Une Hostie changée en chair et en sang dans les mains d'un Prêtre!!
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Une Hostie changée en chair et en sang dans les mains d'un Prêtre!!
Une hostie changée en chair et en sang dans les mains d’un prêtre ?
La route de la canonisation s’ouvre pour Mère Garnier, sœur londonienne, qui a assisté à ce miracle.
La route de la canonisation s’ouvre pour Mère Garnier, sœur londonienne, qui a assisté à ce miracle.
Le Vatican a en effet donné son autorisation pour ouvrir le procès en canonisation de Mère Marie Adèle Garnier, la fondatrice des sœurs de Tyburn [1].
Après que la Congrégation pour la cause des saints ait déclaré n’avoir trouvé « aucun obstacle » à sa candidature, le titre de « Servante du Seigneur » a été donné à Mère Garnier. Cette dernière a rendu l’âme en 1924 au couvent de Tyburn, situé à côté du Marble Arch à Londres. L’avancée du procès sera probablement formellement annoncée plus tard cette année dans une déclaration du Vatican.
Ouverture du procès en canonisation
C’est l’évêque Joseph de Metz-Noblat du diocèse de Langres (dans les environs où a grandi Mère Garnier) qui a adressé une pétition au Vatican pour l’ouverture du procès en canonisation. En 2012, un prêtre italien nommé Gianmario Piga a écrit une biographie spirituelle de la sœur, dans laquelle il a analysé en détail ses lettres et d’autres écrits.
Après que la Congrégation pour la cause des saints ait déclaré n’avoir trouvé « aucun obstacle » à sa candidature, le titre de « Servante du Seigneur » a été donné à Mère Garnier. Cette dernière a rendu l’âme en 1924 au couvent de Tyburn, situé à côté du Marble Arch à Londres. L’avancée du procès sera probablement formellement annoncée plus tard cette année dans une déclaration du Vatican.
Ouverture du procès en canonisation
C’est l’évêque Joseph de Metz-Noblat du diocèse de Langres (dans les environs où a grandi Mère Garnier) qui a adressé une pétition au Vatican pour l’ouverture du procès en canonisation. En 2012, un prêtre italien nommé Gianmario Piga a écrit une biographie spirituelle de la sœur, dans laquelle il a analysé en détail ses lettres et d’autres écrits.
Dans son livre The Path of Mother Adele Garnier [2], le père Piga la révèle comme une mystique qui a eu des expériences comparables à celles de grands auteurs spirituels, tels que sainte Thérèse d’Avila et saint Jean de la Croix. Il y parle également d’une lettre qu’elle a écrit à Charles Sauvé, un ami prêtre, dans laquelle elle décrit sa vision de l’hostie consacrée se transformer en chair et en sang.
Elle écrit ainsi : « Au moment où le prêtre prit une hostie pour la poser dans la calice, j’ai levé les yeux pour l’adorer et la contempler ». « Oh, si vous saviez ce que j’ai vu et comment je suis encore touchée et impressionnée par cette vision » écrit-elle plus loin. « Les doigts du prêtre tenaient non pas une hostie blanche, mais une hostie d’un rouge éclatant, de la couleur du sang mais lumineux en même temps… Les doigts du prêtre étaient rouges du côté droit de l’hostie, comme tâchés de sang encore humide. »
[1] Qui appartiennent à la congrégation des sœurs bénédictines adoratrices du Sacré-Cœur de Montmartre.
Elle écrit ainsi : « Au moment où le prêtre prit une hostie pour la poser dans la calice, j’ai levé les yeux pour l’adorer et la contempler ». « Oh, si vous saviez ce que j’ai vu et comment je suis encore touchée et impressionnée par cette vision » écrit-elle plus loin. « Les doigts du prêtre tenaient non pas une hostie blanche, mais une hostie d’un rouge éclatant, de la couleur du sang mais lumineux en même temps… Les doigts du prêtre étaient rouges du côté droit de l’hostie, comme tâchés de sang encore humide. »
[1] Qui appartiennent à la congrégation des sœurs bénédictines adoratrices du Sacré-Cœur de Montmartre.
Source: ALETEIA
http://fr.aleteia.org/2016/11/07/une-hostie-changee-en-chair-et-en-sang-dans-les-mains-dun-pretre/?utm_campaign=NL_fr&utm_source=daily_newsletter&utm_medium=mail&utm_content=NL_fr
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Re: Une Hostie changée en chair et en sang dans les mains d'un Prêtre!!
Miracle eucharistique : quand l’hostie se met à saigner durant la messe
En ce mois de juillet dédié à la dévotion au Saint Sang, deux miracles reconnus par Rome aident à méditer la signification profonde du sacrifice consenti par le Christ.
Ces miracles si impressionnants sont appelés miracles eucharistiques.
Ils prennent ce nom car ils se manifestent au cours d’une messe, lorsque l’hostie se met incompréhensiblement à saigner.
Ces miracles sont nombreux (on en trouve des récits ici, ici et là) mais doivent être considérés avec beaucoup de prudence.
Certaines apparences de miracles ne sont en réalité que la contagion du pain par la bactérie serratia marcescens dont certaines souches produisent un pigment rouge.
Le miracle de Lanciano en l’an 700
C’est dans une petite ville d’Italie, celle où, dit-on, naquit le centurion qui a percé le flanc du Christ, que l’un des plus célèbres miracles eucharistique eut lieu.
Comme beaucoup de ses semblables, le prêtre eut, au cours de la messe, quelques doutes sur la présence réelle de Jésus dans le pain et dans le vin qu’il allait consacrer.
C’est alors que ceux-ci se changèrent sous ses yeux en véritable chair et en véritable sang.
Aujourd’hui encore, ce morceau de chair est conservé, avec quelques caillots de sang coagulés depuis.
À la demande de l’Église, les reliques furent analysées par la science en 1970 et révélèrent que la chair était celle du cœur d’un homme, et que le sang était frais (c’est-à-dire qu’il n’avait pas connu la corruption du temps).
Le miracle de Buenos Aires, en 1996
Le 18 août 1996, après une messe du père Pezet, qui ressemblait à toutes les autres, une femme vint prévenir le prêtre, qu’une hostie souillée avait été abandonnée au fond de l’église.
Le père s’empressa de la ramasser pour la remettre dans le tabernacle, dans un petit récipient d’eau.
Quelques jours plus tard, le 26 août, celui-ci s’aperçut que l’hostie s’était transformé en une substance toute couverte de sang.
Il le signala à son supérieur, monseigneur Bergoglio — le futur pape François — qui demanda à ce que la scène soit photographiée.
Ce fut fait le 6 septembre et l’on s’aperçut alors que la substance étrange était en réalité un morceau de chair
Elle resta ainsi, plusieurs années, cachée dans le tabernacle.
Trois ans plus tard, Mgr Bergoglio décida de soumettre à l’analyse scientifique ce lambeau qui ne présentait aucun signe de décomposition, sans en préciser l’origine aux experts.
Un laboratoire américain fut chargé de la mission.
Voici sa conclusion :
« La matière analysée est un fragment de muscle du cœur (…) Ceci indique que le cœur était vivant au moment où l’échantillon a été prélevé.
J’affirme que le cœur était vivant étant donné que les globules blancs meurent en dehors d’un organisme vivant. (…)
Par ailleurs, ces globules blancs avaient pénétré les tissus, ce qui indique d’autant plus que le cœur avait été soumis à un stress intense, comme si son propriétaire avait été battu sévèrement au niveau de la poitrine. »
En ce mois de juillet dédié à la dévotion au Saint Sang, deux miracles reconnus par Rome aident à méditer la signification profonde du sacrifice consenti par le Christ.
Ces miracles si impressionnants sont appelés miracles eucharistiques.
Ils prennent ce nom car ils se manifestent au cours d’une messe, lorsque l’hostie se met incompréhensiblement à saigner.
Ces miracles sont nombreux (on en trouve des récits ici, ici et là) mais doivent être considérés avec beaucoup de prudence.
Certaines apparences de miracles ne sont en réalité que la contagion du pain par la bactérie serratia marcescens dont certaines souches produisent un pigment rouge.
Le miracle de Lanciano en l’an 700
C’est dans une petite ville d’Italie, celle où, dit-on, naquit le centurion qui a percé le flanc du Christ, que l’un des plus célèbres miracles eucharistique eut lieu.
Comme beaucoup de ses semblables, le prêtre eut, au cours de la messe, quelques doutes sur la présence réelle de Jésus dans le pain et dans le vin qu’il allait consacrer.
C’est alors que ceux-ci se changèrent sous ses yeux en véritable chair et en véritable sang.
Aujourd’hui encore, ce morceau de chair est conservé, avec quelques caillots de sang coagulés depuis.
À la demande de l’Église, les reliques furent analysées par la science en 1970 et révélèrent que la chair était celle du cœur d’un homme, et que le sang était frais (c’est-à-dire qu’il n’avait pas connu la corruption du temps).
Le miracle de Buenos Aires, en 1996
Le 18 août 1996, après une messe du père Pezet, qui ressemblait à toutes les autres, une femme vint prévenir le prêtre, qu’une hostie souillée avait été abandonnée au fond de l’église.
Le père s’empressa de la ramasser pour la remettre dans le tabernacle, dans un petit récipient d’eau.
Quelques jours plus tard, le 26 août, celui-ci s’aperçut que l’hostie s’était transformé en une substance toute couverte de sang.
Il le signala à son supérieur, monseigneur Bergoglio — le futur pape François — qui demanda à ce que la scène soit photographiée.
Ce fut fait le 6 septembre et l’on s’aperçut alors que la substance étrange était en réalité un morceau de chair
Elle resta ainsi, plusieurs années, cachée dans le tabernacle.
Trois ans plus tard, Mgr Bergoglio décida de soumettre à l’analyse scientifique ce lambeau qui ne présentait aucun signe de décomposition, sans en préciser l’origine aux experts.
Un laboratoire américain fut chargé de la mission.
Voici sa conclusion :
« La matière analysée est un fragment de muscle du cœur (…) Ceci indique que le cœur était vivant au moment où l’échantillon a été prélevé.
J’affirme que le cœur était vivant étant donné que les globules blancs meurent en dehors d’un organisme vivant. (…)
Par ailleurs, ces globules blancs avaient pénétré les tissus, ce qui indique d’autant plus que le cœur avait été soumis à un stress intense, comme si son propriétaire avait été battu sévèrement au niveau de la poitrine. »
Source:ALETEIAhttps://fr.aleteia.org/2017/07/14/miracle-eucharistique-quand-lhostie-se-met-a-saigner-durant-la-messe/?utm_campaign=NL_fr&utm_source=daily_newsletter&utm_medium=mail&utm_content=NL_fr
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