Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
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Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX :: Les menaces à la liberté et à la Vie :: LES ILLUMINATIS, LES SOCIÉTES SECRÈTES
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Ces pauvres mamans se plaignent de ne pas percevoir leur pension alimentaire et la nouvelle loi de la famille semble vouloir prévoir de renforcer les moyens de lutte contre ce qu’elles présentent comme un fléau.
Bien entendu, il n’est pas question de lier le paiement de cette pension a l’obligation, pour la mère, de respecter l’autorité parentale conjointes et les droits de visite et d’hébergement. Mais la n’est pas le sujet.
Ce petit post n’a pour vocation que d’évoquer les « condamnations » des pères qui interviennent systématiquement et qui sont rigoureusement appliqués, contrairement a ce qui est affirmé et a la différence des non-représentations d’enfant qui elles ne sont qu’exceptionnellement sanctionnés. De la saisie des comptes, des salaires et des biens à l’incarcération, la panoplie de rétorsion est complète.
Face au nombre croissant de cas, la 26e cour du tribunal de Nanterre, par exemple, est dédiée à ces délits, une journée par semaine, où une vingtaine de dossiers est traitée. En France, selon l'édition 2007 de l'annuaire statistique de la justice, pas moins de 4 651 condamnations ont été prises en 2005 pour ces infractions. Par ailleurs, 3 133 couples avaient fait l'objet d'une médiation pénale pour ce type de conflit en 2004 contre 2 571 en 2000. Des chiffres que la crise du pouvoir d'achat et la crise financière menacent de gonfler. Nombre de pères ordinaires vivent des situations inextricables et désespérées : quelle pension alimentaire peut donner un homme qui gagne 1 500 euros par mois en payant un loyer de 800 € au bas mot ? Autre tendance, c'est d'utiliser la menace de plainte pour «abandon de famille» ou, à l'inverse, de non-paiement de la pension, comme outil de gestion du conflit dans les divorces très tendus. «C'est la politique du donnant-donnant, de la vengeance. Les époux veulent se faire justice eux-mêmes.
Juste bons à sortir le carnet de chèques. La culture des juges français est de confier la dimension affective et éducative aux mères et la dimension financière aux pères, ce qui est une séparation des rôles aussi révoltante qu'injuste». (http://www.lefigaro.fr/…/01016-20081011ARTFIG00202-pensions…)
Petit exemple glanés de ci de la :
« A la prison de Bourg-en-Bresse, le cœur d'un prisonnier a lâché en cellule. Il purgeait une peine pour non-paiement de pension alimentaire. Nicolas Carreda est mort d'une crise cardiaque, à la maison d'arrêt de Bourg-en-Bresse (Ain). Il avait 56 ans… suite à une condamnation à un an de prison ferme. (http://www.liberation.fr/…/a-la-prison-de-bourg-en-bresse-l…)
« Le tribunal correctionnel de Hasselt a condamné vendredi par défaut, Theo Custers (62 ans), à huit mois de prison, pour le non-paiement d’une pension alimentaire » ( http://www.sudinfo.be/…/38000%E2%82%AC-de-pensions-alimenta…)
« La justice a dû le condamner, en octobre dernier, à un an de prison ferme, et le placer sous contrôle judiciaire… Après plusieurs années au RSA, le père de famille vivote depuis quelques mois en tant que commerçant sur les marchés. (http://www.lunion.presse.fr/…/pension-alimentaire-dix-ans-d… )
« De la prison ferme pour non-paiement d’une pension alimentaire … deux mois d’emprisonnement, hier, et 1 500 € de dommages et intérêts … Michel, 42 ans … au RSA »
(http://www.midilibre.fr/…/prison-ferme-pour-la-pension-non-…)
« Il ne paie plus de pension alimentaire: trois mois de prison »
(http://www.varmatin.com/…/il-ne-paie-plus-de-pension-alimen…)
« Un an de prison pour non-versement de pension alimentaire»
(http://www.leparisien.fr/…/un-an-de-prison-pour-non-verseme…)
« Condamné à huit mois de prison ferme pour abandon de famille … "Avez-vous fait le calcul de ce que vous devez ? - Non, répond l'homme, gêné. Ma femme refuse de me laisser voir les enfants", ajoute-t-il. De quoi agacer la présidente qui rétorque d'un ton autoritaire qu'il ne faut pas mélanger les problèmes et que tout chantage au droit de visite et d'hébergement est ici malvenu. (Sic) l'homme indique également qu'il a pris un congé parental pour élever ses deux jeunes enfants issus de son second mariage. - Vous vous débrouillez comme vous voulez, sinon un mandat d'arrêt sera délivré contre vous, prévient la présidente. Je suis d'ailleurs surprise que vous ne soyez pas venu avec un chèque aujourd'hui !"
L'homme promet de s'acquitter de ses obligations. Il devra en rendre compte au tribunal, sous peine de menottes à l'audience. "Attendez-vous au pire, monsieur", menace la juge.
(http://www.lepoint.fr/…/vous-vous-debrouillez-comme-vous-vo…)
« En aout 2007 j'ai déposé plainte contre lui pour non paiement de pension alimentaire… En Mars 2008 il a été condamné à 3 mois de prison avec sursis et une grosse amende (1500 euros) et une mise à l'épreuve de 18 mois… j'ai redéposé contre lui en mai de cette année et ce coup-ci il a été condamné à une peine qui va varier entre 6 mois et 1 an FERME (j'ai appris cette nouvelle hier soir)…seulement il a toujours l'autorité parentale, et donc quand il sortira, il aura à nouveau le droit de les avoir (les enfants. Ndlr) pour les vacances… le juge va probablement le mettre sous PSE (bracelet électronique) avec tout de même des autorisations de sortie, mais uniquement pour un travail qu'il va être obligé de trouver pour payer la pension alimentaire… Ce qui me réconforte, c'est qu'à partir du moment où il n'a pas payé la pension alimentaire pendant deux mois consécutifs, ses droits de visite et d'hébergement sont suspendus. Donc, même s'il veut les avoir pour les vacances de noël, il sait ce qui lui reste à faire. (Sic) »
« J ai été condamne en février 2006 a 2 mois de prison pour non paiement de pension alimentaire...
Deux mois de prison sans sursis pour non-paiement de PA ? vous avez du faire grave.
Grave non j ai simplement une ex femme qui aime l argent et qui a tout fait pour me compliquer la vie depuis notre divorce
Le première sentence été de 1 an de prison + 3 ans de mise a l épreuve.
Je suis divorce depuis 1989 et je suis toujours en procès contre elle, enfin depuis cette condamnation j ai même décidé de laisser tomber l appel… »
( http://www.legavox.fr/…/pensions-alimentaires/prescription-… )
« il a pris trois mois de prison avec sursis, et doit me verser 2300 euros de dommages et intérêt et préjudice moral »
( http://www.legavox.fr/…/paiement-pension-alimentaire-recidi… )
« La personne a été condamnée à chaque fois par le tribunal correctionelle ( dommages et interêts, prison… qu'il n 'a fait qu'en partie quand c'était moins d'un an il ne les faisait pas et si une fois 6 mois sur 18…( http://forum-juridique.net-iris.fr/…/183271-pension-aliment…)
« mon ex a été condamné à 4 mois de prison ferme pour n'avoir pas payé la pension alimentaire de 76 pendant 36 mois, la peine a été convertie en sursis en appel, vu qu'il a fini par payer en appel… bien entendu, je suis passée par une saisie directe à l'employeur,… »
« Alors moi je suis dans le même cas que toi un peu près… Sur ses enfants moi c'est un DVH qui la c'est tout… va porter plainte au commissariat. Il risque une Amende et de la prison »
« j'ai réussi a localiser mon ex et me faire régler la pension alimentaire par saisi-arret sur salaire … j'aimerai juste qu'il soit destitué de ses droits parentaux. l'avocate m'a dit qu'à partir de 16 ans, un ado pouvait demander à être entendu par le juge et refuser légalement d'aller chez son père, y a peut être de l'espoir»
« Une saisie sur son salaire va être faite et c'est lui qui va payer les frais d'huissier.
Pendant un an, ça c'est passé comme ça et c'etait génial car là pas de problème l'argent tombe automatiquement.C'est son employeur que t'envoie un chèque tous les mois »
« j'ai opter pour la caf qui me versera jusqu'au 20 ans de mon fils 79.17 euro par mois »
« Mon ex paie 91.47 … délégué son rôle de père à mon homme.
Ce rôle ne dérange pas du tout mon mari au point que les enfants l'appel maintenant papa ! ... Comment puis-je faire revaloriser celle-ci ? … il me doit environ 750 euros vis à vis de la revalorisation. Je vais prendre contact avec une association pour les démarches.»
( http://forum.aufeminin.com/…/__f23739_conflits-Recidive-pou…)
Dans tous les cas qui précèdent, et qui ne sont qu’une infime partie des condamnations prononcés après une rapide recherche Google, il faut savoir que ces pères sont condamnés a des amendes, dommages et intérêts et surtout a verser au minimum trois ans d’arriérés, donc la plupart du temps, tous les arriérés.
Or, a l’inverse, dans les rares cas de condamnation pour non-représentation d’enfant, cette notion d’arriérés n’est jamais prise en compte.
Dans le cas d’une condamnation pour 20 NPE, la victime, le père bien souvent et l’enfant ne se verront pas attribués 20 période supplémentaire de temps ensemble en « réparation ». De plus, les condamnations a de la prison ferme n’interviennent pour les NPE maternelles que sur récidive et après un jugement attribuant des DVH confirmé en appel.
« Non présentation d'enfants Récidiviste, la mère dormira en prison pendant trois mois * … À 20 reprises, cette mère de famille n'a pas présenté ces deux enfants à leur père biologique. Alors que celui-ci en avait le droit (décision confirmée à la cour d'appel)… récidive puisqu'elle avait déjà été condamnée à 6 mois ferme pour la même infraction( qu’elle n’a pas éffectué, Ndlr). (* 20 NPE soit 3 années de procédure sans DVH).( http://www.lunion.presse.fr/…/landouzy-la-ville-non-present…)
« cette mère de famille au visage émacié contraste avec l'allure hésitante et meurtrie du père de leurs deux enfants de 12 et 14 ans. Il a déposé une plainte pour avoir été empêché de voir ses enfants pendant plus d'un an. C'est pourtant à lui que la résidence des enfants a été confiée après que leur mère a entravé son droit de visite. Déjà condamnée par le tribunal correctionnel à 10 mois de prison assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve pour "non-représentation d'enfants", madame A. risque, cette fois, une peine ferme… - Vous savez que ce sursis peut être révoqué. Vous avez 10 mois au-dessus de votre tête, plus la peine qui sera prononcée aujourd'hui... Six mois de prison assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve pendant deux ans seront infligés à la prévenue, qui accueille froidement la décision. »( http://www.lepoint.fr/…/ce-n-est-pas-en-envoyant-leur-mere-…)
« Une mère poursuivie pour avoir caché pendant un an ses enfants à son ex-mari a été condamnée mercredi à Castres à un an de prison, dont onze mois avec sursis… ( Notez la subtilité : 1 an dont 12 mois de sursis, Ndlr). Elle avait fui la maison familiale fin 2009 avec ses trois enfants(. Elle et les enfants ont ensuite vécu dans la clandestinité. La fuite durera un an, au cours duquel Sandrine sera condamnée à six mois de prison ferme pour non présentation d'enfants, et sera déchue de son autorité parentale. Elle n'a été relâchée qu'une fois les jumeaux retrouvés par les gendarmes, chez leur grand-mère et leur tante maternelles… Le juge pour enfants devrait très prochainement se prononcer sur la garde des enfants. Les jumeaux sont placés. L'aînée vit chez sa grand-mère. »( http://midi-pyrenees.france3.fr/…/une-mere-refuse-de-presen…)
A vous de comparer la différence de traitements…
Enjoy
Bien entendu, il n’est pas question de lier le paiement de cette pension a l’obligation, pour la mère, de respecter l’autorité parentale conjointes et les droits de visite et d’hébergement. Mais la n’est pas le sujet.
Ce petit post n’a pour vocation que d’évoquer les « condamnations » des pères qui interviennent systématiquement et qui sont rigoureusement appliqués, contrairement a ce qui est affirmé et a la différence des non-représentations d’enfant qui elles ne sont qu’exceptionnellement sanctionnés. De la saisie des comptes, des salaires et des biens à l’incarcération, la panoplie de rétorsion est complète.
Face au nombre croissant de cas, la 26e cour du tribunal de Nanterre, par exemple, est dédiée à ces délits, une journée par semaine, où une vingtaine de dossiers est traitée. En France, selon l'édition 2007 de l'annuaire statistique de la justice, pas moins de 4 651 condamnations ont été prises en 2005 pour ces infractions. Par ailleurs, 3 133 couples avaient fait l'objet d'une médiation pénale pour ce type de conflit en 2004 contre 2 571 en 2000. Des chiffres que la crise du pouvoir d'achat et la crise financière menacent de gonfler. Nombre de pères ordinaires vivent des situations inextricables et désespérées : quelle pension alimentaire peut donner un homme qui gagne 1 500 euros par mois en payant un loyer de 800 € au bas mot ? Autre tendance, c'est d'utiliser la menace de plainte pour «abandon de famille» ou, à l'inverse, de non-paiement de la pension, comme outil de gestion du conflit dans les divorces très tendus. «C'est la politique du donnant-donnant, de la vengeance. Les époux veulent se faire justice eux-mêmes.
Juste bons à sortir le carnet de chèques. La culture des juges français est de confier la dimension affective et éducative aux mères et la dimension financière aux pères, ce qui est une séparation des rôles aussi révoltante qu'injuste». (http://www.lefigaro.fr/…/01016-20081011ARTFIG00202-pensions…)
Petit exemple glanés de ci de la :
« A la prison de Bourg-en-Bresse, le cœur d'un prisonnier a lâché en cellule. Il purgeait une peine pour non-paiement de pension alimentaire. Nicolas Carreda est mort d'une crise cardiaque, à la maison d'arrêt de Bourg-en-Bresse (Ain). Il avait 56 ans… suite à une condamnation à un an de prison ferme. (http://www.liberation.fr/…/a-la-prison-de-bourg-en-bresse-l…)
« Le tribunal correctionnel de Hasselt a condamné vendredi par défaut, Theo Custers (62 ans), à huit mois de prison, pour le non-paiement d’une pension alimentaire » ( http://www.sudinfo.be/…/38000%E2%82%AC-de-pensions-alimenta…)
« La justice a dû le condamner, en octobre dernier, à un an de prison ferme, et le placer sous contrôle judiciaire… Après plusieurs années au RSA, le père de famille vivote depuis quelques mois en tant que commerçant sur les marchés. (http://www.lunion.presse.fr/…/pension-alimentaire-dix-ans-d… )
« De la prison ferme pour non-paiement d’une pension alimentaire … deux mois d’emprisonnement, hier, et 1 500 € de dommages et intérêts … Michel, 42 ans … au RSA »
(http://www.midilibre.fr/…/prison-ferme-pour-la-pension-non-…)
« Il ne paie plus de pension alimentaire: trois mois de prison »
(http://www.varmatin.com/…/il-ne-paie-plus-de-pension-alimen…)
« Un an de prison pour non-versement de pension alimentaire»
(http://www.leparisien.fr/…/un-an-de-prison-pour-non-verseme…)
« Condamné à huit mois de prison ferme pour abandon de famille … "Avez-vous fait le calcul de ce que vous devez ? - Non, répond l'homme, gêné. Ma femme refuse de me laisser voir les enfants", ajoute-t-il. De quoi agacer la présidente qui rétorque d'un ton autoritaire qu'il ne faut pas mélanger les problèmes et que tout chantage au droit de visite et d'hébergement est ici malvenu. (Sic) l'homme indique également qu'il a pris un congé parental pour élever ses deux jeunes enfants issus de son second mariage. - Vous vous débrouillez comme vous voulez, sinon un mandat d'arrêt sera délivré contre vous, prévient la présidente. Je suis d'ailleurs surprise que vous ne soyez pas venu avec un chèque aujourd'hui !"
L'homme promet de s'acquitter de ses obligations. Il devra en rendre compte au tribunal, sous peine de menottes à l'audience. "Attendez-vous au pire, monsieur", menace la juge.
(http://www.lepoint.fr/…/vous-vous-debrouillez-comme-vous-vo…)
« En aout 2007 j'ai déposé plainte contre lui pour non paiement de pension alimentaire… En Mars 2008 il a été condamné à 3 mois de prison avec sursis et une grosse amende (1500 euros) et une mise à l'épreuve de 18 mois… j'ai redéposé contre lui en mai de cette année et ce coup-ci il a été condamné à une peine qui va varier entre 6 mois et 1 an FERME (j'ai appris cette nouvelle hier soir)…seulement il a toujours l'autorité parentale, et donc quand il sortira, il aura à nouveau le droit de les avoir (les enfants. Ndlr) pour les vacances… le juge va probablement le mettre sous PSE (bracelet électronique) avec tout de même des autorisations de sortie, mais uniquement pour un travail qu'il va être obligé de trouver pour payer la pension alimentaire… Ce qui me réconforte, c'est qu'à partir du moment où il n'a pas payé la pension alimentaire pendant deux mois consécutifs, ses droits de visite et d'hébergement sont suspendus. Donc, même s'il veut les avoir pour les vacances de noël, il sait ce qui lui reste à faire. (Sic) »
« J ai été condamne en février 2006 a 2 mois de prison pour non paiement de pension alimentaire...
Deux mois de prison sans sursis pour non-paiement de PA ? vous avez du faire grave.
Grave non j ai simplement une ex femme qui aime l argent et qui a tout fait pour me compliquer la vie depuis notre divorce
Le première sentence été de 1 an de prison + 3 ans de mise a l épreuve.
Je suis divorce depuis 1989 et je suis toujours en procès contre elle, enfin depuis cette condamnation j ai même décidé de laisser tomber l appel… »
( http://www.legavox.fr/…/pensions-alimentaires/prescription-… )
« il a pris trois mois de prison avec sursis, et doit me verser 2300 euros de dommages et intérêt et préjudice moral »
( http://www.legavox.fr/…/paiement-pension-alimentaire-recidi… )
« La personne a été condamnée à chaque fois par le tribunal correctionelle ( dommages et interêts, prison… qu'il n 'a fait qu'en partie quand c'était moins d'un an il ne les faisait pas et si une fois 6 mois sur 18…( http://forum-juridique.net-iris.fr/…/183271-pension-aliment…)
« mon ex a été condamné à 4 mois de prison ferme pour n'avoir pas payé la pension alimentaire de 76 pendant 36 mois, la peine a été convertie en sursis en appel, vu qu'il a fini par payer en appel… bien entendu, je suis passée par une saisie directe à l'employeur,… »
« Alors moi je suis dans le même cas que toi un peu près… Sur ses enfants moi c'est un DVH qui la c'est tout… va porter plainte au commissariat. Il risque une Amende et de la prison »
« j'ai réussi a localiser mon ex et me faire régler la pension alimentaire par saisi-arret sur salaire … j'aimerai juste qu'il soit destitué de ses droits parentaux. l'avocate m'a dit qu'à partir de 16 ans, un ado pouvait demander à être entendu par le juge et refuser légalement d'aller chez son père, y a peut être de l'espoir»
« Une saisie sur son salaire va être faite et c'est lui qui va payer les frais d'huissier.
Pendant un an, ça c'est passé comme ça et c'etait génial car là pas de problème l'argent tombe automatiquement.C'est son employeur que t'envoie un chèque tous les mois »
« j'ai opter pour la caf qui me versera jusqu'au 20 ans de mon fils 79.17 euro par mois »
« Mon ex paie 91.47 … délégué son rôle de père à mon homme.
Ce rôle ne dérange pas du tout mon mari au point que les enfants l'appel maintenant papa ! ... Comment puis-je faire revaloriser celle-ci ? … il me doit environ 750 euros vis à vis de la revalorisation. Je vais prendre contact avec une association pour les démarches.»
( http://forum.aufeminin.com/…/__f23739_conflits-Recidive-pou…)
Dans tous les cas qui précèdent, et qui ne sont qu’une infime partie des condamnations prononcés après une rapide recherche Google, il faut savoir que ces pères sont condamnés a des amendes, dommages et intérêts et surtout a verser au minimum trois ans d’arriérés, donc la plupart du temps, tous les arriérés.
Or, a l’inverse, dans les rares cas de condamnation pour non-représentation d’enfant, cette notion d’arriérés n’est jamais prise en compte.
Dans le cas d’une condamnation pour 20 NPE, la victime, le père bien souvent et l’enfant ne se verront pas attribués 20 période supplémentaire de temps ensemble en « réparation ». De plus, les condamnations a de la prison ferme n’interviennent pour les NPE maternelles que sur récidive et après un jugement attribuant des DVH confirmé en appel.
« Non présentation d'enfants Récidiviste, la mère dormira en prison pendant trois mois * … À 20 reprises, cette mère de famille n'a pas présenté ces deux enfants à leur père biologique. Alors que celui-ci en avait le droit (décision confirmée à la cour d'appel)… récidive puisqu'elle avait déjà été condamnée à 6 mois ferme pour la même infraction( qu’elle n’a pas éffectué, Ndlr). (* 20 NPE soit 3 années de procédure sans DVH).( http://www.lunion.presse.fr/…/landouzy-la-ville-non-present…)
« cette mère de famille au visage émacié contraste avec l'allure hésitante et meurtrie du père de leurs deux enfants de 12 et 14 ans. Il a déposé une plainte pour avoir été empêché de voir ses enfants pendant plus d'un an. C'est pourtant à lui que la résidence des enfants a été confiée après que leur mère a entravé son droit de visite. Déjà condamnée par le tribunal correctionnel à 10 mois de prison assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve pour "non-représentation d'enfants", madame A. risque, cette fois, une peine ferme… - Vous savez que ce sursis peut être révoqué. Vous avez 10 mois au-dessus de votre tête, plus la peine qui sera prononcée aujourd'hui... Six mois de prison assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve pendant deux ans seront infligés à la prévenue, qui accueille froidement la décision. »( http://www.lepoint.fr/…/ce-n-est-pas-en-envoyant-leur-mere-…)
« Une mère poursuivie pour avoir caché pendant un an ses enfants à son ex-mari a été condamnée mercredi à Castres à un an de prison, dont onze mois avec sursis… ( Notez la subtilité : 1 an dont 12 mois de sursis, Ndlr). Elle avait fui la maison familiale fin 2009 avec ses trois enfants(. Elle et les enfants ont ensuite vécu dans la clandestinité. La fuite durera un an, au cours duquel Sandrine sera condamnée à six mois de prison ferme pour non présentation d'enfants, et sera déchue de son autorité parentale. Elle n'a été relâchée qu'une fois les jumeaux retrouvés par les gendarmes, chez leur grand-mère et leur tante maternelles… Le juge pour enfants devrait très prochainement se prononcer sur la garde des enfants. Les jumeaux sont placés. L'aînée vit chez sa grand-mère. »( http://midi-pyrenees.france3.fr/…/une-mere-refuse-de-presen…)
A vous de comparer la différence de traitements…
Enjoy
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
- Messages : 1147
Age : 51
Localisation : FRANCE
Inscription : 24/04/2015
Voilà le beau resultat de l'émancipation des femmes...
Pour l’émancipation de la femme, le droit à l’avortement et celui de toutes et tous à disposer librement de leur corps.
19 novembre 2010 CNT Besançon
L’AVORTEMENT N’EST PAS UN CRIME !
Ne laissons pas l’obscurantisme religieux de sos-tout-petits répandre sa morale nauséabonde à Besançon
Sous un semblant de respectabilité familiale « bon enfant », se dissimule l’intégrisme religieux le plus intolérant et le plus hostile à toute idée de pouvoir vivre une sexualité propre à chacun-e. Leurs mots d’ordre : abrogation de la loi Veil, lutte contre l’euthanasie, mobilisation contre le PACS, lutte contre les « perversions sexuelles » (illes considèrent les homosexuel-les comme « des malades » qu’il faut soigner) et bien entendu défense de la « morale » publique (Amen!).
Xavier Dor, président de SOS tout petits a par ailleurs été condamné à plusieurs reprises pour délit d’entrave à l’IVG (Interruption Volontaire de Grossesse), sans jamais purger ses peines. Le but des anti-IVG est systématiquement de culpabiliser les femmes, de leur refuser la libre disposition de leur corps et de décider de leur vie à leur place.
Le droit à l’avortement et l’accès à la contraception: des droits conquis de haute lutte mais qui restent fragiles
Par delà les actions de ces groupes d’extrême droite marginaux, le droit à l’avortement est aujourd’hui attaqué de toutes parts. Parallèlement à la diminution drastique des subventions des plannings familiaux, nous assistons ces dix dernières années à la fermeture de nombreux centres pratiquantl’IVG1. La loi Bachelot, du 25 juin 2009, sous couvert d’économies, ne fait qu’aggraver cette situation en sabordant littéralement l’hôpital public et en premier lieu, les centres d’interruption volontaire de grossesse. La pénurie du personnel médical et paramédical ainsi que la disparition des structures de
proximité aggravent considérablement l’inégalité d’accès aux moyens de contraception. Et pourtant, c’est plus de 5000 femmes qui, tous les ans enFrance, sont dors et déjà contraintes d’avorter à l’étranger.
Par ailleurs, le risque de voir l’avortement assimilé à un crime plane toujours. Ainsi, en février 2008, la cour de cassation reconnaissait le droit d’inscrire tout foetus né sans vie à l’état civil: pour nous, il s’agit d’une menace importante sur le droit à l’avortement.
On ne veut plus de leçons de morale!
Dans notre société hétérosexiste, être mère est trop souvent présenté comme un passage obligé pour toute femme « qui se respecte ». L’avortement est donc, dans ce cadre, bien souvent considéré comme un acte « irresponsable » voir « coupable ». L’IVG est toujours pensée comme un mal honteux et traumatisant alors qu’il
est un moyen de maîtrise de son corps et de sa sexualité. Mais les témoignages sont là: mauvais accueils, culpabilisation (par l’amplification artificielle des bruits par exemple), humiliations, encouragement à renoncer au désir d’avorter. Autant de pratiques plus ou moins insidieuses qui se dressent contre l’émancipation des femmes.
Plus que jamais il est nécessaire de lutter pour :
• Une meilleure information et un meilleur accès à la contraception et à l’IVG
• La défense d’un système de santé public, gratuit et accessible à toutes
• Le droit pour chacun-e de disposer librement de son corps et de s’épanouir dans la sexualité qu’il ou elle choisit.
https://cntbesancon.wordpress.com/2010/11/19/pour-lemancipation-de-la-femme-le-droit-a-lavortement-et-celui-de-toutes-et-tous-a-disposer-librement-de-leur-corps/
19 novembre 2010 CNT Besançon
L’AVORTEMENT N’EST PAS UN CRIME !
Ne laissons pas l’obscurantisme religieux de sos-tout-petits répandre sa morale nauséabonde à Besançon
Sous un semblant de respectabilité familiale « bon enfant », se dissimule l’intégrisme religieux le plus intolérant et le plus hostile à toute idée de pouvoir vivre une sexualité propre à chacun-e. Leurs mots d’ordre : abrogation de la loi Veil, lutte contre l’euthanasie, mobilisation contre le PACS, lutte contre les « perversions sexuelles » (illes considèrent les homosexuel-les comme « des malades » qu’il faut soigner) et bien entendu défense de la « morale » publique (Amen!).
Xavier Dor, président de SOS tout petits a par ailleurs été condamné à plusieurs reprises pour délit d’entrave à l’IVG (Interruption Volontaire de Grossesse), sans jamais purger ses peines. Le but des anti-IVG est systématiquement de culpabiliser les femmes, de leur refuser la libre disposition de leur corps et de décider de leur vie à leur place.
Le droit à l’avortement et l’accès à la contraception: des droits conquis de haute lutte mais qui restent fragiles
Par delà les actions de ces groupes d’extrême droite marginaux, le droit à l’avortement est aujourd’hui attaqué de toutes parts. Parallèlement à la diminution drastique des subventions des plannings familiaux, nous assistons ces dix dernières années à la fermeture de nombreux centres pratiquantl’IVG1. La loi Bachelot, du 25 juin 2009, sous couvert d’économies, ne fait qu’aggraver cette situation en sabordant littéralement l’hôpital public et en premier lieu, les centres d’interruption volontaire de grossesse. La pénurie du personnel médical et paramédical ainsi que la disparition des structures de
proximité aggravent considérablement l’inégalité d’accès aux moyens de contraception. Et pourtant, c’est plus de 5000 femmes qui, tous les ans enFrance, sont dors et déjà contraintes d’avorter à l’étranger.
Par ailleurs, le risque de voir l’avortement assimilé à un crime plane toujours. Ainsi, en février 2008, la cour de cassation reconnaissait le droit d’inscrire tout foetus né sans vie à l’état civil: pour nous, il s’agit d’une menace importante sur le droit à l’avortement.
On ne veut plus de leçons de morale!
Dans notre société hétérosexiste, être mère est trop souvent présenté comme un passage obligé pour toute femme « qui se respecte ». L’avortement est donc, dans ce cadre, bien souvent considéré comme un acte « irresponsable » voir « coupable ». L’IVG est toujours pensée comme un mal honteux et traumatisant alors qu’il
est un moyen de maîtrise de son corps et de sa sexualité. Mais les témoignages sont là: mauvais accueils, culpabilisation (par l’amplification artificielle des bruits par exemple), humiliations, encouragement à renoncer au désir d’avorter. Autant de pratiques plus ou moins insidieuses qui se dressent contre l’émancipation des femmes.
Plus que jamais il est nécessaire de lutter pour :
• Une meilleure information et un meilleur accès à la contraception et à l’IVG
• La défense d’un système de santé public, gratuit et accessible à toutes
• Le droit pour chacun-e de disposer librement de son corps et de s’épanouir dans la sexualité qu’il ou elle choisit.
https://cntbesancon.wordpress.com/2010/11/19/pour-lemancipation-de-la-femme-le-droit-a-lavortement-et-celui-de-toutes-et-tous-a-disposer-librement-de-leur-corps/
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
J'ai eu peur en lisant votre dernier message Elysé !!! Je croyais que ces propos reflétaient votre pensée ! Vous auriez du mettre çà en citation : çà aurait été plus clair.
Ayor- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Désolé AYOR, ces propos terribles sont les instigateurs de la soit disante" émancipation des femmes".
On voit ainsi qui a poussé les femmes à la révolte
Et les conséquences diaboliques sur nos sociétés...
On voit ainsi qui a poussé les femmes à la révolte
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Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
L'inversion des valeurs dans nos sociétés est tellement omniprésente... quel désastre.
Ayor- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
« Le climat individualiste ambiant, le discrédit de la notion d’autorité, la multiplication des familles dirigées par des mères célibataires ont fabriqué une génération de narcissiques immatures, d’adultes aussi despotiques qu’inachevés, restés fixés au stade pré-œdipien parce que le Père, représentant symbolique de la Loi, n’est plus capable d’aider ses enfants à rompre le lien fusionnel avec la mère. Cette infantilisation va de pair avec la féminisation de la société. Quand l’enfant est roi, ce sont les femmes qui exercent la régence ! Tout cela n’est pas nouveau : Platon, dans La République, évoquait déjà le moment où « le père s’accoutume à traiter son fils comme son égal et à redouter ses enfants ». Ayant évacué tout rapport d’autorité, les rapports parents-enfants sont désormais de l’ordre de la séduction, qui est le contraire de l’éducation. »
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Merci @Elysé pour ce passage très intéressant et qui dénonce une réalité. Vous y avez mis des guillemets, de qui sont ces propos ?
Scala-Coeli- MEDIATRICE
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
De toutes façons, le féminisme est une idéologie qui entraine la banalisation des contraceptifs et de l'avortement : nous devons donc nous interroger. Nous ne pouvons comme Chrétiens le ranger a priori du côté des "progrès", des vaches sacrées incontestables...
P12345- Avec Saint Joseph
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Et il est à l'origine de très profonds troubles de la femme moderne.
P12345- Avec Saint Joseph
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
De nos jours, les femmes désertent les maisons et abandonnent leurs missions d’éducation. Elles sont dans l’administration, dans les salles de Rédaction, dans les banques, dans presque toutes les entreprises. Certaines trônent même à la tête d’institutions à forte présence d’hommes et ont une force de frappe financière supérieure à leurs maris.
Pour ces femmes, il n’est pas question de jeter à la poubelle leurs diplômes et stages acquis après des années de sacrifices et des nuits d’insomnies. Pas question pour elles de faire plus de 15 ans à cirer les bancs et d’être réduites à des procréatrices, restauratrices et lavandières. Aucun homme ne mérite un tel sacrifice. Leurs enfants, les domestiques peuvent s’en charger. Leurs maris peuvent attendre. Leur boulot est prioritaire. Honni soit qui mal y pense. Dans leurs têtes, ceux qui pensent que la place des femmes est au foyer sont tout simplement des attardés qui ne comprennent rien à la marche du monde. Un mari représente l’accessoire, pas le principal.
Kadja estime «qu’un mari qui veut faire abandonner à sa femme son travail devrait être en mesure de satisfaire tous ses besoins». Amina, elle, ne songe pas un jour laisser son boulot pour un homme. « Je n’imagine même pas tourner le dos à mon poste, même si mon mari me l’ordonnait. J’ai toujours travaillé avant de rencontrer mon époux. S’il me demandait d’arrêter, c’est lui que je laisserai tomber et continuer mon travail parce que ça fait partie de ma vie», dit-elle, stoïque.
Lala est de son avis, elle qui pense dur comme fer que «les hommes ne sont là que pour leurs comptes». «Une femme doit prendre soin de sa famille et de sa belle-famille au passage, sans compter ses besoins personnels. Si tu as des enfants, tu dois prendre soin d’eux. Ce qu’une mère est prête à faire pour ses enfants, aucun père ne le fera. Il faut aussi tenir compte de plusieurs facteurs qui pourraient un jour survenir. Par exemple, si le mari venait à mourir, si tu ne travailles pas, comment vas-tu faire pour gérer la maison ? Si ton mari prend d’autres femmes, comment vas-tu faire avec tes enfants si tu es femme au foyer ? Plus la famille s’agrandit, plus il y a moins de possibilités pour le mari de subvenir convenablement aux besoins de tous. Dans ce cas, ce sera à la mère d’assurer un avenir à ses enfants. Peut-être que ça peut choquer, mais je suis prête à rompre les liens du mariage pour ça», argue Lala.
Bijoux, elle, est plus tranchée. Elle n’a pas besoin d’un homme dans sa vie. «Ma vie est si bien organisée, j’ai un très bon travail et je n’ai pas besoin d’homme dans ma vie parce qu’ils n’entretiennent personne. Au début, ça peut être mielleux. Ils te promettent monts et merveilles, mais ça ne dure jamais. Je n’ai pas besoin de mari car ma vie actuelle me suffit largement», clame-elle.
http://www.seneweb.com/news/Reportage/femmes-et-foyers-mon-travail-avant-mon-m_n_138321.html
Pour ces femmes, il n’est pas question de jeter à la poubelle leurs diplômes et stages acquis après des années de sacrifices et des nuits d’insomnies. Pas question pour elles de faire plus de 15 ans à cirer les bancs et d’être réduites à des procréatrices, restauratrices et lavandières. Aucun homme ne mérite un tel sacrifice. Leurs enfants, les domestiques peuvent s’en charger. Leurs maris peuvent attendre. Leur boulot est prioritaire. Honni soit qui mal y pense. Dans leurs têtes, ceux qui pensent que la place des femmes est au foyer sont tout simplement des attardés qui ne comprennent rien à la marche du monde. Un mari représente l’accessoire, pas le principal.
Kadja estime «qu’un mari qui veut faire abandonner à sa femme son travail devrait être en mesure de satisfaire tous ses besoins». Amina, elle, ne songe pas un jour laisser son boulot pour un homme. « Je n’imagine même pas tourner le dos à mon poste, même si mon mari me l’ordonnait. J’ai toujours travaillé avant de rencontrer mon époux. S’il me demandait d’arrêter, c’est lui que je laisserai tomber et continuer mon travail parce que ça fait partie de ma vie», dit-elle, stoïque.
Lala est de son avis, elle qui pense dur comme fer que «les hommes ne sont là que pour leurs comptes». «Une femme doit prendre soin de sa famille et de sa belle-famille au passage, sans compter ses besoins personnels. Si tu as des enfants, tu dois prendre soin d’eux. Ce qu’une mère est prête à faire pour ses enfants, aucun père ne le fera. Il faut aussi tenir compte de plusieurs facteurs qui pourraient un jour survenir. Par exemple, si le mari venait à mourir, si tu ne travailles pas, comment vas-tu faire pour gérer la maison ? Si ton mari prend d’autres femmes, comment vas-tu faire avec tes enfants si tu es femme au foyer ? Plus la famille s’agrandit, plus il y a moins de possibilités pour le mari de subvenir convenablement aux besoins de tous. Dans ce cas, ce sera à la mère d’assurer un avenir à ses enfants. Peut-être que ça peut choquer, mais je suis prête à rompre les liens du mariage pour ça», argue Lala.
Bijoux, elle, est plus tranchée. Elle n’a pas besoin d’un homme dans sa vie. «Ma vie est si bien organisée, j’ai un très bon travail et je n’ai pas besoin d’homme dans ma vie parce qu’ils n’entretiennent personne. Au début, ça peut être mielleux. Ils te promettent monts et merveilles, mais ça ne dure jamais. Je n’ai pas besoin de mari car ma vie actuelle me suffit largement», clame-elle.
http://www.seneweb.com/news/Reportage/femmes-et-foyers-mon-travail-avant-mon-m_n_138321.html
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
La maison est un lieu
de gratuité (les tâches sont gratuites)
un lieu personnel (et non un "sharing-desk"
un lieu familial où l'on occupe une place qui n'est pas interchangeable
un lieu ritualisé
l'espace de transmission de la tradition :
c'est comme une église en petit !
C'est d'abord pour Dieu que la femme accomplit les tâches.
C'est par les soins domestiques qu'elle montre son amour (et non par le relationnel-coaching -psycho)
dans les soins des enfants.....90% c'est des tâches domestiques ! Et quand ils grandissent, jouent, lisent, font de la musique, les enfants ont envie d'être avec leurs copains.
Si la mère néglige son foyer et limite les tâches au service minimum (ce que fait toute femme active professionnellement), si en plus elle s'exagère (sous l'influence des médias) son rôle psychologique (merci Françoise Dolto !) on va avoir ces foyers modernes qui ressemblent aux écuries d'Augias (sans Hercule)
où la mère, à force d'étouffement affectif et de discussion "psy" va s'improviser "meilleure amie" des gosses et les ligoter à elle...tout en omettant de les éduquer. Et ça marche , les enfants la voient très peu (elle est au travail) alors le soir ils se ruent sur elle !
Il y a dans ces familles modernes trop d'affectif (ce qui blesse la pudeur, ce qui rend problématique le fait d'avoir un espace à soi, une vie intérieure : on dit tout à maman)
et une carence éducative (on a trop peur de "traumatiser", d'être "rigide", etc).
Et le père :
soit c'est un workalcoolique (drogué du boulot)
soit un gosse de plus
soit une seconde mère qui va se positionner en "concurrente" de la mère pour les calins-bisous-absence de discipline.
de gratuité (les tâches sont gratuites)
un lieu personnel (et non un "sharing-desk"
un lieu familial où l'on occupe une place qui n'est pas interchangeable
un lieu ritualisé
l'espace de transmission de la tradition :
c'est comme une église en petit !
C'est d'abord pour Dieu que la femme accomplit les tâches.
C'est par les soins domestiques qu'elle montre son amour (et non par le relationnel-coaching -psycho)
dans les soins des enfants.....90% c'est des tâches domestiques ! Et quand ils grandissent, jouent, lisent, font de la musique, les enfants ont envie d'être avec leurs copains.
Si la mère néglige son foyer et limite les tâches au service minimum (ce que fait toute femme active professionnellement), si en plus elle s'exagère (sous l'influence des médias) son rôle psychologique (merci Françoise Dolto !) on va avoir ces foyers modernes qui ressemblent aux écuries d'Augias (sans Hercule)
où la mère, à force d'étouffement affectif et de discussion "psy" va s'improviser "meilleure amie" des gosses et les ligoter à elle...tout en omettant de les éduquer. Et ça marche , les enfants la voient très peu (elle est au travail) alors le soir ils se ruent sur elle !
Il y a dans ces familles modernes trop d'affectif (ce qui blesse la pudeur, ce qui rend problématique le fait d'avoir un espace à soi, une vie intérieure : on dit tout à maman)
et une carence éducative (on a trop peur de "traumatiser", d'être "rigide", etc).
Et le père :
soit c'est un workalcoolique (drogué du boulot)
soit un gosse de plus
soit une seconde mère qui va se positionner en "concurrente" de la mère pour les calins-bisous-absence de discipline.
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Dernière édition par Marguerite des îles le Dim 17 Jan 2016 - 9:17, édité 1 fois
Marguerite des îles- Avec Saint Maximilien Kolbe
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Merci Marguerite !
Pour moi c'est clair que le féminisme nuit gravement à l'amour maternel.
Avoir les enfants que le Ciel vous envoie, c'est dire oui au plan de Dieu, c'est préférer la Vie.
Quand les femmes "choisissent" les enfants, elles ne se réfèrent pas à Dieu mais à elles mêmes.
Pour moi c'est clair que le féminisme nuit gravement à l'amour maternel.
Avoir les enfants que le Ciel vous envoie, c'est dire oui au plan de Dieu, c'est préférer la Vie.
Quand les femmes "choisissent" les enfants, elles ne se réfèrent pas à Dieu mais à elles mêmes.
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
La mixité érigée en règle sociale incontournable (écoles, piscines, etc…), le féminisme militant, l’instrumentalisation politique de l’homosexualité par la franc-maçonnerie, tout cela ne saurait être sans conséquence sur la société. Et pour cause, puisque le but est justement de transformer celle-ci. Essayons de comprendre certains des processus à l’oeuvre.
Il n’aura échappé à personne que les corps de l’homme et de la femme sont différents. Les corps sont différents, les psychismes aussi. Ce ne sont pas les ouvrages qui manquent pour nous expliquer les différences entre les visions masculines et féminines d’une même situation, d’un même fait ou objet.
La principale différence résidant dans les appareil génitaux, il convient de s’interroger sur leurs fonctionnement. Le sexe de la femme fait office de réceptacle. La femme s’ouvre à l’homme qu’elle accepte et le geste physique a bien entendu sa traduction psychique.
Il serait absurde de vouloir établir un comparatif de supériorité entre le fonctionnement des appareils génitaux de l’homme et de la femme, les deux étant complémentaires. Il n’en demeure pas moins que les différences sont fondamentales.
Le vocabulaire féminin est lié aux caractéristiques physiques féminines. Sans faire de jeux de mots qui dans ce contexte ne seraient pas douteux mais serviraient d’indices, chacun aura pu constater que des verbes tels que « mettre », « accepter », « s’ouvrir » et bien d’autres encore sont plus particulièrement utilisés par la gente féminine. Ceux qui contestent pourront dire qu’il faudrait une étude pour le vérifier et ils auront bien raison. Ceci étant, il ne leur aura pas échappé qu’il s’agit ici d’un simple billet sur un blog, afin d’aborder le sujet
Poursuivons : L’utilisation de ces verbes et expressions par les femmes n’a pas à être jugé comme étant positif ou négatif, ce sont simplement des verbes qui servent à exprimer leur vision du monde.
Mais dès lors que les rapports sociaux entre hommes et femmes deviennent plus étroits, via la mixité généralisée, il convient de s’interroger sur la possibilité d’un éventuel transvasement linguistique entre les deux sexes, induisant aussi une évolution psychique dont il reste à juger du bien fondé pour la société.
Pour faire simple, voici notre propos : La société occidentale se dévirilise, se féminise. Certains pourront dire qu’en contrepartie, elle se pacifie. C’est discutable, mais ce n’est de toute façon pas le sujet ici. Si la société occidentale se dévirilise, cela induit aussi une politique moins « phallique », dirons-nous. Et combien de fois avons nous entendu dans les médias des expressions telles que « construire une société ouverte » (construire étant un verbe apprécié des politiciens franc-maçons), « il faut accepter l’autre », etc… ?
Les homosexuels* pratiquant le coït à la manière des femmes contribuent eux-aussi à inverser le sens de l’énergie phallique dont ils sont normalement les dépositaires. Ils passent en conscience interne, au lieu d’entrer dans le monde, c’est le monde qui entre en eux. Et qui profite d’eux.
Les garçons élevés par des femmes seules sont susceptibles d’être eux aussi « contaminés » par une vision du monde qui appartient à l’autre sexe. Toujours via le vocabulaire qu’ils entendent et les comportements qu’ils observent, la plupart du temps inconsciemment. Le développement de leur identité s’en trouve nécessairement faussé.
A contrario, nombre de femmes semblent de moins en moins féminines : Pantalon en lieu et place de la robe, volonté de s’approprier le phallus des hommes via le travail (ce qui se traduit par une catastrophe démographique) et parfois même des bandes de filles qui agressent et violentent des garçons, notamment dans les banlieues peuplées de gens issus de l’immigration du tiers-monde (il s’agit sans doute là d’une « formation réactionnelle » aux violences sexuelles dont elles sont elles-mêmes victimes, il existe des statistiques à ce propos).
Comment tout cela se traduit-il en pratique ? Il semble que la société occidentale se couche. Après sa formidable expansion des siècles passés, force est de constater que l’Occident est de plus en plus pénétré, qu’il s’agisse de marchandises ou de personnes appartenant à d’autres groupes humains, pour ne pas employer le mot race.
Il reste à savoir si la société occidentale accouchera quelque chose de positif de tout cela ou si au contraire nous assistons à une débandade fatale…
http://www.gadlu.info/dicopsy-franc-maconnerie-societe-feminisee-societe-penetree.html
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Merci Elysé
c'est tellement vrai .
J'avance maintenant une hypothèse (il faudrait la vérifier, je me base seulement sur la logique) :
notre époque est secouée par des affaires de pédophilie;la figure du pervers est connue des médias; on parle de harcèlement, d'inceste dans les familles etc.
Le féminisme semble s'être emparé de ces phénomènes de société pour achever la "mort du père" et acclimater l'idée que le pervers est un homme, que la virilité, c'est méchant, que les femmes/les fillettes sont victimes des hommes, que le "bien" ne peut donc venir que des femmes; idée également sous-jacente dans bien des campagnes de prévention, des ouvrages, des émissions : c'est "le " pervers et "la" victime. Inceste, perversité, harcèlement seraient donc des résidus d'un horrible patriarcat. La pédophilie aurait toujours existé (et l'on cite les Grecs antiques), donc notre époque féministe qui la dénonce serait un progrès par rapport à l'ancien patriarcat qui aurait réduit les victimes au silence.
Etc.
(et quelle aubaine pour cette idéologie féministe qu'il y ait aussi de la pédophilie chez certains hommes d'Eglise !)
Je pose au contraire l'idée que, si des fautes et des débordements ont toujours existé, c'est notre époque qui, à partir des années 60, avec la révolution sexuelle, amène l'idée d'une "légitimité" pédophile (mouvement "men and boys" revendicant la sexualité avec des mineurs). Que des intellectuels , des écrivains (René Schérer, Gabriel Matzneff, Tony Duvert...)sont médiatisés dans les années 70 avec l'idée de la sexualité adulte/mineur(e)s.
Et que le féminisme, en évacuant le Père qui sépare l'enfant de la mère en posant l'interdit oedipien (= ta mère c'est MA femme) laisse le garçon seul avec la mère. Et c'est cette absence de père (père absent, père dominé, père copain, père maternel, féminisation de l'enseignement, règne du "psy"...) qui crée le climat social infantilisant favorisant les situations perverses/pédophiles/incestuelles ou incestueuses.
Par exemple avec l'inflation du divorce, les JAF étant à 95% des femmes, c'est dans 9 cas sur 10 la mère qui a la garde des enfants. Souvent la mère seule prend le fils dans son lit, jusqu'à un âge avancé.
C'est très paradoxal que le féminisme/l'idéologie féministe aient la main-mise sur l'information, la prévention et l'aide aux victimes tout en continuant de taper sur la figure du père en l'amalgamant à celle du pédophile qui n'est pas un père mais un "petit garçon" qui se moque des interdits paternels...
c'est tellement vrai .
J'avance maintenant une hypothèse (il faudrait la vérifier, je me base seulement sur la logique) :
notre époque est secouée par des affaires de pédophilie;la figure du pervers est connue des médias; on parle de harcèlement, d'inceste dans les familles etc.
Le féminisme semble s'être emparé de ces phénomènes de société pour achever la "mort du père" et acclimater l'idée que le pervers est un homme, que la virilité, c'est méchant, que les femmes/les fillettes sont victimes des hommes, que le "bien" ne peut donc venir que des femmes; idée également sous-jacente dans bien des campagnes de prévention, des ouvrages, des émissions : c'est "le " pervers et "la" victime. Inceste, perversité, harcèlement seraient donc des résidus d'un horrible patriarcat. La pédophilie aurait toujours existé (et l'on cite les Grecs antiques), donc notre époque féministe qui la dénonce serait un progrès par rapport à l'ancien patriarcat qui aurait réduit les victimes au silence.
Etc.
(et quelle aubaine pour cette idéologie féministe qu'il y ait aussi de la pédophilie chez certains hommes d'Eglise !)
Je pose au contraire l'idée que, si des fautes et des débordements ont toujours existé, c'est notre époque qui, à partir des années 60, avec la révolution sexuelle, amène l'idée d'une "légitimité" pédophile (mouvement "men and boys" revendicant la sexualité avec des mineurs). Que des intellectuels , des écrivains (René Schérer, Gabriel Matzneff, Tony Duvert...)sont médiatisés dans les années 70 avec l'idée de la sexualité adulte/mineur(e)s.
Et que le féminisme, en évacuant le Père qui sépare l'enfant de la mère en posant l'interdit oedipien (= ta mère c'est MA femme) laisse le garçon seul avec la mère. Et c'est cette absence de père (père absent, père dominé, père copain, père maternel, féminisation de l'enseignement, règne du "psy"...) qui crée le climat social infantilisant favorisant les situations perverses/pédophiles/incestuelles ou incestueuses.
Par exemple avec l'inflation du divorce, les JAF étant à 95% des femmes, c'est dans 9 cas sur 10 la mère qui a la garde des enfants. Souvent la mère seule prend le fils dans son lit, jusqu'à un âge avancé.
C'est très paradoxal que le féminisme/l'idéologie féministe aient la main-mise sur l'information, la prévention et l'aide aux victimes tout en continuant de taper sur la figure du père en l'amalgamant à celle du pédophile qui n'est pas un père mais un "petit garçon" qui se moque des interdits paternels...
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Je pense qu'il se pourrait que ce soit précisément à cause de cette appropriation du sujet par le féminisme que l'on ait commencé à le médiatiser. La médiatisation sert des intérêts, il y a un intérêt marchand évident (avocats, médias, presse, psy) à parler de la perversion/de la pédophilie. Il y a aussi un intérêt idéologique : c'est un fait de société que l'on peut facilement utiliser pour faire passer l'idée que les pères /les hommes sont des salauds et les femmes/les féministes des victimes ou les sauveuses des enfants/des femmes.
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"Une explosion de la pédophilie féminine"
Revers de l’inégalité, les femmes sont souvent idéalisées, jugées incapables de commettre les mêmes horreurs que les hommes. Or, on découvre de plus en plus que c’est faux, en particulier quand il s'agit d'abus sexuels sur les enfants. Qui sont-elles, comment en arrivent-elles à agresser des enfants, et, la plupart du temps, les leurs ? Le phénomène est-il en hausse, quel rôle y joue Internet ? Enquête au cœur de l'impensable.
"Une explosion de la pédophilie féminine"
Cindy, Gloria, Jennifer, Karla… Il suffit de cliquer sur les sites Internet -américains où sont fichés les délinquants sexuels pour tomber sur des centaines de noms de femmes condamnées pour viols sur mineur et attouchements sur leurs propres enfants.
En Grande-Bretagne, les portraits patibulaires de -Vanessa George continuent d’occuper la une des tabloïds. Puéricultrice à la -Little Ted Nursery de Plymouth, -Vanessa George a été jugée coupable d’agressions sexuelles répétées sur des enfants de 2 à 5 ans, de fabrication et d’échange d’images pédo-pornographiques par l’intermédiaire de Facebook.
Depuis cette affaire, le service d’assistance téléphonique ChildLine a enregistré une augmentation de 132 % des plaintes pour agression sexuelle -féminine et la presse anglaise s’est largement fait l’écho d’une « explosion de la pédophilie féminine ».
Pour démêler le vrai du faux et faire le point sur ce sujet tabou, rendez-vous à l’université de Montréal où la criminologue Franca Cortoni vient de conduire la première étude d’envergure sur les agresseuses sexuelles*. Avec un groupe de chercheurs et de thérapeutes spécialisés dans le suivi psychologique de ces femmes, elle a analysé l’ampleur réelle du phénomène et cherché à comprendre ce qui pouvait conduire une femme à commettre un crime sexuel.
« D’après les données que nous avons recueillies dans plusieurs pays, nous explique-t-elle, les femmes constituent 5 % de la population des délinquants sexuels. Ce chiffre est probablement sous-estimé. Les victimes d’abus féminins parlent encore moins que les victimes des hommes. Les services judiciaires et médico-psychologiques ne sont pas entraînés à repérer les agresseuses.
Je me souviens du cas d’une mère qui avait avoué à son généraliste qu’elle se livrait à des attouchements sur sa propre fille. Le médecin avait conclu qu’elle était délirante et l’avait envoyée chez un psychiatre. Dans nos représentations sociales, il est impensable qu’une femme, et a fortiori une mère, abuse d’un enfant. La violence sexuelle ne peut être que du côté des hommes ».
Franca Cortoni poursuit : « 92 % des victimes des femmes sont des enfants de moins de 9 ans, et le plus souvent, leurs propres enfants. Un tiers des agresseuses agissent seules, et les deux autres tiers, accompagnées par un homme avec lequel elles abusent, de leur plein gré ou sous la contrainte.
Lorsqu’elles sont seules, leur victime est le plus souvent masculine, tandis qu’elle est féminine lorsqu’elles co-agressent avec un homme. Les agressions peuvent être beaucoup plus graves, voire aller jusqu’au meurtre, lorsqu’elles sont perpétrées avec un homme ».
Par Elisabeth Alexandre
http://www.marieclaire.fr/,femmes-pedophiles,20258,408762.asp
"Une explosion de la pédophilie féminine"
Cindy, Gloria, Jennifer, Karla… Il suffit de cliquer sur les sites Internet -américains où sont fichés les délinquants sexuels pour tomber sur des centaines de noms de femmes condamnées pour viols sur mineur et attouchements sur leurs propres enfants.
En Grande-Bretagne, les portraits patibulaires de -Vanessa George continuent d’occuper la une des tabloïds. Puéricultrice à la -Little Ted Nursery de Plymouth, -Vanessa George a été jugée coupable d’agressions sexuelles répétées sur des enfants de 2 à 5 ans, de fabrication et d’échange d’images pédo-pornographiques par l’intermédiaire de Facebook.
Depuis cette affaire, le service d’assistance téléphonique ChildLine a enregistré une augmentation de 132 % des plaintes pour agression sexuelle -féminine et la presse anglaise s’est largement fait l’écho d’une « explosion de la pédophilie féminine ».
Pour démêler le vrai du faux et faire le point sur ce sujet tabou, rendez-vous à l’université de Montréal où la criminologue Franca Cortoni vient de conduire la première étude d’envergure sur les agresseuses sexuelles*. Avec un groupe de chercheurs et de thérapeutes spécialisés dans le suivi psychologique de ces femmes, elle a analysé l’ampleur réelle du phénomène et cherché à comprendre ce qui pouvait conduire une femme à commettre un crime sexuel.
« D’après les données que nous avons recueillies dans plusieurs pays, nous explique-t-elle, les femmes constituent 5 % de la population des délinquants sexuels. Ce chiffre est probablement sous-estimé. Les victimes d’abus féminins parlent encore moins que les victimes des hommes. Les services judiciaires et médico-psychologiques ne sont pas entraînés à repérer les agresseuses.
Je me souviens du cas d’une mère qui avait avoué à son généraliste qu’elle se livrait à des attouchements sur sa propre fille. Le médecin avait conclu qu’elle était délirante et l’avait envoyée chez un psychiatre. Dans nos représentations sociales, il est impensable qu’une femme, et a fortiori une mère, abuse d’un enfant. La violence sexuelle ne peut être que du côté des hommes ».
Franca Cortoni poursuit : « 92 % des victimes des femmes sont des enfants de moins de 9 ans, et le plus souvent, leurs propres enfants. Un tiers des agresseuses agissent seules, et les deux autres tiers, accompagnées par un homme avec lequel elles abusent, de leur plein gré ou sous la contrainte.
Lorsqu’elles sont seules, leur victime est le plus souvent masculine, tandis qu’elle est féminine lorsqu’elles co-agressent avec un homme. Les agressions peuvent être beaucoup plus graves, voire aller jusqu’au meurtre, lorsqu’elles sont perpétrées avec un homme ».
Par Elisabeth Alexandre
http://www.marieclaire.fr/,femmes-pedophiles,20258,408762.asp
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Oui, je pense qu'on est mal informé car les agressions peuvent être plus subtiles et ne pas laisser de traces...
un viol commis par un homme peut être prouvé, mais les débordements pervers d'une femme peuvent facilement se déguiser en soins hygiéniques aux enfants, intrusion lors de consultations médicales (emmener sa gamine au gynéco), faire prescrire des traitements barbares inappropriés et y assister, attouchements, nudisme et massages familiaux, confidences très intimes, infliger des cours de "planning", érotiser la relation éducative par des commentaires/blagues/chansons salaces, absence de verrous sur les portes des salles de bain/wc, pillage des écrits intimes des ados, voire même "piquer" les copains/copines de ses enfants, se mettre au même niveau qu'eux... ces exemples cités par les Dr Racamier( "Le génie des origines"), Pr Van Meerbeck ("L'infamille") Dr Hurni et Stoll ("Saccages psychiques au quotidien")ou le Dr Naouri ("Le couple et l'enfant")
relèvent de l'incestuel et jouxtent l'abus narcissique.
La pédophilie féminine est, façon de parler, plus "hypocrite" que celle de l'homme et moins visible. Elle est aussi plus "sentimentale", c'est plus dans le relationnel, la confusion des espaces. Racamier évoque des activités communes, des objets fétichisés (argent) qui "tiennent lieu" de relation incestuelles entre la mère et le fils/la fille.
un viol commis par un homme peut être prouvé, mais les débordements pervers d'une femme peuvent facilement se déguiser en soins hygiéniques aux enfants, intrusion lors de consultations médicales (emmener sa gamine au gynéco), faire prescrire des traitements barbares inappropriés et y assister, attouchements, nudisme et massages familiaux, confidences très intimes, infliger des cours de "planning", érotiser la relation éducative par des commentaires/blagues/chansons salaces, absence de verrous sur les portes des salles de bain/wc, pillage des écrits intimes des ados, voire même "piquer" les copains/copines de ses enfants, se mettre au même niveau qu'eux... ces exemples cités par les Dr Racamier( "Le génie des origines"), Pr Van Meerbeck ("L'infamille") Dr Hurni et Stoll ("Saccages psychiques au quotidien")ou le Dr Naouri ("Le couple et l'enfant")
relèvent de l'incestuel et jouxtent l'abus narcissique.
La pédophilie féminine est, façon de parler, plus "hypocrite" que celle de l'homme et moins visible. Elle est aussi plus "sentimentale", c'est plus dans le relationnel, la confusion des espaces. Racamier évoque des activités communes, des objets fétichisés (argent) qui "tiennent lieu" de relation incestuelles entre la mère et le fils/la fille.
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Mais je me pose des questions sur ce qu'on enseigne en fac de psycho, réellement.
La fac est peut-être "acquise" à ce corpus d'idées féministe-antiautoritariste-laiciste ?
Le milieu psychanalytique, n'en parlons pas...
Toujours est-il que des lectures pouvant ouvrir des pistes sur les familles incestuelles, le pouvoir des mères, etc. "commencent" avec un état des lieux réalistes (absence de places , de limites, confusions, abus narcissiques, absence de pudeur, père faible, mère omnipotente...)
mais "continuent" avec des interprétations et des propositions thérapeutiques issues de (et sauvegardant) ce même corpus d'idées ! (en gros c'est la faute aux traditions, à la religion, au patriarcat, aux pères, etc)
Il y a toujours l'espoir initial ("ils ont compris" que quelque chose cloche dans l'Occident post-moderne...)) suivi de la douche froide quand on lit la suite (finalement ils ont les mêmes idées, les mêmes convictions que ce qu'ils dénoncent : la solution ça va être d'"autonomiser"l'enfant, de le "libérer", etc.).
Les pédophiles sont surement tranquilles en constatant que les solutions proposées par ces dénonciateurs de pédophilie sont hélas souvent des choses stupides comme "apprendre aux enfants à dire non" (proposition inutile car elle méconnait la réalité de la faiblesse de l'enfant et de la rouerie du pédophile...)
Etant donnée l'hégémonie "psy" de nos sociétés (depuis le féminisme notamment), on ne peut faire l'impasse de la critique des pratiques/théories "psy" dès lors qu'on met le féminisme en cause. L'un des poncifs "psys" est de "responsabiliser" l'agressé tout en ne "portant pas de jugement" sur l'agresseur.
Dans le même registre je me souviens d'un auteur "féministe" dont la petite amie a été violée dans un parking : il a écrit tout un article "féministe" où il justifie d'avoir abandonné son amie suite à ce viol parce qu'elle a eu trop peur pour se défendre (ou n'a pas su), elle s' est "laissé faire" et cet homme féministe s'est indigné qu'elle ne soit pas la "femme forte" qu'il espérait, qu'elle soit "si facilement retombée dans le rôle traditionnel de la victime passive"...et de conclure qu'il n'y avait "plus d'amour possible" parce qu'il n'y a d'amour que "grâce" au féminisme et que cette amie n'avait pas été "indépendante"....
La fac est peut-être "acquise" à ce corpus d'idées féministe-antiautoritariste-laiciste ?
Le milieu psychanalytique, n'en parlons pas...
Toujours est-il que des lectures pouvant ouvrir des pistes sur les familles incestuelles, le pouvoir des mères, etc. "commencent" avec un état des lieux réalistes (absence de places , de limites, confusions, abus narcissiques, absence de pudeur, père faible, mère omnipotente...)
mais "continuent" avec des interprétations et des propositions thérapeutiques issues de (et sauvegardant) ce même corpus d'idées ! (en gros c'est la faute aux traditions, à la religion, au patriarcat, aux pères, etc)
Il y a toujours l'espoir initial ("ils ont compris" que quelque chose cloche dans l'Occident post-moderne...)) suivi de la douche froide quand on lit la suite (finalement ils ont les mêmes idées, les mêmes convictions que ce qu'ils dénoncent : la solution ça va être d'"autonomiser"l'enfant, de le "libérer", etc.).
Les pédophiles sont surement tranquilles en constatant que les solutions proposées par ces dénonciateurs de pédophilie sont hélas souvent des choses stupides comme "apprendre aux enfants à dire non" (proposition inutile car elle méconnait la réalité de la faiblesse de l'enfant et de la rouerie du pédophile...)
Etant donnée l'hégémonie "psy" de nos sociétés (depuis le féminisme notamment), on ne peut faire l'impasse de la critique des pratiques/théories "psy" dès lors qu'on met le féminisme en cause. L'un des poncifs "psys" est de "responsabiliser" l'agressé tout en ne "portant pas de jugement" sur l'agresseur.
Dans le même registre je me souviens d'un auteur "féministe" dont la petite amie a été violée dans un parking : il a écrit tout un article "féministe" où il justifie d'avoir abandonné son amie suite à ce viol parce qu'elle a eu trop peur pour se défendre (ou n'a pas su), elle s' est "laissé faire" et cet homme féministe s'est indigné qu'elle ne soit pas la "femme forte" qu'il espérait, qu'elle soit "si facilement retombée dans le rôle traditionnel de la victime passive"...et de conclure qu'il n'y avait "plus d'amour possible" parce qu'il n'y a d'amour que "grâce" au féminisme et que cette amie n'avait pas été "indépendante"....
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Et j'ai aussi l'exemple de parents qui forçaient une gamine de 10 ans à faire du judo pour se défendre face à d'éventuels agresseurs dans une ville où elle devait circuler en vélo seule même la nuit (pour revenir du sport vers 21 heures).
Aller la chercher au sport à cette heure eut été contraire à la sacro-sainte "Autonomie" féministe..."surprotéger" la fillette l'exposait sans doute à la reproduction d'un "stéréotype de genre".
Aller la chercher au sport à cette heure eut été contraire à la sacro-sainte "Autonomie" féministe..."surprotéger" la fillette l'exposait sans doute à la reproduction d'un "stéréotype de genre".
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
A cause du féminisme, la féminité est en voie de disparition. Ce génocide psychologique s’appelle : « la libération de la femme ».
Lorsque la culture est contrôlée par des Satanistes, le « progrès » repose sur l’avancement de leurs critères.
J’ai participé à un cours de cuisine végétarienne. Le professeur est une femme de 70 ans qui en parait 55. Une autre des participantes, une québécoise à la retraite d’une soixantaine d’année, est aussi très enjouée.
D’habitude je ne remarque pas les femmes de mon âge (presque 64 ans) mais il y avait quelque chose d’étrangement différent chez ces femmes. Je me suis senti si à l’aise en leur présence que je me suis presque endormi. Puis j’ai fini par réaliser de quoi il s’agissait : ces femmes sont féminines. Je venais de tomber sur des membres appartenant à une espèce en voie d’extinction : la « femme ».
Tout comme moi, ces femmes appartiennent à la génération de transition des années 1960. Mais en ce temps-là, au lycée, les femmes choisissaient des options traitant de l’économie au foyer, tandis que les garçons s’orientaient vers le commerce. Les garçons invitaient les filles à « sortir », les emmenaient danser ou voir un film au cinéma. Les relations sexuelles avant le mariage étaient mal vues et les enfants illégitimes étaient considérés comme des « bâtards ». Une chanson populaire avait pour refrain : « L’amour et le mariage, vont ensemble comme un cheval et son attelage ». On nous disait de remettre en question l’autorité, pas notre genre sexuel.
Qu’est-ce qui fait que ces deux femmes assistant à ce cours de cuisine sont « féminines » ? Si j’avais à choisir un seul terme, ce serait leur « vulnérabilité ». Ce sont des femmes qui ne tueraient pas elle-même un serpent. Elles s’en remettent à un homme, leur mari, pour les protéger et les diriger. Elles ne rentrent jamais en compétition avec les hommes.
Une autre notion clef est celle de sacrifice. Elles se vouent à leur famille et sont chéries en retour pour cela. Elles sont aimées non pour leur apparence leur accomplissement ou leur répartie, mais pour leur contribution envers leur famille.
Un autre terme est l’abandon. Vous sentez qu’un homme loyal doté de vision et de détermination pourrait mériter la dévotion de ces femmes pour la vie. C’est de cette manière que deux personnes ne font plus qu’une.
L’abandon et le sacrifice, basés sur la confiance, constituent la manière dont une femme véritable accorde son amour. Bien sûr, un homme doit gagner et mériter cette confiance. Le sacrifice d’une épouse inspire un homme pour qu’il se sacrifie à son tour, c’est-à-dire qu’il pourvoie au bien être de sa famille.
Hommes et femmes ont été gravement blessés par les ingénieurs sociaux Illuminati ayant miné le genre sexuel et le mariage avec la complicité de notre gouvernement, des médias et du système éducatif. Les femmes ont acquis du « pouvoir » et les hommes ont été ainsi émasculés. Le but est de neutraliser et de reprogrammer l’humanité pour la changer en une race d’esclave.
Les femmes sont faites par nature pour le sacrifice et l’abandon d’elle-même au profit de leur famille. Mais le féminisme a enjoint les jeunes femmes à être « fortes et indépendantes » et de considérer les hommes, le mariage et la famille avec suspicion. En conséquence, les femmes ont été privées de l’accomplissement dont elles ont instinctivement besoin et qui ne peut être trouvé qu’à travers leur dévouement désintéressé envers un mari aimant et ses enfants. Cela concerne aussi leur épanouissement sexuel.
Les femmes étaient autrefois essentiellement différentes des hommes. Elles étaient concentrées sur leur foyer. Leur esprit était un refuge et un havre de paix pour un homme. Leur énergie équilibrait son énergie.
Les jeunes femmes d’aujourd’hui sont tellement occupées à poursuivre une carrière qu’elles sont à peine distinguable des hommes. Le féminisme a doté la plupart d’un pénis psychologique.
Beaucoup d’entre elles souffrent de ce que j’appelle un « désordre déficient de la personnalité. » Elles sont peut-être agréables à regarder mais elles ont peu de personnalité, de style ou de charme. Elles ne peuvent pas être des hommes, et elles ne savent plus comment être des femmes. Ce sont des mutants.
Par contraste, il y a un charme lumineux chez les femmes féminines de ma génération. Elles ne se prennent pas trop au sérieux. Un homme peut se détendre en leur présence. Elles ont encore de la fraicheur et restent attirante même à 60 ans.
eofwSous le prétexte des « droits » des gays et des femmes, les Illuminati ont mené une guerre sur le genre sexuel qui a eu pour effet de paralyser psychologiquement les hétérosexuels. Seuls des Satanistes songeraient à s’attaquer à l’amour entre mari et femme, ou entre mère et enfant. Les hommes sont aujourd’hui toujours dépeint comme féminins et faibles. Les femmes ne peuvent pas aimer ces hommes.
L’essence de la masculinité est le pouvoir. Mon conseil aux jeunes hommes : engagez-vous dans une carrière profitable et qui vous plait. Soyez animés d’une vision de la vie et de la place qu’une femme doit y occuper. Ensuite, aidez une jeune femme à trouver sa nature féminine fondamentale en vous acceptant comme son mari. Vous devez être le patron, autrement une femme ne vous respectera pas. Vous serez considéré au mieux comme son frère ou son fils.
Lorsque la culture est contrôlée par des Satanistes, le « progrès » repose sur l’avancement de leurs critères.
J’ai participé à un cours de cuisine végétarienne. Le professeur est une femme de 70 ans qui en parait 55. Une autre des participantes, une québécoise à la retraite d’une soixantaine d’année, est aussi très enjouée.
D’habitude je ne remarque pas les femmes de mon âge (presque 64 ans) mais il y avait quelque chose d’étrangement différent chez ces femmes. Je me suis senti si à l’aise en leur présence que je me suis presque endormi. Puis j’ai fini par réaliser de quoi il s’agissait : ces femmes sont féminines. Je venais de tomber sur des membres appartenant à une espèce en voie d’extinction : la « femme ».
Tout comme moi, ces femmes appartiennent à la génération de transition des années 1960. Mais en ce temps-là, au lycée, les femmes choisissaient des options traitant de l’économie au foyer, tandis que les garçons s’orientaient vers le commerce. Les garçons invitaient les filles à « sortir », les emmenaient danser ou voir un film au cinéma. Les relations sexuelles avant le mariage étaient mal vues et les enfants illégitimes étaient considérés comme des « bâtards ». Une chanson populaire avait pour refrain : « L’amour et le mariage, vont ensemble comme un cheval et son attelage ». On nous disait de remettre en question l’autorité, pas notre genre sexuel.
Qu’est-ce qui fait que ces deux femmes assistant à ce cours de cuisine sont « féminines » ? Si j’avais à choisir un seul terme, ce serait leur « vulnérabilité ». Ce sont des femmes qui ne tueraient pas elle-même un serpent. Elles s’en remettent à un homme, leur mari, pour les protéger et les diriger. Elles ne rentrent jamais en compétition avec les hommes.
Une autre notion clef est celle de sacrifice. Elles se vouent à leur famille et sont chéries en retour pour cela. Elles sont aimées non pour leur apparence leur accomplissement ou leur répartie, mais pour leur contribution envers leur famille.
Un autre terme est l’abandon. Vous sentez qu’un homme loyal doté de vision et de détermination pourrait mériter la dévotion de ces femmes pour la vie. C’est de cette manière que deux personnes ne font plus qu’une.
L’abandon et le sacrifice, basés sur la confiance, constituent la manière dont une femme véritable accorde son amour. Bien sûr, un homme doit gagner et mériter cette confiance. Le sacrifice d’une épouse inspire un homme pour qu’il se sacrifie à son tour, c’est-à-dire qu’il pourvoie au bien être de sa famille.
Hommes et femmes ont été gravement blessés par les ingénieurs sociaux Illuminati ayant miné le genre sexuel et le mariage avec la complicité de notre gouvernement, des médias et du système éducatif. Les femmes ont acquis du « pouvoir » et les hommes ont été ainsi émasculés. Le but est de neutraliser et de reprogrammer l’humanité pour la changer en une race d’esclave.
Les femmes sont faites par nature pour le sacrifice et l’abandon d’elle-même au profit de leur famille. Mais le féminisme a enjoint les jeunes femmes à être « fortes et indépendantes » et de considérer les hommes, le mariage et la famille avec suspicion. En conséquence, les femmes ont été privées de l’accomplissement dont elles ont instinctivement besoin et qui ne peut être trouvé qu’à travers leur dévouement désintéressé envers un mari aimant et ses enfants. Cela concerne aussi leur épanouissement sexuel.
Les femmes étaient autrefois essentiellement différentes des hommes. Elles étaient concentrées sur leur foyer. Leur esprit était un refuge et un havre de paix pour un homme. Leur énergie équilibrait son énergie.
Les jeunes femmes d’aujourd’hui sont tellement occupées à poursuivre une carrière qu’elles sont à peine distinguable des hommes. Le féminisme a doté la plupart d’un pénis psychologique.
Beaucoup d’entre elles souffrent de ce que j’appelle un « désordre déficient de la personnalité. » Elles sont peut-être agréables à regarder mais elles ont peu de personnalité, de style ou de charme. Elles ne peuvent pas être des hommes, et elles ne savent plus comment être des femmes. Ce sont des mutants.
Par contraste, il y a un charme lumineux chez les femmes féminines de ma génération. Elles ne se prennent pas trop au sérieux. Un homme peut se détendre en leur présence. Elles ont encore de la fraicheur et restent attirante même à 60 ans.
eofwSous le prétexte des « droits » des gays et des femmes, les Illuminati ont mené une guerre sur le genre sexuel qui a eu pour effet de paralyser psychologiquement les hétérosexuels. Seuls des Satanistes songeraient à s’attaquer à l’amour entre mari et femme, ou entre mère et enfant. Les hommes sont aujourd’hui toujours dépeint comme féminins et faibles. Les femmes ne peuvent pas aimer ces hommes.
L’essence de la masculinité est le pouvoir. Mon conseil aux jeunes hommes : engagez-vous dans une carrière profitable et qui vous plait. Soyez animés d’une vision de la vie et de la place qu’une femme doit y occuper. Ensuite, aidez une jeune femme à trouver sa nature féminine fondamentale en vous acceptant comme son mari. Vous devez être le patron, autrement une femme ne vous respectera pas. Vous serez considéré au mieux comme son frère ou son fils.
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
L'abandon, le sacrifice, ils sont combattus par les thérapeutes d'inspiration féministe : des livres "grand public" comme "Ces femmes qui aiment trop" de l'Américaine Robin Norwood ou pire "Le complexe de Cendrillon" de Colette Dowling sont de véritables "chasses aux sorcières" contre la féminité
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le taux de natalité en France, qui est en hausse, est grâce...
Il y avait 210,700 avortements rapportés en France en 2004, la plupart sur les femmes entre 18 à 35 ans. Aujourd’hui la question de l’avortement est encore un sujet de débats passionnés après plus de trente ans depuis qu’il était légalisé en 1975 avec la loi de Simone Veil. Comme beaucoup d’autres pays, l’histoire de l’avortement en France est longue et compliquée avec les débats qui prennent les positions pour ou contre l’avortement. Les positions pour ou contre l’avortement sont traditionnellement fondées sur les questions de la moralité, la religion, et les droits des femmes libérées. Aujourd’hui, nous voyons encore les débats traditionnels et aussi les points de vue différents qui traitent les sujets de la persistance de l’existence du peuple et de l’Etat français dans l’avenir.
Nous voyons qu’il apparait qu’il y a un conflit idéologique entre les droits et la liberté des femmes et les attitudes traditionnelles en France qui soutiennent la persistance de la famille française, ce qu’on appelle « l’État familial ». On peut poser la question, comment est-ce que l’État français concilie la liberté des individus, les femmes en particulaire, avec les espoirs pour le futur de l’État français? En même temps que les femmes sont libres d’avoir les avortements si elles veulent, autour de 200 000 par an, les lois et les efforts des administrations françaises soutiennent la famille. En voyant les femmes françaises qui ont le droit d’avorter les embryons, il y a des groupes politiques et sociaux de Français comme l’Alliance pour les droits de la vie qui travaillent contre l’avortement et « les réalités » de la procédure.
Aujourd’hui, « entre 2000 et 2007 la population de l’Union européenne a augmenté de 14,2 millions de personnes, mais 84 % de cette croissance…sont dus a l’immigration. » Ces chiffres sur l’immigration à côté du taux de l’avortement en Europe, spécifiquement en France, nous montre une raison pour laquelle il y a des Français qui ont peur que le peuple européen va disparaitre. Le taux de natalité en France est deux enfants pour chaque femme en comparaison avec l’Europe en générale avec une moyenne de 1,56 enfant pour chaque femme, un chiffre qui ne remplace pas la population d’origine européenne. À cette époque, Wylie et Brière nous disent aussi qu’on estime que 6.6% de la population française sont des étrangers. Nous voyons ce phénomène après les événements du vingtième siècle qui stimulent l’immigration des habitants d’Afrique du Nord comme les Algériens, les Marocains, et les « Pieds-Noirs » de l’époque de la colonisation. En fait, le taux de natalité en France, qui est en hausse, est grâce à des immigrés.
https://collab.itc.virginia.edu/access/content/group/3773a2c7-fc6b-4fc9-b6fd-914f2b55ef1c/02_projets_des_etudiant
Nous voyons qu’il apparait qu’il y a un conflit idéologique entre les droits et la liberté des femmes et les attitudes traditionnelles en France qui soutiennent la persistance de la famille française, ce qu’on appelle « l’État familial ». On peut poser la question, comment est-ce que l’État français concilie la liberté des individus, les femmes en particulaire, avec les espoirs pour le futur de l’État français? En même temps que les femmes sont libres d’avoir les avortements si elles veulent, autour de 200 000 par an, les lois et les efforts des administrations françaises soutiennent la famille. En voyant les femmes françaises qui ont le droit d’avorter les embryons, il y a des groupes politiques et sociaux de Français comme l’Alliance pour les droits de la vie qui travaillent contre l’avortement et « les réalités » de la procédure.
Aujourd’hui, « entre 2000 et 2007 la population de l’Union européenne a augmenté de 14,2 millions de personnes, mais 84 % de cette croissance…sont dus a l’immigration. » Ces chiffres sur l’immigration à côté du taux de l’avortement en Europe, spécifiquement en France, nous montre une raison pour laquelle il y a des Français qui ont peur que le peuple européen va disparaitre. Le taux de natalité en France est deux enfants pour chaque femme en comparaison avec l’Europe en générale avec une moyenne de 1,56 enfant pour chaque femme, un chiffre qui ne remplace pas la population d’origine européenne. À cette époque, Wylie et Brière nous disent aussi qu’on estime que 6.6% de la population française sont des étrangers. Nous voyons ce phénomène après les événements du vingtième siècle qui stimulent l’immigration des habitants d’Afrique du Nord comme les Algériens, les Marocains, et les « Pieds-Noirs » de l’époque de la colonisation. En fait, le taux de natalité en France, qui est en hausse, est grâce à des immigrés.
https://collab.itc.virginia.edu/access/content/group/3773a2c7-fc6b-4fc9-b6fd-914f2b55ef1c/02_projets_des_etudiant
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
La croissance de la population française est intégralement due à l’immigration
L’INSEE vient de publier le bilan démographique de la France pour 2010 (voir INSEE). L’organisme met en avant le nombre record des naissances, 828 000 (797 000 en métropole), qui reflète la forte fécondité des Françaises (2,01 enfants par femme), très supérieure à la moyenne européenne (1,6). Cette fécondité élevée permet à la population française d’atteindre 65,8 millions d’habitants (63,1 pour la métropole).
Voulant sans doute répondre par avance aux discours « xénophobes », l’INSEE affirme que l’augmentation de la population est avant tout liée au dynamisme de la natalité, le solde migratoire ne jouant qu’un rôle mineur : les médias ont bien entendu largement fait écho à cette information politiquement conforme.
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La réalité, nous nous proposons de le montrer, est exactement inverse de celle que l’INSEE s’attache à décrire. La forte augmentation de la population est intégralement due à l’immigration, sous l’effet des deux phénomènes suivants : les flux migratoires à destination de la France restent considérables ; les femmes originaires de l’immigration ont un nombre d’enfants très supérieur à celui des Françaises de souche (la fécondité de ces dernières étant probablement du même ordre que ce qu’elle est en Allemagne ou en Italie). »
Pour cacher la réalité et abuser l’électorat, l’INSEE, comme nous allons le voir, répondant aux vœux des gouvernements qui se succèdent, manipule et déforme depuis des décennies les chiffres et les concepts :
L’INSEE camoufle le nombre des immigrés qui s’établissent chaque année dans notre pays
L’INSEE affirme que le « solde migratoire » atteint en 2010 n’est que de 75 000. Pour aboutir à ce chiffre, l’institut a additionné le nombre des personnes qui en 2010 sont venues s’installer en France et a soustrait le nombre de celles qui, y résidant jusque-là, sont parties s’installer à l’étranger. L’accroissement de la population ayant été en 2010 de 358 000, il est donc pour l’essentiel « naturel » (l’excédent des naissances sur les décès a été de 283 000), le solde migratoire n’en représentant que le cinquième. Au vu des données publiées par l’INSEE, le discours de ceux qui dénoncent l’ampleur de l’immigration constitue donc un pur phantasme : l’accroissement de population est bien dû à la fécondité appréciable des Françaises.
Or le « solde migratoire » présenté par l’INSEE constitue une manipulation malhonnête du concept d’immigration : il porte en effet sur l’ensemble des personnes qui quittent ou s’installent, de façon légale, sur le territoire et inclut donc aussi bien les mouvements migratoires légaux des Africains et des Maghrébins que ceux des Anglais… ou des Français. Par exemple un Français qui part s’installer à Londres réduit le solde migratoire, tandis qu’un Français qui revient en France à l’issue d’un séjour en expatriation l’augmente.
Contrairement à ce qu’ont pensé la plupart des journalistes, incompétents ou malhonnêtes, qui ont commenté le document de l’INSEE, le chiffre de 75 000 ne représente donc nullement le nombre des immigrés non européens supplémentaires qui se sont installés légalement en France en 2010. Pour connaître ce dernier chiffre, il faut se référer aux données qu’un autre organisme officiel, l’INED, publie discrètement au détour d’une des pages de ses épaisses publications confidentielles. Selon l’INED, le nombre des immigrés non européens qui se sont installés légalement en France en 2008 (dernière année pour laquelle les chiffres sont disponibles) a été de 156 000.
(http://www.ined.fr/fr/ressources_documentation/publications/population/bdd/publication/1524/ (page 457).
A ce chiffre de 156 000, il faut ajouter les entrées illégales, lesquelles bien entendu ne font pas l’objet d’un chiffrage officiel (nous les évaluons pour notre part à un niveau compris entre 30 000 et 100 000 par an). Quant aux naissances d’enfants dont l’un des parents au moins est originaire de l’immigration non européenne, nous les estimons à au moins 250 000 par an (soit 30 % des naissances).
En additionnant le nombre des naissances, celui des entrées légales et illégales et en déduisant les décès et les départs, nous évaluons l’augmentation du nombre des immigrés non européens en métropole à au moins 400 000 par an (voir la Tribune parue sur FDesouche le 13/09/09).
Les flux migratoires réels n’ont donc rien à voir avec le pseudo « solde migratoire » pour gogos affiché par l’INSEE.
L’INSEE dissimule tout aussi soigneusement le nombre total des immigrés installés en France
L’organisme officiel calcule le nombre des immigrés qui sont présents en France et affirme que ces immigrés sont un peu plus de 5 millions. (http://www.insee.fr/fr/ffc/tef/tef2010/tef2010.pdf) voir pages 41 et 214)
Selon l’INSEE, ces immigrés contribuent certes à la forte natalité française, mais de façon marginale : s’ils n’étaient pas là, la fécondité ne serait pas de 2,1 mais de 1,9, soit un niveau toujours élevé et très supérieur à la moyenne européenne. CQFD : les naissances sont avant tout le fait des Françaises, ainsi que l’illustre la « Une » du Figaro du 19 janvier 2011, qui présente les portraits de 9 bébés de l’année, tous de type européen.
Il se trouve que les chiffres de l’INSEE sont là encore le fruit d’une manipulation, sous la forme cette fois d’un (gros) mensonge par omission. L’INSEE considère en effet que sont immigrées les personnes qui, résidant en France, sont « nées étrangères à l’étranger » (qu’elles aient ou non acquis par la suite la nationalité française). Les personnes qui sont originaires de l’immigration mais qui sont nées en France ne sont donc pas comptabilisées. Nous estimons leur nombre à au moins 7 millions (l’immigration non européenne ayant commencé dans les années 60 et étant devenue massive à partir des années 70 ; naissent désormais des immigrés qui appartiennent à la troisième génération née en France).
Le chiffre qui correspond à la réalité de l’immigration (extra européenne) présente en France n’est donc pas de 5 millions mais d’au moins 12 millions (soit 20 % de la population métropolitaine).
Pour approcher la vérité, il n’est pas nécessaire au demeurant de se plonger dans les arcanes des institutions chargées des statistiques : il suffit de parcourir les couloirs d’une maternité, de consulter les listes des naissances des bulletins municipaux, de s’attarder devant une école à l’heure de la sortie des classes ou de rechercher le classement des prénoms les plus fréquemment attribués (Voir par exemple cet article http://www.bienpublic.com/fr/permalien/article/3243169/Des-meres-meritantes-medaillees.html).
**
Les médias ont ces dernières semaines relevé cette bizarrerie. Les Français sont les champions de la natalité européenne, laissant ainsi penser qu’ils nourrissent en l’avenir une immarcescible confiance.
Pourtant un sondage réalisé dans 57 pays vient de montrer que, tout au contraire, les Français sont, sans ex aequo, les plus pessimistes de la liste (voir Le Point du 04/01/11 http://www.lepoint.fr/societe/sondage-les-francais-champions-du-monde-du-pessimisme-04-01-2011-126436_23.php). Et les médias de s’interroger, en toute incompétence, sur la signification de ce paradoxe…
L’explication est simple : il n’y aucun paradoxe. Les enfants, en France, ce sont avant tout les immigrés qui les font. Et si les Français sont pessimistes, c’est qu’ils le savent.
Compte-tenu des flux migratoires et de la situation de la natalité, les Français de souche européenne seront, si rien ne change, minoritaires dans leur propre pays bien avant la fin du siècle. Ils en ont sans doute pour la plupart confusément conscience, même lorsqu’ils ne se décident pas à voter pour le seul parti politique se proposant d’arrêter l’immigration (là réside d’ailleurs le paradoxe véritable, celui-là bien difficile à démêler).
Le pessimisme des Français s’alimente également des craintes qu’ils ne peuvent qu’éprouver concernant l’état de la sécurité sociale, celui des services publics, l’ampleur du chômage ou des délocalisations.
Les immigrés arrivent et les emplois s’en vont : il serait tout de même étonnant, dans un tel contexte, que les Français, certes spectaculairement avachis, poussent la bêtise et la lâcheté au point de se déclarer optimistes.
Relevé sur FDS
L’INSEE vient de publier le bilan démographique de la France pour 2010 (voir INSEE). L’organisme met en avant le nombre record des naissances, 828 000 (797 000 en métropole), qui reflète la forte fécondité des Françaises (2,01 enfants par femme), très supérieure à la moyenne européenne (1,6). Cette fécondité élevée permet à la population française d’atteindre 65,8 millions d’habitants (63,1 pour la métropole).
Voulant sans doute répondre par avance aux discours « xénophobes », l’INSEE affirme que l’augmentation de la population est avant tout liée au dynamisme de la natalité, le solde migratoire ne jouant qu’un rôle mineur : les médias ont bien entendu largement fait écho à cette information politiquement conforme.
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La réalité, nous nous proposons de le montrer, est exactement inverse de celle que l’INSEE s’attache à décrire. La forte augmentation de la population est intégralement due à l’immigration, sous l’effet des deux phénomènes suivants : les flux migratoires à destination de la France restent considérables ; les femmes originaires de l’immigration ont un nombre d’enfants très supérieur à celui des Françaises de souche (la fécondité de ces dernières étant probablement du même ordre que ce qu’elle est en Allemagne ou en Italie). »
Pour cacher la réalité et abuser l’électorat, l’INSEE, comme nous allons le voir, répondant aux vœux des gouvernements qui se succèdent, manipule et déforme depuis des décennies les chiffres et les concepts :
L’INSEE camoufle le nombre des immigrés qui s’établissent chaque année dans notre pays
L’INSEE affirme que le « solde migratoire » atteint en 2010 n’est que de 75 000. Pour aboutir à ce chiffre, l’institut a additionné le nombre des personnes qui en 2010 sont venues s’installer en France et a soustrait le nombre de celles qui, y résidant jusque-là, sont parties s’installer à l’étranger. L’accroissement de la population ayant été en 2010 de 358 000, il est donc pour l’essentiel « naturel » (l’excédent des naissances sur les décès a été de 283 000), le solde migratoire n’en représentant que le cinquième. Au vu des données publiées par l’INSEE, le discours de ceux qui dénoncent l’ampleur de l’immigration constitue donc un pur phantasme : l’accroissement de population est bien dû à la fécondité appréciable des Françaises.
Or le « solde migratoire » présenté par l’INSEE constitue une manipulation malhonnête du concept d’immigration : il porte en effet sur l’ensemble des personnes qui quittent ou s’installent, de façon légale, sur le territoire et inclut donc aussi bien les mouvements migratoires légaux des Africains et des Maghrébins que ceux des Anglais… ou des Français. Par exemple un Français qui part s’installer à Londres réduit le solde migratoire, tandis qu’un Français qui revient en France à l’issue d’un séjour en expatriation l’augmente.
Contrairement à ce qu’ont pensé la plupart des journalistes, incompétents ou malhonnêtes, qui ont commenté le document de l’INSEE, le chiffre de 75 000 ne représente donc nullement le nombre des immigrés non européens supplémentaires qui se sont installés légalement en France en 2010. Pour connaître ce dernier chiffre, il faut se référer aux données qu’un autre organisme officiel, l’INED, publie discrètement au détour d’une des pages de ses épaisses publications confidentielles. Selon l’INED, le nombre des immigrés non européens qui se sont installés légalement en France en 2008 (dernière année pour laquelle les chiffres sont disponibles) a été de 156 000.
(http://www.ined.fr/fr/ressources_documentation/publications/population/bdd/publication/1524/ (page 457).
A ce chiffre de 156 000, il faut ajouter les entrées illégales, lesquelles bien entendu ne font pas l’objet d’un chiffrage officiel (nous les évaluons pour notre part à un niveau compris entre 30 000 et 100 000 par an). Quant aux naissances d’enfants dont l’un des parents au moins est originaire de l’immigration non européenne, nous les estimons à au moins 250 000 par an (soit 30 % des naissances).
En additionnant le nombre des naissances, celui des entrées légales et illégales et en déduisant les décès et les départs, nous évaluons l’augmentation du nombre des immigrés non européens en métropole à au moins 400 000 par an (voir la Tribune parue sur FDesouche le 13/09/09).
Les flux migratoires réels n’ont donc rien à voir avec le pseudo « solde migratoire » pour gogos affiché par l’INSEE.
L’INSEE dissimule tout aussi soigneusement le nombre total des immigrés installés en France
L’organisme officiel calcule le nombre des immigrés qui sont présents en France et affirme que ces immigrés sont un peu plus de 5 millions. (http://www.insee.fr/fr/ffc/tef/tef2010/tef2010.pdf) voir pages 41 et 214)
Selon l’INSEE, ces immigrés contribuent certes à la forte natalité française, mais de façon marginale : s’ils n’étaient pas là, la fécondité ne serait pas de 2,1 mais de 1,9, soit un niveau toujours élevé et très supérieur à la moyenne européenne. CQFD : les naissances sont avant tout le fait des Françaises, ainsi que l’illustre la « Une » du Figaro du 19 janvier 2011, qui présente les portraits de 9 bébés de l’année, tous de type européen.
Il se trouve que les chiffres de l’INSEE sont là encore le fruit d’une manipulation, sous la forme cette fois d’un (gros) mensonge par omission. L’INSEE considère en effet que sont immigrées les personnes qui, résidant en France, sont « nées étrangères à l’étranger » (qu’elles aient ou non acquis par la suite la nationalité française). Les personnes qui sont originaires de l’immigration mais qui sont nées en France ne sont donc pas comptabilisées. Nous estimons leur nombre à au moins 7 millions (l’immigration non européenne ayant commencé dans les années 60 et étant devenue massive à partir des années 70 ; naissent désormais des immigrés qui appartiennent à la troisième génération née en France).
Le chiffre qui correspond à la réalité de l’immigration (extra européenne) présente en France n’est donc pas de 5 millions mais d’au moins 12 millions (soit 20 % de la population métropolitaine).
Pour approcher la vérité, il n’est pas nécessaire au demeurant de se plonger dans les arcanes des institutions chargées des statistiques : il suffit de parcourir les couloirs d’une maternité, de consulter les listes des naissances des bulletins municipaux, de s’attarder devant une école à l’heure de la sortie des classes ou de rechercher le classement des prénoms les plus fréquemment attribués (Voir par exemple cet article http://www.bienpublic.com/fr/permalien/article/3243169/Des-meres-meritantes-medaillees.html).
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Les médias ont ces dernières semaines relevé cette bizarrerie. Les Français sont les champions de la natalité européenne, laissant ainsi penser qu’ils nourrissent en l’avenir une immarcescible confiance.
Pourtant un sondage réalisé dans 57 pays vient de montrer que, tout au contraire, les Français sont, sans ex aequo, les plus pessimistes de la liste (voir Le Point du 04/01/11 http://www.lepoint.fr/societe/sondage-les-francais-champions-du-monde-du-pessimisme-04-01-2011-126436_23.php). Et les médias de s’interroger, en toute incompétence, sur la signification de ce paradoxe…
L’explication est simple : il n’y aucun paradoxe. Les enfants, en France, ce sont avant tout les immigrés qui les font. Et si les Français sont pessimistes, c’est qu’ils le savent.
Compte-tenu des flux migratoires et de la situation de la natalité, les Français de souche européenne seront, si rien ne change, minoritaires dans leur propre pays bien avant la fin du siècle. Ils en ont sans doute pour la plupart confusément conscience, même lorsqu’ils ne se décident pas à voter pour le seul parti politique se proposant d’arrêter l’immigration (là réside d’ailleurs le paradoxe véritable, celui-là bien difficile à démêler).
Le pessimisme des Français s’alimente également des craintes qu’ils ne peuvent qu’éprouver concernant l’état de la sécurité sociale, celui des services publics, l’ampleur du chômage ou des délocalisations.
Les immigrés arrivent et les emplois s’en vont : il serait tout de même étonnant, dans un tel contexte, que les Français, certes spectaculairement avachis, poussent la bêtise et la lâcheté au point de se déclarer optimistes.
Relevé sur FDS
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Quand les femmes ne font plus leur travail...
Dans le contexte actuel de la crise des migrants, il est une phrase que l'on entend beaucoup : "L'Europe vieillissante a besoin de l'immigration"... L'immigration est donc présentée comme LA solution face au vieillissement de la population européenne. Or, si l’immigration a une influence positive sur le dynamisme de notre économie, elle ne peut par contre pas aider l’Europe à rajeunir sa population.
Le vieillissement de l'Europe, c'est l'augmentation de sa population âgée par rapport à sa population active. Pour lutter contre le vieillissement, il faudrait donc éviter que l'écart ne continue de se creuser, et donc conserver ce rapport tel qu'il est aujourd'hui... Et ça, même avec l'immigration, c'est très compliqué.
Hervé Le Bras, démographe français, a rédigé un rapport sur cette question pour le parlement européen. Il explique : "Si on veut maintenir le nombre de personnes âgées dans la même proportion par rapport aux personnes actives, les calculs montrent qu'il faudrait que 592 millions de personnes migrent vers l'Union européenne, entre 2005 et 2050. C'est absolument énorme. Par pays, ça donne par exemple 1,2 million de personnes en plus chaque année en France." Cela équivaut à un peu plus que la population actuelle de l'Union. C'est donc tout simplement irréalisable...
Ensuite, il y a un deuxième élément, qui est somme toute assez logique : les migrants vieillissent, eux aussi, et donc il faudrait les remplacer à leur tour. Autrement dit, il faudrait au final une immigration exponentielle. Hervé Le Bras ajoute aussi : "Le taux de fécondité, généralement plus élevé chez les immigrés, n'a pas d'effet significatif. Leur fécondité baisse rapidement après une génération."
L'immigration contre l'érosion de la population
Selon le démographe, l'immigration peut par contre permettre de garder une population totale constante : "Là, c'est beaucoup plus facile pour l'Europe. Les calculs montrent qu'on aurait besoin au plus d'une trentaine de millions de personnes jusqu'à 2050. C'est possible parce que le fait que l'on vive plus longtemps permet à la population d'augmenter même si la fécondité est un peu faible."
"C'est d'ailleurs cette voie qu'a choisie l'Allemagne, précise-t-il. Elle s'est inquiétée assez vite de sa faible fécondité qui est de 1,40 enfant par femme. Mais les aides à la natalité n'y ont rien changé. Et donc le gouvernement s'est orienté vers une politique d'immigration pour le renouvellement de la main d'œuvre et de la population."
L'exemple allemand
Depuis 2013, l'Allemagne est effectivement devenue la deuxième destination d'immigration au monde. Vu son taux de fécondité particulièrement bas, elle s'attend à perdre 10 à 15 millions d'habitants d'ici à 2050, alors que sa population actuelle est de 80 millions d'habitants.
Elle a donc voulu réagir, mais l'immigration n'est évidemment pas la seule mesure qu'elle a prise, explique Dominik Grillmayer, chercheur à l'Institut franco-allemand de Ludwigsburg : "Les autres éléments principaux sont une meilleure participation des femmes au travail parce qu'elles travaillent pour le moment surtout à temps partiel, et puis il faudra travailler plus longtemps. L'âge de la retraite a déjà été reculé à 67 ans. Il faudra peut-être se préparer à le reculer encore."
L'immigration fait donc partie d'une stratégie plus globale. Mais, il faut le noter, l'Allemagne n'ouvre pas ses portes à tout le monde pour autant : elle pratique une immigration choisie. Elle accueille surtout des personnes hautement qualifiées. Via un mécanisme européen, la carte bleue, elle sélectionne ses immigrés. Il leur faut un diplôme d'étude supérieur, et un certain niveau de salaire.
Mais cela ne suffit pas à attirer assez de monde, alors l'Allemagne a déjà assoupli ces conditions. "On a déjà commencé à changer la donne, explique Dominik Grillmayer. On travaille sur une meilleure reconnaissance du diplôme et des formations étrangères. On a travaillé aussi sur les seuils concernant le salaire annuel minimum à prouver pour obtenir un titre de séjour : ce seuil a été abaissé à 46 000 euros brut."
Cela reste considérable évidemment, mais le seuil a bel et bien été abaissé. Et d'après Dominik Grillmayer, les patrons allemands font de plus en plus pression pour que leur pays accueille aussi des migrants moins qualifiés, que l'on formerait alors en Allemagne.
L'impact positif de l'immigration sur l'économie
De nombreuses études ont en tous cas déjà montré l'impact positif que l'immigration a, déjà maintenant, sur l'économie.
François Gemenne, spécialiste des flux migratoires, professeur à l'ULG et à Sciences Po Paris, ne dit pas autre chose : "Ils occupent généralement des positions qui ne sont pas remplies par les travailleurs nationaux. Plusieurs secteurs économiques, comme l'hôtellerie, la restauration, le gardiennage ou la construction, reposent très largement sur l'apport économique des migrants. C'est le cas aussi de domaines de pointe, dans les nouvelles technologies de l'information, ou en médecine. Les migrants constituent une main d'oeuvre indispensable." Et ceci n'est qu'un exemple. L'économie a donc besoin de l'immigration pour garder son dynamisme.
https://www.rtbf.be/info/dossier/euranetplus/detail_l-immigration-la-solution-face-au-vieillissement-de-l-europe?id=8993381
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Notre société se meure faute d'enfant... Merci Mesdame
Décider de ne pas avoir d’enfant et assumer ce choix est loin d’être évident à une époque où la maternité est portée aux nues. Pas un numéro de magazine people qui ne montre des stars pouponnant, un bébé sur la hanche, deux dans une poussette ou trois en cours d’adoption, comme s’il s’agissait d’un exploit ou d’un extraordinaire engagement humanitaire. Pas une chef d’entreprise qui ne déclare que, bien sûr, son métier la passionne, mais que, quand même, sa joie de la maternité passe avant tout…
Agacées par cette célébration qu’elles jugent mièvre et mensongère, quelques voix féminines commencent à s’élever pour dire que non, ce n’est pas forcément aussi merveilleux que cela, et que d’ailleurs, si c’était à refaire, l’une ou l’autre y regarderait bien à deux fois avant de se lancer. Parmi elles, Corinne Maier, mère de famille qui, dans un essai caustique et comique, No Kid (Michalon, 2007), expose « quarante raisons de ne pas avoir d’enfant », et remet en question ce désir. « Avoir un enfant, écrit-elle, est le meilleur moyen d’éviter de se poser la question du sens de la vie : il est un merveilleux bouche-trou à la quête existentielle. » Même Simone de Beauvoir n’aurait pas osé de tels propos, elle qui se contentait juste d’un : « Que l’enfant soit la fin suprême de la femme, c’est là une affirmation qui a tout juste la valeur d’un slogan publicitaire. » (in Le Deuxième Sexe, Gallimard, “Folio”, 1986).
Remise en question des vertus de la maternité ? Non pas. Mais une désacralisation qui aura peut-être le mérite de faire mieux comprendre et accepter le choix des femmes qui ne désirent pas être mères. Et celles-ci sont plus nombreuses qu’on le croit. Tandis qu’aux Etats-Unis, au Canada, en Australie, en Grande-Bretagne, des associations de « non-parents » se sont créées au milieu des années 1980, revendiquant le terme de childfree (« libre d’enfant ») plutôt que de chidless (« sans enfant »), on découvre qu’en Allemagne, aujourd’hui, 30 % des femmes « en âge de procréer » ne le font pas.
L’indépendance avant tout
Pourquoi ce choix ? Relèverait-il d’un égotisme ou d’un désir de réussite professionnelle galopant (moi et ma carrière d’abord) ? D’un profond scepticisme quant à l’avenir (état de la planète, situation économique) ? De difficultés relationnelles (rencontrer celui qui serait le bon père pour son enfant) ? Pas du tout. Si, chez une femme, le refus de la maternité s’accompagne toujours d’une revendication d’indépendance, comme le montre la journaliste Emilie Devienne dans son livre Etre femme sans être mère, le choix de ne pas avoir d’enfant (Robert Laffont, 2007), il s’agit d’une liberté par rapport aux liens : celle d’être seule quand on le désire, de ne pas « fonder de famille » si l’on n’y tient pas.
Autrement dit, d’une liberté affective, mais aussi intellectuelle : les femmes sans désir d’enfant tiennent plus que tout « à prendre leurs décisions elles-mêmes ». Mais ont-elles tout à fait le choix ? Car c’est évidemment du côté de l’histoire familiale et de la transmission que se joue le désir d’être mère.
http://www.psychologies.com/Famille/Maternite/Desir-d-enfant/Articles-et-Dossiers/Elles-ne-veulent-pas-etre-meres
Agacées par cette célébration qu’elles jugent mièvre et mensongère, quelques voix féminines commencent à s’élever pour dire que non, ce n’est pas forcément aussi merveilleux que cela, et que d’ailleurs, si c’était à refaire, l’une ou l’autre y regarderait bien à deux fois avant de se lancer. Parmi elles, Corinne Maier, mère de famille qui, dans un essai caustique et comique, No Kid (Michalon, 2007), expose « quarante raisons de ne pas avoir d’enfant », et remet en question ce désir. « Avoir un enfant, écrit-elle, est le meilleur moyen d’éviter de se poser la question du sens de la vie : il est un merveilleux bouche-trou à la quête existentielle. » Même Simone de Beauvoir n’aurait pas osé de tels propos, elle qui se contentait juste d’un : « Que l’enfant soit la fin suprême de la femme, c’est là une affirmation qui a tout juste la valeur d’un slogan publicitaire. » (in Le Deuxième Sexe, Gallimard, “Folio”, 1986).
Remise en question des vertus de la maternité ? Non pas. Mais une désacralisation qui aura peut-être le mérite de faire mieux comprendre et accepter le choix des femmes qui ne désirent pas être mères. Et celles-ci sont plus nombreuses qu’on le croit. Tandis qu’aux Etats-Unis, au Canada, en Australie, en Grande-Bretagne, des associations de « non-parents » se sont créées au milieu des années 1980, revendiquant le terme de childfree (« libre d’enfant ») plutôt que de chidless (« sans enfant »), on découvre qu’en Allemagne, aujourd’hui, 30 % des femmes « en âge de procréer » ne le font pas.
L’indépendance avant tout
Pourquoi ce choix ? Relèverait-il d’un égotisme ou d’un désir de réussite professionnelle galopant (moi et ma carrière d’abord) ? D’un profond scepticisme quant à l’avenir (état de la planète, situation économique) ? De difficultés relationnelles (rencontrer celui qui serait le bon père pour son enfant) ? Pas du tout. Si, chez une femme, le refus de la maternité s’accompagne toujours d’une revendication d’indépendance, comme le montre la journaliste Emilie Devienne dans son livre Etre femme sans être mère, le choix de ne pas avoir d’enfant (Robert Laffont, 2007), il s’agit d’une liberté par rapport aux liens : celle d’être seule quand on le désire, de ne pas « fonder de famille » si l’on n’y tient pas.
Autrement dit, d’une liberté affective, mais aussi intellectuelle : les femmes sans désir d’enfant tiennent plus que tout « à prendre leurs décisions elles-mêmes ». Mais ont-elles tout à fait le choix ? Car c’est évidemment du côté de l’histoire familiale et de la transmission que se joue le désir d’être mère.
http://www.psychologies.com/Famille/Maternite/Desir-d-enfant/Articles-et-Dossiers/Elles-ne-veulent-pas-etre-meres
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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François Hollande rebaptise le ministère de la Famille en "ministère d
François Hollande rebaptise le ministère de la Famille en "ministère des familles"
François Hollande a choisi de rabaptiser le ministère de Laurence Rossignol.
Le chef de l’Etat a annoncé dans les colonnes de « Elle » que le ministère de la Famille serait désormais intitulé ministère des Familles.
Alors que de nombreuses associations féministes avaient critiqué le « triptyque rétrograde » que représenterait le nouveau ministère de « la Famille, de l’Enfance et des Droits des femmes », François Hollande a révélé, dans le magazine Elle, le nouvel intitulé du portefeuille de Laurence Rossignol.
La ministre socialiste sera donc désormais en charge du « ministère des familles ». Un changement symbolique qui s’inscrit dans la lignée du « mariage pour tous » puisqu’il s’agit, pour François Hollande de « reconnaître toutes » les familles, « les recomposées, les monoparentales, de même sexe ».
« Je suis féministe »
Cependant, s’il reconnait que l’intitulé nécessitait d’être « corrigé », le chef de l’Etat a refusé de considérer la famille comme « une valeur réactionnaire au prétexte que Pétain l’a mise dans une devise lors d’une période de déshonneur ».
A l’approche de la journée de la femme, le 8 mars prochain, François Hollande a également rappelé son engagement pour les droits des femmes. Le nouvel intitulé devrait ainsi conserver la mention « droits des femmes », mais aussi « de l’Enfance ». « Je suis féministe » a-t-il conclut.
http://www.valeursactuelles.com/societe/francois-hollande-rebaptise-le-ministere-de-la-famille-59768
François Hollande a choisi de rabaptiser le ministère de Laurence Rossignol.
Le chef de l’Etat a annoncé dans les colonnes de « Elle » que le ministère de la Famille serait désormais intitulé ministère des Familles.
Alors que de nombreuses associations féministes avaient critiqué le « triptyque rétrograde » que représenterait le nouveau ministère de « la Famille, de l’Enfance et des Droits des femmes », François Hollande a révélé, dans le magazine Elle, le nouvel intitulé du portefeuille de Laurence Rossignol.
La ministre socialiste sera donc désormais en charge du « ministère des familles ». Un changement symbolique qui s’inscrit dans la lignée du « mariage pour tous » puisqu’il s’agit, pour François Hollande de « reconnaître toutes » les familles, « les recomposées, les monoparentales, de même sexe ».
« Je suis féministe »
Cependant, s’il reconnait que l’intitulé nécessitait d’être « corrigé », le chef de l’Etat a refusé de considérer la famille comme « une valeur réactionnaire au prétexte que Pétain l’a mise dans une devise lors d’une période de déshonneur ».
A l’approche de la journée de la femme, le 8 mars prochain, François Hollande a également rappelé son engagement pour les droits des femmes. Le nouvel intitulé devrait ainsi conserver la mention « droits des femmes », mais aussi « de l’Enfance ». « Je suis féministe » a-t-il conclut.
http://www.valeursactuelles.com/societe/francois-hollande-rebaptise-le-ministere-de-la-famille-59768
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
© Patrick lafrate
Michèle TRIBALAT
Directrice de recherche à l'Institut national d'études démographiques (Ined).
L'immigration au secours de la démographie ?
Les travaux d'Eurostat conduisent la Commission européenne à miser sur l'immigration étrangère pour sauver du déclin la population de l'Union. Une option qui doit être discutée...
La Commission européenne fonde ses anticipations démographiques, son attitude très favorable à l'immigration et sa préférence pour une approche multiculturaliste de l'intégration sur les travaux statistiques d'Eurostat (voir encadré). L'horizon d'Europop 2013, dont il est question ici, est 2080. Mais Eurostat a introduit une variante fécondité basse, qu'elle a déroulée jusqu'en 2060 seulement. Les résultats sont très dépendants des soldes migratoires, dont on ne saisit pas toujours la logique. Ainsi, l'Espagne devrait connaître un solde migratoire négatif jusqu'en 2025, et voir ensuite son solde migratoire bondir pour dépasser 300 000 en 2050, avant de reprendre le chemin de la convergence. Au contraire, la France et l'Allemagne verraient leur solde migratoire diminuer continûment jusqu'en 2080.
Les anticipations de la Commission
En l'absence de migrations, la population de l'Union européenne dans sa configuration actuelle (UE 28) diminuerait de 108 millions d'habitants (507 millions en 2014, 399 millions en 2080). Avec migrations, elle augmenterait d'un peu moins de 13 millions d'habitants. L'apport démographique des migrations serait donc ainsi de 121 millions. C'est, à 9 millions près, l'équivalent de la population totale de la France et du Royaume-Uni d'aujourd'hui. Même avec des migrations, l'Allemagne perdrait quand même près de 20 % de sa population et se retrouverait devancée par la France dans 37 ans et par le Royaume-Uni dans 33 ans. Sans immigration, l'Allemagne ne compterait guère plus de 50 millions d'habitants en 2080. Elle perdrait ainsi 38 % de sa population. C'est seulement grâce aux migrations que l'Espagne gagnerait 1 million d'habitants, après une baisse jusqu'en 2035. Sans elles, sa population diminuerait de 35 %, comme en Italie. La Pologne et le Portugal seraient également en mauvaise posture. Sans migrations, la Suède et le Royaume-Uni arriveraient à maintenir leur population et celle de la France augmenterait de 4 %.
On sait que la population européenne est appelée à vieillir. L'UE maintiendrait à peu près son nombre de naissances en cas de migrations (autour de 5 millions de personnes âgées de moins de 1 an). Sans elles, il diminuerait considérablement (le nombre de personnes âgées de moins de 1 an diminuerait ainsi de 1,5 million d'ici 2080).
Des évolutions très spectaculaires toucheront la taille de la population d'âge actif. Dans le scénario avec migrations, l'UE verrait disparaître l'équivalent de la population d'âge actif de la France aujourd'hui (42 millions). La perte de près de 18 millions en Allemagne serait en partie compensée par l'accroissement de la population d'âge actif en France, au Royaume-Uni et en Suède (un peu plus de 12 millions), qui seraient les seuls pays à voir leur population d'âge actif augmenter.
C'est encore plus vrai en l'absence de migrations. Dans ce cas, la population d'âge actif perdrait 120 millions. C'est, à 6 millions près, l'équivalent de la population actuelle d'âge actif de l'Allemagne, de la France et de l'Espagne réunies. Sans migrations, c'est en France que la population d'âge actif diminuerait le moins (- 9 % entre 2014 et 2080), alors que des pays comme l'Allemagne, l'Espagne, le Portugal, l'Italie, la Pologne et l'Autriche perdraient plus ou moins la moitié de leur population d'âge actif. Sans migrations, la situation de la France ou du Royaume-Uni reste infiniment meilleure que celle de l'Allemagne avec migrations (graphique 1).
GRAPHIQUE 1. ÉVOLUTION DE LA TAILLE DE LA POPULATION D'ÂGE ACTIF DANS L'UNION EUROPÉENNE ET DANS LES TROIS PLUS GRANDS PAYS EUROPÉENS (2014-2080), D'APRÈS LES PROJECTIONS EUROPOP 2013.
Source : Eurostat.
Le nombre de personnes âgées d'au moins 65 ans ne fera qu'augmenter dans tous les pays de l'UE et le taux de dépendance (65 ans+/15-64 ans) aussi. À l'échelle de l'Union européenne, le taux de dépendance passerait de 0,28 en 2014 à 0,51 en 2080 avec les hypothèses migratoires d'Eurostat, mais de 0,28 à 0,60 sans migrations. Sans migrations, ce taux de dépendance augmenterait encore plus dans certains pays comme l'Italie ou l'Autriche 1 (graphique 2). Des grands pays européens, c'est la France qui s'en tirerait le mieux, quelle que soit l'hypothèse migratoire. Les migrations diminueraient de 0,06 point seulement le taux de dépendance. Mais lorsqu'on affine un peu en calculant un rapport de soutien réel, cet avantage disparaît. Les migrations n'allègent pas la charge de ceux qui ne travaillent pas, à taux d'emploi constant. Il faut une progression de la participation au marché du travail pour que les migrations améliorent un peu le rapport de soutien réel 2.
Pour la Commission européenne, l'immigration étrangère n'est plus une option, c'est la seule voie pour éviter un déclin démographique et pour limiter la régression économique et sociale. Elle ne compte guère sur la fécondité pour redresser la barre, puisque la convergence qu'elle imagine prendrait plus de 160 ans pour aboutir, en fin de compte, aux alentours de 1,9 enfant. Par contre, Eurostat a fait tourner ses projections avec une hypothèse de fécondité basse jusqu'en 2060, date à laquelle les pays européens à basse fécondité verraient l'indicateur conjoncturel de fécondité diminuer encore pour atteindre, selon les pays, entre 1,2 et 1,3 enfant par femme, et où les pays à plus haute fécondité le verraient plonger au-dessous de 1,6. Ainsi, en France, la fécondité passerait de 2,02 en 2014 à 1,58 en 2060. Cette hypothèse n'a pas été conjuguée avec celle d'un solde migratoire nul, ni poursuivie jusqu'en 2080. Une bonne partie de l'apport démographique des migrations serait perdue en cas d'effondrement de la fécondité.
GRAPHIQUE 2. ÉVOLUTION DU TAUX DE DÉPENDANCE (65 ANS +/15-64 ANS) DANS L'UE 28 ET QUATRE GRANDS PAYS EUROPÉENS (2014-2080), D'APRÈS LES PROJECTIONS EUROPOP 2013.
Source : Eurostat.
L'apport démographique de l'immigration étrangère en France
Les projections d'Eurostat font l'impasse sur la complexité migratoire (à travers le solde migratoire 3) et les différences de fécondité entre immigrés et natifs. Rétrospectivement, à condition de disposer des données adéquates, il est possible d'estimer l'apport démographique de l'immigration étrangère sur une période donnée. Je l'ai fait pour la France à trois reprises. La dernière estimation porte sur l'année 2011. À ma connaissance, de telles estimations n'ont pas été réalisées dans d'autres pays européens. L'exercice mené à partir des données de l'enquête « Famille et logements » de 2011 a cherché à mesurer de combien la population française 4 aurait été moins nombreuse en 2011 en l'absence d'immigration étrangère depuis 1960.
Sans immigration étrangère, il aurait manqué 9,7 millions de personnes en 2011. Avec un peu plus de 53 millions, la population n'aurait guère été supérieure à celle de 1978. L'immigration étrangère explique 55 % de l'accroissement démographique entre 1960 et 2011. L'apport démographique de l'immigration étrangère intervenue au cours d'un peu plus d'un demi-siècle se décompose, en 2011, en un apport direct de 5,1 millions d'immigrés et un apport indirect de personnes nées en France de 4,6 millions.
GRAPHIQUE 3. EFFETS CUMULÉS À REBOURS SUR LE NOMBRE DE NAISSANCES ANNUELLES DES VAGUES MIGRATOIRES DÉCENNALES INTERVENUES DEPUIS 1960 (BASE 1 000 EN 1960).
Source : calculs d'après l'enquête Insee « Famille et logements » 2011 et l'état civil.
La décomposition en vagues migratoires décennales fait apparaître des vagues de naissances qui se succèdent et s'empilent pour donner une tendance croissante à l'apport indirect de l'immigration étrangère. Ces apports successifs en naissances ont contribué à modeler la natalité française. Le nombre de naissances retrouve en 2010 presque le niveau de 1960 grâce à l'immigration étrangère. Sans l'immigration des années 1960, il ne resterait pas grand-chose du baby-boom de ces années-là. Le cumul des effets des vagues migratoires successives a déformé la courbe d'évolution des naissances en adoucissant la chute des années 1986-1994 et en transformant à la hausse la stagnation et la baisse de la natalité qui ont suivi. Le nouveau cycle migratoire des années 2000 y est pour beaucoup. En 2010, il est responsable de près de la moitié des 200 000 naissances dues à l'immigration étrangère. Au total, le nombre de naissances de 2010 n'est en recul que de 3 % sur celui de 1960. Il l'aurait été de 27 % en l'absence d'immigration.
Cet apport démographique a rajeuni quelque peu la pyramide des âges : près de 2 points de pourcentage en plus pour les moins de 18 ans, et 2 points en moins pour les 65 ans ou plus. Le rapport de soutien réel en l'absence d'immigration n'est pourtant guère différent de celui observé en 2011 : 0,790 contre 0,785. Résultat qui confirme ceux obtenus à partir des projections de l'Insee jusqu'en 2060. Sauf à améliorer le fonctionnement du marché du travail et les taux d'emploi de l'ensemble de la population d'âge actif, l'immigration étrangère à venir a peu de chances de résoudre les problèmes liés à l'évolution de la pyramide des âges. C'est moins vrai pour d'autres pays européens à fécondité très faible, pour lesquels l'immigration étrangère va transformer profondément la population. Eurostat envisage, dans une projection des populations d'origine étrangère dans l'UE, que celles-ci deviennent majoritaires dans la population de moins de 40 ans en Espagne, en Italie et en Allemagne d'ici 2060 5.
Ces anticipations démographiques expliquent pourquoi la Commission mise sur l'immigration étrangère pour sauver la démographie européenne, sans trop se préoccuper de quels peuples elle sera faite. L'option multiculturaliste défendue par la Commission, et qui a été acceptée par les États lors d'un Conseil européen du 19 novembre 2004, n'exprime pas seulement un point de vue idéologique. Si l'idée de culture européenne dominante répugne à la Commission, elle ne lui semble pas non plus très bien s'accorder avec le destin démographique qu'elle entrevoit pour l'Union européenne.
LES LIMITES DE LA MÉTHODE
La Commission européenne dispose d'une direction statistique (Eurostat) qui produit des projections de population assez régulièrement. Les derniers exercices sont les scénarios Convergence de 2008 et 2010 et Europop 2013. Ce dernier peut être, lui aussi, rangé avec les scénarios Convergence, après examen des hypothèses. Les variables démographiques de l'Union européenne sont censées converger à très long terme. C'est vrai de la mortalité et de la fécondité, mais aussi des migrations dont le solde, à terme - la date d'égalisation signalée dans l'exercice de 2008 était 2150 -, est censé tendre vers zéro. Eurostat présente toujours un scénario avec et un scénario sans migration (solde migratoire nul), ce qui permet d'estimer très grossièrement l'apport démographique des migrations. Très grossièrement, parce que aucune hypothèse de fécondité différentielle n'est attribuée aux immigrants, lesquels ne sont d'ailleurs saisis qu'à travers le solde migratoire.
Ainsi que l'Espagne, en raison d'hypothèses migratoires très particulières.
Le rapport de soutien réel rapporte le nombre de ceux qui ont un emploi à une moyenne pondérée de ceux qui n'en ont pas, quelle qu'en soit la raison (école, retraite, inactivité...). Voir Michèle Tribalat, Assimilation. La fin du modèle français, Éditions du Toucan, 2013.
Le solde migratoire (différence entre le nombre de personnes qui sont entrées sur le territoire et le nombre de personnes qui en sont sorties au cours de l'année) fait le bilan des mouvements d'étrangers et de Français. Le solde migratoire des premiers est largement positif quand celui des seconds est négatif. Par ailleurs, dans les migrations d'étrangers, ceux qui sortent ne sont pas interchangeables avec ceux qui entrent.
Il s'agit de la France métropolitaine, compte tenu du champ de l'enquête.
Giampaolo Lanzieri, Fewer, older and multicultural ? Projections of the EU populations by foreign/national background, « Methodologies and working papers », Eurostat, European Commission, 2011.
http://www.constructif.fr/bibliotheque/2015-3/l-immigration-au-secours-de-la-demographie.html?item_id=3466
Michèle TRIBALAT
Directrice de recherche à l'Institut national d'études démographiques (Ined).
L'immigration au secours de la démographie ?
Les travaux d'Eurostat conduisent la Commission européenne à miser sur l'immigration étrangère pour sauver du déclin la population de l'Union. Une option qui doit être discutée...
La Commission européenne fonde ses anticipations démographiques, son attitude très favorable à l'immigration et sa préférence pour une approche multiculturaliste de l'intégration sur les travaux statistiques d'Eurostat (voir encadré). L'horizon d'Europop 2013, dont il est question ici, est 2080. Mais Eurostat a introduit une variante fécondité basse, qu'elle a déroulée jusqu'en 2060 seulement. Les résultats sont très dépendants des soldes migratoires, dont on ne saisit pas toujours la logique. Ainsi, l'Espagne devrait connaître un solde migratoire négatif jusqu'en 2025, et voir ensuite son solde migratoire bondir pour dépasser 300 000 en 2050, avant de reprendre le chemin de la convergence. Au contraire, la France et l'Allemagne verraient leur solde migratoire diminuer continûment jusqu'en 2080.
Les anticipations de la Commission
En l'absence de migrations, la population de l'Union européenne dans sa configuration actuelle (UE 28) diminuerait de 108 millions d'habitants (507 millions en 2014, 399 millions en 2080). Avec migrations, elle augmenterait d'un peu moins de 13 millions d'habitants. L'apport démographique des migrations serait donc ainsi de 121 millions. C'est, à 9 millions près, l'équivalent de la population totale de la France et du Royaume-Uni d'aujourd'hui. Même avec des migrations, l'Allemagne perdrait quand même près de 20 % de sa population et se retrouverait devancée par la France dans 37 ans et par le Royaume-Uni dans 33 ans. Sans immigration, l'Allemagne ne compterait guère plus de 50 millions d'habitants en 2080. Elle perdrait ainsi 38 % de sa population. C'est seulement grâce aux migrations que l'Espagne gagnerait 1 million d'habitants, après une baisse jusqu'en 2035. Sans elles, sa population diminuerait de 35 %, comme en Italie. La Pologne et le Portugal seraient également en mauvaise posture. Sans migrations, la Suède et le Royaume-Uni arriveraient à maintenir leur population et celle de la France augmenterait de 4 %.
On sait que la population européenne est appelée à vieillir. L'UE maintiendrait à peu près son nombre de naissances en cas de migrations (autour de 5 millions de personnes âgées de moins de 1 an). Sans elles, il diminuerait considérablement (le nombre de personnes âgées de moins de 1 an diminuerait ainsi de 1,5 million d'ici 2080).
Des évolutions très spectaculaires toucheront la taille de la population d'âge actif. Dans le scénario avec migrations, l'UE verrait disparaître l'équivalent de la population d'âge actif de la France aujourd'hui (42 millions). La perte de près de 18 millions en Allemagne serait en partie compensée par l'accroissement de la population d'âge actif en France, au Royaume-Uni et en Suède (un peu plus de 12 millions), qui seraient les seuls pays à voir leur population d'âge actif augmenter.
C'est encore plus vrai en l'absence de migrations. Dans ce cas, la population d'âge actif perdrait 120 millions. C'est, à 6 millions près, l'équivalent de la population actuelle d'âge actif de l'Allemagne, de la France et de l'Espagne réunies. Sans migrations, c'est en France que la population d'âge actif diminuerait le moins (- 9 % entre 2014 et 2080), alors que des pays comme l'Allemagne, l'Espagne, le Portugal, l'Italie, la Pologne et l'Autriche perdraient plus ou moins la moitié de leur population d'âge actif. Sans migrations, la situation de la France ou du Royaume-Uni reste infiniment meilleure que celle de l'Allemagne avec migrations (graphique 1).
GRAPHIQUE 1. ÉVOLUTION DE LA TAILLE DE LA POPULATION D'ÂGE ACTIF DANS L'UNION EUROPÉENNE ET DANS LES TROIS PLUS GRANDS PAYS EUROPÉENS (2014-2080), D'APRÈS LES PROJECTIONS EUROPOP 2013.
Source : Eurostat.
Le nombre de personnes âgées d'au moins 65 ans ne fera qu'augmenter dans tous les pays de l'UE et le taux de dépendance (65 ans+/15-64 ans) aussi. À l'échelle de l'Union européenne, le taux de dépendance passerait de 0,28 en 2014 à 0,51 en 2080 avec les hypothèses migratoires d'Eurostat, mais de 0,28 à 0,60 sans migrations. Sans migrations, ce taux de dépendance augmenterait encore plus dans certains pays comme l'Italie ou l'Autriche 1 (graphique 2). Des grands pays européens, c'est la France qui s'en tirerait le mieux, quelle que soit l'hypothèse migratoire. Les migrations diminueraient de 0,06 point seulement le taux de dépendance. Mais lorsqu'on affine un peu en calculant un rapport de soutien réel, cet avantage disparaît. Les migrations n'allègent pas la charge de ceux qui ne travaillent pas, à taux d'emploi constant. Il faut une progression de la participation au marché du travail pour que les migrations améliorent un peu le rapport de soutien réel 2.
Pour la Commission européenne, l'immigration étrangère n'est plus une option, c'est la seule voie pour éviter un déclin démographique et pour limiter la régression économique et sociale. Elle ne compte guère sur la fécondité pour redresser la barre, puisque la convergence qu'elle imagine prendrait plus de 160 ans pour aboutir, en fin de compte, aux alentours de 1,9 enfant. Par contre, Eurostat a fait tourner ses projections avec une hypothèse de fécondité basse jusqu'en 2060, date à laquelle les pays européens à basse fécondité verraient l'indicateur conjoncturel de fécondité diminuer encore pour atteindre, selon les pays, entre 1,2 et 1,3 enfant par femme, et où les pays à plus haute fécondité le verraient plonger au-dessous de 1,6. Ainsi, en France, la fécondité passerait de 2,02 en 2014 à 1,58 en 2060. Cette hypothèse n'a pas été conjuguée avec celle d'un solde migratoire nul, ni poursuivie jusqu'en 2080. Une bonne partie de l'apport démographique des migrations serait perdue en cas d'effondrement de la fécondité.
GRAPHIQUE 2. ÉVOLUTION DU TAUX DE DÉPENDANCE (65 ANS +/15-64 ANS) DANS L'UE 28 ET QUATRE GRANDS PAYS EUROPÉENS (2014-2080), D'APRÈS LES PROJECTIONS EUROPOP 2013.
Source : Eurostat.
L'apport démographique de l'immigration étrangère en France
Les projections d'Eurostat font l'impasse sur la complexité migratoire (à travers le solde migratoire 3) et les différences de fécondité entre immigrés et natifs. Rétrospectivement, à condition de disposer des données adéquates, il est possible d'estimer l'apport démographique de l'immigration étrangère sur une période donnée. Je l'ai fait pour la France à trois reprises. La dernière estimation porte sur l'année 2011. À ma connaissance, de telles estimations n'ont pas été réalisées dans d'autres pays européens. L'exercice mené à partir des données de l'enquête « Famille et logements » de 2011 a cherché à mesurer de combien la population française 4 aurait été moins nombreuse en 2011 en l'absence d'immigration étrangère depuis 1960.
Sans immigration étrangère, il aurait manqué 9,7 millions de personnes en 2011. Avec un peu plus de 53 millions, la population n'aurait guère été supérieure à celle de 1978. L'immigration étrangère explique 55 % de l'accroissement démographique entre 1960 et 2011. L'apport démographique de l'immigration étrangère intervenue au cours d'un peu plus d'un demi-siècle se décompose, en 2011, en un apport direct de 5,1 millions d'immigrés et un apport indirect de personnes nées en France de 4,6 millions.
GRAPHIQUE 3. EFFETS CUMULÉS À REBOURS SUR LE NOMBRE DE NAISSANCES ANNUELLES DES VAGUES MIGRATOIRES DÉCENNALES INTERVENUES DEPUIS 1960 (BASE 1 000 EN 1960).
Source : calculs d'après l'enquête Insee « Famille et logements » 2011 et l'état civil.
La décomposition en vagues migratoires décennales fait apparaître des vagues de naissances qui se succèdent et s'empilent pour donner une tendance croissante à l'apport indirect de l'immigration étrangère. Ces apports successifs en naissances ont contribué à modeler la natalité française. Le nombre de naissances retrouve en 2010 presque le niveau de 1960 grâce à l'immigration étrangère. Sans l'immigration des années 1960, il ne resterait pas grand-chose du baby-boom de ces années-là. Le cumul des effets des vagues migratoires successives a déformé la courbe d'évolution des naissances en adoucissant la chute des années 1986-1994 et en transformant à la hausse la stagnation et la baisse de la natalité qui ont suivi. Le nouveau cycle migratoire des années 2000 y est pour beaucoup. En 2010, il est responsable de près de la moitié des 200 000 naissances dues à l'immigration étrangère. Au total, le nombre de naissances de 2010 n'est en recul que de 3 % sur celui de 1960. Il l'aurait été de 27 % en l'absence d'immigration.
Cet apport démographique a rajeuni quelque peu la pyramide des âges : près de 2 points de pourcentage en plus pour les moins de 18 ans, et 2 points en moins pour les 65 ans ou plus. Le rapport de soutien réel en l'absence d'immigration n'est pourtant guère différent de celui observé en 2011 : 0,790 contre 0,785. Résultat qui confirme ceux obtenus à partir des projections de l'Insee jusqu'en 2060. Sauf à améliorer le fonctionnement du marché du travail et les taux d'emploi de l'ensemble de la population d'âge actif, l'immigration étrangère à venir a peu de chances de résoudre les problèmes liés à l'évolution de la pyramide des âges. C'est moins vrai pour d'autres pays européens à fécondité très faible, pour lesquels l'immigration étrangère va transformer profondément la population. Eurostat envisage, dans une projection des populations d'origine étrangère dans l'UE, que celles-ci deviennent majoritaires dans la population de moins de 40 ans en Espagne, en Italie et en Allemagne d'ici 2060 5.
Ces anticipations démographiques expliquent pourquoi la Commission mise sur l'immigration étrangère pour sauver la démographie européenne, sans trop se préoccuper de quels peuples elle sera faite. L'option multiculturaliste défendue par la Commission, et qui a été acceptée par les États lors d'un Conseil européen du 19 novembre 2004, n'exprime pas seulement un point de vue idéologique. Si l'idée de culture européenne dominante répugne à la Commission, elle ne lui semble pas non plus très bien s'accorder avec le destin démographique qu'elle entrevoit pour l'Union européenne.
LES LIMITES DE LA MÉTHODE
La Commission européenne dispose d'une direction statistique (Eurostat) qui produit des projections de population assez régulièrement. Les derniers exercices sont les scénarios Convergence de 2008 et 2010 et Europop 2013. Ce dernier peut être, lui aussi, rangé avec les scénarios Convergence, après examen des hypothèses. Les variables démographiques de l'Union européenne sont censées converger à très long terme. C'est vrai de la mortalité et de la fécondité, mais aussi des migrations dont le solde, à terme - la date d'égalisation signalée dans l'exercice de 2008 était 2150 -, est censé tendre vers zéro. Eurostat présente toujours un scénario avec et un scénario sans migration (solde migratoire nul), ce qui permet d'estimer très grossièrement l'apport démographique des migrations. Très grossièrement, parce que aucune hypothèse de fécondité différentielle n'est attribuée aux immigrants, lesquels ne sont d'ailleurs saisis qu'à travers le solde migratoire.
Ainsi que l'Espagne, en raison d'hypothèses migratoires très particulières.
Le rapport de soutien réel rapporte le nombre de ceux qui ont un emploi à une moyenne pondérée de ceux qui n'en ont pas, quelle qu'en soit la raison (école, retraite, inactivité...). Voir Michèle Tribalat, Assimilation. La fin du modèle français, Éditions du Toucan, 2013.
Le solde migratoire (différence entre le nombre de personnes qui sont entrées sur le territoire et le nombre de personnes qui en sont sorties au cours de l'année) fait le bilan des mouvements d'étrangers et de Français. Le solde migratoire des premiers est largement positif quand celui des seconds est négatif. Par ailleurs, dans les migrations d'étrangers, ceux qui sortent ne sont pas interchangeables avec ceux qui entrent.
Il s'agit de la France métropolitaine, compte tenu du champ de l'enquête.
Giampaolo Lanzieri, Fewer, older and multicultural ? Projections of the EU populations by foreign/national background, « Methodologies and working papers », Eurostat, European Commission, 2011.
http://www.constructif.fr/bibliotheque/2015-3/l-immigration-au-secours-de-la-demographie.html?item_id=3466
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Ma question sera peut-être naïve, mais pourquoi les (vrais?) français ne font-ils pas plus d'enfants ? Si les enfants des anciens du baby-boom avaient eu plusieurs enfants, on n'en serait peut-être pas là ?
La natalité est encouragée financièrement (les allocs dont profitent largement ceux qui ne sont pas français d'origine...), mais on est étouffés par la propagande de la contraception à tout-va. Il y a là un paradoxe ; comme si on voulait réfréner les souhaits parentaux des européens en leur assénant l'argument de la peur de l'avenir ; l'argent, le temps qui ne seront jamais suffisants pour élever des enfants... Alors que pourtant la CAF est là...
Les jeunes sont frileux à s'engager, à devenir parents. Résultat : on a "besoin" des immigrés pour remplir les pays européens. Cela dit, le bourrage de crâne de nos jeunes n'est pas innocent. Récemment, un pharmacien a été suspendu parce qu'il ne délivrait pas de contraceptif dans sa pharmacie... Certains ont jugé son attitude inadmissible. On peut dire que l'apologie de la contraception contribue à un frein démographique évident... Mais la Commission européenne ne soulèvera évidemment pas le problème qui est un problème sociétal de fond qui engage les valeurs véhiculées par la société actuelle.
La natalité est encouragée financièrement (les allocs dont profitent largement ceux qui ne sont pas français d'origine...), mais on est étouffés par la propagande de la contraception à tout-va. Il y a là un paradoxe ; comme si on voulait réfréner les souhaits parentaux des européens en leur assénant l'argument de la peur de l'avenir ; l'argent, le temps qui ne seront jamais suffisants pour élever des enfants... Alors que pourtant la CAF est là...
Les jeunes sont frileux à s'engager, à devenir parents. Résultat : on a "besoin" des immigrés pour remplir les pays européens. Cela dit, le bourrage de crâne de nos jeunes n'est pas innocent. Récemment, un pharmacien a été suspendu parce qu'il ne délivrait pas de contraceptif dans sa pharmacie... Certains ont jugé son attitude inadmissible. On peut dire que l'apologie de la contraception contribue à un frein démographique évident... Mais la Commission européenne ne soulèvera évidemment pas le problème qui est un problème sociétal de fond qui engage les valeurs véhiculées par la société actuelle.
Scala-Coeli- MEDIATRICE
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Franc-maçonnerie et contraception, par Pierre-Olivier Arduin
[…] « La franc-maçonnerie est à la manœuvre pour attiser la braise. Bannir tout ordre naturel de notre horizon culturel est son mot d’ordre. Un témoignage de première main, livré par Pierre Simon, ancien président de la Grande Loge de France, dévoile en effet les grandes orientations du projet maçonnique dans son maître ouvrage, De la vie avant toute chose, aussitôt retiré des librairies dès sa publication en 1979. Notons en outre que l’homme est co-fondateur du Planning familial français, ce qui montre l’alliance trouble entretenue entre le féminisme radical et la franc-maçonnerie. Ce féminisme s’abreuve lui-même aux thèses néomarxistes d’un Herbert Marcuse qui domine philosophiquement la scène universitaire des années soixante. Prophète de l’émancipation de la femme, Marcuse réclame qu’elle soit libérée, non pas des contraintes du travail, mais avant tout de la réalité naturelle de l’institution familiale reposant sur le mariage et le don total des époux. Les loges trouveront chez Marcuse (et d’autres penseurs de la libération sexuelle) un allié spontané dans leur idéologie de la contestation. La bataille commence dès 1953, au sein d’une équipe de médecins libres-penseurs, dont l’objectif avoué est l’introduction de la contraception dans différents pays (dont la France avec Pierre Simon). Selon lui, la finalité de ce premier combat est très claire : « Nous sommes conscients que ce combat n’est pas seulement technique, mais philosophique. La vie comme matériau, tel est le principe de notre lutte. […] La révision du concept de vie, induite par la contraception, transformera la société dans son intégralité ». Avec l’idée centrale du programme franc-maçon : Poser le principe que la vie est un matériau, au sens écologique du terme, et qu’il nous appartient de la gérer, là est l’idée motrice. L’arme absolue, qui apporte le soutien populaire, c’est le viscéral. Peser sur le viscéral, gouverné par l’instinct, le désir et la raison, en s’appuyant sur l’intime, le quotidien, voilà ce qui est nécessaire. Disposer librement du corps comme d’un simple objet en changeant son statut personnaliste, tel est le but affiché. Cette évolution des mentalités conduit à considérer le corps de la femme comme un matériau à gérer.
[…]
C’est aussi l’époque où le pouvoir politique va prendre à son compte les idées du monde maçonnique, tout en s’appuyant sur l’autorité du pouvoir médical. C’est ainsi que Pierre Simon affirme : « Si la société ne cesse de peser sur l’objet même de la médecine, celle-ci en retour façonne tous les jours un peu plus le visage et le destin des sociétés modernes… Cette intervention politique des médecins est rendue toujours plus nécessaire : à ne plus se donner pour seul projet d’assurer la survie des humains mais à se mêler de changer leur condition, donc de bousculer leur morale, les médecins, comme les autres scientifiques, participent désormais très concrètement au pouvoir ». Propos parfaitement illustrés par la législation libéralisant la contraception en France, la fameuse loi Neuwirth votée le 28 décembre 1967. Reconnaissant la contraception comme un droit, elle inaugure une longue série de droits iniques qui opèrent une mutation culturelle et sociale inédite : loi sur le divorce, l’avortement, la bioéthique… Lucien Neuwirth, son auteur, concentre tous les pouvoirs comme le demandait Pierre Simon : il est franc-maçon, médecin et député. Nonobstant ce que l’on entend parfois, Mai 68 n’avait pas pour finalité de prendre le pouvoir dans un idéal révolutionnaire de type marxiste. Mai 68 signe bien au contraire la fin des mythologies révolutionnaires pour porter l’avènement d’un esprit bourgeois qui renie tout fondement transcendant à la morale. C’est le diagnostic passionnant d’Augusto Del Noce (1910-1989), philosophe italien proche du mouvement Communion et Libération, dont Jean-Paul II appréciait les thèses. Repoussant la révolution communiste qui serait dévastatrice pour elle, la société bourgeoise veut dissoudre l’éthique fondée sur le respect de la famille et de la vie en rejetant par le pouvoir démocratique légitime toute valeur chrétienne qui pourrait mettre en discussion son modèle de vie sociale. Ce que confirme Daniel Cohn-Bendit, un des leaders de la contestation : « Le désir d’émancipation avait besoin d’un espace politique normalisé », autrement dit, il fallait que ce soit le pouvoir politique démocratique qui entérine la révolution sexuelle. Nous le voyons aujourd’hui, l’État lui-même parachève ce que Mai 68 a initié. Un exemple récent. Roselyne Bachelot annonce un plan contraception de plus de 6 millions d’euros pour 2008-2009 avec spots publicitaires sur les TV, radios jeunes, Internet. Des millions de SMS baptisés « Sexto » seront envoyés avec la bénédiction des opérateurs téléphoniques pour inonder les portables des jeunes. Conseils sur le choix de la pilule, du stérilet ou du préservatif, sur la manière de se procurer en toute sécurité le Norlevo ou pilule du lendemain, etc. La révolution culturelle est aujourd’hui relayée complaisamment par le ministère de la santé ! Bien sûr, le mouvement « philosophique » qui imprègne les esprits à cette époque sera décuplé par le progrès scientifique. La pilule contraceptive sera l’instrument technique qui rendra effective le concept de licence sexuelle, privée de responsabilité. On peut d’ailleurs dire que la nouvelle culture a besoin de la recherche pharmacologique dont les progrès consolident en retour ses acquis intellectuels. La découverte en 1956 aux USA de la pilule par Grégory Pincus et son collaborateur catholique John Rock, a été en partie permise par les financements du puissant Planning familial américain fondé par Margaret Sanger, dont Pierre Simon a révélé qu’il fut son disciple. C’est elle qui a pu dire dans les années cinquante que « l’avenir de notre civilisation dépendait de l’invention d’un contraceptif simple et bon marché ». […]
[…] « La franc-maçonnerie est à la manœuvre pour attiser la braise. Bannir tout ordre naturel de notre horizon culturel est son mot d’ordre. Un témoignage de première main, livré par Pierre Simon, ancien président de la Grande Loge de France, dévoile en effet les grandes orientations du projet maçonnique dans son maître ouvrage, De la vie avant toute chose, aussitôt retiré des librairies dès sa publication en 1979. Notons en outre que l’homme est co-fondateur du Planning familial français, ce qui montre l’alliance trouble entretenue entre le féminisme radical et la franc-maçonnerie. Ce féminisme s’abreuve lui-même aux thèses néomarxistes d’un Herbert Marcuse qui domine philosophiquement la scène universitaire des années soixante. Prophète de l’émancipation de la femme, Marcuse réclame qu’elle soit libérée, non pas des contraintes du travail, mais avant tout de la réalité naturelle de l’institution familiale reposant sur le mariage et le don total des époux. Les loges trouveront chez Marcuse (et d’autres penseurs de la libération sexuelle) un allié spontané dans leur idéologie de la contestation. La bataille commence dès 1953, au sein d’une équipe de médecins libres-penseurs, dont l’objectif avoué est l’introduction de la contraception dans différents pays (dont la France avec Pierre Simon). Selon lui, la finalité de ce premier combat est très claire : « Nous sommes conscients que ce combat n’est pas seulement technique, mais philosophique. La vie comme matériau, tel est le principe de notre lutte. […] La révision du concept de vie, induite par la contraception, transformera la société dans son intégralité ». Avec l’idée centrale du programme franc-maçon : Poser le principe que la vie est un matériau, au sens écologique du terme, et qu’il nous appartient de la gérer, là est l’idée motrice. L’arme absolue, qui apporte le soutien populaire, c’est le viscéral. Peser sur le viscéral, gouverné par l’instinct, le désir et la raison, en s’appuyant sur l’intime, le quotidien, voilà ce qui est nécessaire. Disposer librement du corps comme d’un simple objet en changeant son statut personnaliste, tel est le but affiché. Cette évolution des mentalités conduit à considérer le corps de la femme comme un matériau à gérer.
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C’est aussi l’époque où le pouvoir politique va prendre à son compte les idées du monde maçonnique, tout en s’appuyant sur l’autorité du pouvoir médical. C’est ainsi que Pierre Simon affirme : « Si la société ne cesse de peser sur l’objet même de la médecine, celle-ci en retour façonne tous les jours un peu plus le visage et le destin des sociétés modernes… Cette intervention politique des médecins est rendue toujours plus nécessaire : à ne plus se donner pour seul projet d’assurer la survie des humains mais à se mêler de changer leur condition, donc de bousculer leur morale, les médecins, comme les autres scientifiques, participent désormais très concrètement au pouvoir ». Propos parfaitement illustrés par la législation libéralisant la contraception en France, la fameuse loi Neuwirth votée le 28 décembre 1967. Reconnaissant la contraception comme un droit, elle inaugure une longue série de droits iniques qui opèrent une mutation culturelle et sociale inédite : loi sur le divorce, l’avortement, la bioéthique… Lucien Neuwirth, son auteur, concentre tous les pouvoirs comme le demandait Pierre Simon : il est franc-maçon, médecin et député. Nonobstant ce que l’on entend parfois, Mai 68 n’avait pas pour finalité de prendre le pouvoir dans un idéal révolutionnaire de type marxiste. Mai 68 signe bien au contraire la fin des mythologies révolutionnaires pour porter l’avènement d’un esprit bourgeois qui renie tout fondement transcendant à la morale. C’est le diagnostic passionnant d’Augusto Del Noce (1910-1989), philosophe italien proche du mouvement Communion et Libération, dont Jean-Paul II appréciait les thèses. Repoussant la révolution communiste qui serait dévastatrice pour elle, la société bourgeoise veut dissoudre l’éthique fondée sur le respect de la famille et de la vie en rejetant par le pouvoir démocratique légitime toute valeur chrétienne qui pourrait mettre en discussion son modèle de vie sociale. Ce que confirme Daniel Cohn-Bendit, un des leaders de la contestation : « Le désir d’émancipation avait besoin d’un espace politique normalisé », autrement dit, il fallait que ce soit le pouvoir politique démocratique qui entérine la révolution sexuelle. Nous le voyons aujourd’hui, l’État lui-même parachève ce que Mai 68 a initié. Un exemple récent. Roselyne Bachelot annonce un plan contraception de plus de 6 millions d’euros pour 2008-2009 avec spots publicitaires sur les TV, radios jeunes, Internet. Des millions de SMS baptisés « Sexto » seront envoyés avec la bénédiction des opérateurs téléphoniques pour inonder les portables des jeunes. Conseils sur le choix de la pilule, du stérilet ou du préservatif, sur la manière de se procurer en toute sécurité le Norlevo ou pilule du lendemain, etc. La révolution culturelle est aujourd’hui relayée complaisamment par le ministère de la santé ! Bien sûr, le mouvement « philosophique » qui imprègne les esprits à cette époque sera décuplé par le progrès scientifique. La pilule contraceptive sera l’instrument technique qui rendra effective le concept de licence sexuelle, privée de responsabilité. On peut d’ailleurs dire que la nouvelle culture a besoin de la recherche pharmacologique dont les progrès consolident en retour ses acquis intellectuels. La découverte en 1956 aux USA de la pilule par Grégory Pincus et son collaborateur catholique John Rock, a été en partie permise par les financements du puissant Planning familial américain fondé par Margaret Sanger, dont Pierre Simon a révélé qu’il fut son disciple. C’est elle qui a pu dire dans les années cinquante que « l’avenir de notre civilisation dépendait de l’invention d’un contraceptif simple et bon marché ». […]
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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