Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Les Européens doivent faire plus d’enfants pour éviter une catastrophe démographique
"Les taux de natalité se réduisent de plus en plus en Europe ce qui pourrait conduire à une tempête démographique, et par extension, compromettre la croissance économique du Vieux Continent. L’Espagne possède en effet l’un des taux de fertilité les plus faibles de l’Union européenne, avec une moyenne de 1,27 enfant par femme en âge de procréer, contre une moyenne européenne de 1,55 (...)
En parallèle, le nombre de migrants économiques et de demandeurs d’asile qui cherchent à pénétrer dans les pays de l’UE au péril de leur vie n’a jamais été aussi important, atteignant des niveaux records. Paradoxalement, les autorités tentent de les repousser, quand bien même une crise démographique sans précédent menace le continent. L’Europe a un besoin croissant de gens jeunes, dont le travail pourra financer les services de santé, les retraites, s’occuper des personnes âgées et peupler les zones rurales (...)
Seuls les pays scandinaves semblent résister à cette tempête démographique. C’est certes partiellement grâce aux congés parentaux généreux et à la stabilité économique qui caractérise ces pays. Mais pour la Suède et la Norvège, une forte immigration nette contribue à ces bons résultats (...)
L’immigration est aussi l’un des moyens qui permet de soutenir, voire de stimuler, le taux de fécondité en Grande-Bretagne et en France qui ont permis à ces populations de croître en termes absolus (...)."
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/08/les-europ%C3%A9ens-doivent-faire-plus-denfants-pour-%C3%A9viter-une-catastrophe-d%C3%A9mographique.html
"Les taux de natalité se réduisent de plus en plus en Europe ce qui pourrait conduire à une tempête démographique, et par extension, compromettre la croissance économique du Vieux Continent. L’Espagne possède en effet l’un des taux de fertilité les plus faibles de l’Union européenne, avec une moyenne de 1,27 enfant par femme en âge de procréer, contre une moyenne européenne de 1,55 (...)
En parallèle, le nombre de migrants économiques et de demandeurs d’asile qui cherchent à pénétrer dans les pays de l’UE au péril de leur vie n’a jamais été aussi important, atteignant des niveaux records. Paradoxalement, les autorités tentent de les repousser, quand bien même une crise démographique sans précédent menace le continent. L’Europe a un besoin croissant de gens jeunes, dont le travail pourra financer les services de santé, les retraites, s’occuper des personnes âgées et peupler les zones rurales (...)
Seuls les pays scandinaves semblent résister à cette tempête démographique. C’est certes partiellement grâce aux congés parentaux généreux et à la stabilité économique qui caractérise ces pays. Mais pour la Suède et la Norvège, une forte immigration nette contribue à ces bons résultats (...)
L’immigration est aussi l’un des moyens qui permet de soutenir, voire de stimuler, le taux de fécondité en Grande-Bretagne et en France qui ont permis à ces populations de croître en termes absolus (...)."
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/08/les-europ%C3%A9ens-doivent-faire-plus-denfants-pour-%C3%A9viter-une-catastrophe-d%C3%A9mographique.html
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Chaque génération compte près de 10% de femmes sans descendance. Mais désormais, certaines et notamment les trentenaires revendiquent ce choix. Enquête.
En ce moment
« Je n’ai jamais voulu avoir des enfants. Et à regarder mes copines, mon choix se confirme. À côté de la joie qu’elles ressentent, il y a le manque de temps, la fatigue, les problèmes de couple. Moi, j’aime mon train-train quotidien, voyager quand je veux ou faire la grasse matinée. » À 30 ans, Amélie fait partie des 37 % de Françaises de son âge à ne pas avoir d’enfant (1). Beaucoup de ces jeunes trentenaires finissent par tomber enceintes dans un pays où le taux de natalité reste élevé avec deux enfants par femme en moyenne. Mais elles sont chaque jour plus nombreuses à ne pas enfanter, et à le revendiquer. Quelque 5 % des Français ont déclaré ne pas vouloir devenir parents (2). Un choix souvent mal compris par les proches. « Il y a autant de raisons que de femmes qui expliquent ce choix », avance Marie-Pierre Martinet, secrétaire générale au Planning familial, pour exprimer la complexité d’un sujet où « rien n’est tout noir, ni tout blanc mais où il existe toujours une zone de gris ».
Les « non-mères » revendiquent souvent une absence de désir. « Jeune, je pensais fonder une famille. Avec mai 1968, j’ai compris que je devais m’épanouir en tant que personne. Et, à 21 ans, j’ai pris la décision de ne pas avoir d’enfant. J’en ai 66 aujourd’hui et je n’ai jamais regretté », explique Edith Vallée, contrainte de rompre avec son compagnon de l’époque, car lui voulait des enfants. Aujourd’hui psychologue et auteure de plusieurs ouvrages sur la non-maternité (3), Edith Vallée croit à « l’appel des entrailles » des mamans qui le revendiquent, mais affirme ne l’avoir jamais ressenti. « J’ai réorienté mon énergie vitale autrement. Dans ma vie affective et dans mon travail de recherches. » S’il est difficile de recenser toutes les non-mamans, pour Edith Vallée, il en existe deux types : « Il y a celles qui forment une "union", avec ce qu’elles aiment dans la vie. Ce sont des grandes amoureuses qui voient l’arrivée d’un enfant comme une intrusion. D’un autre côté, il y a les femmes "d’action", dont la non maternité témoigne d’une lutte contre le monde ou d’une volonté de rompre avec leur passé.
http://madame.lefigaro.fr/societe/ces-femmes-qui-veulent-pas-denfant-150714-898496
En ce moment
« Je n’ai jamais voulu avoir des enfants. Et à regarder mes copines, mon choix se confirme. À côté de la joie qu’elles ressentent, il y a le manque de temps, la fatigue, les problèmes de couple. Moi, j’aime mon train-train quotidien, voyager quand je veux ou faire la grasse matinée. » À 30 ans, Amélie fait partie des 37 % de Françaises de son âge à ne pas avoir d’enfant (1). Beaucoup de ces jeunes trentenaires finissent par tomber enceintes dans un pays où le taux de natalité reste élevé avec deux enfants par femme en moyenne. Mais elles sont chaque jour plus nombreuses à ne pas enfanter, et à le revendiquer. Quelque 5 % des Français ont déclaré ne pas vouloir devenir parents (2). Un choix souvent mal compris par les proches. « Il y a autant de raisons que de femmes qui expliquent ce choix », avance Marie-Pierre Martinet, secrétaire générale au Planning familial, pour exprimer la complexité d’un sujet où « rien n’est tout noir, ni tout blanc mais où il existe toujours une zone de gris ».
Les « non-mères » revendiquent souvent une absence de désir. « Jeune, je pensais fonder une famille. Avec mai 1968, j’ai compris que je devais m’épanouir en tant que personne. Et, à 21 ans, j’ai pris la décision de ne pas avoir d’enfant. J’en ai 66 aujourd’hui et je n’ai jamais regretté », explique Edith Vallée, contrainte de rompre avec son compagnon de l’époque, car lui voulait des enfants. Aujourd’hui psychologue et auteure de plusieurs ouvrages sur la non-maternité (3), Edith Vallée croit à « l’appel des entrailles » des mamans qui le revendiquent, mais affirme ne l’avoir jamais ressenti. « J’ai réorienté mon énergie vitale autrement. Dans ma vie affective et dans mon travail de recherches. » S’il est difficile de recenser toutes les non-mamans, pour Edith Vallée, il en existe deux types : « Il y a celles qui forment une "union", avec ce qu’elles aiment dans la vie. Ce sont des grandes amoureuses qui voient l’arrivée d’un enfant comme une intrusion. D’un autre côté, il y a les femmes "d’action", dont la non maternité témoigne d’une lutte contre le monde ou d’une volonté de rompre avec leur passé.
http://madame.lefigaro.fr/societe/ces-femmes-qui-veulent-pas-denfant-150714-898496
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Je faisais mon habitude lien-hopping et suis tombé sur une page sur le site Web publié hier de Makow.
"Pour la première fois sur Internet, 1869 lecture par le rabbin Reichorn aux dirigeants juifs à Prague, décrivant la guerre juive secrète contre la civilisation chrétienne, y compris la justification de l' intermariage, la maîtrise de la presse, la destruction des valeurs familiales et une préoccupation feinte pour travailleurs le but final:. ". régnant sur le monde entier, comme cela avait été promis à notre père Abraham" "
Nous sommes "souverains de leur destin" - Prague Cimetière Discours de Rabbi
Ceci est la deuxième partie, la première partie peut être trouvée ici
Flashback: 1869 Plan pour Jewish World Domination
J'ai aussi trouvé cela concernant le rabbin.
Les protocoles de Rabbi Reichhorn
J'ai aussi trouvé un filet ATS à partir de 2008 appelé "Dr. Henry Makow, Disinfo Agent Par Excellence" ici
Rational Wiki le décrivent comme "ce que vous obtenez lorsque vous traversez un geignard, Farrellian militante des droits des hommes avec un paranoïaque, David Ickian théoricien de la conspiration. Il croit que le monde est contrôlé par néfaste judéo-maçonnique / Satanic forces / communistes menée par la Fondation Rockefeller , à laquelle le féminisme peut être attribué comme un régime destiné à encourager les femmes à ne pas avoir des enfants dans le cadre des efforts accrus de dépopulation. Il conçoit également des jeux de société ".
Il indique également qu'il a écrit sur la prison planète le site Web de Alex Jones.
Également de Wiki Rational
"Makow croit que le monde est contrôlé par la Skull and Bones société satanique, qui est apparemment un groupe devant Illuminati. Il le sait parce que George W. Bush une fois fait le signe de la corne satanique. Makow croit aussi que les Illuminati a été créé par les juifs de la Kabbale agissant de concert avec les Templiers. féminisme a apparemment été créé comme un moyen d'amener les femmes de leur côté, et d'encourager les femmes à haïr les hommes, daignent pas d'avoir des enfants et de prendre des emplois en dehors de la maison pour réduire la population (les conspirateurs outre encourager l'homosexualité pour la même raison).
Que pensez-vous ... un conspirationniste ou tout simplement la paranoïa complète et la folie?
Wiki Rational
Un coup d'œil à ses autres pages montre lui d'être sexiste et homophobe.
http://www.abovetopsecret.com/forum/thread1095507/pg1
limond- Avec le Pape François
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Vous jugez l homme, mais voyez ce fil il vous prouve tout sur le résultat de l émancipation des femmes sur nos sociétés
Si difficile que cela que d ouvrir les yeux
Si difficile que cela que d ouvrir les yeux
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Bonjour Elysé
Vous voulez quoi ? je ne comprends pas : une société sans femmes ? ou bien la femme soumise aux caprices des hommes ?
Le Pape est nul ! les évêques et les prêtres aussi ! les femmes sont je ne sais quoi !
Apparemment, peu ont votre approbation !
Je vous plains.
Vous voulez quoi ? je ne comprends pas : une société sans femmes ? ou bien la femme soumise aux caprices des hommes ?
Le Pape est nul ! les évêques et les prêtres aussi ! les femmes sont je ne sais quoi !
Apparemment, peu ont votre approbation !
Je vous plains.
vévette- Avec Saint Joseph
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Vous ne me connaissez pas, je dénonce le mal, seulement le mal.
Même quand on vous prouve les choses vous gardez les yeux fermés
C'est moi qui vous plaint
Paix à tous
Même quand on vous prouve les choses vous gardez les yeux fermés
C'est moi qui vous plaint
Paix à tous
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Elysé a écrit:Vous ne me connaissez pas, je dénonce le mal, seulement le mal.
Même quand on vous prouve les choses vous gardez les yeux fermés
C'est moi qui vous plaint
Paix à tous
Oh je ne suis pas à plaindre ! je préfère voir le bien que font les personnes plutôt que chercher le mal ! cela rend plus heureux et surtout rapproche de Dieu et des autres.
Vous dénoncez le mal, mais que proposez vous ? RIEN. Du moins, cela ne m'a pas frappée !
Bonne journée. Tournez votre regard vers le Ciel en ce jour de l'Ascension.
vévette- Avec Saint Joseph
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Localisation : Bretagne
Inscription : 13/11/2014
Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Je propose l évangile. La très sainte famille comme exemple bref la vie en Dieu
Paix à vous tous
Paix à vous tous
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Une société sans enfants : la catastrophe démographique qui vient
Une société sans enfants : la catastrophe démographique qui vient
in Société / by Pierre-Alain Depauw /
Longtemps, on nous avait prédit une surpopulation mondiale qui justifiait toutes les élucubrations malthusiennes. Mais en Europe, en Amérique du Nord, au Japon et même dans l’ensemble des pays d’Asie orientale, le taux de fécondité ne cesse de baisser de façon plus qu’alarmante.
En 1979, le taux de fécondité moyenne était de 6 enfants par foyer à l’échelle mondiale. Selon l’ONU à la pointe dans les campagnes de « régulation » des populations, ce taux mondial est aujourd’hui réduit à 2,36 enfants par femme. Un taux de fécondité qui passe en dessous de 2,1 en Europe et en Amérique du Nord. Or, ce taux de 2,1 est le taux de remplacement nécessaire pour maintenir la population au même niveau.
Le constat est impressionnant : « Aujourd’hui, 3 % seulement de la population de la planète vit dans un pays dont la fécondité ne baisse pas », explique Jonathan V. Last, journaliste au Wall Street Journal et auteur d’un livre intitulé A quoi s’attendre quand personne n’attend d’enfant : la catastrophe démographique américaine qui vient.
Pour l’ONU et autres organisations mondialistes, la solution est simple : toujours plus de contraception et d’avortement et toujours plus d’immigration pour compenser. Un schéma hallucinant et suicidaire.
Qui plus est, on observe que si l’immigration avait réjoui momentanément les démographes américains plus soucieux de chiffres que d’identité, ces femmes issues de l’immigration en arrivent rapidement à réduire à leur tour leur fécondité en mimant les habitudes des femmes locales.
L’effondrement démographique se manifeste particulièrement au Japon. Illustration : en 2006, les huit derniers habitants d’Ogama ont vendu leur village à une entreprise afin de le transformer en décharge. Au pays du soleil levant, on parle désormais de « parasaito shinguru », les « célibataires parasites », femmes diplômées et actives qui habitent chez leurs parents pour dépenser le plus d’argent possible en vêtements et accessoires de mode. Pour « compenser » l’absence d’enfants, la dernière mode japonaise consiste à habiller son petit chien en nourrisson et à le promener en poussette ! Et il faut aussi souligner cet important marché des enfants-robots dont les traits et les attitudes sont troublants.
Partout, les femmes choisissent de faire moins de bébés. Les économistes désignent ce phénomène sous le vocable de « préférence révélée ». Cette politique de l’enfant unique que l’Etat chinois a imposé à ses citoyens, est appliquée volontairement par les populations d’Europe et d’Amérique du Nord…
Margaret Sanger, pionnière du planning familial qui maudissait la « fécondité insensée » des classes populaires, pourrait célébrer aujourd’hui son absurde victoire : sur presque tous les continents et dans tous les milieux sociaux, la femme « moderne » se refuse à donner la vie, précipitant la société vers le déclin.
http://www.medias-presse.info/une-societe-sans-enfants-la-catastrophe-demographique-qui-vient/3624
in Société / by Pierre-Alain Depauw /
Longtemps, on nous avait prédit une surpopulation mondiale qui justifiait toutes les élucubrations malthusiennes. Mais en Europe, en Amérique du Nord, au Japon et même dans l’ensemble des pays d’Asie orientale, le taux de fécondité ne cesse de baisser de façon plus qu’alarmante.
En 1979, le taux de fécondité moyenne était de 6 enfants par foyer à l’échelle mondiale. Selon l’ONU à la pointe dans les campagnes de « régulation » des populations, ce taux mondial est aujourd’hui réduit à 2,36 enfants par femme. Un taux de fécondité qui passe en dessous de 2,1 en Europe et en Amérique du Nord. Or, ce taux de 2,1 est le taux de remplacement nécessaire pour maintenir la population au même niveau.
Le constat est impressionnant : « Aujourd’hui, 3 % seulement de la population de la planète vit dans un pays dont la fécondité ne baisse pas », explique Jonathan V. Last, journaliste au Wall Street Journal et auteur d’un livre intitulé A quoi s’attendre quand personne n’attend d’enfant : la catastrophe démographique américaine qui vient.
Pour l’ONU et autres organisations mondialistes, la solution est simple : toujours plus de contraception et d’avortement et toujours plus d’immigration pour compenser. Un schéma hallucinant et suicidaire.
Qui plus est, on observe que si l’immigration avait réjoui momentanément les démographes américains plus soucieux de chiffres que d’identité, ces femmes issues de l’immigration en arrivent rapidement à réduire à leur tour leur fécondité en mimant les habitudes des femmes locales.
L’effondrement démographique se manifeste particulièrement au Japon. Illustration : en 2006, les huit derniers habitants d’Ogama ont vendu leur village à une entreprise afin de le transformer en décharge. Au pays du soleil levant, on parle désormais de « parasaito shinguru », les « célibataires parasites », femmes diplômées et actives qui habitent chez leurs parents pour dépenser le plus d’argent possible en vêtements et accessoires de mode. Pour « compenser » l’absence d’enfants, la dernière mode japonaise consiste à habiller son petit chien en nourrisson et à le promener en poussette ! Et il faut aussi souligner cet important marché des enfants-robots dont les traits et les attitudes sont troublants.
Partout, les femmes choisissent de faire moins de bébés. Les économistes désignent ce phénomène sous le vocable de « préférence révélée ». Cette politique de l’enfant unique que l’Etat chinois a imposé à ses citoyens, est appliquée volontairement par les populations d’Europe et d’Amérique du Nord…
Margaret Sanger, pionnière du planning familial qui maudissait la « fécondité insensée » des classes populaires, pourrait célébrer aujourd’hui son absurde victoire : sur presque tous les continents et dans tous les milieux sociaux, la femme « moderne » se refuse à donner la vie, précipitant la société vers le déclin.
http://www.medias-presse.info/une-societe-sans-enfants-la-catastrophe-demographique-qui-vient/3624
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
vévette a écrit:Bonjour Elysé
Vous voulez quoi ? je ne comprends pas : une société sans femmes ? ou bien la femme soumise aux caprices des hommes ?
Le Pape est nul ! les évêques et les prêtres aussi ! les femmes sont je ne sais quoi !
Apparemment, peu ont votre approbation !
Je vous plains.
Bonjour,
nous pensons que Dieu a créé l'homme et la femme différents, que ces différences sont fondamentales, et qu'elle traduisent des rôles différents à jouer.
Lorsque l'identité de la femme ou de l'homme est niée au nom d'une vision égalitariste c'est toute la société qui s'en trouve bouleversée : on le voit bien avec l'avortement, l'éducation négligée des enfants car personne ne s'occupe plus d'eux à la maison, l'augmentation du chômage car il faut deux emplois par famille alors qu'un seul avant, les femmes dépressives car elles ne supportent plus la pression au travail, leur féminité bafouée quand beaucoup voudraient rester au foyer mais on tellement honte d'une telle situation car on leur apprend qu'il n'y a rien de plus dévalorisant, comme si travailler à l'usine ou comme employé était "supérieur",...
Bien à vous dans le Christ,
Pécheur.
Pécheur- Aime la Divine Volonté
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
La femme moderne...
L évolution de la société, des relations humaines et des murs constitue une réalité qui néchappe sans doute à personne. Le tout est de savoir si cela apparaît, selon l époque étudiée, comme un progrès ou une décadence. Nos avis sur la question divergeront toujours et la perception dudit problème différera selon la position que l on occupe dans la communauté analysée. Notre opinion ne devrait dépendre essentiellement que de nous grâce à notre expérience personnelle et surtout nos acquis. Cependant, en tant qu animaux sociaux, nous estimons quil est impérieux de se sentir solidaires de la société dans laquelle nous vivons. Le conformisme devient nécessaire surtout pour les plus faibles d esprit puisque ces derniers demeurent incapables de se passer du sacro-saint consentement général et cela même s ils leur arrivent de penser autrement.
Il existe aujourdhui un poison, appelé féminisme, qui insuffle un état d esprit destructeur à notre population tant féminine que masculine. Ce phénomène, allié au règne de l individualisme, laisse croire aux femmes quil en va de leur propre intérêt ; quelles pourront ainsi se dépasser et s émanciper en s élevant au-dessus des valeurs traditionnelles jugées trop patriarcales et de la morale considérée comme excessivement astreignante. La femme moderne, aveuglée par une éducation féministe, vit comme liberté, comme choix ses actions spécifiques et non pas comme contrainte de soumission à un code. Elle pense être une rebelle étant donné quelle prétend s échapper de sa véritable nature. Nest-ce pas, en fait, un témoignage du manque d estime quelle porte à ce quelle est vraiment ?
Notre société voit les femmes se masculiniser et les hommes se féminiser. Or quoi de plus rébarbatif pour un homme qu un garçon manqué ? Quoi de plus repoussant pour une femme qu une fille manquée ? Nous oublions pourtant que nous ne sommes pas égaux, que cest même cette différence entre nous qui forge nos relations. L interdépendance entre mari et femme assure la permanence du couple. Comment s épanouir dans un ménage où les rôles de chacun sont mal définis ?
La simplicité et la générosité, voilà deux qualités essentielles que tout homme recherche éperdument chez une femme de nos jours. Néanmoins, toutes formes d exigences se trouvent actuellement bien du côté des demoiselles. De plus en plus sélectives au point den devenir acariâtre, ingrates et dépourvues de grâce ; cest le triste constat que peut faire l homme totalement apathique et désuvré face à l insensibilité des femmes de notre époque.
L idéal masculin doit désormais présenter des qualités physiques plutôt que morales aux yeux de la femme. Cest pourquoi elle consentira paradoxalement à être dominée voire brutalisée de la pire des manières au nom de sa liberté et de son épanouissement au lieu de choisir un pourvoyeur avec lequel elle pourrait entretenir une relation de confiance et d interdépendance. Nos aïeules étaient vigoureuses, généreuses avec leurs proches et libres. L évolution des techniques et l avènement des valeurs hédonistes à partir des années 1960 nous (même les hommes bien entendu) ont rendu complètement serviles de ce qui nous détruit.
Comment celles (et/ou ceux) qui pourraient s insurger (ou s indigner à la manière de Stéphane Hessel) contre mes propos expliqueraient-elles alors le fait quil y ait près de 15 millions de célibataires en France ? Il existe bien d autres indicateurs sociaux qui corroborent avec mes propos comme la hausse du nombre de divorces.
Une autre caractéristique de ce XXIème siècle correspond au nombre impressionnant de personnes souhaitant trouver leur moitié sur internet. Cest l occasion pour la femme moderne de faire son marché, la princesse rembarre les plus lourdingues, sans avoir linconvénient de les fixer droit dans les yeux, puis s offre au beau gosse qui ne laura pas trop ouvert. L homme profite de ce système afin de se détourner des impératifs du monde réel, le virtuel devient alors l occasion de ne pas affronter directement celle qu il a l habitude de mettre sur un piédestal. Cest que l homme moderne souffre tout autant de son éducation féministe sans le savoir. Resté au stade de l enfance, ce dernier ne s aperçoit pas quil nest plus qu un être dévirilisé et déshérité croyant pourtant être l incarnation du progrès ; se détournant sans cesse de ses ancêtres coupables davoir opprimé les femmes depuis l expulsion d Adam et Eve du jardin d Eden.
http://societe.aufeminin.com/forum/la-femme-moderne-fd3158576
L évolution de la société, des relations humaines et des murs constitue une réalité qui néchappe sans doute à personne. Le tout est de savoir si cela apparaît, selon l époque étudiée, comme un progrès ou une décadence. Nos avis sur la question divergeront toujours et la perception dudit problème différera selon la position que l on occupe dans la communauté analysée. Notre opinion ne devrait dépendre essentiellement que de nous grâce à notre expérience personnelle et surtout nos acquis. Cependant, en tant qu animaux sociaux, nous estimons quil est impérieux de se sentir solidaires de la société dans laquelle nous vivons. Le conformisme devient nécessaire surtout pour les plus faibles d esprit puisque ces derniers demeurent incapables de se passer du sacro-saint consentement général et cela même s ils leur arrivent de penser autrement.
Il existe aujourdhui un poison, appelé féminisme, qui insuffle un état d esprit destructeur à notre population tant féminine que masculine. Ce phénomène, allié au règne de l individualisme, laisse croire aux femmes quil en va de leur propre intérêt ; quelles pourront ainsi se dépasser et s émanciper en s élevant au-dessus des valeurs traditionnelles jugées trop patriarcales et de la morale considérée comme excessivement astreignante. La femme moderne, aveuglée par une éducation féministe, vit comme liberté, comme choix ses actions spécifiques et non pas comme contrainte de soumission à un code. Elle pense être une rebelle étant donné quelle prétend s échapper de sa véritable nature. Nest-ce pas, en fait, un témoignage du manque d estime quelle porte à ce quelle est vraiment ?
Notre société voit les femmes se masculiniser et les hommes se féminiser. Or quoi de plus rébarbatif pour un homme qu un garçon manqué ? Quoi de plus repoussant pour une femme qu une fille manquée ? Nous oublions pourtant que nous ne sommes pas égaux, que cest même cette différence entre nous qui forge nos relations. L interdépendance entre mari et femme assure la permanence du couple. Comment s épanouir dans un ménage où les rôles de chacun sont mal définis ?
La simplicité et la générosité, voilà deux qualités essentielles que tout homme recherche éperdument chez une femme de nos jours. Néanmoins, toutes formes d exigences se trouvent actuellement bien du côté des demoiselles. De plus en plus sélectives au point den devenir acariâtre, ingrates et dépourvues de grâce ; cest le triste constat que peut faire l homme totalement apathique et désuvré face à l insensibilité des femmes de notre époque.
L idéal masculin doit désormais présenter des qualités physiques plutôt que morales aux yeux de la femme. Cest pourquoi elle consentira paradoxalement à être dominée voire brutalisée de la pire des manières au nom de sa liberté et de son épanouissement au lieu de choisir un pourvoyeur avec lequel elle pourrait entretenir une relation de confiance et d interdépendance. Nos aïeules étaient vigoureuses, généreuses avec leurs proches et libres. L évolution des techniques et l avènement des valeurs hédonistes à partir des années 1960 nous (même les hommes bien entendu) ont rendu complètement serviles de ce qui nous détruit.
Comment celles (et/ou ceux) qui pourraient s insurger (ou s indigner à la manière de Stéphane Hessel) contre mes propos expliqueraient-elles alors le fait quil y ait près de 15 millions de célibataires en France ? Il existe bien d autres indicateurs sociaux qui corroborent avec mes propos comme la hausse du nombre de divorces.
Une autre caractéristique de ce XXIème siècle correspond au nombre impressionnant de personnes souhaitant trouver leur moitié sur internet. Cest l occasion pour la femme moderne de faire son marché, la princesse rembarre les plus lourdingues, sans avoir linconvénient de les fixer droit dans les yeux, puis s offre au beau gosse qui ne laura pas trop ouvert. L homme profite de ce système afin de se détourner des impératifs du monde réel, le virtuel devient alors l occasion de ne pas affronter directement celle qu il a l habitude de mettre sur un piédestal. Cest que l homme moderne souffre tout autant de son éducation féministe sans le savoir. Resté au stade de l enfance, ce dernier ne s aperçoit pas quil nest plus qu un être dévirilisé et déshérité croyant pourtant être l incarnation du progrès ; se détournant sans cesse de ses ancêtres coupables davoir opprimé les femmes depuis l expulsion d Adam et Eve du jardin d Eden.
http://societe.aufeminin.com/forum/la-femme-moderne-fd3158576
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Il faudrait réactualiser la réponse de Tatiana Goritcheva !
Un féminisme marial
Beaucoup de féministes considèrent la Vierge comme un modèle dangereux, une image d’oppression, fabriquée par des clercs célibataires. Pensez donc : une Vierge à l’heure de la libération sexuelle, et Mère à l’heure de la croisade féministe pour la contraception et l’avortement ; vierge mère, donc modèle contradictoire, impossible, inimitable, désespérant…
Mais Tatiana Goritcheva et Svetlana Sanova, son amie, percevaient, tout au contraire l’avenir des femmes avec Marie : une femme merveilleuse, la Mère de Dieu, rayonnante de la grâce et de la gloire divine.
Elles découvraient son élan, sa générosité, sa pureté, car, après les aventures de désespoir, jusqu’à l’érotisme, elles avaient la nostalgie de la pureté, de la tendresse personnalisée, sans laquelle l’amour n’est qu’animal…
Tatiana insistait sur la pureté de Marie et Svetlana, sur la Maternité divine et humaine.
Tatiana contemplait et imitait son humilité, son obéissance de servante, et son courage au pied de la croix. Elle puisait chez elle la patience dans les épreuves, si nécessaire aux convertis face au redoutable appareil policier.
Ces jeunes féministes russes fréquentaient assidûment alors les monastères, pour y découvrir les secrets de la prière. Elles trouvaient en Marie un relais transparent vers Dieu… Et c’était une irruption inconnue de joie et de lumière.
Le mouvement féministe russe prit le nom « Maria », en l’honneur de la Mère de Dieu : leur modèle libérateur.
Ce mouvement fut insupportable aux yeux du communisme.
Le marxisme avait dépassé les antithèses, donc les oppressions. Il avait établi l’égalité parfaite entre les hommes et les femmes. Il leur avait offert la liberté de l’avortement. La naissance d’un féminisme critique était un nouveau démenti aux certitudes marxistes. Qui pis est, ce féminisme contestait le régime et son athéisme.
« Tu me demandes pourquoi je dénonce le mépris de la femme, alors que la femme est totalement émancipée dans notre pays […] La femme n’a pas été émancipée. C’est l’homme qui a été féminisé. Dans une société comme la nôtre, l’homme ne peut pas être indépendant, il ne peut pas répondre de ses actes, ni construire sa vie librement et consciemment. Et, dans la famille (rongée par l’alcoolisme) comme dans l’industrie, la femme constitue la force de base. […] Monstrueusement surchargée, elle est le martyr de notre époque. »
Tel était le fer de lance de sa revendication féminine, dirigée contre le système. Ici, Tatiana confesse la triste aventure de sa jeunesse : recherche de l’amour par un mariage précipité, déception, rupture, puis débauche, hystérie quotidienne dans un « tout est permis » désespéré. Dans notre paganisme amoral, nous avons vécu cette négation de la féminité, qui est la marque de toutes les religions païennes du passé. Et le paganisme athée était pire, décapé, dépoétisé, déshumanisé. Alors vint la solution : c’était Marie : Elle est venue à nous, Celle qui vient sauver les mourants.
Propos reccueillis par R. LAURENTIN, Comment la Vierge Marie leur a rendu la liberté, ŒIL, Paris, 1991, p. 63-72.
Un féminisme marial
Beaucoup de féministes considèrent la Vierge comme un modèle dangereux, une image d’oppression, fabriquée par des clercs célibataires. Pensez donc : une Vierge à l’heure de la libération sexuelle, et Mère à l’heure de la croisade féministe pour la contraception et l’avortement ; vierge mère, donc modèle contradictoire, impossible, inimitable, désespérant…
Mais Tatiana Goritcheva et Svetlana Sanova, son amie, percevaient, tout au contraire l’avenir des femmes avec Marie : une femme merveilleuse, la Mère de Dieu, rayonnante de la grâce et de la gloire divine.
Elles découvraient son élan, sa générosité, sa pureté, car, après les aventures de désespoir, jusqu’à l’érotisme, elles avaient la nostalgie de la pureté, de la tendresse personnalisée, sans laquelle l’amour n’est qu’animal…
Tatiana insistait sur la pureté de Marie et Svetlana, sur la Maternité divine et humaine.
Tatiana contemplait et imitait son humilité, son obéissance de servante, et son courage au pied de la croix. Elle puisait chez elle la patience dans les épreuves, si nécessaire aux convertis face au redoutable appareil policier.
Ces jeunes féministes russes fréquentaient assidûment alors les monastères, pour y découvrir les secrets de la prière. Elles trouvaient en Marie un relais transparent vers Dieu… Et c’était une irruption inconnue de joie et de lumière.
Le mouvement féministe russe prit le nom « Maria », en l’honneur de la Mère de Dieu : leur modèle libérateur.
Ce mouvement fut insupportable aux yeux du communisme.
Le marxisme avait dépassé les antithèses, donc les oppressions. Il avait établi l’égalité parfaite entre les hommes et les femmes. Il leur avait offert la liberté de l’avortement. La naissance d’un féminisme critique était un nouveau démenti aux certitudes marxistes. Qui pis est, ce féminisme contestait le régime et son athéisme.
« Tu me demandes pourquoi je dénonce le mépris de la femme, alors que la femme est totalement émancipée dans notre pays […] La femme n’a pas été émancipée. C’est l’homme qui a été féminisé. Dans une société comme la nôtre, l’homme ne peut pas être indépendant, il ne peut pas répondre de ses actes, ni construire sa vie librement et consciemment. Et, dans la famille (rongée par l’alcoolisme) comme dans l’industrie, la femme constitue la force de base. […] Monstrueusement surchargée, elle est le martyr de notre époque. »
Tel était le fer de lance de sa revendication féminine, dirigée contre le système. Ici, Tatiana confesse la triste aventure de sa jeunesse : recherche de l’amour par un mariage précipité, déception, rupture, puis débauche, hystérie quotidienne dans un « tout est permis » désespéré. Dans notre paganisme amoral, nous avons vécu cette négation de la féminité, qui est la marque de toutes les religions païennes du passé. Et le paganisme athée était pire, décapé, dépoétisé, déshumanisé. Alors vint la solution : c’était Marie : Elle est venue à nous, Celle qui vient sauver les mourants.
Propos reccueillis par R. LAURENTIN, Comment la Vierge Marie leur a rendu la liberté, ŒIL, Paris, 1991, p. 63-72.
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Merveilleux Catherine, Notre maman du ciel est l exemple pour les femmes
Mille bénédictions
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Ginette Boudreau- Avec Saint Thomas d'Aquin
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Pour conclure sur ce fil
De nos jours, c'est le feminisme marxisme et diabolique qui emporte les femmes modernes dans un tourbillons de folie
Entrez femme chretienne dans le feminisme mariale qui est à l'encontre de ce feminisme que l'on vous vend comme une liberation.
La Vierge Marie n'est elle pas l'exemple de toutes les femmes
De nos jours ou nos sociétés modernes se meurt faute d'enfant comme vous le montre tout ce fil, revetez fierement ce feminisme mariale
Les médias les appellent les FAF (femmes au foyer), les instituts officiels de statistiques les classent parmi les « inactifs », sur les déclarations d'état civil elles apparaissent « sans profession », beaucoup de célibataires leur envient leurs maisons pleines de rires d'enfants, les femmes qui travaillent lorgnent de leur côté en se disant qu'elles ont « bien de la chance de pouvoir se le permettre », ou bien disent en secouant la tête avec une moue septique que « jamais elles ne pourraient rester cloîtrées entre leurs quatre murs, c'est bien trop «sclérosant » . Pour nos grands-mères, être au foyer et élever les enfants était la normalité, deux générations plus tard, rester au foyer est devenu une exception, presque une tare. Alors pourquoi faire ce choix ?
Faire garder un enfant à l'extérieur nécessite toute une armada de professionnelles reconnues, puéricultrices, aides puéricultrices, nutritionnistes, psychologues, éducatrices, mais si une femme fait ce même travail à la maison, pour ses propres enfants, son travail est rarement reconnu et toujours sous évalué. Désolée de le dire aux septiques, mais un enfant, ça ne « pousse » pas tout seul, et c'est toute une profession, tout un défi, d'être maman à la maison. Tous les professionnels de l'enfance, pédo-psychiatres en tête, s'accordent à dire que rien ne remplace le contact mère-enfant, surtout dans les premières années de sa vie. C'est dans ce cœur-à-cœur idéal avec sa mère que le bébé va développer son plein potentiel au niveau émotionnel, psycho-moteur et intellectuel. Aucune garderie, même la plus moderne, aucune gardienne, même la plus zélée et compétente, ne peut remplacer la présence de la maman. Je ne voudrais pas que les mamans qui travaillent par choix ou par obligation se sentent jugées ou mal à l'aise par mes propos, mon but est d'encourager celles qui hésitent à faire le pas, ou qui se sentent inutiles et incomprises chez elles.
1-Faire le choix :
Le choix n'est pas facile à faire. Il n'est malheureusement pas donné à toutes les femmes de pouvoir faire ce choix : certaines femmes doivent gérer des situations familiales chaotiques et doivent gagner le pain de la famille. C'est déjà une grâce, de pouvoir se poser la question de rester à la maison ou non. Mais pour toutes celles qui se la posent, qui ont envie de le faire, ou se sentent partagées devant tous les arguments pour et contre, voici quelques pistes.
a) « Financièrement, on n'y arrivera pas »:
S'arrêter de travailler à l'extérieur pour élever ses enfants peut sembler une folie financière à certaines familles. Mais faites bien vos comptes : les entrées financières et les dépenses changent. Une fois que vous avez déduit de votre salaire les frais de garde du ou des enfants, les impôts, les frais de transport (il faut souvent un deuxième véhicule pour aller travailler), les vêtements (on dépense plus en habits, car il faut bien présenter, et varier les tenues), le coiffeur (plus souvent), les plats tout préparés (quand on travaille dehors, on n'a pas le temps de faire soi-même des pizzas, des biscuits, des lasagnes, des yaourts etc, tout coûte plus cher, on achète des petits pots, plutôt que de faire soi-même les purées). On a moins l'occasion de traquer les aubaines. Dans certains pays comme la France, il y a des aides importantes pour les femmes qui restent à la maison (allocations familiales, congé parental payé, allocations logement etc). Si l'aspect financier vous bloque, mettez tout à plat, et faites bien vos comptes, il y aura un sacrifice financier, mais peut-être pas si grand que vous ne le pensiez.
De toute façon, il faut être réaliste, il est certain que de rester à la maison va entraîner des choix financiers parfois douloureux, mais il faut tout mettre dans la balance : que veut-on vraiment ? Quel est notre choix de vie? La femme qui reste à la maison élever ses enfants va devoir développer tout son potentiel de créativité pour économiser de tous les côtés et gérer le quotidien.
En tant que chrétienne convaincue, d'autres aspects entrent en ligne de compte. Personnellement, quand j'ai fait le choix de rester à la maison élever mes enfants, si j'avais raisonné financièrement, je ne l'aurais jamais fait : mon mari laissait son travail séculier pour travailler à plein temps comme pasteur, son salaire était divisé par quatre ; ce n'était pas du tout le plan idéal. Mais nous l'avons fait et nous n'avons jamais regretté. Nous croyons fermement que Dieu pourvoit aux besoins de ses enfants fidèlement, et c'est ce qu'il a toujours fait, nous n'avons jamais manqué de rien. C'est un pas de foi, et pour ceux qui hésitent à le faire car « ce n'est pas raisonnable », leur hésitation est tout à fait respectable. Il faut tout mettre dans la balance et prendre la décision en toute sagesse.
b) Rester à la maison c'est « sclérosant » :
J'ai souvent entendu cette phrase empreinte d'un peu de dégoût. Certaines femmes vont dire qu'elles se sont épanouies à la maison, que c'était merveilleux, les stars dans les magazines nous déclarent avec un sourire aux anges qu'être maman est le plus beau des métiers. C'est vrai, et ça restera toujours d'une valeur inestimable de s'occuper de sa famille, mais il faut être réaliste et honnête : rester à la maison, c'est l'idéal pour les enfants et le mari, mais pour la maman, ce n'est pas tous les jours particulièrement folichon. C'est avant tout un don de soi, un vrai sacrifice, même si ce sacrifice est adouci par les joies de voir les enfants grandir, faire des progrès, bien travailler à l'école. Le travail de maman à la maison est très ingrat : elle travaille beaucoup, sans aucune reconnaissance, les enfants et le mari s'habituent vite au « luxe » d'avoir une maman qui gère tout et anticipe leurs besoins. Dans une maison, on n'a jamais fini, il n'y a pas d'heure de fermeture des bureaux, après une journée épuisante de couche-culottes, petits pots, ménage, commissions, repassage, on croit avoir fini en s'effondrant sur le sofa à 21heures, mais à peine assise, il y en a un qui se relève avec l'envie de vomir, un pipi culotte, ou une otite. Il n'y a pas de « break » avec les collègues de bureau autour d'un sandwich, pas de conversation d'adulte enrichissante sur l'économie ou la politique, pas de salaire qui tombe ni de prime « pour bons et loyaux services » juste des areuh, areuh, gouzi gouzi qui stimulent peu les neurones et usent les nerfs.
2. Les défis à relever :
bébéIl y a des phases normales dans la vie d'une mère au foyer : au début, c'est l'euphorie, on goûte avec soulagement l'absence de contraintes horaires, le patron n'est plus sur notre dos à nous mettre la pression. On est ravie d'être à la maison, de faire des petits plats, de décorer, de chouchouter notre maisonnée. Puis vient le temps ou ça commence à être assez ennuyeux et routinier, on commence à trouver le temps long, de ne pas « voir du monde », d'être coincée entre quatre murs à changer des couches culottes et préparer des biberons. Ensuite vient un temps particulièrement ingrat où l'on s'aperçoit que notre travail n'est pas reconnu (le mari rentre le soir et s'étonne de nous voir épuisée « de n'avoir rien fait », les enfants plus grands qui salissent là où on a passé du temps à nettoyer et ranger...). On a de la frustration, on en a assez des regards méprisants des gens, on a parfois dans les moments les plus sombres, l'impression d'être un parasite improductif de la société.
Mieux vaut être prévenue à l'avance et ne pas idéaliser : rester à la maison, ça va être un don de soi et une activité à gérer avec intelligence pour ne pas se retrouver dégoûtée après quelques années et regretter son choix.
Le renoncement à l'indépendance financière
Certaines femmes qui ont eu l'habitude d'avoir leur propre salaire à gérer se sentent mal à l'aise de dépenser l'argent gagné par leur mari. C'est un peu humiliant, surtout si le mari a la délicatesse de faire remarquer avec plus ou moins d'humour « moi je gagne l'argent, ma femme le dépense ». Nos grands mères ne se sont jamais posé la question, et il était communément admis dans toutes les sociétés, et ce depuis la nuit des temps, que c'était le père de famille qui pourvoyait aux besoins de la maisonnée. Là les féministes rugissent et brandissent le droit à l'indépendance. Chacun fait son choix. Lorsque l'on vit dans un foyer chrétien équilibré, avec un père et une mère responsables et présents, qu'il y a un vrai amour et une confiance mutuelle entre les époux, l'économie familiale doit être considérée comme une répartition des tâches et responsabilités, la mère comme le père apportent leur pierre à l'édifice familial, il n'y a pas d'histoire de domination là-dedans. En bonne économiste, j'ajouterais qu'économiquement parlant, la mère qui élève ses enfants est aussi créatrice de richesse. Si vous en doutez, faites une évaluation chiffrée de la valeur des tâches qui vous incombent par jour au tarif d'une personne extérieure : ménage 3heures à 10 dollars, garde d'enfant, 24 heures à 50 dollars, préparation des repas 3X10 dollars, gestion de budget et secrétariat familial : 15 dollars de l'heure, etc. A ces tarifs là, vu que je suis « de service » 24 heures sur 24 et 365 jours par an, je gagnerais plus cher que mon mari !!!!
Quel est notre choix de vie?
Là je vous repose la question fondamentale : « Que voulons-nous vraiment ? » Que nos enfants soient élevés dans les meilleures conditions ? Que notre maisonnée tourne bien ? Que l'atmosphère à la maison ne soit pas survoltée ? Que nos enfants grandissent avec un équilibre émotionnel et un développement idéal ? Voulons-nous un foyer chrétien modèle, à la Gloire de Dieu ? Ou bien plaçons-nous en premier notre valorisation sociale, notre épanouissement personnel, et aussi l'abondance matérielle de la famille ? Nous vivons dans une société qui valorise la réussite professionnelle, l'indépendance financière, la productivité, et le pouvoir d'achat. Le leitmotiv de la société c'est l'épanouissement personnel, le JE, si important, la satisfaction des besoins égoïstes, et la consommation effrénée. Pas étonnant que la mère au foyer n'ait pas la cote dans cette société ! Etre une mère au foyer, c'est faire passer les besoins des autres avant les siens, c'est donner et se donner sans compter, et sans reconnaissance en retour, c'est prendre le risque de se retrouver sans rien plus tard, de ne pas retrouver de travail, d'hypothéquer sa retraite et dans le scénario catastrophe, de se retrouver un jour seule et dans le pétrin. Je comprends que certaines femmes hésitent à prendre tous ces risques, mais en tant que chrétiennes convaincues, le problème se pose différemment.
Dieu nous confie des enfants pour que nous en prenions soin, et que nous les élevions du mieux que nous pouvons. Nous avons des valeurs essentielles à leur transmettre que les systèmes de garde séculiers ne leur transmettront pas. Nous avons de l'amour à leur donner et quand on travaille à l'extérieur, on ne peut pas donner autant, faute de temps et de disponibilité. Je crois fermement que la volonté de Dieu est que les mères se donnent sans compter pour leur foyer, qu'elles élèvent elles-mêmes leurs enfants et mettent pour un temps de côté leurs ambitions et leur bien-être personnels. Les notions de sacrifice, de don de soi ne sont pas à la mode, c'est même le contraire de ce que la société enseigne, mais c'est exactement le modèle que Jésus nous a donné lui-même en se donnant pour nous.
Alors que j'assistais à une conférence pour les femmes chrétiennes il y a quelques années, une femme brillante, ex-haut fonctionnaire, bardée de diplômes, et qui n'avait plus rien à prouver à personne sur ses capacités, a partagé avec nous son expérience personnelle de maman au foyer. Sa conclusion m'a beaucoup marquée : elle a interpellé toutes les femmes qui se trouvaient là et a dit ceci « Vous voulez changer les choses dans votre pays ? Alors retournez dans vos foyers et prenez en soin, c'est comme ça que la société changera vraiment et que les lèpres qui la rongent seront guéries ». Je vous laisse méditer là-dessus...
Maintenant quand on vous demandera votre profession, ne répondez pas "je reste à la maison", ou "sans profession", répondez plutôt en relevant fièrement le menton: "je suis investisseur en capital humain"...
De nos jours, c'est le feminisme marxisme et diabolique qui emporte les femmes modernes dans un tourbillons de folie
Entrez femme chretienne dans le feminisme mariale qui est à l'encontre de ce feminisme que l'on vous vend comme une liberation.
La Vierge Marie n'est elle pas l'exemple de toutes les femmes
De nos jours ou nos sociétés modernes se meurt faute d'enfant comme vous le montre tout ce fil, revetez fierement ce feminisme mariale
Les médias les appellent les FAF (femmes au foyer), les instituts officiels de statistiques les classent parmi les « inactifs », sur les déclarations d'état civil elles apparaissent « sans profession », beaucoup de célibataires leur envient leurs maisons pleines de rires d'enfants, les femmes qui travaillent lorgnent de leur côté en se disant qu'elles ont « bien de la chance de pouvoir se le permettre », ou bien disent en secouant la tête avec une moue septique que « jamais elles ne pourraient rester cloîtrées entre leurs quatre murs, c'est bien trop «sclérosant » . Pour nos grands-mères, être au foyer et élever les enfants était la normalité, deux générations plus tard, rester au foyer est devenu une exception, presque une tare. Alors pourquoi faire ce choix ?
Faire garder un enfant à l'extérieur nécessite toute une armada de professionnelles reconnues, puéricultrices, aides puéricultrices, nutritionnistes, psychologues, éducatrices, mais si une femme fait ce même travail à la maison, pour ses propres enfants, son travail est rarement reconnu et toujours sous évalué. Désolée de le dire aux septiques, mais un enfant, ça ne « pousse » pas tout seul, et c'est toute une profession, tout un défi, d'être maman à la maison. Tous les professionnels de l'enfance, pédo-psychiatres en tête, s'accordent à dire que rien ne remplace le contact mère-enfant, surtout dans les premières années de sa vie. C'est dans ce cœur-à-cœur idéal avec sa mère que le bébé va développer son plein potentiel au niveau émotionnel, psycho-moteur et intellectuel. Aucune garderie, même la plus moderne, aucune gardienne, même la plus zélée et compétente, ne peut remplacer la présence de la maman. Je ne voudrais pas que les mamans qui travaillent par choix ou par obligation se sentent jugées ou mal à l'aise par mes propos, mon but est d'encourager celles qui hésitent à faire le pas, ou qui se sentent inutiles et incomprises chez elles.
1-Faire le choix :
Le choix n'est pas facile à faire. Il n'est malheureusement pas donné à toutes les femmes de pouvoir faire ce choix : certaines femmes doivent gérer des situations familiales chaotiques et doivent gagner le pain de la famille. C'est déjà une grâce, de pouvoir se poser la question de rester à la maison ou non. Mais pour toutes celles qui se la posent, qui ont envie de le faire, ou se sentent partagées devant tous les arguments pour et contre, voici quelques pistes.
a) « Financièrement, on n'y arrivera pas »:
S'arrêter de travailler à l'extérieur pour élever ses enfants peut sembler une folie financière à certaines familles. Mais faites bien vos comptes : les entrées financières et les dépenses changent. Une fois que vous avez déduit de votre salaire les frais de garde du ou des enfants, les impôts, les frais de transport (il faut souvent un deuxième véhicule pour aller travailler), les vêtements (on dépense plus en habits, car il faut bien présenter, et varier les tenues), le coiffeur (plus souvent), les plats tout préparés (quand on travaille dehors, on n'a pas le temps de faire soi-même des pizzas, des biscuits, des lasagnes, des yaourts etc, tout coûte plus cher, on achète des petits pots, plutôt que de faire soi-même les purées). On a moins l'occasion de traquer les aubaines. Dans certains pays comme la France, il y a des aides importantes pour les femmes qui restent à la maison (allocations familiales, congé parental payé, allocations logement etc). Si l'aspect financier vous bloque, mettez tout à plat, et faites bien vos comptes, il y aura un sacrifice financier, mais peut-être pas si grand que vous ne le pensiez.
De toute façon, il faut être réaliste, il est certain que de rester à la maison va entraîner des choix financiers parfois douloureux, mais il faut tout mettre dans la balance : que veut-on vraiment ? Quel est notre choix de vie? La femme qui reste à la maison élever ses enfants va devoir développer tout son potentiel de créativité pour économiser de tous les côtés et gérer le quotidien.
En tant que chrétienne convaincue, d'autres aspects entrent en ligne de compte. Personnellement, quand j'ai fait le choix de rester à la maison élever mes enfants, si j'avais raisonné financièrement, je ne l'aurais jamais fait : mon mari laissait son travail séculier pour travailler à plein temps comme pasteur, son salaire était divisé par quatre ; ce n'était pas du tout le plan idéal. Mais nous l'avons fait et nous n'avons jamais regretté. Nous croyons fermement que Dieu pourvoit aux besoins de ses enfants fidèlement, et c'est ce qu'il a toujours fait, nous n'avons jamais manqué de rien. C'est un pas de foi, et pour ceux qui hésitent à le faire car « ce n'est pas raisonnable », leur hésitation est tout à fait respectable. Il faut tout mettre dans la balance et prendre la décision en toute sagesse.
b) Rester à la maison c'est « sclérosant » :
J'ai souvent entendu cette phrase empreinte d'un peu de dégoût. Certaines femmes vont dire qu'elles se sont épanouies à la maison, que c'était merveilleux, les stars dans les magazines nous déclarent avec un sourire aux anges qu'être maman est le plus beau des métiers. C'est vrai, et ça restera toujours d'une valeur inestimable de s'occuper de sa famille, mais il faut être réaliste et honnête : rester à la maison, c'est l'idéal pour les enfants et le mari, mais pour la maman, ce n'est pas tous les jours particulièrement folichon. C'est avant tout un don de soi, un vrai sacrifice, même si ce sacrifice est adouci par les joies de voir les enfants grandir, faire des progrès, bien travailler à l'école. Le travail de maman à la maison est très ingrat : elle travaille beaucoup, sans aucune reconnaissance, les enfants et le mari s'habituent vite au « luxe » d'avoir une maman qui gère tout et anticipe leurs besoins. Dans une maison, on n'a jamais fini, il n'y a pas d'heure de fermeture des bureaux, après une journée épuisante de couche-culottes, petits pots, ménage, commissions, repassage, on croit avoir fini en s'effondrant sur le sofa à 21heures, mais à peine assise, il y en a un qui se relève avec l'envie de vomir, un pipi culotte, ou une otite. Il n'y a pas de « break » avec les collègues de bureau autour d'un sandwich, pas de conversation d'adulte enrichissante sur l'économie ou la politique, pas de salaire qui tombe ni de prime « pour bons et loyaux services » juste des areuh, areuh, gouzi gouzi qui stimulent peu les neurones et usent les nerfs.
2. Les défis à relever :
bébéIl y a des phases normales dans la vie d'une mère au foyer : au début, c'est l'euphorie, on goûte avec soulagement l'absence de contraintes horaires, le patron n'est plus sur notre dos à nous mettre la pression. On est ravie d'être à la maison, de faire des petits plats, de décorer, de chouchouter notre maisonnée. Puis vient le temps ou ça commence à être assez ennuyeux et routinier, on commence à trouver le temps long, de ne pas « voir du monde », d'être coincée entre quatre murs à changer des couches culottes et préparer des biberons. Ensuite vient un temps particulièrement ingrat où l'on s'aperçoit que notre travail n'est pas reconnu (le mari rentre le soir et s'étonne de nous voir épuisée « de n'avoir rien fait », les enfants plus grands qui salissent là où on a passé du temps à nettoyer et ranger...). On a de la frustration, on en a assez des regards méprisants des gens, on a parfois dans les moments les plus sombres, l'impression d'être un parasite improductif de la société.
Mieux vaut être prévenue à l'avance et ne pas idéaliser : rester à la maison, ça va être un don de soi et une activité à gérer avec intelligence pour ne pas se retrouver dégoûtée après quelques années et regretter son choix.
Le renoncement à l'indépendance financière
Certaines femmes qui ont eu l'habitude d'avoir leur propre salaire à gérer se sentent mal à l'aise de dépenser l'argent gagné par leur mari. C'est un peu humiliant, surtout si le mari a la délicatesse de faire remarquer avec plus ou moins d'humour « moi je gagne l'argent, ma femme le dépense ». Nos grands mères ne se sont jamais posé la question, et il était communément admis dans toutes les sociétés, et ce depuis la nuit des temps, que c'était le père de famille qui pourvoyait aux besoins de la maisonnée. Là les féministes rugissent et brandissent le droit à l'indépendance. Chacun fait son choix. Lorsque l'on vit dans un foyer chrétien équilibré, avec un père et une mère responsables et présents, qu'il y a un vrai amour et une confiance mutuelle entre les époux, l'économie familiale doit être considérée comme une répartition des tâches et responsabilités, la mère comme le père apportent leur pierre à l'édifice familial, il n'y a pas d'histoire de domination là-dedans. En bonne économiste, j'ajouterais qu'économiquement parlant, la mère qui élève ses enfants est aussi créatrice de richesse. Si vous en doutez, faites une évaluation chiffrée de la valeur des tâches qui vous incombent par jour au tarif d'une personne extérieure : ménage 3heures à 10 dollars, garde d'enfant, 24 heures à 50 dollars, préparation des repas 3X10 dollars, gestion de budget et secrétariat familial : 15 dollars de l'heure, etc. A ces tarifs là, vu que je suis « de service » 24 heures sur 24 et 365 jours par an, je gagnerais plus cher que mon mari !!!!
Quel est notre choix de vie?
Là je vous repose la question fondamentale : « Que voulons-nous vraiment ? » Que nos enfants soient élevés dans les meilleures conditions ? Que notre maisonnée tourne bien ? Que l'atmosphère à la maison ne soit pas survoltée ? Que nos enfants grandissent avec un équilibre émotionnel et un développement idéal ? Voulons-nous un foyer chrétien modèle, à la Gloire de Dieu ? Ou bien plaçons-nous en premier notre valorisation sociale, notre épanouissement personnel, et aussi l'abondance matérielle de la famille ? Nous vivons dans une société qui valorise la réussite professionnelle, l'indépendance financière, la productivité, et le pouvoir d'achat. Le leitmotiv de la société c'est l'épanouissement personnel, le JE, si important, la satisfaction des besoins égoïstes, et la consommation effrénée. Pas étonnant que la mère au foyer n'ait pas la cote dans cette société ! Etre une mère au foyer, c'est faire passer les besoins des autres avant les siens, c'est donner et se donner sans compter, et sans reconnaissance en retour, c'est prendre le risque de se retrouver sans rien plus tard, de ne pas retrouver de travail, d'hypothéquer sa retraite et dans le scénario catastrophe, de se retrouver un jour seule et dans le pétrin. Je comprends que certaines femmes hésitent à prendre tous ces risques, mais en tant que chrétiennes convaincues, le problème se pose différemment.
Dieu nous confie des enfants pour que nous en prenions soin, et que nous les élevions du mieux que nous pouvons. Nous avons des valeurs essentielles à leur transmettre que les systèmes de garde séculiers ne leur transmettront pas. Nous avons de l'amour à leur donner et quand on travaille à l'extérieur, on ne peut pas donner autant, faute de temps et de disponibilité. Je crois fermement que la volonté de Dieu est que les mères se donnent sans compter pour leur foyer, qu'elles élèvent elles-mêmes leurs enfants et mettent pour un temps de côté leurs ambitions et leur bien-être personnels. Les notions de sacrifice, de don de soi ne sont pas à la mode, c'est même le contraire de ce que la société enseigne, mais c'est exactement le modèle que Jésus nous a donné lui-même en se donnant pour nous.
Alors que j'assistais à une conférence pour les femmes chrétiennes il y a quelques années, une femme brillante, ex-haut fonctionnaire, bardée de diplômes, et qui n'avait plus rien à prouver à personne sur ses capacités, a partagé avec nous son expérience personnelle de maman au foyer. Sa conclusion m'a beaucoup marquée : elle a interpellé toutes les femmes qui se trouvaient là et a dit ceci « Vous voulez changer les choses dans votre pays ? Alors retournez dans vos foyers et prenez en soin, c'est comme ça que la société changera vraiment et que les lèpres qui la rongent seront guéries ». Je vous laisse méditer là-dessus...
Maintenant quand on vous demandera votre profession, ne répondez pas "je reste à la maison", ou "sans profession", répondez plutôt en relevant fièrement le menton: "je suis investisseur en capital humain"...
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
je ne vais pas répondre aussi longuement !
question travail, je pense qu'il n'est pas mauvais qu'une femme puisse sortir de chez elle, c'est aussi bien pour elle que pour le couple. Il faudrait simplement qu'elle y passe un temps limité, que ça puisse à l'occasion être ponctuel.
Je pense que les femmes ont d'une manière ou d'une autre toujours travaillé. . La vie était différente, les femmes pouvaient travailler sans être rémunérées !
Dans les couples qui tenaient un commerce, qui travaillaient dans les champs, ou dans n'importe quel corps de métier, les femmes apportaient souvent leur contribution.
Bon nombres de femmes considérées comme femme au foyer n'ont pas forcément mieux élevé leurs enfants.
L'isolement ne les rendait pas forcément compréhensives.
Elles analysaient des situations et avaient des comportements pas toujours adaptés pour l'épanouissement de l'enfant.
L'homme actuellement participe à certaines tâches ménagères, s'occupe des enfants, et ne sont pas moins bons éducateurs que les femmes.
le pire de notre époque, c'est un tout, en dépit du bon sens ! Il faudrait remettre tout à plat, tout repenser.
quand même, je trouve que les hommes et les femmes sont une complémentarité bien plus maintenant qu'à une époque.
je n'ai pas développé aussi savamment, j'ai été élevé par une mère qui était femme au foyer, et qui pensait que je ferai comme elle.
question travail, je pense qu'il n'est pas mauvais qu'une femme puisse sortir de chez elle, c'est aussi bien pour elle que pour le couple. Il faudrait simplement qu'elle y passe un temps limité, que ça puisse à l'occasion être ponctuel.
Je pense que les femmes ont d'une manière ou d'une autre toujours travaillé. . La vie était différente, les femmes pouvaient travailler sans être rémunérées !
Dans les couples qui tenaient un commerce, qui travaillaient dans les champs, ou dans n'importe quel corps de métier, les femmes apportaient souvent leur contribution.
Bon nombres de femmes considérées comme femme au foyer n'ont pas forcément mieux élevé leurs enfants.
L'isolement ne les rendait pas forcément compréhensives.
Elles analysaient des situations et avaient des comportements pas toujours adaptés pour l'épanouissement de l'enfant.
L'homme actuellement participe à certaines tâches ménagères, s'occupe des enfants, et ne sont pas moins bons éducateurs que les femmes.
le pire de notre époque, c'est un tout, en dépit du bon sens ! Il faudrait remettre tout à plat, tout repenser.
quand même, je trouve que les hommes et les femmes sont une complémentarité bien plus maintenant qu'à une époque.
je n'ai pas développé aussi savamment, j'ai été élevé par une mère qui était femme au foyer, et qui pensait que je ferai comme elle.
granny- Contemplatif
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Bonjour
Tu va avoir beaucoup de difficulté a faire gobé cela a Elysé, il a un petit côté misogyne ..... hihihihi
limond- Avec le Pape François
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Ca coïncide avec l'interview d'Aaron Russo sur le féminisme:
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t8850-preuve-irrefutable-d-une-conspiration-du-nouvel-ordre-mondial#98170
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t8850-preuve-irrefutable-d-une-conspiration-du-nouvel-ordre-mondial#98170
Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Bonjour
Hé bien !
Moi aussi j'ais financé l'émancipation des Femmes, mais pas pour les même raison.
Le petit côté misogyne est toujours d'actualité en religion d'après ce que je peut voir.
Pas grave ! peut être qu'un jour vous comprendrez.
limond- Avec le Pape François
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Vincit omnia veritas
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Bonjour
Vincit omnia veritas
* Dieu a créé l'homme et la femme à son image.
* À l'image de Dieu il le créa, homme et femme il les créa
limond- Avec le Pape François
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Rien de pire qu un aveugle qui ne veut rien voir même avec toutes les preuves
Je vous plains limond
Vincit omnia veritas
Je vous plains limond
Vincit omnia veritas
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
@élysé!
Vous avez vraiment un problème avec les femmes!!!
Vous avez vraiment un problème avec les femmes!!!
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
J aime les femmes mais pas ce qu elles sont devenus dans ce féminisme marxiste et diabolique
Vous n avez qu a lire tous ce fil et peux être comprendrez vous ?
Seul le feminisme marial sortira les femmes de ce tourbillon de folie où on les a entraînée
bien à vous
Vous n avez qu a lire tous ce fil et peux être comprendrez vous ?
Seul le feminisme marial sortira les femmes de ce tourbillon de folie où on les a entraînée
bien à vous
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
par Elysé le Jeu 5 Mai - 11:18 Vous jugez l homme, mais voyez ce fil il vous prouve tout sur le résultat de l émancipation des femmes sur nos sociétés Si difficile que cela que d ouvrir les yeux a écrit:
Car vous croyez que la femme d'aujourd'hui doit rester dans son coin et ne rien dire!!Et bien non élysé les temps ont changé
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Elysé a écrit:J aime les femmes mais pas ce qu elles sont devenus dans ce féminisme marxiste et diabolique
Vous n avez qu a lire tous ce fil et peux être comprendrez vous ?
Seul le feminisme marial sortira les femmes de ce tourbillon de folie où on les a entraînée
bien à vous
Oui j'ai survolé!!
Je suis une femme libre et je veux le rester, vous comprenez ce que je veux vous expliquer,je me considère normale et ce n'est pas tout ces à propos qui me feront changer!!!
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Comme je suis triste que vous considérez que MARIE est restez dans son coin et n a rien dit.
Vous vous dites proche de la Sainte Vierge et vous en êtes si loin
QU ELLE VOUS OUVRE LES YEUX ?
Vous vous dites proche de la Sainte Vierge et vous en êtes si loin
QU ELLE VOUS OUVRE LES YEUX ?
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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