Droit à l'avortement ?
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P34512
Samaritain
Gilbert Chevalier
Jean21
8 participants
Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX :: Les Grands Péchés :: A T-ON LE DROIT D'ABUSER DE SON AUTORITE ?
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Re: Droit à l'avortement ?
Et comment en est-on arrivé là ? Il faut se reporter quarante ans en arrière, lorsque l'assemblée nationale française, droite et gauche confondues, tous debout, accueillir la loi de l'IVG, dans un silence impressionnant. Et pendant ce temps, qu'ont fait les évêques français ? À peu près rien ou si peu ! Alors, où sont les responsables ? Quand les catholiques se taisent, les impies sont droits dans leurs bottes !
Re: Droit à l'avortement ?
Bonjour,
Vous écrivez :
"Et comment en est-on arrivé là ?"
==> Il ne s'agit pas de 40 ans en arrière, mais du peuple qui a choisi l'athéisme institutionnalisé en 1789.
vous écrivez :
"Il faut se reporter quarante ans en arrière, lorsque l'assemblée nationale française, droite et gauche confondues, tous debout, accueillir la loi de l'IVG, dans un silence impressionnant. Et pendant ce temps, qu'ont fait les évêques français ? À peu près rien ou si peu ! Alors, où sont les responsables ? Quand les catholiques se taisent, les impies sont droits dans leurs bottes !"
==> Pour moi, c'est inexact, ce discours sous-entend que les évêques, les cardinaux et le Pape seraient coupables de quelque chose au sujet de l'avortement, et n'auraient pas fait leur travail. il n'y a pas du tout de "silence impressionnant" du clergé, il y a que nous sommes en république laïque, donc totalement athée, les catholiques ne sont pas députés à l'assemblée nationale, et n'ont aucun poids dans la société moderne, de par le choix du peuple dans sa très grande majorité.
Par conséquent, le peuple lui-même est coupable, les catholiques réels étant très minoritaires.
Les évêques, le Pape, etc, causent malheureusement le plus souvent dans le vide, ou ne sont audibles que chez les catholiques, le pouvoir politique athée, suivi du peuple, ne faisant que ce qu'il veut, on l'a vu récemment dans le mariage homo : les catholiques ont rouspété, des millions de gens dans les rues, et bien la loi est passée quand même, et ce n'est pas fini : les GPA, PMA et autres déchets vont suivre.
Et rappelons que c'est la droite qui a fait passer l'IVG, donc, comme la gauche était évidemment d'accord pour une loi démoniaque, cela représentait quasiment toute la population française qui réclamait à grands cris la légalisation de l'avortement, encore bien plus que pour le mariage homo (qui avait plus d'opposants, et ça n'a rien changé).
Quand l'évêque parle, on le ridiculise et on le moque, d'ailleurs il n'est pas du tout invité sur les plateaux de télé, entre autres choses, il n'existe quasiment pas dans une société athée, voilà la situation réelle. Et voilà ce que c'est de soutenir la république laïque et athée.
Vous écrivez :
"Et comment en est-on arrivé là ?"
==> Il ne s'agit pas de 40 ans en arrière, mais du peuple qui a choisi l'athéisme institutionnalisé en 1789.
vous écrivez :
"Il faut se reporter quarante ans en arrière, lorsque l'assemblée nationale française, droite et gauche confondues, tous debout, accueillir la loi de l'IVG, dans un silence impressionnant. Et pendant ce temps, qu'ont fait les évêques français ? À peu près rien ou si peu ! Alors, où sont les responsables ? Quand les catholiques se taisent, les impies sont droits dans leurs bottes !"
==> Pour moi, c'est inexact, ce discours sous-entend que les évêques, les cardinaux et le Pape seraient coupables de quelque chose au sujet de l'avortement, et n'auraient pas fait leur travail. il n'y a pas du tout de "silence impressionnant" du clergé, il y a que nous sommes en république laïque, donc totalement athée, les catholiques ne sont pas députés à l'assemblée nationale, et n'ont aucun poids dans la société moderne, de par le choix du peuple dans sa très grande majorité.
Par conséquent, le peuple lui-même est coupable, les catholiques réels étant très minoritaires.
Les évêques, le Pape, etc, causent malheureusement le plus souvent dans le vide, ou ne sont audibles que chez les catholiques, le pouvoir politique athée, suivi du peuple, ne faisant que ce qu'il veut, on l'a vu récemment dans le mariage homo : les catholiques ont rouspété, des millions de gens dans les rues, et bien la loi est passée quand même, et ce n'est pas fini : les GPA, PMA et autres déchets vont suivre.
Et rappelons que c'est la droite qui a fait passer l'IVG, donc, comme la gauche était évidemment d'accord pour une loi démoniaque, cela représentait quasiment toute la population française qui réclamait à grands cris la légalisation de l'avortement, encore bien plus que pour le mariage homo (qui avait plus d'opposants, et ça n'a rien changé).
Quand l'évêque parle, on le ridiculise et on le moque, d'ailleurs il n'est pas du tout invité sur les plateaux de télé, entre autres choses, il n'existe quasiment pas dans une société athée, voilà la situation réelle. Et voilà ce que c'est de soutenir la république laïque et athée.
Samaritain- Pour le roi
- Messages : 625
Localisation : Paris
Inscription : 11/02/2012
Re: Droit à l'avortement ?
il y a tout de même une très forte infiltration de la maçonnerie au sein de l’Église
P34512- Aime la Divine Volonté
- Messages : 836
Inscription : 26/08/2014
Re: Droit à l'avortement ?
Il y a aussi beaucoup de pécheurs non encartés !
Sofoyal- Combat l'antechrist
- Messages : 2384
Inscription : 03/11/2013
Re: Droit à l'avortement ?
A mon avis le problème vient de ce que nos positions de catholiques sont toujours présentées, dépourvues d'arguments frappants et simples à comprendre pour le plus grand nombre. Pourquoi les messages d'ordre moral et spirituel semblent-ils toujours gratuits, plus assénés que validés par la raison, dont le champ d'action est universel et non point limité aux faits temporels ou aux lois de la physique?
Qu'est-ce qu'un embryon pour beaucoup de gens? Un petit ensemble de cellules travaillant de manière interactive et supéfiante, qui suscite l'admiration?
Non! la plupart des gens vous diront qu"au départ" un embryon n'est qu'une simple juxtaposition -un petit tas- de cellules; rien d'autre.. Et qu'il n'y a donc aucun état d'âme à avoir quant au fait de l'éliminer... Aucune faute là-dedans.
Si par contre on expliquait en termes simples qu'une âme particulière est bel et bien à l'oeuvre dès la pénétration du spermatozoïde dans l'ovule, peut-être beaucoup de pro-avortement verraient-ils la chose sous un autre angle.
Le problème?
Le côté flou, hyper abstrait, du concept d'âme, un flou qu'on n'essaie manifestement pas de dissiper.
Ce qui revient à dire que, dans mon esprit, si l'on voulait bien faire l'effort de se pencher sur une définition claire de ce qu'est l'âme, on parviendrait certainement à interpeller et susciter de profondes interrogations chez nombre de personnes, même simples.
Mais pour en arriver là, il faudrait, toujours à mon sens, n'avoir pas peur de remettre en question certaines positions ou définitions de cette âme et que je perçois comme fausses...
En clair: pour moi l'âme (contrairement à L'Esprit) n'est pas donnée, apportée de l'extérieur par Dieu, mais transmise par les parents... L'âme de l'enfant à naitre n'est "rien d'autre" que l'expression du réarrangement des gènes qui lui vaut, par ailleurs et en même temps, d'avoir les apparences et la constitution physiques qui seront les siennes.
Alors oui, je sais: cette position n'est pas celle de l'Eglise et pourtant...
Réfléchissons!
On nous dit que l'âme anime le corps; chaque partie du corps si petite soit-elle. Ce qui veut dire que l'âme étant indivisible, chacune de nos cellules la contient intégralement. Donc chaque spermatozoïde et chaque ovule la contiennent intégralement aussi...Ce qui fait que lorsqu'un spermatozoïde rencontre un ovule ce ne sont pas seulement deux particules de matière qui se rencontrent et se mélangent mais deux âmes; en suivant le processus apparemment aléatoire de la redistribution des gènes.
Le tout donnant un nouveau corps ,animé par une nouvelle âme.
Si donc il n'y a pas d'apport animique de l'extérieur, alors les cellules sont animées immédiatement (problème ancien de l'animation médiate ou immédiate du corps par l'âme, qui divise toujours les penseurs, philosophes voire les théologiens)
Ce qui fait qu'avorter revient ipso facto a éliminer non point une simple addition de cellules mais une âme.
Et évidemment cela change tout... Car si on est convaincu que l'enfant à naitre ne devient véritablement Homme qu'à un "certain" stade de développement de l'embryon ou du fétus (lequel stade est incertain, d'ailleurs, variable selon les critères adoptés par les uns ou les autres pour définir un Etre humain) , mais pas immédiatement, alors il ne faut pas s'étonner que l'avortement dans les toutes premières heures de la fécondation, voire semaines pour certains, passe pour un fait moralement indifférent.
Et pour ceux qui seraient encore sceptiques sur cette position, je rappelle que l'âme d'un l'individu est affectée par les éventuelles compromissions de ses ancêtres; compromission dont il faut ensuite se débarrasser dans un long et difficile combat
Comment imaginer Dieu, donnant une âme à cet individu en se disant:
" Ah! où avais-je la tête, j'allais oublier!!! C'est vrai que ses parents, à celui-là, celle-là, se sont compromis avec l'Ennemi. Il faut donc que Je lui donne une âme maculée, souillée, marquée du sceau infernal".
Alors que tout ce qui vient de Dieu est pur..
Je vous laisse cogiter....
Qu'est-ce qu'un embryon pour beaucoup de gens? Un petit ensemble de cellules travaillant de manière interactive et supéfiante, qui suscite l'admiration?
Non! la plupart des gens vous diront qu"au départ" un embryon n'est qu'une simple juxtaposition -un petit tas- de cellules; rien d'autre.. Et qu'il n'y a donc aucun état d'âme à avoir quant au fait de l'éliminer... Aucune faute là-dedans.
Si par contre on expliquait en termes simples qu'une âme particulière est bel et bien à l'oeuvre dès la pénétration du spermatozoïde dans l'ovule, peut-être beaucoup de pro-avortement verraient-ils la chose sous un autre angle.
Le problème?
Le côté flou, hyper abstrait, du concept d'âme, un flou qu'on n'essaie manifestement pas de dissiper.
Ce qui revient à dire que, dans mon esprit, si l'on voulait bien faire l'effort de se pencher sur une définition claire de ce qu'est l'âme, on parviendrait certainement à interpeller et susciter de profondes interrogations chez nombre de personnes, même simples.
Mais pour en arriver là, il faudrait, toujours à mon sens, n'avoir pas peur de remettre en question certaines positions ou définitions de cette âme et que je perçois comme fausses...
En clair: pour moi l'âme (contrairement à L'Esprit) n'est pas donnée, apportée de l'extérieur par Dieu, mais transmise par les parents... L'âme de l'enfant à naitre n'est "rien d'autre" que l'expression du réarrangement des gènes qui lui vaut, par ailleurs et en même temps, d'avoir les apparences et la constitution physiques qui seront les siennes.
Alors oui, je sais: cette position n'est pas celle de l'Eglise et pourtant...
Réfléchissons!
On nous dit que l'âme anime le corps; chaque partie du corps si petite soit-elle. Ce qui veut dire que l'âme étant indivisible, chacune de nos cellules la contient intégralement. Donc chaque spermatozoïde et chaque ovule la contiennent intégralement aussi...Ce qui fait que lorsqu'un spermatozoïde rencontre un ovule ce ne sont pas seulement deux particules de matière qui se rencontrent et se mélangent mais deux âmes; en suivant le processus apparemment aléatoire de la redistribution des gènes.
Le tout donnant un nouveau corps ,animé par une nouvelle âme.
Si donc il n'y a pas d'apport animique de l'extérieur, alors les cellules sont animées immédiatement (problème ancien de l'animation médiate ou immédiate du corps par l'âme, qui divise toujours les penseurs, philosophes voire les théologiens)
Ce qui fait qu'avorter revient ipso facto a éliminer non point une simple addition de cellules mais une âme.
Et évidemment cela change tout... Car si on est convaincu que l'enfant à naitre ne devient véritablement Homme qu'à un "certain" stade de développement de l'embryon ou du fétus (lequel stade est incertain, d'ailleurs, variable selon les critères adoptés par les uns ou les autres pour définir un Etre humain) , mais pas immédiatement, alors il ne faut pas s'étonner que l'avortement dans les toutes premières heures de la fécondation, voire semaines pour certains, passe pour un fait moralement indifférent.
Et pour ceux qui seraient encore sceptiques sur cette position, je rappelle que l'âme d'un l'individu est affectée par les éventuelles compromissions de ses ancêtres; compromission dont il faut ensuite se débarrasser dans un long et difficile combat
Comment imaginer Dieu, donnant une âme à cet individu en se disant:
" Ah! où avais-je la tête, j'allais oublier!!! C'est vrai que ses parents, à celui-là, celle-là, se sont compromis avec l'Ennemi. Il faut donc que Je lui donne une âme maculée, souillée, marquée du sceau infernal".
Alors que tout ce qui vient de Dieu est pur..
Je vous laisse cogiter....
Delsanto- En adoration
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Inscription : 05/02/2013
Re: Droit à l'avortement ?
Un petit ajout à mon message pour préciser qu'il ne s'agit surtout pas que d'éventuels lectrices ayant eu recours à l'avortement se sentent encore plus coupables, après l'avoir lu. (et en supposant qu'elles soient d'accord sur le fond, d'ailleurs)
Rappelons qu'il n'est point de péché que Dieu ne pardonne
Et que quelle que soit la matière, on est plus ou moins coupable selon le degré de connaissance ou de lucidité quant à (ou autour de) l'acte peccamineux que l'on a accompli.
Les circonstances atténuantes existent en toute matière.
Rappelons qu'il n'est point de péché que Dieu ne pardonne
Et que quelle que soit la matière, on est plus ou moins coupable selon le degré de connaissance ou de lucidité quant à (ou autour de) l'acte peccamineux que l'on a accompli.
Les circonstances atténuantes existent en toute matière.
Delsanto- En adoration
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Inscription : 05/02/2013
Re: Droit à l'avortement ?
Avortement : ce que l’on ne vous dit pas. Des femmes témoignent
Un document exceptionnel – Une exclusivité Réinformation.tv
Elle a avorté, un jour. C’était il y a 3 ans. Elle en a aujourd’hui 25. Lorsqu’elle s’est retrouvée enceinte, qu’elle l’a annoncé à son petit ami, Margaux ne s’attendait pas à une telle descente aux enfers. Très rapidement, son ami lui a demandé de ne pas garder l’enfant issu de leur union. Très rapidement, il la quittée. Elle s’est retrouvée totalement seule.
Pressions, abandon, souffrance : des femmes témoignent
Subissant la pression de son entourage, qui lui indiquait que financièrement elle ne pourrait subvenir à ses besoins, Margaux a fini par avorter. C’est alors pour elle une longue traversée du désert. Sommeil troublé, crises de larmes à répétition. Mais elle a surtout des envies de suicide. « Je ne dormais plus, je mangeais plus, j’ai perdu 10 kilos. Ma mère qui avait fait pression sur moi pour que je ne garde pas mon enfant a reconnu plus tard qu’elle avait été égoïste… ».
Il y a Margaux, il y a aussi Anne-Laure. Cette jeune femme de 28 ans a subi un avortement par aspiration il y a un an et demi. Le témoignage déchirant de cette jeune femme ouvre le voile sur un tabou : la solitude, la souffrance, la très grande détresse de nombre de femmes qui, sous la pression, l’angoisse, l’inquiétude, privées des conseils dont elles auraient besoin, des soutiens financiers qui leurs seraient nécessaires, avortent, pour leur plus grand désespoir.
Souffre et tais-toi : briser le silence autour de l’avortement
Les conséquences psychologiques sont immenses, les dégâts collatéraux souvent incalculables et la société se tait. Les femmes doivent souffrir en silence, sans se plaindre. Le sujet est tabou, mais pas sur internet. Partout sur le web, on trouve des témoignages de ce type. Certaines vont même jusqu’à poster leurs vidéos-témoignages sur YouTube. Elles ont besoin d’en parler, car personne ne veut les entendre. La souffrance post-avortement est pourtant un fait avéré. Des spécialistes commencent à l’évoquer enfin. Une étude sur 173.000 femmes californiennes à partir des remboursements de leur mutuelle médicale a révélé que le risque d’avoir recours à un traitement psychiatrique est 63 % plus élevé pour les femmes ayant avorté.
Un reportage exceptionnel d’Armel Joubert des Ouches
Des femmes témoignent sur leur avortement from Reinformation.tv on Vimeo.
Un document exceptionnel – Une exclusivité Réinformation.tv
Elle a avorté, un jour. C’était il y a 3 ans. Elle en a aujourd’hui 25. Lorsqu’elle s’est retrouvée enceinte, qu’elle l’a annoncé à son petit ami, Margaux ne s’attendait pas à une telle descente aux enfers. Très rapidement, son ami lui a demandé de ne pas garder l’enfant issu de leur union. Très rapidement, il la quittée. Elle s’est retrouvée totalement seule.
Pressions, abandon, souffrance : des femmes témoignent
Subissant la pression de son entourage, qui lui indiquait que financièrement elle ne pourrait subvenir à ses besoins, Margaux a fini par avorter. C’est alors pour elle une longue traversée du désert. Sommeil troublé, crises de larmes à répétition. Mais elle a surtout des envies de suicide. « Je ne dormais plus, je mangeais plus, j’ai perdu 10 kilos. Ma mère qui avait fait pression sur moi pour que je ne garde pas mon enfant a reconnu plus tard qu’elle avait été égoïste… ».
Il y a Margaux, il y a aussi Anne-Laure. Cette jeune femme de 28 ans a subi un avortement par aspiration il y a un an et demi. Le témoignage déchirant de cette jeune femme ouvre le voile sur un tabou : la solitude, la souffrance, la très grande détresse de nombre de femmes qui, sous la pression, l’angoisse, l’inquiétude, privées des conseils dont elles auraient besoin, des soutiens financiers qui leurs seraient nécessaires, avortent, pour leur plus grand désespoir.
Souffre et tais-toi : briser le silence autour de l’avortement
Les conséquences psychologiques sont immenses, les dégâts collatéraux souvent incalculables et la société se tait. Les femmes doivent souffrir en silence, sans se plaindre. Le sujet est tabou, mais pas sur internet. Partout sur le web, on trouve des témoignages de ce type. Certaines vont même jusqu’à poster leurs vidéos-témoignages sur YouTube. Elles ont besoin d’en parler, car personne ne veut les entendre. La souffrance post-avortement est pourtant un fait avéré. Des spécialistes commencent à l’évoquer enfin. Une étude sur 173.000 femmes californiennes à partir des remboursements de leur mutuelle médicale a révélé que le risque d’avoir recours à un traitement psychiatrique est 63 % plus élevé pour les femmes ayant avorté.
Un reportage exceptionnel d’Armel Joubert des Ouches
Invité- Invité
Re: Droit à l'avortement ?
Merci petit-croisé, beau reportage, à contrecourant de l'air du temps, qui veut banaliser un tel acte
Invité- Invité
Re: Droit à l'avortement ?
A noter que les femmes pratiquent beaucoup cela à cause de la lâcheté extrême des hommes, qui sont souvent là pour s'amuser, mais rarement là pour assumer leurs responsabilités.
Samaritain- Pour le roi
- Messages : 625
Localisation : Paris
Inscription : 11/02/2012
Re: Droit à l'avortement ?
Eucharistie a écrit:Merci petit-croisé, beau reportage, à contrecourant de l'air du temps, qui veut banaliser un tel acte
15 Mar 2016 04:09 PM PDT BANALISATION
( Dessin de Yann http://non-nes.com )
La NHS, système de santé publique britannique, vient de subir une vague de protestations après qu’un médecin spécialiste des greffes d’organes a suggéré que les femmes portant un enfant gravement handicapé ou « endommagé » soient encouragées à porter leur grossesse à terme, de manière à permettre la récupération des organes sur le bébé après la naissance. La proposition a été faite lors de la rencontre annuelle de la British Transplantation Society à Glasgow.
La proposition est si choquante que la SPUC (Society for the Protection of Unborn Children), la plus ancienne et la plus importante des associations provie du Royaume-Uni, a assorti le communiqué de protestation qu’elle a publié aujourd’hui de l’annonce qu’elle allait « enquêter » sur les faits.....
A l’heure actuelle, au Royaume-Uni, la grande majorité des femmes enceintes informées du dépistage d’un handicap grave chez leur enfant ou d’un trouble survenu au cours de la grossesse, décident d’avoir recours à l’avortement « médical », et ce d’autant plus si le bébé n’a guère de chances de survivre à la naissance.
Un vrai gâchis…
Après avoir fait pression pendant des années pour le « droit » des femmes à anticiper sur cette mort quasi certaine – la dernière campagne en date est en cours en Irlande du Nord où précisément cette raison d’avorter n’est pas légalement admise – voici donc que le lobby de la mort propose de changer de méthode.
Comme dans le cas de l’avortement dit « médical », la NHS est sur cette longueur d’onde au vu du manque chronique d’organes vitaux pour la transplantation : pouvoir disposer de bébés nés à maturité à l’issue de neuf mois de gestation assure d’avoir accès à des organes bien formés et de taille suffisante.
Après tout, on n’est plus dans le cas de la récolte d’organes et de tissus sur des « produits d’avortement » de premier ou de deuxième semestre, à l’image de ces prélèvements reprochés au Planned Parenthood aux Etats-Unis…
Au cours de ces deux dernières années, 11 bébés de moins de deux mois sont devenus « donneurs » d’organes (comme s’ils avaient le choix…) mais avec les nouveaux protocoles les médecins espèrent jusqu’à 100 « donneurs » par an.
Niaz Armad, chirurgien spécialisé dans les transplantations au St James University Hospital de Leeds, n’a pas d’états d’âme : « Nous envisageons de mettre cela publiquement en route en tant que source viable de transplantations d’organes au niveau national. Nombre d’employés de la NHS ne savent pas que ces organes peuvent être utilisés. Ils doivent être mis au courant. Ces organes peuvent être transplantés, ils fonctionnent, et ils fonctionnent sur le long terme. »
C’est le comble de l’utilitarisme : non seulement ces enfants porteurs de défauts sont jugés bons pour l’élimination, mais celle-ci est retardée afin de pouvoir en tirer le maximum…
L’histoire ne dit pas, en effet, comment se déroulerait le prélèvement sur ces enfants que l’on ne laisserait survivre que pour les débiter en pièces détachées : quid des soins à ces nouveau-nés, de l’éventuelle réanimation ? Les organes seraient-ils prélevés à cœur battant ? Attendrait-on la mort naturelle ? La hâterait-on par la privation d’aliments ?
La prochaine étape se dessine tout aussi clairement : une fois le tabou de l’infanticide levé (pour celui de l’avortement c’est fait depuis longtemps), pourquoi ne pas demander aux mères qui veulent avorter pour des raisons de commodité, économiques ou autres pendant les délais légaux qui en Angleterre sont fixés à 24 semaines de grossesse, de conserver leur « fœtus » le temps qu’il devienne apte à « sauver des vies », comme ils disent ? Il sera toujours temps d’aller encore plus loin…
Mais pour l’heure, il est « seulement » question de bébés atteints d’affections comme l’anencéphalie, diagnostiquée à 12 semaines et de manière générale incompatible avec la vie : leurs reins, cœur, poumons, foie et autres organes sont quant à eux en bon état.
Le responsable de NHS Transplants, James Neuberger, a d’ores et déjà déclaré : « Si une famille veut donner des organes ou des tissus de leur bébé nous les aiderons et nous les soutiendrons. »
Dans le cas contraire, on les tue in utero
Re: Droit à l'avortement ?
du CLONAGE thérapeutique au CLONAGE pharmaceutique
Nos médecins ont sauvé une enfant de six ans atteinte d'une grave maladie grâce au sang de son frère. Les cellules d'Adam permettront à sa sœur de reconstituer son système immunitaire. Adam est le premier enfant issu d'une sélection génétique d'embryons réalisé dans l'intérêt d'un tiers.
La naissance d'Adam a été annoncée au cours d'une conférence de presse qui réunissait médecins et parents."C'était très excitant", a déclaré le directeur du département de génétique et de procréation Yuri Verlinsky.
"C'est un cas unique. L'embryon a été choisi non seulement parce qu'il était libre de toute mutation génétique, mais aussi parce qu'il était le meilleur donneur possible", a-t-il ajouté.
Son équipe a en effet créé un bébé-éprouvette spécialement sélectionné pour sauver la vie de sa sœur aînée.
Grâce à des diagnostics génétiques, appelés "diagnostics pré-implantatoires" (DPI), un embryon a été choisi, qui, à la différence des autres embryons possédait un trait génétique qui lui a valu d'être transféré in utero et de voir le jour.
Plusieurs spécialistes de l'éthique se demandent s'il ne s'agit pas .. d'une forme élaborée de produit pharmaceutique.
Et ce d'autant plus que 14 embryons, dont plusieurs parfaitement sains, ont été sacrifiés pour obtenir ce bébé controversé.
Cette nouvelle technique assure 90% de chance de survie à la petite fille pour laquelle on a créé et fait naître cet embryon-frère et produit pharmaceutique, selon les scientifiques.
Nos médecins ont sauvé une enfant de six ans atteinte d'une grave maladie grâce au sang de son frère. Les cellules d'Adam permettront à sa sœur de reconstituer son système immunitaire. Adam est le premier enfant issu d'une sélection génétique d'embryons réalisé dans l'intérêt d'un tiers.
La naissance d'Adam a été annoncée au cours d'une conférence de presse qui réunissait médecins et parents."C'était très excitant", a déclaré le directeur du département de génétique et de procréation Yuri Verlinsky.
"C'est un cas unique. L'embryon a été choisi non seulement parce qu'il était libre de toute mutation génétique, mais aussi parce qu'il était le meilleur donneur possible", a-t-il ajouté.
Son équipe a en effet créé un bébé-éprouvette spécialement sélectionné pour sauver la vie de sa sœur aînée.
Grâce à des diagnostics génétiques, appelés "diagnostics pré-implantatoires" (DPI), un embryon a été choisi, qui, à la différence des autres embryons possédait un trait génétique qui lui a valu d'être transféré in utero et de voir le jour.
Plusieurs spécialistes de l'éthique se demandent s'il ne s'agit pas .. d'une forme élaborée de produit pharmaceutique.
Et ce d'autant plus que 14 embryons, dont plusieurs parfaitement sains, ont été sacrifiés pour obtenir ce bébé controversé.
Cette nouvelle technique assure 90% de chance de survie à la petite fille pour laquelle on a créé et fait naître cet embryon-frère et produit pharmaceutique, selon les scientifiques.
Re: Droit à l'avortement ?
super
pour information :
il y a en Russie, à l’initiative de la Déléguée aux Droits des enfants, un concours entre les cabinets gynécologiques :
c’est le cabinet qui a eu la plus forte baisse d’avortements par rapport à l’année précédente qui gagne.
faisons passer l'information : on peut inscrire désormais nos enfants morts en fausse-couche et avortés à la MESSE PERPETUELLE
https://non-nes.com/inscription-messe-perpetuelle/
pour information :
il y a en Russie, à l’initiative de la Déléguée aux Droits des enfants, un concours entre les cabinets gynécologiques :
c’est le cabinet qui a eu la plus forte baisse d’avortements par rapport à l’année précédente qui gagne.
faisons passer l'information : on peut inscrire désormais nos enfants morts en fausse-couche et avortés à la MESSE PERPETUELLE
https://non-nes.com/inscription-messe-perpetuelle/
jbrouquerol- Avec Sainte Therese de l'Enfant Jésus
- Messages : 171
Inscription : 19/03/2009
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