Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
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Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX :: Les menaces à la liberté et à la Vie :: LES ILLUMINATIS, LES SOCIÉTES SECRÈTES
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Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
DÉNONCE LE FÉMINISME ET LE NOUVEL ORDRE MONDIAL
Henry Makow
Avec le temps qui passe, ce document classique de 1979 parait plus effrayant que jamais. Il est un rappel nécessaire de la vision globale de la vérité.
La vérité est à la fois plus simple et plus incroyable que tout ce que l’on peut concevoir.
Un document choquant intitulé «Armes Silencieuses pour Guerres Tranquilles» confirme qu’une secte satanique dont le siège se trouve à la City de Londres tient l’humanité en esclavage par l’utilisation de la guerre psychologique.
«La masse des gens ne peut pas appréhender la nature de cette arme, et ne peut donc pas croire qu’elle soit l’objet d’attaques et d’humiliations par cette arme», déclare ce rapport de 1979.
Ses auteurs vénèrent Lucifer et sont déterminés à redéfinir la réalité et à régner sur la planète. Si vous possédiez une proportion inconvenante de la richesse du monde, voudriez-vous la partager avec les masses ignorantes? Ne souhaiteriez-vous pas enseigner que Dieu est mort, et que la vérité et la justice sont purement subjectives? Ne souhaiteriez-vous pas démontrer que l’homme n’est rien d’autre qu’un animal bon à être domestiqué ou détruit?
Le Satanisme a infiltré beaucoup de religions, d’institutions et de groupes. Des Satanistes secrets contrôlent les leviers du pouvoir: le crédit, les médias de masse, le système éducatif, le gouvernement et l’église. Ils apparaissent comme des libéraux, des socialistes, des conservateurs, des sionistes, des néo-cons, des nazis et des communistes etc. Beaucoup, comme Tony Blair, parlent du Christianisme du bout des lèvres au pour mieux nous tromper.
Ce culte nous corrompt graduellement, en nous déshumanisant et nous conditionnant pour que nous acceptions la mise en place d’un État policier (le Nouvel Ordre Mondial). Il nous endort et nous distrait pendant que ses tenant éliminent nos libertés et se préparent à exercer la répression, en utilisant le «terrorisme» comme prétexte bidon.
Dans une conférence de 1961, Aldous Huxley décrivit cet état policier comme «la Révolution Finale», une «dictature sans larmes» où les gens «aiment leur servitude. »
Les «Armes Tranquilles» indiquent que «l’inoculation de drogues comportementales» peut accélérer la transition d’un enfant de l’unité familiale bientôt disparue à «l’éducation publique contrôlée par l’État et les garderies gérées par l’état.»
Selon Huxley, l’objectif est de produire «une sorte de camp de concentration sans douleur pour des sociétés entières afin que les gens soient en fait privés de leurs libertés… mais… qu’ils soient distraits de tout désir de se rebeller par la propagande ou le lavage de cerveau… appuyé par des méthodes pharmacologiques.»
Parmi ces médicaments, nous pouvons désormais reconnaître le Ritalin, le Prozac et le Viagra, que les hommes en bonne santé utilisent couramment pour la performance. Les médecins sont des trafiquants de drogue d’élites se consacrant à l’intoxication de la société, afin de la distraire et de la maintenir au calme.
LE PLAN SUBVERSIF SATANIQUE
Daté de mai 1979, le document «Armes Silencieuses pour Guerres Tranquilles» (manuel technique SW7905.1) a été trouvé en 1986 dans un copieur IBM qui avait été acheté à une vente de surplus.
Il est le produit d’une discipline appelée «Recherche Opérationnelle» développée au cours de la Seconde Guerre mondiale pour attaquer les populations ennemies en utilisant des outils d’ingénierie sociale et la guerre psychologique.
Selon le document, «l’élite internationale» a décidé en 1954 de mener une « guerre tranquille » contre le peuple américain dans le but d’organiser l’accaparement de la richesse détenue par la «masse irresponsable» pour la remettre entre les mains de «l’élite responsable et digne.»
«Compte tenu de la loi de la sélection naturelle, il est évident qu’une nation ou un groupe de gens qui ne veulent pas utiliser leur intelligence ne valent pas mieux que les animaux qui sont dépourvus d’intelligence. Ces gens-là sont des bêtes de somme et des steaks sur la table [sic] par choix et tacite consentement.»
L’objectif était de mettre en place une économie, qui est «totalement prévisible et manipulable.» Les masses doivent être « formées et assignées à une tâche… à partir d’un très jeune âge… »
Pour parvenir à cette conformité, «l’unité familiale doit être désintégrée par un processus d’augmentation de l’inquiétude économique des parents et l’établissement des garderies gérées par le gouvernement pour les enfants orphelins à cause des occupations professionnelles de leurs parents.»
Ceci est accompli par les «armes silencieuses» (la propagande et l’ingénierie sociale) appliquées au sein des médias et dans les écoles.
«Quand l’arme silencieuse est appliquée graduellement, la population s’adapte… jusqu’à ce que la pression devienne trop grande et qu’elle craque… Par conséquent, l’arme silencieuse est un type de guerre biologique… Elle attaque… ses sources d’énergies naturelles et sociales et ses forces physiques, mentales et émotionnelles… »
Bien qu’elle ne soit pas mentionnée sous son nom, l’arme silencieuse dont il est question est ici le féminisme, qui favorise le lesbianisme tout en se présentant comme le défenseur de la femme.
Le document dit que le père doit être « chassé du foyer. » Les supports publicitaires doivent veiller à ce qu’il soit « diffamé et discrédité » et « forcé de se conformer à la norme… ou sa vie sexuelle … sera réduite à néant. » La femme est «d’abord gouvernée par l’émotion et ensuite la logique… trop extasiée pour se rendre compte [que son enfant servira] de chair à canon pour les riches ou de ressource humaine bon marché pour accomplir un travail esclave. »
L’auteur conclut : «Cette école aveugle de méduses, père, mère, fils et fille, les change en bêtes de sommes corvéables à volonté… »
« LA DIVERSION COMME PRINCIPALE STRATÉGIE »
Le document parle de «prendre le contrôle de la population» en la rendant « indisciplinée, ignorante, confuse, désorganisée et distraite. »
« Tenir la population éloignée des « véritables enjeux sociaux et diriger son attention sur des sujets sans importance. » « Saboter l’activité mentale de ses membres par un «battage constant de sexe, de violence et de guerres dans les médias», c’est-à-dire par «le viol mental et émotionnel.»
Donnez-leur de la «malbouffe pour la pensée» et privez-les de ce dont ils ont vraiment besoin, en particulier d’une bonne éducation. «Maintenez le divertissement public en dessous du niveau du collège.»
«Le travail : maintenez la populace occupée, occupée, occupée sans aucun moment pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux.»
«Détruire la foi des membres du peuple américain les uns envers les autres.»
La règle générale : « la confusion génère du profit, plus il y a de confusion, plus il y a de profit, par conséquent, la meilleure approche consiste à créer des problèmes, puis à offrir des solutions.»
« L’ÉTAT-PROVIDENCE COMME ARME STRATÉGIQUE »
La populace veut que le gouvernement «perpétue son rôle de dépendance qui était celui de son enfance. Autrement dit, elle veut qu’un dieu humain élimine tout risque de sa vie, la caresse sur la tête, embrasse ses bobos, et mette un poulet sur chaque table… bordez-la et dites-lui que tout ira bien… »
Le « dieu humain » est le politicien qui promet le monde et n’accomplit jamais rien. Ce comportement du peuple illustre « sa lâcheté née de la peur, de la paresse et de l’opportunisme. C’est la base de l’État-Providence comme arme stratégique, très utile contre une population répugnante.»
L’absence de résistance de la part de la population est un signe qu’elle «est prête à se rendre et consent à l’esclavage et à l’empiètement juridique. Un bon …indicateur de cette soumission est le nombre de citoyens qui paient l’impôt sur le revenu, malgré un manque évident de réciprocité ou de service honnête de la part du gouvernement.»
EXEMPLES D’ARMES SILENCIEUSES
Beaucoup objecteront que ce document est encore un autre faux. Cependant, les gens conscients peuvent s’apercevoir que ce plan a déjà été mis en place.
La promotion de l’homosexualité sous le couvert de la «tolérance» et de «l’égalité» est un exemple d’utilisation d’arme silencieuse.
L’équation du mariage homosexuel avec le mariage hétérosexuel est un déni éhonté du caractère unique de l’hétérosexualité. Alors qu’ils pérorent sur les droits de l’homme, ils attaquent violemment la santé et le bonheur de 97% de la population.
La différence entre l’hétérosexualité et l’homosexualité tient en un mot: les enfants. Les homosexuels n’ont pas d’enfants biologiques. Devenir parents est une étape essentielle du développement hétérosexuel. Cela exige que nous formions un lien permanent qui est unique pour nous. (Voir «Réapprendre l’amour hétérosexuel»)
Les homosexuels pourraient avoir une catégorie spéciale de mariage avec les mêmes droits et responsabilités. Mais ils sont utilisés pour tromper la majorité afin que nous ne formions pas de lien et souffrions ainsi d’un développement arrêté.
Le féminisme est un autre exemple. En niant les rôles naturels hétérosexuels, les femmes usurpent la place des hommes comme pourvoyeurs et ont en conséquence peu ou pas d’enfants, pour souvent les élever au sein de familles monoparentales. Les hommes deviennent inutiles, ou se changent en «épouses». La famille est détruite et la société déstabilisée.
D’AUTRES ARMES SILENCIEUSES
Les médias de masse et le système éducatif nous trompent, nous manipulent, nous distrait et déforment la vérité. Ils appellent cela le «Viol mental et émotionnel». Bien que nous soyons comblés sur le plan matériel, nos esprits et nos âmes sont affamés de vérité.
Nous sommes conditionnés pour que toutes nos pensées soient triviales ou qu’elles nous déconnectent complètement de la réalité. Aucune couverture médiatique ni le moindre débat n’est permis au sujet de la progression insidieuse d’un gouvernement mondial et de l’érosion de l’indépendance nationale.
Parce qu’il n’y aura pas de nationalité ni de véritable démocratie, l’histoire ou les vertus civiques ne sont pas enseignées aux jeunes. Le sexe est promu comme une obsession permanente. La pornographie est endémique. Nous ne sommes pas censés avoir des préoccupations matures, telles que le genre de monde dont nos enfants vont hériter.
À quand remonte la dernière fois où vous avez vu un film qui vous a instruit ou inspiré? Qui contenait des situations et des émotions humaines reconnaissables? Qui abordait les vrais problèmes auxquels nous sommes confrontés? Qui réchauffait le cœur et vous faisiez vous sentir heureux d’être en vie? Quand est-ce qu’un film vous a présenté un héros que vous pourriez adopter comme modèle?
L’humanité possède suffisamment d’intelligence pour créer un monde merveilleux. Nous sommes sabotés. Les disciples de Satan sont responsables de l’assassinat de dizaines de présidents et d’autres dirigeants, de la dépression, des génocides et de la guerre, y compris la fausse «guerre froide» et sa successeur de la «guerre contre le terrorisme». Toutes les guerres contre l’humanité sont organisées par cette secte satanique.
Leur quartier général se trouve à Chatham House à Londres et leur succursale au Pratt House de New York. Le réseau de contrôle s’étend à travers la banque Rothschild et Rockefeller, leurs cartels pétroliers, leurs multinationales, leurs fondations, think tanks, les réseaux des agences de renseignement et les organismes gouvernementaux. Les logos de dizaines de grandes sociétés, y compris les médias de masse, contiennent des références maçonniques.
Nos «dirigeants» politiques, économiques et culturels ont vendu leurs âmes et trahi la société. Ils sont littéralement les serviteurs de Satan. Sinon, ils ne toléreraient pas que les deux candidats à la présidence soient membres d’une société secrète satanique, la Skull and Bones. Ils ne toléreraient pas la ruse évidente qui a eu lieu le 11 septembre 2001. Ils s’imaginent qu’ils occuperont une place privilégiée au sein du Nouvel Ordre Mondial. L’histoire a montré que tout le monde est remplaçable.
CONCLUSION
Nous nous appelons «progressistes», mais c’est un autre exemple de double langage. Le «progrès» a été réalisé par les Illuminati.
Comme l’homme a été créé à l’image de Dieu, la vie humaine est sacrée. Lorsque nous avons accepté la mort de Dieu, nous sommes devenus remplaçables. C’est pourquoi l’auteur de « Guerres silencieuses » peut se référer à nous en terme de «bêtes de somme» et utiliser la «lutte darwinienne» pour justifier l’esclavage et le génocide.
Satan ne se contente pas de nous détruire physiquement. Il a fait un pari avec Dieu. Sommes-nous faits à l’image de Dieu ou non? Pour gagner, il doit prouver que nous ne sommes que des animaux stupides.
Notre absence de résistance signifie notre acquiescement. Nous avons été « progressivement » démoralisés et bercés. Nous devons secouer notre torpeur et montrer que nous ne sommes pas des mollusques mais des hommes qui vont se battre pour leur droit divin.
Il s’agit d’une bataille à laquelle l’humanité de ne peut jamais échapper. Plus elle est repoussée plus il sera difficile de la gagner.
https://henrymakow.wordpress.com/2013/08/22/la-guerre-tranquille-contre-lhumanite/
Henry Makow
Avec le temps qui passe, ce document classique de 1979 parait plus effrayant que jamais. Il est un rappel nécessaire de la vision globale de la vérité.
La vérité est à la fois plus simple et plus incroyable que tout ce que l’on peut concevoir.
Un document choquant intitulé «Armes Silencieuses pour Guerres Tranquilles» confirme qu’une secte satanique dont le siège se trouve à la City de Londres tient l’humanité en esclavage par l’utilisation de la guerre psychologique.
«La masse des gens ne peut pas appréhender la nature de cette arme, et ne peut donc pas croire qu’elle soit l’objet d’attaques et d’humiliations par cette arme», déclare ce rapport de 1979.
Ses auteurs vénèrent Lucifer et sont déterminés à redéfinir la réalité et à régner sur la planète. Si vous possédiez une proportion inconvenante de la richesse du monde, voudriez-vous la partager avec les masses ignorantes? Ne souhaiteriez-vous pas enseigner que Dieu est mort, et que la vérité et la justice sont purement subjectives? Ne souhaiteriez-vous pas démontrer que l’homme n’est rien d’autre qu’un animal bon à être domestiqué ou détruit?
Le Satanisme a infiltré beaucoup de religions, d’institutions et de groupes. Des Satanistes secrets contrôlent les leviers du pouvoir: le crédit, les médias de masse, le système éducatif, le gouvernement et l’église. Ils apparaissent comme des libéraux, des socialistes, des conservateurs, des sionistes, des néo-cons, des nazis et des communistes etc. Beaucoup, comme Tony Blair, parlent du Christianisme du bout des lèvres au pour mieux nous tromper.
Ce culte nous corrompt graduellement, en nous déshumanisant et nous conditionnant pour que nous acceptions la mise en place d’un État policier (le Nouvel Ordre Mondial). Il nous endort et nous distrait pendant que ses tenant éliminent nos libertés et se préparent à exercer la répression, en utilisant le «terrorisme» comme prétexte bidon.
Dans une conférence de 1961, Aldous Huxley décrivit cet état policier comme «la Révolution Finale», une «dictature sans larmes» où les gens «aiment leur servitude. »
Les «Armes Tranquilles» indiquent que «l’inoculation de drogues comportementales» peut accélérer la transition d’un enfant de l’unité familiale bientôt disparue à «l’éducation publique contrôlée par l’État et les garderies gérées par l’état.»
Selon Huxley, l’objectif est de produire «une sorte de camp de concentration sans douleur pour des sociétés entières afin que les gens soient en fait privés de leurs libertés… mais… qu’ils soient distraits de tout désir de se rebeller par la propagande ou le lavage de cerveau… appuyé par des méthodes pharmacologiques.»
Parmi ces médicaments, nous pouvons désormais reconnaître le Ritalin, le Prozac et le Viagra, que les hommes en bonne santé utilisent couramment pour la performance. Les médecins sont des trafiquants de drogue d’élites se consacrant à l’intoxication de la société, afin de la distraire et de la maintenir au calme.
LE PLAN SUBVERSIF SATANIQUE
Daté de mai 1979, le document «Armes Silencieuses pour Guerres Tranquilles» (manuel technique SW7905.1) a été trouvé en 1986 dans un copieur IBM qui avait été acheté à une vente de surplus.
Il est le produit d’une discipline appelée «Recherche Opérationnelle» développée au cours de la Seconde Guerre mondiale pour attaquer les populations ennemies en utilisant des outils d’ingénierie sociale et la guerre psychologique.
Selon le document, «l’élite internationale» a décidé en 1954 de mener une « guerre tranquille » contre le peuple américain dans le but d’organiser l’accaparement de la richesse détenue par la «masse irresponsable» pour la remettre entre les mains de «l’élite responsable et digne.»
«Compte tenu de la loi de la sélection naturelle, il est évident qu’une nation ou un groupe de gens qui ne veulent pas utiliser leur intelligence ne valent pas mieux que les animaux qui sont dépourvus d’intelligence. Ces gens-là sont des bêtes de somme et des steaks sur la table [sic] par choix et tacite consentement.»
L’objectif était de mettre en place une économie, qui est «totalement prévisible et manipulable.» Les masses doivent être « formées et assignées à une tâche… à partir d’un très jeune âge… »
Pour parvenir à cette conformité, «l’unité familiale doit être désintégrée par un processus d’augmentation de l’inquiétude économique des parents et l’établissement des garderies gérées par le gouvernement pour les enfants orphelins à cause des occupations professionnelles de leurs parents.»
Ceci est accompli par les «armes silencieuses» (la propagande et l’ingénierie sociale) appliquées au sein des médias et dans les écoles.
«Quand l’arme silencieuse est appliquée graduellement, la population s’adapte… jusqu’à ce que la pression devienne trop grande et qu’elle craque… Par conséquent, l’arme silencieuse est un type de guerre biologique… Elle attaque… ses sources d’énergies naturelles et sociales et ses forces physiques, mentales et émotionnelles… »
Bien qu’elle ne soit pas mentionnée sous son nom, l’arme silencieuse dont il est question est ici le féminisme, qui favorise le lesbianisme tout en se présentant comme le défenseur de la femme.
Le document dit que le père doit être « chassé du foyer. » Les supports publicitaires doivent veiller à ce qu’il soit « diffamé et discrédité » et « forcé de se conformer à la norme… ou sa vie sexuelle … sera réduite à néant. » La femme est «d’abord gouvernée par l’émotion et ensuite la logique… trop extasiée pour se rendre compte [que son enfant servira] de chair à canon pour les riches ou de ressource humaine bon marché pour accomplir un travail esclave. »
L’auteur conclut : «Cette école aveugle de méduses, père, mère, fils et fille, les change en bêtes de sommes corvéables à volonté… »
« LA DIVERSION COMME PRINCIPALE STRATÉGIE »
Le document parle de «prendre le contrôle de la population» en la rendant « indisciplinée, ignorante, confuse, désorganisée et distraite. »
« Tenir la population éloignée des « véritables enjeux sociaux et diriger son attention sur des sujets sans importance. » « Saboter l’activité mentale de ses membres par un «battage constant de sexe, de violence et de guerres dans les médias», c’est-à-dire par «le viol mental et émotionnel.»
Donnez-leur de la «malbouffe pour la pensée» et privez-les de ce dont ils ont vraiment besoin, en particulier d’une bonne éducation. «Maintenez le divertissement public en dessous du niveau du collège.»
«Le travail : maintenez la populace occupée, occupée, occupée sans aucun moment pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux.»
«Détruire la foi des membres du peuple américain les uns envers les autres.»
La règle générale : « la confusion génère du profit, plus il y a de confusion, plus il y a de profit, par conséquent, la meilleure approche consiste à créer des problèmes, puis à offrir des solutions.»
« L’ÉTAT-PROVIDENCE COMME ARME STRATÉGIQUE »
La populace veut que le gouvernement «perpétue son rôle de dépendance qui était celui de son enfance. Autrement dit, elle veut qu’un dieu humain élimine tout risque de sa vie, la caresse sur la tête, embrasse ses bobos, et mette un poulet sur chaque table… bordez-la et dites-lui que tout ira bien… »
Le « dieu humain » est le politicien qui promet le monde et n’accomplit jamais rien. Ce comportement du peuple illustre « sa lâcheté née de la peur, de la paresse et de l’opportunisme. C’est la base de l’État-Providence comme arme stratégique, très utile contre une population répugnante.»
L’absence de résistance de la part de la population est un signe qu’elle «est prête à se rendre et consent à l’esclavage et à l’empiètement juridique. Un bon …indicateur de cette soumission est le nombre de citoyens qui paient l’impôt sur le revenu, malgré un manque évident de réciprocité ou de service honnête de la part du gouvernement.»
EXEMPLES D’ARMES SILENCIEUSES
Beaucoup objecteront que ce document est encore un autre faux. Cependant, les gens conscients peuvent s’apercevoir que ce plan a déjà été mis en place.
La promotion de l’homosexualité sous le couvert de la «tolérance» et de «l’égalité» est un exemple d’utilisation d’arme silencieuse.
L’équation du mariage homosexuel avec le mariage hétérosexuel est un déni éhonté du caractère unique de l’hétérosexualité. Alors qu’ils pérorent sur les droits de l’homme, ils attaquent violemment la santé et le bonheur de 97% de la population.
La différence entre l’hétérosexualité et l’homosexualité tient en un mot: les enfants. Les homosexuels n’ont pas d’enfants biologiques. Devenir parents est une étape essentielle du développement hétérosexuel. Cela exige que nous formions un lien permanent qui est unique pour nous. (Voir «Réapprendre l’amour hétérosexuel»)
Les homosexuels pourraient avoir une catégorie spéciale de mariage avec les mêmes droits et responsabilités. Mais ils sont utilisés pour tromper la majorité afin que nous ne formions pas de lien et souffrions ainsi d’un développement arrêté.
Le féminisme est un autre exemple. En niant les rôles naturels hétérosexuels, les femmes usurpent la place des hommes comme pourvoyeurs et ont en conséquence peu ou pas d’enfants, pour souvent les élever au sein de familles monoparentales. Les hommes deviennent inutiles, ou se changent en «épouses». La famille est détruite et la société déstabilisée.
D’AUTRES ARMES SILENCIEUSES
Les médias de masse et le système éducatif nous trompent, nous manipulent, nous distrait et déforment la vérité. Ils appellent cela le «Viol mental et émotionnel». Bien que nous soyons comblés sur le plan matériel, nos esprits et nos âmes sont affamés de vérité.
Nous sommes conditionnés pour que toutes nos pensées soient triviales ou qu’elles nous déconnectent complètement de la réalité. Aucune couverture médiatique ni le moindre débat n’est permis au sujet de la progression insidieuse d’un gouvernement mondial et de l’érosion de l’indépendance nationale.
Parce qu’il n’y aura pas de nationalité ni de véritable démocratie, l’histoire ou les vertus civiques ne sont pas enseignées aux jeunes. Le sexe est promu comme une obsession permanente. La pornographie est endémique. Nous ne sommes pas censés avoir des préoccupations matures, telles que le genre de monde dont nos enfants vont hériter.
À quand remonte la dernière fois où vous avez vu un film qui vous a instruit ou inspiré? Qui contenait des situations et des émotions humaines reconnaissables? Qui abordait les vrais problèmes auxquels nous sommes confrontés? Qui réchauffait le cœur et vous faisiez vous sentir heureux d’être en vie? Quand est-ce qu’un film vous a présenté un héros que vous pourriez adopter comme modèle?
L’humanité possède suffisamment d’intelligence pour créer un monde merveilleux. Nous sommes sabotés. Les disciples de Satan sont responsables de l’assassinat de dizaines de présidents et d’autres dirigeants, de la dépression, des génocides et de la guerre, y compris la fausse «guerre froide» et sa successeur de la «guerre contre le terrorisme». Toutes les guerres contre l’humanité sont organisées par cette secte satanique.
Leur quartier général se trouve à Chatham House à Londres et leur succursale au Pratt House de New York. Le réseau de contrôle s’étend à travers la banque Rothschild et Rockefeller, leurs cartels pétroliers, leurs multinationales, leurs fondations, think tanks, les réseaux des agences de renseignement et les organismes gouvernementaux. Les logos de dizaines de grandes sociétés, y compris les médias de masse, contiennent des références maçonniques.
Nos «dirigeants» politiques, économiques et culturels ont vendu leurs âmes et trahi la société. Ils sont littéralement les serviteurs de Satan. Sinon, ils ne toléreraient pas que les deux candidats à la présidence soient membres d’une société secrète satanique, la Skull and Bones. Ils ne toléreraient pas la ruse évidente qui a eu lieu le 11 septembre 2001. Ils s’imaginent qu’ils occuperont une place privilégiée au sein du Nouvel Ordre Mondial. L’histoire a montré que tout le monde est remplaçable.
CONCLUSION
Nous nous appelons «progressistes», mais c’est un autre exemple de double langage. Le «progrès» a été réalisé par les Illuminati.
Comme l’homme a été créé à l’image de Dieu, la vie humaine est sacrée. Lorsque nous avons accepté la mort de Dieu, nous sommes devenus remplaçables. C’est pourquoi l’auteur de « Guerres silencieuses » peut se référer à nous en terme de «bêtes de somme» et utiliser la «lutte darwinienne» pour justifier l’esclavage et le génocide.
Satan ne se contente pas de nous détruire physiquement. Il a fait un pari avec Dieu. Sommes-nous faits à l’image de Dieu ou non? Pour gagner, il doit prouver que nous ne sommes que des animaux stupides.
Notre absence de résistance signifie notre acquiescement. Nous avons été « progressivement » démoralisés et bercés. Nous devons secouer notre torpeur et montrer que nous ne sommes pas des mollusques mais des hommes qui vont se battre pour leur droit divin.
Il s’agit d’une bataille à laquelle l’humanité de ne peut jamais échapper. Plus elle est repoussée plus il sera difficile de la gagner.
https://henrymakow.wordpress.com/2013/08/22/la-guerre-tranquille-contre-lhumanite/
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
- Messages : 1147
Age : 51
Localisation : FRANCE
Inscription : 24/04/2015
Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Henry Makow . Sûrement un esprit brillant. A n'en pas douter:
Pour lui Hitler aurait trahi le véritable combat et se serait mis à la solde des illuminatis
pour détruire l'Allemagne afin qu'elle se fonde dans le nouvel ordre mondial.
Voila une brillante pensée d'un homme bien équilibré.
Une réputation sulfureuse.
Et un prêche de brillant dévot.
Un de ces types capables du pire tout en croyant prêcher le meilleur...
On en redemande, sur ce Forum de l'humble Nazaréen,
donnant sa vie pour ses brebis...
Bien sûr...
Pour lui Hitler aurait trahi le véritable combat et se serait mis à la solde des illuminatis
pour détruire l'Allemagne afin qu'elle se fonde dans le nouvel ordre mondial.
Voila une brillante pensée d'un homme bien équilibré.
Une réputation sulfureuse.
Et un prêche de brillant dévot.
Un de ces types capables du pire tout en croyant prêcher le meilleur...
On en redemande, sur ce Forum de l'humble Nazaréen,
donnant sa vie pour ses brebis...
Bien sûr...
Sofoyal- Combat l'antechrist
- Messages : 2384
Inscription : 03/11/2013
Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Je ne connais pas l auteur, mais a voir la situation actuelle, son analyse est pertinente. méfions nous. Les médias franc maçon détruise toute personne qui les attaques
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
- Messages : 1147
Age : 51
Localisation : FRANCE
Inscription : 24/04/2015
Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Je veux bien le croire.
Mais il y a des esprits, comme Hitler par exemple,
pertinents à bien des égards, mais dont la véritable motivation était orgueilleuse, démoniaque et finalement criminelle jusqu'à l'immonde.
C'était aussi le cas de Judas...
Il est prouvé que "l'Enfer est pavé de bonnes intentions" n'est pas qu'un simple proverbe imagé.
Que Dieu en Jésus en garde ses enfants!
Mais il y a des esprits, comme Hitler par exemple,
pertinents à bien des égards, mais dont la véritable motivation était orgueilleuse, démoniaque et finalement criminelle jusqu'à l'immonde.
C'était aussi le cas de Judas...
Il est prouvé que "l'Enfer est pavé de bonnes intentions" n'est pas qu'un simple proverbe imagé.
Que Dieu en Jésus en garde ses enfants!
Sofoyal- Combat l'antechrist
- Messages : 2384
Inscription : 03/11/2013
Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Sofoyal, je ne comprend pas toute la haine que vous déverser sur moi, j'espère qu'un modérateur vous ramenera sur le chemin de l'amour, quitter toute cette haine
http://fr.wikipedia.org/wiki/Henry_Makow
http://fr.wikipedia.org/wiki/Henry_Makow
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
- Messages : 1147
Age : 51
Localisation : FRANCE
Inscription : 24/04/2015
Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
???
C'est un plaisanterie ou pas?
C'est un plaisanterie ou pas?
Sofoyal- Combat l'antechrist
- Messages : 2384
Inscription : 03/11/2013
Pourqoi l'europe ne fait elle plus d'enfants?
Déficit démographique : pourquoi l'Europe ne fait-elle plus d'enfants?
Comment enrayer la chute de la natalité en Europe? ©Getty Images
Comment enrayer la chute de la natalité en Europe ?
Historiquement, les deux principaux facteurs de régulation de la population mondiale sont le manque de nourriture et la mortalité infantile. Mais alors que la richesse de l’Europe et les progrès médicaux auraient dû lui offrir les conditions idéales pour une croissance démographique, les taux de natalité ne cessent de baisser sur le continent. Les nouveaux modèles familiaux et parentaux sont-ils en cause? L’Europe cherche des solutions pour aider les adultes qui le souhaitent à…faire des bébés.
Le constat est simple : alors que le taux de fertilité nécessaire pour assurer le renouvellement des générations est estimé à 2,1 enfants par femme, le taux moyen constaté dans l’Europe des 25 (chiffres de 2005) est de 1,5 enfants par femme. Conséquence : la population européenne décline.
Les démographes estiment même que si le taux de fertilité continue à baisser jusqu’à 1,3 enfants par femme, les européens ne seront plus, dans 100 ans, qu’un quart de la population actuelle…
Les raisons du déclin européen
Pour expliquer la chute du taux de natalité en Europe, les démographes évoquent plusieurs facteurs :
le niveau d’éducation des mères qui leur impose d’équilibrer vie familiale et carrière,
les changements de valeurs culturelles et individuelles,
l’augmentation des divorces et la baisse du nombre de mariages,
les nouveaux styles de vie (plus de contraception, grossesses plus tardives).
Pourtant, selon une étude européenne réalisée en 2004 (voir lien ci-dessous), les femmes souhaiteraient en général avoir plus d’enfants qu’elles n’en ont. Mais selon leurs mots, élever un enfant coûte très cher et elles restent inquiètes quant à l’avenir de leur fils ou fille : voilà les deux facteurs qui les décident à ne pas faire plus d’enfants.
Au niveau européen, cette chute de la natalité inquiète : comment faire face à une Europe vieillissante, aux coûts plus élevés de la solidarité nationale en termes de santé et de retraites, au manque de main-d’œuvre et de salariés et ce, face à d’autres régions du monde où la démographie est au contraire croissante ? L’Union Européenne (UE) réfléchit aux moyens d’encourager la natalité.
De nouvelles politiques publiques pour soutenir les parents
Déjà en 2002, lors du Sommet de Barcelone, les Etats-membres de l’UE s’étaient engagés à agir. Ils s’étaient fixé pour objectif en 2010 d’offrir une crèche ou une garderie pour au moins un tiers des enfants de moins de 3 ans. Ce taux devrait grimper à 90% pour les enfants entre 3 ans et l’âge légal de première année d’école.
Le Parlement européen planche lui aussi sur deux rapports touchant directement les facteurs affectant la population. Pour encourager la natalité, la députée française Françoise Castex préconise, dans son projet de rapport sur l’avenir démographique de l’Europe, plusieurs mesures concrètes :
adapter les politiques publiques au besoin de stabilité des femmes qui décident d’avoir un enfant ;
aider les mères célibataires par des investissements publics dans les aides aux jeunes enfants, dans les garderies d’enfants ou la protection sociale ;
promouvoir le congé de paternité et établir un droit effectif au congé parental.
Ces mesures devraient permettre, explique la députée dans son projet de rapport, de « maintenir la compétitivité économique, tout en garantissant le modèle social européen sur le long terme ».
Etudier et élever un enfant, c’est possible !
La proportion d’étudiants qui sont aussi parents reste faible en Europe, à l’exception des pays nordiques : en Suède par exemple, 41% des femmes ont eu leur premier enfant avant la fin de leurs études. Cela est rendu possible grâce aux mesures sociales et économiques adaptées : pour la députée grecque Marie Panayotopoulos-Cassiotou, il est donc temps de réconcilier vie familiale et période d’études.
Auteur d’un rapport adopté en juin 2007 à ce propos, elle explique que « s'il est vrai qu'il n'est pas du ressort des États d'influer sur les choix individuels d'avoir ou non des enfants, les États devraient créer toutes les conditions permettant aux Européens d’avoir le nombre d'enfants qu'ils désirent. » Et ce, même pour les jeunes européens et à un stade précoce de leur vie.
Elle appelle donc les Etats-membres et la Commission européenne à offrir aux jeunes des taux avantageux de crédits lorsqu’ils doivent combiner études et responsabilités familiales. Leurs conditions de logement doivent être adaptées s’ils élèvent un ou plusieurs enfants, et leur accès aux garderies doit être aussi aisé que pour les parents salariés.
Ces mesures suffiront-elles à inverser la courbe de natalité ? Réponse dans quelques années…
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?language=fr&type=IM-PRESS&reference=20080414FCS26499
Comment enrayer la chute de la natalité en Europe? ©Getty Images
Comment enrayer la chute de la natalité en Europe ?
Historiquement, les deux principaux facteurs de régulation de la population mondiale sont le manque de nourriture et la mortalité infantile. Mais alors que la richesse de l’Europe et les progrès médicaux auraient dû lui offrir les conditions idéales pour une croissance démographique, les taux de natalité ne cessent de baisser sur le continent. Les nouveaux modèles familiaux et parentaux sont-ils en cause? L’Europe cherche des solutions pour aider les adultes qui le souhaitent à…faire des bébés.
Le constat est simple : alors que le taux de fertilité nécessaire pour assurer le renouvellement des générations est estimé à 2,1 enfants par femme, le taux moyen constaté dans l’Europe des 25 (chiffres de 2005) est de 1,5 enfants par femme. Conséquence : la population européenne décline.
Les démographes estiment même que si le taux de fertilité continue à baisser jusqu’à 1,3 enfants par femme, les européens ne seront plus, dans 100 ans, qu’un quart de la population actuelle…
Les raisons du déclin européen
Pour expliquer la chute du taux de natalité en Europe, les démographes évoquent plusieurs facteurs :
le niveau d’éducation des mères qui leur impose d’équilibrer vie familiale et carrière,
les changements de valeurs culturelles et individuelles,
l’augmentation des divorces et la baisse du nombre de mariages,
les nouveaux styles de vie (plus de contraception, grossesses plus tardives).
Pourtant, selon une étude européenne réalisée en 2004 (voir lien ci-dessous), les femmes souhaiteraient en général avoir plus d’enfants qu’elles n’en ont. Mais selon leurs mots, élever un enfant coûte très cher et elles restent inquiètes quant à l’avenir de leur fils ou fille : voilà les deux facteurs qui les décident à ne pas faire plus d’enfants.
Au niveau européen, cette chute de la natalité inquiète : comment faire face à une Europe vieillissante, aux coûts plus élevés de la solidarité nationale en termes de santé et de retraites, au manque de main-d’œuvre et de salariés et ce, face à d’autres régions du monde où la démographie est au contraire croissante ? L’Union Européenne (UE) réfléchit aux moyens d’encourager la natalité.
De nouvelles politiques publiques pour soutenir les parents
Déjà en 2002, lors du Sommet de Barcelone, les Etats-membres de l’UE s’étaient engagés à agir. Ils s’étaient fixé pour objectif en 2010 d’offrir une crèche ou une garderie pour au moins un tiers des enfants de moins de 3 ans. Ce taux devrait grimper à 90% pour les enfants entre 3 ans et l’âge légal de première année d’école.
Le Parlement européen planche lui aussi sur deux rapports touchant directement les facteurs affectant la population. Pour encourager la natalité, la députée française Françoise Castex préconise, dans son projet de rapport sur l’avenir démographique de l’Europe, plusieurs mesures concrètes :
adapter les politiques publiques au besoin de stabilité des femmes qui décident d’avoir un enfant ;
aider les mères célibataires par des investissements publics dans les aides aux jeunes enfants, dans les garderies d’enfants ou la protection sociale ;
promouvoir le congé de paternité et établir un droit effectif au congé parental.
Ces mesures devraient permettre, explique la députée dans son projet de rapport, de « maintenir la compétitivité économique, tout en garantissant le modèle social européen sur le long terme ».
Etudier et élever un enfant, c’est possible !
La proportion d’étudiants qui sont aussi parents reste faible en Europe, à l’exception des pays nordiques : en Suède par exemple, 41% des femmes ont eu leur premier enfant avant la fin de leurs études. Cela est rendu possible grâce aux mesures sociales et économiques adaptées : pour la députée grecque Marie Panayotopoulos-Cassiotou, il est donc temps de réconcilier vie familiale et période d’études.
Auteur d’un rapport adopté en juin 2007 à ce propos, elle explique que « s'il est vrai qu'il n'est pas du ressort des États d'influer sur les choix individuels d'avoir ou non des enfants, les États devraient créer toutes les conditions permettant aux Européens d’avoir le nombre d'enfants qu'ils désirent. » Et ce, même pour les jeunes européens et à un stade précoce de leur vie.
Elle appelle donc les Etats-membres et la Commission européenne à offrir aux jeunes des taux avantageux de crédits lorsqu’ils doivent combiner études et responsabilités familiales. Leurs conditions de logement doivent être adaptées s’ils élèvent un ou plusieurs enfants, et leur accès aux garderies doit être aussi aisé que pour les parents salariés.
Ces mesures suffiront-elles à inverser la courbe de natalité ? Réponse dans quelques années…
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?language=fr&type=IM-PRESS&reference=20080414FCS26499
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
5 – Revaloriser le choix des mères au foyer
Le dogme selon lequel, actuellement, la femme qui est tant soit peu intelligente ne peut faire autrement que d’aller travailler à l’extérieur de chez elle, n’est pas seulement dangereux pour le problème éducatif dont nous avons parlé. Cette idée reçue est nocive au regard de la civilisation en général.
Nous vivons dans un monde où l’on donne la primauté aux valeurs marchandes (production, consommation). On forme pour produire, on produit pour consommer et ce cycle s’accomplit au détriment de la formation des élites profondes, c’est-à-dire des élites de la pensée, de l’esprit, de l’art.
Certains sociologues ont remarqué que notre civilisation technique, industrielle, est la première dans laquelle les élites véritables de la pensée et de l’art ne peuvent pas donner leur pleine expression parce qu’elles sont le plus souvent mobilisées par l’appareil de production. Jusqu’alors, dans toutes les civilisations, elles pouvaient compter sur la générosité de mécènes, en s’adonnant à leur passion, sans être freinées par des préoccupations matérielles.
La femme qui se donne tout entière à l’éducation de ses enfants sans chercher à travailler à l’extérieur de chez elle est pour la société un bel exemple de personne qui n’est pas assujettie à ses valeurs marchandes et à son « idéal » de consommation à outrance.
Dans le même ordre d’idées, on méprise aujourd’hui les mères au foyer, sous prétexte qu’elles ne sont pas « productives », ce qui est à la fois faux et inacceptable. Au contraire, c’est la preuve qu’il existe d’autres valeurs auxquelles soumettre sa vie que ces valeurs matérielles qui finalement nous perdent. Si tant de jeunes sont en recherche d’autre chose et répudient une civilisation technique et sans âme, c’est justement parce qu’elle ne fait pas leur place aux valeurs de gratuité.
http://www.ichtus.fr/le-role-educateur-de-la-femme/
Le dogme selon lequel, actuellement, la femme qui est tant soit peu intelligente ne peut faire autrement que d’aller travailler à l’extérieur de chez elle, n’est pas seulement dangereux pour le problème éducatif dont nous avons parlé. Cette idée reçue est nocive au regard de la civilisation en général.
Nous vivons dans un monde où l’on donne la primauté aux valeurs marchandes (production, consommation). On forme pour produire, on produit pour consommer et ce cycle s’accomplit au détriment de la formation des élites profondes, c’est-à-dire des élites de la pensée, de l’esprit, de l’art.
Certains sociologues ont remarqué que notre civilisation technique, industrielle, est la première dans laquelle les élites véritables de la pensée et de l’art ne peuvent pas donner leur pleine expression parce qu’elles sont le plus souvent mobilisées par l’appareil de production. Jusqu’alors, dans toutes les civilisations, elles pouvaient compter sur la générosité de mécènes, en s’adonnant à leur passion, sans être freinées par des préoccupations matérielles.
La femme qui se donne tout entière à l’éducation de ses enfants sans chercher à travailler à l’extérieur de chez elle est pour la société un bel exemple de personne qui n’est pas assujettie à ses valeurs marchandes et à son « idéal » de consommation à outrance.
Dans le même ordre d’idées, on méprise aujourd’hui les mères au foyer, sous prétexte qu’elles ne sont pas « productives », ce qui est à la fois faux et inacceptable. Au contraire, c’est la preuve qu’il existe d’autres valeurs auxquelles soumettre sa vie que ces valeurs matérielles qui finalement nous perdent. Si tant de jeunes sont en recherche d’autre chose et répudient une civilisation technique et sans âme, c’est justement parce qu’elle ne fait pas leur place aux valeurs de gratuité.
http://www.ichtus.fr/le-role-educateur-de-la-femme/
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Apercu de ce qui nous attend...
»
29 juin 2011
Suède: Egalia, un pas vers la folie
Voici une nouvelle version du «Meilleur des mondes», tel qu’il se prépare à l’école primaire d’Egalia, à Stockholm. Une école où la volonté d’égalité entre garçons et fille est fondée sur la théorie Gender. Et ce avec l’aval des autorités.
On savait déjà que la Suède est un pays perdu pour les hommes. Julian Assange, porte-parole de Wikileaks, l’a appris à ses dépens avec le coup fumant du crime de «sexe par surprise» - entendez par là le fait de réveiller par ses ardeurs la femme avec qui on a déjà fait l’amour avant de dormir. Non, cela n’est ni un hommage, ni une connivence amoureuse: ce serait un viol.
On sait aussi qu’en Suède comme en Allemagne, il y a des féministes qui obligent les garçons à uriner assis. Pour deux raisons: une raison d’hygiène, les garçons étant accusés d’être sales et d’inonder les toilettes. Bonjour l’humiliation. L’autre étant la «sale posture macho», en anglais: «nasty macho gesture», ce qui en clair signifie: la posture de dominant. Double humiliation pour les garçons: hygiénique et de genre. Laissons-les libres, bon sang. Assis ou debout, cela ne regarde que l’homme.
L’article qui circule maintenant sur le net montre le cauchemar Gender. Le meilleur des mondes? On y est presque. Il s‘agit d’une expérience de déculturation - le mot est de moi, pas de l’article - sur des enfants de 1 à 6 ans. Les hommes et les femmes ont toujours été considérés comme différents? Balayons cela. L’égalité est ici le gommage de toutes les différences. Ce qui donne ceci:
«Dans le petit monde d'Egalia, le personnel évite les "lui" ou les "elle": les 33 enfants scolarisés dans cet établissement de Stockholm pas comme les autres sont des "amis" plutôt que des filles ou des garçons.»
Le gommage des différences commence avec la suppression de «il» et «elle». C’est-à-dire de la plus élémentaire classification dans toutes les espèces: le genre, fondé sur le sexe. C’est-à-dire ce qui donne identité et responsabilité. Car lui n’est pas elle. Ami c’est tout le monde, donc ce n’est personne. Lui et Elle impliquent Je et Tu, soit une individualisation responsable. Ami c’est neutre, c’est «il», c’est personne.
A Egalia, les humains sont asexués. Le monde parfait. Le meilleur des mondes.
Premier constat: sous l’effet de la théorie du genre on appauvrit la capacité d’identité et la langue, donc la pensée. Moins d’identité ce sera plus de petits robots prêts à obéir à l’autorité. Les humains n’étant pas sexués et donc moins identifiés, la notion de responsabilité individuelle - qui va de pair avec l’identité individuelle - va également s’estomper. Cela compliquera la tâche des tribunaux: «Monsieur, vous avez fait un enfant avec cette femme, vous devez en prendre la paternité.» - «Non.» - «Comment non? Les tests génétiques prouvent que vous êtes le père.» - «Non. Je ne suis pas un homme. Je suis un ami.»
Le bébé avec l’eau du bain
«Ici, les clichés voulant que les filles soient jolies, gentilles et bien élevées, et que les garçons soient extravertis et forts sont balayés: Egalia offre aux enfants une "occasion fantastique d'être qui ils veulent", souligne Jenny Johnsson, enseignante de 31 ans.»
Cela revient à nier le fait qu’il y a naturellement des rapprochements de genre. Les filles n’oseront plus parler entre filles, de même pour les garçons. L’identité et l’intimité de genre est proscrite. Si les garçons veulent jouer des muscles - parce que genre ou pas, ils ont en moyenne plus de muscles que les femmes - ils ne seront pas autorisés à le faire. Ce serait encore une «sale posture machiste».
Je note que l’on est clairement dans la culpabilisation du masculin et que c’est le féminin qui est pris comme référence universelle et imposé aux garçons. Au fond c’est simple: s’il n’y a plus de garçons il n’y aura plus d’hommes.
Continuons. Vous allez pouvoir jeter quasiment toute la littérature tant elle regorge de différences stéréotypées forcément aliénantes entre hommes et femmes. Les contes de fées en premier.
«L'école entend tout particulièrement mettre l'accent sur la promotion d'un environnement tolérant envers les homosexuels, les bisexuels et les personnes transgenres, souligne sa directrice Lotta Rajalin. D'une bibliothèque, elle sort un livre sur deux girafes mâles en mal d'enfants jusqu'à ce qu'elles trouvent un oeuf de crocodile abandonné.
Quasiment tous les ouvrages pour enfants traitent de couples homosexuels, de parents célibataires ou d'enfants adoptés. Ici, point de "Cendrillon", de "Blanche-Neige" ou autres contes classiques considérés comme le ciment des stéréotypes.»
Donc aux oubliettes les contes de notre enfance. Et surtout, mise à égalité totale de l’homosexualité avec l’hétérosexualité. Or, statistiquement, il y a au moins 90 à 95% d’hétéros. Ce sont les hétéros qui à la base peuplent la Terre. Les couples lesbiens peuvent enfanter à condition qu’il y ait quand même des hommes qui donnent leur sperme. Il y a donc dans la grossesse d’une lesbienne quelque chose de l’ordre de l’hétérosexualité (elles ne font pas des bébés avec l’ovule de leurs compagnes). Pour les couples gays, ils ne peuvent qu’adopter, ou trouver une mère porteuse. Ce qui introduit là aussi une notion hétérosexuelle.
Il ne s’agit pas de méjuger l’homosexualité. Pour moi chacun est libre de ses partenariats, c’est l’un des acquis du libéralisme (je doute que l’homosexualité eût été aussi bien reconnue dans une société totalitaire). Homosexuel ou hétérosexuel, tout humain est d’abord et définitivement un humain. Par contre je doute que l’on puisse mettre à égalité de représentation les deux types de sexualités. On induit une fausse représentation du monde. Pour donner un exemple, imaginons un pays africain où il y ait 5% d’habitant de peau blanche. On ne vas pas les surreprésenter dans les médias ou les livres scolaires, en les mettant à égalité de représentation avec les habitants à peau noire.
Rebelles
Certains parents contestent de plus en plus les théories de genre.
«Les différents rôles de genre ne sont pas problématiques s'ils sont évalués de façon égale", observe Tanja Bergkvist, 37 ans, l'une des plus voix les plus fortes en Suède à s'élever contre ce qu'elle qualifie de folie de genre.»
Car c’est bien de cela qu’il s’agit: les différences ne doivent pas être hiérarchisées entre elles. Il n’est pas mieux d’être une fille qu’un garçon ou un garçon qu’une fille. Il n’est pas mieux d’être femme en politique qu’un homme. Il n’est pas mieux d’être homme dans un conseil d’administration qu’une femme. Le problème des différences n’est pas la différence, mais la valeur qu’on lui accorde. Et de ce point de vue, Egalia est le produit d’un échec intellectuel: incapable de promouvoir l’égalité dans l’altérité, il efface l’altérité. Il jette le bébé avec l’eau du bain. Accepter les différences en les respectant est un progrès de civilisation. Nier les différences est un recul intellectuel et relationnel.
On est devant un totalitarisme rampant, qui veut nous faire tou-te-s semblables. Alors allons au bout si c'est cela que l'on veut: plus de disciplines sportives séparées. Femmes et hommes ensemble au 100 mètres, ou au tennis, par exemple. Plus de vestiaires séparés, ni de toilettes non mixtes. Plus de prénoms masculins ou féminins. Nous nous appellerons tous ami Claude ou ami Dominique. Plus de robes ou de jupes.
Que l’on refuse l’obligation des destins tout tracés, j’en suis. Mais ici je pense que la méthode n’est pas la bonne. La différence est nécessaire à la vie, dans les relations humaines comme en biologie. Sans différence la vie même n’existe pas.
A lire sur le féminisme: Féminista ras-le-bol!
http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2011/06/29/suede-egalia-un-pas-vers-la-folie.html
29 juin 2011
Suède: Egalia, un pas vers la folie
Voici une nouvelle version du «Meilleur des mondes», tel qu’il se prépare à l’école primaire d’Egalia, à Stockholm. Une école où la volonté d’égalité entre garçons et fille est fondée sur la théorie Gender. Et ce avec l’aval des autorités.
On savait déjà que la Suède est un pays perdu pour les hommes. Julian Assange, porte-parole de Wikileaks, l’a appris à ses dépens avec le coup fumant du crime de «sexe par surprise» - entendez par là le fait de réveiller par ses ardeurs la femme avec qui on a déjà fait l’amour avant de dormir. Non, cela n’est ni un hommage, ni une connivence amoureuse: ce serait un viol.
On sait aussi qu’en Suède comme en Allemagne, il y a des féministes qui obligent les garçons à uriner assis. Pour deux raisons: une raison d’hygiène, les garçons étant accusés d’être sales et d’inonder les toilettes. Bonjour l’humiliation. L’autre étant la «sale posture macho», en anglais: «nasty macho gesture», ce qui en clair signifie: la posture de dominant. Double humiliation pour les garçons: hygiénique et de genre. Laissons-les libres, bon sang. Assis ou debout, cela ne regarde que l’homme.
L’article qui circule maintenant sur le net montre le cauchemar Gender. Le meilleur des mondes? On y est presque. Il s‘agit d’une expérience de déculturation - le mot est de moi, pas de l’article - sur des enfants de 1 à 6 ans. Les hommes et les femmes ont toujours été considérés comme différents? Balayons cela. L’égalité est ici le gommage de toutes les différences. Ce qui donne ceci:
«Dans le petit monde d'Egalia, le personnel évite les "lui" ou les "elle": les 33 enfants scolarisés dans cet établissement de Stockholm pas comme les autres sont des "amis" plutôt que des filles ou des garçons.»
Le gommage des différences commence avec la suppression de «il» et «elle». C’est-à-dire de la plus élémentaire classification dans toutes les espèces: le genre, fondé sur le sexe. C’est-à-dire ce qui donne identité et responsabilité. Car lui n’est pas elle. Ami c’est tout le monde, donc ce n’est personne. Lui et Elle impliquent Je et Tu, soit une individualisation responsable. Ami c’est neutre, c’est «il», c’est personne.
A Egalia, les humains sont asexués. Le monde parfait. Le meilleur des mondes.
Premier constat: sous l’effet de la théorie du genre on appauvrit la capacité d’identité et la langue, donc la pensée. Moins d’identité ce sera plus de petits robots prêts à obéir à l’autorité. Les humains n’étant pas sexués et donc moins identifiés, la notion de responsabilité individuelle - qui va de pair avec l’identité individuelle - va également s’estomper. Cela compliquera la tâche des tribunaux: «Monsieur, vous avez fait un enfant avec cette femme, vous devez en prendre la paternité.» - «Non.» - «Comment non? Les tests génétiques prouvent que vous êtes le père.» - «Non. Je ne suis pas un homme. Je suis un ami.»
Le bébé avec l’eau du bain
«Ici, les clichés voulant que les filles soient jolies, gentilles et bien élevées, et que les garçons soient extravertis et forts sont balayés: Egalia offre aux enfants une "occasion fantastique d'être qui ils veulent", souligne Jenny Johnsson, enseignante de 31 ans.»
Cela revient à nier le fait qu’il y a naturellement des rapprochements de genre. Les filles n’oseront plus parler entre filles, de même pour les garçons. L’identité et l’intimité de genre est proscrite. Si les garçons veulent jouer des muscles - parce que genre ou pas, ils ont en moyenne plus de muscles que les femmes - ils ne seront pas autorisés à le faire. Ce serait encore une «sale posture machiste».
Je note que l’on est clairement dans la culpabilisation du masculin et que c’est le féminin qui est pris comme référence universelle et imposé aux garçons. Au fond c’est simple: s’il n’y a plus de garçons il n’y aura plus d’hommes.
Continuons. Vous allez pouvoir jeter quasiment toute la littérature tant elle regorge de différences stéréotypées forcément aliénantes entre hommes et femmes. Les contes de fées en premier.
«L'école entend tout particulièrement mettre l'accent sur la promotion d'un environnement tolérant envers les homosexuels, les bisexuels et les personnes transgenres, souligne sa directrice Lotta Rajalin. D'une bibliothèque, elle sort un livre sur deux girafes mâles en mal d'enfants jusqu'à ce qu'elles trouvent un oeuf de crocodile abandonné.
Quasiment tous les ouvrages pour enfants traitent de couples homosexuels, de parents célibataires ou d'enfants adoptés. Ici, point de "Cendrillon", de "Blanche-Neige" ou autres contes classiques considérés comme le ciment des stéréotypes.»
Donc aux oubliettes les contes de notre enfance. Et surtout, mise à égalité totale de l’homosexualité avec l’hétérosexualité. Or, statistiquement, il y a au moins 90 à 95% d’hétéros. Ce sont les hétéros qui à la base peuplent la Terre. Les couples lesbiens peuvent enfanter à condition qu’il y ait quand même des hommes qui donnent leur sperme. Il y a donc dans la grossesse d’une lesbienne quelque chose de l’ordre de l’hétérosexualité (elles ne font pas des bébés avec l’ovule de leurs compagnes). Pour les couples gays, ils ne peuvent qu’adopter, ou trouver une mère porteuse. Ce qui introduit là aussi une notion hétérosexuelle.
Il ne s’agit pas de méjuger l’homosexualité. Pour moi chacun est libre de ses partenariats, c’est l’un des acquis du libéralisme (je doute que l’homosexualité eût été aussi bien reconnue dans une société totalitaire). Homosexuel ou hétérosexuel, tout humain est d’abord et définitivement un humain. Par contre je doute que l’on puisse mettre à égalité de représentation les deux types de sexualités. On induit une fausse représentation du monde. Pour donner un exemple, imaginons un pays africain où il y ait 5% d’habitant de peau blanche. On ne vas pas les surreprésenter dans les médias ou les livres scolaires, en les mettant à égalité de représentation avec les habitants à peau noire.
Rebelles
Certains parents contestent de plus en plus les théories de genre.
«Les différents rôles de genre ne sont pas problématiques s'ils sont évalués de façon égale", observe Tanja Bergkvist, 37 ans, l'une des plus voix les plus fortes en Suède à s'élever contre ce qu'elle qualifie de folie de genre.»
Car c’est bien de cela qu’il s’agit: les différences ne doivent pas être hiérarchisées entre elles. Il n’est pas mieux d’être une fille qu’un garçon ou un garçon qu’une fille. Il n’est pas mieux d’être femme en politique qu’un homme. Il n’est pas mieux d’être homme dans un conseil d’administration qu’une femme. Le problème des différences n’est pas la différence, mais la valeur qu’on lui accorde. Et de ce point de vue, Egalia est le produit d’un échec intellectuel: incapable de promouvoir l’égalité dans l’altérité, il efface l’altérité. Il jette le bébé avec l’eau du bain. Accepter les différences en les respectant est un progrès de civilisation. Nier les différences est un recul intellectuel et relationnel.
On est devant un totalitarisme rampant, qui veut nous faire tou-te-s semblables. Alors allons au bout si c'est cela que l'on veut: plus de disciplines sportives séparées. Femmes et hommes ensemble au 100 mètres, ou au tennis, par exemple. Plus de vestiaires séparés, ni de toilettes non mixtes. Plus de prénoms masculins ou féminins. Nous nous appellerons tous ami Claude ou ami Dominique. Plus de robes ou de jupes.
Que l’on refuse l’obligation des destins tout tracés, j’en suis. Mais ici je pense que la méthode n’est pas la bonne. La différence est nécessaire à la vie, dans les relations humaines comme en biologie. Sans différence la vie même n’existe pas.
A lire sur le féminisme: Féminista ras-le-bol!
http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2011/06/29/suede-egalia-un-pas-vers-la-folie.html
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Femme libérée en action, les cougars
Le phénomène des cougars en France, mythe ou réalité ?
stephanezagbai / 26 janvier 2015
Elles ont plus de 40 ans et préfèrent les jeunes hommes. Décryptage de ce phénomène qui, parfois, affole les médias.
La femme cougar attise toutes les passions depuis quelques années en France. Cette femme libérée de plus de 40 ans est à la recherche de plaisir et de détente avec des jeunes hommes. Un engouement qui a été lancé principalement par le milieu du showbusiness où on compte de nombreuses femmes cougars. Mais ces prédatrices existent depuis toujours et elles sont réelles contrairement à ce qu’on pourrait nous faire penser.
La femme cougar à l’assaut des bars, cafés et restaurants
Le terrain de chasse privilégié des femmes cougars est assurément les boîtes de nuits et les bars des grandes villes. Certains sites dressent une liste des meilleurs endroits pour la gente intéressée par ce type de rencontre. On y découvre de nombreux endroits où se retrouvent des femmes mûres pour chasser de jeunes mâles dans la fleur de l’âge. Au delà de ces quelques endroits mythiques, il existe de nombreuses soirées spéciales “cougars” organisées par des boîtes ou club dansants. Il n’y a qu’à s’y rendre pour constater que la rencontre cougar existe belle et bien. » j’avais 25 ans et elle 60 ans. Je l’ai rencontré dans un bar, elle m’a approché et en quelques jours ça a collé » témoigne Jean-pierre, jeune étudiant parisien.
Les sites de rencontres cougars
Pour les moins aventuriers, un marché s’est considérablement développé avec l’essor de ce phénomène : la rencontre cougar sur internet. En quelques clics, moyennant quelques euros, vous pourrez vous inscrire sur un site spécialisé pour ce type de rencontre. Bon nombre d’entre eux sont toutefois des arnaques. Il convient d’être prudent et de bien se renseigner à l’avance. Sans quoi vous payerez pour un site désert sur lequel vous serez racolé par des animatrices qui ne sont en aucun cas à la recherche d’une rencontre.
En France, les nouveaux couples cougars émergent doucement. Selon un sondage de l’INSEE , aujourd’hui la femme est plus âgée dans 20% des unions, contre 11% dans les années 1950. Souvent l’écart est imperceptible. Les femmes convolent plus facilement avec des hommes bien plus jeunes qu’elles. Selon Martine, 60 ans, ‘‘les femmes âgées sont beaucoup rattrapées par la solitude. Après une période d’euphorie, certaines se focalisent sur leurs rides et imperfections et jugent leur histoire certaine. Les cougars restent d’ailleurs l’exception, parce qu’elles rajeunissent deux fois plus vite »
L’INSEE comptait 1% d’unions avec une femme de huit ans plus âgée que son conjoint en 2006 ( contre 3% pour les hommes). Une proportion qui pourrait augmenter ou connaître une visibilité nouvelle, à l’heure où les tabous régressent.
Stéphane Zagb
https://linfosteur.wordpress.com/2015/01/26/le-phenomene-des-cougars-en-france-mythe-ou-realite/
stephanezagbai / 26 janvier 2015
Elles ont plus de 40 ans et préfèrent les jeunes hommes. Décryptage de ce phénomène qui, parfois, affole les médias.
La femme cougar attise toutes les passions depuis quelques années en France. Cette femme libérée de plus de 40 ans est à la recherche de plaisir et de détente avec des jeunes hommes. Un engouement qui a été lancé principalement par le milieu du showbusiness où on compte de nombreuses femmes cougars. Mais ces prédatrices existent depuis toujours et elles sont réelles contrairement à ce qu’on pourrait nous faire penser.
La femme cougar à l’assaut des bars, cafés et restaurants
Le terrain de chasse privilégié des femmes cougars est assurément les boîtes de nuits et les bars des grandes villes. Certains sites dressent une liste des meilleurs endroits pour la gente intéressée par ce type de rencontre. On y découvre de nombreux endroits où se retrouvent des femmes mûres pour chasser de jeunes mâles dans la fleur de l’âge. Au delà de ces quelques endroits mythiques, il existe de nombreuses soirées spéciales “cougars” organisées par des boîtes ou club dansants. Il n’y a qu’à s’y rendre pour constater que la rencontre cougar existe belle et bien. » j’avais 25 ans et elle 60 ans. Je l’ai rencontré dans un bar, elle m’a approché et en quelques jours ça a collé » témoigne Jean-pierre, jeune étudiant parisien.
Les sites de rencontres cougars
Pour les moins aventuriers, un marché s’est considérablement développé avec l’essor de ce phénomène : la rencontre cougar sur internet. En quelques clics, moyennant quelques euros, vous pourrez vous inscrire sur un site spécialisé pour ce type de rencontre. Bon nombre d’entre eux sont toutefois des arnaques. Il convient d’être prudent et de bien se renseigner à l’avance. Sans quoi vous payerez pour un site désert sur lequel vous serez racolé par des animatrices qui ne sont en aucun cas à la recherche d’une rencontre.
En France, les nouveaux couples cougars émergent doucement. Selon un sondage de l’INSEE , aujourd’hui la femme est plus âgée dans 20% des unions, contre 11% dans les années 1950. Souvent l’écart est imperceptible. Les femmes convolent plus facilement avec des hommes bien plus jeunes qu’elles. Selon Martine, 60 ans, ‘‘les femmes âgées sont beaucoup rattrapées par la solitude. Après une période d’euphorie, certaines se focalisent sur leurs rides et imperfections et jugent leur histoire certaine. Les cougars restent d’ailleurs l’exception, parce qu’elles rajeunissent deux fois plus vite »
L’INSEE comptait 1% d’unions avec une femme de huit ans plus âgée que son conjoint en 2006 ( contre 3% pour les hommes). Une proportion qui pourrait augmenter ou connaître une visibilité nouvelle, à l’heure où les tabous régressent.
Stéphane Zagb
https://linfosteur.wordpress.com/2015/01/26/le-phenomene-des-cougars-en-france-mythe-ou-realite/
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
AFFAIRES FAMILIALES &_DROITS_DES_ENFANTS
EXCLUSION PARENTALE et ALIENATION PARENTALE – Maltraitance_psychologique – Enfant-otage / Enfant-soldat https://affairesfamiliales.wordpress.com
Divorce / Séparation : 1 enfant sur 3 ne voit plus jamais son père ! (INSEE, INED)
10 février 2012 par AffairesFamiliales
Vers une société d’aliénés ?
Compte tenu de ces statistiques, on peut considérer qu’il s’agisse d’un problème sanitaire majeur avec des répercussions sociales à long terme. L’exclusion parentale conduit à une déstructuration psychologique de l’enfant avec des répercussions à long terme, pour l’enfant mais aussi pour la société…
.
.
Les vrais chiffres du divorce et de la séparation en France
(INED, INSEE, Ministère de l’Intérieur, …)
La famille française (ou ce qu’il en reste)
.
155 253 divorces (2006) dont 70.000 divorces impliquant des enfants mineurs (3 X plus de divortialité qu’en 1970)
20% de familles monoparentale (2008) contre 12.5% (1990) – femme dans 85% des cas (cf. tableau – Insee)
Les époux sont condamnés aux torts dans les 4 / 5 des divorces pour faute (contre 1/5 pour les épouses qui sont demanderesses du divorce dans 3 cas sur 4)
INSEE, soure « divorce « en forte augmentation »
34 % de ces enfants ne voient plus jamais leur père et seulement 42% d’enfants le voit au moins 1 fois par mois !?
(Rapport num 2832 Assemblée Nationale – "Mission d’information sur la famille et les droits de l’enfant" – p 212 – 25/01/2006 )
Selon l’Ined, seules 15% de familles monoparentales sont constituées par le père.
Au total, 1,3 million de pères seraient privés de leur enfant.
.INED, source
.
25.845 plaintes (2009) pour non représentation de l’enfant (NRE) (+ 43% sur 10 ans) [+ d’infos sur les N.R.E ici]
qui donnent lieu à des poursuites dans 16.4% des cas dont 4.5% de condamnations (et 11,9% de médiations pénales)
Une situation qui tend à s’aggraver : "27 000 plaintes (2011) pour «non-représentation» et 150 000 mains courantes par an ! " (Ined via marianne.net)
.MINISTERE DE L’INTERIEUR, source : Ministère de l’Intérieur, 2010 via ACALPA
.
Les PROS sonnent l’alarme !
Autres statistiques
2,24 millions d’enfants avec des parents divorcés soit 16 % des français âgés de moins de 18 ans.- 140 000 divorces et environ 350 000 séparations.
(cf. article « Enfants sans pères et sans repères »)
270 000 hommes victimes (déclarées) de violences conjugales en France, 2010 (violences conjugales, les non-dits)
ONDRP Observatoire National de la Délinquance , 2011
(cf. articles « Hommes battus ca existe ?« )
18 000 enfants victimes d’Aliénation Parentale (maltraitance psychologique) (6% à 13% des divorces)
(cf. article « Ces enfants que le divorce rend fou« )
.
La famille disloquée
Séparations : quel effet sur la structure familiale ?
« Plus l’enfant majeur de l’union rompue a cessé de vivre tôt avec ses parents, moins il les voit" (Résumé Insee 2005 enquête Erfi – version imprimable)
"Les ouvriers et employés séparés ont des relations moins fréquentes avec leurs enfants majeurs que les pères de milieux plus aisés. Ainsi, 46 % des enfants majeurs dont le père est ouvrier ou employé non qualifié ne le voient jamais, contre 13 % pour les enfants de cadres. Quand le couple parental est rompu, les enfants majeurs vivent plus loin de leurs parents. Bien que la distance pénalise tous les pères, les ouvriers et employés ont plus de mal à surmonter cet obstacle. Par ailleurs, la moitié des enfants majeurs d’une union rompue ont cessé de vivre sous le même toit que leur père avant leurs dix-huit ans ; les relations sont alors plus distendues. " (Résumé Insee 2005 enquête Erfi – version imprimable)
Une situation qui s’aggrave avec le temps écoulé depuis la séparation, l’éloignement géographique, la situation socio-professionelle du parent et d’autant si l’enfant était jeune au moment de la séparation.
.
La famille monoparentale
Un model "dégénérationnel" ?
.
Les familles monoparentales en constante augmentation . 12,4% en 1990 et 20,9% en 2009 (femmes avec enfants dans 85% des cas)
La famille monocellulaire
Des individus de plus en plus isolés…
.
La taille des familles réduite à peau de chagrin… (Des individus de plus en plus isolés dans un contexte économique défavorable et où a contrario la famille aurait pu représenter, le premier niveau de solidarité naturelle. Plutôt qu’à les laisser seuls directement sous la coupe d’un Etat qui ne cesse de se désengager (coupures budgétaires, retraites, sécurité, emploi, etc.. )
.
Que dire de ces chiffres ?
L’inaction pour enrayer cette situation ?
.
souffrances familiales face à l’inertie politique
Ces statistiques font froid dans le dos. L’absence manifeste d’une prise de conscience des autorités politiques face à ce problème sanitaire et l’inertie dans laquelle la société s’est plongée au cours des dernières décennies, témoigne soit d’une incompétence éloquente, soit d’un grave problème de remontée de l’information, ou alors d’une volonté (consciente ou non) de déstructuration de la cellule famiale et par voie de conséquence de la société toute entière puisqu’elle en est le pillier…
[cf. article « Les souffrances familiales face à l’inertie politique « ]
Cette dislocation prenant sa source dès la séparation du couple avec enfant(s), il faut donc s’attaquer à la racine du mal et favoriser le maintien du lien (ou à défaut ne plus encourager sa rupture).
Il faut donc mettre en place un cadre qui encourage la proximité du couple parental. Se soucier de l’intérêt de l’enfant, c’est prendre en compte cette réalité et agir ! Définir « une zone parentale pour le couple parental » paraîtrait une solution judicieuse (à défaut d’espérer voir les couples se maintenir en union, le temps nécessaire à l’éducation). Les parents seraient alors toujours libre de s’éloigner, mais comme ils mettent ainsi à mal le droit de l’enfant de "maintenir ses liens avec ses deux parents" : ils ne seraient plus encouragés à le faire. Celui des deux parents responsable de cet éloignement devra garantir le maintien du lien et assumer les contraintes liées à la nouvelle situation qu’il aura lui même imposé (frais de transport, redéfinition du mode de garde,…)
Quelles perspectives pour les parents exclus ?
Quels moyens d’action restent-ils
aux parents indûment séparés de leur(s) enfant(s) ?
https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/02/10/societe-alienee-insee-34-des-enfants-ne-voient-plus-jamais-leur-pere/
EXCLUSION PARENTALE et ALIENATION PARENTALE – Maltraitance_psychologique – Enfant-otage / Enfant-soldat https://affairesfamiliales.wordpress.com
Divorce / Séparation : 1 enfant sur 3 ne voit plus jamais son père ! (INSEE, INED)
10 février 2012 par AffairesFamiliales
Vers une société d’aliénés ?
Compte tenu de ces statistiques, on peut considérer qu’il s’agisse d’un problème sanitaire majeur avec des répercussions sociales à long terme. L’exclusion parentale conduit à une déstructuration psychologique de l’enfant avec des répercussions à long terme, pour l’enfant mais aussi pour la société…
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Les vrais chiffres du divorce et de la séparation en France
(INED, INSEE, Ministère de l’Intérieur, …)
La famille française (ou ce qu’il en reste)
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155 253 divorces (2006) dont 70.000 divorces impliquant des enfants mineurs (3 X plus de divortialité qu’en 1970)
20% de familles monoparentale (2008) contre 12.5% (1990) – femme dans 85% des cas (cf. tableau – Insee)
Les époux sont condamnés aux torts dans les 4 / 5 des divorces pour faute (contre 1/5 pour les épouses qui sont demanderesses du divorce dans 3 cas sur 4)
INSEE, soure « divorce « en forte augmentation »
34 % de ces enfants ne voient plus jamais leur père et seulement 42% d’enfants le voit au moins 1 fois par mois !?
(Rapport num 2832 Assemblée Nationale – "Mission d’information sur la famille et les droits de l’enfant" – p 212 – 25/01/2006 )
Selon l’Ined, seules 15% de familles monoparentales sont constituées par le père.
Au total, 1,3 million de pères seraient privés de leur enfant.
.INED, source
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25.845 plaintes (2009) pour non représentation de l’enfant (NRE) (+ 43% sur 10 ans) [+ d’infos sur les N.R.E ici]
qui donnent lieu à des poursuites dans 16.4% des cas dont 4.5% de condamnations (et 11,9% de médiations pénales)
Une situation qui tend à s’aggraver : "27 000 plaintes (2011) pour «non-représentation» et 150 000 mains courantes par an ! " (Ined via marianne.net)
.MINISTERE DE L’INTERIEUR, source : Ministère de l’Intérieur, 2010 via ACALPA
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Les PROS sonnent l’alarme !
Autres statistiques
2,24 millions d’enfants avec des parents divorcés soit 16 % des français âgés de moins de 18 ans.- 140 000 divorces et environ 350 000 séparations.
(cf. article « Enfants sans pères et sans repères »)
270 000 hommes victimes (déclarées) de violences conjugales en France, 2010 (violences conjugales, les non-dits)
ONDRP Observatoire National de la Délinquance , 2011
(cf. articles « Hommes battus ca existe ?« )
18 000 enfants victimes d’Aliénation Parentale (maltraitance psychologique) (6% à 13% des divorces)
(cf. article « Ces enfants que le divorce rend fou« )
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La famille disloquée
Séparations : quel effet sur la structure familiale ?
« Plus l’enfant majeur de l’union rompue a cessé de vivre tôt avec ses parents, moins il les voit" (Résumé Insee 2005 enquête Erfi – version imprimable)
"Les ouvriers et employés séparés ont des relations moins fréquentes avec leurs enfants majeurs que les pères de milieux plus aisés. Ainsi, 46 % des enfants majeurs dont le père est ouvrier ou employé non qualifié ne le voient jamais, contre 13 % pour les enfants de cadres. Quand le couple parental est rompu, les enfants majeurs vivent plus loin de leurs parents. Bien que la distance pénalise tous les pères, les ouvriers et employés ont plus de mal à surmonter cet obstacle. Par ailleurs, la moitié des enfants majeurs d’une union rompue ont cessé de vivre sous le même toit que leur père avant leurs dix-huit ans ; les relations sont alors plus distendues. " (Résumé Insee 2005 enquête Erfi – version imprimable)
Une situation qui s’aggrave avec le temps écoulé depuis la séparation, l’éloignement géographique, la situation socio-professionelle du parent et d’autant si l’enfant était jeune au moment de la séparation.
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La famille monoparentale
Un model "dégénérationnel" ?
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Les familles monoparentales en constante augmentation . 12,4% en 1990 et 20,9% en 2009 (femmes avec enfants dans 85% des cas)
La famille monocellulaire
Des individus de plus en plus isolés…
.
La taille des familles réduite à peau de chagrin… (Des individus de plus en plus isolés dans un contexte économique défavorable et où a contrario la famille aurait pu représenter, le premier niveau de solidarité naturelle. Plutôt qu’à les laisser seuls directement sous la coupe d’un Etat qui ne cesse de se désengager (coupures budgétaires, retraites, sécurité, emploi, etc.. )
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Que dire de ces chiffres ?
L’inaction pour enrayer cette situation ?
.
souffrances familiales face à l’inertie politique
Ces statistiques font froid dans le dos. L’absence manifeste d’une prise de conscience des autorités politiques face à ce problème sanitaire et l’inertie dans laquelle la société s’est plongée au cours des dernières décennies, témoigne soit d’une incompétence éloquente, soit d’un grave problème de remontée de l’information, ou alors d’une volonté (consciente ou non) de déstructuration de la cellule famiale et par voie de conséquence de la société toute entière puisqu’elle en est le pillier…
[cf. article « Les souffrances familiales face à l’inertie politique « ]
Cette dislocation prenant sa source dès la séparation du couple avec enfant(s), il faut donc s’attaquer à la racine du mal et favoriser le maintien du lien (ou à défaut ne plus encourager sa rupture).
Il faut donc mettre en place un cadre qui encourage la proximité du couple parental. Se soucier de l’intérêt de l’enfant, c’est prendre en compte cette réalité et agir ! Définir « une zone parentale pour le couple parental » paraîtrait une solution judicieuse (à défaut d’espérer voir les couples se maintenir en union, le temps nécessaire à l’éducation). Les parents seraient alors toujours libre de s’éloigner, mais comme ils mettent ainsi à mal le droit de l’enfant de "maintenir ses liens avec ses deux parents" : ils ne seraient plus encouragés à le faire. Celui des deux parents responsable de cet éloignement devra garantir le maintien du lien et assumer les contraintes liées à la nouvelle situation qu’il aura lui même imposé (frais de transport, redéfinition du mode de garde,…)
Quelles perspectives pour les parents exclus ?
Quels moyens d’action restent-ils
aux parents indûment séparés de leur(s) enfant(s) ?
https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/02/10/societe-alienee-insee-34-des-enfants-ne-voient-plus-jamais-leur-pere/
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Inscription : 24/04/2015
Feminisme, voici leur maitre...
Lisez cet article, voyez qu'elle est le véritable maitre du feminisme...
Le plan lose du week-end de Pâques : la soirée sataniste des Femens
Vous trouvez la chasse aux œufs ringarde ? Passer le week-end de Pâques avec vos proches désuet ? L’idée d’un barbecue entre amis vous fait frémir ? Surtout si la dominance masculine s’exerce pour faire cuire la viande ?
Les Femen ont pensé à vous, si nombreuses. Ce dimanche de Pâques, une soirée « endiablée » est prévue pour fêter l’ouverture de leur nouveau local à Clichy.
Programme des réjouissances ? « Messe sataniste, bûcher de merguez, coups de fouet, débats infernaux, musique païenne et blasphème à tous les étages. » Le squat en question ne possède pas de sonnette, mais il est indiqué qu’il suffira de crier « gloire à satan » pour que l’on vous ouvre…
À l’issue de cette attrayante soirée sera organisé un camp d’entraînement de cinq jours afin de pouvoir mener la « guerre féministe sainte », entraînements physiques, ateliers sur le féminisme à la clef – ou comment essayer de se donner une crédibilité.
Cette pendaison de crémaillère à l’ambiance provocatrice et blasphématoire n’est qu’une énième illustration de la vacuité de la pensée Femen, qui semble ne pouvoir se définir qu’en opposition à ce qu’il est le plus facile d’attaquer : la religion, et plus précisément la religion catholique.
Lire la suite de l’article sur bvoltaire.fr
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-plan-lose-du-week-end-de-Paques-la-soiree-sataniste-des-Femen-24812.html
Le plan lose du week-end de Pâques : la soirée sataniste des Femens
Vous trouvez la chasse aux œufs ringarde ? Passer le week-end de Pâques avec vos proches désuet ? L’idée d’un barbecue entre amis vous fait frémir ? Surtout si la dominance masculine s’exerce pour faire cuire la viande ?
Les Femen ont pensé à vous, si nombreuses. Ce dimanche de Pâques, une soirée « endiablée » est prévue pour fêter l’ouverture de leur nouveau local à Clichy.
Programme des réjouissances ? « Messe sataniste, bûcher de merguez, coups de fouet, débats infernaux, musique païenne et blasphème à tous les étages. » Le squat en question ne possède pas de sonnette, mais il est indiqué qu’il suffira de crier « gloire à satan » pour que l’on vous ouvre…
À l’issue de cette attrayante soirée sera organisé un camp d’entraînement de cinq jours afin de pouvoir mener la « guerre féministe sainte », entraînements physiques, ateliers sur le féminisme à la clef – ou comment essayer de se donner une crédibilité.
Cette pendaison de crémaillère à l’ambiance provocatrice et blasphématoire n’est qu’une énième illustration de la vacuité de la pensée Femen, qui semble ne pouvoir se définir qu’en opposition à ce qu’il est le plus facile d’attaquer : la religion, et plus précisément la religion catholique.
Lire la suite de l’article sur bvoltaire.fr
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-plan-lose-du-week-end-de-Paques-la-soiree-sataniste-des-Femen-24812.html
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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8 mars: journée le la femme communiste
Le 8 mars, journée prolétarienne et communiste
(«le prolétaire»; N° 510; Déc. 2013 / Janv. - Mars 2014)
Au congrès de la Deuxième Internationale qui se tint à Copenhague en août septembre 1910, le 8 mars fut choisi, sur une proposition de Rosa Luxemburg et de Clara Zetkin, comme journée internationale des femmes prolétaires: il s’agissait donc d’une «fête» analogue au 1er mai. Et, comme le 1er mai, elle trouve son origine dans un épisode sanglant de la lutte de classe.
Deux années auparavant, en 1908, les ouvrières de l’usine Cotton, à New York, s’étaient mises en grève, et le patron avait riposté en les enfermant dans l’établissement. Le 8 mars, pour une raison inconnue, le feu ravagea l’usine, les ouvrières furent prises au piège et 129 périrent carbonisées.
Par la suite, le 8 mars devint une date importante dans la lutte de classe.
Le 8 mars 1917 (le 23 février selon le vieux calendrier russe), commence la révolution de février qui conduit au renversement du tsarisme, et voit la participation massive des ouvrières et des femmes prolétaires. Voici ce qu’en dit Trotsky, dans son Histoire de la Révolution russe : «En fait, il est donc établi que la Révolution de Février fut déclenchée par les éléments de base [...] et que l’initiative fut spontanément prise par un contingent du prolétariat exploité et opprimé plus que tous les autres - les travailleurs du textile, au nombre desquels, doit-on penser, l’on devait compter pas mal de femmes de soldats. La dernière impulsion vint des interminables séances d’attente aux portes des boulangeries. Le nombre des grévistes, femmes et hommes fut, ce jour là, d’environ 90.000 [..]. Une foule de femmes, qui n’étaient pas toutes des ouvrières, se dirigea vers la Douma municipale pour réclamer du pain [...]. La «Journée des femmes» avait réussi, elle avait été pleine d’entrain et n’avait pas causé de victimes».
L’importance de l’apport des femmes à la révolution est confirmée par le quotidien bolchevik la Pravda du 18 mars 1917, qui apporte ce témoignage: «Les femmes étaient plus que jamais combatives, et pas seulement les travailleuses, mais aussi les masses de femmes qui faisaient la queue pour le pain ou le pétrole. Elles organisèrent des meetings, se réunirent dans la rue et se dirigèrent vers la Douma municipale, pour demander du pain; elles arrêtèrent les tramways: «descendez, camarades!» criaient-elles; elles allèrent ainsi devant les usines et les bureaux et firent cesser le travail. Ce fut dans l’ensemble une journée resplendissante, et la température révolutionnaire commença dès lors à monter.» La Pravda poursuit le 19 mars: «les femmes descendirent les premières dans les rues de Petersburg. Bien plus, à Moscou, ce sont elles qui décidèrent dans bien des cas du sort de la troupe. Elles entrèrent dans les casernes et convainquirent les soldats de passer du côté de la révolution. Aux temps désolés de la guerre, les femmes avaient enduré d’inimaginables souffrances. Affligées par le départ des leurs au front, préoccupées par les enfants qui souffraient de la faim, les femmes ne cédèrent pas au désespoir. Elles brandirent le drapeau de la révolution».
Le 8 mars entre donc dans la tradition de la lutte prolétarienne; il est indissolublement lié à des épisodes inoubliables de la lutte de classe révolutionnaire.
* * *
Aujourd’hui, après la tempête contre-révolutionnaire qui a détruit le parti révolutionnaire international du prolétariat et, en même temps, toutes les traditions prolétariennes, le caractère prolétarien et communiste du 8 mars est oublié.
Pendant des années et des années, les Unions de Femmes liées aux partis nationaux-communistes ont fêté cette journée au nom du progrès social dont nous jouirions, au nom des «conquêtes obtenues» et des lois approuvées au Parlement. Non pas journée de lutte mais de distractions, soirées dansantes, fêtes d’enfants, projections de films, journée de propagande réformiste. L’ONU elle-même a adopté cette date, et elle fête le 8 mars avec une démagogie révoltante.
Les féministes de leur côté, célèbrent le 8 mars comme journée, non de la prolétaire, mais de la femme en général, ou mieux de la ménagère. Et pour faire leur cette journée elles doivent en altérer le sens; c’est ainsi que, selon elles, les femmes luttèrent dans la révolution russe pour le mariage civil, les lois sur l’égalisation des droits des enfants légitimes naturels, sur le divorce, les congés de maternité, sur la libéralisation de la contraception et de l’avortement. Ce n’est pas vrai! Affirmer que les femmes russes luttèrent seulement pour cela, revient à ravaler leur lutte au simple niveau de revendications réformistes bourgeoises. Les prolétaires russes ne luttèrent pas seulement contre le mariage religieux ou l’infériorité juridique, mais contre tout l’ordre social existant qui déterminait aussi ces contradictions; elles ne luttèrent pas seulement pour l’égalité juridique et une série de droits, ou pire, pour un prétendu bien-être social, mais surtout pour contribuer’ el l’assaut contre le capital international en vue d’un ordre social différent; et de cela, les plus avancées étaient parfaitement conscientes. C’est pour cela qu’elles furent capables de supporter de durs sacrifices encore pendant des années, comprenant que ce qu’elles avaient obtenu sur le plan juridique n’avait pas résolu leurs problèmes, qui étaient liés el la structure encore capitaliste (quand elle n’était pas plus arriérée) de la société russe, mais avait simplement mis en évidence les racines de leurs maux.
En souvenir des ouvrières de New York, de Petrograd et du monde entier, nous célébrons le 8 mars comme journée internationale de la femme prolétaire, comme journée prolétarienne et communiste. Et nous ne pourrions mieux faire que de publier dans ce journal un article de Lénine, du 4 mars 1921, consacré el la Journée internationale des travailleuses (Oeuvres, tome 32).
La Journée Internationale des travailleuses
Le trait essentiel, fondamental du bolchevisme et de la Révolution d’Octobre, c’est d’amener à la politique ceux qui étaient le plus opprimés sous le régime capitaliste. Les capitalistes les étouffaient, les dupaient et les pillaient aussi bien sous la monarchie que dans les républiques bourgeoises démocratiques. Cette oppression, cette duperie, ce pillage du labeur populaire étaient inévitables tant que subsistait la propriété privée de la terre, des fabriques et usines.
L’essence du bolchevisme du pouvoir soviétique est de remettre tout le pouvoir d’Etat entre les mains des masses laborieuses exploitées, en dévoilant la duperie et l’hypocrisie de la démocratie bourgeoise, en abolissant la propriété privée de la terre, des fabriques et des usines. Ce sont ces classes qui prennent en mains la politique, c’est-à-dire l’édification de la société nouvelle. C’est une œuvre difficile, les masses sont abruties et accablées par le capitalisme, mais il n’existe pas, il ne peut exister d’autre issue à l’esclavage salarié, à l’esclavage capitaliste.
On ne saurait amener les masses à la vie politique sans y attirer les femmes. Car en régime capitaliste, les femmes, la moitié de l’espèce humaine, sont doublement exploitées. L’ouvrière et la paysanne sont opprimées par le capital, et par surcroît, même dans les républiques bourgeoises les plus démocratiques, premièrement elles ne jouissent pas de tous les droits, car la loi ne leur confère pas l’égalité avec les hommes; deuxièmement, et c’est là l’essentiel, elles restent confinées dans l’«esclavage domestique», elles sont des «esclaves du foyer» accablées par les travaux ménagers, les plus mesquins, ingrats, durs et abrutissants, et en général par les tâches domestiques et familiales individuelles.
La révolution bolchevique, soviétique, coupe les racines de l’oppression et de l’inégalité des femmes de façon extrêmement profonde, comme aucun parti et aucune révolution du monde n’ont osé les couper. Chez nous, en Russie soviétique, il ne subsiste pas trace de l’inégalité des femmes par rapport aux hommes, au regard de la loi. Le régime des Soviets a totalement aboli l’inégalité odieuse, basse, hypocrite dans le droit matrimonial et familial, l’inégalité touchant l’enfant.
Ce n’est là que le premier pas vers l’émancipation de la femme. Aucun des pays bourgeois, même parmi les républiques les plus démocratiques, n’a osé faire ce premier pas. On n’a pas osé, par crainte de la «sacro-sainte propriété privée».
Le deuxième pas et le principal a été l’abolition de la propriété privée de la terre, des fabriques et des usines. C’est cela et cela seul qui fraye la voie de l’émancipation complète et véritable de la femme, l’abolition de l’«esclavage domestique» grâce à la substitution de la grande économie collective à l’économie domestique individuelle.
Cette transition est difficile; il s’agit de refondre l’«ordre de choses» le plus enraciné, coutumier, routinier, endurci (à la vérité, c’est plutôt une monstruosité, une barbarie). Mais cette transition est entreprise, l’impulsion est donnée, nous sommes engagés dans la nouvelle voie.
En cette journée internationale des ouvrières, on entendra dans les innombrables réunions des ouvrières de tous les pays du monde, saluer la Russie soviétique qui a amorcé une œuvre incroyablement dure et difficile, une grande œuvre universelle de libération véritable. Des appels galvanisant inciteront à ne pas perdre courage face à la réaction bourgeoise, furieuse, souvent même sauvage. Plus un pays bourgeois est «libre» ou «démocratique», et plus les bandes capitalistes sévissent avec fureur et sauvagerie contre la révolution des ouvriers; c’est le cas pour la République démocratique des Etats-Unis d’Amérique. Mais la masse ouvrière s’est déjà réveillée. La guerre impérialiste a définitivement éveillé les masses, endormies, somnolentes, inertes de l’Amérique, de l’Europe et de l’Asie arriérée.
La glace est brisée dans toutes les parties du monde.
L’affranchissement des peuples du joug impérialiste, l’affranchissement des ouvriers et des ouvrières du joug capitaliste avance irrésistiblement. Des dizaines et des centaines de millions d’ouvriers et de paysans, d’ouvrières et de paysannes ont fait progresser cette œuvre. Voilà pourquoi l’affranchissement du travail délivré de la servitude capitaliste triomphera dans le monde entier.
4 mars 1921.
N. LENINE.
Parti communiste international
www.pcint.org
http://www.pcint.org/03_LP/510/510_8-mars.htm
(«le prolétaire»; N° 510; Déc. 2013 / Janv. - Mars 2014)
Au congrès de la Deuxième Internationale qui se tint à Copenhague en août septembre 1910, le 8 mars fut choisi, sur une proposition de Rosa Luxemburg et de Clara Zetkin, comme journée internationale des femmes prolétaires: il s’agissait donc d’une «fête» analogue au 1er mai. Et, comme le 1er mai, elle trouve son origine dans un épisode sanglant de la lutte de classe.
Deux années auparavant, en 1908, les ouvrières de l’usine Cotton, à New York, s’étaient mises en grève, et le patron avait riposté en les enfermant dans l’établissement. Le 8 mars, pour une raison inconnue, le feu ravagea l’usine, les ouvrières furent prises au piège et 129 périrent carbonisées.
Par la suite, le 8 mars devint une date importante dans la lutte de classe.
Le 8 mars 1917 (le 23 février selon le vieux calendrier russe), commence la révolution de février qui conduit au renversement du tsarisme, et voit la participation massive des ouvrières et des femmes prolétaires. Voici ce qu’en dit Trotsky, dans son Histoire de la Révolution russe : «En fait, il est donc établi que la Révolution de Février fut déclenchée par les éléments de base [...] et que l’initiative fut spontanément prise par un contingent du prolétariat exploité et opprimé plus que tous les autres - les travailleurs du textile, au nombre desquels, doit-on penser, l’on devait compter pas mal de femmes de soldats. La dernière impulsion vint des interminables séances d’attente aux portes des boulangeries. Le nombre des grévistes, femmes et hommes fut, ce jour là, d’environ 90.000 [..]. Une foule de femmes, qui n’étaient pas toutes des ouvrières, se dirigea vers la Douma municipale pour réclamer du pain [...]. La «Journée des femmes» avait réussi, elle avait été pleine d’entrain et n’avait pas causé de victimes».
L’importance de l’apport des femmes à la révolution est confirmée par le quotidien bolchevik la Pravda du 18 mars 1917, qui apporte ce témoignage: «Les femmes étaient plus que jamais combatives, et pas seulement les travailleuses, mais aussi les masses de femmes qui faisaient la queue pour le pain ou le pétrole. Elles organisèrent des meetings, se réunirent dans la rue et se dirigèrent vers la Douma municipale, pour demander du pain; elles arrêtèrent les tramways: «descendez, camarades!» criaient-elles; elles allèrent ainsi devant les usines et les bureaux et firent cesser le travail. Ce fut dans l’ensemble une journée resplendissante, et la température révolutionnaire commença dès lors à monter.» La Pravda poursuit le 19 mars: «les femmes descendirent les premières dans les rues de Petersburg. Bien plus, à Moscou, ce sont elles qui décidèrent dans bien des cas du sort de la troupe. Elles entrèrent dans les casernes et convainquirent les soldats de passer du côté de la révolution. Aux temps désolés de la guerre, les femmes avaient enduré d’inimaginables souffrances. Affligées par le départ des leurs au front, préoccupées par les enfants qui souffraient de la faim, les femmes ne cédèrent pas au désespoir. Elles brandirent le drapeau de la révolution».
Le 8 mars entre donc dans la tradition de la lutte prolétarienne; il est indissolublement lié à des épisodes inoubliables de la lutte de classe révolutionnaire.
* * *
Aujourd’hui, après la tempête contre-révolutionnaire qui a détruit le parti révolutionnaire international du prolétariat et, en même temps, toutes les traditions prolétariennes, le caractère prolétarien et communiste du 8 mars est oublié.
Pendant des années et des années, les Unions de Femmes liées aux partis nationaux-communistes ont fêté cette journée au nom du progrès social dont nous jouirions, au nom des «conquêtes obtenues» et des lois approuvées au Parlement. Non pas journée de lutte mais de distractions, soirées dansantes, fêtes d’enfants, projections de films, journée de propagande réformiste. L’ONU elle-même a adopté cette date, et elle fête le 8 mars avec une démagogie révoltante.
Les féministes de leur côté, célèbrent le 8 mars comme journée, non de la prolétaire, mais de la femme en général, ou mieux de la ménagère. Et pour faire leur cette journée elles doivent en altérer le sens; c’est ainsi que, selon elles, les femmes luttèrent dans la révolution russe pour le mariage civil, les lois sur l’égalisation des droits des enfants légitimes naturels, sur le divorce, les congés de maternité, sur la libéralisation de la contraception et de l’avortement. Ce n’est pas vrai! Affirmer que les femmes russes luttèrent seulement pour cela, revient à ravaler leur lutte au simple niveau de revendications réformistes bourgeoises. Les prolétaires russes ne luttèrent pas seulement contre le mariage religieux ou l’infériorité juridique, mais contre tout l’ordre social existant qui déterminait aussi ces contradictions; elles ne luttèrent pas seulement pour l’égalité juridique et une série de droits, ou pire, pour un prétendu bien-être social, mais surtout pour contribuer’ el l’assaut contre le capital international en vue d’un ordre social différent; et de cela, les plus avancées étaient parfaitement conscientes. C’est pour cela qu’elles furent capables de supporter de durs sacrifices encore pendant des années, comprenant que ce qu’elles avaient obtenu sur le plan juridique n’avait pas résolu leurs problèmes, qui étaient liés el la structure encore capitaliste (quand elle n’était pas plus arriérée) de la société russe, mais avait simplement mis en évidence les racines de leurs maux.
En souvenir des ouvrières de New York, de Petrograd et du monde entier, nous célébrons le 8 mars comme journée internationale de la femme prolétaire, comme journée prolétarienne et communiste. Et nous ne pourrions mieux faire que de publier dans ce journal un article de Lénine, du 4 mars 1921, consacré el la Journée internationale des travailleuses (Oeuvres, tome 32).
La Journée Internationale des travailleuses
Le trait essentiel, fondamental du bolchevisme et de la Révolution d’Octobre, c’est d’amener à la politique ceux qui étaient le plus opprimés sous le régime capitaliste. Les capitalistes les étouffaient, les dupaient et les pillaient aussi bien sous la monarchie que dans les républiques bourgeoises démocratiques. Cette oppression, cette duperie, ce pillage du labeur populaire étaient inévitables tant que subsistait la propriété privée de la terre, des fabriques et usines.
L’essence du bolchevisme du pouvoir soviétique est de remettre tout le pouvoir d’Etat entre les mains des masses laborieuses exploitées, en dévoilant la duperie et l’hypocrisie de la démocratie bourgeoise, en abolissant la propriété privée de la terre, des fabriques et des usines. Ce sont ces classes qui prennent en mains la politique, c’est-à-dire l’édification de la société nouvelle. C’est une œuvre difficile, les masses sont abruties et accablées par le capitalisme, mais il n’existe pas, il ne peut exister d’autre issue à l’esclavage salarié, à l’esclavage capitaliste.
On ne saurait amener les masses à la vie politique sans y attirer les femmes. Car en régime capitaliste, les femmes, la moitié de l’espèce humaine, sont doublement exploitées. L’ouvrière et la paysanne sont opprimées par le capital, et par surcroît, même dans les républiques bourgeoises les plus démocratiques, premièrement elles ne jouissent pas de tous les droits, car la loi ne leur confère pas l’égalité avec les hommes; deuxièmement, et c’est là l’essentiel, elles restent confinées dans l’«esclavage domestique», elles sont des «esclaves du foyer» accablées par les travaux ménagers, les plus mesquins, ingrats, durs et abrutissants, et en général par les tâches domestiques et familiales individuelles.
La révolution bolchevique, soviétique, coupe les racines de l’oppression et de l’inégalité des femmes de façon extrêmement profonde, comme aucun parti et aucune révolution du monde n’ont osé les couper. Chez nous, en Russie soviétique, il ne subsiste pas trace de l’inégalité des femmes par rapport aux hommes, au regard de la loi. Le régime des Soviets a totalement aboli l’inégalité odieuse, basse, hypocrite dans le droit matrimonial et familial, l’inégalité touchant l’enfant.
Ce n’est là que le premier pas vers l’émancipation de la femme. Aucun des pays bourgeois, même parmi les républiques les plus démocratiques, n’a osé faire ce premier pas. On n’a pas osé, par crainte de la «sacro-sainte propriété privée».
Le deuxième pas et le principal a été l’abolition de la propriété privée de la terre, des fabriques et des usines. C’est cela et cela seul qui fraye la voie de l’émancipation complète et véritable de la femme, l’abolition de l’«esclavage domestique» grâce à la substitution de la grande économie collective à l’économie domestique individuelle.
Cette transition est difficile; il s’agit de refondre l’«ordre de choses» le plus enraciné, coutumier, routinier, endurci (à la vérité, c’est plutôt une monstruosité, une barbarie). Mais cette transition est entreprise, l’impulsion est donnée, nous sommes engagés dans la nouvelle voie.
En cette journée internationale des ouvrières, on entendra dans les innombrables réunions des ouvrières de tous les pays du monde, saluer la Russie soviétique qui a amorcé une œuvre incroyablement dure et difficile, une grande œuvre universelle de libération véritable. Des appels galvanisant inciteront à ne pas perdre courage face à la réaction bourgeoise, furieuse, souvent même sauvage. Plus un pays bourgeois est «libre» ou «démocratique», et plus les bandes capitalistes sévissent avec fureur et sauvagerie contre la révolution des ouvriers; c’est le cas pour la République démocratique des Etats-Unis d’Amérique. Mais la masse ouvrière s’est déjà réveillée. La guerre impérialiste a définitivement éveillé les masses, endormies, somnolentes, inertes de l’Amérique, de l’Europe et de l’Asie arriérée.
La glace est brisée dans toutes les parties du monde.
L’affranchissement des peuples du joug impérialiste, l’affranchissement des ouvriers et des ouvrières du joug capitaliste avance irrésistiblement. Des dizaines et des centaines de millions d’ouvriers et de paysans, d’ouvrières et de paysannes ont fait progresser cette œuvre. Voilà pourquoi l’affranchissement du travail délivré de la servitude capitaliste triomphera dans le monde entier.
4 mars 1921.
N. LENINE.
Parti communiste international
www.pcint.org
http://www.pcint.org/03_LP/510/510_8-mars.htm
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Feminisme et marxisme
Marxisme et féminisme
Le poids du stalinisme
C'est le discrédit que l'expérience historique du stalinisme a jeté sur les idées marxistes qui a permis aux théories du patriarcat de gagner une influence prépondérante dans les mouvements des femmes
Comme nous ne le savons que trop, les opprimé(e)s de différents groupes ne ressentent pas une solidarité automatique et ne comprennent pas automatiquement les besoins d’autres groupes opprimé(e)s. Ainsi par exemple, les premiers mouvements pour les droits civiques des Noirs n’étaient pas connus pour leur engagement enthousiaste contre l’oppression des femmes. Et les mouvements des femmes n’ont pas toujours soutenu les luttes syndicales. De la même façon, comme le souligne Trotsky : « L’expérience historique nous montre que même le prolétariat, déjà luttant contre les oppresseurs, est loin d’être prompt en fixant suffisamment d’attention sur la position opprimée de la femme en tant que femme au foyer, mère et épouse. Telle est la force terrible d’être accoutumé à l’esclavage familial de la femme 1 ».
Le fait que le mouvement ouvrier et les organisations révolutionnaires à majorité masculine n’aient pas souvent donné aux questions concernant les femmes l’importance qu’elles méritaient nous semble indiscutable2. Les intérêts identiques des hommes et femmes travailleurs signifient qu’il y a le potentiel pour une unité dans la lutte. Mais réaliser ce potentiel nécessite du travail.
Si les changements sociaux, et les mouvements des femmes depuis les années 1960 ont pu réintroduire dans les organisations révolutionnaires une prise en compte plus importante de cette oppression, les confusions théoriques ont amené bien des révolutionnaires à jeter le bébé (d’une analyse matérialiste) avec l’eau de bain (d’une sous-estimation de l’importance de l’oppression des femmes).
La révolution russe
Les révolutionnaires russes avaient entrepris un chemin qui aurait pu permettre, par une extension internationale de la révolution, d’éradiquer la base matérielle de l’oppression des femmes et, dans la mobilisation révolutionnaire de larges masses de salariées, remettre en cause tous les aspects de cette oppression. (Voir l’article de Stéphane Lanchon dans ce même dossier)
La contre-révolution stalinienne a cassé et éradiqué cette dynamique en Russie et au sein du mouvement communiste mondial. Pas seulement en Russie, mais partout dans le monde, les partis communistes subordonnèrent la lutte des femmes contre leur oppression aux exigences de l’Etat russe.
Dans les années 1920, le nouveau Parti communiste français tentait d’organiser la lutte contre l’oppression. Le PCF attira des « militantes chevronnées » de la lutte pour les droits des femmes, comme Madeleine Pelletier3. Malgré les préjugés de bien de militants hommes contre ce travail, une mobilisation des femmes et un journal des femmes, L’ouvrière, sont mis en place.
Le potentiel est énorme, mais au fur et à mesure qu’avance la contre-révolution en Russie, tout change. La mal nommée « bolchevisation » de tous les partis communistes du monde - en fait une stalinisation, une suppression graduelle de tout débat -, poussera en dehors du parti un grand nombre de dirigeantes de la lutte des femmes. Le travail sur la question de l’oppression des femmes implique nécessairement, dans un parti influencé par les préjugés contre les femmes, le débat le plus large possible pour convaincre. Il est donc normal que celles et ceux qui s’occupent de cette lutte soient les premiers à perdre espoir dans le parti. Quand en 1925, 250 militant(e)s signent une lettre de contestation de la direction du PCF, 10 % seront des femmes (quand seulement 3 à 4 % des adhérents sont des femmes).4
Des positions justes du PCF, en faveur de l’abrogation des lois réprimant l’avortement et la contraception, seront maintenues pendant encore quelques années. Mais ces positions de principe tomberont également sous la pression des besoins de la nouvelle classe dirigeante russe. Dans les années 1930, le Comité central du parti communiste (dont beaucoup d’intellectuels sont pourtant très engagés dans cette bataille), dénonce « les théories anarchisantes et petites bourgeoises » du contrôle des naissances.5 Paul Vaillant-Couturier écrira une série d’articles dans L’Humanité en 1935 sous le titre « Au secours de la famille ». Le PCF développe une politique famillialiste qui a peu à envier à celle de la droite 6 :
« Les communistes veulent hériter d’un pays fort, d’une race nombreuse. L’exemple de l’Union soviétique leur montre la route. Mais il faut, dès à présent, employer les vrais moyens de sauver la race. »7
La vision du socialisme se trouve par la même occasion transformée : « Dans une société bien organisée, la femme égale de l’homme pourrait à son gré, travailler ou demeurer à la maison, le salaire vital de l’homme devant être suffisant. »
C’est en toute logique que le Secrétariat femmes du parti est supprimé en 1936. En même temps qu’ils massacrent les révolutionnaires et leurs familles en URSS, les staliniens brisent le lien entre communisme officiel et libération des femmes.
Pendant la guerre et dans les années 1940, la direction du PCF, entièrement soumise aux priorités des classes dirigeantes russes et aux gaullistes (comme témoigne par exemple leur opposition aux grèves de 1947-1948), tout logiquement ne fait plus une priorité de combattre l’oppression.
En 1949, Jean Kanapa, intellectuel du PCF écrit, à propos du livre de Simone de Beauvoir, Le deuxième sexe, qu’il s’agit d’une « ordure qui soulève le cœur »8. Dans les années 1950, Jeannette Vermeersch fut connue pour ses prises de position violente en faveur de la politique familialiste du PCF, même si, à cette époque les dirigeants du PCF valorisent à nouveau le droit des femmes au travail salarié.
Nous ne pouvons pas ici détailler l’histoire de l’attitude ultérieure du PCF à l’égard des droits des femmes. Mais il est fondamental de comprendre que ce qui a mené le PCF à abandonner une bonne partie de la lutte des femmes pour leur émancipation n’est pas les préjugés des militants communistes hommes, même si ceux-là pouvaient être très ancrés. C’est la subordination du parti aux besoins de la classe dirigeante stalinienne qui a enterré cet idéal. Les dirigeants russes, déterminés à réaliser la révolution industrielle en Russie quel qu’en soit le prix, ont utilisé contre les femmes une idéologie familiale réactionnaire (tout comme les dirigeants de la révolution industrielle en Angleterre et en France un siècle auparavant).
L’utilisation par le PCF stalinien d’une caricature mensongère de l’analyse matérialiste marxiste pour défendre, indirectement, l’oppression des femmes, et la confusion omniprésente entre le stalinisme et son contraire, le marxisme, permit à d’autres théories, une fois la question ramenée sur la place publique, de critiquer et influencer assez largement la gauche révolutionnaire.
La gauche trotskyste, si elle a eu le mérite de résister à l’offensive familialiste du PCF, a tiré9 des conclusions confuses, et a en grande partie abandonnée l’analyse matérialiste de l’oppression10 .
Cette erreur des organisations trotskystes n’est pas limitée à cette seule question. L’abandon d’une analyse matérialiste rigoureuse était sous-jacente dans l’analyse d’une société russe stalinienne qui restait, malgré la dictature, un « Etat ouvrier », une société non capitaliste. Tout en dénonçant la dictature stalinienne, la Quatrième Internationale conservait la lettre et non l’esprit des analyses de Trotsky sur le pouvoir des travailleurs11.
Les illusions au sujet de la société russe, cubaine, et d’autres sociétés à économie nationalisée ont causé beaucoup de dégâts sur le plan théorique. En ce qui concerne l’oppression, la question qui se posait d’elle-même était « Si ces sociétés ne sont pas capitalistes, comment se fait-il que les femmes subissent encore une oppression similaire dans ses grands traits à l’oppression subie dans les sociétés capitalistes ? » Juliet Mitchell, théoricienne féministe anglaise, écrivit : « le renversement du capitalisme n’implique pas le renversement de l’idéologie patriarcale12 ».
Les théories qui voulaient expliquer cette oppression par l’existence d’un patriarcat ne pouvaient que gagner des adhérent(e)s.
Dans son article de 1970, L’ennemi principal, Christine Delphy pose comme motivation première de sa théorie le besoin de « trouver les raisons structurelles qui font que l’abolition des rapports de production capitaliste en soi ne suffit pas à libérer les femmes13 ».
Sur l’analyse de la gauche dans la société russe, elle écrit : « L’oppression des femmes là où le capitalisme en tant que tel a été détruit est attribuée à des causes purement idéologiques - ce qui implique une définition non-marxiste et idéaliste de l’idéologie comme un facteur pouvant subsister en l’absence d’une oppression matérielle qu’elle sert à rationaliser.»
L’identification de la société stalinienne avec la société socialiste est centrale à sa théorie.
L’idée d’un patriarcat autonome du capitalisme arrangeait également les militantes dans les mouvements des femmes qui étaient proches du PCF. Elles pouvaient d’un côté défendre la société russe en tant que « socialisme réellement existant » tout en expliquant l’oppression des femmes en Russie par la théorie d’une dynamique patriarcale autonome.
Ainsi, le rejet justifié du stalinisme a mené beaucoup à un rejet injustifié de la méthode marxiste et de l’analyse matérialiste. Mais une analyse matérialiste est cruciale. Si nous ne trouvons pas la base de l’oppression dans l’organisation de la société, nous laissons la porte grande ouverte pour d’autres interprétations.
John Mullen (LCR Montreuil)
http://revuesocialisme.pagesperso-orange.fr/s8stalinisme.html
____________________________
1 Léon Trotsky : « Construire le socialisme implique émanciper les femmes et protéger les mères » (1925)
2 Lorsqu’on lit aujourd’hui un livre comme celui d’Alain Krivine Questions sur la révolution (Editions Stock, 1973) on est très frappé par l’absence quasi-totale d’évocation de l’oppression des femmes.
3 Josette Trat, Aux racines de l’idéologie ‘familialiste’ du PCF, Dans « Cinquantenaire du Deuxième sexe » Recueil dirigé par C. Delphy et S. Chaperon Editions Syllepse 2002. Voir aussi la biographie de Madeleine Pelletier Madeleine Pelletier, une féministe dans l'arène politique, écrite par Charles Sowerwine et Claude Maignien, Editions de l’Atelier 1992
Le poids du stalinisme
C'est le discrédit que l'expérience historique du stalinisme a jeté sur les idées marxistes qui a permis aux théories du patriarcat de gagner une influence prépondérante dans les mouvements des femmes
Comme nous ne le savons que trop, les opprimé(e)s de différents groupes ne ressentent pas une solidarité automatique et ne comprennent pas automatiquement les besoins d’autres groupes opprimé(e)s. Ainsi par exemple, les premiers mouvements pour les droits civiques des Noirs n’étaient pas connus pour leur engagement enthousiaste contre l’oppression des femmes. Et les mouvements des femmes n’ont pas toujours soutenu les luttes syndicales. De la même façon, comme le souligne Trotsky : « L’expérience historique nous montre que même le prolétariat, déjà luttant contre les oppresseurs, est loin d’être prompt en fixant suffisamment d’attention sur la position opprimée de la femme en tant que femme au foyer, mère et épouse. Telle est la force terrible d’être accoutumé à l’esclavage familial de la femme 1 ».
Le fait que le mouvement ouvrier et les organisations révolutionnaires à majorité masculine n’aient pas souvent donné aux questions concernant les femmes l’importance qu’elles méritaient nous semble indiscutable2. Les intérêts identiques des hommes et femmes travailleurs signifient qu’il y a le potentiel pour une unité dans la lutte. Mais réaliser ce potentiel nécessite du travail.
Si les changements sociaux, et les mouvements des femmes depuis les années 1960 ont pu réintroduire dans les organisations révolutionnaires une prise en compte plus importante de cette oppression, les confusions théoriques ont amené bien des révolutionnaires à jeter le bébé (d’une analyse matérialiste) avec l’eau de bain (d’une sous-estimation de l’importance de l’oppression des femmes).
La révolution russe
Les révolutionnaires russes avaient entrepris un chemin qui aurait pu permettre, par une extension internationale de la révolution, d’éradiquer la base matérielle de l’oppression des femmes et, dans la mobilisation révolutionnaire de larges masses de salariées, remettre en cause tous les aspects de cette oppression. (Voir l’article de Stéphane Lanchon dans ce même dossier)
La contre-révolution stalinienne a cassé et éradiqué cette dynamique en Russie et au sein du mouvement communiste mondial. Pas seulement en Russie, mais partout dans le monde, les partis communistes subordonnèrent la lutte des femmes contre leur oppression aux exigences de l’Etat russe.
Dans les années 1920, le nouveau Parti communiste français tentait d’organiser la lutte contre l’oppression. Le PCF attira des « militantes chevronnées » de la lutte pour les droits des femmes, comme Madeleine Pelletier3. Malgré les préjugés de bien de militants hommes contre ce travail, une mobilisation des femmes et un journal des femmes, L’ouvrière, sont mis en place.
Le potentiel est énorme, mais au fur et à mesure qu’avance la contre-révolution en Russie, tout change. La mal nommée « bolchevisation » de tous les partis communistes du monde - en fait une stalinisation, une suppression graduelle de tout débat -, poussera en dehors du parti un grand nombre de dirigeantes de la lutte des femmes. Le travail sur la question de l’oppression des femmes implique nécessairement, dans un parti influencé par les préjugés contre les femmes, le débat le plus large possible pour convaincre. Il est donc normal que celles et ceux qui s’occupent de cette lutte soient les premiers à perdre espoir dans le parti. Quand en 1925, 250 militant(e)s signent une lettre de contestation de la direction du PCF, 10 % seront des femmes (quand seulement 3 à 4 % des adhérents sont des femmes).4
Des positions justes du PCF, en faveur de l’abrogation des lois réprimant l’avortement et la contraception, seront maintenues pendant encore quelques années. Mais ces positions de principe tomberont également sous la pression des besoins de la nouvelle classe dirigeante russe. Dans les années 1930, le Comité central du parti communiste (dont beaucoup d’intellectuels sont pourtant très engagés dans cette bataille), dénonce « les théories anarchisantes et petites bourgeoises » du contrôle des naissances.5 Paul Vaillant-Couturier écrira une série d’articles dans L’Humanité en 1935 sous le titre « Au secours de la famille ». Le PCF développe une politique famillialiste qui a peu à envier à celle de la droite 6 :
« Les communistes veulent hériter d’un pays fort, d’une race nombreuse. L’exemple de l’Union soviétique leur montre la route. Mais il faut, dès à présent, employer les vrais moyens de sauver la race. »7
La vision du socialisme se trouve par la même occasion transformée : « Dans une société bien organisée, la femme égale de l’homme pourrait à son gré, travailler ou demeurer à la maison, le salaire vital de l’homme devant être suffisant. »
C’est en toute logique que le Secrétariat femmes du parti est supprimé en 1936. En même temps qu’ils massacrent les révolutionnaires et leurs familles en URSS, les staliniens brisent le lien entre communisme officiel et libération des femmes.
Pendant la guerre et dans les années 1940, la direction du PCF, entièrement soumise aux priorités des classes dirigeantes russes et aux gaullistes (comme témoigne par exemple leur opposition aux grèves de 1947-1948), tout logiquement ne fait plus une priorité de combattre l’oppression.
En 1949, Jean Kanapa, intellectuel du PCF écrit, à propos du livre de Simone de Beauvoir, Le deuxième sexe, qu’il s’agit d’une « ordure qui soulève le cœur »8. Dans les années 1950, Jeannette Vermeersch fut connue pour ses prises de position violente en faveur de la politique familialiste du PCF, même si, à cette époque les dirigeants du PCF valorisent à nouveau le droit des femmes au travail salarié.
Nous ne pouvons pas ici détailler l’histoire de l’attitude ultérieure du PCF à l’égard des droits des femmes. Mais il est fondamental de comprendre que ce qui a mené le PCF à abandonner une bonne partie de la lutte des femmes pour leur émancipation n’est pas les préjugés des militants communistes hommes, même si ceux-là pouvaient être très ancrés. C’est la subordination du parti aux besoins de la classe dirigeante stalinienne qui a enterré cet idéal. Les dirigeants russes, déterminés à réaliser la révolution industrielle en Russie quel qu’en soit le prix, ont utilisé contre les femmes une idéologie familiale réactionnaire (tout comme les dirigeants de la révolution industrielle en Angleterre et en France un siècle auparavant).
L’utilisation par le PCF stalinien d’une caricature mensongère de l’analyse matérialiste marxiste pour défendre, indirectement, l’oppression des femmes, et la confusion omniprésente entre le stalinisme et son contraire, le marxisme, permit à d’autres théories, une fois la question ramenée sur la place publique, de critiquer et influencer assez largement la gauche révolutionnaire.
La gauche trotskyste, si elle a eu le mérite de résister à l’offensive familialiste du PCF, a tiré9 des conclusions confuses, et a en grande partie abandonnée l’analyse matérialiste de l’oppression10 .
Cette erreur des organisations trotskystes n’est pas limitée à cette seule question. L’abandon d’une analyse matérialiste rigoureuse était sous-jacente dans l’analyse d’une société russe stalinienne qui restait, malgré la dictature, un « Etat ouvrier », une société non capitaliste. Tout en dénonçant la dictature stalinienne, la Quatrième Internationale conservait la lettre et non l’esprit des analyses de Trotsky sur le pouvoir des travailleurs11.
Les illusions au sujet de la société russe, cubaine, et d’autres sociétés à économie nationalisée ont causé beaucoup de dégâts sur le plan théorique. En ce qui concerne l’oppression, la question qui se posait d’elle-même était « Si ces sociétés ne sont pas capitalistes, comment se fait-il que les femmes subissent encore une oppression similaire dans ses grands traits à l’oppression subie dans les sociétés capitalistes ? » Juliet Mitchell, théoricienne féministe anglaise, écrivit : « le renversement du capitalisme n’implique pas le renversement de l’idéologie patriarcale12 ».
Les théories qui voulaient expliquer cette oppression par l’existence d’un patriarcat ne pouvaient que gagner des adhérent(e)s.
Dans son article de 1970, L’ennemi principal, Christine Delphy pose comme motivation première de sa théorie le besoin de « trouver les raisons structurelles qui font que l’abolition des rapports de production capitaliste en soi ne suffit pas à libérer les femmes13 ».
Sur l’analyse de la gauche dans la société russe, elle écrit : « L’oppression des femmes là où le capitalisme en tant que tel a été détruit est attribuée à des causes purement idéologiques - ce qui implique une définition non-marxiste et idéaliste de l’idéologie comme un facteur pouvant subsister en l’absence d’une oppression matérielle qu’elle sert à rationaliser.»
L’identification de la société stalinienne avec la société socialiste est centrale à sa théorie.
L’idée d’un patriarcat autonome du capitalisme arrangeait également les militantes dans les mouvements des femmes qui étaient proches du PCF. Elles pouvaient d’un côté défendre la société russe en tant que « socialisme réellement existant » tout en expliquant l’oppression des femmes en Russie par la théorie d’une dynamique patriarcale autonome.
Ainsi, le rejet justifié du stalinisme a mené beaucoup à un rejet injustifié de la méthode marxiste et de l’analyse matérialiste. Mais une analyse matérialiste est cruciale. Si nous ne trouvons pas la base de l’oppression dans l’organisation de la société, nous laissons la porte grande ouverte pour d’autres interprétations.
John Mullen (LCR Montreuil)
http://revuesocialisme.pagesperso-orange.fr/s8stalinisme.html
____________________________
1 Léon Trotsky : « Construire le socialisme implique émanciper les femmes et protéger les mères » (1925)
2 Lorsqu’on lit aujourd’hui un livre comme celui d’Alain Krivine Questions sur la révolution (Editions Stock, 1973) on est très frappé par l’absence quasi-totale d’évocation de l’oppression des femmes.
3 Josette Trat, Aux racines de l’idéologie ‘familialiste’ du PCF, Dans « Cinquantenaire du Deuxième sexe » Recueil dirigé par C. Delphy et S. Chaperon Editions Syllepse 2002. Voir aussi la biographie de Madeleine Pelletier Madeleine Pelletier, une féministe dans l'arène politique, écrite par Charles Sowerwine et Claude Maignien, Editions de l’Atelier 1992
Dernière édition par Elysé le Jeu 28 Mai 2015 - 14:42, édité 1 fois (Raison : source)
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Un plan occulte de 1852 pour la vénération des femmes et l’affaiblissement des hommes ?
M. Comte vise à établir… un despotisme de la société sur l’individu, surpassant tout ce qui fut jamais conçu en termes de discipline politique la plus rigide par les anciens philosophes. – John Stuart Mill
Dans son Meilleur des Monde (1931), Aldous Huxley prévoit que les bébés seront un jour conçus dans des éprouvettes. Mais dès 1852, le philosophe Illuministe (Illuminati) Auguste Comte, formulait déjà dans ses écrits une vision similaire d’une refonte totale de la société. Selon lui, le progrès social nécessitait que la reproduction humaine « dépende uniquement de la femme ». Les hommes devaient ainsi être écartés de la famille.
« Si dans la reproduction humaine, la contribution de l’homme s’apparente à un simple stimulus, un accompagnement accidentel de la véritable utilité de son système reproducteur, alors il est tout à fait envisageable que nous puissions substituer à ce stimulus un ou plusieurs autres devant être mis librement à la disposition des femmes… »
Le but semble d’éliminer également l’attirance sexuelle.
« Les femmes, même de par leurs fonctions physiologiques, deviendront indépendantes des hommes… Le processus de reproduction de l’espèce ne sera plus à la merci d’un instinct capricieux et incontrôlable, dont le refrènement a été jusqu’ici le fondement de la discipline humaine. » (Système de Politique Positive, 1851-1854, Vol. IV, p. 60-61)
Faisant montre d’une prescience à vous donner le frisson, il écrit : « Une femme amie, bien choisie, désirant elle-même devenir un membre de la famille, ferait dans la plupart des cas mieux que le père lui-même. » (Vol. IV, p.195)
Les Illuminati croient pouvoir contrôler la société en « libérant les femmes » du mariage. Comte anticipe ici l’émergence de la « mère célibataire ».
« Ce changement parachèvera la juste émancipation des femmes, ainsi rendues complètement indépendantes des hommes, y compris physiquement, il ne sera donc plus possible de contester la pleine ascendance du sexe affectif sur les enfants, qui seront alors exclusivement les siens. » (Vol. IV, p. 244)
L’humanité ne formera plus qu’une seule famille de « descendants issus de mères sans maris. » (Vol. IV, p. 359)
LA VÉNÉRATION DE LA FEMME
Comte explique que la première étape nécessaire à la future « vénération de l’humanité » (l’Humanisme d’aujourd’hui), est de changer les femmes en déesses.
« En substituant les déesses aux dieux, nous sanctionnons la prééminence légitime des femmes… En un mot, la nouvelle doctrine instaurera la vénération de la Femme, publiquement et en privé, d’une manière bien plus parfaite que cela a jamais été possible. Il s’agit de la première étape permanente vers la vénération de l’humanité. » (Vol. 4, p. 446 ; Vol I, p. 205)
Tandis que Comte passe pour ne pas avoir été Franc-maçon lui-même, d’après certains, la philosophie du positivisme dont il est à l’origine : « a joué un rôle particulièrement important au sein de la Franc-maçonnerie française du 19ème siècle. Une des raisons de ce partenariat se trouvait dans la résistance politique du positivisme à l’égard des moyens autoritaires de la connaissance, notamment ceux de l’Église.
CONCLUSION
Grâce aux « Lumières », les Illuminati ont forgé le projet multi-générationnel d’arracher l’humanité à ses amarres naturelles et spirituelles, afin de la remodeler en une sorte de colonie pénitentiaire au service de leurs propres intérêts.
À la religion, qui permet de se conformer et d’obéir aux desseins du Créateur, les Illuministes ont substitué la religion de l’homme, c’est-à-dire l’Humanisme.
L’homme devient « son propre Dieu », tandis qu’il fait du monde un paradis. Cela n’est qu’une ruse pour le reconfigurer d’après les spécifications de l’élite. Auguste Comte est connu pour être le « père de la sociologie » – c’est la preuve que les sciences sociales n’ont pas d’autre but que d’établir une société totalitaire.
Substituer quoi que ce soit à Dieu, est d’ordre satanique. Auguste Comte est la preuve que les normes sociales modernes – l’idéalisation des femmes, la destruction du mariage et de la famille – ont des origines sataniques aux racines profondes et lointaines.
http://www.nouvelordremondial.cc/2014/11/22/un-plan-occulte-de-1852-pour-la-veneration-des-femmes-et-laffaiblissement-des-hommes/
M. Comte vise à établir… un despotisme de la société sur l’individu, surpassant tout ce qui fut jamais conçu en termes de discipline politique la plus rigide par les anciens philosophes. – John Stuart Mill
Dans son Meilleur des Monde (1931), Aldous Huxley prévoit que les bébés seront un jour conçus dans des éprouvettes. Mais dès 1852, le philosophe Illuministe (Illuminati) Auguste Comte, formulait déjà dans ses écrits une vision similaire d’une refonte totale de la société. Selon lui, le progrès social nécessitait que la reproduction humaine « dépende uniquement de la femme ». Les hommes devaient ainsi être écartés de la famille.
« Si dans la reproduction humaine, la contribution de l’homme s’apparente à un simple stimulus, un accompagnement accidentel de la véritable utilité de son système reproducteur, alors il est tout à fait envisageable que nous puissions substituer à ce stimulus un ou plusieurs autres devant être mis librement à la disposition des femmes… »
Le but semble d’éliminer également l’attirance sexuelle.
« Les femmes, même de par leurs fonctions physiologiques, deviendront indépendantes des hommes… Le processus de reproduction de l’espèce ne sera plus à la merci d’un instinct capricieux et incontrôlable, dont le refrènement a été jusqu’ici le fondement de la discipline humaine. » (Système de Politique Positive, 1851-1854, Vol. IV, p. 60-61)
Faisant montre d’une prescience à vous donner le frisson, il écrit : « Une femme amie, bien choisie, désirant elle-même devenir un membre de la famille, ferait dans la plupart des cas mieux que le père lui-même. » (Vol. IV, p.195)
Les Illuminati croient pouvoir contrôler la société en « libérant les femmes » du mariage. Comte anticipe ici l’émergence de la « mère célibataire ».
« Ce changement parachèvera la juste émancipation des femmes, ainsi rendues complètement indépendantes des hommes, y compris physiquement, il ne sera donc plus possible de contester la pleine ascendance du sexe affectif sur les enfants, qui seront alors exclusivement les siens. » (Vol. IV, p. 244)
L’humanité ne formera plus qu’une seule famille de « descendants issus de mères sans maris. » (Vol. IV, p. 359)
LA VÉNÉRATION DE LA FEMME
Comte explique que la première étape nécessaire à la future « vénération de l’humanité » (l’Humanisme d’aujourd’hui), est de changer les femmes en déesses.
« En substituant les déesses aux dieux, nous sanctionnons la prééminence légitime des femmes… En un mot, la nouvelle doctrine instaurera la vénération de la Femme, publiquement et en privé, d’une manière bien plus parfaite que cela a jamais été possible. Il s’agit de la première étape permanente vers la vénération de l’humanité. » (Vol. 4, p. 446 ; Vol I, p. 205)
Tandis que Comte passe pour ne pas avoir été Franc-maçon lui-même, d’après certains, la philosophie du positivisme dont il est à l’origine : « a joué un rôle particulièrement important au sein de la Franc-maçonnerie française du 19ème siècle. Une des raisons de ce partenariat se trouvait dans la résistance politique du positivisme à l’égard des moyens autoritaires de la connaissance, notamment ceux de l’Église.
CONCLUSION
Grâce aux « Lumières », les Illuminati ont forgé le projet multi-générationnel d’arracher l’humanité à ses amarres naturelles et spirituelles, afin de la remodeler en une sorte de colonie pénitentiaire au service de leurs propres intérêts.
À la religion, qui permet de se conformer et d’obéir aux desseins du Créateur, les Illuministes ont substitué la religion de l’homme, c’est-à-dire l’Humanisme.
L’homme devient « son propre Dieu », tandis qu’il fait du monde un paradis. Cela n’est qu’une ruse pour le reconfigurer d’après les spécifications de l’élite. Auguste Comte est connu pour être le « père de la sociologie » – c’est la preuve que les sciences sociales n’ont pas d’autre but que d’établir une société totalitaire.
Substituer quoi que ce soit à Dieu, est d’ordre satanique. Auguste Comte est la preuve que les normes sociales modernes – l’idéalisation des femmes, la destruction du mariage et de la famille – ont des origines sataniques aux racines profondes et lointaines.
http://www.nouvelordremondial.cc/2014/11/22/un-plan-occulte-de-1852-pour-la-veneration-des-femmes-et-laffaiblissement-des-hommes/
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
[mod]Message modéré. (Charte, art. 1)
Respect dans les échanges. Langage.[/mod]
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Sofoyal- Combat l'antechrist
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
https://www.dailymotion.com/video/x17n6d3_feminisme-ivg-et-pilule-complot-maconnique_news
Autres preuves parmis une multitude que les francs macons sont la cause de la femme dites"moderne" ou plutot à leur image
Autres preuves parmis une multitude que les francs macons sont la cause de la femme dites"moderne" ou plutot à leur image
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Femme libérée en action, les divorces ou le massacre des familles
http://www.liberation.fr/vous/2011/11/16/le-divorce-est-une-revendication-feminine_774970
http://www.elle.fr/Love-Sexe/Mon-mec-et-moi/Articles/Couple-pourquoi-ce-sont-les-femmes-qui-s-en-vont-406038
http://www.lalibre.be/actu/belgique/pourquoi-les-femmes-prennent-l-initiative-de-la-rupture-51b8e10ce4b0de6db9c49204
http://madame.lefigaro.fr/societe/quand-passion-faiblit-femmes-partent-071211-186904
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/213603-divorce-pourquoi-la-decision-vient-le-plus-souvent-des-femmes.html
http://www.elle.fr/Love-Sexe/Mon-mec-et-moi/Articles/Couple-pourquoi-ce-sont-les-femmes-qui-s-en-vont-406038
http://www.lalibre.be/actu/belgique/pourquoi-les-femmes-prennent-l-initiative-de-la-rupture-51b8e10ce4b0de6db9c49204
http://madame.lefigaro.fr/societe/quand-passion-faiblit-femmes-partent-071211-186904
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/213603-divorce-pourquoi-la-decision-vient-le-plus-souvent-des-femmes.html
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Bonjour,
En ce qui concerne le féminisme c'était voulu l'explication:
Aaron Russo - Rockefeller et Féminisme
En ce qui concerne le féminisme c'était voulu l'explication:
Aaron Russo - Rockefeller et Féminisme
Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Idéologie du Genre et féminisme : la fermeté de Mère Térésa
"La maternité est le don de Dieu fait aux femmes. Comme nous devons être reconnaissants à Dieu pour ce don qui apporte une si grande joie au monde entier, aux hommes comme aux femmes. Et pourtant ce don de la maternité, nous pouvons le détruire, et d'une façon toute spéciale par le mal de l'avortement, mais aussi par celui qui consiste à penser qu'il y a d'autres choses plus importantes que celle d'aimer, que celle de se donner au service des autres: la carrière, par exemple, le travail à l'extérieur du foyer. Aucun travail , aucun plan de carrière, aucune possession matérielle, aucune vision de "liberté" peut remplacer l'amour. De sorte que tout ce qui détruit le don de la maternité, qui est un don de Dieu, détruit le plus précieux des dons faits par Dieu aux femmes, celui d'aimer en tant que femme.
Dieu nous a dit: "Aimez votre prochain comme vous-mêmes." De sorte que je dois d'abord m'aimer moi-même, comme il se doit, et ensuite aimer mon prochain de la même manière. Mais comment puis-je m'aimer moi-même si je ne m'accepte pas telle que Dieu m'a faite? Ceux qui nient la beauté des différences entre l'homme et la femme ne s'acceptent pas tels que Dieu les a faits, et ne peuvent donc pas aimer leur prochain. Ils ne peuvent apporter avec eux que division et malheur et détruire la paix du monde. Par exemple, comme je l'ai souvent affirmé, l'avortement est ce qui détruit le plus la paix du monde aujourd'hui. Et ceux qui veulent absolument que la femme et l'homme soient la même chose sont tous en faveur de l'avortement".
"La maternité est le don de Dieu fait aux femmes. Comme nous devons être reconnaissants à Dieu pour ce don qui apporte une si grande joie au monde entier, aux hommes comme aux femmes. Et pourtant ce don de la maternité, nous pouvons le détruire, et d'une façon toute spéciale par le mal de l'avortement, mais aussi par celui qui consiste à penser qu'il y a d'autres choses plus importantes que celle d'aimer, que celle de se donner au service des autres: la carrière, par exemple, le travail à l'extérieur du foyer. Aucun travail , aucun plan de carrière, aucune possession matérielle, aucune vision de "liberté" peut remplacer l'amour. De sorte que tout ce qui détruit le don de la maternité, qui est un don de Dieu, détruit le plus précieux des dons faits par Dieu aux femmes, celui d'aimer en tant que femme.
Dieu nous a dit: "Aimez votre prochain comme vous-mêmes." De sorte que je dois d'abord m'aimer moi-même, comme il se doit, et ensuite aimer mon prochain de la même manière. Mais comment puis-je m'aimer moi-même si je ne m'accepte pas telle que Dieu m'a faite? Ceux qui nient la beauté des différences entre l'homme et la femme ne s'acceptent pas tels que Dieu les a faits, et ne peuvent donc pas aimer leur prochain. Ils ne peuvent apporter avec eux que division et malheur et détruire la paix du monde. Par exemple, comme je l'ai souvent affirmé, l'avortement est ce qui détruit le plus la paix du monde aujourd'hui. Et ceux qui veulent absolument que la femme et l'homme soient la même chose sont tous en faveur de l'avortement".
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Que ces paroles sont justes...
On est arrivés dans une société ou les fondements même de l'humanité sont totalement oubliés.
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Sébastian-7- Veut-etre un saint/e
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conséquence diabolique du feminisme...
Delphine Bancaud
Publié le 15.01.2015 à 00:06
Mis à jour le 15.01.2015 à 18:33
Ce samedi, le 17 janvier, il y aura quarante ans que la loi dépénalisant le recours à l’avortement entrait en vigueur. A l’occasion de cet anniversaire, une étude de l’Ined analysant l’évolution du recours à l’IVG parait ce jeudi. 20 minutes revient sur les cinq réalités de l’IVG en France.
220.000 avortements sont pratiqués chaque année
Cela représente une grossesse sur cinq, selon les statistiques du ministère de la Santé. Un chiffre stable depuis 2006 après une dizaine d’années de hausse entre 1995 et 2006. «Cette stabilité s’explique par la meilleure couverture contraceptive des Françaises. Même s’il faut souligner la persistance d’inégalités sociales et régionales aux soins et donc à la contraception», souligne Magali Mazuy, chercheuse à l’Ined. Conséquence: les taux d’IVG sont plus élevés qu’ailleurs dans les départements d’outre-mer (DOM), en Île-de-France et dans le sud de la France.
Entre 1996 et 2011, l’IVG chez les jeunes femmes a augmenté
«Car la période qui sépare les premiers rapports sexuels et l’installation dans une vie de couple s’est allongée. Du coup, pendant cette période qui dure environ une dizaine d’années, les jeunes femmes ont des relations sexuelles plus épisodiques, avec une utilisation non systématique des moyens de contraception, ce qui renforce les risques d’une grossesse non désirée», explique Laurent Toulemon, chercheur à l’Ined. Par ailleurs, «on assiste à une marginalisation grandissante des grossesses adolescentes, ce qui incite davantage de jeunes femmes à avorter lorsque leur grossesse n’est pas désirée», ajoute Magali Mazuy.
27,5 ans, c’est l’âge moyen auquel les femmes avortent
«Depuis la légalisation de l’IVG, les jeunes femmes se sentent plus libres de ne pas mener une grossesse imprévue. D’autant que la réprobation du corps social et médical est moindre qu’autrefois», commente Laurent Toulemon. Et avec l’allongement de la durée des études et une entrée sur le marché du travail plus tardive, les jeunes femmes n’hésitent plus à différer le moment où elles deviendront mères.
Les IVG interviennent avant la fin de la 7 eme semaine de grossesse
La durée moyenne de grossesse lors d’une IVG a diminué avec les années: 6,4 semaines de grossesse en 2011, contre 7,1 en 2002. «Cela s’explique par la diffusion de l’IVG médicamenteuse (qui est la méthode utilisée désormais dans plus de la moitié des avortements). De nombreuses femmes retournent chez elles pour l'expulsion après avoir pris des médicaments », souligne Laurent Toulemon.
33% des femmes avortent au moins une fois dans leur vie
Parmi ces 33% la proportion des femmes ayant recours plus d’une fois à l’IVG reste faible en France: 9,5% des femmes ont recours deux fois à l’IVG et 4% trois fois ou plus au cours de leurs vie. «La couverture contraceptive des Françaises est meilleure que dans les années 70. Mais il existe encore des accidents de contraception, soit parce que certaines femmes prennent leur pilule de façon irrégulière. Soit parce qu’elles ont des relations sexuelles épisodiques avant de se mettre en couple et qu’elles n’utilisent pas systématiquement de moyen de contraception. Soit parce qu’il arrive des accidents de préservatifs ou que leur partenaire a refusé d’en utiliser», explique Laurent Toulemon.
http://www.20minutes.fr/societe/1517519-20150115-cinq-chiffres-cles-ivg-france
Publié le 15.01.2015 à 00:06
Mis à jour le 15.01.2015 à 18:33
Ce samedi, le 17 janvier, il y aura quarante ans que la loi dépénalisant le recours à l’avortement entrait en vigueur. A l’occasion de cet anniversaire, une étude de l’Ined analysant l’évolution du recours à l’IVG parait ce jeudi. 20 minutes revient sur les cinq réalités de l’IVG en France.
220.000 avortements sont pratiqués chaque année
Cela représente une grossesse sur cinq, selon les statistiques du ministère de la Santé. Un chiffre stable depuis 2006 après une dizaine d’années de hausse entre 1995 et 2006. «Cette stabilité s’explique par la meilleure couverture contraceptive des Françaises. Même s’il faut souligner la persistance d’inégalités sociales et régionales aux soins et donc à la contraception», souligne Magali Mazuy, chercheuse à l’Ined. Conséquence: les taux d’IVG sont plus élevés qu’ailleurs dans les départements d’outre-mer (DOM), en Île-de-France et dans le sud de la France.
Entre 1996 et 2011, l’IVG chez les jeunes femmes a augmenté
«Car la période qui sépare les premiers rapports sexuels et l’installation dans une vie de couple s’est allongée. Du coup, pendant cette période qui dure environ une dizaine d’années, les jeunes femmes ont des relations sexuelles plus épisodiques, avec une utilisation non systématique des moyens de contraception, ce qui renforce les risques d’une grossesse non désirée», explique Laurent Toulemon, chercheur à l’Ined. Par ailleurs, «on assiste à une marginalisation grandissante des grossesses adolescentes, ce qui incite davantage de jeunes femmes à avorter lorsque leur grossesse n’est pas désirée», ajoute Magali Mazuy.
27,5 ans, c’est l’âge moyen auquel les femmes avortent
«Depuis la légalisation de l’IVG, les jeunes femmes se sentent plus libres de ne pas mener une grossesse imprévue. D’autant que la réprobation du corps social et médical est moindre qu’autrefois», commente Laurent Toulemon. Et avec l’allongement de la durée des études et une entrée sur le marché du travail plus tardive, les jeunes femmes n’hésitent plus à différer le moment où elles deviendront mères.
Les IVG interviennent avant la fin de la 7 eme semaine de grossesse
La durée moyenne de grossesse lors d’une IVG a diminué avec les années: 6,4 semaines de grossesse en 2011, contre 7,1 en 2002. «Cela s’explique par la diffusion de l’IVG médicamenteuse (qui est la méthode utilisée désormais dans plus de la moitié des avortements). De nombreuses femmes retournent chez elles pour l'expulsion après avoir pris des médicaments », souligne Laurent Toulemon.
33% des femmes avortent au moins une fois dans leur vie
Parmi ces 33% la proportion des femmes ayant recours plus d’une fois à l’IVG reste faible en France: 9,5% des femmes ont recours deux fois à l’IVG et 4% trois fois ou plus au cours de leurs vie. «La couverture contraceptive des Françaises est meilleure que dans les années 70. Mais il existe encore des accidents de contraception, soit parce que certaines femmes prennent leur pilule de façon irrégulière. Soit parce qu’elles ont des relations sexuelles épisodiques avant de se mettre en couple et qu’elles n’utilisent pas systématiquement de moyen de contraception. Soit parce qu’il arrive des accidents de préservatifs ou que leur partenaire a refusé d’en utiliser», explique Laurent Toulemon.
http://www.20minutes.fr/societe/1517519-20150115-cinq-chiffres-cles-ivg-france
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Le mariage et la famille, enjeux de la bataille final...
Le mariage et la famille, enjeux de la bataille final...
Jean-Paul-II-et-soeur-Lucie
Le mariage et la famille, enjeux de la bataille finale…
Très intéressante citation du cardinal Carlo Caffara trouvé sur le blogue Rorate Cæli. C’est un extrait d’un entretien accordé par le cardinal Caffara le 16 février 2008 à Tele Radio Padre Pio, et qui fut publié dans le mensuel Voce di Padre Pio (mars 2008). L’Institut dont il est question a été fondé en 1981 sous le nom d’Institut pontifical Jean-Paul II d’études sur le mariage et la famille. Son premier président en fut le cardinal Carlo Caffara (1981-1995).
Question – Il y a une prophétie de sœur Lucie de Fatima qui concerne « la bataille finale entre le Seigneur et le royaume de Satan ». Le champ de bataille est celui de la famille. La vie et la famille. On sait que le pape Jean-Paul II vous confia la charge de mettre sur pied l’Institut pontifical d’études sur le mariage et la famille.
Réponse – Oui, il me la confia. Au début des travaux préparatoires [à la mise sur pied de cet institut] que me confia le serviteur de Dieu [aujourd’hui canonisé] Jean-Paul II, j’ai écrit à sœur Lucie de Fatima par le truchement de son évêque, car je ne pouvais pas lui écrire directement. Toutefois, et d’une manière inexplicable, car je ne m’attendais pas à recevoir une réponse ne lui ayant demandé que des prières, je reçus une très longue lettre signée de sa main – elle est aujourd’hui versée aux archives de l’Institut. Il y était écrit : « la bataille finale entre le Seigneur et le règne de Satan portera sur le mariage et la famille ». « N’ayez pas peur, ajoutait-elle, car tous ceux qui travailleront pour le caractère sacré du mariage et de la famille, seront toujours combattus et contrariés de toutes les manières, parce que c’est l’affaire décisive ». Et puis, en conclusion, elle écrivait : « cependant, Notre-Dame lui a déjà écrasé la tête ».
http://www.riposte-catholique.fr/osservatore-vaticano/le-mariage-et-la-famille-enjeux-de-la-bataille-finale
Jean-Paul-II-et-soeur-Lucie
Le mariage et la famille, enjeux de la bataille finale…
Très intéressante citation du cardinal Carlo Caffara trouvé sur le blogue Rorate Cæli. C’est un extrait d’un entretien accordé par le cardinal Caffara le 16 février 2008 à Tele Radio Padre Pio, et qui fut publié dans le mensuel Voce di Padre Pio (mars 2008). L’Institut dont il est question a été fondé en 1981 sous le nom d’Institut pontifical Jean-Paul II d’études sur le mariage et la famille. Son premier président en fut le cardinal Carlo Caffara (1981-1995).
Question – Il y a une prophétie de sœur Lucie de Fatima qui concerne « la bataille finale entre le Seigneur et le royaume de Satan ». Le champ de bataille est celui de la famille. La vie et la famille. On sait que le pape Jean-Paul II vous confia la charge de mettre sur pied l’Institut pontifical d’études sur le mariage et la famille.
Réponse – Oui, il me la confia. Au début des travaux préparatoires [à la mise sur pied de cet institut] que me confia le serviteur de Dieu [aujourd’hui canonisé] Jean-Paul II, j’ai écrit à sœur Lucie de Fatima par le truchement de son évêque, car je ne pouvais pas lui écrire directement. Toutefois, et d’une manière inexplicable, car je ne m’attendais pas à recevoir une réponse ne lui ayant demandé que des prières, je reçus une très longue lettre signée de sa main – elle est aujourd’hui versée aux archives de l’Institut. Il y était écrit : « la bataille finale entre le Seigneur et le règne de Satan portera sur le mariage et la famille ». « N’ayez pas peur, ajoutait-elle, car tous ceux qui travailleront pour le caractère sacré du mariage et de la famille, seront toujours combattus et contrariés de toutes les manières, parce que c’est l’affaire décisive ». Et puis, en conclusion, elle écrivait : « cependant, Notre-Dame lui a déjà écrasé la tête ».
http://www.riposte-catholique.fr/osservatore-vaticano/le-mariage-et-la-famille-enjeux-de-la-bataille-finale
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Il faut toujours vérifier ses sources, avant de les prendre pour référence
sur un forum chrétien.
Voici Quelques autres idées révélatrices d'Henry Makow, généralement situé comme un conspirationniste.
(plein de bonnes intentions, certes, mais cela ne suffit pas.)
En les lisant, on réalise qu'un esprit doué d'un discernement aigu peut être manipulé par malin lui même.
A lire, Ces quelques propos délirants de H. Makow:
.
"Hitler prouva par ses actes qu’il était un traitre. Il fut porté au pouvoir par les Illuminati afin de détruire l’Allemagne pour qu’elle se fonde parfaitement dans le Nouvel Ordre Mondial.
Le rôle d’Hitler fut catastrophique pour l’Allemagne. Mais que pouvait bien attendre l’Allemagne d’un vagabond viennois et d’un prostitué homosexuel?
Le parallèle avec Obama est évident. Comme Hitler, il n’est pas un natif des Etats-Unis et a un passé homosexuel louche. Il travaille pour les Illuminati. Sa mission est de détruire les Etats-Unis pour que les américains acceptent le gouvernement mondial."
Il est impossible de prendre un individu qui tient de tels propos, pour référence....
Au moins en tant que chrétien .
sur un forum chrétien.
Voici Quelques autres idées révélatrices d'Henry Makow, généralement situé comme un conspirationniste.
(plein de bonnes intentions, certes, mais cela ne suffit pas.)
En les lisant, on réalise qu'un esprit doué d'un discernement aigu peut être manipulé par malin lui même.
A lire, Ces quelques propos délirants de H. Makow:
.
"Hitler prouva par ses actes qu’il était un traitre. Il fut porté au pouvoir par les Illuminati afin de détruire l’Allemagne pour qu’elle se fonde parfaitement dans le Nouvel Ordre Mondial.
Le rôle d’Hitler fut catastrophique pour l’Allemagne. Mais que pouvait bien attendre l’Allemagne d’un vagabond viennois et d’un prostitué homosexuel?
Le parallèle avec Obama est évident. Comme Hitler, il n’est pas un natif des Etats-Unis et a un passé homosexuel louche. Il travaille pour les Illuminati. Sa mission est de détruire les Etats-Unis pour que les américains acceptent le gouvernement mondial."
Il est impossible de prendre un individu qui tient de tels propos, pour référence....
Au moins en tant que chrétien .
Sofoyal- Combat l'antechrist
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Sofoyal, le féminisme est la plaie qui détruit nos familles et tue nos enfants. Je crois l'avoir largement prouvé dans ce fil. Quand donc aller vous ouvrir vos yeux?
Croyez en mes sincères prières...
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Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Suede ou la destruction d'une société
Dernière édition par Elysé le Mer 24 Juin 2015 - 16:30, édité 1 fois (Raison : titre)
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
Elysé a écrit:Sofoyal, le féminisme est la plaie qui détruit nos familles et tue nos enfants. Je crois l'avoir largement prouvé dans ce fil. Quand donc aller vous ouvrir vos yeux?
Croyez en mes sincères prières...
Merci pour vos prières.
Croyez aussi en les miennes, également sincères.
Concernant mon message précédent:
En l'occurence, la question que j'aborde est celle de la référence à un auteur particulier, en tant que chrétien.
Il est largement démontrable que cet auteur est un virtuose des mauvaises nouvelles
qu'il discerne avec une acuité sans égale, peut-être.
Il semble en revanche débordé par les complots, les maux et les conflits de toutes sortes.
Il en voit en tous temps et de toutes manières,
les dissèques, les expose, comme on exposerait la sagesse elle même.
Le chrétien véritable, lui, expose les faits de la lumières sous tous ses aspects.
S'il dénonce le mal, il le fait avec mesure et sans entrer dans ses circonvolutions.
Les meilleurs exemples restent les apôtres dans leurs écrits.
Jamais ils n'entrent dans les profondeurs de satan pour dénoncer forces complots comprenant telles et telles ramifications.
Non! Ils dénoncent sobrement le mal et exposent la sagesse et l'amour de Dieu et des hommes
sous toutes ses formes.
Ils ne créent pas d' auditeurs scandalisés, outrés ou même prostrés, en en faisant des êtres manipulables.
Ils sont lumineux et ouvrent la voie.
Ils ne sont pas remplis de la révolte et de l'amertume qui risquent d'engendrer les pires réactions pour peu qu'elles soit répandues par un esprit aiguisé mais déséquilibré.
Les quelques lignes de H.Makov cité dans mon précédent message sont assez révélatrice d'une personnalité pas très catholique. C'est le moins dire.
Malgré son acuité.
Mais il est tant et tant d'esprits du monde inférieur rempli d'acuité ... et de dangers et menaces...
************************************************************************
Au sujet de la perversion du féminisme:
Il n'est pas besoin d'ouvrir très grand les yeux pour se rendre compte de ses effets.
Les faits sautent aux yeux.
Il y a pourtant un féminisme de Dieu, un bon féminisme: LE féminisme.
C'est une lutte nécessaire, et ses victoires à venir, il les obtiendra par le pouvoir du Christ.
C'est encore nécessaire.
Il me parait étonnant d'avoir à le rappeler.
IL est sage de parler de la perversion du féminisme,
mais il ne l'est pas de mettre en accusation le féminisme en soi.
Il est encore moins sage de dire que le féminisme est en soi une perversion,
C'est une des luttes nécessaires qui seront menées et obtiendront au genre humain tout entier de nobles victoires et de bonne nouvelles.
Il est sage également de mettre en avant le fait que l'homme et la femme du monde sont également pervertis par le malin,
Chacun d'après ce qu'il est et représente.
La façon dont vous présentez les choses parait lapidaire et partiale:
La dégénérescence sociale relève des fautes de chacun et chacune, à part égale...
Chacun peut le comprendre, à moins d'être résolument partial.
Sofoyal- Combat l'antechrist
- Messages : 2384
Inscription : 03/11/2013
Re: Henry Makow dénonce le feminisme et le nouvel ordre mondial
La famille est le centre du combat, Satan a perverti la femme en la poussant à la révolte et ainsi programmé la fin des familles et le massacre des innocents comme vous le prouve tout ce fil.
Elysé- Combat avec l'Archange Michel
- Messages : 1147
Age : 51
Localisation : FRANCE
Inscription : 24/04/2015
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