Prophéties pour notre temps
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Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX :: Le Ciel nous parle :: PROPHÉTIES DES SAINTS, DES BIENHEUREUX DE L'ÉGLISE
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Re: Prophéties pour notre temps
Votre rêve est très beau et il me fait penser à la boule de la Rédemption qui va purifier ce vieux monde.Je trouve la fin du rêve assez érotique.
Claudius- Invité
Re: Prophéties pour notre temps
D'accord avec toi Séraphin cela n'a rien d'érotique.... dis moi quand as tu eu ce rêve...?. car j'en ai fait un tout aussi curieux que le tien il y a un an environ et je le raconterai également ensuite....
Mais je voudrai voir d'abord si les choses coincident....
Mais je voudrai voir d'abord si les choses coincident....
marie1- Avec le Pape François
- Messages : 916
Inscription : 02/01/2006
Re: Prophéties pour notre temps
Je plaisantais bien-entendu.Lorsque le mal régnera visiblement sur un trône et que la liberté des enfants de Dieu sera restreinte j' avais lu dans un message du ciel donné à un religieux dont j' ai oublié le nom que nous pourrions nous reconnaître dans la rue, dans les lieux publics entre chrétiens sans nous trahir pour autant.La sainte croix de Jésus sera visible sur nos fronts et nous pourrions la voir, elle sera invisible aux serviteurs du démon.Les anges des cieux vont nous marquer du signe de la croix d' une manière toute spéciale pour la fin des temps.Par le sacrement du baptême nous le sommes déjà mais beaucoup ont apostasiés au Royaume de France et partout dans le monde.Nous n' avons jamais connu une pareille apostasie dans toute l' histoire de l' Eglise.Les femmes commanderont les hommes avec insolence, les enfants commanderont aux parents par la violence, on adorera nos animaux de compagnie sans limites plus que nos propres enfants.Les femmes s' habilleront en homme et les hommes en femme.Nous sommes réellement dans les temps annoncés depuis plusieurs siècles.
Claudius- Invité
LA PLENITUDE DE LA PLENITUDE.
Moi, Jean, j'ai vu un ange qui montait du côté où le soleil se lève avec le sceau qui imprime la marque du Dieu vivant ; d'une voix forte il cria aux quatre anges qui avaient reçu le pouvoir de dévaster la terre et la mer : « Ne dévastez pas la terre, ni la mer, ni les arbres, avant que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu.[2] » Et j'entendis le nombre de ceux qui étaient marqués du sceau : ils étaient cent quarante-quatre mille, douze mille de chacune des douze tribus d'Israël.
Après cela, j'ai vu une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer, une foule de toutes nations, races, peuples et langues. Ils se tenaient debout devant le Trône et devant l'Agneau, en vêtements blancs, avec des palmes à la main. Et ils proclamaient d'une voix forte : « Le salut est donné par notre Dieu, lui qui siège sur le Trône, et par l'Agneau ! » Tous les anges qui se tenaient en cercle autour du Trône, autour des Anciens et des quatre Vivants, se prosternèrent devant le Trône, la face contre terre, pour adorer Dieu. Et ils disaient : « Amen ! Louange, gloire, sagesse et action de grâce, honneur, puissance et force à notre Dieu, pour les siècles des siècles ! Amen ! »
L'un des Anciens prit alors la parole et me dit : « Tous ces gens vêtus de blanc, qui sont-ils, et d'où viennent-ils ? » Je lui répondis : « C'est toi qui le sais, mon Seigneur. » Il reprit : « Ils viennent de la grande épreuve ; ils ont lavé leurs vêtements, ils les ont purifiés dans le sang de l'Agneau. »
(apocalypse de ST Jean)
ps : 144 000 doit être entendu dans un sens symbolique : il s’agit du carré de 12 (lui-même constitué de 3, nombre de Dieu, multiplié par 4, nombre du monde créé) qui représente déjà une multitude infinie, multiplié par 1 000 : la plénitude de la plénitude.
Après cela, j'ai vu une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer, une foule de toutes nations, races, peuples et langues. Ils se tenaient debout devant le Trône et devant l'Agneau, en vêtements blancs, avec des palmes à la main. Et ils proclamaient d'une voix forte : « Le salut est donné par notre Dieu, lui qui siège sur le Trône, et par l'Agneau ! » Tous les anges qui se tenaient en cercle autour du Trône, autour des Anciens et des quatre Vivants, se prosternèrent devant le Trône, la face contre terre, pour adorer Dieu. Et ils disaient : « Amen ! Louange, gloire, sagesse et action de grâce, honneur, puissance et force à notre Dieu, pour les siècles des siècles ! Amen ! »
L'un des Anciens prit alors la parole et me dit : « Tous ces gens vêtus de blanc, qui sont-ils, et d'où viennent-ils ? » Je lui répondis : « C'est toi qui le sais, mon Seigneur. » Il reprit : « Ils viennent de la grande épreuve ; ils ont lavé leurs vêtements, ils les ont purifiés dans le sang de l'Agneau. »
(apocalypse de ST Jean)
ps : 144 000 doit être entendu dans un sens symbolique : il s’agit du carré de 12 (lui-même constitué de 3, nombre de Dieu, multiplié par 4, nombre du monde créé) qui représente déjà une multitude infinie, multiplié par 1 000 : la plénitude de la plénitude.
Claudius- Invité
Re: Prophéties pour notre temps
"une foule de toute nation, races, peuples et langues"
Et après cela certains sont encore racistes ! ..... et qui plus est se prétendent chrétien !
Et pourtant Jésus a bien tout dit, bien tout expliqué.
Et après cela certains sont encore racistes ! ..... et qui plus est se prétendent chrétien !
Et pourtant Jésus a bien tout dit, bien tout expliqué.
marie1- Avec le Pape François
- Messages : 916
Inscription : 02/01/2006
Re: Prophéties pour notre temps
Dieu annonce par l'intermédiaire de la stigmatisée Marie Julie Jahenny
un nouveau "Roi" pour la France
Messages de l'année 1880
(...) "Je suis le Roi de l'Univers. J'ai voulu donner à la France un roi qu'elle a refusé; mais celui que je veux lui donner, elle l'acceptera, le demandera, le placera sur son cœur.
Mais, avant d'avoir ce Roi, la France aura une crise et une tempête violente... Après je vous donnerai un second Roi. J'ai déjà voulu vous le donner; je le redonnerai une seconde fois."(...)
Mes enfants, un grand nombre de ces malheureux qui vont livrer mon peuple à la fureur de ces tigres dévorants, un grand nombre ne périra pas pendant la grande terreur qui sera plus noire que le plafond des abîmes. Mon Fils en laissera beaucoup, presque jusqu'à la fin de cette terrible révolution sanglante.
Voici son dessein : il veut les laisser pour que, de leurs yeux corrompus et corrupteurs, ils voient celui qui est appelé le Sauveur de la France.
Ce sera après une perte immense de tant de chrétiens, de tant d'arbres qui peuplent la France. Ces arbres, c'est mon peuple. Le Sauveur viendra, sous leurs yeux, au milieu de son royaume dépeuplé. Ces arbres seront couchés à terre, sans mouvement... des corps sans vie. (...)
(...) Le Roi que le ciel a élu sera proclamé malgré les hommes, malgré la préférence pour un autre qui n'a ni titre ni dignité pour être proclamé. On ne voudrait pas sortir de la souche séparée qui régnait dernièrement. (la famille d'Orléans)
- O Bonne Mère, ce serait pour notre royaume (la Bretagne) un autre poison à boire !
- Mes enfants, mon Roi est le proclamé du Ciel. Ses fidèles amis seront ses compagnons de triomphe. Tous les amis de ce noble Roi, de ce côté-ci, marcheront à sa rencontre, portant la noble bannière blanche décorée de fleurs royales. Cette bannière ne sera déployée, par les amis de ce côté-ci, qu'en approchant pour saluer le Roi.
Ensuite, cette bannière développée remontera dans ce pauvre royaume, foulant ses terres malgré le parti opposé. Elle flottera sous le souffle d'un vent froid, et sous un firmament étoilé, par un temps sec, malgré le peu de chaleur du soleil.
Mes enfants, la générosité de ce Roi ne se connaîtra pas. On voudra soumettre le peuple ignorant à cette persuasion...
- Je ne connais pas ce mot, Bonne Mère.
- Je veux dire : on voudra persuader que le royaume sera plus malheureux et plus étroitement soumis que sous le règne de celui qui prétendra venir.
Cette persuasion s'étendra partout rapidement. Dans le trouble à son sujet, il circulera des listes de signatures de la part de ceux qui ne veulent pas de son règne.
- Déjà, il en a passé, Bonne Mère.
- Celles qui ont passé, mes enfants, sont bien faibles à côté de celles que l'on fera passer... Tout ce qui se passera encore ne servira à rien. Il a, debout, de fidèles amis qui feront beaucoup pour lui.
Ce beaucoup viendra de mon Fils... Oui, il régnera. Il visitera la terre des martyrs et la Ville Éternelle.
Il sera d'une grande utilité pour l'Eglise, qui souffrira encore dans les autres nations, quand la paix régnera dans celle-ci. (...)
Message du 17 juin 1880
Marie Julie entre dans le degré suprême du soleil, où elle voit toute chose par elle-même.
Elle annonce la difficile arrivée du nouveau Messie, appelé Henri V.
Le premier, comte de Chambord, n'ayant pas régné, le titre reste libre pour un second.
L'extase a été notée par Adolphe Charbonnier.
(...)
Ses lèvres répétaient, à voix basse, des prières qu'on ne pouvait entendre. Comme elle ne pouvait remuer son bras raidi le long du corps, sa mère lui a fait, avec de l'eau bénite, les purifications dont l'extase est toujours précédée.
Puis l'extase a commencé à voix haute.
Gloire au Père...
(...)
«Maintenant, dit le Seigneur, je ne communiquerai plus mes révélations comme au temps passé.
Elles partiront de l'âme, dans le soleil, pour arriver aux oreilles attentives des serviteurs choisis. Toutes ces choses, qui vont sortir de moi-même, auront un cachet différent. Maintenant, que son âme entre dans la profondeur de sa mission divine ! Qu'elle développe, par mon Esprit divin, tout ce que la lumière ouvre devant elle ! »
La paix sera lente à entrer dans notre patrie (la France), une paix véritable aux yeux de Dieu, bonne et sainte.
Quand on annoncera cette paix profonde, qui paraîtra ressembler à celle du temps des rois catholiques et fidèles, c'est à ce moment qu'une attaque violente et une tempête furieuse viendront tout agiter, en un bouleversement effroyable.
Ce bouleversement ne viendra que des hommes qui n'auront pas cessé de régner avec leurs lois de la terre. Dans ce grand renversement qui, de notre patrie, se propagera ailleurs dans le monde, tout semblera atteindre la frayeur d'une nouvelle terreur.
On verra tout se remuer et se renverser avec lenteur. Alors ce sera le dernier effort qui enveloppera presque toute la France, entrée dans l'épouvante et les gémissements.
C'est dans ce coup, dirigé contre la plus grande partie des hommes de ce siècle, qu'aura lieu le départ du Roi, attendu comme un autre Messie, pour rapporter l'honneur et la dignité avec la couronne profanée et le manteau blanc qui, maintenant, est changé en manteau rouge.
Ce sera le départ du Roi Henri V : il viendra pendant que les voix terribles de l'orage et du tumulte retentiront encore. «A nous, diront-elles, d'être une fois de plus vainqueurs en tout ! » Cette dernière parole réduira tous ceux qui sont opposés à la venue du «Prédestiné». Cela se fera par Dieu et la très Sainte Vierge.
L'entrée du Roi sera une prédestination selon la grâce. Déjà toute la France lui est donnée ; elle est confiée à la sollicitude de son cœur. Déjà il règne, sans régner visiblement, mais il règne par la grâce d'une prédestination. C'est la grâce que le Seigneur fait à son peuple qui a persévéré dans l'attente du nouveau Messie, qui a conservé une croyance sincère en son retour, malgré la division du peuple, malgré les voix qui répètent comme impossible la rentrée du Messie nouveau que sera le Roi.
Cette furieuse tempête sera comme les tourbillons qui passent. Elle aveuglera les yeux de ceux qui s'opposeront à l'entrée du Roi. Il traversera leurs rangs ; il passera au milieu de leur cortège révolté, sans qu'aucun de ses ennemis ne puisse mettre obstacle à sa montée sur le trône.
A son arrivée, le trône ne sera pas vide. Le nouveau Messie, sans un mot, sans une parole, s'inclinera simplement devant la place qui est celle de son règne. II ne soufflera pas un mot.
Alors il y aura deux combats : l'un à droite, l'autre à gauche. Ce sera une sorte de dispute violente.
Le nouveau Messie aura marché au milieu de tous les supplices qui tuent les chrétiens.
Il arrivera, sain et sauf, près de la place qui lui est réservée. Il la saluera, genou en terre.
Mais, dans le soleil, je ne le vois pas saluer celui qui y sera et refusera de descendre.
Celui-ci s'obstinera, avec rage, à persister dans le règne qui lui aura été donné par le droit des voix de la majorité.
A ce moment, le nouveau Messie aura une épreuve qui n'est encore connue de personne mais qui, aujourd'hui, sera révélée clairement. Du côté du midi, bien près d'une ville menacée (sans doute
Marseille), il se trouvera un religieux d'un ordre qui existe depuis longtemps. Le soleil ne dit pas son nom. Ce religieux, sur un ordre qu'il dira venu de Dieu ou de Saint Raphaël ou de Saint Paul, fera circuler partout les trois points suivants :
Il prétendra que le nouveau Messie, appelé Henri V, n'est pas élu pour sauver la France, et que jamais la pensée de Dieu n'a révélé cette élection à aucune âme, que c'est une fausse prophétie.
Il attaquera violemment le Sauveur de la France. Ses révélations seront écrites par volumes, avec rapidité, dans le but de jeter sur lui un affreux manteau de reproches aussi infâmes que pervers.
Une circulaire de ce religieux sera remise à ceux qui, déjà, auront placé sur le trône français celui que le Roi doit détrôner et renverser de fond en comble.
Ce religieux, déjà âgé mais pas encore dans l'âge mûr, aura assez d'expérience pour être conscient du mal qu'il se chargera de faire.
_________________
La prière est à l’âme ce que la respiration est au corps.
[i] Tout pour la Gloire de Dieu et que Son Règne d'Amour, de Paix et de Justice Vienne !
Danielle, Québec, Canada, femme de Coeur et d'Amour
un nouveau "Roi" pour la France
Messages de l'année 1880
(...) "Je suis le Roi de l'Univers. J'ai voulu donner à la France un roi qu'elle a refusé; mais celui que je veux lui donner, elle l'acceptera, le demandera, le placera sur son cœur.
Mais, avant d'avoir ce Roi, la France aura une crise et une tempête violente... Après je vous donnerai un second Roi. J'ai déjà voulu vous le donner; je le redonnerai une seconde fois."(...)
Mes enfants, un grand nombre de ces malheureux qui vont livrer mon peuple à la fureur de ces tigres dévorants, un grand nombre ne périra pas pendant la grande terreur qui sera plus noire que le plafond des abîmes. Mon Fils en laissera beaucoup, presque jusqu'à la fin de cette terrible révolution sanglante.
Voici son dessein : il veut les laisser pour que, de leurs yeux corrompus et corrupteurs, ils voient celui qui est appelé le Sauveur de la France.
Ce sera après une perte immense de tant de chrétiens, de tant d'arbres qui peuplent la France. Ces arbres, c'est mon peuple. Le Sauveur viendra, sous leurs yeux, au milieu de son royaume dépeuplé. Ces arbres seront couchés à terre, sans mouvement... des corps sans vie. (...)
(...) Le Roi que le ciel a élu sera proclamé malgré les hommes, malgré la préférence pour un autre qui n'a ni titre ni dignité pour être proclamé. On ne voudrait pas sortir de la souche séparée qui régnait dernièrement. (la famille d'Orléans)
- O Bonne Mère, ce serait pour notre royaume (la Bretagne) un autre poison à boire !
- Mes enfants, mon Roi est le proclamé du Ciel. Ses fidèles amis seront ses compagnons de triomphe. Tous les amis de ce noble Roi, de ce côté-ci, marcheront à sa rencontre, portant la noble bannière blanche décorée de fleurs royales. Cette bannière ne sera déployée, par les amis de ce côté-ci, qu'en approchant pour saluer le Roi.
Ensuite, cette bannière développée remontera dans ce pauvre royaume, foulant ses terres malgré le parti opposé. Elle flottera sous le souffle d'un vent froid, et sous un firmament étoilé, par un temps sec, malgré le peu de chaleur du soleil.
Mes enfants, la générosité de ce Roi ne se connaîtra pas. On voudra soumettre le peuple ignorant à cette persuasion...
- Je ne connais pas ce mot, Bonne Mère.
- Je veux dire : on voudra persuader que le royaume sera plus malheureux et plus étroitement soumis que sous le règne de celui qui prétendra venir.
Cette persuasion s'étendra partout rapidement. Dans le trouble à son sujet, il circulera des listes de signatures de la part de ceux qui ne veulent pas de son règne.
- Déjà, il en a passé, Bonne Mère.
- Celles qui ont passé, mes enfants, sont bien faibles à côté de celles que l'on fera passer... Tout ce qui se passera encore ne servira à rien. Il a, debout, de fidèles amis qui feront beaucoup pour lui.
Ce beaucoup viendra de mon Fils... Oui, il régnera. Il visitera la terre des martyrs et la Ville Éternelle.
Il sera d'une grande utilité pour l'Eglise, qui souffrira encore dans les autres nations, quand la paix régnera dans celle-ci. (...)
Message du 17 juin 1880
Marie Julie entre dans le degré suprême du soleil, où elle voit toute chose par elle-même.
Elle annonce la difficile arrivée du nouveau Messie, appelé Henri V.
Le premier, comte de Chambord, n'ayant pas régné, le titre reste libre pour un second.
L'extase a été notée par Adolphe Charbonnier.
(...)
Ses lèvres répétaient, à voix basse, des prières qu'on ne pouvait entendre. Comme elle ne pouvait remuer son bras raidi le long du corps, sa mère lui a fait, avec de l'eau bénite, les purifications dont l'extase est toujours précédée.
Puis l'extase a commencé à voix haute.
Gloire au Père...
(...)
«Maintenant, dit le Seigneur, je ne communiquerai plus mes révélations comme au temps passé.
Elles partiront de l'âme, dans le soleil, pour arriver aux oreilles attentives des serviteurs choisis. Toutes ces choses, qui vont sortir de moi-même, auront un cachet différent. Maintenant, que son âme entre dans la profondeur de sa mission divine ! Qu'elle développe, par mon Esprit divin, tout ce que la lumière ouvre devant elle ! »
La paix sera lente à entrer dans notre patrie (la France), une paix véritable aux yeux de Dieu, bonne et sainte.
Quand on annoncera cette paix profonde, qui paraîtra ressembler à celle du temps des rois catholiques et fidèles, c'est à ce moment qu'une attaque violente et une tempête furieuse viendront tout agiter, en un bouleversement effroyable.
Ce bouleversement ne viendra que des hommes qui n'auront pas cessé de régner avec leurs lois de la terre. Dans ce grand renversement qui, de notre patrie, se propagera ailleurs dans le monde, tout semblera atteindre la frayeur d'une nouvelle terreur.
On verra tout se remuer et se renverser avec lenteur. Alors ce sera le dernier effort qui enveloppera presque toute la France, entrée dans l'épouvante et les gémissements.
C'est dans ce coup, dirigé contre la plus grande partie des hommes de ce siècle, qu'aura lieu le départ du Roi, attendu comme un autre Messie, pour rapporter l'honneur et la dignité avec la couronne profanée et le manteau blanc qui, maintenant, est changé en manteau rouge.
Ce sera le départ du Roi Henri V : il viendra pendant que les voix terribles de l'orage et du tumulte retentiront encore. «A nous, diront-elles, d'être une fois de plus vainqueurs en tout ! » Cette dernière parole réduira tous ceux qui sont opposés à la venue du «Prédestiné». Cela se fera par Dieu et la très Sainte Vierge.
L'entrée du Roi sera une prédestination selon la grâce. Déjà toute la France lui est donnée ; elle est confiée à la sollicitude de son cœur. Déjà il règne, sans régner visiblement, mais il règne par la grâce d'une prédestination. C'est la grâce que le Seigneur fait à son peuple qui a persévéré dans l'attente du nouveau Messie, qui a conservé une croyance sincère en son retour, malgré la division du peuple, malgré les voix qui répètent comme impossible la rentrée du Messie nouveau que sera le Roi.
Cette furieuse tempête sera comme les tourbillons qui passent. Elle aveuglera les yeux de ceux qui s'opposeront à l'entrée du Roi. Il traversera leurs rangs ; il passera au milieu de leur cortège révolté, sans qu'aucun de ses ennemis ne puisse mettre obstacle à sa montée sur le trône.
A son arrivée, le trône ne sera pas vide. Le nouveau Messie, sans un mot, sans une parole, s'inclinera simplement devant la place qui est celle de son règne. II ne soufflera pas un mot.
Alors il y aura deux combats : l'un à droite, l'autre à gauche. Ce sera une sorte de dispute violente.
Le nouveau Messie aura marché au milieu de tous les supplices qui tuent les chrétiens.
Il arrivera, sain et sauf, près de la place qui lui est réservée. Il la saluera, genou en terre.
Mais, dans le soleil, je ne le vois pas saluer celui qui y sera et refusera de descendre.
Celui-ci s'obstinera, avec rage, à persister dans le règne qui lui aura été donné par le droit des voix de la majorité.
A ce moment, le nouveau Messie aura une épreuve qui n'est encore connue de personne mais qui, aujourd'hui, sera révélée clairement. Du côté du midi, bien près d'une ville menacée (sans doute
Marseille), il se trouvera un religieux d'un ordre qui existe depuis longtemps. Le soleil ne dit pas son nom. Ce religieux, sur un ordre qu'il dira venu de Dieu ou de Saint Raphaël ou de Saint Paul, fera circuler partout les trois points suivants :
Il prétendra que le nouveau Messie, appelé Henri V, n'est pas élu pour sauver la France, et que jamais la pensée de Dieu n'a révélé cette élection à aucune âme, que c'est une fausse prophétie.
Il attaquera violemment le Sauveur de la France. Ses révélations seront écrites par volumes, avec rapidité, dans le but de jeter sur lui un affreux manteau de reproches aussi infâmes que pervers.
Une circulaire de ce religieux sera remise à ceux qui, déjà, auront placé sur le trône français celui que le Roi doit détrôner et renverser de fond en comble.
Ce religieux, déjà âgé mais pas encore dans l'âge mûr, aura assez d'expérience pour être conscient du mal qu'il se chargera de faire.
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La prière est à l’âme ce que la respiration est au corps.
[i] Tout pour la Gloire de Dieu et que Son Règne d'Amour, de Paix et de Justice Vienne !
Danielle, Québec, Canada, femme de Coeur et d'Amour
p13843- Combat l'antechrist
- Messages : 2010
Inscription : 06/04/2007
Re: Prophéties pour notre temps
Bonjour Abel,
Du point de vue liturgique, cette année 2007 qui est le 90ème anniversaire de l'apparition de Fatima, donne une configuration identique à l'année 1917 pour la concordance entre les fêtes religieuses et le calendrier...
Pour le futur prétendant, ne cherchez pas car vous n'y arriverez pas...
Dieu nous le garde au secret pour le protéger et pour nous protéger...
Il faut tout d'abord que la République s'autodétruise...
Monsieur Haman, l'ancien Président du cercle d'étude et de recherche sur l'énigme Louis XVII a dénombrer 101 prétendants !!!...
Contentons-nous de lire les signes des temps, comme m'y invitait un ami prêtre qui m'indiquait les signes suivants :
- (Marie-Antoinette) Ségolène Royal,
- un sarcosis, en latin, sur le Gaffiot, est une tumeur cancéreuse, un e sarcose ou un sarcome, une excroissance de chair, une enflure des bêtes de somme, une maladie bovine (voir Marie-Julie)...
- un sarcosis, en grec, est une transformation en chair, soit au sens religieux, l'incarnation de Notre Seigneur Jésus (voir Clément d'Alexandrie et St Grégoire de Naziance)... Ces signes sont peut-être là pour nous annocer l'avènement prochain, en France , de Maitreya, le Christ du nouvel âge, soit un précurseur de l'Anté-christ...
- Casino (en italien : la petite maison) Royale avec l'agent 007...
Meilleures pensées
Hercule
Du point de vue liturgique, cette année 2007 qui est le 90ème anniversaire de l'apparition de Fatima, donne une configuration identique à l'année 1917 pour la concordance entre les fêtes religieuses et le calendrier...
Pour le futur prétendant, ne cherchez pas car vous n'y arriverez pas...
Dieu nous le garde au secret pour le protéger et pour nous protéger...
Il faut tout d'abord que la République s'autodétruise...
Monsieur Haman, l'ancien Président du cercle d'étude et de recherche sur l'énigme Louis XVII a dénombrer 101 prétendants !!!...
Contentons-nous de lire les signes des temps, comme m'y invitait un ami prêtre qui m'indiquait les signes suivants :
- (Marie-Antoinette) Ségolène Royal,
- un sarcosis, en latin, sur le Gaffiot, est une tumeur cancéreuse, un e sarcose ou un sarcome, une excroissance de chair, une enflure des bêtes de somme, une maladie bovine (voir Marie-Julie)...
- un sarcosis, en grec, est une transformation en chair, soit au sens religieux, l'incarnation de Notre Seigneur Jésus (voir Clément d'Alexandrie et St Grégoire de Naziance)... Ces signes sont peut-être là pour nous annocer l'avènement prochain, en France , de Maitreya, le Christ du nouvel âge, soit un précurseur de l'Anté-christ...
- Casino (en italien : la petite maison) Royale avec l'agent 007...
Meilleures pensées
Hercule
Her- En adoration
- Messages : 2751
Inscription : 10/01/2007
Re: Prophéties pour notre temps
Bonjour,
Merci Pâtre pour tes messages que je collecte aussitôt...
Il ce qui concerne le discernement entre les rêves et les songes, il est fortement conseillé de demander au Seigneur de les renouveler à 2 ou 3 reprises pour les confirmer...
J'ai une amie depuis quelques années qui fait beaucoup de rêves, mais qui visiblement a aussi quelques difficultés par rapport à leurs interprétations... Ainsi depuis 5 ou 6 ans, il ne se passe pas trois mois sans qu'elle me donne de nouvelles dates qui se révèlent toutes être fausses...
A bon entendeur...
Meilleures pensées
Hercule
Merci Pâtre pour tes messages que je collecte aussitôt...
Il ce qui concerne le discernement entre les rêves et les songes, il est fortement conseillé de demander au Seigneur de les renouveler à 2 ou 3 reprises pour les confirmer...
J'ai une amie depuis quelques années qui fait beaucoup de rêves, mais qui visiblement a aussi quelques difficultés par rapport à leurs interprétations... Ainsi depuis 5 ou 6 ans, il ne se passe pas trois mois sans qu'elle me donne de nouvelles dates qui se révèlent toutes être fausses...
A bon entendeur...
Meilleures pensées
Hercule
Her- En adoration
- Messages : 2751
Inscription : 10/01/2007
Re: Prophéties pour notre temps
Mère du Bourg
(1875)
La Mère du Bourg, native de Toulouse, vécut à Limoges où elle fonda la congrégation des sœurs du Sauveur. Fille d’un martyr de la Grande Révolution, elle a été comblée de grâces extraordinaires pendant sa vie. Durant ses oraisons elle se levait de terre. Elle reçut des révélations précieuses sur l’avenir de la France qu’elle rassembla dans un opuscule « Vues intérieures », en 1857 ; Notre Seigneur lui ayant indiqué que ce n’était pas pour elle que ces paroles lui avaient été dites.
Pendant le règne de Louis-Philippe, j’entendit le Seigneur dire d’une voix menaçante à ce roi : « Vous m’avez méprisez ; vous avez fait apostasier mon peuple en le faisant travailler le dimanche. La jeunesse a été livrée aux impies. » Et je compris alors que ce roi serait châtié, et il me fut dit que le temps approchait ; et bientôt on vit éclater la révolution de 1848. Les remparts et les forteresses bâties au mépris de la loi de Dieu (le dimanche), ne purent défendre celui qui les avait fait élevées pour sa sûreté selon les belles paroles de saint Félix : Avec la protection de Jésus-Christ les plus fortes murailles ne sont que des toiles d’araignées. Je compris surtout que c’était la profanation du dimanche qui attirait sur la France les plus terribles fléaux.
Voilà où nous en sommes : les châtiments du Seigneur vont tomber sur nous en diverses manières.
Des fléaux, des troubles, du sang versé. Il y aura dans notre France un renversement effroyable !
Cependant ces jours seront abrégés en faveur des justes.
Dieu élèvera sur le trône un roi modèle, un roi chrétien.
Le fils de saint Louis aimera la religion, la bonté, la justice. Le Seigneur lui donnera la lumière, la sagesse et la puissance.
Lui-même l'a préparé depuis longtemps et l'a fait passer au creuset de l'épreuve et de la souffrance, mais Il va le rappeler de l'exil. Lui, le Seigneur, le prendra par la main et, au jour fixé, Il le replacera sur le trône.
Sa destinée est de réparer et de régénérer ; alors la religion consolée refleurira, et tous les peuples béniront le règne du Prince Dieudonné.
Mais ensuite, le mal reprendra le dessus et durera plus ou moins jusqu’à la fin des temps.
La lumière d’en haut ne m’a pas été donnée pour les derniers évènements du monde dont parle l’Apocalypse.
(1875)
La Mère du Bourg, native de Toulouse, vécut à Limoges où elle fonda la congrégation des sœurs du Sauveur. Fille d’un martyr de la Grande Révolution, elle a été comblée de grâces extraordinaires pendant sa vie. Durant ses oraisons elle se levait de terre. Elle reçut des révélations précieuses sur l’avenir de la France qu’elle rassembla dans un opuscule « Vues intérieures », en 1857 ; Notre Seigneur lui ayant indiqué que ce n’était pas pour elle que ces paroles lui avaient été dites.
Pendant le règne de Louis-Philippe, j’entendit le Seigneur dire d’une voix menaçante à ce roi : « Vous m’avez méprisez ; vous avez fait apostasier mon peuple en le faisant travailler le dimanche. La jeunesse a été livrée aux impies. » Et je compris alors que ce roi serait châtié, et il me fut dit que le temps approchait ; et bientôt on vit éclater la révolution de 1848. Les remparts et les forteresses bâties au mépris de la loi de Dieu (le dimanche), ne purent défendre celui qui les avait fait élevées pour sa sûreté selon les belles paroles de saint Félix : Avec la protection de Jésus-Christ les plus fortes murailles ne sont que des toiles d’araignées. Je compris surtout que c’était la profanation du dimanche qui attirait sur la France les plus terribles fléaux.
Voilà où nous en sommes : les châtiments du Seigneur vont tomber sur nous en diverses manières.
Des fléaux, des troubles, du sang versé. Il y aura dans notre France un renversement effroyable !
Cependant ces jours seront abrégés en faveur des justes.
Dieu élèvera sur le trône un roi modèle, un roi chrétien.
Le fils de saint Louis aimera la religion, la bonté, la justice. Le Seigneur lui donnera la lumière, la sagesse et la puissance.
Lui-même l'a préparé depuis longtemps et l'a fait passer au creuset de l'épreuve et de la souffrance, mais Il va le rappeler de l'exil. Lui, le Seigneur, le prendra par la main et, au jour fixé, Il le replacera sur le trône.
Sa destinée est de réparer et de régénérer ; alors la religion consolée refleurira, et tous les peuples béniront le règne du Prince Dieudonné.
Mais ensuite, le mal reprendra le dessus et durera plus ou moins jusqu’à la fin des temps.
La lumière d’en haut ne m’a pas été donnée pour les derniers évènements du monde dont parle l’Apocalypse.
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Re: Prophéties pour notre temps
Le frère Antoine
(1858)
Le frère Antoine, ermite près d'Aix-la-Chapelle, spécifia en 1858 cette prophétie.
Il ne restera que peu d'hommes et la paix de Dieu sera proclamée sur la terre.
Je vis pour la seconde fois toute l'Allemagne et la France, un frisson me saisit à l'aspect du vide sans exemple qui s'était fait dans les populations de ces deux pays...
A partir de là, l'union et la paix se trouvèrent profondément cimentées entre les deux nations. Les affaires reprirent partout. Des couvents de tous genres furent de nouveau fondés en grand nombre.
(1858)
Le frère Antoine, ermite près d'Aix-la-Chapelle, spécifia en 1858 cette prophétie.
Il ne restera que peu d'hommes et la paix de Dieu sera proclamée sur la terre.
Je vis pour la seconde fois toute l'Allemagne et la France, un frisson me saisit à l'aspect du vide sans exemple qui s'était fait dans les populations de ces deux pays...
A partir de là, l'union et la paix se trouvèrent profondément cimentées entre les deux nations. Les affaires reprirent partout. Des couvents de tous genres furent de nouveau fondés en grand nombre.
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Re: Prophéties pour notre temps
Le saint curé d'Ars
(1859)
Jean-Baptiste-Marie Vianney, le saint curé d'Ars, naquit en 1786 et mourut en 1859. Il prononça des paroles prophétiques qui ont été recueillis.
Jean-Baptiste-Marie Vianney a annoncé la reconstruction de la chapelle de Notre Dame de Fourvière sur un plan et des proportions plus dignes de ce célèbre pèlerinage, en disant que cette reconstitution aura lieu à la suite de grandes calamités qui surviendront dans le pays.
Je suis sûr que l’Eglise d’Angleterre reprendra son ancienne splendeur.
On voudra me canoniser, on n’en aura pas le temps (en 1914).
La Salette fera de plus en plus de bien. Ce sera toujours de mieux en mieux, et dans tout l’univers.
En ce temps-là, les français seront divisés en deux partis, l’un contre l’autre.
On ne se convertira pas, on sera châtiés (en 1870), mais on ne se convertira pas, et alors, il y aura un intervalle ; et alors, ils reviendront (1914).
Ils demanderont davantage ou bien quelque chose, et ils reviendront…
Les ennemis ne s’en iront pas tout à fait, ils reviendront encore et ils détruiront tout sur leur passage ; on ne leur résistera pas (1939).
Il périra beaucoup de monde, plus que la première fois (en 1870), parce qu’on ne se sera converti.
Et il y aura beaucoup de maisons détruites.
On détruira, on détruira. Il y aura bien des bons qui périront. Mais, ceux-là, comme ils seront heureux, oh ! Comme ils seront heureux !
La grosse affaire n’est pas passée. Paris sera démoli et brûlé tout de bon. Pas tout entier cependant.
Mais il va y avoir une limite que la destruction ne franchira pas.
La Maison (des Frères de la Doctrine Chrétienne) ne sera pas démolie, quoi qu’elle doive se trouver sur le chemin de la destruction.
Paris sera changé, et aussi, deux ou trois autres villes.
Mais, il va y avoir de bien plus terribles choses que celles que nous avons vues.
Les ennemis laisseront brûler Paris et ils en seront contents.
Les communistes de Paris, après leurs défaites, se répandront dans toute la France et se multiplieront beaucoup ; ils opprimeront les gens d’ordre ; enfin la guerre civile éclatera partout.
Les méchants se rendront maîtres dans le Nord, l’Est et le Sud-ouest ; ils feront beaucoup de meurtres.
Ils voudront même faire périr tous les prêtres et tous les religieux.
Ce ne sera pas long.
On croira que tout est perdu et le Bon Dieu sauvera tout. Ce sera un signe du jugement dernier.
Après cette affaire, ce grand coup, les choses marcheront bien.
Dieu alors viendra en aide, les bons triompheront, lorsqu’on annoncera le retour du Grand Roi. Celui-ci rétablira une paix et une prospérité sans égales. La religion refleurira plus que jamais.
Ils arriveront près de Poitiers sans trouver de résistance ; mais là, ils seront écrasés par les défenseurs de l’Ouest qui les poursuivront.
On les battra, on les chassera pour tout de bon.
La première fois, ils (nos soldats) ne se seront pas bien battus ; mais cette fois, ils se battront, oh ! comme ils se battront !
Après cela, on leur coupera les vivres et on leur fera éprouver de grandes pertes.
Ils se retireront dans leur pays ; on les accompagnera et il n’y en aura guère qui rentreront ; alors on leur reprendra tout ce qu’ils oint enlevé et même beaucoup plus.
(1859)
Jean-Baptiste-Marie Vianney, le saint curé d'Ars, naquit en 1786 et mourut en 1859. Il prononça des paroles prophétiques qui ont été recueillis.
Jean-Baptiste-Marie Vianney a annoncé la reconstruction de la chapelle de Notre Dame de Fourvière sur un plan et des proportions plus dignes de ce célèbre pèlerinage, en disant que cette reconstitution aura lieu à la suite de grandes calamités qui surviendront dans le pays.
Je suis sûr que l’Eglise d’Angleterre reprendra son ancienne splendeur.
On voudra me canoniser, on n’en aura pas le temps (en 1914).
La Salette fera de plus en plus de bien. Ce sera toujours de mieux en mieux, et dans tout l’univers.
En ce temps-là, les français seront divisés en deux partis, l’un contre l’autre.
On ne se convertira pas, on sera châtiés (en 1870), mais on ne se convertira pas, et alors, il y aura un intervalle ; et alors, ils reviendront (1914).
Ils demanderont davantage ou bien quelque chose, et ils reviendront…
Les ennemis ne s’en iront pas tout à fait, ils reviendront encore et ils détruiront tout sur leur passage ; on ne leur résistera pas (1939).
Il périra beaucoup de monde, plus que la première fois (en 1870), parce qu’on ne se sera converti.
Et il y aura beaucoup de maisons détruites.
On détruira, on détruira. Il y aura bien des bons qui périront. Mais, ceux-là, comme ils seront heureux, oh ! Comme ils seront heureux !
La grosse affaire n’est pas passée. Paris sera démoli et brûlé tout de bon. Pas tout entier cependant.
Mais il va y avoir une limite que la destruction ne franchira pas.
La Maison (des Frères de la Doctrine Chrétienne) ne sera pas démolie, quoi qu’elle doive se trouver sur le chemin de la destruction.
Paris sera changé, et aussi, deux ou trois autres villes.
Mais, il va y avoir de bien plus terribles choses que celles que nous avons vues.
Les ennemis laisseront brûler Paris et ils en seront contents.
Les communistes de Paris, après leurs défaites, se répandront dans toute la France et se multiplieront beaucoup ; ils opprimeront les gens d’ordre ; enfin la guerre civile éclatera partout.
Les méchants se rendront maîtres dans le Nord, l’Est et le Sud-ouest ; ils feront beaucoup de meurtres.
Ils voudront même faire périr tous les prêtres et tous les religieux.
Ce ne sera pas long.
On croira que tout est perdu et le Bon Dieu sauvera tout. Ce sera un signe du jugement dernier.
Après cette affaire, ce grand coup, les choses marcheront bien.
Dieu alors viendra en aide, les bons triompheront, lorsqu’on annoncera le retour du Grand Roi. Celui-ci rétablira une paix et une prospérité sans égales. La religion refleurira plus que jamais.
Ils arriveront près de Poitiers sans trouver de résistance ; mais là, ils seront écrasés par les défenseurs de l’Ouest qui les poursuivront.
On les battra, on les chassera pour tout de bon.
La première fois, ils (nos soldats) ne se seront pas bien battus ; mais cette fois, ils se battront, oh ! comme ils se battront !
Après cela, on leur coupera les vivres et on leur fera éprouver de grandes pertes.
Ils se retireront dans leur pays ; on les accompagnera et il n’y en aura guère qui rentreront ; alors on leur reprendra tout ce qu’ils oint enlevé et même beaucoup plus.
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Re: Prophéties pour notre temps
Pauline Périé
(1860)
Pauline Périé est née à Francoulès, près de Cahors, le 3 octobre 1838. Elle a été favorisée d’apparitions de Notre Seigneur Jésus-Christ et de la Sainte Vierge depuis 1860. Elle est stigmatisée. Voici quelques une de ses révélations :
Le divin Sauveur : Priez toujours et ayez confiance jusqu’à ce que le moment arrive. Je ne puis pas encore vous donner un bon roi. Il y aurait trop de danger pour lui et pour vous.
Il faut d’abord qu’une crise bien terrible arrive, pour que le gouvernement que vous avez tombe tout à fait, que le peuple le connaisse, comprenne combien il est mauvais et qu’il s’en désabuse complètement.
Lorsque ceux qui le composent seront abandonnés à eux-mêmes, ils ne seront capables que d’une chose : ce sera de se donner la mort les uns aux autres.
Alors le peuple se tournera tout entier du bon côté, et il n’y a aucun danger à ce qu’un bon roi monte alors sur le trône.
(1860)
Pauline Périé est née à Francoulès, près de Cahors, le 3 octobre 1838. Elle a été favorisée d’apparitions de Notre Seigneur Jésus-Christ et de la Sainte Vierge depuis 1860. Elle est stigmatisée. Voici quelques une de ses révélations :
Le divin Sauveur : Priez toujours et ayez confiance jusqu’à ce que le moment arrive. Je ne puis pas encore vous donner un bon roi. Il y aurait trop de danger pour lui et pour vous.
Il faut d’abord qu’une crise bien terrible arrive, pour que le gouvernement que vous avez tombe tout à fait, que le peuple le connaisse, comprenne combien il est mauvais et qu’il s’en désabuse complètement.
Lorsque ceux qui le composent seront abandonnés à eux-mêmes, ils ne seront capables que d’une chose : ce sera de se donner la mort les uns aux autres.
Alors le peuple se tournera tout entier du bon côté, et il n’y a aucun danger à ce qu’un bon roi monte alors sur le trône.
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Re: Prophéties pour notre temps
Sœur Marie Steiner
(1862)
Marie-Agnès-Claire Steiner, naquit en Autriche dans le Tyrol en 1813. Elle prit le voile des Clarisses et habita successivement Assise et Pérouse ; elle mourut à Nocera en 1862.
La Sainte Vierge me dit un jour : « Mon Fils doit châtier le monde pour la grande ingratitude et les péchés des hommes, ainsi que pour le peu de foi de tant de chrétiens qui devraient être de vrais enfants de la sainte Eglise. »
En voyant le monde et le cœur de ses habitants, j’ai eu l’impression que j’en mourrais… Je vois le Seigneur qui frappe le monde et le punit d’une manière terrible. Les religieux devront quitter leurs monastères et les religieuses leurs couvents, surtout en Italie. La Sainte Eglise sera persécutée, et Rome sera privée de son Pasteur.
En vérité, il y a peu de justes. J’en vis, sans doute, beaucoup qui se trouvaient être sans péchés mortels et en état de grâce, mais leur prière n’était guère agréable à Dieu, parce que leur cœur était partagé en deux et même en plusieurs compartiments.
Oh ! J’ai vu le Divin Maître en train de fouetter le monde d’une façon terrible, pour que les quelques hommes et femmes qui restent encore, vivent d’une manière vraiment honnête et pleinement chrétienne…
Le Seigneur m’a donné de contempler combien le monde sera beau, une fois le châtiment passé.. Quelle splendeur ! De l’ancien monde, il ne reste que peu, très peu d’hommes. Mais ceux-ci m’ont paru plein de zèle et animés d’un seul désir : louer, adorer et remercier Dieu. Ils ne pensaient aux choses d’ici-bas, ni aux intérêts terrestres ; toutes les aspirations allaient à leur sanctification personnelle. Bref, ils étaient comme les chrétiens des premiers temps de l’Eglise. En voyant un monde aussi beau, je fus grandement consolée et prise d’un saint transport. L’idée me prit de vouloir demeurer en vie, dans des temps si heureux.
(1862)
Marie-Agnès-Claire Steiner, naquit en Autriche dans le Tyrol en 1813. Elle prit le voile des Clarisses et habita successivement Assise et Pérouse ; elle mourut à Nocera en 1862.
La Sainte Vierge me dit un jour : « Mon Fils doit châtier le monde pour la grande ingratitude et les péchés des hommes, ainsi que pour le peu de foi de tant de chrétiens qui devraient être de vrais enfants de la sainte Eglise. »
En voyant le monde et le cœur de ses habitants, j’ai eu l’impression que j’en mourrais… Je vois le Seigneur qui frappe le monde et le punit d’une manière terrible. Les religieux devront quitter leurs monastères et les religieuses leurs couvents, surtout en Italie. La Sainte Eglise sera persécutée, et Rome sera privée de son Pasteur.
En vérité, il y a peu de justes. J’en vis, sans doute, beaucoup qui se trouvaient être sans péchés mortels et en état de grâce, mais leur prière n’était guère agréable à Dieu, parce que leur cœur était partagé en deux et même en plusieurs compartiments.
Oh ! J’ai vu le Divin Maître en train de fouetter le monde d’une façon terrible, pour que les quelques hommes et femmes qui restent encore, vivent d’une manière vraiment honnête et pleinement chrétienne…
Le Seigneur m’a donné de contempler combien le monde sera beau, une fois le châtiment passé.. Quelle splendeur ! De l’ancien monde, il ne reste que peu, très peu d’hommes. Mais ceux-ci m’ont paru plein de zèle et animés d’un seul désir : louer, adorer et remercier Dieu. Ils ne pensaient aux choses d’ici-bas, ni aux intérêts terrestres ; toutes les aspirations allaient à leur sanctification personnelle. Bref, ils étaient comme les chrétiens des premiers temps de l’Eglise. En voyant un monde aussi beau, je fus grandement consolée et prise d’un saint transport. L’idée me prit de vouloir demeurer en vie, dans des temps si heureux.
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Re: Prophéties pour notre temps
Saint Jean Bosco
(1815-1888)
Jean Bosco (1815-1888) est le fondateur de la société de Saint-François-de-Sales et de l'Institut des Filles de Marie-Auxiliatrice.
Il naquit en 1815 dans un village du Piémont. Ses parents étaient de paysans pauvres ; mais sa mère, demeurée veuve avec trois enfants, était une sainte femme ; une de ces femmes qui, par la pureté de leur cœur, en savent plus sur la foi que nombre de nos plus grands théologiens. Demeurée veuve avec trois enfants, sa mère se montra une grande éducatrice à l’école de l’Evangile. Depuis sa plus tendre enfance, Jean Bosco apprit de sa mère à aimer, à prier la Vierge Marie, à avoir souvent recours à elle. A l’âge de 9 ans, Marie lui indiquera la route à suivre. Sous la forme d’un « songe », comme cela lui arrivera plusieurs fois dans sa vie :
« Je suis celle que ta maman t’a appris à prier trois fois par jour »
Le caractère jovial de Jean lui donnait une grande influence sur les enfants de son âge. Avec eux, il savait alterner le jeu, la prière, l’enseignement ; doué d'une mémoire extraordinaire, il était capable de leur communiquer le contenu des sermons entendus à l'église. C'étaient là les premiers signes de sa vocation apostolique. Son coeur, soutenu par celui de sa mère et d'un bon vieux prêtre, aspirait au sacerdoce. La pauvreté, en l'obligeant au travail manuel, semblait lui interdire l'étude. Mais, par la grâce de Dieu, son courage et sa vive intelligence surmontèrent tous les obstacles.
En 1835, il était admis au grand séminaire. "Jean, lui dit sa mère, souviens-toi que ce qui honore un clerc, ce n'est pas l'habit, mais la vertu. Quand tu es venu au monde je t'ai consacré à la Madone; au début de tes études je t'ai recommandé d'être Son enfant; sois à Elle plus que jamais, et fais-La aimer autour de toi."
Au grand séminaire, comme au village et au collège, Jean Bosco préludait à sa mission d'apôtre de la jeunesse et donnait à ses condisciples l'exemple du travail et de la vertu dans la joie. Prêtre en 1841, il vint à Turin. Ému par le spectacle des misères corporelles et spirituelles de la jeunesse abandonnée, il réunit, le dimanche, quelques vagabonds qu'il instruisait, moralisait, faisait prier, tout en leur procurant d'honnêtes distractions. Mais cette oeuvre du dimanche ne suffisait pas à entretenir la vie chrétienne, ni même la vie corporelle, de ces pauvres enfants.
Jean Bosco, bien que dépourvu de toute ressource, entreprit donc d'ouvrir un asile aux plus déshérités. Il acheta pour 30.000 francs une maison payable dans la quinzaine. "Comment! lui dit sa mère devenue son auxiliaire, mais tu n'as pas un sou vaillant!" -- "Voyons! reprit le fils, si vous aviez de l'argent, m'en donneriez-vous? Eh bien, mère, croyez-vous que la Providence, qui est infiniment riche, soit moins bonne que vous ? "
C’est ainsi qu’allait naître les deux communautés destinées à poursuivre son œuvre. Il s’éteignit, épuisé, en 1888, entouré de ses disciples.
Le 14 mai 1862, Don Bosco eut la joie de recevoir les premières professions religieuses de vingt-deux membres de la toute nouvelle Congrégation Salésienne. Il avait de sérieux appuis, leur dit-il, pour penser que Dieu voulait que cette Congrégation fût fondée et durât. En parlant ainsi, Don Bosco manifesta une joie extraordinaire.
Le 30 mai suivant, il raconta à sa communauté un songe en disant qu’on pouvait le considérer comme une parabole ou une comparaison :
Imaginez, dit-il aux jeunes vous trouver avec moi sur un rocher au dessus de la mer et voir, sur la vaste étendue marine, une flotte innombrable de bateaux rangés en bataille, la proue armée d’un éperon de fer. Voyez ces navires, munis de canons, gorgés de matières incendiaires, s’avancer pour livrer bataille à un grand et majestueux vaisseau-amiral, représentant l’Eglise, pour tenter de l’éperonner, de l’incendier et de le faire couler.
A ce majestueux navire, également bien armé, font escorte beaucoup d’autres bateaux, obéissant aux commandements du navire amiral et exécutant des manœuvres pour se préserver des manoeuvres de la flotte ennemie.
Soudain, apparaissent deux très hautes colonnes en granit, s’élevant alors de l’immensité marine, à peu de distance, l’une de l’autre. Sur l’une domine une très belle statue de la Vierge Immaculée, un chapelet dans les mains, avec sous ses pieds, l’inscription où sont gravés les mots latins : "Auxiliatrice des Chrétiens", tandis que sur l'autre colonne, beaucoup plus haute et importante, rayonne une lumineuse et blanche Hostie sous laquelle on peut lire l’inscription : "Salut des croyants".
Le commandant suprême qui veille sur le grand navire, est le pape. En constatant la fureur des ennemis et le péril auquel sont exposés ses fidèles, il convoque autour de lui les pilotes des bâtiments secondaires, afin de tenir conseil et de prendre une décision. Tous les pilotes montent donc sur le navire amiral pour se réunir autour du pape, mais, pendant que se tient cette assemblée, le vent devient de plus en plus furieux et la tempête rugit tellement, que les pilotes doivent retourner au plus tôt gouverner leur petit bateau.
Une accalmie permet au pape de les réunir de nouveau tandis que le navire amiral poursuit sa propre route. La bourrasque reprend hélas avec plus de vigueur et le pape se met à la barre pour guider son navire vers les deux colonnes, du haut desquelles pendent des ancres et de grosses amarres attachées à des chaînes.
Cependant, certains pilotes ennemis s'activent pour l'assaillir, l'arrêter et le couler, tandis que d'autres cherchent à jeter à bord de leurs adversaires toute une profusion de mauvais livres et de matières incendiaires. D'autres encore tirent au canon et au fusil, ou manoeuvrent de leur éperon, en sorte que le combat devient toujours plus acharné. Les proues ennemies jaillissent dans des heurts violents, mais leur effort et leur choc demeurent sans effet. C'est en vain qu'ils renouvellent leurs essais avec des munitions à foison : le navire amiral continue sa route en sûreté et sans dommage. Certaines fois, pourtant, frappé de coups formidables, il porte sur le flan de larges et profondes voies d'eau qui sont merveilleusement refermées au souffle du vent qui sort des deux colonnes.
Les canons des assaillants tonnent, les fusils claquent, les éperons jaillissent, mais de nombreux navires adverses s'enfoncent dans la mer. Alors les ennemis deviennent furieux et combattent à armes rapprochées en proférant des blasphèmes et des malédictions.
Tout à coup, le pape est frappé gravement et tombe avec honneur. Secouru avec sollicitude, il est frappé une seconde fois, tombe de nouveau et meurt. Un cri de victoire rompt alors les poitrines des adversaires, mais, tandis qu'ils exultent sur leurs navires, succède un autre pape qui prend la place du précédent à la barre du navire amiral. Les pilotes réunis en conseil, l'ont élu avec tant de diligence, que la nouvelle de la mort du pape défunt arrive en même temps que celle de l'élection de son successeur. Alors, les adversaires se découragent.
Le nouveau pape surmonte chaque obstacle et guide le navire jusqu'aux deux colonnes. Là, il l'attache par la proue à une ancre de la colonne sur laquelle brille l'Hostie, puis par la poupe à une ancre qui pend de la colonne de l'Immaculée.
Un grand bouleversement arrive alors. Tous les navires sur lesquels on avait combattu contre celui du pape, s'enfuient, se dispersent, se heurtent et se fracassent mutuellement. Ceux qui avaient vaillamment combattu aux côtés du pape avancent vers les colonnes pour s'y attacher. Et les pilotes de beaucoup d'autres petits bateaux, demeurés prudemment à distance pour éviter le naufrage, voyant les débris de tous les navires adverses parmi les remous de la mer, guident leur propre embarcation vers les deux colonnes pour s'y amarrer eux aussi auprès du navire amiral.
Sur la mer règne alors un grand calme. »
Et Don Bosco donna l’explication suivante à ce songe :
« Les navires ennemis sont les futures persécutions contre l’Eglise dont les ennemis sont figurés par les pilotes qui essayent de faire couler le navire papal. Il n ‘y a que deux moyens pour se sortir de cette mêlée : la fréquente communion et la dévotion à Notre Dame. »
Un tableau, exposé dans la Basilique Maria Auxiliatrice à Turin, rappelle ce célèbre songe des "Trois Blancheurs", reçu peu avant le début du 1er Concile du Vatican.
(1815-1888)
Jean Bosco (1815-1888) est le fondateur de la société de Saint-François-de-Sales et de l'Institut des Filles de Marie-Auxiliatrice.
Il naquit en 1815 dans un village du Piémont. Ses parents étaient de paysans pauvres ; mais sa mère, demeurée veuve avec trois enfants, était une sainte femme ; une de ces femmes qui, par la pureté de leur cœur, en savent plus sur la foi que nombre de nos plus grands théologiens. Demeurée veuve avec trois enfants, sa mère se montra une grande éducatrice à l’école de l’Evangile. Depuis sa plus tendre enfance, Jean Bosco apprit de sa mère à aimer, à prier la Vierge Marie, à avoir souvent recours à elle. A l’âge de 9 ans, Marie lui indiquera la route à suivre. Sous la forme d’un « songe », comme cela lui arrivera plusieurs fois dans sa vie :
« Je suis celle que ta maman t’a appris à prier trois fois par jour »
Le caractère jovial de Jean lui donnait une grande influence sur les enfants de son âge. Avec eux, il savait alterner le jeu, la prière, l’enseignement ; doué d'une mémoire extraordinaire, il était capable de leur communiquer le contenu des sermons entendus à l'église. C'étaient là les premiers signes de sa vocation apostolique. Son coeur, soutenu par celui de sa mère et d'un bon vieux prêtre, aspirait au sacerdoce. La pauvreté, en l'obligeant au travail manuel, semblait lui interdire l'étude. Mais, par la grâce de Dieu, son courage et sa vive intelligence surmontèrent tous les obstacles.
En 1835, il était admis au grand séminaire. "Jean, lui dit sa mère, souviens-toi que ce qui honore un clerc, ce n'est pas l'habit, mais la vertu. Quand tu es venu au monde je t'ai consacré à la Madone; au début de tes études je t'ai recommandé d'être Son enfant; sois à Elle plus que jamais, et fais-La aimer autour de toi."
Au grand séminaire, comme au village et au collège, Jean Bosco préludait à sa mission d'apôtre de la jeunesse et donnait à ses condisciples l'exemple du travail et de la vertu dans la joie. Prêtre en 1841, il vint à Turin. Ému par le spectacle des misères corporelles et spirituelles de la jeunesse abandonnée, il réunit, le dimanche, quelques vagabonds qu'il instruisait, moralisait, faisait prier, tout en leur procurant d'honnêtes distractions. Mais cette oeuvre du dimanche ne suffisait pas à entretenir la vie chrétienne, ni même la vie corporelle, de ces pauvres enfants.
Jean Bosco, bien que dépourvu de toute ressource, entreprit donc d'ouvrir un asile aux plus déshérités. Il acheta pour 30.000 francs une maison payable dans la quinzaine. "Comment! lui dit sa mère devenue son auxiliaire, mais tu n'as pas un sou vaillant!" -- "Voyons! reprit le fils, si vous aviez de l'argent, m'en donneriez-vous? Eh bien, mère, croyez-vous que la Providence, qui est infiniment riche, soit moins bonne que vous ? "
C’est ainsi qu’allait naître les deux communautés destinées à poursuivre son œuvre. Il s’éteignit, épuisé, en 1888, entouré de ses disciples.
Le 14 mai 1862, Don Bosco eut la joie de recevoir les premières professions religieuses de vingt-deux membres de la toute nouvelle Congrégation Salésienne. Il avait de sérieux appuis, leur dit-il, pour penser que Dieu voulait que cette Congrégation fût fondée et durât. En parlant ainsi, Don Bosco manifesta une joie extraordinaire.
Le 30 mai suivant, il raconta à sa communauté un songe en disant qu’on pouvait le considérer comme une parabole ou une comparaison :
Imaginez, dit-il aux jeunes vous trouver avec moi sur un rocher au dessus de la mer et voir, sur la vaste étendue marine, une flotte innombrable de bateaux rangés en bataille, la proue armée d’un éperon de fer. Voyez ces navires, munis de canons, gorgés de matières incendiaires, s’avancer pour livrer bataille à un grand et majestueux vaisseau-amiral, représentant l’Eglise, pour tenter de l’éperonner, de l’incendier et de le faire couler.
A ce majestueux navire, également bien armé, font escorte beaucoup d’autres bateaux, obéissant aux commandements du navire amiral et exécutant des manœuvres pour se préserver des manoeuvres de la flotte ennemie.
Soudain, apparaissent deux très hautes colonnes en granit, s’élevant alors de l’immensité marine, à peu de distance, l’une de l’autre. Sur l’une domine une très belle statue de la Vierge Immaculée, un chapelet dans les mains, avec sous ses pieds, l’inscription où sont gravés les mots latins : "Auxiliatrice des Chrétiens", tandis que sur l'autre colonne, beaucoup plus haute et importante, rayonne une lumineuse et blanche Hostie sous laquelle on peut lire l’inscription : "Salut des croyants".
Le commandant suprême qui veille sur le grand navire, est le pape. En constatant la fureur des ennemis et le péril auquel sont exposés ses fidèles, il convoque autour de lui les pilotes des bâtiments secondaires, afin de tenir conseil et de prendre une décision. Tous les pilotes montent donc sur le navire amiral pour se réunir autour du pape, mais, pendant que se tient cette assemblée, le vent devient de plus en plus furieux et la tempête rugit tellement, que les pilotes doivent retourner au plus tôt gouverner leur petit bateau.
Une accalmie permet au pape de les réunir de nouveau tandis que le navire amiral poursuit sa propre route. La bourrasque reprend hélas avec plus de vigueur et le pape se met à la barre pour guider son navire vers les deux colonnes, du haut desquelles pendent des ancres et de grosses amarres attachées à des chaînes.
Cependant, certains pilotes ennemis s'activent pour l'assaillir, l'arrêter et le couler, tandis que d'autres cherchent à jeter à bord de leurs adversaires toute une profusion de mauvais livres et de matières incendiaires. D'autres encore tirent au canon et au fusil, ou manoeuvrent de leur éperon, en sorte que le combat devient toujours plus acharné. Les proues ennemies jaillissent dans des heurts violents, mais leur effort et leur choc demeurent sans effet. C'est en vain qu'ils renouvellent leurs essais avec des munitions à foison : le navire amiral continue sa route en sûreté et sans dommage. Certaines fois, pourtant, frappé de coups formidables, il porte sur le flan de larges et profondes voies d'eau qui sont merveilleusement refermées au souffle du vent qui sort des deux colonnes.
Les canons des assaillants tonnent, les fusils claquent, les éperons jaillissent, mais de nombreux navires adverses s'enfoncent dans la mer. Alors les ennemis deviennent furieux et combattent à armes rapprochées en proférant des blasphèmes et des malédictions.
Tout à coup, le pape est frappé gravement et tombe avec honneur. Secouru avec sollicitude, il est frappé une seconde fois, tombe de nouveau et meurt. Un cri de victoire rompt alors les poitrines des adversaires, mais, tandis qu'ils exultent sur leurs navires, succède un autre pape qui prend la place du précédent à la barre du navire amiral. Les pilotes réunis en conseil, l'ont élu avec tant de diligence, que la nouvelle de la mort du pape défunt arrive en même temps que celle de l'élection de son successeur. Alors, les adversaires se découragent.
Le nouveau pape surmonte chaque obstacle et guide le navire jusqu'aux deux colonnes. Là, il l'attache par la proue à une ancre de la colonne sur laquelle brille l'Hostie, puis par la poupe à une ancre qui pend de la colonne de l'Immaculée.
Un grand bouleversement arrive alors. Tous les navires sur lesquels on avait combattu contre celui du pape, s'enfuient, se dispersent, se heurtent et se fracassent mutuellement. Ceux qui avaient vaillamment combattu aux côtés du pape avancent vers les colonnes pour s'y attacher. Et les pilotes de beaucoup d'autres petits bateaux, demeurés prudemment à distance pour éviter le naufrage, voyant les débris de tous les navires adverses parmi les remous de la mer, guident leur propre embarcation vers les deux colonnes pour s'y amarrer eux aussi auprès du navire amiral.
Sur la mer règne alors un grand calme. »
Et Don Bosco donna l’explication suivante à ce songe :
« Les navires ennemis sont les futures persécutions contre l’Eglise dont les ennemis sont figurés par les pilotes qui essayent de faire couler le navire papal. Il n ‘y a que deux moyens pour se sortir de cette mêlée : la fréquente communion et la dévotion à Notre Dame. »
Un tableau, exposé dans la Basilique Maria Auxiliatrice à Turin, rappelle ce célèbre songe des "Trois Blancheurs", reçu peu avant le début du 1er Concile du Vatican.
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Re: Prophéties pour notre temps
Père Louis-Edouard Cestac
(1864-01-13)
Le 13 janvier 1864, une âme accoutumée aux bontés de la Très Sainte Vierge, le Père Louis-Edouard Cestac (fondateur de la Congrégation des Servantes de Marie, au sanctuaire de Notre Dame du Refuge, à Anglet, entre Bayonne et Biarritz, dans les Pyrénées Atlantique, décédé en 1868), fut subitement frappé comme d’un rayon de clarté divine. Il vit les démons répandus sur la terre, y causant des ravages inexprimables. En même temps, il eut une vision de la Très Sainte Vierge. Cette bonne Mère lui dit qu’en effet les démons étaient déchaînés dans le monde et que l’heure était venue de la prier comme Reine des Anges et de Lui demander d’envoyer les Légions Saintes pour combattre et terrasser les puissances de l’enfer.
Ma Mère, dit le prêtre, vous qui êtes si bonne, ne pourriez-vous pas les envoyer sans que l’on vous le demande ? – Non, répondit la Très Sainte Vierge, la prière est une condition posée par Dieu même pour l’obtention des grâces. – Eh bien ma Mère, reprit le prêtre, voudriez-vous m’enseigner vous-même comme il faut vous prier ? Et il reçut de la Très Sainte Vierge la prière : « Auguste Reine. »
« Mon premier devoir fut de présenter cette prière à Monseigneur La croix, évêque de Bayonne, qui daigna l’approuver. Ce devoir accompli, j’en fis tirer 500.000 exemplaires, j’eus soin de les envoyer partout. »
« Nous ne devons pas oublier de dire que lors de la première impression, les presses se brisèrent par deux fois. »
Sous l’impulsion du Vénérable Père Louis Edouard Cestac, cette prière s’est répandue dans l’univers catholique, accompagnée partout de faveurs extraordinaires.
PRIERE A LA VIERGE
Auguste Reine des cieux, souveraine maîtresse des Anges,
Vous qui, dès le commencement, avez reçu de Dieu
le pouvoir et la mission d'écraser la tête de Satan,
Nous vous le demandons humblement,
Envoyez vos légions célestes pour que,
sous vos ordres, et par votre puissance,
Elles poursuivent les démons, les combattent partout,
Répriment leur audace, et les refoulent dans l'abîme.
QUI EST COMME DIEU ?
O bonne et tendre mère,
Vous serez toujours notre Amour et notre espérance.
O Divine Mère,
Envoyez les Saints Anges pour nous défendre,
Et repousser loin de nous le cruel ennemi.
Saints Anges et Archanges,
Défendez nous, gardez nous.
Imprimatur – Cambrai, le 26 février 1912 – A. Massart, vicaire général.
Prière authentique indulgenciée par Saint Pie X, pour 300 jours d’indulgence, une fois par jour (par int. De SS. Pie X. 8 juillet 1908).
Texte authentique de la prière dictée au Père Cestac, le 13 janvier 1864. Il est très fortement recommandé de l’apprendre par cœur :
Âmes dévouées à la Très Sainte Mère de Dieu et à la sainte Eglise, récitez cette prière chaque jour. Dans les cas difficiles, récitez-la aussi neuf fois de suite, en neuvaine pour les neuf cœurs des Anges, faites reproduire cette humble prière qui est un très puissant exorcisme, et répandez-la à profusion autour de vous et par toute la terre.
(1864-01-13)
Le 13 janvier 1864, une âme accoutumée aux bontés de la Très Sainte Vierge, le Père Louis-Edouard Cestac (fondateur de la Congrégation des Servantes de Marie, au sanctuaire de Notre Dame du Refuge, à Anglet, entre Bayonne et Biarritz, dans les Pyrénées Atlantique, décédé en 1868), fut subitement frappé comme d’un rayon de clarté divine. Il vit les démons répandus sur la terre, y causant des ravages inexprimables. En même temps, il eut une vision de la Très Sainte Vierge. Cette bonne Mère lui dit qu’en effet les démons étaient déchaînés dans le monde et que l’heure était venue de la prier comme Reine des Anges et de Lui demander d’envoyer les Légions Saintes pour combattre et terrasser les puissances de l’enfer.
Ma Mère, dit le prêtre, vous qui êtes si bonne, ne pourriez-vous pas les envoyer sans que l’on vous le demande ? – Non, répondit la Très Sainte Vierge, la prière est une condition posée par Dieu même pour l’obtention des grâces. – Eh bien ma Mère, reprit le prêtre, voudriez-vous m’enseigner vous-même comme il faut vous prier ? Et il reçut de la Très Sainte Vierge la prière : « Auguste Reine. »
« Mon premier devoir fut de présenter cette prière à Monseigneur La croix, évêque de Bayonne, qui daigna l’approuver. Ce devoir accompli, j’en fis tirer 500.000 exemplaires, j’eus soin de les envoyer partout. »
« Nous ne devons pas oublier de dire que lors de la première impression, les presses se brisèrent par deux fois. »
Sous l’impulsion du Vénérable Père Louis Edouard Cestac, cette prière s’est répandue dans l’univers catholique, accompagnée partout de faveurs extraordinaires.
PRIERE A LA VIERGE
Auguste Reine des cieux, souveraine maîtresse des Anges,
Vous qui, dès le commencement, avez reçu de Dieu
le pouvoir et la mission d'écraser la tête de Satan,
Nous vous le demandons humblement,
Envoyez vos légions célestes pour que,
sous vos ordres, et par votre puissance,
Elles poursuivent les démons, les combattent partout,
Répriment leur audace, et les refoulent dans l'abîme.
QUI EST COMME DIEU ?
O bonne et tendre mère,
Vous serez toujours notre Amour et notre espérance.
O Divine Mère,
Envoyez les Saints Anges pour nous défendre,
Et repousser loin de nous le cruel ennemi.
Saints Anges et Archanges,
Défendez nous, gardez nous.
Imprimatur – Cambrai, le 26 février 1912 – A. Massart, vicaire général.
Prière authentique indulgenciée par Saint Pie X, pour 300 jours d’indulgence, une fois par jour (par int. De SS. Pie X. 8 juillet 1908).
Texte authentique de la prière dictée au Père Cestac, le 13 janvier 1864. Il est très fortement recommandé de l’apprendre par cœur :
Âmes dévouées à la Très Sainte Mère de Dieu et à la sainte Eglise, récitez cette prière chaque jour. Dans les cas difficiles, récitez-la aussi neuf fois de suite, en neuvaine pour les neuf cœurs des Anges, faites reproduire cette humble prière qui est un très puissant exorcisme, et répandez-la à profusion autour de vous et par toute la terre.
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Re: Prophéties pour notre temps
Hercule
Peux tu trouver dans tes archives que tu as l'air d'avoir très nombreuses qui est "soeur Marie-Thé" qui a eu une prophétie semble t'il très très récemment puisque en ce qui concerne la France cela date de moins de 2 ans.
Merci d'avance
Peux tu trouver dans tes archives que tu as l'air d'avoir très nombreuses qui est "soeur Marie-Thé" qui a eu une prophétie semble t'il très très récemment puisque en ce qui concerne la France cela date de moins de 2 ans.
Merci d'avance
marie1- Avec le Pape François
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Re: Prophéties pour notre temps
Térésa Musco(une stigmatisée italienne dont le proces de béatification est ouvertdécédée en 1976). Le monde — explique la Vierge Marie — courre vers une grande ruine… Le peuple se fourvoie de plus en plus… »
Et, comme pour bien marquer l’esprit de ses enfants, Marie nous mets en garde contre les châtiments qui peuvent tomber sur nous, si nous ne rebroussons pas chemin :
« Feu et fumée envelopperont le monde. L’eau des océans deviendra feu et vapeur. L’écume s’élèvera, couvrira l’Europe, et transformera tout en une lave de feu, et des millions d’hommes et d’enfants périront dans ce feu, et les rares qui en échapperont envieront ceux qui sont morts. Parce que, de quelque côté qu’ils regarderont, ils ne verront que sang, morts et ruines, dans le monde entier ».
Teresa n’avait alors que huit ans, quand elle reçut cette terrible confidence de la Madone. Comment a-t-elle réagi alors ?
Nous aimerions bien le savoir, mais de son Journal spirituel nous n’avons que des bribes, malheureusement, qui ne nous permettent pas de nous en faire une idée précise. Mais il est légitime de penser qu’une telle confidence laissa des traces sur son cœur d’enfant. Toutefois, il est aussi légitime également de penser que la Vierge Marie sait très bien ce qu’Elle fait et, si Elle a jugé bon de révéler à une enfant des choses aussi terribles, c’est que cette dernière était capable de les recevoir, même si, nous le pensons, vu son âge, elle n’en avait pas la même approche qu’un adulte.
Sainte et heureuse simplicité des enfants !
Autres messages eschatologiques
Bien que ce ne soit pas notre propos ici, nous allons transcrire quelques autres messages reçus par Teresa et qui ont, bien entendu, un caractère eschatologique évident.
Il n’est pas dans notre propos de les commenter, car toute argumentation apparaîtrait, nous le pensons vraiment, aux yeux de nos lecteurs, comme une spéculation vaniteuse, car ce serait essayer de scruter la pensée de Dieu qui seul connaît l’avenir ; un avenir que nos prières peuvent changer du tout au tout, tellement infinie est la miséricorde divine.
20 mai 1951
« Teresa, fille de mon cœur, je suis ici pour te confier des choses que tu devras garder pour toi seule, jusqu'à ce que je le souhaite. Tu verras beaucoup de changements dans l'église. Les chrétiens qui prient seront peu nombreux. Beaucoup d'âmes marchent vers l'enfer. Les femmes perdront la pudeur et la honte. Satanas prendra leur forme pour en faire tomber beaucoup. Dans le monde il y aura des crises communes. Le gouvernement tombera. Le pape passera des heures d'agonie ; à la fin je serai là pour les conduire au paradis. Une grande guerre aura lieu. Le nombre de morts et blessés sera incalculable. Satanas chantera victoire mais sera alors le moment où tous verront apparaître mon Fils sur les nuages et Il jugera tous ceux qui ont dédaigné son sang innocent et divin. Alors mon coeur immaculé triomphera ».
13 août 1951
« Ma fille, je suis ici pour te dire que le Père enverra une grande punition au genre humain dans la seconde moitié du XXe siècle. Sache ma fille que Satan règne chez ceux qui occupent les plus hauts postes. Quand Satan arrivera en haut de l'Église, il pensera qu’à ce moment-là il sera parvenu à séduire les esprits des grands scientifiques et c’est à ce moment-là qu’ils interviendront avec des armes très puissantes avec lesquelles il est possible de détruire une grande partie de l'humanité ».
7 octobre 1951
« Ma fille, les tribulations que le père a destinées à l'Italie sont préparées et seules les âmes qui se sont offertes comme victimes peuvent toucher pleinement le cœur de mon fils et du père. À partir de 1972 on entamera le temps de Satanas, les cardinaux s'opposeront aux cardinaux et les évêques aux évêques. Tu te trouves au milieu d'une génération très difficile, dans laquelle on prétend tout expliquer par scientifiquement et personne ne pense donner un peu de chaleur, un peu d'amour, compris aux plus pauvres ».Nous pouvons penser que vu que rien n'a eu lieu dans la 2e moitié du siecle passé ,que,la Vierge a réussie a remmetre a plus tard ce chatiment mais de combien d'années....Patre blessé
Et, comme pour bien marquer l’esprit de ses enfants, Marie nous mets en garde contre les châtiments qui peuvent tomber sur nous, si nous ne rebroussons pas chemin :
« Feu et fumée envelopperont le monde. L’eau des océans deviendra feu et vapeur. L’écume s’élèvera, couvrira l’Europe, et transformera tout en une lave de feu, et des millions d’hommes et d’enfants périront dans ce feu, et les rares qui en échapperont envieront ceux qui sont morts. Parce que, de quelque côté qu’ils regarderont, ils ne verront que sang, morts et ruines, dans le monde entier ».
Teresa n’avait alors que huit ans, quand elle reçut cette terrible confidence de la Madone. Comment a-t-elle réagi alors ?
Nous aimerions bien le savoir, mais de son Journal spirituel nous n’avons que des bribes, malheureusement, qui ne nous permettent pas de nous en faire une idée précise. Mais il est légitime de penser qu’une telle confidence laissa des traces sur son cœur d’enfant. Toutefois, il est aussi légitime également de penser que la Vierge Marie sait très bien ce qu’Elle fait et, si Elle a jugé bon de révéler à une enfant des choses aussi terribles, c’est que cette dernière était capable de les recevoir, même si, nous le pensons, vu son âge, elle n’en avait pas la même approche qu’un adulte.
Sainte et heureuse simplicité des enfants !
Autres messages eschatologiques
Bien que ce ne soit pas notre propos ici, nous allons transcrire quelques autres messages reçus par Teresa et qui ont, bien entendu, un caractère eschatologique évident.
Il n’est pas dans notre propos de les commenter, car toute argumentation apparaîtrait, nous le pensons vraiment, aux yeux de nos lecteurs, comme une spéculation vaniteuse, car ce serait essayer de scruter la pensée de Dieu qui seul connaît l’avenir ; un avenir que nos prières peuvent changer du tout au tout, tellement infinie est la miséricorde divine.
20 mai 1951
« Teresa, fille de mon cœur, je suis ici pour te confier des choses que tu devras garder pour toi seule, jusqu'à ce que je le souhaite. Tu verras beaucoup de changements dans l'église. Les chrétiens qui prient seront peu nombreux. Beaucoup d'âmes marchent vers l'enfer. Les femmes perdront la pudeur et la honte. Satanas prendra leur forme pour en faire tomber beaucoup. Dans le monde il y aura des crises communes. Le gouvernement tombera. Le pape passera des heures d'agonie ; à la fin je serai là pour les conduire au paradis. Une grande guerre aura lieu. Le nombre de morts et blessés sera incalculable. Satanas chantera victoire mais sera alors le moment où tous verront apparaître mon Fils sur les nuages et Il jugera tous ceux qui ont dédaigné son sang innocent et divin. Alors mon coeur immaculé triomphera ».
13 août 1951
« Ma fille, je suis ici pour te dire que le Père enverra une grande punition au genre humain dans la seconde moitié du XXe siècle. Sache ma fille que Satan règne chez ceux qui occupent les plus hauts postes. Quand Satan arrivera en haut de l'Église, il pensera qu’à ce moment-là il sera parvenu à séduire les esprits des grands scientifiques et c’est à ce moment-là qu’ils interviendront avec des armes très puissantes avec lesquelles il est possible de détruire une grande partie de l'humanité ».
7 octobre 1951
« Ma fille, les tribulations que le père a destinées à l'Italie sont préparées et seules les âmes qui se sont offertes comme victimes peuvent toucher pleinement le cœur de mon fils et du père. À partir de 1972 on entamera le temps de Satanas, les cardinaux s'opposeront aux cardinaux et les évêques aux évêques. Tu te trouves au milieu d'une génération très difficile, dans laquelle on prétend tout expliquer par scientifiquement et personne ne pense donner un peu de chaleur, un peu d'amour, compris aux plus pauvres ».Nous pouvons penser que vu que rien n'a eu lieu dans la 2e moitié du siecle passé ,que,la Vierge a réussie a remmetre a plus tard ce chatiment mais de combien d'années....Patre blessé
p13843- Combat l'antechrist
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Re: Prophéties pour notre temps
Merci Hercule, mais je réitère ma question : qui est soeur Marie-Thé ?????
marie1- Avec le Pape François
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Re: Prophéties pour notre temps
Bonjour Marip,
Il y a de nos jours beaucoup d'âmes privilégiées dont beaucoup de messagers...
et au milieu de tout cela quelques faux prophètes...
"Je répandrai mon Esprit sur toute chair..."
Je ne les connais pas tous et j'avoue que j'ai du mal à suivre l'actualité du St Esprit... Et de toute manière, nous ne sommes pas appelés à courir derrière toutes les âmes choisies...
Désolé mais je ne connais pas Marie-Thé....
Meilleures pensées
Hercule
Il y a de nos jours beaucoup d'âmes privilégiées dont beaucoup de messagers...
et au milieu de tout cela quelques faux prophètes...
"Je répandrai mon Esprit sur toute chair..."
Je ne les connais pas tous et j'avoue que j'ai du mal à suivre l'actualité du St Esprit... Et de toute manière, nous ne sommes pas appelés à courir derrière toutes les âmes choisies...
Désolé mais je ne connais pas Marie-Thé....
Meilleures pensées
Hercule
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Re: Prophéties pour notre temps
Saint Colomban
(0500)
Saint Colomban annonce :
Ecoutez, écoutez ce qui arrivera dans les derniers jours du monde !
Il y aura de grands carnages…
Des lois injustes seront promulguées…
On pillera la propriété cde l’Eglise…
On emploiera beaucoup à lire et à écrire…
On se moquera des actes d’humilité et de charité.
Le commun des peuples adoptera de fausses idées.
Les arbres ne porteront plus autant de fruits,
et la terre ne rendra plus comme auparavant.
Avec le mauvais temps et la famine,
le peuple languira jusqu’à la mort.
Des ouragans effrayants balaieront la terre,
Et les maladies sans nombre affligeront les hommes.
Alors, un événement grandiose surviendra.
Je ne peux pas le voir…
Si vous n’êtes pas vraiment vertueux,
On ne pourra imaginer pour vous d’événement plus douloureux.
(0500)
Saint Colomban annonce :
Ecoutez, écoutez ce qui arrivera dans les derniers jours du monde !
Il y aura de grands carnages…
Des lois injustes seront promulguées…
On pillera la propriété cde l’Eglise…
On emploiera beaucoup à lire et à écrire…
On se moquera des actes d’humilité et de charité.
Le commun des peuples adoptera de fausses idées.
Les arbres ne porteront plus autant de fruits,
et la terre ne rendra plus comme auparavant.
Avec le mauvais temps et la famine,
le peuple languira jusqu’à la mort.
Des ouragans effrayants balaieront la terre,
Et les maladies sans nombre affligeront les hommes.
Alors, un événement grandiose surviendra.
Je ne peux pas le voir…
Si vous n’êtes pas vraiment vertueux,
On ne pourra imaginer pour vous d’événement plus douloureux.
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Re: Prophéties pour notre temps
Bienheureux Amédée Ier de La Tour
(1168)
Le Bienheureux Amédée Ier de La Tour, évêque de Sion de 1163 à 1168, selon ce que lui révéla l’archange Gabriel :
Elu par Dieu, le Saint Pontife purifiera et réformera l’Eglise ; tous l’admireront. Avec cette réforme viendra la paix universelle ; tout le monde acceptera la foi véritable et vivra dans la crainte de Dieu…
(1168)
Le Bienheureux Amédée Ier de La Tour, évêque de Sion de 1163 à 1168, selon ce que lui révéla l’archange Gabriel :
Elu par Dieu, le Saint Pontife purifiera et réformera l’Eglise ; tous l’admireront. Avec cette réforme viendra la paix universelle ; tout le monde acceptera la foi véritable et vivra dans la crainte de Dieu…
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Re: Prophéties pour notre temps
Saint Anselme
(1200)
Saint Anselme, évêque de Sunium en Grèce au XIIIème siècle.
« Malheur à toi, ville des sept collines. Quand la lettre K sera acclamée à l’intérieur de tes murailles, alors ta chute sera proche. Tes gouvernants seront détruits. Par tes crimes et tes blasphèmes, tu as irrité le Très-Haut ; tu périras dans la déroute et le sang. »
Karol était le prénom de Jean-Paul II.
(1200)
Saint Anselme, évêque de Sunium en Grèce au XIIIème siècle.
« Malheur à toi, ville des sept collines. Quand la lettre K sera acclamée à l’intérieur de tes murailles, alors ta chute sera proche. Tes gouvernants seront détruits. Par tes crimes et tes blasphèmes, tu as irrité le Très-Haut ; tu périras dans la déroute et le sang. »
Karol était le prénom de Jean-Paul II.
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Re: Prophéties pour notre temps
Abbé Werdin d’Otrante
(1279)
Werdin, Abbé d’Otrante prophétise sur l’ouverture du 6e sceau en 1279 :
« Le Grand Monarque et de Grand Pape précèderont l’Antéchrist. Une guerre générale durera quatre ans, et la plus grande partie du monde sera détruite. Le Pape quittera Rome et s’en ira vers un pays d’outremer. Après la victoire du Pape et du Grand Monarque, la paix règnera sur terre.
Lorsque sur la chaire de Pierre brillera une étoile éclatante, élue contre l’attente des hommes, au sein d’une grande lutte électorale, étoile dont la splendeur illuminera l’Eglise Universelle, le tombeau qui renfermera mon corps sera ouvert. Le bon Pasteur gardé par les Anges, réparera bien des choses…
Alors, un gracieux jeune homme de la postérité de Pépin, se trouvant en pays étranger, viendra pour contempler la gloire de ce Pasteur. Lequel Pasteur placera d’une manière admirable ce jeune homme sur le Trône de France jusque là vacant.
Il le couronnera et l’appellera lui-même en aide dans son propre gouvernement. Après un petit nombre d’année, cette étoile s’éteindra et le deuil sera général... »
(1279)
Werdin, Abbé d’Otrante prophétise sur l’ouverture du 6e sceau en 1279 :
« Le Grand Monarque et de Grand Pape précèderont l’Antéchrist. Une guerre générale durera quatre ans, et la plus grande partie du monde sera détruite. Le Pape quittera Rome et s’en ira vers un pays d’outremer. Après la victoire du Pape et du Grand Monarque, la paix règnera sur terre.
Lorsque sur la chaire de Pierre brillera une étoile éclatante, élue contre l’attente des hommes, au sein d’une grande lutte électorale, étoile dont la splendeur illuminera l’Eglise Universelle, le tombeau qui renfermera mon corps sera ouvert. Le bon Pasteur gardé par les Anges, réparera bien des choses…
Alors, un gracieux jeune homme de la postérité de Pépin, se trouvant en pays étranger, viendra pour contempler la gloire de ce Pasteur. Lequel Pasteur placera d’une manière admirable ce jeune homme sur le Trône de France jusque là vacant.
Il le couronnera et l’appellera lui-même en aide dans son propre gouvernement. Après un petit nombre d’année, cette étoile s’éteindra et le deuil sera général... »
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Re: Prophéties pour notre temps
Pape Saint Célestin V
(1296)
Saint Célestin V (1251-1296), ermite, le seul Pape qui ait abdiqué, ajoute, dans sa prophétie attribuée à Saint Cyrille, qu’avant la fin des temps :
« Avant la rénovation de l’Eglise, Dieu permettra que le Saint Siège soit vaquant (pour un temps long). L’empereur d’Allemagne voudra y placer un anti-pape, qu’il envahirait Rome avec une armée et martyriserait beaucoup de prêtres et de religieux. Alors sera élu un Pape ermite, qui rétablira la paix. »
(1296)
Saint Célestin V (1251-1296), ermite, le seul Pape qui ait abdiqué, ajoute, dans sa prophétie attribuée à Saint Cyrille, qu’avant la fin des temps :
« Avant la rénovation de l’Eglise, Dieu permettra que le Saint Siège soit vaquant (pour un temps long). L’empereur d’Allemagne voudra y placer un anti-pape, qu’il envahirait Rome avec une armée et martyriserait beaucoup de prêtres et de religieux. Alors sera élu un Pape ermite, qui rétablira la paix. »
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Re: Prophéties pour notre temps
Prophétie germanique
(1600)
Il y aura une grande guerre à l’issue de laquelle le Kaiser devra quitter son pays. Des temps troublés s’ensuivront, bien que le monde soit encore en paix. Puis, un homme de basse extraction s’emparera du pouvoir et remportera de telles victoires que le Pays sera appelé « La grande Germanie ». Il restera peu de juifs alors. Mais la Patrie sera vaincue et redeviendra petite. Puis, un chef catholique lui rendra son prestige et sa puissance. En ces temps-là, règnera un Pape qui occupera le trône de Pierre depuis peu de temps seulement et qui, en raison des circonstances, sera obligé de quitter Rome.
(1600)
Il y aura une grande guerre à l’issue de laquelle le Kaiser devra quitter son pays. Des temps troublés s’ensuivront, bien que le monde soit encore en paix. Puis, un homme de basse extraction s’emparera du pouvoir et remportera de telles victoires que le Pays sera appelé « La grande Germanie ». Il restera peu de juifs alors. Mais la Patrie sera vaincue et redeviendra petite. Puis, un chef catholique lui rendra son prestige et sa puissance. En ces temps-là, règnera un Pape qui occupera le trône de Pierre depuis peu de temps seulement et qui, en raison des circonstances, sera obligé de quitter Rome.
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Re: Prophéties pour notre temps
Prophétie italienne
(1600)
Le grand jour blanc se lèvera sur la Chrétienté lorsque le Pape blanc et le pape noir mourront au cours de la même nuit.
(1600)
Le grand jour blanc se lèvera sur la Chrétienté lorsque le Pape blanc et le pape noir mourront au cours de la même nuit.
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Re: Prophéties pour notre temps
Frère Balthazar Mas
(1699)
Frère Balthazar Mas (17ème siècle) annonce :
Je vis une terre submergée par l’Océan. Mais ensuite, je vis que petit à petit que la mer reculait et laissait réapparaître la terre. Le sommet des tours et des clochetons de la cité émergeaient lentement et semblaient plus beaux qu’avant d’être avalé par la mer. Il me fut révélé que c’était là l’Angleterre.
(1699)
Frère Balthazar Mas (17ème siècle) annonce :
Je vis une terre submergée par l’Océan. Mais ensuite, je vis que petit à petit que la mer reculait et laissait réapparaître la terre. Le sommet des tours et des clochetons de la cité émergeaient lentement et semblaient plus beaux qu’avant d’être avalé par la mer. Il me fut révélé que c’était là l’Angleterre.
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Re: Prophéties pour notre temps
Joachim Merlin
(1700)
Joachim Merlin nous annonce :
« Ce Pape sera à la foi pasteur et réformateur. Grâce à lui, l’Est et l’Ouest connaîtront une union durable. Six ans et ½ plus tard, il rendra son âme à Dieu. Lorsqu’un monstre t’apparaîtra dans le Ciel, tu trouveras à l’Est un refuge tout préparé et neuf ans plus tard, tu mourras. »
(1700)
Joachim Merlin nous annonce :
« Ce Pape sera à la foi pasteur et réformateur. Grâce à lui, l’Est et l’Ouest connaîtront une union durable. Six ans et ½ plus tard, il rendra son âme à Dieu. Lorsqu’un monstre t’apparaîtra dans le Ciel, tu trouveras à l’Est un refuge tout préparé et neuf ans plus tard, tu mourras. »
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Re: Prophéties pour notre temps
Mère Shipton
(1700)
Mère Shipton annonce :
Un singe apparaîtra en l’année bissextile,
Qui de folle terreur remplira toute femme ;
Et les fils d’Adam seront bien disputés,
Et la foi romaine sera déracinée.
Mais l’année furieuse aussitôt que passée,
La paix alors sera comme naguère.
Partout, partout, on verra l’abondance ;
Et des épées, on remuera la terre.
Beaucoup plus je connais, mais crains de révéler :
Je connais beaucoup trop en connaissant l’enfer,
Depuis soixante, à la mort de la bête,
Les cieux ardents de rouge brûleront.
Cent vingt jusqu’à l’Amen,
166 sur 106, pour faire le compte,
6 heures et 6 minutes,
Les 6 jours, dure le Sabbat.
Et c’est là tout le temps que l’Eglise possède,
Pour les amener tout à leur destin béni.
(1700)
Mère Shipton annonce :
Un singe apparaîtra en l’année bissextile,
Qui de folle terreur remplira toute femme ;
Et les fils d’Adam seront bien disputés,
Et la foi romaine sera déracinée.
Mais l’année furieuse aussitôt que passée,
La paix alors sera comme naguère.
Partout, partout, on verra l’abondance ;
Et des épées, on remuera la terre.
Beaucoup plus je connais, mais crains de révéler :
Je connais beaucoup trop en connaissant l’enfer,
Depuis soixante, à la mort de la bête,
Les cieux ardents de rouge brûleront.
Cent vingt jusqu’à l’Amen,
166 sur 106, pour faire le compte,
6 heures et 6 minutes,
Les 6 jours, dure le Sabbat.
Et c’est là tout le temps que l’Eglise possède,
Pour les amener tout à leur destin béni.
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Re: Prophéties pour notre temps
Le moine Hilarion
(1700)
Le moine Hilarion annonce :
Et le règne de ce Saint Pontife durera 4 ans, et sera suivi de 3 autres.
Les arabes triompheront pendant 3 ans, détruisant tout, c’est alors que de la Belgique viendra celui qui les annihilera.
(1700)
Le moine Hilarion annonce :
Et le règne de ce Saint Pontife durera 4 ans, et sera suivi de 3 autres.
Les arabes triompheront pendant 3 ans, détruisant tout, c’est alors que de la Belgique viendra celui qui les annihilera.
Her- En adoration
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