Spiritualité!!
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Re: Spiritualité!!
Bernadette Soubirous, la messagère parfaite
Il y a 160 ans, jour pour jour, le 11 février, la petite voyante de Massabielle recevait le premier des dix-huit messages de la Vierge Immaculée.
À la première apparition de la Vierge à Massabielle, près de Lourdes, Bernadette Soubirous est loin d’imaginer qu’elle se retrouvera vite catapultée dans un tourbillon d’événements auxquels aucune autre petite jeune-fille de 14 ans aurait résisté sans séquelles physiques et mentales : colère, suspicion, interrogatoires, menaces, foules en délire…
Dix-huit apparitions en cinq mois — du 11 février au 16 juillet 1858 — à une époque où les questions religieuses créent parfois de vives polémiques.
Dix-huit apparitions mariales quelques années seulement après celles de la rue du Bac (1830) et de la Salette (1846).
Dix-huit apparitions mariales qui interviennent quatre ans après la proclamation du dogme de l’Immaculée Conception (1854).
Comment cette « petite pour son âge, chétive et sujette à des crises d’asthme », comme l’a décrite l’abbé Pène, le vicaire de la paroisse de Lourdes, à l’époque, a pu supporter effectivement sans broncher toutes les tentatives de la faire craquer ?
Il y a 160 ans, jour pour jour, le 11 février, la petite voyante de Massabielle recevait le premier des dix-huit messages de la Vierge Immaculée.
À la première apparition de la Vierge à Massabielle, près de Lourdes, Bernadette Soubirous est loin d’imaginer qu’elle se retrouvera vite catapultée dans un tourbillon d’événements auxquels aucune autre petite jeune-fille de 14 ans aurait résisté sans séquelles physiques et mentales : colère, suspicion, interrogatoires, menaces, foules en délire…
Dix-huit apparitions en cinq mois — du 11 février au 16 juillet 1858 — à une époque où les questions religieuses créent parfois de vives polémiques.
Dix-huit apparitions mariales quelques années seulement après celles de la rue du Bac (1830) et de la Salette (1846).
Dix-huit apparitions mariales qui interviennent quatre ans après la proclamation du dogme de l’Immaculée Conception (1854).
Comment cette « petite pour son âge, chétive et sujette à des crises d’asthme », comme l’a décrite l’abbé Pène, le vicaire de la paroisse de Lourdes, à l’époque, a pu supporter effectivement sans broncher toutes les tentatives de la faire craquer ?
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Spiritualité!!
À quoi bon jeûner ?
Tous les jours pendant le carême 2018, le chanteur Gregory Turpin partage avec les lecteurs d'Aleteia ses conseils de prière.
Ils sont à retrouver dans son dernier ouvrage : « Petit guide pour une vie transformée ».
Le Carême est un temps de préparation, préparation du corps, préparation du cœur : préparation de l’être.
Alors, comment mettre le jeûne au service de sa préparation à la résurrection de Jésus ?
Le jeûne corporel, la privation de telle ou telle nourriture est souvent le seul aspect que l’on retient du jeûne.
Pourtant, il n’est pas un régime alimentaire : s’il doit faire maigrir quelque chose, ce n’est pas le corps mais plutôt notre appétit des choses matérielles.
Ils sont à retrouver dans son dernier ouvrage : « Petit guide pour une vie transformée ».
Le Carême est un temps de préparation, préparation du corps, préparation du cœur : préparation de l’être.
Alors, comment mettre le jeûne au service de sa préparation à la résurrection de Jésus ?
Le jeûne corporel, la privation de telle ou telle nourriture est souvent le seul aspect que l’on retient du jeûne.
Pourtant, il n’est pas un régime alimentaire : s’il doit faire maigrir quelque chose, ce n’est pas le corps mais plutôt notre appétit des choses matérielles.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Spiritualité!!
Entrer en Carême c’est quoi ?
« C’est ouvrir sa porte… C’est changer de cap … » écrivait l’abbé Robert Riber (1935-2013), prêtre du diocèse de Strasbourg.
Un joli texte à lire en entrant en carême, ce répit essentiel pour se dépouiller et redonner un sens à sa foi.
Le mercredi des Cendres marque l’entrée officielle en Carême et dans la période pascale.
Et l’abbé Robert Riber, qui avait plus d’une prière dans son sac, ne pouvait manquer d’avoir un joli texte à présenter aux fidèles pour méditer cet amour infini que Dieu a manifesté pour tous les hommes, à travers la passion et la mort de son Fils.
« C’est ouvrir sa porte… C’est changer de cap … » écrivait l’abbé Robert Riber (1935-2013), prêtre du diocèse de Strasbourg.
Un joli texte à lire en entrant en carême, ce répit essentiel pour se dépouiller et redonner un sens à sa foi.
Le mercredi des Cendres marque l’entrée officielle en Carême et dans la période pascale.
Et l’abbé Robert Riber, qui avait plus d’une prière dans son sac, ne pouvait manquer d’avoir un joli texte à présenter aux fidèles pour méditer cet amour infini que Dieu a manifesté pour tous les hommes, à travers la passion et la mort de son Fils.
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Re: Spiritualité!!
« Le petit caillou »
Le magnifique témoignage de foi d’un père endeuillé
Dominique Greve, le père du Chef d’escadron Sébastien Greve, décédé dans le double crash d’hélicoptères militaires dans le Var le 2 février, a tenu, lors de la cérémonie des obsèques, un discours empreint d’une foi profonde et d’une espérance inébranlable en la vie éternelle.
Mercredi 7 février s’est déroulée au Luc (Var) la cérémonie religieuse des obsèques du Chef d’escadron Sébastien Greve, pilote d’hélicoptère au sein des forces spéciales de Pau, qui a trouvé la mort, avec quatre autres militaires, lors du crash de deux hélicoptères, le 2 février dernier, près du lac de Carcès, dans le Var.
Les deux appareils avaient décollé de l’école de l’aviation légère de l’Armée de terre, basée au Cannet-des-Maures, pour un vol d’entraînement, et se seraient percutés dans les airs.
Le magnifique témoignage de foi d’un père endeuillé
Dominique Greve, le père du Chef d’escadron Sébastien Greve, décédé dans le double crash d’hélicoptères militaires dans le Var le 2 février, a tenu, lors de la cérémonie des obsèques, un discours empreint d’une foi profonde et d’une espérance inébranlable en la vie éternelle.
Mercredi 7 février s’est déroulée au Luc (Var) la cérémonie religieuse des obsèques du Chef d’escadron Sébastien Greve, pilote d’hélicoptère au sein des forces spéciales de Pau, qui a trouvé la mort, avec quatre autres militaires, lors du crash de deux hélicoptères, le 2 février dernier, près du lac de Carcès, dans le Var.
Les deux appareils avaient décollé de l’école de l’aviation légère de l’Armée de terre, basée au Cannet-des-Maures, pour un vol d’entraînement, et se seraient percutés dans les airs.
Les sept dimanches de saint Joseph
Cette dévotion peu connue à saint Joseph met en lumière ses joies et ses peines.
Par son exemple d’obéissance et de fidélité silencieuse, saint Joseph est une figure essentielle du christianisme.
Au fil des siècles, différentes dévotions lui furent consacrées, dont celle des sept dimanches.
Cette pratique trouve ses origines dans l’histoire de deux moines franciscains qui, se retrouvant naufragés pendant trois jours et trois nuits au milieu d’une mer démontée, invoquèrent la protection de saint Joseph.
Celui-leur apparut alors, les ramena au rivage, et leur recommanda la dévotion à ses sept allégresses et à ses sept douleurs, promettant sa protection à ceux qui embrasseraient cette pratique.
Cette dévotion peu connue à saint Joseph met en lumière ses joies et ses peines.
Par son exemple d’obéissance et de fidélité silencieuse, saint Joseph est une figure essentielle du christianisme.
Au fil des siècles, différentes dévotions lui furent consacrées, dont celle des sept dimanches.
Cette pratique trouve ses origines dans l’histoire de deux moines franciscains qui, se retrouvant naufragés pendant trois jours et trois nuits au milieu d’une mer démontée, invoquèrent la protection de saint Joseph.
Celui-leur apparut alors, les ramena au rivage, et leur recommanda la dévotion à ses sept allégresses et à ses sept douleurs, promettant sa protection à ceux qui embrasseraient cette pratique.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Spiritualité!!
Pourquoi l’Alléluia n’est pas chanté pendant le Carême ?
L’Alléluia est chanté habituellement avant la lecture de l’Evangile pendant la messe.
Sauf pendant le Carême, temps d’attente et de repentir.
Alleluia signifie littéralement « louez le Seigneur ».
Il renvoie donc à l’allégresse des fidèles.
On peut donc bien comprendre que l’Eglise, dès son instauration, au IVème siècle, l’ai omis pendant toute la durée du Carême qui est un temps de pénitence et d’abstinence préparant à la fête de Pâques.
Cette acclamation a été introduite par Saint Damase pour le temps pascal, puis son utilisation a été élargie à toutes les messes, y compris pour les défunts, par saint Grégoire le Grand, avant d’en être supprimée ainsi que pendant la période de Carême.
Au Moyen Age, avant le commencement du Carême, on faisait ses adieux à l’Alléluia comme à un ami qu’on ne doit plus revoir avant longtemps.
L’Alléluia est chanté habituellement avant la lecture de l’Evangile pendant la messe.
Sauf pendant le Carême, temps d’attente et de repentir.
Alleluia signifie littéralement « louez le Seigneur ».
Il renvoie donc à l’allégresse des fidèles.
On peut donc bien comprendre que l’Eglise, dès son instauration, au IVème siècle, l’ai omis pendant toute la durée du Carême qui est un temps de pénitence et d’abstinence préparant à la fête de Pâques.
Cette acclamation a été introduite par Saint Damase pour le temps pascal, puis son utilisation a été élargie à toutes les messes, y compris pour les défunts, par saint Grégoire le Grand, avant d’en être supprimée ainsi que pendant la période de Carême.
Au Moyen Age, avant le commencement du Carême, on faisait ses adieux à l’Alléluia comme à un ami qu’on ne doit plus revoir avant longtemps.
Est-ce que le Carême s’interrompt le dimanche ?
Les chrétiens ne font pas pénitence le dimanche, jour consacré à la Résurrection du Christ.
Mais ce jour peut être celui où ils peuvent vivre davantage les autres dimensions du Carême.
Le dimanche pour les chrétiens est le « jour du Seigneur », le jour de la résurrection du Christ, le premier jour de la semaine.
On ne fait pas pénitence ce jour-là, même pendant le Carême.
Les dimanches ne sont pas compris dans le Carême.
D’ailleurs, au VIe siècle, pour que le nombre de 40 jours de jeûne reste effectif, le début du carême a été anticipé au mercredi qui précède le premier dimanche, appelé mercredi des Cendres, quatre siècle plus tard.
Mais ces dimanches-là, il n’est pas autorisé de célébrer d’autre messe, par exemple en l’honneur d’un saint ou à l’occasion d’un baptême.
Et les messes ne comportent ni Gloria, ni Alléluia.
Les célébrants sont habillés en violet (sauf le dimanche de laetere), et on renonce à la décoration florale de l’autel et de l’église ; on se prive aussi d’accompagnement instrumental pour les chants.
Les chrétiens ne font pas pénitence le dimanche, jour consacré à la Résurrection du Christ.
Mais ce jour peut être celui où ils peuvent vivre davantage les autres dimensions du Carême.
Le dimanche pour les chrétiens est le « jour du Seigneur », le jour de la résurrection du Christ, le premier jour de la semaine.
On ne fait pas pénitence ce jour-là, même pendant le Carême.
Les dimanches ne sont pas compris dans le Carême.
D’ailleurs, au VIe siècle, pour que le nombre de 40 jours de jeûne reste effectif, le début du carême a été anticipé au mercredi qui précède le premier dimanche, appelé mercredi des Cendres, quatre siècle plus tard.
Mais ces dimanches-là, il n’est pas autorisé de célébrer d’autre messe, par exemple en l’honneur d’un saint ou à l’occasion d’un baptême.
Et les messes ne comportent ni Gloria, ni Alléluia.
Les célébrants sont habillés en violet (sauf le dimanche de laetere), et on renonce à la décoration florale de l’autel et de l’église ; on se prive aussi d’accompagnement instrumental pour les chants.
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Re: Spiritualité!!
Prier Marie, icône de la foi, tout au long du Carême
Avec Marie, et les méditations du Rosaire, le désert à traverser pendant ces quarante jours ne sera plus aussi sec...
En ce temps de carême, temps de repos et de ressourcement spirituel, chaque baptisé est invité à se tourner plus que jamais vers la Vierge Marie pour la contempler et prendre exemple sur elle.
Elle, Marie, qui s’est rendue disponible à l’appel du Père et l’a laissé prendre chair en elle.
Elle dont le plus grand désir est d’inspirer Ses enfants à devenir féconds à leur tour et missionnaires au milieu des autres.
Oui, prier Marie est tout à fait adapté à ce temps de silence, de jeûne et de partage.
Un temps où il n’est pas toujours facile de trouver les mots qui aident à rencontrer Dieu et se repentir, tant sont forts les bruits et les malices de ce monde pour essayer d’entraver notre communication avec Lui.
Voici une prière de carême du père Jean-Paul Hoch, prêtre pendant dix ans en République Centrafricaine (1978-1988) et Supérieur Général de la Congrégation du Saint-Esprit de 2004 à 2012, pour nous aider à dire « oui » en toutes circonstances :
Prière à Marie
Quand vient pour nous l’heure de la décision
Marie de l’Annonciation, aide-nous à dire « oui »
Quand vient pour nous l’heure du départ
Marie d’Égypte, épouse de Joseph, allume en nous l’Espérance
Quand vient pour nous l’heure de l’incompréhension
Marie de Jérusalem, creuse en nous la patience
Quand vient pour nous l’heure de l’intervention
Marie de Cana, donne-nous le courage de l’humble parole
Quand vient pour nous l’heure de la souffrance
Marie du Golgotha, fais nous rester aux pieds de ceux en qui souffre ton Fils
Quand vient pour nous l’heure de l’attente
Marie du Cénacle, inspire-nous une commune prière
Et chaque jour, quand sonne pour nous l’heure joyeuse du service
Marie de Nazareth, Marie des Monts de Juda, mets en nous ton cœur de servante
Jusqu’au jour où, prenant ta main,
Marie de l’Assomption, nous nous endormirons, dans l’attente du jour de notre résurrection.
Avec Marie, et les méditations du Rosaire, le désert à traverser pendant ces quarante jours ne sera plus aussi sec...
En ce temps de carême, temps de repos et de ressourcement spirituel, chaque baptisé est invité à se tourner plus que jamais vers la Vierge Marie pour la contempler et prendre exemple sur elle.
Elle, Marie, qui s’est rendue disponible à l’appel du Père et l’a laissé prendre chair en elle.
Elle dont le plus grand désir est d’inspirer Ses enfants à devenir féconds à leur tour et missionnaires au milieu des autres.
Oui, prier Marie est tout à fait adapté à ce temps de silence, de jeûne et de partage.
Un temps où il n’est pas toujours facile de trouver les mots qui aident à rencontrer Dieu et se repentir, tant sont forts les bruits et les malices de ce monde pour essayer d’entraver notre communication avec Lui.
Voici une prière de carême du père Jean-Paul Hoch, prêtre pendant dix ans en République Centrafricaine (1978-1988) et Supérieur Général de la Congrégation du Saint-Esprit de 2004 à 2012, pour nous aider à dire « oui » en toutes circonstances :
Prière à Marie
Quand vient pour nous l’heure de la décision
Marie de l’Annonciation, aide-nous à dire « oui »
Quand vient pour nous l’heure du départ
Marie d’Égypte, épouse de Joseph, allume en nous l’Espérance
Quand vient pour nous l’heure de l’incompréhension
Marie de Jérusalem, creuse en nous la patience
Quand vient pour nous l’heure de l’intervention
Marie de Cana, donne-nous le courage de l’humble parole
Quand vient pour nous l’heure de la souffrance
Marie du Golgotha, fais nous rester aux pieds de ceux en qui souffre ton Fils
Quand vient pour nous l’heure de l’attente
Marie du Cénacle, inspire-nous une commune prière
Et chaque jour, quand sonne pour nous l’heure joyeuse du service
Marie de Nazareth, Marie des Monts de Juda, mets en nous ton cœur de servante
Jusqu’au jour où, prenant ta main,
Marie de l’Assomption, nous nous endormirons, dans l’attente du jour de notre résurrection.
Et ne pas oublier que la récitation du Rosaire est moyen très puissant et fécond pour combattre quotidiennement contre les manifestations les plus subtiles du mal.
Alors à nos chapelets, en ce temps de carême, pour trouver la grâce de vivre le jeûne ou toute autre forme de privation, et nourrir notre foi, avec la garantie de ne pas sortir de ce désert les mains vides.
Alors à nos chapelets, en ce temps de carême, pour trouver la grâce de vivre le jeûne ou toute autre forme de privation, et nourrir notre foi, avec la garantie de ne pas sortir de ce désert les mains vides.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Spiritualité!!
Quelle est la différence entre le Symbole des Apôtres et celui de Nicée-Constantinople
Pourquoi existe-t-il différents crédos pour professer une même foi ?
Dans la liturgie catholique, l’assemblée récite ensemble le Credo après l’homélie tous les dimanches et les jours de Solennité.
« Credo » est un mot latin qui signifie « je crois ».
Le Credo est donc un texte qui permet d’énoncer en détail les fondements de la foi.
Voici ce qui en est dit dans la Présentation Générale du Missel Romain :
« Le Symbole, ou profession de foi, vise à ce que tout le peuple rassemblé réponde à la parole de Dieu annoncée dans les lectures de la sainte Écriture et expliquée dans l´homélie, et, en professant la règle de la foi dans une formule approuvée pour l’usage liturgique, se rappelle et professe les grands mystères de la foi avant que ne commence leur célébration dans l’Eucharistie. » (PGMR n°67)
En d’autres termes, le Credo est une façon de dire plus amplement « Amen » à tout ce qui a été entendu jusque-là dans la liturgie de la Parole et d’affirmer ce qui s’apprête à se dérouler dans la liturgie de l’Eucharistie.
C’est une assertion à la fois individuelle et collective, qui permet d’énoncer publiquement les fondements de la foi catholique.
Pourquoi existe-t-il différents crédos pour professer une même foi ?
Dans la liturgie catholique, l’assemblée récite ensemble le Credo après l’homélie tous les dimanches et les jours de Solennité.
« Credo » est un mot latin qui signifie « je crois ».
Le Credo est donc un texte qui permet d’énoncer en détail les fondements de la foi.
Voici ce qui en est dit dans la Présentation Générale du Missel Romain :
« Le Symbole, ou profession de foi, vise à ce que tout le peuple rassemblé réponde à la parole de Dieu annoncée dans les lectures de la sainte Écriture et expliquée dans l´homélie, et, en professant la règle de la foi dans une formule approuvée pour l’usage liturgique, se rappelle et professe les grands mystères de la foi avant que ne commence leur célébration dans l’Eucharistie. » (PGMR n°67)
En d’autres termes, le Credo est une façon de dire plus amplement « Amen » à tout ce qui a été entendu jusque-là dans la liturgie de la Parole et d’affirmer ce qui s’apprête à se dérouler dans la liturgie de l’Eucharistie.
C’est une assertion à la fois individuelle et collective, qui permet d’énoncer publiquement les fondements de la foi catholique.
« Se convertir, c’est comprendre qu’il y a un monde en dehors de soi »
Julien Leclercq, 32 ans, témoigne de sa conversion dans un livre, "Catholique débutant", qui vient de sortir ce mois-ci chez Tallandier.
Julien Leclercq est issu d’une famille éloignée de la religion.
Longtemps, il a éprouvé une certaine hostilité à l’encontre du catholicisme avant de rencontrer la lumière.
Après un cheminement d’une dizaine d’années commencé après les décès de son meilleur ami et de sa grand-mère, il se convertit tout juste trentenaire au Centre Saint-Paul à Paris.
Aujourd’hui âgé de 32 ans, il travaille dans le secteur de la communication et dirige également le site littéraire Le Nouveau Cénacle.
C’est donc par l’écriture qu’il a décidé de témoigner de sa conversion.
Aleteia
Votre jeunesse s’est faite sans aucune éducation religieuse. A posteriori regrettez-vous de ne pas avoir été baptisé enfant ou préférez-vous avoir mené votre propre cheminement et pu demander vous-même le baptême ?
Julien Leclercq
Lorsque j’étais enfant, le catéchisme ennuyait la plupart de mes amis qui s’y rendaient.
Ils y allaient par obligation et auraient préféré faire les 400 coups avec moi dehors…
Aujourd’hui, ils ont certes une « culture religieuse » essentielle, une familiarité que je n’ai pas avec la religion catholique, car plus ancienne, mais j’ai la foi et, surtout, je vais à la messe.
Quant à ces amis qui ont reçu cette éducation, ils n’y vont plus.
Alors je vais vous répondre que je suis heureux d’avoir fait ce chemin librement, sans pression familiale ni sociale. C’est celui que je devais suivre. Tout simplement.
Julien Leclercq, 32 ans, témoigne de sa conversion dans un livre, "Catholique débutant", qui vient de sortir ce mois-ci chez Tallandier.
Julien Leclercq est issu d’une famille éloignée de la religion.
Longtemps, il a éprouvé une certaine hostilité à l’encontre du catholicisme avant de rencontrer la lumière.
Après un cheminement d’une dizaine d’années commencé après les décès de son meilleur ami et de sa grand-mère, il se convertit tout juste trentenaire au Centre Saint-Paul à Paris.
Aujourd’hui âgé de 32 ans, il travaille dans le secteur de la communication et dirige également le site littéraire Le Nouveau Cénacle.
C’est donc par l’écriture qu’il a décidé de témoigner de sa conversion.
Aleteia
Votre jeunesse s’est faite sans aucune éducation religieuse. A posteriori regrettez-vous de ne pas avoir été baptisé enfant ou préférez-vous avoir mené votre propre cheminement et pu demander vous-même le baptême ?
Julien Leclercq
Lorsque j’étais enfant, le catéchisme ennuyait la plupart de mes amis qui s’y rendaient.
Ils y allaient par obligation et auraient préféré faire les 400 coups avec moi dehors…
Aujourd’hui, ils ont certes une « culture religieuse » essentielle, une familiarité que je n’ai pas avec la religion catholique, car plus ancienne, mais j’ai la foi et, surtout, je vais à la messe.
Quant à ces amis qui ont reçu cette éducation, ils n’y vont plus.
Alors je vais vous répondre que je suis heureux d’avoir fait ce chemin librement, sans pression familiale ni sociale. C’est celui que je devais suivre. Tout simplement.
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Re: Spiritualité!!
L’ascèse, un vilain mot ?
Durant le Carême, le chrétien est appelé à pratiquer l’ascèse.
Pour beaucoup ce terme est associé à des privations surhumaines.
Alors qu'il s'agit en réalité plutôt d'exercices qu'il est possible de comparer à un entrainement.
L’ascèse, voilà le véritable contenu du Carême.
Le mot est pourtant tombé en désuétude tant il renvoie aussitôt à des efforts surhumains, des renoncements, des flagellations, des jeûnes particulièrement rigides.
De quoi faire un peu peur.
Or ce mot, qui signifie en grec « entraînement, exercice, pratique, genre de vie », semble particulièrement adapté à notre époque centrée sur la maitrise du corps.
Aujourd’hui, on vante la pratique régulière du sport, on recommande la discipline alimentaire
. A la lumière de ces priorités, l’ascèse mérite une redécouverte.
L’ascèse c’est quoi ?
Durant le Carême, le chrétien est appelé à pratiquer l’ascèse.
Pour beaucoup ce terme est associé à des privations surhumaines.
Alors qu'il s'agit en réalité plutôt d'exercices qu'il est possible de comparer à un entrainement.
L’ascèse, voilà le véritable contenu du Carême.
Le mot est pourtant tombé en désuétude tant il renvoie aussitôt à des efforts surhumains, des renoncements, des flagellations, des jeûnes particulièrement rigides.
De quoi faire un peu peur.
Or ce mot, qui signifie en grec « entraînement, exercice, pratique, genre de vie », semble particulièrement adapté à notre époque centrée sur la maitrise du corps.
Aujourd’hui, on vante la pratique régulière du sport, on recommande la discipline alimentaire
. A la lumière de ces priorités, l’ascèse mérite une redécouverte.
L’ascèse c’est quoi ?
John Hardon, celui qui demanda à Dieu de faire de lui un prêtre à l’âge de 6 ans
Le jésuite américain John Hardon (1914-2000) était un homme d’une grande piété.
Outre une œuvre catéchétique immense et une contribution singulière à l’après Vatican II, il était particulièrement attaché à la messe et à l’adoration.
Né en 1914 en Pennsylvanie, John Hardon grandit dans une famille catholique fervente.
Il fut notamment marqué très tôt par la grande piété de sa mère, qui l’éleva seule suite à la mort accidentelle de son père alors qu’il n’était qu’un bébé.
Celle-ci faisait des ménages dans des bureaux le soir puis l’emmenait à des nuits d’adoration, où il s’endormait à côté d’elle sur le banc.
En grandissant, John resta fidèle à la foi de son enfance, sans qu’elle ne faiblisse jamais tout au long de sa vie.
Il reçut la communion pour la première fois à l’âge de 6 ans.
Ce fut l’un des événements les plus marquants de son existence, comme il le raconte dans son autobiographie :
Le jésuite américain John Hardon (1914-2000) était un homme d’une grande piété.
Outre une œuvre catéchétique immense et une contribution singulière à l’après Vatican II, il était particulièrement attaché à la messe et à l’adoration.
Né en 1914 en Pennsylvanie, John Hardon grandit dans une famille catholique fervente.
Il fut notamment marqué très tôt par la grande piété de sa mère, qui l’éleva seule suite à la mort accidentelle de son père alors qu’il n’était qu’un bébé.
Celle-ci faisait des ménages dans des bureaux le soir puis l’emmenait à des nuits d’adoration, où il s’endormait à côté d’elle sur le banc.
En grandissant, John resta fidèle à la foi de son enfance, sans qu’elle ne faiblisse jamais tout au long de sa vie.
Il reçut la communion pour la première fois à l’âge de 6 ans.
Ce fut l’un des événements les plus marquants de son existence, comme il le raconte dans son autobiographie :
Dieu m’accueille dans ma faiblesse
Tous les jours pendant le Carême 2018, le chanteur Gregory Turpin partage avec les lecteurs d'Aleteia ses conseils de prière.
Ils sont à retrouver dans son dernier ouvrage :
« Petit guide pour une vie transformée ».
Notre humanité connaît sans cesse la faiblesse, l’imperfection, le péché. Alors comment accueillir cette faiblesse ?
Comment la présenter devant Dieu ?
L’homme est un être en puissance.
Dieu nous a tout donné, simplement nous ne sommes pas toujours à la hauteur.
Nous pouvons vivre nos faiblesses de façon négative, mais ce serait oublier tout ce que nous faisons de bien.
Au contraire, nous devons appréhender nos faiblesses de façon positive, en faire l’aveu et les comprendre comme un moteur pour tendre toujours plus vers Dieu et son amour infini.
Et Dieu peut nous y aider, à condition que l’on accepte de se présenter humblement à Lui, en vérité afin de Lui confier tout notre être, dans ses beautés et ses faiblesses.
Que faire de nos faiblesses devant le Père ?
Ils sont à retrouver dans son dernier ouvrage :
« Petit guide pour une vie transformée ».
Notre humanité connaît sans cesse la faiblesse, l’imperfection, le péché. Alors comment accueillir cette faiblesse ?
Comment la présenter devant Dieu ?
L’homme est un être en puissance.
Dieu nous a tout donné, simplement nous ne sommes pas toujours à la hauteur.
Nous pouvons vivre nos faiblesses de façon négative, mais ce serait oublier tout ce que nous faisons de bien.
Au contraire, nous devons appréhender nos faiblesses de façon positive, en faire l’aveu et les comprendre comme un moteur pour tendre toujours plus vers Dieu et son amour infini.
Et Dieu peut nous y aider, à condition que l’on accepte de se présenter humblement à Lui, en vérité afin de Lui confier tout notre être, dans ses beautés et ses faiblesses.
Que faire de nos faiblesses devant le Père ?
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Re: Spiritualité!!
Petit mémo inspiré pour arrêter de juger son prochain
Le Carême est le meilleur moment pour corriger nos mauvaises habitudes.
Comme de s’exercer à ne plus juger ou condamner son prochain, en repassant les indications que Jésus a laissées.
Jésus disait à la foule :
« Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés ; remettez, et il vous sera remis » (Lc 6, 37).
Le temps du Carême est pour le baptisé un temps d’efforts pour changer sa façon de vivre, pour transformer sa relation avec Dieu.
Mais également se relation avec son prochain.
Comment ?
En corrigeant parfois de vieux réflexes qui tendent effectivement plus à juger et condamner qu’à respecter les différences – religieuses, culturelles ou ethniques — ou être capable d’ouverture d’esprit à l’égard de l’autre.
Le Carême est le meilleur moment pour corriger nos mauvaises habitudes.
Comme de s’exercer à ne plus juger ou condamner son prochain, en repassant les indications que Jésus a laissées.
Jésus disait à la foule :
« Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés ; remettez, et il vous sera remis » (Lc 6, 37).
Le temps du Carême est pour le baptisé un temps d’efforts pour changer sa façon de vivre, pour transformer sa relation avec Dieu.
Mais également se relation avec son prochain.
Comment ?
En corrigeant parfois de vieux réflexes qui tendent effectivement plus à juger et condamner qu’à respecter les différences – religieuses, culturelles ou ethniques — ou être capable d’ouverture d’esprit à l’égard de l’autre.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Spiritualité!!
Pourquoi la Bible s’appelle « la Bible » ?
Bien que les chiffres varient, on dit que la Bible est le livre le plus vendu et le plus diffusé au monde.
Traduite dans toutes les langues ou presque, premier livre jamais imprimé, la Bible est un ouvrage universel.
Tout le monde ou presque en possède une ou en a déjà lu des passages, mais peu connaissent l’origine de son nom.
Le mot français « bible » vient du latin biblia, lui-même dérivé du grec biblion (βιβλίον) qui signifie tout simplement « livre ».
Il semblerait que très tôt, dès le IIIe siècle environ, les Saintes Écritures aient été compilées par les chrétiens sous un même intitulé grec Ta Biblia (τὰ βιβλία), un substantif au pluriel signifiant « les livres », soulignant les origines multiples de ce corpus de textes sacrés.
Au fil des siècles, deux expressions furent donc parallèlement utilisées pour désigner les Écritures : biblia sacra (livres saints) en latin, et biblia to hagia (les livres saints) en grec.
Il peut sembler étonnant qu’un livre aussi sacré que la Bible porte un nom aussi prosaïque.
Cependant, il faut avoir à l’esprit qu’à l’origine, cette appellation avait vocation à désigner les Écritures non pas comme un livre, mais comme le livre par excellence.
C’est le livre parmi les livres, le plus grand livre qui soit.
Le mot biblia, qui était donc un pluriel en latin et en grec, est devenu singulier en français pour désigner le livre qui regroupe lui-même de nombreux livres.
Les catholiques en reconnaissent 73, allant de la Genèse à l’Apocalypse.
La Bible est donc à elle seule une véritable bibliothèque !
Bien que les chiffres varient, on dit que la Bible est le livre le plus vendu et le plus diffusé au monde.
Traduite dans toutes les langues ou presque, premier livre jamais imprimé, la Bible est un ouvrage universel.
Tout le monde ou presque en possède une ou en a déjà lu des passages, mais peu connaissent l’origine de son nom.
Le mot français « bible » vient du latin biblia, lui-même dérivé du grec biblion (βιβλίον) qui signifie tout simplement « livre ».
Il semblerait que très tôt, dès le IIIe siècle environ, les Saintes Écritures aient été compilées par les chrétiens sous un même intitulé grec Ta Biblia (τὰ βιβλία), un substantif au pluriel signifiant « les livres », soulignant les origines multiples de ce corpus de textes sacrés.
Au fil des siècles, deux expressions furent donc parallèlement utilisées pour désigner les Écritures : biblia sacra (livres saints) en latin, et biblia to hagia (les livres saints) en grec.
Il peut sembler étonnant qu’un livre aussi sacré que la Bible porte un nom aussi prosaïque.
Cependant, il faut avoir à l’esprit qu’à l’origine, cette appellation avait vocation à désigner les Écritures non pas comme un livre, mais comme le livre par excellence.
C’est le livre parmi les livres, le plus grand livre qui soit.
Le mot biblia, qui était donc un pluriel en latin et en grec, est devenu singulier en français pour désigner le livre qui regroupe lui-même de nombreux livres.
Les catholiques en reconnaissent 73, allant de la Genèse à l’Apocalypse.
La Bible est donc à elle seule une véritable bibliothèque !
Ces expressions qui ont une origine biblique
« Avoir la tête dure »
Découvrez ces expressions que nous utilisons depuis notre plus jeune âge. Certaines ont tellement imprégné notre culture qu’on ne soupçonne pas qu’elles puissent avoir une origine biblique.
Avoir la tête dure
Cette expression est utilisée pour désigner une personne têtue, obstinée, qui change difficilement d’avis, même lorsqu’elle a tort.
C’est à la Vulgate, la traduction latine de la Bible, que nous la devons, l’expression hébraïque originale étant littéralement « avoir la nuque raide ».
On la retrouve à plusieurs reprises dans les textes, notamment dans le livre de l’Exode :
Alors que Moïse est avec Dieu au sommet du mont Sinaï « quarante jours et quarante nuits » (Exode 24, 18), le peuple d’Israël, resté en bas de la montagne, perd patience et se met à douter.
Bravant les commandements de Dieu, les compagnons de Moïse regroupent tout l’or qui est en leur possession, le font fondre et fabriquent une idole, un veau d’or.
Ils se prosternent devant lui et lui offrent des sacrifices.
« Avoir la tête dure »
Découvrez ces expressions que nous utilisons depuis notre plus jeune âge. Certaines ont tellement imprégné notre culture qu’on ne soupçonne pas qu’elles puissent avoir une origine biblique.
Avoir la tête dure
Cette expression est utilisée pour désigner une personne têtue, obstinée, qui change difficilement d’avis, même lorsqu’elle a tort.
C’est à la Vulgate, la traduction latine de la Bible, que nous la devons, l’expression hébraïque originale étant littéralement « avoir la nuque raide ».
On la retrouve à plusieurs reprises dans les textes, notamment dans le livre de l’Exode :
Alors que Moïse est avec Dieu au sommet du mont Sinaï « quarante jours et quarante nuits » (Exode 24, 18), le peuple d’Israël, resté en bas de la montagne, perd patience et se met à douter.
Bravant les commandements de Dieu, les compagnons de Moïse regroupent tout l’or qui est en leur possession, le font fondre et fabriquent une idole, un veau d’or.
Ils se prosternent devant lui et lui offrent des sacrifices.
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Re: Spiritualité!!
Mont-Sainte-Odile
Depuis 1931, des fidèles se relaient jour et nuit pour prier
Mont-Sainte-Odile
Haut lieu spirituel situé à 753 mètres d'altitude, le Mont-Sainte-Odile, est cher au cœur des Alsaciens.
Jour et nuit depuis presque 90 ans, des fidèles issus de toute l'Alsace se relaient pour venir adorer le Saint-Sacrement.
Très attachés à leur patronne sainte Odile, les Alsaciens portent une dévotion toute particulière au Mont-Sainte-Odile qui lui est dédié.
Situé sur une promontoire rocheux en grès rose, d’où on peut apercevoir le Rhin et la Forêt-Noire, le Mont-Sainte-Odile domine la plaine d’Alsace.
Mont-Saint-Odile
Un abbesse au sang noble
Née à la fin du VIIe siècle, sainte Odile est d’ascendance royale.
Son père, un duc alsacien nommé Aldaric, la rejette et l’envoie au monastère de Balma (Doubs) lorsqu’il découvre, à sa naissance, qu’elle est aveugle.
Mais lors de son baptême, administrée par l’évêque de saint Erhard, survient un miracle : elle retrouve la vue !
Suite à plusieurs péripéties, son père finit par l’accepter et l’accueille à nouveau chez elle.
Elle devient la première abbesse du monastère de Hohenbourg, fondé par son père, qui prendra, par la suite, le nom de Sainte-Odile.
Jusqu’à la Révolution française, ce couvent accueille une centaine de religieuses.
En 1853, l’évêque de Strasbourg lance une souscription auprès des Alsaciens pour racheter le Mont.
Depuis 1931, des fidèles se relaient jour et nuit pour prier
Mont-Sainte-Odile
Haut lieu spirituel situé à 753 mètres d'altitude, le Mont-Sainte-Odile, est cher au cœur des Alsaciens.
Jour et nuit depuis presque 90 ans, des fidèles issus de toute l'Alsace se relaient pour venir adorer le Saint-Sacrement.
Très attachés à leur patronne sainte Odile, les Alsaciens portent une dévotion toute particulière au Mont-Sainte-Odile qui lui est dédié.
Situé sur une promontoire rocheux en grès rose, d’où on peut apercevoir le Rhin et la Forêt-Noire, le Mont-Sainte-Odile domine la plaine d’Alsace.
Mont-Saint-Odile
Un abbesse au sang noble
Née à la fin du VIIe siècle, sainte Odile est d’ascendance royale.
Son père, un duc alsacien nommé Aldaric, la rejette et l’envoie au monastère de Balma (Doubs) lorsqu’il découvre, à sa naissance, qu’elle est aveugle.
Mais lors de son baptême, administrée par l’évêque de saint Erhard, survient un miracle : elle retrouve la vue !
Suite à plusieurs péripéties, son père finit par l’accepter et l’accueille à nouveau chez elle.
Elle devient la première abbesse du monastère de Hohenbourg, fondé par son père, qui prendra, par la suite, le nom de Sainte-Odile.
Jusqu’à la Révolution française, ce couvent accueille une centaine de religieuses.
En 1853, l’évêque de Strasbourg lance une souscription auprès des Alsaciens pour racheter le Mont.
Avant de devenir évêque de Rome, saint Pierre fut d’abord évêque d’Antioche
Saint Pierre est bien sûr connu comme étant le premier évêque de Rome, le premier pape de l’Église catholique.
Mais avant cela, celui que l’on surnomme aussi "le prince des apôtres" exerça son ministère dans la ville historique d’Antioche, berceau de la chrétienté , située au sud de l’actuelle Turquie.
Saint Pierre n’a pas toujours été évêque de Rome.
En effet, à l’époque du Christ, Antioche fut préférée à Alexandrie comme capitale orientale de l’Empire romain, en devenant une ville clé.
Dans les décennies qui suivirent la mort de Jésus, elle devint aussi un point d’attache important pour les premiers Juifs fidèles au Christ fuyant Jérusalem suite à la lapidation de saint Étienne.
Pierre s’y rendit donc pour répondre aux besoins spirituels de ces nouvelles communautés, qui reçurent d’ailleurs à Antioche le nom de chrétiens pour la première fois (Ac 11, 26).
Si l’on en croit la Légende dorée de Jacques de Voragine, un ouvrage du Moyen-Âge regroupant de nombreuses vies de saints, Pierre se rendit donc à Antioche pour y prêcher la Bonne Nouvelle, mais se heurta au gouverneur de la ville, Théophile, qui l’accusa de corrompre son peuple et le fit emprisonner.
Saint Pierre est bien sûr connu comme étant le premier évêque de Rome, le premier pape de l’Église catholique.
Mais avant cela, celui que l’on surnomme aussi "le prince des apôtres" exerça son ministère dans la ville historique d’Antioche, berceau de la chrétienté , située au sud de l’actuelle Turquie.
Saint Pierre n’a pas toujours été évêque de Rome.
En effet, à l’époque du Christ, Antioche fut préférée à Alexandrie comme capitale orientale de l’Empire romain, en devenant une ville clé.
Dans les décennies qui suivirent la mort de Jésus, elle devint aussi un point d’attache important pour les premiers Juifs fidèles au Christ fuyant Jérusalem suite à la lapidation de saint Étienne.
Pierre s’y rendit donc pour répondre aux besoins spirituels de ces nouvelles communautés, qui reçurent d’ailleurs à Antioche le nom de chrétiens pour la première fois (Ac 11, 26).
Si l’on en croit la Légende dorée de Jacques de Voragine, un ouvrage du Moyen-Âge regroupant de nombreuses vies de saints, Pierre se rendit donc à Antioche pour y prêcher la Bonne Nouvelle, mais se heurta au gouverneur de la ville, Théophile, qui l’accusa de corrompre son peuple et le fit emprisonner.
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Re: Spiritualité!!
Bonjour Marie,
Sainte Odile est d'ailleurs la Patronne de l'Alsace. Ce lieu est très beau. J'y suis allée à maintes reprises et la vue vaut le coup d'œil.
Sainte Odile est d'ailleurs la Patronne de l'Alsace. Ce lieu est très beau. J'y suis allée à maintes reprises et la vue vaut le coup d'œil.
lacolombe- J'adore l'Eucharistie
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Re: Spiritualité!!
lacolombe a écrit:Bonjour Marie,
Sainte Odile est d'ailleurs la Patronne de l'Alsace. Ce lieu est très beau. J'y suis allée à maintes reprises et la vue vaut le coup d'œil.
Bonjour M,
Oui je le savais, par contre je ne connais pas l'Alsace il paraît en effet que c'est magnifique!!
Qui sait? Peut-être un jour?
Le cas de délivrance le plus émouvant pour un exorciste
Témoignage d’un exorciste italien, après la guérison d’une femme dépossédée du diable, grâce aux prières de toute une communauté.
Le diable existe bien.
Frère Benigno Palilla de la communauté franciscaine des frères mineurs « renouvelés », est exorciste.
Il est en charge de la formation des exorcistes en Sicile.
Il a rencontré le démon plusieurs fois et, avec l’aide de l’Église, a triomphé contre lui au bout de luttes acharnées, au nom du Christ.
Maria, mariée et mère de trois enfants, l’a rencontré elle aussi, tourmentée pendant cinq longues années, dans son corps et son âme, avant d’en être délivrée complètement.
En 18 ans d’exorcisme, cette guérison est l’une des plus émouvantes auxquelles le frère Benigno a assisté.
Tellement émouvante qu’il la cite en exemple lors de ses rencontres de formation, et aujourd’hui la confie à Aleteia.
Maria, après cinq ans de haine
Bien que possédée du démon, Maria fréquentait régulièrement la petite église des religieux dans une petite commune aux abords de Palerme.
Entendre le diable parler à travers elle était un supplice.
L’entendre « maudire les fidèles et le prêtre pendant la messe », énumère le religieux. L’entendre « interférer dans les homélies et hurler devant Jésus Eucharistie pour le faire partir ».
Dans les moments particulièrement mouvementés, Maria se réfugiait dans une petite pièce à côté.
Mais les imprécations arrivaient jusqu’aux oreilles des fidèles en prière.
Son cœur était plein de haine, une haine profonde pour son mari, pour ses enfants.
Et son corps, quelle souffrance ! Il se pliait en deux.
« Surtout durant les exorcismes, poursuit le religieux, c’était incroyable ! » comme si Maria avait des spasmes de douleur d’une intensité inhumaine :
« elle se tordait, souffrait atrocement, on voyait son ventre gonfler démesurément », rapporte-t-il.
Témoignage d’un exorciste italien, après la guérison d’une femme dépossédée du diable, grâce aux prières de toute une communauté.
Le diable existe bien.
Frère Benigno Palilla de la communauté franciscaine des frères mineurs « renouvelés », est exorciste.
Il est en charge de la formation des exorcistes en Sicile.
Il a rencontré le démon plusieurs fois et, avec l’aide de l’Église, a triomphé contre lui au bout de luttes acharnées, au nom du Christ.
Maria, mariée et mère de trois enfants, l’a rencontré elle aussi, tourmentée pendant cinq longues années, dans son corps et son âme, avant d’en être délivrée complètement.
En 18 ans d’exorcisme, cette guérison est l’une des plus émouvantes auxquelles le frère Benigno a assisté.
Tellement émouvante qu’il la cite en exemple lors de ses rencontres de formation, et aujourd’hui la confie à Aleteia.
Maria, après cinq ans de haine
Bien que possédée du démon, Maria fréquentait régulièrement la petite église des religieux dans une petite commune aux abords de Palerme.
Entendre le diable parler à travers elle était un supplice.
L’entendre « maudire les fidèles et le prêtre pendant la messe », énumère le religieux. L’entendre « interférer dans les homélies et hurler devant Jésus Eucharistie pour le faire partir ».
Dans les moments particulièrement mouvementés, Maria se réfugiait dans une petite pièce à côté.
Mais les imprécations arrivaient jusqu’aux oreilles des fidèles en prière.
Son cœur était plein de haine, une haine profonde pour son mari, pour ses enfants.
Et son corps, quelle souffrance ! Il se pliait en deux.
« Surtout durant les exorcismes, poursuit le religieux, c’était incroyable ! » comme si Maria avait des spasmes de douleur d’une intensité inhumaine :
« elle se tordait, souffrait atrocement, on voyait son ventre gonfler démesurément », rapporte-t-il.
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Re: Spiritualité!!
Le combat de saint Paul contre le diable
Saint Paul ne luttait pas contre "des êtres de sang et de chair" mais contre un ennemi spirituel de taille :
Le diable.
Alors que saint Paul parcourait tout le bassin méditerranéen pour faire connaître le Christ, il dut affronter un adversaire de taille qui ne lui laissait aucun répit.
Il évoque d’ailleurs cette lutte constante dans sa deuxième lettre aux Corinthiens :
« Et ces révélations dont il s’agit sont tellement extraordinaires que, pour m’empêcher de me surestimer, j’ai reçu dans ma chair une écharde, un envoyé de Satan qui est là pour me gifler, pour empêcher que je me surestime. Par trois fois, j’ai prié le Seigneur de l’écarter de moi.
Mais il m’a déclaré : “Ma grâce te suffit, car ma puissance donne toute sa mesure dans la faiblesse.” » (2 Co 12,7-9)
Dans d’autres traductions, le terme « d’envoyé » est remplacé par celui « d’ange ».
Les interprétations des exégètes quant à la signification exacte de cette phrase de saint Paul sont diverses.
Certains pensent que « l’envoyé » a pu être une personne réelle qui donnait du fil à retordre à l’apôtre
. D’autres estiment qu’il a peut-être eu « une écharde » sur le plan physique, à savoir un mal qui aurait fait souffrir son corps.
Une autre interprétation serait que Paul fait ici mention d’un ennemi spirituel, d’un démon (un « ange de Satan ») qu’il devait combattre.
Saint Paul ne luttait pas contre "des êtres de sang et de chair" mais contre un ennemi spirituel de taille :
Le diable.
Alors que saint Paul parcourait tout le bassin méditerranéen pour faire connaître le Christ, il dut affronter un adversaire de taille qui ne lui laissait aucun répit.
Il évoque d’ailleurs cette lutte constante dans sa deuxième lettre aux Corinthiens :
« Et ces révélations dont il s’agit sont tellement extraordinaires que, pour m’empêcher de me surestimer, j’ai reçu dans ma chair une écharde, un envoyé de Satan qui est là pour me gifler, pour empêcher que je me surestime. Par trois fois, j’ai prié le Seigneur de l’écarter de moi.
Mais il m’a déclaré : “Ma grâce te suffit, car ma puissance donne toute sa mesure dans la faiblesse.” » (2 Co 12,7-9)
Dans d’autres traductions, le terme « d’envoyé » est remplacé par celui « d’ange ».
Les interprétations des exégètes quant à la signification exacte de cette phrase de saint Paul sont diverses.
Certains pensent que « l’envoyé » a pu être une personne réelle qui donnait du fil à retordre à l’apôtre
. D’autres estiment qu’il a peut-être eu « une écharde » sur le plan physique, à savoir un mal qui aurait fait souffrir son corps.
Une autre interprétation serait que Paul fait ici mention d’un ennemi spirituel, d’un démon (un « ange de Satan ») qu’il devait combattre.
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Re: Spiritualité!!
Auguste Chapdelaine, un saint doublement martyr
En Chine, l’humiliation subie après la cruelle exécution en 1856 d'Auguste Chapdelaine est encore très vive de nos jours.
Sa vocation, être témoin jusqu’à l’extrême.
Auguste Chapdelaine (1814-1856), fils d’agriculteur à la Rochelle, en Normandie, aurait pu rester dans la ferme nationale.
Mais non, il a préféré se faire prêtre et partir en Chine sous l’égide des Missions étrangères de Paris, avec d’autres compagnons.
Nous sommes en 1852.
Dans la province du Guangxi où il est envoyé, après deux années passées à Hong Kong, pas l’ombre d’un prêtre catholique depuis plus d’un siècle et demi, comme dans le reste du pays.
Les villages de la province sont secoués par des révoltes musulmanes
. Il n’a pas le droit d’y aller, mais lui s’y aventure, et tente d’y semer la foi.
Après l’assassinat, l’humiliation
En Chine, l’humiliation subie après la cruelle exécution en 1856 d'Auguste Chapdelaine est encore très vive de nos jours.
Sa vocation, être témoin jusqu’à l’extrême.
Auguste Chapdelaine (1814-1856), fils d’agriculteur à la Rochelle, en Normandie, aurait pu rester dans la ferme nationale.
Mais non, il a préféré se faire prêtre et partir en Chine sous l’égide des Missions étrangères de Paris, avec d’autres compagnons.
Nous sommes en 1852.
Dans la province du Guangxi où il est envoyé, après deux années passées à Hong Kong, pas l’ombre d’un prêtre catholique depuis plus d’un siècle et demi, comme dans le reste du pays.
Les villages de la province sont secoués par des révoltes musulmanes
. Il n’a pas le droit d’y aller, mais lui s’y aventure, et tente d’y semer la foi.
Après l’assassinat, l’humiliation
Gabriel de l’Addolorata, un (vrai) fêtard devenu saint
Patron de la jeunesse, Francesco Possenti (1838-1862) était surnommé "le danseur" avant d’entrer dans la vie religieuse.
Né en 1838 à Assise, Francesco Possenti reçut le baptême dans les mêmes fonds baptismaux que saint François.
Outre leur prénom, ce n’est d’ailleurs pas l’unique point commun qui unit les deux saints.
En effet, dans sa jeunesse, Francesco, issu d’un milieu bourgeois, avait un goût prononcé pour la fête.
Durant ses années au collège jésuite de Spoleto, Francesco était de tous les amusements.
À 18 ans, il entra « dans le monde » : il allait au théâtre, aimait s’habiller, était de tous les bals.
Excellent cavalier, il fut surnommé « le danseur ».
Ses amis l’appelaient également il damerino car il avait un succès certain auprès de la gent féminine.
Il écrivit plus tard dans une lettre à un ami :
« Je vous assure que, si j’étais resté dans le monde, il me semble certain que je n’aurais pas sauvé mon âme. Y avait-il quelqu’un pour s’adonner à plus d’amusements que moi ? »
Intelligent, affable et beau jeune homme, jouissant d’un statut social privilégié, Francesco avait tout pour briller en société.
Mais il ne s’était pas départi de la foi de son enfance, et Dieu lui fit embrasser une autre voie.
Patron de la jeunesse, Francesco Possenti (1838-1862) était surnommé "le danseur" avant d’entrer dans la vie religieuse.
Né en 1838 à Assise, Francesco Possenti reçut le baptême dans les mêmes fonds baptismaux que saint François.
Outre leur prénom, ce n’est d’ailleurs pas l’unique point commun qui unit les deux saints.
En effet, dans sa jeunesse, Francesco, issu d’un milieu bourgeois, avait un goût prononcé pour la fête.
Durant ses années au collège jésuite de Spoleto, Francesco était de tous les amusements.
À 18 ans, il entra « dans le monde » : il allait au théâtre, aimait s’habiller, était de tous les bals.
Excellent cavalier, il fut surnommé « le danseur ».
Ses amis l’appelaient également il damerino car il avait un succès certain auprès de la gent féminine.
Il écrivit plus tard dans une lettre à un ami :
« Je vous assure que, si j’étais resté dans le monde, il me semble certain que je n’aurais pas sauvé mon âme. Y avait-il quelqu’un pour s’adonner à plus d’amusements que moi ? »
Intelligent, affable et beau jeune homme, jouissant d’un statut social privilégié, Francesco avait tout pour briller en société.
Mais il ne s’était pas départi de la foi de son enfance, et Dieu lui fit embrasser une autre voie.
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Re: Spiritualité!!
Ces expressions qui ont une origine biblique
« Semer la zizanie »
« Semer la zizanie »
Découvrez ces expressions que nous utilisons depuis notre plus jeune âge.
Certaines ont tellement imprégné notre culture qu’on ne soupçonne pas qu’elles puissent avoir une origine biblique.
Semer la zizanie
Cette expression vous évoque peut-être la comédie de Claude Zidi, La Zizanie, sortie en 1978, dans laquelle Louis de Funès et Annie Girardot incarnent avec beaucoup d’humour un couple en pleine discorde.
La zizanie, c’est aussi le titre du quinzième album d’Astérix (1970) qui voit les irréductibles (et querelleurs !)
Gaulois en plein conflit sous l’influence du perfide Romain Tullius Detritus, envoyé par César dans le petit village pour monter les habitants les uns contre les autres et ainsi diviser pour mieux régner.
Et c’est bien de cela qu’il s’agit, car « semer la zizanie » signifie semer la discorde, la mésentente au sein d’un groupe de personnes et l’on imagine bien quelqu’un qui, comme Tullius Detritus, distille sournoisement son venin sous la forme de petites allusions mesquines afin d’attiser querelles et jalousies.
À l’origine, une parabole agricole
Le mot « zizanie » vient du grec zizanion, traduit aujourd’hui par « ivraie », et qui désigne une graminée particulièrement nuisible aux céréales et réputée causer une sorte d’ivresse.
L’expression fait référence à la parabole du bon grain et de l’ivraie, comme le rapporte saint Matthieu dans son évangile (Mt 13, 24-30).
Certaines ont tellement imprégné notre culture qu’on ne soupçonne pas qu’elles puissent avoir une origine biblique.
Semer la zizanie
Cette expression vous évoque peut-être la comédie de Claude Zidi, La Zizanie, sortie en 1978, dans laquelle Louis de Funès et Annie Girardot incarnent avec beaucoup d’humour un couple en pleine discorde.
La zizanie, c’est aussi le titre du quinzième album d’Astérix (1970) qui voit les irréductibles (et querelleurs !)
Gaulois en plein conflit sous l’influence du perfide Romain Tullius Detritus, envoyé par César dans le petit village pour monter les habitants les uns contre les autres et ainsi diviser pour mieux régner.
Et c’est bien de cela qu’il s’agit, car « semer la zizanie » signifie semer la discorde, la mésentente au sein d’un groupe de personnes et l’on imagine bien quelqu’un qui, comme Tullius Detritus, distille sournoisement son venin sous la forme de petites allusions mesquines afin d’attiser querelles et jalousies.
À l’origine, une parabole agricole
Le mot « zizanie » vient du grec zizanion, traduit aujourd’hui par « ivraie », et qui désigne une graminée particulièrement nuisible aux céréales et réputée causer une sorte d’ivresse.
L’expression fait référence à la parabole du bon grain et de l’ivraie, comme le rapporte saint Matthieu dans son évangile (Mt 13, 24-30).
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Re: Spiritualité!!
Dix courtes prières à dire quand on passe devant une église
Ces prières permettent de rendre grâce pour la présence réelle de Jésus dans le tabernacle.
La légende veut que chaque fois que saint François d’Assise ou l’un de ses compagnons passait non loin d’une église, ils avaient coutume de s’arrêter, d’embrasser la terre et de dire cette prière :
Nous t’adorons, ô Seigneur Jésus Christ, dans cette église et dans toutes les églises de la Terre, et nous te bénissons, car par ta sainte croix tu as racheté le monde.
Par cette marque de respect toute simple, ils reconnaissaient la présence réelle de Jésus dans l’église qu’ils voyaient.
Depuis, de nombreuses personnes ont repris cet usage, en l’adaptant avec des petits gestes simples, comme le fait d’incliner la tête ou de soulever légèrement son chapeau, de faire un signe de croix ou tout autre signe de respect.
Voici dix courtes prières tenant en une phrase que l’on peut associer à ces gestes quand on voit une église, de près ou de loin : c’est l’occasion de rendre grâce à Dieu pour le grand mystère de sa présence dans l’Eucharistie.
•Je T’adore à tout instant, ô Pain vivant du Ciel, grand Sacrement !
•Jésus, mon Sauveur, je Te donne mon cœur.
•Que soit loué et remercié à tout moment le très Saint et très Divin Sacrement !
•Jésus, mon Dieu, je T’adore ici présent dans le Sacrement de ton Amour !
•Jésus, merci d’être là et de Te donner à moi !
•Doux Cœur de mon Jésus, fais que je T’aime de plus en plus
•Ô Cœur eucharistique de Jésus, brûlant d’amour pour moi, embrase mon cœur d’amour pour toi.
•Que ferais-je sans Toi, Jésus-Eucharistie !
•Mon Dieu et mon Tout ! (Saint François d’Assise)
•Loué, adoré, aimé et remercié soit à tous les moments le Cœur eucharistique de Jésus, dans tous les tabernacles du monde, pour les siècles des siècles.
Amen.
Ces prières permettent de rendre grâce pour la présence réelle de Jésus dans le tabernacle.
La légende veut que chaque fois que saint François d’Assise ou l’un de ses compagnons passait non loin d’une église, ils avaient coutume de s’arrêter, d’embrasser la terre et de dire cette prière :
Nous t’adorons, ô Seigneur Jésus Christ, dans cette église et dans toutes les églises de la Terre, et nous te bénissons, car par ta sainte croix tu as racheté le monde.
Par cette marque de respect toute simple, ils reconnaissaient la présence réelle de Jésus dans l’église qu’ils voyaient.
Depuis, de nombreuses personnes ont repris cet usage, en l’adaptant avec des petits gestes simples, comme le fait d’incliner la tête ou de soulever légèrement son chapeau, de faire un signe de croix ou tout autre signe de respect.
Voici dix courtes prières tenant en une phrase que l’on peut associer à ces gestes quand on voit une église, de près ou de loin : c’est l’occasion de rendre grâce à Dieu pour le grand mystère de sa présence dans l’Eucharistie.
•Je T’adore à tout instant, ô Pain vivant du Ciel, grand Sacrement !
•Jésus, mon Sauveur, je Te donne mon cœur.
•Que soit loué et remercié à tout moment le très Saint et très Divin Sacrement !
•Jésus, mon Dieu, je T’adore ici présent dans le Sacrement de ton Amour !
•Jésus, merci d’être là et de Te donner à moi !
•Doux Cœur de mon Jésus, fais que je T’aime de plus en plus
•Ô Cœur eucharistique de Jésus, brûlant d’amour pour moi, embrase mon cœur d’amour pour toi.
•Que ferais-je sans Toi, Jésus-Eucharistie !
•Mon Dieu et mon Tout ! (Saint François d’Assise)
•Loué, adoré, aimé et remercié soit à tous les moments le Cœur eucharistique de Jésus, dans tous les tabernacles du monde, pour les siècles des siècles.
Amen.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Spiritualité!!
Quelles sont les fêtes mariales majeures ?
Selon la tradition de l’Église, Marie, témoin de l’amour de Dieu peut recevoir plusieurs titres.
Dans la liturgie , il y a divers degrés de célébration des fêtes : la Solennité est le degré supérieur avant la fête et la mémoire.
Après l’annonce, le 3 mars dernier, de l’inscription obligatoire de la mémoire de « Marie Mère de l’Église » au calendrier romain, et sa célébration le lundi de Pentecôte, pour toute l’Église catholique, voici les onze titres qui lui sont reconnus et qui sont inscrits au calendrier qu’ils s’agissent de solennités, fêtes ou mémoires.
D’autres sont dites « facultatives ».
Trois solennités
La Solennité de l’Immaculée Conception de Marie (8 décembre) célèbre la destinée unique de cette femme juive choisie par Dieu.
En elle s’est totalement manifesté le Dieu vivant.
Depuis le dogme promulgué par le pape Pie IX, le 8 décembre 1854, Marie est déclarée préservée du péché originel dès sa naissance.
La Solennité de Sainte Marie, Mère de Dieu (1 janvier) célèbre la proclamation de Marie comme étant la Theotókos, celle qui, en la personne de Jésus, et en vertu du dogme de l’union des deux natures divines et humaines en lui, a mis le Verbe de Dieu au monde, la « Mère de Dieu ».
Selon la tradition de l’Église, Marie, témoin de l’amour de Dieu peut recevoir plusieurs titres.
Dans la liturgie , il y a divers degrés de célébration des fêtes : la Solennité est le degré supérieur avant la fête et la mémoire.
Après l’annonce, le 3 mars dernier, de l’inscription obligatoire de la mémoire de « Marie Mère de l’Église » au calendrier romain, et sa célébration le lundi de Pentecôte, pour toute l’Église catholique, voici les onze titres qui lui sont reconnus et qui sont inscrits au calendrier qu’ils s’agissent de solennités, fêtes ou mémoires.
D’autres sont dites « facultatives ».
Trois solennités
La Solennité de l’Immaculée Conception de Marie (8 décembre) célèbre la destinée unique de cette femme juive choisie par Dieu.
En elle s’est totalement manifesté le Dieu vivant.
Depuis le dogme promulgué par le pape Pie IX, le 8 décembre 1854, Marie est déclarée préservée du péché originel dès sa naissance.
La Solennité de Sainte Marie, Mère de Dieu (1 janvier) célèbre la proclamation de Marie comme étant la Theotókos, celle qui, en la personne de Jésus, et en vertu du dogme de l’union des deux natures divines et humaines en lui, a mis le Verbe de Dieu au monde, la « Mère de Dieu ».
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Re: Spiritualité!!
Causes désespérées
Rita, une sainte aussi mal connue que populaire
La dévotion à sainte Rita est bien mieux attestée que sa vie.
Grâce à André Bonet qui publie "Sainte Rita" dans la collection Petite vie, on en apprend un peu plus.
Sainte Rita est aussi mal connue qu’elle est populaire.
Populaire parce qu’elle est la sainte des causes impossibles.
Quand il n’y a plus d’espoir, reste encore sainte Rita.
D’où lui vient cette insigne réputation ?
Au biographe de répondre, s’il le peut.
André Bonet le peut.
De sainte Rita il a fait son très pacifique combat.
Il sait tout d’elle. Il a déjà publié un livre sur elle (Sainte Rita. La grâce d’aimer, Le Rocher, 2001).
Il porte la bonne parole à travers le monde en tous ses sanctuaires. Et il nous propose aujourd’hui cette « petite vie ».
On y apprend que Rita, diminutif de Margherita, est née en mai 1381 près de Cascia, à 40 kilomètres d’Assise, d’une famille de paysans pauvres.
Rita correspond pleinement à l’éducation pieuse qu’elle reçoit.
Son rêve est de consacrer sa vie à Dieu.
Son père, croyant la protéger des violences de cette époque, lui impose le mariage.
Son mari est engagé dans les luttes de son temps.
Elle l’apaise, le convertit peu à peu, et, autre bonheur, elle accouche de jumeaux.
Mais voici le temps des épreuves.
Son mari tombe dans un guet-apens.
Ses fils n’ont qu’une idée : le venger.
Leur mère préfère les voir morts : une épidémie les emporte.
Marquée par ces terribles événements, Rita revient à sa première vocation.
Elle est enfin acceptée au monastère Sainte-Marie-Madeleine (aujourd’hui monastère Sainte-Rita) à Cascia, chez les filles de Saint-Augustin.
Elle a 32 ans. Elle y vivra une quarantaine d’années, dans l’adoration des souffrances de la Passion.
Elle s’adonne à d’effrayantes mortifications qui aboutissent à une forme de stigmatisation : une épine de la couronne du Christ lui fait une plaie incurable au front.
De son vivant même, les grâces et les guérisons se multiplient parmi les petites gens qui se pressent au monastère.
Rita, une sainte aussi mal connue que populaire
La dévotion à sainte Rita est bien mieux attestée que sa vie.
Grâce à André Bonet qui publie "Sainte Rita" dans la collection Petite vie, on en apprend un peu plus.
Sainte Rita est aussi mal connue qu’elle est populaire.
Populaire parce qu’elle est la sainte des causes impossibles.
Quand il n’y a plus d’espoir, reste encore sainte Rita.
D’où lui vient cette insigne réputation ?
Au biographe de répondre, s’il le peut.
André Bonet le peut.
De sainte Rita il a fait son très pacifique combat.
Il sait tout d’elle. Il a déjà publié un livre sur elle (Sainte Rita. La grâce d’aimer, Le Rocher, 2001).
Il porte la bonne parole à travers le monde en tous ses sanctuaires. Et il nous propose aujourd’hui cette « petite vie ».
On y apprend que Rita, diminutif de Margherita, est née en mai 1381 près de Cascia, à 40 kilomètres d’Assise, d’une famille de paysans pauvres.
Rita correspond pleinement à l’éducation pieuse qu’elle reçoit.
Son rêve est de consacrer sa vie à Dieu.
Son père, croyant la protéger des violences de cette époque, lui impose le mariage.
Son mari est engagé dans les luttes de son temps.
Elle l’apaise, le convertit peu à peu, et, autre bonheur, elle accouche de jumeaux.
Mais voici le temps des épreuves.
Son mari tombe dans un guet-apens.
Ses fils n’ont qu’une idée : le venger.
Leur mère préfère les voir morts : une épidémie les emporte.
Marquée par ces terribles événements, Rita revient à sa première vocation.
Elle est enfin acceptée au monastère Sainte-Marie-Madeleine (aujourd’hui monastère Sainte-Rita) à Cascia, chez les filles de Saint-Augustin.
Elle a 32 ans. Elle y vivra une quarantaine d’années, dans l’adoration des souffrances de la Passion.
Elle s’adonne à d’effrayantes mortifications qui aboutissent à une forme de stigmatisation : une épine de la couronne du Christ lui fait une plaie incurable au front.
De son vivant même, les grâces et les guérisons se multiplient parmi les petites gens qui se pressent au monastère.
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Re: Spiritualité!!
Qui a inventé le Chemin de Croix ?
Chemin de croix au Colisée (Rome) avec le Pape
Comme pour la crèche de Noël, c'est à saint François d’Assise que l'ont doit le Chemin de Croix, la première reconstitution vivante de la Passion du Christ.
Le Chemin de croix, acte dévotionnel ou communautaire pour revivre les événements de la Passion du Christ, est une pratique fréquente pendant le Carême et surtout le vendredi saint.
Le catholique, en vivant les quatorze moments particuliers, les quatorze stations, jusqu’à la croix, pense aux souffrances du Christ, réfléchit à la signification des événements qui ont précédé et accompagné la mort du Sauveur des hommes.
Il fait alors vivre sa propre croix.
Saint François d’Assise pleurait souvent en pensant aux plaies du Christ « signes de l’amour débordant du Fils de Dieu pour chacun ».
Et comme pour la crèche de Noël, en 1223, c’est à lui que l’on doit la première reconstitution, sous forme de méditations, du chemin de croix.
Lui, uni au Christ par les stigmates, et toujours sur les traces du Christ pauvre et humble, qui encourageait les premiers frères mineurs à une mémoire « en actes ».
Les premiers chemins
Le poverello d’Assise brûle d’amour pour le Christ et il veut que ses frères se conforment davantage à lui en le contemplant, concrètement, dans l’anéantissement de la croix.
Il veut que, sur ce chemin reproduisant la marche du Seigneur depuis le prétoire de Pilate jusqu’au Golgotha, ils élargissent leurs prières aux souffrances de tous les hommes.
La tradition s’installe et les franciscains, à Jérusalem, après la fondation de la Custodie de Terre Sainte (1342), où ils sont présents depuis 1220, invitent les pèlerins à participer à des exercices spirituels sur la Voie douloureuse du Christ.
Chemin de croix au Colisée (Rome) avec le Pape
Comme pour la crèche de Noël, c'est à saint François d’Assise que l'ont doit le Chemin de Croix, la première reconstitution vivante de la Passion du Christ.
Le Chemin de croix, acte dévotionnel ou communautaire pour revivre les événements de la Passion du Christ, est une pratique fréquente pendant le Carême et surtout le vendredi saint.
Le catholique, en vivant les quatorze moments particuliers, les quatorze stations, jusqu’à la croix, pense aux souffrances du Christ, réfléchit à la signification des événements qui ont précédé et accompagné la mort du Sauveur des hommes.
Il fait alors vivre sa propre croix.
Saint François d’Assise pleurait souvent en pensant aux plaies du Christ « signes de l’amour débordant du Fils de Dieu pour chacun ».
Et comme pour la crèche de Noël, en 1223, c’est à lui que l’on doit la première reconstitution, sous forme de méditations, du chemin de croix.
Lui, uni au Christ par les stigmates, et toujours sur les traces du Christ pauvre et humble, qui encourageait les premiers frères mineurs à une mémoire « en actes ».
Les premiers chemins
Le poverello d’Assise brûle d’amour pour le Christ et il veut que ses frères se conforment davantage à lui en le contemplant, concrètement, dans l’anéantissement de la croix.
Il veut que, sur ce chemin reproduisant la marche du Seigneur depuis le prétoire de Pilate jusqu’au Golgotha, ils élargissent leurs prières aux souffrances de tous les hommes.
La tradition s’installe et les franciscains, à Jérusalem, après la fondation de la Custodie de Terre Sainte (1342), où ils sont présents depuis 1220, invitent les pèlerins à participer à des exercices spirituels sur la Voie douloureuse du Christ.
« Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix », la prière de Saint François d’Assise
C'est l’une des prières catholiques les plus connues au monde.
Attribuée à Saint François d’Assise, elle n'a en réalité qu'un siècle d'existence.
Saint François d’Assise l’aurait sûrement signée sans difficulté.
Mais il n’est pas à l’origine de cette prière connue dans le monde entier et qui débute par « Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix ».
On la doit en réalité à un auteur anonyme du début du XXe siècle.
Son contenu et son titre original, « Prière au Sacré-Cœur » ne permet pas dans les faits de pouvoir en douter.
Le succès de cette prière demeure néanmoins principalement dû à l’attribution de la prière à saint François, erreur vieille de plusieurs décennies.
Elle l’est aussi par la richesse de son contenu conjuguée à une authentique simplicité.
Traduite dans toutes les langues ou presque, de très nombreux chants sont inspirés d’elle
. Elle est quasiment devenue la prière officielle des scouts et des familles franciscaines ; les anglicans la considèrent comme la prière œcuménique par excellence ; des églises et des congrégations protestantes sont allées jusqu’à l’adopter comme texte liturgiques.
Aleteia se devait de la proposer à ses lecteurs.
Attribuée à Saint François d’Assise, elle n'a en réalité qu'un siècle d'existence.
Saint François d’Assise l’aurait sûrement signée sans difficulté.
Mais il n’est pas à l’origine de cette prière connue dans le monde entier et qui débute par « Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix ».
On la doit en réalité à un auteur anonyme du début du XXe siècle.
Son contenu et son titre original, « Prière au Sacré-Cœur » ne permet pas dans les faits de pouvoir en douter.
Le succès de cette prière demeure néanmoins principalement dû à l’attribution de la prière à saint François, erreur vieille de plusieurs décennies.
Elle l’est aussi par la richesse de son contenu conjuguée à une authentique simplicité.
Traduite dans toutes les langues ou presque, de très nombreux chants sont inspirés d’elle
. Elle est quasiment devenue la prière officielle des scouts et des familles franciscaines ; les anglicans la considèrent comme la prière œcuménique par excellence ; des églises et des congrégations protestantes sont allées jusqu’à l’adopter comme texte liturgiques.
Aleteia se devait de la proposer à ses lecteurs.
Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix!
Là où il y a de la haine, que je mette l’amour.
Là où il y a l’offense, que je mette le pardon.
Là où il y a la discorde, que je mette l’union.
Là où il y a l’erreur, que je mette la vérité.
Là où il y a le doute, que je mette la foi.
Là où il y a le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où il y a les ténèbres, que je mette ta lumière.
Là où il y a la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne cherche pas tant
à être consolé…qu’à consoler
à être compris…qu’à comprendre
à être aimé…qu’à aimer
Car
c’est en donnant…qu’on reçoit
c’est en s’oubliant …qu’on trouve
c’est en pardonnant…qu’on est pardonné
c’est en mourant…qu’on ressuscite à la vie éternelle.
Là où il y a de la haine, que je mette l’amour.
Là où il y a l’offense, que je mette le pardon.
Là où il y a la discorde, que je mette l’union.
Là où il y a l’erreur, que je mette la vérité.
Là où il y a le doute, que je mette la foi.
Là où il y a le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où il y a les ténèbres, que je mette ta lumière.
Là où il y a la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne cherche pas tant
à être consolé…qu’à consoler
à être compris…qu’à comprendre
à être aimé…qu’à aimer
Car
c’est en donnant…qu’on reçoit
c’est en s’oubliant …qu’on trouve
c’est en pardonnant…qu’on est pardonné
c’est en mourant…qu’on ressuscite à la vie éternelle.
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Re: Spiritualité!!
Votre ado se rebelle ?
Invoquez ce saint
Saint Dominique Savio qui est fêté le 9 mars parvenait à ramener ses camarades les plus récalcitrants à Dieu.
Il n’est pas toujours simple d’être parent, notamment quand les enfants arrivent à l’âge de l’adolescence et de la fameuse crise qui l’accompagne.
Même si cette phase fait partie de la vie, elle peut être vécue de manière douloureuse à la fois pour le parent se trouvant souvent en situation d’échec et pour le jeune en recherche de repères.
Les facteurs de la crise d’adolescence sont nombreux et il n’y a pas de solution miracle.
Mais pour les parents ainsi que pour les éducateurs qui ont la charge d’accompagner des adolescents parfois difficiles vers l’âge adulte, la prière peut être d’un grand soutien.
Pourquoi ne pas demander l’intercession d’un saint, comme par exemple le jeune Dominique Savio ?
À la suite de Don Bosco
Dominique est né en 1852 dans un village pauvre du nord de l’Italie.
Ce jeune garçon pieux, vif et intelligent est vite remarqué pour ses grandes qualités.
Alors que Don Bosco visite la région, il fait sa connaissance et décide de le prendre dans l’école qu’il a fondée à Turin pour des jeunes défavorisés, l’Oratoire Saint-François de Sales.
Un jour, deux de ses camarades décident, à la suite d’une grave dispute, de se battre jusqu’à la mort à coups de pierres.
Dominique s’interpose, brandit un crucifix et leur commande de regarder la croix et de lui jeter la première pierre avant de commencer à se battre.
Invoquez ce saint
Saint Dominique Savio qui est fêté le 9 mars parvenait à ramener ses camarades les plus récalcitrants à Dieu.
Il n’est pas toujours simple d’être parent, notamment quand les enfants arrivent à l’âge de l’adolescence et de la fameuse crise qui l’accompagne.
Même si cette phase fait partie de la vie, elle peut être vécue de manière douloureuse à la fois pour le parent se trouvant souvent en situation d’échec et pour le jeune en recherche de repères.
Les facteurs de la crise d’adolescence sont nombreux et il n’y a pas de solution miracle.
Mais pour les parents ainsi que pour les éducateurs qui ont la charge d’accompagner des adolescents parfois difficiles vers l’âge adulte, la prière peut être d’un grand soutien.
Pourquoi ne pas demander l’intercession d’un saint, comme par exemple le jeune Dominique Savio ?
À la suite de Don Bosco
Dominique est né en 1852 dans un village pauvre du nord de l’Italie.
Ce jeune garçon pieux, vif et intelligent est vite remarqué pour ses grandes qualités.
Alors que Don Bosco visite la région, il fait sa connaissance et décide de le prendre dans l’école qu’il a fondée à Turin pour des jeunes défavorisés, l’Oratoire Saint-François de Sales.
Un jour, deux de ses camarades décident, à la suite d’une grave dispute, de se battre jusqu’à la mort à coups de pierres.
Dominique s’interpose, brandit un crucifix et leur commande de regarder la croix et de lui jeter la première pierre avant de commencer à se battre.
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Re: Spiritualité!!
Mgr Gobilliard
« Dieu ne nous demande pas d’être brillants, mais de le laisser convertir les cœurs »
Mgr Emmanuel Gobilliard, l’un des plus jeunes évêques de France, vient de publier un livre intitulé
« Dieu a besoin de toi… Oui, toi ! ».
Il y invite chacun à sortir de soi afin de répondre à l’appel du Christ et à être témoin de son amour, au quotidien.
Dans un entretien accordé à Aleteia, il revient sur cet appel dont chacun doit se saisir.
Comme Jésus disant à la Samaritaine « Donne-moi à boire », Dieu nous attend, nous appelle.
Ce n’est nullement notre panache et notre force qu’Il sollicite, mais « notre pauvreté, nos bosses, nos peurs, nos blessures », afin qu’Il puisse les rejoindre « et les remplir de sa force et de sa tendresse ».
Mgr Gobilliard, évêque auxiliaire de Lyon, vient de publier aux Éditions de l’Emmanuel un livre intitulé Dieu a besoin de toi…
Oui, toi ! qui rassemble plusieurs de ses textes (homélies, conférences…) et dans lesquels il invite les chrétiens à « sortir de leurs sacristies » afin d’être des témoins de l’amour de Dieu, ici et maintenant.
Aleteia
Qu’est-ce qui vous a poussé à sortir ce recueil ?
Mgr Emmanuel Gobilliard
Les éditions de l’Emmanuel ! Je ne l’avais pas du tout prévu.
Ils me l’ont demandé en ayant remarqué que ces nombreux textes étaient déjà écrits et disponibles sur le site du diocèse de Lyon.
À qui s’adresse-t-il ?
Pour les homélies, je pourrais vous répondre qu’elles s’adressent aux fidèles devant qui ces homélies ont été prononcées.
En fait, ce n’est pas si simple, parce que la plupart de ces homélies n’ont pas été prononcées telles que vous les lisez.
À Madagascar, puis grâce au chapitre d’Evangelii Gaudium concernant l’homélie, j’ai vécu une profonde conversion.
J’avoue avec une grande honte qu’auparavant, même si je priais sur les textes du dimanche suivant, je préparais mal mes homélies.
Et nous savons que si nous préparons mal nos homélies, nous risquons, en fin de compte, de ne parler que de ce que nous connaissons, de nous répéter souvent et de ne pas considérer avec suffisamment de sérieux notre ministère de prédicateur de l’Évangile.
Auparavant je pouvais m’appuyer sur une aisance à l’oral, sur une technique de communication, mais sur le fond j’étais un peu « léger ».
Le Seigneur ne nous demande pas d’être brillants, mais de le laisser convertir les cœurs. Nous devons être à son service, dire ce qu’il veut que nous disions et cela demande de la prière, du travail et, pour moi en tout cas, une rédaction précise de ce que je veux dire.
Je sais qu’il s’agit d’un texte écrit, qui s’adressera probablement à des personnes qui le liront par le moyen d’internet.
Je l’écris donc pour qu’il soit lu et la plupart du temps, le jour où je dois prononcer ces homélies, je ne dis pas ce que j’ai écrit.
Mais tout ce que j’ai écrit m’aura largement préparé à m’adresser aux fidèles.
Pour les conférences, je respecte davantage le texte que j’ai écrit, parce que l’exercice est différent.
On peut donc dire que, même s’il s’agit d’une homélie ou d’une conférence, je m’adresse à des lecteurs qui auront la bonté de me lire.
Je considère généralement, sauf pour certaines conférences, que ces lecteurs sont catholiques et qu’ils ont déjà une vie sacramentelle et une vie de prière.
« Dieu ne nous demande pas d’être brillants, mais de le laisser convertir les cœurs »
Mgr Emmanuel Gobilliard, l’un des plus jeunes évêques de France, vient de publier un livre intitulé
« Dieu a besoin de toi… Oui, toi ! ».
Il y invite chacun à sortir de soi afin de répondre à l’appel du Christ et à être témoin de son amour, au quotidien.
Dans un entretien accordé à Aleteia, il revient sur cet appel dont chacun doit se saisir.
Comme Jésus disant à la Samaritaine « Donne-moi à boire », Dieu nous attend, nous appelle.
Ce n’est nullement notre panache et notre force qu’Il sollicite, mais « notre pauvreté, nos bosses, nos peurs, nos blessures », afin qu’Il puisse les rejoindre « et les remplir de sa force et de sa tendresse ».
Mgr Gobilliard, évêque auxiliaire de Lyon, vient de publier aux Éditions de l’Emmanuel un livre intitulé Dieu a besoin de toi…
Oui, toi ! qui rassemble plusieurs de ses textes (homélies, conférences…) et dans lesquels il invite les chrétiens à « sortir de leurs sacristies » afin d’être des témoins de l’amour de Dieu, ici et maintenant.
Aleteia
Qu’est-ce qui vous a poussé à sortir ce recueil ?
Mgr Emmanuel Gobilliard
Les éditions de l’Emmanuel ! Je ne l’avais pas du tout prévu.
Ils me l’ont demandé en ayant remarqué que ces nombreux textes étaient déjà écrits et disponibles sur le site du diocèse de Lyon.
À qui s’adresse-t-il ?
Pour les homélies, je pourrais vous répondre qu’elles s’adressent aux fidèles devant qui ces homélies ont été prononcées.
En fait, ce n’est pas si simple, parce que la plupart de ces homélies n’ont pas été prononcées telles que vous les lisez.
À Madagascar, puis grâce au chapitre d’Evangelii Gaudium concernant l’homélie, j’ai vécu une profonde conversion.
J’avoue avec une grande honte qu’auparavant, même si je priais sur les textes du dimanche suivant, je préparais mal mes homélies.
Et nous savons que si nous préparons mal nos homélies, nous risquons, en fin de compte, de ne parler que de ce que nous connaissons, de nous répéter souvent et de ne pas considérer avec suffisamment de sérieux notre ministère de prédicateur de l’Évangile.
Auparavant je pouvais m’appuyer sur une aisance à l’oral, sur une technique de communication, mais sur le fond j’étais un peu « léger ».
Le Seigneur ne nous demande pas d’être brillants, mais de le laisser convertir les cœurs. Nous devons être à son service, dire ce qu’il veut que nous disions et cela demande de la prière, du travail et, pour moi en tout cas, une rédaction précise de ce que je veux dire.
Je sais qu’il s’agit d’un texte écrit, qui s’adressera probablement à des personnes qui le liront par le moyen d’internet.
Je l’écris donc pour qu’il soit lu et la plupart du temps, le jour où je dois prononcer ces homélies, je ne dis pas ce que j’ai écrit.
Mais tout ce que j’ai écrit m’aura largement préparé à m’adresser aux fidèles.
Pour les conférences, je respecte davantage le texte que j’ai écrit, parce que l’exercice est différent.
On peut donc dire que, même s’il s’agit d’une homélie ou d’une conférence, je m’adresse à des lecteurs qui auront la bonté de me lire.
Je considère généralement, sauf pour certaines conférences, que ces lecteurs sont catholiques et qu’ils ont déjà une vie sacramentelle et une vie de prière.
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Re: Spiritualité!!
Qui étaient les pharisiens ?
Et pourquoi Jésus était-il si virulent envers eux ?
Dans le Nouveau Testament, il est fréquemment fait mention des pharisiens.
Mais il faut dire que c’est rarement à leur avantage.
Au contraire, Jésus entre souvent en opposition avec eux, allant jusqu’à leur adresser de vifs reproches, comme en fait état cet enchaînement de semonces rapporté dans le chapitre 23 de l’Évangile de Matthieu :
« Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous fermez à clé le royaume des Cieux devant les hommes ; vous-mêmes, en effet, n’y entrez pas, et vous ne laissez pas entrer ceux qui veulent entrer !
Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous parcourez la mer et la terre pour faire un seul converti, et quand c’est arrivé, vous faites de lui un homme voué à la géhenne, deux fois pire que vous !
Malheureux êtes-vous, guides aveugles, vous qui dites :
“Si l’on fait un serment par le Sanctuaire, il est nul ; mais si l’on fait un serment par l’or du Sanctuaire, on doit s’en acquitter.” » (Mt 23,13-16)
Et ainsi de suite pendant de nombreux versets.
Alors, pourquoi ces remontrances ?
Qui étaient ces pharisiens qui mettaient Jésus en colère ?
Le nom « pharisien » tire ses origines du grec pharisaioi, provenant lui-même de la racine du verbe hébreu prš (« parash »), qui signifie « distinguer », « séparer » mais aussi « éclaircir », « expliquer ».
L’origine de cette dénomination donne lieu à deux interprétations. Étant donné l’importance qu’ils attachaient à la Loi, il se pourrait que leur nom marque le fait que ce groupe se soit « séparé », pour des raisons de pureté rituelle, du reste du peuple, moins soucieux des prescriptions de la Loi.
Mais il peut aussi être compris comme « ceux qui séparent la loi » (en d’autres termes, la décortiquent) pour chercher à mieux l’interpréter et l’expliquer.
Quoi qu’il en soit, l’attachement à la Loi était donc prépondérant dans cette secte juive.
Ainsi, au temps de Jésus, ils cherchaient à suivre la Loi de façon très scrupuleuse.
Selon eux, la personne croyante se devait d’observer à la fois la Loi écrite ou Torah, et les traditions orales auxquelles ils accordaient une grande importance.
En tout, ils avaient donc compilé 613 préceptes à respecter, comprenant pas moins de 365 interdictions.
Ils insistaient principalement sur l’observation du sabbat et les différentes purifications rituelles.
En érigeant tous ces préceptes, ils souhaitaient faire en sorte que nul ne puisse enfreindre un principe majeur de la Loi, notamment l’un des Dix commandements.
Et pourquoi Jésus était-il si virulent envers eux ?
Dans le Nouveau Testament, il est fréquemment fait mention des pharisiens.
Mais il faut dire que c’est rarement à leur avantage.
Au contraire, Jésus entre souvent en opposition avec eux, allant jusqu’à leur adresser de vifs reproches, comme en fait état cet enchaînement de semonces rapporté dans le chapitre 23 de l’Évangile de Matthieu :
« Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous fermez à clé le royaume des Cieux devant les hommes ; vous-mêmes, en effet, n’y entrez pas, et vous ne laissez pas entrer ceux qui veulent entrer !
Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous parcourez la mer et la terre pour faire un seul converti, et quand c’est arrivé, vous faites de lui un homme voué à la géhenne, deux fois pire que vous !
Malheureux êtes-vous, guides aveugles, vous qui dites :
“Si l’on fait un serment par le Sanctuaire, il est nul ; mais si l’on fait un serment par l’or du Sanctuaire, on doit s’en acquitter.” » (Mt 23,13-16)
Et ainsi de suite pendant de nombreux versets.
Alors, pourquoi ces remontrances ?
Qui étaient ces pharisiens qui mettaient Jésus en colère ?
Le nom « pharisien » tire ses origines du grec pharisaioi, provenant lui-même de la racine du verbe hébreu prš (« parash »), qui signifie « distinguer », « séparer » mais aussi « éclaircir », « expliquer ».
L’origine de cette dénomination donne lieu à deux interprétations. Étant donné l’importance qu’ils attachaient à la Loi, il se pourrait que leur nom marque le fait que ce groupe se soit « séparé », pour des raisons de pureté rituelle, du reste du peuple, moins soucieux des prescriptions de la Loi.
Mais il peut aussi être compris comme « ceux qui séparent la loi » (en d’autres termes, la décortiquent) pour chercher à mieux l’interpréter et l’expliquer.
Quoi qu’il en soit, l’attachement à la Loi était donc prépondérant dans cette secte juive.
Ainsi, au temps de Jésus, ils cherchaient à suivre la Loi de façon très scrupuleuse.
Selon eux, la personne croyante se devait d’observer à la fois la Loi écrite ou Torah, et les traditions orales auxquelles ils accordaient une grande importance.
En tout, ils avaient donc compilé 613 préceptes à respecter, comprenant pas moins de 365 interdictions.
Ils insistaient principalement sur l’observation du sabbat et les différentes purifications rituelles.
En érigeant tous ces préceptes, ils souhaitaient faire en sorte que nul ne puisse enfreindre un principe majeur de la Loi, notamment l’un des Dix commandements.
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Re: Spiritualité!!
La visite marathon du pape François chez Padre Pio
De la chapelle des stigmates à l’hôpital des corps et des âmes, en passant par le sanctuaire, le Saint-Père, en à peine six heures, va parcourir l’une des vies les plus troublantes de tous les saints.
Il y a 50 ans cette année que saint Padre Pio (1887-1868) est décédé, et 100 ans que le saint le plus populaire d’Italie a reçu les premiers stigmates de la Passion du Christ sur son corps.
Un double anniversaire que le pape François a décidé de commémorer en se rendant sur les lieux mêmes de la vie du saint ce 17 mars, dans les Pouilles.
Pour un moment de recueillement dans la chapelle des stigmates, à Piana Romana de Pietrelcina, sa ville natale, et sur la dépouille du saint au sanctuaire Sainte-Marie-des-Grâces à San Giovanni Rotondo.
Entre les deux, une visite à la Casa Sollievo della Sofferenza, hôpital fondé par Padre Pio.
Tout cela en moins de six heures, selon les derniers détails du programme communiqués par le Vatican.
Découvrez les trois destinations phares de la visite de François :
La Chapelle des stigmates
De la chapelle des stigmates à l’hôpital des corps et des âmes, en passant par le sanctuaire, le Saint-Père, en à peine six heures, va parcourir l’une des vies les plus troublantes de tous les saints.
Il y a 50 ans cette année que saint Padre Pio (1887-1868) est décédé, et 100 ans que le saint le plus populaire d’Italie a reçu les premiers stigmates de la Passion du Christ sur son corps.
Un double anniversaire que le pape François a décidé de commémorer en se rendant sur les lieux mêmes de la vie du saint ce 17 mars, dans les Pouilles.
Pour un moment de recueillement dans la chapelle des stigmates, à Piana Romana de Pietrelcina, sa ville natale, et sur la dépouille du saint au sanctuaire Sainte-Marie-des-Grâces à San Giovanni Rotondo.
Entre les deux, une visite à la Casa Sollievo della Sofferenza, hôpital fondé par Padre Pio.
Tout cela en moins de six heures, selon les derniers détails du programme communiqués par le Vatican.
Découvrez les trois destinations phares de la visite de François :
La Chapelle des stigmates
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Re: Spiritualité!!
Padre Pio, l’Église face aux stigmates
PADRE PIO
Le saint capucin italien Padre Pio commença à avoir des stigmates « visibles » au cours de l'année 1918.
Après sa mort, les stigmates disparurent de son corps.
Seuls les stigmates de saints François d’Assise et de sainte Catherine de Sienne sont officiellement reconnus.
La procédure de reconnaissance pour Padre Pio est en cours depuis sa canonisation
Padre Pio a été canonisé par Jean Paul II le 16 juin 2002.
Une procédure de reconnaissance des stigmates est depuis engagée.
Procédure menée à partir d’escarres détachées de ses stigmates lorsqu’il était toujours en vie et utilisées comme reliques à cet effet.
Car, si Padre Pio a souffert de ses plaies aux mains, aux pieds et à la poitrine pendant plus de 50 ans, celles-ci ont disparu à sa mort. La procédure n’a pas encore abouti pour le moment.
L’Eglise, très prudente sur le phénomène des stigmates, après la reconnaissance de ceux de saint François d’Assise et sainte Catherine de Sienne, n’en a plus reconnus officiellement.
Procédure complexe
La procédure de reconnaissance est longue car elle demande un examen minutieux de chaque point de la vie du saint.
Un examen qui va au-delà d’un simple constat physique.
Il ne s’agit pas de contester ou non la réalité des stigmates – vérifiée par des médecins et des scientifiques qui ont aidé l’Église à discerner pour monter le dossier en canonisation – mais de reconnaître officiellement que le saint est « une icône vivante du Christ », qu’en recevant les stigmates il est devenu « un avec le Christ crucifié ».
Ce « don », a résumé un jour Benoît XVI lors d’une audience générale centrée sur saint François d’Assise, exprime « son intime identification avec le Seigneur ».
Pour Catherine de Sienne, les stigmates furent l’objet de controverses pendant deux siècles.
Les dominicains voulaient leur reconnaissance, les franciscains ne voulaient pas.
Objet de la polémique : le fait que ce sont des rayons lumineux qui partaient des cinq parties stigmatisées de son corps et non du sang.
Le pape Urbain VIII, en 1630, a finalement tranché, reconnaissant l’authenticité de plaies « lumineuses » et non « sanglantes ».
La fête liturgique des « saints stigmates » de Catherine de Sienne a été instaurée en 1727, et fixée au 29 avril.
Divers stigmates
Les stigmates sont des plaies de la peau qui reproduisent les plaies du Christ souffrant, lors de la crucifixion : mains, pieds – à cause des clous – dos – à cause de la flagellation – thorax – à cause du coup de lance – et tête – à cause de la couronne d’épines -
On appelle ces plaies des « stigmates imitatifs ».
Les plaies se referment et se cicatrisent toute seule.
Ce sont les plus « fréquentes »
Et puis il y a les « stigmates figuratifs », des plaies d’où s’écoule le sang qui trace sur la peau ou sur un linge, soit des symboles religieux, soit des lettres.
Enfin, les stigmates « invisibles » son ceux qui ne se manifestent par aucune plaie mais pour lesquelles il y a un ressenti tout aussi intense de la douleur aux mêmes endroits.
PADRE PIO
Le saint capucin italien Padre Pio commença à avoir des stigmates « visibles » au cours de l'année 1918.
Après sa mort, les stigmates disparurent de son corps.
Seuls les stigmates de saints François d’Assise et de sainte Catherine de Sienne sont officiellement reconnus.
La procédure de reconnaissance pour Padre Pio est en cours depuis sa canonisation
Padre Pio a été canonisé par Jean Paul II le 16 juin 2002.
Une procédure de reconnaissance des stigmates est depuis engagée.
Procédure menée à partir d’escarres détachées de ses stigmates lorsqu’il était toujours en vie et utilisées comme reliques à cet effet.
Car, si Padre Pio a souffert de ses plaies aux mains, aux pieds et à la poitrine pendant plus de 50 ans, celles-ci ont disparu à sa mort. La procédure n’a pas encore abouti pour le moment.
L’Eglise, très prudente sur le phénomène des stigmates, après la reconnaissance de ceux de saint François d’Assise et sainte Catherine de Sienne, n’en a plus reconnus officiellement.
Procédure complexe
La procédure de reconnaissance est longue car elle demande un examen minutieux de chaque point de la vie du saint.
Un examen qui va au-delà d’un simple constat physique.
Il ne s’agit pas de contester ou non la réalité des stigmates – vérifiée par des médecins et des scientifiques qui ont aidé l’Église à discerner pour monter le dossier en canonisation – mais de reconnaître officiellement que le saint est « une icône vivante du Christ », qu’en recevant les stigmates il est devenu « un avec le Christ crucifié ».
Ce « don », a résumé un jour Benoît XVI lors d’une audience générale centrée sur saint François d’Assise, exprime « son intime identification avec le Seigneur ».
Pour Catherine de Sienne, les stigmates furent l’objet de controverses pendant deux siècles.
Les dominicains voulaient leur reconnaissance, les franciscains ne voulaient pas.
Objet de la polémique : le fait que ce sont des rayons lumineux qui partaient des cinq parties stigmatisées de son corps et non du sang.
Le pape Urbain VIII, en 1630, a finalement tranché, reconnaissant l’authenticité de plaies « lumineuses » et non « sanglantes ».
La fête liturgique des « saints stigmates » de Catherine de Sienne a été instaurée en 1727, et fixée au 29 avril.
Divers stigmates
Les stigmates sont des plaies de la peau qui reproduisent les plaies du Christ souffrant, lors de la crucifixion : mains, pieds – à cause des clous – dos – à cause de la flagellation – thorax – à cause du coup de lance – et tête – à cause de la couronne d’épines -
On appelle ces plaies des « stigmates imitatifs ».
Les plaies se referment et se cicatrisent toute seule.
Ce sont les plus « fréquentes »
Et puis il y a les « stigmates figuratifs », des plaies d’où s’écoule le sang qui trace sur la peau ou sur un linge, soit des symboles religieux, soit des lettres.
Enfin, les stigmates « invisibles » son ceux qui ne se manifestent par aucune plaie mais pour lesquelles il y a un ressenti tout aussi intense de la douleur aux mêmes endroits.
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Re: Spiritualité!!
Pourquoi Jean-Baptiste baptisait-il les gens ?
D’où lui est venue cette pratique ?
Quand Jean-Baptiste est mentionné pour la première fois dans l’Évangile de Jean, il est déjà à l’œuvre pour baptiser la foule.
Les Pharisiens, interpellés par cette pratique, l’interrogent à ce propos :
« Pourquoi donc baptises-tu, si tu n’es ni le Christ, ni Élie, ni le Prophète ? »
Jean leur répondit :
« Moi, je baptise dans l’eau.
Mais au milieu de vous se tient celui que vous ne connaissez pas ; c’est lui qui vient derrière moi, et je ne suis pas digne de délier la courroie de sa sandale. »
Cela s’est passé à Béthanie, de l’autre côté du Jourdain, à l’endroit où Jean baptisait. (Jn 1, 25-28)
En principe, le rituel du baptême implique l’administration d’un sacrement.
Or on sait que Jean-Baptiste, lui, n’administrait pas de sacrement.
Comme il le dit lui-même, il ne baptisait [que] dans l’eau.
Alors pourquoi pratiquait-il ce rite ?
La question des Pharisiens est légitime !
La Bible nous donne au moins un indice sur ses motivations potentielles :
dans l’Évangile de Marc il est dit que « Jean, celui qui baptisait, […] proclamait un baptême de conversion pour le pardon des péchés. » (Mc 1, 4)
Pour Jean-Baptiste, verser de l’eau sur la tête de quelqu’un était donc le signe extérieur d’une conversion intérieure.
Influencé par les Esséniens ?
Les paroles inspirantes de Jean-Baptiste incitaient la foule à changer de vie, à se départir du péché.
Après avoir avoué leurs fautes, les gens laissaient Jean-Baptiste plonger leur corps dans l’eau afin qu’ils puissent mourir à leur vie pécheresse et renaître à une vie nouvelle.
L’immersion dans l’eau symbolisait la purification des péchés.
D’où lui est venue cette pratique ?
Quand Jean-Baptiste est mentionné pour la première fois dans l’Évangile de Jean, il est déjà à l’œuvre pour baptiser la foule.
Les Pharisiens, interpellés par cette pratique, l’interrogent à ce propos :
« Pourquoi donc baptises-tu, si tu n’es ni le Christ, ni Élie, ni le Prophète ? »
Jean leur répondit :
« Moi, je baptise dans l’eau.
Mais au milieu de vous se tient celui que vous ne connaissez pas ; c’est lui qui vient derrière moi, et je ne suis pas digne de délier la courroie de sa sandale. »
Cela s’est passé à Béthanie, de l’autre côté du Jourdain, à l’endroit où Jean baptisait. (Jn 1, 25-28)
En principe, le rituel du baptême implique l’administration d’un sacrement.
Or on sait que Jean-Baptiste, lui, n’administrait pas de sacrement.
Comme il le dit lui-même, il ne baptisait [que] dans l’eau.
Alors pourquoi pratiquait-il ce rite ?
La question des Pharisiens est légitime !
La Bible nous donne au moins un indice sur ses motivations potentielles :
dans l’Évangile de Marc il est dit que « Jean, celui qui baptisait, […] proclamait un baptême de conversion pour le pardon des péchés. » (Mc 1, 4)
Pour Jean-Baptiste, verser de l’eau sur la tête de quelqu’un était donc le signe extérieur d’une conversion intérieure.
Influencé par les Esséniens ?
Les paroles inspirantes de Jean-Baptiste incitaient la foule à changer de vie, à se départir du péché.
Après avoir avoué leurs fautes, les gens laissaient Jean-Baptiste plonger leur corps dans l’eau afin qu’ils puissent mourir à leur vie pécheresse et renaître à une vie nouvelle.
L’immersion dans l’eau symbolisait la purification des péchés.
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Re: Spiritualité!!
Faut-il communier dans la bouche ou dans la main ?
Debout ou à genoux?
Comment convient-il de recevoir la sainte communion ?
Cette question suscite bien des polémiques depuis la (ré)introduction de la pratique « dans la main », après des siècles de communion dans la bouche.
Le débat sur le mode de réception de la communion rebondit régulièrement.
Quel mode de réception incarne la forme la plus respectueuse ou la plus intime de communion ?
Quelle est la pratique la plus ancienne ?
Le pape François l’a rappelé lors de sa catéchèse du 21 mars, on peut communier sous les deux formes.
Mais à condition de respecter les prescriptions de l’Église confiées aux conférences épiscopales :
« Selon la pratique ecclésiale, les fidèles s’approchent normalement de l’Eucharistie en procession et communient debout avec dévotion, ou à genoux, comme établi par la conférence épiscopale, recevant le sacrement dans la bouche ou — là où cela est permis — dans la main, comme ils le préfèrent », a souligné le Pape.
Là où cela est permis
Rappelons que les deux pratiques — dans la bouche ou dans la main — sont autorisées en France depuis 1969, après une demande officielle faite au Saint-Siège selon les directives de la toute nouvelle instruction Memoriale Domini (29 mai 1969). Cliquer
L’Église déplorant que « dans certains endroits et dans certaines communautés », cette façon de faire soit déjà pratiquée, « bien que le Saint-Siège n’ait pas encore donné l’autorisation demandée et que cette pratique ait été parfois introduite sans que les fidèles y aient été préparés convenablement ».
Autorisation accordée, il est précisé aux épiscopats que « l’usage traditionnel est maintenu en vigueur », que « la nouvelle manière ne doit pas être imposée », et que « les deux manières de communier peuvent coexister dans la même action liturgique ». Des précautions sont également demandées pour éviter les risques possibles
Manque de respect, profanation, perte de foi en la Présence réelle…
Il est également recommandé une catéchèse adéquate pour expliquer l’introduction du nouvel usage.
Le rôle des conférences épiscopales, la nécessaire confirmation du Saint-Siège et la liberté de choix du fidèle — ni empêché, ni contraint à l’une ou l’autre forme — , a été réaffirmé dans la nouvelle instruction Redemptionis Sacramentum, en 2004, qui insiste à nouveau sur le respect nécessaire et les précautions et règles à observer, notamment pour la communion dans la main :
« Tout fidèle a toujours le droit de recevoir, selon son choix, la sainte communion dans la bouche.
Si un communiant désire recevoir le sacrement dans la main, dans les régions où la Conférence des Évêques le permet, avec la confirmation du Siège Apostolique, on peut lui donner la sainte hostie.
Cependant, il faut veiller attentivement dans ce cas à ce que l’hostie soit consommée aussitôt par le communiant devant le ministre, pour que personne ne s’éloigne avec les espèces eucharistiques dans la main.
S’il y a un risque de profanation, la sainte communion ne doit pas être donnée dans la main des fidèles » (n° 92).
La polémique
Au Vatican, le débat est aussi vigoureux.
Ainsi, le préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, le cardinal Robert Sarah, très soucieux de voir respecter « la vie liturgique » affiche toujours une position rigoureuse par rapport à la ligne du pape François.
« Pourquoi insistons-nous pour communier debout et dans la main ?
Pourquoi cette attitude exprimant un manque de soumission aux signes de Dieu, alors que la communion à genoux et dans la bouche est « un acte d’adoration et d’amour que chacun de nous peut offrir à Jésus-Christ ? », s’interroge-t-il dans la préface d’un ouvrage italien sur le sujet.
Le pape François, lui, préfère mettre en avant « le prodige de la communion », se centrant sur la célébration de l’Eucharistie qui « ouvre et unit tous ceux qui ne font qu’un » avec Jésus-Christ.
« Nous devenons ce que nous recevons : le Corps du Christ », a-t-il déclaré dans sa catéchèse de mercredi, « nous célébrons l’Eucharistie pour nous nourrir du Christ qui se donne lui-même dans sa Parole et dans le Sacrement de l’autel ».
Et de rappeler « qu’après la fraction du pain consacré, le prêtre invite les fidèles au banquet eucharistique (…) pour faire l’expérience de l’union intime avec le Seigneur, source de joie et de sainteté ».
Cette sainteté est « le plus beau visage de l’Église », aime répéter le pape François.
Elle sera d’ailleurs le thème de sa prochaine exhortation apostolique dont la parution est annoncée pour le 2 avril, le lundi de Pâques.
Debout ou à genoux?
Comment convient-il de recevoir la sainte communion ?
Cette question suscite bien des polémiques depuis la (ré)introduction de la pratique « dans la main », après des siècles de communion dans la bouche.
Le débat sur le mode de réception de la communion rebondit régulièrement.
Quel mode de réception incarne la forme la plus respectueuse ou la plus intime de communion ?
Quelle est la pratique la plus ancienne ?
Le pape François l’a rappelé lors de sa catéchèse du 21 mars, on peut communier sous les deux formes.
Mais à condition de respecter les prescriptions de l’Église confiées aux conférences épiscopales :
« Selon la pratique ecclésiale, les fidèles s’approchent normalement de l’Eucharistie en procession et communient debout avec dévotion, ou à genoux, comme établi par la conférence épiscopale, recevant le sacrement dans la bouche ou — là où cela est permis — dans la main, comme ils le préfèrent », a souligné le Pape.
Là où cela est permis
Rappelons que les deux pratiques — dans la bouche ou dans la main — sont autorisées en France depuis 1969, après une demande officielle faite au Saint-Siège selon les directives de la toute nouvelle instruction Memoriale Domini (29 mai 1969). Cliquer
L’Église déplorant que « dans certains endroits et dans certaines communautés », cette façon de faire soit déjà pratiquée, « bien que le Saint-Siège n’ait pas encore donné l’autorisation demandée et que cette pratique ait été parfois introduite sans que les fidèles y aient été préparés convenablement ».
Autorisation accordée, il est précisé aux épiscopats que « l’usage traditionnel est maintenu en vigueur », que « la nouvelle manière ne doit pas être imposée », et que « les deux manières de communier peuvent coexister dans la même action liturgique ». Des précautions sont également demandées pour éviter les risques possibles
Manque de respect, profanation, perte de foi en la Présence réelle…
Il est également recommandé une catéchèse adéquate pour expliquer l’introduction du nouvel usage.
Le rôle des conférences épiscopales, la nécessaire confirmation du Saint-Siège et la liberté de choix du fidèle — ni empêché, ni contraint à l’une ou l’autre forme — , a été réaffirmé dans la nouvelle instruction Redemptionis Sacramentum, en 2004, qui insiste à nouveau sur le respect nécessaire et les précautions et règles à observer, notamment pour la communion dans la main :
« Tout fidèle a toujours le droit de recevoir, selon son choix, la sainte communion dans la bouche.
Si un communiant désire recevoir le sacrement dans la main, dans les régions où la Conférence des Évêques le permet, avec la confirmation du Siège Apostolique, on peut lui donner la sainte hostie.
Cependant, il faut veiller attentivement dans ce cas à ce que l’hostie soit consommée aussitôt par le communiant devant le ministre, pour que personne ne s’éloigne avec les espèces eucharistiques dans la main.
S’il y a un risque de profanation, la sainte communion ne doit pas être donnée dans la main des fidèles » (n° 92).
La polémique
Au Vatican, le débat est aussi vigoureux.
Ainsi, le préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, le cardinal Robert Sarah, très soucieux de voir respecter « la vie liturgique » affiche toujours une position rigoureuse par rapport à la ligne du pape François.
« Pourquoi insistons-nous pour communier debout et dans la main ?
Pourquoi cette attitude exprimant un manque de soumission aux signes de Dieu, alors que la communion à genoux et dans la bouche est « un acte d’adoration et d’amour que chacun de nous peut offrir à Jésus-Christ ? », s’interroge-t-il dans la préface d’un ouvrage italien sur le sujet.
Le pape François, lui, préfère mettre en avant « le prodige de la communion », se centrant sur la célébration de l’Eucharistie qui « ouvre et unit tous ceux qui ne font qu’un » avec Jésus-Christ.
« Nous devenons ce que nous recevons : le Corps du Christ », a-t-il déclaré dans sa catéchèse de mercredi, « nous célébrons l’Eucharistie pour nous nourrir du Christ qui se donne lui-même dans sa Parole et dans le Sacrement de l’autel ».
Et de rappeler « qu’après la fraction du pain consacré, le prêtre invite les fidèles au banquet eucharistique (…) pour faire l’expérience de l’union intime avec le Seigneur, source de joie et de sainteté ».
Cette sainteté est « le plus beau visage de l’Église », aime répéter le pape François.
Elle sera d’ailleurs le thème de sa prochaine exhortation apostolique dont la parution est annoncée pour le 2 avril, le lundi de Pâques.
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Re: Spiritualité!!
Maximilien Kolbe, ou pourquoi donner sa vie à la place de l’autre
Récits allégoriques, les paraboles s'avèrent de puissants moyens d'annoncer la parole. Fondateur avec Mgr Carré de CapMissio, l'école de Mission de Montpellier, le père René-Luc a décidé d'utiliser le même moyen pour évangéliser.
Dans cette vidéo, il évoque la vie de saint Maximilien Kolbe, que l’on fête le 14 août.
Ce Polonais a donné sa vie pour un père de famille alors qu’il était interné à Auschwitz.
Il a été canonisé comme martyr en 1982.
Aujourd’hui, la figure de saint Maximilien Kolbe, modèle du don de soi, nous parle de façon particulière.
Rajmund (Maximilien est son nom de religion) naît en Pologne en 1894, dans une famille où la foi est très présente
À l’âge de 10 ans, son impétuosité préoccupe sa mère, qui s’exclame un jour :
« Mais que vas-tu devenir plus tard ? ».
Le jeune Rajmund, interpellé par la question, décide d’aller prier.
Il vit alors une expérience singulière : la Vierge Marie lui apparaît, tenant deux couronnes entre ses mains, une blanche, symbole de la pureté, et une rouge, symbole du martyre.
Le jeune garçon choisit les deux.
À 16 ans, il entre chez les frères franciscains, puis est ordonné prêtre en 1918.
En 1917, à Rome, il fonde la Milice de l’Immaculée afin de répandre la médaille miraculeuse.
Peu après, un journal, Le Chevalier de l’Immaculée, voit également le jour.
Puis, en 1927, il fonde Niepokalanow, véritable « cité de l’Immaculée ».
Là-bas, tous les moyens modernes sont utilisés pour faire aimer la Vierge Marie, de la maison d’édition à la station de radio.
Rien n’est trop beau pour elle.
Le père Maximilien est alors un véritable patron de presse engagé, qui n’hésite pas à voyager jusqu’en Asie pour conduire les âmes à Marie.
Une source d’inspiration pour la jeunesse
Dans cette vidéo, il évoque la vie de saint Maximilien Kolbe, que l’on fête le 14 août.
Ce Polonais a donné sa vie pour un père de famille alors qu’il était interné à Auschwitz.
Il a été canonisé comme martyr en 1982.
Aujourd’hui, la figure de saint Maximilien Kolbe, modèle du don de soi, nous parle de façon particulière.
Rajmund (Maximilien est son nom de religion) naît en Pologne en 1894, dans une famille où la foi est très présente
À l’âge de 10 ans, son impétuosité préoccupe sa mère, qui s’exclame un jour :
« Mais que vas-tu devenir plus tard ? ».
Le jeune Rajmund, interpellé par la question, décide d’aller prier.
Il vit alors une expérience singulière : la Vierge Marie lui apparaît, tenant deux couronnes entre ses mains, une blanche, symbole de la pureté, et une rouge, symbole du martyre.
Le jeune garçon choisit les deux.
À 16 ans, il entre chez les frères franciscains, puis est ordonné prêtre en 1918.
En 1917, à Rome, il fonde la Milice de l’Immaculée afin de répandre la médaille miraculeuse.
Peu après, un journal, Le Chevalier de l’Immaculée, voit également le jour.
Puis, en 1927, il fonde Niepokalanow, véritable « cité de l’Immaculée ».
Là-bas, tous les moyens modernes sont utilisés pour faire aimer la Vierge Marie, de la maison d’édition à la station de radio.
Rien n’est trop beau pour elle.
Le père Maximilien est alors un véritable patron de presse engagé, qui n’hésite pas à voyager jusqu’en Asie pour conduire les âmes à Marie.
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Re: Spiritualité!!
Savez-vous ce que signifie le dimanche dit de « Quasimodo » ?
Certains dimanches possèdent le privilège de porter des noms latins qui marquent leur importance dans le temps liturgique.
Il y eut un temps où l’année liturgique comptait beaucoup plus que l’année civile.
C’est l’Église qui rythmait la vie de la société.
Les fêtes religieuses (cycle temporal) et les fêtes des saints (cycle sanctoral) fournissaient aux paroissiens les repères suffisants pour mener leur vie : observations météorologiques, travaux des champs et du jardin, activités économiques, foires, fêtes patronales, réjouissances populaires, « tout était le long événement d’un beau rite », comme écrit Péguy dans L’Argent.
En témoignent encore les dictons et les chansons (Il reviendra à Pâques / Ou à la Trinité).
Ce temps-là a duré des siècles.
La Révolution a essayé de l’effacer en imposant le calendrier révolutionnaire. En vain.
L’emprise chrétienne était indélébile.
La République n’a pu qu’en prendre acte, en glissant ses fêtes à elle, nationales et commémoratives.
Et c’est ainsi que les grandes fêtes religieuses rythment toujours l’année, et l’unité reste toujours la semaine avec son premier jour : le dimanche.
Or en ce temps-là, certains dimanches avaient le curieux privilège de porter un nom qui leur était propre. Par exemple le dimanche dit de Quasimodo.
D’où tiraient-ils leur nom ?
Du premier mot qui marquait l’entrée dans la liturgie, en latin à l’époque, le chant de l’introït qu’entonnaient les chantres, avec plus ou moins de talent, au moment où l’officiant approchait de l’autel.
D’où tenaient-ils ce privilège ?
C’est qu’ils avaient sans doute quelque chose de particulier, qui marquait les esprits.
Prenons les dimanches de Carême.
Le 2e dimanche était le dimanche de Reminiscere ; le 3e le dimanche d’Oculi ; le 4e de Laetare.
Avançons une explication. Temps de jeûne et d’abstinence, le Carême était jadis d’une autre rigueur qu’aujourd’hui.
On pouvait trouver le temps long et compter les dimanches qui séparaient de Pâques. Passe pour le premier.
Mais les dimanches suivants étaient salués comme une étape vers la libération. Un peu quelque chose comme : un de moins !
Reminiscere et Oculi sont oubliés.
Reste pour beaucoup le dimanche de Laetare, qui conforte cette explication. L’Église est bonne mère.
Au beau milieu du parcours, elle encourage les pèlerins avec les mots d’Isaïe :
« Laetare, Jerusalem, Réjouis-toi, Jérusalem, Gaudete cum laetitia, qui in tristitia fuistis, Soyez transportés de joie, vous qui étiez dans la tristesse ».
Courage, vous êtes sur la bonne voie, persévérez, soyez déjà dans l’allégresse qui éclatera bientôt au chant de l’Exultet !
Même sollicitude au beau milieu du temps de l’Avent : dimanche de Gaudete.
Injonction de Paul aux Philippiens : « Gaudete in Domino, Réjouissez-vous dans le Seigneur, iterum dico, gaudete, je vous le répète, réjouissez-vous ! »
Et en ces deux dimanches qui se font signe, les orgues reprennent de la voix et le prêtre revêt une chasuble rose, qui adoucit l’austérité du violet.
Le dimanche « baptisé » qui reste le plus connu est bien celui de Quasimodo. C’est le dimanche de l’octave de Pâques, la semaine qui fermait non pas le temps pascal, mais la fête elle-même de Pâques.
Dimanche de Pâques closes c’est l’un de ses noms, désuet. Il est surtout le dimanche in albis.
Au cours de la veillée pascale, lorsque les catéchumènes reçoivent le baptême, l’assemblée reprend le cri de joie de Paul :
« Vous tous qui avez été baptisés dans le Christ, vous avez revêtu le Christ. »
Le symbole en est le vêtement blanc qu’ils passent alors.
Ils sont in albis. Dans l’ancienne liturgie, ils le conservaient durant la semaine, le déposaient le samedi, et jusqu’au dimanche tout était in albis.
Le chant d’entrée s’adressait à eux, et avec quelle tendresse, par la voix de Pierre :
« Quasi modo geniti infantes, comme des enfants nouveau-nés… désirez ardemment le pur lait spirituel. »
La joie pascale rayonne encore. Quasimodo sonne bien : il a baptisé le dimanche.
Il nous vient du fond des âges. Il nous est héritage.
Conservons-le comme un témoignage. Avec reconnaissance.
P.-S. – Il faut bien avouer que pour le grand public Quasimodo c’est le nom du pauvre héros contrefait de Notre-Dame de Paris.
Victor Hugo explique les deux raisons pour lesquelles Claude Frollo qui l’a recueilli lui donna ce nom : « Il baptisa son enfant adoptif, et le nomma Quasimodo, soit qu’il voulût marquer par là le jour où il l’avait trouvé, soit qu’il voulût caractériser par ce nom à quel point la pauvre petite créature était incomplète et à peine ébauchée.
En effet, Quasimodo, borgne, bossu, cagneux, n’était guère qu’un à peu près. » Quasimodo : à peu près ? Ce n’est pas du latin de Cicéron. On est au Moyen Âge. C’est du latin… grosso modo.
Certains dimanches possèdent le privilège de porter des noms latins qui marquent leur importance dans le temps liturgique.
Il y eut un temps où l’année liturgique comptait beaucoup plus que l’année civile.
C’est l’Église qui rythmait la vie de la société.
Les fêtes religieuses (cycle temporal) et les fêtes des saints (cycle sanctoral) fournissaient aux paroissiens les repères suffisants pour mener leur vie : observations météorologiques, travaux des champs et du jardin, activités économiques, foires, fêtes patronales, réjouissances populaires, « tout était le long événement d’un beau rite », comme écrit Péguy dans L’Argent.
En témoignent encore les dictons et les chansons (Il reviendra à Pâques / Ou à la Trinité).
Ce temps-là a duré des siècles.
La Révolution a essayé de l’effacer en imposant le calendrier révolutionnaire. En vain.
L’emprise chrétienne était indélébile.
La République n’a pu qu’en prendre acte, en glissant ses fêtes à elle, nationales et commémoratives.
Et c’est ainsi que les grandes fêtes religieuses rythment toujours l’année, et l’unité reste toujours la semaine avec son premier jour : le dimanche.
Or en ce temps-là, certains dimanches avaient le curieux privilège de porter un nom qui leur était propre. Par exemple le dimanche dit de Quasimodo.
D’où tiraient-ils leur nom ?
Du premier mot qui marquait l’entrée dans la liturgie, en latin à l’époque, le chant de l’introït qu’entonnaient les chantres, avec plus ou moins de talent, au moment où l’officiant approchait de l’autel.
D’où tenaient-ils ce privilège ?
C’est qu’ils avaient sans doute quelque chose de particulier, qui marquait les esprits.
Prenons les dimanches de Carême.
Le 2e dimanche était le dimanche de Reminiscere ; le 3e le dimanche d’Oculi ; le 4e de Laetare.
Avançons une explication. Temps de jeûne et d’abstinence, le Carême était jadis d’une autre rigueur qu’aujourd’hui.
On pouvait trouver le temps long et compter les dimanches qui séparaient de Pâques. Passe pour le premier.
Mais les dimanches suivants étaient salués comme une étape vers la libération. Un peu quelque chose comme : un de moins !
Reminiscere et Oculi sont oubliés.
Reste pour beaucoup le dimanche de Laetare, qui conforte cette explication. L’Église est bonne mère.
Au beau milieu du parcours, elle encourage les pèlerins avec les mots d’Isaïe :
« Laetare, Jerusalem, Réjouis-toi, Jérusalem, Gaudete cum laetitia, qui in tristitia fuistis, Soyez transportés de joie, vous qui étiez dans la tristesse ».
Courage, vous êtes sur la bonne voie, persévérez, soyez déjà dans l’allégresse qui éclatera bientôt au chant de l’Exultet !
Même sollicitude au beau milieu du temps de l’Avent : dimanche de Gaudete.
Injonction de Paul aux Philippiens : « Gaudete in Domino, Réjouissez-vous dans le Seigneur, iterum dico, gaudete, je vous le répète, réjouissez-vous ! »
Et en ces deux dimanches qui se font signe, les orgues reprennent de la voix et le prêtre revêt une chasuble rose, qui adoucit l’austérité du violet.
Le dimanche « baptisé » qui reste le plus connu est bien celui de Quasimodo. C’est le dimanche de l’octave de Pâques, la semaine qui fermait non pas le temps pascal, mais la fête elle-même de Pâques.
Dimanche de Pâques closes c’est l’un de ses noms, désuet. Il est surtout le dimanche in albis.
Au cours de la veillée pascale, lorsque les catéchumènes reçoivent le baptême, l’assemblée reprend le cri de joie de Paul :
« Vous tous qui avez été baptisés dans le Christ, vous avez revêtu le Christ. »
Le symbole en est le vêtement blanc qu’ils passent alors.
Ils sont in albis. Dans l’ancienne liturgie, ils le conservaient durant la semaine, le déposaient le samedi, et jusqu’au dimanche tout était in albis.
Le chant d’entrée s’adressait à eux, et avec quelle tendresse, par la voix de Pierre :
« Quasi modo geniti infantes, comme des enfants nouveau-nés… désirez ardemment le pur lait spirituel. »
La joie pascale rayonne encore. Quasimodo sonne bien : il a baptisé le dimanche.
Il nous vient du fond des âges. Il nous est héritage.
Conservons-le comme un témoignage. Avec reconnaissance.
P.-S. – Il faut bien avouer que pour le grand public Quasimodo c’est le nom du pauvre héros contrefait de Notre-Dame de Paris.
Victor Hugo explique les deux raisons pour lesquelles Claude Frollo qui l’a recueilli lui donna ce nom : « Il baptisa son enfant adoptif, et le nomma Quasimodo, soit qu’il voulût marquer par là le jour où il l’avait trouvé, soit qu’il voulût caractériser par ce nom à quel point la pauvre petite créature était incomplète et à peine ébauchée.
En effet, Quasimodo, borgne, bossu, cagneux, n’était guère qu’un à peu près. » Quasimodo : à peu près ? Ce n’est pas du latin de Cicéron. On est au Moyen Âge. C’est du latin… grosso modo.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 26371
Age : 70
Localisation : Vendée (Marie du 85)
Inscription : 12/01/2016
Re: Spiritualité!!
En images
saint Jean Paul II comme vous ne l’avez jamais vu
Karol Wojtyla en pèlerinage en Terre Sainte en 1963
Marquant des générations entières, saint Jean Paul II a été un homme résolument moderne qui vivait avec son temps.
Aleteia vous propose de découvrir dix photos inédites de Karol Wojtyla, un homme pieux et toujours tourné vers les autres.
En canoë ou en pleine séance de rasage, ces photos insolites de Karol Wojtyla prises avant son pontificat sont celles d’un homme simple, rayonnant et proche des autres.
Aleteia vous propose de découvrir dix photos inédites de celui dont la vie a toujours été tourné vers la sainteté.
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