Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- 2 morts pour 1000 doses… leur ARN m plus dangereux que la maladie, et en plus il ne l’empêche pas ! – par Patrice Gibertie
2- « Je suis convaincu que ces injections ont été conçues pour blesser des gens, mutiler et tuer délibérément » – par Dr Mike Yeadon
3- Nouvelle-Zélande : Jacinda Ardern récompensée pour sa gestion de la “pandémie”, alors que le nombre de décès continue d’augmenter et que la répression médiatique s’intensifie – par Igor Chudov
4- Effets secondaires des « vaccins » COVID-19 : un nouveau film, « The Unseen crisis » – par Clémentine Jallais
5- Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 détruisent votre système immunitaire : la Cleveland Clinic l’a prouvé, mais les effets négatifs du vaccin étaient connus dès décembre 2021
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4955 à 4963
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
OBLIGATION VACCINALE
et EFFETS SECONDAIRES :
ENTRETIEN de la DÉPUTÉE Virginie JORON
avec Mᵉ Diane PROTAT
sur les CONTRE-INDICATIONS
et les RECOURS JURIDIQUES
PLUS de DÉTAILS ici : Il faut interdire la vaccination anticovid des enfants à la suite des révélations Pfizer : inefficacité et millions de complications par le Dr Nicole Delépine
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Les DANGERS des VACCINS
sont de PLUS en PLUS RÉVÉLÉS
par la SCIENCE
Alors que la plupart des chercheurs, virologues, chercheurs en maladies infectieuses et épidémiologistes ont été intimidés et contraints au silence, un nombre croissant de personnes d’une grande intégrité et d’une grande expertise se sont manifestées pour dire la vérité, à savoir que ces vaccins sont mortels.
La plupart des nouveaux vaccins doivent subir des tests de sécurité approfondis pendant des années avant d’être approuvés. Les nouvelles technologies, telles que les vaccins à ARNm et à ADN, nécessitent un minimum de 10 ans de tests minutieux et de suivi intensif. Ces nouveaux prétendus vaccins n’ont été « testés » que pendant deux mois, puis les résultats de ces tests de sécurité ont été et continuent d’être tenus secrets. Le témoignage devant le sénateur Ron Johnson de plusieurs personnes ayant participé à l’étude de deux mois indique que pratiquement aucun suivi des participants à l’étude préalable à la mise sur le marché n’a jamais été effectué[67]. Les plaintes relatives à des complications ont été ignorées et, malgré les promesses de Pfizer selon lesquelles tous les frais médicaux causés par les « vaccins » seraient payés par Pfizer, ces personnes ont déclaré qu’aucun n’a été payé[66].
Pour illustrer la tromperie de Pfizer et des autres fabricants de vaccins à ARNm, citons le cas de Maddie de Garay, 12 ans, qui a participé à l’étude de sécurité préalable à la mise sur le marché du vaccin de Pfizer. Lors de la présentation du sénateur Johnson aux familles des victimes du vaccin, sa mère a raconté les crises récurrentes de son enfant, qui est maintenant confinée dans un fauteuil roulant, doit être alimentée par sonde et souffre de lésions cérébrales permanentes. Sur l’évaluation de sécurité de Pfizer soumise à la FDA, son seul effet secondaire est répertorié comme étant un « mal de ventre ». Chaque personne a soumis des histoires horribles similaires.
Les Japonais ont intenté un procès en vertu de la loi sur la liberté de l’information (FOIA) pour obliger Pfizer à publier son étude secrète sur la biodistribution. La raison pour laquelle Pfizer voulait que cette étude reste secrète est qu’elle démontre que Pfizer a menti au public et aux organismes de réglementation sur le sort du contenu du vaccin injecté (l’ARNm enfermé dans un support nano-lipidique). L’entreprise a prétendu que le vaccin restait sur le site de l’injection (l’épaule), alors que sa propre étude a montré qu’il se répandait rapidement dans tout le corps par la circulation sanguine en 48 heures.
L’étude a également révélé que ces nanoporteurs lipidiques mortels s’accumulaient en très fortes concentrations dans plusieurs organes, notamment les organes reproducteurs des hommes et des femmes, le cœur, le foie, la moelle osseuse et la rate (un organe immunitaire majeur). La concentration la plus élevée se trouvait dans les ovaires et la moelle osseuse. Ces nanoporteurs lipidiques se sont également déposés dans le cerveau.
Le Dr Ryan Cole, pathologiste de l’Idaho, a signalé un pic spectaculaire de cancers hautement agressifs chez les personnes vaccinées (non rapporté par les médias). Il a constaté une incidence effrayante de cancers hautement agressifs chez les personnes vaccinées, en particulier des mélanomes hautement invasifs chez les jeunes et des cancers de l’utérus chez les femmes.[26] D’autres rapports d’activation de cancers précédemment contrôlés apparaissent également chez des patients vaccinés contre le cancer.[47] Jusqu’à présent, aucune étude n’a été réalisée pour confirmer ces rapports, mais il est peu probable que de telles études soient réalisées, du moins des études financées par des subventions du NIH.
La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les ovaires dans l’étude de biodistribution pourrait très bien nuire à la fertilité des jeunes femmes, altérer leurs menstruations et leur faire courir un risque accru de cancer de l’ovaire. La concentration élevée dans la moelle osseuse pourrait également exposer les vaccinés à un risque élevé de leucémie et de lymphome. Le risque de leucémie est très inquiétant maintenant qu’on a commencé à vacciner les enfants dès l’âge de 5 ans. Aucune étude à long terme n’a été menée par aucun de ces fabricants de vaccins Covid-19, notamment en ce qui concerne le risque d’induction de cancer. L’inflammation chronique est intimement liée à l’induction, la croissance et l’invasion du cancer et les vaccins stimulent l’inflammation.
On dit aux patients atteints de cancer qu’ils devraient se faire vacciner avec ces vaccins mortels. À mon avis, c’est insensé. Des études plus récentes ont montré que ce type de vaccin insère la protéine spike dans le noyau des cellules immunitaires (et très probablement dans de nombreux types de cellules) et qu’une fois là, il inhibe deux enzymes de réparation de l’ADN très importantes, BRCA1 et 53BP1, dont le rôle est de réparer les dommages causés à l’ADN de la cellule[29].
Il existe une maladie héréditaire appelée xeroderma pigmentosum dans laquelle les enzymes de réparation de l’ADN sont défectueuses. Ces personnes malchanceuses développent de multiples cancers de la peau et une incidence très élevée de cancers des organes. Nous avons ici un vaccin qui fait la même chose, mais à un degré moindre.
L’une des enzymes de réparation défectueuses causées par ces vaccins est appelée BRCA1, qui est associée à une incidence nettement plus élevée de cancer du sein chez les femmes et de cancer de la prostate chez les hommes.
Il convient de noter qu’aucune étude n’a jamais été réalisée sur plusieurs aspects critiques de ce type de vaccin.
- Ils n’ont jamais été testés pour leurs effets à long terme
- Ils n’ont jamais été testés pour l’induction de l’auto-immunité.
- Leur innocuité n’a jamais été testée correctement, quel que soit le stade de la grossesse.
- Aucune étude de suivi n’a été réalisée sur les bébés des femmes vaccinées.
- Il n’existe pas d’études à long terme sur les enfants de femmes enceintes vaccinées après leur naissance (en particulier en cas d’apparition d’étapes du développement neurologique).
- Ses effets sur une longue liste d’affections n’ont jamais été testés :
- Diabète
- Maladies cardiaques
- Athérosclérose
- Maladies neurodégénératives
- Effets neuropsychiatriques
- Induction des troubles du spectre autistique et de la schizophrénie
- Fonction immunitaire à long terme
- Transmission verticale des défauts et des troubles
- Cancer
- Troubles auto-immuns
L’expérience antérieure avec les vaccins antigrippaux démontre clairement que les études de sécurité réalisées par des chercheurs et des médecins cliniciens ayant des liens avec des sociétés pharmaceutiques étaient essentiellement toutes soit mal faites, soit délibérément conçues pour montrer faussement la sécurité et dissimuler les effets secondaires et les complications. Cela a été démontré de manière spectaculaire avec les études bidon mentionnées précédemment, conçues pour indiquer que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine étaient inefficaces et trop dangereuses à utiliser [34,36,37]. Ces études bidon ont entraîné des millions de décès et de graves désastres sanitaires dans le monde entier. Comme indiqué, 80 % de tous les décès étaient inutiles et auraient pu être évités grâce à des médicaments peu coûteux, sûrs et réadaptés, ayant un très long historique de sécurité chez les millions de personnes qui les ont pris pendant des décennies, voire toute leur vie[43,44].
Il est plus qu’ironique que ceux qui prétendent être responsables de la protection de notre santé aient approuvé une série de vaccins mal testés qui ont entraîné plus de décès en moins d’un an d’utilisation que tous les autres vaccins combinés administrés au cours des 30 dernières années. Leur excuse, lorsqu’ils ont été confrontés à la question, était la suivante : » nous avons dû négliger certaines mesures de sécurité parce qu’il s’agissait d’une pandémie mortelle » [28,46].
En 1986, le président Reagan a signé le National Childhood Vaccine Injury Act, qui accordait une protection générale aux fabricants de vaccins contre les procès intentés par les familles de personnes blessées par un vaccin. La Cour suprême, dans un avis de 57 pages, s’est prononcée en faveur des fabricants de vaccins, permettant effectivement à ces derniers de fabriquer et de distribuer à la population des vaccins dangereux, souvent inefficaces, sans crainte de conséquences juridiques. La Cour a cependant insisté sur un système d’indemnisation des blessures dues aux vaccins qui n’a versé qu’un très petit nombre de récompenses à un grand nombre de personnes gravement blessées. Il est connu qu’il est très difficile de recevoir ces indemnités. Selon la Health Resources and Services Administration, depuis 1988, le Vaccine Injury Compensation Program (VICP) a accepté de verser 3 597 indemnités à 19 098 personnes blessées par un vaccin, pour un montant total de 3,8 milliards de dollars. C’était avant l’introduction des vaccins Covid-19, dont les décès à eux seuls dépassent tous les décès liés à tous les vaccins réunis sur une période de trente ans.
En 2018, le président Trump a promulgué la loi sur le « droit d’essayer » qui permet d’utiliser des médicaments expérimentaux et tous les traitements non conventionnels dans les cas de conditions médicales extrêmes. Comme nous l’avons vu avec le refus de nombreux hôpitaux et même le refus global des États d’autoriser l’Ivermectin, l’hydroxy-chloroquine ou toute autre méthode » officielle » non approuvée pour traiter les cas de Covid-19, même en phase terminale, ces individus néfastes ont ignoré cette loi.
Étrangement, ils n’ont pas utilisé cette même logique ou la loi lorsqu’il s’est agi de l’Ivermectin et de l’Hydroxy Chloroquine, qui ont tous deux fait l’objet de tests de sécurité approfondis dans le cadre de plus de 30 études cliniques de grande qualité et ont donné des rapports élogieux sur leur efficacité et leur sécurité dans de nombreux pays. En outre, des millions de personnes dans le monde entier utilisaient ces médicaments depuis plus de 60 ans, avec un excellent bilan de sécurité. Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes, associé à des conglomérats pharmaceutiques, ne voulait pas que la pandémie cesse et voulait que les vaccins soient la seule option thérapeutique. Le livre de Kennedy défend cette thèse en utilisant de nombreuses preuves et citations [14,32].
Le Dr James Thorpe, expert en médecine materno-fœtale, démontre que ces vaccins Covid-19 administrés pendant la grossesse ont entraîné une incidence de fausses couches 50 fois plus élevée que celle rapportée avec tous les autres vaccins combinés[28]. Lorsque nous examinons son graphique sur les malformations fœtales, nous constatons une incidence 144 fois plus élevée de malformations fœtales avec les vaccins Covid-19 administrés pendant la grossesse par rapport à tous les autres vaccins combinés. Pourtant, l’Académie américaine d’obstétrique et de gynécologie et le Collège américain d’obstétrique et de gynécologie approuvent la sécurité de ces vaccins à tous les stades de la grossesse et chez les femmes qui allaitent leur bébé.
Il convient de noter que ces groupes de spécialités médicales ont reçu des financements importants de la part de la société pharmaceutique Pfizer. thL’American College of Obstetrics and Gynecology, rien qu’au cours du quatrième trimestre de 2010, a reçu un total de 11 000 dollars de la seule société pharmaceutique Pfizer[70]. Les financements provenant des subventions des NIH sont bien plus élevés[20]. La meilleure façon de perdre ces subventions est de critiquer la source des fonds, leurs produits ou leurs programmes favoris. Peter Duesberg, parce qu’il a osé remettre en question la théorie favorite de Fauci selon laquelle le SIDA est causé par le virus VIH, n’a plus reçu aucune des 30 demandes de subvention qu’il a soumises après avoir rendu l’affaire publique. Avant cet épisode, en tant que principale autorité mondiale en matière de rétrovirus, il n’avait jamais essuyé de refus pour une subvention des NIH[39]. C’est ainsi que fonctionne le système « corrompu », même si une grande partie de l’argent des subventions provient de nos impôts.
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
ACHARNEMENT à PIQUOUSER
malgré les MILLIERS de DÉCÈS
Dans le cas de tous les autres médicaments et vaccins conventionnels antérieurs examinés par la FDA, le décès inexpliqué de 50 personnes ou moins entraînerait l’arrêt de la distribution du produit, comme ce fut le cas en 1976 avec le vaccin contre la grippe porcine. Avec plus de 18 000 décès signalés par le système VAERS pour la période du 14 décembre 2020 au 31 décembre 2021, ainsi que 139 126 blessures graves (y compris des décès) pour la même période, il n’y a toujours aucun intérêt à arrêter ce programme de vaccins mortels.[61] Pire, aucune agence gouvernementale ne mène d’enquête sérieuse pour déterminer pourquoi ces personnes meurent et sont gravement et définitivement blessées par ces vaccins.[15,67] Ce que nous voyons, c’est une série continue de dissimulations et de dérobades de la part des fabricants de vaccins et de leurs promoteurs.
Des millions de personnes ont été délibérément tuées et estropiées, non seulement par ce virus fabriqué, mais aussi par le vaccin lui-même et par les mesures draconiennes utilisées par ces gouvernements pour « contrôler la propagation de la pandémie ».
Pour couronner le tout, en raison du mandat de vaccination imposé à l’ensemble du personnel hospitalier, des milliers d’infirmières et d’autres travailleurs hospitaliers ont démissionné ou ont été licenciés [17,30,51], ce qui a entraîné une pénurie critique de ces travailleurs de la santé essentiels et une réduction dangereuse des lits de soins intensifs dans de nombreux hôpitaux. En outre, comme cela s’est produit dans le Lewis County Healthcare System, un système hospitalier spécialisé de Lowville, dans l’État de New York, a fermé son unité de maternité à la suite de la démission de 30 membres du personnel hospitalier en raison des ordres désastreux de l’État concernant le mandat de vaccination. L’ironie de tous ces cas de démissions est que les administrateurs ont accepté sans hésiter ces pertes massives de personnel, malgré leurs récriminations sur le manque de personnel en période de « crise ». Cette situation est particulièrement déroutante lorsque l’on apprend que les vaccins n’ont pas empêché la transmission virale et que la variante prédominante actuelle est extrêmement peu pathogène.
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
LISTE de CHOSES
qui ont été QUALIFIÉES
de « MYTHES » et de « DÉSINFORMATION »
et qui se sont AVÉRÉES VRAIES par la SUITE :(Source)
- Les vaccinés asymptomatiques propagent le virus de la même manière que les infectés symptomatiques non vaccinés.
- Les vaccins ne peuvent pas protéger adéquatement contre les nouvelles variantes, telles que Delta et Omicron.
- L’immunité naturelle est de loin supérieure à l’immunité vaccinale et elle est très probablement permanente.
- Non seulement l’immunité vaccinale s’affaiblit après plusieurs mois, mais toutes les cellules immunitaires sont affaiblies pendant des périodes prolongées, ce qui expose les personnes vaccinées à un risque élevé de toutes les infections et de cancer.
- Les vaccins COVID peuvent entraîner une incidence significative de caillots sanguins et d’autres effets secondaires graves.
- Les partisans du vaccin exigeront de nombreux rappels à mesure que chaque variante apparaîtra sur la scène.
- Fauci insistera sur le vaccin covidien pour les petits enfants et même les bébés.
- Les passeports vaccinaux seront exigés pour entrer dans une entreprise, prendre l’avion et utiliser les transports publics
- Il y aura des camps d’internement pour les personnes non vaccinées (comme en Australie, en Autriche et au Canada).
- Les personnes non vaccinées se verront refuser un emploi.
- Il existe des accords secrets entre le gouvernement, les institutions élitistes et les fabricants de vaccins.
- De nombreux hôpitaux étaient vides ou avaient un faible taux d’occupation pendant la pandémie.
- La protéine de pointe du vaccin pénètre dans le noyau de la cellule, altérant la fonction de réparation de l’ADN cellulaire.
- Des centaines de milliers de personnes ont été tuées par les vaccins et beaucoup d’autres ont subi des dommages permanents.
- Un traitement précoce aurait pu sauver la vie de la plupart des 700 000 personnes qui sont mortes.
- La myocardite induite par le vaccin (qui a été refusée initialement) est un problème important et disparaît sur une courte période.
- Des lots spéciaux mortels de ces vaccins sont mélangés à la masse des autres vaccins Covid-19.
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- « Pfizer m’a donné le syndrome de Guillain-Barré »
2- Le Dr Peter McCullough a témoigné au Parlement européen à Strasbourg sur la gestion de la Covid-19, l’OMS et les vaccins anti-Covid
3- Le Pr Fukushima appelle les médias à informer le peuple sur la toxicité des vaccins
4- Aux États-Unis, plus de 1000 fausses-couches ou mortinaissances signalées sont intervenues dans les heures qui ont suivi l’injection ARNm ! – par Patrice Gibertie
5- Un joueur de basketball professionnel de 28 ans meurt d’une crise cardiaque – moins de deux ans après avoir dit à ses fans que les vaccins de Pfizer l’avaient conduit à développer une myocardite induite par le vaccin
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4964 à 4972
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- Une étude sur près de 50 000 personnes : 40% de risques supplémentaires de faire un covid long pour les vaccinés contaminés par Omicron. Et s’il s’agissait des effets secondaires de la « vaccination » ? – par Patrice Gibertie
2- Premiers symptômes 4 jours après l’injection, puis l’enfer avec cancer de la parotide et décès : rapport de cas, littérature scientifique – par Patrice Gibertie
3- Déclarer les effets secondaires des injections
4- Pfizer n'a jamais garanti l’efficacité et l’absence d’effets secondaires de ses vacccccxxxxins aux acheteurs, bien au contraire il a voulu se dégager de toutes responsabilités – par Patrice Gibertie
5- Un groupe documente les histoires des victimes du protocole Covid
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4973 à 4981
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Le témoignage d'un rabbin en Israël atteint par les vaccins :
Christiane-Thérèse- Contre la Franc Maconnerie
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
LOTS CHAUDS – LOTS MORTELS
des VACCINS-COVID
Un chercheur de l’université de Kingston, à Londres, a effectué une analyse approfondie des données VAERS (un sous-département du CDC qui recueille des données sur les complications liées aux vaccins), dans laquelle il a regroupé les décès signalés à la suite de l’administration de vaccins en fonction des numéros de lot du fabricant des vaccins. Les vaccins sont fabriqués en grands lots appelés lots. Il a découvert que les vaccins sont divisés en plus de 20 000 lots et qu’un lot sur 200 est manifestement mortel pour quiconque reçoit un vaccin de ce lot, qui comprend des milliers de doses de vaccin.
Il a examiné tous les vaccins fabriqués – Pfizer, Moderna, Johnson and Johnson (Janssen), etc. Il a constaté que sur 200 lots de vaccins fabriqués par Pfizer et d’autres fabricants, un lot sur 200 s’est avéré plus de 50 fois plus mortel que les lots de vaccins des autres lots. Les autres lots de vaccins provoquaient également des décès et des handicaps, mais dans une proportion bien moindre. Ces lots mortels auraient dû apparaître au hasard parmi tous les « vaccins » s’il s’agissait d’un événement non intentionnel. Cependant, il a constaté que 5 % des vaccins étaient responsables de 90 % des événements indésirables graves, y compris des décès. L’incidence des décès et des complications graves parmi ces « lots chauds » variait de plus de 1000% à plusieurs milliers de pour cent de plus que les lots comparables plus sûrs. Si vous pensez que c’est un accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » ont été, à mon avis, délibérément fabriqués et envoyés dans tout le pays – généralement des vaccins destinés aux enfants. Dans l’un de ces scandales, des « lots chauds » d’un vaccin se sont retrouvés dans un seul État et les dommages sont immédiatement devenus évidents. Quelle a été la réponse du fabricant ? Ce n’était pas de retirer les lots mortels du vaccin. Il a ordonné à son entreprise de disperser les lots chauds dans tout le pays afin que les autorités ne voient pas l’effet mortel évident.
Tous les lots d’un vaccin sont numérotés – par exemple, Modera les étiquette avec des codes tels que 013M20A. On a remarqué que les numéros de lots se terminaient soit par 20A, soit par 21A. Les lots se terminant par 20A étaient beaucoup plus toxiques que ceux se terminant par 21A. Les lots se terminant par 20A présentaient environ 1700 événements indésirables, contre quelques centaines à vingt ou trente événements pour les lots 21A. Cet exemple explique pourquoi certaines personnes n’ont eu que peu ou pas d’effets indésirables après avoir reçu le vaccin, alors que d’autres sont mortes ou ont subi des dommages graves et permanents. Pour voir l’explication du chercheur, rendez-vous sur https://www.bitchute.com/video/6xIYPZBkydsu/. À mon avis, ces exemples suggèrent fortement une altération intentionnelle de la production du « vaccin » pour inclure des lots mortels.
(Source)
territoire en héritage et Christiane-Thérèse aiment ce message
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- Solidekla : Syndicat Liberté Santé pour aider à déclarer les effets indésirables
2- Les caillots de sang chez les décédés sont apparus à partir de 2021 et sont fréquents
3- Ils avouent : il y a bien de l’ARNm dans le lait maternel des mamans vaccinées… et dans les bébés – par Patrice Gibertie
4- Hétérogénéité des lots de Pfizer : 30% sans danger et sans principe actif, 4% surcontaminés ! Le secret des lots super tueurs enfin percé mais l’ANSM ne veut pas que vous sachiez – par Patrice Gibertie
5- Vaccination antiCovid à répétition : Une étude importante avec les IgG4 en vedette – par Michel de Lorgeril
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4982 à 4990
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
EFFETS SECONDAIRES
CARDIOLOGIQUES GRAVES
SUITE au VACCIN COVID-19 :
NOUVELLES INQUIÉTUDESUne étude alerte quant aux effets secondaires cardiovasculaires graves, parfois mal détectés, induits par le vaccin Covid-19, notamment chez les jeunes.
À l’aide de données des services médicaux d’urgence nationaux d’Israël entre 2019 et 2021, une étude a exploré l’association entre les tendances du volume d’appels pour cause d’arrêts cardiaques et syndromes coronariens, et le taux de vaccination Covid-19 parmi la population des 16 ans et plus.
Augmentation des urgences cardiovasculaires pendant la période vaccinale
Publiés dans le journal Scientific Reports, les travaux ont été menés sur la base des appels passés au Samu israélien sur une période de plus de deux ans : la « principale conclusion » du rapport note une hausse de plus de 25% du nombre d’appels d’urgence pour cause d’arrêts cardiaques et de syndromes coronariens aigus chez les 16-39 ans, au moment de la campagne vaccinale contre la Covid-19. L’augmentation concerne notamment la période des appels passés entre janvier et mai 2021, par rapport aux années 2019-2020.
L’étude souligne une « association robuste et statistiquement significative entre le nombre d’appels hebdomadaires » pour cause d’arrêts cardiaques et les taux des 1ère et 2ème doses de vaccin administrées aux moins de 40 ans.
Une hausse des événements cardiovasculaires est-elle à craindre ?
Les affections cardiovasculaires sont connues et signalées comme effets secondaires des vaccins anti-Covid-19. Les résultats soulèvent des inquiétudes quant aux effets secondaires cardiovasculaires graves non détectés causés par les vaccins, et soulignent la relation de cause à effet déjà établie entre les vaccins et la myocardite : « La myocardite est une maladie particulièrement insidieuse, dont les manifestations rapportées sont multiples. » De plus, les cas asymptomatiques de myocardite peuvent être sous-diagnostiqués.
Pour le rapport, il est donc plausible de craindre que l’augmentation des taux de myocardite chez les jeunes n’entraîne une hausse d’autres événements cardiovasculaires indésirables graves.
En exploitant un ensemble de nouvelles données, l’étude vise à enrichir les systèmes actuels de surveillance en matière de sécurité des vaccins, insistant sur la « nécessité d’une enquête approfondie » sur l’association apparente entre l’administration du vaccin Covid-19 et les résultats cardiovasculaires graves chez les jeunes adultes.
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- LE SOMMET COVID DEMANDE L'ARRÊT IMMÉDIAT DES INJECTIONS ARNm
2- Y a-t-il une surmortalité liée à la vaccination covid ? Les statistiques de “Décoder l’éco” le confirment ! – par Jeanne Smits
3- Lisez la notice du “vaccin” ! – par Silvano Trotta
4- La France TOUJOURS protégée des effets secondaires du Pfizer surcontaminé ; les Anglais, les Allemands tombent comme des mouches : « pas nous ! pas nous ! » – par Patrice Gibertie
5- Une étude explose en plein vol : erreurs de calcul corrigées, elle démontre qu’en réalité l’injection est de 7 à 14 fois PLUS DANGEREUSE QUE LA COVID pour un non-vacciné ! – par Patrice Gibertie
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4991 à 4999
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- Étude anglaise : des injectés ou des non-injectés, on sait qui meurt le plus ! – par Pierre Chaillot
2- Pfizer ne garantit pas l’efficacité et l’innocuité des vaccccccxxx contaminés, la Commission européenne admet des myocardites mortelles et… elle continue à injecter en masse !!! – par Patrice Gibertie
3- Un nouveau livre rédigé par des médecins pour l’éthique COVID détaille les dangers des vaccins à ARNm
4- 4000 dossiers étudiés et 163 déjà indemnisés : le Japon reconnait que les injections ARNm covid ont bel et bien tué ; heureusement en France, aucun problème… – par Patrice Gibertie
5- Le vaccin contre la Covid-19 administré à toute la population mondiale : opération criminelle ! – par Michel Chossudovsky
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 5000 à 5008
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- La contamination des vaxxxxcccins par le sv 40 n’est pas seulement à l’origine d’une explosion des cancers, elle renvoie à l’origine artificielle de la covid – par Patrice Gibertie
2- Injecté 4 doses, l’influenceur Joesthetics se fait nettoyer deux fois le sang de particules bizarres et meurt d’une rupture d’anévrisme – par Patrice Gibertie
3- Thérapies ARNm en général et Pfizer en particulier : trois nouvelles avancées des biologistes qui changent la donne et interpellent les décideurs – par Patrice Gibertie
4- Des vaccinés produisent encore de la protéine spike après 2 ans
5- Les vérités cachées des vaccins : « C’est le plus grand scandale sanitaire de tous les temps » – par Christine Cotton
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 5009 à 5017
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
En France, rapport de la DREES du 28 février 2022 :
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
DÉMOLITION de l’ESCROQUERIE COVID
par le PROFESSEUR Christian PERRONNEExtrait :
"Les tests PCR ça faisait une dizaine d’années qu’on les utilisait à l’hôpital, mais on enfonçait un petit tuyau en plastique de deux à trois centimètres. On aspirait les sécrétions nasales. Je n’ai jamais vu entrer des tringles à rideaux pour défoncer la base du cerveau. Ça, c’est une invention. Je ne sais pas qui a inventé ça, mais c’est pour vous bousiller le nerf olfactif, la glande pinéale. Ça n’a aucun sens scientifique. Si le virus est là-haut, il est au bord des narines et même dans la salive.
Et ça, je crois que c’est volontaire, ce n’est pas par hasard. L’inventeur de la PCR [qui est Kary Mullis] (qui malheureusement est décédé l’été 2019 juste avant le Covid) avait toujours dit qu’on n’utilise jamais la PCR sur des gens qui n’ont pas de symptômes. Et en dépistage de masse, c’est une erreur scientifique puisqu’il y a toujours des faux positifs dans la PCR.
Pour affoler les gens il fallait que les vagues soient très grosses à chaque fois, donc on a fait des PCR à toute la population, à des millions de gens qui étaient en très bonne santé, et après le Gouvernement a dit « regardez, catastrophe, on a fermé 3000 classes en France ! ». On ne fait pas de PCR à des gens qui n’ont pas de symptômes, donc ça a fait des vagues artificielles, chaque fois qu’ils étaient positifs ils étaient « morts du covid » alors qu’ils étaient morts d’autre chose, le comble c’est qu’ils ont fait des tests jusqu’à 45 cycles d’amplification (normalement on amplifie à 25 fois, 35 fois maximum), on amplifie du vent, on vous crée comme ça des super épidémies totalement artificielles.
Quand les vaccins sont arrivés, et que leurs PCR exagérés rendaient tout le monde positif, ils ont été très ennuyés (CDC d’Atlanta), ils se sont dit « zut ! ça ne va pas dans notre logique », ils ont dit : « bon, pour les vaccinés on baisse le cycle à 20, pour les non-vaccinés on reste à 45 ». Tout est comme ça. Tout est pourri ! il n’y a pas de science. Tout le monde a gobé. La fraude partout.
Il y a aussi tous ces médecins des plateaux télé qui font de la désinformation permanente, même si quelques-uns ont déclaré leurs conflits d’intérêts. Comme répondit Göring au procès de Nuremberg, c’est très simple, il suffit de faire peur aux gens."
(Source avec autres références)
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Virginie JORON :
STRATÉGIE VACCINALE de l’UEVirginie Joron, députée européenne est l'invité de Ying Huang :
“20 pages de communication de la commission au parlement européen du 27 avril impose aux États membres de réfléchir à une politique nationale-vaccinale, ils savent déjà à l'avance qu'il va y avoir une nouvelle pandémie cet hiver, et le point noir c'est les non-vaccinés et les enfants. On voit bien dans ces écrits qu'ils ont un calendrier très précis.”
“On nous impose, alors que normalement le parlement, c'est le lieu de la démocratie, c'est le lieu du débat, c'est le lieu de l'échange, et on nous fait bien comprendre que tout discours divergent ne sera ni entendu, ni écouté. Ils se retranchent sur la crise, ils se retranchent sur le mot “pandémie”, qui permet d’oublier l’État de droit. ”
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- Au Japon depuis 2020 un mal mystérieux a tué deux fois plus que la Covid : les autopsies parlent, ce n’est pas le réchauffement climatique – par Patrice Gibertie
2- Le scandale du tabac recommence ; les documents qui prouvent que les thérapies ARNm covid, donnent la mort… Diffusez les preuves ! AUTOPSIES POST VACCINALES – par Patrice Gibertie
3- LE MAL DU DIABLE : ils ont inoculé sans contrôle ni essais des produits transgéniques contaminés. LE PFIZER INDUSTRIEL EST DIFFÉRENT DE CELUI DES ESSAIS CLINIQUES ! – par Patrice Gibertie
4- L’ARNm fabriqué industriellement sans contrôle. Que signifie le changement du processus de fabrication du Pfizer et du Moderna ? La contamination de tous les dangers ! – par Patrice Gibertie
5- La maladie à prions et les injections d’ARNm : un peu de lumière dans l’obscurité
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 5018 à 5026
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
La CORRUPTION des PAYS RICHES
PEUT seule EXPLIQUER le SCANDALE COVID
par le Dr Gérard Delépine
Comment l’Europe et la France qui dépensent autant pour la santé et disposent de très nombreux médecins ont-elles pu aboutir à une mortalité covid 20 à 100 fois supérieure à celle de pays pauvres ?
La corruption des pays riches les a condamnés et la pauvreté d’autres pays les a sauvés paradoxalement : les laboratoires pharmaceutiques n’ont pas voulu investir autant « d’argent » auprès des dirigeants de pays incapables financièrement d’acheter finalement leurs produits expérimentaux.
La politique sanitaire française (confinement[5] et autres mesures autoritaires inutiles, rejet des médecins de famille, interdiction des traitements précoces et peu chers, chantage à la vaccination) ne reposait sur aucune expérience médicale, mais seulement sur une simulation mathématique fausse volontairement terrorisante créée par N. Ferguson (prophétisant 500 000 morts en France) et sur le modèle chinois et sur les conseils de McKinsey.
Elle était contraire à toute l’expérience médicale des épidémies précédentes ainsi que nous l’avons dénoncé dès mars 2020[6][7] et contraire aux préconisations du rapport de la Cour des comptes[8] et du Sénat sur l’épidémie H1N1.[9][10][11]
Le comportement outrancièrement autoritaire de nos gouvernants, l’instauration d’une censure sévère dans les médias et sur internet, et la persécution sauvage des opposants allant jusqu’à l’exclusion de la profession et parfois la mise en garde à vue, ne peut résulter de la simple croyance aveugle à l’efficacité miraculeuse d’un traitement[12] expérimental[13] issu d’une technologie jusqu’ici jamais utilisée en infectiologie.
Seule la corruption intense par les grandes firmes pharmaceutiques Big Pharma et au premier plan Pfizer a permis de tisser des liens d’intérêts intenses avec les revues médicales[14], les médias grand public, l’OMS[15], les agences sanitaires[16], les experts, les médecins leaders d’opinion et les décideurs administratifs[17] et politiques.[18]
Ces problèmes ne sont pas nouveaux puisqu’en 2005 un rapport de la Chambre des Communes du Royaume-Uni[19] s’inquiétait :« Notre préoccupation dominante vient de l’importance et de l’intensité de l’influence de l’industrie pharmaceutique, non seulement sur la médecine et la recherche, mais sur les patients, les médias, les administrations, les agences de régulation et les politiques ».
Mais cette mainmise de l’industrie avec « capture des agences de régulation » s’est fortement aggravée depuis lors, comme l’ont montré les affaires du médiator[20], du Vioxx[21][22] et plus récemment celle des opioïdes aux USA.
La vente des pseudo vaccins Pfizer est une manne colossale pour Pfizer qui a été de plus déchargée des risques de dédommagements pour accidents liés à ses produits. La présidente de la Commission européenne a négocié directement avec le laboratoire et aucun parlementaire, journaliste ni aucune association de malades n’a pu obtenir le détail des contrats qu’elle a signés en notre nom.
Le nombre de doses achetées ou précommandées par l’Union européenne depuis le début de la crise atteint 4,2 milliards (chiffre confirmé par la commission) pour une population de 447 millions d’habitants. C’est donc près de dix injections de cette substance expérimentale inefficace et dangereuse que ces dictateurs veulent imposer à chacun d’entre nous alors que grâce à Omicron nous avons presque tous été immunisés !
Battons-nous pour notre santé et celle de nos proches, en demandant un moratoire de toute injection anticovid et la transparence sur les résultats réels et les accidents de ce traitement expérimental.
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
La CATASTROPHE SANITAIRE des PAYS RICHES
est DUE à leur POLITIQUE SANITAIREpar le Dr Gérard DelépineIls ont majoritairement appliqué les directives de l’OMS, favorisant les confinements, interdisant les traitements précoces dans une stratégie autoritaire du tout vaccin, alors que les pays en voie de développement ont plutôt utilisé les traitements traditionnels bon marché.
D’ailleurs les pays pauvres qui ont reçu en cadeau des vaccins et les ont utilisés, ont souvent rapidement été victimes d’une poussée paradoxale de l’épidémie et de la mortalité ainsi que l’illustrent les quelques exemples suivants.
L’exemple des îles africaines de l’océan Indien comparant Madagascar et les Seychelles est très démonstratif.
Ces îles partagent le même climat et leurs populations sont très proches par l’âge et le mode de vie. Les Seychelles ont été longtemps citées par les médias comme les champions de la vaccination de la région par ses 85 % de la population injectée.
Avant la campagne d’injection, décidée pour sauver l’industrie touristique et commencée début janvier 2021, les Seychelles ne comptaient que 226 cas. Le 15 mai 2022, après 15 mois d’injection, ce chiffre a dépassé 43 000 et plus de 43 % de la population a été contaminée confirmant que les injections n’empêchent pas (ou favorisent ?) les contaminations.
Cette explosion des cas a été suivie par une augmentation considérable de la mortalité aux Seychelles. Pendant cette période, grâce à l’Artémisine, l’épidémie et la mortalité ont été totalement contenues sans vaccination à Madagascar.
L’exemple du Maghreb est tout aussi démonstratif. La Tunisie a suivi les instructions de l’OMS et une politique du tout vaccin comme ses voisins du sud de l’Europe, Espagne et Italie. À l’opposé, l’Algérie n’a pas suivi l’OMS et a généralisé l’application du protocole Raoult.
Au 14/5/2022, l’Algérie compte 17 fois moins de morts covid par millions d’habitants (135/M) que la Tunisie (2400/M), l’Espagne (2243/M) et l’Italie (2734/M) alors qu’elle recense davantage de personnes âgées de plus de 60 ans que la Tunisie (25 %[4] vs 15 %) et autant que ses voisins du nord.
Là encore la politique du tout vaccin et l’absence de traitement précoce ont aggravé la mortalité des populations tunisiennes, italiennes et espagnoles.
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Les PAYS RICHES VICTIMES de l’OMS
et de la POLITIQUE du TOUT VACCINpar le Dr Gérard Delépine
La catastrophe sanitaire des pays richesRécemment, le ministre de la Santé algérienne expliquait que son pays n’avait pas acheté davantage de vaccins parce qu’ils étaient trop chers. Il aurait pu préciser que plus de la moitié des doses néanmoins achetées avaient été gâchées, car la population algérienne n’en voulait pas[1]. Il aurait pu aussi se féliciter du bilan sanitaire Covid de son pays, qui comme les autres pays pauvres d’Afrique, s’en sort tellement mieux que les pays riches.
En effet, alors qu’au 10 mai 2022 les USA recensent 2997 morts covid par million d’habitants et l’Europe 2440/M, les pays à revenu moyen supérieur n’en comptent que 1000/M et les pays pauvres seulement 65/M !C’est d’autant plus inattendu que tous les experts de l’OMS et des médias dominants avaient prophétisé une catastrophe sanitaire dans les pays pauvres[2] parce que leurs systèmes de santé étaient insuffisants, leurs populations sous-alimentées, qu’ils manquaient d’hôpitaux, de médecins et de médicaments et de vaccins.
Ces mêmes experts demandaient aux pays riches de faire cadeau de leurs doses inutilisées aux pays qui ne pouvaient pas les acheter ou de payer l’achat de vaccins[3], afin que ces pays ne risquent pas de pérenniser l’épidémie et de la propager au reste du monde.
Les pays pauvres épargnés de la catastrophe covid
Mais les pays pauvres n’en ont majoritairement pas voulu et la catastrophe sanitaire les a épargnés, se concentrant sur les pays riches et vaccinés.
La Zambie, qui compte un médecin pour 10 000 personnes, comptait au 15/5/22 douze fois moins de morts Covid que les USA. Le Mali qui dispose de seulement de trois respirateurs par million de personnes n’en recense que près de 100 fois moins que les USA (31/M versus 2997/M).
Certes l’âge plus jeune des populations des pays pauvres, avec une plus faible proportion de personnes à risques (les plus de 60 ans) peut expliquer une partie de la différence, mais après correction de ce facteur, les différences restent considérables (de 10 à 20 fois plus de décès dans les pays riches que dans les pays pauvres).
Comme quoi, à l’ère du Covid, l’argent ne fait pas toujours le bonheur !
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Le PROFESSEUR de MÉDECINE
Michaël PEYROMAURE
« se LÂCHE »
et STUPÉFIE ses INTERLOCUTEURS sur CNEWS« Un peu plus de 130 000 effets indésirables ont été recensés, dont 24 % ont été considérés comme graves, soit 1 sur 4 000, sans parler des effets secondaires à moyen ou à long terme.
C’est pour ça que le rapport bénéfice-risque paraît défavorable chez les jeunes, chez les enfants, chez les personnes qui ont 30, 40, 50 ans qui n’ont pas de comorbidité.
Ce vaccin contre le Covid ne protège pas véritablement de la maladie, ou en tout cas très peu de temps. Il protège uniquement des formes graves, mais pas à 100 %. Et il ne protège pas, ou très peu, de la transmission. »
« C’est quand même un drôle de vaccin ! »
(Source)
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Une BLESSURE CAUSÉE par un VACCIN COVID
MET FIN à la CARRIÈRE de 20 ANS
d’un CHIRURGIENDans une interview accordée à l'émission "The People's Testaments" de CHD.TV, le Dr Joel Wallskog a décrit comment il a été diagnostiqué d'une myélite transverse après avoir reçu le vaccin Moderna COVID-19, et pourquoi il consacre désormais son temps à aider les personnes blessées par le vaccin.
Le Dr Joel Wallskog était autrefois un chirurgien orthopédique prospère. Spécialiste des prothèses articulaires depuis 20 ans, il avait un cabinet important et très actif dans le Wisconsin, où il voyait près de 6 000 patients par an.
Marié à son amour de collège pendant près de 30 ans et père de quatre enfants, Wallskog a eu une vie “fantastique”, dit-il. Il appréciait sa carrière et la conciliait avec des moments agréables et actifs avec sa famille.
Mais le vaccin Moderna COVID-19 a changé sa vie pour toujours, a déclaré Wallskog. Sa santé s’est détériorée rapidement et sa carrière est finie.
Il a récemment raconté son histoire à Stephanie Locricchio, chargée de liaison pour Children’s Health Defense (la Défense de la santé des enfants, CHD), dans l’émission “The People’s Testaments” (Témoignages du Peuple) de CHD.TV.
Selon M. Wallskog, en septembre 2020, les membres du personnel de la clinique vers laquelle il orientait ses patients ont commencé à contracter le COVID-19. Il ne s’est pas senti malade (“rétrospectivement, j’ai peut-être eu le nez qui coule pendant quelques jours”, dit-il) mais il a fait un test d’anticorps, qui s’est révélé positif.
Lorsqu’un ami proche a contracté le COVID-19 et a dû être intubé, M. Wallskog a décidé de se faire vacciner, malgré ses réserves.
“Je faisais partie du système de santé. Je croyais en ce système”, a-t-il dit à Locricchio.
Pourtant, dit Wallskog, “j’avais des doutes”. Quelque chose sonnait faux. Je viens d’avoir le COVID, j’ai prouvé que j’avais des anticorps … j’avais une immunité naturelle. …Mais comme je l’ai dit, je faisais partie du système auquel je faisais confiance.”
Il a reçu son vaccin par l’intermédiaire de son employeur, l’un des dix plus grands systèmes de santé du pays. Malgré cela, lorsqu’il s’est fait vacciner, “il n’y a pas eu de paperasse, on ne m’a pas demandé mes antécédents, il n’y a pas eu de formulaire de consentement, il n’y a rien eu”, a-t-il dit.
Environ une semaine plus tard, les pieds de Wallskog se sont engourdis. Puis il a commencé à ressentir des “sensations électriques” le long de ses jambes lorsqu’il penchait la tête en avant. Il a comparé la sensation à “mettre son doigt dans une prise de courant”.
Lorsqu’il a commencé à avoir des difficultés à se tenir debout, il a demandé une IRM d’urgence et on a découvert qu’il avait une lésion de la moelle épinière.
Un neurologue a diagnostiqué une myélite transverse, un trouble causé par une inflammation de la moelle épinière. La myéline est la gaine protectrice des nerfs. Sans elle, les impulsions électriques ne sont pas transmises correctement, ce qui entraîne une perte de sensibilité et de mobilité.
M. Wallskog a fait remarquer qu’il a été rapidement diagnostiqué parce qu’il est médecin. “Étant dans le système de santé, je peux naviguer dans le système comme peu de gens peuvent le faire”, a-t-il déclaré.
“C’est pourquoi je m’inquiète qu’il y ait de nombreuses [other people’s]avec blessures qui vont prendre des mois avant d’être examinées. Si les prestataires ne savent pas ce qu’il faut rechercher, ces [others] n’obtiendront peut-être jamais de diagnostic.”
Malgré les différents traitements et le repos, M. Wallskog souffre de douleurs et d’engourdissements et est incapable de se tenir debout suffisamment longtemps pour effectuer une opération. Sa carrière s’est achevée au début de l’année 2021.
Regardez vous-même les données
Le Dr Wallskog a déclaré qu’il avait désormais honte de sa profession.
“J’ai l’impression d’avoir été désensibilisé… comme si j’étais sorti de la roue du hamster, que j’avais arrêté de boire le Kool-Aid et que j’avais commencé à poser des questions”, a-t-il déclaré. “J’ai commencé à chercher. J’ai commencé à parler aux gens.”
“Regardez vous-même les données”, a-t-il conseillé. “N’attendez rien des médias, qui déformeront chaque point de données.”Malgré ce que l’on nous dit depuis plus de deux ans, “la science est un processus dynamique”, a-t-il déclaré :
“La science n’est pas arrêtée. La science est un processus d’exploration, qui consiste à admettre que l’on a tort et à découvrir ce sur quoi on a raison. Vous avez des hypothèses, vous les testez … vous avancez. Et les gens doivent s’en rendre compte et ne pas nécessairement faire confiance à ces gens qui sont de soi-disant experts.
“Je suis ouvert pour apprendre et voir la vérité. S’il y a des choses [about] je me trompe , c’est bien, cela fait partie de la science.”
“Je suis si reconnaissante que vous disiez cela”, a déclaré Locricchio à Wallskog. “Parce que ça veut vraiment dire quelque chose… vous êtes citoyen, vous êtes un blessé, mais vous êtes aussi un médecin”.
Wallskog a maintenant pris les choses en main afin d’aider les autres. “Nous en avons assez d’attendre que les autres fassent ce qu’ils devraient faire”, a-t-il déclaré. “Nous allons juste le faire nous-mêmes.”
Il est maintenant coprésident, avec Brianne Dressen, de REACT19, un “organisme à but non lucratif fondé sur la science” qui offre un soutien financier, physique et émotionnel aux personnes souffrant d’effets indésirables à long terme du vaccin COVID-19.
Le site web de REACT19 indique :
“React19 travaille aussi bien avec les patients et les prestataires qu’avec les équipes de recherche. Nos programmes s’inscrivent tous dans nos 3 catégories d’assistance (financière, physique et émotionnelle).
“Les programmes comprennent le financement, la promotion et le partage de la recherche scientifique pertinente, la mise en relation des bonnes équipes médicales avec les patients, l’aide financière directe, la sensibilisation et le soutien des communautés où les personnes touchées peuvent commencer à guérir physiquement et émotionnellement.”
Le soutien financier est important, a déclaré le Dr Wallskog, mais la reconnaissance des blessures causées par les vaccins est tout aussi vitale.
Il s’est entretenu avec le Dr Peter Marks, directeur du Center for Biologics Evaluation and Research (Centre pour l’évaluation et la recherche biologique, CBER) de la Food and Drug Administration américaine. Selon Wallskog, “[Marks] a dit en privé, ‘Je reconnais ces blessures’, mais il ne les reconnaîtra pas publiquement “.
“Il s’agissait d’une citation sur vidéo”, a déclaré Wallskog. “Et j’ai dit, ‘bien, c’est dommage parce que reconnaitre [publiquement que ces blessures sont causées par les vaccins] est importante.'”
M. Wallskog ajoute:
“Si le CDC [Centers for Disease Control and Prevention], la FDA [Administration pour la nourriture et les médicaments], le NIH ([National Institutes of Health] et d’autres agences gouvernementales ne reconnaissent pas ces blessures, les conditions ne seront pas communiquées à la communauté des soins de santé. Si la communauté des soins de santé ne sait pas ce qu’il faut rechercher… lorsque ces personnes se présentent [to a doctor with symptoms], alors elles sont tout simplement dénigrées”, a-t-il déclaré.”
“Le fait d’admettre l’existence de ces blessures conduirait à l’élaboration de protocoles d’évaluation et de traitement pour ces personnes. C’est pourquoi c’est important… Et l’autre chose est de soutenir ces personnes. Et c’est ce que j’espère faire grâce à REACT”.
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Russell BLAYLOCK :
21 VÉRITÉS DÉRANGEANTES sur la PANDÉMIEUn éditorial publié dans la revue Surgical Neurology International, écrit par le Dr Russell Blaylock, aborde de manière opportune et percutante le scandale médico-politico-scientifique qui se cache derrière la pandémie de Covid-19.
Russell L. Blaylock (né le 15 novembre 1945) est un neurochirurgien américain à la retraite et un auteur. Il était professeur adjoint de neurochirurgie au centre médical de l’université du Mississippi. Il est l’auteur de plusieurs livres et articles, dont « Excitotoxines : Le goût qui tue » (1994), « Santé et nutrition : les secrets qui peuvent vous sauver la vie » (2002), et « Stratégies naturelles pour les patients atteints de cancer » (2003). Il rédige un bulletin mensuel, le Blaylock Wellness Report.
Les points les plus importants de l’article ont été résumés en espagnol par le Dr Karina Acevedo Whitehouse, qui a donné son avis sur l’ouvrage : « La vérité, comme l’eau des barrages, n’a besoin que d’atteindre le point où elle ne peut être contenue, et alors, elle déborde, atteignant des endroits insoupçonnés ».
Synthèse des principales affirmations de l’article :
1. La pandémie COVID-19 est l’un des événements les plus manipulés de l’histoire.
2. Comme jamais auparavant, il y a eu des intrusions dans la pratique médicale, et la censure des médecins qui osent entrer en dissidence.
3. Depuis la présidence, d’autres niveaux de gouvernement et l’administration des hôpitaux ont imposé des traitements et des pratiques médicales qui ne sont pas fondés sur des preuves scientifiques ou sur l’expérience médicale. Les administrateurs dictent désormais aux médecins la manière dont ils pratiquent la médecine et les médicaments qu’ils peuvent utiliser.
4. Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des protocoles ont été formulés sur la base des recommandations d’individus et d’institutions qui n’ont jamais traité un seul patient.
5. Les médias et les sociétés médicales se sont déclarés la seule source d’information valable concernant la pandémie et quiconque s’y oppose est soumis à la censure, à la suppression des comptes de plateforme et à l’étiquette de « menteur, désinformateur », même lorsqu’il s’agit de personnes ayant une expérience remarquable en virologie, immunologie, épidémiologie, etc.
6. Les revues scientifiques/médicales sont de plus en plus dépendantes des subventions des industries pharmaceutiques, ce qui élimine leur impartialité (indispensable à la démarche scientifique).
7. Il y a de plus en plus d’articles scientifiques qui parlent du COVID ou des vaccins avec un argument différent de l’argument officiel, mais ils sont retirés des revues après avoir été acceptés et publiés.
8. Il y a de plus en plus d’études scientifiques basées sur des données manipulées, falsifiées et inventées, écrites par des « fantômes » (c’est-à-dire des personnes qui écrivent au nom d’une entreprise pharmaceutique) pour promouvoir leurs produits, même dans des revues aussi prestigieuses que le JAMA (Magazine of American Medical Association) ou le New England Journal of Medicine, et qui n’ont pas été retirées malgré les preuves d’abus scientifique et de manipulation des données.
9. Des médias télévisés reçoivent la majorité de leur financement des entreprises pharmaceutiques, pour la publicité des médicaments. Cela crée un énorme conflit d’intérêts pour ce qui est de pouvoir s’exprimer de manière neutre ou contre les vaccins et autres traitements promus. Rien qu’en 2020, l’industrie pharmaceutique a dépensé 6 560 000 000 (6,56 milliards de dollars US) en publicités pour ses produits.
10. Aux États-Unis, la « loi fédérale sur les soins » a encouragé les fautes professionnelles en offrant à tous les hôpitaux du pays jusqu’à 12 000 dollars pour chaque patient admis en soins intensifs et 39 000 dollars pour chaque patient en soins intensifs sous respirateur, alors même que ce protocole était l’une des plus grandes causes de décès des patients du COVID.
11. Des milliers de médecins et d’infirmières ont été injustement licenciés pour avoir refusé de recevoir un vaccin alors qu’ils ont travaillé pendant près d’un an de pandémie, sans vaccins COVID-19, pour soigner les patients, et malgré le fait qu’il a déjà été démontré que les personnes vaccinées qui sont positives aux tests et présentent des symptômes cliniques légers, ont la même charge virale que les personnes positives non vaccinées présentant des signes cliniques légers.
12. Le CDC, qui n’a aucune autorité pour imposer des protocoles et des traitements, a ordonné aux hôpitaux de suivre des protocoles médicaux qui ont entraîné la mort de centaines de milliers de patients qui, au vu des preuves, se seraient probablement rétablis s’ils avaient reçu un traitement précoce avec des produits qui ont été diabolisés de manière injustifiée (ivermectine, hydroxychloroquine, et autres). En fait, on estime que sur les 800 000 personnes comptabilisées comme « morts du COVID-19 » (aux États-Unis), 640 000 se seraient rétablies et auraient retrouvé leur état de santé antérieur si d’autres protocoles avaient été appliqués.
13. Les mesures utilisées pour contenir la pandémie n’ont pas été couronnées de succès ; les preuves scientifiques disponibles à l’époque concernant la mise en place de mesures de confinement, l’utilisation de masques et la distance sociale, n’ont jamais démontré qu’elles empêchaient la transmission de virus de ce type.
14. Tout au long de la pandémie, et avant l’utilisation des vaccins COVID-19, les enfants n’ont jamais couru de risque réel (au-delà de quelques cas d’enfants prédisposés à l’inflammation systémique) de tomber malades du COVID-19 ou de transmettre le virus.
15. Pendant la pandémie, la logique, le raisonnement et le besoin de preuves scientifiques ont disparu : pour tous les autres médicaments et vaccins qui étaient en cours d’examen par la FDA, le décès de 50 personnes ou moins ayant utilisé ledit produit aurait justifié l’arrêt de l’utilisation et de la distribution du médicament, comme ce fut le cas pour le vaccin contre la grippe en 1976. Entre le 14 décembre 2020 et le 31 décembre 2021, plus de 18 000 décès ont été signalés dans le VAERS et 139 126 événements indésirables graves, mais il n’y a eu à ce jour aucune tentative d’arrêter ce programme de vaccination, ni aucun effort sérieux pour enquêter (par le gouvernement) sur les causes des décès et des maladies graves chez les personnes vaccinées.
16. Il y a de plus en plus de preuves, certaines publiées dans des revues indexées et d’autres non, des dangers de ces vaccins, qui n’ont été testés que pendant 2 mois avant d’être autorisés, et les résultats de ces tests de sécurité sont restés cachés jusqu’à récemment où ils commencent à sortir (après l’ordre de la Cour suprême de justice des États-Unis).
17. On a dit au public que l’ARNm des vaccins n’était pas distribué au-delà des ganglions lymphatiques proches du site d’inoculation, mais ce n’est que grâce à la ressource d’accès à l’information au Japon que le livre blanc de Pfizer montre que le vaccin est distribué dans tout le corps en moins de 48 heures, avec des concentrations élevées dans le cœur, le foie, la moelle osseuse, la rate et les ovaires.
18. On constate une augmentation inhabituelle des cas de cancers agressifs chez les personnes vaccinées, notamment des mélanomes, des cancers de l’utérus et du sein, ainsi que la réactivation de cancers déjà contrôlés. On dit à ces patients, sans preuve, et malgré cette tendance à l’augmentation du risque de développer plus de tumeurs, qu’ils ont besoin de plus de vaccins COVID-19 car ils sont plus sensibles.
19. Un expert en médecine materno-fœtale a montré que les vaccins COVID-19 – administrés pendant la grossesse – provoquent une incidence de fausses couches 50 fois plus élevée que celle rapportée avec tous les autres vaccins combinés, et que les malformations fœtales sont 144 fois plus fréquentes chez les personnes vaccinées avec ces vaccins qu’avec les autres, bien qu’ils continuent d’être déclarés sûrs par les académies et sociétés d’obstétrique et de gynécologie (qui reçoivent des financements de Pfizer et d’autres sociétés pharmaceutiques ; par exemple, l’American College of Obstetricians and Gynecologists a reçu, au cours du seul dernier trimestre 2010, 11 000 dollars de Pfizer, et le financement du NIH, qui est plus important, dépend du fait de ne pas critiquer les sociétés pharmaceutiques.
20. Tous les lots de vaccins n’ont pas la même létalité ou le même risque. Un lot sur 200 est manifestement mortel (50 fois plus) pour ceux qui le reçoivent. Il existe des preuves que cette disparité dans la létalité des lots n’est pas aléatoire, ce qui pourrait suggérer une intentionnalité (5% des lots sont responsables de plus de 90% des effets indésirables graves, ainsi que des décès).
21. Aucune autopsie n’est pratiquée sur les personnes décédées après avoir été vaccinées, ni sur celles décédées du COVID-19. À la fin du mois d’avril 2020, sur les 150 000 décès signalés comme « décès dus au COVID », seules 16 autopsies avaient été pratiquées, et parmi celles-ci, seules 7 étaient des autopsies complètes. La réticence à faire des autopsies ne venait pas des pathologistes, mais des autorités.
(Source)
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Les HÉPATITES AIGUËS des BÉBÉS
au ROYAUME-UNI :
PREMIER BOOMERANG
des VACCINS ANTI-COVID ?
par Michel de LorgerilJe vais faire vite ; je veux alerter ! Je ne suis sûr de rien !
Je suis prêt à me rétracter quand on en saura plus mais je suis très méfiant tant le niveau de désinformation a explosé dans les milieux médicaux (y compris dans les Agences sanitaires) ces dernières années.
Je ne suis pas virologue et je ne sais pas analyser la structure des gènes des virus.
Ces hépatites aiguës (destruction du tissu du foie par un processus inflammatoire d’apparence infectieuse) très inhabituelles chez les bébés et les petits ne surviennent pas qu’au Royaume-Uni mais surtout au Royaume-Uni.
C’est important car le Royaume-Uni est le pays du vaccin AstraZeneca à base d’adénovirus vivants « bricolés ». En un mot, on a beaucoup injecté (des millions de doses à répétition) ces adénovirus « expérimentaux ». Voyez la suite pour bien comprendre ce que je veux dire.
Ces hépatites des bébés sont très inhabituelles et ont alerté les autorités sanitaires !
On approche des 400 cas déclarés ; ce n’est plus anecdotique…
Très peu de cas en France pour le moment sans qu’on sache s’il s’agit d’une nouvelle défaillance de notre système sanitaire qui ne voit jamais rien [35 ans de Médiator sans qu’un universitaire s’étonne…].
Pour le moment, les autorités britanniques évoquent la possibilité d’une hépatite virale.
Le virus impliqué n’est pas habituel : ce serait un adénovirus !
Il y a beaucoup d’adénovirus « naturels » en circulation mais, habituellement, ils ne donnent pas des hépatites chez les bébés.
Certains évoquent un adénovirus muté !
Or, les adénovirus sauvages mutent peu (ou pas) par comparaison, par exemple, avec les coronavirus.
D’où l’idée saugrenue évoquée par certains qu’il y ait là, à nouveau, la main du virologue ! Ou du cancérologue ? Ou du vaccinologue ?
S’agit-il d’un mutant vaccinal ? Le même pour tous ?
Les autorités sanitaires britanniques jurent qu’il n’y a aucun rapport avec la vaccination antiCOVID. L’argument : les victimes n’avaient pas été vaccinés.
C’est eux qui l’ont dit les premiers : ils y pensent donc !
Moi aussi. Pourquoi ?
Parce que les vaccins AstraZeneca et américains J & J sont des adénovirus vivants mutés.
Les industriels jurent que leurs virus mutés n’y sont pour rien !
Certes ! Mais qui a muté une fois peut encore muter.
Avec les millions de doses d’adénovirus mutés vaccinaux injectés [expérience unique dans l’Histoire de la Médecine !], quelle est la probabilité qu’un nouvel adénovirus deux fois (au minimum) mutés apparaissent ? Et pourquoi pas plusieurs ?
Qu’on me comprenne bien : ce n’est pas le virus vaccinal qui serait en cause mais un nouveau virus dérivé d’un adénovirus vaccinal !
Il est presque certains que certains savent déjà ! Mais n’osent pas le dire.
Dit autrement, une hypothèse vraisemblable est qu’un (ou plusieurs) virus vaccinaux aient muté (par exemple via une recombinaison avec un autre virus) et aient acquis de nouvelles propriétés (théorie du « gain de fonction ») le (les) rendant plus dangereux pour des bébés dont le système immunitaire a été relativement peu stimulé depuis deux ans.
Je voudrais bien me tromper ! J’ai été mettre des cierges !
Il faudra de bons arguments venant de gens crédibles pour m’aider à rejeter cette hypothèse très inquiétante.
Merci de ne pas avoir lu ce que vous venez de lire !
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
« Nous VOYONS des ALTÉRATIONS du SANG
chez TOUS les VACCINÉS,
SANS AUCUNE EXCEPTION. »
https://gloria.tv/post/fQjh8UxyFtrh4MABqLBz2M49w
Une équipe internationale d'experts : Modification de l'hémogramme chez les personnes vaccinées contre le Covid
Le physicien et thérapeute allemand, Dr Klaus Retzlaff, est le porte-parole d’une équipe internationale d’experts qui examine les doses vaccinales et les dommages causés (par les vaccins). Les scientifiques qui ont mené l’expérience ont comparé les analyses de sang des sujets vaccinés avec celles des non-vaccinés. Le résultat époustouflant est le suivant : « Nous voyons des altérations du sang chez tous les vaccinés, sans aucune exception ». L’hémogramme montre encore des altérations longtemps après la vaccination. D’après lui, les différences sont si parlantes que le sang des deux groupes peut être distingué à 100 %. Il est donc évident que le sang est altéré par la vaccination. Comme ce n’est pas le but déclaré de l’injection, et comme les gens ne sont pas informés, le Dr Retzlaff pose la question de savoir s’il ne s’agit pas d’un délit. Regardez ses explications dans un entretien avec Elsa Mittmannsgruber.
Interview avec Dr Klaus Retzlaff :
Journaliste - Elsa Mittmannsgruber : A l’heure actuelle quels sont les projets dans votre groupe de chercheurs ? Quelles sont les autres études (planifiées) ?
Dr K. Retzlaff : Nous examinons aussi le sang avec des filets neuronaux artificiels. Cela veut dire qu’on soumet des photos du sang à l’intelligence artificielle des ordinateurs afin qu’elle distingue le sang des vaccinés de celui des non-vaccinés. Actuellement, nous avons des groupes de 14 et 16 sujets d’expérience, vaccinés et non-vaccinés, et c’est là que l’IA (intelligence artificielle) arrive à distinguer à 100 % le sang des vaccinés et celui des non-vaccinés, même si on admet que pour l’instant ce n’est qu’un tout petit groupe.
J’aimerais suggérer que d’autres groupes de chercheurs fassent aussi des études. Surtout, nous avons besoin de plus de patients qui participent à ces recherches – mais le fait que c’est possible (de faire la distinction) est déjà un problème en soi. Car cela veut dire que le sang, c’est-à-dire un liquide organique du corps, est de toute évidence altéré par les vaccins. Mais cela n’a jamais été un but. Il ne faut pas oublier que le sang s’est optimisé à travers des millions d’années. Si maintenant, tout à coup, des altérations peuvent être prouvées à l’aide d’instruments de mesures sophistiqués, la question d’un délit se pose.
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Une ÉTUDE ÉTABLIT un LIEN
entre l’AUGMENTATION
des MALADIES CARDIOVASCULAIRES URGENTES
et le DÉPLOIEMENT
du VACCIN contre le COVID-19Une nouvelle étude a trouvé une corrélation entre une augmentation des événements cardiovasculaires d’urgence chez les personnes de moins de 40 ans pendant le lancement du programme de vaccination israélien contre le COVID-19.
Publiés dans la revue Nature, les chercheurs ont utilisé les données des services médicaux d’urgence nationaux d’Israël entre 2019 et 2021 qui ont évalué les appels d’urgence, ou EMS, chez les personnes âgées de 16 à 39 ans à travers Israël « avec des facteurs potentiels, notamment l’infection par le COVID-19 et les taux de vaccination. »
Ils ont constaté qu’il y avait une augmentation de 25 % des appels EMS entre janvier 2021 et mai 2021, par rapport aux années 2019 et 2020. Israël, qui utilise principalement le vaccin à ARNm de Pfizer, a lancé son programme de vaccination contre le COVID-19 fin décembre 2020.
« Le nombre d’appels d’urgence hebdomadaires était significativement associé aux taux de 1re et 2e doses de vaccin administrées à ce groupe d’âge, mais pas aux taux d’infection par le COVID-19 », ont-ils constaté. « Bien qu’ils n’établissent pas de relations de cause à effet, ces résultats suscitent des inquiétudes quant aux effets secondaires cardiovasculaires graves non détectés induits par les vaccins et soulignent la relation de cause à effet déjà établie entre les vaccins et la myocardite, une cause fréquente d’arrêt cardiaque inattendu chez les jeunes individus. »
Ils recommandent que, lors de l’évaluation des effets secondaires possibles des vaccins et des résultats de l’étude sur le COVID-19, les responsables intègrent les données des EMS et les données pertinentes afin d’identifier les nouvelles tendances sanitaires potentielles, telles qu’une augmentation des appels aux EMS, et « recherchent rapidement les causes sous-jacentes potentielles. »
Une étude récente menée par des chercheurs suédois sur des populations de Finlande, du Danemark, de Suède et de Norvège a suggéré que les inflammations cardiaques nécessitant des soins hospitaliers étaient plus fréquentes chez les personnes ayant reçu les vaccins contre le COVID-19 que chez celles qui ne les avaient pas reçus.
« Ces cas supplémentaires chez les hommes âgés de 16 à 24 ans correspondent à un risque 5 fois plus élevé après Comirnaty et 15 fois plus élevé après Spikevax par rapport aux personnes non vaccinées », a déclaré la semaine dernière à The Epoch Times le Dr Rickard Ljung, professeur et médecin à l’Agence suédoise des produits médicaux qui a participé à l’étude. Spikevax est le nom du vaccin contre le COVID-19 de Moderna, tandis que Comirnaty est le vaccin de Pfizer.
Son équipe a constaté que les taux de myocardite ou de péricardite sont plus élevés que ceux d’une cohorte non vaccinée, soit 38 pour 100 000 après l’administration des secondes doses des vaccins à ARNm.
L’équipe de recherche israélienne a déclaré dans son étude, publiée le 28 avril, qu’elle estime que « les avantages de la vaccination contre le COVID-19 sont clairs, en particulier pour les populations présentant un risque élevé de développer une maladie grave et potentiellement mortelle », comme les personnes âgées ou les personnes immunodéprimées. Cependant, ils ont noté qu’ »il est important de mieux comprendre les risques potentiels afin de minimiser les dommages potentiels ».
En menant leurs recherches, les scientifiques israéliens ont relevé plusieurs failles potentielles, notamment un « biais d’autodéclaration » lorsque les personnes signalent leurs symptômes par le biais de systèmes de déclaration, y compris le système VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) géré par le gouvernement fédéral américain, y compris une « sous-déclaration et une surdéclaration » des symptômes liés aux vaccins.
« Même l’étude israélienne, qui repose sur une collecte de données plus proactive, mentionne que certains des cas potentiellement pertinents n’ont pas fait l’objet d’une enquête complète », ont-ils ajouté.
Un deuxième problème auquel les chercheurs se sont heurtés est la façon dont les symptômes de la myocardite, un type d’inflammation cardiaque, se présentent.
« La myocardite est une maladie particulièrement insidieuse avec de multiples manifestations rapportées », ont-ils noté. « Il existe une vaste littérature qui met en évidence les cas asymptomatiques de myocardite, qui sont souvent sous-diagnostiqués. »
Parallèlement, « les lésions myocardiques et la myocardite [sont] prévalentes chez les patients infectés par le COVID-19 », et pas seulement chez ceux qui ont reçu le vaccin, ont-ils précisé.
« Étant donné que le lancement du vaccin contre le COVID-19 a souvent lieu dans un contexte d’infections communautaires par le COVID-19, il pourrait être difficile de déterminer si l’augmentation de l’incidence de la myocardite et des affections cardiovasculaires connexes … est due aux infections par le COVID-19 ou induite par les vaccins contre le COVID-19 « , a-t-il ajouté.
Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et la plupart des agences sanitaires du monde entier ont déclaré que les avantages des vaccins COVID-19 l’emportaient sur les risques potentiels. Sur son site Internet, les CDC indiquent que la plupart des patients ayant développé une myocardite ou une péricardite et ayant reçu des soins médicaux ont bien répondu au traitement.
Les symptômes comprennent des douleurs thoraciques, un essoufflement et une sensation de battement rapide ou de palpitation du cœur.
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- Un ministre peut ouvertement mentir pour escroquer le consentement à la vaccination covid 19 ? Même Pfizer reconnait officiellement des effets secondaires y compris mortels, pas Aurélien Rousseau ! – par Patrice Gibertie
2- Effets secondaires des vaccins Covid-19 : derrière les chiffres, des vies brisées (Communiqué du 4 octobre 2023)
3- Pompiers : appel à témoignages suite aux effets secondaires – par Léo Kersauzie
4- Pompiers professionnels et volontaires en activité, décédés depuis 2021, date de l’ouverture de la vaccination contre le COVID en France
5- Au Kenya, on signale une nouvelle maladie mystérieuse qui paralyse les jambes, suite à la vaxx-covid
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 5027 à 5035
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Le SCANDALE du RIVOTRIL
https://gloria.tv/post/cPjqnLTpPNt32z6tFNf3zhxJY« L’état de crise permanent » que nous vivons depuis 2 ans, a jusqu’ici permis au pouvoir en place de continuer son rouleau compresseur sans permettre à quiconque de dresser un bilan.
Nous avons détaillé beaucoup de points sur cette chaîne au fur et à mesure des remontées de données. Parmi tous les éléments utilisés depuis 2 ans pour entretenir la psychose, le scandale du Rivotril est unique en son genre.
Il ne s’agit pas d’une arnaque de comptage comme nous avons pu le voir sur les tests ou la surdéclaration dans les hôpitaux, mais bien de personnes qui sont décédées parce qu’on leur a injectée cette substance, sous prétexte d’une suspicion d’infection au Coco. Il y a donc une vraie hausse artificielle de mortalité, qui a pu être déclarée très commodément « causée » par la maladie.
(Source)
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