TOUTES LES PROPHETIES SUR LE GM ET LE SAINT PONTIFE SUITE(5)
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TOUTES LES PROPHETIES SUR LE GM ET LE SAINT PONTIFE SUITE(5)
28. Sœur Catherine Filljung (1848-1915)
De l’ouvrage « Demain », page 340 :
« 52. Au cours des évènements, il se ferait une élection pontificale ; mais, après que le nouveau pape aurait été régulièrement élu, les Allemands et les Italiens en susciteraient un autre, et l’on reverrait ce scandale, sans exemple depuis le moyen âge, le siège de Pierre disputé au Pontife légitime par un antipape.
53. Celui-ci, la Sœur le voyait sous les traits d’un personnage alors vivant, cardinal étranger de haute naissance, qui résidait à Rome.
54. Elle ne disait du schisme rien de plus […]. Elle assurait seulement qu’entre les deux papes, il serait très facile de reconnaître le vrai, que les bons chrétiens ne pourrait s’y tromper ».
29. Marie-Julie Jahenny (1858-1941)
A la page 40 de l’ouvrage « Les prophéties de La Fraudais »,nous pouvons lire « l’opinion de Marie-Julie sur le Roi », recueillie par Monsieur Lainé le 9 février 1914, au cours d’une d’une conversation de trois heures. Je la fais apparaître en premier lieu comme courte synthèse :
« Dieu cache celui qu’il choisira pour sauver l’Eglise et régner sur la France, pour soustraire le monde entier à la domination du démon dont le règne bat son plein présentement, et que Dieu laisse actuellement le maître. Marie-Julie ne peut rien préciser au sujet du Roi. Elle sait seulement qu’il sera de la race de Saint Louis, c’est tout. Celui que Dieu prendra sera d’une parfaite pureté ; il vivra en Dieu et pour Dieu. Il sera complètement abandonné à la volonté de Dieu pour la protection de l’Eglise et le salut des âmes. Dieu le sortira à son heure. Son avènement a été montré à Marie-Julie et, cela, plusieurs fois. Elle sait qu’elle ne le verra pas sur la terre, mais elle le verra d’en-haut. Le Roi arrivait avec un tout petit cortège d’hommes animés, comme lui, de l’amour de Dieu et ne voulant rien autre chose que sa gloire. Mais ce petit cortège était précédé de l’Archange Saint Michel, ouvrant la marche se son épée flamboyante…Ils n’avaient, humainement, ni le nombre ni la force. Leur force était en Dieu…Mais, avant que n’arrive cet évènement, trois souverains doivent se produire, animés d’ambitions humaines, et ne connaissant que les moyens humains. Saint Michel les renversera successivement. A celui qu’il aura choisi, Dieu donnera toutes les grâces et les lumières nécessaires qui lui feront connaître les moyens qu’il devra mettre en œuvre pour la régénération de l’humanité, telle que Dieu la veut ».
Voici par prolongement les textes les plus authentiques publiés dans le « Bulletin de l’association des amis de Marie-Julie Jahenny ». Marie-Julie du Crucifix prophète,n° 47-48 :
- extrait du message donné le 23 mai 1874 par la Très Sainte Vierge Marie, page 62 :
« Je bouleverserai, je renverserai la bande des méchants et des impies. Je ferai triompher l’homme juste et les âmes ferventes. Oui, je confondrai la terre que j’amènerai aux pieds du juste, de l’homme qui doit gouverner la terre de France… ».
- extrait du message donné le 21 juin 1874 par Notre Seigneur Jésus, page 62 :
« Je ne suis pas le Roi des Français, ni de tel ou tel peuple, mais Je suis le Roi de l’Univers. J’ai voulu donner à la France un roi qu’elle a rejeté [il s’agissait à cette époque du Comte de Chambord qui mourut en 1883, pour lequel la France « n’avait pas assez prié »], mais celui que Je veux lui donner, elle l’acceptera et elle le demandera, elle le placera sur son cœur.
Mais avant d’avoir ce Roi, la France aura une crise et une tempête violente ; le sang des chrétiens se mêlera avec celui de l’impie. Les justes tomberont, en petit nombre, mais il en tombera, car le sang des bons servira aux méchants…Le temps sera court, mais il vous paraîtra long ».
- extrait du message donné le 3 juillet 1874 par la Très Sainte Vierge Marie, pages 62 et 63 :
« Je viendrai le placer au milieu de Mon Cœur. Mon Cœur sera au milieu de la Patrie ; son courage sera inébranlable. L’innocence et la blancheur ont flotté à sa naissance et flotteront sur les cendres de son tombeau. Les jours d’orage et de deuil ne sont pas passés ; Je vous garderai et vous protégerai, ne craigniez rien ».
- extrait du message donné le 25 août 1874 par Saint-Louis, page 63 :
« Je veux que la France abjure ses erreurs…Marie Immaculée lui donnera un baptême nouveau, puis après, je lui rétablirai son trône. Je lui apporterai cette belle palme de pureté au milieu de ce trône. Mon frère en Jésus-Christ qui la gouvernera conservera l’innocence et la pureté et Jésus et Marie le béniront, béniront sa Charité et sa Foi héroïque ».
- extrait du message donné le 1 décembre 1876 par Notre Seigneur Jésus, page 63 :
« Jamais, pauvre France, tu ne seras gouvernée par un autre que ce Roi de Mon choix. Je viendrai Moi-Même au moment où il y aura le moins d’apparence d’espérance. Je Me placerai au milieu de la France ; J’appellerai tous Mes enfants autour de Mon Sacré-Cœur et Je donnerai au vainqueur de la France la bannière où est gravé Mon Sacré-Cœur. Après cette terrible épreuve, J’abrégerai le temps des châtiments à cause de Mes victimes, à cause de Mon Sacré-Cœur et enfin pour donner plus vite le Roi choisi et élu par Mon Divin Cœur. Je peuplerai la terre de France de fleurs, c'est-à-dire de cœurs purs, généreux, repentants qui aimeront la Sainte Eglise, le Saint Père et le Roi. Je bénirai cette terre et Mon peuple échappé. Je donnerai à la France une génération nouvelle. Ils grandiront dans Ma grâce ; ils suivront sous le règne d’un Roi très pieux qui, par ses vertus, fera le bel ornement de la France. J’aime mieux que tu oublies d’autres révélations que celle-ci ; Il ne faut pas que Mon peuple soit surpris des châtiments promis ».
- extrait du message donné le 11 mai 1877 par Notre Seigneur Jésus, page 64 :
« La Croix a fait vaincre les grands héros. Ils l’ont portée à la face de l’ennemi et elle leur a donné la victoire…Vous Chrétiens, qui aller passer un terrible moment, prenez le Croix pour soutien…Quand le Roi élu et Sauveur de la France aura vu le triomphe de la France, il fera écrire partout : In hoc signo vinces ; par ce signe, tu vaincras ! La France sera sous le signe du Sacré-Cœur, de la Croix et de Marie ».
- extrait du message donné le 28 décembre 1880 par Notre Seigneur Jésus, page 68 :
« Ce sera la veille du magnifique triomphe, où les amis fidèles en cortège unis, se seront rendus sur les frontières françaises, pour lever la blancheur du noble étendard que J’ai destiné pour la France nouvelle. Celui qui la renouvellera est appelé à travers d’immenses difficultés, périssables selon le monde. Selon Ma Puissance éternelle, il est appelé comme l’homme enveloppé de prodiges ; son manteau sauvegardera sa noble personne et toute la cour qui l’assiste, unie aux amis de la France. Ils le conduiront aux chants de la victoire jusqu’au lieu où il y aura plusieurs combats, luttes, détrônement, sang versé, révoltes indignes, avant qu’il monte s’asseoir, ce noble et digne fils de saint Louis, sur cette chaise dont la souillure n’est pas encore effacée ».
- extrait du message donné le 15 mars 1881 par Notre Seigneur Jésus, page 68 :
« Le prince de la terre digne d’honneur et louable, à cause de sa grande confiance et de la grande Foi qu’il a dans son attente, à cause de la blancheur qu’il aime et préfère à toutes les autres couleurs, sans que son cœur s’y attente, le Seigneur lui réserve de bien grandes paroles de grâce et de puissance qui lui seront remises par un messager de la terre, chargé des ordres du Seigneur. Avant que la langue reste sans mouvement, avant son repos tout entier, le Seigneur a de grands envois à laisser tomber de la bouche, sous la main de Ses serviteurs, pour celui qui n’est point appelé de Dieu en vain, qui n’est point acclamé par un vrai nombre, triomphateurs des couleurs impures qu’on va lever dans la France et faire flotter dans toute sa longueur et largeur. Vous amis du grand destiné, vous porterez à sa rencontre la blancheur que son cœur aime tant. Le souffle du vent fera flotter sa bannière et, de loin, ses yeux mouillés de pleurs d’action de grâces, verront la bannière flotter sur son tombeau, au jour de ses religieuses funérailles [c'est-à-dire qu’il sera fidèle jusqu’à la mort] ».
- extrait du message donné le 22 mars 1881 par Notre Seigneur Jésus, page 65 :
« Toutes Mes paroles prophétiques véritables, ô Roi de l’exil, t’appellent et t’acclament. Sans trop tarder, je te rendrai à tes sujets et à ton peuple qui porte sur sa tête la même fleur que tu aimes. Cette fleur, c’est le lys…ô Roi, enfant du miracle, ne t’apprêtes-tu pas à venir de l’exil sous une épaisse poussière remuée par les fureurs des meurtriers de ton pays. Tu t’apprêtes à venir sur le bord de cette terre qui te fut étrangère. Du nord des frontières ta noble personne passera à travers les légions qui n’attendront que toi pour lever une vengeance. Mais, comme au jour des ténèbres, leurs yeux se voileront, l’exil s’éteindra et Ma justice s’accomplira. Tu passeras pour aller reprendre le sceptre de gloire. Tu en tremperas la pointe dans le sang des Romains, pour la défense du Souverain Pontife, le lien de tous les fidèles.
J’aurai de profondes paroles de vie et d’encouragement. J’ai trouvé sur la terre de sages messagers tout prêts à obéir, pour porter ces paroles… ».
- extrait du message donné le 7 juillet 1881 par Notre Seigneur Jésus, page 67 :
« Il sera facile de voir que l’on veut moins que jamais, de celui que le Ciel a dessein d’envoyer sous un ciel chargé encore des nuées du combat de ses ennemis et de ses amis ».
- extrait du message donné le 14 juillet 1881 par Notre Seigneur Jésus, page 70 :
« Mes enfants, il n’y a plus que deux choses qui dévorent la pensée de ces hommes d’autorité gouvernementale : c’est l’Eglise, c’est le Roi. Ces deux choses animent au fond de leur cœur une passion que rien ne pourra ternir, et cela parce que Je destine Mon serviteur exilé à rentrer sur la terre de sa naissance. Il sera l’appui et le soutien de l’Eglise, Mon Epouse, dans les dernières luttes que lui tiendront, à lui, les princes étrangers, jaloux d’un règn si plein de paix et de fidélité à l’égard de l’Eglise et de son Chef. Ma divinité va être déchirée ; toute Ma puissance et Mon Règne vont tomber sous les noires peintures de leurs abominables paroles ».
- extrait du message donné le 19 juillet 1881 par Notre Seigneur Jésus, pages 70 et 71 :
« Après qu’ils se seront vengés de tout, il viendra celui que la Bonté merveilleuse de Dieu a élu à travers tous les nuages obscurs, bien que cela paraisse impossible. Elle est si voilée, qu’il n’y a rien d’apparent pour les aveugles et pour ceux qui ne voudraient jamais connaître son nom, ni le nom de tous ceux qui lui ressemblent par le caractère et surtout par la blancheur royale. Tout est possible au Seigneur. Cet arrêt est impossible aux hommes, mais [bien même] l’univers serait rangé pour empêcher ce passage triomphant, Dieu a des ailes, Il a Ses puissances, et sans effort, Il le rendra maître et sauveur. Là où le serpent porte la dent, la morsure est ineffaçable. Le temps est bien proche où la dent du serpent déchirera la réputation, l’honneur, la royauté de l’Ami du Sacré-Cœur. Mais sa morsure ne l’atteindra pas ; elle ne fera que parcourir les régions depuis la France jusqu’à l’étranger. Il faut que ce coup passe et que la violence décharge l’écume de sa rage. Tout cela est proche. Le mal a fait un long chemin en immenses profondeurs. Nul ne peut le réparer sans lutte, sans crise, sans combattre jusqu’au sang. Il ne reste plus que le dernier effort. Tout est là dans cet effort, ses coups, ses iniquités, sa terreur tout entière. Je dis : tout est là. Paroles claires et sans nuages ».
- extrait du message donné le 21 juillet 1881 par Notre Seigneur Jésus, page 67 :
« Mon peuple bien aimé de France, Je vais Me disposer à entrer sur la terre qui fut le trône de Saint Louis…Cette même terre, Je la prépare à celui qui est méprisé des hommes et regardé comme incapable, parce qu’il est chrétien et qu’il croit à son retour sur la terre de son berceau. Ses épaules porteront comme les miennes le manteau de l’abomination, ainsi que celles de ceux qui espèrent le voir ramener la paix. Je le vois venir de bien près de la terre des martyrs, sur le sol où l’Eglise a tant de fois prononcé, par la bouche de l’Esprit-Saint de la terre, le nom de tant de chrétiens jugés dignes de monter sur les autels, c'est-à-dire de ceux dont la sainteté a été reconnue ».
- extrait du message donné le 23 janvier 1882 par Notre Seigneur Jésus, page 65 :
« Peuple fidèle, ne désespère pas…Il y a au Ciel un saint Louis à qui le Ciel réserve une grande mission prochaine…L’Immense Miséricorde divine a réservé des protecteurs, mais, enfants de la victoire, il faudra payer par bien des souffrances et compter bien des sacrifices ».
- extrait du message donné le 14 février 1882 par Notre Seigneur Jésus, page 74 :
« Du ciel, tu verras le triomphe de l’Eglise planer sur le front de Mon vrai serviteur Henri de la Croix ; Il viendra consoler l’indigence, renouveler le sacerdoce dévasté, affaibli et tombé comme une branche sous la scie de l’ouvrier. Sa charité renouvellera le sacerdoce, relèvera les statues de Ma Mère, fera remonter les calvaires insultés et réduits en morceaux ».
- extrait du message donné le 9 mai 1882 par Notre Seigneur Jésus, pages 73 et 74 :
« C’est vers la fin de la troisième crise qu’on amènera celui qui n’a guère d’espérance, qui n’est guère agréable ni consolant. Son nom passera dans le soleil, rapidement, comme un éclair, afin que le peuple sache qu’il n’est pas le vrai roi qui doit monter sur le trône (un prétendant). C’est là que ses amis marcheront à l’encontre du nouveau Sauveur pour le terrasser dès son entrée, et l’empêcher d’arriver au trône qui lui est destiné. Le vrai Roi viendra du côté du Levant (Il aura le secours d’amis étrangers et de troupes angéliques). A deux lieux du Centre se trouveront réunies les armées des gouverneurs d’aujourd’hui ; c’est là, dans une grande ville, que Dieu les attend pour leur donner ses grandes marques et aveugler ces barbares qui seront opposés au futur Sauveur. D’autres iront plus avant pour l’attendre à son entrée, et d’autres plus nombreux que ceux qui auront été terrassés par l’aveuglement de la Justice. Le Roi aura déjà fait dix à douze lieues (une lieue = 4 km) sur la terre de France, en direction du trône. C’est là que Dieu attend Ses vrais amis pour les réjouir de Son grand signe. L’étendard blanc sera levé dans ce lieu dont le nom sera dit. Il passera malgré le rempart qui lui sera opposé, et ses vrais combattants ne craindront rien, car sur eux planera la protection. Il marchera, foulant aux pieds ses ennemis que l’aveuglement aura renversés. Il viendra jusqu’au trône, avant que le combat ne soit fini. Celui qui avait été désigné, en descendra honteux à la confusion de ceux qui l’y auront placé ».
- extrait du message donné le 16 mai 1882 par Notre Seigneur Jésus, page 74 :
« Ce n’est pas un pasteur du Centre qui aura l’insigne honneur de couronner de gloire le Roi, l’héritier qui aura mérité de gouverner sa patrie. Ce pasteur sera jeune ; ses 45 ans ne seront pas sonnés. Il viendra du diocèse d’Aix. Les pasteurs qui gouvernent aujourd’hui les diocèses ne seront plus sur leur siège épiscopal…Le glorieux et digne enfant de Dieu qui sacrera le vrai Roi, sur les ruines du Centre, quand la terre sera bien désertée, viendra d’assez loin ».
- extrait du message donné le 15 juin 1882 par Notre Seigneur Jésus, page 66 :
« Ce seront des essais sur le trône de France pour les malheureux qui ne sont ni proches, ni choisis pour devenirs des sauveurs, essais qui feront un grand mal au reste de Mon peuple…Le commencement ne s’étendra pas partout, le second et le troisième viendront partout. C’est là que seront la violence et le mal…Après, Je choisirai, Je ferai appeler, nommer par les âmes, le véritable consolateur de Mon peuple et de l’Eglise, celui qui reconstruira Mes Temples dévastés, incendiés sous la violence de la guerre civile ».
- extrait du message donné le 8 juillet 1882 par Notre Seigneur Jésus, pages 72 et 73 :
« Mais quand environ vers les deux heures du jour où je lèverai le voile, commencera à paraître, sous le ciel, l’appel des amis et des frères du Sauveur, en Mon amour et en Ma Puissance, Mes victimes se lèveront aussi à leur tour, sans abandonner ceux qui auront travaillé à Mon œuvre et elles iront porter la Sainte Bénédiction à celui qui rentrera, le front dans la poussière, en se courbant sous l’appel du Seigneur avec toute sa cour. Il arrive en face de Mes amis et des siens qui sont invités à aller à sa rencontre. Ces chers serviteurs et victimes ne porteront le drapeau sans tache, que décore le Lys de mon Cœur, qu’en revenant vers le Siège, car sa Majesté, instruite des desseins du Seigneur, aura obéi ponctuellement à Ses ordres divins. Ma volonté divine permettra que ces noms brillants des Français, Mes apôtres et disciples, soient imprimés sur le blanc drapeau du Sauveur, qui restera avec lui, dans sa demeure, sur son trône. Dans l’avenir des siècles, la France redira l’honneur et la gloire des illustres vainqueurs du Roi choisi et élu par le Sauveur se son peuple…Ce ne sera qu’après quelques jours de repos que les chères victimes et amis connus et présents seront réunis sous Mon œil adorable, pour célébrer en action de grâce, les Augustes Mystères dans Mon Temple détrôné et appauvri par les affreux ravages du temps commencé. Sous ce toit béni, l’Apôtre fidèle posera sa main consacrée sur la tête de celui que le Ciel aura conduit et amené par une voie miraculeuse. Il sera difficile de trouver de grands pasteurs en ce moment, car le vide sera si profond qu’une grande partie de la terre sera comme les lieux inhabités [après le grand châtiment]. Après avoir reçu la très Sainte Bénédiction, avec ses compagnons et Mes nobles défenseurs, leur désir et Mes desseins sont qu’ils s’acheminent avec joie, portant la bannière blanche au lieu où J’aurais clairement dit l’heure de sa venue, d’où J’aurais envoyé les messagers porter la nouvelle et l’espérance du salut. Au sanctuaire où déjà Mes dons sont au comble de toute gloire et consolation, reposera ce signe de victoire, la bannière blanche. Et l’Appelé, avec des larmes, louera Ma bonté, et en imitant le roi saint Louis, se frappera la poitrine et se placera la figure contre terre. Mon peuple, attends la clarté sans ombres des choses plus complètes en Mon immense travail ; Il sera beau, le triomphe de la terre, la venue de l’Exilé au Siège de la Croix…Cette fête désirée, acclamée, ne sera plus pour réjouir tes yeux, mais de plus haut, voyant l’allégresse des nobles familles, voyant l’éclat de Ma gloire les vêtir, la sublime envie de ton âme ; partie de la terre, serait de revenir partager l’allégresse. Mais Mes desseins sont écrits bien plus profondéments. Pas un cœur, bientôt ne doutera ».
- extrait du message donné le 5 septembre 1882 par Notre Seigneur Jésus, page 74 :
« Le moment le plus éclatant sera celui où les ministres chrétiens, qui s’étaient tous disputés sous la dent des tigres, reviendront par d’affreux chemins, pour le jour solennel. Parmi les ministres du Seigneur, amis du Roi, je n’ai vu que 4 évêques ».
- extrait du message donné le 6 septembre 1890 par l’Archange Saint Michel, pages 64 et 65 :
« Pour ramener le Roi choisi et élu de Dieu, il faut que tous ceux qui sont au pouvoir soient balayés. Le poison est resté sur le trône, il faut qu’il soit purifié, car c’est un autre Saint Louis qui doit s’asseoir sur les lys embaumés. Les cadavres des ennemis de ce Roi seront tombés sous les pieds de ceux qui l’accompagneront sur le trône où il doit régner, rétablir la paix et faire refleurir partout le bien. Toutefois, il restera encore des ennemis debout, quand le Roi en prendra possession, parce qu’il viendra dans le cours de l’orage ; mais il sera sain et sauf, car la Mère de Dieu le garde comme son propre fils et l’a réservé pour être héritier d’une couronne méritée qui lui aura été ravie. Les jours d’exil durent encore et coûtent bien plus cher à ce Roi fidèle, catholique, mais il sera d’autant plus récompensé. Laissons dire et affirmer aux hommes qu’il ne reviendra jamais. Ecoutez-les, puis demandez-leur, s’ils sont prophètes !
Je marche sur la France ; je la veille de près, parce que le Seigneur est proche. Un autre attend dans la solitude avec résignation l’appel de ses frères pour donner de beaux jours florissants à celle que de saints rois jadis ont si bien gouvernés. Mais soyez sûrs qu’au moment où la décision commendera le choix, soyez sûrs qu’il ne sera pas le premier, celui que l’exil possède dans sa solitude. Il y a encore les restes d’une famille qui prétend aussi à une place, à un sceptre et à une couronne. Mais cette race n’est pas dans le dessein de Dieu, parce que sa malice a été jusqu’à faire une innocente victime qui a donné son sang pour garder sa Foi. C’est Louis XVI, cette âme royale dont le nom sera cher à la France. Les descendants des meurtriers prétendent avoir un droit au trône qui a été souillé par celui de sa race qui a gouverné. Mais cette famille a un fond très mauvais…Celui qui attend, c’est celui que l’on appelle l’enfant du miracle. Ce royaume n’a pas encore connu que son nom, mais plus tard il connaîtra le fond de son cœur. Il est réservé pour les grandes époques… ».
- extrait du message donné le 19 septembre 1901 par la Très Sainte Vierge Marie, page 66 :
« Quand la terre aura été purifiée, de beux jours reviendront et le Sauveur choisi par nous, inconnu de Mes enfants jusqu’ici, viendra. C’est une âme bien belle, c’est une fleur spéciale de vertu et le Cœur adorable de Mon Fils commence à lui préparer ses nobles dignités et il viendra au nom du Sacré-Cœur avec la poitrine décorée de l’Adorable Cœur de Jésus. La grâce du Ciel sera avec lui et les ruines seront relevées ».
- extrait du message donné le 18 septembre 1902 par Notre Seigneur Jésus, page 66 :
« L’étranger entrera dans le royaume de la Fille aînée de l’Eglise avec toute son armée ; il fera une longueur d’un espace mesuré par Moi. Je les arrêterai et, dans cet arrêt, Je susciterai le Sauveur, du reste de Mes enfants. Il traversera l’Est et semblera sortir du fond du Nord. Je le conduirai jusqu’au midi et de là, Je le ramènerai non pas sur le trône d’aujourd’hui, car il n’y en aura plus, même pas de base pour en fonder un autre ».
- extrait du message donné le 9 février 1914 par Notre Seigneur Jésus, page 67 :
« A celui qu’Il aura choisi, Dieu donnera toutes les grâces et les lumières nécessaires qui lui feront connaître les moyens par lesquels il devra mettre tout en œuvre pour la régénération de l’humanité, telle que Dieu la veut ».
- extrait du message donné le 16 juillet 1914 par Notre Seigneur Jésus, page 67 :
« Il n’y aura pas une multitude d’hommes à conduire au trône de paix l’homme juste et sage choisi pour relever les ruines de la Fille aînée de l’Eglise ».
- extrait du message donné le 23 juillet 1925 par la Très Sainte Vierge Marie, pages 74 et 75 :
« Après ce sera un Royaume purifié. En des contrées, il restera très peu de monde. La Justice fauchera une multitude, mais les justes seront préservés…Ma France plongée dans le crime ressuscitera glorieuse. Le règne de la paix sera prolongé de 25 ou 30 années, sous la direction d’une âme que le Divin Cœur réserve à Son peuple. A la montée de ce Prince qui deviendra roi, ma France nouvelle sera purifiée, ennoblie, ravissante à mes yeux ».
Joannes Maria- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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