Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- Où sont mes règles ? Un court documentaire
2- Les documents confidentiels de Pfizer confirment qu’ils savent depuis longtemps (début 2021) que leur poison déclenche des myocardites ! présenté lors de son audition le 04 avril 2022 par Christine Cotton – par Patrice Gibertie
3- « Les vaccins à ARNm ne sont ni sûrs ni efficaces, mais carrément dangereux »
4- Pfizer a-t-il menti sur les résultats d'une étude évaluant les effets secondaires de son vaccin ARNm?
5- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4586 à 4594
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Le VACCIN contre la COVID-19
PROVOQUE-t-il DAVANTAGE
de MORT SUBITE de l’ADULTE ?
par la Fondation HippocratePrimum non nocereChers lecteurs,(Source)
Le terme mort subite de l’adulte n’envahit pas les articles de presse francophones. Pourtant ce phénomène a augmenté et se trouve désormais souvent commenté dans la presse anglophone au point que certains y voient une manière de cacher un des effets secondaires potentiel des grandes campagnes de vaccination à ARN1.
En soi, le syndrome mort subite de l’adulte n’est pas nouveau même s’il est moins connu que celui qui touche le nourrisson. Il désigne une mort naturelle qui ne pouvait pas être prévue la journée précédente. Ce syndrome peut être lié une rupture d’anévrysme, un infarctus ou un AVC. Il peut être également lié à une myocardite non diagnostiquée ou un à un problème électrique au niveau du cœur. Cette déficience peut être provoquée par une inflammation2.
Une myocardite est une inflammation du myocarde, le tissu musculaire du cœur. Elle est provoquée par une infection virale, une réaction toxique à un médicament ou à une drogue3.
Le syndrome de la mort subite chez l’adulte est étudié depuis les années 70. Jusqu’en 2021, c’était un phénomène rare, qui malgré tout, représentait 10 à 20% des décès chez les jeunes adultes. Depuis 2021, ce syndrome a sensiblement augmenté. Pour de nombreux scientifiques indépendants, ce phénomène pourrait être lié à la vaccination de masse4.
Il existe différents indices allant dans ce sens. Mais ils sont encore très débattus par les scientifiques. Le sujet est délicat et très politique. Il faut donc être prudent. En revanche, il ne serait pas honnête de ne pas parler des doutes qui existent sur le terrain.
Israël, des données qui interrogent
Dans la course à la vaccination, le peloton de tête était constitué d’Israël, des Maldives et des Seychelles. Ces pays ont, avant les autres, fait vacciner la grande majorité de leurs populations adulte, adolescente et infantile. En Israël, la campagne de vaccination pour la 3ème dose est déjà achevée, celle pour la 4ème dose est en cours.
Pourtant, ce pays est aussi celui où le nombre de personnes qui décèdent de la Covid-19 chaque jour est le plus élevé. En juillet 2022, ce pays a compté 80 décès par jour, ce qui ramené à la population française ferait 600 décès par jour. Ces chiffres confirment les limites de la stratégie 100% vaccinale, ce dont beaucoup d’experts se doutaient déjà5.
Toutefois, ce n’est pas le plus grave. Si ces vaccins ARN étaient inoffensifs, on pourrait simplement considérer que la stratégie du tout vaccinal face à un virus qui mute régulièrement n’est juste pas la plus adaptée. Mais, plusieurs études sont venues semer le doute sur l’innocuité des injections ARN.
Dans une publication du 22 avril 2022, les scientifiques passent en revue des données concernant la population entre 16 et 40 ans. Ils se sont appuyés sur les appels téléphoniques d’urgence enregistrés par le système de santé. Ils ont comparé les chiffres de 2019, 2020 et 2021. Ils ont spécifiquement étudié les appels liés aux arrêts cardiaques et ceux liés au syndrome coronarien aigu, aussi appelé angine de poitrine6.
Les auteurs de l’étude n‘ont pas constaté de changement entre 2019 et 2020. Pourtant, 2020 est l’année du pic de la Covid-19. L’évolution des chiffres est intervenue début 2021. Les chercheurs notent qu’entre janvier et mai 2021, il y a eu une augmentation drastique des appels liés aux arrêts cardiaques et aux syndromes coronariens aigus.
Entre janvier et mai 2021, chez les personnes de 16 à 40 ans :
– les appels liés aux arrêt cardiaques ont augmenté de 25% chez les hommes et de 31% chez les femmes ;
– les appels liés aux syndrome coronariens aigus ont quant à eux augmenté de 21% chez les hommes et de 40% chez les femmes.
L’étude rappelle que ces deux pathologies sont responsables de plus de 10% des morts subites chez les jeunes adultes mais n’avance pas de chiffre précis sur la mortalité potentielle liée aux vaccins ARN chez les moins de 40 ans.
Les conclusions de cette étude s’ajoutent à celles tout à fait officielles du ministère de la Santé israélien qui, dans une autre étude, estime qu’il existe un lien entre la 2e dose des injections ARN et un risque accru de myocardite chez les personnes entre 16 et 30 ans7.
Toujours en Israël, une enquête du ministère de la Santé réalisée auprès de 2000 Israéliens vaccinés, pris au hasard, constate que 51% des femmes et 35% des hommes ayant eu des effets secondaires ont du mal à mener leurs activités quotidiennes. En outre, 4,5% des personnes vaccinées auraient subi des effets secondaires neurologiques.
Les données s’accumulent en Israël. Elles montrent que la vaccination a causé de nombreux effets secondaires graves au sein de la population, notamment chez les plus jeunes. Mais pour l’instant personne ne revient sur la stratégie du tout vaccinal. Comment admettre une telle erreur, quand les décisions ont été poussées aussi loin ?
Inquiétude chez les sportifs
La polémique autour du joueur de tennis serbe, Novak Djokovic, ayant refusé la vaccination ARN contre la Covid a fait couler beaucoup d’encre notamment en Australie où il n’a pas obtenu de visa pour jouer l’un des tournois du Grand Chelem les plus prestigieux de l’année. Ce joueur était alors numéro 1 mondial, favori pour remporter l’Open d’Australie ce qui aurait permis de battre le record de Grand Chelem détenu par un joueur de tennis à ce moment-là. En effet, il en avait gagné 20, Rafael Nadal, 20 également et Roger Federer 20 aussi. Mais Novak Djokovic a refusé le vaccin ARN, donc il n’a pas concouru et Rafael Nadal a gagné, passant devant lui. La place de meilleur joueur de tous les temps au tennis s’est jouée sur le choix de faire ou non un vaccin. Ce choix le prive également de la possibilité de jouer à l’US Open, un autres des quatre grands tournois de l’année et peut-être la dernière occasion pour lui d’essayer de rattraper son concurrent. Novak Djokovic a refusé la gloire éternelle au nom de ses convictions et surtout de sa santé8.
Au regard des chiffres publiés sur le syndrome de mort soudaine de l’adulte chez les sportifs, les inquiétudes du sportif par rapport au vaccin ne semblent pas avoir été exagérées. Ainsi, le Comité international olympique lui-même a constaté une augmentation conséquente des morts subites chez les athlètes en 2021. Historiquement, la mort subite chez les athlètes était de 1 sur 40 000 à 1 sur 80 000, ce qui est déjà assez élevé, et s’explique par le fait qu’ils mettent leur corps à rude épreuve.
Selon le comité, entre 1966 et 2004, il y a eu 1101 décès chez les sportifs de moins de 35 ans, soit une moyenne annuelle de 29 décès. Mais entre mars 2021 et mars 2022, on compte déjà 769 athlètes ayant eu un problème cardiaque grave ou mortel. Il y aurait eu 1090 arrêts cardiaques en tout pour 715 décès chez les athlètes olympiques[8]. De même, l’UEFA a noté le décès de 21 joueurs de football professionnels en 2021 par mort subite contre 5 habituellement, soit une augmentation de 420% du nombre de morts[1],9,10.
Ces chiffres ont suscité des polémiques médiatiques importantes. Reuters et l’AFP ont critiqué la journaliste israélienne ayant révélé cette information dans le journal Real Times News11,12. Toutefois, il est également possible que Reuters et l’AFP ait été missionnés par le gouvernement américain pour soutenir la campagne de vaccination ARN, ce qui rend leur prises de positions moins crédibles13.
Le témoignage des compagnies d’assurance-vie américaine
Pierre Korry, pneumologue américain reconnu, rapporte sur son blog les propos du patron de One America, une compagnie d’assurance-vie au chiffre d’affaires de 100 milliards d’euros. Ce dernier a affirmé que les taux de mortalité lors des premiers mois de 2021 chez les 18-64 ans étaient jusqu’à 40% plus élevés que ce qu’ils étaient avant la pandémie. Il a estimé qu’on n’avait jamais vu une telle augmentation de la mortalité dans ce groupe d’âge qui, par ailleurs, constitue les forces vives du pays, ceux qui travaillent et qui permettent à la société de tenir[10].
Pierre Korry cite également Edward Dowd, un analyste financier de haut vol, ancien directeur général chez Blackrock qui constate également une hausse sans précédent de la mortalité aux États-Unis, du point de vue du secteur des assurances-vie. Ainsi, la mortalité a augmenté de 57% pour Lincoln National, 41% pour Prudential, 32% pour Hartford, 24% pour MetLife et 21% pour RGA[10].
Pour ces entreprises, cette augmentation du nombre de décès et donc de personnes à indemniser constitue un enjeu important. Leurs cadres et dirigeants demeurent consternés par l’ampleur du phénomène et le coût que cela représente pour le secteur.
Les militaires américains ne sont pas sereins
Toujours aux États-Unis, une polémique a éclaté lorsque différents sites Internet ont publié des chiffres inquiétants sur les effets secondaires subis par les soldats à l’issue de la campagne de vaccination contre la Covid-19. La plupart de ces articles et de ces discussions ont disparu d’Internet. Étaient mentionnés des problèmes de santé tels que l’infertilité chez les femmes, des problèmes neurologiques, des cancers en augmentation et des morts subites de l’adulte14,15.
L’un des médecins qui soutenaient les témoignages de militaires et la parution sur Internet des chiffres controversés s’appelle le Dr Robert Malone. Il a été directement impliqué dans la fabrication des vaccins.
Mais constatant des signaux inquiétants sur le terrain, il est allé consulter la base de données des militaires. Il a constaté une augmentation des morts subites qui correspondaient aux informations sur le terrain. Et il en a alors informé l’opinion publique.
Dans un premier temps l’armée a confirmé l’existence de ces bases de données. Elle n’a pas non plus remis en cause les chiffres actuels. En revanche, elle a procédé à une réévaluation de ses données entre 2016 et 2020. Elle a considéré que les estimations du passé étaient fausses et qu’il fallait les oublier. Elle a publié de nouvelles données montrant qu’il n’y a pas d’évolution inquiétante du nombre de morts subites dans l’armée américaine. Depuis cette polémique, le Dr Robert Malone est présenté comme un complotiste irresponsable qui diffuse régulièrement de fausses informations sur la pandémie. Il a été expulsé de Twitter16.
La plupart des articles et des données concernant l’armée américaine ne sont plus accessibles sur Internet. L’armée américaine a publié une réponse officielle avec des données réévaluées. L’institution y explique qu’elle travaille de manière étroite avec le CDC, le centre américain des maladies infectieuses. Sur ce sujet, le débat aux États-Unis est clos17.
Et en Europe ?
La notion de mort subite de l’adulte est très peu reprise par les médias européens. Cette réalité semble inexistante. En revanche, le lien entre l’augmentation des myocardites et la vaccination contre la Covid-19 est officiellement établi. En France, une étude financée par l’ANSM et l’assurance maladie le dit en ces termes18 :
« Le risque de myocardite et de péricardite est augmenté au cours de la première semaine suivant l’administration des deux vaccins chez les hommes et les femmes. Le risque de myocardite est le plus marqué après la deuxième dose de mRNA-1273, (…) parmi les hommes et les femmes âgés de 18 à 24 ans. »
Le risque serait plus élevé chez les hommes que chez les femmes. Il aurait été de 5 pour 100 000 pour la deuxième dose. Toutes les myocardites n’ont pas mené à la mort des patients. En revanche, on sait que les myocardites diagnostiquées ou non sont une des causes principales des morts subites chez les adultes.
La population de moins de 50 ans massivement vaccinée a donc probablement été fragilisée par ces injections à ARN expérimentales. S’il est aujourd’hui difficile d’établir un lien direct entre la vaccination et les morts subites des adultes, le doute persiste.
On peut se demander si le vaccin ARN n’a pas eu une incidence sur les faits divers suivants :
– La nageuse professionnelle de 24 ans manque de mourir après avoir eu un malaise dans la piscine où elle venait de plonger19.
– Le chauffeur de car qui meurt subitement, laissant son véhicule s’encastrer dans un bâtiment au milieu de Paris20.
– Le conducteur lyonnais de 51 ans qui a eu un accident, juste après un arrêt cardiaque ele 30 juin dernier21.
On ne connaît pas leur statut vaccinal. C’était peut-être simplement le hasard.
Néanmoins, vu les chiffres et les études sur les effets secondaires des vaccins ARN, je me pose désormais la question lorsque ce type de fait divers survient : cette personne était-elle vaccinée ? Est-ce que cela a joué dans son état de santé ?
Il est temps de changer de stratégie contre la Covid-19 et ses très nombreux variants.
Affaire à suivre…
Jérôme
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
DÉCÈS
du PREMIER MÉDECIN ITALIEN
à s'ÊTRE FAIT PIQUER
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Le BILAN PROVISOIRE
des "VACCINS" ANTI-COVID
est TERRIFIANTEn se référant aux données officielles du gouvernement américain, Expose-News.com (28 août) montre les effets délétères des injections de Covid. Des documents confidentiels de Pfizer montrent que les gouvernements savaient que cela se produirait (détails en anglais ici).
• Il y a un excès de décès dans le monde entier par rapport à la moyenne attendue sur cinq ans.
• 1 inoculé sur 73 était mort en mai 2022.
• Les injections sont 75 fois plus mortelles que tous les autres vaccins combinés.
• Les taux de mortalité pour 100 000 sont les plus bas parmi les personnes n'ayant pas reçu d'injection.
• Il faut cinq mois pour que le taux de mortalité élevé chez les inoculés se produise.
• Les "vaccins" affaiblissent le système immunitaire.
• Plus de 9 décès sur 10 dus au Covid en 2022 ont eu lieu parmi les inoculés.
• Les taux de natalité sont en baisse.
• Les "vaccins" augmentent le risque de fausse couche d'au moins 1 517 %.
• Les "vaccins" augmentent le risque de développer un cancer.
• Les documents de Pfizer révèlent que les "vaccins" s'accumulent dans toutes les parties du corps, y compris les ovaires, où les cas de cancer n'ont jamais été aussi nombreux.
• Ils contiennent aussi des preuves de maladies auto-immunes.
• Des dizaines de milliers d'événements indésirables signalés et des milliers de décès ont eu lieu au cours des 90 premiers jours du déploiement du "vaccin" contre le Covid 19.
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
CYCLISTES :
HÉCATOMBES chez les COUREURSVIDÉO ici : https://gloria.tv/post/r1fPDTrkLmrh2dbeRQ2T3hPjy
Julien Devilleger, cardiologue réagit à l'hécatombe constatée chez les coureurs cyclistes depuis le début de la saison. Depuis le début de la saison 2022, de nombreux cyclistes français et étrangers ont dit leurs déceptions et leurs inquiétudes quand à leur état de santé. Abandons en masse, lors du Tour de France, lors du Grand Prix de l'Escaut en avril...
Sources : Tour de France : «Impossible de respirer»... Victor Lafay explique son abandon
Citizen-Light : La source c'est vous !
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Vaccins Covid: le ministre allemand de la santé admet des dégâts «consternants»
Coup de théâtre sur la chaîne publique allemande ZDF le 12 mars: dans l’émission Heute Journal, le ministre de la santé Karl Lauterbach, autrefois partisan de la vaccination obligatoire, a reconnu des dommages causés par des injections covid, tout en minimisant leur nombre. Il a qualifié d’«absolument consternant» le destin des victimes.
https://www.covidhub.ch/ministre-allemand-degats-consternants/
Coup de théâtre sur la chaîne publique allemande ZDF le 12 mars: dans l’émission Heute Journal, le ministre de la santé Karl Lauterbach, autrefois partisan de la vaccination obligatoire, a reconnu des dommages causés par des injections covid, tout en minimisant leur nombre. Il a qualifié d’«absolument consternant» le destin des victimes.
https://www.covidhub.ch/ministre-allemand-degats-consternants/
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- Vaccins ARNm : Vivre avec une épée de Damoclès – par Christophe Lemardelé
2- Action à Thionville pour expliquer que des gens meurent du “vaccin” contre le Covid – par Pierre-Alain Depauw
3- Le vaccin Pfizer est contaminé et le poison traverse le placenta ! Que fait l’ADN dans une nanoparticule de vaccin ? Risques de cancers accru ! – par Patrice Gibertie
4- Le génocide du Covid-19 appelle à la création d’une Cour mondiale indépendante
5- « Tout simplement obscène » : La FDA approuve la quatrième injection contre la COVID pour les nourrissons et les enfants de moins de 5 ans
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4595 à 4603
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Le Dr Jonathan Engler et le Dr Clare Craig, coprésidents de HART (Health Advisory & Recovery Team), http://www.hartgroup.org, ainsi que quelque 70 médecins et scientifiques de HART, ont écrit au Dr Jenny Harries, directrice générale de l’UKHSA, pour l’exhorter à prendre les preuves cumulatives et inquiétantes de la myocardite post-vaccinale avec le sérieux qu’elles méritent. Nous publions ci-dessous la lettre, qui explique en détail comment les autorités médicales britanniques ont dangereusement minimisé les effets indésirables de la myocardite, donne des preuves actualisées de sa gravité et de ses effets cumulatifs, et décrit les actions que le gouvernement doit immédiatement entreprendre.* * *Dre Jenny Harries.
Directrice générale, UKHSA
Copies : Dr Andrew Goddard : RCP, Dame Clare Gerada : RCGP, Professeur Kevin Fenton : FPH,
Dr Jim McManus : ADPH, Dr Camilla Kingdon : RCPCH, Dr Tim Cooksley : Society for Acute Medicine, Dr John Greenwood : British Cardiovascular Soc, Dame Helen Stokes-Lampard : AoMRC
Chère Dre Harries,
Objet : Myocardite associée au vaccin Covid-19 – un risque cumulatif
Nous, soussignés, vous écrivons pour vous faire part de notre profonde inquiétude quant aux recommandations concernant la poursuite de la vaccination par ARNm après tout épisode de myocardite, telles qu’elles sont détaillées dans le guide de l’UKHSA destiné aux professionnels de santé.
La gravité de la myocardite a été minimisée :
La majorité des patients atteints de myocardite associée à un vaccin présentent des douleurs thoraciques. Cela peut être mal interprété, par le patient ou le médecin, comme une douleur musculo-squelettique, qui est un effet secondaire non grave reconnu de ces produits, et une pathologie cardiaque pourrait être manquée. Tout patient présentant une douleur thoracique doit être immédiatement examiné à l’hôpital car il peut mettre sa vie en danger.
Pendant la « pandémie de Covid », toute personne admise à l’hôpital avec un résultat de test positif était considérée comme ayant une Covid-19 sévère. Dans le cas de la myocardite, tout patient présentant des symptômes cardiaques doit faire l’objet d’une évaluation à l’hôpital, y compris des ECG, des taux de troponine sanguine et des échocardiogrammes. Cette maladie ne correspond donc pas à la définition d’une maladie bénigne. Une revue récente du BMJ cite « La plupart des personnes ont été admises à l’hôpital (≥84%) pour une courte durée (deux à quatre jours). La revue cite également « des anomalies persistantes à l’échocardiogramme, ainsi que des symptômes continus ou un besoin de traitements médicamenteux ou de restriction d’activités chez plus de 50% des patients ». Lorsque des IRM cardiaques ont été réalisées, 89% des patients ont présenté un rehaussement tardif au gadolinium (LGE), connu pour être un facteur prédictif de mauvais pronostic. L’inflammation du cœur peut entraîner une fibrose et d’autres complications telles que des arythmies et la mort. Si elle n’est pas diagnostiquée et donc non traitée, il existe également un risque réel de dysfonctionnement silencieux du ventricule gauche. La myocardite doit être considérée comme loin d’être une maladie bénigne.
Le pronostic à long terme de la myocardite post-vaccinale est également incertain, mais les premières études de suivi chez les enfants ont montré que deux tiers d’entre eux présentaient des changements persistants sur les scanners IRM cardiaques 3 à 8 mois plus tard, malgré une amélioration clinique. Un rapport détaillé du comité consultatif de la FDA américaine datant de la fin de l’année 2021 a montré que 40% des adolescents affectés étaient toujours symptomatiques après 3 mois de suivi et que 50% d’entre eux restreignaient toujours leur activité physique. La myocardite virale peut avoir de graves conséquences tardives, avec une mortalité à six ans d’environ 20%. En l’absence d’un suivi à long terme approprié, il est imprudent de supposer que la myocardite associée au vaccin a une issue moins grave.
Il est donc inquiétant que les directives de l’UKHSA contiennent des conseils tels que :
– Nous considérons qu’une évaluation en face à face est essentielle et nous pensons que l’expression « lorsque cela est approprié » est mal placée. Si les patients présentent des symptômes légers, ils n’ont pas besoin d’être orientés vers les soins secondaires à ce stade « Encore une fois, tout patient souffrant de douleurs thoraciques ou de palpitations devrait subir un ECG urgent et recevoir du sang pour les troponines cardiaques. Le terme de myocardite légère fait référence à des symptômes qui se résorbent et ne peut donc être considéré que comme un diagnostic rétrospectif. »
– Il est impossible d’étayer l’affirmation selon laquelle « la majorité des cas semblent être légers et se résorber d’eux-mêmes », tout en reconnaissant qu’« aucune donnée de suivi à long terme n’est encore disponible pour les patients hospitalisés ».
L’incidence de la myocardite a été sous-estimée : Le risque de myocardite associé au vaccin varie considérablement, l’âge jeune et le sexe masculin étant les deux principaux facteurs de risque, et la grande majorité des études ont montré un risque plus élevé après une deuxième dose. À Hong Kong, où des informations spécifiques sur la myocardite sont données à tous les vaccinés, un garçon adolescent sur 2 680 a développé une myocardite après sa deuxième dose de Pfizer. On estime qu’un changement de politique en faveur d’une dose unique pour ce groupe d’âge a permis d’éviter plusieurs cas. Chez les garçons âgés de 12 à 17 ans, la myocardite post-vaccinale dépasse les taux d’hospitalisation pour le Covid-19 lui-même. Il est également inquiétant qu’il n’y ait pas eu de tentative sérieuse d’étude prospective de l’incidence de la myocardite. Une étude de l’armée américaine a révélé que la myocardite après la vaccination antivariolique était 200 fois plus élevée que les taux de base lorsqu’on utilisait des fiches d’agenda, alors qu’elle était 7,5 fois plus élevée lorsqu’on utilisait l’autodéclaration de routine. Les tests sanguins effectués après la vaccination ont permis d’identifier des cas asymptomatiques dont le taux était encore 6 fois plus élevé. Une petite étude prospective menée en Thaïlande auprès d’élèves du secondaire, à l’aide de cartes d’agenda et de troponines sanguines au troisième et au septième jour, a révélé que 29% d’entre eux présentaient un symptôme cardiaque potentiel et 18% des ECG anormaux. Il ne s’agit que d’une préimpression, mais elle doit être reproduite.
Risque cumulatif :
Dans la plupart des séries, la myocardite est survenue après la deuxième dose. Pourtant, les directives du gouvernement suggèrent que les patients qui ont souffert d’une myocardite après une première vaccination peuvent tout de même subir d’autres vaccinations :
S’il n’y a pas de preuve d’une myocardite en cours, on peut leur proposer une vaccination avec le vaccin Pfizer (Cominarty) à partir de 12 semaines après leur dernière dose si d’autres doses sont nécessaires. S’il y a des preuves d’effets continus de myocardite aiguë ou subaiguë, une évaluation individuelle des risques et des avantages doit être entreprise ».
Aucun des essais vaccinaux n’a inclus des patients ayant des antécédents de myocardite et nous n’avons connaissance d’aucune donnée permettant d’étayer ce conseil. L’administration d’un vaccin Covid-19 à une personne ayant des antécédents de myocardite, quelle qu’en soit la cause, nécessiterait une évaluation approfondie et une discussion individuelle des avantages et des risques. Tout épisode de myocardite post-vaccinale doit être considéré comme une contre-indication absolue à l’administration de toute autre dose, car le risque de cette affection cardiaque grave est connu pour augmenter après la deuxième dose. L’UKHSA a reconnu l’absence totale de suivi à long terme après une myocardite associée à un vaccin. La poursuite de la politique décrite ci-dessus est donc imprudente.
Actions requises :
– Nous vous demandons de mettre à jour de toute urgence les conseils afin de garantir que tous les patients présentant des symptômes pertinents soient vus en personne et reçoivent au minimum un ECG et des troponines cardiaques, puis un échocardiogramme et une IRM cardiaque si les examens initiaux confirment le diagnostic de myocardite.
– Nous vous demandons également de reconnaître que la myocardite est une affection cardiaque potentiellement grave et de ne pas la qualifier de maladie bénigne. Ce terme est trompeur car nous ne disposons pas de données de sécurité à long terme pour justifier l’utilisation du terme « bénin ». La myocardite s’est sans aucun doute avérée fatale pour certains.
– Le guide devrait également être corrigé pour indiquer qu’un diagnostic de myocardite associée à un vaccin devrait constituer une contre-indication absolue à l’administration de nouvelles doses.
– Ces changements devraient être notifiés à tous les médecins généralistes, centres de vaccination et services de médecine d’urgence.
Nous attendons une réponse rapide.
Cette lettre sera publiée ouvertement, et nous espérons qu’elle sera largement partagée, ainsi que toute réponse.
Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.
* * *
Dr Jonathan Engler, MBChB, LlB (Hons), DipPharmMed et Dr Clare Craig, BMBCh, FRCPath
Co-présidents de HART (Health Advisory & Recovery Team, http://www.hartgroup.org)
Signataires de HART :
Dr Mark A Bell, MBChB, MRCP (UK), FRCEM, consultant en médecine d’urgence.
Dr Michael D Bell, MBChB, MRCGP, médecin généraliste à la retraite
Dr Alan Black, MBBS, MSc, DipPharmMed, médecin en pharmacie à la retraite
Dr Emma Brierly, MBBS, MRCGP, médecin généraliste
Dr Elizabeth Burton, MB ChB, médecin généraliste à la retraite
Dr David Cartland, MBChB, BMedSci, médecin généraliste
Dr Peter Chan, BM, MRCS, MRCGP, NLP, médecin généraliste, médecine fonctionnelle
Michael Cockayne, MSc, PGDip, SCPHNOH, BA, RN, Praticien de la santé au travail
James Cook, infirmier diplômé du NHS, titulaire d’une licence en soins infirmiers (avec mention) et d’une maîtrise en santé publique
Dr David Critchley, BSc (Hons), PhD, pharmacologue clinique
Dr Elizabeth Evans, MA (Cantab), MBBS, DRCOG, médecin à la retraite, directrice de l’UKMFA.
Dr Ali Haggett, travail communautaire dans le domaine de la santé mentale, 3e secteur, ancien maître de conférences en histoire de la médecine.
M. Anthony Hinton, MBChB, FRCS, Consultant en chirurgie ORL, Londres
Dr Keith Johnson, BA, DPhil (Oxon), consultant IP pour les tests de diagnostic
Dr Rosamond Jones, MBBS, MD, FRCPCH, pédiatre consultant à la retraite, responsable du CCVAC
Dr Tanya Klymenko, PhD, FHEA, FIBMS, maître de conférence en sciences biomédicales
Dr Branko Latinkic, BSc, PhD, Biologiste moléculaire
Dr John Flack, BPharm, PhD, Directeur retraité de l’évaluation de la sécurité chez Beecham Pharmaceuticals, Vice-président senior retraité pour la découverte de médicaments SmithKline Beecham.
Dr Ayiesha Malik, MBChB, médecin généraliste
M. Ian McDermott, MBBS, MS, FRCS(Tr&Orth), FFSEM(UK), consultant en chirurgie orthopédique
Dr Franziska Meuschel, MD, ND, PhD, LFHom, BSEM, médecine nutritionnelle, environnementale et intégrée
Dr Alan Mordue, MBChB, FFPH. Consultant retraité en médecine de santé publique et épidémiologie.
Dr Rachel Nicholl, PhD, chercheuse médicale
Révérend Dr William J U Philip MB ChB, MRCP, BD, ministre principal de la Tron Church, Glasgow, ancien médecin spécialisé en cardiologie.
Dr Jon Rogers, MB ChB (Bristol), médecin généraliste à la retraite
M. James Royle, MBChB, FRCS, MMedEd, chirurgien colorectal
Dr Roland Salmon, MB BS, MRCGP, FFPH, ancien directeur du Centre de surveillance des maladies transmissibles du Pays de Galles
Natalie Stephenson, BSc (Hons) Audiologiste pédiatrique
Dr Zenobia Storah,MA (Oxon), Dip Psych, DClinPsy, Psychologue clinique senior (enfant et adolescent)
Dr Helen Westwood MBChB MRCGP DCH DRCOG, médecin généraliste
M. Lasantha Wijesinghe, FRCS, consultant en chirurgie vasculaire.
Autres signataires
Julie Annakin, RN, infirmière spécialisée en immunisation
Dr Michael Bazlinton, MBCHB, MRCGP, DCH, médecin généraliste
Dr David Bell, MBBS, PhD, FRCP (UK), médecin de santé publique
Dr Michael D Bell, MBChB, MRCGP, médecin généraliste à la retraite
Dr Alan Black, MBBS, MSc, DipPharmMed, médecin en pharmacie à la retraite
Dr Emma Brierly, MBBS, MRCGP, médecin généraliste
M. John Bunni, MBChB (Hons), Dip Lap Surg, FRCS [Médaille ASGBI] – Consultant en chirurgie colorectale et générale.
Professeur Angus Dalgleish, MD, FRCP, FRACP, FRCPath, FMed Sci, Directeur, Institute for Cancer Vaccines & Immunotherapy (ICVI)
Dr Christopher Exley, PhD FRSB, professeur retraité de chimie bioinorganique
Professeur John Fairclough, FRCS FFSEM, chirurgien consultant honoraire à la retraite
Dr Jenny Goodman, MA, MBChB, médecine écologique
Dr Catherine Hatton, MBChB, médecin généraliste
Dr Renée Hoenderkampf, médecin généraliste
Dr Charles Lane, MA, DPhil, biologiste moléculaire
Dr Felicity Lillingstone, IMD DHS PhD ANP, médecin, soins d’urgence, chargée de recherche
Professeur David Livermore, BSc, PhD, professeur retraité de microbiologie médicale
Katherine MacGilchrist, BSc (Hons), MSc, PDG/directrice de l’examen systématique, Epidemica Ltd.
Dr Geoffrey Maidment, MBBS, MD, FRCP, médecin consultant, retraité
Dr Kulvinder Singh Manik, MBBS, médecin généraliste
Dr Fiona Martindale, MBChB, MRCGP, médecin généraliste
Dr S McBride, BSc (Hons) Medical Microbiology & Immunobiology, MBBCh BAO, MSc in Clinical Gerontology, MRCP (UK), FRCEM, FRCP (Edinburgh). Médecine d’urgence NHS et gériatrie
Professeur Dennis McGonagle, PhD, FRCPI, Professeur de rhumatologie investigatrice, Université de Leeds
Dr Scott Mitchell, MBChB, MRCS, médecin en médecine d’urgence
Dr David Morris, MBChB, MRCP (UK), médecin généraliste
Dr Greta Mushet, MBChB, MRCPsych, psychiatre consultant en psychothérapie à la retraite
Dr Sarah Myhill, MBBS, médecin généraliste à la retraite et naturopathe
Dr Christina Peers, MBBS, DRCOG, DFSRH, FFSRH, spécialiste de la ménopause
Anna Phillips, RSCN, BSc Hons, chef de formation clinique sur les systèmes cliniques (soins intensifs pédiatriques)
Dr Angharad Powell, MBChB, BSc (hons), DFRSH, DCP (Irlande), DRCOG, DipOccMed, MRCGP, médecin généraliste
Dr Salmaan Saleem, MBBS, BmedSci, MRCGP, médecin généraliste
Dr Rohaan Seth, Bsc, MBChB, MRCGP, médecin généraliste à la retraite
Dr Noel Thomas, MA, MBChB, DCH, DObsRCOG, DTM&H, MFHom, médecin retraité
Dr Stephen Ting, MB CHB, MRCP, PhD, médecin consultant
Dr Livia Tossici-Bolt, PhD, scientifique clinique
Dr Carmen Wheatley, DPhil, oncologie orthomoléculaire
Dr Ruth Wilde, MB BCh, MRCEM, AFMCP, médecin en médecine intégrative et fonctionnelle
Dr Lucie Wilk, MD, rhumatologue consultant
Dr Stefanie Williams, MD, Dermatologue
(Source)
>>> GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 3425 à 3433
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Pr. Dolores CAHILL :
« TOUTE PERSONNE qui REÇOIT une INJECTION d'ARNm
MOURRA dans les 3 à 5 ANS,
même si elle n'a reçu qu'une seule injection. »
(31/05/22)
>>> Les VACCINS-COVID TUENT au moins 10 000 PERSONNES par JOUR dans le MONDE
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Mickey-Catho a écrit:Pr. Dolores CAHILL :
« TOUTE PERSONNE qui REÇOIT une INJECTION d'ARNm
MOURRA dans les 3 à 5 ANS,
même si elle n'a reçu qu'une seule injection. »
(31/05/22)
VIDÉO ici : https://gloria.tv/post/Jqhyz3mxSfyR1TgzDg3QugrGi
C'est pour que cela n'arrive pas qu'Alexandra Henrion-Caude a écrit son livre. Par ailleurs, il reste beaucoup d'inconnues, personne ne sait exactement ce qu'il y a dans ce "vaxxin", on peut espérer que beaucoup aient reçu un placebo ; apparemment d'un lot à l'autre, les dosages varient ; la manière dont le produit est conservé peut influer aussi sur son efficience etc. Ne surestimons pas non plus leur capacité de nuire !
Pour ce qui est de l'ARNm voilà notamment ce qu'en dit AHC, toute l'émission est très intéressante, car c'est la première fois qu'une chercheuse qui aime son métier nous parle aussi de la merveille de l'ARNm, et pourquoi cependant en aucun cas il ne fallait l'injecter à des personnes saines, d'autant plus qu'il ne s'agit pas de notre ARNm naturel mais d'une substance trafiquée et totalement synthétique !
"On assiste à la première modification génétique de l'homme, et personne n'en parle. On dit que c'est très peu probable, en ne parlant que de l'ADN, sans parler du fait que la modification génétique n'a pas besoin de passer par l'ADN pour avoir lieu ; mais elle a lieu simplement par l'apport même de cette information génétique à nos cellules (...) c'est juste vertigineux que de donner cette information génétique à toutes les personnes, avec encore une fois, une information qui n'est pas humaine !! Il faut quand même que les gens prennent la mesure de cette modification, je sais que c'est très inconfortable, parce que finalement, ça nous concerne tous. Mais soit on continue, tête baissée (...) soit on arrête net, on prend la mesure d'essayer de voir ce qu'on peut réparer.... je n'aurais pas écrit ce livre si je ne pensais pas que ... nous avions la capacité de réfléchir ensemble à savoir comment on répare. " (44:42)
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- Photos d’un flacon M0DERNA en microscopie optique – par Jérémie Jems Mathon
2- Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène
3- Ce que l’on vous cache sur l’ARN messager – par Alexandra Henrion-Caude
4- Les taux de mortalité des enfants et des adolescents augmentent
5- La loterie des lots pourris, le talon d’Achille de Big Pharma
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4604 à 4612
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Une ÉTUDE RÉVÈLE un LIEN « STUPÉFIANT »
entre le VACCIN de PFIZER et la MYOCARDITE
chez les ADOLESCENTSUne étude préliminaire menée auprès d'adolescents pendant la campagne nationale de vaccination contre la COVID-19 en Thaïlande a montré ce qu'un médecin a décrit comme une association « stupéfiante » entre la myocardite et le vaccin de Pfizer-BioNTech.
Une étude prospective menée en Thaïlande pendant la campagne nationale de vaccination des adolescents contre la COVID-19 a montré ce qu’un médecin a décrit comme une association « étonnante » entre la myocardite et le vaccin de Pfizer-BioNTech.
La préimpression, acceptée pour publication dans une revue à comité de lecture, a porté sur 314 participants âgés de 13 à 18 ans qui étaient en bonne santé et ne présentaient aucun symptôme anormal après avoir reçu leur première dose de vaccin.
Les participants ayant des antécédents de cardiomyopathie, de péricardite tuberculeuse ou de péricardite constrictive et une réaction allergique grave au vaccin contre la COVID-19 ont été exclus de l’étude.
Bien que l’étude ait porté sur 314 adolescents, 13 ont été exclus des résultats car ils ont été « perdus de vue ».
Sur les 301 participants restants, 202 (67,1 %) étaient des hommes.
Les chercheurs ont constaté que 18 % des 301 adolescents analysés ont présenté un électrocardiogramme, ou ECG, anormal après avoir reçu leur deuxième dose de Pfizer, 3,5 % des garçons ont développé une myopéricardite ou une myocardite subclinique, deux ont été hospitalisés et un a été admis aux soins intensifs pour des problèmes cardiaques.
Les effets indésirables cardiovasculaires observés au cours de l’étude comprenaient la tachycardie (7,64 %), l’essoufflement (6,64 %), les palpitations (4,32 %), les douleurs thoraciques (4,32 %) et l’hypertension (3,99 %).
Cinquante-quatre adolescents ont présenté des électrocardiogrammes anormaux après la vaccination, trois patients ont eu un épanchement péricardique minime avec des résultats compatibles avec une myopéricardite subaiguë et six patients ont présenté un prolapsus de la valve mitrale.
La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque qui peut entraîner une arythmie cardiaque et la mort. Selon la National Organization for Rare Disorders, la myocardite peut résulter d’infections, mais « le plus souvent, la myocardite est le résultat d’une réaction immunitaire de l’organisme à la lésion cardiaque initiale ».
La péricardite est une inflammation du tissu entourant le cœur qui peut provoquer une douleur thoracique aiguë et d’autres symptômes.
Selon l’étude, le symptôme le plus courant était la douleur thoracique, suivie par la gêne thoracique, la fièvre et les maux de tête.
Trois patients âgés de 13 à 18 ans ont signalé des douleurs thoraciques et les biomarqueurs ont été évalués. Tous trois ont signalé les symptômes dans les 24 à 48 heures après avoir reçu la deuxième dose de Pfizer.
Quatre patients n’avaient aucun symptôme mais présentaient des biomarqueurs élevés.
Tous les patients étaient de sexe masculin et présentaient des électrocardiogrammes anormaux, notamment une tachycardie sinusale. L’évolution clinique était légère dans tous les cas.
La majorité des participants (257/301, soit 85,38 %) ne présentaient aucune maladie sous-jacente avant d’être vaccinés.
Dans le cadre de l’étude, les participants ont reçu une carte journal pour enregistrer les symptômes cardiaques. Ceux qui développaient des effets secondaires du vaccin pouvaient appeler le chercheur principal et être transférés vers une équipe médicale de l’hôpital des maladies tropicales pour évaluation.
Si le participant présentait un ECG anormal, des résultats échocardiographiques ou une augmentation des enzymes cardiaques, l’investigateur principal programmait les patients pour un suivi selon le protocole de l’étude et pour des évaluations de laboratoire au 14ème jour.
Les personnes ont été suivies à l’aide de tests de laboratoire, y compris des biomarqueurs cardiaques, d’un ECG et d’une échocardiographie, lors de trois visites cliniques – au début de l’étude, le troisième, le septième et le quatorzième jour après avoir reçu la deuxième dose du vaccin contre la COVID-19 de Pfizer BioNTech.
Les critères de diagnostic de la myocardite ont été classés en cas probables ou en cas confirmés et étaient basés sur les symptômes cliniques et les tests médicaux.
Les chercheurs ont conclu que la présentation clinique de la myopéricardite après la vaccination était « généralement légère », tous les cas se rétablissant complètement dans les 14 jours et ont recommandé que les adolescents recevant des vaccins à ARNm soient surveillés pour les effets secondaires.
Le Dr Tracy Høeg, épidémiologiste, a déclaré dans un tweet que l’étude était « unique et impressionnante en raison de l’examen approfondi effectué avant et après la vaccination », car elle permettait de « détecter des anomalies cardiaques préexistantes ».
Le journaliste indépendant Jordan Schachtel a noté dans un tweet que les événements cardiaques observés au cours de l’étude se sont produits après une seule injection de Pfizer, les enfants souffrant de problèmes cardiaques ayant été exclus.
Selon les données les plus récentes du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), du 14 décembre 2020 au 29 juillet 2022, 1 292 cas de myocardite et de péricardite ont été signalés chez les 12-17 ans.
Sur les 1 292 rapports, 1 145 cas ont été attribués au vaccin contre la COVID-19 de Pfizer.
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
DONNÉES CACHÉES ESSAI PFIZER,
un NOUVEAU SCANDALE :
30% des FEMMES ENCEINTES
après la PREMIÈRE DOSE
ont PERDU leur BÉBÉ
par Patrice GibertieLes documents de l’essai Pfizer multiplient les pièges, j’ai donc tout repris de l’article initial en constatant que 50 femmes se sont retrouvées enceintes dans un essai qui leur était interdit. Des tests de grossesse ont été effectués pour les femmes en âge de procréer lors des visites de dosage avant l’administration du vaccin.
17 ont été retirées officiellement de l’étude dont 13 pour lesquelles aucune info sur le suivi de grossesse n’est donné.
Nous savons que pour 37 femmes suivies quelques mois, 11 ont perdu leur bébé pendant cette période qui couvre la 1ere et les jours suivant la 2ème dose.
Nous ignorons combien de grossesses sont à ce jour parvenues à terme pour les 26 femmes qui restaient et les 4 écartées qui n’ont pas donné de nouvelles.
Il faut chasser les doublons et les triplés mais pour ne pas aider les codes « subjects » fluctuant , il est impossible de retrouver les mêmes codes en comparant la liste des 50 femmes vaccinées enceintes et la liste des femmes pour lesquelles nous avons un avortement (sauf 3).
Toutes les femmes qui ont perdu leur bébé sont dans la liste des 50.
Nous savions que les femmes enceintes NE POUVAIENT PAS PARTICIPER À L’ESSAI et les autres devaient pratiquer abstinence et ou methode contraceptive (p. 120 du protocole).
Aucune femme n’était enceinte avant de se faire vacciner.
Étude des documents
Mais quelques femmes de l’étude se sont pourtant retrouvées enceintes et elles ont été injectées, elles sont listées.
Officiellement 6 femmes enceintes du groupe vacciné et 7 du groupe placebo ont été ecartées de l’étude après la première dose…
Que sont-elles devenues ?
Selon les derniers documents, elles seraient 17. Le sort de la grossesse de 13 d’entre elles est inconnu.
La justice américaine a contraint la FDA de rentre public un document de 3645 pages présentant les adverses events survenus lors du fameux essai Pfizer portant sur 44 000 personnes. Nous savions déja que le suivi moyen ne portait pas sur 6 mois mais sur deux.
Les derniers documents posent de gros problèmes et interrogent sur le sort d’autres femmes enceintes vaccinées.
On découvre que 50 femmes ont été vaccinées, 37 suivies sans doute pendant quelques semaines. 11 ont perdu leur bébé.
Qu’est il advenu des grossesses des femmes enceintes ? Le diable se cache dans les détails. On découvre que 50 femmes sont tombées enceintes lors de l’étude après la première injection (le document, à la page 3643, intitulé « Listing of Subjects Reporting Pregnancy After Dose 1 »). Cependant, il faut fouiller dans le reste du gros document pour apprendre que 11 des 37 femmes suivies ont subi un « avortement spontané », un « avortement spontané complet », un « avortement spontané incomplet » ou une « fausse couche ».
Les femmes répertoriées dans la liste des sujets déclarant une grossesse après la dose 1 ont reçu entre une et quatre injections chacune. 42 des femmes ont reçu le pfizer d’essai immédiatement. Huit ont reçu le placebo, puis ont été levés en aveugle et ont reçu le vaccin. Ainsi, au 31 mars 2021, toutes les femmes enceintes participant à l’essai avaient reçu la version BNT162b2 du vaccin de Pfizer et 11 avaient perdu leur bébé.
Bien entendu aucune relation avec l’injection…
Vérifiez vous-mêmes : 125742_S1_M5_5351_c4591001-interim-mth6-adverse-events Télécharger
42 femmes BNT-162b2 vs 8 placebo Pfizer a ensuite vacciné le groupe placebo et déclaré qu’aucune fausse couche n’était en lien avec le vaccin.
Le sort des grossesses de 13 est inconnu.
Le tout avait disparu avec la complicité de la FDA. 11/37 femmes ont perdu leur bébé1,2.
https://dailyclout.io/pfizer-misleadingly-classified-the-44-percent-of-pregnancies-that-ended-in-miscarriage/
https://pgibertie.com/2022/08/13/dangerosite-de-la-vaccination-pour-les-femmes-enceintesles-journalistes-sont-de-gros-menteurs/
Et les injections ont déjà des effets sur la natalité : la Suisse
https://t.me/real_hero_francais/323
lire la suite : Patrice Gibertie
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
OFFICIEL :
PLUS de 2 PERSONNES sur 1000
MEURENT dans le MOIS
SUIVANT la VACCINATION contre le COVID-19Le gouvernement britannique a révélé qu'une personne sur 482 vaccinée contre le Covid-19 en Angleterre est malheureusement décédée dans le mois suivant la réception d'une dose d'injection de Covid-19.
Pendant des mois, les institutions gouvernementales ont affirmé qu'elles ne détenaient aucune donnée sur les décès par statut vaccinal. Mais ils vous ont menti.
Le 6 juillet, une institution gouvernementale britannique connue sous le nom d'Office for National Statistics, a publié un ensemble de données sur les décès par statut vaccinal en Angleterre entre le 1er janvier 2021 et le 31 mai 2022, qui peut être trouvé ici , et cela donne une lecture horrible.
Le tableau 9 de l'ensemble de données contient des chiffres sur « le nombre de périodes entières de tous les décès enregistrés regroupés selon le nombre de semaines après la vaccination où les décès sont survenus ; pour les décès entraînant le COVID-19 et les décès n'impliquant pas le COVID-19, les décès survenus entre le 1er janvier 2021 et le 31 mai 2022, Angleterre' .
Voici un aperçu de la façon dont l'ONS présente les données -
Comme vous pouvez le voir, l'ONS ne nous facilite toujours pas la tâche en révélant le nombre total de décès, mais avec un peu de patience et des calculs simples, nous pouvons facilement le découvrir nous-mêmes.
Le tableau suivant montre le nombre total de décès dans un délai d'un mois/cinq semaines suivant la vaccination contre le Covid-19 en Angleterre entre le 1er janvier 2021 et le 31 mai 2022 -
Selon l'Office for National Statistics, entre le 1er janvier 21 et le 31 mars 22, un total de 9 891 personnes sont décédées avec Covid-19 dans le mois suivant la vaccination, et un total de 82 255 personnes sont décédées de toute autre cause dans le mois suivant la vaccination.
Cela signifie qu'au total, 92 146 personnes sont décédées dans le mois suivant la vaccination contre le Covid-19 entre janvier 2021 et mai 2022.
Sur la base du nombre de personnes qui ont reçu au moins une dose d'une injection de Covid-19 en Angleterre, cela équivaut à 1 personne vaccinée sur 482 qui perd malheureusement la vie dans le mois suivant la vaccination contre Covid-19.
L'Agence britannique de sécurité sanitaire a publié discrètement un rapport hebdomadaire intitulé "Rapport hebdomadaire national de surveillance de la grippe et du COVID-19" qui contient des montagnes de données monotones. Cependant, cachés au plus profond de ce rapport se trouvent les chiffres de la vaccination contre le Covid-19 en Angleterre par dose.
Le tableau suivant est tiré de la page 65 du rapport de la semaine 27 et montre la couverture vaccinale en Angleterre par âge –
Nous avons créé le tableau suivant sur la base des chiffres fournis par l'UKHSA ci-dessus, indiquant le taux total de vaccination par rapport au total des refus de vaccination en Angleterre par dose -
Selon l'UKHA, 44,48 millions de personnes ont reçu une dose unique, 41,8 millions de personnes ont reçu deux doses et 32,9 millions de personnes ont reçu trois doses au 3 juillet 2022.
Par conséquent, en utilisant des calculs simples, nous constatons qu'une personne vaccinée sur 482 est décédée dans le mois suivant la vaccination contre le Covid-19 en Angleterre.
44 480 115 (personnes vaccinées) / 92 146 (décès) = 482 = 1 décès pour 482 personnes vaccinées
Beaucoup de gens diront probablement qu'il faut s'y attendre avec autant de personnes vaccinées. Mais ces mêmes personnes ne prendront pas la peine d'étayer leur argument par des preuves. Parce que s'il faut s'y attendre, comment expliquent-ils exactement le fait que les taux de mortalité pour 100 000 sont les plus bas parmi les non vaccinés de chaque groupe d'âge ?
Au cours de chaque mois depuis le début de 2022, les 18 à 39 ans partiellement vaccinés et doublement vaccinés ont été plus à mourir que les 18 à 39 ans non vaccinés. Les 18 à 39 ans triplement vaccinés ont cependant eu un taux de mortalité qui s'est aggravé d'un mois à l'autre après la campagne massive de rappel qui a eu lieu au Royaume-Uni en décembre 2021.
Nous observons également une tendance similaire parmi tous les autres groupes d'âge.
Les graphiques suivants montrent les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge par statut vaccinal parmi chaque groupe d'âge pour les décès non-Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022, les chiffres peuvent être trouvés dans le tableau 2 du même ensemble de données ONS contenant les décès suite à Covid -19 vaccins –
Les chiffres officiels publiés discrètement par le gouvernement britannique fournissent des preuves irréfutables que les vaccins Covid-19 sont mortels et tuent des milliers de personnes.
Sinon, comment expliquez-vous le fait que les vaccinés sont beaucoup plus susceptibles de mourir que les non vaccinés dans chaque groupe d'âge ?
Il n'est pas étonnant qu'une personne sur 482 vaccinée contre le Covid-19 en Angleterre soit malheureusement décédée dans le mois suivant l'injection d'une dose de Covid-19.
(Source + Original anglais)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- Le « vaccin tueur » Covid. Des gens meurent dans le monde entier. C’est une opération criminelle – par le professeur Michel Chossudovsky
2- Le ministre allemand de la santé fait volte-face sur les lésions causées par le vaccin contre la COVID et déclare que les blessés sont ignorés
3- ALLEMAGNE/ ÉTATS-UNIS / ROYAUME UNI : Les injections ont des effets indésirables graves enfin reconnus par les autorités – par Patrice Gibertie
4- En ce moment les traitements anticancéreux et les décès hors covid flambent ! Et ils ne savent toujours pas… – par Patrice Gibertie
5- De nouveaux documents révèlent que Pfizer et le CDC ont dissimulé des preuves de myocardite suivant les injections de COVID
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4613 à 4621
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
pour soigner et détoxiquer l'injection ARnM surtout si il y a eu plusieurs doses : le protocole Comusav.
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t46336-actualisation-remede-antidote-vaccin-covid-glutathion-msm-cds-contre-graphenespike#499026
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t46336-actualisation-remede-antidote-vaccin-covid-glutathion-msm-cds-contre-graphenespike#499026
azais- MEDIATEUR
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
azais a écrit:pour soigner et détoxiquer l'injection ARnM surtout si il y a eu plusieurs doses : le protocole Comusav.
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t46336-actualisation-remede-antidote-vaccin-covid-glutathion-msm-cds-contre-graphenespike#499026
Bonjour,
Concrètement, quel est ce protocole, s’il-vous-plait : voici deux extraits du fil et je n’ai pas compris ce qui est préconisé pour détoxiquer :
Il est donc préférable de s’orienter vers la N-acétylcystéine (NAC à 200mg), un acide aminé soufré hautement bio disponible, que l’on trouve facilement sur internet ou dans les parapharmacies – sans ordonnance puisqu’elle n’est pas considérée médicament mais complément alimentaire : 1 sachet 3 fois par jour chez l’adulte – traitement 8 à 10 jours maxi.
un protocole anti spike :
- ivermectine (90% efficacité contre covid) devrait aussi intervenir sur la proteine arnm covid 19 (dite spike ou luciferase)
- et aussi suramine = tisanes d'aiguilles de pins sylvestre ( 3 x/ jour) pas en huile mais en gelules ( des avis indiquent que la proteine spike synthétique -c'est à dire celle qui se multiplie par autosynthèse catalysée par l'oxyde de graphène - n'est plus inhibée par la suranime qui doit donc etre utilisée en très précoce voire en prophylaxie avant injection )
Ps : d’autres sites chrétiens conseillent aussi de recevoir le sacrement des malades.
emma19- Hosanna au plus haut des cieux!
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Il faut être en lien régulier avec Jésus, s'abandonner en lui, l'appeler, non pas avec angoisse, mais lui redire notre confiance et combien on compte sur lui.emma19 a écrit:azais a écrit:pour soigner et détoxiquer l'injection ARnM surtout si il y a eu plusieurs doses : le protocole Comusav.
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t46336-actualisation-remede-antidote-vaccin-covid-glutathion-msm-cds-contre-graphenespike#499026
Bonjour,
Concrètement, quel est ce protocole, s’il-vous-plait : voici deux extraits du fil et je n’ai pas compris ce qui est préconisé pour détoxiquer :
Il est donc préférable de s’orienter vers la N-acétylcystéine (NAC à 200mg), un acide aminé soufré hautement bio disponible, que l’on trouve facilement sur internet ou dans les parapharmacies – sans ordonnance puisqu’elle n’est pas considérée médicament mais complément alimentaire : 1 sachet 3 fois par jour chez l’adulte – traitement 8 à 10 jours maxi.
un protocole anti spike :
- ivermectine (90% efficacité contre covid) devrait aussi intervenir sur la proteine arnm covid 19 (dite spike ou luciferase)
- et aussi suramine = tisanes d'aiguilles de pins sylvestre ( 3 x/ jour) pas en huile mais en gelules ( des avis indiquent que la proteine spike synthétique -c'est à dire celle qui se multiplie par autosynthèse catalysée par l'oxyde de graphène - n'est plus inhibée par la suranime qui doit donc etre utilisée en très précoce voire en prophylaxie avant injection )
Ps : d’autres sites chrétiens conseillent aussi de recevoir le sacrement des malades.
Ensuite, il faut questionner nos toubibs sur les antidotes pour lutter contre la protéine Spike et l'oxyde de graphène qui épaississent le sang, nous mettant en situation de risque d'AVC etc...
Ce que vous avez relevé a retenu mon attention et je crois que je vais tenter le NAC très prochainement.
Personnellement, j'ai commencé à me faire des infusions d'anis étoilé mais ce n'est pas suffisant.
Cherchons des solutions claires et partageons les ! Restons en lien !
Enfant du Père- Combat avec Sainte Marie
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Je vous ai donné sur le lien ci dessus le protocole intégral du Comusav-CDS qui est le plus efficace (80-85% l'ivermectine en thérapie Covid en tri-thérapie avec zinc et antibiotique , et ici 99,7% avec CDS )emma19 a écrit:Bonjour,azais a écrit:pour soigner et détoxiquer l'injection ARnM surtout si il y a eu plusieurs doses : le protocole Comusav.
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t46336-actualisation-remede-antidote-vaccin-covid-glutathion-msm-cds-contre-graphenespike#499026
Concrètement, quel est ce protocole, s’il-vous-plait :
voici deux extraits du fil et je n’ai pas compris ce qui est préconisé pour détoxiquer :
- Il est donc préférable de s’orienter vers la N-acétylcystéine (NAC à 200mg), un acide aminé soufré hautement bio disponible, que l’on trouve facilement sur internet ou dans les parapharmacies – sans ordonnance puisqu’elle n’est pas considérée médicament mais complément alimentaire: 1 sachet 3 fois/j chez l’adulte –traitement 8-10 jours maxi.
un protocole anti spike
- ivermectine (90% efficacité contre covid) devrait aussi intervenir sur la proteine arnm covid 19 (dite spike ou luciferase)
- suramine = tisanes d'aiguilles de pins sylvestre ( 3 x/ jour) pas en huile mais en gelules ( des avis indiquent que la proteine spike synthétique -c'est à dire celle qui se multiplie par autosynthèse catalysée par l'oxyde de graphène - n'est plus inhibée par la suranime qui doit donc etre utilisée en très précoce voire en prophylaxie avant injection )
Ps : d’autres sites chrétiens conseillent aussi de recevoir le sacrement des malades.pour
Les modalités d'achat ( et de production chez soi, tres simple, 100 fois moins cher et plus pur) du CDS sont dans le post que j'évoquais et qui faisait un bilan exhaustif des possibilités optimum que j'avais recensées à l'époque . N'ayez donc pas peur de regarder cette option : acheter des bocaux de conservation de fruits et légumes de nos grands mères, n'est pas compliqué !! Ni du HCl pour qQ euros en épicerie ou droguerie (facile à diluer à 4%), ni du Chlorite de sodium 80% pas cher vers 30 e ...sur internet (flacon de 25cl =250 ml) m^me 100ml qui permettra de disposer de 1 litre de CDS 0,3% (soit 1000ml): de quoi faire un traitement de 100 jours (qui est la durée minimum du traitement anti injection du Comusav); et en 24h en cas de contagion covid plus de symptômes ni de test positif.
- suranime : comme il est dit dans votre extrait ça ne marche qu'en précoce (dans la ou quelques jours apres l'injection) : le mal est déjà fait et les aiguilles de pins ne seront pas a même d'inhiber la protéine spike qui aura commencé son travail de modification du génome dans les cellules de reproduction, de moelle épinière et cardiaques (pour le graphène, je ne sais pas). IL vaut mieux ne pas se faire piquer ...ou suivre les conseils du post pour extraire le contenu injecté dans l'heure qui suit l'injection
- le Nac : il est indiqué pour permettre de renforcer le glutathion ( qui va améliorer l'oxygénation des cellules ) dont il est précurseur , et permet de renforcer les défenses immunitaires anti spike en cas d'infection covid ou variant notamment (pas d'injection sauf si on ré-attrape le virus qui prospère alors dans me corps et se multiplie et fabrique des variants covid) et plus on est âgé moins on a de glutathion ( on manque aussi de vitamine D avec l'âge) . le protocole est indiqué "1 sachet 3 fois/j chez l’adulte –traitement 8-10 jours maxi.
un protocole anti spike Bien sûr en cas d'injection il est recommandé de renforcer ses défenses immunitaires, respiratoires et cérébrales ( Vit D, et autres, zinc, magnesium, Melatonine etc )
Mais il ne remplit pas spécifiquement les fonctions de détox (il y a des produits pour ça, comme de puissants anti oxydants : zeolite , vitamine C, CDS, MSM etc ...)
- L'ivermectine : je ne l'ai pas beaucoup vu contre les effets de l'injection anti covid mais pour les contagions covid oui et en trithérapie avec 80-85% d'efficacité, comme je l'ai dit plus haut . il faudra trouver un medecin pour vous donner un protocole , mais ce sera dur de dire son efficacité anti inoculation; C'est un anti bactérien et anti viral : à ce titre il sera bénéfique pour réduire les dégâts de la protéine spike injectée dans l'organisme et rediffusé partout par le sang . Personnellement le protocole a été donné par le CSL (voir tableau dans le post dont vous avez extrait le passage) pour une contagion covid : il faudra garder ce traitement à mon avis des mois et des mois pas quelques jours seulement .. et le compléter avec des detox (notamment par anti oxydants indiqués plus haut) pour griller et réduire en cendres nanoparticules lipidiques inoculées (et d'abord le graphène qui vous transforme en robot tôt ou tard et plus vite en renouvelant les doses, et aussi centuple la reproduction de la protéine ARnM spike qui est la plus dévastatrice: AVC, thrombose, myocardites, stérilisation, cancers)
je suis a votre disposition pour plus d'aide et de conseil ( en MP si vous le voulez aussi je peux vous envoyer des liens d'achats des pdf protocoles CDS et autres )
azais- MEDIATEUR
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Les INJECTIONS de COVID
ont TUÉ 5 à 12 MILLIONS de PERSONNES
dans le MONDEQuel est le nombre de décès, dans le monde, des injections de Covid ? En faisant un calcul approximatif, Steve Kirsch arrive à un chiffre approximatif de 12 millions. Pour donner un peu de contexte au chiffre, c'est 40 fois le nombre d'Américains qui ont été tués pendant la Seconde Guerre mondiale .
Par ailleurs, les chiffres officiels montrent que plus de 2 personnes sur 1000 meurent dans le mois qui suit leur injection de "vaccin" Covid.
Selon Britannica , environ 298 000 Américains sont morts pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le premier vaccin Covid a été délivré par la Grande-Bretagne le 8 décembre 2020 "marquant le début d'un programme historique de vaccination de masse". La France a livré son premier coup 19 jours plus tard, le 27 décembre 2020.
La campagne Covid shot dure jusqu'à présent depuis 20 mois. Selon Our World in Data, 12,46 milliards de doses ont été livrés soit 5,89 millions par jour.Our World in Data , récupéré le 16 août 2022
Cependant, selon les données recueillies par Bloomberg , "le dernier taux était d'environ 8,46 millions de doses par jour... 159 injections pour 100 personnes dans le monde".
Hier, 15 août, la Grande- Bretagne est devenue le premier pays au monde à approuver le vaccin Covid « nouvelle génération » de Moderna – Spikevax Bivalent.Par Steve Kirsch :
Margaret Anna Alice a demandé si quelqu'un pouvait estimer le nombre de morts dans le monde à cause des piquouses Covid.À mon avis, une estimation raisonnable consiste à diviser le nombre de doses par 1.000.
Si vous faites cela pour les 600 millions de doses délivrées aux États-Unis, vous obtenez 600.000 décès, ce qui est juste dans la fourchette.
Un nombre plus prudent consiste à diviser le nombre de doses par 2.500. C'est le nombre que Mathew Crawford a estimé à partir des données mondiales : 411 décès par million de doses . Plus tôt, j'ai offert une récompense de 1 million de dollars à quiconque trouverait une erreur importante dans son travail. Pas de preneurs. Ceci est documenté sur ma sous-pile et dans mon flux Twitter, mais, bien sûr, tout ce que j'ai tweeté a été supprimé par Twitter comme étant dangereux. Un million de dollars gratuit sans aucune condition. Personne n'a accepté.
Donc, cette estimation prudente vous amène à 5 millions de morts (seulement 16 fois le nombre d'Américains tués pendant la Seconde Guerre mondiale).
Nous tuons, par le vaccin Covid, près de 10 000 personnes chaque jour (le dernier taux était d'environ 8,46 millions de doses par jour ).
Fait intéressant, 385 000 bébés naissent chaque jour .
Ainsi, la tuerie peut durer indéfiniment, même si le taux de natalité chute de 90 % à cause des piquouses.
Au cas où vous vous poseriez la question. Je pensais juste le souligner.
Les données de dose provenaient de cet article de Bloomberg : Plus de 12,4 milliards d'injections données : Traqueur de vaccins Covid-19 .
Sommaire
Nous tuons énormément de gens, mais les dirigeants mondiaux regardent ailleurs et ne disent rien alors que nous regardons tous le nombre élevé de rapports de décès dans les médias de personnes décédées «de manière inattendue» et n'entendons aucune explication de la part de la communauté médicale ou le CDC.
Nous sommes censés avoir confiance qu'ils ont les choses bien en main, même s'ils n'apparaîtront pas devant la caméra devant quiconque n'a pas de questions pré-approuvées.
Le vaccin n'est jamais mentionné dans aucun de ces rapports de décès inexpliqués.
Pourtant, partout dans le monde, les gens ont remarqué que ces décès inattendus n'arrivent QUE chez les vaccinés. Hummm…. Je me demande pourquoi?
Le CDC n'exigera pas que les médecins légistes effectuent les tests appropriés pour établir l'association de cause à effet. Ils pourraient facilement le faire. Mais ils ne le feront pas. Cela vous dit tout ce que vous devez savoir sur la corruption.
Il s'agira donc d'une augmentation inexpliquée de décès dus à des causes inconnues, car personne dans les médias grand public n'admettra jamais qu'il s'est trompé et posera quelques questions non scénarisées.
Même Donald Trump a peur de parler de ce qui se passe. Lui aussi reste silencieux.
C'est pourquoi nous n'avons pas de débats, seulement de la censure.
Des centaines de personnes au CDC sont au courant de ce qui se passe, mais elles ne parleront pas ou elles perdront leur emploi. Même les démissionnaires se taisent. C'est vraiment magnifique.
Ainsi, le massacre continue sans relâche.
A propos de l'auteur :
Steve Kirsch est le fondateur de la Vaccine Safety Research Foundation où il travaille avec plus de 20 scientifiques, médecins et statisticiens qui recherchent la sécurité des vaccins Covid-19.
Ce qui précède est un article écrit par Kirsch intitulé ' Savez-vous combien de personnes ont été tuées dans le monde par leurs gouvernements à cause des coups de Covid ? ' Vous pouvez vous inscrire et suivre Kirsch sur son Substack ICI ou en visitant son site Web ICI .
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Une émission ARTE sur les effets indésirables, a été diffusée à 4h10 du matin le 10 février. Quelqu'un l'aurait peut-être vu ?
Plus d'infos à ce sujet ici:
https://fr.sott.net/article/41822-Arte-evoque-les-effets-secondaires-severes-de-la-vaccination-anti-Covid-a-4h10-du-matin
Plus d'infos à ce sujet ici:
https://fr.sott.net/article/41822-Arte-evoque-les-effets-secondaires-severes-de-la-vaccination-anti-Covid-a-4h10-du-matin
andree78- Avec Saint Thomas d'Aquin
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territoire en héritage aime ce message
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
MAISON de RETRAITE :
2 TÉMOIGNAGESUn homme, que j’appellerai Kyle, m’a raconté une histoire le week-end dernier. C’était un administrateur de maison de retraite qui, sans trop se poser de questions, parce que c’était nécessaire pour garder son emploi, a reçu les injections à ARNm.
Immédiatement après la deuxième, il a fait une réaction anaphylactique et a été transporté d’urgence aux urgences.
Il a survécu de justesse.
Par la suite, il a dû quitter son emploi parce que l’entreprise exigeait que tout le personnel reçoive des injections de rappel. Il a partagé son expérience sur les médias sociaux, mais ses messages ont été supprimés pour violation des normes communautaires.
Des mois plus tard, il a consulté le Vaccine Adverse Event Reporting System, ou VAERS, pour voir si son cas avait été signalé. Ce n’était pas le cas.
Kyle ne semblait pas fâché de ce qui lui était arrivé, mais sa confiance dans le système ne sera probablement jamais rétablie.
D’autres personnes à qui j’ai parlé ne sont pas aussi sereines.
Ils sont furieux, et leur fureur ne diminue pas quand on leur dit de pardonner et d’oublier, sans que les personnes qui ont appliqué les politiques relatives au COVID-19 aient à rendre des comptes et sans qu’il y ait de raison de penser qu’une telle chose ne se reproduira pas.
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
DÉSARROI d’une GYNÉCOLOGUE
FACE aux RAVAGES de la VAX ANTICOVIDIl y a des jours où se taire fait trop mal. Aujourd'hui, j'en ai trop vu en consultation. Il ne me reste que larmes, colère et vous pour porter mon message
(Source)
Convocation à l'ordre des médecins du 5 avril 2023 :
territoire en héritage aime ce message
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
SIDÉRANT
par Jean-Yves JézéquelThe Lancet publiait le 11 juin quelque chose de sidérant : une étude rétrospective pour comparer les risques cardiaques (péricardites et myocardites) suite aux injections des produits à ARNm de Pfizer et de Moderna.
Pour les deux substances injectées, le risque était le même, c’est-à-dire, bien plus élevé que ce qui a été constaté habituellement chez les 18-25 ans, sachant que les données récoltées par la pharmacovigilance ont été largement insuffisantes du fait de la résistance des médecins à déclarer ce qu’ils constataient et compte tenu de la pression scandaleuse qui s’est exercée sur eux, les menaçant de suspension ou de radiation de l’Ordre des médecins…3
Les doses dites de « rappel » augmentaient ce risque et les médecins de ville, généralistes, constataient cette hausse inexpliquée des troubles cardiaques chez les jeunes. Le ministre de la Santé allemand a admis, le 12 juin dernier, que la campagne d’injections dite « anti-Covid », avait eu pour effet principal, un affaiblissement du système immunitaire de ses concitoyens, ce qui expliquait désormais qu’ils étaient devenus plus vulnérables aux autres virus toujours existants !
Du coup, ce même ministre recommandait la poursuite intensive des « vaccinations », car le mal étant fait, il n’y avait plus d’autres solutions que celle de s’enfoncer davantage dans cette erreur !4
Selon les derniers chiffres officiels, 65 629 décès sont dus aux injections anti-Covid-19 et 10 439 642 blessures ont été signalées au 24 février 2022 pour l’ensemble des pays de l’Union européenne, des USA, du Royaume-Uni…5
Les médias aux mains des milliardaires, qui se sont entendus pour soutenir la campagne de propagande à la demande des responsables du FEM de Davos voulant exploiter « la fenêtre d’opportunité » qu’offrait cette fausse pandémie, se sont livrés corps et âme à la cause du « transhumanisme » qui se cachait derrière toutes ces aberrations que l’OMS elle-même avait répétitivement été obligée de démentir en se contredisant de multiples fois. Le Pr Perronne, ancien expert de l’OMS, nous expliquait dans une interview, que la fondation Bill Gates avait le contrôle total de l’OMS, puisqu’elle est le sponsor principal, majoritaire des fonds attribués à l’OMS6.
Tout ce qu’a publié le professeur Perronne durant ces deux dernières années, est fondé, prouvé, démontré scientifiquement. Il est inattaquable sur le plan scientifique. C’est pourquoi personne ne veut un débat scientifique avec lui ; les ordures qui nous gouvernent préfèrent radoter que Perronne « affirme des contre-vérités sur la Covid-19 », « qu’il ne sait plus ce qu’il dit », que c’est un « charlatan », sans rien démontrer, sans jamais rien argumenter. Les pervers aux commandes se contentent de dénigrer, d’humilier, de détruire par le mensonge et la diffamation, la réputation de tous ceux qui s’opposent à leur agenda mondialiste et à leur « croyance obscurantiste sur la Covid- 19 ».
À l’heure actuelle, le wokisme, le covidisme, le « vaccinalisme » et l’Ukraine ont fait de nos Taliban médiatiques des références doctrinales incontournables pour le triomphe de la vérité révélée par le dieu du Nouvel Ordre Mondial : les véritables scientifiques sont harcelés par la terreur de ces charlatans au service du système.
Prochainement nous aurons un sérieux nettoyage à planifier au sein de la société humaine : la colonie pénitentiaire de Kafka ou le monde orwellien, faisant partie de l’épisode obscurantiste des talibans médiatiques…
Rappel : En France au pic le plus élevé de la crise de la Covid-19, il y avait 140 malades par semaine pour 100 000 habitants ; pour une grippe normale c’est entre 500 et 600 malades par semaine pour 100 000 habitants, sachant que le chiffre de 140 n’a jamais été dépassé depuis deux ans et demi, (chiffre qu’il faut encore revoir à la baisse, compte tenu des falsifications relevées récemment dans les statistiques rapportées par les organismes officiels !)
Depuis que les théoriques « vaccins » ont été reconnus comme inutiles, (ils ne protègent pas de l’infection par le SARS-Cov-2 et n’empêchent pas d’infecter ses contacts), le chef de la stratégie vaccinale de « l’Agence européenne du médicament » a déclaré en début d’année :
« Si nous avons une stratégie dans laquelle nous donnons des rappels tous les quatre mois, nous finirons par avoir potentiellement des problèmes de réponse immunitaire »7,8.
Les travaux les plus avancés semblent être ceux de L’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et techniques OPECST :
« Un vacciné sur 340 consulte un médecin après sa vaccination, pour grande fatigue, fièvre, maux de tête, de ventre, musculaires, rougeurs sur sa peau, paralysie partielle, troubles cérébraux ou cardiaques … Un sur 1434 a quelque chose de très grave qui peut se terminer en handicap permanent et enfin un sur 28 000 en meurt. »
Au printemps 2022, les chiffres des contaminations deviennent franchement catastrophiques pour les défenseurs de ces « vaccins » : les « vaccinés » ont désormais plus de risques d’être infectés que les non-vaccinés !9
Résultat : les Britanniques cessent brutalement de publier le taux d’infection selon le statut vaccinal. En France, on ne communique plus sur les chiffres officiels de la DREES.
En mai 2022, un Bill Gates abattu reconnaît hypocritement, sur la scène du Forum économique mondial, que « ces vaccins ne sont pas bons pour bloquer l’infection »10.
Il en tire même la conclusion que les passeports vaccinaux n’ont aucun sens, dès lors qu’on peut être vacciné et infecté ! Pour se moquer du monde personne ne fait mieux !11Cerise sur le gâteau, le Laboratoire Pfizer déclare : « aucun des effets secondaires ou graves survenus chez les personnes après le « vaccin » anti-Covid, n’est lié au « vaccin » ! Les cas de problèmes graves sont tellement nombreux que le laboratoire faisait cette déclaration en vue de se protéger face au déluge de plaintes qui allaient inévitablement lui tomber sur la tête.
Pfizer refuse catégoriquement d’admettre que l’un des effets très néfastes tels que la mort ou des lésions neurologiques soit dû à son vaccin12.(Source)
Mais, qu’à cela ne tienne, les Macron et leurs équipes de pervers, veulent à tout prix continuer et renforcer la campagne de « vaccination » en la généralisant aux enfants eux-mêmes ! Ils continuent de dépenser l’argent public dans l’achat de ces substances mortelles ou dangereuses pour la santé physique et mentale, sans parler des objectifs réels poursuivis par ces injections …
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
La semaine dernière, Twitter a censuré Shmuel Shapira, M.D., MPH, pour avoir suggéré un lien entre l'épidémie de variole du singe et les vaccins à ARNm COVID-19, selon un billet de Kanekoa's Newsletter Substack publié mercredi.
La semaine dernière, Twitter a censuré Shmuel Shapira, M.D., MPH, pour avoir suggéré un lien entre l’épidémie de variole du singe et les vaccins à ARNm COVID-19, selon un post de Kanekoa’s Newsletter Substack publié mercredi.
M. Shapira, qui a déclaré avoir été blessé après avoir reçu sa troisième dose du vaccin Pfizer COVID-19, a déclaré que Twitter lui a demandé de retirer un tweet qui disait :
« Les cas de variole du singe ont été rares pendant des années. Ces dernières années, un seul cas a été documenté en Israël. Il est bien établi que les vaccins à ARNm affectent le système immunitaire naturel. Une épidémie de variole du singe après une vaccination massive de covidés : *n’est pas une coïncidence ».
M. Shapira est professeur titulaire d’administration médicale à l’Université hébraïque et a été directeur de l’Institut israélien de recherche biologique de 2013 à 2021.
Selon l’auteur de la lettre d’information Kanekoa, Shapira pourrait être « le médecin-scientifique le plus haut placé dans le monde à critiquer ouvertement les vaccins COVID ».
M. Shapira est également le fondateur et le chef du département de médecine militaire de l’Université hébraïque et du corps médical des forces de défense israéliennes, ainsi que chercheur principal à l’Institut international de lutte contre le terrorisme de l’université Reichman en Israël.
Il a publié plus de 110 articles scientifiques évalués par des pairs et est le rédacteur en chef de trois revues universitaires.
En tant que directeur de l’Institut israélien de recherche biologique, M. Shapira était initialement la « force motrice derrière les efforts visant à développer un vaccin israélien contre la COVID-19 » jusqu’à ce qu’il se retire de manière « inattendue » en mai 2021, selon le Times of Israel.
Selon Kanekoa, Shapira a ouvert son compte Twitter en janvier 2022 et s’est montré de plus en plus critique à l’égard des vaccins à ARNm depuis qu’il a dénoncé pour la première fois le prix Genesis israélien pour avoir attribué le prix au PDG de Pfizer, Albert Bourla.
Kanekoa a rassemblé 11 messages Twitter de Shapira :
- Le 18 janvier 2022, Shapira a dit (traduit de l’hébreu par Google) : « Le prix israélien Genesis a été attribué au PDG de Pfizer, si misérable. Au lieu de le donner à un scientifique israélien, et tout cela pour un vaccin médiocre et à courte durée d’action qui a rapporté à Pfizer un bénéfice de plusieurs milliards, un misérable et un exilé. Bourla va être nommé roi d’Israël maintenant. Je vous rappelle qu’Israël vacciné est le quatrième pays au monde pour le nombre de malades de la COVID. Il y a un championnat » !
- Le 6 février 2022, Shapira a demandé: « Quelle note donneriez-vous à un vaccin avec lequel les gens sont vaccinés trois fois et tombent malades deux fois (à ce jour) ? Sans parler des effets secondaires importants… »
- Le 9 avril 2022, Shapira a dit: « Le PDG de la société, dont des millions de vaccins ont été utilisés en Israël pour la vaccination, a déclaré dans une interview à NBC qu’Israël sert de laboratoire mondial. A ma connaissance, c’est le premier cas dans l’histoire où des cobayes expérimentaux ont payé un tarif exorbitant pour leur participation ».
- Le 13 mai 2022, Shapira a déclaré: « J’ai reçu 3 vaccins, j’ai été blessé physiquement de manière très importante comme beaucoup d’autres personnes… Et en plus, ma confiance dans la nature des décisions et dans les processus de prise de décision a été gravement érodée. Personne n’a demandé et vérifié. Je me battrai de toutes mes forces pour que des réponses véridiques concernant toutes les décisions et pas seulement le vaccin soient données… ».
- Le 7 juin 2022, Shapira a dit: “Nous parlons du vaccin 5 dans deux ans et demi. Quand le vaccin est prévu pour la séquence de janvier 2020 (l’arrière-grand-père de l’arrière-grand-père des variantes actuelles). Un vaccin qui ne prévient pas l’infection ne prévient pas la morbidité. Et on lui attribue des effets secondaires pour le moins importants. Pourquoi ? Quelle est la logique ? Quelle autorité l’a approuvé ? Et ne dites pas qu’il prévient une maladie grave, personne ne l’a prouvé ».
- Le 8 juin 2022, Shapira a déclaré: « Je continuerai et demanderai pourquoi donner un cinquième vaccin périmé qui ne prévient pas la maladie et provoque apparemment de nombreux effets secondaires communs importants ».
- Le 5 juillet 2022, Shapira a parlé du « fils d’un ami australien de 36 ans » qui a développé « de graves arythmies ventriculaires et a fait une insuffisance cardiaque » seulement « quelques jours après le deuxième vaccin Pfizer ». « L’indemnisation est automatique par le gouvernement australien », a-t-il dit. « Malgré le comportement de leur gouvernement, ils admettent le lien et l’expression « aucun lien » n’apparaît pas dans le lexique ».
- Le 15 juillet 2022, Shapira a partagé une graphique de la Nouvelle-Galles du Sud montrant un risque accru d’infection par la COVID-19 avec chaque nouvelle dose du vaccin à ARNm sur lequel il a commenté: « Selon les données officielles de l’Australie, plus on vous fait d’injections, plus vous risquez d’être malade, la quatrième injection faisant bondir le risque de manière spectaculaire. D’après cette étude, il s’agirait d’un anti-vaccin, du moins d’après ce qu’on m’a appris ».
- Le 18 juillet 2022, Shapira a déclaré: « Je ne suis pas anti-vaccins, je suis anti-stupidité, anti-fausse science, et anti-management incompétent ».
- Le 28 juillet 2022, Shapira a déclaré: « T [Twitter] m’a averti de retirer le T [tweet] reliant MP [monkeypox] à C [COVID-19]. Chaque jour, je comprends mieux où nous vivons et en quelle année ».
- Le 31 juillet 2022, Shapira a partagé un lien vers le système OpenVAERS de signalement des effets indésirables du vaccin COVID-19 qui montrait un total de 1 357 937 rapports, dont 170 151 hospitalisations et 29 790 décès, au-dessus duquel il a simplement commenté: « Sûr et efficace ».
« Dans un monde post-lockdown », a déclaré Kanekoa, « où les gouvernements se coordonnent de plus en plus avec Twitter, Facebook et YouTube pour censurer les critiques des vaccins COVID, même les médecins scientifiques de haut rang sont réduits au silence pour avoir parlé de la science qui contredit le récit de l’industrie pharmaceutique ».
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Le JAPON ACCORDE le PREMIER DÉDOMMAGEMENT
pour un DÉCÈS LIÉ à la VACCINATION COVID-19En France, la négation des autorités et du corps médical continue de s’imposer face aux nombreuses victimes des effets indésirables.
De nombreux pays ont commencé à dédommager les victimes de la vaccination sauvage anti Covid-19 comme l’Australie, la Thaïlande… et maintenant le Japon sauf en France où on a décidé de nier le réel en expliquant que ça n’existe pas, que ça ne peut exister car c’est ainsi. Il est question de centaines de cas qui ont été reconnus, incluant des décès.
En réalité la question est extrêmement simple à régler. Étant donné que les Japonais sont des êtres humains comme nous autres Français et qu’ils ont été injectés avec les mêmes produits que nous autres Français, on devrait trouver exactement les mêmes effets indésirables en France qu’au Japon. Tout le reste n’est que charabia, propagande et charlatanisme.
Un panel du ministère de la Santé a accordé pour la première fois une indemnité forfaitaire à la famille d’une femme décédée après avoir subi une réaction allergique et une crise cardiaque soudaine liées à la vaccination contre le COVID-19.
La femme, qui avait 91 ans lorsqu’elle a été vaccinée, souffrait de maladies préexistantes, notamment d’accidents ischémiques transitoires, selon le ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales. Le ministère n’a pas donné de détails sur la date à laquelle elle a été vaccinée ni sur le nombre de doses qu’elle a reçues.
Le panel a déterminé lundi qu’une relation de cause à effet entre les problèmes de santé ultérieurs et le vaccin ne pouvait être niée dans cette affaire.
Un porte-parole du panel a déclaré qu’« une relation de causalité scientifiquement rigoureuse n’est pas nécessaire » pour déterminer l’éligibilité aux dommages et intérêts.
Le panel a également évalué 11 autres cas de personnes âgées de 20 à 90 ans ayant subi des effets indésirables, mais a suspendu son jugement dans ces cas.
En date de lundi, 3680 personnes ont vu leur demande d’indemnisation liée à la vaccination acceptée, dont 850 ont été approuvées et 62 refusées. Les décisions concernant 16 autres personnes, dont certaines sont décédées, ont été reportées.
Selon la loi japonaise sur la vaccination, les vaccins COVID-19 sont considérés comme « ad hoc ». En vertu de cette désignation, les personnes dont le décès peut être lié à un vaccin peuvent recevoir une indemnité forfaitaire de 44,2 millions de yens (soit 321 000 €) et une contribution de 212 000 yens (1542 €) aux frais funéraires.
Un groupe d’experts distinct du ministère de la Santé, qui analyse les effets secondaires, a reçu des rapports de plus de 1700 cas de décès liés à des vaccins provenant d’établissements médicaux, bien qu’aucune relation de cause à effet n’ait été reconnue.
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Un garde suisse s'est effondré devant François lors de l'audience générale du 17 août dans la salle Paul VI.
Cela s'est produit pendant un discours prononcé en portugais. Lors de l'impact, le casque et la hallebarde de l'homme ont fait un grand bruit (vidéo). Le garde a été aidé à se relever et escorté vers la sortie.
Un porte-parole du Vatican a ensuite déclaré qu'il avait "probablement" souffert d'une baisse de tension, sans donner plus de détails sur son état de santé. François oblige tous les gardes suisses à accepter les pseudo-vaccins controversés contre le Covid.
(Source)
>>> Remous à la Garde suisse: «On nous a jetés comme des pestiférés» Témoignage de Pierre-André Udressy
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
La FABLE CRIMINELLE
de la « VACCINATION SANS DANGER » des FEMMES ENCEINTES
par Dr Gérard Delépine« Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es »
Depuis deux ans et huit mois, le gouvernement et les médias aux ordres nous mentent pour nous inciter à accepter des injections expérimentales abusivement qualifiées de vaccin alors qu’il s’agit de médicaments à ARN dont les essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023.« Une vaste étude canadienne… confirme que les vaccins à ARN messager contre le Covid-19 sont “sans danger” pendant la grossesse… L’étude a été menée sur 200 000 femmes enceintes canadiennes vaccinées ».
Ce pur mensonge estampillé AFP a été répété partout avec la complicité de France info, Médisite[2], La dépêche[3], Elle[4], 20 minutes Santé[5] le quotidien du pharmacien[6] et bien d’autres médias.
Existe-t-il dans ces rédactions des journalistes qui vérifient leurs sources et les données ? Sont-ils paresseux ou volontairement menteurs ? S’ils avaient fait leur travail de journaliste, ils auraient remarqué les faits suivants déjà dénoncés brillamment par Gibertie[7].
L’étude[8] ne porte que sur 5 625 femmes enceintes vaccinées !
Car la lecture de l’article qu’ils citent montre que l’effectif réel des vaccinées est près de 40 fois inférieur à ce qu’ils annoncent !
L’étude se limite à de simples contacts par e-mails et/ou téléphoniques !
Il ne s’agit en aucun cas d’un article médical. Aucun examen clinique ni biologique n’a été réalisé. Il est heureusement douteux que les gynécologues canadiens suivent leurs patientes et l’évolution de leur grossesse par ces seuls moyens !
L’étude ne porte que sur les 7 jours post injection !
C’est quand même très court pour affirmer que les grossesses qui durent 9 mois n’ont pas été altérées par les injections et que les futurs nouveau-nés n’en ont pas souffert.
En 7 jours de suivi, ils ont quand même réussi à avoir chez les vaccinées : 4 qui ont perdu la vue, 7 incapables de marcher, 91 infections respiratoires, 1 paralysie soudaine du visage, et de nombreuses fausses couches.
Il ne s’agit pas d’un essai prospectif randomisé.
Mais d’une analyse rétrospective de cohorte dont la fiabilité scientifique est faible et la valeur probante très faible d’autant que l’effectif du groupe témoin (non vacciné) n’est que 339, chiffre totalement insuffisant pour estimer les risques et les comparer à des groupes numériquement 10 fois plus importants.
Les auteurs sont très liés à l’industrie des vaccins.
Il suffit de consulter les liens d’intérêt détaillés à la fin de l’article :
MS a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, Symvivo et VBI Vaccines.
OGV a été chercheur, co-chercheur ou panéliste expert sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer et Seqirus, en dehors du travail soumis.
JDK a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna et Pfizer
KAT a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline.
JEI a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline et Sanofi-Pasteur.
AJM a été chercheuse sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer, Sanofi-Pasteur et Seqirus, , et a reçu des honoraires pour sa participation à des conseils consultatifs d’Astra-Zeneca, GlaxoSmithKline, Medicago, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, et pour les présentations d’Astra-Zeneca et Moderna.
GDS a été enquêteur sur un projet financé par Pfizer.
L’étude a été financée par les organismes d’État qui vivent des campagnes vaccinales et en font la promotion constante.
Ce travail a été soutenu par le financement COVID-19 Vaccine Readiness des Instituts en santé du Canada et de l’Agence de la santé publique du Canada CANVAS (numéro de subvention CVV-450980) et par le financement de l’Agence de la santé publique du Canada, par le biais du Document de référence sur la surveillance des vaccins Group et le groupe de travail sur l’immunité COVID-19.
Jamais un tel article bidon n’aurait passé l’examen par un comité de lecture à l’époque où le Lancet était indépendant et que son impartialité faisait sa réputation. Le Docteur Richard Horton rédacteur en chef du Lancet a d’ailleurs prévenu ses lecteurs :« Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée d’études avec des échantillons réduits, flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres. les grandes compagnies pharmaceutiques falsifient ou truquent les tests sur la santé, la sécurité et l’efficacité de leurs divers médicaments, en prenant des échantillons trop petits pour être statistiquement significatifs, ou bien, pour les essais, embauchent des laboratoires ou des scientifiques ayant des conflits d’intérêts flagrants, ils doivent plaire à la compagnie pharmaceutique pour obtenir d’autres subventions ».
L’agence France presse, et les médias qui ont diffusé sans modération ce mensonge se sont comportés non pas comme des organes d’information, mais comme des propagandistes sans état d’âme d’un pseudovaccin expérimental dont les premiers résultats avérés en population réelle sont très inquiétants.
(Source)
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