*Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
3 participants
Page 3 sur 15 • 1, 2, 3, 4 ... 9 ... 15
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
« À quoi allons-nous comparer le règne de Dieu ? Par quelle parabole pouvons-nous le représenter ? Il est comme une graine de moutarde : quand on la sème en terre, elle est la plus petite de toutes les semences. Mais quand on l’a semée, elle grandit et dépasse toutes les plantes potagères ; et elle étend de longues branches, si bien que les oiseaux du ciel peuvent faire leur nid à son ombre. » Saint Marc (4,26-34)
Père Jean-Jacques DUTEN
LAISSE JÉSUS TRAVAILLER LA TERRE DE TON ÂME !
Homélie de vendredi 29 Janvier 2.021: Mc 4, 26-34
Homélie de vendredi 29 Janvier 2.021: Mc 4, 26-34
Le Livre du Ciel :
Ma bienheureuse fille, mon Vouloir veut donner. Mais Il veut trouver la disposition de la créature pour déposer Ses dons. La disposition est comme la terre entre les mains du fermier : peu importe la quantité de semences qu’il possède, sans avoir de terre où les semer, il ne pourra jamais planter. Et si la terre avait la raison et qu’elle n’était pas disposée à recevoir ses semences, le pauvre fermier aurait l’impression que les semences avec lesquelles il voulait enrichir la terre lui sont rejetées en plein visage. Telle est ma Volonté. Elle veut donner, mais si Elle ne trouve pas l’âme disposée, Elle ne trouvera pas d’endroit où placer Ses dons. À son grand désespoir, Elle aura l’impression qu’ils Lui sont rejetés en plein visage. Et si Elle voulait parler à l’âme, Elle la trouverait sans oreilles pour Se faire entendre.
Ainsi, la disposition prépare l’âme, ouvre les Portes Divines, donne l’ouïe, et met l’âme en communication. L’âme entend la disposition avant ce que mon Vouloir veut donner, de telle sorte qu’elle aime et attend ce qu’elle doit recevoir. Si elle n’est pas disposée, Nous ne donnons rien parce que Nous ne voulons pas exposer Nos dons à l’inutilité. La disposition est comme la terre pour le fermier, qui se soumet à ce que le fermier veut faire. Elle se laisse travailler, sarcler, et elle met en sûreté dans ses sillons la semence qu’il veut lui donner.
C’est la même chose avec notre Être Suprême. Si Nous trouvons la disposition, Nous faisons Nos travaux et Nous préparons la créature en la purifiant. De Nos mains créatrices, Nous préparons l’endroit où placer Nos dons et former Nos plus belles œuvres. Mais si l’âme n’est pas disposée, malgré toute notre Puissance, il n’y a rien que Nous puissions faire parce que son intérieur est obstrué par des pierres, des épines et de viles passions. Et comme l’âme n’est pas disposée, elle ne Nous permet pas de les enlever. Combien de Sainteté part ainsi en fumée en raison du manque de disposition! De plus, si elle n’est pas disposée, l’âme ne s’adapte pas à vivre dans notre Divin Vouloir; elle a même l’impression que notre Vouloir n’est pas pour elle. La Sainteté de notre Vouloir renverse la créature, sa Pureté lui fait honte, sa Lumière l’aveugle.
Mais si l’âme est disposée, elle se jette dans les bras de notre Vouloir et Nous laisse faire ce que Nous voulons avec elle. Elle est comme un tout petit enfant qui reçoit nos Œuvres avec tellement d’amour que Nous en sommes ravis. Et notre Vouloir, que fait-Il ? Il répand son Mouvement Divin. Avec ce Mouvement Divin, l’âme trouve toutes nos Œuvres en action, elle les embrasse, les investit de son petit amour, trouve ma Conception et ma Naissance en action, et elle veut concevoir et renaître avec Moi. Et non seulement Je la laisse faire, mais j’y trouve tant de plaisir que Je Me sens payé de retour pour être né sur la terre, parce que Je trouve une âme qui renaît avec Moi. Mais cette âme va encore plus loin. Le Mouvement Divin qu’elle possède la fait courir partout et trouver, comme une armée puissante, tout ce que mon Humanité a fait, Mes larmes, Mes paroles et Mes prières, Mes pas et Mes souffrances.
Cette âme prend tout, embrasse et adore tout. Il n’est rien de tout ce que j’ai fait qu’elle n’investisse de son amour. Et que fait-elle alors? Elle fait que tout lui appartient, et avec un charme et une manière infantiles, elle enferme tout dans son sein, elle s’élève jusqu’à notre Divinité, dispose tout autour de Nous et avec un transport d’amour, elle Nous dit : Adorable Majesté, voyez combien de belles choses je Vous apporte! Tout est à moi et je vous apporte tout parce que tout cela vous aime, vous adore, vous glorifie en retour pour tout l’amour que Vous avez pour moi et pour nous tous.
Vol 36, 26 novembre 1938
DISCIPLES AMOUREUX MISSIONNAIRES
Que ton règne vienne
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
"si l’âme est disposée, elle Nous laisse faire ce que Nous voulons avec elle, comme un tout petit enfant qui reçoit nos Œuvres avec tellement d’amour que Nous en sommes ravis. Et notre Vouloir répand son Mouvement Divin. Avec ce Mouvement Divin, l’âme trouve ma Conception et ma Naissance en action, et veut concevoir et renaître avec Moi. .... cette âme va encore plus loin... trouvant, comme une armée puissante, tout ce que mon Humanité a fait, Mes larmes, Mes paroles et Mes prières, Mes pas et Mes souffrances ... elle prend tout, embrasse et adore tout. Il n’est rien de tout ce que j’ai fait qu’elle n’investisse de son amour, alors elle fait que tout lui appartient, et avec un charme et une manière infantiles, elle enferme tout dans son sein, s’élève jusqu’à notre Divinité, dispose tout autour de Nous et avec un transport d’amour, elle Nous dit : Adorable Majesté, voyez combien de belles choses je Vous apporte! Tout est à moi et je vous apporte tout parce que tout cela vous aime, vous adore, vous glorifie en retour pour tout l’amour que Vous avez pour moi et pour nous tous."
Rien qui descende du ciel qui ne retourne à Dieu !
Rien qui descende du ciel qui ne retourne à Dieu !
Dernière édition par azais le Sam 30 Jan 2021 - 12:03, édité 1 fois
azais- MEDIATEUR
- Messages : 9459
Age : 73
Inscription : 10/02/2016
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Bonjour à vous tous, amis qui aimez la Parole de Vie, goûtez et voyez comme est bon le seigneur!
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Bonjour Jacques
"Et laissant la foule, ils l’emmènent, comme il était, dans la barque ; et il y avait d’autres barques avec lui. « Passons sur l’autre rive, » dit Jésus !
Nous sommes saisis par le « nouvel amour » qui anime la vie de Jésus. Ce nouvel amour nécessite un « passage » dans une grande confiance ! Il se vit dans la foi en ne pouvant nous appuyer que sur Dieu seul. Nous suivons les disciples de Jésus qui étaient des pêcheurs habitués au lac et à ses tempêtes. Ils savent les vaincre. A la suite de Jésus qui ouvre le chemin vers le Royaume, c’est autre chose ! Jésus nous apprend à passer de ce monde au Père, sur l’autre rive. Les disciples découvrent la personnalité de Jésus qui ouvre le chemin ! Dans cette période, ils devront abandonner la manière humaine de connaître Jésus pour poser un acte de foi en celui qui vient nous sauver. Jésus est fatigué et voici qu’il commande aux éléments, au vent et à la mer. C’est la foi du matin de Pâques qui éclairera leur interrogation. Le passage de ce monde à l’Église que nous effectuons d’abord nous fait entrer dans un combat spirituel inattendu. C’est de la barque de l’Église qui vogue sur la mer du monde que nous passerons à la rive du ciel.
"Survient alors une forte bourrasque, et les vagues se jetaient dans la barque, de sorte que déjà elle se remplissait. Et lui était à la poupe, dormant sur le coussin. Ils le réveillent et lui disent : « Maître, tu ne te soucies pas de ce que nous périssons ? » S’étant réveillé, il menaça le vent et dit à la mer : « Silence ! Tais-toi ! » Et le vent tomba et il se fit un grand calme."
Jésus faible et fatigué, dormant sur le coussin, calme la tempête. Nous comprenons que Dieu seul peut vaincre la tempête. Jésus nous aide à faire le passage de la foi en lui, le Sauveur du monde. C’est de cette foi qu’il nous parle dans cet Évangile. Cette foi nous fait faire le saut entre le Jésus de l’histoire et le Christ Sauveur. Jésus, dans cette expérience, oppose à la foi quelque chose d’inattendu : la lâcheté, la peur, le manque de courage. L’arrivée de cette mystérieuse bourrasque met les disciples dans une grande frayeur, ils sont dépassés. Il ne leur reste plus qu’à crier vers Jésus qui dort dans la barque ! C’est alors que se vérifie l’attachement à Dieu, dans une immense confiance dans la Providence. En Jésus, nous ne sommes pas seulement unis à Dieu, mais encore les uns aux les autres. C’est dans une même foi en Dieu et les uns dans les autres que se solidifie le lien d’amour qui unit notre cœur au cœur de Dieu.
"Puis Jésus leur dit : « Pourquoi avez-vous peur ainsi ? N’avez-vous pas encore de foi ? » Alors ils furent saisis d’une grande crainte et ils se disaient les uns aux autres : « Qui est-il donc celui-là, que même le vent et la mer lui obéissent ? »
Jésus questionne les disciples sur leur affolement. Ce « Pourquoi avez-vous peur ainsi ? » est un fil rouge dans l’Evangile. Si nous avions plus de courage, nous saurions faire confiance pour demeurer au côté de Jésus dans la barque de l’Eglise. Dans cette violente tempête qui désormais est vécue dans notre cœur, il faut tenir bon dans sa foi, envers et contre tout et nous crions vers Jésus : "Maître, nous sommes perdus, " Nous nous apercevons alors que la question : "Pourquoi Jésus dort-il prend du sens. Nous avons besoin de lui, s’il "dort" c’est parce qu’il veut que ses disciples aient la même vie que lui, qu’ils puissent à sa suite affronter les mêmes épreuves que lui-même va affronter. Ainsi s’opère le passage à l’Église qui est une "œuvre" de foi dans l’amour infini de Dieu pour l’humanité. C’est la foi qui nous fait comprendre de l’intérieur la personne de Jésus, comme c’est l’amour qui permet de comprendre véritablement un être humain. Et cette foi naîtra de la résurrection qui, comme elle illumine le corps de Jésus, illumine aussi sa vie et nous permet de comprendre la vérité et la justesse des actes qu’il a posés.
Nous demandons la foi pour la route devant nous qui est longue afin de garder le regard fixé sur le Christ.
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Bonjour Jacques
Le samedi 30 janvier 2021
Samedi de la 3e semaine, année impaire
« Ce jour-là, le soir venu, Jésus leur dit : « Passons sur l’autre rive. »
Samedi de la 3e semaine, année impaire
« Ce jour-là, le soir venu, Jésus leur dit : « Passons sur l’autre rive. »
LECTURES : He. 11, 1-2. 8-19 Ct. Lc. 1 Mc. 4, 35-41
"Et laissant la foule, ils l’emmènent, comme il était, dans la barque ; et il y avait d’autres barques avec lui. « Passons sur l’autre rive, » dit Jésus !
Nous sommes saisis par le « nouvel amour » qui anime la vie de Jésus. Ce nouvel amour nécessite un « passage » dans une grande confiance ! Il se vit dans la foi en ne pouvant nous appuyer que sur Dieu seul. Nous suivons les disciples de Jésus qui étaient des pêcheurs habitués au lac et à ses tempêtes. Ils savent les vaincre. A la suite de Jésus qui ouvre le chemin vers le Royaume, c’est autre chose ! Jésus nous apprend à passer de ce monde au Père, sur l’autre rive. Les disciples découvrent la personnalité de Jésus qui ouvre le chemin ! Dans cette période, ils devront abandonner la manière humaine de connaître Jésus pour poser un acte de foi en celui qui vient nous sauver. Jésus est fatigué et voici qu’il commande aux éléments, au vent et à la mer. C’est la foi du matin de Pâques qui éclairera leur interrogation. Le passage de ce monde à l’Église que nous effectuons d’abord nous fait entrer dans un combat spirituel inattendu. C’est de la barque de l’Église qui vogue sur la mer du monde que nous passerons à la rive du ciel.
"Survient alors une forte bourrasque, et les vagues se jetaient dans la barque, de sorte que déjà elle se remplissait. Et lui était à la poupe, dormant sur le coussin. Ils le réveillent et lui disent : « Maître, tu ne te soucies pas de ce que nous périssons ? » S’étant réveillé, il menaça le vent et dit à la mer : « Silence ! Tais-toi ! » Et le vent tomba et il se fit un grand calme."
Jésus faible et fatigué, dormant sur le coussin, calme la tempête. Nous comprenons que Dieu seul peut vaincre la tempête. Jésus nous aide à faire le passage de la foi en lui, le Sauveur du monde. C’est de cette foi qu’il nous parle dans cet Évangile. Cette foi nous fait faire le saut entre le Jésus de l’histoire et le Christ Sauveur. Jésus, dans cette expérience, oppose à la foi quelque chose d’inattendu : la lâcheté, la peur, le manque de courage. L’arrivée de cette mystérieuse bourrasque met les disciples dans une grande frayeur, ils sont dépassés. Il ne leur reste plus qu’à crier vers Jésus qui dort dans la barque ! C’est alors que se vérifie l’attachement à Dieu, dans une immense confiance dans la Providence. En Jésus, nous ne sommes pas seulement unis à Dieu, mais encore les uns aux les autres. C’est dans une même foi en Dieu et les uns dans les autres que se solidifie le lien d’amour qui unit notre cœur au cœur de Dieu.
"Puis Jésus leur dit : « Pourquoi avez-vous peur ainsi ? N’avez-vous pas encore de foi ? » Alors ils furent saisis d’une grande crainte et ils se disaient les uns aux autres : « Qui est-il donc celui-là, que même le vent et la mer lui obéissent ? »
Jésus questionne les disciples sur leur affolement. Ce « Pourquoi avez-vous peur ainsi ? » est un fil rouge dans l’Evangile. Si nous avions plus de courage, nous saurions faire confiance pour demeurer au côté de Jésus dans la barque de l’Eglise. Dans cette violente tempête qui désormais est vécue dans notre cœur, il faut tenir bon dans sa foi, envers et contre tout et nous crions vers Jésus : "Maître, nous sommes perdus, " Nous nous apercevons alors que la question : "Pourquoi Jésus dort-il prend du sens. Nous avons besoin de lui, s’il "dort" c’est parce qu’il veut que ses disciples aient la même vie que lui, qu’ils puissent à sa suite affronter les mêmes épreuves que lui-même va affronter. Ainsi s’opère le passage à l’Église qui est une "œuvre" de foi dans l’amour infini de Dieu pour l’humanité. C’est la foi qui nous fait comprendre de l’intérieur la personne de Jésus, comme c’est l’amour qui permet de comprendre véritablement un être humain. Et cette foi naîtra de la résurrection qui, comme elle illumine le corps de Jésus, illumine aussi sa vie et nous permet de comprendre la vérité et la justesse des actes qu’il a posés.
Nous demandons la foi pour la route devant nous qui est longue afin de garder le regard fixé sur le Christ.
Dernière édition par Lumen le Sam 30 Jan 2021 - 15:00, édité 1 fois (Raison : poste édité et formatage bousculé...)
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
" envers et contre tout et nous crions vers Jésus : "Maître, nous sommes perdus, " Nous nous apercevons alors que la question : "Pourquoi Jésus dort-il? prend du sens. Nous avons besoin de lui, s’il "dort" c’est parce qu’il veut que ses disciples aient la même vie que lui, qu’ils puissent à sa suite affronter les mêmes épreuves que lui-même va affronter. Ainsi s’opère le passage à l’Église qui est une "œuvre" de foi dans l’amour infini de Dieu pour l’humanité."
et S. Jérôme. nous dit :
Nous aussi, marqués du signe de la croix, nous nous préparons déjà à quitter cette terre: nous entrons dans la barque avec Jésus, nous nous efforçons de traverser la mer.
Mais, dans le cours de la traversée, il s’endort au milieu des frémissements de l’abîme ; c’est la flamme de l’amour, qui, malgré nos efforts, s’affaiblit et devient languissante, au milieu de la lutte contre les esprits impurs, ou contre les hommes méchants, ou contre le tourbillon de nos propres pensées.
Cependant, au milieu de ces bouleversements intérieurs, ayons soin d’éveiller notre Sauveur, et, à l’instant, sa voix calmera la tempête, rendra à notre ame sa tranquillité, et nous ouvrira le port bienheureux du salut.
et S. Jérôme. nous dit :
Nous aussi, marqués du signe de la croix, nous nous préparons déjà à quitter cette terre: nous entrons dans la barque avec Jésus, nous nous efforçons de traverser la mer.
Mais, dans le cours de la traversée, il s’endort au milieu des frémissements de l’abîme ; c’est la flamme de l’amour, qui, malgré nos efforts, s’affaiblit et devient languissante, au milieu de la lutte contre les esprits impurs, ou contre les hommes méchants, ou contre le tourbillon de nos propres pensées.
Cependant, au milieu de ces bouleversements intérieurs, ayons soin d’éveiller notre Sauveur, et, à l’instant, sa voix calmera la tempête, rendra à notre ame sa tranquillité, et nous ouvrira le port bienheureux du salut.
azais- MEDIATEUR
- Messages : 9459
Age : 73
Inscription : 10/02/2016
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
« Les vagues se jetaient sur la barque, si bien que déjà elle se remplissait. »
Saint Marc (4,35-41)
Saint Marc (4,35-41)
Père Jean-Jacques DUTEN
AU CŒUR DE LA TEMPÊTE AYONS CONFIANCE !
Homélie de samedi 30 Janvier 2021: Mc 4, 35-41
Homélie de samedi 30 Janvier 2021: Mc 4, 35-41
Le Livre du Ciel :
Ma fille, garde ton calme, n’aie pas peur. Ton Jésus ne te quitte pas. Je tiens beaucoup à ta confiance en Moi. Et Je ne veux pas que tu en manques le moindrement. J’aime tellement que les âmes me fassent totalement confiance que, souvent, Je ferme les yeux sur certaines de leurs fautes ou de leurs imperfections, ou -sur leur manque de correspondance à ma grâce, afin d’empêcher qu’elles ne me fassent pas totalement confiance.
En effet, si l’âme perd confiance. -elle devient comme séparée de Moi, repliée sur elle-même. -elle se tient loin de Moi et devient paralysée dans ses élans d’Amour envers Moi. Par suite, elle est peu disposée à se sacrifier pour Moi. Oh! que de ravages sont causés par le manque de confiance! On peut dire qu’il est comme une gelée printanière qui brime la vie des plantes et qui, si la gelée est sévère, les fait parfois mourir. Ainsi en est-il du manque de confiance: il bloque le développement des vertus et refroidit l’amour le plus ardent.
Oh ! comme il arrive souvent que mes objectifs les plus saints soient contrés par le manque de confiance !
C’est pourquoi Je tolère plus facilement certains défauts que le manque de confiance Parce que ces défauts ne peuvent jamais être aussi dommageables. …Comment pourrais-Je te laisser, après avoir tant travaillé dans ton âme? Regarde tout le travail que J’ y ai fait.»
En disant cela, Il me fit voir un palais somptueux et immense érigé de ses mains dans les profondeurs de mon âme.
Il poursuivit : «Ma fille, comment pourrais – Je te quitter? Regarde le nombre de pièces : elles sont innombrables. Autant de Connaissances et de merveilles Je t’ai fait connaître sur ma Volonté, autant de pièces J’ai formées en toi afin d’y déposer tous ces biens. Il ne me reste qu’à ajouter quelques teintes nouvelles et rares afin de donner plus de proéminence et d’honneur à mon œuvre.
Crois-tu que Je pourrais quitter ce si beau travail fait de mes mains? Il m’a trop coûté! De plus, ma Volonté y est engagée. Et, là où ma Volonté se trouve, il y a la Vie, une Vie non sujette à la mort. Ta peur n’est rien d’autre qu’un petit manque de confiance de ta part.
Fais-Moi confiance et nous cheminerons harmonieusement ensemble. Et J’accomplirai en toi l’œuvre de ma Volonté.
Vol 17, 2 septembre 1924
DISCIPLES AMOUREUX MISSIONNAIRES
Que ton règne vienne
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Bonjour à vous tous, amis qui aimez la Parole de Vie, goûtez et voyez comme est bon le seigneur!
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Bonjour Jacques, la Parole de Dieu et l'Eucharistie deviennent
Pain de Vie, Nourritures spirituelles pour notre Âme, nous devenons un avec Dieu :
Dieu en nous et nous en Dieu, nous sommes le Corps du Christ et comme tout Corps,
il a besoin de se substanter
« Ils entrèrent à Capharnaüm. Aussitôt, le jour du sabbat, Jésus se rendit à la synagogue, et là, il enseignait. On était frappé par son enseignement, car il enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes. »
Nous découvrons la manière d’agir de Jésus, et nous voulons le comprendre en profondeur pour entrer dans son mystère. L’action de Jésus nous révèle à nous-mêmes, elle nous appelle à prendre conscience de notre chemin, de notre manière de considérer les choses, et tout spécialement par rapport à nous-même. Notre façon de voir et de comprendre la réalité qui nous entoure est marquée par notre passé et par nos expériences. Cela est bien souvent inconscient ! Dès que des forces d’opposition entrent en mouvement, elles vont révéler ce que nous sommes. Ces forces d’opposition peuvent rendre impossible l’accès à l’œuvre de Jésus. Jésus est dans la synagogue de Capharnaüm, il enseigne avec autorité. Il y a dans l’assistance un homme tourmenté par un esprit mauvais qui se met à crier : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ; Es-tu venu pour nous perdre. »[/color] Le cri de cet homme, sous le joug du menteur, exprime le cri d’une humanité sous le joug d’un monde d’iniquité, et qui ne reconnaît plus ce joug. Seule, la vie de Dieu en nous, peut nous faire sortir de cet esclavage et nous purifier. Le combat spirituel dans lequel nous sommes engagés est rude, mais la lumière pointe à l’horizon, avec Jésus le Sauveur du monde.
« Or, il y avait dans leur synagogue un homme tourmenté par un esprit impur, qui se mit à crier : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais qui tu es : tu es le Saint de Dieu. » Jésus l’interpella vivement : « Tais-toi ! Sors de cet homme. » L’esprit impur le fit entrer en convulsions, puis, poussant un grand cri, sortit de lui.
Nous sommes tous tourmentés par des esprits qui sommeillent dans notre existence. Il ne faut pas grand-chose pour les réveiller, que quelqu’un de plus fort que nous vienne nous agiter et le combat naît aussitôt. L’action de Jésus consiste à nous rendre à nous-même. Il nous donne d’agir à partir de notre liberté. Jésus peut alors s’adresser à notre liberté renouvelée pour une union véritable avec lui. Cet homme tourmenté par un esprit mauvais crie : "Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre." Le pluriel indique la connivence entre cet homme et l’esprit mauvais qui lui fait dire "nous." Les deux sont confondus ! C’est ainsi qu’est manifesté l’esclavage de cet homme. Qui parle ? l’esprit mauvais ? l’homme esclave de l’esprit mauvais ? La violence qui s’exprime, exprime cette difficulté d’identité la rendant manifeste : « L’esprit mauvais le secoua avec violence et sortit de lui en poussant un grand cri. »
"Ils furent tous frappés de stupeur et se demandaient entre eux : « Qu’est-ce que cela veut dire ? Voilà un enseignement nouveau, donné avec autorité ! Il commande même aux esprits impurs, et ils lui obéissent. » Sa renommée se répandit aussitôt partout, dans toute la région de la Galilée.
Nous sommes appelés à ne pas juger trop vite les autres, à prendre le temps de les recevoir comme Jésus, de les comprendre dans ce qu’ils vivent, pour réaliser la parole qui nous est adressée à travers ce qui nous arrive. Le chemin que Jésus nous propose est le vrai chemin par lequel nous nous disposons à pouvoir lui répondre vraiment. La profondeur de l’esclavage de l’humanité est telle qu’il nous faut un Sauveur. Jésus est ce Sauveur au milieu de ses frères qui interpelle vivement cet homme mu par le menteur : « Silence, sors de cet homme. » Jésus fait la lumière en cet homme, il fait advenir en lui la liberté et l’amour. A la suite de Jésus, nous prions pour la libération du monde, nous voulons entendre ce qui nous est dit pour que nous puissions cheminer, à partir des capacités que Dieu nous donne, et dont nous usons librement. Nous connaissons la grandeur et la beauté de notre baptême. Nous avons été soustraits au monde d’iniquité dans lequel nous vivons, comme Moïse qui intercède sur la montagne pour son peuple. Nous voulons nous tenir dans la prière, pour que le règne de l’amour de Dieu se manifeste encore.
Nous demandons la grâce de la prière et de l’adoration pour avoir pour tout homme une vraie charité.
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Bonjour Jacques, la Parole de Dieu et l'Eucharistie deviennent
Pain de Vie, Nourritures spirituelles pour notre Âme, nous devenons un avec Dieu :
Dieu en nous et nous en Dieu, nous sommes le Corps du Christ et comme tout Corps,
il a besoin de se substanter
Le dimanche 31 janvier 2021
4e dimanche du temps ordinaire, année B
« il enseignait en homme qui a autorité »
4e dimanche du temps ordinaire, année B
« il enseignait en homme qui a autorité »
LECTURES : Dt. 18, 15-20 Ps. 94 1 Co. 7, 32-35 Mc. 1, 21-28
« Ils entrèrent à Capharnaüm. Aussitôt, le jour du sabbat, Jésus se rendit à la synagogue, et là, il enseignait. On était frappé par son enseignement, car il enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes. »
Nous découvrons la manière d’agir de Jésus, et nous voulons le comprendre en profondeur pour entrer dans son mystère. L’action de Jésus nous révèle à nous-mêmes, elle nous appelle à prendre conscience de notre chemin, de notre manière de considérer les choses, et tout spécialement par rapport à nous-même. Notre façon de voir et de comprendre la réalité qui nous entoure est marquée par notre passé et par nos expériences. Cela est bien souvent inconscient ! Dès que des forces d’opposition entrent en mouvement, elles vont révéler ce que nous sommes. Ces forces d’opposition peuvent rendre impossible l’accès à l’œuvre de Jésus. Jésus est dans la synagogue de Capharnaüm, il enseigne avec autorité. Il y a dans l’assistance un homme tourmenté par un esprit mauvais qui se met à crier : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ; Es-tu venu pour nous perdre. »[/color] Le cri de cet homme, sous le joug du menteur, exprime le cri d’une humanité sous le joug d’un monde d’iniquité, et qui ne reconnaît plus ce joug. Seule, la vie de Dieu en nous, peut nous faire sortir de cet esclavage et nous purifier. Le combat spirituel dans lequel nous sommes engagés est rude, mais la lumière pointe à l’horizon, avec Jésus le Sauveur du monde.
« Or, il y avait dans leur synagogue un homme tourmenté par un esprit impur, qui se mit à crier : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais qui tu es : tu es le Saint de Dieu. » Jésus l’interpella vivement : « Tais-toi ! Sors de cet homme. » L’esprit impur le fit entrer en convulsions, puis, poussant un grand cri, sortit de lui.
Nous sommes tous tourmentés par des esprits qui sommeillent dans notre existence. Il ne faut pas grand-chose pour les réveiller, que quelqu’un de plus fort que nous vienne nous agiter et le combat naît aussitôt. L’action de Jésus consiste à nous rendre à nous-même. Il nous donne d’agir à partir de notre liberté. Jésus peut alors s’adresser à notre liberté renouvelée pour une union véritable avec lui. Cet homme tourmenté par un esprit mauvais crie : "Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre." Le pluriel indique la connivence entre cet homme et l’esprit mauvais qui lui fait dire "nous." Les deux sont confondus ! C’est ainsi qu’est manifesté l’esclavage de cet homme. Qui parle ? l’esprit mauvais ? l’homme esclave de l’esprit mauvais ? La violence qui s’exprime, exprime cette difficulté d’identité la rendant manifeste : « L’esprit mauvais le secoua avec violence et sortit de lui en poussant un grand cri. »
"Ils furent tous frappés de stupeur et se demandaient entre eux : « Qu’est-ce que cela veut dire ? Voilà un enseignement nouveau, donné avec autorité ! Il commande même aux esprits impurs, et ils lui obéissent. » Sa renommée se répandit aussitôt partout, dans toute la région de la Galilée.
Nous sommes appelés à ne pas juger trop vite les autres, à prendre le temps de les recevoir comme Jésus, de les comprendre dans ce qu’ils vivent, pour réaliser la parole qui nous est adressée à travers ce qui nous arrive. Le chemin que Jésus nous propose est le vrai chemin par lequel nous nous disposons à pouvoir lui répondre vraiment. La profondeur de l’esclavage de l’humanité est telle qu’il nous faut un Sauveur. Jésus est ce Sauveur au milieu de ses frères qui interpelle vivement cet homme mu par le menteur : « Silence, sors de cet homme. » Jésus fait la lumière en cet homme, il fait advenir en lui la liberté et l’amour. A la suite de Jésus, nous prions pour la libération du monde, nous voulons entendre ce qui nous est dit pour que nous puissions cheminer, à partir des capacités que Dieu nous donne, et dont nous usons librement. Nous connaissons la grandeur et la beauté de notre baptême. Nous avons été soustraits au monde d’iniquité dans lequel nous vivons, comme Moïse qui intercède sur la montagne pour son peuple. Nous voulons nous tenir dans la prière, pour que le règne de l’amour de Dieu se manifeste encore.
Nous demandons la grâce de la prière et de l’adoration pour avoir pour tout homme une vraie charité.
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
« Voilà un enseignement nouveau, donné avec autorité ! » Saint Marc (1, 21-28)
Père Jean-Jacques DUTEN
SATAN VAINCU À NOS PIEDS !
Homélie de dimanche 31 Janvier 2021: Mc 1, 21-28
Homélie de dimanche 31 Janvier 2021: Mc 1, 21-28
Le Livre du Ciel :
Ma fille, mon Amour ne s’est pas éteint à cause de la chute de l’homme, Il s’est enflammé encore plus; et bien que ma Justice l’ait justement puni et condamné, mon Amour embrassant ma Justice et sans qu’intervienne le temps, promit le futur Rédempteur et dit au serpent trompeur avec l’empire de ma Puissance : « Tu t’es servi d’une femme pour arracher l’homme à ma Divine Volonté et Moi, au moyen d’une autre femme ayant en son pouvoir la Puissance de mon Fiat, je détruirai ton orgueil et elle t’écrasera la tête de son Pied Immaculé.» Ces paroles brûlèrent le serpent infernal plus que l’enfer lui-même et lui mirent tant de rage au cœur qu’on ne pouvait plus l’arrêter; il n’a pas cessé de tourner et de retourner la terre pour découvrir celle qui devait lui écraser la tête, non pas pour l’écraser, mais afin de pouvoir, par ses arts infernaux, par son astuce diabolique, faire tomber celle qui devait le vaincre, l’affaiblir et le lier dans les ténèbres de l’abîme. Pendant quatre mille ans il a parcouru la terre et lorsqu’il voyait des femmes plus vertueuses et meilleures, il livrait son combat, les mettait à l’épreuve de toutes les manières, puis il les laissait après s’être assuré, par quelque faiblesse ou défaut, que ce n’était pas par elles qu’il devait être vaincu. Puis il poursuivait sa tournée. Elle est cependant venue la créature céleste qui devait lui écraser la tête, et l’ennemi a senti en elle une telle Puissance que ses jambes faiblirent et il n’eut pas la force de s’en approcher.
Fou de rage il sortit tout l’arsenal de ses armes infernales pour la combattre, tenta de l’approcher, mais sentit qu’il faiblissait, les jambes brisées, et il fut contraint de battre en retraite; c’est donc de loin qu’il épiait ses admirables vertus, sa Puissance et sa Sainteté. Et Moi, afin de le confondre et de jeter en lui le doute, Je lui faisais voir dans la Céleste Dame Souveraine des choses humaines, telles que prendre de la nourriture, pleurer, dormir, etc., et il se persuadait que ce n’était pas elle parce qu’une personne aussi puissante et aussi sainte ne pouvait pas être sujette aux besoins naturels de la vie. Puis le doute le reprenait et il voulait revenir à l’assaut, mais en vain. Ma Volonté est Puissance et Elle affaiblit tous les maux et toutes les Puissances infernales; elle est Lumière qui se fait connaître par tous et fait sentir sa Puissance là où elle règne de sorte que même les démons ne peuvent refuser de La reconnaître. C’est pourquoi la Reine du Ciel était et demeure la terreur de l’enfer tout entier.
Mais le serpent sent sur sa tête les quelques paroles qu’il a entendues en Éden : mon irrévocable condamnation qu’une femme lui écrasera la tête, et il sait qu’en ayant la tête écrasée son Royaume sur la terre sera renversé, qu’il perdra son prestige, et que tout le mal qu’il a fait en Éden au moyen d’une femme sera réparé par une autre femme. Et bien que la Reine du Ciel l’ait affaibli, lui ait écrasé la tête, et que Je l’aie Moi-même attaché à la croix de sorte qu’il n’est plus libre de faire tout ce qu’il veut, il peut encore s’approcher de quelques malheureux pour en faire des fous. D’autant plus qu’il voit que la volonté humaine n’est pas encore subjuguée par la Volonté Divine, que son Règne n’est pas encore formé, et il craint qu’une autre femme ne doive finir de brûler ses temples pour que la condamnation qu’il a sur sa tête écrasée par le pied de la Reine Immaculée trouve son achèvement, car il sait que lorsque Je parle, ma Parole possède la Vertu Communicative aux autres créatures.
Certain que celle qu’il craignait était la Très Sainte Vierge Marie, et incapable maintenant de la combattre, il a repris sa ronde et cherche partout afin de voir si une autre femme aurait reçu de Dieu la mission de faire connaître la Divine Volonté pour qu’Il règne; et comme il t’a vue écrire beaucoup sur mon Fiat, le simple doute que ce pourrait être toi lui a fait se lever tout l’enfer contre toi – et c’est la raison pour tout ce que tu as souffert – en se servant de méchants hommes qui inventent des calomnies et des choses qui n’existent pas. Mais en te voyant tellement pleurer, les démons sont persuadés que tu n’es pas celle qu’ils craignent tant être capable de mener à la ruine leur Royaume diabolique. Voilà pour ce qui concerne la Reine du Ciel à propos du serpent infernal. Maintenant Je veux te dire ce qui concerne les créatures.
Vol 29, 19 mai 1931
DISCIPLES AMOUREUX MISSIONNAIRES
Que ton règne vienne
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Bonjour à vous tous, amis qui aimez la Parole de Vie, goûtez et voyez comme est bon le seigneur!
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Ils arrivèrent sur l’autre rive, de l’autre côté de la mer de Galilée, dans le pays des Géraséniens. Comme Jésus sortait de la barque, aussitôt un homme possédé d’un esprit impur s’avança depuis les tombes à sa rencontre ; il habitait dans les tombeaux et personne ne pouvait plus l’attacher, même avec une chaîne ; en effet on l’avait souvent attaché avec des fers aux pieds et des chaînes, mais il avait rompu les chaînes, brisé les fers, et personne ne pouvait le maîtriser. Sans arrêt, nuit et jour, il était parmi les tombeaux et sur les collines, à crier, et à se blesser avec des pierres. Voyant Jésus de loin, il accourut, se prosterna devant lui et cria d’une voix forte : « Que me veux-tu, Jésus, fils du Dieu Très-Haut ? Je t’adjure par Dieu, ne me tourmente pas ! »
Jésus et ses disciples passent sur l’autre côté du lac, dans un pays païen. Dieu créateur est bon, sans ombre de mal et tout être créé, comme tel, est bon. Jésus se trouve face à une humanité disloquée, éclatée. Un mystère d’obscurité, de nuit est tombé sur l’humanité. Tout ce qui peut être infligé à l’humanité par la méchanceté, la perfidie du menteur, est intolérable ! Jésus, le Sauveur du monde, est venu nous en libérer. Le mal ne vient pas de la source de l’être, il n’est pas originel. Le mal vient d’une liberté créée, d’une liberté mal utilisée. Obscur, le mal n’est pas logique. Nous retrouvons mystérieusement ce dont souffre beaucoup de nos contemporains : « J’étais comme un puzzle dont les pièces étaient toutes répandues par terre, progressivement les pièces se sont rapprochées et j’ai retrouvé mon unité, » témoignait un jeune ! Nous avons là comme l’extrême de la souffrance humaine à l’œuvre dans la vie d’un homme, le « mystère d’iniquité, » comme l’appelle l’apôtre Paul.
Jésus lui disait en effet : « Esprit impur, sors de cet homme ! » Et il lui demandait : « Quel est ton nom ? » L’homme lui dit : « Mon nom est Légion, car nous sommes beaucoup. » Et ils suppliaient Jésus avec insistance de ne pas les chasser en dehors du pays. Or, il y avait là, du côté de la colline, un grand troupeau de porcs qui cherchait sa nourriture. Alors, les esprits impurs supplièrent Jésus : « Envoie-nous vers ces porcs, et nous entrerons en eux. » Il le leur permit. Ils sortirent alors de l’homme et entrèrent dans les porcs. Du haut de la falaise, le troupeau se précipita dans la mer : il y avait environ deux mille porcs, et ils se noyaient dans la mer.
Cet homme hurle sa vie comme beaucoup de personnes aujourd’hui dans les hôpitaux psychiatriques ou dans les lieux de l’humanité les plus reculés ou femmes et hommes sont à la torture ! La puissance du mal dans le cœur de cet homme est intolérable. Ce mal vient d’une source subordonnée à Dieu qui est le plus fort. Avec la lumière et la force de Jésus l’humanité peut être guérie. Cette dissolution de la personnalité, l’éclatement intérieur de ce pauvre homme dit bien sa souffrance. Dieu a introduit la guérison dans l’humanité, il est entré en personne dans l’histoire, cet homme qui souffre sera guéri. Jésus fait face à l’ennemi de la nature humaine, il vient nous donner la paix. Le Christ crucifié et ressuscité, nouvel Adam, oppose au fleuve pollué du mal un fleuve de lumière. Et ce fleuve est présent dans l’histoire, le fleuve de lumière qui vient du Christ est présent, il est puissant.
Ceux qui les gardaient prirent la fuite, ils annoncèrent la nouvelle dans la ville et dans la campagne, et les gens vinrent voir ce qui s’était passé. Ils arrivent auprès de Jésus, ils voient le possédé assis, habillé, et revenu à la raison, lui qui avait eu la légion de démons, et ils furent saisis de crainte. Ceux qui avaient vu tout cela leur racontèrent l’histoire du possédé et ce qui était arrivé aux porcs. Alors ils se mirent à supplier Jésus de quitter leur territoire. Comme Jésus remontait dans la barque, le possédé le suppliait de pouvoir être avec lui. Il n’y consentit pas, mais il lui dit : « Rentre à la maison, auprès des tiens, annonce-leur tout ce que le Seigneur a fait pour toi dans sa miséricorde. » Alors l’homme s’en alla, il se mit à proclamer dans la région de la Décapole ce que Jésus avait fait pour lui, et tout le monde était dans l’admiration.
Cet Evangile manifeste la souffrance de l’humanité qui fait corps avec le mal-être, la douleur qui l’étreint : "Si vous saviez comme je suis moche ! Est- ce que je pourrais vous dire jusqu’où va ma misère ? est-ce que vous pourriez l’entendre ? disent beaucoup de jeunes. Cette souffrance est répandue dans le monde, c’est la coupe de malédiction que Jésus absorbera dans l’agonie et la Passion ! Dieu, en Jésus, fera surgir de là une coupe de bénédiction : le sang du Christ qui nous purifie et qui nous pacifie. Aujourd’hui, c’est dans la célébration de l’Eucharistie, sur l’autel, que toute la souffrance du monde aboutit. Avec Jésus, en lui et par lui, les tourmentés de la terre reçoivent la lumière du Christ ressuscité qui va leur permettre de retrouver la Paix.
Nous demandons la grâce d’être libéré et de demeurer en Jésus.
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Le lundi 1 février 2021
Lundi de la 4e semaine, année impaire
« Rentre à la maison, auprès des tiens, annonce-leur tout ce que
le Seigneur a fait pour toi dans sa miséricorde. »
Lundi de la 4e semaine, année impaire
« Rentre à la maison, auprès des tiens, annonce-leur tout ce que
le Seigneur a fait pour toi dans sa miséricorde. »
LECTURES : He. 11, 32-40 Ps. 30 Mc. 5, 1-20
Ils arrivèrent sur l’autre rive, de l’autre côté de la mer de Galilée, dans le pays des Géraséniens. Comme Jésus sortait de la barque, aussitôt un homme possédé d’un esprit impur s’avança depuis les tombes à sa rencontre ; il habitait dans les tombeaux et personne ne pouvait plus l’attacher, même avec une chaîne ; en effet on l’avait souvent attaché avec des fers aux pieds et des chaînes, mais il avait rompu les chaînes, brisé les fers, et personne ne pouvait le maîtriser. Sans arrêt, nuit et jour, il était parmi les tombeaux et sur les collines, à crier, et à se blesser avec des pierres. Voyant Jésus de loin, il accourut, se prosterna devant lui et cria d’une voix forte : « Que me veux-tu, Jésus, fils du Dieu Très-Haut ? Je t’adjure par Dieu, ne me tourmente pas ! »
Jésus et ses disciples passent sur l’autre côté du lac, dans un pays païen. Dieu créateur est bon, sans ombre de mal et tout être créé, comme tel, est bon. Jésus se trouve face à une humanité disloquée, éclatée. Un mystère d’obscurité, de nuit est tombé sur l’humanité. Tout ce qui peut être infligé à l’humanité par la méchanceté, la perfidie du menteur, est intolérable ! Jésus, le Sauveur du monde, est venu nous en libérer. Le mal ne vient pas de la source de l’être, il n’est pas originel. Le mal vient d’une liberté créée, d’une liberté mal utilisée. Obscur, le mal n’est pas logique. Nous retrouvons mystérieusement ce dont souffre beaucoup de nos contemporains : « J’étais comme un puzzle dont les pièces étaient toutes répandues par terre, progressivement les pièces se sont rapprochées et j’ai retrouvé mon unité, » témoignait un jeune ! Nous avons là comme l’extrême de la souffrance humaine à l’œuvre dans la vie d’un homme, le « mystère d’iniquité, » comme l’appelle l’apôtre Paul.
Jésus lui disait en effet : « Esprit impur, sors de cet homme ! » Et il lui demandait : « Quel est ton nom ? » L’homme lui dit : « Mon nom est Légion, car nous sommes beaucoup. » Et ils suppliaient Jésus avec insistance de ne pas les chasser en dehors du pays. Or, il y avait là, du côté de la colline, un grand troupeau de porcs qui cherchait sa nourriture. Alors, les esprits impurs supplièrent Jésus : « Envoie-nous vers ces porcs, et nous entrerons en eux. » Il le leur permit. Ils sortirent alors de l’homme et entrèrent dans les porcs. Du haut de la falaise, le troupeau se précipita dans la mer : il y avait environ deux mille porcs, et ils se noyaient dans la mer.
Cet homme hurle sa vie comme beaucoup de personnes aujourd’hui dans les hôpitaux psychiatriques ou dans les lieux de l’humanité les plus reculés ou femmes et hommes sont à la torture ! La puissance du mal dans le cœur de cet homme est intolérable. Ce mal vient d’une source subordonnée à Dieu qui est le plus fort. Avec la lumière et la force de Jésus l’humanité peut être guérie. Cette dissolution de la personnalité, l’éclatement intérieur de ce pauvre homme dit bien sa souffrance. Dieu a introduit la guérison dans l’humanité, il est entré en personne dans l’histoire, cet homme qui souffre sera guéri. Jésus fait face à l’ennemi de la nature humaine, il vient nous donner la paix. Le Christ crucifié et ressuscité, nouvel Adam, oppose au fleuve pollué du mal un fleuve de lumière. Et ce fleuve est présent dans l’histoire, le fleuve de lumière qui vient du Christ est présent, il est puissant.
Ceux qui les gardaient prirent la fuite, ils annoncèrent la nouvelle dans la ville et dans la campagne, et les gens vinrent voir ce qui s’était passé. Ils arrivent auprès de Jésus, ils voient le possédé assis, habillé, et revenu à la raison, lui qui avait eu la légion de démons, et ils furent saisis de crainte. Ceux qui avaient vu tout cela leur racontèrent l’histoire du possédé et ce qui était arrivé aux porcs. Alors ils se mirent à supplier Jésus de quitter leur territoire. Comme Jésus remontait dans la barque, le possédé le suppliait de pouvoir être avec lui. Il n’y consentit pas, mais il lui dit : « Rentre à la maison, auprès des tiens, annonce-leur tout ce que le Seigneur a fait pour toi dans sa miséricorde. » Alors l’homme s’en alla, il se mit à proclamer dans la région de la Décapole ce que Jésus avait fait pour lui, et tout le monde était dans l’admiration.
Cet Evangile manifeste la souffrance de l’humanité qui fait corps avec le mal-être, la douleur qui l’étreint : "Si vous saviez comme je suis moche ! Est- ce que je pourrais vous dire jusqu’où va ma misère ? est-ce que vous pourriez l’entendre ? disent beaucoup de jeunes. Cette souffrance est répandue dans le monde, c’est la coupe de malédiction que Jésus absorbera dans l’agonie et la Passion ! Dieu, en Jésus, fera surgir de là une coupe de bénédiction : le sang du Christ qui nous purifie et qui nous pacifie. Aujourd’hui, c’est dans la célébration de l’Eucharistie, sur l’autel, que toute la souffrance du monde aboutit. Avec Jésus, en lui et par lui, les tourmentés de la terre reçoivent la lumière du Christ ressuscité qui va leur permettre de retrouver la Paix.
Nous demandons la grâce d’être libéré et de demeurer en Jésus.
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
"beaucoup de personnes aujourd’hui dans les hôpitaux psychiatriques ou dans les lieux de l’humanité les plus reculés , femmes et hommes, sont à la torture ! La puissance du mal dans le cœur de cet homme est intolérable. Ce mal vient d’une source subordonnée à Dieu qui est le plus fort. Avec la lumière et la force de Jésus l’humanité peut être guérie. Cette dissolution de la personnalité, l’éclatement intérieur dit bien sa souffrance. Dieu a introduit la guérison dans l’humanité, entré en personne dans l’histoire, cet homme qui souffre sera guéri. Jésus fait face à l’ennemi de la nature humaine, il vient nous donner la paix. Le Christ crucifié et ressuscité, nouvel Adam, oppose au fleuve pollué du mal un fleuve de lumière. Et ce fleuve est présent dans l’histoire, le fleuve de lumière qui vient du Christ est présent, il est puissant.(...) Aujourd’hui, c’est dans la célébration de l’Eucharistie, sur l’autel, que toute la souffrance du monde aboutit. Avec Jésus, en lui et par lui, les tourmentés de la terre reçoivent la lumière du Christ ressuscité qui va leur permettre de retrouver la Paix."
Venez, adorons - le !
"Nous t'adorons O Christ et nous te bénissons
Parce que tu as racheté le monde par Ta Sainte Croix
Bénies soient les Plaies de Jésus
Qui nous ont sauvées des peines du péché
Béni soit Son Précieux Sang
Qui emporte toute iniquité "
peut on dire à chaque communion physique ou spirituelle en communion avec les eucharisties qui sont célébrées dans le monde entier (4 à 5 toutes les secondes )
azais- MEDIATEUR
- Messages : 9459
Age : 73
Inscription : 10/02/2016
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Bonjour à vous tous, amis qui aimez la Parole de Vie, goûtez et voyez comme est bon le seigneur!
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
« Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur. Ils venaient aussi offrir le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes. »
Marie serre Jésus dans ses bras et Joseph apporte l’offrande des pauvres : deux jeunes colombes. Dans la foule du Temple, un vieillard et un tout jeune foyer se retrouvent. Siméon, un homme de foi d’amour et d’espérance est envoyé par l’Esprit au-devant du Messie. C’est un homme d’Esprit, pleinement « ajusté » au vouloir de Dieu. Il reçoit l’Enfant Jésus : C’est la nouvelle alliance dans les bras de l’ancienne. Marie et Joseph suivent les exigences du premier testament, mus par l’Esprit Saint. Voilà réalisée la première rencontre de Jésus avec son peuple. Cette rencontre s’effectue dans la Liturgie d’une manière surprenante. Marie porte l’enfant, comme nous portons nos « cierges allumés, » signes de notre Baptême. Jésus est la Lumière du monde. Marie, habitée par l’Esprit Saint, le serre sur son cœur. Il est ce « petit » qu’elle aime plus que tout, qui vient à la rencontre de son Peuple qui attendait la consolation d’Israël. L’Esprit Saint, par l’intermédiaire de Siméon, est donné à son Peuple qui en est transformé et illuminé, à la grande surprise de Marie et de Joseph. Tous sont dans l’émerveillement.
« Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui. » Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur. Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple. »
Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur. Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple. Siméon, l’enfant Jésus au creux de ses bras, se met à bénir Dieu. Le contact avec cet Enfant transforme le vieillard ; « Mes yeux ont vu ton salut. » Ce vieillard, mu par l’Esprit Saint, a découvert le Secret. L’Esprit, illuminant sa prière, dévoile le destin de l’Enfant et celui de sa Mère. Pour lui-même, le vieillard parle de départ et de paix. Pour l’Enfant, Siméon annonce un destin universel : il sera le salut de tous les peuples. Toute l’humanité sera éclairée par la lumière qui émane de cet Enfant. L’irruption de cette lumière tracera une frontière entre l’assentiment et le refus de Dieu. Face à Jésus vrai Dieu et vrai homme, un discernement révélera le fond des cœurs et s’imposera à tout homme dans la pente secrète de sa liberté. Quand nous entrons dans l’Église avec notre petit cierge allumé, nous nous souvenons de notre Baptême. Jésus est cette lumière que nous resplendissons. Nous nous réchauffons à sa chaleur, elle illumine notre visage.
« Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait, Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant : Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole." Car mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples : lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. » Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction et toi, ton âme sera traversée d’un glaive : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »
Un grand étonnement passe dans le regard de Marie, un glaive traversera sa vie ; l’épreuve révélera le fond des cœurs. Le sort de la mère est lié à l’Enfant, le sort de l’épouse est lié à l’Époux. Marie entre déjà dans les mystères douloureux de Jésus, elle va le chérir plus encore. Elle aime Celui-là qui va l’entraîner avec Lui au salut du monde. Elle est la Mère de Compassion qui le suivra partout, comme l’épouse suit l’Agneau partout où il va. Nous nous sentons si fragile entre le don et le refus, entre l’abandon et l’inquiétude. Nous avons trouvé la lumière pour nos pas et la paix que Dieu nous demande de porter au monde. Gardons et portons l’Enfant Jésus, c’est lui qui nous conduit. Jésus présenté au Temple, ouvre un chemin de libération au monde, il vient nous sauver.
Nous demandons la grâce d’être libéré et de demeurer en Jésus.
1- Maintenant,
Ô Maître Souverain,
Tu peux laisser s'en aller ton serviteur
Dans la Paix
Selon ta Parole.
Car mes yeux ont vu ton salut
Que tu prépares à la face des peuples
Lumière qui éclaire les nations
Et gloire de ton peuple Israël.
2- Veille-nous,
Seigneur, jusqu'à demain,
Garde sur nous, tout au long de cette nuit,
Ton regard
Et ta bienveillance.
Que le mal s'éloigne de nous
Et qu'il emporte la peur et le doute.
Apaise nos colères, nos passions.
Accorde notre cœur à ta paix.
Amen
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Le mardi 2 février 2021
Fête du Seigneur. 1 : Présentation de Jésus au Temple
« Lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. »
Fête du Seigneur. 1 : Présentation de Jésus au Temple
« Lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. »
LECTURES : Ml. 3, 1-4 Ps. 23 Lc. 2, 22-40
« Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur. Ils venaient aussi offrir le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes. »
Marie serre Jésus dans ses bras et Joseph apporte l’offrande des pauvres : deux jeunes colombes. Dans la foule du Temple, un vieillard et un tout jeune foyer se retrouvent. Siméon, un homme de foi d’amour et d’espérance est envoyé par l’Esprit au-devant du Messie. C’est un homme d’Esprit, pleinement « ajusté » au vouloir de Dieu. Il reçoit l’Enfant Jésus : C’est la nouvelle alliance dans les bras de l’ancienne. Marie et Joseph suivent les exigences du premier testament, mus par l’Esprit Saint. Voilà réalisée la première rencontre de Jésus avec son peuple. Cette rencontre s’effectue dans la Liturgie d’une manière surprenante. Marie porte l’enfant, comme nous portons nos « cierges allumés, » signes de notre Baptême. Jésus est la Lumière du monde. Marie, habitée par l’Esprit Saint, le serre sur son cœur. Il est ce « petit » qu’elle aime plus que tout, qui vient à la rencontre de son Peuple qui attendait la consolation d’Israël. L’Esprit Saint, par l’intermédiaire de Siméon, est donné à son Peuple qui en est transformé et illuminé, à la grande surprise de Marie et de Joseph. Tous sont dans l’émerveillement.
« Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui. » Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur. Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple. »
Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur. Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple. Siméon, l’enfant Jésus au creux de ses bras, se met à bénir Dieu. Le contact avec cet Enfant transforme le vieillard ; « Mes yeux ont vu ton salut. » Ce vieillard, mu par l’Esprit Saint, a découvert le Secret. L’Esprit, illuminant sa prière, dévoile le destin de l’Enfant et celui de sa Mère. Pour lui-même, le vieillard parle de départ et de paix. Pour l’Enfant, Siméon annonce un destin universel : il sera le salut de tous les peuples. Toute l’humanité sera éclairée par la lumière qui émane de cet Enfant. L’irruption de cette lumière tracera une frontière entre l’assentiment et le refus de Dieu. Face à Jésus vrai Dieu et vrai homme, un discernement révélera le fond des cœurs et s’imposera à tout homme dans la pente secrète de sa liberté. Quand nous entrons dans l’Église avec notre petit cierge allumé, nous nous souvenons de notre Baptême. Jésus est cette lumière que nous resplendissons. Nous nous réchauffons à sa chaleur, elle illumine notre visage.
« Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait, Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant : Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole." Car mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples : lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. » Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction et toi, ton âme sera traversée d’un glaive : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »
Un grand étonnement passe dans le regard de Marie, un glaive traversera sa vie ; l’épreuve révélera le fond des cœurs. Le sort de la mère est lié à l’Enfant, le sort de l’épouse est lié à l’Époux. Marie entre déjà dans les mystères douloureux de Jésus, elle va le chérir plus encore. Elle aime Celui-là qui va l’entraîner avec Lui au salut du monde. Elle est la Mère de Compassion qui le suivra partout, comme l’épouse suit l’Agneau partout où il va. Nous nous sentons si fragile entre le don et le refus, entre l’abandon et l’inquiétude. Nous avons trouvé la lumière pour nos pas et la paix que Dieu nous demande de porter au monde. Gardons et portons l’Enfant Jésus, c’est lui qui nous conduit. Jésus présenté au Temple, ouvre un chemin de libération au monde, il vient nous sauver.
Nous demandons la grâce d’être libéré et de demeurer en Jésus.
1- Maintenant,
Ô Maître Souverain,
Tu peux laisser s'en aller ton serviteur
Dans la Paix
Selon ta Parole.
Car mes yeux ont vu ton salut
Que tu prépares à la face des peuples
Lumière qui éclaire les nations
Et gloire de ton peuple Israël.
2- Veille-nous,
Seigneur, jusqu'à demain,
Garde sur nous, tout au long de cette nuit,
Ton regard
Et ta bienveillance.
Que le mal s'éloigne de nous
Et qu'il emporte la peur et le doute.
Apaise nos colères, nos passions.
Accorde notre cœur à ta paix.
Amen
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
« Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples : lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. » Saint Luc (2,22-40)
Père Jean-Jacques DUTEN
LA PRÉSENTATION DE JÉSUS AU TEMPLE
Homélie de dimanche 31 Janvier 2021: Mc 1, 21-28
Homélie de dimanche 31 Janvier 2021: Mc 1, 21-28
Le Livre du Ciel :
L'ÂME À SA MÈRE DU CIEL : Sainte Maman, me voici à tes côtés pour t'accompagner au Temple où tu vas accomplir le plus grand des sacrifices : livrer la Vie du céleste Enfant à la merci de tous, pour que chacun s'en serve et soit, par elle, sauvé et sanctifié.
Mais, quelle douleur ! Beaucoup s'en serviront pour l'offenser et même, pour se perdre ! De grâce, Maman, dépose le petit Jésus dans mon cœur et moi, je te promets de l'aimer toujours et de le garder dans mon pauvre cœur comme ma propre vie (…)
Or, les quarante jours étant écoulés, le cher Enfant, s'anéantissant plus que jamais par amour, voulut se soumettre à la Loi et être présenté au Temple pour s'offrir pour le salut de tous. C'était la Divine Volonté qui nous appelait au grand sacrifice : nous y étions prêts. Nous avons obéi. Ma fille, quand le FIAT Divin rencontre chez quelqu'un de l'empressement à accomplir ce qu'il demande, Il met à la disposition de la créature Sa force divine, Sa sainteté, Sa puissance créatrice pour multiplier ce sacrifice pour tous et chacun ; il donne une valeur infinie à ce sacrifice qui devient la petite pièce avec laquelle il sera possible de payer et de satisfaire pour tout le monde. Pour la première fois donc, moi - ta Maman - et saint Joseph sortîmes ensemble avec le petit Enfant Jésus.
Toute la création reconnut alors son Créateur et (tous les êtres créés) ressentirent comme un honneur le fait de L'avoir au milieu d'eux; nous faisant fête, ils nous accompagnèrent tout au long du chemin.
Arrivés au Temple, nous nous sommes prosternés et nous avons adoré la Majesté Suprême ; ensuite, nous avons déposé l'Enfant dans les bras du prêtre Siméon qui L'offrit au Père Éternel pour le salut de tous. Tandis qu'il L'offrait, comme inspiré par Dieu, il reconnut en Lui le Verbe Divin et, exultant d'une immense joie, il adora le Cher Enfant et Lui rendit grâce. Après cela, Siméon se mit à prophétiser et annonça toutes mes douleurs à venir ...
Oh ! que le FIAT suprême fit sentir douloureusement à mon cœur maternel, d'un ton vibrant, la funeste tragédie de toutes les peines que mon Divin Fils aurait à souffrir ! Chaque mot était un glaive acéré qui me transperçait. Mais ce qui me transperça le plus le cœur, ce fut d'entendre que le céleste Enfant serait signe de contradiction et qu'il serait non seulement cause du salut, mais aussi cause de la chute d'un grand nombre. Quelle peine ! Quelle douleur ! Si le Vouloir Divin ne m'avait alors soutenue, j'en serais morte purement et simplement de douleur, sur-le-champ.
Mais non, il me vivifia pour commencer à former en moi le Royaume des Douleurs à l'intérieur même du Royaume de Sa Volonté Divine, de sorte que, outre mes droits de Mère que j'avais sur tous, j'acquis aussi les prérogatives de Mère et de Reine de toutes Douleurs. Oh ! Oui, avec mes douleurs, j'acquis la petite pièce pour payer les dettes de mes enfants et même celles de mes enfants ingrats. Or, ma fille, tu dois savoir que, grâce à la Lumière de la Divine Volonté qui régnait en moi, je connaissais d'avance toutes les douleurs qui devaient me frapper et bien d'autres encore que celles que le saint prophète m'avaient prédites ; bien plus, je puis dire qu'il ne me prédit alors que les douleurs qui me seraient infligées de l'extérieur, mais il ne me dit rien des douleurs intérieures de celles qui me transperceraient davantage encore, de ces peines cachées qui ne seraient connues que de mon Fils et de moi-même.
Mais rien qu'à l'entendre me redire tout cela au cours de cet acte si solennel de la présentation de mon Fils, je fus transpercée au point que mon cœur se mit à saigner et que mon âme fut déchirée par de nouvelles douleurs et de profondes blessures. A présent, écoute ta maman.
Dans tes peines, dans tout ce que tu rencontreras de douloureux - ce qui ne te manque pas à toi non plus - et quand tu sais que le Vouloir Divin attend quelque sacrifice de toi, sois prête, ne te laisse pas accabler ; au contraire, redis tout de suite le cher et doux FIAT, c'est-à dire «ce que Tu veux, je le veux» et avec un amour héroïque, fais en sorte que le Vouloir Divin prenne une place de Roi au milieu de tes peines, pour que tu en fasses de petites pièces (d'argent) d'une valeur infinie, avec quoi tu pourras payer tes dettes et même celles de tes frères. Tu les rachèteras de cette façon de l'esclavage de la volonté humaine, et tu les feras rentrer en enfants libres dans le Royaume du FIAT Divin. Sache, en effet, que le Vouloir Divin a une telle estime du sacrifice qu'll attend de la part de sa créature, qu'll ira jusqu'à lui céder Ses prérogatives divines en la couronnant entre tous Reine du Sacrifice et du Bien à venir.
La Reine du Ciel, vingt-troisième jour B
DISCIPLES AMOUREUX MISSIONNAIRES
Que ton règne vienne
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Dans tes peines, dans tout ce que tu rencontreras de douloureux et quand tu sais que le Vouloir Divin attend quelque sacrifice de toi, sois prête, ne te laisse pas accabler ; au contraire, redis tout de suite le cher et doux FIAT, «ce que Tu veux, je le veux» et avec un amour héroïque, fais en sorte que le Vouloir Divin prenne une place de Roi au milieu de tes peines, que tu en fasses de petites pièces (d'argent) d'une valeur infinie, avec quoi tu pourras payer tes dettes et même celles de tes frères. Tu les rachèteras de cette façon de l'esclavage de la volonté humaine, et tu les feras rentrer en enfants libres dans le Royaume du FIAT Divin. Sache, en effet, que le Vouloir Divin a une telle estime du sacrifice qu'll attend de la part de sa créature, qu'll ira jusqu'à lui céder Ses prérogatives divines en la couronnant entre tous Reine du Sacrifice et du Bien à venir.
Quelle belle leçon pour cette fête de la chandeleur du soleil de justice , de la lumière qui brille dans les sombres recoins de nos âmes à en faire des phares et havres de paix et de benedictions
Quelle belle leçon pour cette fête de la chandeleur du soleil de justice , de la lumière qui brille dans les sombres recoins de nos âmes à en faire des phares et havres de paix et de benedictions
azais- MEDIATEUR
- Messages : 9459
Age : 73
Inscription : 10/02/2016
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Bonjour à vous tous, amis qui aimez la Parole de Vie, goûtez et voyez comme est bon le seigneur!
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Sorti de là, Jésus se rendit dans son lieu d’origine, et ses disciples le suivirent. Le jour du sabbat, il se mit à enseigner dans la synagogue. De nombreux auditeurs, frappés d’étonnement, disaient : « D’où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et ces grands miracles qui se réalisent par ses mains ?
Jésus revient à Nazareth, dans le berceau de son enfance. Il est le fils de Marie, ses frères et ses sœurs, c’est à dire ses cousins, cousines, sa famille éloignée sont là. Le jour du sabbat, il se rend à la synagogue. Nous pouvons imaginer la joie de Marie sa mère ! Ses compatriotes l’accueillent aussi avec une grande joie. Mais dès que Jésus se met à enseigner, leur étonnement se transforme en rejet. Ils sont « profondément choqués à cause de Lui. » Pour eux, Jésus n’est que le charpentier du village, le fils de Marie… Comment regarder Jésus qui vient dans notre quotidien. Le recevoir dans sa mission d’évangélisation dans notre vie n’est pas aisé ! Sa Parole change notre vie, elle actualise le Don de Dieu pour aujourd’hui. Si Jésus n’est pas reçu, Dieu est absent de notre quotidien, c’est comme avant. Là, « Jésus ne pouvait accomplir aucun miracle. » Pour que Dieu puisse agir, il faut nous mettre à l’école de l’Esprit Saint, et grandir dans la foi. Si nous manquons de Foi, Jésus ne peut pas agir. L’œuvre de Dieu est proportionnée à notre foi ; Nous prions alors : "Je crois Seigneur, mais viens au secours de mon peu de Foi !" Cette prière est toujours très actuelle.
N’est-il pas le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon ? Ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ? » Et ils étaient profondément choqués à son sujet.
A l’étonnement, au rejet des nazaréens, répond un autre étonnement, celui de Jésus devant leur manque de foi. Deux attitudes humaines étonnent Jésus, la foi sans faille du centurion, le manque de foi manifesté ici. Si nous défendons une vérité de foi qui va à l’encontre de l’opinion générale, nous rencontrons mépris et critique au sein de notre propre communauté. Regarder le passé comme immuable, alors que tout a changé autour de nous, nous établi dans une fausse sécurité. Des lors plus rien ne bougera, la mort sera installée. Nous entendons quelquefois : « Cela fait quinze ans que je vis avec cette personne, c’est toujours la même chose, rien ne peut bouger ! » Il nous faut grandir dans l’Esprit Saint qui fait toute chose nouvelle. Alors nous allons pouvoir nous émerveiller à nouveau ! La parole de Dieu ouvre nos yeux pour la construction du Royaume de Dieu.
Jésus leur disait : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa parenté et sa maison. » Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle ; il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains. Et il s’étonna de leur manque de foi. Jésus parcourait les villages d’alentour en enseignant.
Dieu se sert souvent des personnes de notre entourage pour nous transmettre l’Evangile. Il nous est difficile d’accepter leur témoignage. Dieu nous parle par nos proches à des moments importants de notre vie, il nous faut l’accueillir. Lorsque nous écoutons un inconnu, « venu d’ailleurs, » nous annoncer une chose extraordinaire, même si ce qu’il dit ne repose pas sur un fondement réel, nous l’écoutons ! Les égarements de notre nature arrêtent l’action de Dieu. Nous trouvons nous aussi dans notre vie le doute et le manque de foi. Nos actions sont le fruit de nos pensées et non de l’Esprit Saint. Jésus nous donne son Esprit Saint pour ouvrir notre cœur. Aimés, choisis de Dieu, nous sommes comblés par Dieu qui veut que nous lui fassions une confiance infinie. Dans sa miséricorde infinie, il nous donne les moyens de progresser dans notre vie pour hâter la venue du Règne. Mû par l’Esprit, nous sommes en constante progression, l’Esprit-Saint agit sans cesse au milieu de nous et à travers nous.
Nous demandons la grâce d’une grande foi pour nous laisser renouveler par la parole de Dieu.
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Le mercredi 3 février 2021
Mercredi de la 4e semaine, année impaire
« Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et ces grands miracles
qui se réalisent par ses mains ? »
Mercredi de la 4e semaine, année impaire
« Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et ces grands miracles
qui se réalisent par ses mains ? »
LECTURES : He 12, 4-7.11-15 Ps. 102 Mc. 6, 1-6
Sorti de là, Jésus se rendit dans son lieu d’origine, et ses disciples le suivirent. Le jour du sabbat, il se mit à enseigner dans la synagogue. De nombreux auditeurs, frappés d’étonnement, disaient : « D’où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et ces grands miracles qui se réalisent par ses mains ?
Jésus revient à Nazareth, dans le berceau de son enfance. Il est le fils de Marie, ses frères et ses sœurs, c’est à dire ses cousins, cousines, sa famille éloignée sont là. Le jour du sabbat, il se rend à la synagogue. Nous pouvons imaginer la joie de Marie sa mère ! Ses compatriotes l’accueillent aussi avec une grande joie. Mais dès que Jésus se met à enseigner, leur étonnement se transforme en rejet. Ils sont « profondément choqués à cause de Lui. » Pour eux, Jésus n’est que le charpentier du village, le fils de Marie… Comment regarder Jésus qui vient dans notre quotidien. Le recevoir dans sa mission d’évangélisation dans notre vie n’est pas aisé ! Sa Parole change notre vie, elle actualise le Don de Dieu pour aujourd’hui. Si Jésus n’est pas reçu, Dieu est absent de notre quotidien, c’est comme avant. Là, « Jésus ne pouvait accomplir aucun miracle. » Pour que Dieu puisse agir, il faut nous mettre à l’école de l’Esprit Saint, et grandir dans la foi. Si nous manquons de Foi, Jésus ne peut pas agir. L’œuvre de Dieu est proportionnée à notre foi ; Nous prions alors : "Je crois Seigneur, mais viens au secours de mon peu de Foi !" Cette prière est toujours très actuelle.
N’est-il pas le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon ? Ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ? » Et ils étaient profondément choqués à son sujet.
A l’étonnement, au rejet des nazaréens, répond un autre étonnement, celui de Jésus devant leur manque de foi. Deux attitudes humaines étonnent Jésus, la foi sans faille du centurion, le manque de foi manifesté ici. Si nous défendons une vérité de foi qui va à l’encontre de l’opinion générale, nous rencontrons mépris et critique au sein de notre propre communauté. Regarder le passé comme immuable, alors que tout a changé autour de nous, nous établi dans une fausse sécurité. Des lors plus rien ne bougera, la mort sera installée. Nous entendons quelquefois : « Cela fait quinze ans que je vis avec cette personne, c’est toujours la même chose, rien ne peut bouger ! » Il nous faut grandir dans l’Esprit Saint qui fait toute chose nouvelle. Alors nous allons pouvoir nous émerveiller à nouveau ! La parole de Dieu ouvre nos yeux pour la construction du Royaume de Dieu.
Jésus leur disait : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa parenté et sa maison. » Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle ; il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains. Et il s’étonna de leur manque de foi. Jésus parcourait les villages d’alentour en enseignant.
Dieu se sert souvent des personnes de notre entourage pour nous transmettre l’Evangile. Il nous est difficile d’accepter leur témoignage. Dieu nous parle par nos proches à des moments importants de notre vie, il nous faut l’accueillir. Lorsque nous écoutons un inconnu, « venu d’ailleurs, » nous annoncer une chose extraordinaire, même si ce qu’il dit ne repose pas sur un fondement réel, nous l’écoutons ! Les égarements de notre nature arrêtent l’action de Dieu. Nous trouvons nous aussi dans notre vie le doute et le manque de foi. Nos actions sont le fruit de nos pensées et non de l’Esprit Saint. Jésus nous donne son Esprit Saint pour ouvrir notre cœur. Aimés, choisis de Dieu, nous sommes comblés par Dieu qui veut que nous lui fassions une confiance infinie. Dans sa miséricorde infinie, il nous donne les moyens de progresser dans notre vie pour hâter la venue du Règne. Mû par l’Esprit, nous sommes en constante progression, l’Esprit-Saint agit sans cesse au milieu de nous et à travers nous.
Nous demandons la grâce d’une grande foi pour nous laisser renouveler par la parole de Dieu.
Dernière édition par Lumen le Jeu 4 Fév 2021 - 9:40, édité 1 fois (Raison : Correction)
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
[…] « Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa parenté et sa maison. » Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle ; il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains. Et il s’étonna de leur manque de foi. Alors Jésus parcourait les villages d’alentour en enseignant. Mc 6, 1-6
Père Jean-Jacques DUTEN
3 CHOSES : DEMANDER, CROIRE QUE S’EST POSSIBLE, DIEU VEUT DONNER
Homélie de mercredi 3 Février 2021: Mc 6, 1-6
Homélie de mercredi 3 Février 2021: Mc 6, 1-6
Le Livre du Ciel :
Ma fille, la Connaissance de ma Volonté est la plus grande chose que Je puisse donner et que la créature puisse recevoir. Et son Règne est la confirmation de son grand Don, l’accomplissement de sa Volonté lorsqu’Elle est connue. Il est donc nécessaire de la Lui demander. En demandant sa Volonté, la créature acquiert l’amour pour l’aimer, elle acquiert les dots de sacrifice nécessaires pour La posséder, et en demandant, le vouloir humain perd du terrain, s’affaiblit, perd de sa force et se dispose à recevoir le Règne du Vouloir Suprême.
Et Dieu se voit ainsi prié de Se disposer Lui-même à La donner. Les dispositions sont nécessaires des deux côtés pour faire ces Célestes Dons. Combien de Dons voulons-Nous faire, mais que Nous gardons parce qu’on ne Nous les demande pas, et Nous attendons avant de les donner qu’on Nous les demande. Demander, c’est comme ouvrir un commerce entre le Créateur et la créature. Si la créature ne demande pas, le commerce est fermé et nos Célestes Dons ne descendent pas se mettre en circuit sur la face de la terre.
1 C’est pourquoi la première des nécessités indispensables pour obtenir le Royaume de la Divine Volonté est de le demander par d’incessantes prières, parce que lorsque l’on prie, les petites lettres Nous arrivent tantôt avec des sollicitudes, tantôt avec des supplications, tantôt avec un accord ayant affaire à notre Volonté, jusqu’à ce que la dernière arrive avec l’accord final.
2 La deuxième nécessité, plus indispensable que la première pour obtenir ce Royaume, c’est de savoir ce qui peut être obtenu. Qui pourra jamais penser à un bien, le désirer et l’aimer, s’il ne connaît pas ce qu’il peut obtenir? Personne. Si les anciens n’avaient pas su que le futur Rédempteur devait venir, personne n’y aurait jamais pensé, personne n’aurait prié ni espéré le salut parce que le Salut et la Sainteté en ce temps là demeuraient fixés et centralisés dans un futur Sauveur Céleste.
En dehors de cela, il n’y avait pas d’espoir d’un bien. Le fait de savoir que l’on peut avoir un bien forme la substance, la vie, la nourriture de ce bien dans la créature. De là les si nombreuses Connaissances de ma Volonté que Je t’ai manifestées afin qu’on sache que l’on peut avoir le Royaume de ma Volonté. Lorsque l’on sait qu’un bien peut être obtenu, les arts, les industries et les moyens sont mis en œuvre pour l’obtenir.
3 Le troisième moyen nécessaire est de savoir que Dieu veut donner ce Royaume. C’est ce qui jette les fondations, l’espoir certain de l’obtenir, et forme les dernières préparations pour recevoir le Royaume de ma Divine Volonté. Car savoir que celui qui possède un bien que l’on désire et pour lequel on soupire est déjà consentant à le donner, on peut dire que c’est la dernière grâce et l’acte final avant d’obtenir ce que l’on veut. En fait, si Je ne t’avais pas manifesté que Je peux et que Je veux donner ma Divine Volonté pour qu’elle règne parmi les créatures, tu aurais été, comme toutes les autres, indifférente envers un Bien si grand. De sorte que ton intérêt et tes prières ont été cause et effet de ce que tu as connu. Et Moi-même, lorsque Je suis venu sur terre pendant les trente années de ma Vie cachée, on peut dire que Je n’ai apparemment fait du bien à personne et que personne ne Me connaissait.
Je suis resté parmi les créatures sans être remarqué et tout le bien se faisait entre Moi et le Père du Ciel, ma Céleste Mère et le cher Saint Joseph parce qu’ils savaient qui j’étais; tous les autres n’en savaient rien. Mais quand Je suis sorti de Ma retraite et que Je Me suis fait connaître en disant que j’étais réellement le Messie, leur Rédempteur et leur Sauveur, malgré que Je Me sois fait connaître, j’ai attiré sur Moi calomnies, persécutions, contradictions et colère, la haine des Hébreux, la Passion et la Mort même.
Tous ces maux qui sont tombés sur Moi en avalanche ont commencé lorsque Je Me suis fait connaître, que j’ai affirmé qui j’étais réellement, le Verbe Éternel descendu du Ciel pour les sauver. Cela est si vrai que lorsque j’étais dans la maison de Nazareth et qu’ils ne savaient pas qui j’étais, personne ne Me calomniait ni ne Me voulait du mal. En Me révélant, tous les maux sont tombés sur Moi. Mais cela était nécessaire pour Me faire connaître, sinon Je serais reparti pour le Ciel sans avoir accompli ce pour quoi Je suis venu sur terre. Au contraire, en Me faisant connaître, bien que j’aie attiré tous les maux, et dans cet abîme de calamités, j’ai formé mes Apôtres, annoncé l’Évangile, opéré des Prodiges, et Ma connaissance a poussé Mes ennemis à m’infliger toutes ces souffrances, jusqu’à Me donner la Mort sur la croix.
Vol 30, 20 mars 1920
DISCIPLES AMOUREUX MISSIONNAIRES
Que ton règne vienne
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Je retiens cette leçon aujourd'hui :
la première des nécessités indispensables pour obtenir le Royaume de la Divine Volonté est de le demander par d’incessantes prières,jusqu’à l’accord final
2 La deuxième nécessité, plus indispensable que la première pour obtenir ce Royaume, c’est de savoir que l’on peut avoir un bien (ce qui) forme la substance, la vie, la nourriture de ce bien dans la créature. De là ... les moyens sont mis en œuvre pour l’obtenir.
3 Le troisième moyen nécessaire est de savoir que Dieu veut donner ce Royaume, ce qui jette les fondations, l’espoir certain de l’obtenir, et forme les dernières préparations pour recevoir le Royaume de ma Divine Volonté. Car savoir que celui qui possède un bien que l’on désire c’est la dernière grâce et l’acte final avant d’obtenir ce que l’on veut.
si Je ne t’avais pas manifesté que Je peux et que Je veux donner ma Divine Volonté pour qu’elle règne parmi les créatures, tu aurais été, comme toutes les autres, indifférente envers un Bien si grand...... ...ton intérêt et tes prières ont été cause et effet de ce que tu as connu.
la première des nécessités indispensables pour obtenir le Royaume de la Divine Volonté est de le demander par d’incessantes prières,jusqu’à l’accord final
2 La deuxième nécessité, plus indispensable que la première pour obtenir ce Royaume, c’est de savoir que l’on peut avoir un bien (ce qui) forme la substance, la vie, la nourriture de ce bien dans la créature. De là ... les moyens sont mis en œuvre pour l’obtenir.
3 Le troisième moyen nécessaire est de savoir que Dieu veut donner ce Royaume, ce qui jette les fondations, l’espoir certain de l’obtenir, et forme les dernières préparations pour recevoir le Royaume de ma Divine Volonté. Car savoir que celui qui possède un bien que l’on désire c’est la dernière grâce et l’acte final avant d’obtenir ce que l’on veut.
si Je ne t’avais pas manifesté que Je peux et que Je veux donner ma Divine Volonté pour qu’elle règne parmi les créatures, tu aurais été, comme toutes les autres, indifférente envers un Bien si grand...... ...ton intérêt et tes prières ont été cause et effet de ce que tu as connu.
azais- MEDIATEUR
- Messages : 9459
Age : 73
Inscription : 10/02/2016
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Bonjour à vous tous, amis qui aimez la Parole de Vie, goûtez et voyez comme est bon le seigneur!
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
« Il appela les Douze ; alors il commença à les envoyer en mission deux par deux. Il leur donnait autorité sur les esprits impurs, » et il leur prescrivit de ne rien prendre pour la route, mais seulement un bâton ; pas de pain, pas de sac, pas de pièces de monnaie dans leur ceinture. « Mettez des sandales, ne prenez pas de tunique de rechange. »
Pour « la première fois, » Jésus envoie les Apôtres en Mission. Celui qui reçoit cet « envoi » est d’abord appelé. C’est un appelé avec ses frères car ils sont envoyé « deux par deux, » pour annoncer l’amour infini du Père. Dieu nous a fait connaître « le mystère de sa volonté, » le plan d’amour longtemps caché et maintenant dévoilé dans le Christ Jésus. Pour que soit annoncé cet amour, il faut que nous le vivions comme Jésus l’a vécu. Dieu nous fait don de sa grâce, il nous fait entrer dans son amitié, alors que nous sommes pécheurs. Notre Père nous offre, en son Fils Bien Aimé, le pardon de nos fautes. Quel que soit le fardeau de nos misères, quels que soient l’échec ou la fragilité de notre vie spirituelle, il est là. Quelles que soient les ombres de notre vie familiale et communautaire, il nous sauve. Ce projet de salut pour chacun de ses enfants, pour le monde, c’est Dieu qui l’a formé, et nous sommes concernés par cet envoi des Apôtres en mission.
Il leur disait encore : « Quand vous avez trouvé l’hospitalité dans une maison, restez-y jusqu’à votre départ. Si, dans une localité, on refuse de vous accueillir et de vous écouter, partez et secouez la poussière de vos pieds : ce sera pour eux un témoignage. »
Le message de l’amour infini de Dieu est annoncé par les Apôtres. Il leur donne le pouvoir de l’amour infini de Dieu. Cet amour est lumière pour la vie de ceux qui le reçoivent. Partout où la lumière arrive, les ténèbres se dispersent. Là où la vie se répand, la mort recule. Partout où l’amour se donne, la haine perd du terrain. Cet envoi est l’actualisation de la victoire de l’amour de Jésus sur la Croix. « Ils partirent et proclamèrent qu’il fallait se convertir… » Au baptême, l’Esprit du Seigneur nous a marqué d’un sceau invisible à nos yeux de chair. L’Esprit Saint reconnaîtra toujours son empreinte en nous. Il atteste à l’intime de nous-mêmes que nous sommes l’enfant de Dieu, que nous héritons de Dieu la vie qu’il donne. L’Esprit Saint est en nous, il imprime l’élan notre existence. C’est notre foi, nous savons d’où nous venons, et nous savons où Dieu nous mène. Ainsi, toute assurance nous est permise, l’amour infini de Dieu s’incarne en chacun et prend corps dans la communauté en ayant pris cœur dans notre vie.
Jésus leur disait : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa parenté et sa maison. » Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle ; il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains. Et il s’étonna de leur manque de foi. Jésus parcourait les villages d’alentour en enseignant.
Dieu se sert souvent des personnes de notre entourage pour nous transmettre l’Evangile. Il nous est difficile d’accepter leur témoignage. Dieu nous parle par nos proches à des moments importants de notre vie, il nous faut l’accueillir. Lorsque nous écoutons un inconnu, « venu d’ailleurs, » nous annoncer une chose extraordinaire, même si ce qu’il dit ne repose pas sur un fondement réel, nous l’écoutons ! Les égarements de notre nature arrêtent l’action de Dieu. Nous trouvons nous aussi dans notre vie le doute et le manque de foi. Nos actions sont le fruit de nos pensées et non de l’Esprit Saint. Jésus nous donne son Esprit Saint pour ouvrir notre cœur. Aimés, choisis de Dieu, nous sommes comblés par Dieu qui veut que nous lui fassions une confiance infinie. Dans sa miséricorde infinie, il nous donne les moyens de progresser dans notre vie pour hâter la venue du Règne. Mû par l’Esprit, nous sommes en constante progression, l’Esprit-Saint agit sans cesse au milieu de nous et à travers nous.
Nous demandons la grâce de vivre de ce renouvellement en Dieu. »
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Le jeudi 4 février 2021
Jeudi de la 4e semaine, année impaire
« Quand vous avez trouvé l’hospitalité dans une maison, restez-y jusqu’à votre départ. »
Jeudi de la 4e semaine, année impaire
« Quand vous avez trouvé l’hospitalité dans une maison, restez-y jusqu’à votre départ. »
LECTURES : He. 12, 18-19.21-24 Ps. 47 Mc. 6, 7-13
« Il appela les Douze ; alors il commença à les envoyer en mission deux par deux. Il leur donnait autorité sur les esprits impurs, » et il leur prescrivit de ne rien prendre pour la route, mais seulement un bâton ; pas de pain, pas de sac, pas de pièces de monnaie dans leur ceinture. « Mettez des sandales, ne prenez pas de tunique de rechange. »
Pour « la première fois, » Jésus envoie les Apôtres en Mission. Celui qui reçoit cet « envoi » est d’abord appelé. C’est un appelé avec ses frères car ils sont envoyé « deux par deux, » pour annoncer l’amour infini du Père. Dieu nous a fait connaître « le mystère de sa volonté, » le plan d’amour longtemps caché et maintenant dévoilé dans le Christ Jésus. Pour que soit annoncé cet amour, il faut que nous le vivions comme Jésus l’a vécu. Dieu nous fait don de sa grâce, il nous fait entrer dans son amitié, alors que nous sommes pécheurs. Notre Père nous offre, en son Fils Bien Aimé, le pardon de nos fautes. Quel que soit le fardeau de nos misères, quels que soient l’échec ou la fragilité de notre vie spirituelle, il est là. Quelles que soient les ombres de notre vie familiale et communautaire, il nous sauve. Ce projet de salut pour chacun de ses enfants, pour le monde, c’est Dieu qui l’a formé, et nous sommes concernés par cet envoi des Apôtres en mission.
Il leur disait encore : « Quand vous avez trouvé l’hospitalité dans une maison, restez-y jusqu’à votre départ. Si, dans une localité, on refuse de vous accueillir et de vous écouter, partez et secouez la poussière de vos pieds : ce sera pour eux un témoignage. »
Le message de l’amour infini de Dieu est annoncé par les Apôtres. Il leur donne le pouvoir de l’amour infini de Dieu. Cet amour est lumière pour la vie de ceux qui le reçoivent. Partout où la lumière arrive, les ténèbres se dispersent. Là où la vie se répand, la mort recule. Partout où l’amour se donne, la haine perd du terrain. Cet envoi est l’actualisation de la victoire de l’amour de Jésus sur la Croix. « Ils partirent et proclamèrent qu’il fallait se convertir… » Au baptême, l’Esprit du Seigneur nous a marqué d’un sceau invisible à nos yeux de chair. L’Esprit Saint reconnaîtra toujours son empreinte en nous. Il atteste à l’intime de nous-mêmes que nous sommes l’enfant de Dieu, que nous héritons de Dieu la vie qu’il donne. L’Esprit Saint est en nous, il imprime l’élan notre existence. C’est notre foi, nous savons d’où nous venons, et nous savons où Dieu nous mène. Ainsi, toute assurance nous est permise, l’amour infini de Dieu s’incarne en chacun et prend corps dans la communauté en ayant pris cœur dans notre vie.
Jésus leur disait : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa parenté et sa maison. » Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle ; il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains. Et il s’étonna de leur manque de foi. Jésus parcourait les villages d’alentour en enseignant.
Dieu se sert souvent des personnes de notre entourage pour nous transmettre l’Evangile. Il nous est difficile d’accepter leur témoignage. Dieu nous parle par nos proches à des moments importants de notre vie, il nous faut l’accueillir. Lorsque nous écoutons un inconnu, « venu d’ailleurs, » nous annoncer une chose extraordinaire, même si ce qu’il dit ne repose pas sur un fondement réel, nous l’écoutons ! Les égarements de notre nature arrêtent l’action de Dieu. Nous trouvons nous aussi dans notre vie le doute et le manque de foi. Nos actions sont le fruit de nos pensées et non de l’Esprit Saint. Jésus nous donne son Esprit Saint pour ouvrir notre cœur. Aimés, choisis de Dieu, nous sommes comblés par Dieu qui veut que nous lui fassions une confiance infinie. Dans sa miséricorde infinie, il nous donne les moyens de progresser dans notre vie pour hâter la venue du Règne. Mû par l’Esprit, nous sommes en constante progression, l’Esprit-Saint agit sans cesse au milieu de nous et à travers nous.
Nous demandons la grâce de vivre de ce renouvellement en Dieu. »
Dernière édition par Lumen le Ven 5 Fév 2021 - 10:03, édité 1 fois (Raison : mon poste avait été reformaté sans incidence sur le poste)
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
« En ce temps-là, Jésus appela les Douze ; alors il commença à les envoyer en mission deux par deux. Il leur donnait autorité sur les esprits impurs, et il leur prescrivit de ne rien prendre pour la route, mais seulement un bâton ; pas de pain, pas de sac, pas de pièces de monnaie dans leur ceinture. « Mettez des sandales, ne prenez pas de tunique de rechange. » Saint Marc (6, 7-13)
Père Jean-Jacques DUTEN
SOYEZ MISSIONNAIRES !
Homélie de Jeudi 4 Février 2021: Mc 6, 7-13
Homélie de Jeudi 4 Février 2021: Mc 6, 7-13
Le Livre du Ciel :
Ma fille, la Volonté de Dieu que les écrits de la Divine Volonté soient mis au jour est absolue, et elle triomphera de tous les incidents qui pourront survenir, quels qu’ils soient. Et même si cela devrait prendre des années et des années, elle saura disposer toute chose pour que sa Volonté absolue soit faite. Le temps où les écrits seront mis au jour dépend du moment où les créatures elles-mêmes se disposeront à recevoir un si grand Bien, et de ceux qui doivent se charger d’être ses crieurs et de faire le sacrifice afin d’amener la Nouvelle Ère de paix, le nouveau Soleil qui dispersera tous les mauvais nuages.
Si tu savais combien de grâces et de lumières j’ai préparées pour ceux que Je vois disposés à s’en charger! Ils seront les premiers à sentir le baume, la lumière, la Vie de mon Fiat. Vois comment je tiens tout prêt dans Mes mains, les vêtements, les aliments, les ornements, les dons pour ceux qui doivent s’en occuper. Mais Je regarde pour voir ceux qui sont vraiment disposés, de façon à pouvoir les investir des prérogatives nécessaires pour un travail si saint, que j’aime tant et que Je veux qu’ils fassent. Mais Je dois également te dire : « Malheur à ceux qui y sont opposés ou qui pourraient y faire obstacle ! » Quant à toi, ne change rien, pas même une virgule de ce qui est nécessaire pour préparer le Royaume de ma Divine Volonté afin que, en préparant ce qu’il faut pour donner ce grand Bien aux créatures, il ne manque rien de Ma part ni de la tienne et que, dès que les créatures s’y disposeront, elles puissent trouver tout en place et tout ce qui leur est nécessaire. N’est-ce pas ce que j’ai fait dans l’Œuvre de la Rédemption? J’ai tout préparé, j’ai tout souffert; et en dépit des nombreuses circonstances adverses que j’ai rencontrées mêmes les Apôtres eux-mêmes hésitants, indécis et timides au point de s’enfuir lorsqu’ils m’ont vu aux mains des ennemis; laissé seul; sans le bien de voir un fruit quelconque lorsque j’étais sur terre… en dépit de tout cela, Je n’ai rien négligé de ce qui était nécessaire pour que l’Œuvre de la Rédemption soit complète afin que, lorsqu’ils ouvriraient les yeux pour voir ce que j’avais fait, ils trouveraient tout le bien pour être rachetés et que rien ne leur manque pour recevoir le fruit de Ma venue sur terre.
Ma fille, le Royaume de ma Rédemption et celui de ma Volonté sont tellement liés ensemble qu’ils se tiennent la main et subissent presque le même sort en raison de l’ingratitude humaine; mais celui qui doit former et donner un bien si grand ne devrait pas prêter attention à cela, ni s’y arrêter. Il est nécessaire que Nous fassions des Œuvres complètes afin que rien ne manque de Notre part et que, lorsqu’elles s’y disposeront, les créatures puissent trouver tout ce qui leur est nécessaire pour recevoir le Royaume de ma Volonté.
Vol 30, 20 mars 1920
Travailler avec Jésus
Premièrement tu dois entrer en moi et te transformer en moi et prendre pour toi ce que tu trouves en moi.
Deuxièmement, quand tu te seras remplie de moi complètement, sors à l’extérieur et opère en coopération avec moi comme si toi et moi ne faisions qu’un, de telle manière que si je bouge, tu bouges aussi, et si je pense, tu penses à la même chose que moi. En d’autres mots, tout ce que je fais, tu le fais toi aussi.
« Troisièmement, avec ces actes que nous avons faits ensemble, retire-toi pendant un instant, rends-toi au milieu des créatures et donne à tous et à chacun toutes les choses que nous avons faites ensemble : donne ma Vie divine à chacun. Immédiatement après, reviens en moi pour me donner au nom de tous toute la gloire qu’ils doivent me donner. Prie, excuse-les, répare, aime, oh ! oui, aime- moi pour tous, rassasie-moi d’amour !
Vol 8, 9 février 1908
DISCIPLES AMOUREUX MISSIONNAIRES
Que ton règne vienne
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Le temps où les écrits seront mis au jour dépend du moment où les créatures elles-mêmes se disposeront à recevoir un si grand Bien, et de ceux qui doivent se charger d’être ses crieurs et de faire le sacrifice afin d’amener la Nouvelle Ère de paix, le nouveau Soleil qui dispersera tous les mauvais nuages.
Me voici Seigneur pour faire Ta volonté
Premièrement tu dois entrer en moi et te transformer en moi et prendre pour toi ce que tu trouves en moi.
Deuxièmement, quand tu te seras remplie de moi complètement, sors à l’extérieur et opère en coopération avec moi comme si toi et moi ne faisions qu’un, de telle manière que si je bouge, tu bouges aussi, et si je pense, tu penses à la même chose que moi. En d’autres mots, tout ce que je fais, tu le fais toi aussi.
Montre moi comment y parvenir Seigneur toi seul peut le faire
« Troisièmement, avec ces actes que nous avons faits ensemble, retire-toi pendant un instant, rends-toi au milieu des créatures et donne à tous et à chacun toutes les choses que nous avons faites ensemble : donne ma Vie divine à chacun. Immédiatement après, reviens en moi pour me donner au nom de tous toute la gloire qu’ils doivent me donner. Prie, excuse-les, répare, aime, oh ! oui, aime- moi pour tous, rassasie-moi d’amour !
Me voici Seigneur pour faire Ta volonté
Premièrement tu dois entrer en moi et te transformer en moi et prendre pour toi ce que tu trouves en moi.
Deuxièmement, quand tu te seras remplie de moi complètement, sors à l’extérieur et opère en coopération avec moi comme si toi et moi ne faisions qu’un, de telle manière que si je bouge, tu bouges aussi, et si je pense, tu penses à la même chose que moi. En d’autres mots, tout ce que je fais, tu le fais toi aussi.
Montre moi comment y parvenir Seigneur toi seul peut le faire
« Troisièmement, avec ces actes que nous avons faits ensemble, retire-toi pendant un instant, rends-toi au milieu des créatures et donne à tous et à chacun toutes les choses que nous avons faites ensemble : donne ma Vie divine à chacun. Immédiatement après, reviens en moi pour me donner au nom de tous toute la gloire qu’ils doivent me donner. Prie, excuse-les, répare, aime, oh ! oui, aime- moi pour tous, rassasie-moi d’amour !
FIAT que Ta volonte soit faite
azais- MEDIATEUR
- Messages : 9459
Age : 73
Inscription : 10/02/2016
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Bonjour à vous tous, amis qui aimez la Parole de Vie, goûtez et voyez comme est bon le seigneur!
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
"Le roi Hérode apprit cela ; en effet, le nom de Jésus devenait célèbre. On disait : « C’est Jean, celui qui baptisait : il est ressuscité d’entre les morts, et voilà pourquoi des miracles se réalisent par lui."
Hérode aimait entendre Jean le Baptiste, mais sa vie n’était pas en harmonie avec ce que disait Jean. Dans l’ambiguïté d’Hérode nous retrouvons l’ambiguïté de nos existences ! C’est à cause de son serment, pour des raisons troublantes, que le roi Hérode fera exécuter le prophète Jean Baptiste. Cet homme n’avait pas commis de mal, il avait fait paraître au grand jour la vérité d’Hérode : « Tu n’as pas le droit de prendre la femme de ton frère, lui disait-il. » Hérode, en le faisant mourir, ne lui a pas demandé de renier le Christ, mais de taire la Vérité qui est le Christ ! Un nouvel embarras se retrouve chez lui quand il entend parler de Jésus et de son action bienfaisante dans le Peuple. Cette parole manifeste la difficulté d’Hérode de se retrouver face à lui-même dans la paix. Nous aussi, nous sommes scandalisés par les violences injustes. Jésus, à la mort de Jean le Baptiste, rassemble ses disciples, il les envoie en mission. Ils devront faire face à beaucoup de difficultés extérieures qui sont en relation avec les difficultés intérieures de notre être pécheur. Pour tenir bon et être guéri, nous voulons découvrir le visage de Jésus. Il nous est bon de nous revêtir de ses sentiments. C’est en l’annonçant, que nous découvrons ses traits et son visage.
"En effet, Jean lui disait : « Tu n’as pas le droit de prendre la femme de ton frère. » Hérodiade en voulait donc à Jean, et elle cherchait à le faire mourir. Mais elle n’y arrivait pas parce que Hérode avait peur de Jean : il savait que c’était un homme juste et saint, et il le protégeait ; quand il l’avait entendu, il était très embarrassé ; cependant il l’écoutait avec plaisir.
C’est à cause d’Hérodiade, qui elle-même demande à sa fille la tête du prophète, qu’Hérode fait décapiter Jean le Baptiste. C’est à cause de son serment auprès des invités qu’Hérode se prononce : « Celui que j’ai fait décapiter, Jean, le voilà ressuscité ! » En souffrant le premier, Jean signifiait que Jésus lui aussi devait souffrir. En naissant, Jean avait témoigné que le Christ allait naître ; en prêchant il avait témoigné que le Christ allait prêcher, en baptisant, qu’il allait baptiser. En souffrant le premier sa mort, Jean le Baptiste signifiait que le Christ devait lui aussi la souffrir. Lui qui avait annoncé la bonne nouvelle de la liberté d’une paix supérieure est jeté en prison. Lui qui était venu rendre témoignage à la lumière est enfermé dans l’obscurité d’un cachot. Celui à qui il fut donné de baptiser le Rédempteur du monde, par son propre sang, est baptisé. Il vit descendre sur Jésus la grâce du Saint Esprit. Il entendit la voix du Père s’adresser au Christ. Nous demandons la grâce, comme Jean, de témoigner de Jésus par toute notre vie !
… Le roi fut vivement contrarié ; mais à cause du serment et des convives, il ne voulut pas lui opposer un refus. Aussitôt il envoya un garde avec l’ordre d’apporter la tête de Jean. Le garde s’en alla décapiter Jean dans la prison. Il apporta la tête sur un plat, la donna à la jeune fille, et la jeune fille la donna à sa mère. Ayant appris cela, les disciples de Jean vinrent prendre son corps et le déposèrent dans un tombeau.
Jean Baptiste est mort pour le Christ. Pour lui, il a subi la prison. Maintenant, dans sa mort, il annonce la mort de Jésus. La Vérité qu’il annonce est en relation avec la mission de Jésus qui donnera sa vie pour nous. C’est pour la vérité de Jésus que Jean a été décapité, qu’il a répandu son sang. Il a témoigné de la venue de Jésus qui est la voie, la vérité et la vie. Il nous faut demeurer ferme dans la foi pour « renforcer » en nous l’homme intérieur. Hérode n’a pas su faire la vérité en lui. Nous nous trouvons nous aussi dans des ambiguïtés et des difficultés qui ont besoin d’être nommées, reconnues, pour que nous en soyons libérés. Les apôtres suivront le Maître dans son combat, dans sa passion, et dans sa résurrection. Nous témoignons nous aussi, dans la lumière de son amour.
Nous demandons la grâce de découvrir le visage de Jésus et de l’annoncer.
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Le vendredi 5 février 2021
Vendredi de la 4e semaine, année impaire
« Celui que j’ai fait décapiter, Jean, le voilà ressuscité ! »
Vendredi de la 4e semaine, année impaire
« Celui que j’ai fait décapiter, Jean, le voilà ressuscité ! »
LECTURES : Si. 47, 2-11 Ps. 17 Mc. 6, 14-29
"Le roi Hérode apprit cela ; en effet, le nom de Jésus devenait célèbre. On disait : « C’est Jean, celui qui baptisait : il est ressuscité d’entre les morts, et voilà pourquoi des miracles se réalisent par lui."
Hérode aimait entendre Jean le Baptiste, mais sa vie n’était pas en harmonie avec ce que disait Jean. Dans l’ambiguïté d’Hérode nous retrouvons l’ambiguïté de nos existences ! C’est à cause de son serment, pour des raisons troublantes, que le roi Hérode fera exécuter le prophète Jean Baptiste. Cet homme n’avait pas commis de mal, il avait fait paraître au grand jour la vérité d’Hérode : « Tu n’as pas le droit de prendre la femme de ton frère, lui disait-il. » Hérode, en le faisant mourir, ne lui a pas demandé de renier le Christ, mais de taire la Vérité qui est le Christ ! Un nouvel embarras se retrouve chez lui quand il entend parler de Jésus et de son action bienfaisante dans le Peuple. Cette parole manifeste la difficulté d’Hérode de se retrouver face à lui-même dans la paix. Nous aussi, nous sommes scandalisés par les violences injustes. Jésus, à la mort de Jean le Baptiste, rassemble ses disciples, il les envoie en mission. Ils devront faire face à beaucoup de difficultés extérieures qui sont en relation avec les difficultés intérieures de notre être pécheur. Pour tenir bon et être guéri, nous voulons découvrir le visage de Jésus. Il nous est bon de nous revêtir de ses sentiments. C’est en l’annonçant, que nous découvrons ses traits et son visage.
"En effet, Jean lui disait : « Tu n’as pas le droit de prendre la femme de ton frère. » Hérodiade en voulait donc à Jean, et elle cherchait à le faire mourir. Mais elle n’y arrivait pas parce que Hérode avait peur de Jean : il savait que c’était un homme juste et saint, et il le protégeait ; quand il l’avait entendu, il était très embarrassé ; cependant il l’écoutait avec plaisir.
C’est à cause d’Hérodiade, qui elle-même demande à sa fille la tête du prophète, qu’Hérode fait décapiter Jean le Baptiste. C’est à cause de son serment auprès des invités qu’Hérode se prononce : « Celui que j’ai fait décapiter, Jean, le voilà ressuscité ! » En souffrant le premier, Jean signifiait que Jésus lui aussi devait souffrir. En naissant, Jean avait témoigné que le Christ allait naître ; en prêchant il avait témoigné que le Christ allait prêcher, en baptisant, qu’il allait baptiser. En souffrant le premier sa mort, Jean le Baptiste signifiait que le Christ devait lui aussi la souffrir. Lui qui avait annoncé la bonne nouvelle de la liberté d’une paix supérieure est jeté en prison. Lui qui était venu rendre témoignage à la lumière est enfermé dans l’obscurité d’un cachot. Celui à qui il fut donné de baptiser le Rédempteur du monde, par son propre sang, est baptisé. Il vit descendre sur Jésus la grâce du Saint Esprit. Il entendit la voix du Père s’adresser au Christ. Nous demandons la grâce, comme Jean, de témoigner de Jésus par toute notre vie !
… Le roi fut vivement contrarié ; mais à cause du serment et des convives, il ne voulut pas lui opposer un refus. Aussitôt il envoya un garde avec l’ordre d’apporter la tête de Jean. Le garde s’en alla décapiter Jean dans la prison. Il apporta la tête sur un plat, la donna à la jeune fille, et la jeune fille la donna à sa mère. Ayant appris cela, les disciples de Jean vinrent prendre son corps et le déposèrent dans un tombeau.
Jean Baptiste est mort pour le Christ. Pour lui, il a subi la prison. Maintenant, dans sa mort, il annonce la mort de Jésus. La Vérité qu’il annonce est en relation avec la mission de Jésus qui donnera sa vie pour nous. C’est pour la vérité de Jésus que Jean a été décapité, qu’il a répandu son sang. Il a témoigné de la venue de Jésus qui est la voie, la vérité et la vie. Il nous faut demeurer ferme dans la foi pour « renforcer » en nous l’homme intérieur. Hérode n’a pas su faire la vérité en lui. Nous nous trouvons nous aussi dans des ambiguïtés et des difficultés qui ont besoin d’être nommées, reconnues, pour que nous en soyons libérés. Les apôtres suivront le Maître dans son combat, dans sa passion, et dans sa résurrection. Nous témoignons nous aussi, dans la lumière de son amour.
Nous demandons la grâce de découvrir le visage de Jésus et de l’annoncer.
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
« Car c’était lui, Hérode, qui avait donné l’ordre d’arrêter Jean et de l’enchaîner dans la prison, à cause d’Hérodiade, la femme de son frère Philippe, que lui-même avait prise pour épouse. En effet, Jean lui disait : « Tu n’as pas le droit de prendre la femme de ton frère. » Saint Marc (6, 14-29)
Père Jean-Jacques DUTEN
LA LOI D’HÉRODE
Homélie de VENDREDI 5 FÉVRIER 2021 : Mc 6, 14-29
Homélie de VENDREDI 5 FÉVRIER 2021 : Mc 6, 14-29
Le Livre du Ciel :
" Ma fille, la volonté humaine paralyse la Vie de la mienne dans l’âme, car, sans ma Volonté, la Vie Divine ne peut circuler dans l'âme, cette Vie qui plus que le sang maintient le mouvement, la vigueur, l'usage parfait de toutes les facultés mentales de façon à la faire grandir saine et sainte, à pouvoir voir en elle notre ressemblance; combien d'âmes paralysées par le manque de ma Volonté! Quel spectacle pitoyable que de voir presque toutes les générations humaines paralysées dans l'âme, et, par conséquent, irraisonnées, aveugles devant le bien, sourdes à la vérité, muettes pour l'enseigner, inertes devant les œuvres saintes, immobiles sur la voie du Ciel car, la volonté humaine, empêchant la circulation de ma Volonté, crée la paralysie générale dans l'âme des créatures.
C'est pareil pour le corps, dont la majeure partie des maladies, celles des paralysies en particulier, sont dues à une mauvaise circulation sanguine; lorsque le sang circule bien, l'homme est vigoureux, solide, n'a aucun malaise, mais dés que l'irrégularité de la circulation s'installe, les problèmes de santé commencent, les faiblesses, la tuberculose, et si la circulation devient vraiment irrégulière, on reste paralysé car, le sang qui ne circule pas, ne coule pas assez vite dans les veines, provoque les grands maux de la nature humaine.
Que ne feraient-elles pas les créatures si elles savaient qu'il existe un remède pour palier à cette irrégularité sanguine, où n'iraient-elles pas pour l'obtenir et éviter ainsi tout problème. Pourtant, il y a bien le remède de ma Volonté pour éviter le mal à l'âme, pour qu'elle ne soit pas paralysée devant le bien, pour grandir forte, vigoureuse dans la sainteté, mais qui le prend? Il est pourtant gratuit, elles n'ont même pas besoin d'aller loin pour l'avoir, Elle étant toujours prête à se donner et à devenir la vie régulière de la créature. Quelle douleur ma fille!
Vol 19, 31 août 1926
Mon enfant, tout ce que tu as vu qu’on me faisait n’est rien comparé aux nombreuses offenses commises contre moi par les hommes. Leur aveuglement les tient submergés dans les choses terrestres, ce qui les rend sans pitié et cruels envers moi et envers eux-mêmes. Ils ont répudié chaque vérité surnaturelle en se donnant complètement à la recherche de l’or. Ceci les a jetés dans la boue ; et ils sont tombés dans la complète négligence en regard de leur vie éternelle.
« Ô mon enfant, qui élèvera une digue contre cette monstrueuse vague d’ingratitudes, qui augmente toujours dans le monde des faux plaisirs ? Qui aura pitié et me délivrera de tant de personnes qui me font saigner et qui vivent noyés dans la puanteur des choses terrestres ? Viens avec moi et prie, pleure et offre des réparations pour les offenses qu’ils commettent contre mon Père. Ils sont aveuglés, sans esprit ni cœur, et ils n’ont d’yeux que pour les choses terrestres. Ils s’opposent à moi et piétinent mes nombreuses grâces comme si elles étaient de la boue, et ils placent tout ce que j’ai fait pour eux sous leurs pieds mondains.
« Oh ! toi au moins, élève-toi contre ce que tu connais du monde ; abhorre et hais tout ce qui ne m’appartient pas ; chéris toujours les choses du Ciel. Maintenant que tu m’as vu souffrir, ne t’inquiète pas des blessures qui te viennent de ta famille. Il y a des insultes bien plus grandes. Aie mon honneur dans ton cœur et fais des réparations pour les nombreuses offenses commises continuellement contre moi. Et pense à la perte de beaucoup d’âmes. Oh ! ne me laisse pas seul avec de si nombreuses déceptions qui me déchirent le Cœur. Sache que tout ce que tu souffres maintenant n’est rien en comparaison de ce que tu souffriras dans le futur. N’ai-je pas répété plusieurs fois que je veux de toi une imitation de ma Vie. Vois comme tu es différente de moi ! Aussi, prends courage et n’aie pas peur, car tu arriveras à trouver une manière de m’aider.»
Vol 1-114 p 54-55
DISCIPLES AMOUREUX MISSIONNAIRES
Que ton règne vienne
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Bonjour à vous tous, amis qui aimez la Parole de Vie, goûtez et voyez comme est bon le seigneur!
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
« Les Apôtres se réunirent auprès de Jésus, et lui annoncèrent tout ce qu’ils avaient fait et enseigné. »
Il leur dit : « Venez à l’écart dans un endroit désert, et reposez-vous un peu. » De fait, ceux qui arrivaient et ceux qui partaient étaient nombreux, et l’on n’avait même pas le temps de manger.
Les apôtres se réunirent auprès de Jésus après leur mission. Ils ont contemplé comment Jésus agissait, comment son amour débordait en acte de guérison. Ils ont fait comme Jésus, l’amour est sorti de leurs mains et de leurs cœurs, leur joie déborde ! Ils pouvaient être fatigués, mais l’Esprit Saint passait par eux, et ils étaient donnés aux foules. Ils guérissaient comme Jésus, ils chassaient les démons comme lui. Le repos des disciples sera de faire comme Jésus, de dire comme lui et d’être comme Jésus. Le fait de voir Jésus ému de pitié pour cette foule et de l’enseigner repose les apôtres. C’est une source qui jaillit dans le désert, qui fait tout refleurir. Ils reviendront toujours auprès de Jésus après leur mission, ils le contempleront agissant en eux et faisant des guérisons. Nous rendons grâce à Dieu d’être ses envoyés dans le monde. Le lieu du repos de Dieu, c’est l’expérience de son amour. Faire l’expérience de l’amour infini du cœur de notre Père comme Jésus, est le plus grand repos.
Alors, ils partirent en barque pour un endroit désert, à l’écart. Les gens les virent s’éloigner, et beaucoup comprirent leur intention. Alors, à pied, de toutes les villes, ils coururent là-bas et arrivèrent avant eux
Jésus annonce la parole à partir de notre bouche aujourd’hui encore ! Nous devenons sa parole. Jésus va soigner et guérir par nos mains. Il sera le salut par nous, continuant son œuvre d’amour par nous ! C’est ainsi que nous demeurons dans son repos. Le repos des disciples, c’est Jésus lui-même, qui vit pleinement de son Amour infini. Vivre de foi, d’espérance et d’amour, demeurer dans le Christ est le repos du disciple. Jésus, entouré de tout le peuple des affamés, des assoiffés, des gens qui souffrent, monte sur la montagne pour contempler son Père. Les apôtres aussi sont entourés par un peuple d’affamés, d’assoiffés et de souffrants qui viennent à Jésus. Le Peuple a vraiment pris sa place dans le cœur de Jésus. Cette place leur est donnée par Dieu pour qu’il y resplendisse de sa lumière et de son amour.
« En débarquant, Jésus vit une grande foule. » Il fut saisi de compassion envers eux, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. Alors, il se mit à les enseigner longuement.
« En débarquant, Jésus vit une grande foule. » Il fut saisi de compassion envers eux, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. Alors, il se mit à les enseigner longuement.
Les gens qui les virent s’éloigner, ont devancé la barque ! La foule est immense et ses besoins sont grands. Jésus instruit cette foule, c’est le repos des disciples ; Jésus donnant à manger à cette foule, c’est le repos des disciples. La gloire de Dieu c’est Jésus qui nous sauve. Dans le même mouvement d’amour où il nous sauve, Jésus rend gloire à son Père. La gloire des disciples est de faire la même œuvre que Jésus. Au cœur du mystère Pascal, le repos de Jésus se donne : « Par lui, avec lui et en lui, à toi Dieu le Père, tout honneur et toute gloire. » Près de Jésus, nous chantons les merveilles de Dieu. Le septième jour, Dieu se reposa. Il fait éclater son amour sur toutes les œuvres qu’il avait faites. « Tu les regardas, et tu les enveloppas de beauté, » dit saint Jean de la Croix. Entrer dans le regard de Dieu, dans la contemplation du Dieu vivant, est le plus grand repos.
Nous demandons la grâce d’être saisis de pitié comme Jésus
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Le samedi 6 février 2021
Samedi de la 4e semaine, année impaire
« Venez à l’écart dans un endroit désert et reposez-vous un peu. »
Samedi de la 4e semaine, année impaire
« Venez à l’écart dans un endroit désert et reposez-vous un peu. »
LECTURES : He. 13, 15-17.20-21 Ps. 22 Mc. 6, 30-34
« Les Apôtres se réunirent auprès de Jésus, et lui annoncèrent tout ce qu’ils avaient fait et enseigné. »
Il leur dit : « Venez à l’écart dans un endroit désert, et reposez-vous un peu. » De fait, ceux qui arrivaient et ceux qui partaient étaient nombreux, et l’on n’avait même pas le temps de manger.
Les apôtres se réunirent auprès de Jésus après leur mission. Ils ont contemplé comment Jésus agissait, comment son amour débordait en acte de guérison. Ils ont fait comme Jésus, l’amour est sorti de leurs mains et de leurs cœurs, leur joie déborde ! Ils pouvaient être fatigués, mais l’Esprit Saint passait par eux, et ils étaient donnés aux foules. Ils guérissaient comme Jésus, ils chassaient les démons comme lui. Le repos des disciples sera de faire comme Jésus, de dire comme lui et d’être comme Jésus. Le fait de voir Jésus ému de pitié pour cette foule et de l’enseigner repose les apôtres. C’est une source qui jaillit dans le désert, qui fait tout refleurir. Ils reviendront toujours auprès de Jésus après leur mission, ils le contempleront agissant en eux et faisant des guérisons. Nous rendons grâce à Dieu d’être ses envoyés dans le monde. Le lieu du repos de Dieu, c’est l’expérience de son amour. Faire l’expérience de l’amour infini du cœur de notre Père comme Jésus, est le plus grand repos.
Alors, ils partirent en barque pour un endroit désert, à l’écart. Les gens les virent s’éloigner, et beaucoup comprirent leur intention. Alors, à pied, de toutes les villes, ils coururent là-bas et arrivèrent avant eux
Jésus annonce la parole à partir de notre bouche aujourd’hui encore ! Nous devenons sa parole. Jésus va soigner et guérir par nos mains. Il sera le salut par nous, continuant son œuvre d’amour par nous ! C’est ainsi que nous demeurons dans son repos. Le repos des disciples, c’est Jésus lui-même, qui vit pleinement de son Amour infini. Vivre de foi, d’espérance et d’amour, demeurer dans le Christ est le repos du disciple. Jésus, entouré de tout le peuple des affamés, des assoiffés, des gens qui souffrent, monte sur la montagne pour contempler son Père. Les apôtres aussi sont entourés par un peuple d’affamés, d’assoiffés et de souffrants qui viennent à Jésus. Le Peuple a vraiment pris sa place dans le cœur de Jésus. Cette place leur est donnée par Dieu pour qu’il y resplendisse de sa lumière et de son amour.
« En débarquant, Jésus vit une grande foule. » Il fut saisi de compassion envers eux, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. Alors, il se mit à les enseigner longuement.
« En débarquant, Jésus vit une grande foule. » Il fut saisi de compassion envers eux, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. Alors, il se mit à les enseigner longuement.
Les gens qui les virent s’éloigner, ont devancé la barque ! La foule est immense et ses besoins sont grands. Jésus instruit cette foule, c’est le repos des disciples ; Jésus donnant à manger à cette foule, c’est le repos des disciples. La gloire de Dieu c’est Jésus qui nous sauve. Dans le même mouvement d’amour où il nous sauve, Jésus rend gloire à son Père. La gloire des disciples est de faire la même œuvre que Jésus. Au cœur du mystère Pascal, le repos de Jésus se donne : « Par lui, avec lui et en lui, à toi Dieu le Père, tout honneur et toute gloire. » Près de Jésus, nous chantons les merveilles de Dieu. Le septième jour, Dieu se reposa. Il fait éclater son amour sur toutes les œuvres qu’il avait faites. « Tu les regardas, et tu les enveloppas de beauté, » dit saint Jean de la Croix. Entrer dans le regard de Dieu, dans la contemplation du Dieu vivant, est le plus grand repos.
Nous demandons la grâce d’être saisis de pitié comme Jésus
Dernière édition par Lumen le Dim 7 Fév 2021 - 8:56, édité 1 fois (Raison : poste édité et transformé...heureusement que j'enregistre chaque jour ce que je poste !)
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
« En débarquant, Jésus vit une grande foule. Il fut saisi de compassion envers eux, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. Alors, il se mit à les enseigner longuement. » Saint Marc (6,30-34)
Homélie de samedi 6 Février 2021: Mc 6, 30-34
La maman du ciel enseigne à Luisa le secret du bonheur
Poursuivant dans mon état habituel, je me suis retrouvée hors de mon corps. M’étant mise à la recherche de Jésus, c’est la Maman Reine que j’ai trouvée. Comme j’étais opprimée et fatiguée, je lui ai dit : « Ma très douce Maman, j’ai perdu le chemin pour trouver Jésus, je ne sais plus où aller ni quoi faire pour le trouver. » C’est en pleurant que je disais cela.
Elle me dit : « Ma fille, suis-moi et tu trouveras le chemin ainsi que Jésus lui-même. Je vais même t’enseigner le secret qui te permettra de toujours rester avec Jésus et de vivre toujours contente et heureuse, même sur cette terre. Voici comment : Fixe en toi la pensée que seul Jésus et toi existez dans ce monde et personne d’autre. Retiens que Jésus est le seul à qui tu dois plaire, le seul avec qui tu dois te complaire et le seul que tu dois aimer. De lui seul tu dois t’attendre d’être aimée et contentée en tout.
« En vivant de cette manière, toi avec Jésus, tu ne te laisseras plus impressionner si tu es entourée de mépris ou de louanges, de parents ou d’étrangers, d’amis ou d’ennemis. Jésus seul sera tout ton bonheur et Jésus seul te suffira en tout. Ma fille, aussi longtemps que tout ce qui existe ici-bas ne disparaîtra pas totalement de ton âme, tu ne pourras pas trouver un vrai et perpétuel bonheur. »
Pendant qu’elle disait cela, Jésus sortit comme d’un éclair et se trouva au milieu de nous. Je l’ai saisi et je l’ai emmené avec moi. Après, je me suis retrouvée dans mon corps.
Vol 4, 21 août 1901
DISCIPLES AMOUREUX MISSIONNAIRES
Que ton règne vienne
Dernière édition par Lumen le Dim 7 Fév 2021 - 15:47, édité 2 fois (Raison : poste édité et remanié par tierce personne ....)
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Bonjour à vous tous, amis qui aimez la Parole de Vie, goûtez et voyez comme est bon le seigneur!
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Le dimanche 7 février 2021
5è dimanche du temps ordinaire, année B
« Jésus se leva, bien avant l’aube. Il sortit et se rendit dans un endroit désert, et là il priait. »
Job 7, 1-4.6-7 Ps. 146 1 Co 9, 16-19.22-23 Mc. 1, 29-39
5è dimanche du temps ordinaire, année B
« Jésus se leva, bien avant l’aube. Il sortit et se rendit dans un endroit désert, et là il priait. »
Job 7, 1-4.6-7 Ps. 146 1 Co 9, 16-19.22-23 Mc. 1, 29-39
« Aussitôt sortis de la synagogue, ils allèrent, avec Jacques et Jean, dans la maison de Simon et d’André. »
Or, la belle-mère de Simon était au lit, elle avait de la fièvre. Aussitôt, on parla à Jésus de la malade. Jésus s’approcha, la saisit par la main et la fit lever. La fièvre la quitta, et elle les servait. C’est parce qu’il se livre totalement au Père, dans sa prière silencieuse, que Jésus se laisse prendre par tous ceux et toutes celles qui le réclament. C’est parce qu’il vit dans le Père qu’il peut, sans lassitude, s’en aller ailleurs chaque jour. Dans la mesure où grandit notre union de vie avec le Christ vivant, il remodèle notre vie et notre cœur selon cette double communion qui était pour lui l’expression spontanée de son être de Médiateur : la communion avec le Père et la communion avec les frères et les sœurs. Avec ardeur, Jésus prend la main de la Belle-Mère de Simon pour la remettre debout. C’est l’Évangile, la Bonne Nouvelle pour cette femme qui reprend ses occupations dans la joie, dans la santé retrouvée, heureuse de faire à nouveau son service. Nous contemplons le visage de Jésus, son regard d’Amour pour tous, nous laissons son visage se refléter sur notre visage. Nous avons été baptisés dans le Christ, nous sommes habités par son Esprit Saint, notre souhait le plus intime est de devenir son disciples.
« Le soir venu, après le coucher du soleil, on lui amenait tous ceux qui étaient atteints d’un mal ou possédés par des démons. »
La ville entière se pressait à la porte. Il guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies, et il expulsa beaucoup de démons ; il empêchait les démons de parler, parce qu’ils savaient, eux, qui il était. Dans la paix de Dieu, dans la rumeur du monde, notre solitude, comme celle du Christ, est « solitude sonore, » toute en écho du silence de Dieu, toute en résonance du monde à sauver. Et c’est le même Esprit, qui nous fait à tout instant, retomber en prière et qui ranime la flamme des charismes de notre confirmation, nous donnant de grandir comme fils et filles de l’Eglise. Nous aussi, nous sommes avec Jésus, partout où Jésus va pour sauver : C’est l’ailleurs de la mission universelle que l’on rejoint par une vie toute livrée à l’Amour. Jésus est mis en présence des malades, des hommes possédés par des esprits mauvais, il les guérit et il les sauve. Notre humanité vit des situations difficiles : Pour beaucoup, le soir n’en finit pas, nous sommes envahis de cauchemars jusqu’à l’aube. "A peine couché je me dis quand pourrai-je me lever. Et à l’aube, la journée est une corvée, nous n’y gagnons que du néant." Jésus porte cette humanité dans sa prière et dans son cœur. Toute la vie de Jésus est enveloppée du regard du Père qui a vu la misère de son peuple. Le Père envoie Jésus dans son peuple et Jésus nous envoie au milieu de son peuple, nourris de son Corps et de son Sang pour « Le » devenir, le resplendir au milieu du monde. Jésus veut nous remettre debout pour que nous puissions marcher sur ses chemins.
« Le lendemain, Jésus se leva, bien avant l’aube. Il sortit et se rendit dans un endroit désert, et là il priait."
Simon et ceux qui étaient avec lui partirent à sa recherche. Ils le trouvent et lui disent : « Tout le monde te cherche. » Jésus leur dit : « Allons ailleurs, dans les villages voisins, afin que là aussi je proclame l’Évangile ; car c’est pour cela que je suis sorti. » Et il parcourut toute la Galilée, proclamant l’Évangile dans leurs synagogues, et expulsant les démons. Authentiquement homme lorsqu’il est seul devant Dieu ; réellement Fils de Dieu lorsqu’il est perdu dans la foule des hommes, c’est le même Jésus de Nazareth qui se retire, très tôt le matin, dans un lieu désert, pour éveiller l’aurore, pour accueillir, tourné vers Dieu, la lumière du nouveau jour, et qui élargit chaque jour le champ de sa mission et de son témoignage. C’est le rythme du Fils de Dieu, c’est ainsi qu’il vit intensément son union avec le Père qui l’envoie et la solidarité avec les hommes qu’il vient sauver. Apres une activité harassante au service des malades et des possédés, Jésus vit une longue prière en solitude. Nous savons combien la prière de Jésus est importante. Là, il reflète le visage du Père, l’amour infini de son cœur pour l’humanité dans la douleur. Pour lui, se lever bien avant l’aube, c’est servir l’humanité avec tellement d’amour. Ce service d’amour de Jésus, ce service de la prière, il nous demande de l’accomplir, il est fondamental. La vie de Jésus est toute intérieure, c’est une réalité d’amour. Jésus est passé comme un feu : « Je suis venu allumer un feu sur la terre et quelle n’est pas mon ardeur jusqu’à ce qu’il brûle ! » Nous sommes devenus ses enfants de lumière qui avec lui brûlent d’Amour.
Nous demandons la grâce de contempler Jésus enflammé d’amour pour nous.
http://www.pere-gilbert-adam.org/
Dernière édition par Lumen le Lun 8 Fév 2021 - 13:09, édité 2 fois (Raison : mes postes sont toujours remanipulés...)
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
« Allons ailleurs, dans les villages voisins, afin que là aussi je proclame l’Évangile ; car c’est pour cela que je suis sorti. » Saint Marc (1, 29-39)
Homélie de dimanche 7 Février 2021: Mc 1, 29-39
Bien que l'intention primordiale fut le Fiat, ma bonté dut descendre au fin secondaire, presque comme un enseignant qui, connaissant les sciences les plus pointues, pourrait donner des cours nobles et sublimes dignes de lui, mais les écoliers étant analphabètes, il doit s'abaisser en leur apprenant: l’abc pour atteindre, petit à petit, son but premier d'impartir les leçons de la science qu'il possède pour former autant d'enseignants dignes d'un tel maître; si cet enseignant, ne voulant pas se résoudre à donner des cours d'un niveau inférieur, persistait à propager son grand savoir, les élèves étant illettrés, ne le comprendraient pas et, perdus dans cette mer de science, le laisseraient tomber; le pauvre maître, ne voulant pas se mettre au niveau de ses élèves ne pourrait donc divulguer ni le petit, ni le grand bien de sa science.
Or, ma fille, lorsque Je vins sur la terre, les créatures ignoraient tout des choses du Ciel et, si j'avais parlé du FIAT et de la vraie vie en Lui, elles auraient été incapables de le comprendre ne connaissant pas le chemin qui mène à Moi; il s'agissait, pour la plupart, de boiteux, d'aveugles, d'infirmes et Je dus descendre sous l'aspect de mon Humanité qui couvrait ce FIAT, fraterniser avec eux, me rapprocher de tous pour pouvoir enseigner les premiers rudiments: l’abc du FIAT Suprême; tout ce que Je transmis, fis et pâtis, n'eut le but que de préparer la voie, le Règne, la domination de ma Volonté.
C'est courant, dans l'accomplissement de nos œuvres, de débuter par des choses mineures, en tant qu'acte préparatoire aux choses majeures, ne fis-Je pas pareil avec toi? Au début, Je ne te parlai évidemment pas du principe du FIAT Divin ni de la hauteur, la sainteté que Je souhaitais te faire atteindre dans ma Volonté, ni en te faisant aucun mot concernant la haute mission à laquelle Je t'appelais, mais Je te tins comme une petite fille à qui Je m'amusais à apprendre l'obéissance, l'amour de la souffrance, le détachement envers tous, la mort de ton ego, et toi étant consentante, Je me réjouissais de la place que mon FIAT allait pouvoir occuper en toi ainsi que les enseignements sublimes appartenant à ma Volonté.
Ce fut de même dans la Rédemption, la finalité étant que le FIAT puisse à nouveau régner dans la créature comme au moment où elle sortit de nos mains créatrices. Nous ne sommes pas pressés dans l'exécution de nos œuvres, car nous avons à notre disposition non seulement les siècles mais toute l'éternité; nous allons doucement, tout en sortant vainqueurs; d'abord nous préparons et ensuite nous agissons et le fait que Je sois remonté au Ciel n'a rien enlevé à ma puissance d'avant sur terre, elle est toujours inchangée, aussi bien dans le Ciel que sur la terre; n'ai-Je pas appelé et choisi ma Mère depuis ma Céleste Patrie?
Vol 4, 21 août 1901
DISCIPLES AMOUREUX MISSIONNAIRES
Que ton règne vienne
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Bonjour à vous tous, amis qui aimez la Parole de Vie, goûtez et voyez comme est bon le seigneur!
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Le lundi 8 février 2021
Lundi de la 5e semaine année impaire
« Ils le suppliaient de leur laisser toucher ne serait-ce que la frange de son manteau. »
Gn. 1, 1-19 Ps. 103 Mc. 6, 53-56
Lundi de la 5e semaine année impaire
« Ils le suppliaient de leur laisser toucher ne serait-ce que la frange de son manteau. »
Gn. 1, 1-19 Ps. 103 Mc. 6, 53-56
"Après la traversée, abordant à Génésareth, ils accostèrent."
Jésus parcourt les villes et les villages guérissant les malades et expulsant les démons. Il voit l’urgence de secourir ces personnes. Il se met à leur service, en s’oubliant lui-même. Sa mission est de redonner aux malades la santé du corps et de l’âme. Il cherche à rétablir en chacun l’équilibre perdu à cause du péché. Quiconque s’approche de lui expérimente comme une création nouvelle de tout son être. C’est la merveilleuse réalité de celui qui expérimente Jésus en sa personne, à travers la grâce. Il est nécessaire chaque jour, de nous approcher de lui, la source de la vie, afin de ne pas nous laisser gagner par la routine, la lassitude et le désespoir. Ce sont les pauvres et les petits qui entrent les premiers dans le Royaume de Dieu. Nous sommes heureux de cette révolution incroyable que Jésus est venu apporter au monde. Dieu est l’ami des pauvres et des petits, des malades et des pécheurs. Jésus réveille notre vie et nous lui rendons grâce pour ses merveilles. Nous sortons du tourbillon quotidien et nous contemplons tout ce qui nous est donné. La variété de tout ce que Jésus fait est impressionnante.
« Ils sortirent de la barque, et aussitôt les gens reconnurent Jésus : ils parcoururent toute la région, et se mirent à apporter les malades sur des brancards là où l’on apprenait que Jésus se trouvait. »
Toucher Jésus aujourd’hui, consiste à le toucher par sa Parole, par les sacrements, dans la foi, comme on le touchait physiquement alors. Aujourd’hui, nous avons les mêmes possibilités de toucher Jésus que les foules qui le suivaient en Palestine. Nous jouissons des dons de Dieu qui nous permettent de le toucher avec une intimité et une proximité que n’avaient pas les disciples d’alors. La présence de Dieu pour nous est la présence consolatrice de Jésus dans l’Eucharistie, par la grâce sacramentelle. Tous les malheureux dont l’Évangile nous parle n’avaient pas accès au Temple à cause de leurs infirmités ! Dans le rayonnement de Jésus, toute personne se sent reconnue, aimée. Au cœur de la création, « l’homme et la femme » sont la réalité la plus merveilleuse que Dieu a faite dans cet univers si beau. Quand nous sommes passés par l’épreuve et le manque, nous sommes plus présents à la création et nous sommes plus présents les uns aux autres, à l’essentiel ! Seigneur Jésus, je sais que Tu es proche de moi, que Tu es présent dans ma vie, et que Tu peux me guérir, de mes faiblesses, de mes complexes, de tous mes maux. Donne-moi une foi simple et spontanée qui cherche sans cesse à te toucher par tous les moyens que Tu nous as donnés.
« Et dans tous les endroits où il se rendait, dans les villages, les villes ou les campagnes, on déposait les infirmes sur les places. Ils le suppliaient de leur laisser toucher ne serait-ce que la frange de son manteau. Et tous ceux qui la touchèrent étaient sauvés. »
Il nous faut toucher au moins la frange de son manteau pour être guéri. Il est dit clairement : « Tous ceux qui le touchaient étaient sauvés. » Nous rendons grâce au Créateur, et à Jésus qui nous le manifeste, devant toutes les merveilles de la Création. L’action de grâce ne finit plus. Jésus nous fait savoir que le Temple Saint est désormais son Corps, et nous savons que nous sommes le temple de Dieu. Nous demandons la grâce de retrouver et de contempler en Jésus la Force de Dieu qui nous sauve. La manière de toucher Jésus, c’est la prière, la méditation, le contact assidu avec lui dans les sacrements, le service des pauvres. Aujourd’hui, Jésus nous donne son Corps et son Sang pour que nous ayons la Vie. La personne humaine, nourrie de l’Eucharistie, est devenue Présence de Dieu. Les moments difficiles de notre existence sont reconnus comme précieux, car ils nous mettent devant la Passion de Jésus, la réalité de l’amour infini qui nous est donnée. Dieu, en nous guérissant, nous remet au cœur de la création qui est si merveilleuse.
Nous demandons à Dieu la grâce de reconnaitre la merveille de la vie qu’il nous donne.
http://www.pere-gilbert-adam.org/
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Bonjour à vous tous, amis qui aimez la Parole de Vie, goûtez et voyez comme est bon le seigneur!
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Quand je dis Dieu c'est un poème, c'est une étoile dans ma vie,
du feu qui coule dans mes veines, un grand soleil pour aujourd'hui !
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Le mardi 9 février 2021
Mardi de la 5e semaine année impaire
«vous annulez ainsi la parole de Dieu par la tradition que vous transmettez. »
Gn. 1, 20-2, 4 Ps. 8 Mc. 7, 1-13
Mardi de la 5e semaine année impaire
«vous annulez ainsi la parole de Dieu par la tradition que vous transmettez. »
Gn. 1, 20-2, 4 Ps. 8 Mc. 7, 1-13
« Les pharisiens et quelques scribes, venus de Jérusalem, se réunissent auprès de Jésus, et voient quelques-uns de ses disciples prendre leur repas avec des mains impures, c’est-à-dire non lavées. » Les pharisiens en effet, comme tous les Juifs, se lavent toujours soigneusement les mains avant de manger, par attachement à la tradition des anciens ; et au retour du marché, ils ne mangent pas avant de s’être aspergés d’eau, et ils sont attachés encore par tradition à beaucoup d’autres pratiques : lavage de coupes, de carafes et de plats. Alors les pharisiens et les scribes demandèrent à Jésus : « Pourquoi tes disciples ne suivent-ils pas la tradition des anciens ? Ils prennent leurs repas avec des mains impures.
Dieu est un mystère d’amour qui se donne dans des relations personnelles ! Il nous donne de contempler Jésus, son Verbe éternel, le Fils de Dieu qui s’est fait chair de la Vierge Marie. Non seulement nous contemplons le mystère du Père et du Fils, mais aussi le mystère de l’Esprit Saint, leur Amour. Dieu veut nous mener à son amour, à sa gloire. Les pharisiens et des scribes sont enfermés dans quelques pratiques hygiéniques naturelles. Quelles que soient leur importance, le grand Roi qui a créé le ciel et la terre et qui l’habite attire notre attention. Qu’il est admirable de méditer sur la grandeur de ce beau Dieu ! Nous levons les yeux vers Celui qui est venu « pour nous et pour notre Salut. » Jésus est présent dans notre vie par la foi, il nous attire vers notre Père. C’est un mystère d’Amour qui nous est révélé à l’Annonciation de l’ange à Marie. En venant chez nous, Dieu se met à la dernière place. Nous reconnaissons Jésus, réellement Présent et Vivant, dans la Sainte Eucharistie. C’est l’Esprit Saint qui nous fait entrer dans ce Don au delà de tout Don. Ainsi, Dieu est présent dans le sanctuaire de notre cœur par l’Esprit Saint que nous avons reçu.
"Jésus leur répondit : « Isaïe a bien prophétisé à votre sujet, hypocrites, ainsi qu’il est écrit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi." C’est en vain qu’ils me rendent un culte ; les doctrines qu’ils enseignent ne sont que des préceptes humains. Vous aussi, vous laissez de côté le commandement de Dieu, pour vous attacher à la tradition des hommes. »
Jésus veut chasser le mensonge de notre vie en éclairant l’extérieur et l’intérieur de notre humanité. L’extérieur, c’est le paraître superficiel, ce sont tous nos masques. C’est l’image idéale de nous-même que nous poursuivons. Nous la projetons sur tout ce qui nous entoure par nos rites de purification. C’est de là que bouillonnent l’agressivité et la rancœur. Là se glissent le mépris et l’égoïsme. C’est là que naît le désir d’utiliser les autres à notre profit. Ce qui nous empêche d’être heureux et d’être totalement donnés nous dit Jésus, c’est de vivre dans le mensonge. C’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent la méchanceté, l’envie, l’orgueil et la démesure. « Ce qui sort du cœur, dit Jésus, voilà ce qui rend l’homme impur. » L’intérieur, c’est le véritable et l’authentique de notre vie. C’est ce que nous sommes devant Dieu que nous accueillons humblement. Demeurer dans la véritable liberté que Jésus est venu nous apporter est notre bonheur. Nous rendons grâce à Dieu, qui avec la tendresse d’un époux, nous redit son amour. Il nous fait revenir à l’essentiel de notre vie, à l’unité qui nous constitue quand nous recevons le don de la vie tel qu’il nous l’a donné.
"Il leur disait encore : « Vous rejetez bel et bien le commandement de Dieu pour établir votre tradition." En effet, Moïse a dit : Honore ton père et ta mère. Et encore : Celui qui maudit son père ou sa mère sera mis à mort. Mais vous, vous dites : Supposons qu’un homme déclare à son père ou à sa mère : “Les ressources qui m’auraient permis de t’aider sont korbane, c’est-à-dire don réservé à Dieu”, alors vous ne l’autorisez plus à faire quoi que ce soit pour son père ou sa mère ; vous annulez ainsi la parole de Dieu par la tradition que vous transmettez. Et vous faites beaucoup de choses du même genre. »
Seule la prière nous ouvre un chemin d’humilité. Notre démarche vers Dieu est marquée d’ambiguïté, c’est ce qui fait notre souffrance. Notre vérité se manifeste quand nous sommes à l’écoute du Dieu vivant, quand son amour vrai est en nous. Lui seul est capable d’ôter nos masques sans nous décourager. Il veut que ce soit du plus secret de notre être que parte toute compréhension, tout amour et toute décision. Jésus, le Fils du Père, nous donne de contempler le Père invisible. Marie manifeste la tendresse infinie du cœur de notre Père. La mère de Jésus est le miroir limpide qui nous donne de contempler l’image et la ressemblance du Dieu vivant. Nous aussi, nous sommes capables de donner ce que nous avons reçu !
Nous demandons au Saint-Esprit la grâce de nous introduire dans le cœur de Dieu pour y trouver notre unité.
http://www.pere-gilbert-adam.org
Quand je dis Dieu c'est un poème, c'est une étoile dans ma vie,
du feu qui coule dans mes veines, un grand soleil pour aujourd'hui !
Dernière édition par Père Nathan le Mar 23 Mar 2021 - 18:12, édité 5 fois (Raison : comme d'habitude...)
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Notre vérité se manifeste quand nous sommes à l’écoute du Dieu vivant, quand son amour vrai est en nous. Lui seul est capable d’ôter nos masques sans nous décourager. Il veut que ce soit du plus secret de notre être que parte toute compréhension, tout amour et toute décision. Jésus, le Fils du Père, nous donne de contempler le Père invisible. Marie manifeste la tendresse infinie du cœur de notre Père. La mère de Jésus est le miroir limpide qui nous donne de contempler l’image et la ressemblance du Dieu vivant. Nous aussi, nous sommes capables de donner ce que nous avons reçu ! ...Demandons au Saint-Esprit la grâce de nous introduire dans le cœur de Dieu pour y trouver notre unité.
azais- MEDIATEUR
- Messages : 9459
Age : 73
Inscription : 10/02/2016
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Bonjour à vous tous, amis qui aimez la Parole de Vie, goûtez et voyez comme est bon le seigneur!
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Quand je dis Dieu c'est un poème, c'est une étoile dans ma vie,
du feu qui coule dans mes veines, un grand soleil pour aujourd'hui !
Bonjour Azaîs et Merci pour ton partage.
Le mercredi 10 février 2021
Mercredi de la 5e semaine, année impaire
« ce qui sort de l’homme, voilà ce qui rend l’homme impur. »
Gn. 2, 4…17 Ps. 103 Mc. 7, 14-23
Mercredi de la 5e semaine, année impaire
« ce qui sort de l’homme, voilà ce qui rend l’homme impur. »
Gn. 2, 4…17 Ps. 103 Mc. 7, 14-23
Appelant de nouveau la foule, il lui disait : « Écoutez-moi tous, et comprenez bien. Rien de ce qui est extérieur à l’homme et qui entre en lui ne peut le rendre impur. Mais ce qui sort de l’homme, voilà ce qui rend l’homme impur. » Quand il eut quitté la foule pour rentrer à la maison, ses disciples l’interrogeaient sur cette parabole.
Jésus nous remet devant notre liberté intérieure, il nous remet devant notre capacité de choisir. En disant, « Ce qui sort de l’homme, » il combat un ritualisme aliénant, il nous conduit à distinguer la connaissance de ce qui est profane et celle de ce qui est sacré. Nous avons besoin de revenir à l’origine de notre histoire pour sortir de l’enfermement dans lequel un "rituel religieux" nous emprisonne à propos du pur et de l’impur ! Entrer dans l’émerveillement et dans l’action de grâce nous fait sortir de ce repli sur soi mortifère. L’homme et de la femme, créés à l’image et à la ressemblance de Dieu ont une capacité étonnante de resplendir de l’amour infini de Dieu. Avec la création, nous rendons grâce à Dieu pour tout ce qu’il a fait : "Tout cela était très bon." Revenir à l’origine, c’est retrouver notre liberté dans le choix de Dieu, dans la relation d’amour avec notre Créateur. Cette dépendance d’amour est structurante. Dépendre d’un plus grand que soi est libérant. La Parole que Dieu nous adresse nous aide à demeurer dans le silence de l’Amour. Il nous faut demander à Dieu de changer notre cœur, qu’il nous donne un cœur vraiment pur pour le contempler : « Heureux les cœurs purs ils verront Dieu. »
"Alors il leur dit : « Êtes-vous donc sans intelligence, vous aussi ? Ne comprenez-vous pas que tout ce qui entre dans l’homme, en venant du dehors, ne peut pas le rendre impur, parce que cela n’entre pas dans son cœur, mais dans son ventre, pour être éliminé ? » C’est ainsi que Jésus déclarait purs tous les aliments.
Le combat que Jésus nous propose se vit dans notre cœur. C’est avec conscience, en lien avec Dieu, que nous nous adressons les uns aux autres. Le pur et l’impur sont des propriétés extérieures qui peuvent être manipulées par le monde. C’est en conservant le contact avec Dieu que nous devenons pur. Notre cœur reçoit la vie de Dieu. Ce mouvement nous rend à nous-même en nous donnant d’agir non pas à partir des idées, mais à partir de la relation avec Celui qui habite et murmure en notre cœur son Amour. Avec intelligence et volonté nous avançons dans notre marche vers lui. Nous voulons nous ouvrir et nous abandonner à Dieu qui nous donne la vie et l’être. Nous contemplons le cœur de Marie, c’est du dedans, de son cœur, que sortait la louange vers son Dieu. Nous demandons à Dieu qu’il purifie notre cœur, qu’il nous donne la parole qui convient.
"Il leur dit encore : « Ce qui sort de l’homme, c’est cela qui le rend impur. Car c’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent les pensées perverses : inconduites, vols, meurtres, adultères, cupidités, méchancetés, fraude, débauche, envie, diffamation, orgueil et démesure. » Tout ce mal vient du dedans, et rend l’homme impur. »
Le souhait de Dieu est que son enfant bien-aimé demeure dans le lien d’amour qui le fait exister. Harmoniser notre cœur avec le cœur de Dieu ne se fait pas avec des pratiques extérieures ! Il s’agit de retrouver une pureté de cœur pour regarder nos frères avec des pensées en harmonie avec le cœur de Dieu. Jésus part de ce qui sort de l’homme, de notre capacité à nous déterminer. Selon la manière dont nous conduisons, la parole qui sort de notre bouche sera sanctifiée, rendue sainte et porteuse de relation sanctifiante, ou elle sera profanée. Nous pouvons évoquer Marie. A Cana, elle est témoin de la transformation qui s’opère à partir des cuves destinées à la purification. Jésus, grâce à sa Passion, va transformer ces « cuves » de nos vies en coupes de bénédiction. Ce sera la grâce du vin nouveau ! Laisser l’action de grâce habiter notre cœur pour regarder nos frères en vérité, comme Dieu les regarde, est une conversion purifiante.Nous demandons à Jésus qu’il nous donne son Corps et son Sang en nourriture pour que nous communions à sa vie.
http://www.pere-gilbert-adam.org
Quand je dis Dieu c'est un poème, c'est une étoile dans ma vie,
du feu qui coule dans mes veines, un grand soleil pour aujourd'hui !
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
« Isaïe a bien prophétisé à votre sujet, hypocrites, ainsi qu’il est écrit : ‘Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi. C’est en vain qu’ils me rendent un culte ; les doctrines qu’ils enseignent ne sont que des préceptes humains.’ Vous aussi, vous laissez de côté le commandement de Dieu, pour vous attacher à la tradition des hommes. » Saint Marc (7,1-13)
LA PURETÉ !
Homélie de mercredi 10 Février 2021: Mc 7, 14-23
Ma personne est entourée des actions des âmes comme d’un vêtement. Plus leurs intentions sont pures et leur amour intense, plus elles me donnent de splendeur ; de mon côté, je leur donne plus de gloire, à tel point qu’au jour du jugement, je les ferai connaître au monde entier afin qu’on sache combien elles m’ont honoré et combien je les honore. » D’un air affligé, il ajouta : « Ma fille, qu’adviendra-t-il des âmes ayant fait tant d’actions, même bonnes, sans pureté d’intention, par habitude ou par égoïsme ? Quelle honte elles éprouveront au jour du jugement en voyant ces actions, bonnes en soi, mais tarées à cause de leurs intentions imparfaites ; au lieu de leur faire honneur, elles seront source de honte pour elles et pour bien d’autres. En fait, ce n’est pas la grandeur des actions qui m’importe mais l’intention avec laquelle elles sont faites. »
Jésus est demeuré silencieux quelque temps pendant que je réfléchissais aux paroles qu’il m’avait dites sur la pureté d’intention et aussi sur le fait qu’en faisant le bien, les créatures doivent mourir à elles-mêmes et ne faire qu’un avec le Seigneur.
Jésus ajouta : « Il en est bien ainsi : mon Cœur est infiniment grand, mais la porte pour y entrer est très étroite. Personne ne peut venir combler son vide, sauf les âmes dépouillées et simples. Puisque sa porte est étroite, la moindre petite entrave – l’ombre d’un attachement, une intention qui n’est pas droite, une action qui n’a pas pour but de me plaire – les empêche de venir s’y délecter. L’amour du prochain pénètre dans mon Cœur mais, pour cela, il doit être tellement uni à mon propre amour qu’il ne fasse qu’un avec lui, qu’on ne puisse distinguer son amour du mien. Je ne peux considérer comme mien l’amour du prochain, s’il n’est pas transformé en mon propre amour. »
Vol 2, 7 mai 1899
J’étais dans mon état habituel. Dès que je vis mon adorable Jésus, il me dit : « La paix met toutes les passions en ordre. Mais qu’est ce qui triomphe de tout, établit le bien complet dans l’âme et sanctifie tout ? C’est la pureté d’intention, c’est-à-dire tout accomplir avec l’unique intention de plaire à Dieu. La pureté d’intention règle et corrige les vertus elles-même, y compris l’obéissance. Elle est comme un maestro qui dirige la musique spirituelle de l’âme. »
Vol 5, 11 mai 1903
Ce matin, j’avais beaucoup de mal à attendre mon adorable Jésus. Pourtant, pendant que je l’attendais, je faisais tout ce que je pouvais pour unir toutes mes actions à l’intérieur de Notre-Seigneur. J’y ajoutais l’intention de lui donner toute cette gloire et toutes ces réparations qui proviennent de sa très Sainte Humanité.
Pendant que je faisais ainsi, Jésus béni est venu et m’a dit :
« Ma fille, lorsque l’âme se sert de mon Humanité pour faire tout ce qu’elle fait, ne serait-ce qu’une pensée, une respiration ou un acte quelconque, ses actions sont comme autant de pierres précieuses qui sortent de mon Humanité et se présentent devant la Divinité. Et puisqu’elles sont produites par le moyen de mon Humanité, ces actions ont les mêmes effets que les œuvres que j’accomplissais quand j’étais sur la terre. »
Je dis : « Ah ! Seigneur ! j’éprouve un certain doute face à ce que tu dis ! Comment se peut-il que par une simple intention dans mes actions, même dans les plus petites choses, ces actions produisent de si grands effets ? Lorsqu’on examine bien la chose, ces actions sont vraiment des choses de rien, vides. Pourtant, il semble que la seule intention d’unir une action à la tienne uniquement dans le but de te plaire remplit cette action, laquelle tu élèves d’une manière suprême en la faisant paraître comme une chose très grande. »
Jésus reprit : « Ah ! ma fille, l’action de la créature est vide, même si c’est une grande action ! C’est l’union à la mienne dans le simple but de me plaire qui la remplit. Et puisqu’une action faite par moi, ne serait-ce qu’une respiration, dépasse d’une façon infinie toutes les actions des créatures mises ensemble, voilà la raison qui rend cette action si grande. D’ailleurs, ne sais-tu pas que celui qui se sert de mon Humanité pour opérer ses actions se nourrit des fruits de ma propre Humanité et s’alimente de ma propre nourriture ? Ne sais-tu pas également que c’est la bonne intention qui fait de l’homme un saint et la mauvaise intention qui fait de lui un méchant ? Les hommes font souvent les mêmes actions, mais, par ces actions, l’un se sanctifie et l’autre se pervertit. »
Pendant qu’il disait cela, je voyais à l’intérieur de Notre-Seigneur un arbre verdoyant plein de beaux fruits, et ces âmes qui opéraient pour plaire uniquement à Dieu par le moyen de son Humanité, je les voyais sur cet arbre à l’intérieur de Jésus : l’Humanité de Jésus leur servait de demeure. Cependant, comme leur nombre était petit !
Vol 4, 8 octobre 1901
DISCIPLES AMOUREUX MISSIONNAIRES
Que ton règne vienne
Invité- Invité
Re: *Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU *, *L’Évangile et le Livre du Ciel*
Ton Enseignementest limpide Seigneur ...Louange à toi ! Prends pitié de tous ceux qui coupent les cheveux en quatre ...
" l’union à mon action dans le simple but de me plaire remplit ton âme ; une action faite par moi, ne serait-ce qu’une respiration, dépasse d’une façon infinie toutes les actions des créatures mises ensemble, voilà la raison qui rend cette action si grande : celui qui se sert de mon Humanité pour opérer ses actions se nourrit des fruits de ma propre Humanité et s’alimente de ma propre nourriture ... c’est la bonne intention qui fait de l’homme un saint et la mauvaise intention qui fait de lui un méchant : Les hommes font souvent les mêmes actions, mais, par ces actions, l’un se sanctifie et l’autre se pervertit. »
" l’union à mon action dans le simple but de me plaire remplit ton âme ; une action faite par moi, ne serait-ce qu’une respiration, dépasse d’une façon infinie toutes les actions des créatures mises ensemble, voilà la raison qui rend cette action si grande : celui qui se sert de mon Humanité pour opérer ses actions se nourrit des fruits de ma propre Humanité et s’alimente de ma propre nourriture ... c’est la bonne intention qui fait de l’homme un saint et la mauvaise intention qui fait de lui un méchant : Les hommes font souvent les mêmes actions, mais, par ces actions, l’un se sanctifie et l’autre se pervertit. »
azais- MEDIATEUR
- Messages : 9459
Age : 73
Inscription : 10/02/2016
Page 3 sur 15 • 1, 2, 3, 4 ... 9 ... 15
Sujets similaires
» Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU
» La Bible en tutoriels - Le Deutéronome (père Alain DUMONT)
» La Parole de Dieu est notre pain spirituel
» Donnez-nous aujourd'hui notre Pain de ce jour (l'HOSTIE)!
» Le Livre du Ciel Tome 12- 28 Mars 1917- L'âme qui se fond en Jésus, attire ses " Je t'aime ".
» La Bible en tutoriels - Le Deutéronome (père Alain DUMONT)
» La Parole de Dieu est notre pain spirituel
» Donnez-nous aujourd'hui notre Pain de ce jour (l'HOSTIE)!
» Le Livre du Ciel Tome 12- 28 Mars 1917- L'âme qui se fond en Jésus, attire ses " Je t'aime ".
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum