Re: Le commérage et la médisance : Attention au venin dans nos paroles !

par **Marie Rose** Mer 25 Sep 2013 - 17:24

merci Gilles
Belles paroles à méditer
Je vais placer un marque page à ce passage , et le lire bien souvent
Rend grâce

par **Malou** Mer 25 Sep 2013 - 21:39

Ange Gardien10 a écrit:Bon, voilà, elle me téléphone encore de manière incessante, alors là j'en ai eu assez et elle va avoir une surprise quand elle va m'appeler demain. Voici mon nouveau message d'accueil(par contre je vais le rechanger bientôt pour ne pas qu'il me fasse honte quand j'aurai un appel important!!!)
Je fais parler mon ordinateur et j'ai enregistré le tout, et j'ai écouté le message, ça sonne bien et on le comprend bien. Le voici: " BONJOUR. JE NE SUIS PAS LÀ, LAISSEZ VOTRE MESSAGE APRÈS LA TONALITÉ. VEILLEZ PRENDRE NOTE QUE LES COMÉRAGES DANS LE DOS DES AUTRES NE SONT PAS TOLÉRÉS. MERCI DE FAIRE PREUVE DE JUGEMENT, DE RESPECT, D'INTELLIGENCE, DE SAVOIR-VIVRE ET D'ÉDUCATION. AU REVOIR."

Qu'est-ce que vous en pensez? Je voulais faire comique, ça fait du bien contre les personnes néfastes.

pas mal Stéphanie ! Very Happy

ou laissez votre message après la tonalité et les commérages au vestiaire ! point barre.

par **Gilles** Sam 8 Fév 2014 - 17:55

par **Ange Gardien10** Sam 8 Fév 2014 - 18:37

J'ai fait écouter mon ancien message de ma boîte vocale à des connaissances, et ils se sont tous demandés comment j'ai fait un truc pareil, surtout que la voix ressemblait à s'y méprendre à la voix électronique de la compagnie de téléphone!!

On a bien ri!

Je vis dans une ville avec 80% de la population fait des comérages dans le dos des autres, à chaque heure, à tous les jours.

On ne se sent pas en sécurité ici.

J'ai été obligée d'avoir un numéro de téléphone confidentiel et non publié.

Des gens qui m'intimidaient sans arrêt à l'école dans la plus grande violence et la plus grande cruauté m'appelaient chez moi pour me faire des menaces de mort LE LENDEMAIN QUE MARJORIE RAYMOND S'EST SUICIDÉE À CAUSE DE L'INTIMIDATION À L'ÉCOLE!!!

par **Gilles** Jeu 20 Fév 2014 - 4:03

par **Marie Rose** Jeu 20 Fév 2014 - 14:32

Grâce à notre ami Gilles qui a mis une jolie image concernant les ragot, je me suis rappelée d'une histoire qui m'est arrivée
Ce qui est étrange, c'est que j'y pensais hier dans l'après midi et Gilles avec son image confirme!
C'est un peu lon, mais ce témoignage prouve comme il est important de ne pas écouter les ragots!
Voilà, il y a 12 ans, ma fille de 6 ans atteinte d'une leucémie,je devais trouver une personne pour la garde de mon fils bébé, car je devais restée prêt de ma fille pendant ses séjours d'hospitalisation
On me propose une assistante maternelle prêt de chez moi, mais je rencontre la belle soeur de mon mari qui me dit "attention, cette femme est un danger pour les enfants, surtout ne lui donne pas ton fils à garder" Imaginez la peur! Je trouve quand même étrange que la belle soeur qui est aussi assistante maternelle ne me propose pas de garder mon fils, surtout qu'elle habite à deux pas."Moi à sa place me dis je, j'aurais gardé le petit et sans être payé"
Donc finalement, je me retrouve à la maison Mc donald à la timone, hébergée avec notre fils et mon mari, afin de pouvoir être avec notre fille dans un état critique,et le matin, nous repartions mener notre fils à une aide qui venait chez nous la journée
Quand des personnes me demandaient pourquoi j'avais refusé l'assistante, je répondais bêtement que j'avais peur et qu'elle était apparemment dangereuse
Finalement à bout,je vais trouver la belle soeur, et lui demande de me garder notre fils,me narguant elle me tend un papier et me dit"tiens, voilà une liste des assistantes,moi je n'ai pas trop le temps, d'ailleurs là, je dois aller au ciné.Sans me demander des nouvelles de notre fille dans le coma!!!!!
Je pars, le coeur brisé,et me dis"fais une croix sur elle"
Bref, les années passent,la belle soeur quitte mon beau frère pour un type sur internet après l'avoir dépouillé,et moi, à la paroisse, je rencontre cette assistante maternelle
Je fais connaissance avec elle,elle se rappelle qu'elle devait garder ma fille,je bafouille n'importe quoi, j'apprends à la connaitre,entre temps, elle est tombée gravement malade,elle ne se plaint jamais, tout le monde l'aime, c'est une femme extraordinaire, qui a beaucoup souffert et en plus ne cesse de tendre la main aux personnes!Si j'avais donné notre fille garder à cette dame, pas seulement j'aurais eu une bonne assistante maternelle mais en plus elle serait devenue vite une amie !
Voilà, j'ai écouté les ragots d'une belle soeur(genre les soeurs de cendrillon) sur une sainte femme
Prends pitie

par **carine** Jeu 20 Fév 2014 - 15:02

Bonjour Marie-Rose,

merci pour ce témoignage.
Mais l'on ne peut s'en vouloir si l'on a écouté et pris, à la suite de cela, la mauvaise décision. Sachant ce que nous savons à l'heure actuelle de la bonté de Dieu, on peut Lui remettre absolument toutes ces mauvaises discussions, en priant autant pour ceux qui les colportent que pour ceux qui en sont, soit les victimes, soit les responsables. Et surtout, demander à Dieu, par la prière de bien vouloir nous éclairer si nous avons à faire avec les personnes dont on nous parle en mal afin qu'Il dirige nos actions pour le mieux. Parfois, la réponse peut être pour notre mieux, comme elle peut être pour l'amélioration de celui dont on parle en mal s'il est besoin qu'une attitude charitable de notre part, l'édifie et lui tende la main dont il a besoin. Comme quoi, nous n'aurons pas forcément la réponse que nous pensons mais celle que Dieu souhaite nous donner.
Bonne journée

par **Gilles** Dim 30 Mar 2014 - 18:43

par **Liza2028** Dim 30 Mar 2014 - 20:20

Le commérage et la critique est très répandu dans le milieu professionnel. Du coup je parle très peu de moi.

par **Gilles** Dim 27 Juil 2014 - 12:55

Le 22 juillet 2014 à 16h00

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Garder un secret, impossible selon la science

On essaie, mais il serait finalement impossible de garder un secret. Selon plusieurs études, il occuperait une place trop importante dans notre cerveau et notre langage corporel finirait tôt ou tard par nous trahir.

N'allez pas trop vite en jurant que vous serez une tombe lorsqu' on vous confie un secret. Selon plusieurs études scientifiques, bien qu'on ne soit pas tous égaux face au secret, on ne pourrait de toute façon pas le garder. Trop lourd, trop pesant, notre corps nous trahit le premier, apprend-on sur le Huffington Post.

Pourquoi est-ce difficile ?

Parce que ça perturbe, évidemment. Des chercheurs américains se sont intéressés en 2013 au corps des personnes cachant un secret. Ils ont publié leurs conclusions dans le Journal of Experimental Psychology. Le sujets devaient cacher leur orientation sexuelle pendant un court entretien et ne devaient pas prononcer de mots précis tout en effectuant des tâches variées. Les chercheurs ont alors constaté que les participants avaient du mal à se concentrer, qu'ils étaient plus facilement agressifs et qu'ils présentaient moins d'endurance physique. Notre corps finirait donc par nous trahir…

Parce que les secrets occupent une place trop importante dans notre cerveau et demandent à notre conscience de se focaliser sur eux. "Quand un individu s'entretient avec un autre en sachant pertinemment qu'il y a des éléments qu'il doit impérativement garder pour lui, ses pensées sont contaminées les informations secrètes qu'il convient de maintenir à l'écart. Plus on s'efforce de ne pas penser à quelque chose, plus on l'a en tête" explique le psychiatre Jean-Paul Mialet, sur le site Atlantico, en commentant les résultats d'une étude de 2007 parue dans The American Journal of Psychology.

Garder un lourd secret peut être risqué

Dépression, solitude, remords, nausées, maux de dos, problèmes relationnels, notre corps est mis à rude épreuve. Garder un lourd secret peut être risqué. En 2009, une étude s'est intéressée à 300 ados et à leur rapport aux secrets. Les conclusions du professeur Tom Frijins, publiées dans l'International Journal of Behavioral Development, sont inquiétantes : "le contrôle permanent de nos sentiments et de nos pensées est épuisant pour le corps et pour l'esprit". Six mois après ce constat, les adolescents allaient bien mieux s'ils s'étaient confiés, l'état des autres avait empiré.

En 1989, James Pennebraker, un psychologue de l'Université du Texas a interrogé 33 survivants de camps de concentration, sur des souvenirs qu'ils n'avaient jamais partagés, pendant que l'on surveillait leur rythme cardiaque. Quatorze mois plus tard, le chercheur a repris contact avec les survivants pour faire un bilan de santé. Les participants étaient tous en meilleure condition physique.

Mais les recherches soulignent également que nous ne sommes pas tous égaux face aux secrets. Quand certains mettront un terme à la confidence par fatigue ou remords, d'autres vivront avec et finiront même par se le cacher à eux-mêmes.

Par Ophélie Ostermann

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par **Joël2013** Dim 27 Juil 2014 - 16:54

Il est vrai qu'il faut beaucoup de vigilance pour ne pas blesser son prochain même sans faire exprès... Quand on s'approche de quelqu'un il faut avoir le réflexe d'appeler l'Esprit Saint à notre secours pour ne pas commettre une bourde... Que Dieu fasse de nous tous des instruments de sa Miséricorde !

par **Gilles** Sam 23 Mai 2015 - 13:05

par **Sofoyal** Sam 23 Mai 2015 - 13:16

par **Gilles** Sam 23 Mai 2015 - 16:36

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La menace du commérage

La langue, les commérages, les ragots sont des armes qui chaque jour assaillent la communauté humaine, en semant envie, jalousie et avidité du pouvoir. Avec elles, on peut en arriver à tuer une personne. C’est pourquoi parler de paix signifie aussi penser à tout le mal que l’on peut faire avec la langue.

C’est une profonde réflexion que propose le Pape François dans l’homélie de la Messe célébrée dans la chapelle de la Domus Sanctae Marthae, tradition reprise lundi 2 septembre.

Le Pape s’est inspiré du récit du retour de Jésus à Nazareth, tel qu’il est proposé par Luc (4, 16-30) dans un passage de l’Évangile parmi les plus « dramatiques », dans lequel — a dit le Pape — « on peut voir comment est notre âme » et comment le vent peut la faire tourner d’un côté à l’autre. À Nazareth, a expliqué le Pape, « tous attendaient Jésus. Ils voulaient le trouver. Et lui est allé trouver les siens. Pour la première fois, il revenait dans son village. Et eux l’attendaient parce qu’ils avaient entendu tout ce que Jésus avait fait à Capharnaüm, les miracles. Et quand commence la cérémonie, comme d’habitude, ils demandent à l’hôte de lire le livre. Jésus le fait et lit le livre du prophète Isaïe, qui était un peu la prophétie à son propos et c’est pourquoi il conclut la lecture en disant “Aujourd’hui s’accomplit cette écriture que vous avez écoutée” ».

La première réaction, a expliqué le Pape, a été très belle, tout le monde a apprécié. Mais ensuite, dans l’âme de certains, a commencé à s’insinuer le ver de l’envie et on a commencé à dire « Mais où a-t-il étudié celui-là ? N’est-ce pas le fils de Joseph ? Et nous connaissons toute sa parentèle. Mais dans quelle université a-t-il étudié ? ». Et ils ont commencé à prétendre qu’il fasse un miracle : ce n’est qu’alors qu’ils croiraient. « Ceux-là — a précisé le Pape — voulaient du spectacle : “Fais un miracle et nous croirons en toi”. Mais Jésus n’est pas un artiste ».

Jésus ne fit pas de miracles à Nazareth. Il souligna au contraire le peu de foi de qui demandait du « spectacle ». Et eux, a noté le Pape François, « sont rentrés dans une grande colère, ils se sont levés et ils poussaient Jésus jusqu’au mont pour le jeter et le tuer ». Ce qui avait commencé dans la joie menaçait de se conclure par un crime, l’assassinat de Jésus « par jalousie, par envie ». Mais il ne s’agit pas seulement d’un événement qui a deux mille ans, a souligné l’Évêque de Rome. « Cela arrive tous les jours — a-t-il dit — dans notre cœur, dans nos communautés » chaque fois que l’on accueille quelqu’un en parlant bien de lui le premier jour et puis de moins en moins jusqu’à arriver aux commérages presque jusqu’à l’« écorcher ».

Celui qui, dans une communauté, cancane contre un frère finit par « vouloir le tuer », a souligné le Pape. « L’apôtre Jean — a rappelé le Saint-Père — dans la première lettre, chapitre 3, verset 15, nous dit cela : celui qui hait son frère dans son cœur est un assassin ». Et le Pape a immédiatement ajouté : « Nous sommes habitués aux commérages, aux ragots » et souvent nous transformons nos communautés et même notre famille en un « enfer » où se manifeste cette forme de criminalité qui conduit à « tuer son frère et sa sœur avec sa langue ».

« La Bible — a poursuivi le Pape — dit que le diable est entré dans le monde par jalousie. Une communauté, une famille peut être détruite par cette jalousie qu’enseigne le diable dans le cœur et fait que l’un parle mal de l’autre ». Et, se référant à ce qui advient ces derniers jours, il a souligné qu’il faut penser aussi à nos armes quotidiennes : « la langue, les commérages, les ragots ».

Ainsi, comment construire une communauté, s’est demandé le Pape ? De la manière « dont est construit le ciel » a-t-il répondu ; de la manière dont l’annonce la Parole de Dieu : « Vient la voix de l’archange, le son de la trompette de Dieu, le jour de la résurrection. Et il dit ensuite : et ainsi serons-nous pour toujours avec le Seigneur ». Donc « pour qu’il y ait la paix dans une communauté, dans une famille, dans un pays, dans le monde, nous devons commencer par être avec le Seigneur ». Et là où se trouve le Seigneur, il n’y a pas d’envie, il n’y a pas de criminalité, il n’y a pas de jalousies. Il y a la fraternité. Demandons cela au Seigneur : ne jamais tuer notre prochain avec notre langue et être avec le Seigneur comme nous tous serons au ciel ».

Pape François

(L'Osservatore Romano, Édition hebdomadaire n° 36 du 5 septembre 2013)

par **Sofoyal** Sam 23 Mai 2015 - 16:38

par **Gilles** Jeu 4 Juin 2015 - 19:07

par **Gilles** Mer 10 Juin 2015 - 14:37

par **François_1** Mer 10 Juin 2015 - 18:13

Je vais prendre ce conseil en note.

Dans mon quotidien, j'ai à aller à un endroit où il se fait beaucoup de commérages et j'ai tendance me joindre à ceux qui commèrent... Embarassed

Je vais essayer de me taire les prochaines fois.

Merci Gilles !

Tu vois, tes posts ont un effet positif dans nos vies! Smile

Passe une bonne journée!

François

par **Gilles** Jeu 11 Juin 2015 - 14:09

Merci cher François pour ton témoignage.

Je te rassure mon ami... Il m'arrive moi aussi de faire des commérages.

Je crois que tous n'y échappent pas, même chez les chrétiens. C'est dans la nature de l'être humain !

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La médisance

“Préserve ta langue du mal.” Psaumes 34.1

C'est l'histoire de trois femmes qui décident de s'avouer leurs travers. La première confesse qu'elle boit trop. La deuxième avoue être jalouse de la beauté d'une amie. La troisième ne dit rien. Intriguées, les deux autres insistent : “Alors, c'est quoi ton défaut ?” Finalement, elle répond : “Les commérages. Et il me tarde de sortir d'ici pour aller en raconter sur vous deux !”

Bon, soyons sérieux. La Bible ne mâche pas ses mots à propos de la médisance :

“Celui qui surveille sa bouche garde son âme ; celui qui ouvre tout grand ses lèvres court à sa perte” (Proverbes 13.3).

“Si quelqu'un pense être religieux, sans tenir sa langue en bride, mais en trompant son cœur, la religion de cet homme est vaine” (Jacques 1.26).

“Celui qui veut jouir d'une vie agréable et connaître des jours heureux doit se garder de médire et de mentir” (1Pierre 3.10).

La médisance est comme de la boue jetée contre un mur. Elle ne reste pas, mais elle laisse une trace. Et cette trace peut marquer toute une vie ! Alors, avant de viser quelqu'un, évaluez votre cible. Demandez-vous quelle blessure vous allez infliger, et comment vous vous sentirez après.

Salomon a dit : “La mort et la vie sont au pouvoir de la langue ; celui qui l'aime en mangera les fruits” (Proverbes 18.21). Vous avez bien entendu ? Vous “mangerez vos paroles” !

Vous récolterez ce que vous avez semé, bon ou mauvais. En résumé, si vous cherchez des défauts, regardez-vous dans le miroir. En vous occupant de vos propres travers, il ne vous restera plus assez de temps pour médire sur ceux des autres.

www.topchretien.com

Le commérage et la médisance : Attention au venin dans nos paroles ! - Page 2 Gilles

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par **Gilles** Ven 12 Juin 2015 - 15:22

par **Bretagne** Sam 13 Juin 2015 - 8:59

Bonjour ,
@Gilles
Merci pour ce fil très intéressant et "redresseur " et merci à tous ceux et celles qui y ont apporté leur pierre !
Bretagne

par Invité Sam 13 Juin 2015 - 10:32

" Ayez en vous la pensée qui était le Christ, lui qui s'est rendu lui-même sans réputation, honneur, considération, en prenant la condition d'esclave...

Comment quelqu'un qui se soucie particulièrement de ce que I'on dit de lui, de la
réputation qu'on lui attribue pourra-t-il garder la foi ???

Merci au Seigneur de ce qu'il a pour nous quelque chose de bien meilleur sur quoi compter, à savoir, le caractère des qualités morales... N'oublions pas que Jésus, notre exemple dans ce monde, " s'est rendu sans réputation ", les personnes qui vont rester fidèles à Dieu, dans le monde, doivent le faire seulement par rapport au caractère de Dieu.... La bonne réputation ne sauvera personne.

Lorsque tous les pouvoirs de ce monde se dresseront contre ceux qui se maintiendront dans la fidélité à Dieu, le caractère de Jésus- Christ vaudra alors dix mille réputations que I'on pourrait se faire. aux yeux du monde, la réputation est importante, une bonne réputation est tout ce que Satan peut offrir.. Cette déclaration est tout a fait exacte.. " Le plus précieux trésor que la vie peut offrir est une réputation sans tâche " Cela était bien suffisant pour cet homme, car la réputation était la seule qualité qu'il possédait.

Un jour, il se mit à se lamenter : " O ma réputation, je l'ai perdue !"
Une fois qu'il I'avait perdue, il ne lui restait plus rien pour le soutenir. ll ne possédait pas un caractère sur lequel s'appuyait, il dépendait entièrement de sa réputation.

Mais, le trésor le plus précieux est un caractère sans tâche, et le seul caractère sans tâche est celui de Jésus-Christ. Et ce caractère, ll nous le donne, à vous et à moi, c'est un cadeau béni, le seul qui vient directement de Celui qui I'a fabriqué..

La réputation est aussi instable que le vent, mais le caractère est aussi durable que le temps...

Même si Satan, grâce à tous ses pouvoirs, parvient à nous charger de la pire réputation qu'il puisse inventer, remercions le Seigneur de ce que nous avons un caractère qui tiendra bon dans le jugement de Dieu'.. A' T' J "

Cette première partie n'est pas de moi mais elle étaye bien le texte ci-dessous qui est de moi et exprime ma pensée.

Réputation. réputation. vous avez dit réputation ??? Tiens. comme c'est bizarre ...

La réputation a pour cousine la rumeur... EIle est du même acabit ; qu'elle soit bonne ou mauvaise...
Elie nous rend aussi vulnérable que la rumeur... parce que l'on en dépend... On a l'opportunité de faire taire celui qui est notre ennemi, celui qui parle mal de nous, gui nous hait, bien souvent sans savoir pourquoi, qui fait tout pour nous induire en erreur, ou jalouser nos projets, il s'instaure en nos proches ; et si I'occasion nous est donné de nous venger... Arriverons-nous a faire comme le Seigneur ? A faire comme le roi David, passant près de, Saul, le laissant dormir alors qu'il pourrait I'assassiner ?

David épargne la vie de Saül (1 Samuel 24)

Jésus, en son Enseignement, nous demande de ne pas haïr, de ne pas craindre, de ne pas nous éloigner de son chemin, de vaincre toute rancœur, toute rancune, toute amertume..

A la lumière des Évangiles, nous nous rendons compte que le problème n'est pas de croire, mais de vivre ces Évangiles.... de le transposer en notre quotidien.. Nous avons autour de nous des gens que nous ne supportons pas, d'autres qui ne nous acceptent pas, et parfois sans raisons apparentes, à nos yeux.... simplement parce que le courant ne passe pas avec telle ou telle personne. C'est ainsi.. .

J'ai croisé sur mon chemin des personnes qui disaient ne plus supporter untel ou untel, qui laissaient entendre qu'elles se "débarrassent" de tous ceux qui se mettent en travers de leur route, voire en arrivaient même à leur souhaiter la mort.... tous le disaient, !e clamaient, et bien souvent, et heureusement, cela s'arrêtait là... J'ai longtemps côtoyé ce genre de personnes.

Certaines forgent même des plans pour faire renvoyer ceux qui les gênent. Je fais partie de ceux qui gênent bien souvent, et je crains bien que cela me colle à la peau !

Il faut pourtant reconnaître que Jésus nous offre le contraire de cela ... Il dit ces deux choses importantes parmi tant d'autres ...:

1) Faire pour l'autre ce que nous voudrions qu'il fasse pour nous,
2) Dieu est bon, infiniment bon pour le s méchants, les ingrats et chacun de nous.
Jésus nous encourage à aller au-delà de ces erreurs...
Essayons d'éviter tout cela, De plus, nous n'avons aucun droit de faire justice, de porter jugement, de créer telle ou telle réputation...(Bien souvent, nous avons pris fait et cause contre autrui, sans qu'il puisse se défendre).
Le Seigneur appelle cela le Pardon... cela permet de repartit de rien, sur des bases nouvelles...

N'oublions pas que le Seigneur aime nos amis comme nos ennemis ! ll ne fait aucune différence, et ne juge pas....
Et cela, nous I'oublions trop souvent....

Jésus n'enseigne pas l'impossible, ll nous fait confiance, et ll sait que nous le mettrons en pratique, grâce à Son Amour...

La réputation que nous aurons eu, bonne ou mauvaise ne nous sauvera pas du jugement de Dieu...
Ayons pour eux, ceux qui nous dressent les cheveux sur la tête, ou qui nous horripile un max, compassion et miséricorde.
Soyons pardon en tout temps, , ils s'ouvriront peut-être un jour au doux Aimant, en se demandant pourquoi nous les aimons et les respectons encore...

Aussi, ceux qui nous considèrent comme leurs ennemis aimons-les tout simplement selon l'expression des italiens qui ont le verbe "vouloir bien" (volere bene) preuve que pour aimer il faut "s'armer" de bonne volonté !

chacun de nous craint toujours d'être mal jugé : mais quelle importance si les autres nous taillent une bonne ou une mauvaise réputation ?
Dieu seul est notre juge, Témoin unique de ce que nous créons en Lui, par Lui, pour Lui...
Alors, appauvrissons-nous et anéantissons-nous pour ceux qui nous font du mal...

C'est courir à I'Essentiel et recevoir de la part d'un Père immensément Miséricordieux, non par pour nous, mais pour ceux qui nous blessent, les bénédictions célestes qu'll nous abandonne pour les leur offrir...

C'est demeurer dans la Vérité qu'll nous enseigne, et dans cette ligne de Vie aimante qu'll nous donne....

Alors nous devrions transformer nos préoccupations quotidiennes, chaque chose douloureuse, ou heureuse, en louanges vers le Père ... Ainsi nous nous en remettons à Son Divin Vouloir... C'est en cela qu’Il nous attend, puisqu'Il désire savoir jusqu'où nous Lui serons fidèles...

Faisons fi des choses du mal, puisqu'elles conduisent au mal.

Les choses de bien importent plus ou Cœur de Jésus, et Lui a pour nous la réputation de son Cœur, qui est notre Trésor en ce qu'il nous donne de Vivre en Sa Parole... en toute quiétude...
Son amour est notre seule loi...Plus rien n'importe que ce Trésor de Grâce et d'Abondance....
Que peut la réputation terrestre contre cela ?

Si nous désirons une réputation terrestre, occupons-nous des choses terrestres, si nous désirons une réputation céleste, occupons-nous des choses célestes....
et les choses Célestes, c'est le doux Jésus qui nous les abandonne...
C'est le seul chemin que nous désirons emprunter, et c’est le seul vrai chemin...
La seule gloire du Seigneur devrait nous suffire, qu'importe la nôtre ?

N'est-ce pas, frères et soeurs ?

Votre soeur en Christ Jésus, Etoile Bleue... Pardon Lumen !

C'est une de mes méditations que j'ai posté ici :

Musique, Poésie et Documentaires, 2

Les commérages, les rumeurs bof. Saint François de Sales a fait comprendre à quelqu'un qui lui "rapportait" les propos désobligeants qui circulaient à son sujet, que toutes ces personnes étaient bien gentilles à côté de ce que lui aurait dit à leur place sur lui-même. J'ai beaucoup apprécié sa réponse ! et je l'ai utilisée.

Fraternellement . Lumen

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par **Gilles** Mer 17 Juin 2015 - 19:42

par **Gilles** Jeu 18 Juin 2015 - 22:05

Le commérage et la médisance : Attention au venin dans nos paroles ! - Page 2 27be6c99

Le commérage et la médisance : Attention au venin dans nos paroles ! - Page 2 Calomnie

Que dit la Bible à propos de la médisance ou des commérages ?

Le mot hébreu traduit “commérage” dans l’Ancien Testament est défini comme « celui qui révèle les secrets, celui qui passe son temps à colporter les commérages ou les scandales ». Une personne qui se livre à cette activité est une personne qui a des informations privilégiées concernant les autres et qui se met à les révéler à ceux qui n’ont aucun besoin de les connaître. La médisance se distingue de l’information par ses intentions. Ceux qui « révèlent les secrets » (ou rapporteurs), ont le désir et le but de paraître supérieurs en dénigrant les autres et en se vantant d’être une sorte de mine ou répertoire de connaissance.

Dans le livre de Romains, Paul révèle la nature pécheresse et l’anarchie de l’humanité, en mentionnant comment Dieu a déversé sa fureur sur ceux qui rejettent ses lois. Puisqu’ils se sont détournés des instructions de Dieu et de sa direction, il les a livrés à leur nature pécheresse. La liste des péchés inclut les rapporteurs et les médisants (Romains 1 :29b-32). Nous voyons dans ce passage combien le péché de médisance est grave et comment il caractérise ceux qui sont sous la colère de Dieu.

Un autre groupe de personnes qui étaient (et sont encore aujourd’hui) connues pour s’adonner à cette activité sont les veuves. Paul met en garde les veuves contre le fait de nourrir cette habitude de commérages et d’oisiveté. Ces femmes sont décrites comme « causeuses et intrigantes, disant ce qu’il ne faut pas dire ». (1 Timothée 5 :12-13). Parce que les femmes ont tendance à passer leur temps les unes chez les autres et à travailler de façon personnelle les unes avec les autres, elles entendent et observent des situations qui peuvent être déformées, et spécialement si elles sont répétées continuellement. Paul déclare que les veuves prennent l’habitude d’aller de maison en maison, cherchant à occuper leur temps. Les mains oisives sont « l’atelier du diable », et Dieu nous met en garde contre le fait de permettre à l’oisiveté de s’installer dans nos vies. « Celui qui répand la calomnie dévoile les secrets ; ne te mêle pas avec celui qui ouvre ses lèvres. »(Proverbes 20 :19).

Les femmes ne sont assurément pas les seules à avoir été coupables de médisance. N’importe qui peut se trouver impliqué dans la médisance par le simple fait de répéter quelque chose qui lui a été confié en privé. Le livre des Proverbes présente une longue liste de versets qui traitent des dangers de la médisance et du mal potentiel qui peut en résulter. « Celui qui méprise son prochain est dépourvu de sens, mais l’homme qui a de l’intelligence se tait. Celui qui répand la calomnie dévoile les secrets, mais celui qui a l’esprit fidèle les garde. » (Proverbes 11 :12-13)

La Bible nous dit que « l’homme pervers excite des querelles, et le rapporteur divise les amis » (Proverbe 16 :28). Combien d’amitiés ont été brisées sur un malentendu qui a commencé par une médisance (ou un commérage). Ceux qui s’engagent dans une telle conduite ne font rien d’autre que soulever des problèmes et engendrer la colère, l’amertume et la peine parmi les amis. Malheureusement, certaines personnes s’en nourrissent et recherchent toutes les opportunités pour détruire les autres. Et lorsque l’on confronte ces personnes, elles nient les allégations et répondent avec des excuses et rationalisent leur conduite.

« Celui qui veille sur sa bouche et sur sa langue préserve son âme des angoisses. » (Proverbes 21 :23). Il nous faut donc veiller sur notre langue et nous abstenir de cette activité charnelle (pécheresse) qu’est la médisance. Si nous soumettons nos désirs naturels au Seigneur, Il va nous aider à rester dans la droiture. Puissions-nous suivre l’enseignement de la Bible sur la médisance (et toute forme de commérage) en gardant notre bouche fermée, à moins qu’il soit nécessaire et approprié de parler.

Le commérage et la médisance : Attention au venin dans nos paroles ! - Page 2 Citations-philosophique-le-silence_2979265-M

par **Gilles** Mer 24 Juin 2015 - 22:58

par **Gilles** Lun 20 Juil 2015 - 14:34

par **Gilles** Dim 2 Aoû 2015 - 13:53

par **P12345** Lun 10 Aoû 2015 - 15:34

Merci Gilles.
L'habitude que j'évoquais était plutôt "solitaire" : soliloquer en me disant à moi-même du mal d'autrui.
Mais ça peut incliner à commérer dès que l'occasion se présente.
Dans une famille que je connais, une fille suivait des thérapies et des groupes de parole relatifs à des situations incestuelles subies enfant(évidemment dans le secret et l'absence de témoins) Dans ces groupes il existait un programme pour "faire face" à ces blessures, notamment "confronter les proches" à la vérité. La jeune fille a donc écrit à deux cousines en employant les termes vagues d'"abus", et elle a essayer de parler à sa mère. En confidence, bien sûr.
Mais les cousines et la mère ne l'ont pas écoutée et elles ont répandu ces informations en commérant sur la jeune fille qui, loin de trouver discrétion et compréhension, a été ostracisée, "lynchée" dans toute sa parentèle. Les parents s'y sont présentés, à force de commérages, comme les victimes d'une pauvre déséquilibrée elle-même victime de charlatans manipulateurs. En réalité la jeune fille a mis fin très rapidement à sa participation à ces groupes. Dans sa famille, les gens ne lui parlent plus, écrivent rarement : on attend le feu vert des parents, plutôt que de lui parler directement à elle. Ils lui ont fait une réputation (calomnieuse, désequilibrée)telle que tout le monde se méfie d'elle. C'est possible car elle n'habite plus la même région.
Depuis de longues années elle passe pour la fausse accusatrice.
Le commérage ne s'efface pas. Vingt ans plus tard, les parents actionnent la "presse" familiale pour l'amener à faire ce qu'ils veulent. Si, pour une raison quelquonque, elle dit non, ils racontent à toute la parentèle qu'elle a "ressorti ses accusations contre eux".
C'est les mêmes méthodes que quand on lynche un député ou un artiste dans les médias !
Et c'est elle qui, malgré son silence, se fait accuser de vouloir lyncher ses parents.

par **P12345** Lun 10 Aoû 2015 - 16:08

Ce qui est étonnant est que les cousines ne lui aient pas répondu, aient comméré , que la maman continue 20 ans plus tard à disqualifier sa fille aux yeux des autres...sans que personne ne cherche à savoir de quoi il retourne réellement.
Personne n'a de contact avec l'ostracisée, tout le monde se réfère à ce que dit sa mère.
Ce qu'elle a confié comme secret à des cousines dont elle se croyait proche a été ébruité mais c'est elle qu'on accuse, malgré vingt années de silence à ce sujet, de vouloir nuire à ses parents.
Apparemment c'est fréquent que dans un cas d'atteintes ou d'agressions sexuelle par des proches la victime "ferme sa gueule" sinon le cercle familial se soude contre elle. La maman lui a dit "le membre gangrené, on l'ampute".
Satan s'est servi des bonnes qualités des membres de cette famille : la solidarité pour l'oncle et la tante, par exemple, le sens de la cohésion familiale, ça les a amenés à ce résultat rien qu'à cause des commérages. Les cousines auraient pu ne pas ébruiter le contenu des lettres, par exemple, et parler directement à la jeune fille, même pour dire "j'hésite à te croire". Mais elles en ont référé à la maman, comme on dénoncerait les bêtises d'un enfant malfaisant. La fille, qui avait alors 25 ans et n'était pas folle du tout, a senti qu'elle ne faisait pas vraiment partie de la famille.

par **P12345** Mar 11 Aoû 2015 - 9:17

Vingt ans plus tard, le poison des commérage est encore "radioactif".
1 on ne sait pas qui dit quoi à qui, qui pense quoi, mais les gens pensent qu'il n'y a pas de fumée sans feu et donc ils gardent une méfiance.
2 la personne objet des commérages n'a plus vraiment sa place, elle n'est pas vue dans sa réalité mais d'après ce que les commérages ont dit d'elle.
3 Peut-on comparer cela à une "mort sociale" (une "mort familiale") ?
J'ai souvent lu/entendu que d'anciennes victimes de mauvais traitements sexuels (c'est un champ très vaste, il inclut aussi l'incestuel = "sans passage à l'acte, mais qui fait aussi beaucoup de dégats) si elles en parlent, la famille se ligue contre elle et défend ses membres.

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