Prophéties pour notre temps
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Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX :: Le Ciel nous parle :: PROPHÉTIES DES SAINTS, DES BIENHEUREUX DE L'ÉGLISE
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Re: Prophéties pour notre temps
Sœur de la Nativité
(1798-08-15)
Jeanne le Royer, dite en religion soeur de la Nativité est née, le 23 janvier 1731, au village de Beaulot, proche de Fougères, en Bretagne, entrée au couvent des Urbanistes, le 8 juillet 1852, à l'âge de 21 ans. On raconte d'elle que dès son plus jeune âge, elle bénéficiait de visions, toutes plus remarquables les unes que les autres. Son éducation fut rudimentaire ayant appris à lire, mais ne sachant pas écrire. Visions, extases, prophéties jalonnent, de plus en plus nombreuses la vie de Jeanne. Un jour elle voit le tabernacle comme une fournaise. Mais ce qui est le plus étonnant, ce sont les révélations concernant l'avenir. Elle est la prophétesse de la révolution française de 1789. Elle mourut en odeur de Sainteté, le 15 août 1798.
Insensiblement, il se fit un grand changement dans la façon de faire et de penser de mes concitoyens, que de pouvoir à peine reconnaître mon propre pays...de toutes parts, des troubles et des désordres épouvantables.
Cette révolution qu'elle avait entrevue, elle va la vivre, douloureusement. Elle prévoit la mort du Roi : « Un jour que j'étais en prière devant le Saint-Sacrement, le seigneur me fit voir que le Roi serait mis à mort. Je le suppliai de ne pas le permettre. Mes prières furent trop faibles...
Je vois en Dieu que longtemps avant que l'Antéchrist arrive le monde sera affligé de guerres sanglantes.
Quelques années avant la venue de mon grand ennemi, dit encore Notre Seigneur à la sœur, Satan suscitera de faux prophètes qui annonceront l'Antéchrist comme le vrai Messie promis et tâcheront de détruire tous les dogmes du christianisme.
Et moi, ajouta-t-il, je ferai prophétiser les enfants et les vieillards.
Plus on approchera du règne de l'Antéchrist, plus les ténèbres de Satan seront répandues sur la terre, et plus ses satellites feront d'efforts pour faire tomber les fidèles dans leurs filets. Afin de copier tant bien que mal les saintes institutions de l'Église, les ennemis de la religion instaureront des organisations de prétendues religieuses, qui feront vœu de chasteté... Celles-ci rendront au diable de grands services dans son œuvre. De son côté, il donnera à ces femmes une beauté remarquable ; il fera des choses merveilleuses par leur moyen, de telle sorte que tous les regards soient fixés sur elles ; à cause de cela, ces "vierges vestales" seront considérées comme une sorte de divinité. Des révélations de choses cachées, des prédictions de l'avenir, des visions, des états extatiques selon le corps et l'esprit auront lieu chez elles, sous les yeux de tous. On n'entendra parler que de ces choses prodigieuses et de celles de ces faux docteurs, qui de leur côté ne s’efforceront pas moins de travailler le peuple avec des faits sensationnels dans lesquels le diable jouera un grand rôle. Ces prétendues saints, ces bienfaiteurs tant honorés auront des réunions nocturnes avec les pseudo-nonnes mentionnées plus haut, qui firent vœu de chasteté. Une de ces « vierges vestales » donnera la vie à l'Antéchrist lui-même, qui aura probablement pour père l'un des chefs principaux de ces assemblées nocturnes.
Un jour que je me trouvais en esprit dans une vaste campagne, toute seule et avec Dieu seul, Jésus-Christ m'apparut et du sommet d'une éminence me montra un beau soleil fixé en un point de l'horizon. Il me dit d'un air triste :
La figure du monde passe et le temps de mon dernier avènement approche. Quand le soleil est à son couchant, on dit que le jour s'en va et que la nuit vient. Tous les siècles sont un jour devant moi. Juge donc de la durée que doit avoir le monde par l'espace qu'il reste encore au soleil à parcourir.
Je considérai attentivement et je jugerai qu'il ne restait au plus qu'environ deux heures au soleil.
À une question de la sœur, Jésus répondit : n'oublie pas qu'il ne faut pas parler de mille ans pour le monde ; il n'a plus que quelques siècles en petit nombre de durée.
Mais je vis, ajoute la sœur, qu'il se réservait à lui-même la connaissance précise de ce nombre, et je ne fus pas tentée de lui en demander davantage sur cet objet, contente de savoir que la paix de l'Église et le rétablissement de sa discipline devaient durer un temps assez considérable.
Dieu voulut bien me faire venir dans sa lumière. Je commençai à regarder le siècle qui doit commencer en 1800 et je vis par cette lumière que le jugement n'y était pas et que ce ne serait pas le dernier siècle. Je considérai à la faveur de cette lumière le siècle de 1900 jusque vers la fin pour voir positivement si ce serait le dernier. Notre Seigneur me fit connaître et en même temps me mit en doute si ce serait à la fin du siècle de 1900 ou dans celui de 2000. Mais ce que j'ai vu, c'est que si le jugement arrive dans le siècle de 1900, il ne viendra que vers la fin et que s'il passe le siècle, celui de 2000 ne passera pas sans qu'il arrive ainsi que je l'ai vu dans la lumière de Dieu.
Même « fluctuation » dans les révélations données à sœur de la Nativité de Fougères : « Malheur ! Malheur ! Malheur au dernier siècle ! (...) Voici ce que Dieu voulut bien me faire voir dans sa Lumière. Je commençai à regarder dans la lumière de Dieu, le siècle qui doit commencer en 1800 ; je vis par cette lumière que le jugement n'y était pas, et que ce ne serait pas le dernier siècle. Je considérai, à la faveur de cette même lumière, le siècle de 1900, jusque vers la fin, pour voir positivement si ce serait le dernier. Notre Seigneur me fit connaître, et en même temps me mit en doute, si ce serait à la fin du siècle de 1900, ou dans celui de 2000. Mais ce que j'ai vu, c'est que si le jugement arrive dans le siècle de 1900, il ne viendrait que vers la fin et que s'il passe ce siècle, celui de 2000 ne passera pas sans qu'il arrive, ainsi que je l'ai vu dans la lumière de Dieu... » (Vie et Révélations de sœur de la Nativité, tome IV, pp. 125-126).
Cette loi impie destructrice de l’Eglise avait été annoncée un siècle auparavant, par Soeur de la Nativité (1731-1798) :
“Dans le commencement, ils tiendront cachée leur maudite LOI.
CETTE LOI sera approuvée par tous leurs complices, mais ne sortira que quelques années avant l’arrivée de l’Antéchrist. Je vois en Dieu que les prêtres seront étonnés d’un tel changement...
Cependant, des ministres du Seigneur,
plus éclairés de l’Esprit-Saint,
seront saisis de crainte
dans l’incertitude dont cela tournera...
O Dieu ! dans quelle agitation je vois la Sainte Eglise,
quand elle s’apercevra tout à coup, des progrès de ces impies...
Jamais aucune hérésie n’aura été si funeste !”
(1798-08-15)
Jeanne le Royer, dite en religion soeur de la Nativité est née, le 23 janvier 1731, au village de Beaulot, proche de Fougères, en Bretagne, entrée au couvent des Urbanistes, le 8 juillet 1852, à l'âge de 21 ans. On raconte d'elle que dès son plus jeune âge, elle bénéficiait de visions, toutes plus remarquables les unes que les autres. Son éducation fut rudimentaire ayant appris à lire, mais ne sachant pas écrire. Visions, extases, prophéties jalonnent, de plus en plus nombreuses la vie de Jeanne. Un jour elle voit le tabernacle comme une fournaise. Mais ce qui est le plus étonnant, ce sont les révélations concernant l'avenir. Elle est la prophétesse de la révolution française de 1789. Elle mourut en odeur de Sainteté, le 15 août 1798.
Insensiblement, il se fit un grand changement dans la façon de faire et de penser de mes concitoyens, que de pouvoir à peine reconnaître mon propre pays...de toutes parts, des troubles et des désordres épouvantables.
Cette révolution qu'elle avait entrevue, elle va la vivre, douloureusement. Elle prévoit la mort du Roi : « Un jour que j'étais en prière devant le Saint-Sacrement, le seigneur me fit voir que le Roi serait mis à mort. Je le suppliai de ne pas le permettre. Mes prières furent trop faibles...
Je vois en Dieu que longtemps avant que l'Antéchrist arrive le monde sera affligé de guerres sanglantes.
Quelques années avant la venue de mon grand ennemi, dit encore Notre Seigneur à la sœur, Satan suscitera de faux prophètes qui annonceront l'Antéchrist comme le vrai Messie promis et tâcheront de détruire tous les dogmes du christianisme.
Et moi, ajouta-t-il, je ferai prophétiser les enfants et les vieillards.
Plus on approchera du règne de l'Antéchrist, plus les ténèbres de Satan seront répandues sur la terre, et plus ses satellites feront d'efforts pour faire tomber les fidèles dans leurs filets. Afin de copier tant bien que mal les saintes institutions de l'Église, les ennemis de la religion instaureront des organisations de prétendues religieuses, qui feront vœu de chasteté... Celles-ci rendront au diable de grands services dans son œuvre. De son côté, il donnera à ces femmes une beauté remarquable ; il fera des choses merveilleuses par leur moyen, de telle sorte que tous les regards soient fixés sur elles ; à cause de cela, ces "vierges vestales" seront considérées comme une sorte de divinité. Des révélations de choses cachées, des prédictions de l'avenir, des visions, des états extatiques selon le corps et l'esprit auront lieu chez elles, sous les yeux de tous. On n'entendra parler que de ces choses prodigieuses et de celles de ces faux docteurs, qui de leur côté ne s’efforceront pas moins de travailler le peuple avec des faits sensationnels dans lesquels le diable jouera un grand rôle. Ces prétendues saints, ces bienfaiteurs tant honorés auront des réunions nocturnes avec les pseudo-nonnes mentionnées plus haut, qui firent vœu de chasteté. Une de ces « vierges vestales » donnera la vie à l'Antéchrist lui-même, qui aura probablement pour père l'un des chefs principaux de ces assemblées nocturnes.
Un jour que je me trouvais en esprit dans une vaste campagne, toute seule et avec Dieu seul, Jésus-Christ m'apparut et du sommet d'une éminence me montra un beau soleil fixé en un point de l'horizon. Il me dit d'un air triste :
La figure du monde passe et le temps de mon dernier avènement approche. Quand le soleil est à son couchant, on dit que le jour s'en va et que la nuit vient. Tous les siècles sont un jour devant moi. Juge donc de la durée que doit avoir le monde par l'espace qu'il reste encore au soleil à parcourir.
Je considérai attentivement et je jugerai qu'il ne restait au plus qu'environ deux heures au soleil.
À une question de la sœur, Jésus répondit : n'oublie pas qu'il ne faut pas parler de mille ans pour le monde ; il n'a plus que quelques siècles en petit nombre de durée.
Mais je vis, ajoute la sœur, qu'il se réservait à lui-même la connaissance précise de ce nombre, et je ne fus pas tentée de lui en demander davantage sur cet objet, contente de savoir que la paix de l'Église et le rétablissement de sa discipline devaient durer un temps assez considérable.
Dieu voulut bien me faire venir dans sa lumière. Je commençai à regarder le siècle qui doit commencer en 1800 et je vis par cette lumière que le jugement n'y était pas et que ce ne serait pas le dernier siècle. Je considérai à la faveur de cette lumière le siècle de 1900 jusque vers la fin pour voir positivement si ce serait le dernier. Notre Seigneur me fit connaître et en même temps me mit en doute si ce serait à la fin du siècle de 1900 ou dans celui de 2000. Mais ce que j'ai vu, c'est que si le jugement arrive dans le siècle de 1900, il ne viendra que vers la fin et que s'il passe le siècle, celui de 2000 ne passera pas sans qu'il arrive ainsi que je l'ai vu dans la lumière de Dieu.
Même « fluctuation » dans les révélations données à sœur de la Nativité de Fougères : « Malheur ! Malheur ! Malheur au dernier siècle ! (...) Voici ce que Dieu voulut bien me faire voir dans sa Lumière. Je commençai à regarder dans la lumière de Dieu, le siècle qui doit commencer en 1800 ; je vis par cette lumière que le jugement n'y était pas, et que ce ne serait pas le dernier siècle. Je considérai, à la faveur de cette même lumière, le siècle de 1900, jusque vers la fin, pour voir positivement si ce serait le dernier. Notre Seigneur me fit connaître, et en même temps me mit en doute, si ce serait à la fin du siècle de 1900, ou dans celui de 2000. Mais ce que j'ai vu, c'est que si le jugement arrive dans le siècle de 1900, il ne viendrait que vers la fin et que s'il passe ce siècle, celui de 2000 ne passera pas sans qu'il arrive, ainsi que je l'ai vu dans la lumière de Dieu... » (Vie et Révélations de sœur de la Nativité, tome IV, pp. 125-126).
Cette loi impie destructrice de l’Eglise avait été annoncée un siècle auparavant, par Soeur de la Nativité (1731-1798) :
“Dans le commencement, ils tiendront cachée leur maudite LOI.
CETTE LOI sera approuvée par tous leurs complices, mais ne sortira que quelques années avant l’arrivée de l’Antéchrist. Je vois en Dieu que les prêtres seront étonnés d’un tel changement...
Cependant, des ministres du Seigneur,
plus éclairés de l’Esprit-Saint,
seront saisis de crainte
dans l’incertitude dont cela tournera...
O Dieu ! dans quelle agitation je vois la Sainte Eglise,
quand elle s’apercevra tout à coup, des progrès de ces impies...
Jamais aucune hérésie n’aura été si funeste !”
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Re: Prophéties pour notre temps
Bernard Rembort
(1783)
Frère Bernard Rembort (1689-1783) de l'Abbaye bénédictine de Siegburg, en Rhénanie.
Les hommes seront assez malins pour faire des choses merveilleuses, ce qui les apportera de plus en plus à oublier Dieu. Ils se moqueront de Lui, parce qu'ils se croiront tout-puissants, à cause de leurs voitures qui parcourront le monde sans être tirées par des bêtes, au point qu'ont calculera les distances à vol d'oiseau. Leur orgueil les portera à se moquer des signes du ciel. On verra ces signes dans les airs et sur la terre, mais on ne voudra pas les prendre en considération. Un homme surgira et réveillera le monde endormi, en frappant les orgueilleux d'une voix forte et en renversant les railleurs...
Dieu châtiera le monde. il pleuvra du poisson sur les champs, ce qui amènera une grande famine dans le pays, au point qu'on passera l'océan par milliers et par milliers, en quête d'une patrie plus douce...
Les hommes aussi imiteront les oiseaux; ils voudront voler dans les airs...
Je vois aussi morgue des profanateurs sacrilèges et la ruine des hérétiques; ils auront un châtiment sévère pour avoir osé, dans leur insolence, s'attaquer à Dieu et cru que leur pauvre intelligence pourrait sonder les desseins du Tout-Puissant. Car tout en ayant le nom de Dieu sur les lèvres, ils cachaient le diable dans leur cœur. Les hommes ont beau se donner pour des anges, le diable est bien vite remonté à la surface; ils ont voulu créer un nouveau royaume du Christ, d'où la foi serait complètement bannie.
Les gens croient qu'il est indifférent d'aller à l'Église ou de pas y aller; ils cultivent tous les vices, comme dans une pépinière; ils se disent les serviteurs de Dieu et sont des esclaves du ventre; ils se font une religion de volupté, prennent une femme, puis deux... Mais, finalement, Pierre en sera outré, car la patience du ciel a des limites. Les frontières de leur méchanceté ne s'étendront pas plus loin.
(1783)
Frère Bernard Rembort (1689-1783) de l'Abbaye bénédictine de Siegburg, en Rhénanie.
Les hommes seront assez malins pour faire des choses merveilleuses, ce qui les apportera de plus en plus à oublier Dieu. Ils se moqueront de Lui, parce qu'ils se croiront tout-puissants, à cause de leurs voitures qui parcourront le monde sans être tirées par des bêtes, au point qu'ont calculera les distances à vol d'oiseau. Leur orgueil les portera à se moquer des signes du ciel. On verra ces signes dans les airs et sur la terre, mais on ne voudra pas les prendre en considération. Un homme surgira et réveillera le monde endormi, en frappant les orgueilleux d'une voix forte et en renversant les railleurs...
Dieu châtiera le monde. il pleuvra du poisson sur les champs, ce qui amènera une grande famine dans le pays, au point qu'on passera l'océan par milliers et par milliers, en quête d'une patrie plus douce...
Les hommes aussi imiteront les oiseaux; ils voudront voler dans les airs...
Je vois aussi morgue des profanateurs sacrilèges et la ruine des hérétiques; ils auront un châtiment sévère pour avoir osé, dans leur insolence, s'attaquer à Dieu et cru que leur pauvre intelligence pourrait sonder les desseins du Tout-Puissant. Car tout en ayant le nom de Dieu sur les lèvres, ils cachaient le diable dans leur cœur. Les hommes ont beau se donner pour des anges, le diable est bien vite remonté à la surface; ils ont voulu créer un nouveau royaume du Christ, d'où la foi serait complètement bannie.
Les gens croient qu'il est indifférent d'aller à l'Église ou de pas y aller; ils cultivent tous les vices, comme dans une pépinière; ils se disent les serviteurs de Dieu et sont des esclaves du ventre; ils se font une religion de volupté, prennent une femme, puis deux... Mais, finalement, Pierre en sera outré, car la patience du ciel a des limites. Les frontières de leur méchanceté ne s'étendront pas plus loin.
Her- En adoration
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Re: Prophéties pour notre temps
Prophétie de Prémol
(1783)
Le couvent de Prémol est situé sur le diocèse de Grenoble, non loin d’Uriage-les-Bains. De l'auteur de la "prophétie de Prémol", nous ne connaissons que peu de chose ; mais cette prophétie, selon certains auteurs, fut trouvée en 1783 parmi les papiers appartenant à un notaire qui fut l'homme d'affaires du couvent. En 1783, le vieux notaire n’étant déjà plus en fonction, on trouva parmi ses papiers, cette prophétie écrite de sa main sans aucune explication, et oubliée dans une caisse au grenier. Une copie, certifiée conforme par les conseillers municipaux de Vaulnaveys-le-Haut (Isère), fut établie en 1851. C’est tout ce que l’on sait sur l’origine de la "Prophétie de Prémol".
L'Esprit me conduit dans les régions célestes et il me dit : « Il est écrit que L'Archange Michel combattra le Dragon, et il le combattra devant le Triangle de Dieu. » (Voir Apo. XII, 7)
Puis il ajouta : « Ouvre les portes de l'entendement. L'Archange et le Dragon sont les deux esprits qui se disputent l'empire de Jérusalem ; et le Triangle, c'est la gloire du Très-Haut. »
Et avant que le commencement de la fin, prédit par les prophètes, n'arrive, il y aura un combat sur chacun des côtés du Triangle, c'est-à-dire en trois temps.
Et après ces trois temps, l'Archange et le Dragon feront la paix, et le Triangle de Dieu brillera de tout son éclat sur la terre, et la paix sera donnée aux hommes de bonne volonté.
Et ces temps seront inégaux ; mais ils seront marqués du nombre de Dieu ; et ces nombres sont simples et caractéristiques, et parmi les simples, il en choisit quelques-uns.
Ouvre les portes de l'entendement, car tu vas connaître les signes de Dieu. Amen.
Or, reprit l'Esprit, depuis le commencement de Jérusalem, c'était l'Archange qui régnait sans partage.
Et voilà que le 13e jour à lui, et le Dragon chasse l'ange du Temple et immole l'Agneau sacré et couronné.
Mais le Dragon ne fait que passer, répandant le trouble, la terreur et le sang, et fauchant de sa queue le Lys sur sa route.
Le torrent impétueux laisse souvent un limon bienfaisant sur les champs qu'il ravage, et le fils du laboureur profite alors des larmes de son père. Ainsi passera le Dragon.
Onze heures lui seront comptées, et voici de nouveau l'Archange sur la nue qui envoie l'Aigle pour dévorer le Serpent.
Et le deuxième temps commence, me dit l'Esprit, et onze heures sont données au vol de l'aigle.
Et voici le Lys qui renaît aux champs ; mais l'heure sonne et la serre de l'aigle vient l'arracher.
Et pas encore une heure, et la tempête précipite l'aigle sur le rocher.
Et le Lys refleurit de nouveau pendant trois fois cinq heures, jusqu'à ce que le Coq le coupe de son bec et le jette sur le fumier.
Or, le Dragon dévorera le Coq lorsqu'il aura chanté deux fois, trois fois trois heures sur son fumier.
Et le Coq ne serait pas dévoré s'il quittait le fumier, car après deux fois, trois fois deux heures, l'Ange l'avertit et lui crie : "Malheur ! Trois fois malheur !" Mais il ne veut pas entendre.
Ainsi l'homme se joue des prophéties et périra, parce qu'il n'a pas cru les envoyés du Seigneur.
Ainsi arrivera le Dragon, après les quarante-trois heures de l'Archange.
Et encore trois heures, et le Dragon sera écrasé à son tour. Et ce sera le commencement du troisième temps.
Or le Lys venait de reparaître après la chute de l'Aigle sur le rocher, et l'Esprit me montra les douze apôtres placés sous les douze signes du zodiaque, bénissant Dieu et chantant ses louanges.
Et l'arc-en-ciel s'élevait au-dessus de leurs têtes, comme une auréole commune soutenue par la main des anges.
Et Judas était au centre du cercle, au milieu des apôtres, blasphémant, et les monstres de l'Enfer étaient sous ses pieds.
Et voilà que l'Esprit me dit que le Triangle de Dieu allait parcourir les signes et se reposer sur la tête des apôtres, et que chaque repos serait une époque marquée par le nombre de Dieu et par celui de l'apôtre, et que grands bruits et révolutions se faisaient sur la terre jusqu'au jour où il arrêterait sa marche.
Mais malheur, trois fois malheur, lorsqu'il passera sur la tête de Juda ! Car c'est alors qu'il y aura des pleurs et des grincements de dents et que la terre criera merci jusqu'au jour où il fera entendre sa voix du haut du Sinaï, pour rassembler les brebis du troupeau.
Malheur, trois fois malheur à ceux que ne toucheront pas les signes du Seigneur, car pour eux le châtiment sera terrible.
Et mes yeux étaient obscurcis par la splendeur du Triangle de Dieu, car il était plus resplendissant que le soleil, et je ne voyais qu'une mer de lumière et je n'entendais rien.
Lorsque tout à coup j'entendis comme un bruit effroyable et je vis les nuages s'amonceler et la foudre éclater.
Le Triangle n'était pas encore au milieu de l'arc ; mais il n'avait plus qu'un pas à faire ; le nombre de son repos était un des nombres choisis.
Un coup de tonnerre ouvrit les nues, et j'aperçus Jérusalem abîmée sous une effroyable tempête, et ses murs étaient tombés sous les coups de bélier, et le sang ruisselait dans les rues ; car l'ennemi s'en était rendu maître.
Et l'abomination de la désolation régnait dans la cité.
Et bien des signes avaient eu lieu auparavant à chaque repos du triangle.
Et voilà que j'aperçus le patriarche qui sortait du Temple envahi par les enfants de Baal, et qui fuyait, emportant avec lui l'Arche Sainte, et il courait vers la mer où se couche le Soleil.
Et l'Esprit me dit : « Le soleil se couche à l'Occident et se lève à l'Orient, la nuit succède au jour, et le jour à la nuit. Ainsi l'a ordonné le verbe de Dieu. »
Et cela arrivera une fois sur chaque côté du Triangle avant qu'arrive le règne de Dieu.
Que ceux qui ont des oreilles l'entendent et qu'un jour où la lumière viendra, ils sachent le reconnaître !
Car un flambeau doit venir qui n'est pas le soleil et qui viendra du côté où se lève le soleil et disparaîtra du côté où il se couche.
Et il viendra après les ténèbres, et il éclairera le monde et, quand il aura disparu, la lumière restera.
Car en vérité, je vous le dis : à peine l'arche sera-t-elle attaquée par les vers, que vous briserez le chandelier qui porte le flambeau. Et la lumière restera.
Ceci aura lieu quand, après avoir quitté Juda, le Triangle aura recommencé de parcourir les signes. Car alors les temps réduits commenceront et vous ferez pénitence pour être aimés de Dieu.
Et voilà que je vis les vainqueurs de Jérusalem remplacer l'arche par le veau d'or ; et ils se prosternaient à ses pieds et l'adoraient.
Son ventre seul était d'or, et le reste était chair et le ventre était son bouclier.
Et des traits étaient lancés contre lui, mais ne pouvaient l'atteindre.
Et il n'y avait pas encore un signe de plus, qu'une peste effroyable ravageait la cité et le fléau de Dieu s'appesantissait sur la terre.
Et la corruption allait croissant et s'étendait en marais sur la plaine, et les hommes se changeaient en reptiles et se baignaient et vivaient dans ces eaux fangeuses.
Et d'autres se changeaient en oiseaux et prenaient leur vol vers la montagne pour fuir les eaux montantes ; et ils attendaient, la rage dans le cœur, la venue du dragon qui doit boire le lac.
Et je les vis se grossissant sur la montagne, et l'Esprit me dit : « En vérité, je vous le dis : Le jour où le Triangle s'arrêtera sur la tête de Juda, les aiglons se précipiteront de la montagne pour dévorer les habitants de la plaine. »
Malheur ! Trois fois malheur ! Car ce jour approche et le nombre de Juda l'annonce avec le nombre de Dieu.
Et je vis, en effet, que tout était rouge de sang autour de Juda.
Et le Triangle parcourait les signes, et l'Esprit me disait : « Toute chair périra et la chair de l'idole périra aussi, et non seulement sa chair, mais encore son ventre ; car le temps approche que le ventre s'affaissera dans la pourriture de la chair et que la main le fuira. »
Et cela arrivera à la voix du Sinaï, et ce sera le premier signe après les épouvantements de Juda. Et ce premier signe sera le commencement de la fin, car la fin approche ; mais que la terre ne tremble pas. Dieu sera béni. Amen.
Et l'esprit souffla sur mes yeux. Et j'aperçus le Veau d'or au milieu de ses serviteurs. Et il avait deux cornes.
Celle de droite était fort grande, et l'on brûlait l'encens devant elle. Et celle de gauche ne faisait que pousser.
Et ces deux cornes étaient des cornes d'abondance et contenaient toutes les espérances.
Et le Triangle de Dieu s'était arrêté et il n'avait plus que trois signes à parcourir avant de passer par Juda.
Voilà que la grande corne se brise contre le pavé des murailles et que l'épouvante règne dans la cité.
Puis je vis une colombe noire qui tenait une croix renversée descendre sur la petite corne et la couvrir de ses ailes.
Cependant une autre grande corne sortait rapidement du front du Veau d'or. Et la colombe s'envola.
Et le Veau d'or secouait la tête, comme pour s'assurer de sa nouvelle défense. Et il se croyait puissant et fort. Mais l'Esprit des ténèbres était en lui.
Et l'Esprit me dit : « La grande corne est brisée, et c'est un présage, mais l'homme ne croit pas. »
« Et l'autre grande corne ne pourra défendre l'idole contre ses ennemis. Elle sera renversée et brisée. Et ses débris seront dispersés. »
Et la petite corne tuera le second né du Dragon.
Mais le Triangle avait fait deux pas et un tremblement de terre secoua Jérusalem jusque dans ses fondements et renversa l'idole que ses adorateurs abandonnèrent en lui criant : Raca.
Car le premier-né du Dragon s'était levé des entrailles de la terre et son regard fascinait les hommes. Et son souffle embrasait tout.
Encore un signe et le Dragon périra en son temps, me dit l'Esprit ; car l'Archange Michel le combat en tous lieux, et déjà il n'a plus qu'un seul repaire.
Et il sortira de ses flancs, comme Jonas du ventre de la baleine, le Captif qui doit lui écraser la tête.
Encore un signe et le Dragon périra. Oui, mais encore un signe, et il dévastera la terre, car il parcourra le monde tant que le Triangle restera sur Juda.
Et il ne s'arrêtera que devant la lumière qui le chassera comme elle chasse les ténèbres ; or, l'aurore commencera quand le Triangle quittera Juda.
Et le Triangle ayant fait un pas, je vis la tempête qui agitait au loin les vagues de la mer.
L'Archange planait sur les nues et le Dragon se tordait en tronçons sur la terre.
Et je vis, sur le sommet de Jérusalem, un ver luisant d'un éclat remarquable.
Ah ! Seigneur, vos secrets sont impénétrables ! Que signifie ce chandelier à sept branches, que je vois s'avancer avec ses sept torches, dont la lumière semble vouloir éclipser l'éclat du point qui brille au sommet du Temple et forcer le ver à rentrer sous terre ?
Mais que vois-je ? La torche la plus grande et la plus ardente tombe et s'éteint et les autres s'en réjouissent et se disputent sa place.
Et voici les branches du chandelier qui s'entrechoquent et les étincelles qui voltigent sur les épis. Grand Dieu ! L'incendie dévore les moissons, l'orage gronde et la foudre éclate avec fracas.
Et je vois les tronçons épars du Dragon qui se réunissent. Ah ! Seigneur, votre Triangle se repose maintenant sur Juda ! Seigneur, Seigneur, arrêtez votre colère ! Par quels signes voulez-vous donc manifester votre puissance !
L'Archange est remonté vers les cieux et le Dragon lève la tête et fait entendre des sifflements affreux.
Et les loups affamés se précipitent de la montagne et viennent dévorer les moutons qu'ils déchirent jusqu'au milieu des étables.
Et les hommes épouvantés s'enfuient de tous côtés emportant leurs trésors ; et ils sont accablés de leurs trésors et tombent sur les chemins.
Quel carnage, ô mon Dieu ! Le sang coule à flots dans le lit du Jourdain. Il roule des cadavres, des crânes brisés et des membres épars.
Et les vagues de la mer s'en vont aux rivages lointains épouvanter les nations.
N'est-ce pas assez, Seigneur, d'une pareille hécatombe pour apaiser votre colère ? Mais non. Quels sont ces bruits d'armes, ces cris de guerre et d'épouvante qu'apportent les quatre vents ?
Ah ! Le Dragon s'est jeté sur tous les États et y apporte la plus effroyable confusion.
Les hommes et les peuples se sont levés les uns contre les autres. Guerres, guerres ! Guerres civiles, guerres étrangères !
Quels chocs effroyables ! Tout est deuil et mort, et la famine règne aux champs.
Jérusalem ! Jérusalem ! Sauve-toi du feu de Sodome et de Gomorrhe et du sac de Babylone.
Eh quoi, Seigneur ! Votre bras ne s'arrête pas ! N'est-ce pas assez de la fureur des hommes pour tant de ruines fumantes ?
Les éléments doivent-ils encore servir votre colère ? Arrêtez, Seigneur, arrêtez ! Vos villes s'abîment d'elles-mêmes.
Grâce, grâce pour Sion ! Mais vous êtes sourd à nos voix, et la montagne de Sion s'écoule avec fracas !
La croix du Christ ne domine plus qu'un monceau de ruines.
Et voici que le roi de Sion attache à cette Croix et son sceptre et sa triple couronne, et, secouant sur les ruines la poussière de ses souliers, se hâte de fuir vers d'autres rives.
Toi, superbe Tyr (Beyrouth) qui échappe encore à l'orage, ne te réjouis pas dans ton orgueil. L'éruption du volcan qui brûle tes entrailles approche.
Tu tomberas bien plus avant que nous dans le gouffre.
Et ce n'est pas encore tout, Seigneur ! Votre Église est déchirée par ses propres enfants.
Les fils de Sion se partagent en deux camps : L'un fidèle au Pontife fugitif, et l'autre qui dispose du gouvernement de Sion, respectant le sceptre, mais brisant les couronnes.
Et qui place la tiare mutilée sur une tête ardente, qui tente des réformes que le parti opposé repousse, et la confusion en est le sanctuaire.
Et voilà que l'Arche sainte disparaît.
Mais mon esprit s'égare et mes yeux s'obscurcissent à la vue de cet effroyable cataclysme.
Mais, me dit l'Esprit, que l'homme espère en Dieu et fasse pénitence ; car le Seigneur tout-puissant est miséricordieux et tirera le monde du chaos et un monde nouveau recommencera.
Or, L'Esprit souffla sur mes yeux, et le Triangle de Dieu avait quitté Juda, et il se trouvait au premier signe.
Et je vis un homme d'une figure resplendissante comme la face des anges, monter sur les ruines de Sion.
Une lumière céleste descendit du ciel sur sa tête, comme autrefois les langues de feu sur les apôtres.
Et les enfants de Sion se prosternèrent à ses pieds, et il les bénit.
Et il appela les Samaritains et les Gentils, et ils se convertirent tous à sa voix.
Et je vis venir de l'Orient un jeune homme remarquable monté sur un lion.
Et il tenait une épée flamboyante à la main. Et le Coq chantait devant lui.
Et sur son passage tous les peuples s'inclinaient, car l'Esprit de Dieu était en lui.
Et il vint aussi sur les ruines de Sion, et il mit la main dans la main du Pontife.
Et ils appelèrent tous les peuples qui accoururent. Et ils leur dirent :
« Vous ne serez heureux et forts qu'unis dans un même amour. »
Et une voix sortie du ciel, au milieu des éclairs et du tonnerre, disait :
« Voici ceux que j'ai choisi pour mettre la paix entre l'Archange et le Dragon, et qui doivent renouveler la face de la terre. Ils sont mon verbe et mon bras. Et c'est mon Esprit qui les garde. »
Et je vis des choses merveilleuses.
Et j'entendis les cantiques s'élever de la terre aux cieux.
Puis j'aperçus à l'horizon un feu ardent. Et ma vue se troubla, et je ne vis et n'entendis plus rien.
Puis l'Esprit me dit : « Voici le commencement de la Fin des Temps qui commence.» Et je m'éveillai épouvanté.
(1783)
Le couvent de Prémol est situé sur le diocèse de Grenoble, non loin d’Uriage-les-Bains. De l'auteur de la "prophétie de Prémol", nous ne connaissons que peu de chose ; mais cette prophétie, selon certains auteurs, fut trouvée en 1783 parmi les papiers appartenant à un notaire qui fut l'homme d'affaires du couvent. En 1783, le vieux notaire n’étant déjà plus en fonction, on trouva parmi ses papiers, cette prophétie écrite de sa main sans aucune explication, et oubliée dans une caisse au grenier. Une copie, certifiée conforme par les conseillers municipaux de Vaulnaveys-le-Haut (Isère), fut établie en 1851. C’est tout ce que l’on sait sur l’origine de la "Prophétie de Prémol".
L'Esprit me conduit dans les régions célestes et il me dit : « Il est écrit que L'Archange Michel combattra le Dragon, et il le combattra devant le Triangle de Dieu. » (Voir Apo. XII, 7)
Puis il ajouta : « Ouvre les portes de l'entendement. L'Archange et le Dragon sont les deux esprits qui se disputent l'empire de Jérusalem ; et le Triangle, c'est la gloire du Très-Haut. »
Et avant que le commencement de la fin, prédit par les prophètes, n'arrive, il y aura un combat sur chacun des côtés du Triangle, c'est-à-dire en trois temps.
Et après ces trois temps, l'Archange et le Dragon feront la paix, et le Triangle de Dieu brillera de tout son éclat sur la terre, et la paix sera donnée aux hommes de bonne volonté.
Et ces temps seront inégaux ; mais ils seront marqués du nombre de Dieu ; et ces nombres sont simples et caractéristiques, et parmi les simples, il en choisit quelques-uns.
Ouvre les portes de l'entendement, car tu vas connaître les signes de Dieu. Amen.
Or, reprit l'Esprit, depuis le commencement de Jérusalem, c'était l'Archange qui régnait sans partage.
Et voilà que le 13e jour à lui, et le Dragon chasse l'ange du Temple et immole l'Agneau sacré et couronné.
Mais le Dragon ne fait que passer, répandant le trouble, la terreur et le sang, et fauchant de sa queue le Lys sur sa route.
Le torrent impétueux laisse souvent un limon bienfaisant sur les champs qu'il ravage, et le fils du laboureur profite alors des larmes de son père. Ainsi passera le Dragon.
Onze heures lui seront comptées, et voici de nouveau l'Archange sur la nue qui envoie l'Aigle pour dévorer le Serpent.
Et le deuxième temps commence, me dit l'Esprit, et onze heures sont données au vol de l'aigle.
Et voici le Lys qui renaît aux champs ; mais l'heure sonne et la serre de l'aigle vient l'arracher.
Et pas encore une heure, et la tempête précipite l'aigle sur le rocher.
Et le Lys refleurit de nouveau pendant trois fois cinq heures, jusqu'à ce que le Coq le coupe de son bec et le jette sur le fumier.
Or, le Dragon dévorera le Coq lorsqu'il aura chanté deux fois, trois fois trois heures sur son fumier.
Et le Coq ne serait pas dévoré s'il quittait le fumier, car après deux fois, trois fois deux heures, l'Ange l'avertit et lui crie : "Malheur ! Trois fois malheur !" Mais il ne veut pas entendre.
Ainsi l'homme se joue des prophéties et périra, parce qu'il n'a pas cru les envoyés du Seigneur.
Ainsi arrivera le Dragon, après les quarante-trois heures de l'Archange.
Et encore trois heures, et le Dragon sera écrasé à son tour. Et ce sera le commencement du troisième temps.
Or le Lys venait de reparaître après la chute de l'Aigle sur le rocher, et l'Esprit me montra les douze apôtres placés sous les douze signes du zodiaque, bénissant Dieu et chantant ses louanges.
Et l'arc-en-ciel s'élevait au-dessus de leurs têtes, comme une auréole commune soutenue par la main des anges.
Et Judas était au centre du cercle, au milieu des apôtres, blasphémant, et les monstres de l'Enfer étaient sous ses pieds.
Et voilà que l'Esprit me dit que le Triangle de Dieu allait parcourir les signes et se reposer sur la tête des apôtres, et que chaque repos serait une époque marquée par le nombre de Dieu et par celui de l'apôtre, et que grands bruits et révolutions se faisaient sur la terre jusqu'au jour où il arrêterait sa marche.
Mais malheur, trois fois malheur, lorsqu'il passera sur la tête de Juda ! Car c'est alors qu'il y aura des pleurs et des grincements de dents et que la terre criera merci jusqu'au jour où il fera entendre sa voix du haut du Sinaï, pour rassembler les brebis du troupeau.
Malheur, trois fois malheur à ceux que ne toucheront pas les signes du Seigneur, car pour eux le châtiment sera terrible.
Et mes yeux étaient obscurcis par la splendeur du Triangle de Dieu, car il était plus resplendissant que le soleil, et je ne voyais qu'une mer de lumière et je n'entendais rien.
Lorsque tout à coup j'entendis comme un bruit effroyable et je vis les nuages s'amonceler et la foudre éclater.
Le Triangle n'était pas encore au milieu de l'arc ; mais il n'avait plus qu'un pas à faire ; le nombre de son repos était un des nombres choisis.
Un coup de tonnerre ouvrit les nues, et j'aperçus Jérusalem abîmée sous une effroyable tempête, et ses murs étaient tombés sous les coups de bélier, et le sang ruisselait dans les rues ; car l'ennemi s'en était rendu maître.
Et l'abomination de la désolation régnait dans la cité.
Et bien des signes avaient eu lieu auparavant à chaque repos du triangle.
Et voilà que j'aperçus le patriarche qui sortait du Temple envahi par les enfants de Baal, et qui fuyait, emportant avec lui l'Arche Sainte, et il courait vers la mer où se couche le Soleil.
Et l'Esprit me dit : « Le soleil se couche à l'Occident et se lève à l'Orient, la nuit succède au jour, et le jour à la nuit. Ainsi l'a ordonné le verbe de Dieu. »
Et cela arrivera une fois sur chaque côté du Triangle avant qu'arrive le règne de Dieu.
Que ceux qui ont des oreilles l'entendent et qu'un jour où la lumière viendra, ils sachent le reconnaître !
Car un flambeau doit venir qui n'est pas le soleil et qui viendra du côté où se lève le soleil et disparaîtra du côté où il se couche.
Et il viendra après les ténèbres, et il éclairera le monde et, quand il aura disparu, la lumière restera.
Car en vérité, je vous le dis : à peine l'arche sera-t-elle attaquée par les vers, que vous briserez le chandelier qui porte le flambeau. Et la lumière restera.
Ceci aura lieu quand, après avoir quitté Juda, le Triangle aura recommencé de parcourir les signes. Car alors les temps réduits commenceront et vous ferez pénitence pour être aimés de Dieu.
Et voilà que je vis les vainqueurs de Jérusalem remplacer l'arche par le veau d'or ; et ils se prosternaient à ses pieds et l'adoraient.
Son ventre seul était d'or, et le reste était chair et le ventre était son bouclier.
Et des traits étaient lancés contre lui, mais ne pouvaient l'atteindre.
Et il n'y avait pas encore un signe de plus, qu'une peste effroyable ravageait la cité et le fléau de Dieu s'appesantissait sur la terre.
Et la corruption allait croissant et s'étendait en marais sur la plaine, et les hommes se changeaient en reptiles et se baignaient et vivaient dans ces eaux fangeuses.
Et d'autres se changeaient en oiseaux et prenaient leur vol vers la montagne pour fuir les eaux montantes ; et ils attendaient, la rage dans le cœur, la venue du dragon qui doit boire le lac.
Et je les vis se grossissant sur la montagne, et l'Esprit me dit : « En vérité, je vous le dis : Le jour où le Triangle s'arrêtera sur la tête de Juda, les aiglons se précipiteront de la montagne pour dévorer les habitants de la plaine. »
Malheur ! Trois fois malheur ! Car ce jour approche et le nombre de Juda l'annonce avec le nombre de Dieu.
Et je vis, en effet, que tout était rouge de sang autour de Juda.
Et le Triangle parcourait les signes, et l'Esprit me disait : « Toute chair périra et la chair de l'idole périra aussi, et non seulement sa chair, mais encore son ventre ; car le temps approche que le ventre s'affaissera dans la pourriture de la chair et que la main le fuira. »
Et cela arrivera à la voix du Sinaï, et ce sera le premier signe après les épouvantements de Juda. Et ce premier signe sera le commencement de la fin, car la fin approche ; mais que la terre ne tremble pas. Dieu sera béni. Amen.
Et l'esprit souffla sur mes yeux. Et j'aperçus le Veau d'or au milieu de ses serviteurs. Et il avait deux cornes.
Celle de droite était fort grande, et l'on brûlait l'encens devant elle. Et celle de gauche ne faisait que pousser.
Et ces deux cornes étaient des cornes d'abondance et contenaient toutes les espérances.
Et le Triangle de Dieu s'était arrêté et il n'avait plus que trois signes à parcourir avant de passer par Juda.
Voilà que la grande corne se brise contre le pavé des murailles et que l'épouvante règne dans la cité.
Puis je vis une colombe noire qui tenait une croix renversée descendre sur la petite corne et la couvrir de ses ailes.
Cependant une autre grande corne sortait rapidement du front du Veau d'or. Et la colombe s'envola.
Et le Veau d'or secouait la tête, comme pour s'assurer de sa nouvelle défense. Et il se croyait puissant et fort. Mais l'Esprit des ténèbres était en lui.
Et l'Esprit me dit : « La grande corne est brisée, et c'est un présage, mais l'homme ne croit pas. »
« Et l'autre grande corne ne pourra défendre l'idole contre ses ennemis. Elle sera renversée et brisée. Et ses débris seront dispersés. »
Et la petite corne tuera le second né du Dragon.
Mais le Triangle avait fait deux pas et un tremblement de terre secoua Jérusalem jusque dans ses fondements et renversa l'idole que ses adorateurs abandonnèrent en lui criant : Raca.
Car le premier-né du Dragon s'était levé des entrailles de la terre et son regard fascinait les hommes. Et son souffle embrasait tout.
Encore un signe et le Dragon périra en son temps, me dit l'Esprit ; car l'Archange Michel le combat en tous lieux, et déjà il n'a plus qu'un seul repaire.
Et il sortira de ses flancs, comme Jonas du ventre de la baleine, le Captif qui doit lui écraser la tête.
Encore un signe et le Dragon périra. Oui, mais encore un signe, et il dévastera la terre, car il parcourra le monde tant que le Triangle restera sur Juda.
Et il ne s'arrêtera que devant la lumière qui le chassera comme elle chasse les ténèbres ; or, l'aurore commencera quand le Triangle quittera Juda.
Et le Triangle ayant fait un pas, je vis la tempête qui agitait au loin les vagues de la mer.
L'Archange planait sur les nues et le Dragon se tordait en tronçons sur la terre.
Et je vis, sur le sommet de Jérusalem, un ver luisant d'un éclat remarquable.
Ah ! Seigneur, vos secrets sont impénétrables ! Que signifie ce chandelier à sept branches, que je vois s'avancer avec ses sept torches, dont la lumière semble vouloir éclipser l'éclat du point qui brille au sommet du Temple et forcer le ver à rentrer sous terre ?
Mais que vois-je ? La torche la plus grande et la plus ardente tombe et s'éteint et les autres s'en réjouissent et se disputent sa place.
Et voici les branches du chandelier qui s'entrechoquent et les étincelles qui voltigent sur les épis. Grand Dieu ! L'incendie dévore les moissons, l'orage gronde et la foudre éclate avec fracas.
Et je vois les tronçons épars du Dragon qui se réunissent. Ah ! Seigneur, votre Triangle se repose maintenant sur Juda ! Seigneur, Seigneur, arrêtez votre colère ! Par quels signes voulez-vous donc manifester votre puissance !
L'Archange est remonté vers les cieux et le Dragon lève la tête et fait entendre des sifflements affreux.
Et les loups affamés se précipitent de la montagne et viennent dévorer les moutons qu'ils déchirent jusqu'au milieu des étables.
Et les hommes épouvantés s'enfuient de tous côtés emportant leurs trésors ; et ils sont accablés de leurs trésors et tombent sur les chemins.
Quel carnage, ô mon Dieu ! Le sang coule à flots dans le lit du Jourdain. Il roule des cadavres, des crânes brisés et des membres épars.
Et les vagues de la mer s'en vont aux rivages lointains épouvanter les nations.
N'est-ce pas assez, Seigneur, d'une pareille hécatombe pour apaiser votre colère ? Mais non. Quels sont ces bruits d'armes, ces cris de guerre et d'épouvante qu'apportent les quatre vents ?
Ah ! Le Dragon s'est jeté sur tous les États et y apporte la plus effroyable confusion.
Les hommes et les peuples se sont levés les uns contre les autres. Guerres, guerres ! Guerres civiles, guerres étrangères !
Quels chocs effroyables ! Tout est deuil et mort, et la famine règne aux champs.
Jérusalem ! Jérusalem ! Sauve-toi du feu de Sodome et de Gomorrhe et du sac de Babylone.
Eh quoi, Seigneur ! Votre bras ne s'arrête pas ! N'est-ce pas assez de la fureur des hommes pour tant de ruines fumantes ?
Les éléments doivent-ils encore servir votre colère ? Arrêtez, Seigneur, arrêtez ! Vos villes s'abîment d'elles-mêmes.
Grâce, grâce pour Sion ! Mais vous êtes sourd à nos voix, et la montagne de Sion s'écoule avec fracas !
La croix du Christ ne domine plus qu'un monceau de ruines.
Et voici que le roi de Sion attache à cette Croix et son sceptre et sa triple couronne, et, secouant sur les ruines la poussière de ses souliers, se hâte de fuir vers d'autres rives.
Toi, superbe Tyr (Beyrouth) qui échappe encore à l'orage, ne te réjouis pas dans ton orgueil. L'éruption du volcan qui brûle tes entrailles approche.
Tu tomberas bien plus avant que nous dans le gouffre.
Et ce n'est pas encore tout, Seigneur ! Votre Église est déchirée par ses propres enfants.
Les fils de Sion se partagent en deux camps : L'un fidèle au Pontife fugitif, et l'autre qui dispose du gouvernement de Sion, respectant le sceptre, mais brisant les couronnes.
Et qui place la tiare mutilée sur une tête ardente, qui tente des réformes que le parti opposé repousse, et la confusion en est le sanctuaire.
Et voilà que l'Arche sainte disparaît.
Mais mon esprit s'égare et mes yeux s'obscurcissent à la vue de cet effroyable cataclysme.
Mais, me dit l'Esprit, que l'homme espère en Dieu et fasse pénitence ; car le Seigneur tout-puissant est miséricordieux et tirera le monde du chaos et un monde nouveau recommencera.
Or, L'Esprit souffla sur mes yeux, et le Triangle de Dieu avait quitté Juda, et il se trouvait au premier signe.
Et je vis un homme d'une figure resplendissante comme la face des anges, monter sur les ruines de Sion.
Une lumière céleste descendit du ciel sur sa tête, comme autrefois les langues de feu sur les apôtres.
Et les enfants de Sion se prosternèrent à ses pieds, et il les bénit.
Et il appela les Samaritains et les Gentils, et ils se convertirent tous à sa voix.
Et je vis venir de l'Orient un jeune homme remarquable monté sur un lion.
Et il tenait une épée flamboyante à la main. Et le Coq chantait devant lui.
Et sur son passage tous les peuples s'inclinaient, car l'Esprit de Dieu était en lui.
Et il vint aussi sur les ruines de Sion, et il mit la main dans la main du Pontife.
Et ils appelèrent tous les peuples qui accoururent. Et ils leur dirent :
« Vous ne serez heureux et forts qu'unis dans un même amour. »
Et une voix sortie du ciel, au milieu des éclairs et du tonnerre, disait :
« Voici ceux que j'ai choisi pour mettre la paix entre l'Archange et le Dragon, et qui doivent renouveler la face de la terre. Ils sont mon verbe et mon bras. Et c'est mon Esprit qui les garde. »
Et je vis des choses merveilleuses.
Et j'entendis les cantiques s'élever de la terre aux cieux.
Puis j'aperçus à l'horizon un feu ardent. Et ma vue se troubla, et je ne vis et n'entendis plus rien.
Puis l'Esprit me dit : « Voici le commencement de la Fin des Temps qui commence.» Et je m'éveillai épouvanté.
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Re: Prophéties pour notre temps
Saint Benoît-Joseph Labre
(1783)
Benoît-Joseph Labre (1748-1783), le pèlerin mendiant, naquit à Amettes, diocèse d'Arras, et fut l'aîné d'une famille de quinze enfants. Âgé de douze ans, il fut reçu chez son oncle paternel, curé d'Érin, pour faire ses études en vue du sacerdoce.
Après la mort de son oncle, Benoît-Joseph passa chez son oncle maternel, vicaire de Conteville, où il ne fit que grandir dans la mortification et la prière. Son attrait était toujours vers le Saint-Sacrement devant lequel il s'abîmait des heures entières en contemplation.
Il y avait longtemps que Benoît-Joseph aspirait à une vie plus parfaite: "Être prêtre est bien beau, disait-il; mais j'ai peur de me perdre en sauvant les autres."
Il finit par vaincre les résistances de ses parents et entre chez les Chartreux, espérant y trouver sa voie définitive. Il se trompait, car la Providence permet qu'il soit bientôt renvoyé par ses supérieurs, comme n'ayant pas la vocation de cet Ordre. La pensée de la Trappe, qu'il avait eue d'abord, lui revient; on ne l'y accepte pas.
Ballotté de nouveau entre la Chartreuse et la Trappe, il est forcé de s'adresser enfin à Sept-Fonts, où ses scrupules, ses peines d'esprit et une maladie sérieuse donnent bientôt lieu à son renvoi.
Toute sa réponse à tant d'épreuves était: "Que la Volonté de Dieu soit faite!" C'est alors que Dieu lui inspire cette vocation de pèlerin-mendiant qui devait le mener droit, par les chemins les plus ardus de la pénitence, à une éminente sainteté.
Il n'aura plus de relations suivies avec personne, vivra en solitaire au milieu du monde, ira toujours à pied, cherchera tous les lieux consacrés par la dévotion. Il sera revêtu d'un habit pauvre et déchiré, qu'il ne changera point.
Un chapelet à la main, un autre au cou, un crucifix sur la poitrine, sur les épaules un petit sac contenant tout son avoir, c'est-à-dire son Nouveau Testament, l'Imitation de Jésus-Christ et le Bréviaire: tel on verra Benoît-Joseph dans ses continuels pèlerinages.
La pluie, le froid, la neige, la chaleur, rien ne l'arrête; il couche le plus souvent en plein air, il vit de charité, au jour le jour, sans rien réserver pour le lendemain; il ne prend que la plus misérable et la plus indispensable nourriture, et se fait lui-même pourvoyeur des pauvres. Souvent il est le jouet des enfants et de la populace; il est regardé comme un insensé; il souffre tout avec patience et amour. Rome, Lorette, Assise et une multitude d'autres lieux saints sont l'objet de sa dévotion.
Passage d'une lettre à Pie VI :
« Paris sera détruit à cause de ses blasphèmes ; une pierre n'y restera pas sur l'autre. »
(1783)
Benoît-Joseph Labre (1748-1783), le pèlerin mendiant, naquit à Amettes, diocèse d'Arras, et fut l'aîné d'une famille de quinze enfants. Âgé de douze ans, il fut reçu chez son oncle paternel, curé d'Érin, pour faire ses études en vue du sacerdoce.
Après la mort de son oncle, Benoît-Joseph passa chez son oncle maternel, vicaire de Conteville, où il ne fit que grandir dans la mortification et la prière. Son attrait était toujours vers le Saint-Sacrement devant lequel il s'abîmait des heures entières en contemplation.
Il y avait longtemps que Benoît-Joseph aspirait à une vie plus parfaite: "Être prêtre est bien beau, disait-il; mais j'ai peur de me perdre en sauvant les autres."
Il finit par vaincre les résistances de ses parents et entre chez les Chartreux, espérant y trouver sa voie définitive. Il se trompait, car la Providence permet qu'il soit bientôt renvoyé par ses supérieurs, comme n'ayant pas la vocation de cet Ordre. La pensée de la Trappe, qu'il avait eue d'abord, lui revient; on ne l'y accepte pas.
Ballotté de nouveau entre la Chartreuse et la Trappe, il est forcé de s'adresser enfin à Sept-Fonts, où ses scrupules, ses peines d'esprit et une maladie sérieuse donnent bientôt lieu à son renvoi.
Toute sa réponse à tant d'épreuves était: "Que la Volonté de Dieu soit faite!" C'est alors que Dieu lui inspire cette vocation de pèlerin-mendiant qui devait le mener droit, par les chemins les plus ardus de la pénitence, à une éminente sainteté.
Il n'aura plus de relations suivies avec personne, vivra en solitaire au milieu du monde, ira toujours à pied, cherchera tous les lieux consacrés par la dévotion. Il sera revêtu d'un habit pauvre et déchiré, qu'il ne changera point.
Un chapelet à la main, un autre au cou, un crucifix sur la poitrine, sur les épaules un petit sac contenant tout son avoir, c'est-à-dire son Nouveau Testament, l'Imitation de Jésus-Christ et le Bréviaire: tel on verra Benoît-Joseph dans ses continuels pèlerinages.
La pluie, le froid, la neige, la chaleur, rien ne l'arrête; il couche le plus souvent en plein air, il vit de charité, au jour le jour, sans rien réserver pour le lendemain; il ne prend que la plus misérable et la plus indispensable nourriture, et se fait lui-même pourvoyeur des pauvres. Souvent il est le jouet des enfants et de la populace; il est regardé comme un insensé; il souffre tout avec patience et amour. Rome, Lorette, Assise et une multitude d'autres lieux saints sont l'objet de sa dévotion.
Passage d'une lettre à Pie VI :
« Paris sera détruit à cause de ses blasphèmes ; une pierre n'y restera pas sur l'autre. »
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Re: Prophéties pour notre temps
Saint Alphonse de Liguori
(1787)
Voici un texte prophétique de Saint Alphonse de Liguori (1696-17878) à propos de la franc-maçonnerie.
Cette secte ne se propose rien de moins que la destruction de l’Eglise, du trône et des souverains. Les monarques ne paraissent pas s’en inquiéter, mail ils reconnaîtront trop tard, aux calamités qui en seront la suite, ces sectaires qui ne font aucun compte de Dieu et qui n’auront assurément pas plus d’égards pour les puissants de la terre.
(1787)
Voici un texte prophétique de Saint Alphonse de Liguori (1696-17878) à propos de la franc-maçonnerie.
Cette secte ne se propose rien de moins que la destruction de l’Eglise, du trône et des souverains. Les monarques ne paraissent pas s’en inquiéter, mail ils reconnaîtront trop tard, aux calamités qui en seront la suite, ces sectaires qui ne font aucun compte de Dieu et qui n’auront assurément pas plus d’égards pour les puissants de la terre.
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Re: Prophéties pour notre temps
Le paysan Jasper.
(1700)
Le plus célèbre de ces prophètes, fut le paysan Jasper, de la fin du XVIIIe siècle. Voici ce qu'il annonce :
J'ai des craintes du côté de l'Orient. Une guerre éclatera de ce côté avec tant de promptitude que le soir on dira : « La paix, la paix, et qu'il n'y aura pas la paix, car les ennemis seront déjà à la porte et que tout retentira de bruits de guerre. Ce ne sera pourtant pas une guerre de religion, mais tous ceux qui croiront en Jésus-Christ feront cause commune.
Un signe principal du temps où cette guerre éclatera sera la tiédeur générale en matière de religion et la corruption des moeurs en plusieurs endroits.
(1700)
Le plus célèbre de ces prophètes, fut le paysan Jasper, de la fin du XVIIIe siècle. Voici ce qu'il annonce :
J'ai des craintes du côté de l'Orient. Une guerre éclatera de ce côté avec tant de promptitude que le soir on dira : « La paix, la paix, et qu'il n'y aura pas la paix, car les ennemis seront déjà à la porte et que tout retentira de bruits de guerre. Ce ne sera pourtant pas une guerre de religion, mais tous ceux qui croiront en Jésus-Christ feront cause commune.
Un signe principal du temps où cette guerre éclatera sera la tiédeur générale en matière de religion et la corruption des moeurs en plusieurs endroits.
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Re: Prophéties pour notre temps
Frère Louis Rocco
(1800)
Frère Louis Rocco (prophétie du XVIIIe siècle) :
« Un grand Monarque se lèvera en Europe après une période de persécutions et de guerres terribles. Il sera catholique. Il ne sera pas Allemand. »
(1800)
Frère Louis Rocco (prophétie du XVIIIe siècle) :
« Un grand Monarque se lèvera en Europe après une période de persécutions et de guerres terribles. Il sera catholique. Il ne sera pas Allemand. »
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Re: Prophéties pour notre temps
Hélène Wallraff
(1800)
Hélène Wallraff (1755-1801) naquit à Brüggen, près de Cologne, d’une famille de simples cultivateurs. Elle était stigmatisée et douée de l’esprit de prophétie.
Ses prédictions se trouve dans l’opuscule « Trost der Betrübten, composé par elle en 1800 :
Les méchants seront anéantis par les méchants. Beaucoup de bons périront aussi, mais pour leur salut.
L’état militaire ne sera plus permanent.
Le tiers des hommes sera emporté par la tourmente.
Ces calamités ne tarderont pas à éclater.
Dieu fera de grands miracles en ces temps.
La vie commune sera introduite parmi le clergé, et prescrite en toute rigueur.
Les emplois et les charges ne seront plus attachés à la naissance, ni obtenus par protection, mais ils seront donnés à qui les aura mérités.
Les casernes seront transformées en couvent et l’entrée en religion sera gratuite.
L’enseignement sera donné aux enfants par les chapelains.
Alors reviendra l’âge d’or des prêtres, quand bien même on en serait réduits à des calices en bois.
Tous les états de la société seront de nouveau vivifiés par la crainte de Dieu.
La justice et la paix règneront alors sur la terre.
Un prince, demeuré jusque-là inaperçu, et dont la maison aura beaucoup souffert du malheur des temps, apportera cette vraie paix à la terre.
Un pape fugitif, suivi seulement de quatre cardinaux, viendra se réfugier à Cologne.
Ce dernier verset donné par l’Abbé Curique, ne se trouve pas dans l’opuscule cité de Wallraff.
(1800)
Hélène Wallraff (1755-1801) naquit à Brüggen, près de Cologne, d’une famille de simples cultivateurs. Elle était stigmatisée et douée de l’esprit de prophétie.
Ses prédictions se trouve dans l’opuscule « Trost der Betrübten, composé par elle en 1800 :
Les méchants seront anéantis par les méchants. Beaucoup de bons périront aussi, mais pour leur salut.
L’état militaire ne sera plus permanent.
Le tiers des hommes sera emporté par la tourmente.
Ces calamités ne tarderont pas à éclater.
Dieu fera de grands miracles en ces temps.
La vie commune sera introduite parmi le clergé, et prescrite en toute rigueur.
Les emplois et les charges ne seront plus attachés à la naissance, ni obtenus par protection, mais ils seront donnés à qui les aura mérités.
Les casernes seront transformées en couvent et l’entrée en religion sera gratuite.
L’enseignement sera donné aux enfants par les chapelains.
Alors reviendra l’âge d’or des prêtres, quand bien même on en serait réduits à des calices en bois.
Tous les états de la société seront de nouveau vivifiés par la crainte de Dieu.
La justice et la paix règneront alors sur la terre.
Un prince, demeuré jusque-là inaperçu, et dont la maison aura beaucoup souffert du malheur des temps, apportera cette vraie paix à la terre.
Un pape fugitif, suivi seulement de quatre cardinaux, viendra se réfugier à Cologne.
Ce dernier verset donné par l’Abbé Curique, ne se trouve pas dans l’opuscule cité de Wallraff.
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Re: Prophéties pour notre temps
Matthieu Lang
(1800)
Matthieu Lang…
« Après la grande guerre, il n’y aura pas de paix réelle. Dites à vos enfants que leurs enfants verront le jour où la terre sera nettoyée… Les bonnets rouges arriveront, on se cachera dans les forêts…
Après ces guerres civiles et le grand nettoyage, les hommes s’aimeront les uns les autres autant qu’ils se sont hais auparavant. »
(1800)
Matthieu Lang…
« Après la grande guerre, il n’y aura pas de paix réelle. Dites à vos enfants que leurs enfants verront le jour où la terre sera nettoyée… Les bonnets rouges arriveront, on se cachera dans les forêts…
Après ces guerres civiles et le grand nettoyage, les hommes s’aimeront les uns les autres autant qu’ils se sont hais auparavant. »
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Re: Prophéties pour notre temps
La Religieuse de Dresde
(1800)
La religieuse de Dresde prédit :
Entre 1940 et 2010, Lucifer déplacera son duc sur la terre. Et sur la terre, dominera la hiérarchie satanique, guidée par un démon qui parlera la langue d'Attila, mais portera les vêtements de César !
(1800)
La religieuse de Dresde prédit :
Entre 1940 et 2010, Lucifer déplacera son duc sur la terre. Et sur la terre, dominera la hiérarchie satanique, guidée par un démon qui parlera la langue d'Attila, mais portera les vêtements de César !
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Sœur Rose Asdenti de Taggia
(1800)
Sœur Rose Asdenti de Taggia (prophétie du XVIIIe siècle) :
« Une grande révolution s’étendra sur toute l’Europe. La paix ne sera rétablie que lorsque la Fleur de Lis aura repris possession du trône de France. »
(1800)
Sœur Rose Asdenti de Taggia (prophétie du XVIIIe siècle) :
« Une grande révolution s’étendra sur toute l’Europe. La paix ne sera rétablie que lorsque la Fleur de Lis aura repris possession du trône de France. »
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Re: Prophéties pour notre temps
Sœur Marianne de Blois
(1804)
La vie de Sœur Marianne est peu connue. Elle fut tourière au couvent des Ursulines de Blois. En 1804, quelques années avant de mourir, elle confia oralement ses prophéties à Mlle de Leyrette, une jeune novice qui venait d’entrer au couvent et qui devint plus tard la Mère Providence. Celle-ci ne les a jamais rédigées par écrits et on n’en possède que des versions écrites de mémoire à la suite de conversations avec elle.
Dès 1804, Sœur Marianne avait prédit la déchéance de Napoléon et son retour offensif de trois mois.
La Sœur Marianne a parlé d’un orage qui dépasserait les proportions connues, mais la Mère Providence a ajouté quelquefois qu’elle ne pouvait pas dire avec certitude si ce sera dans l’ordre physique ou dans l’ordre moral. Cet orage ressemblera à un petit jugement dernier.
Cette grande calamité sera accompagnée d’un exode gigantesque.
Tous les hommes partiront, on les fera partir par bandes petit à petit ; il ne restera que les vieillards.
Que ces troubles seront effrayants !
Pourtant, ils ne s’étendront pas dans toute la France, mais seulement dans quelques grandes villes où il y aura des massacres et surtout dans la capitale, Paris, où ils seront grands.
Tant qu’on priera, il n’arrivera rien, mais il viendra un moment où l’on cessera de faire des prières publiques ; on dira : « les choses vont rester comme cela ». C’est alors qu’auront lieu les évènements. Néanmoins, les prières particulières ne cesseront pas.
Il faudra bien prier car les méchants voudront tout détruire. Avant le grand combat, ils seront les maîtres ; ils feront tout le mal qu’ils pourront, non tout ce qu’ils voudront parce qu’ils n’en auront pas le temps.
Ce grand combat sera entre les bons et les méchants ; il sera épouvantable.
Les bons étant moins nombreux seront un moment sur le point d’être anéantis, mais ô puissance de Dieu ! Tous les méchants périront et beaucoup de bons.
Il y aura des choses telles que les plus incrédules seront forcés de dire : « le doigt de Dieu est là ».
(1804)
La vie de Sœur Marianne est peu connue. Elle fut tourière au couvent des Ursulines de Blois. En 1804, quelques années avant de mourir, elle confia oralement ses prophéties à Mlle de Leyrette, une jeune novice qui venait d’entrer au couvent et qui devint plus tard la Mère Providence. Celle-ci ne les a jamais rédigées par écrits et on n’en possède que des versions écrites de mémoire à la suite de conversations avec elle.
Dès 1804, Sœur Marianne avait prédit la déchéance de Napoléon et son retour offensif de trois mois.
La Sœur Marianne a parlé d’un orage qui dépasserait les proportions connues, mais la Mère Providence a ajouté quelquefois qu’elle ne pouvait pas dire avec certitude si ce sera dans l’ordre physique ou dans l’ordre moral. Cet orage ressemblera à un petit jugement dernier.
Cette grande calamité sera accompagnée d’un exode gigantesque.
Tous les hommes partiront, on les fera partir par bandes petit à petit ; il ne restera que les vieillards.
Que ces troubles seront effrayants !
Pourtant, ils ne s’étendront pas dans toute la France, mais seulement dans quelques grandes villes où il y aura des massacres et surtout dans la capitale, Paris, où ils seront grands.
Tant qu’on priera, il n’arrivera rien, mais il viendra un moment où l’on cessera de faire des prières publiques ; on dira : « les choses vont rester comme cela ». C’est alors qu’auront lieu les évènements. Néanmoins, les prières particulières ne cesseront pas.
Il faudra bien prier car les méchants voudront tout détruire. Avant le grand combat, ils seront les maîtres ; ils feront tout le mal qu’ils pourront, non tout ce qu’ils voudront parce qu’ils n’en auront pas le temps.
Ce grand combat sera entre les bons et les méchants ; il sera épouvantable.
Les bons étant moins nombreux seront un moment sur le point d’être anéantis, mais ô puissance de Dieu ! Tous les méchants périront et beaucoup de bons.
Il y aura des choses telles que les plus incrédules seront forcés de dire : « le doigt de Dieu est là ».
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Re: Prophéties pour notre temps
La religieuse de Belley
(1810)
Cette religieuse dicta sa prophétie entre 1810. Elle mourut en 1820. Le médecin qui la soignait transmit ces textes au Père Fulgence, aumônier de la trappe de Notre Dame des Gardes, près d’Angers. Il en a été publié des coupures incomplètes et par conséquent différentes.
Alors Dieu détournera sa main de celui qui aura signé ces arrêts injustes, et le jour de la fête des sien, son exil sera décidé.
Les méchants triompheront, la Seine charriera des cadavres, le sang coulera sur et sous les pierres de la grande ville ; des femmes, des enfants périront. Ceci arrivera avant la fin de juillet.
Et pendant le mois d’août, une branche glorieuse des Bourbons sera coupée ; un Bourbon doit périr, un autre sera élevé.
Avant la fin de l’année, il tremblera.
Ceux qui l’auront élevé tressailliront. Je vois la faim les poursuivre et le sang coulé.
Des drapeaux funèbres s’élèvent ; tout est perdu pour eux.
Ils semblent triompher encore les insensés, ils se rient de Dieu ; les temples sont fermés, les ministres fuient ; le Saint Sacrifice cesse.
Malheur, malheur à la cité corrompue !
Un nouvel an paraît. Le Grand Pontife meurt. Ils ne s’entendent plus.
Fuez, enfants de Dieu ! Fuyez, le jour des morts est arrivé !
Des cris retentissent de toutes parts :
« Vive la République ! – Vive Napoléon ! – Vive Henri ! – Vive Louis ! »
Quelle confusion ! Le feu, le sang, la faim, tout l’enfer.
Malheur ! Malheur ! Trois fois malheur à la cité du sang ! Malheur à la cité de l’hérésie ! Malheur à la cité du crime !
Les méchants veulent tout détruirent ; leurs livres, leurs doctrines inondent le monde.
Le jour de la justice est venu. Je vois, à l’aspect de celui que l’on a méconnu, le monde fléchir et tomber.
Une femme l’a sauvé, une femme le suit. Un ministre du Très-Haut le soutient ; ce ministre vient d’être oint de l’huile sainte. Dieu les accompagne. Voilà votre roi.
Il paraît au milieu de la confusion de l’orage. Quel affreux moment ! Les bons, les méchants tombent.
Babylone est réduite en cendres. Malheur à toi, ville maudite !
Il y eut en même temps une grande bataille, si furieuse qu’on n’en a jamais vu de pareille. Le sang coulait comme une forte pluie, surtout du sud au nord, car l’ouest paraissait plus calme. Les méchants voulaient exterminer tous les serviteurs de la religion de Jésus-Christ. Ils en avaient abattu un grand nombre et criaient déjà victoire, lorsque soudain les bons furent encouragés par un secours qui leur venait d’En-Haut, et les méchants confondus et vaincus.
Je vis alors les clefs lumineuses paraître vers le Nord. Un saint lève les mains vers le ciel ; il apaise la colère divine. Il monte sur le trône de St Pierre.
Le Grand Monarque monte sur celui de ses pères ; le trône est monté au midi.
Tout s’apaise à leurs voix. Les autels se relèvent. La religion renaît, les méchants sont détruits et confondus, les injustices se réparent. Le Grand Monarque de sa main réparatrice a tout sauvé.
Il ne fait que passer sa gloire est courte. Il est né dans le malheur.
L’enfant de l’exil lui succède. La paix sera alors donnée à la France, mais la fin des temps ne sera pas éloignée.
C’est Jésus-Christ qui parle :
La famille royale va être punie, et elle me paiera les expiations qu’elle me doit.
Mais parce que je me la suis choisi, je ferai pour elle ce que j’ai fait pour Loth, et je la sauverai de Sodome et l’enfant.
L’usurpateur viendra s’asseoir sur le trône où ma vengeance le trouvera plus tard.
La démence et l’aveuglement règnent.
Les bons désespèrent devant le succès de l’iniquité, et la France périrait si elle n’était consacrée à Marie.
Mais ce qui appartient à Marie ne périt pas.
L’expiation sera aussi grande que le crime ; et j’ai à me venger fortement de la France ; mais j’ai abrégé le temps qui m’est dû.
Vous aurez pour signe de la fin de ces choses, quand l’usurpateur croira son triomphe assuré, et qu’il s’applaudira de ce qu’il peut, car c’est dans sa fumée que je le frapperai.
Et il se fera sentir aux âmes, et ils se désoleront, mais l’épreuve sera courte.
L’aveuglement ira jusqu’au bout.
Paris périra ; mais ils diront : « Il y avait des souterrains sous Paris, et le feu y a été mis. » Et ils s’endurciront.
La seconde ville du Royaume sera frappée, et ils ne croiront point encore.
Une troisième sera frappée, et ils commenceront à crier merci.
Et quand le sang aura coulé, l’enfant du miracle rentrera.
Il n’ira point habiter Paris, car les bêtes elle-même n’en approcheront plus.
Il choisira sa capitale vers le Midi.
Je lui donnerai un régent, un guide, un conseiller qui sera un saint, et ils suivront mes voies.
Et la religion brillera, car il y aura un renouvellement.
Je veillerai jusqu’au bout sur la famille de l’enfant, parce que je me la suis choisi et elle règnera jusqu’à la fin.
Elle sera environnée de dangers et l’usurpateur dressera contre elle toutes sortes d’embûches.
Ses ennemis seront acharnés contre elle et ses ennemis n’oublieront aucun moyen.
Mais elle triomphera, et ma puissance éclatera dans son chef.
(1810)
Cette religieuse dicta sa prophétie entre 1810. Elle mourut en 1820. Le médecin qui la soignait transmit ces textes au Père Fulgence, aumônier de la trappe de Notre Dame des Gardes, près d’Angers. Il en a été publié des coupures incomplètes et par conséquent différentes.
Alors Dieu détournera sa main de celui qui aura signé ces arrêts injustes, et le jour de la fête des sien, son exil sera décidé.
Les méchants triompheront, la Seine charriera des cadavres, le sang coulera sur et sous les pierres de la grande ville ; des femmes, des enfants périront. Ceci arrivera avant la fin de juillet.
Et pendant le mois d’août, une branche glorieuse des Bourbons sera coupée ; un Bourbon doit périr, un autre sera élevé.
Avant la fin de l’année, il tremblera.
Ceux qui l’auront élevé tressailliront. Je vois la faim les poursuivre et le sang coulé.
Des drapeaux funèbres s’élèvent ; tout est perdu pour eux.
Ils semblent triompher encore les insensés, ils se rient de Dieu ; les temples sont fermés, les ministres fuient ; le Saint Sacrifice cesse.
Malheur, malheur à la cité corrompue !
Un nouvel an paraît. Le Grand Pontife meurt. Ils ne s’entendent plus.
Fuez, enfants de Dieu ! Fuyez, le jour des morts est arrivé !
Des cris retentissent de toutes parts :
« Vive la République ! – Vive Napoléon ! – Vive Henri ! – Vive Louis ! »
Quelle confusion ! Le feu, le sang, la faim, tout l’enfer.
Malheur ! Malheur ! Trois fois malheur à la cité du sang ! Malheur à la cité de l’hérésie ! Malheur à la cité du crime !
Les méchants veulent tout détruirent ; leurs livres, leurs doctrines inondent le monde.
Le jour de la justice est venu. Je vois, à l’aspect de celui que l’on a méconnu, le monde fléchir et tomber.
Une femme l’a sauvé, une femme le suit. Un ministre du Très-Haut le soutient ; ce ministre vient d’être oint de l’huile sainte. Dieu les accompagne. Voilà votre roi.
Il paraît au milieu de la confusion de l’orage. Quel affreux moment ! Les bons, les méchants tombent.
Babylone est réduite en cendres. Malheur à toi, ville maudite !
Il y eut en même temps une grande bataille, si furieuse qu’on n’en a jamais vu de pareille. Le sang coulait comme une forte pluie, surtout du sud au nord, car l’ouest paraissait plus calme. Les méchants voulaient exterminer tous les serviteurs de la religion de Jésus-Christ. Ils en avaient abattu un grand nombre et criaient déjà victoire, lorsque soudain les bons furent encouragés par un secours qui leur venait d’En-Haut, et les méchants confondus et vaincus.
Je vis alors les clefs lumineuses paraître vers le Nord. Un saint lève les mains vers le ciel ; il apaise la colère divine. Il monte sur le trône de St Pierre.
Le Grand Monarque monte sur celui de ses pères ; le trône est monté au midi.
Tout s’apaise à leurs voix. Les autels se relèvent. La religion renaît, les méchants sont détruits et confondus, les injustices se réparent. Le Grand Monarque de sa main réparatrice a tout sauvé.
Il ne fait que passer sa gloire est courte. Il est né dans le malheur.
L’enfant de l’exil lui succède. La paix sera alors donnée à la France, mais la fin des temps ne sera pas éloignée.
C’est Jésus-Christ qui parle :
La famille royale va être punie, et elle me paiera les expiations qu’elle me doit.
Mais parce que je me la suis choisi, je ferai pour elle ce que j’ai fait pour Loth, et je la sauverai de Sodome et l’enfant.
L’usurpateur viendra s’asseoir sur le trône où ma vengeance le trouvera plus tard.
La démence et l’aveuglement règnent.
Les bons désespèrent devant le succès de l’iniquité, et la France périrait si elle n’était consacrée à Marie.
Mais ce qui appartient à Marie ne périt pas.
L’expiation sera aussi grande que le crime ; et j’ai à me venger fortement de la France ; mais j’ai abrégé le temps qui m’est dû.
Vous aurez pour signe de la fin de ces choses, quand l’usurpateur croira son triomphe assuré, et qu’il s’applaudira de ce qu’il peut, car c’est dans sa fumée que je le frapperai.
Et il se fera sentir aux âmes, et ils se désoleront, mais l’épreuve sera courte.
L’aveuglement ira jusqu’au bout.
Paris périra ; mais ils diront : « Il y avait des souterrains sous Paris, et le feu y a été mis. » Et ils s’endurciront.
La seconde ville du Royaume sera frappée, et ils ne croiront point encore.
Une troisième sera frappée, et ils commenceront à crier merci.
Et quand le sang aura coulé, l’enfant du miracle rentrera.
Il n’ira point habiter Paris, car les bêtes elle-même n’en approcheront plus.
Il choisira sa capitale vers le Midi.
Je lui donnerai un régent, un guide, un conseiller qui sera un saint, et ils suivront mes voies.
Et la religion brillera, car il y aura un renouvellement.
Je veillerai jusqu’au bout sur la famille de l’enfant, parce que je me la suis choisi et elle règnera jusqu’à la fin.
Elle sera environnée de dangers et l’usurpateur dressera contre elle toutes sortes d’embûches.
Ses ennemis seront acharnés contre elle et ses ennemis n’oublieront aucun moyen.
Mais elle triomphera, et ma puissance éclatera dans son chef.
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Re: Prophéties pour notre temps
L'abbé Mattay
(1815)
L'abbé Mattay a prédit en 1815.
Après elle, un prince légitime d'une grande piété et d'une grande sagesse sera appelé à gouverner la France. Il vivra très vieux et la France se trouvera heureuse sous son règne. Il viendra au moment où on s'y attendra le moins. Il prendra le titre d'empereur, car à partir de là nous ne devons plus avoir de roi.
(1815)
L'abbé Mattay a prédit en 1815.
Après elle, un prince légitime d'une grande piété et d'une grande sagesse sera appelé à gouverner la France. Il vivra très vieux et la France se trouvera heureuse sous son règne. Il viendra au moment où on s'y attendra le moins. Il prendra le titre d'empereur, car à partir de là nous ne devons plus avoir de roi.
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Re: Prophéties pour notre temps
La religieuse trappistine de N.D. des Gardes.
(1815)
La religieuse trappistine de Notre-Dame des Gardes en Anjou, qui dut se cacher en 1793 chez des amis, fit en 1815, la prophétie suivante:
J'entendis des voix qui criaient d'un ton horrible. J'entendis distinctement par trois fois les mêmes voix qui disaient : « Nous sommes vainqueurs, nous avons la victoire ! »
Au moment où les voix prononçaient ces paroles, tout d'un coup je vis que le ciel devint une profonde nuit. Cette obscurité fut accompagnée d'un tonnerre, ou plutôt il me sembla que le tonnerre venait à la fois des quatre parties de la terre. Le ciel devint tout en feu. Il se faisait alors un bruit si terrible, qu'il paraissait annoncer la ruine entière du monde, j'aperçus alors un gros nuage rouge, couleur sang de boeuf ; ce nuage roulait de tous côtés. Cependant, j'aperçus des multitudes d'hommes et de femmes qui avaient des figures à faire peur ; ils se livraient à toutes sortes de crimes ; ils vomissaient des blasphèmes horribles contre ce qu'il y a de plus sacré au ciel et sur la terre. Ce qui me surprit, ce fut de voir à la tête de ces malheureux quelques-uns de ceux qui, par leur état, doivent les porter au bien et qui les poussaient au mal. Le tonnerre grondait toujours dans les airs d'une manière effrayante, lorsque j'entendis une voix qui me dit : « Ne crains point ; mon courroux tombera sur ceux qui ont allumé ma colère; ils disparaîtront dans un moment.
(1815)
La religieuse trappistine de Notre-Dame des Gardes en Anjou, qui dut se cacher en 1793 chez des amis, fit en 1815, la prophétie suivante:
J'entendis des voix qui criaient d'un ton horrible. J'entendis distinctement par trois fois les mêmes voix qui disaient : « Nous sommes vainqueurs, nous avons la victoire ! »
Au moment où les voix prononçaient ces paroles, tout d'un coup je vis que le ciel devint une profonde nuit. Cette obscurité fut accompagnée d'un tonnerre, ou plutôt il me sembla que le tonnerre venait à la fois des quatre parties de la terre. Le ciel devint tout en feu. Il se faisait alors un bruit si terrible, qu'il paraissait annoncer la ruine entière du monde, j'aperçus alors un gros nuage rouge, couleur sang de boeuf ; ce nuage roulait de tous côtés. Cependant, j'aperçus des multitudes d'hommes et de femmes qui avaient des figures à faire peur ; ils se livraient à toutes sortes de crimes ; ils vomissaient des blasphèmes horribles contre ce qu'il y a de plus sacré au ciel et sur la terre. Ce qui me surprit, ce fut de voir à la tête de ces malheureux quelques-uns de ceux qui, par leur état, doivent les porter au bien et qui les poussaient au mal. Le tonnerre grondait toujours dans les airs d'une manière effrayante, lorsque j'entendis une voix qui me dit : « Ne crains point ; mon courroux tombera sur ceux qui ont allumé ma colère; ils disparaîtront dans un moment.
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Re: Prophéties pour notre temps
Une religieuse inconnue
(1815-01-21)
Prophétie d’une religieuse qui a souhaité conserver son anonymat :
« Le 21 janvier 1815, j’étais en méditation devant le Seigneur, et je méditais la gloire dont jouit le roi-martyr dans le Ciel, et je priais le fils de saint Louis de toujours veiller sur la France.
Et je me trouvai comme endormie, et je vis Louis XVI auprès de moi, il fera une grande faute contre l’Eglise, et il en subira la peine : mais Dieu dans sa miséricorde lui dessillera les yeux quelques temps après.
Et un autre jour de l’année suivante, je méditais encore ; et Dieu me fit voir la malice des hommes ; et je ne pouvais comprendre comment la malice des hommes fut aussi grande.
Et un vieillard était là parlant à un jeune homme, et lui montrait un poignard et un prince ; et ce prince était comme le dernier de la race de St Louis.
Et le jeune homme faisait de la tête, de temps en temps, des signes négatifs.
Et un autre jeune homme parut ; et le vieillard lui parla comme au premier ; et ce jeune homme prit le poignard, et une bourse pleine d’or, qui était là aussi.
Et la voix de Dieu me dit : « La corruption est générale parmi les hommes, l’avarice, l’envie, la luxure les damnent, ils connaîtront le crime que je t’ai révélé. Mais de ce prince, il naîtra un enfant.
Et cet enfant sera doué de toutes les vertus, et il sera selon mon coeur.
Et il règnera lorsque j’aurai fait disparaître ces impies de la surface de la terre, et il apporte avec lui le bonheur et la paix. »
Et neuf ans après, voyant les maux qui devaient tomber sur notre chère patrie, j’invoquais les archanges et les saints, patrons et protecteurs de la France.
Je voyais donc ces maux et il me fut dit : « Il viendra ce temps, il n’est pas très éloigné où toutes les puissances reconnaîtront l’autorité du Saint-Siège et que je suis le Seigneur.
Or, quand elles seront bouleversées, ce sera alors qu’elles se sentiront disposées à reconnaître les prodiges qui sont sur le point de s’opérer.
Heureux ceux qui croiront aux avertissements que j’enverrai ! »
Et encore cinq ans après, au mois d’octobre, je rendais grâce à Dieu de la promesse qu’il m’avait faite quatre ans auparavant.
Et je disais au Seigneur : « Seigneur, votre parole est véritable. Ce prince vous adorera, afin de nous apprendre à vous adorer ; et il vous aimera, Seigneur, pour que nous sachions vous aimer. »
Et comme je disais encore : « Il sera le réparateur et le sauveur de ma Patrie ; voici ce qu’il faut désirer : qu’il soit doux et humble de cœur. »
Et la voix du Seigneur me dit encore :
« Je lui donnerai toute puissance sur la terre ; et il marchera à ma droite jusqu’à ce que je réduise ses ennemis à le servir.
Et le sceptre lui sera donné pour défendre l’Autel et le Trône ; et ses ennemis tomberont au jour de sa force.
Il sera le Roi fort ; il marchera avec le Pape Saint.
Il gagnera les nations, et il les changera en de vrais adorateurs. »
Et tous ceux qui font souffrir des maux à mes serviteurs seront chassés loin de moi ; et ils seront regardés comme des insensées qui ont dit en leur cœur : « Il n’y a point de Dieu !»
Or, j’aveuglerais ces ouvriers d’iniquité et ils ne sauront pas s’entendre, et ils se révolteront les uns contre les autres. »
(1815-01-21)
Prophétie d’une religieuse qui a souhaité conserver son anonymat :
« Le 21 janvier 1815, j’étais en méditation devant le Seigneur, et je méditais la gloire dont jouit le roi-martyr dans le Ciel, et je priais le fils de saint Louis de toujours veiller sur la France.
Et je me trouvai comme endormie, et je vis Louis XVI auprès de moi, il fera une grande faute contre l’Eglise, et il en subira la peine : mais Dieu dans sa miséricorde lui dessillera les yeux quelques temps après.
Et un autre jour de l’année suivante, je méditais encore ; et Dieu me fit voir la malice des hommes ; et je ne pouvais comprendre comment la malice des hommes fut aussi grande.
Et un vieillard était là parlant à un jeune homme, et lui montrait un poignard et un prince ; et ce prince était comme le dernier de la race de St Louis.
Et le jeune homme faisait de la tête, de temps en temps, des signes négatifs.
Et un autre jeune homme parut ; et le vieillard lui parla comme au premier ; et ce jeune homme prit le poignard, et une bourse pleine d’or, qui était là aussi.
Et la voix de Dieu me dit : « La corruption est générale parmi les hommes, l’avarice, l’envie, la luxure les damnent, ils connaîtront le crime que je t’ai révélé. Mais de ce prince, il naîtra un enfant.
Et cet enfant sera doué de toutes les vertus, et il sera selon mon coeur.
Et il règnera lorsque j’aurai fait disparaître ces impies de la surface de la terre, et il apporte avec lui le bonheur et la paix. »
Et neuf ans après, voyant les maux qui devaient tomber sur notre chère patrie, j’invoquais les archanges et les saints, patrons et protecteurs de la France.
Je voyais donc ces maux et il me fut dit : « Il viendra ce temps, il n’est pas très éloigné où toutes les puissances reconnaîtront l’autorité du Saint-Siège et que je suis le Seigneur.
Or, quand elles seront bouleversées, ce sera alors qu’elles se sentiront disposées à reconnaître les prodiges qui sont sur le point de s’opérer.
Heureux ceux qui croiront aux avertissements que j’enverrai ! »
Et encore cinq ans après, au mois d’octobre, je rendais grâce à Dieu de la promesse qu’il m’avait faite quatre ans auparavant.
Et je disais au Seigneur : « Seigneur, votre parole est véritable. Ce prince vous adorera, afin de nous apprendre à vous adorer ; et il vous aimera, Seigneur, pour que nous sachions vous aimer. »
Et comme je disais encore : « Il sera le réparateur et le sauveur de ma Patrie ; voici ce qu’il faut désirer : qu’il soit doux et humble de cœur. »
Et la voix du Seigneur me dit encore :
« Je lui donnerai toute puissance sur la terre ; et il marchera à ma droite jusqu’à ce que je réduise ses ennemis à le servir.
Et le sceptre lui sera donné pour défendre l’Autel et le Trône ; et ses ennemis tomberont au jour de sa force.
Il sera le Roi fort ; il marchera avec le Pape Saint.
Il gagnera les nations, et il les changera en de vrais adorateurs. »
Et tous ceux qui font souffrir des maux à mes serviteurs seront chassés loin de moi ; et ils seront regardés comme des insensées qui ont dit en leur cœur : « Il n’y a point de Dieu !»
Or, j’aveuglerais ces ouvriers d’iniquité et ils ne sauront pas s’entendre, et ils se révolteront les uns contre les autres. »
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Re: Prophéties pour notre temps
Une religieuse inconnue
(1816)
Cette prophétie d’origine inconnue et d’une religieuse dont le nom n'est pas dévoilé, présente tous les caractères de l’authenticité.
Notre Seigneur apparaissant à la religieuse, lui dit :
« J’ai encore des vues de miséricorde sur la France ; je lui donnerai un roi selon mon cœur et ma volonté. Il aura en partage la douceur, la sagesse, et la sévérité. Je lui rendrai tout facile et tous se rendront à ses volontés. Il fera tout rentrer dans le devoir et dans l’ordre…
Je lui donnerai toute puissance sur la terre, et il marchera à ma droite jusqu’à je réduise ses ennemis à le servir. Et le sceptre lui sera donné pour défendre l’autel et le trône ; et ses ennemis trembleront au jour de sa force. Il sera le Roi fort et marchera avec le Pape saint…
Elle refleurira, cette religion sainte. Mais ce seront ni le Pape, ni le roi actuellement régnants qui la feront refleurir, mais un roi selon mon cœur…
Il fera de grande chose avec un Pape que je donnerai à mon Eglise dans ma miséricorde.
Ce n’est qu’à eux qu’il sera donné de rétablir les affaires de l’Eglise.
Le nouveau Pape sera un grand personnage et d’une grande sainteté.
Par ses exemples, par ses soins et de concert avec le Grand Monarque qui sera selon mon cœur, ils feront de grandes choses pour la religion et plusieurs nations rentreront dans le sein de l’Eglise. »
La religieuse vit aussi de grands troubles dans Paris, Lyon et Genève.
(1816)
Cette prophétie d’origine inconnue et d’une religieuse dont le nom n'est pas dévoilé, présente tous les caractères de l’authenticité.
Notre Seigneur apparaissant à la religieuse, lui dit :
« J’ai encore des vues de miséricorde sur la France ; je lui donnerai un roi selon mon cœur et ma volonté. Il aura en partage la douceur, la sagesse, et la sévérité. Je lui rendrai tout facile et tous se rendront à ses volontés. Il fera tout rentrer dans le devoir et dans l’ordre…
Je lui donnerai toute puissance sur la terre, et il marchera à ma droite jusqu’à je réduise ses ennemis à le servir. Et le sceptre lui sera donné pour défendre l’autel et le trône ; et ses ennemis trembleront au jour de sa force. Il sera le Roi fort et marchera avec le Pape saint…
Elle refleurira, cette religion sainte. Mais ce seront ni le Pape, ni le roi actuellement régnants qui la feront refleurir, mais un roi selon mon cœur…
Il fera de grande chose avec un Pape que je donnerai à mon Eglise dans ma miséricorde.
Ce n’est qu’à eux qu’il sera donné de rétablir les affaires de l’Eglise.
Le nouveau Pape sera un grand personnage et d’une grande sainteté.
Par ses exemples, par ses soins et de concert avec le Grand Monarque qui sera selon mon cœur, ils feront de grandes choses pour la religion et plusieurs nations rentreront dans le sein de l’Eglise. »
La religieuse vit aussi de grands troubles dans Paris, Lyon et Genève.
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Re: Prophéties pour notre temps
L'abbé Souffrand.
(1817)
L'abbé Souffrand a prédit en 1817.
Les généraux français déposeront les armes dès que le Grand Monarque se sera montré. Le Grand Monarque est de la branche aînée des Bourbons, et il est issu de la branche d'un rameau coupé. Il ne fera que prendre la couronne pour la placer sur la tête de son héritier direct. Le Grand Monarque fera des choses si extraordinaires que les plus incrédules seront forcés de reconnaître le doigt de Dieu.
Paris sera détruit, tellement détruit que la charrue y passera.
En 1828, l'abbé Souffrand annonce :
En ce temps-là, un Moine qui aura la paix dans son nom et dans son cœur sera en prière ; il aura la même mission que Jeanne d’Arc… (Ce Moine sera le Saint Pape, il ne sera pas cardinal quand Dieu miraculeusement le fera monter sur le siège de Pierre), chassé de toutes parts, il viendra se réfugier dans son séminaire dans l’ouest de la France, et le Grand Roy que Dieu nous réserve, descendant du Roi Martyr… Ils auront beaucoup de difficultés près de certains prélats. Après la crise, il y aura un concile général, malgré quelques oppositions faites par le clergé même.
(1817)
L'abbé Souffrand a prédit en 1817.
Les généraux français déposeront les armes dès que le Grand Monarque se sera montré. Le Grand Monarque est de la branche aînée des Bourbons, et il est issu de la branche d'un rameau coupé. Il ne fera que prendre la couronne pour la placer sur la tête de son héritier direct. Le Grand Monarque fera des choses si extraordinaires que les plus incrédules seront forcés de reconnaître le doigt de Dieu.
Paris sera détruit, tellement détruit que la charrue y passera.
En 1828, l'abbé Souffrand annonce :
En ce temps-là, un Moine qui aura la paix dans son nom et dans son cœur sera en prière ; il aura la même mission que Jeanne d’Arc… (Ce Moine sera le Saint Pape, il ne sera pas cardinal quand Dieu miraculeusement le fera monter sur le siège de Pierre), chassé de toutes parts, il viendra se réfugier dans son séminaire dans l’ouest de la France, et le Grand Roy que Dieu nous réserve, descendant du Roi Martyr… Ils auront beaucoup de difficultés près de certains prélats. Après la crise, il y aura un concile général, malgré quelques oppositions faites par le clergé même.
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Re: Prophéties pour notre temps
Elisabeth Canori-Mora
(1820)
Elisabeth Canori-Mora, tertiaire de l’ordre de la Sainte Trinité comme sa contemporaine Anna-Maria Taïgi, fut favorisée d’une visite de St Pierre dans une vision concernant le relèvement et le triomphe de l’Eglise, de la manière que nous allons rapporter, et comme elle l'écrivit elle-même, par obéissance à son confesseur :
"En 1820, le jour de la fête de saint Pierre, pendant que je priais pour les besoins de l'Église et pour la conversion des pécheurs, au nombre desquels j'occupe le premier rang, je fus ravie au ciel et placée tout près de Dieu. Par le moyen d'une lumière inaccessible, je fus si intimement unie à Lui, que je ne me reconnaissais plus moi-même, étant toute transformée dans cette lumière divine. Je reçus la douce impression de la charité de Dieu ; le contentement et la joie que j'éprouvais alors sont indéfinissables bien qu'au milieu de ces douceurs célestes mon esprit fût parfaitement calme. Je vis le ciel s'ouvrir et en descendre, avec majesté, le prince des apôtres, accompagné d'une multitude d'esprits célestes chantant des hymnes de louange. Le glorieux apôtre était revêtu des habits pontificaux, et tenait en main une crosse avec laquelle il traça sur la terre une grande croix. Pendant qu'il traçait cette croix, il était entouré par les anges, qui chantaient en son honneur les paroles du psaume : Constitues eos principes super omnem terram, etc. "Vous les établirez princes sur toute la terre…" Il appuya ensuite sa crosse aux quatre extrémités de la croix, et au même instant il en sortit quatre arbres magnifiques portant des fleurs et des fruits très précieux. Ces arbres mystérieux avaient eux-mêmes la forme d'une croix et étaient entourés d'une vive lumière. Le bienheureux apôtre alla ensuite ouvrir toutes les portes des couvents. Ces arbres devaient servir de lieu de refuge au petit troupeau de Jésus-Christ, et préserver les bons chrétiens du terrible châtiment qui bouleversera le monde entier.
Tous les fidèles qui auront gardé dans leur cœur la foi de Jésus-Christ, ainsi que les religieux et les religieuses qui auront conservé fidèlement l'esprit de leur institut, seront tous abrités sous ces arbres et délivrés de l'affreux châtiment. Mais malheur aux religieux et religieuses qui n'observent pas leurs règles... Malheur aussi à tous les prêtres indignes et à tous les séculiers qui s'adonnent au libertinage et suivent les fausses maximes de la philosophie moderne, condamnée par l'Église comme étant contraire aux préceptes de l'Évangile ! Par leur conduite détestable, ces misérables, niant la foi de Jésus-Christ, périront sous le poids du bras exterminateur de la justice de Dieu, à laquelle personne n'échappera.
Tous les bons chrétiens s'étant réfugiés sous les arbres mystérieux, je les vis sous la figure de jolies brebis confiées à la garde de saint Pierre, leur pasteur, et professant envers lui la plus humble soumission et la plus respectueuse obéissance. Aussitôt que le saint apôtre eut mis en lieu de sûreté le troupeau de Jésus-Christ, il remonta au ciel accompagné des anges. A peine eurent-ils disparu, que le ciel se couvrit de nuages si sombres et si épais, qu'il était impossible de le regarder sans en être effrayé. Tout à coup il s'éleva un vent violent et impétueux dont le sifflement ressemblait aux rugissements d'un lion en fureur. La terreur et l'effroi se répandront parmi les hommes et jusque parmi les animaux.
Tous ces hommes seront en insurrection. Ils s'entre-tueront sans pitié. Pendant cette horrible et sanglante boucherie, la main vengeresse de Dieu s'appesantira sur ces malheureux, et sa toute puissance brisera leur orgueil et leur témérité. Il se servira des ténèbres pour exterminer ces hommes impies et sectaires qui désiraient renverser la sainte Église et la détruire jusque dans ses fondements. Par leur malice audacieuse, ces hommes iniques prétendent faire descendre Dieu de son trône suprême ; mais Il se rira de leur astuce et, par un signe de sa main puissante, il punira ces perfides et ces blasphémateurs, en permettant aux puissances ténébreuses de sortir de l'enfer.
D'immenses légions de démons parcourront alors le monde entier, et par les grandes ruines qu'ils causeront, ils exécuteront les ordres de la justice divine. Ces esprits mauvais s'attaqueront à tout, nuiront aux hommes, aux familles, aux immeubles, aux meubles, aux villes, aux villages, aux maisons. Rien de ce qu'ils trouveront sur la terre ne sera épargné, Dieu permettant que ces sycophantes et sectaires soient forcés de subir la cruauté des démons et punis par une mort tragique et barbare, parce qu'ils se seront soumis volontairement au pouvoir infernal, et qu'ils se seront alliés avec lui contre l'Église catholique.
Afin que mon pauvre esprit fût bien pénétré de ce sentiment de la justice divine, on me montra l'horrible prison. Je vis alors s'ouvrir dans les profonds abîmes de la terre, une sombre et effrayante caverne pleine de feu et d'où sortaient une multitude de démons qui, ayant pris la forme d'hommes et de bêtes, venaient infester le monde, ne laissant partout que massacres et que ruines. Heureux les bons et véritables catholiques ! Ils auront pour eux la puissante protection des saints apôtres Pierre et Paul, qui veilleront sur eux afin qu'il ne leur soit fait aucun dommage, ni dans leurs personnes, ni dans leurs biens. Les mauvais esprits dévasteront tous les lieux où Dieu aura été outragé, blasphémé et traité d'une manière sacrilège. Ces lieux seront ruinés, anéantis et il n'en restera aucun vestige.
Après ce terrible châtiment, je vis tout à coup le ciel s'éclaircir. Saint Pierre descendit de nouveau, vêtu pontificalement, accompagné par des anges qui chantaient des hymnes à sa gloire, le reconnaissant ainsi comme prince de la terre. Je vis ensuite descendre du ciel l'apôtre saint Paul qui, par ordre de Dieu, parcourut l'univers, enchaîna les démons, et les ayant amenés devant saint Pierre, celui-ci leur ordonna de rentrer dans les cavernes ténébreuses d'où ils étaient sortis.
Alors parut sur la terre une belle clarté, qui annonçait la réconciliation de Dieu avec les hommes. Les anges conduisirent, devant le trône du prince des apôtres, le petit troupeau qui était resté fidèle à Jésus-Christ. Ces bons et fervents chrétiens lui présentèrent leurs hommages respectueux, et bénissant Dieu, remercièrent l'apôtre de les avoir préservés de la ruine générale, et d'avoir conservé et soutenu l'Église de Jésus-Christ, en ne permettant pas qu'elle fût entraînée par les fausses maximes du monde. Le saint choisit alors le nouveau Pontife. L'Église fut ensuite reconstituée, les ordres religieux rétablis, et les maisons des chrétiens ressemblaient aux maisons religieuses, tant étaient grands la ferveur et le zèle pour la gloire de Dieu.
Ce fut de cette manière que s'accomplit, en un moment, l'éclatant triomphe de l'Église catholique. Elle était louée, estimée et vénérée de tous. Tous se donnèrent à elle en reconnaissant le Souverain Pontife pour Vicaire de Jésus-Christ".
(1820)
Elisabeth Canori-Mora, tertiaire de l’ordre de la Sainte Trinité comme sa contemporaine Anna-Maria Taïgi, fut favorisée d’une visite de St Pierre dans une vision concernant le relèvement et le triomphe de l’Eglise, de la manière que nous allons rapporter, et comme elle l'écrivit elle-même, par obéissance à son confesseur :
"En 1820, le jour de la fête de saint Pierre, pendant que je priais pour les besoins de l'Église et pour la conversion des pécheurs, au nombre desquels j'occupe le premier rang, je fus ravie au ciel et placée tout près de Dieu. Par le moyen d'une lumière inaccessible, je fus si intimement unie à Lui, que je ne me reconnaissais plus moi-même, étant toute transformée dans cette lumière divine. Je reçus la douce impression de la charité de Dieu ; le contentement et la joie que j'éprouvais alors sont indéfinissables bien qu'au milieu de ces douceurs célestes mon esprit fût parfaitement calme. Je vis le ciel s'ouvrir et en descendre, avec majesté, le prince des apôtres, accompagné d'une multitude d'esprits célestes chantant des hymnes de louange. Le glorieux apôtre était revêtu des habits pontificaux, et tenait en main une crosse avec laquelle il traça sur la terre une grande croix. Pendant qu'il traçait cette croix, il était entouré par les anges, qui chantaient en son honneur les paroles du psaume : Constitues eos principes super omnem terram, etc. "Vous les établirez princes sur toute la terre…" Il appuya ensuite sa crosse aux quatre extrémités de la croix, et au même instant il en sortit quatre arbres magnifiques portant des fleurs et des fruits très précieux. Ces arbres mystérieux avaient eux-mêmes la forme d'une croix et étaient entourés d'une vive lumière. Le bienheureux apôtre alla ensuite ouvrir toutes les portes des couvents. Ces arbres devaient servir de lieu de refuge au petit troupeau de Jésus-Christ, et préserver les bons chrétiens du terrible châtiment qui bouleversera le monde entier.
Tous les fidèles qui auront gardé dans leur cœur la foi de Jésus-Christ, ainsi que les religieux et les religieuses qui auront conservé fidèlement l'esprit de leur institut, seront tous abrités sous ces arbres et délivrés de l'affreux châtiment. Mais malheur aux religieux et religieuses qui n'observent pas leurs règles... Malheur aussi à tous les prêtres indignes et à tous les séculiers qui s'adonnent au libertinage et suivent les fausses maximes de la philosophie moderne, condamnée par l'Église comme étant contraire aux préceptes de l'Évangile ! Par leur conduite détestable, ces misérables, niant la foi de Jésus-Christ, périront sous le poids du bras exterminateur de la justice de Dieu, à laquelle personne n'échappera.
Tous les bons chrétiens s'étant réfugiés sous les arbres mystérieux, je les vis sous la figure de jolies brebis confiées à la garde de saint Pierre, leur pasteur, et professant envers lui la plus humble soumission et la plus respectueuse obéissance. Aussitôt que le saint apôtre eut mis en lieu de sûreté le troupeau de Jésus-Christ, il remonta au ciel accompagné des anges. A peine eurent-ils disparu, que le ciel se couvrit de nuages si sombres et si épais, qu'il était impossible de le regarder sans en être effrayé. Tout à coup il s'éleva un vent violent et impétueux dont le sifflement ressemblait aux rugissements d'un lion en fureur. La terreur et l'effroi se répandront parmi les hommes et jusque parmi les animaux.
Tous ces hommes seront en insurrection. Ils s'entre-tueront sans pitié. Pendant cette horrible et sanglante boucherie, la main vengeresse de Dieu s'appesantira sur ces malheureux, et sa toute puissance brisera leur orgueil et leur témérité. Il se servira des ténèbres pour exterminer ces hommes impies et sectaires qui désiraient renverser la sainte Église et la détruire jusque dans ses fondements. Par leur malice audacieuse, ces hommes iniques prétendent faire descendre Dieu de son trône suprême ; mais Il se rira de leur astuce et, par un signe de sa main puissante, il punira ces perfides et ces blasphémateurs, en permettant aux puissances ténébreuses de sortir de l'enfer.
D'immenses légions de démons parcourront alors le monde entier, et par les grandes ruines qu'ils causeront, ils exécuteront les ordres de la justice divine. Ces esprits mauvais s'attaqueront à tout, nuiront aux hommes, aux familles, aux immeubles, aux meubles, aux villes, aux villages, aux maisons. Rien de ce qu'ils trouveront sur la terre ne sera épargné, Dieu permettant que ces sycophantes et sectaires soient forcés de subir la cruauté des démons et punis par une mort tragique et barbare, parce qu'ils se seront soumis volontairement au pouvoir infernal, et qu'ils se seront alliés avec lui contre l'Église catholique.
Afin que mon pauvre esprit fût bien pénétré de ce sentiment de la justice divine, on me montra l'horrible prison. Je vis alors s'ouvrir dans les profonds abîmes de la terre, une sombre et effrayante caverne pleine de feu et d'où sortaient une multitude de démons qui, ayant pris la forme d'hommes et de bêtes, venaient infester le monde, ne laissant partout que massacres et que ruines. Heureux les bons et véritables catholiques ! Ils auront pour eux la puissante protection des saints apôtres Pierre et Paul, qui veilleront sur eux afin qu'il ne leur soit fait aucun dommage, ni dans leurs personnes, ni dans leurs biens. Les mauvais esprits dévasteront tous les lieux où Dieu aura été outragé, blasphémé et traité d'une manière sacrilège. Ces lieux seront ruinés, anéantis et il n'en restera aucun vestige.
Après ce terrible châtiment, je vis tout à coup le ciel s'éclaircir. Saint Pierre descendit de nouveau, vêtu pontificalement, accompagné par des anges qui chantaient des hymnes à sa gloire, le reconnaissant ainsi comme prince de la terre. Je vis ensuite descendre du ciel l'apôtre saint Paul qui, par ordre de Dieu, parcourut l'univers, enchaîna les démons, et les ayant amenés devant saint Pierre, celui-ci leur ordonna de rentrer dans les cavernes ténébreuses d'où ils étaient sortis.
Alors parut sur la terre une belle clarté, qui annonçait la réconciliation de Dieu avec les hommes. Les anges conduisirent, devant le trône du prince des apôtres, le petit troupeau qui était resté fidèle à Jésus-Christ. Ces bons et fervents chrétiens lui présentèrent leurs hommages respectueux, et bénissant Dieu, remercièrent l'apôtre de les avoir préservés de la ruine générale, et d'avoir conservé et soutenu l'Église de Jésus-Christ, en ne permettant pas qu'elle fût entraînée par les fausses maximes du monde. Le saint choisit alors le nouveau Pontife. L'Église fut ensuite reconstituée, les ordres religieux rétablis, et les maisons des chrétiens ressemblaient aux maisons religieuses, tant étaient grands la ferveur et le zèle pour la gloire de Dieu.
Ce fut de cette manière que s'accomplit, en un moment, l'éclatant triomphe de l'Église catholique. Elle était louée, estimée et vénérée de tous. Tous se donnèrent à elle en reconnaissant le Souverain Pontife pour Vicaire de Jésus-Christ".
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Re: Prophéties pour notre temps
Mère Marie de Jésus
(1823-06-21)
Mère Marie de Jésus est une religieuse du couvent des oiseaux à Paris. Elle naquit en 1797.
Après une vie d’expiation, de contemplation et de prières, elle mourut en 1854. Elle eut de nombreuses visions au cours desquelles le Seigneur lui parla de l’amour que son cœur a pour nous.
Le 21 juin 1823, le Sacré-Cœur, qui apparaissait à Mère Marie de Jésus, s’exprima ainsi :
La France est toujours bien chère à mon cœur, et elle lui sera consacrée.
Mais il faut que ce soit le Roi lui-même qui consacre sa famille, sa personne et tout son royaume à mon divin Cœur et qu’il lui fasse élever un autel comme on en a élevé un, au nom de la France, en l’honneur de la Sainte Vierge.
Je prépare à la France un déluge de grâces, lorsqu’elle sera consacrée à mon divin Cœur, et toute la terre se ressentira des bénédictions que je répandrai sur elle. La foi et la religion refleuriront en France par la dévotion à mon divin Cœur.
(1823-06-21)
Mère Marie de Jésus est une religieuse du couvent des oiseaux à Paris. Elle naquit en 1797.
Après une vie d’expiation, de contemplation et de prières, elle mourut en 1854. Elle eut de nombreuses visions au cours desquelles le Seigneur lui parla de l’amour que son cœur a pour nous.
Le 21 juin 1823, le Sacré-Cœur, qui apparaissait à Mère Marie de Jésus, s’exprima ainsi :
La France est toujours bien chère à mon cœur, et elle lui sera consacrée.
Mais il faut que ce soit le Roi lui-même qui consacre sa famille, sa personne et tout son royaume à mon divin Cœur et qu’il lui fasse élever un autel comme on en a élevé un, au nom de la France, en l’honneur de la Sainte Vierge.
Je prépare à la France un déluge de grâces, lorsqu’elle sera consacrée à mon divin Cœur, et toute la terre se ressentira des bénédictions que je répandrai sur elle. La foi et la religion refleuriront en France par la dévotion à mon divin Cœur.
Her- En adoration
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Re: Prophéties pour notre temps
C'est formidable tout ce que tu trouves Hercule....
Il y en a presque trop : on n'arrive même plus à tout lire et c'est bien dommage....
Ce qui serait bien du coup ce serait de comparer attentivement tout ce que tu as trouvé et en faire une synthèse.... si tu as le temps....
Cela donnerait surement des idées plus précises et concises sur ce qui va se produire.... très prochainement.
Il y en a presque trop : on n'arrive même plus à tout lire et c'est bien dommage....
Ce qui serait bien du coup ce serait de comparer attentivement tout ce que tu as trouvé et en faire une synthèse.... si tu as le temps....
Cela donnerait surement des idées plus précises et concises sur ce qui va se produire.... très prochainement.
marie1- Avec le Pape François
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Re: Prophéties pour notre temps
Bonjour Marip,
Du fait justement de cette urgence, il me plaisait de les diffuser rapidement et sans commentaires personnels...
Je n'ai pas le désir et l'orgueil de vouloir imposer mes limites personnelles aux prophètes et aux messagers du Ciel...
Que chacun discerne selon ce qu'il a reçu...
Meilleures pensées
Hercule
Du fait justement de cette urgence, il me plaisait de les diffuser rapidement et sans commentaires personnels...
Je n'ai pas le désir et l'orgueil de vouloir imposer mes limites personnelles aux prophètes et aux messagers du Ciel...
Que chacun discerne selon ce qu'il a reçu...
Meilleures pensées
Hercule
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Re: Prophéties pour notre temps
Anne-Catherine Emmerich
(1800)
Anne-Catherine Emmerich qui vers 1800 donna cette précision chronologique.
J'appris que Lucifer doit être déchaîné pour un temps, cinquante ou soixante ans avant l'an 2000 du Christ, si je ne me trompe.
Anne-Catherine Emmerich, voyait elle aussi dans ses visions de 1820 la future destruction de l'Église de Rome jusqu'à sa base, par les francs-maçons, et le saint-Père très affligé :
Je vois le saint-Père dans une grande tribulation et une grande angoisse touchant l'Église. Je le vis entouré de trahisons. Je vis que, dans certains cas d’extrême détresse, il a des visions et des apparitions. Je vis beaucoup de bons et pieux évêques, mais ils étaient mous et faibles, et le mauvais parti prenait souvent le dessus. Il habite un autre palais qu'auparavant et n'admet près de lui qu'un petit nombre d'amis. Si le mauvais parti connaissait sa force, il aurait déjà éclaté. Je crains que le saint-Père, avant sa mort, n'ait encore bien des tribulations à souffrir. Je vois la fausse Eglise de ténèbres en progrès et la funeste influence qu'elle exerce sur l'opinion. La détresse du saint-Père et de l'Église est réellement si grande que l'on doit implorer Dieu jour et nuit... Il m'a été prescrit de beaucoup prier pour l'Église et le Pape.
(1800)
Anne-Catherine Emmerich qui vers 1800 donna cette précision chronologique.
J'appris que Lucifer doit être déchaîné pour un temps, cinquante ou soixante ans avant l'an 2000 du Christ, si je ne me trompe.
Anne-Catherine Emmerich, voyait elle aussi dans ses visions de 1820 la future destruction de l'Église de Rome jusqu'à sa base, par les francs-maçons, et le saint-Père très affligé :
Je vois le saint-Père dans une grande tribulation et une grande angoisse touchant l'Église. Je le vis entouré de trahisons. Je vis que, dans certains cas d’extrême détresse, il a des visions et des apparitions. Je vis beaucoup de bons et pieux évêques, mais ils étaient mous et faibles, et le mauvais parti prenait souvent le dessus. Il habite un autre palais qu'auparavant et n'admet près de lui qu'un petit nombre d'amis. Si le mauvais parti connaissait sa force, il aurait déjà éclaté. Je crains que le saint-Père, avant sa mort, n'ait encore bien des tribulations à souffrir. Je vois la fausse Eglise de ténèbres en progrès et la funeste influence qu'elle exerce sur l'opinion. La détresse du saint-Père et de l'Église est réellement si grande que l'on doit implorer Dieu jour et nuit... Il m'a été prescrit de beaucoup prier pour l'Église et le Pape.
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Re: Prophéties pour notre temps
L'abbé Voclin
(1827)
L'abbé Voclin, prêtre pieux et charitable, était curé de la paroisse Saint-Jacques, à Amiens, pendant la période de la première Restauration. Il mourut en 1838. En 1827, il fit la prophétie que nous reproduisons ci-dessous. Il l’a d’abord énoncée oralement ce qui explique son aspect un peu morcelé.
« Souvenez-vous que d’ici deux ou trois ans une révolution éclatera (1830).
La crise ne sera pas longue, mais il y aura beaucoup de sang versé.
La religion en souffrira.
Le règne du nouveau potentat (Louis-Philippe) durera assez longtemps. Mais avant 1850 (1848) éclatera un autre bouleversement : il semblera venit d’un mot.
La République sera proclamée, mais pour un bref délai.
Plus tard se déclenchera un plus terrible cataclysme.
On parlera beaucoup d’argent.
Il se produira des écrits abominables contre la religion.
D’ardentes disputes auront lieu entre écrivains de sentiments opposés.
Des ruisseaux de sang couleront dans diverses parties de la France.
La Seine coulera des ondes rougies jusqu’à la mer.
Paris sera rempli de meurtres.
Le Nord sera rudement éprouvé ; mais Amiens souffrira peu, étant spécialement protégé par la Sainte Vierge.
Pendant cette crise affreuse, les églises seront fermées par ordre ou par prudence.
Ces malheurs se prolongeront trois mois.
Il y aura un moment si lugubre que tout semblera perdu.
Mais un miracle que personne ne pourra révoquer en doute s’accomplira.
Les méchants seront écrasés. Beaucoup se convertiront.
Un roi selon le coeur de Dieu montera alors sur le trône.
Son règne sera long.
La France sera prospère, la religion en honneur.
Après peut-être un siècle de bonheur, les hommes se pervertiront encore : ce sera la fin des temps.
(1827)
L'abbé Voclin, prêtre pieux et charitable, était curé de la paroisse Saint-Jacques, à Amiens, pendant la période de la première Restauration. Il mourut en 1838. En 1827, il fit la prophétie que nous reproduisons ci-dessous. Il l’a d’abord énoncée oralement ce qui explique son aspect un peu morcelé.
« Souvenez-vous que d’ici deux ou trois ans une révolution éclatera (1830).
La crise ne sera pas longue, mais il y aura beaucoup de sang versé.
La religion en souffrira.
Le règne du nouveau potentat (Louis-Philippe) durera assez longtemps. Mais avant 1850 (1848) éclatera un autre bouleversement : il semblera venit d’un mot.
La République sera proclamée, mais pour un bref délai.
Plus tard se déclenchera un plus terrible cataclysme.
On parlera beaucoup d’argent.
Il se produira des écrits abominables contre la religion.
D’ardentes disputes auront lieu entre écrivains de sentiments opposés.
Des ruisseaux de sang couleront dans diverses parties de la France.
La Seine coulera des ondes rougies jusqu’à la mer.
Paris sera rempli de meurtres.
Le Nord sera rudement éprouvé ; mais Amiens souffrira peu, étant spécialement protégé par la Sainte Vierge.
Pendant cette crise affreuse, les églises seront fermées par ordre ou par prudence.
Ces malheurs se prolongeront trois mois.
Il y aura un moment si lugubre que tout semblera perdu.
Mais un miracle que personne ne pourra révoquer en doute s’accomplira.
Les méchants seront écrasés. Beaucoup se convertiront.
Un roi selon le coeur de Dieu montera alors sur le trône.
Son règne sera long.
La France sera prospère, la religion en honneur.
Après peut-être un siècle de bonheur, les hommes se pervertiront encore : ce sera la fin des temps.
Her- En adoration
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Re: Prophéties pour notre temps
Correspondance Hohenlohe
(1828)
Dans la correspondance Hohenlohe de 1828 (On appelle ainsi une série de lettres reproduites sous ce titre dans plusieurs recueils de prophéties, notamment dans le «Nouveau recueil de prédictions» de Bricon), nous y découvrons ce fragment :
Paris sera détruit. Le feu qui tomba sur Sodome et Gomorrhe tombera aussi sur cette ville; et pour la détruire, le ciel s'unira à la terre…
Pendant trois jours, Paris sera enseveli sous une pluie de soufre et on n'y verra plus que des précipices….Cette ville ne sera plus jamais rétablie.
(1828)
Dans la correspondance Hohenlohe de 1828 (On appelle ainsi une série de lettres reproduites sous ce titre dans plusieurs recueils de prophéties, notamment dans le «Nouveau recueil de prédictions» de Bricon), nous y découvrons ce fragment :
Paris sera détruit. Le feu qui tomba sur Sodome et Gomorrhe tombera aussi sur cette ville; et pour la détruire, le ciel s'unira à la terre…
Pendant trois jours, Paris sera enseveli sous une pluie de soufre et on n'y verra plus que des précipices….Cette ville ne sera plus jamais rétablie.
Her- En adoration
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Re: Prophéties pour notre temps
La Religieuse de Notre-Dame-des-Gardes
(1828)
La religieuse de Notre-Dame-des-Gardes en Anjou, vers 1828, voyait dans une vision deux personnages :
Je vis la Colombe… venir se poser sur la tête (du Pape) lequel mit la main sur la tête de celui qui était à genoux (le grand Roi) et, alors, la Colombe (Le Saint Esprit) vint aussi se reposer sur la tête de celui-ci… puis retourne sur l’autre… Le chant continue toujours. Ils disaient : « Gloire à Dieu dans les Cieux et paix sur la terre ! Vive la religion dans tous les cœurs ! Vive le Pape ! Vive le Grand Monarque ! Le soutien de la religion. »
(1828)
La religieuse de Notre-Dame-des-Gardes en Anjou, vers 1828, voyait dans une vision deux personnages :
Je vis la Colombe… venir se poser sur la tête (du Pape) lequel mit la main sur la tête de celui qui était à genoux (le grand Roi) et, alors, la Colombe (Le Saint Esprit) vint aussi se reposer sur la tête de celui-ci… puis retourne sur l’autre… Le chant continue toujours. Ils disaient : « Gloire à Dieu dans les Cieux et paix sur la terre ! Vive la religion dans tous les cœurs ! Vive le Pape ! Vive le Grand Monarque ! Le soutien de la religion. »
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Re: Prophéties pour notre temps
Sainte Catherine Labouré
(1830)
Sainte Catherine Labouré est né le 2 mai 1806 à Fain-les-Moutiers dans la Côte-d’Or. Elle ne fréquenta jamais aucune école. Ce n’est qu’après son entrée chez les Filles de la Charité qu’elle apprend à lire et à écrire.
Favorisée d’apparition de la Sainte Vierge, en 1830, elle reçoit de la belle dame mission de faire frapper la médaille miraculeuse.
Mon enfant, le Bon Dieu veut vous charger d’une mission ; vous aurez bien de la peine, mais vous surmonterez cette peine, en pensant que vous le ferez pour la gloire du Bon Dieu. Vous connaîtrez ce qui est du Bon Dieu ; vous en serez tourmentée jusqu’à ce que vous l’ayez dit à celui qui est chargé de vous conduire. Vous serez contredite, mais vous aurez la grâce, ne craignez point.
Vous verrez certaines choses, rendez compte (de) ce que vous verrez et entendrez. Vous serez inspirée dans vos oraisons. Rendez-en compte (et de) ce que je vous dis (et de) ce que vous verrez dans vos oraisons.
Les temps sont très mauvais, les malheurs viendront fondre sur la France, le trône sera renversé, le monde entier sera renversé (bouleversé) par des malheurs de toutes sortes. (La Sainte Vierge avait l’air très peinée en disant cela). Mais, venez au pied de cet autel, là, les grâces seront répandues… sur toutes les personnes qui les demanderont, grands et petits, des grâces seront répandues particulièrement sur les personnes qui les demanderont…
Le rétablissement de toutes choses sera précédé de troubles beaucoup plus graves que ceux dont on aurait été témoin auparavant et que cela arriverait après un hiver exceptionnellement doux…
Les rues seront pleines de sang, le monde entier sera dans la tristesse.
Mais de grands malheurs arriveront. Un moment viendra où le danger sera grand. On croira tout perdu. Là, je serai avec vous, ayez confiance. Vous reconnaîtrez ma visite, la protection de Dieu et celle de St Vincent sur les deux communautés. Dans le clergé de Paris, il y aura des victimes. Monseigneur l’Archevêque mourra.
Catherine s’étant demandée en son intérieur, quand ces choses devaient arriver, la Sainte Vierge répondit : « Quarante ans, puis dix », et après un silence de sept minutes, elle ajoute : « Puis la Paix ! »
40 ans ajoutés à 1830 font 1870 et sa guerre. 10 ans ajoutés à 1870 font 1880, année où le francs-maçons s’emparèrent du gouvernement de la France.
(1830)
Sainte Catherine Labouré est né le 2 mai 1806 à Fain-les-Moutiers dans la Côte-d’Or. Elle ne fréquenta jamais aucune école. Ce n’est qu’après son entrée chez les Filles de la Charité qu’elle apprend à lire et à écrire.
Favorisée d’apparition de la Sainte Vierge, en 1830, elle reçoit de la belle dame mission de faire frapper la médaille miraculeuse.
Mon enfant, le Bon Dieu veut vous charger d’une mission ; vous aurez bien de la peine, mais vous surmonterez cette peine, en pensant que vous le ferez pour la gloire du Bon Dieu. Vous connaîtrez ce qui est du Bon Dieu ; vous en serez tourmentée jusqu’à ce que vous l’ayez dit à celui qui est chargé de vous conduire. Vous serez contredite, mais vous aurez la grâce, ne craignez point.
Vous verrez certaines choses, rendez compte (de) ce que vous verrez et entendrez. Vous serez inspirée dans vos oraisons. Rendez-en compte (et de) ce que je vous dis (et de) ce que vous verrez dans vos oraisons.
Les temps sont très mauvais, les malheurs viendront fondre sur la France, le trône sera renversé, le monde entier sera renversé (bouleversé) par des malheurs de toutes sortes. (La Sainte Vierge avait l’air très peinée en disant cela). Mais, venez au pied de cet autel, là, les grâces seront répandues… sur toutes les personnes qui les demanderont, grands et petits, des grâces seront répandues particulièrement sur les personnes qui les demanderont…
Le rétablissement de toutes choses sera précédé de troubles beaucoup plus graves que ceux dont on aurait été témoin auparavant et que cela arriverait après un hiver exceptionnellement doux…
Les rues seront pleines de sang, le monde entier sera dans la tristesse.
Mais de grands malheurs arriveront. Un moment viendra où le danger sera grand. On croira tout perdu. Là, je serai avec vous, ayez confiance. Vous reconnaîtrez ma visite, la protection de Dieu et celle de St Vincent sur les deux communautés. Dans le clergé de Paris, il y aura des victimes. Monseigneur l’Archevêque mourra.
Catherine s’étant demandée en son intérieur, quand ces choses devaient arriver, la Sainte Vierge répondit : « Quarante ans, puis dix », et après un silence de sept minutes, elle ajoute : « Puis la Paix ! »
40 ans ajoutés à 1830 font 1870 et sa guerre. 10 ans ajoutés à 1870 font 1880, année où le francs-maçons s’emparèrent du gouvernement de la France.
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Marie des Terreaux
(1832)
La petite Marie des Terreaux ou des Brotteaux (1773-1843), une humble servante de Lyon, eut des visions de 1811 à 1832. Marie des Terreaux est morte en réputation de sainteté, à Lyon, à l'âge de soixante-dix ans. Voici comment elle évoque la Grande Crise et le Grand Coup dans un résumé de ses prédictions :
Telle on a vu commencer la Révolution (par la terreur en 92-93), telle on la verra finir. On verra à la fin les mêmes choses et les mêmes maux qu'au commencement. La république, le mensonge, la licence, etc... Mais tout ira plus rapidement et se terminera par un prodige éclatant, qui étonnera tout l'univers, et par un grand événement où les méchants seront châtiés d'une manière épouvantable...
Dans les années qui précéderont le grand événement, il y aura une grande misère... Les méchants échoueront nombre de fois dans leurs projets sanguinaires, à cause des prières des bonnes âmes. Ils n'en poursuivront pas moins leur détermination de faire périr tous les bons, dont ils dresseront des listes d'avance et marqueront les maisons et les portes pour qu'il n'en échappe aucun... Mais quand ils seront sur le point d'exercer cette nouvelle justice, Dieu commencera à exécuter la sienne. Ils seront comme aveuglés et frappés de vertige ; la division se mettra parmi eux et ils s'entr'égorgeront les uns les autres.
L'année qui précédera celle du grand événement sera très mauvaise. L'année au contraire où il aura lieu offrira une récolte magnifique, mais il ne restera pas assez de monde pour en consommer l'abondance.
À l'approche de ce grand événement, des phénomènes extraordinaires paraîtront dans le ciel. Un grand personnage se convertira à Paris.
Il y aura un moment d'anarchie effrayante pendant lequel on verra se renouveler tous les désordres des temps les plus mauvais. Le crime sans répression sera à son comble. Mais ce temps de désolation sera de courte durée. La sainte Église sera attaquée pour la troisième fois avec une fureur et une rage inouïes, mais elle en souffrira très peu, tandis que ses ennemis seront tous anéantis.
Paris sera réduit comme Sodome et Gomorrhe et ce qui restera de ses habitants se réfugiera en grande partie à Lyon. Quand on verra leur fuite, le grand événement sera proche.
Les Brotteaux de Lyon, foyer d'abominations et de révolutions, seront engloutis sous les eaux...
Les étrangers pénétreront en France et s'avanceront jusque dans les environs de Lyon.
En même temps, un grand combat aura lieu près de Lyon, dans la plaine de Saint-Fons et dans toute l'étendue du faubourg (et du point de la Guillotière, sur le pont, jusque dans la rue de la Barre) ; le carnage fut terrible, le sang ruisselait dans la plaine. Ce combat, auquel prendront part un nombre considérable de gardes nationaux, sera affreux ; le sang coulera à flots sur la terre ; il y aura un carnage et un massacre épouvantables. De part et d'autre, on combattra en désespérés. Mais les étrangers seront écrasés et n'entreront point à Lyon...
Presque tout ce qui restera de méchants, y périra aussi.
Au moment où Dieu commença à exercer sa justice, l'heure du grand châtiment sera annoncée par les éclats d'un tonnerre tellement épouvantable que la terre en fut ébranlée. Ce sera le signal auquel les bons reconnaîtront que l'heure est arrivée pour le Grand Coup. J'entendis une voix terrible qui criait : « Tout est perdu ! »
À cet instant, le bel enfant qui me conduisait me fit remarquer qu'à la hauteur des maisons et au-dessus il y avait une bataille entre les démons. Ils allaient frapper aux fenêtres de ceux qui n'ont cru à aucune prophétie et qui ont méprisé les avertissements.
Le combat fut épouvantable et vint comme s'éteindre à l'entrée de la place Bellecourt. Presque tous les méchants périrent. Peu après, j'entendis une voix douce et agréable qui disait : « Tout est sauvé »...
Au moment où la France sera châtiée d'une manière terrible, tout l'Univers le sera aussi. Il m'a été annoncé qu'il y aurait un événement effrayant, que ceux qui n'en auraient pas été prévenus croiraient toucher à leur dernière heure et penseront être à la fin du monde.
Mais tout à coup, la révolution finira par un grand miracle qui fera l'étonnement de l'univers. Le peu de méchants qui restera, se convertira. Les choses qui doivent arriver sont une image de celles de la fin du monde ; elles seront si terribles qu'il y aura de quoi sécher de frayeur.
Il m'a été dit : « Tous ceux qui sont pour Moi ne périront pas, ne périront pas, ne périront pas. » Mais, ai-je répliqué, il est impossible qu'il n'y ait pas quelques bons qui périssent.
Il m'a été répondu : « Oui, il pourra y avoir quelques victimes, mais elles ne seront pas perdues pour moi. »
Après le Grand Combat, la légitimité sera reconnue et tous s'embrasseront sans rancune.
Il se fera un troisième miracle qui étonnera tout l’Univers et mettre fin à la révolution : un bras de fer surgira miraculeusement, armé d’une grande puissance pour venger les outrages faits à Dieu et à la Royauté.
Les événements qui doivent terminer la révolution, seront si effrayants que ceux qui n'en seront pas prévenus croiront être à la fin du monde. Ils seront si terribles qu'il y aura de quoi sécher de frayeur. Ces maux seront l'image de ceux qui doivent arriver à la fin du monde à moins que les prières et la pénitence ne fléchissent la justice de Dieu.
Ceux qui auront sur eux quelques objets de piété bénits seront préservés pour la plupart. Les prières de quelques parents ou amis en sauveront d'autres qui se convertiront.
En même temps que la France sera châtiée, beaucoup d'autres nations le seront aussi à peu près dans le même temps. Dans le cours de la révolution, deux miracles ont été opérés : le premier a été la rentrée des Bourbons en France ; le second, leur retour après les Cent Jours ; il s'en fera un troisième qui étonnera tout l'univers et qui mettra fin à la révolution.
Un bras de fer surgira miraculeusement, armé d'une grande puissance pour venger les outrages faits à Dieu et à la royauté, dont les membres survivants doivent tous reparaître sur le sol de la patrie, après le grand événement. Il n'y aura plus alors ni haine ni rancune.
Après le grand combat, la légitimité sera reconnue...
La religion refleurira et les peuples reviendront au bonheur des premiers siècles : les chrétiens vivront comme des frères.
La Révolution s'achèvera soudain par un grand miracle qui plongera l'univers dans l'étonnement... »
(1832)
La petite Marie des Terreaux ou des Brotteaux (1773-1843), une humble servante de Lyon, eut des visions de 1811 à 1832. Marie des Terreaux est morte en réputation de sainteté, à Lyon, à l'âge de soixante-dix ans. Voici comment elle évoque la Grande Crise et le Grand Coup dans un résumé de ses prédictions :
Telle on a vu commencer la Révolution (par la terreur en 92-93), telle on la verra finir. On verra à la fin les mêmes choses et les mêmes maux qu'au commencement. La république, le mensonge, la licence, etc... Mais tout ira plus rapidement et se terminera par un prodige éclatant, qui étonnera tout l'univers, et par un grand événement où les méchants seront châtiés d'une manière épouvantable...
Dans les années qui précéderont le grand événement, il y aura une grande misère... Les méchants échoueront nombre de fois dans leurs projets sanguinaires, à cause des prières des bonnes âmes. Ils n'en poursuivront pas moins leur détermination de faire périr tous les bons, dont ils dresseront des listes d'avance et marqueront les maisons et les portes pour qu'il n'en échappe aucun... Mais quand ils seront sur le point d'exercer cette nouvelle justice, Dieu commencera à exécuter la sienne. Ils seront comme aveuglés et frappés de vertige ; la division se mettra parmi eux et ils s'entr'égorgeront les uns les autres.
L'année qui précédera celle du grand événement sera très mauvaise. L'année au contraire où il aura lieu offrira une récolte magnifique, mais il ne restera pas assez de monde pour en consommer l'abondance.
À l'approche de ce grand événement, des phénomènes extraordinaires paraîtront dans le ciel. Un grand personnage se convertira à Paris.
Il y aura un moment d'anarchie effrayante pendant lequel on verra se renouveler tous les désordres des temps les plus mauvais. Le crime sans répression sera à son comble. Mais ce temps de désolation sera de courte durée. La sainte Église sera attaquée pour la troisième fois avec une fureur et une rage inouïes, mais elle en souffrira très peu, tandis que ses ennemis seront tous anéantis.
Paris sera réduit comme Sodome et Gomorrhe et ce qui restera de ses habitants se réfugiera en grande partie à Lyon. Quand on verra leur fuite, le grand événement sera proche.
Les Brotteaux de Lyon, foyer d'abominations et de révolutions, seront engloutis sous les eaux...
Les étrangers pénétreront en France et s'avanceront jusque dans les environs de Lyon.
En même temps, un grand combat aura lieu près de Lyon, dans la plaine de Saint-Fons et dans toute l'étendue du faubourg (et du point de la Guillotière, sur le pont, jusque dans la rue de la Barre) ; le carnage fut terrible, le sang ruisselait dans la plaine. Ce combat, auquel prendront part un nombre considérable de gardes nationaux, sera affreux ; le sang coulera à flots sur la terre ; il y aura un carnage et un massacre épouvantables. De part et d'autre, on combattra en désespérés. Mais les étrangers seront écrasés et n'entreront point à Lyon...
Presque tout ce qui restera de méchants, y périra aussi.
Au moment où Dieu commença à exercer sa justice, l'heure du grand châtiment sera annoncée par les éclats d'un tonnerre tellement épouvantable que la terre en fut ébranlée. Ce sera le signal auquel les bons reconnaîtront que l'heure est arrivée pour le Grand Coup. J'entendis une voix terrible qui criait : « Tout est perdu ! »
À cet instant, le bel enfant qui me conduisait me fit remarquer qu'à la hauteur des maisons et au-dessus il y avait une bataille entre les démons. Ils allaient frapper aux fenêtres de ceux qui n'ont cru à aucune prophétie et qui ont méprisé les avertissements.
Le combat fut épouvantable et vint comme s'éteindre à l'entrée de la place Bellecourt. Presque tous les méchants périrent. Peu après, j'entendis une voix douce et agréable qui disait : « Tout est sauvé »...
Au moment où la France sera châtiée d'une manière terrible, tout l'Univers le sera aussi. Il m'a été annoncé qu'il y aurait un événement effrayant, que ceux qui n'en auraient pas été prévenus croiraient toucher à leur dernière heure et penseront être à la fin du monde.
Mais tout à coup, la révolution finira par un grand miracle qui fera l'étonnement de l'univers. Le peu de méchants qui restera, se convertira. Les choses qui doivent arriver sont une image de celles de la fin du monde ; elles seront si terribles qu'il y aura de quoi sécher de frayeur.
Il m'a été dit : « Tous ceux qui sont pour Moi ne périront pas, ne périront pas, ne périront pas. » Mais, ai-je répliqué, il est impossible qu'il n'y ait pas quelques bons qui périssent.
Il m'a été répondu : « Oui, il pourra y avoir quelques victimes, mais elles ne seront pas perdues pour moi. »
Après le Grand Combat, la légitimité sera reconnue et tous s'embrasseront sans rancune.
Il se fera un troisième miracle qui étonnera tout l’Univers et mettre fin à la révolution : un bras de fer surgira miraculeusement, armé d’une grande puissance pour venger les outrages faits à Dieu et à la Royauté.
Les événements qui doivent terminer la révolution, seront si effrayants que ceux qui n'en seront pas prévenus croiront être à la fin du monde. Ils seront si terribles qu'il y aura de quoi sécher de frayeur. Ces maux seront l'image de ceux qui doivent arriver à la fin du monde à moins que les prières et la pénitence ne fléchissent la justice de Dieu.
Ceux qui auront sur eux quelques objets de piété bénits seront préservés pour la plupart. Les prières de quelques parents ou amis en sauveront d'autres qui se convertiront.
En même temps que la France sera châtiée, beaucoup d'autres nations le seront aussi à peu près dans le même temps. Dans le cours de la révolution, deux miracles ont été opérés : le premier a été la rentrée des Bourbons en France ; le second, leur retour après les Cent Jours ; il s'en fera un troisième qui étonnera tout l'univers et qui mettra fin à la révolution.
Un bras de fer surgira miraculeusement, armé d'une grande puissance pour venger les outrages faits à Dieu et à la royauté, dont les membres survivants doivent tous reparaître sur le sol de la patrie, après le grand événement. Il n'y aura plus alors ni haine ni rancune.
Après le grand combat, la légitimité sera reconnue...
La religion refleurira et les peuples reviendront au bonheur des premiers siècles : les chrétiens vivront comme des frères.
La Révolution s'achèvera soudain par un grand miracle qui plongera l'univers dans l'étonnement... »
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Re: Prophéties pour notre temps
Saint Gaspar Bufalo
(1836)
Saint Gaspar Bufalo (1786-1836), italien, fondateur des missionnaires du Très Précieux Sang :
« Tous les persécuteurs de l’Eglise seront détruits pendant les trois jours de ténèbres. Celui qui survivra se retrouvera comme seul, car la terre sera couverte de cadavres. On n’a jamais rien vu de semblable depuis le déluge, avec de grandes tueries de prêtres et autres malheurs à Rome. Ceux qui vénèreront le Très Précieux Sang seront affranchis de ces catastrophes. »
(1836)
Saint Gaspar Bufalo (1786-1836), italien, fondateur des missionnaires du Très Précieux Sang :
« Tous les persécuteurs de l’Eglise seront détruits pendant les trois jours de ténèbres. Celui qui survivra se retrouvera comme seul, car la terre sera couverte de cadavres. On n’a jamais rien vu de semblable depuis le déluge, avec de grandes tueries de prêtres et autres malheurs à Rome. Ceux qui vénèreront le Très Précieux Sang seront affranchis de ces catastrophes. »
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Re: Prophéties pour notre temps
Sainte Anna-Maria Taïgi
(1837)
Sainte Anna-Maria Taïgi, romaine du tiers Ordre de la Sainte Trinité naquit en 1769. Elle se maria à Rome où elle vécut et mourut en 1837. Elle s’offrit à Dieu en victime et souffrit beaucoup.
Le Seigneur lui donna de bonne heure le don de prophétie. Elle prédit avec une exactitude absolue les événements du Premier Empire, la mort de Napoléon 1er à Sainte-Hélène, la guerre de la Grèce contre les Turcs, la révolution de 1830 en France, la guerre de Pologne, l'élection des papes depuis Pie VII et les événements marquants de leur pontificat, la fuite prochaine du Pape, lors de la révolution italienne, annonce à la fois la grande épidémie et les trois jours de ténèbres physiques. Ce dernier fléau lui avait été manifesté à plusieurs reprises dans le mystérieux soleil où elle voyait l'avenir.
Dieu enverra un double châtiment : l'un part de la terre, à savoir des guerres, des révolutions et d’autres maux ; l'autre part du ciel, à savoir une obscurité épaisse. Celle-ci empêchera de voir quoique ce soit. Cette obscurité sera accompagnée d’une infection dans l’air, ce qui fera périr non exclusivement, du moins principalement les ennemis de la religion. Des ténèbres pestilentielles peuplées de visions effroyables, envelopperont la terre pendant trois jours. L’air sera alors empesté par les démons qui apparaîtront sous toutes sortes de formes hideuses. Tant que durera l’obscurité, il sera impossible de faire de la lumière. Seuls, les cierges bénits préserveront de la mort, ainsi que les prières à la Sainte Vierge et aux saints Anges. Quiconque ouvrira la fenêtre par curiosité et regardera dehors ou bien sortira de sa maison, tombera aussitôt raide mort. En ces jours-là, tous doivent rester chez eux, réciter le rosaire et implorer la miséricorde divine. Tous les ennemis de l’Eglise, cachés ou apparents, périront pendant les ténèbres, à l’exception de quelques-uns que Dieu convertira bientôt après. Le fléau de la terre a pu être mitigé par les prières, mais non celui du ciel, qui sera épouvantable et universel.
Après les ténèbres, saint Pierre et saint Paul descendront des cieux, prêcheront dans tout l’univers et désigneront le Pape ; une grande lumière, jaillissant de leurs personnes, ira se déposer sur le futur pape.
Saint Michel Archange, paraissant sur la terre sous forme humaine, tiendra les démons enchaînés jusqu’à l’époque de la prédication de l’Antéchrist.
Le Pontife choisi selon le cœur de Dieu, sera assisté par Lui de lumières toutes spéciales. Son nom sera vénéré dans le monde et applaudi par tous les peuples. Il est le Pontife saint, destiné à soutenir la tempête. Le bras de Dieu le soutiendra et le défendra contre les impies, lesquels seront humiliés et confondus. Il aura à la fin de don des miracles.
Des nations entières reviendront à l’unité de la foi et la face de la terre sera renouvelée.
En ces temps-là, la religion chrétienne se répandra partout et il n’y aura plus qu’un Pasteur. La Russie et l’Angleterre se soumettront, la Chine se convertira.
(1837)
Sainte Anna-Maria Taïgi, romaine du tiers Ordre de la Sainte Trinité naquit en 1769. Elle se maria à Rome où elle vécut et mourut en 1837. Elle s’offrit à Dieu en victime et souffrit beaucoup.
Le Seigneur lui donna de bonne heure le don de prophétie. Elle prédit avec une exactitude absolue les événements du Premier Empire, la mort de Napoléon 1er à Sainte-Hélène, la guerre de la Grèce contre les Turcs, la révolution de 1830 en France, la guerre de Pologne, l'élection des papes depuis Pie VII et les événements marquants de leur pontificat, la fuite prochaine du Pape, lors de la révolution italienne, annonce à la fois la grande épidémie et les trois jours de ténèbres physiques. Ce dernier fléau lui avait été manifesté à plusieurs reprises dans le mystérieux soleil où elle voyait l'avenir.
Dieu enverra un double châtiment : l'un part de la terre, à savoir des guerres, des révolutions et d’autres maux ; l'autre part du ciel, à savoir une obscurité épaisse. Celle-ci empêchera de voir quoique ce soit. Cette obscurité sera accompagnée d’une infection dans l’air, ce qui fera périr non exclusivement, du moins principalement les ennemis de la religion. Des ténèbres pestilentielles peuplées de visions effroyables, envelopperont la terre pendant trois jours. L’air sera alors empesté par les démons qui apparaîtront sous toutes sortes de formes hideuses. Tant que durera l’obscurité, il sera impossible de faire de la lumière. Seuls, les cierges bénits préserveront de la mort, ainsi que les prières à la Sainte Vierge et aux saints Anges. Quiconque ouvrira la fenêtre par curiosité et regardera dehors ou bien sortira de sa maison, tombera aussitôt raide mort. En ces jours-là, tous doivent rester chez eux, réciter le rosaire et implorer la miséricorde divine. Tous les ennemis de l’Eglise, cachés ou apparents, périront pendant les ténèbres, à l’exception de quelques-uns que Dieu convertira bientôt après. Le fléau de la terre a pu être mitigé par les prières, mais non celui du ciel, qui sera épouvantable et universel.
Après les ténèbres, saint Pierre et saint Paul descendront des cieux, prêcheront dans tout l’univers et désigneront le Pape ; une grande lumière, jaillissant de leurs personnes, ira se déposer sur le futur pape.
Saint Michel Archange, paraissant sur la terre sous forme humaine, tiendra les démons enchaînés jusqu’à l’époque de la prédication de l’Antéchrist.
Le Pontife choisi selon le cœur de Dieu, sera assisté par Lui de lumières toutes spéciales. Son nom sera vénéré dans le monde et applaudi par tous les peuples. Il est le Pontife saint, destiné à soutenir la tempête. Le bras de Dieu le soutiendra et le défendra contre les impies, lesquels seront humiliés et confondus. Il aura à la fin de don des miracles.
Des nations entières reviendront à l’unité de la foi et la face de la terre sera renouvelée.
En ces temps-là, la religion chrétienne se répandra partout et il n’y aura plus qu’un Pasteur. La Russie et l’Angleterre se soumettront, la Chine se convertira.
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