★Beaux Textes★
+18
lunareve95
marie-victoire
granny
myrdhin
Sofoyal
Erg74
pax et bonum
M1234
é123
Marguerite des îles
AZUR
florita
Bretagne
lyne
carine
Oïkouméné
doucenuit
namita
22 participants
Page 1 sur 16
Page 1 sur 16 • 1, 2, 3 ... 8 ... 16
★Beaux Textes★
Un Sourire
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup,
Il enrichit ceux qui le reçoivent
Sans appauvrir ceux qui le donnent.
Il ne dure qu'un instant
Mais son souvenir est parfois éternel.
Personne n'est assez riche pour s'en passer,
Personne n'est assez pauvre pour qu'il soit inutile,
Personne n'est assez méprisable pour ne pas le mériter.
Il crée le bonheur au foyer, soutient en affaires et au travail,
Il est le signe sensible de l'amitié.
Un sourire donne du repos à l'être fatigué,
Rend courage aux plus découragés.
Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler
Car il n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne.
Et si quelquefois vous rencontrez une personne
Qui ne sait plus avoir le sourire,
Soyez généreux, donnez-lui le vôtre,
Car nul n'a autant besoin d'un sourire
Que celui qui ne peut en donner aux autres...
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup,
Il enrichit ceux qui le reçoivent
Sans appauvrir ceux qui le donnent.
Il ne dure qu'un instant
Mais son souvenir est parfois éternel.
Personne n'est assez riche pour s'en passer,
Personne n'est assez pauvre pour qu'il soit inutile,
Personne n'est assez méprisable pour ne pas le mériter.
Il crée le bonheur au foyer, soutient en affaires et au travail,
Il est le signe sensible de l'amitié.
Un sourire donne du repos à l'être fatigué,
Rend courage aux plus découragés.
Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler
Car il n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne.
Et si quelquefois vous rencontrez une personne
Qui ne sait plus avoir le sourire,
Soyez généreux, donnez-lui le vôtre,
Car nul n'a autant besoin d'un sourire
Que celui qui ne peut en donner aux autres...
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Un très beau texte...
Le jour où je me suis aimé pour de vrai
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris qu’en toutes circonstances,
j’étais à la bonne place, au bon moment.
Et, alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle,
n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Authenticité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de vouloir une vie différente
et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne,
dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment.
Aujourd'hui, je sais que ça s’appelle Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire,
personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les mégaprojets du futur.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Amour Propre.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime,
quand ça me plaît et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher
à toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd’hui, j’ai découvert l'Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir ,
mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient un allié très précieux.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris qu’en toutes circonstances,
j’étais à la bonne place, au bon moment.
Et, alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle,
n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Authenticité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de vouloir une vie différente
et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne,
dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment.
Aujourd'hui, je sais que ça s’appelle Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire,
personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les mégaprojets du futur.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Amour Propre.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime,
quand ça me plaît et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher
à toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd’hui, j’ai découvert l'Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir ,
mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient un allié très précieux.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Les Yeux de L'âme:
Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.
Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances.
Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits.
Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.
Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.
Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante. Les jours et les semaines passèrent.
Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil.
Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps. Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre.
L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul. Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or tout ce qu'il vit, fut... un mur !
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. "Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager ?", commenta-t-elle.
ÉPILOGUE...
Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves.
La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé.
Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.
Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances.
Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits.
Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.
Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.
Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante. Les jours et les semaines passèrent.
Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil.
Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps. Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre.
L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul. Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or tout ce qu'il vit, fut... un mur !
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. "Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager ?", commenta-t-elle.
ÉPILOGUE...
Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves.
La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé.
Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
et avec ces magnifiques textes
J'avais peur d'être seule, jusqu'à ce que...
J'ai appris à m'aimer moi-même.
J'avais peur de l'échec, jusqu'à ce que...
Je me suis rendu compte que j'échouais si je n'osais pas.
J'avais peur que l'on me repousse, jusqu'à ce que...
J'ai compris que je devais croire en moi-même.
J'avais peur de la douleur, jusqu'à ce que...
J'ai appris qu'elle était nécessaire pour grandir.
J'avais peur de la vérité, jusqu'à ce que...
J'ai découvert la laideur des mensonges.
J'avais peur de la mort, jusqu'à ce que...
J'ai appris qu'elle n'était pas une fin mais un commencement.
J'avais peur de la haine, jusqu'à ce que...
Je me suis rendu compte quelle n'était pas autre chose que de l'ignorance.
J'avais peur du ridicule, jusqu'à ce que...
J'ai appris à rire de moi-même.
J'avais peur de vieillir, jusqu'à ce que...
J'ai compris que je gagnais en sagesse, jour après jour.
J'avais peur de ce que les gens pensaient de moi, jusqu'à ce que...
Je me suis rendu compte que de toute façon ils auraient une opinion de moi.
J'avais peur du passé, jusqu'à ce que...
J'ai compris qu'il ne pouvait plus me blesser.
J'avais peur de l'obscurité, jusqu'à ce que...
J'ai vu la beauté de la lumière d'une étoile.
J'avais peur du changement, jusqu'à ce que...
J'ai vu que même le plus beau papillon devait passer par une métamorphose.
Que nos vies soient chaque jour plus riches, et si nous nous sentons défaillir...
N'oublions pas qu'à la fin, il y a toujours quelque chose de plus et de plus beau
J'avais peur d'être seule, jusqu'à ce que...
J'ai appris à m'aimer moi-même.
J'avais peur de l'échec, jusqu'à ce que...
Je me suis rendu compte que j'échouais si je n'osais pas.
J'avais peur que l'on me repousse, jusqu'à ce que...
J'ai compris que je devais croire en moi-même.
J'avais peur de la douleur, jusqu'à ce que...
J'ai appris qu'elle était nécessaire pour grandir.
J'avais peur de la vérité, jusqu'à ce que...
J'ai découvert la laideur des mensonges.
J'avais peur de la mort, jusqu'à ce que...
J'ai appris qu'elle n'était pas une fin mais un commencement.
J'avais peur de la haine, jusqu'à ce que...
Je me suis rendu compte quelle n'était pas autre chose que de l'ignorance.
J'avais peur du ridicule, jusqu'à ce que...
J'ai appris à rire de moi-même.
J'avais peur de vieillir, jusqu'à ce que...
J'ai compris que je gagnais en sagesse, jour après jour.
J'avais peur de ce que les gens pensaient de moi, jusqu'à ce que...
Je me suis rendu compte que de toute façon ils auraient une opinion de moi.
J'avais peur du passé, jusqu'à ce que...
J'ai compris qu'il ne pouvait plus me blesser.
J'avais peur de l'obscurité, jusqu'à ce que...
J'ai vu la beauté de la lumière d'une étoile.
J'avais peur du changement, jusqu'à ce que...
J'ai vu que même le plus beau papillon devait passer par une métamorphose.
Que nos vies soient chaque jour plus riches, et si nous nous sentons défaillir...
N'oublions pas qu'à la fin, il y a toujours quelque chose de plus et de plus beau
namita- Contre la Franc Maconnerie
- Messages : 340
Age : 68
Localisation : france région aquitaine porte du médoc
Inscription : 06/08/2015
Re: ★Beaux Textes★
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Accorde-moi seulement quelques instants
Accepte ce que je vis, ce que je sens,
Sans réticence, sans jugement.
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Ne me bombarde pas de conseils et d'idées
Ne te crois pas obligé de régler mes difficultés
Manquerais-tu de confiance en mes capacités?
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
N'essaie pas de me distraire ou de m'amuser
Je croirais que tu ne comprends pas
L'importance de ce que je vis en moi
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas
Voudrais-tu que ta moralité
Me fasse crouler de culpabilité?
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Ne te crois pas non plus obligé d'approuver
Si j'ai besoin de me raconter
C'est simplement pour être libéré
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
N'interprète pas et n'essaie pas d'analyser
Je me sentirais incompris et manipulé
Et je ne pourrais plus rien te communiquer
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Ne m'interromps pas pour me questionner
N'essaie pas de forcer mon domaine caché
Je sais jusqu'où je peux et veux aller
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Respecte les silences qui me font cheminer
Garde-toi bien de les briser
C'est par eux bien souvent que je suis éclairé
Alors maintenant que tu m'as bien écouté
Je t'en prie, tu peux parler
Avec tendresse et disponibilité
À mon tour, je t'écouterai
Accorde-moi seulement quelques instants
Accepte ce que je vis, ce que je sens,
Sans réticence, sans jugement.
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Ne me bombarde pas de conseils et d'idées
Ne te crois pas obligé de régler mes difficultés
Manquerais-tu de confiance en mes capacités?
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
N'essaie pas de me distraire ou de m'amuser
Je croirais que tu ne comprends pas
L'importance de ce que je vis en moi
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas
Voudrais-tu que ta moralité
Me fasse crouler de culpabilité?
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Ne te crois pas non plus obligé d'approuver
Si j'ai besoin de me raconter
C'est simplement pour être libéré
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
N'interprète pas et n'essaie pas d'analyser
Je me sentirais incompris et manipulé
Et je ne pourrais plus rien te communiquer
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Ne m'interromps pas pour me questionner
N'essaie pas de forcer mon domaine caché
Je sais jusqu'où je peux et veux aller
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Respecte les silences qui me font cheminer
Garde-toi bien de les briser
C'est par eux bien souvent que je suis éclairé
Alors maintenant que tu m'as bien écouté
Je t'en prie, tu peux parler
Avec tendresse et disponibilité
À mon tour, je t'écouterai
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Le bonheur
On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être marié(e), après avoir eu un enfant et, ensuite, après en avoir eu un autre.
Plus tard, on se sent frustré(e) parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands, on pense que l'on sera mieux quand ils le seront.
Puis, on se frustre parce qu'ils sont adolescents et que c'est une étape difficile à vivre pour nous. On est alors convaincu(e) que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.
On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour notre conjoint(e), quand on possèdera une meilleure voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite...
La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux que le moment présent. Si ce n'est pas maintenant, ce sera quand ?
Ta vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer. Il est préférable de l'admettre
et de décider d'être heureux de toute façon.
Une de mes phrases favorites est d'Alfred D. Souza. Il a dit : "Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer. La Vraie Vie!
Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin,
quelque chose qu'il fallait résoudre en premier ,
un thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer. Et alors là , la vie allait commencer! jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma vie"
Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au bonheur.
Le bonheur est le chemin.
Ainsi, amasse chaque moment que tu as et, plus encore, partage ce moment avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager ton temps, et rappelle-toi que le temps n'attend pas.
Alors, arrête d'attendre…
d’attendre de terminer l'école, qu'on augmente ton salaire, de perdre 10 livres, de te marier, d'avoir des enfants, que tes enfants partent de la maison... ou simplement d ’attendre le vendredi soir, le dimanche matin, ou même le printemps, l'été, l'automne, l'hiver...
...pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment
que maintenant pour être heureux.
Le bonheur est une trajectoire et non une destination. Alors:
Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent,
aime comme si jamais personne ne t'avait fait souffrir.
Et danse comme si personne ne te regardait !!!
Vis, tout simplement...
On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être marié(e), après avoir eu un enfant et, ensuite, après en avoir eu un autre.
Plus tard, on se sent frustré(e) parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands, on pense que l'on sera mieux quand ils le seront.
Puis, on se frustre parce qu'ils sont adolescents et que c'est une étape difficile à vivre pour nous. On est alors convaincu(e) que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.
On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour notre conjoint(e), quand on possèdera une meilleure voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite...
La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux que le moment présent. Si ce n'est pas maintenant, ce sera quand ?
Ta vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer. Il est préférable de l'admettre
et de décider d'être heureux de toute façon.
Une de mes phrases favorites est d'Alfred D. Souza. Il a dit : "Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer. La Vraie Vie!
Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin,
quelque chose qu'il fallait résoudre en premier ,
un thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer. Et alors là , la vie allait commencer! jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma vie"
Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au bonheur.
Le bonheur est le chemin.
Ainsi, amasse chaque moment que tu as et, plus encore, partage ce moment avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager ton temps, et rappelle-toi que le temps n'attend pas.
Alors, arrête d'attendre…
d’attendre de terminer l'école, qu'on augmente ton salaire, de perdre 10 livres, de te marier, d'avoir des enfants, que tes enfants partent de la maison... ou simplement d ’attendre le vendredi soir, le dimanche matin, ou même le printemps, l'été, l'automne, l'hiver...
...pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment
que maintenant pour être heureux.
Le bonheur est une trajectoire et non une destination. Alors:
Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent,
aime comme si jamais personne ne t'avait fait souffrir.
Et danse comme si personne ne te regardait !!!
Vis, tout simplement...
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
le beau texte qui dit "écoute moi" est une bonne leçon à retenir
namita- Contre la Franc Maconnerie
- Messages : 340
Age : 68
Localisation : france région aquitaine porte du médoc
Inscription : 06/08/2015
Re: ★Beaux Textes★
j'aime bien ce texte "le bonheur",c'est tellement vrai et tellement bien dit nous sommes souvent ainsi à attendre de meilleurs lendemains sans prendre conscience du moment présent et de ce que l'on peut en faire,oui "le bonheur est le chemin"..
doucenuit- Combat avec l'Archange Michel
- Messages : 1044
Inscription : 29/05/2015
Re: ★Beaux Textes★
Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage.
« Éclaire-moi sur le Sentier de la Vie », demanda le Prince.
« Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable », répondit le Sage.
« Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t'en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi ».
Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie.
Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire :
«CHANGE LE MONDE ».
« C'était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d'autres ne me conviennent pas ».
Et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l’ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent.
Bien des années passèrent. Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande :
« Qu'as-tu appris sur le chemin ? »
« J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas ».
« C'est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise ».
Et il disparut.
Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire:
« CHANGE LES AUTRES ».
« C'était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de
plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume et de frustration ».
Et il s'insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat. Bien des années passèrent.
Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :
« Qu'as-tu appris sur le chemin ? »
« J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n'en sont que le révélateur ou l'occasion. C'est en moi que prennent racine toutes ces choses ».
« Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Soit reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir ».
Et le Vieil Homme disparut.
Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots
« CHANGE-TOI TOI-MEME ».
« Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c'est bien ce qu’il me reste à faire », se dit-il.
Et il entama son troisième combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal. Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda :
« Qu'as-tu appris sur le chemin ? »
« J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser ».
« C'est bien », dit le Sage.
« Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de ma battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais? Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise ».
« C'est justement ton prochain apprentissage », dit le Vieux Sage. « Mais avant d'aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru ».
Et il disparut.
Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la troisième porte et s'aperçut qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait
« ACCEPTE-TOI TOI-MEME ».
Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi la porte la première fois, dans l'autre sens.
« Quand on combat on devient aveugle », se dit-il.
Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer.
Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :
« Qu'as-tu appris sur le chemin ? »
« J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c'est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même.
J'ai appris à m'accepter moi-même, totalement, inconditionnellement ».
« C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse.
Maintenant tu peux repasser la troisième porte ».
A peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut :
« ACCEPTE LES AUTRES ».
Tout autour de lui il reconnut les personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu'il avait aimées comme celles qu'il avait détestées.
Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement gêné et contre quoi il s'était battu. Il rencontra à nouveau le Vieux Sage.
« Qu'as-tu appris sur le chemin ? » demanda ce dernier.
« J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en accord avec moi-même, je n'avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux. J'ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement. »
« C'est bien », dit le Vieux Sage. « C'est la seconde Sagesse. Tu peux
franchir à nouveau la deuxième porte ».
Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut :
« ACCEPTE LE MONDE ».
Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette inscription la première fois. Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur perfection. C'était pourtant le même monde qu'autrefois. Était-ce le monde qui avait changé ou son regard? Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :
« Qu'as-tu appris sur le chemin ? »
« J'ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai. Il est là ; il existe ; c'est tout. Ce n'était pas le monde qui me troublait, mais l'idée que je m'en faisais. J'ai appris à accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement ».
« C'est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde ».
Un profond sentiment de paix, de sérénité, de plénitude envahit le Prince. Le Silence l'habita.
« Tu es prêt, maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage du silence de la plénitude à la Plénitude du Silence ».
Et le Vieil Homme disparut.
"Le Sentier de La Vie"« Éclaire-moi sur le Sentier de la Vie », demanda le Prince.
« Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable », répondit le Sage.
« Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t'en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi ».
Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie.
Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire :
«CHANGE LE MONDE ».
« C'était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d'autres ne me conviennent pas ».
Et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l’ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent.
Bien des années passèrent. Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande :
« Qu'as-tu appris sur le chemin ? »
« J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas ».
« C'est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise ».
Et il disparut.
Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire:
« CHANGE LES AUTRES ».
« C'était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de
plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume et de frustration ».
Et il s'insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat. Bien des années passèrent.
Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :
« Qu'as-tu appris sur le chemin ? »
« J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n'en sont que le révélateur ou l'occasion. C'est en moi que prennent racine toutes ces choses ».
« Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Soit reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir ».
Et le Vieil Homme disparut.
Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots
« CHANGE-TOI TOI-MEME ».
« Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c'est bien ce qu’il me reste à faire », se dit-il.
Et il entama son troisième combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal. Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda :
« Qu'as-tu appris sur le chemin ? »
« J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser ».
« C'est bien », dit le Sage.
« Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de ma battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais? Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise ».
« C'est justement ton prochain apprentissage », dit le Vieux Sage. « Mais avant d'aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru ».
Et il disparut.
Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la troisième porte et s'aperçut qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait
« ACCEPTE-TOI TOI-MEME ».
Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi la porte la première fois, dans l'autre sens.
« Quand on combat on devient aveugle », se dit-il.
Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer.
Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :
« Qu'as-tu appris sur le chemin ? »
« J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c'est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même.
J'ai appris à m'accepter moi-même, totalement, inconditionnellement ».
« C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse.
Maintenant tu peux repasser la troisième porte ».
A peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut :
« ACCEPTE LES AUTRES ».
Tout autour de lui il reconnut les personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu'il avait aimées comme celles qu'il avait détestées.
Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement gêné et contre quoi il s'était battu. Il rencontra à nouveau le Vieux Sage.
« Qu'as-tu appris sur le chemin ? » demanda ce dernier.
« J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en accord avec moi-même, je n'avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux. J'ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement. »
« C'est bien », dit le Vieux Sage. « C'est la seconde Sagesse. Tu peux
franchir à nouveau la deuxième porte ».
Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut :
« ACCEPTE LE MONDE ».
Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette inscription la première fois. Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur perfection. C'était pourtant le même monde qu'autrefois. Était-ce le monde qui avait changé ou son regard? Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :
« Qu'as-tu appris sur le chemin ? »
« J'ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai. Il est là ; il existe ; c'est tout. Ce n'était pas le monde qui me troublait, mais l'idée que je m'en faisais. J'ai appris à accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement ».
« C'est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde ».
Un profond sentiment de paix, de sérénité, de plénitude envahit le Prince. Le Silence l'habita.
« Tu es prêt, maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage du silence de la plénitude à la Plénitude du Silence ».
Et le Vieil Homme disparut.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Les Mains d'une Grand-Mère
Une grand-mère, ayant plus de 90 ans, était assise, l'air affaiblie sur le banc du patio. Elle ne bougeait pas, seulement assise, la tête vers le bas, fixant ses mains.
Quand je me suis assise auprès d'elle, elle ne bougea pas, aucune réaction ! Je ne voulais pas la déranger, mais après un long moment de silence, je me suis informée si elle était correcte.
Elle leva la tête et me sourit.
« Oui je suis correcte, merci de t'en informer » dit-elle de sa voix forte et claire.
« Je ne voulais pas vous déranger, madame, mais vous étiez assise là, fixant vos mains et je voulais savoir si tout était correct pour vous » lui ai-je dit.
« A-tu déjà regardé tes mains? » me dit-elle. « Je veux dire vraiment regardé tes mains? »
Alors j'ai ouvert lentement mes mains et les ai fixées, les ai retournées, m'en suis frotté les paumes.
« Non, je pense que je n'ai jamais vraiment regardé mes mains » lui dis-je et je me demandais ce qu'elle voulait dire.
La vieille dame me sourit et me raconta cette histoire :
« Arrête-toi et réfléchis un peu au sujet des mains que tu as, comment elles t'ont si bien servi depuis ta naissance. »
"Mes mains, ridées, desséchées et affaiblies ont été les outils que j'ai toujours utilisés pour étreindre la vie.
Elles m'ont permis de m'agripper et d'éviter de tomber quand je trottinais lorsque j'étais enfant.
Elles ont porté la nourriture à ma bouche et m'ont permis de m'habiller.
Lorsque j'étais enfant, ma mère m'a montré à les joindre pour prier.
Elles ont attaché mes souliers et mes bottes.
Elles ont touché mon mari et essuyé mes larmes quand il est parti à la guerre.
Elles ont été sales, coupées, rugueuses et enflées.
Décorées avec ma bague de mariage, elles ont montré au monde que j'aimais quelqu'un d'unique et spécial.
Elles ont été maladroites quand j'ai tenté de tenir mon premier enfant.
Elles ont écrit les lettres à mon époux, et ont tremblé quand je l'ai enterré.
Elles ont tenu mes enfants, ensuite mes petits-enfants, consolé les voisins et tremblaient de rage quand je ne comprenais pas.
Elles ont couvert ma figure, peigné mes cheveux et lavé mon corps.
Elles ont été collantes et humides, sèches et rugueuses.
Aujourd'hui, comme rien ne marche vraiment plus comme avant pour moi, ces mains continuent de me soutenir et je les joins encore pour prier.
Ces mains portent la marque de ce que j'ai fait et des accidents de ma vie.
Mais le plus important est que ce seront ces même mains que Dieu attrapera pour m'amener avec lui dans son Paradis.
Avec elles, Il m'élèvera à ses cotés. Et là, je pourrai les utiliser pour toucher Sa face sacrée."
Pensive, je regardais ses mains et les miennes.
Je ne les verrai jamais plus du même œil.
Plus tard, Dieu tendit ses mains et attira la vieille dame à lui.
Quand je me blesse les mains, quand elles sont sensibles, ou quand je caresse le visage d'enfants ou celui de mes amants, je pense à cette dame. Je sais qu'elle a été soutenue par les mains de Dieu. Et je veux, moi aussi, un jour, toucher la face de Dieu et sentir Ses mains sur mon visage.
Quand je me suis assise auprès d'elle, elle ne bougea pas, aucune réaction ! Je ne voulais pas la déranger, mais après un long moment de silence, je me suis informée si elle était correcte.
Elle leva la tête et me sourit.
« Oui je suis correcte, merci de t'en informer » dit-elle de sa voix forte et claire.
« Je ne voulais pas vous déranger, madame, mais vous étiez assise là, fixant vos mains et je voulais savoir si tout était correct pour vous » lui ai-je dit.
« A-tu déjà regardé tes mains? » me dit-elle. « Je veux dire vraiment regardé tes mains? »
Alors j'ai ouvert lentement mes mains et les ai fixées, les ai retournées, m'en suis frotté les paumes.
« Non, je pense que je n'ai jamais vraiment regardé mes mains » lui dis-je et je me demandais ce qu'elle voulait dire.
La vieille dame me sourit et me raconta cette histoire :
« Arrête-toi et réfléchis un peu au sujet des mains que tu as, comment elles t'ont si bien servi depuis ta naissance. »
"Mes mains, ridées, desséchées et affaiblies ont été les outils que j'ai toujours utilisés pour étreindre la vie.
Elles m'ont permis de m'agripper et d'éviter de tomber quand je trottinais lorsque j'étais enfant.
Elles ont porté la nourriture à ma bouche et m'ont permis de m'habiller.
Lorsque j'étais enfant, ma mère m'a montré à les joindre pour prier.
Elles ont attaché mes souliers et mes bottes.
Elles ont touché mon mari et essuyé mes larmes quand il est parti à la guerre.
Elles ont été sales, coupées, rugueuses et enflées.
Décorées avec ma bague de mariage, elles ont montré au monde que j'aimais quelqu'un d'unique et spécial.
Elles ont été maladroites quand j'ai tenté de tenir mon premier enfant.
Elles ont écrit les lettres à mon époux, et ont tremblé quand je l'ai enterré.
Elles ont tenu mes enfants, ensuite mes petits-enfants, consolé les voisins et tremblaient de rage quand je ne comprenais pas.
Elles ont couvert ma figure, peigné mes cheveux et lavé mon corps.
Elles ont été collantes et humides, sèches et rugueuses.
Aujourd'hui, comme rien ne marche vraiment plus comme avant pour moi, ces mains continuent de me soutenir et je les joins encore pour prier.
Ces mains portent la marque de ce que j'ai fait et des accidents de ma vie.
Mais le plus important est que ce seront ces même mains que Dieu attrapera pour m'amener avec lui dans son Paradis.
Avec elles, Il m'élèvera à ses cotés. Et là, je pourrai les utiliser pour toucher Sa face sacrée."
Pensive, je regardais ses mains et les miennes.
Je ne les verrai jamais plus du même œil.
Plus tard, Dieu tendit ses mains et attira la vieille dame à lui.
Quand je me blesse les mains, quand elles sont sensibles, ou quand je caresse le visage d'enfants ou celui de mes amants, je pense à cette dame. Je sais qu'elle a été soutenue par les mains de Dieu. Et je veux, moi aussi, un jour, toucher la face de Dieu et sentir Ses mains sur mon visage.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
bien souvent on pense que femme qui pleure fait preuve de faiblesse de caractère, femme qui ne sait pas se battre
Larmes de femme
Un petit garçon demanda à sa mère :
- Pourquoi pleures-tu ?
- Parce que je suis une femme, lui répondit-elle.
- Je ne comprends pas, dit-il.
Sa mère le prit dans ses bras et lui dit :
- Et jamais tu ne comprendras.
Plus tard le petit garçon demanda à son père :
- Pourquoi maman pleure-t-elle ? Je ne comprends pas !
- Toutes les femmes pleurent sans raison, fut tout ce que son père put lui dire.
Devenu adulte, il demanda à Dieu :
- Seigneur, pourquoi les femmes pleurent-elles aussi facilement ?
Et Dieu répondit :
- Quand j'ai fait la femme, elle devait être spéciale. J'ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde ; et assez douces pour être confortables.
Je lui ai donné la force de donner la vie, et celle d'accepter le rejet qui vient souvent de ses enfants.
Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne, et celle de prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue.
Je lui ai donne la sensibilité pour aimer ses enfants d'un amour inconditionnel, même quand ces derniers l'ont blessée durement.
Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts et de demeurer à ses côtés sans faiblir.
Et finalement je lui ai donné des larmes à verser quand elle en ressent le besoin.
Tu vois mon fils, la beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer les cheveux.
La beauté d'une femme réside dans ses yeux. car c'est la porte d'entrée de son coeur - le lieu où réside l'amour. Et c'est souvent par ses larmes que tu vois passer son coeur.
Toutes les femmes sont belles, et nous devons les encourager à s'aimer telles qu'elles sont et à avoir une juste estime d'elles-mêmes.
Larmes de femme
Un petit garçon demanda à sa mère :
- Pourquoi pleures-tu ?
- Parce que je suis une femme, lui répondit-elle.
- Je ne comprends pas, dit-il.
Sa mère le prit dans ses bras et lui dit :
- Et jamais tu ne comprendras.
Plus tard le petit garçon demanda à son père :
- Pourquoi maman pleure-t-elle ? Je ne comprends pas !
- Toutes les femmes pleurent sans raison, fut tout ce que son père put lui dire.
Devenu adulte, il demanda à Dieu :
- Seigneur, pourquoi les femmes pleurent-elles aussi facilement ?
Et Dieu répondit :
- Quand j'ai fait la femme, elle devait être spéciale. J'ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde ; et assez douces pour être confortables.
Je lui ai donné la force de donner la vie, et celle d'accepter le rejet qui vient souvent de ses enfants.
Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne, et celle de prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue.
Je lui ai donne la sensibilité pour aimer ses enfants d'un amour inconditionnel, même quand ces derniers l'ont blessée durement.
Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts et de demeurer à ses côtés sans faiblir.
Et finalement je lui ai donné des larmes à verser quand elle en ressent le besoin.
Tu vois mon fils, la beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer les cheveux.
La beauté d'une femme réside dans ses yeux. car c'est la porte d'entrée de son coeur - le lieu où réside l'amour. Et c'est souvent par ses larmes que tu vois passer son coeur.
Toutes les femmes sont belles, et nous devons les encourager à s'aimer telles qu'elles sont et à avoir une juste estime d'elles-mêmes.
namita- Contre la Franc Maconnerie
- Messages : 340
Age : 68
Localisation : france région aquitaine porte du médoc
Inscription : 06/08/2015
Re: ★Beaux Textes★
Seigneur,
Apprends-moi la douceur,
cette vertu aimable dans les peines
comme dans les joies,
dans l'amitié blessée
comme dans la fidélité heureuse.
Ouvre-moi les yeux,
Ouvre-moi le coeur,
pour que je puisse voir et aimer
tous ceux et celles, que je rencontre,
et qui auraient besoin
de mon amitié, de mon sourire.
Inspire-moi la douce parole
qui ranime, qui relève, qui console
qui encourage, qui fortifie.
Aide-moi à fermer les yeux
devant toutes ingratitude,
à donner sans recevoir,
à m'oublier moi-même
pour ne penser qu'au bonheur des autres,
à garder pour moi mes chagrins
et mes soucis pour ne pas en faire un fardeau pour autrui.
Apprends-moi la bienveillance qui voit le bien avant tout,
la patience qui sait attendre et pardonner,
la prévenance attentive qui court au-devant
des désirs et devance les demandes.
Fais que mon influence entraîne
à la vérité, à la bonté et à la beauté,
ceux et celles qui font route avec moi sur le chemin.
Que ma vie, unie à la tienne, témoigne de ton bonheur.
Apprends-moi la douceur,
cette vertu aimable dans les peines
comme dans les joies,
dans l'amitié blessée
comme dans la fidélité heureuse.
Ouvre-moi les yeux,
Ouvre-moi le coeur,
pour que je puisse voir et aimer
tous ceux et celles, que je rencontre,
et qui auraient besoin
de mon amitié, de mon sourire.
Inspire-moi la douce parole
qui ranime, qui relève, qui console
qui encourage, qui fortifie.
Aide-moi à fermer les yeux
devant toutes ingratitude,
à donner sans recevoir,
à m'oublier moi-même
pour ne penser qu'au bonheur des autres,
à garder pour moi mes chagrins
et mes soucis pour ne pas en faire un fardeau pour autrui.
Apprends-moi la bienveillance qui voit le bien avant tout,
la patience qui sait attendre et pardonner,
la prévenance attentive qui court au-devant
des désirs et devance les demandes.
Fais que mon influence entraîne
à la vérité, à la bonté et à la beauté,
ceux et celles qui font route avec moi sur le chemin.
Que ma vie, unie à la tienne, témoigne de ton bonheur.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Un homme et son chien marchaient le long d'une route. L'homme admirait le paysage quand tout à coup il réalisa qu'il était mort. Il se rappela sa mort et réalisa que son chien aussi était mort depuis des années. Il se demandait où le chemin les amènerait.
Après un moment, ils approchèrent d'une grosse roche blanche. Elle ressemblait à une bille. Rendu au sommet, il vit qu'elle était fendue et qu'une lumière en jaillissait.
Quand il s'approcha, il vit une route en or pur et une magnifique entrée. L'homme et son chien marchèrent jusqu'à la porte. Au fur et à mesure qu'ils approchaient, l'homme vit un autre homme assis à une table. Quand il fut assez proche, il demanda à l'homme :
"Où sommes-nous?"
-"Vous êtes au paradis monsieur"
-"Wow! Est-ce que vous auriez de l'eau?"
-"Bien sûr! Entrez, je vais vous faire venir de l'eau froide dans un instant."
L'homme fit quelques gestes et la porte ouvrit.
-"Est-ce que mon chien peut entrer?" demanda-t-il en pointant le chien.
-"Désolé monsieur, mais nous n'acceptons pas les animaux." L'homme réfléchit et décida de reprendre le chemin.
Après une longue marche, au sommet d'une colline, il croisa une route de terre qui le mena à une porte de grange qui avait l'air de n'avoir jamais été fermée. Il n'y avait pas de clôture. Alors qu'il s'approchait, il vit un homme appuyé sur un arbre qui lisait un livre.
-«Excusez moi monsieur, est-ce que vous avez de l'eau?
-"Bien sûr, il y a une pompe un peu plus loin."
Il pointa plus loin mais on ne voyait rien.
-"Venez à l'intérieur , je vous la montre"
-"Est-ce que mon ami peut venir?
-"Bien sûr, il doit y avoir un bol près de la pompe"
Ils traversèrent la porte et virent une vieille pompe avec un bol à ses côtés. L'homme rempli le bol, prit une gorgée et donna le reste au chien. Quand ils eurent fini, ils retournèrent voir l'homme qui était toujours près de l'arbre.
-"Comment appelez-vous cet endroit?"
-"Mais c'est le paradis"
-"C'est mêlant. L'homme que nous avons rencontré un peu plus tôt a dit la même chose.
"-"Ah! Vous parlez du chemin en or et de la porte en perle? Non, ça c'est l'enfer"
-"Mais ça ne vous fâche pas qu'ils utilisent votre nom comme ça?"
-"Non, mais je comprends que vous me posiez la question. Nous sommes seulement contents qu'ils attirent les gens qui laissent leurs amis derrière."
Parfois on se demande pourquoi nos amis continuent de nous envoyer des blagues sans nous écrire un petit mot.
Peut-être que ceci peut l'expliquer:
-"Quand je suis très occupé, mais que je veux quand même garder contact, devines ce que je fais, je t'envoie des blagues."
-"Quand j'ai rien à dire, mais que je veux quand même garder le contact, je transfère des blagues."
-"Quand j'ai quelque chose à dire, mais que je ne sais pas quoi et je ne sais pas comment, j'envoie des blagues."
-"Et pour te laisser savoir que je ne t'oublie pas, que tu es encore important, que tu es encore aimé et apprécié, bien… qu'est-ce que tu reçois? "
-"Une blague de ma part."
-"Alors mon ami(e), la prochaine fois que tu reçois une blague, ne pense pas que c'est seulement une blague, mais plutôt, que j'ai pensé à toi aujourd'hui et que je voulais t'envoyer un sourire."
Vive l'Internet, c'est vrai que ça nous permet de garder le contact même lorsque nous sommes très occupés. Ça nous permet de dire aux amis(es), -"Regarde, je ne t'ai pas oublié".
Après un moment, ils approchèrent d'une grosse roche blanche. Elle ressemblait à une bille. Rendu au sommet, il vit qu'elle était fendue et qu'une lumière en jaillissait.
Quand il s'approcha, il vit une route en or pur et une magnifique entrée. L'homme et son chien marchèrent jusqu'à la porte. Au fur et à mesure qu'ils approchaient, l'homme vit un autre homme assis à une table. Quand il fut assez proche, il demanda à l'homme :
"Où sommes-nous?"
-"Vous êtes au paradis monsieur"
-"Wow! Est-ce que vous auriez de l'eau?"
-"Bien sûr! Entrez, je vais vous faire venir de l'eau froide dans un instant."
L'homme fit quelques gestes et la porte ouvrit.
-"Est-ce que mon chien peut entrer?" demanda-t-il en pointant le chien.
-"Désolé monsieur, mais nous n'acceptons pas les animaux." L'homme réfléchit et décida de reprendre le chemin.
Après une longue marche, au sommet d'une colline, il croisa une route de terre qui le mena à une porte de grange qui avait l'air de n'avoir jamais été fermée. Il n'y avait pas de clôture. Alors qu'il s'approchait, il vit un homme appuyé sur un arbre qui lisait un livre.
-«Excusez moi monsieur, est-ce que vous avez de l'eau?
-"Bien sûr, il y a une pompe un peu plus loin."
Il pointa plus loin mais on ne voyait rien.
-"Venez à l'intérieur , je vous la montre"
-"Est-ce que mon ami peut venir?
-"Bien sûr, il doit y avoir un bol près de la pompe"
Ils traversèrent la porte et virent une vieille pompe avec un bol à ses côtés. L'homme rempli le bol, prit une gorgée et donna le reste au chien. Quand ils eurent fini, ils retournèrent voir l'homme qui était toujours près de l'arbre.
-"Comment appelez-vous cet endroit?"
-"Mais c'est le paradis"
-"C'est mêlant. L'homme que nous avons rencontré un peu plus tôt a dit la même chose.
"-"Ah! Vous parlez du chemin en or et de la porte en perle? Non, ça c'est l'enfer"
-"Mais ça ne vous fâche pas qu'ils utilisent votre nom comme ça?"
-"Non, mais je comprends que vous me posiez la question. Nous sommes seulement contents qu'ils attirent les gens qui laissent leurs amis derrière."
Parfois on se demande pourquoi nos amis continuent de nous envoyer des blagues sans nous écrire un petit mot.
Peut-être que ceci peut l'expliquer:
-"Quand je suis très occupé, mais que je veux quand même garder contact, devines ce que je fais, je t'envoie des blagues."
-"Quand j'ai rien à dire, mais que je veux quand même garder le contact, je transfère des blagues."
-"Quand j'ai quelque chose à dire, mais que je ne sais pas quoi et je ne sais pas comment, j'envoie des blagues."
-"Et pour te laisser savoir que je ne t'oublie pas, que tu es encore important, que tu es encore aimé et apprécié, bien… qu'est-ce que tu reçois? "
-"Une blague de ma part."
-"Alors mon ami(e), la prochaine fois que tu reçois une blague, ne pense pas que c'est seulement une blague, mais plutôt, que j'ai pensé à toi aujourd'hui et que je voulais t'envoyer un sourire."
Vive l'Internet, c'est vrai que ça nous permet de garder le contact même lorsque nous sommes très occupés. Ça nous permet de dire aux amis(es), -"Regarde, je ne t'ai pas oublié".
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Un monde meilleur
Il y a des moments dans la vie
où la présence de l'autre nous manque tellement
qu'on espère sans cesse sa présence
Rêve à ce qui te fait plaisir
va où tu veux aller
sois où tu aimerais être
parce que tu as seulement une vie pour faire ce que tu veux
Que sur ton chemin tu trouves...
suffisamment de bonheur pour rester douce
suffisamment d'épreuves pour devenir force
suffisamment de peine pour rester humaine
suffisamment d'espoir pour être heureuse
Les personnes plus heureuses
n'ont pas nécessairement le meilleur de tout ;
simplement, elles exploitent au maximum
tout ce qui se trouve sur leur route
Le bonheur attend...
ceux qui pleurent, ceux qui souffrent,
ceux qui cherchent, ceux qui se dévouent,
ceux qui s'aiment...
parce que seules ces personnes peuvent apprécier l'importance de ces choses
qui laissent des traces dans la vie
Oublie le passé,
abandonne derrière toi tes erreurs et tes peines,
l'amour naît avec un sourire et grandit avec un baiser
Ce message est destiné à toutes les personnes qui signifient quelque chose pour moi
à celles qui ont marqué ma vie d'une façon ou d'une autre...
à celles qui m'ont fait sourire quand j'en avais le plus besoin...
à celles qui m'ont fait voir le bon côté des choses quand je voyais seulement le pire...
à toutes celles à qui je veux dire combien j'apprécie leurs amitiés
Il y a des moments dans la vie
où la présence de l'autre nous manque tellement
qu'on espère sans cesse sa présence
Rêve à ce qui te fait plaisir
va où tu veux aller
sois où tu aimerais être
parce que tu as seulement une vie pour faire ce que tu veux
Que sur ton chemin tu trouves...
suffisamment de bonheur pour rester douce
suffisamment d'épreuves pour devenir force
suffisamment de peine pour rester humaine
suffisamment d'espoir pour être heureuse
Les personnes plus heureuses
n'ont pas nécessairement le meilleur de tout ;
simplement, elles exploitent au maximum
tout ce qui se trouve sur leur route
Le bonheur attend...
ceux qui pleurent, ceux qui souffrent,
ceux qui cherchent, ceux qui se dévouent,
ceux qui s'aiment...
parce que seules ces personnes peuvent apprécier l'importance de ces choses
qui laissent des traces dans la vie
Oublie le passé,
abandonne derrière toi tes erreurs et tes peines,
l'amour naît avec un sourire et grandit avec un baiser
Ce message est destiné à toutes les personnes qui signifient quelque chose pour moi
à celles qui ont marqué ma vie d'une façon ou d'une autre...
à celles qui m'ont fait sourire quand j'en avais le plus besoin...
à celles qui m'ont fait voir le bon côté des choses quand je voyais seulement le pire...
à toutes celles à qui je veux dire combien j'apprécie leurs amitiés
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Les sept merveilles du monde
Un professeur demanda à un groupe d’étudiants :
- Faites-moi une liste de ce que vous considérez être les sept merveilles du monde actuel.
Certains pensèrent à citer l'Everest, Venise, La Mecque, le château de Versailles, le Kremlin, l'île de Pâques, les gratte-ciel, la Tour Eiffel, les chutes du Niagara, la banquise, la forêt amazonienne, la conquête spatiale...
Malgré quelques désaccords, la majorité d’entre eux firent les réponses suivantes (sans ordre particulier) :
Les Pyramides d’Egypte
Le Taj Mahal
La Grande Muraille de Chine
Rome et la basilique Saint Pierre
Le Grand Canyon
Les chutes du Zambèze
Les lignes de Nazca
Alors qu'il ramassait les réponses, le professeur se rendit compte qu'une élève n'avait pas encore remis sa feuille. Il lui demanda si elle éprouvait de la difficulté à terminer sa liste. L'élève lui répondit :
- Oui, un peu. Je n'arrive pas à me décider car il y a tellement de merveilles dans le monde.
Le professeur lui répondit :
- Hé bien, dis-nous ce que tu as trouvé et peut-être que nous pourrons t'aider...
La jeune fille hésita, puis dit :
- Je crois que les sept merveilles du monde sont :
la vue
l'écoute
le toucher
le goût
le sourire
les émotions
l'amour
La classe resta silencieuse.
Ces choses sont tellement simples et ordinaires que nous oublions à quel point elles sont merveilleuses !
Souvenez-vous que les choses les plus précieuses de la vie ne peuvent s'acheter.
Un professeur demanda à un groupe d’étudiants :
- Faites-moi une liste de ce que vous considérez être les sept merveilles du monde actuel.
Certains pensèrent à citer l'Everest, Venise, La Mecque, le château de Versailles, le Kremlin, l'île de Pâques, les gratte-ciel, la Tour Eiffel, les chutes du Niagara, la banquise, la forêt amazonienne, la conquête spatiale...
Malgré quelques désaccords, la majorité d’entre eux firent les réponses suivantes (sans ordre particulier) :
Les Pyramides d’Egypte
Le Taj Mahal
La Grande Muraille de Chine
Rome et la basilique Saint Pierre
Le Grand Canyon
Les chutes du Zambèze
Les lignes de Nazca
Alors qu'il ramassait les réponses, le professeur se rendit compte qu'une élève n'avait pas encore remis sa feuille. Il lui demanda si elle éprouvait de la difficulté à terminer sa liste. L'élève lui répondit :
- Oui, un peu. Je n'arrive pas à me décider car il y a tellement de merveilles dans le monde.
Le professeur lui répondit :
- Hé bien, dis-nous ce que tu as trouvé et peut-être que nous pourrons t'aider...
La jeune fille hésita, puis dit :
- Je crois que les sept merveilles du monde sont :
la vue
l'écoute
le toucher
le goût
le sourire
les émotions
l'amour
La classe resta silencieuse.
Ces choses sont tellement simples et ordinaires que nous oublions à quel point elles sont merveilleuses !
Souvenez-vous que les choses les plus précieuses de la vie ne peuvent s'acheter.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Gros cailloux
Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière".
Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".
De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous répondirent : "Oui".
Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " répondit le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non !". "Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?".
Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire".
"Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.
Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santé ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "Réaliser vos rêves ?", "Faire ce que vous aimez ?",
Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière".
Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".
De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous répondirent : "Oui".
Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " répondit le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non !". "Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?".
Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire".
"Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.
Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santé ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "Réaliser vos rêves ?", "Faire ce que vous aimez ?",
"Apprendre ?", "Défendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?".
"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.
Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)".
D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle
"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.
Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)".
D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Ralentis ton rythme !
As-tu déjà observé les enfants jouer sur un carrousel
ou écouter la pluie tomber sur le toit ?
Déjà suivi un papillon volant gaiement
ou bien admiré un coucher de soleil ?
Tu devrais t'y arrêter.
Ne danse pas trop vite
car la vie est courte.
La musique ne dure pas éternellement.
Est-ce que tu cours
toute la journée, toujours pressé ?
Lorsque tu demandes "Comment ça va ?",
est-ce que tu prends le temps d'écouter la réponse ?
Lorsque la journée est terminée,
est-ce que tu t'étends dans ton lit
avec 100.000 choses à faire qui courent dans ta ête ?
Tu devrais ralentir.
As-tu déjà dis à ton enfant :
"Nous le ferons demain" et le remettre au surlendemain ?
Déjà perdu contact avec un ami, laisser une amitié mourir
parce que tu n'avais jamais le temps d'appeler pour dire bonjour
Tu ferais mieux de ralentir,
ne danse pas trop vite
car la musique cessera un jour.
La vie est si courte.
As-tu déjà observé les enfants jouer sur un carrousel
ou écouter la pluie tomber sur le toit ?
Déjà suivi un papillon volant gaiement
ou bien admiré un coucher de soleil ?
Tu devrais t'y arrêter.
Ne danse pas trop vite
car la vie est courte.
La musique ne dure pas éternellement.
Est-ce que tu cours
toute la journée, toujours pressé ?
Lorsque tu demandes "Comment ça va ?",
est-ce que tu prends le temps d'écouter la réponse ?
Lorsque la journée est terminée,
est-ce que tu t'étends dans ton lit
avec 100.000 choses à faire qui courent dans ta ête ?
Tu devrais ralentir.
As-tu déjà dis à ton enfant :
"Nous le ferons demain" et le remettre au surlendemain ?
Déjà perdu contact avec un ami, laisser une amitié mourir
parce que tu n'avais jamais le temps d'appeler pour dire bonjour
Tu ferais mieux de ralentir,
ne danse pas trop vite
car la musique cessera un jour.
La vie est si courte.
Lorsque tu cours si vite pour te rendre quelque part,
tu manques la moitié du plaisir d'y être.
Lorsque tu t'inquiètes et te fais du souci toute la journée,
c'est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais.
La vie n'est pas une course,
tu dois ralentir ton rythme,
prends le temps d'écouter la musique
avant que la chanson ne soit terminée.
tu manques la moitié du plaisir d'y être.
Lorsque tu t'inquiètes et te fais du souci toute la journée,
c'est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais.
La vie n'est pas une course,
tu dois ralentir ton rythme,
prends le temps d'écouter la musique
avant que la chanson ne soit terminée.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Toussaint.
Les "saints" que j'honore et que je propose d'associer aux souvenirs des vôtres, n'ont pas de visage, pas de nom inscrit sur une stèle ou au Panthéon.
De convictions diverses, religieuse ou athée, ils ont leur sang et leur chair mêlés à la terre que l'on cultive et qui nous nourrit chaque jour.
Dans l'abnégation, la solidarité sans haine, de multiples souffrances et le souci du travail bien fait, ils ont tout construit de ce monde, dans l'espoir de nous permettre de mieux vivre.
Les "saints" que j'honore et que je propose d'associer aux souvenirs des vôtres, n'ont pas de visage, pas de nom inscrit sur une stèle ou au Panthéon.
De convictions diverses, religieuse ou athée, ils ont leur sang et leur chair mêlés à la terre que l'on cultive et qui nous nourrit chaque jour.
Dans l'abnégation, la solidarité sans haine, de multiples souffrances et le souci du travail bien fait, ils ont tout construit de ce monde, dans l'espoir de nous permettre de mieux vivre.
Je ne les oublie pas, comme un grand nombre de personnes qui donnent encore dans cette société la priorité à l'humain.
Peut-être, vous aussi, en silence, avez-vous envie d'associer leur "mémoire" au souvenir des vôtres.
Merci pour eux.
Peut-être, vous aussi, en silence, avez-vous envie d'associer leur "mémoire" au souvenir des vôtres.
Merci pour eux.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Prière de celui qui soigne
Je t'offre, mon Dieu, mon regard et mes bras.
Je t'offre mes mains pour soigner la souffrance.
Je t'offre mon expérience et quel qu'en soit le prix
je t'offre mes efforts et ma persévérance.
Donne-moi d'écouter celui qui vient me voir,
celui qui me demande de le réconforter.
Donne-moi d'écouter sans relâche.
Donne-moi de soigner celui qui dit : « J'ai mal »,
celui qui me demande encore de l'apaiser.
Donne-moi de soigner sans relâche.
Donne-moi de donner mes instants
à tous ceux qui demandent le soulagement.
Donne-moi de me donner sans cesse.
Donne-moi de ne pas oublier que si j'ai le pouvoir de soigner,
je suis fait avant tout pour servir.
Donne-moi de ne pas m'affaiblir.
Garde-moi de la peur et de l'indifférence,
garde-moi de l'oubli.
Donne-moi de voir l'ami, le frère, dans la main tendue.
Aide-moi à marcher avec lui.
Je t'offre, mon Dieu,
ma joie pour accueillir, mon coeur pour soulager,
ma force pour tenir, et ma vie pour soigner
Je t'offre, mon Dieu, mon regard et mes bras.
Je t'offre mes mains pour soigner la souffrance.
Je t'offre mon expérience et quel qu'en soit le prix
je t'offre mes efforts et ma persévérance.
Donne-moi d'écouter celui qui vient me voir,
celui qui me demande de le réconforter.
Donne-moi d'écouter sans relâche.
Donne-moi de soigner celui qui dit : « J'ai mal »,
celui qui me demande encore de l'apaiser.
Donne-moi de soigner sans relâche.
Donne-moi de donner mes instants
à tous ceux qui demandent le soulagement.
Donne-moi de me donner sans cesse.
Donne-moi de ne pas oublier que si j'ai le pouvoir de soigner,
je suis fait avant tout pour servir.
Donne-moi de ne pas m'affaiblir.
Garde-moi de la peur et de l'indifférence,
garde-moi de l'oubli.
Donne-moi de voir l'ami, le frère, dans la main tendue.
Aide-moi à marcher avec lui.
Je t'offre, mon Dieu,
ma joie pour accueillir, mon coeur pour soulager,
ma force pour tenir, et ma vie pour soigner
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Hier, aujourd'hui et demain
Chaque semaine compte deux jours pour lesquels nous ne devrions pas nous faire de souci, deux jours où il ne nous faudrait connaître ni crainte, ni appréhension.
Le premier jour, c'est hier, qui porte le fardeau de ses soucis, de ses erreurs, de ses fautes, de ses bévues, de ses souffrances et de ses chagrins. Hier nous a échappé à tout jamais. Tout l'or du monde ne pourrait le faire renaître. Nous ne pouvons défaire les actes accomplis, les paroles prononcées. Hier est un jour révolu.
L'autre jour qu'il convient de mettre à l'abri des soucis, c'est demain, plein de grandes promesses, de piètres résultats, de malheurs possibles et de fardeaux. Demain échappe à notre emprise. Le soleil se lèvera inexorablement dans la splendeur ou derrière un voile de nuages. Jusqu'à son lever, nous ne pouvons miser sur rien, puisque demain n'a pas vu le jour.
Il ne nous reste donc qu'aujourd'hui. Tous nous pouvons livrer bataille pendant une petite journée. Nous ne faiblissons et ne chavirons que si le poids d'hier et de demain - ces deux terribles éternités - s'ajoutent aux inquiétudes d'aujourd'hui.
Ce ne sont pas les expériences d'aujourd'hui qui nous désespèrent, c'est l'amertume du remords de la veille et la crainte de demain.
À CHAQUE JOUR SUFFIT SA PEINE !
Chaque semaine compte deux jours pour lesquels nous ne devrions pas nous faire de souci, deux jours où il ne nous faudrait connaître ni crainte, ni appréhension.
Le premier jour, c'est hier, qui porte le fardeau de ses soucis, de ses erreurs, de ses fautes, de ses bévues, de ses souffrances et de ses chagrins. Hier nous a échappé à tout jamais. Tout l'or du monde ne pourrait le faire renaître. Nous ne pouvons défaire les actes accomplis, les paroles prononcées. Hier est un jour révolu.
L'autre jour qu'il convient de mettre à l'abri des soucis, c'est demain, plein de grandes promesses, de piètres résultats, de malheurs possibles et de fardeaux. Demain échappe à notre emprise. Le soleil se lèvera inexorablement dans la splendeur ou derrière un voile de nuages. Jusqu'à son lever, nous ne pouvons miser sur rien, puisque demain n'a pas vu le jour.
Il ne nous reste donc qu'aujourd'hui. Tous nous pouvons livrer bataille pendant une petite journée. Nous ne faiblissons et ne chavirons que si le poids d'hier et de demain - ces deux terribles éternités - s'ajoutent aux inquiétudes d'aujourd'hui.
Ce ne sont pas les expériences d'aujourd'hui qui nous désespèrent, c'est l'amertume du remords de la veille et la crainte de demain.
À CHAQUE JOUR SUFFIT SA PEINE !
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Merci Marie pour les beaux textes que tu nous propose. Je pense que ce serait bien que tu mettes l'auteur.... mais tu fais ce que tu veux....
J'espère que tes côtes te font moins souffrir. Je sais ce que c'est. Je me suis "aplatie" lors d'un séjour à Rome (pas le dernier) en descendant visiter une église. Bilan au retour - car je n'ai pas voulu passer par un hôpital romain - je suis allée à Monaco ; 3 côtes cassées. Verdict : le même que le tien : antalgiques et repos...
Bisous.
Ton amie de Monaco.
Bon trêve de plaisanteries je poste un texte :
Toi visiteur caché de nos vies
Tu veilles compagnon de nos attentes,
toi, visiteur caché de notre vie.
Fais nous entendre ta voix qui redresse
quand nous ployons sous le poids du malheur,
et ouvre l'horizon de ta tendresse
si crainte et peur font dériver nos cœurs.
Que ta parole fasse lever l'aurore
de notre humanité transfigurée,
et fasse éclore, en toutes nos opacités,
un souffle neuf chantant la joie d'aimer.
Sous nos pas fleuriront pour notre terre
justice et paix, amour et vérité,
et de nos mains des perles de lumière.
Dietrich BONHOEFFER (1906-1945)
J'espère que tes côtes te font moins souffrir. Je sais ce que c'est. Je me suis "aplatie" lors d'un séjour à Rome (pas le dernier) en descendant visiter une église. Bilan au retour - car je n'ai pas voulu passer par un hôpital romain - je suis allée à Monaco ; 3 côtes cassées. Verdict : le même que le tien : antalgiques et repos...
Bisous.
Ton amie de Monaco.
Bon trêve de plaisanteries je poste un texte :
Toi visiteur caché de nos vies
Tu veilles compagnon de nos attentes,
toi, visiteur caché de notre vie.
Fais nous entendre ta voix qui redresse
quand nous ployons sous le poids du malheur,
et ouvre l'horizon de ta tendresse
si crainte et peur font dériver nos cœurs.
Que ta parole fasse lever l'aurore
de notre humanité transfigurée,
et fasse éclore, en toutes nos opacités,
un souffle neuf chantant la joie d'aimer.
Sous nos pas fleuriront pour notre terre
justice et paix, amour et vérité,
et de nos mains des perles de lumière.
Dietrich BONHOEFFER (1906-1945)
Oïkouméné- Avec Saint Thomas d'Aquin
- Messages : 362
Age : 79
Localisation : Monaco
Inscription : 11/10/2015
Re: ★Beaux Textes★
Bonjour Mon Amie de Monaco,
Pour les textes, je vais être franche, je les prend sur un site et malheureusement les plus beaux sont postés par des anonymes, sinon, la prochaine fois qu'il y a l'auteur promis de note.
Toi aussi il t'est arrivée ces péripéties,surtout en revenant de Rome oh la....tu as du avoir un choc en voyant le Saint-Père.
Ton avatar est magnifique,merci.
Je t'embrasse de tout mon coeur
Ton Amie
Marie.
Je poste ci-dessous ma rencontre avec P., nous nous sommes connues sur un Forum Catholique : Par contre excuse moi je t'ai attribué un prénom d'emprunt.
Pour les textes, je vais être franche, je les prend sur un site et malheureusement les plus beaux sont postés par des anonymes, sinon, la prochaine fois qu'il y a l'auteur promis de note.
Toi aussi il t'est arrivée ces péripéties,surtout en revenant de Rome oh la....tu as du avoir un choc en voyant le Saint-Père.
Ton avatar est magnifique,merci.
Je t'embrasse de tout mon coeur
Ton Amie
Marie.
Je poste ci-dessous ma rencontre avec P., nous nous sommes connues sur un Forum Catholique : Par contre excuse moi je t'ai attribué un prénom d'emprunt.
Une Belle rencontre.
Après avoir envoyé un MP à Paulette pour lui dire où elle pouvait me retrouver, je n'avais aucune réponse.
Le mardi j'étais en service devant l'église Ste Bernadette, je dis mon chapelet, mais j'étais distraite, je cherchais du regard Paulette, personne...
Je me suis dit: "peut-être ne veut-elle pas me rencontrer", mais non, j'ai chassé le doute de mon esprit.
Le soir je priais La Vierge Marie, lui demandant : "mais enfin, il faut que je voie Paulette, il n'y a que Toi qui peut m'aider".
Hier, alors que j'étais affectée au service "silence" (notre Évêque a tapé du poing sur la table en disant : "Je veux un silence absolu") pas facile... Je vois un groupe arriver à ma hauteur, tout de blanc et rouge vêtu, magnifique; j'accompagne ce groupe afin qu'il soit silencieux, pas d'effort à faire, très discipliné.
Je vois une dame qui avait la main devant sa bouche et fait signe à son accompagnatrice (Paulette a un petit problème sans gravité) je lis sur ses lèvres, mais... sa main un peu relevée... et là je me dis : "c'est Paulette", je vais à elle, elle me dit: "Marie" et moi "Paulette, oui c'était bien elle.
Nous nous étreignons à n'en plus finir.
Paulette est partie vers la Grotte tout en récitant son chapelet; j'étais très émue, une larme coulait le long de ma joue.
Puis elle revient, nous avons discuté. Elle m'a offert un cadeau que j'arbore avec fierté sur mon gilet de "pilote".
Je suis allée avec elle à l'entrée de la Basilique Souterraine où Paulette allait assister aux louanges eucharistiques puis nous nous sommes quittées avec la promesse de se revoir demain.
A Paulette :
Surtout ne change rien en toi tu es (vous) oh et puis zut on s'est dit "tu" hier.
Tu es une belle personne dans tous les sens du terme, ton sourire restera gravé dans ma mémoire.
Mon seul désir aujourd'hui :
Rencontrer beaucoup de Paulette sur mon chemin.
Merci à Toi.
Marie
Après avoir envoyé un MP à Paulette pour lui dire où elle pouvait me retrouver, je n'avais aucune réponse.
Le mardi j'étais en service devant l'église Ste Bernadette, je dis mon chapelet, mais j'étais distraite, je cherchais du regard Paulette, personne...
Je me suis dit: "peut-être ne veut-elle pas me rencontrer", mais non, j'ai chassé le doute de mon esprit.
Le soir je priais La Vierge Marie, lui demandant : "mais enfin, il faut que je voie Paulette, il n'y a que Toi qui peut m'aider".
Hier, alors que j'étais affectée au service "silence" (notre Évêque a tapé du poing sur la table en disant : "Je veux un silence absolu") pas facile... Je vois un groupe arriver à ma hauteur, tout de blanc et rouge vêtu, magnifique; j'accompagne ce groupe afin qu'il soit silencieux, pas d'effort à faire, très discipliné.
Je vois une dame qui avait la main devant sa bouche et fait signe à son accompagnatrice (Paulette a un petit problème sans gravité) je lis sur ses lèvres, mais... sa main un peu relevée... et là je me dis : "c'est Paulette", je vais à elle, elle me dit: "Marie" et moi "Paulette, oui c'était bien elle.
Nous nous étreignons à n'en plus finir.
Paulette est partie vers la Grotte tout en récitant son chapelet; j'étais très émue, une larme coulait le long de ma joue.
Puis elle revient, nous avons discuté. Elle m'a offert un cadeau que j'arbore avec fierté sur mon gilet de "pilote".
Je suis allée avec elle à l'entrée de la Basilique Souterraine où Paulette allait assister aux louanges eucharistiques puis nous nous sommes quittées avec la promesse de se revoir demain.
A Paulette :
Surtout ne change rien en toi tu es (vous) oh et puis zut on s'est dit "tu" hier.
Tu es une belle personne dans tous les sens du terme, ton sourire restera gravé dans ma mémoire.
Mon seul désir aujourd'hui :
Rencontrer beaucoup de Paulette sur mon chemin.
Merci à Toi.
Marie
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Espérance du monde
Aujourd'hui, dans la nuit du monde et dans l'espérance,
j'affirme ma foi dans l'avenir de l'humanité.
Je refuse de croire que les circonstances actuelles
rendent les hommes incapables de faire une terre meilleure.
Je refuse de partager l'avis de ceux qui prétendent l'homme à ce point captif de la nuit
que l'aurore de la paix et de la fraternité ne pourra jamais devenir une réalité.
Je crois que la vérité et l'amour, sans conditions,
auront le dernier mot effectivement.
La vie, même vaincue provisoirement,
demeure toujours plus forte que la mort.
Je crois fermement qu'il reste l'espoir d'un matin radieux,
je crois que la bonté pacifique deviendra un jour la loi.
Chaque homme pourra s'asseoir sous son figuier, dans sa vigne,
et plus personne n'aura plus de raison d'avoir peur.
Aujourd'hui, dans la nuit du monde et dans l'espérance,
j'affirme ma foi dans l'avenir de l'humanité.
Je refuse de croire que les circonstances actuelles
rendent les hommes incapables de faire une terre meilleure.
Je refuse de partager l'avis de ceux qui prétendent l'homme à ce point captif de la nuit
que l'aurore de la paix et de la fraternité ne pourra jamais devenir une réalité.
Je crois que la vérité et l'amour, sans conditions,
auront le dernier mot effectivement.
La vie, même vaincue provisoirement,
demeure toujours plus forte que la mort.
Je crois fermement qu'il reste l'espoir d'un matin radieux,
je crois que la bonté pacifique deviendra un jour la loi.
Chaque homme pourra s'asseoir sous son figuier, dans sa vigne,
et plus personne n'aura plus de raison d'avoir peur.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Notre bonheur dépend des événements et de notre caractère
Notre bonheur, a-t-on dit, dépend des événements et de notre caractère. Nous ne pouvons rien sur les événements, et nous ne pouvons presque rien sur notre caractère ; il s'ensuit que nous pouvons très peu de chose pour notre bonheur. Ah ! connaissons nos forces, et ne prenons point de funestes erreurs pour d'affligeantes vérités.
Nous avons de l'influence sur les événements, si nous les évitons par le courage ou l'adresse, surtout par la modération, douce et constante prévoyance du sage. Nous avons sur eux ensuite une influence non moins réelle, par la manière dont nous les considérons. Tel coup du sort dont je suis accablé effleure le sage, qui se dit : « Comment juger l'incertain avenir ? De mes revers naîtront peut-être mes jours les plus heureux. » Enfin nous exerçons de l'influence sur les événements, si nous savons sortir des situations pénibles. Nous le saurons d'autant mieux que nous aurons plus de cette force d'âme qui conserve à l'esprit toute sa liberté, et de cette vivacité d'imagination qui distrait des plaisirs passés tant qu'il en existe qu'on peut goûter encore.
Notre caractère n'est pas uniquement le résultat de notre organisation ; il est aussi formé par toutes les impressions que nous avons reçues, par toutes les réflexions que nous avons faites. [...] Je vois des hommes dont la manière d'être est en opposition constante avec celle que le bonheur demande. Qu'on leur parle de plaisirs ? ils ont tout vu, tout épuisé ; ils semblent avoir vécu des siècles. Éprouvent-ils un revers ? à leurs gémissements, on dirait qu'ils commencent de vivre, et qu'ils n'ont pu prévoir encore que le malheur les atteindrait. La nature ne donne ni ces dégoûts prématurés, ni cette honteuse et triste lâcheté. Que l'éducation nous éclaire, qu'elle nous fasse apprécier les biens et les maux de la vie, qu'elle rende notre âme plus forte et notre imagination plus riante, nous serons ce que nous devons être : vieillards dans les revers, toujours enfants dans les plaisirs. [...]
L'homme peut agir sur lui-même et sur les événements ; il est donc un art d'être heureux. Quoique cet art n'ait pas une place dans nos encyclopédies, je ne le crois pas moins digne de nos recherches.
Notre bonheur, a-t-on dit, dépend des événements et de notre caractère. Nous ne pouvons rien sur les événements, et nous ne pouvons presque rien sur notre caractère ; il s'ensuit que nous pouvons très peu de chose pour notre bonheur. Ah ! connaissons nos forces, et ne prenons point de funestes erreurs pour d'affligeantes vérités.
Nous avons de l'influence sur les événements, si nous les évitons par le courage ou l'adresse, surtout par la modération, douce et constante prévoyance du sage. Nous avons sur eux ensuite une influence non moins réelle, par la manière dont nous les considérons. Tel coup du sort dont je suis accablé effleure le sage, qui se dit : « Comment juger l'incertain avenir ? De mes revers naîtront peut-être mes jours les plus heureux. » Enfin nous exerçons de l'influence sur les événements, si nous savons sortir des situations pénibles. Nous le saurons d'autant mieux que nous aurons plus de cette force d'âme qui conserve à l'esprit toute sa liberté, et de cette vivacité d'imagination qui distrait des plaisirs passés tant qu'il en existe qu'on peut goûter encore.
Notre caractère n'est pas uniquement le résultat de notre organisation ; il est aussi formé par toutes les impressions que nous avons reçues, par toutes les réflexions que nous avons faites. [...] Je vois des hommes dont la manière d'être est en opposition constante avec celle que le bonheur demande. Qu'on leur parle de plaisirs ? ils ont tout vu, tout épuisé ; ils semblent avoir vécu des siècles. Éprouvent-ils un revers ? à leurs gémissements, on dirait qu'ils commencent de vivre, et qu'ils n'ont pu prévoir encore que le malheur les atteindrait. La nature ne donne ni ces dégoûts prématurés, ni cette honteuse et triste lâcheté. Que l'éducation nous éclaire, qu'elle nous fasse apprécier les biens et les maux de la vie, qu'elle rende notre âme plus forte et notre imagination plus riante, nous serons ce que nous devons être : vieillards dans les revers, toujours enfants dans les plaisirs. [...]
L'homme peut agir sur lui-même et sur les événements ; il est donc un art d'être heureux. Quoique cet art n'ait pas une place dans nos encyclopédies, je ne le crois pas moins digne de nos recherches.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Lâcher Prise
Lâcher prise, ce n'est pas se montrer indifférent, mais simplement admettre que l'on ne peut agir à la place de quelqu'un d'autre.
Lâcher prise, ce n'est pas couper les liens, mais prendre conscience que l'on ne peut contrôler autrui.
Lâcher prise, ce n'est pas être passif, mais au contraire chercher principalement à tirer une leçon des conséquences inhérentes à un événement.
Lâcher prise, c'est reconnaître son impuissance, au sens où l'on admet que le résultat final n'est pas toujours entre ses mains.
Lâcher prise, c'est ne plus blâmer ou vouloir changer autrui et, au lieu de cela, choisir de consacrer son temps à donner le meilleur de soi-même.
Lâcher prise, ce n'est pas prendre soin des autres en faisant preuve d'une totale abnégation, mais se sentir concerné par eux.
Lâcher prise, c'est ne pas "assister ", mais encourager.
Lâcher prise, c'est ne pas juger, et accorder à autrui le droit d'être humain, c'est à dire lui accorder le droit à l'erreur.
Lâcher prise, c'est ne pas s'occuper de tout ce qui arrive, et laisser les autres gérer leur propre destin.
Lâcher prise, c'est ne pas materner les autres, et leur permettre d'affronter la réalité.
Lâcher prise, ce n'est pas rejeter, c'est au contraire accepter.
Lâcher prise, c'est ne pas harceler, reprocher, sermonner ou gronder, et tenter de déceler ses propres faiblesses et de s'en défaire.
Lâcher prise, c'est ne pas adapter les choses à ses propres désirs, et prendre chaque jour comme il vient et l'apprécier.
Lâcher prise, c'est ne pas critiquer ou corriger autrui, mais s'efforcer de devenir ce que l'on rêve de devenir.
Lâcher prise, c'est ne pas regretter le passé, et vivre et grandir dans le présent pour l'avenir.
Lâcher prise, c'est craindre moins et aimer davantage.
Lâcher prise, ce n'est pas couper les liens, mais prendre conscience que l'on ne peut contrôler autrui.
Lâcher prise, ce n'est pas être passif, mais au contraire chercher principalement à tirer une leçon des conséquences inhérentes à un événement.
Lâcher prise, c'est reconnaître son impuissance, au sens où l'on admet que le résultat final n'est pas toujours entre ses mains.
Lâcher prise, c'est ne plus blâmer ou vouloir changer autrui et, au lieu de cela, choisir de consacrer son temps à donner le meilleur de soi-même.
Lâcher prise, ce n'est pas prendre soin des autres en faisant preuve d'une totale abnégation, mais se sentir concerné par eux.
Lâcher prise, c'est ne pas "assister ", mais encourager.
Lâcher prise, c'est ne pas juger, et accorder à autrui le droit d'être humain, c'est à dire lui accorder le droit à l'erreur.
Lâcher prise, c'est ne pas s'occuper de tout ce qui arrive, et laisser les autres gérer leur propre destin.
Lâcher prise, c'est ne pas materner les autres, et leur permettre d'affronter la réalité.
Lâcher prise, ce n'est pas rejeter, c'est au contraire accepter.
Lâcher prise, c'est ne pas harceler, reprocher, sermonner ou gronder, et tenter de déceler ses propres faiblesses et de s'en défaire.
Lâcher prise, c'est ne pas adapter les choses à ses propres désirs, et prendre chaque jour comme il vient et l'apprécier.
Lâcher prise, c'est ne pas critiquer ou corriger autrui, mais s'efforcer de devenir ce que l'on rêve de devenir.
Lâcher prise, c'est ne pas regretter le passé, et vivre et grandir dans le présent pour l'avenir.
Lâcher prise, c'est craindre moins et aimer davantage.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Tant qu'un homme ne s'intéresse qu'à soi...
Tant qu'un homme ne s'intéresse qu'à soi, à sa fortune, à son avancement, à son succès personnel propre, il s'intéresse à bien peu de chose : tout cela est de médiocre importance et de courte durée, comme lui-même. À côté de cette barque qu'il conduit avec tant de soins, il y en a des milliers et des millions d'autres, de structure pareille et de taille à peu près égale : aucune d'elles ne vaut beaucoup, et la sienne ne vaut pas davantage. De quelque façon qu'il l'approvisionne et la manoeuvre, elle restera toujours ce qu'elle est, étroite et fragile ; il a beau la pavoiser, la décorer, la pousser aux premiers rangs : en trois pas, il en a fait le tour. C'est en vain qu'il la répare et la ménage ; au bout de quelques années, elle fait eau ; un peu plus tôt, un peu plus tard, elle s'effondre, elle va s'engloutir, et avec elle périra tout le travail qu'elle a coûté. Est-il raisonnable de tant travailler pour elle, et un si mince objet vaut-il la peine d'un si grand effort ?...
Heureusement, pour mieux placer son effort, l'homme a d'autres objets plus vastes et plus solides, une famille, une commune, une église, une patrie, toutes les associations dont il est ou devient membre, toutes les entreprises collectives de science, d'éducation, de bienfaisance, d'utilité locale ou générale, la plupart pourvues d'un statut légal et constituées en corps ou même en personnes civiles, aussi bien définies et protégées que lui, mais plus précieuses et plus viables, car elles servent beaucoup d'hommes et durent indéfiniment ; même quelques-unes ont une histoire séculaire, et la longueur de leur passé présage la longueur de leur avenir. Dans l'innombrable flottille des esquifs qui sombrent incessamment, et incessamment sont remplacés par d'autres, elles subsistent comme des vaisseaux de haut bord : sur ces gros bâtiments, chaque homme de la flottille monte de temps en temps pour y travailler, et cette fois l'oeuvre qu'il produit n'est pas caduque, éphémère, comme l'ouvrage qu'il fait chez lui ; elle surnagera après qu'il aura disparu, lui et son esquif ; elle est entrée dans une oeuvre commune et totale qui se défend par sa masse. Sans doute, ce qu'il y insère pourra plus tard être remanié ; mais la substance en demeure, et parfois aussi la forme : tel précepte de Jésus, tel théorème d'Archimède reste une acquisition définitive, intacte et clouée en place depuis deux mille ans, immortelle dès le premier jour.
- Par suite, l'individu peut s'intéresser, non plus seulement à sa barque, mais encore à un navire, à tel ou tel navire, à telle société ou communauté, selon ses préférences et ses aptitudes, selon l'attrait, la proximité ou la commodité d'accès, et voilà un nouveau ressort d'action antagoniste au premier. Si fort que soit le premier, parfois le second prévaut ; c'est que l'âme est très généreuse ou préparée par une longue discipline spéciale : de là tous les sacrifices, la donation de soi-même à une oeuvre ou à une cause, le dévouement de la soeur de charité et du missionnaire, l'abnégation du savant qui s'ensevelit pendant vingt ans dans les minuties d'une besogne ingrate, l'héroïsme de l'explorateur qui risque sa vie dans le désert ou parmi les sauvages, le courage du soldat qui se fait tuer pour défendre son drapeau. Mais ces cas sont rares.
Chez le plus grand nombre d'hommes et dans le plus grand nombre de leurs actes, l'intérêt personnel l'emporte sur l'intérêt commun, et, contre l'instinct égoïste, l'instinct social est faible. - C'est pourquoi il est dangereux de l'affaiblir ; l'individu n'est que trop tenté de préférer sa barque au navire ; si l'on veut qu'il y monte et qu'il y travaille, il faut lui fournir des facilités et des motifs pour y monter et pour y travailler ; à tout le moins, il ne faut pas lui en ôter. Or cela dépend de l'État, sorte de vaisseau amiral et central, seul armé, qui tient sous ses canons tous les navires subordonnés ; car, quelle que soit la société, provinciale ou municipale, enseignante ou hospitalière, religieuse ou laïque, c'est l'État qui en fabrique ou en adopte le statut, bon ou mauvais, et qui, par ses lois, ses tribunaux et ses gendarmes, en procure l'exécution, stricte ou lâche. Partant [Par conséquent], sur cet article, il est responsable ; à lui d'agréer ou d'imposer le bon statut, la forme sociale la plus propre à fortifier l'instinct social, à entretenir le zèle désintéressé, à encourager le travail volontaire ou gratuit.
Tant qu'un homme ne s'intéresse qu'à soi, à sa fortune, à son avancement, à son succès personnel propre, il s'intéresse à bien peu de chose : tout cela est de médiocre importance et de courte durée, comme lui-même. À côté de cette barque qu'il conduit avec tant de soins, il y en a des milliers et des millions d'autres, de structure pareille et de taille à peu près égale : aucune d'elles ne vaut beaucoup, et la sienne ne vaut pas davantage. De quelque façon qu'il l'approvisionne et la manoeuvre, elle restera toujours ce qu'elle est, étroite et fragile ; il a beau la pavoiser, la décorer, la pousser aux premiers rangs : en trois pas, il en a fait le tour. C'est en vain qu'il la répare et la ménage ; au bout de quelques années, elle fait eau ; un peu plus tôt, un peu plus tard, elle s'effondre, elle va s'engloutir, et avec elle périra tout le travail qu'elle a coûté. Est-il raisonnable de tant travailler pour elle, et un si mince objet vaut-il la peine d'un si grand effort ?...
Heureusement, pour mieux placer son effort, l'homme a d'autres objets plus vastes et plus solides, une famille, une commune, une église, une patrie, toutes les associations dont il est ou devient membre, toutes les entreprises collectives de science, d'éducation, de bienfaisance, d'utilité locale ou générale, la plupart pourvues d'un statut légal et constituées en corps ou même en personnes civiles, aussi bien définies et protégées que lui, mais plus précieuses et plus viables, car elles servent beaucoup d'hommes et durent indéfiniment ; même quelques-unes ont une histoire séculaire, et la longueur de leur passé présage la longueur de leur avenir. Dans l'innombrable flottille des esquifs qui sombrent incessamment, et incessamment sont remplacés par d'autres, elles subsistent comme des vaisseaux de haut bord : sur ces gros bâtiments, chaque homme de la flottille monte de temps en temps pour y travailler, et cette fois l'oeuvre qu'il produit n'est pas caduque, éphémère, comme l'ouvrage qu'il fait chez lui ; elle surnagera après qu'il aura disparu, lui et son esquif ; elle est entrée dans une oeuvre commune et totale qui se défend par sa masse. Sans doute, ce qu'il y insère pourra plus tard être remanié ; mais la substance en demeure, et parfois aussi la forme : tel précepte de Jésus, tel théorème d'Archimède reste une acquisition définitive, intacte et clouée en place depuis deux mille ans, immortelle dès le premier jour.
- Par suite, l'individu peut s'intéresser, non plus seulement à sa barque, mais encore à un navire, à tel ou tel navire, à telle société ou communauté, selon ses préférences et ses aptitudes, selon l'attrait, la proximité ou la commodité d'accès, et voilà un nouveau ressort d'action antagoniste au premier. Si fort que soit le premier, parfois le second prévaut ; c'est que l'âme est très généreuse ou préparée par une longue discipline spéciale : de là tous les sacrifices, la donation de soi-même à une oeuvre ou à une cause, le dévouement de la soeur de charité et du missionnaire, l'abnégation du savant qui s'ensevelit pendant vingt ans dans les minuties d'une besogne ingrate, l'héroïsme de l'explorateur qui risque sa vie dans le désert ou parmi les sauvages, le courage du soldat qui se fait tuer pour défendre son drapeau. Mais ces cas sont rares.
Chez le plus grand nombre d'hommes et dans le plus grand nombre de leurs actes, l'intérêt personnel l'emporte sur l'intérêt commun, et, contre l'instinct égoïste, l'instinct social est faible. - C'est pourquoi il est dangereux de l'affaiblir ; l'individu n'est que trop tenté de préférer sa barque au navire ; si l'on veut qu'il y monte et qu'il y travaille, il faut lui fournir des facilités et des motifs pour y monter et pour y travailler ; à tout le moins, il ne faut pas lui en ôter. Or cela dépend de l'État, sorte de vaisseau amiral et central, seul armé, qui tient sous ses canons tous les navires subordonnés ; car, quelle que soit la société, provinciale ou municipale, enseignante ou hospitalière, religieuse ou laïque, c'est l'État qui en fabrique ou en adopte le statut, bon ou mauvais, et qui, par ses lois, ses tribunaux et ses gendarmes, en procure l'exécution, stricte ou lâche. Partant [Par conséquent], sur cet article, il est responsable ; à lui d'agréer ou d'imposer le bon statut, la forme sociale la plus propre à fortifier l'instinct social, à entretenir le zèle désintéressé, à encourager le travail volontaire ou gratuit.
Invité- Invité
Re: ★Beaux Textes★
Comment être heureux
1. Décide d’être heureux. Apprends à trouver du plaisir dans les choses simples.
2. Tire le meilleur parti possible de tes situations. Nul ne possède tout et tout le monde a une certaine tristesse mêlée aux plaisirs de la vie. Le secret consiste à rire plus qu’on ne pleure.
3. Sois indulgent avec toi-même. Ne te prends pas trop au sérieux. Et ne crois pas que tu dois être protégé des malheurs qui frappent les autres.
4. Ne te soucie pas des critiques. Tu ne peux plaire à tout le monde.
5. Fixe tes propres normes et tes propres buts. Sois toi-même et explore tes propres limites.
6. Fais ce que tu aimes faire, mais sans t’endetter.
7. Ne cherche pas les ennuis. Les fardeaux imaginaires sont plus lourds à porter que les vrais.
8. Débarasse-toi de tes rancoeurs. La haine, l’envie et la colère te rongeront de l’intérieur.
9. Multiplie tes intérêts. Si tu ne peux voyager, parcours le monde par tes lectures.
10. Ne te laisse pas terrasser par les regrets. Surmonte tes tristesses et tes erreurs et ne conserve que les leçons utiles qu’elles t’ont apprises.
11. Fais ce que tu peux pour les gens moins fortunés que toi.
12. Tiens-toi occupé. Quiconque est très occupé n’a pas le temps d’être malheureux.
1. Décide d’être heureux. Apprends à trouver du plaisir dans les choses simples.
2. Tire le meilleur parti possible de tes situations. Nul ne possède tout et tout le monde a une certaine tristesse mêlée aux plaisirs de la vie. Le secret consiste à rire plus qu’on ne pleure.
3. Sois indulgent avec toi-même. Ne te prends pas trop au sérieux. Et ne crois pas que tu dois être protégé des malheurs qui frappent les autres.
4. Ne te soucie pas des critiques. Tu ne peux plaire à tout le monde.
5. Fixe tes propres normes et tes propres buts. Sois toi-même et explore tes propres limites.
6. Fais ce que tu aimes faire, mais sans t’endetter.
7. Ne cherche pas les ennuis. Les fardeaux imaginaires sont plus lourds à porter que les vrais.
8. Débarasse-toi de tes rancoeurs. La haine, l’envie et la colère te rongeront de l’intérieur.
9. Multiplie tes intérêts. Si tu ne peux voyager, parcours le monde par tes lectures.
10. Ne te laisse pas terrasser par les regrets. Surmonte tes tristesses et tes erreurs et ne conserve que les leçons utiles qu’elles t’ont apprises.
11. Fais ce que tu peux pour les gens moins fortunés que toi.
12. Tiens-toi occupé. Quiconque est très occupé n’a pas le temps d’être malheureux.
Invité- Invité
Page 1 sur 16 • 1, 2, 3 ... 8 ... 16
Sujets similaires
» Marine le pen, Marion Maréchal-Le Pen..
» ♫ Chansons d'Hier et d'Aujourd'hui♫
» Deux beaux sujets à consulter en cette fin de semaine Sainte
» Quelques beaux chansons des CCR
» Pause tendresse...
» ♫ Chansons d'Hier et d'Aujourd'hui♫
» Deux beaux sujets à consulter en cette fin de semaine Sainte
» Quelques beaux chansons des CCR
» Pause tendresse...
Page 1 sur 16
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum