fils.
Vraiment la tendresse : la tendresse est la « clé » pour comprendre le malade.
Avec la dureté on ne comprend pas le malade.
La tendresse est la clé pour le comprendre, c’est aussi une médecine précieuse pour sa guérison.
La tendresse passe du cœur aux mains, passe à travers un « toucher » des blessures plein de respect et d’amour.
Il y a des années, un religieux me confia que la phrase la plus touchante qui lui avait été adressée dans sa vie était celle d’un malade, qu’il avait assisté pendant la phase terminale de sa maladie.
« Je vous remercie père – lui avait-il dit – parce que vous m’avez toujours parlé de Dieu, sans vraiment jamais le nommer » : c’est cela que fait la tendresse.
Voilà la grandeur de l’amour que nous adressons aux autres, qui porte cachée en elle, même si nous n’y pensons pas, l’amour même de Dieu.
Ne vous lassez jamais d’être proches des personnes avec ce style humain et fraternel, en trouvant toujours la motivation et la stimulation pour accomplir votre tâche.
Cependant, soyez attentifs à ne pas vous dépenser jusqu’à pratiquement vous épuiser, ainsi qu’il arrive si vous êtes engagés dans la relation avec les patients au point de vous faire absorber, en vivant à la première personne tout ce qui leur arrive.
Ce que vous accomplissez est un travail épuisant, outre qu’il expose à des risques, c’est un engagement excessif, joint à la dureté des charges et des rotations, il pourrait vous faire perdre la fraîcheur et la sérénité qui vous sont nécessaires.
Soyez attentifs !
Un autre élément qui rend fatiguant et alors insoutenable l’accomplissement de votre profession c’est la carence de personnel, qui ne peut pas aider à améliorer les services offerts, et qu’une bonne administration ne peut pas entendre d’aucune manière comme une source d’économies.
Conscient de la tache si prenante que vous accomplissez, je saisis l’occasion pour exhorter les patients eux-mêmes à ne jamais tenir pour acquis ce qu’ils reçoivent de vous.
Vous aussi, malades, soyez attentifs à l’humanité des infirmières qui vous assistent.
Demandez sans prétendre ; ne vous attendez pas seulement à un sourire, mais aussi offrez-le à celui qui se dévoue pour vous.
A ce propos, une vieille dame m’a raconté que, quand elle se rend à l’hôpital pour les soins dont elle a besoin, elle est si reconnaissante aux docteurs et aux infirmières pour le travail qu’ils font, qu’elle cherche à se rendre belle pour leur donner à son tour quelque chose.
Donc que personne ne prenne pour acquis ce que les infirmières font pour lui ou pour elle, mais que l’on nourrisse toujours pour vous le sens du respect et de la gratitude qui vous est du.
Et avec votre permission, je voudrais rendre hommage à l’infirmière qui m’a sauvé la vie.
C’était une sœur infirmière : une sœur italienne, dominicaine, qui avait été envoyée en Grèce en tant que professeur, très compétente … Mais toujours comme infirmière était arrivée ensuite en Argentine.
Et quand moi, à vingt ans, j’étais sur le point de mourir, c’est elle qui est allée dire aux docteurs, aussi en discutant avec eux :
« Non, cela ne va pas, il faut lui en donner plus ».
Et grâce à ces choses, j’ai survécu.
Je la remercie tant ! Je la remercie.
Je voudrais la nommer ici, devant vous : sœur Cornelia Caraglio.
Une brave femme, courageuse aussi, au point de discuter avec les médecins.
Humble, mais sûre de ce qu’elle faisait.
Tant de vies, tant de vies sont sauvées grâce à vous !
Parce que vous êtes toute la journée là, et vous voyez ce qui arrive au malade.
Merci pour tout cela !
En vous saluant, j’exprime mon souhait que le Congrès, que vous tiendrez dans les prochains jours, soit une fructueuse occasion de réflexion, d’échange et de partage.
J’invoque sur vous tous la bénédiction de Dieu ; et vous aussi, s’il vous plaît, priez pour moi.
Et maintenant – en silence, parce que vous êtes de différentes confessions religieuses – en silence prions Dieu, notre Père à tous, afin qu’il nous bénisse.
Que le Seigneur vous bénisse tous, et les malades que vous soignez.
Saluant leur profession d’« experts en humanité », il a encouragé à la « médecine des caresses » et du sourire, et non pas à agir « de manière distante, indifférente ou impatiente ».
Le pape les a encouragés à une « écoute continuelle » pour « comprendre quelles sont les exigences du malade » : « devant la singularité de chaque situation, a-t-il fait observer, suivre un protocole n’est jamais suffisant, mais demande un effort continu – et fatiguant ! – de discernement et d’attention à la personne unique ».
Il les a invités à être
« des promoteurs de la vie et de la dignité des personnes » :
« Soyez capables de reconnaître les justes limites de la technique, qui ne peut jamais devenir un absolu et mettre au second plan la dignité humaine.
Soyez aussi attentifs au désir, parfois non exprimé, de spiritualité et d’assistance religieuse, qui représente pour beaucoup de patients un élément essentiel de sens et de sérénité de la vie, encore plus urgent dans la fragilité due à la maladie. »
Mais le pape François a aussi mis en garde contre l’épuisement d’un « engagement excessif » et du manque de personnel qui n’est « d’aucune manière … une source d’économie ».
Il a recommandé enfin aux malades d’être « attentifs à l’humanité des infirmières » :
« Demandez sans prétendre ; ne vous attendez pas seulement à un sourire, mais aussi offrez-le à celui qui se dévoue pour vous. »
Voici notre traduction du discours que le pape a prononcé lors de cette rencontre.
Discours du pape François
Chers frères et sœurs, bonjour !
Je suis heureux de vous rencontrer et avant tout, je voudrais vous exprimer ma reconnaissance et mon estime pour le travail si précieux que vous faites pour tant de personnes et pour le bien de toute la société.
Merci, merci beaucoup !
J’adresse mes cordiales salutations au Président et à toute la Fédération Nationale des Ordres Professionnels d’Infirmiers, représentés aujourd’hui par vous.
Provenant vraiment d’une longue tradition associative, cette fédération peut se dire « nouvellement née » et est en train maintenant d’accomplir ses premiers pas.
Sa constitution, confirmée depuis quelques jours par le Parlement italien, met mieux en lumière la valeur des professionnels infirmiers et garantit une plus grande valorisation de votre professionnalisme.
Avec pratiquement 450 mille inscrits, vous formez le plus grand ordre professionnel italien, et vous représentez une référence également pour les autres catégories professionnelles.
Le chemin commun que vous accomplissez vous permet non seulement d’avoir une seule voix et une plus grande force contractuelle, mais surtout de partager des valeurs et des objectifs qui sont à la base de votre action.
Le rôle des infirmières dans l’assistance aux malades est vraiment irremplaçable.
En comparaison avec tous les autres, l’infirmière a une relation directe et continue avec le patient, si elle le soigne tous les jours, elle entend ses besoins et entre en contact avec son corps lui-même, quand elle s’en occupe.
L’approche des soins que vous réalisez est particulière : en vous chargeant intégralement des besoins des personnes, c’est par cette sollicitude typique que les patients vous reconnaissent, et cela représente une partie fondamentale dans le processus de soin et de guérison.
Le code déontologique infirmier international, dont s’inspire aussi le code italien, identifie quatre tâches fondamentales de votre profession :
« promouvoir la santé, prévenir la maladie, rétablir la santé et alléger la souffrance » (Introduction).
Il s’agit de fonctions complexes et multiples, lesquelles touchent tous les aspects des soins, que vous accomplissez en collaboration avec les autres professions du secteur.
Le caractère aussi bien curatif que préventif, de réhabilitation ou palliatif de votre action exige un professionnalisme élevé de votre part, qui demande une spécialisation et une remise à niveau, de par les évolutions constantes des technologies et des soins.
Cependant ce professionnalisme ne se manifeste pas seulement dans un environnement technique, mais aussi et peut-être encore plus dans la sphère des relations humaines, dans les lieux de soins et dans les maisons où se croisent mille relations, qui demandent attention, compétence et réconfort.
Et c’est vraiment dans cette synthèse de capacités techniques et de sensibilité humaine que se manifeste pleinement la valeur et la beauté précieuse de votre travail.
En prenant soin des femmes et des hommes, des enfants et des plus âgés, pendant chaque phase de leur vie, de la naissance à la mort, vous êtes engagés dans une écoute continuelle, dans l’attention à comprendre quelles sont les exigences du malade, dans la phase qu’il est en train de traverser.
En fait, devant la singularité de chaque situation, suivre un protocole n’est jamais suffisant, mais demande un effort continu – et fatiguant ! – de discernement et d’attention à la personne unique.
Tout cela fait de votre profession une véritable et spécifique mission, et de vous des « experts en humanité », appelés à accomplir une tâche irremplaçable d’humanisation dans une société distante, qui trop souvent laisse en marge les personnes les plus faibles, ne s’intéressant qu’à ceux qui « valent », ou qui répondent aux critères d’efficacité et de gain.
Que la sensibilité que vous acquérez chaque jour au contact des patients fasse de vous des promoteurs de la vie et de la dignité des personnes.
Soyez capables de reconnaître les justes limites de la technique, qui ne peut jamais devenir un absolu et mettre au second plan la dignité humaine. Soyez aussi attentifs au désir, parfois non exprimé, de spiritualité et d’assistance religieuse, qui représente pour beaucoup de patients un élément essentiel de sens et de sérénité de la vie, encore plus urgent dans la fragilité due à la maladie.
Pour l’Eglise, les malades sont des personnes dans lesquelles Jésus est présent d’une manière spéciale, il s’identifie à elles quand il dit :
« J’étais malade et vous m’avez visité » (Mt 25,36).
Dans tout son ministère, Jésus a été proche des malades, il les a approchés avec amour et en a guéri beaucoup.
Rencontrant le lépreux qui lui demande d’être guéri, il tend la main et le touche (Cf Mt 8,2-3).
L’importance de ce simple geste ne doit pas nous échapper : la loi mosaïque interdisait de toucher les lépreux et leur interdisait de s’approcher des lieux habités.
Cependant Jésus va au cœur de la loi, qui trouve sa synthèse dans l’amour du prochain, en touchant le lépreux il réduit la distance qui le sépare, afin qu’il ne soit pas séparé de la communauté des hommes et perçoive, à travers un simple geste, la proximité de Dieu lui-même.
Ainsi, la guérison que Jésus lui donne n’est pas seulement physique, mais rejoint le cœur, parce que le lépreux n’a pas seulement été guéri mais il s’est aussi senti aimé.
N’oubliez pas la « médecine des caresses » : c’est tellement important !
Une caresse, un sourire, c’est plein de signification pour le malade.
Le geste est simple, mais il le fait grandir, il se sent accompagné, il sent la guérison proche, il se sent une personne, pas un numéro.
Ne pas l’oublier.
Etant avec les malades et exerçant votre profession, vous-mêmes vous touchez les malades et, plus que tout autre, vous prenez soin de leur corps.
Quand vous le faites rappelez-vous comment Jésus toucha le lépreux : pas de manière distante, indifférente ou impatiente, mais attentive et amoureuse, qui le fasse sentir respecté et pris en compte.
En faisant ainsi, le contact qui s’établit avec patience les porte comme un reflet de Dieu le Père, de sa tendresse pour chacun de ses fils.
Vraiment la tendresse : la tendresse est la « clé » pour comprendre le malade.
Avec la dureté on ne comprend pas le malade.
La tendresse est la clé pour le comprendre, c’est aussi une médecine précieuse pour sa guérison.
La tendresse passe du cœur aux mains, passe à travers un « toucher » des blessures plein de respect et d’amour.
Il y a des années, un religieux me confia que la phrase la plus touchante qui lui avait été adressée dans sa vie était celle d’un malade, qu’il avait assisté pendant la phase terminale de sa maladie.
« Je vous remercie père – lui avait-il dit – parce que vous m’avez toujours parlé de Dieu, sans vraiment jamais le nommer » : c’est cela que fait la tendresse.
Voilà la grandeur de l’amour que nous adressons aux autres, qui porte cachée en elle, même si nous n’y pensons pas, l’amour même de Dieu.
Ne vous lassez jamais d’être proches des personnes avec ce style humain et fraternel, en trouvant toujours la motivation et la stimulation pour accomplir votre tâche.
Cependant, soyez attentifs à ne pas vous dépenser jusqu’à pratiquement vous épuiser, ainsi qu’il arrive si vous êtes engagés dans la relation avec les patients au point de vous faire absorber, en vivant à la première personne tout ce qui leur arrive.
Ce que vous accomplissez est un travail épuisant, outre qu’il expose à des risques, c’est un engagement excessif, joint à la dureté des charges et des rotations, il pourrait vous faire perdre la fraîcheur et la sérénité qui vous sont nécessaires.
Soyez attentifs !
Un autre élément qui rend fatiguant et alors insoutenable l’accomplissement de votre profession c’est la carence de personnel, qui ne peut pas aider à améliorer les services offerts, et qu’une bonne administration ne peut pas entendre d’aucune manière comme une source d’économies.
Conscient de la tache si prenante que vous accomplissez, je saisis l’occasion pour exhorter les patients eux-mêmes à ne jamais tenir pour acquis ce qu’ils reçoivent de vous.
Vous aussi, malades, soyez attentifs à l’humanité des infirmières qui vous assistent.
Demandez sans prétendre ; ne vous attendez pas seulement à un sourire, mais aussi offrez-le à celui qui se dévoue pour vous.
A ce propos, une vieille dame m’a raconté que, quand elle se rend à l’hôpital pour les soins dont elle a besoin, elle est si reconnaissante aux docteurs et aux infirmières pour le travail qu’ils font, qu’elle cherche à se rendre belle pour leur donner à son tour quelque chose.
Donc que personne ne prenne pour acquis ce que les infirmières font pour lui ou pour elle, mais que l’on nourrisse toujours pour vous le sens du respect et de la gratitude qui vous est du.
Et avec votre permission, je voudrais rendre hommage à l’infirmière qui m’a sauvé la vie.
C’était une sœur infirmière : une sœur italienne, dominicaine, qui avait été envoyée en Grèce en tant que professeur, très compétente … Mais toujours comme infirmière était arrivée ensuite en Argentine.
Et quand moi, à vingt ans, j’étais sur le point de mourir, c’est elle qui est allée dire aux docteurs, aussi en discutant avec eux :
« Non, cela ne va pas, il faut lui en donner plus ».
Et grâce à ces choses, j’ai survécu.
Je la remercie tant ! Je la remercie.
Je voudrais la nommer ici, devant vous : sœur Cornelia Caraglio.
Une brave femme, courageuse aussi, au point de discuter avec les médecins.
Humble, mais sûre de ce qu’elle faisait.
Tant de vies, tant de vies sont sauvées grâce à vous !
Parce que vous êtes toute la journée là, et vous voyez ce qui arrive au malade.
Merci pour tout cela !
En vous saluant, j’exprime mon souhait que le Congrès, que vous tiendrez dans les prochains jours, soit une fructueuse occasion de réflexion, d’échange et de partage.
J’invoque sur vous tous la bénédiction de Dieu ; et vous aussi, s’il vous plaît, priez pour moi.
Et maintenant – en silence, parce que vous êtes de différentes confessions religieuses – en silence prions Dieu, notre Père à tous, afin qu’il nous bénisse.
Que le Seigneur vous bénisse tous, et les malades que vous soignez.
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Les dix conseils du Pape pour combattre le machisme dans l’Église
Dans la préface d’un ouvrage consacré à la place de la femme dans la société et l’Église, le Saint-Père défend la cause de la femme et critique une mentalité qui peine à changer, parmi les ecclésiastiques aussi.
Ne pas voir l’émancipation de la femme comme un problème.
Le pape François souhaite un renouvellement anthropologique qui tienne compte des identités féminine et masculine, dans leur sensibilité culturelle contemporaine.
Une position ferme qu’il explicite dans la préface d’un ouvrage édité en Espagne Dix choses que le pape François propose aux femmes de Maria Teresa Compte Grau, spécialisée en doctrine sociale de l’Église à l’université pontificale de Salamanque.
Dans cette préface, le Saint-Père se dit « inquiet de voir comment, y compris dans l’Église, le rôle de service auquel tout chrétien est appelé, dérive parfois, dans le cas des femmes, vers des rôles qui relèvent plutôt de la servitude ».
Il plaide pour un changement de mentalité fondé sur la « pleine reconnaissance de la parité des sexes » qui ne nie pas les différences biologiques mais ne profite pas non plus de ces différences pour reléguer les femmes à une position d’infériorité.
L’ouvrage espagnol, dont la sortie est, ce mercredi 7 mars à Madrid — veille de la journée internationale de la femme — arrive presque en simultané avec un long article du mensuel féminin de l’Osservatore Romano, le quotidien du Saint-Siège, dénonçant l’exploitation des religieuses dans l’Église.Cliquer
Un fait apparemment reconnu par le pape François qui pointe du doigt, dans la préface du nouvel ouvrage, « le rôle et l’image donnés à la femme au sein de l’Église ».
Le plaidoyer du pape François se résume donc en dix conseils, comme titre le nouvel ouvrage :
•1Élaborer une profonde théologie de la femme.
•2Placer Marie comme modèle et mère de l’Église.
•3Voir la maternité et la paternité comme une relation de réciprocité.
•4Admirer les femmes consacrées.
•5Libérer les femmes des regards de suspicion.
•6Ne pas voir l’émancipation de la femme comme un problème.
•7Distinguer et non séparer.
•8Inclusion et égalité face à la violence.
•9Apprécier avec bienveillance le fait que les femmes ont leur propre harmonie
•10Justice dans la place des femmes au sein de l’Église.
Dans sa préface, le pape François s’inquiète entre autres de « la persistance d’une certaine mentalité machiste ».
Il y dénonce « la persistance des actes de violences envers les femmes, transformant ces dernières en objets d’abus », et appelle à de nouvelles recherches anthropologiques où sont inclues le progrès de la science et les sensibilités culturelles actuelles.
Il souhaite que la figure de Marie « bénie parmi les femmes » ne soit pas occultée dans cette réflexion.
Le style marial, ajoute-t-il, est un style qui « invite toute l’Église à être une mère aimante ».
Le pape François souhaite un renouvellement anthropologique qui tienne compte des identités féminine et masculine, dans leur sensibilité culturelle contemporaine.
Une position ferme qu’il explicite dans la préface d’un ouvrage édité en Espagne Dix choses que le pape François propose aux femmes de Maria Teresa Compte Grau, spécialisée en doctrine sociale de l’Église à l’université pontificale de Salamanque.
Dans cette préface, le Saint-Père se dit « inquiet de voir comment, y compris dans l’Église, le rôle de service auquel tout chrétien est appelé, dérive parfois, dans le cas des femmes, vers des rôles qui relèvent plutôt de la servitude ».
Il plaide pour un changement de mentalité fondé sur la « pleine reconnaissance de la parité des sexes » qui ne nie pas les différences biologiques mais ne profite pas non plus de ces différences pour reléguer les femmes à une position d’infériorité.
L’ouvrage espagnol, dont la sortie est, ce mercredi 7 mars à Madrid — veille de la journée internationale de la femme — arrive presque en simultané avec un long article du mensuel féminin de l’Osservatore Romano, le quotidien du Saint-Siège, dénonçant l’exploitation des religieuses dans l’Église.Cliquer
Un fait apparemment reconnu par le pape François qui pointe du doigt, dans la préface du nouvel ouvrage, « le rôle et l’image donnés à la femme au sein de l’Église ».
Le plaidoyer du pape François se résume donc en dix conseils, comme titre le nouvel ouvrage :
•1Élaborer une profonde théologie de la femme.
•2Placer Marie comme modèle et mère de l’Église.
•3Voir la maternité et la paternité comme une relation de réciprocité.
•4Admirer les femmes consacrées.
•5Libérer les femmes des regards de suspicion.
•6Ne pas voir l’émancipation de la femme comme un problème.
•7Distinguer et non séparer.
•8Inclusion et égalité face à la violence.
•9Apprécier avec bienveillance le fait que les femmes ont leur propre harmonie
•10Justice dans la place des femmes au sein de l’Église.
Dans sa préface, le pape François s’inquiète entre autres de « la persistance d’une certaine mentalité machiste ».
Il y dénonce « la persistance des actes de violences envers les femmes, transformant ces dernières en objets d’abus », et appelle à de nouvelles recherches anthropologiques où sont inclues le progrès de la science et les sensibilités culturelles actuelles.
Il souhaite que la figure de Marie « bénie parmi les femmes » ne soit pas occultée dans cette réflexion.
Le style marial, ajoute-t-il, est un style qui « invite toute l’Église à être une mère aimante ».
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Migrations
Libérer les persécutés, une mission confiée par Dieu à l’Église
Libérer les persécutés, une mission confiée par Dieu à l’Église
Audience du pape à la Commission internationale catholique pour la migration
« La libération des malheureux, des opprimés et des persécutés fait partie intégrante, aujourd’hui comme hier, de la mission que Dieu a confiée à l’Église », déclare le pape aux représentants de la Commission internationale catholique pour la migration.
« Et le travail de votre Commission représente une expression tangible de cet engagement missionnaire ».
Le pape François a reçu les membres de la Commission internationale catholique pour la migration (ICMC) ce jeudi 8 mars 2018 dans la Salle Clémentine du Vatican, à l’occasion du Conseil plénier qui se tient à Rome du 6 au 8 mars.
Après les paroles de salutations du cardinal John Njue, archevêque de Nairobi et président de la ICMC, le pape s’est adressé aux personnes présentes.
Se félicitant de l’aide apportée aux conférences épiscopales et aux diocèses par la Commission, le pape rappelle que « pour libérer les opprimés, les rejetés et les esclaves d’aujourd’hui, il est essentiel de promouvoir un dialogue ouvert et sincère avec les gouvernants, un dialogue qui met à profit l’expérience vécue des souffrances et des aspirations du peuple, pour rappeler chacun à ses responsabilités ».
Discours du pape François
Chers frères et sœurs,
Je vous souhaite la bienvenue à l’occasion du Conseil plénier de la Commission internationale catholique pour les migrations.
Je remercie cordialement le président, le card. Njue, qui a un grand sens de l’humour, pour ses paroles de salutations et pour la brève synthèse de vos travaux.
Comme le fit déjà saint Jean-Paul II, en écho aux paroles du bienheureux Jean-Baptiste Montini, je veux réaffirmer que la cause de cet organisme dont vous faites partie est la cause du Christ lui-même (cf. Discours aux membres de la CICM, 12 novembre 2001 :
Enseignements XXIV, 2 [2001], 712).
Cette réalité n’a pas changé avec le temps, au contraire, l’engagement s’est renforcé en considération des conditions inhumaines dans lesquelles tombent des millions de frères et sœurs migrants et réfugiés dans diverses parties du monde.
Comme cela s’est produit au temps du peuple d’Israël esclave en Égypte, le Seigneur écoute leur cri et connaît leurs souffrances (cf. Ex. 3,7).
La libération des malheureux, des opprimés et des persécutés fait partie intégrante, aujourd’hui comme hier, de la mission que Dieu a confiée à l’Église.
Et le travail de votre Commission représente une expression tangible de cet engagement missionnaire.
Beaucoup de choses ont changé depuis 1951, date de sa fondation:
Les besoins sont devenus de plus en plus complexes, les instruments pour y répondre de plus en plus sophistiqués, le service s’est fait de plus en plus professionnel.
Mais aucun de ces changements n’a réussi, grâce à Dieu, à ébranler la fidélité e la Commission à sa mission. Merci.
Le Seigneur envoya Moïse au milieu de son peuple opprimé pour essuyer les larmes et redonner l’espérance (cf. Ex 3,16-17).
En plus de 65 années d’activité, la Commission s’est distinguée dans la réalisation, au nom de l’Église, d’une œuvre polyédrique d’aide aux migrants et aux réfugiés dans les situations de vulnérabilité les plus diverses.
Les multiples initiatives lancées sur les cinq continents représentent des déclinaisons exemplaires des 4 verbes – accueillir, protéger, promouvoir et intégrer – avec lesquels j’ai voulu expliciter la réponse pastorale de l’Église devant les migrations (cf. Message pour la Journée mondiale du migrant et du réfugié 2018, 15 août 2017).
Je souhaite que cette œuvre se poursuive, animant les Églises locales à se prodiguer pour les personnes qui ont été contraintes de quitter leur patrie et qui deviennent trop souvent victimes de mensonges, de violences et d’abus en tous genres.
Grâce à l’expérience inestimable, accumulée au long de nombreuses années de travail, la Commission peut offrir une aide qualifiée aux Conférences épiscopales et aux diocèses qui cherchent encore à s’organiser pour mieux répondre à ce défi historique.
« Maintenant donc, va !
Je t’envoie chez Pharaon :
tu feras sortir d’Égypte mon peuple, les fils d’Israël ».
Ainsi le Seigneur envoya Moïse chez Pharaon pour le convaincre de libérer son peuple.
Pour libérer les opprimés, les rejetés et les esclaves d’aujourd’hui, il est essentiel de promouvoir un dialogue ouvert et sincère avec les gouvernants, un dialogue qui met à profit l’expérience vécue des souffrances et des aspirations du peuple, pour rappeler chacun à ses responsabilités.
Les processus lancés par la communauté internationale vers un pacte global sur les réfugiés et un autre pour une migration sure, ordonnée et régulière représentent un espace privilégié pour réaliser un tel dialogue.
Là aussi la Commission s’est engagée en première ligne, offrant une contribution valide et compétente afin de trouver ces nouvelles voies souhaitées par la communauté internationale pour répondre avec sagesse à ces phénomènes qui caractérisent notre époque.
Et je me réjouis que beaucoup des conférences épiscopales ici représentées avancent dans cette direction, dans une communion d’intentions qui témoigne au monde entier de la sollicitude pastorale de l’église envers nos frères et sœurs migrants et réfugiés.
Le travail n’est pas conclu.
Ensemble, nous devons encourager les États à se mettre d’accord sur les réponses les plus adéquates et efficaces aux défis posés par les phénomènes migratoires ; et nous pouvons le faire sur la base des principes fondamentaux de la doctrine sociale de l’Église.
Nous devons en outre nous engager pour assurer qu’aux paroles – codifiées dans les pactes cités – suivent des engagements concrets sous le signe d’une responsabilité mondiale et partagée.
Mais l’engagement de la Commission va au-delà. Je demande à l’Esprit Saint de continuer d’illuminer votre importante mission, en manifestant l’amour miséricordieux de Dieu à nos frères et sœurs migrants et réfugiés.
Je vous assure de ma proximité et de ma prière ; et vous, surtout, n’oubliez pas de prier pour moi.
Merci.
« Et le travail de votre Commission représente une expression tangible de cet engagement missionnaire ».
Le pape François a reçu les membres de la Commission internationale catholique pour la migration (ICMC) ce jeudi 8 mars 2018 dans la Salle Clémentine du Vatican, à l’occasion du Conseil plénier qui se tient à Rome du 6 au 8 mars.
Après les paroles de salutations du cardinal John Njue, archevêque de Nairobi et président de la ICMC, le pape s’est adressé aux personnes présentes.
Se félicitant de l’aide apportée aux conférences épiscopales et aux diocèses par la Commission, le pape rappelle que « pour libérer les opprimés, les rejetés et les esclaves d’aujourd’hui, il est essentiel de promouvoir un dialogue ouvert et sincère avec les gouvernants, un dialogue qui met à profit l’expérience vécue des souffrances et des aspirations du peuple, pour rappeler chacun à ses responsabilités ».
Discours du pape François
Chers frères et sœurs,
Je vous souhaite la bienvenue à l’occasion du Conseil plénier de la Commission internationale catholique pour les migrations.
Je remercie cordialement le président, le card. Njue, qui a un grand sens de l’humour, pour ses paroles de salutations et pour la brève synthèse de vos travaux.
Comme le fit déjà saint Jean-Paul II, en écho aux paroles du bienheureux Jean-Baptiste Montini, je veux réaffirmer que la cause de cet organisme dont vous faites partie est la cause du Christ lui-même (cf. Discours aux membres de la CICM, 12 novembre 2001 :
Enseignements XXIV, 2 [2001], 712).
Cette réalité n’a pas changé avec le temps, au contraire, l’engagement s’est renforcé en considération des conditions inhumaines dans lesquelles tombent des millions de frères et sœurs migrants et réfugiés dans diverses parties du monde.
Comme cela s’est produit au temps du peuple d’Israël esclave en Égypte, le Seigneur écoute leur cri et connaît leurs souffrances (cf. Ex. 3,7).
La libération des malheureux, des opprimés et des persécutés fait partie intégrante, aujourd’hui comme hier, de la mission que Dieu a confiée à l’Église.
Et le travail de votre Commission représente une expression tangible de cet engagement missionnaire.
Beaucoup de choses ont changé depuis 1951, date de sa fondation:
Les besoins sont devenus de plus en plus complexes, les instruments pour y répondre de plus en plus sophistiqués, le service s’est fait de plus en plus professionnel.
Mais aucun de ces changements n’a réussi, grâce à Dieu, à ébranler la fidélité e la Commission à sa mission. Merci.
Le Seigneur envoya Moïse au milieu de son peuple opprimé pour essuyer les larmes et redonner l’espérance (cf. Ex 3,16-17).
En plus de 65 années d’activité, la Commission s’est distinguée dans la réalisation, au nom de l’Église, d’une œuvre polyédrique d’aide aux migrants et aux réfugiés dans les situations de vulnérabilité les plus diverses.
Les multiples initiatives lancées sur les cinq continents représentent des déclinaisons exemplaires des 4 verbes – accueillir, protéger, promouvoir et intégrer – avec lesquels j’ai voulu expliciter la réponse pastorale de l’Église devant les migrations (cf. Message pour la Journée mondiale du migrant et du réfugié 2018, 15 août 2017).
Je souhaite que cette œuvre se poursuive, animant les Églises locales à se prodiguer pour les personnes qui ont été contraintes de quitter leur patrie et qui deviennent trop souvent victimes de mensonges, de violences et d’abus en tous genres.
Grâce à l’expérience inestimable, accumulée au long de nombreuses années de travail, la Commission peut offrir une aide qualifiée aux Conférences épiscopales et aux diocèses qui cherchent encore à s’organiser pour mieux répondre à ce défi historique.
« Maintenant donc, va !
Je t’envoie chez Pharaon :
tu feras sortir d’Égypte mon peuple, les fils d’Israël ».
Ainsi le Seigneur envoya Moïse chez Pharaon pour le convaincre de libérer son peuple.
Pour libérer les opprimés, les rejetés et les esclaves d’aujourd’hui, il est essentiel de promouvoir un dialogue ouvert et sincère avec les gouvernants, un dialogue qui met à profit l’expérience vécue des souffrances et des aspirations du peuple, pour rappeler chacun à ses responsabilités.
Les processus lancés par la communauté internationale vers un pacte global sur les réfugiés et un autre pour une migration sure, ordonnée et régulière représentent un espace privilégié pour réaliser un tel dialogue.
Là aussi la Commission s’est engagée en première ligne, offrant une contribution valide et compétente afin de trouver ces nouvelles voies souhaitées par la communauté internationale pour répondre avec sagesse à ces phénomènes qui caractérisent notre époque.
Et je me réjouis que beaucoup des conférences épiscopales ici représentées avancent dans cette direction, dans une communion d’intentions qui témoigne au monde entier de la sollicitude pastorale de l’église envers nos frères et sœurs migrants et réfugiés.
Le travail n’est pas conclu.
Ensemble, nous devons encourager les États à se mettre d’accord sur les réponses les plus adéquates et efficaces aux défis posés par les phénomènes migratoires ; et nous pouvons le faire sur la base des principes fondamentaux de la doctrine sociale de l’Église.
Nous devons en outre nous engager pour assurer qu’aux paroles – codifiées dans les pactes cités – suivent des engagements concrets sous le signe d’une responsabilité mondiale et partagée.
Mais l’engagement de la Commission va au-delà. Je demande à l’Esprit Saint de continuer d’illuminer votre importante mission, en manifestant l’amour miséricordieux de Dieu à nos frères et sœurs migrants et réfugiés.
Je vous assure de ma proximité et de ma prière ; et vous, surtout, n’oubliez pas de prier pour moi.
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Le Pape François a présidé hier soir une liturgie de la pénitence, à la basilique Saint-Pierre.
Après son homélie, comme chaque année depuis qu'il a institué cette célébration durant le Carême, le Saint-Père est d'abord allé se confesser lui-même, avant de recevoir plusieurs personnes au confessionnal.
Notre chemin de Carême a commencé le mercredi des Cendres, faisons comme le pape François et prenons une bonne résolution :
Un petit exercice facile que l'on nomme "examen de conscience" qui heureusement ne peut pas se faire par un clic sur le net mais qui nous demande un petit effort, petits et grands, nous sommes tous appelés à prendre un peu de temps pour et avec Jésus.
Les dernières confessions peuvent se faire samedi-saint.
Ne manquons pas ce merveilleux rendez-vous.
Bien des chrétiens sont convaincus de la beauté et de la grandeur du sacrement de Réconciliation.
Mais de là à aller se confesser, il y a loin.
Voici 2 examens de conscience, l'un pour adultes et l'autre pour jeunes.
Examen de Conscience pour Adultes
Examen de conscience pour ados
Après son homélie, comme chaque année depuis qu'il a institué cette célébration durant le Carême, le Saint-Père est d'abord allé se confesser lui-même, avant de recevoir plusieurs personnes au confessionnal.
Notre chemin de Carême a commencé le mercredi des Cendres, faisons comme le pape François et prenons une bonne résolution :
Un petit exercice facile que l'on nomme "examen de conscience" qui heureusement ne peut pas se faire par un clic sur le net mais qui nous demande un petit effort, petits et grands, nous sommes tous appelés à prendre un peu de temps pour et avec Jésus.
Les dernières confessions peuvent se faire samedi-saint.
Ne manquons pas ce merveilleux rendez-vous.
Bien des chrétiens sont convaincus de la beauté et de la grandeur du sacrement de Réconciliation.
Mais de là à aller se confesser, il y a loin.
Voici 2 examens de conscience, l'un pour adultes et l'autre pour jeunes.
Examen de Conscience pour Adultes
Examen de conscience pour ados
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Mgr Vigano évoque le lien théologique entre Benoît XVI et le Pape François
Le préfet du Secrétariat pour la Communication du Saint-Siège explique le sens de la lettre du Pape émérite à l'occasion de la sortie du recueil intitulé "La Théologie du Pape François".
Benoît XVI réaffirme la continuité entre son pontificat et celui de son successeur.
Le préfet du Secrétariat pour la Communication du Saint-Siège explique le sens de la lettre du Pape émérite à l'occasion de la sortie du recueil intitulé "La Théologie du Pape François".
Benoît XVI réaffirme la continuité entre son pontificat et celui de son successeur.
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Le pape François, « un homme d’une formation philosophique et théologique profonde », hommage de Benoît XVI
Il souligne la « continuité intérieure entre les deux pontificats »
Lettre De Benoît XVI Et Volume Sur La Théologie Du Pape François Vatican Media
« Le pape François est un homme d’une formation philosophique et théologique profonde », affirme Benoît XVI qui souligne « la continuité intérieure entre les deux pontificats ».
Dans une lettre envoyée à Mgr Dario Edoardo Viganò, préfet du Secrétariat pour la communication, le pape émérite allemand salue la collection « La théologie du pape François » éditée par la Librairie éditrice du Vatican (LEV), présentée ce 12 mars 2018 à Rome.
« J’applaudis cette initiative, écrit Benoît XVI, qui veut s’opposer et réagir au préjugé insensé selon lequel le pape François serait seulement un homme pratique dénué de formation théologique ou philosophique particulière, tandis que j’aurais été uniquement un théoricien de la théologie qui aurait peu compris la vie concrète d’un chrétien aujourd’hui. »
Remerciant pour les 11 exemplaires de la collection – signés par des théologiens – qui lui ont été offerts, le pape émérite estime que « les petits volumes montrent à juste titre que le pape François est un homme d’une formation philosophie et théologique profonde et ils aident par conséquent à voir la continuité intérieure entre les deux pontificats, malgré toutes les différences de style et de tempérament”.
Le responsable éditorial de la LEV, le frère Giulio Cesareo, a précisé que la collection serait publiée en anglais, en espagnol, en français, en portugais, en polonais et en roumain.
Dans une lettre envoyée à Mgr Dario Edoardo Viganò, préfet du Secrétariat pour la communication, le pape émérite allemand salue la collection « La théologie du pape François » éditée par la Librairie éditrice du Vatican (LEV), présentée ce 12 mars 2018 à Rome.
« J’applaudis cette initiative, écrit Benoît XVI, qui veut s’opposer et réagir au préjugé insensé selon lequel le pape François serait seulement un homme pratique dénué de formation théologique ou philosophique particulière, tandis que j’aurais été uniquement un théoricien de la théologie qui aurait peu compris la vie concrète d’un chrétien aujourd’hui. »
Remerciant pour les 11 exemplaires de la collection – signés par des théologiens – qui lui ont été offerts, le pape émérite estime que « les petits volumes montrent à juste titre que le pape François est un homme d’une formation philosophie et théologique profonde et ils aident par conséquent à voir la continuité intérieure entre les deux pontificats, malgré toutes les différences de style et de tempérament”.
Le responsable éditorial de la LEV, le frère Giulio Cesareo, a précisé que la collection serait publiée en anglais, en espagnol, en français, en portugais, en polonais et en roumain.
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Il y a cinq ans, François était élu pape
Surnommé le pape réformateur, François interpelle autant qu’il séduit.
À l’occasion des cinq ans de son pontificat, Christiane Rancé, essayiste et auteur du livre « François, un pape parmi les hommes », revient pour Aleteia sur son image, son action et les défis qu’il doit relever.
Le 13 mars 2013, Jorge Mario Bergoglio, archevêque de Buenos Aires, est élu 266e pape de l’Église catholique.
Il prend alors le nom de François, en référence à saint François d’Assise.
Élu avec pour mission de réformer l’Église et la Curie, le pape François chahute et bouscule
Christiane Rancé, essayiste et auteur du livre François, un pape parmi les hommes, revient pour Aleteia sur les cinq premières années de son pontificat.
Lire aussi : Le fil d’Ariane des cinq ans du pontificat de François
Aleteia : Comment décririez-vous le « style » François ?
Christiane Rancé :
Le style François, c’est celui des curés italiens du Piémont du siècle dernier, qui pratiquaient un christianisme à la fois pieux et fortement engagé auprès des plus pauvres.
Ils suivaient l’exemple don Giovanni Bosco, ce fils de pauvres paysans de Castelnuovo, patrie originelle des Bergoglio, canonisé par Pie XI en 1934, et fondateur de l’Ordre des Salésiens de don Bosco.
François a un petit côté don Camillo.
Une bonhomie pleine de tendresse, de fermeté et de familiarité au sens noble du terme, et qui pousse celui qui la reçoit au meilleur de lui-même.
Un don Camillo qui s’autorise à sermonner tous les Pepone du monde quand il sent que son Eglise est menacée.
Ce style, c’est sa grand-mère Rosa Margarita qui l’a inspiré à François.
Jorge Mario Bergoglio a été élevé dans l’admiration des œuvres de don Bosco, qui s’était dévoué à la cause des enfants abandonnés de Turin et à leur éducation, ainsi qu’au sort des vagabonds, et à toutes les périphéries sociales qui surgissaient en marge des premières villes industrielles.
Lorsqu’il a été nommé archevêque de Buenos Aires, Bergoglio s’en est souvenu.
Il a circulé en métro.
Il demandait qu’on l’appelle monsieur le curé et consacrait ses après-midi à visiter les très nombreux bidonvilles qui ont fleuri à Buenos Aires dès les années 1990.
Lire aussi : Cinq ans de pontificat en dix chiffres
Surnommé le pape réformateur, François interpelle autant qu’il séduit.
À l’occasion des cinq ans de son pontificat, Christiane Rancé, essayiste et auteur du livre « François, un pape parmi les hommes », revient pour Aleteia sur son image, son action et les défis qu’il doit relever.
Le 13 mars 2013, Jorge Mario Bergoglio, archevêque de Buenos Aires, est élu 266e pape de l’Église catholique.
Il prend alors le nom de François, en référence à saint François d’Assise.
Élu avec pour mission de réformer l’Église et la Curie, le pape François chahute et bouscule
Christiane Rancé, essayiste et auteur du livre François, un pape parmi les hommes, revient pour Aleteia sur les cinq premières années de son pontificat.
Lire aussi : Le fil d’Ariane des cinq ans du pontificat de François
Aleteia : Comment décririez-vous le « style » François ?
Christiane Rancé :
Le style François, c’est celui des curés italiens du Piémont du siècle dernier, qui pratiquaient un christianisme à la fois pieux et fortement engagé auprès des plus pauvres.
Ils suivaient l’exemple don Giovanni Bosco, ce fils de pauvres paysans de Castelnuovo, patrie originelle des Bergoglio, canonisé par Pie XI en 1934, et fondateur de l’Ordre des Salésiens de don Bosco.
François a un petit côté don Camillo.
Une bonhomie pleine de tendresse, de fermeté et de familiarité au sens noble du terme, et qui pousse celui qui la reçoit au meilleur de lui-même.
Un don Camillo qui s’autorise à sermonner tous les Pepone du monde quand il sent que son Eglise est menacée.
Ce style, c’est sa grand-mère Rosa Margarita qui l’a inspiré à François.
Jorge Mario Bergoglio a été élevé dans l’admiration des œuvres de don Bosco, qui s’était dévoué à la cause des enfants abandonnés de Turin et à leur éducation, ainsi qu’au sort des vagabonds, et à toutes les périphéries sociales qui surgissaient en marge des premières villes industrielles.
Lorsqu’il a été nommé archevêque de Buenos Aires, Bergoglio s’en est souvenu.
Il a circulé en métro.
Il demandait qu’on l’appelle monsieur le curé et consacrait ses après-midi à visiter les très nombreux bidonvilles qui ont fleuri à Buenos Aires dès les années 1990.
Lire aussi : Cinq ans de pontificat en dix chiffres
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Le pape François invité à se rendre au Pakistan
MGR JOSEPH COUTTS
En visite au Vatican, les évêques pakistanais ont bien l’intention de sensibiliser le pontife à la situation difficile des chrétiens dans le pays.
Jeudi 15 mars, les évêques du Pakistan rencontreront le pape François au Vatican, à l’occasion de leur visite ad limina.
Jusqu’ici rien que de très normal : tous les évêques du monde se rendent périodiquement ad limina apostolorum, c’est-à-dire sur le seuil des tombes des apôtres.
Et bien sûr, cela concerne les premiers d’entre eux à Rome, à savoir saint Pierre et saint Paul, enterrés dans leurs basiliques respectives.
La visite concerne aussi, de manière concrète, leurs successeurs :
Le Pape actuel et ses collaborateurs.
Mais selon la branche italienne de la fondation de droit pontifical Aide à l’Église en détresse, ces évêques pakistanais, emmenés par Mgr Joseph Coutts, archevêque de Karachi, ont la ferme intention d’inviter le souverain pontife à se rendre en visite apostolique dans leur pays.
Ils ne sont certes pas les seuls à tenter leur chance, mais ont-ils bon espoir d’être entendus ?
Pour Mgr Joseph Coutts, la République islamique possède un certain nombre d’atouts.
Au Pakistan, affirme-t-il ainsi, tout le monde, quelle que soit sa religion, estime beaucoup le chef de l’Église catholique, considéré comme un « homme de paix ».
Ce qui frappe les musulmans, souligne-il encore, ce sont les relations que le Vatican entretient avec le centre musulman Al-Azhar, en Égypte.
Mais cette invitation, également partagée par l′actuel gouvernement du pays, devra cependant être confirmée par les prochains responsables politiques de la République islamique, après les élections du 15 juillet.
Le prélat se dit néanmoins confiant sur l’issue positive d’une telle requête.
D′autant que cette visite emmènerait le pape aux « périphéries de l’Église ».
Il y a un mois, l′évêque de Rome avait réaffirmé sa préoccupation pour les chrétiens d’Orient, offrant une messe pour ce « peuple crucifié comme Jésus ».
Un climat politique et social tendu
Avant de rencontrer le pape et de lui proposer ce voyage, les évêques participeront donc à sa messe à la Maison Sainte-Marthe.
C’est ensuite qu′ils seront reçus en audience dans l’une des salles officielles du Palais apostolique.
Au cours de cet échange, ils exposeront au successeur de Pierre la situation dans le pays, caractérisée par de nombreuses « tensions » sociales et religieuses.
Bien que ce pays compte une immense majorité de musulmans — près de 96% de la population — il n’en demeure pas moins que près de quatre millions des Pakistanais sont chrétiens.
La moitié d′entre eux sont catholiques, l′autre protestants.
Mais cette communauté souffre de graves discriminations et de violences, dans un climat politique qui leur est largement défavorable.
Malheureusement, rappelle l′archevêque de Karachi, ces dernières années, plusieurs églises ont été visées par des attentats terroristes.
C′est pour cette raison, explique-t-il, que la police surveille nos lieux de culte
Le terrorisme islamique est un danger constant :
« Nous ne savons ni où ni quand les terroristes frapperont à nouveau ».
La dernière attaque a frappé l’église méthodiste de Quetta, dans le sud-ouest du pays, le 17 décembre dernier.
Le jour de Pâques, en 2016, un attentat suicide avait aussi ensanglanté un parc de la ville de Lahore :
78 personnes avaient été tuées ce jour-là, dont près de la moitié étaient des enfants.
La loi anti-blasphème, une épée de Damoclès
Par ailleurs, une autre source de souffrance pour les chrétiens de la République islamique du Pakistan réside dans l’abus de la loi anti-blasphème, qui punit de mort ceux qui prononcent des paroles outrageantes vis-à-vis de l′Islam.
C′est à cause de cette loi qu′un garçon chrétien de Lahore, Patras Masih, a récemment été accusé d’offenser le prophète Mahomet.
C′est également à cause de cette même loi qu′Asia Bibi est emprisonnée depuis 2009. ″Je pense souvent à ta mère et je prie pour elle″, avait confié le pape François à la fille de la “martyre“, lors d’une audience en février dernier, à Rome.
Pour Mgr Coutts, une fois de plus, un innocent est accusé sans aucune preuve et sans possibilité de se défendre.
« Tôt ou tard, explique-t-il, quelqu’un d’autre sera accusé ».
Qu′il soit véritablement coupable ou innocent.
Il faut par conséquent un véritable changement de mentalité afin d’empêcher l’abus de la règle, qui est une véritable épée de Damoclès.
Malheureusement, « le problème de la loi anti-blasphème est inhérent à notre société », déclare l′archevêque.
MGR JOSEPH COUTTS
En visite au Vatican, les évêques pakistanais ont bien l’intention de sensibiliser le pontife à la situation difficile des chrétiens dans le pays.
Jeudi 15 mars, les évêques du Pakistan rencontreront le pape François au Vatican, à l’occasion de leur visite ad limina.
Jusqu’ici rien que de très normal : tous les évêques du monde se rendent périodiquement ad limina apostolorum, c’est-à-dire sur le seuil des tombes des apôtres.
Et bien sûr, cela concerne les premiers d’entre eux à Rome, à savoir saint Pierre et saint Paul, enterrés dans leurs basiliques respectives.
La visite concerne aussi, de manière concrète, leurs successeurs :
Le Pape actuel et ses collaborateurs.
Mais selon la branche italienne de la fondation de droit pontifical Aide à l’Église en détresse, ces évêques pakistanais, emmenés par Mgr Joseph Coutts, archevêque de Karachi, ont la ferme intention d’inviter le souverain pontife à se rendre en visite apostolique dans leur pays.
Ils ne sont certes pas les seuls à tenter leur chance, mais ont-ils bon espoir d’être entendus ?
Pour Mgr Joseph Coutts, la République islamique possède un certain nombre d’atouts.
Au Pakistan, affirme-t-il ainsi, tout le monde, quelle que soit sa religion, estime beaucoup le chef de l’Église catholique, considéré comme un « homme de paix ».
Ce qui frappe les musulmans, souligne-il encore, ce sont les relations que le Vatican entretient avec le centre musulman Al-Azhar, en Égypte.
Mais cette invitation, également partagée par l′actuel gouvernement du pays, devra cependant être confirmée par les prochains responsables politiques de la République islamique, après les élections du 15 juillet.
Le prélat se dit néanmoins confiant sur l’issue positive d’une telle requête.
D′autant que cette visite emmènerait le pape aux « périphéries de l’Église ».
Il y a un mois, l′évêque de Rome avait réaffirmé sa préoccupation pour les chrétiens d’Orient, offrant une messe pour ce « peuple crucifié comme Jésus ».
Un climat politique et social tendu
Avant de rencontrer le pape et de lui proposer ce voyage, les évêques participeront donc à sa messe à la Maison Sainte-Marthe.
C’est ensuite qu′ils seront reçus en audience dans l’une des salles officielles du Palais apostolique.
Au cours de cet échange, ils exposeront au successeur de Pierre la situation dans le pays, caractérisée par de nombreuses « tensions » sociales et religieuses.
Bien que ce pays compte une immense majorité de musulmans — près de 96% de la population — il n’en demeure pas moins que près de quatre millions des Pakistanais sont chrétiens.
La moitié d′entre eux sont catholiques, l′autre protestants.
Mais cette communauté souffre de graves discriminations et de violences, dans un climat politique qui leur est largement défavorable.
Malheureusement, rappelle l′archevêque de Karachi, ces dernières années, plusieurs églises ont été visées par des attentats terroristes.
C′est pour cette raison, explique-t-il, que la police surveille nos lieux de culte
Le terrorisme islamique est un danger constant :
« Nous ne savons ni où ni quand les terroristes frapperont à nouveau ».
La dernière attaque a frappé l’église méthodiste de Quetta, dans le sud-ouest du pays, le 17 décembre dernier.
Le jour de Pâques, en 2016, un attentat suicide avait aussi ensanglanté un parc de la ville de Lahore :
78 personnes avaient été tuées ce jour-là, dont près de la moitié étaient des enfants.
La loi anti-blasphème, une épée de Damoclès
Par ailleurs, une autre source de souffrance pour les chrétiens de la République islamique du Pakistan réside dans l’abus de la loi anti-blasphème, qui punit de mort ceux qui prononcent des paroles outrageantes vis-à-vis de l′Islam.
C′est à cause de cette loi qu′un garçon chrétien de Lahore, Patras Masih, a récemment été accusé d’offenser le prophète Mahomet.
C′est également à cause de cette même loi qu′Asia Bibi est emprisonnée depuis 2009. ″Je pense souvent à ta mère et je prie pour elle″, avait confié le pape François à la fille de la “martyre“, lors d’une audience en février dernier, à Rome.
Pour Mgr Coutts, une fois de plus, un innocent est accusé sans aucune preuve et sans possibilité de se défendre.
« Tôt ou tard, explique-t-il, quelqu’un d’autre sera accusé ».
Qu′il soit véritablement coupable ou innocent.
Il faut par conséquent un véritable changement de mentalité afin d’empêcher l’abus de la règle, qui est une véritable épée de Damoclès.
Malheureusement, « le problème de la loi anti-blasphème est inhérent à notre société », déclare l′archevêque.
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
source la-croix.com 02/03/2018
Une nouvelle exhortation apostolique serait en préparation et porterait sur la sainteté. Une allusion a d’ailleurs été faite à ce sujet mercredi 28 février, en marge de la présentation du livre d’un journaliste italien, par le cardinal Oscar Rodriguez Maradiaga, archevêque de Tegucigalpa et coordinateur du Conseil des neuf cardinaux chargés de conseiller le pape dans la réforme de la curie romaine.« J’ai entendu un bruit, lointain, selon lequel le pape serait en train de préparer un beau document sur la sainteté, a-t-il affirmé. Nous sommes tous appelés à la sainteté, si nous n’écoutons pas cet appel, la réforme ne fonctionne pas. » Selon Andrea Tornielli, réputé pour ses informations fiables, le texte pourrait être signé le 19 mars et paraître autour de Pâques, le temps de le traduire dans différentes langues.La question de l’appel à la sainteté de tous les baptisés, évoquée notamment dans la Constitution conciliaire Lumen gentium, est un sujet important pour le pape François. Il y avait notamment consacré sa catéchèse du 19 novembre 2014. « La sainteté n’est pas une prérogative uniquement de certains : la sainteté est un don qui est offert à tous, sans exclure personne, et qui constitue ainsi le caractère distinctif de chaque chrétien », avait-il affirmé.
Une nouvelle exhortation apostolique serait en préparation et porterait sur la sainteté. Une allusion a d’ailleurs été faite à ce sujet mercredi 28 février, en marge de la présentation du livre d’un journaliste italien, par le cardinal Oscar Rodriguez Maradiaga, archevêque de Tegucigalpa et coordinateur du Conseil des neuf cardinaux chargés de conseiller le pape dans la réforme de la curie romaine.« J’ai entendu un bruit, lointain, selon lequel le pape serait en train de préparer un beau document sur la sainteté, a-t-il affirmé. Nous sommes tous appelés à la sainteté, si nous n’écoutons pas cet appel, la réforme ne fonctionne pas. » Selon Andrea Tornielli, réputé pour ses informations fiables, le texte pourrait être signé le 19 mars et paraître autour de Pâques, le temps de le traduire dans différentes langues.La question de l’appel à la sainteté de tous les baptisés, évoquée notamment dans la Constitution conciliaire Lumen gentium, est un sujet important pour le pape François. Il y avait notamment consacré sa catéchèse du 19 novembre 2014. « La sainteté n’est pas une prérogative uniquement de certains : la sainteté est un don qui est offert à tous, sans exclure personne, et qui constitue ainsi le caractère distinctif de chaque chrétien », avait-il affirmé.
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Ce samedi, 17 mars, le pape François se rendra sur les lieux emblématiques du saint capucin Padre Pio, dans le sud de l’Italie : d’abord à Pietrelcina, sa ville natale, puis à San Giovanni Rotondo, où le saint a vécu toute sa vie.
Cette visite d’une demi-journée se déroulera dans le cadre du 50e anniversaire de la mort du saint Padre Pio et du centenaire de l’apparition sur son corps des stigmates de la Passion du Christ.
À Pietrelcina, le Saint-Père priera dans la chapelle des stigmates ; à San Giovanni Rotondo, il se recueillera devant la dépouille du saint, visitera le département de pédiatrie oncologique de l’hôpital fondé par Padre Pio, puis il célébrera la messe sur l’esplanade du sanctuaire Sainte-Marie-des-Grâces.
Quelque 30 000 fidèles sont attendus ; parmi eux de très nombreux jeunes qui prépareront l’arrivée du pape par une veillée de prière.
Direct de KTO
8 h 00
Visite du Pape François à Pietrelcina, rencontre avec les fidèles à l'occasion du centenaire de l'apparition des stigmates de Saint Pie de Pietrelcina.
Ce sera ici
10 h 40
Visite du Pape François à San Giovanni Rotondo : concélébration eucharistique à l'occasion du 50ème anniversaire de la mort de Saint Pie de Pietrelcina.
Cette visite d’une demi-journée se déroulera dans le cadre du 50e anniversaire de la mort du saint Padre Pio et du centenaire de l’apparition sur son corps des stigmates de la Passion du Christ.
À Pietrelcina, le Saint-Père priera dans la chapelle des stigmates ; à San Giovanni Rotondo, il se recueillera devant la dépouille du saint, visitera le département de pédiatrie oncologique de l’hôpital fondé par Padre Pio, puis il célébrera la messe sur l’esplanade du sanctuaire Sainte-Marie-des-Grâces.
Quelque 30 000 fidèles sont attendus ; parmi eux de très nombreux jeunes qui prépareront l’arrivée du pape par une veillée de prière.
Direct de KTO
8 h 00
Visite du Pape François à Pietrelcina, rencontre avec les fidèles à l'occasion du centenaire de l'apparition des stigmates de Saint Pie de Pietrelcina.
Ce sera ici
10 h 40
Visite du Pape François à San Giovanni Rotondo : concélébration eucharistique à l'occasion du 50ème anniversaire de la mort de Saint Pie de Pietrelcina.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Marie du 65 a écrit:Ce samedi, 17 mars, le pape François se rendra sur les lieux emblématiques du saint capucin Padre Pio, dans le sud de l’Italie : d’abord à Pietrelcina, sa ville natale, puis à San Giovanni Rotondo, où le saint a vécu toute sa vie.
Cette visite d’une demi-journée se déroulera dans le cadre du 50e anniversaire de la mort du saint Padre Pio et du centenaire de l’apparition sur son corps des stigmates de la Passion du Christ.
À Pietrelcina, le Saint-Père priera dans la chapelle des stigmates ; à San Giovanni Rotondo, il se recueillera devant la dépouille du saint, visitera le département de pédiatrie oncologique de l’hôpital fondé par Padre Pio, puis il célébrera la messe sur l’esplanade du sanctuaire Sainte-Marie-des-Grâces.
Quelque 30 000 fidèles sont attendus ; parmi eux de très nombreux jeunes qui prépareront l’arrivée du pape par une veillée de prière.
Direct de KTO
8 h 00
Visite du Pape François à Pietrelcina, rencontre avec les fidèles à l'occasion du centenaire de l'apparition des stigmates de Saint Pie de Pietrelcina.
Ce sera ici
10 h 40
Visite du Pape François à San Giovanni Rotondo : concélébration eucharistique à l'occasion du 50ème anniversaire de la mort de Saint Pie de Pietrelcina.
Bonjour @Tous
Si vous n'avez pas pu regarder le début de ces célébrations, je posterai plus tard les vidéos
En UDP
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Marie du 65 a écrit:Marie du 65 a écrit:Ce samedi, 17 mars, le pape François se rendra sur les lieux emblématiques du saint capucin Padre Pio, dans le sud de l’Italie : d’abord à Pietrelcina, sa ville natale, puis à San Giovanni Rotondo, où le saint a vécu toute sa vie.
Cette visite d’une demi-journée se déroulera dans le cadre du 50e anniversaire de la mort du saint Padre Pio et du centenaire de l’apparition sur son corps des stigmates de la Passion du Christ.
À Pietrelcina, le Saint-Père priera dans la chapelle des stigmates ; à San Giovanni Rotondo, il se recueillera devant la dépouille du saint, visitera le département de pédiatrie oncologique de l’hôpital fondé par Padre Pio, puis il célébrera la messe sur l’esplanade du sanctuaire Sainte-Marie-des-Grâces.
Quelque 30 000 fidèles sont attendus ; parmi eux de très nombreux jeunes qui prépareront l’arrivée du pape par une veillée de prière.
Direct de KTO
8 h 00
Visite du Pape François à Pietrelcina, rencontre avec les fidèles à l'occasion du centenaire de l'apparition des stigmates de Saint Pie de Pietrelcina.
Ce sera ici
10 h 40
Visite du Pape François à San Giovanni Rotondo : concélébration eucharistique à l'occasion du 50ème anniversaire de la mort de Saint Pie de Pietrelcina.
Bonjour @Tous
Si vous n'avez pas pu regarder le début de ces célébrations, je posterai plus tard les vidéos
En UDP
Super sympa !
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Je n'avais pas vu ton message, je t'en prie Isabelle-Marie!
Qu'est ce qu'on ne ferait pas pour notre Pape
Je vais regarder de suite, en attendant voici un article
Qu'est ce qu'on ne ferait pas pour notre Pape
Je vais regarder de suite, en attendant voici un article
Voyage à Pietrelcina
Vivez en paix, donnez un témoignage de communion !
Vivez en paix, donnez un témoignage de communion !
Visite du pape François au pays de saint Pio
A Pietrelcina, ville natale de saint Pio, le pape François a exhorté à ne pas “se disputer”, à vivre en paix, et à la confiance en Jésus à l’exemple du saint capucin italien, dont les reliques sont venues à Rome pour le Jubilé de la miséricorde, en février 2016: le pape voit en lui un « serviteur » de la miséricorde.
Le pape François est parti en hélicoptère du Vatican à 7h ce samedi matin, 17 mars 2018.
Il s’est rendu à la ville natale de Francesco Forgione (saint Padre Pio) Pietrelcina dans la région italienne des Pouilles.
Il s’est recueilli dans la chapelle de « l’orme des stigmates ».
En effet, le voyage s’inscrit dans le cadre du centenaire de l’apparition des stigmates de la passion du Christ sur le corps de saint Pio (1887-1968) et du 50e anniversaire de sa « naissance au ciel ».
A son arrivée à la “Piana Romana” vers 8h15, le pape s’est d’abord recueilli auprès de la statue de la Vierge Marie et il a offert un rosaire.
Il a été accueilli par l’archevêque de Bénévent, Mgr Felice Arocca, qui s’est fait l’interprète de la « grande » affection de tous pour le pape qui a ensuite pris la parole.
C’est ici, a dit notamment le pape que saint Pio a « appris à prier » et à « reconnaître dans les pauvres la « chair du Christ », et il y est entré chez les capucins et il a aimé l’Eglise, l’Eglise est « sainte », même si ses fils sont des « pécheurs ».
Le pape a aussi rappelé que le saint capucin était assailli par le démon:
« Vous êtes convaincus que le démon existe? », a demandé le pape, deux fois, avant de reprendre :
« Il nous tourmente, il nous trompe.
Lui, avait peur que le démon le pousse au péché » et « il pouvait en parler à peu de personnes », mais « il voulait comprendre ce qui se passait dans son âme ».
Mais le saint « s’abandonnait avec confiance dans les bras de Jésus », a insisté le pape: c’est « une théologie! » Saint Pio « aimait Jésus et il avait confiance en lui ».
Puis le pape a exhorté à la paix :
« S’il vous plaît, paix entre vous, communion entre vous et si quelqu’un a envie de médire d’un autre, mordez-vous la langue, cela fera du bien, donnez ce témoignage de communion ».
Il a également évoqué la plaie de la « migration interne des jeunes » invitant à « prier la Vierge Marie pour que les jeunes trouvent du travail ici au milieu de vous et qu’ils ne soient pas obligés de partir ».
« La population vieillit, a encore constaté le pape : c’est un trésor, ne marginalisez pas les vieux, ils sont la sagesse d’un pays ».
Puis il ajoute qu’il a rencontré un monsieur de 99 ans et une « jeune » de 97 :
« cela m’a fait plaisir ».
« Que la Vierge Marie vous aide à marcher sur le chemin de la sainteté et s’il vous plaît, priez pour moi parce que j’en ai besoin.
Merci! », a conclu le pape avant d’inviter à prier avec lui un « Je vous salue Marie » et de donner sa bénédiction.
Le pape a ensuite salué les évêques de la région des Pouilles et les capucins toujours sur le podium de cette « Piana Romana » de Pietrelcina, et il a salué des représentants de la population tandis que l’orgue accompagnait la chorale.
Il a béni des enfants et des jeunes mamans enceintes.
En allant ensuite bénir les malades, le pape a rencontré une dame âgée qui lui a dit:
« Bonne journée et bienvenu à Pietrelcina! »
Le pape lui a demandé son âge: « 84!
Et vous? » « 81 », a répondu le pape en l’embrassant et en la bénissant.
Puis il a béni et salué les malades, petits et grands, et leurs familles, prenant le temps des « selfies » avec eux.
Et quand un bébé s’est mis à pleurer, le pape a dit en le bénissant:
« Il a faim ! Donnez-lui à manger ! »
Il est reparti en voiture, un peu avant 9h, et en hélicoptère pour San Giovanni Rotondo où repose saint Padre Pio.
Le pape devait arriver sur le terrain de sport « Antonio Massa » de San Giovanni Rotondo vers 9h30, puis se rendre à l’hôpital “Casa sollievo della Sofferenza” fondé par saint Pio de Pietrelcina pour visiter spécialement l’unité d’oncologie pédiatrique, avant d’aller prier auprès de Padre Pio et de présider la messe, à 11h15.
Départ prévu à 13h et retour au Vatican à 14h.
Le pape a anticipé sa visite pour manifester sa proximité à l’évêque de Manfredonia, Mgr Michele Castoro, lui-même malade et encouragé par les enfants de l’hôpital à lutter contre la maladie.
Le pape François est parti en hélicoptère du Vatican à 7h ce samedi matin, 17 mars 2018.
Il s’est rendu à la ville natale de Francesco Forgione (saint Padre Pio) Pietrelcina dans la région italienne des Pouilles.
Il s’est recueilli dans la chapelle de « l’orme des stigmates ».
En effet, le voyage s’inscrit dans le cadre du centenaire de l’apparition des stigmates de la passion du Christ sur le corps de saint Pio (1887-1968) et du 50e anniversaire de sa « naissance au ciel ».
A son arrivée à la “Piana Romana” vers 8h15, le pape s’est d’abord recueilli auprès de la statue de la Vierge Marie et il a offert un rosaire.
Il a été accueilli par l’archevêque de Bénévent, Mgr Felice Arocca, qui s’est fait l’interprète de la « grande » affection de tous pour le pape qui a ensuite pris la parole.
C’est ici, a dit notamment le pape que saint Pio a « appris à prier » et à « reconnaître dans les pauvres la « chair du Christ », et il y est entré chez les capucins et il a aimé l’Eglise, l’Eglise est « sainte », même si ses fils sont des « pécheurs ».
Le pape a aussi rappelé que le saint capucin était assailli par le démon:
« Vous êtes convaincus que le démon existe? », a demandé le pape, deux fois, avant de reprendre :
« Il nous tourmente, il nous trompe.
Lui, avait peur que le démon le pousse au péché » et « il pouvait en parler à peu de personnes », mais « il voulait comprendre ce qui se passait dans son âme ».
Mais le saint « s’abandonnait avec confiance dans les bras de Jésus », a insisté le pape: c’est « une théologie! » Saint Pio « aimait Jésus et il avait confiance en lui ».
Puis le pape a exhorté à la paix :
« S’il vous plaît, paix entre vous, communion entre vous et si quelqu’un a envie de médire d’un autre, mordez-vous la langue, cela fera du bien, donnez ce témoignage de communion ».
Il a également évoqué la plaie de la « migration interne des jeunes » invitant à « prier la Vierge Marie pour que les jeunes trouvent du travail ici au milieu de vous et qu’ils ne soient pas obligés de partir ».
« La population vieillit, a encore constaté le pape : c’est un trésor, ne marginalisez pas les vieux, ils sont la sagesse d’un pays ».
Puis il ajoute qu’il a rencontré un monsieur de 99 ans et une « jeune » de 97 :
« cela m’a fait plaisir ».
« Que la Vierge Marie vous aide à marcher sur le chemin de la sainteté et s’il vous plaît, priez pour moi parce que j’en ai besoin.
Merci! », a conclu le pape avant d’inviter à prier avec lui un « Je vous salue Marie » et de donner sa bénédiction.
Le pape a ensuite salué les évêques de la région des Pouilles et les capucins toujours sur le podium de cette « Piana Romana » de Pietrelcina, et il a salué des représentants de la population tandis que l’orgue accompagnait la chorale.
Il a béni des enfants et des jeunes mamans enceintes.
En allant ensuite bénir les malades, le pape a rencontré une dame âgée qui lui a dit:
« Bonne journée et bienvenu à Pietrelcina! »
Le pape lui a demandé son âge: « 84!
Et vous? » « 81 », a répondu le pape en l’embrassant et en la bénissant.
Puis il a béni et salué les malades, petits et grands, et leurs familles, prenant le temps des « selfies » avec eux.
Et quand un bébé s’est mis à pleurer, le pape a dit en le bénissant:
« Il a faim ! Donnez-lui à manger ! »
Il est reparti en voiture, un peu avant 9h, et en hélicoptère pour San Giovanni Rotondo où repose saint Padre Pio.
Le pape devait arriver sur le terrain de sport « Antonio Massa » de San Giovanni Rotondo vers 9h30, puis se rendre à l’hôpital “Casa sollievo della Sofferenza” fondé par saint Pio de Pietrelcina pour visiter spécialement l’unité d’oncologie pédiatrique, avant d’aller prier auprès de Padre Pio et de présider la messe, à 11h15.
Départ prévu à 13h et retour au Vatican à 14h.
Le pape a anticipé sa visite pour manifester sa proximité à l’évêque de Manfredonia, Mgr Michele Castoro, lui-même malade et encouragé par les enfants de l’hôpital à lutter contre la maladie.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Toute l'Actualité de notre Saint-Père le Pape François✟
Visite du Pape François à Pietrelcina, rencontre avec les fidèles
Visite pastorale du Pape François à Pietrelcina (Italie) dans le diocèse de Bénévent. A l'occasion du centenaire de l'apparition des stigmates de Saint Pie de Pietrelcina.
Direct du 17/03/2018.
Visite pastorale du Pape François à Pietrelcina (Italie) dans le diocèse de Bénévent. A l'occasion du centenaire de l'apparition des stigmates de Saint Pie de Pietrelcina.
Direct du 17/03/2018.
Dernière édition par Marie du 65 le Sam 17 Mar 2018 - 19:55, édité 1 fois
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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