★Beaux Textes★
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Re: ★Beaux Textes★
Bonjour lyne,
Sur le gong!!!!J'avais enfilé mon manteau!!!!
Tout à fait, essayons de positiver malgré tout Dieu est avec nous, Merci pour votre belle réflexion à ce sujet!!
Je n'oublierai pas promis un bisou à Marie, de toute façon Marie sait déjà les intentions que vous avez dans le coeur!!
Je vous embrasse!!
Bien Amicalement
Sur le gong!!!!J'avais enfilé mon manteau!!!!
Tout à fait, essayons de positiver malgré tout Dieu est avec nous, Merci pour votre belle réflexion à ce sujet!!
Je n'oublierai pas promis un bisou à Marie, de toute façon Marie sait déjà les intentions que vous avez dans le coeur!!
Je vous embrasse!!
Bien Amicalement
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Le Bonheur
Le bonheur n’est pas accroché à la lune,
Suspendu à quelque astre lointain ;
Il n’est pas sur Jupiter, Mars ou Neptune,
Mais à portée de main.
Le bonheur n’est pas au delà des mers,
Dans un monde céleste, merveilleux, incertain…
Il est sur notre propre terre,
A portée de main.
Le bonheur n’est pas sur une île lointaine,
Quelque part sur l’Océan terrible :
Il est chez nous, dans la plaine,
Dans ta maison paisible.
Le bonheur n’est pas dans un château grandiose,
Habité par des reines et des rois ;
Il est dans ton jardin de roses,
Dans ta maison de bois.
Le bonheur n’est pas dans une nuit vénitienne,
Faite de musique et d’amour,
Il est dans les choses quotidiennes,
Que tu retrouves chaque jour.
Le bonheur n’est pas dans quelque grande ville,
Où l’on parle de richesses et de joie ;
Il est dans ta chambre tranquille,
Tout près de toi.
Le bonheur n’est pas accroché à la lune,
Suspendu à quelque astre lointain ;
Il n’est pas sur Jupiter, Mars ou Neptune,
Mais à portée de main.
Le bonheur n’est pas au delà des mers,
Dans un monde céleste, merveilleux, incertain…
Il est sur notre propre terre,
A portée de main.
Le bonheur n’est pas sur une île lointaine,
Quelque part sur l’Océan terrible :
Il est chez nous, dans la plaine,
Dans ta maison paisible.
Le bonheur n’est pas dans un château grandiose,
Habité par des reines et des rois ;
Il est dans ton jardin de roses,
Dans ta maison de bois.
Le bonheur n’est pas dans une nuit vénitienne,
Faite de musique et d’amour,
Il est dans les choses quotidiennes,
Que tu retrouves chaque jour.
Le bonheur n’est pas dans quelque grande ville,
Où l’on parle de richesses et de joie ;
Il est dans ta chambre tranquille,
Tout près de toi.
Le bonheur n’est pas dans les choses qu’on espère,
Et qu’on réclame du lendemain ;
Il est dans celles qui nous entourent,
Et qui reposent entre nos mains.
Et qu’on réclame du lendemain ;
Il est dans celles qui nous entourent,
Et qui reposent entre nos mains.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Conseils à celui qui visite un malade
Quand tu visites les malades ou les handicapés, ne te laisse pas obnubiler par leur maladie ou leur infirmité. Fais-en plutôt abstraction.
Le handicapé a beaucoup lutté pour sortir de l'ornière où 1'avait jeté son handicap. De grâce, ne lui rappelle pas sa maladie, tu le ferais revenir à son point de départ.
Il faut de la simplicité et une grande délicatesse. N'oublie pas que la douleur développe la sensibilité.
Quand l'occasion se présentera - et elle se présentera certainement si tu aimes les malades - ils te raconteront «leur histoire». C'est pourquoi ne pose pas de questions, mais sache écouter.
Ne les plains jamais. Ne leur témoigne jamais de pitié. Il est possible que ce soit eux qui te plaignent. Borne-toi à leur prouver que tu leur appartiens sans réserve.
Ce que tu peux apporter de meilleur à un malade, c'est de l'aider à se trouver lui-même. Fais appel à ta charité, mais sur une base réelle, non factice. Bâtir sur le mensonge, c'est bâtir sur le sable. Cela il ne le faut pas ; les conséquences seraient pires. Même si le malade a perdu beaucoup, il doit lui rester quelque chose. C'est sur ce «quelque chose», avec la foi et l'espérance, qu'il s'agit de construire.
Il sera parfois utile de donner quelque chose, mais il sera toujours nécessaire de te donner toi-même.
Il se peut que la douleur unisse à Dieu plus que la joie. Borne-toi à le suggérer, non par des paroles, des images ou de la sentimentalité, mais par ton exemple.
Pour comprendre les malades, il faut se mettre à leur place. C'est une chose très difficile. Si tu n'essayes pas de le faire, inutile de discuter avec eux.
Dire que Dieu les aime beaucoup, c'est très joli et c'est certainement vrai. Mais ce n'est pas l'amour de Dieu que tu dois leur prouver en ce moment, c'est le tien et cela ne se fait pas avec des mots.
Dieu n'est pas quelqu'un qui va et vient ; Dieu est fidèle et il demeure. Il sera plus ou moins perçu, selon les circonstances que traverse le malade ; par conséquent, essaye d'aider celui-ci humainement et Dieu se manifestera en son temps.
Aime-les autant que tu pourras, mais pas seulement pour Dieu : aime-les pour eux-mêmes. Les personnes qui s'occupent des malades seulement pour Dieu et avec quelque froideur dans leur comportement laissent penser que les malades ne sont pour eux que des instruments et des moyens de leur propre sanctification.
Quand tu visites les malades ou les handicapés, ne te laisse pas obnubiler par leur maladie ou leur infirmité. Fais-en plutôt abstraction.
Le handicapé a beaucoup lutté pour sortir de l'ornière où 1'avait jeté son handicap. De grâce, ne lui rappelle pas sa maladie, tu le ferais revenir à son point de départ.
Il faut de la simplicité et une grande délicatesse. N'oublie pas que la douleur développe la sensibilité.
Quand l'occasion se présentera - et elle se présentera certainement si tu aimes les malades - ils te raconteront «leur histoire». C'est pourquoi ne pose pas de questions, mais sache écouter.
Ne les plains jamais. Ne leur témoigne jamais de pitié. Il est possible que ce soit eux qui te plaignent. Borne-toi à leur prouver que tu leur appartiens sans réserve.
Ce que tu peux apporter de meilleur à un malade, c'est de l'aider à se trouver lui-même. Fais appel à ta charité, mais sur une base réelle, non factice. Bâtir sur le mensonge, c'est bâtir sur le sable. Cela il ne le faut pas ; les conséquences seraient pires. Même si le malade a perdu beaucoup, il doit lui rester quelque chose. C'est sur ce «quelque chose», avec la foi et l'espérance, qu'il s'agit de construire.
Il sera parfois utile de donner quelque chose, mais il sera toujours nécessaire de te donner toi-même.
Il se peut que la douleur unisse à Dieu plus que la joie. Borne-toi à le suggérer, non par des paroles, des images ou de la sentimentalité, mais par ton exemple.
Pour comprendre les malades, il faut se mettre à leur place. C'est une chose très difficile. Si tu n'essayes pas de le faire, inutile de discuter avec eux.
Dire que Dieu les aime beaucoup, c'est très joli et c'est certainement vrai. Mais ce n'est pas l'amour de Dieu que tu dois leur prouver en ce moment, c'est le tien et cela ne se fait pas avec des mots.
Dieu n'est pas quelqu'un qui va et vient ; Dieu est fidèle et il demeure. Il sera plus ou moins perçu, selon les circonstances que traverse le malade ; par conséquent, essaye d'aider celui-ci humainement et Dieu se manifestera en son temps.
Aime-les autant que tu pourras, mais pas seulement pour Dieu : aime-les pour eux-mêmes. Les personnes qui s'occupent des malades seulement pour Dieu et avec quelque froideur dans leur comportement laissent penser que les malades ne sont pour eux que des instruments et des moyens de leur propre sanctification.
Remplissez-vous de Dieu ; mais ensuite allez vers les malades comme si eux seuls existaient. C'est ainsi, sans en faire votre but, que vous répandrez en eux l'influx de Dieu.
Sois optimiste à tout moment. Toujours gai. Même dans les moments les plus aigus de la douleur, il y aura une fente pour laisser passer l'espérance et un sillon pour semer la joie.
Quelqu'un me demandait: «Que puis-je leur dire?» - Mais c'est si facile ! Souriez, s'il vous plaît. Peut-il exister un «pont» plus sûr que l'ébauche d'un sourire ?
Quand ils vous prendront pour confident de «leurs affaires», intéressez-vous à leurs problèmes ; essayez de comprendre ceux-ci et de les faire vôtres. Eux, avec leur perception très fine sentiront que vous vous êtes fait «écho». Peut-être demeurerez-vous impuissant à enlever le fardeau de leurs épaules, mais je vous assure que vous aurez considérablement allégé celui de leur coeur.
Sois optimiste à tout moment. Toujours gai. Même dans les moments les plus aigus de la douleur, il y aura une fente pour laisser passer l'espérance et un sillon pour semer la joie.
Quelqu'un me demandait: «Que puis-je leur dire?» - Mais c'est si facile ! Souriez, s'il vous plaît. Peut-il exister un «pont» plus sûr que l'ébauche d'un sourire ?
Quand ils vous prendront pour confident de «leurs affaires», intéressez-vous à leurs problèmes ; essayez de comprendre ceux-ci et de les faire vôtres. Eux, avec leur perception très fine sentiront que vous vous êtes fait «écho». Peut-être demeurerez-vous impuissant à enlever le fardeau de leurs épaules, mais je vous assure que vous aurez considérablement allégé celui de leur coeur.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Dire aux personnes que l'on aime...
On raconte qu'un jour, une prof a demandé à ses élèves de noter le nom de tous leurs camarades de classe sur une feuille et de laisser un peu de place à côté de chaque nom. Puis, elle leur dit de penser à ce qu'ils pouvaient dire de plus gentil au sujet de chacun et de le noter à côté des noms. Cela pris toute une heure jusqu'à ce que tous aient fini et avant de quitter la salle de classe, les élèves remirent leur copie à la prof.
Le week-end, la prof écrivit le nom de chaque élève sur une feuille et à côté toutes les remarques gentilles que les autres avaient écrit au sujet de chacun. Le lundi, elle donna à chaque élève sa liste. Peu de temps après, tous souriaient :
- " Vraiment ? ", entendait-on chuchoter...
- " Je ne savais pas que j'avais de l'importance pour quelqu'un ! "
- " Je ne savais pas que les autres m'aimaient tant ", étaient les commentaires que l'on entendait dans la salle de classe.
Personne ne parla plus jamais de cette liste. La prof ne savait pas si les élèves en avaient parlé entre eux ou avec leurs parents, mais cela n'avait pas d'importance. L'exercice avait rempli sa fonction. Les élèves étaient satisfaits d'eux-mêmes et des autres.
Quelques années plus tard, un élève tomba, mort au Vietnam et la prof alla à l'enterrement de cet élève. L'église était comble. Beaucoup d'amis étaient là. L'un après l'autre, ils s'approchèrent du cercueil pour lui adresser un dernier adieu. La prof alla en dernier et elle trembla devant le cercueil. Un des soldats présents lui demanda :
- " Est-ce que vous étiez la prof de maths de Marc ? "
Elle hocha la tête et dit :
- " Oui. "
Alors il lui dit :
- " Marc a souvent parlé de vous. "
Après l'enterrement, la plupart des amis de Marc s'étaient réunis. Les parents de Marc étaient aussi là et ils attendaient impatiemment de pouvoir parler à la prof.
- " Nous voulions vous montrer quelque chose. ", dit le père de Marc et il sortit son portefeuille de sa poche. " On a trouvé cela quand Marc est tombé à la guerre. Nous pensions que vous le reconnaîtriez..."
Il sortit du portefeuille un papier très usé qui avait dû être recollé, déplié et replié très souvent.
Sans le regarder, la prof savait que c'était l'une des feuilles de la fameuse liste des élèves contenant beaucoup de gentilles remarques écrites à l'époque par les camarades de classe au sujet de Marc.
- " Nous aimerions vous remercier pour ce que vous avez fait. " dit la mère de Marc. " Comme vous pouvez le constater, Marc a beaucoup apprécié ce geste.
Tous les anciens élèves se réunirent autour de la prof.
- Charlie sourit et dit : " J'ai encore ma liste. Elle se trouve dans le premier tiroir de mon bureau."
- La femme de Chuck dit : " Chuck m'a prié de la coller dans notre album de mariage. "
On raconte qu'un jour, une prof a demandé à ses élèves de noter le nom de tous leurs camarades de classe sur une feuille et de laisser un peu de place à côté de chaque nom. Puis, elle leur dit de penser à ce qu'ils pouvaient dire de plus gentil au sujet de chacun et de le noter à côté des noms. Cela pris toute une heure jusqu'à ce que tous aient fini et avant de quitter la salle de classe, les élèves remirent leur copie à la prof.
Le week-end, la prof écrivit le nom de chaque élève sur une feuille et à côté toutes les remarques gentilles que les autres avaient écrit au sujet de chacun. Le lundi, elle donna à chaque élève sa liste. Peu de temps après, tous souriaient :
- " Vraiment ? ", entendait-on chuchoter...
- " Je ne savais pas que j'avais de l'importance pour quelqu'un ! "
- " Je ne savais pas que les autres m'aimaient tant ", étaient les commentaires que l'on entendait dans la salle de classe.
Personne ne parla plus jamais de cette liste. La prof ne savait pas si les élèves en avaient parlé entre eux ou avec leurs parents, mais cela n'avait pas d'importance. L'exercice avait rempli sa fonction. Les élèves étaient satisfaits d'eux-mêmes et des autres.
Quelques années plus tard, un élève tomba, mort au Vietnam et la prof alla à l'enterrement de cet élève. L'église était comble. Beaucoup d'amis étaient là. L'un après l'autre, ils s'approchèrent du cercueil pour lui adresser un dernier adieu. La prof alla en dernier et elle trembla devant le cercueil. Un des soldats présents lui demanda :
- " Est-ce que vous étiez la prof de maths de Marc ? "
Elle hocha la tête et dit :
- " Oui. "
Alors il lui dit :
- " Marc a souvent parlé de vous. "
Après l'enterrement, la plupart des amis de Marc s'étaient réunis. Les parents de Marc étaient aussi là et ils attendaient impatiemment de pouvoir parler à la prof.
- " Nous voulions vous montrer quelque chose. ", dit le père de Marc et il sortit son portefeuille de sa poche. " On a trouvé cela quand Marc est tombé à la guerre. Nous pensions que vous le reconnaîtriez..."
Il sortit du portefeuille un papier très usé qui avait dû être recollé, déplié et replié très souvent.
Sans le regarder, la prof savait que c'était l'une des feuilles de la fameuse liste des élèves contenant beaucoup de gentilles remarques écrites à l'époque par les camarades de classe au sujet de Marc.
- " Nous aimerions vous remercier pour ce que vous avez fait. " dit la mère de Marc. " Comme vous pouvez le constater, Marc a beaucoup apprécié ce geste.
Tous les anciens élèves se réunirent autour de la prof.
- Charlie sourit et dit : " J'ai encore ma liste. Elle se trouve dans le premier tiroir de mon bureau."
- La femme de Chuck dit : " Chuck m'a prié de la coller dans notre album de mariage. "
- " Moi aussi, j'ai encore la mienne. " dit Marilyn. " Elle est dans mon journal intime. "
- Puis, Vicky, une autre élève, prit son agenda et montra sa liste toute usée aux autres personnes présentes. " Je l'ai toujours avec moi, " dit-elle et elle ajouta : " Nous l'avons tous gardée. "
La prof était si émue qu'elle dut s'asseoir et elle pleura. Elle pleurait pour Marc et pour tous ses amis qui ne le reverraient plus jamais.
Dans le quotidien avec les autres, nous oublions trop souvent que toute vie s'arrête un jour et que nous ne savons pas quand ce jour arrivera. C'est pourquoi, il est important de dire aux personnes, que l'on aime et qui nous sont importantes, qu'elles sont particulières et importantes. Dis le leur avant qu'il ne soit trop tard.
- Puis, Vicky, une autre élève, prit son agenda et montra sa liste toute usée aux autres personnes présentes. " Je l'ai toujours avec moi, " dit-elle et elle ajouta : " Nous l'avons tous gardée. "
La prof était si émue qu'elle dut s'asseoir et elle pleura. Elle pleurait pour Marc et pour tous ses amis qui ne le reverraient plus jamais.
Dans le quotidien avec les autres, nous oublions trop souvent que toute vie s'arrête un jour et que nous ne savons pas quand ce jour arrivera. C'est pourquoi, il est important de dire aux personnes, que l'on aime et qui nous sont importantes, qu'elles sont particulières et importantes. Dis le leur avant qu'il ne soit trop tard.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Un très beau texte de Mère Térésa
Seigneur, quand je suis affamé,
donne-moi quelqu’un qui ait besoin de nourriture.
Quand j’ai soif,
envoie-moi quelqu’un qui ait besoin d’eau
Quand j’ai froid,
envoie-moi quelqu’un à réchauffer.
Quand je suis blessé,
donne-moi quelqu’un à consoler.
Quand ma croix devient lourde,
donne-moi la croix d’un autre à partager.
Quand je suis pauvre,
conduis-moi à quelqu’un dans le besoin.
Quand je n’ai pas de temps,
donne-moi quelqu’un que je puisse aider un instant.
Quand je suis humilié,
donne-moi quelqu’un dont j’aurai à faire l’éloge.
Quand je suis découragé,
envoie-moi quelqu’un à encourager.
Quand j’ai besoin de la compréhension des autres,
donne-moi quelqu’un qui ait besoin de la mienne.
Quand j’ai besoin qu’on prenne soin de moi,
envoie-moi quelqu’un dont j’aurai à prendre soin.
Quand je ne pense qu’à moi,
tourne mes pensées vers autrui.
Seigneur, quand je suis affamé,
donne-moi quelqu’un qui ait besoin de nourriture.
Quand j’ai soif,
envoie-moi quelqu’un qui ait besoin d’eau
Quand j’ai froid,
envoie-moi quelqu’un à réchauffer.
Quand je suis blessé,
donne-moi quelqu’un à consoler.
Quand ma croix devient lourde,
donne-moi la croix d’un autre à partager.
Quand je suis pauvre,
conduis-moi à quelqu’un dans le besoin.
Quand je n’ai pas de temps,
donne-moi quelqu’un que je puisse aider un instant.
Quand je suis humilié,
donne-moi quelqu’un dont j’aurai à faire l’éloge.
Quand je suis découragé,
envoie-moi quelqu’un à encourager.
Quand j’ai besoin de la compréhension des autres,
donne-moi quelqu’un qui ait besoin de la mienne.
Quand j’ai besoin qu’on prenne soin de moi,
envoie-moi quelqu’un dont j’aurai à prendre soin.
Quand je ne pense qu’à moi,
tourne mes pensées vers autrui.
florita- Près de Jésus Christ
- Messages : 21
Inscription : 30/05/2013
Re: ★Beaux Textes★
Bonsoir florita,
Votre texte est Magnifique.
Merci infiniment
Amicalement
Votre texte est Magnifique.
Merci infiniment
Amicalement
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Bonsoir,
contente que ce texte vous plaise
Bises
contente que ce texte vous plaise
Bises
florita- Près de Jésus Christ
- Messages : 21
Inscription : 30/05/2013
Re: ★Beaux Textes★
J'ai découvert ce texte sur le net et à force de le lire
et de le relire , j'en ai versé des larmes en pensant
que ce genre de chose arrive fréquemment ...
Si vous prenez un animal chez vous , réfléchissez bien ...
Quand j'étais un chiot, je t'ai amusé avec mes cabrioles
et t'ai fait rire.
Tu m'as appelé ton enfant, et en dépit de plusieurs
chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés,
je suis devenu ton meilleur ami.
Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais
ton doigt vers moi
et me demandais ” Comment est-ce possible ? “,
mais après on s'amusait ensemble.
Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu,
parce que tu étais terriblement occupé,
mais nous y avons travaillé ensemble.
Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit
et écoutais tes confidences et rêves secrets,
et de le relire , j'en ai versé des larmes en pensant
que ce genre de chose arrive fréquemment ...
Si vous prenez un animal chez vous , réfléchissez bien ...
Quand j'étais un chiot, je t'ai amusé avec mes cabrioles
et t'ai fait rire.
Tu m'as appelé ton enfant, et en dépit de plusieurs
chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés,
je suis devenu ton meilleur ami.
Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais
ton doigt vers moi
et me demandais ” Comment est-ce possible ? “,
mais après on s'amusait ensemble.
Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu,
parce que tu étais terriblement occupé,
mais nous y avons travaillé ensemble.
Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit
et écoutais tes confidences et rêves secrets,
et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.
Nous sommes allés pour de longues promenades et
courses dans le parc, promenades de voiture,
arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu
le cornet parce que ” la glace est mauvaise
pour les chiens, ” comme tu disais),
et je faisais de longues siestes au soleil
en attendant que tu rentres à la maison.
Progressivement, tu as commencé à passer
plus de temps au travail et à te concentrer
sur ta carrière,
et plus de temps à chercher un compagnon humain.
Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé
après chaque déchirements de coeur
et chaque déception,
ne t'ai jamais réprimandé
au sujet de mauvaises décisions,
et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer.
Et puis tu es tombé amoureux.
Elle, maintenant ta femme, n'est pas une
“personne chien “,
mais je l'ai accueillie dans notre maison,
essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi
Nous sommes allés pour de longues promenades et
courses dans le parc, promenades de voiture,
arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu
le cornet parce que ” la glace est mauvaise
pour les chiens, ” comme tu disais),
et je faisais de longues siestes au soleil
en attendant que tu rentres à la maison.
Progressivement, tu as commencé à passer
plus de temps au travail et à te concentrer
sur ta carrière,
et plus de temps à chercher un compagnon humain.
Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé
après chaque déchirements de coeur
et chaque déception,
ne t'ai jamais réprimandé
au sujet de mauvaises décisions,
et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer.
Et puis tu es tombé amoureux.
Elle, maintenant ta femme, n'est pas une
“personne chien “,
mais je l'ai accueillie dans notre maison,
essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi
J'étais heureux parce que tu étais heureux.
Ensuite les bébés humains sont arrivés et
j'ai partagé votre excitation.
J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur,
et je voulais les pouponner aussi.
Seulement vous vous êtes inquiétés
que je puisse les blesser,
et j'ai passé la plupart de mon temps banni
dans une autre pièce ou dans une niche.
Oh, comme je voulais les aimer,
mais je suis devenu un “prisonnier de l'amour “.
Comme ils ont commencé à grandir,
je suis devenu leur ami.
Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés
sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts
dans mes yeux, fouillé mes oreilles,
et m'ont donné des baisers sur le nez.
J'aimais tout d'eux et leurs caresses ,
parce que les tiennes étaient maintenant
si peu fréquentes
et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était.
J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis
et rêves secrets, et ensemble nous attendions
le son de ta voiture dans l'allée.
Ensuite les bébés humains sont arrivés et
j'ai partagé votre excitation.
J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur,
et je voulais les pouponner aussi.
Seulement vous vous êtes inquiétés
que je puisse les blesser,
et j'ai passé la plupart de mon temps banni
dans une autre pièce ou dans une niche.
Oh, comme je voulais les aimer,
mais je suis devenu un “prisonnier de l'amour “.
Comme ils ont commencé à grandir,
je suis devenu leur ami.
Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés
sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts
dans mes yeux, fouillé mes oreilles,
et m'ont donné des baisers sur le nez.
J'aimais tout d'eux et leurs caresses ,
parce que les tiennes étaient maintenant
si peu fréquentes
et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était.
J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis
et rêves secrets, et ensemble nous attendions
le son de ta voiture dans l'allée.
Il y eut un temps, quand les autres te demandaient
si tu avais un chien, tu leur montrais une photo de moi
dans ton portefeuille et tu leur racontais
des histoires à mon propos.
Ces dernières années tu répondais juste ” oui ”
et changeais de sujet.
Je suis passé du statut de ” ton chien” à
” seulement un chien, ” et vous vous êtes offensés
de chaque dépense pour moi.
Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière
dans une autre ville, et vous allez déménager
dans un appartement qui n'autorise pas
d'animaux familiers.
Tu as fait le bon choix pour ta ” famille”,
mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille.
J'étais excité par la promenade en voiture
jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux.
Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir.
Tu as rempli la paperasserie et as dit :
” Je sais que vous trouverez une bonne maison
pour elle.”
Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté
un regard attristé.
Ils comprennent la réalité qui fait face
si tu avais un chien, tu leur montrais une photo de moi
dans ton portefeuille et tu leur racontais
des histoires à mon propos.
Ces dernières années tu répondais juste ” oui ”
et changeais de sujet.
Je suis passé du statut de ” ton chien” à
” seulement un chien, ” et vous vous êtes offensés
de chaque dépense pour moi.
Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière
dans une autre ville, et vous allez déménager
dans un appartement qui n'autorise pas
d'animaux familiers.
Tu as fait le bon choix pour ta ” famille”,
mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille.
J'étais excité par la promenade en voiture
jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux.
Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir.
Tu as rempli la paperasserie et as dit :
” Je sais que vous trouverez une bonne maison
pour elle.”
Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté
un regard attristé.
Ils comprennent la réalité qui fait face
à un chien entre deux âges, même un avec “des papiers.”
Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher
de mon col et il a crié :
” Non, Papa ! S'il te plaît, ne les laisse pas prendre
mon chien !”
Et je me suis inquiété pour lui.
Quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant
au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour
et de la responsabilité,
et au sujet du respect pour toute vie ?
Tu m'as donné un ” au revoir caresse” sur la tête,
as évité mes yeux, et as refusé de prendre
mon collier avec vous.
Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit
que vous saviez probablement au sujet de votre départ
il y a de cela plusieurs mois et que vous n'aviez rien fait
pour me trouver une autre bonne maison.
Elles ont secoué la tête et ont dit :
” Comment est-ce possible ?”.
Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge
que leurs programmes chargés le leur permettent.
Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit
il y a plusieurs jours.
Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher
de mon col et il a crié :
” Non, Papa ! S'il te plaît, ne les laisse pas prendre
mon chien !”
Et je me suis inquiété pour lui.
Quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant
au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour
et de la responsabilité,
et au sujet du respect pour toute vie ?
Tu m'as donné un ” au revoir caresse” sur la tête,
as évité mes yeux, et as refusé de prendre
mon collier avec vous.
Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit
que vous saviez probablement au sujet de votre départ
il y a de cela plusieurs mois et que vous n'aviez rien fait
pour me trouver une autre bonne maison.
Elles ont secoué la tête et ont dit :
” Comment est-ce possible ?”.
Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge
que leurs programmes chargés le leur permettent.
Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit
il y a plusieurs jours.
Au début, chaque fois que quelqu'un passait
près de ma cage,
je me dépêchais en espérant que c'était toi,
que tu avais changé d'avis,
que c'était juste un mauvais rêve…
ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un
qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver.
Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas
rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage
et j'ai attendu.
J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi
en fin de journée, et j'ai trottiné le long de l'allée
jusqu'à une pièce séparée.
Une pièce heureusement tranquille.
Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles,
et m'a dit de ne pas m'inquiéter.
Mon coeur battait d'appréhension à ce qui était à venir,
mais il y avait aussi un sentiment de soulagement.
Le “prisonnier de l'amour” avait survécu
à travers les jours.
Comme c'est dans ma nature, je me suis plutôt
inquiété pour elle.
Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle,
près de ma cage,
je me dépêchais en espérant que c'était toi,
que tu avais changé d'avis,
que c'était juste un mauvais rêve…
ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un
qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver.
Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas
rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage
et j'ai attendu.
J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi
en fin de journée, et j'ai trottiné le long de l'allée
jusqu'à une pièce séparée.
Une pièce heureusement tranquille.
Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles,
et m'a dit de ne pas m'inquiéter.
Mon coeur battait d'appréhension à ce qui était à venir,
mais il y avait aussi un sentiment de soulagement.
Le “prisonnier de l'amour” avait survécu
à travers les jours.
Comme c'est dans ma nature, je me suis plutôt
inquiété pour elle.
Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle,
et je le sais, de la même manière que je connaissais
votre humeur chaque jour.
Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte
de devant et une larme a roulé sur sa joue.
J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais
il y a tant d'années.
Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement
dans ma veine.
Quand j'ai senti la piqûre et le liquide se répandre
à travers mon corps, je me suis assoupie,
l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré :
” Comment as-tu pu ?”.
Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage,
elle a dit ” je suis si désolée.”
Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment
que c'était son travail de s'assurer que j'allais
à une meilleure place où je ne serais pas ignoré
ou abusé ou abandonné, où j'aurais à pourvoir
moi-même à mes besoins,
une place remplie d'amour et de lumière
très différent de cet endroit.
Et avec mes dernières forces, j'ai essayé
de me transporter jusqu'à elle et
votre humeur chaque jour.
Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte
de devant et une larme a roulé sur sa joue.
J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais
il y a tant d'années.
Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement
dans ma veine.
Quand j'ai senti la piqûre et le liquide se répandre
à travers mon corps, je me suis assoupie,
l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré :
” Comment as-tu pu ?”.
Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage,
elle a dit ” je suis si désolée.”
Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment
que c'était son travail de s'assurer que j'allais
à une meilleure place où je ne serais pas ignoré
ou abusé ou abandonné, où j'aurais à pourvoir
moi-même à mes besoins,
une place remplie d'amour et de lumière
très différent de cet endroit.
Et avec mes dernières forces, j'ai essayé
de me transporter jusqu'à elle et
lui expliquer avec un coup sourd
de ma queue que mon ” Comment as-tu pu ?”
n'était pas dirigé contre elle.
C'était à toi, Mon Maître Bien-aimé, que je pensais.
Je penserai à toi et t'attendrai à jamais.
Puisse tout le monde dans ta vie continuer
à te montrer autant de loyauté.
de ma queue que mon ” Comment as-tu pu ?”
n'était pas dirigé contre elle.
C'était à toi, Mon Maître Bien-aimé, que je pensais.
Je penserai à toi et t'attendrai à jamais.
Puisse tout le monde dans ta vie continuer
à te montrer autant de loyauté.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
La clé du bonheur
Aujourd'hui je t'offre la clé du bonheur.
C'est une clé que tu avais peut-être perdue ou oubliée ?
Quoi qu'il en soit, j'aimerais que tu l'acceptes.
Je te la donne en toute sincérité, avec tout mon coeur.
Il y a peut-être longtemps
que tu t'empêches de faire des choses qui feraient ton bonheur.
Tu as peut-être mis de côté cette idée de partir en voyage,
de prendre un cours quelconque,
de t'acheter des nouveaux vêtements,
de changer de voiture etc.
Enfin, de te faire plaisir.
Je sais que plusieurs raisons
ont pu t'empêcher de passer à l'action
pour obtenir ou faire ce que tu désires.
Cela peut être la peur de ne pas être à la hauteur,
la peur qu'il t'arrive quelque chose de désagréable,
la peur de manquer d'argent, la peur d'être jugé etc.
Quelles que soient tes peurs, savais tu qu'elles existent pour t'aider ?
Les peurs existent pour être dépassées, pour te faire grandir.
A chaque fois que tu te laisses contrôler par une peur,
tu n'es plus en contact avec ton pouvoir.
En faisant confiance davantage à la vie (en passant à l'action)
et en te rappelant que tout ce qui t'arrive
n'est qu'expériences pour apprendre,
tu deviendras de plus en plus conscient
que tu as ce grand pouvoir de t'apporter
tout ce que tu as besoin pour être heureux.
Personne n'est responsable de ton bonheur, sauf toi.
Commence par des petits bonheurs et dis-toi que tu y as droit.
Aujourd'hui je t'offre la clé du bonheur.
C'est une clé que tu avais peut-être perdue ou oubliée ?
Quoi qu'il en soit, j'aimerais que tu l'acceptes.
Je te la donne en toute sincérité, avec tout mon coeur.
Il y a peut-être longtemps
que tu t'empêches de faire des choses qui feraient ton bonheur.
Tu as peut-être mis de côté cette idée de partir en voyage,
de prendre un cours quelconque,
de t'acheter des nouveaux vêtements,
de changer de voiture etc.
Enfin, de te faire plaisir.
Je sais que plusieurs raisons
ont pu t'empêcher de passer à l'action
pour obtenir ou faire ce que tu désires.
Cela peut être la peur de ne pas être à la hauteur,
la peur qu'il t'arrive quelque chose de désagréable,
la peur de manquer d'argent, la peur d'être jugé etc.
Quelles que soient tes peurs, savais tu qu'elles existent pour t'aider ?
Les peurs existent pour être dépassées, pour te faire grandir.
A chaque fois que tu te laisses contrôler par une peur,
tu n'es plus en contact avec ton pouvoir.
En faisant confiance davantage à la vie (en passant à l'action)
et en te rappelant que tout ce qui t'arrive
n'est qu'expériences pour apprendre,
tu deviendras de plus en plus conscient
que tu as ce grand pouvoir de t'apporter
tout ce que tu as besoin pour être heureux.
Personne n'est responsable de ton bonheur, sauf toi.
Commence par des petits bonheurs et dis-toi que tu y as droit.
Tout le monde doit dépasser ses peurs.
Réalise qu'au fond, tu n'as rien à perdre
et que cette expérience te mènera vers de plus grandes réalisations.
Commence dès maintenant en accomplissant des petites actions.
Tôt ou tard, selon la loi de la manifestation,
tu atteindras ton but. Sois patient !
Savais-tu que :
"Que tu fasses ce que tu aimes pour ton propre plaisir
ou que tu fasses ce que tu n'aimes pas par peur de déplaire,
il y aura toujours quelqu'un qui critiquera quelque part.
Alors pourquoi ne pas faire ce que tu aimes dès maintenant ?"
Aussi, ne place jamais quelqu'un sur un piédestal.
Cette personne à le même pouvoir que toi. N'envie personne.
Ce qui la rend heureuse n'est pas nécessairement ce qui te rendrait heureux.
La clé est d'aller chercher toi-même ce que toi tu as vraiment envie.
Chaque jour est un jour nouveau.
Pourquoi ne pas faire de ce jour celui où tu as commencé à te rendre heureux ?
Ouvre tes ailes et dirige toi vers ce qui te tient à coeur.
Ceci est la clé du bonheur. Ne la garde pas pour toi.
Plusieurs personnes que tu connais aimeraient aussi obtenir cette clé.
Offre la leur en tout sincérité
et commence à semer le bonheur autour de toi.
Attrape la clé du bonheur et envoie la à tous ceux que tu connais.
Je te souhaite sincèrement tout le bonheur que tu veux !
Réalise qu'au fond, tu n'as rien à perdre
et que cette expérience te mènera vers de plus grandes réalisations.
Commence dès maintenant en accomplissant des petites actions.
Tôt ou tard, selon la loi de la manifestation,
tu atteindras ton but. Sois patient !
Savais-tu que :
"Que tu fasses ce que tu aimes pour ton propre plaisir
ou que tu fasses ce que tu n'aimes pas par peur de déplaire,
il y aura toujours quelqu'un qui critiquera quelque part.
Alors pourquoi ne pas faire ce que tu aimes dès maintenant ?"
Aussi, ne place jamais quelqu'un sur un piédestal.
Cette personne à le même pouvoir que toi. N'envie personne.
Ce qui la rend heureuse n'est pas nécessairement ce qui te rendrait heureux.
La clé est d'aller chercher toi-même ce que toi tu as vraiment envie.
Chaque jour est un jour nouveau.
Pourquoi ne pas faire de ce jour celui où tu as commencé à te rendre heureux ?
Ouvre tes ailes et dirige toi vers ce qui te tient à coeur.
Ceci est la clé du bonheur. Ne la garde pas pour toi.
Plusieurs personnes que tu connais aimeraient aussi obtenir cette clé.
Offre la leur en tout sincérité
et commence à semer le bonheur autour de toi.
Attrape la clé du bonheur et envoie la à tous ceux que tu connais.
Je te souhaite sincèrement tout le bonheur que tu veux !
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Sois serein
Sois serein au milieu du bruit et de l'agitation
et songe au calme paisible qui se dégage du silence.
Vis en bonne entente avec tout le monde
sans pour cela te renier.
Expose calmement et clairement tes idées ;
et écoute les autres,
même celui que tu considères moins intelligent que toi,
car eux aussi ont quelque chose à t'apprendre.
Evite les personnes bruyantes et agressives,
elles sont un supplice pour l'esprit.
Si tu te compares aux autres,
tu te sentiras parfois vaniteux et aigri,
car il y en en aura toujours de plus grands et de plus petits que toi.
Réjouis-toi de tes réussites comme de tes plans.
Si modeste que soit ta carrière, occupe-t'en
car elle est réellement une richesse dans un monde instable.
Sois prudent en affaires
car le monde est plein de tricheries.
Mais garde les yeux grands ouverts devant ses beaux côtés ;
beaucoup recherchent un idéal élevé
et font preuve de grand courage.
Reste toi-même ;
ne simule surtout pas la tendresse.
Mais ne parle pas non plus de l'amour cyniquement ;
car en présence de l'indifférence et du désenchantement,
il est aussi vivace que l'herbe.
Sois serein au milieu du bruit et de l'agitation
et songe au calme paisible qui se dégage du silence.
Vis en bonne entente avec tout le monde
sans pour cela te renier.
Expose calmement et clairement tes idées ;
et écoute les autres,
même celui que tu considères moins intelligent que toi,
car eux aussi ont quelque chose à t'apprendre.
Evite les personnes bruyantes et agressives,
elles sont un supplice pour l'esprit.
Si tu te compares aux autres,
tu te sentiras parfois vaniteux et aigri,
car il y en en aura toujours de plus grands et de plus petits que toi.
Réjouis-toi de tes réussites comme de tes plans.
Si modeste que soit ta carrière, occupe-t'en
car elle est réellement une richesse dans un monde instable.
Sois prudent en affaires
car le monde est plein de tricheries.
Mais garde les yeux grands ouverts devant ses beaux côtés ;
beaucoup recherchent un idéal élevé
et font preuve de grand courage.
Reste toi-même ;
ne simule surtout pas la tendresse.
Mais ne parle pas non plus de l'amour cyniquement ;
car en présence de l'indifférence et du désenchantement,
il est aussi vivace que l'herbe.
Accepte sans amertume la sagesse des années
en échange de ta jeunesse.
Fortifie ton esprit, il te soutiendra en cas de malheur soudain.
Mais ne te laisse pas entraîner par ton imagination,
l'angoisse naît souvent de la fatigue ou de la solitude.
Impose-toi une saine discipline,
mais reste néanmoins indulgent envers toi-même.
Tu es un enfant de l'univers
tout comme les arbres et les étoiles ;
tu as le droit d'exister.
Et même si cela échappe à ta compréhension,
l'univers poursuit son évolution.
Donc, vis en paix avec Dieu,
quelle que soit la manière dont tu Le conçois ;
et quels que soient tes actes et tes aspirations,
vis en paix avec ta conscience dans ce monde bruyant.
Malgré toutes ses hypocrisies, ses tracas et ses rêves envolés,
la vie est quand même belle.
Reste vigilant.
Tends inlassablement vers le bonheur.
en échange de ta jeunesse.
Fortifie ton esprit, il te soutiendra en cas de malheur soudain.
Mais ne te laisse pas entraîner par ton imagination,
l'angoisse naît souvent de la fatigue ou de la solitude.
Impose-toi une saine discipline,
mais reste néanmoins indulgent envers toi-même.
Tu es un enfant de l'univers
tout comme les arbres et les étoiles ;
tu as le droit d'exister.
Et même si cela échappe à ta compréhension,
l'univers poursuit son évolution.
Donc, vis en paix avec Dieu,
quelle que soit la manière dont tu Le conçois ;
et quels que soient tes actes et tes aspirations,
vis en paix avec ta conscience dans ce monde bruyant.
Malgré toutes ses hypocrisies, ses tracas et ses rêves envolés,
la vie est quand même belle.
Reste vigilant.
Tends inlassablement vers le bonheur.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Merci pour ce beau texte oū je me retrouve un peu!
AZUR- Combat avec Sainte Marie
- Messages : 1742
Localisation : France
Inscription : 12/07/2012
Re: ★Beaux Textes★
Da
Dans 3 jours notre pape bien aimé François fêtera soufflera les bougies de son 79ème anniversaire. J'ai retrouvé un poème que le cardinal Etchegaray a adressé à François quelques jours après son élection sur le trône de Pierre.
Je vous le livre :
PRIERE AU PAPE FRANCOIS
J'entends que tu te fais appeler "François"
François d'Assise et de Buenos Aires
comme évêque de Rome.
Mais pourquoi prendre ce nom,
toi le premier pape à porter un nom
si universel et si fascinant ?
Pourquoi le peuple immense qui te découvre
sur la loggia des bénédictions
reconnaît en toi le successeur de Pierre
et t'aime déjà comme un père ?
A côté de moi je surprends un cri :
"Il est si simple que j'ai envie de l'embrasser !"
Je te vois silencieux, les bras ballants :
je pense à l'"Ecce Homo", l'homme de la Passion
et j'aurais envie d'essuyer tes larmes
car certains jours tu ne pourras nous les cacher.
Mais j'ai moi-même, ce soir, pleuré de joie
quand tu nous as invité tous à prier
Dans la diversité de nos conditions et de nos croyances.
Conduis-nous souvent sur tes traces,
jusqu'à Saint François et Sainte Claire
pour accueillir à coups de conversions
la première des Béatitudes : "Heureux les Pauvres".
Il ne faut pas trop se préoccuper des nuances
avant d'avoir saisi la pensée du Christ
dans sa tranquille plénitude et sa terrible nudité.
Toi, notre guide,
et encore plus notre compagnon de route,
conduis-nous toujours plus fidèles à l'Eglise du Christ.
Face aux défis gigantesques de ce monde,
L'Eglise, de l'Orient à l'Occident, peut paraître
dérisoire, comme le petit David, avec une besace contenant, en plein âge nucléaire,
des cailloux polis par le torrent de l'Esprit.
L'Eglise seule, pourtant comme l'Apôtre Pierre à l'infirme de la Belle Porte ose nous dire :
"De l'or ou de l'argent je n'en ai pas, mais ce que j'ai je te le donne :
Au nom de Jésus-Christ le Nazaréen, marche" ! (Act. 3, v 6)
Pape François,
Aide-nous à croire que sur tous les chemins de la Résurrection le Christ nous précède toujours.
Cardinal Roger Etchegaray
Dans 3 jours notre pape bien aimé François fêtera soufflera les bougies de son 79ème anniversaire. J'ai retrouvé un poème que le cardinal Etchegaray a adressé à François quelques jours après son élection sur le trône de Pierre.
Je vous le livre :
PRIERE AU PAPE FRANCOIS
J'entends que tu te fais appeler "François"
François d'Assise et de Buenos Aires
comme évêque de Rome.
Mais pourquoi prendre ce nom,
toi le premier pape à porter un nom
si universel et si fascinant ?
Pourquoi le peuple immense qui te découvre
sur la loggia des bénédictions
reconnaît en toi le successeur de Pierre
et t'aime déjà comme un père ?
A côté de moi je surprends un cri :
"Il est si simple que j'ai envie de l'embrasser !"
Je te vois silencieux, les bras ballants :
je pense à l'"Ecce Homo", l'homme de la Passion
et j'aurais envie d'essuyer tes larmes
car certains jours tu ne pourras nous les cacher.
Mais j'ai moi-même, ce soir, pleuré de joie
quand tu nous as invité tous à prier
Dans la diversité de nos conditions et de nos croyances.
Conduis-nous souvent sur tes traces,
jusqu'à Saint François et Sainte Claire
pour accueillir à coups de conversions
la première des Béatitudes : "Heureux les Pauvres".
Il ne faut pas trop se préoccuper des nuances
avant d'avoir saisi la pensée du Christ
dans sa tranquille plénitude et sa terrible nudité.
Toi, notre guide,
et encore plus notre compagnon de route,
conduis-nous toujours plus fidèles à l'Eglise du Christ.
Face aux défis gigantesques de ce monde,
L'Eglise, de l'Orient à l'Occident, peut paraître
dérisoire, comme le petit David, avec une besace contenant, en plein âge nucléaire,
des cailloux polis par le torrent de l'Esprit.
L'Eglise seule, pourtant comme l'Apôtre Pierre à l'infirme de la Belle Porte ose nous dire :
"De l'or ou de l'argent je n'en ai pas, mais ce que j'ai je te le donne :
Au nom de Jésus-Christ le Nazaréen, marche" ! (Act. 3, v 6)
Pape François,
Aide-nous à croire que sur tous les chemins de la Résurrection le Christ nous précède toujours.
Cardinal Roger Etchegaray
Oïkouméné- Avec Saint Thomas d'Aquin
- Messages : 362
Age : 79
Localisation : Monaco
Inscription : 11/10/2015
Re: ★Beaux Textes★
Merci mon Amie P. pour ce beau poème dédié à notre Saint-Père
Bien Amicalement
Bien Amicalement
Les trois vieillards
Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas. Elle leur dit :
- " Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim. S'il vous plaît, entrez et je vous donnerai quelque chose à manger. "
- " Est-ce que l'homme de la maison est là ? " ont-ils demandé.
- " Non, il est sorti ", leur répondit-elle.
- " Alors nous ne pouvons pas entrer " ont-ils répondu.
En soirée lorsque son mari arrive à la maison, elle lui dit ce qui s'était passé.
- " Va leur dire que je suis à la maison et invite-les à entrer ! " dit-il à sa femme.
La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison.
- " Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison " ont-ils répondu.
- " Et pourquoi ? " a t-elle voulu savoir.
Un des vieillards lui expliqua :
- " Son nom est RICHESSE, dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre," lui c'est SUCCÈS et je suis AMOUR. Il a ajouté :
- " Retourne à la maison et discute avec ton mari pour savoir lequel d'entre nous vous voulez dans votre maison. "
La femme retourne à la maison et dit à son mari ce qui avait été dit. Son mari était ravi.
- " Comme c'est agréable ! " dit-il. Puisque c'est le cas, nous allons inviter RICHESSE."
Sa femme n'était pas d'accord :
- " Pourquoi n'inviterions-nous pas SUCCÈS ? "
Leur belle-fille, qui était dans une autre pièce, entendit leur conversation. Elle sauta sur l'occasion pour faire sa propre suggestion :
- " Ne serait-il pas mieux d'inviter AMOUR ? La maison sera alors remplie d'amour " !
- " Tenons compte du conseil de notre belle-fille, dit le mari à sa femme. Sors et propose à AMOUR d'être notre invité. "
La femme sort et demande aux trois vieillards :
- " Lequel d'entre vous est AMOUR ? S'il vous plaît, entrez et sois notre invité. "
AMOUR se lève et commença à marcher vers la maison. Les deux autres se lèvent aussi et le suivent. Etonnée, la dame demande à RICHESSE et SUCCÈS :
- " J'ai seulement invité AMOUR. Pourquoi venez-vous aussi ? "
Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas. Elle leur dit :
- " Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim. S'il vous plaît, entrez et je vous donnerai quelque chose à manger. "
- " Est-ce que l'homme de la maison est là ? " ont-ils demandé.
- " Non, il est sorti ", leur répondit-elle.
- " Alors nous ne pouvons pas entrer " ont-ils répondu.
En soirée lorsque son mari arrive à la maison, elle lui dit ce qui s'était passé.
- " Va leur dire que je suis à la maison et invite-les à entrer ! " dit-il à sa femme.
La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison.
- " Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison " ont-ils répondu.
- " Et pourquoi ? " a t-elle voulu savoir.
Un des vieillards lui expliqua :
- " Son nom est RICHESSE, dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre," lui c'est SUCCÈS et je suis AMOUR. Il a ajouté :
- " Retourne à la maison et discute avec ton mari pour savoir lequel d'entre nous vous voulez dans votre maison. "
La femme retourne à la maison et dit à son mari ce qui avait été dit. Son mari était ravi.
- " Comme c'est agréable ! " dit-il. Puisque c'est le cas, nous allons inviter RICHESSE."
Sa femme n'était pas d'accord :
- " Pourquoi n'inviterions-nous pas SUCCÈS ? "
Leur belle-fille, qui était dans une autre pièce, entendit leur conversation. Elle sauta sur l'occasion pour faire sa propre suggestion :
- " Ne serait-il pas mieux d'inviter AMOUR ? La maison sera alors remplie d'amour " !
- " Tenons compte du conseil de notre belle-fille, dit le mari à sa femme. Sors et propose à AMOUR d'être notre invité. "
La femme sort et demande aux trois vieillards :
- " Lequel d'entre vous est AMOUR ? S'il vous plaît, entrez et sois notre invité. "
AMOUR se lève et commença à marcher vers la maison. Les deux autres se lèvent aussi et le suivent. Etonnée, la dame demande à RICHESSE et SUCCÈS :
- " J'ai seulement invité AMOUR. Pourquoi venez-vous aussi ? "
Les vieillards lui répondirent ensemble :
- " Si vous aviez invité RICHESSE ou SUCCÈS, les deux autres d'entre nous serions restés dehors. Mais puisque vous avez invité AMOUR, partout où il va nous allons avec lui puisque partout où il y a de l'amour, il y a aussi de la richesse et du succès." !!!
- " Si vous aviez invité RICHESSE ou SUCCÈS, les deux autres d'entre nous serions restés dehors. Mais puisque vous avez invité AMOUR, partout où il va nous allons avec lui puisque partout où il y a de l'amour, il y a aussi de la richesse et du succès." !!!
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Personne n'est une île
Au début, ce fut le chaos. La terre s'est mise à gronder et je fus arrachée, transportée, éloignée de mon père, de ma mère, du reste de l'archipel. J'ai longtemps dérivé sur les océans sans fin. Les tempêtes étaient fréquentes et encore aujourd'hui je ne sais comment j'ai pu m'en sortir sans me désagréger.
Puis ce fut le silence. Les éléments se calmèrent. Pas immédiatement : cela prit des milliers d'années, des ères peut être.
Je ne dérivais plus. Je m'étais fixée sur une crête, au milieu des eaux puisque c'est mon milieu naturel. J'étais seule. J'avais eu le temps de pleurer toutes les larmes (salées) de mon corps de sable mais je goûtais maintenant la solitude.
J'avais été coincée dans le petit groupe d'îlots de mon enfance et j'avais souvent souhaité un cataclysme pour rompre cet attachement. Enfin c'était chose faite... J'étais seule et bien contente de l'être.
Les jours s'étiraient lentement au soleil. Une barrière de corail s'était accumulée et protégeait ma grève des assauts de la mer. Je me laissais dorer la côte. Nonchalamment. Les rares pluies suffisaient à combler ma verdure et la faune naissante en mon centre : des rongeurs, quelques invertébrés et beaucoup, beaucoup d'oiseaux.
Ils m'intriguaient : s'ils avaient pu voler jusqu'à moi en si grand nombre (certains jours, j'en étais couverte et leurs cris perturbaient mon sommeil tellurique), c'est que je n'étais pas si éloignée que cela d'une autre terre. Peut-être même d'un archipel, comme celui de mon enfance. Mais je me gardais bien de me détacher pour m'en approcher. Je n'allais pas renoncer si facilement à ma quiétude.
Je me fiais ainsi aux éléments pendant des centaines, des milliers d'années encore jusqu'à ce qu'un changement dans le comportement des oiseaux m'alerte. Moins de pépiements, moins de caquétements, moins de plumes, moins de graines, moins de nids, moins d'œufs... Moins d'oiseaux ! Mais pourquoi s'étaient-ils tous enfuis ?
J'ai mis un certain temps à comprendre que j'avais vieilli seule... et, hum ! pas très bien vieilli... Ma faune m'avait fuie parce que ma flore, plus aussi luxuriante que dans ma jeunesse ne suffisait plus à sa subsistance. J'étais pelée, sèche, pas très avenante.
Mon appétit pour la solitude m'avait trahi. Depuis quelques temps d'ailleurs, je me voyais partir : ma grève s'était rétrécie, mangée par le ressac que les coraux n'arrêtaient plus. Mes cocotiers n'avaient plus de têtes... décapités par les cyclones !
La sécheresse avait tari mes sources. Je devais faire piètre figure au milieu de l'océan. Et maintenant que j'y songeais : aucun marin aventureux n'avait jamais foulé mes plages d'un pas conquérant. Ah ça ! Je la payais chère ma solitude !
Au début, ce fut le chaos. La terre s'est mise à gronder et je fus arrachée, transportée, éloignée de mon père, de ma mère, du reste de l'archipel. J'ai longtemps dérivé sur les océans sans fin. Les tempêtes étaient fréquentes et encore aujourd'hui je ne sais comment j'ai pu m'en sortir sans me désagréger.
Puis ce fut le silence. Les éléments se calmèrent. Pas immédiatement : cela prit des milliers d'années, des ères peut être.
Je ne dérivais plus. Je m'étais fixée sur une crête, au milieu des eaux puisque c'est mon milieu naturel. J'étais seule. J'avais eu le temps de pleurer toutes les larmes (salées) de mon corps de sable mais je goûtais maintenant la solitude.
J'avais été coincée dans le petit groupe d'îlots de mon enfance et j'avais souvent souhaité un cataclysme pour rompre cet attachement. Enfin c'était chose faite... J'étais seule et bien contente de l'être.
Les jours s'étiraient lentement au soleil. Une barrière de corail s'était accumulée et protégeait ma grève des assauts de la mer. Je me laissais dorer la côte. Nonchalamment. Les rares pluies suffisaient à combler ma verdure et la faune naissante en mon centre : des rongeurs, quelques invertébrés et beaucoup, beaucoup d'oiseaux.
Ils m'intriguaient : s'ils avaient pu voler jusqu'à moi en si grand nombre (certains jours, j'en étais couverte et leurs cris perturbaient mon sommeil tellurique), c'est que je n'étais pas si éloignée que cela d'une autre terre. Peut-être même d'un archipel, comme celui de mon enfance. Mais je me gardais bien de me détacher pour m'en approcher. Je n'allais pas renoncer si facilement à ma quiétude.
Je me fiais ainsi aux éléments pendant des centaines, des milliers d'années encore jusqu'à ce qu'un changement dans le comportement des oiseaux m'alerte. Moins de pépiements, moins de caquétements, moins de plumes, moins de graines, moins de nids, moins d'œufs... Moins d'oiseaux ! Mais pourquoi s'étaient-ils tous enfuis ?
J'ai mis un certain temps à comprendre que j'avais vieilli seule... et, hum ! pas très bien vieilli... Ma faune m'avait fuie parce que ma flore, plus aussi luxuriante que dans ma jeunesse ne suffisait plus à sa subsistance. J'étais pelée, sèche, pas très avenante.
Mon appétit pour la solitude m'avait trahi. Depuis quelques temps d'ailleurs, je me voyais partir : ma grève s'était rétrécie, mangée par le ressac que les coraux n'arrêtaient plus. Mes cocotiers n'avaient plus de têtes... décapités par les cyclones !
La sécheresse avait tari mes sources. Je devais faire piètre figure au milieu de l'océan. Et maintenant que j'y songeais : aucun marin aventureux n'avait jamais foulé mes plages d'un pas conquérant. Ah ça ! Je la payais chère ma solitude !
Papa, maman, mes chers frères, mes petits îlots chéris, où êtes-vous ?
Le chagrin était si fort que je résolus de partir à la recherche de mon archipel perdu. Et même si je ne devais pas retrouver mes proches, je m'arrêterais au premier atoll que je croiserais... je leur demanderais de l'aide, je m'intégrerais sagement dans leur écosystème, sans faire de vagues, comme une gentille petite île du tertiaire que je suis.
Mais je devais apprendre à mes dépens qu'on ne se débarrasse pas de ses sédiments aussi vite. Malgré tous mes efforts pour m'arracher à mon milieu, je suis restée figée sur mon talus, rivée à ma crête. En exactement 15.789 ans, j'ai bougé de 23 centimètres... et encore, pas par mes propres moyens : un tremblement de terre sous-marin. Il paraît que ça arrive parfois. Enfin, tous les 30.000 ans environ.
Alors j'attends. Seule.
..............................
Personne n'est une île. Nous avons besoin des autres pour survivre. Même si nous apprécions parfois l'éloignement et la solitude, nous restons des animaux politiques, c'est-à-dire des êtres qui s'épanouissent au milieu de leurs semblables. Ceux qui renoncent au commerce des hommes finissent souvent comme cette petite île : ils ne sont plus ravitaillés, dépérissent, se sentent frustrés, tentent de vivre sur leurs propres ressources... et les épuisent. Contre l'ennui, contre l'affaiblissement : ressourcez vous auprès de vos proches, amis ou famille.
" Il y a dans le coeur de chacun un aimant qui attire les véritables amis. Cet aimant, c'est l'altruisme, la disposition à s'intéresser d'abord à autrui. "
Le chagrin était si fort que je résolus de partir à la recherche de mon archipel perdu. Et même si je ne devais pas retrouver mes proches, je m'arrêterais au premier atoll que je croiserais... je leur demanderais de l'aide, je m'intégrerais sagement dans leur écosystème, sans faire de vagues, comme une gentille petite île du tertiaire que je suis.
Mais je devais apprendre à mes dépens qu'on ne se débarrasse pas de ses sédiments aussi vite. Malgré tous mes efforts pour m'arracher à mon milieu, je suis restée figée sur mon talus, rivée à ma crête. En exactement 15.789 ans, j'ai bougé de 23 centimètres... et encore, pas par mes propres moyens : un tremblement de terre sous-marin. Il paraît que ça arrive parfois. Enfin, tous les 30.000 ans environ.
Alors j'attends. Seule.
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Personne n'est une île. Nous avons besoin des autres pour survivre. Même si nous apprécions parfois l'éloignement et la solitude, nous restons des animaux politiques, c'est-à-dire des êtres qui s'épanouissent au milieu de leurs semblables. Ceux qui renoncent au commerce des hommes finissent souvent comme cette petite île : ils ne sont plus ravitaillés, dépérissent, se sentent frustrés, tentent de vivre sur leurs propres ressources... et les épuisent. Contre l'ennui, contre l'affaiblissement : ressourcez vous auprès de vos proches, amis ou famille.
" Il y a dans le coeur de chacun un aimant qui attire les véritables amis. Cet aimant, c'est l'altruisme, la disposition à s'intéresser d'abord à autrui. "
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Les biscuits
Un jour, une dame qui attendait son vol dans un aérogare, alla dans une boutique pour trouver un bon livre, acheta en même temps un sac de biscuits, puis s'assit pour lire.
Bien qu'absorbée dans sa lecture, elle s'aperçut que l'homme à côté d'elle, effronté s'il en fut, prenait un ou deux biscuits dans le sac posé entre eux. Elle fit mine de ne rien voir pour éviter un esclandre fâcheux en public. Elle lisait, mangeait des biscuits et surveillait le départ des avions, tandis que le "voleur de biscuits" se goinfrait à même ses provisions. De plus en plus agacée à mesure que le temps passait, elle songeait : "Si je n'étais pas si aimable, je le giflerais."
Chaque fois qu'elle prenait un biscuit, l'homme sans gêne se servait. Lorsqu'il n'en resta qu'un seul, elle se demanda comment il réagirait. L'air content, il eut un petit rire nerveux, puis il prit le dernier biscuit, le cassa en deux, lui offrit une moitié et mangea sa part. Lui arrachant des mains, elle se dit : "Je n'en reviens pas, cet homme a du culot et ne pourrait pas être plus impoli, vraiment, il ne me dit même pas merci !"
Elle ne se rappelait pas avoir été aussi exaspérée. Aussi soupira-t-elle d'aise, lorsque son vol fut annoncé. Rassemblant ses affaires, elle partit prendre son avion, sans même regarder l'ingrat voleur de biscuits.
Une fois à bord et confortablement installée, elle chercha son livre qu'elle avait presque terminé. En fouillant dans son sac, elle fut estomaquée, ses biscuits étaient là, sous ses yeux étonnés. "Si mes biscuits sont ici, pensa-t-elle, désespérée, alors les autres étaient les siens, que je lui ai volé moi-même et qu'il a bien voulu partager !"
Trop tard pour s'excuser, elle se rendit compte, malheureuse, que c'était elle l'impolie, l'ingrate, la voleuse !
Miroir, miroir, mon beau miroir !... combien de fois accusons-nous les autres alors que nous ne remarquons pas ce que nous faisons nous-mêmes...
Un jour, une dame qui attendait son vol dans un aérogare, alla dans une boutique pour trouver un bon livre, acheta en même temps un sac de biscuits, puis s'assit pour lire.
Bien qu'absorbée dans sa lecture, elle s'aperçut que l'homme à côté d'elle, effronté s'il en fut, prenait un ou deux biscuits dans le sac posé entre eux. Elle fit mine de ne rien voir pour éviter un esclandre fâcheux en public. Elle lisait, mangeait des biscuits et surveillait le départ des avions, tandis que le "voleur de biscuits" se goinfrait à même ses provisions. De plus en plus agacée à mesure que le temps passait, elle songeait : "Si je n'étais pas si aimable, je le giflerais."
Chaque fois qu'elle prenait un biscuit, l'homme sans gêne se servait. Lorsqu'il n'en resta qu'un seul, elle se demanda comment il réagirait. L'air content, il eut un petit rire nerveux, puis il prit le dernier biscuit, le cassa en deux, lui offrit une moitié et mangea sa part. Lui arrachant des mains, elle se dit : "Je n'en reviens pas, cet homme a du culot et ne pourrait pas être plus impoli, vraiment, il ne me dit même pas merci !"
Elle ne se rappelait pas avoir été aussi exaspérée. Aussi soupira-t-elle d'aise, lorsque son vol fut annoncé. Rassemblant ses affaires, elle partit prendre son avion, sans même regarder l'ingrat voleur de biscuits.
Une fois à bord et confortablement installée, elle chercha son livre qu'elle avait presque terminé. En fouillant dans son sac, elle fut estomaquée, ses biscuits étaient là, sous ses yeux étonnés. "Si mes biscuits sont ici, pensa-t-elle, désespérée, alors les autres étaient les siens, que je lui ai volé moi-même et qu'il a bien voulu partager !"
Trop tard pour s'excuser, elle se rendit compte, malheureuse, que c'était elle l'impolie, l'ingrate, la voleuse !
Miroir, miroir, mon beau miroir !... combien de fois accusons-nous les autres alors que nous ne remarquons pas ce que nous faisons nous-mêmes...
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
C'est vraiment tres vrai merci Marie bonne journee et que Dieu t'envoie mille benedictions
lyne- Avec Sainte Therese de l'Enfant Jésus
- Messages : 164
Inscription : 05/11/2008
Re: ★Beaux Textes★
Bonsoir lyne et Merci pour ta Bénédiction!
En Union de Prière avec Toi!!
Amicalement
En Union de Prière avec Toi!!
Amicalement
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Apprendre à aimer...
J’ai appris à aimer mon prochain comme moi-même,
Mais j’ai bien mal appris à m’aimer réellement.
C’est ce travail sur moi qu’il faut réaliser
Reprendre ma confiance trop souvent ébranlée.
J’ai appris à tendre la main à ceux qui souffrent,
Mais je n’ai pas appris à lire ma souffrance.
Comment puis-je comprendre le mal qui t’ensorcèle
Quand je comprends si peu le tréfonds de mon coeur ?
Ton mal-être, mon amour, tu ne l’as pas choisi,
Mais je n’ai pas hélas la force ni le pouvoir
De te l’ôter de l’âme, ni même de l’apaiser.
Je ne peux que chercher la paix au fond de moi.
Dieu que c’est difficile d’aimer quelqu’un qui souffre
Et voir son impuissance à pouvoir le sauver !
Dieu comme c’est attristant de te voir te détruire
Quand j’ai rêvé pour toi la meilleure vie qui soit !
J’ai trop songé à toi, à trop te protéger
J’ai fait sans le vouloir plus de mal que de bien.
Je laisse alors à Dieu ce que je ne peux faire
Je ne suis qu’un humain, rien de plus, rien de moins.
Je ne peux rien changer, que moi, et c’est beaucoup !
T’aimer, c’est te laisser ta liberté de vie,
Te laisser respirer pour reprendre mon souffle,
Et pouvoir dire vraiment « je t’aime » sans condition.
J’ai appris à aimer mon prochain comme moi-même,
Mais j’ai bien mal appris à m’aimer réellement.
C’est ce travail sur moi qu’il faut réaliser
Reprendre ma confiance trop souvent ébranlée.
J’ai appris à tendre la main à ceux qui souffrent,
Mais je n’ai pas appris à lire ma souffrance.
Comment puis-je comprendre le mal qui t’ensorcèle
Quand je comprends si peu le tréfonds de mon coeur ?
Ton mal-être, mon amour, tu ne l’as pas choisi,
Mais je n’ai pas hélas la force ni le pouvoir
De te l’ôter de l’âme, ni même de l’apaiser.
Je ne peux que chercher la paix au fond de moi.
Dieu que c’est difficile d’aimer quelqu’un qui souffre
Et voir son impuissance à pouvoir le sauver !
Dieu comme c’est attristant de te voir te détruire
Quand j’ai rêvé pour toi la meilleure vie qui soit !
J’ai trop songé à toi, à trop te protéger
J’ai fait sans le vouloir plus de mal que de bien.
Je laisse alors à Dieu ce que je ne peux faire
Je ne suis qu’un humain, rien de plus, rien de moins.
Je ne peux rien changer, que moi, et c’est beaucoup !
T’aimer, c’est te laisser ta liberté de vie,
Te laisser respirer pour reprendre mon souffle,
Et pouvoir dire vraiment « je t’aime » sans condition.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
"Joyeuses" fêtes...
A la dernière minute, je me suis dépêchée de me rendre au magasin à rayons pour faire mes emplettes de Noël. Quand j'ai vu tout le monde qu'il y avait, je me suis mise à maugréer :
"Je vais passer un temps interminable ici et j'ai encore tant de choses à faire. Noël commence vraiment à devenir une corvée. Ce serait tellement bien de me coucher et de me réveiller seulement après..."
Mais je me suis fais un chemin jusqu'au département des jouets et là, j'ai commencé à maugréer contre le prix des jouets en me demandant si les enfants joueraient vraiment avec. Je me suis retrouvée dans l'allée des jouets. Du coin de l'oeil, j'ai remarqué un petit bonhomme d'environ 5 ans qui tenait une jolie petite poupée contre lui... Il n'arrêtait pas de lui caresser les cheveux et de la serrer doucement contre lui. Je me demandais à qui était destinée la poupée.
Puis le petit garçon se retourna vers la dame près de lui :
"Ma tante, es-tu certaine que je n'ai pas assez de sous ?"
La dame lui répondit avec un peu d'impatience :
"Tu le sais que tu n'as pas assez de sous pour l'acheter".
Puis sa tante lui demanda de rester là et de l'attendre quelques minutes. Puis elle partit rapidement.
Le petit garçon tenait toujours la poupée dans ses mains. Finalement, je me suis dirigée vers lui et lui ai demandé à qui il voulait donner la poupée. "C'est la poupée que ma petite soeur désirait plus que tout pour Noël. Elle était certaine que le Père Noël la lui apporterait."
Je lui dis alors qu'il allait peut-être lui apporter. Il me répondit tristement: "Non, le Père Noël ne peut pas aller là où ma petite soeur se trouve maintenant... Il faut que je donne la poupée à ma maman pour qu'elle lui apporte."
Il avait les yeux tellement tristes en disant cela. "Elle est partie rejoindre Jésus. Papa dit que maman va aller retrouver Jésus bientôt, elle aussi, alors j'ai pensé qu'elle pourrait prendre la poupée avec elle et la donner à ma petite soeur."
Mon coeur s'est presque arrêté de battre. Le petit garçon a levé les yeux vers moi et m'a dit: " J'ai dit à papa de dire à maman de ne pas partir tout de suite. Je lui ai demandé d'attendre que je revienne du magasin". Puis il m'a montré une photo de lui prise dans le magasin sur laquelle il tenait la poupée en me disant: "Je veux que maman apporte aussi cette photo avec elle, comme ça, elle ne m'oubliera pas. J'aime ma maman et j'aimerais qu'elle ne me quitte pas mais papa dit qu'il faut qu'elle aille avec ma petite soeur." Puis il baissa la tête et resta silencieux.
Je fouillai dans mon sac à mains, sortis une liasse de billets et demandai au petit garçon :
"Et si on recomptait tes sous une dernière fois pour être sûrs ?"
"OK", dit-il. "Il faut que j'en aie assez."
Je glissai mon argent avec le sien et nous avons commencé à compter. Il y en avait amplement pour la poupée et même plus
A la dernière minute, je me suis dépêchée de me rendre au magasin à rayons pour faire mes emplettes de Noël. Quand j'ai vu tout le monde qu'il y avait, je me suis mise à maugréer :
"Je vais passer un temps interminable ici et j'ai encore tant de choses à faire. Noël commence vraiment à devenir une corvée. Ce serait tellement bien de me coucher et de me réveiller seulement après..."
Mais je me suis fais un chemin jusqu'au département des jouets et là, j'ai commencé à maugréer contre le prix des jouets en me demandant si les enfants joueraient vraiment avec. Je me suis retrouvée dans l'allée des jouets. Du coin de l'oeil, j'ai remarqué un petit bonhomme d'environ 5 ans qui tenait une jolie petite poupée contre lui... Il n'arrêtait pas de lui caresser les cheveux et de la serrer doucement contre lui. Je me demandais à qui était destinée la poupée.
Puis le petit garçon se retourna vers la dame près de lui :
"Ma tante, es-tu certaine que je n'ai pas assez de sous ?"
La dame lui répondit avec un peu d'impatience :
"Tu le sais que tu n'as pas assez de sous pour l'acheter".
Puis sa tante lui demanda de rester là et de l'attendre quelques minutes. Puis elle partit rapidement.
Le petit garçon tenait toujours la poupée dans ses mains. Finalement, je me suis dirigée vers lui et lui ai demandé à qui il voulait donner la poupée. "C'est la poupée que ma petite soeur désirait plus que tout pour Noël. Elle était certaine que le Père Noël la lui apporterait."
Je lui dis alors qu'il allait peut-être lui apporter. Il me répondit tristement: "Non, le Père Noël ne peut pas aller là où ma petite soeur se trouve maintenant... Il faut que je donne la poupée à ma maman pour qu'elle lui apporte."
Il avait les yeux tellement tristes en disant cela. "Elle est partie rejoindre Jésus. Papa dit que maman va aller retrouver Jésus bientôt, elle aussi, alors j'ai pensé qu'elle pourrait prendre la poupée avec elle et la donner à ma petite soeur."
Mon coeur s'est presque arrêté de battre. Le petit garçon a levé les yeux vers moi et m'a dit: " J'ai dit à papa de dire à maman de ne pas partir tout de suite. Je lui ai demandé d'attendre que je revienne du magasin". Puis il m'a montré une photo de lui prise dans le magasin sur laquelle il tenait la poupée en me disant: "Je veux que maman apporte aussi cette photo avec elle, comme ça, elle ne m'oubliera pas. J'aime ma maman et j'aimerais qu'elle ne me quitte pas mais papa dit qu'il faut qu'elle aille avec ma petite soeur." Puis il baissa la tête et resta silencieux.
Je fouillai dans mon sac à mains, sortis une liasse de billets et demandai au petit garçon :
"Et si on recomptait tes sous une dernière fois pour être sûrs ?"
"OK", dit-il. "Il faut que j'en aie assez."
Je glissai mon argent avec le sien et nous avons commencé à compter. Il y en avait amplement pour la poupée et même plus
Doucement, le petit garçon murmura: "Merci Jésus pour m'avoir donné assez de sous !" Puis il me regarda et dit: "J'avais demandé à Jésus de s'arranger pour que j'aie assez de sous pour acheter cette poupée afin que ma maman puisse l'apporter à ma soeur. Il a entendu ma prière. Je voulais aussi avoir assez de sous pour acheter une rose blanche à ma maman mais je n'osais pas lui demander. Mais il m'a donné assez de sous pour acheter la poupée et la rose blanche. Vous savez, ma maman aime tellement les roses blanches..."
Quelques minutes plus tard, sa tante revint et je m'éloignai en poussant mon panier. Je terminai mon magasinage dans un état d'esprit complètement différent de celui dans lequel je l'avais commencé. Je n'arrivais pas à oublier le petit garçon. Puis, je me suis rappelée un article paru dans le journal quelques jours auparavant qui parlait d'un conducteur en état d'ivresse qui avait frappé une voiture dans laquelle se trouvait une jeune femme et sa fille. La petite fille était morte sur le coup et la mère était gravement blessée. La famille devait décider s'ils allaient la faire débrancher du respirateur. Est-ce que c'était la famille de ce petit garçon ?
Deux jours plus tard, je lus dans le journal que la jeune femme était morte. Je ne pus m'empêcher d'aller acheter un bouquet de roses blanches et me rendre au salon mortuaire où était exposée la jeune dame. Elle était là, tenant une jolie rose blanche dans sa main, avec la poupée et la photo du petit garçon dans le magasin. J'ai quitté le salon en pleurant, sentant que ma vie changerait pour toujours. L'amour que ce petit garçon éprouvait pour sa maman et sa soeur était tellement incroyable. Et en une fraction de seconde, un conducteur ivre lui avait tout enlevé.
Maintenant, vous avez deux choix :
1) Transmettre ce message à ceux que vous connaissez.
2) Effacer ce message et faire comme si cette histoire ne vous avait pas touché(e).
Mais si vous le transmettez, peut-être rejoindra-t-il quelqu'un assez pour l'empêcher de conduire après avoir pris de l'alcool.
"Les amis sont des anges qui nous soulèvent
quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler.
Quelques minutes plus tard, sa tante revint et je m'éloignai en poussant mon panier. Je terminai mon magasinage dans un état d'esprit complètement différent de celui dans lequel je l'avais commencé. Je n'arrivais pas à oublier le petit garçon. Puis, je me suis rappelée un article paru dans le journal quelques jours auparavant qui parlait d'un conducteur en état d'ivresse qui avait frappé une voiture dans laquelle se trouvait une jeune femme et sa fille. La petite fille était morte sur le coup et la mère était gravement blessée. La famille devait décider s'ils allaient la faire débrancher du respirateur. Est-ce que c'était la famille de ce petit garçon ?
Deux jours plus tard, je lus dans le journal que la jeune femme était morte. Je ne pus m'empêcher d'aller acheter un bouquet de roses blanches et me rendre au salon mortuaire où était exposée la jeune dame. Elle était là, tenant une jolie rose blanche dans sa main, avec la poupée et la photo du petit garçon dans le magasin. J'ai quitté le salon en pleurant, sentant que ma vie changerait pour toujours. L'amour que ce petit garçon éprouvait pour sa maman et sa soeur était tellement incroyable. Et en une fraction de seconde, un conducteur ivre lui avait tout enlevé.
Maintenant, vous avez deux choix :
1) Transmettre ce message à ceux que vous connaissez.
2) Effacer ce message et faire comme si cette histoire ne vous avait pas touché(e).
Mais si vous le transmettez, peut-être rejoindra-t-il quelqu'un assez pour l'empêcher de conduire après avoir pris de l'alcool.
"Les amis sont des anges qui nous soulèvent
quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Aujourd'hui je poste cette vidéo en hommage à ma Maman qui me chantait souvent cette chanson :
A Toi Maman
A Toi Maman
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Aime-Moi
Aime-Moi, tel que tu es.
Je connais ta misère, les combats et les tribulations de ton âme ; la faiblesse et les infirmités de ton corps ; je sais ta lâcheté, tes péchés, tes défaillances ; je te dis quand même : "Donne-Moi ton coeur, aime-Moi comme tu es."
Si tu attends d'être un ange pour te livrer à l'amour, tu ne m'aimeras jamais. Même si tu retombes souvent, dans ces fautes que tu voudrais ne jamais connaître, même si tu es lâche dans la pratique de la vertu, je ne te permets pas de ne pas M'aimer. Aime-Moi comme tu es.
A chaque instant et dans quelque position que tu te trouves, dans la ferveur ou dans la sécheresse, dans la fidélité ou dans l'infidélité. Aime-Moi tel tu es.
Je veux l'amour de ton coeur indigent ; si pour m'aimer tu attends d'être parfait, tu ne m'aimeras jamais. Ne pourrais-je pas faire de chaque grain de sable un séraphin tout radieux de pureté, de noblesse et d'amour ? Ne pourrais-je pas, d'un seul signe de ma volonté faire surgir du néant des milliers de saints, mille fois plus parfaits et plus aimants que ceux que j'ai créés ? Ne suis-je pas le Tout-Puissant ? Et s'il me plaît de laisser pour jamais dans le néant ces êtres merveilleux et de leur préférer ton pauvre amour !
Mon enfant, laisse-moi t'aimer, je veux ton coeur.
Je compte bien te former mais en attendant, je t'aime comme tu es.
Et je souhaite que tu fasses de même : je désire voir, du fond de ta misère, monter l'amour. J'aime en toi jusqu'à ta faiblesse.
J'aime l'amour des pauvres ; je veux que, de l'indigence, s'élève continuellement ce cri : Seigneur, je vous aime. C'est le chant de ton coeur qui m'importe. Qu'ai-je besoin de ta science et de tes talents ? Ce ne sont pas des vertus que je te demande, et si je t'en donnais, tu es si faible que bientôt l'amour-propre s'y mêlerait : ne t'inquiète pas de cela. J'aurais pu te destiner à de grandes choses : Non, tu seras le serviteur inutile, je te prendrai même le peu que tu as, car je t'ai créé pour l'amour. Aime!
L'amour te fera faire tout le reste sans que tu y penses ; ne cherche qu'à remplir le moment présent de ton amour. Aujourd'hui je me tiens à la porte de ton coeur comme un mendiant, Moi, le Seigneur des seigneurs. Je frappe et j'attends, hâte-toi de m'ouvrir, n'allègue pas ta misère. Ton indigence, si tu la connaissais pleinement, tu mourrais de douleur. Cela seul qui pourrait me blesser le coeur, ce serait de te voir douter et manquer de confiance. Je veux que tu penses à moi à chaque heure du jour et de la nuit, je ne veux pas que tu poses l'action la plus insignifiante pour un motif autre que l'amour. Quand il te faudra souffrir, je te donnerai la force ; tu m'as donné l'amour, je te donnerai d'aimer au-delà de ce que tu as pu rêver.
Mais souviens-toi : "Aime-Moi, tel que tu es."
Aime-Moi, tel que tu es.
Je connais ta misère, les combats et les tribulations de ton âme ; la faiblesse et les infirmités de ton corps ; je sais ta lâcheté, tes péchés, tes défaillances ; je te dis quand même : "Donne-Moi ton coeur, aime-Moi comme tu es."
Si tu attends d'être un ange pour te livrer à l'amour, tu ne m'aimeras jamais. Même si tu retombes souvent, dans ces fautes que tu voudrais ne jamais connaître, même si tu es lâche dans la pratique de la vertu, je ne te permets pas de ne pas M'aimer. Aime-Moi comme tu es.
A chaque instant et dans quelque position que tu te trouves, dans la ferveur ou dans la sécheresse, dans la fidélité ou dans l'infidélité. Aime-Moi tel tu es.
Je veux l'amour de ton coeur indigent ; si pour m'aimer tu attends d'être parfait, tu ne m'aimeras jamais. Ne pourrais-je pas faire de chaque grain de sable un séraphin tout radieux de pureté, de noblesse et d'amour ? Ne pourrais-je pas, d'un seul signe de ma volonté faire surgir du néant des milliers de saints, mille fois plus parfaits et plus aimants que ceux que j'ai créés ? Ne suis-je pas le Tout-Puissant ? Et s'il me plaît de laisser pour jamais dans le néant ces êtres merveilleux et de leur préférer ton pauvre amour !
Mon enfant, laisse-moi t'aimer, je veux ton coeur.
Je compte bien te former mais en attendant, je t'aime comme tu es.
Et je souhaite que tu fasses de même : je désire voir, du fond de ta misère, monter l'amour. J'aime en toi jusqu'à ta faiblesse.
J'aime l'amour des pauvres ; je veux que, de l'indigence, s'élève continuellement ce cri : Seigneur, je vous aime. C'est le chant de ton coeur qui m'importe. Qu'ai-je besoin de ta science et de tes talents ? Ce ne sont pas des vertus que je te demande, et si je t'en donnais, tu es si faible que bientôt l'amour-propre s'y mêlerait : ne t'inquiète pas de cela. J'aurais pu te destiner à de grandes choses : Non, tu seras le serviteur inutile, je te prendrai même le peu que tu as, car je t'ai créé pour l'amour. Aime!
L'amour te fera faire tout le reste sans que tu y penses ; ne cherche qu'à remplir le moment présent de ton amour. Aujourd'hui je me tiens à la porte de ton coeur comme un mendiant, Moi, le Seigneur des seigneurs. Je frappe et j'attends, hâte-toi de m'ouvrir, n'allègue pas ta misère. Ton indigence, si tu la connaissais pleinement, tu mourrais de douleur. Cela seul qui pourrait me blesser le coeur, ce serait de te voir douter et manquer de confiance. Je veux que tu penses à moi à chaque heure du jour et de la nuit, je ne veux pas que tu poses l'action la plus insignifiante pour un motif autre que l'amour. Quand il te faudra souffrir, je te donnerai la force ; tu m'as donné l'amour, je te donnerai d'aimer au-delà de ce que tu as pu rêver.
Mais souviens-toi : "Aime-Moi, tel que tu es."
N'attends pas d'être un saint pour te livrer à l'Amour, sinon tu n'aimeras jamais.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Le bonheur est le chemin
On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être marié, après avoir eu un enfant et, ensuite, après en avoir eu un autre. Plus tard, on se sent frustré, parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands et on pense que l'on sera mieux quand ils le seront. On est alors convaincu que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.
On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour notre conjoint, quand on possèdera une plus belle voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite.
La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux, que le moment présent. Si ce n'est pas maintenant, quand serait-ce ? La vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer. Il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux maintenant qu'il est encore temps.
"Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer. la vraie vie ! Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin, un problème qu'il fallait résoudre en premier, un thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer. Et alors, là, la vie allait commencer ! Jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma vie".
Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au bonheur. Le bonheur est le chemin. Ainsi, passe chaque moment que nous avons et, plus encore, quand on partage ce moment avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager notre temps, et que l'on se rappelle que le temps n'attend pas. Alors, il faut arrêter d'attendre de terminer ses études, d'augmenter son salaire, de se marier, d'avoir des enfants, que ses enfants partent de la maison ou, simplement, le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l'été, l'automne ou l'hiver, pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour être heureux.
LE BONHEUR EST UNE TRAJECTOIRE ET NON PAS UNE DESTINATION.
Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux. Il suffit juste d'apprécier chaque petit moment et de le sacrer comme l'un des meilleurs moments de sa vie :
Tomber amoureux,
Rire jusqu'à en avoir mal au ventre, ou des crampes aux mâchoires,
Trouver un tas de nouveaux méls sur sa boîte quand on revient de vacances,
Conduire vers des paysages magnifiques en terre inconnue,
Se coucher dans son lit en écoutant la pluie tomber dehors,
Sortir de la douche et s'essuyer avec une serviette toute chaude,
Réussir son dernier examen,
Avoir une conversation intéressante,
Retrouver de l'argent dans un pantalon que l'on n'a pas porté depuis des lustres,
Rire de soi-même,
On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être marié, après avoir eu un enfant et, ensuite, après en avoir eu un autre. Plus tard, on se sent frustré, parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands et on pense que l'on sera mieux quand ils le seront. On est alors convaincu que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.
On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour notre conjoint, quand on possèdera une plus belle voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite.
La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux, que le moment présent. Si ce n'est pas maintenant, quand serait-ce ? La vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer. Il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux maintenant qu'il est encore temps.
"Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer. la vraie vie ! Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin, un problème qu'il fallait résoudre en premier, un thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer. Et alors, là, la vie allait commencer ! Jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma vie".
Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au bonheur. Le bonheur est le chemin. Ainsi, passe chaque moment que nous avons et, plus encore, quand on partage ce moment avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager notre temps, et que l'on se rappelle que le temps n'attend pas. Alors, il faut arrêter d'attendre de terminer ses études, d'augmenter son salaire, de se marier, d'avoir des enfants, que ses enfants partent de la maison ou, simplement, le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l'été, l'automne ou l'hiver, pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour être heureux.
LE BONHEUR EST UNE TRAJECTOIRE ET NON PAS UNE DESTINATION.
Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux. Il suffit juste d'apprécier chaque petit moment et de le sacrer comme l'un des meilleurs moments de sa vie :
Tomber amoureux,
Rire jusqu'à en avoir mal au ventre, ou des crampes aux mâchoires,
Trouver un tas de nouveaux méls sur sa boîte quand on revient de vacances,
Conduire vers des paysages magnifiques en terre inconnue,
Se coucher dans son lit en écoutant la pluie tomber dehors,
Sortir de la douche et s'essuyer avec une serviette toute chaude,
Réussir son dernier examen,
Avoir une conversation intéressante,
Retrouver de l'argent dans un pantalon que l'on n'a pas porté depuis des lustres,
Rire de soi-même,
Rire sans raison particulière,
Entendre accidentellement quelqu'un dire quelque chose de bien sur soi,
Se réveiller en pleine nuit en se rendant compte que l'on peut encore dormir quelques heures,
Écouter une chanson qui nous rappelle un moment chéri,
Se faire de nouveaux amis,
Voir contents les gens que l'on aime,
Rendre visite à un vieil ami et se rendre compte que les choses n'ont pas changé entre vous,
Admirer un coucher de soleil,
Se faire tranquillement masser le dos et s'endormir paisiblement,
Sentir un vent doux et frais nous caresser la joue,
Entendre dire que l'on nous aime et vivre paisiblement tous les petits moments qui nous réchauffent le coeur et l'âme.
Les vrais amis viennent dans les bons moments quand on les appelle et dans les mauvais moments, ils viennent d'eux-mêmes.
Après ça, une bonne réflexion s'impose.
Entendre accidentellement quelqu'un dire quelque chose de bien sur soi,
Se réveiller en pleine nuit en se rendant compte que l'on peut encore dormir quelques heures,
Écouter une chanson qui nous rappelle un moment chéri,
Se faire de nouveaux amis,
Voir contents les gens que l'on aime,
Rendre visite à un vieil ami et se rendre compte que les choses n'ont pas changé entre vous,
Admirer un coucher de soleil,
Se faire tranquillement masser le dos et s'endormir paisiblement,
Sentir un vent doux et frais nous caresser la joue,
Entendre dire que l'on nous aime et vivre paisiblement tous les petits moments qui nous réchauffent le coeur et l'âme.
Les vrais amis viennent dans les bons moments quand on les appelle et dans les mauvais moments, ils viennent d'eux-mêmes.
Après ça, une bonne réflexion s'impose.
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Re: ★Beaux Textes★
L'anneau d'or
Un écolier vint trouver son professeur pour lui parler d'un problème :
- Je viens vous voir, car je n'ai pas la force d'affronter mon problème tout seul. Ils disent que je ne sers à rien, que je ne fais rien de bien, que je suis bête et idiot. Comment puis-je devenir meilleur ? Que puis-je faire pour qu'on m'apprécie ?
Le professeur, sans lui jeter un regard, lui dit :
- Je suis vraiment désolé mon garçon. Pour l'instant, je dois résoudre mon propre problème. Ensuite, peut-être...
Faisant une pause, il dit :
- Si tu m'aides à résoudre mon problème rapidement, je pourrai peut-être ensuite t'aider à résoudre le tien.
- Bien sûr, professeur, dit le garçon. Mais il se sentit aussitôt dévalorisé.
Le professeur ôta un anneau de son petit doigt et lui dit :
- Prends ton cheval et va sur le marché. Tu devras vendre cet anneau pour moi car je dois rembourser une dette. Evidemment, tu devras en obtenir le maximum, mais ne le vends surtout pas en dessous d'une pièce d'or. Va et reviens avec l'argent le plus rapidement possible.
Le garçon prit l'anneau et s'en alla. Quand il arriva sur le marché, il commença à le proposer aux marchands. Ils paraissaient très intéressés et attendaient de savoir combien le jeune garçon en demandait. Dès qu'il parlait de la pièce d'or, certains éclataient de rire, d'autres partaient sans même le regarder. Seul un vieillard fut assez aimable pour lui expliquer qu'une pièce d'or avait beaucoup trop de valeur pour acheter une bague. Voulant aider le jeune garçon, on lui proposa une pièce de bronze, puis une pièce d'argent. Mais le garçon suivait les instructions de son professeur de ne rien accepter en dessous d'une pièce d'or, et déclina toutes les offres.
Après avoir proposé le bijou à tous les passants du marché, et abattu par son échec cuisant, il remonta sur son cheval et rentra. Le jeune garçon aurait voulu avoir une pièce d'or pour acheter lui-même cet anneau, libérant ainsi son professeur afin qu'il puisse ainsi lui venir en aide à son tour avec ses conseils.
Un écolier vint trouver son professeur pour lui parler d'un problème :
- Je viens vous voir, car je n'ai pas la force d'affronter mon problème tout seul. Ils disent que je ne sers à rien, que je ne fais rien de bien, que je suis bête et idiot. Comment puis-je devenir meilleur ? Que puis-je faire pour qu'on m'apprécie ?
Le professeur, sans lui jeter un regard, lui dit :
- Je suis vraiment désolé mon garçon. Pour l'instant, je dois résoudre mon propre problème. Ensuite, peut-être...
Faisant une pause, il dit :
- Si tu m'aides à résoudre mon problème rapidement, je pourrai peut-être ensuite t'aider à résoudre le tien.
- Bien sûr, professeur, dit le garçon. Mais il se sentit aussitôt dévalorisé.
Le professeur ôta un anneau de son petit doigt et lui dit :
- Prends ton cheval et va sur le marché. Tu devras vendre cet anneau pour moi car je dois rembourser une dette. Evidemment, tu devras en obtenir le maximum, mais ne le vends surtout pas en dessous d'une pièce d'or. Va et reviens avec l'argent le plus rapidement possible.
Le garçon prit l'anneau et s'en alla. Quand il arriva sur le marché, il commença à le proposer aux marchands. Ils paraissaient très intéressés et attendaient de savoir combien le jeune garçon en demandait. Dès qu'il parlait de la pièce d'or, certains éclataient de rire, d'autres partaient sans même le regarder. Seul un vieillard fut assez aimable pour lui expliquer qu'une pièce d'or avait beaucoup trop de valeur pour acheter une bague. Voulant aider le jeune garçon, on lui proposa une pièce de bronze, puis une pièce d'argent. Mais le garçon suivait les instructions de son professeur de ne rien accepter en dessous d'une pièce d'or, et déclina toutes les offres.
Après avoir proposé le bijou à tous les passants du marché, et abattu par son échec cuisant, il remonta sur son cheval et rentra. Le jeune garçon aurait voulu avoir une pièce d'or pour acheter lui-même cet anneau, libérant ainsi son professeur afin qu'il puisse ainsi lui venir en aide à son tour avec ses conseils.
Il arriva vers le professeur et lui dit :
- Professeur, je suis désolé, mais je n'ai pas réussi à obtenir ce que vous m'aviez demandé. J'aurais pu récupérer 2 ou 3 pièces d'argent, mais je crois que l'on ne peut pas tromper quelqu'un sur la valeur de cette bague.
- C'est très important ce que tu me dis, mon garçon, rétorqua le professeur en souriant. Tout d'abord, nous devons connaître la vraie valeur de cet anneau. Remonte à cheval et va chez le joaillier. Qui mieux que lui connaîtra sa vraie valeur ? Mais peu importe ce qu'il t'en offrira, ne le vends pas. Reviens ici avec mon anneau.
Le garçon alla trouver le joaillier et lui tendit l'anneau pour qu'il l'examine. Le joaillier le scruta à la loupe, le pesa et lui dit :
- Dis à ton professeur que, s'il veut le vendre aujourd'hui, je ne peux lui donner que 58 pièces d'or.
- 58 pièces d'or !! S'exclama le jeune garçon.
- Oui, répondit le joaillier, et je crois que dans quelque temps, je pourrai lui en offrir 70. Mais si la vente est urgente...
Le garçon courut tout excité chez le professeur pour lui raconter ce qui s'était passé. Le professeur le fit asseoir et, après avoir écouté l'enfant, il lui dit :
- Tu es comme cet anneau d'or, un joyau de grande valeur et unique. Seulement, sa valeur ne peut être reconnue que par un spécialiste. Tu pensais que n'importe qui pouvait découvrir sa vraie valeur ?
Tout en parlant, il remit son anneau à son doigt :
- Nous sommes tous comme ce bijou. D'une très grande valeur et uniques. Et nous allons sur tous les marchés de la vie en espérant que des personnes inexpérimentées reconnaissent notre valeur.
- Professeur, je suis désolé, mais je n'ai pas réussi à obtenir ce que vous m'aviez demandé. J'aurais pu récupérer 2 ou 3 pièces d'argent, mais je crois que l'on ne peut pas tromper quelqu'un sur la valeur de cette bague.
- C'est très important ce que tu me dis, mon garçon, rétorqua le professeur en souriant. Tout d'abord, nous devons connaître la vraie valeur de cet anneau. Remonte à cheval et va chez le joaillier. Qui mieux que lui connaîtra sa vraie valeur ? Mais peu importe ce qu'il t'en offrira, ne le vends pas. Reviens ici avec mon anneau.
Le garçon alla trouver le joaillier et lui tendit l'anneau pour qu'il l'examine. Le joaillier le scruta à la loupe, le pesa et lui dit :
- Dis à ton professeur que, s'il veut le vendre aujourd'hui, je ne peux lui donner que 58 pièces d'or.
- 58 pièces d'or !! S'exclama le jeune garçon.
- Oui, répondit le joaillier, et je crois que dans quelque temps, je pourrai lui en offrir 70. Mais si la vente est urgente...
Le garçon courut tout excité chez le professeur pour lui raconter ce qui s'était passé. Le professeur le fit asseoir et, après avoir écouté l'enfant, il lui dit :
- Tu es comme cet anneau d'or, un joyau de grande valeur et unique. Seulement, sa valeur ne peut être reconnue que par un spécialiste. Tu pensais que n'importe qui pouvait découvrir sa vraie valeur ?
Tout en parlant, il remit son anneau à son doigt :
- Nous sommes tous comme ce bijou. D'une très grande valeur et uniques. Et nous allons sur tous les marchés de la vie en espérant que des personnes inexpérimentées reconnaissent notre valeur.
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Re: ★Beaux Textes★
Belle histoire ! Merci!
On m'a appris qu'il ne fallait jamais se traiter de nul (le) : on a chacun notre valeur !
On m'a appris qu'il ne fallait jamais se traiter de nul (le) : on a chacun notre valeur !
AZUR- Combat avec Sainte Marie
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Localisation : France
Inscription : 12/07/2012
Re: ★Beaux Textes★
Le bâtisseur de ponts
Voici l'histoire de deux frères qui s'aimaient beaucoup et vivaient en parfaite harmonie dans leur ferme jusqu'au jour où un conflit éclata entre eux.
Les deux frères vivaient du travail de leurs champs. Ils cultivaient ensemble et récoltaient ensemble. Ils avaient tout en commun. Tout commença par un malheureux malentendu entre eux. Mais peu à peu, le fossé se creusa jusqu'au jour où il y eut une vive discussion puis un silence douloureux qui dura plusieurs semaines.
Un jour quelqu'un frappa à la porte du frère aîné. C'était un homme à tout faire qui cherchait du travail. Quelques réparations à faire...
- Oui, lui répondit-il, j'ai du travail pour toi. Tu vois, de l'autre côté du ruisseau vit mon frère cadet. Il y a quelques semaines, il m'a offensé gravement et nos rapports se sont brisés. Je vais lui montrer que je peux aussi me venger. Tu vois ces pierres à côté de ma maison ? Je voudrais que tu en construises un mur de deux mètres de haut, car je ne veux plus le voir.
L'homme répondit :
- Je crois que je comprends la situation.
L'homme aida son visiteur à réunir tout le matériel de travail puis il partit en voyage le laissant seul pendant toute une semaine.
Quelques jours plus tard, lorsqu'il revint de la ville, l'homme à tout faire avait déjà terminé son travail. Mais quelle surprise ! Au lieu d'un mur de deux mètres de haut, il y avait un pont. Précisément à ce moment, le frère cadet sortit de sa maison et courut vers son aîné en s'exclamant :
- Tu es vraiment formidable ! Construire un pont alors que nous étions si fâchés ! Je suis fier de toi !
Pendant que les deux frères fêtaient leur réconciliation, l'homme à tout faire ramassa ses outils pour partir.
- Non, attends ! lui dirent-ils. Il y a ici du travail pour toi.
Mais il répondit :
- Je voudrais bien rester, mais j'ai encore d'autres ponts à construire...
Voici l'histoire de deux frères qui s'aimaient beaucoup et vivaient en parfaite harmonie dans leur ferme jusqu'au jour où un conflit éclata entre eux.
Les deux frères vivaient du travail de leurs champs. Ils cultivaient ensemble et récoltaient ensemble. Ils avaient tout en commun. Tout commença par un malheureux malentendu entre eux. Mais peu à peu, le fossé se creusa jusqu'au jour où il y eut une vive discussion puis un silence douloureux qui dura plusieurs semaines.
Un jour quelqu'un frappa à la porte du frère aîné. C'était un homme à tout faire qui cherchait du travail. Quelques réparations à faire...
- Oui, lui répondit-il, j'ai du travail pour toi. Tu vois, de l'autre côté du ruisseau vit mon frère cadet. Il y a quelques semaines, il m'a offensé gravement et nos rapports se sont brisés. Je vais lui montrer que je peux aussi me venger. Tu vois ces pierres à côté de ma maison ? Je voudrais que tu en construises un mur de deux mètres de haut, car je ne veux plus le voir.
L'homme répondit :
- Je crois que je comprends la situation.
L'homme aida son visiteur à réunir tout le matériel de travail puis il partit en voyage le laissant seul pendant toute une semaine.
Quelques jours plus tard, lorsqu'il revint de la ville, l'homme à tout faire avait déjà terminé son travail. Mais quelle surprise ! Au lieu d'un mur de deux mètres de haut, il y avait un pont. Précisément à ce moment, le frère cadet sortit de sa maison et courut vers son aîné en s'exclamant :
- Tu es vraiment formidable ! Construire un pont alors que nous étions si fâchés ! Je suis fier de toi !
Pendant que les deux frères fêtaient leur réconciliation, l'homme à tout faire ramassa ses outils pour partir.
- Non, attends ! lui dirent-ils. Il y a ici du travail pour toi.
Mais il répondit :
- Je voudrais bien rester, mais j'ai encore d'autres ponts à construire...
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Re: ★Beaux Textes★
La trace sur le sable
Une nuit, j'ai fait un rêve.
Je cheminais sur la plage, côte à côte avec le Seigneur.
Nos pas se dessinaient sur le sable, laissant une double empreinte,
la mienne et celle du Seigneur.
L'idée me vint - c'était un songe -
que chacun de nos pas représentait un jour de ma vie.
Je me suis arrêté pour regarder en arrière.
J'ai vu toutes ces traces qui se perdaient au loin.
Mais je remarquai qu'en certains endroits,
au lieu de deux empreintes, il n'y en avait plus qu'une.
J'ai revu le film de ma vie.
O surprise !
Les lieux de l'empreinte unique
correspondaient aux jours les plus sombres
de mon existence.
Jours d'angoisse ou de mauvais vouloir ;
jours d'égoïsme ou de mauvaise humeur ;
jours d'épreuve et de doute ;
jours intenables...
jours où, moi aussi, j'avais été intenable.
Alors, me tournant vers le Seigneur, j'osai lui faire des reproches :
- Tu nous as pourtant promis d'être avec nous tous les jours !
Pourquoi n'as-tu pas tenu ta promesse ?
Une nuit, j'ai fait un rêve.
Je cheminais sur la plage, côte à côte avec le Seigneur.
Nos pas se dessinaient sur le sable, laissant une double empreinte,
la mienne et celle du Seigneur.
L'idée me vint - c'était un songe -
que chacun de nos pas représentait un jour de ma vie.
Je me suis arrêté pour regarder en arrière.
J'ai vu toutes ces traces qui se perdaient au loin.
Mais je remarquai qu'en certains endroits,
au lieu de deux empreintes, il n'y en avait plus qu'une.
J'ai revu le film de ma vie.
O surprise !
Les lieux de l'empreinte unique
correspondaient aux jours les plus sombres
de mon existence.
Jours d'angoisse ou de mauvais vouloir ;
jours d'égoïsme ou de mauvaise humeur ;
jours d'épreuve et de doute ;
jours intenables...
jours où, moi aussi, j'avais été intenable.
Alors, me tournant vers le Seigneur, j'osai lui faire des reproches :
- Tu nous as pourtant promis d'être avec nous tous les jours !
Pourquoi n'as-tu pas tenu ta promesse ?
Pourquoi n'as-tu pas tenu ta promesse ?
Pourquoi m'avoir laissé seul aux pires moments de ma vie ?
Aux jours où j'avais le plus besoin de ta présence ?
Mais le Seigneur m'a répondu :
- Mon ami, les jours où tu ne vois qu'une trace de pas sur le sable,
ce sont les jours où, moi, je t'ai porté.
Pourquoi m'avoir laissé seul aux pires moments de ma vie ?
Aux jours où j'avais le plus besoin de ta présence ?
Mais le Seigneur m'a répondu :
- Mon ami, les jours où tu ne vois qu'une trace de pas sur le sable,
ce sont les jours où, moi, je t'ai porté.
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Marguerite des îles- Avec Saint Maximilien Kolbe
- Messages : 83
Inscription : 13/12/2015
Re: ★Beaux Textes★
@marguerite des îles,
Je suis heureuse que cette Prière vous ait plus.
Dieu est à nos côtés il suffit de le Prier chaque jour afin qu'Il guide nos pas.
Amicalement
Je suis heureuse que cette Prière vous ait plus.
Dieu est à nos côtés il suffit de le Prier chaque jour afin qu'Il guide nos pas.
Amicalement
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Re: ★Beaux Textes★
Quelque soit la question, n'oublie pas : l'Amour est la réponse
Quelque soit la maladie, l’Amour est la réponse.
Quelque soit la douleur, l’Amour est la réponse.
Quelque soit la peur, l’Amour est la réponse.
L’Amour est toujours la réponse, car l’Amour est tout ce qui est.
Toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour.
Adolescent, jeune, vieux, toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour.
Ne pense pas "je souffrirai", ne pense pas "je me tromperai".
Va simplement, allègrement, à la recherche de l’Amour.
Cherche à aimer comme tu peux, à aimer tout ce que tu peux.
Toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour.
Et quand il y a un plein dans ton Amour, emplis le de vie.
Ne pense pas "il en a assez" ; ne pense pas "il en a déjà trop".
Toujours, quand il y a un plein dans ton Amour, emplis le de vie.
N’oublie pas de donner ton Amour et n’arrête jamais.
Alors tu seras aimé.
Quelque soit la maladie, l’Amour est la réponse.
Quelque soit la douleur, l’Amour est la réponse.
Quelque soit la peur, l’Amour est la réponse.
L’Amour est toujours la réponse, car l’Amour est tout ce qui est.
Toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour.
Adolescent, jeune, vieux, toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour.
Ne pense pas "je souffrirai", ne pense pas "je me tromperai".
Va simplement, allègrement, à la recherche de l’Amour.
Cherche à aimer comme tu peux, à aimer tout ce que tu peux.
Toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour.
Et quand il y a un plein dans ton Amour, emplis le de vie.
Ne pense pas "il en a assez" ; ne pense pas "il en a déjà trop".
Toujours, quand il y a un plein dans ton Amour, emplis le de vie.
N’oublie pas de donner ton Amour et n’arrête jamais.
Alors tu seras aimé.
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