Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
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Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Nicolas
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Mardi 27 Janvier 2015
La vraie famille de Jésus
Evangile selon St Marc, chapitre 3, 31-35
Alors arrivent sa mère et ses frères. Restant au-dehors, ils le font appeler.
Une foule était assise autour de lui ; et on lui dit : « Voici que ta mère et tes frères sont là dehors : ils te cherchent. »
Mais il leur répond : « Qui est ma mère ? Qui sont mes frères ? »
Et parcourant du regard ceux qui étaient assis en cercle autour de lui, il dit : « Voici ma mère et mes frères.
Celui qui fait la volonté de Dieu, celui-là est pour moi un frère, une sœur, une mère. »
Prière d'introduction
Jésus, me voici ce matin devant toi. Comme tes disciples je veux écouter ta parole pour apprendre à mieux te connaitre afin de mieux t’aimer. Et je veux t’aimer d’avantage pour pouvoir transmettre ton amour aux autres.
Demande
Donne-moi la grâce de toujours faire la volonté de ton Père, pour ainsi faire, moi aussi, partie de ta famille.
Points de réflexion
1.« Qui est ma mère, qui sont mes frères ? »
Les paroles de Jésus au sujet de sa famille, dans cet Évangile, peuvent peut-être nous paraître dures.
Cependant ce n’est pas la première fois qu’il le fait. En effet, à plusieurs reprises Jésus a voulu faire comprendre que le fait d’être proche de lui physiquement n’était pas un ticket pour le ciel.
Ce n’est pas parce que je me dis chrétien que j’aurai un accès garanti au paradis. Dans un autre Évangile, Jésus dit : « Ce n’est pas en disant Seigneur, Seigneur, qu’on entrera dans le Royaume des cieux ; mais en faisant la volonté de mon Père qui est aux cieux » (Matthieu 7,21).
2. Faire la volonté de Dieu.
Jésus précise donc qui est sa mère et qui sont ses frères. « Celui qui fait la volonté de Dieu, celui-là est mon frère, ma sœur, ma mère ». Faire la volonté de Dieu est essentiel et indispensable, c’est le premier devoir du chrétien.
Sans cela, tout le reste ne sert à rien, le Christ est le premier à nous donner l’exemple. La lecture d’aujourd’hui en effet nous dit : « Tu n’as pas accepté les holocaustes ni les expiations pour le péché ; alors, je t’ai dit : Me voici mon Dieu, je suis venu pour faire ta volonté » (Hébreux 10, 4-5).
D’un autre côté, les paroles du Christ sont un réconfort car, en faisant la volonté de Dieu, nous pouvons tous devenir membres de la famille de Jésus. Jésus nous accueille dans sa famille spirituelle, qui est fondée sur des liens plus réels que ceux qui sont nés du sang.
3. Marie : mère à double titre.
Ce qui pourrait paraître d’abord être comme une négation de la maternité de Marie, est, en fait, un éloge envers elle.
Jésus sait qui est sa mère, mais en soulignant l’importance de faire la volonté de Dieu, il fait remarquer que Marie l’est à double titre. Non seulement elle l’a porté dans son ventre pendant neuf mois, mais elle est aussi un modèle d’obéissance pour nous tous.
Marie a su s’abandonner complètement dans les mains du Seigneur, elle est celle qui a su accomplir de façon parfaite la volonté de Dieu dans sa vie. Son « fiat » au Seigneur a été inconditionnel, dans la joie de l’Incarnation comme dans la douleur de la Passion. Marie, toi qui as toujours dit « oui » au Seigneur, apprends-nous à faire de même.
Dialogue avec le Christ
Seigneur, j’ai confiance en toi. Apprends-moi à toujours faire ta volonté, à m’abandonner totalement à toi. Fais que je sois à l’écoute de ton Esprit, car je sais que tu veux le meilleur pour moi.
Résolution
Réciter la prière d’abandon de Charles de Foucauld pendant un moment de la journée : Mon Père, Je m'abandonne à toi, fais de moi ce qu'il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j'accepte tout. Pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures, je ne désire rien d'autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l'amour de mon cœur, parce que je t'aime, et que ce m'est un besoin d'amour de me donner, de me remettre entre tes mains, sans mesure, avec une infinie confiance, car tu es mon Père.
SOURCE : Catholique.org
" Voici ta Mère et tes frères "
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Mardi 27 Janvier 2015
La vraie famille de Jésus
Evangile selon St Marc, chapitre 3, 31-35
Alors arrivent sa mère et ses frères. Restant au-dehors, ils le font appeler.
Une foule était assise autour de lui ; et on lui dit : « Voici que ta mère et tes frères sont là dehors : ils te cherchent. »
Mais il leur répond : « Qui est ma mère ? Qui sont mes frères ? »
Et parcourant du regard ceux qui étaient assis en cercle autour de lui, il dit : « Voici ma mère et mes frères.
Celui qui fait la volonté de Dieu, celui-là est pour moi un frère, une sœur, une mère. »
Prière d'introduction
Jésus, me voici ce matin devant toi. Comme tes disciples je veux écouter ta parole pour apprendre à mieux te connaitre afin de mieux t’aimer. Et je veux t’aimer d’avantage pour pouvoir transmettre ton amour aux autres.
Demande
Donne-moi la grâce de toujours faire la volonté de ton Père, pour ainsi faire, moi aussi, partie de ta famille.
Points de réflexion
1.« Qui est ma mère, qui sont mes frères ? »
Les paroles de Jésus au sujet de sa famille, dans cet Évangile, peuvent peut-être nous paraître dures.
Cependant ce n’est pas la première fois qu’il le fait. En effet, à plusieurs reprises Jésus a voulu faire comprendre que le fait d’être proche de lui physiquement n’était pas un ticket pour le ciel.
Ce n’est pas parce que je me dis chrétien que j’aurai un accès garanti au paradis. Dans un autre Évangile, Jésus dit : « Ce n’est pas en disant Seigneur, Seigneur, qu’on entrera dans le Royaume des cieux ; mais en faisant la volonté de mon Père qui est aux cieux » (Matthieu 7,21).
2. Faire la volonté de Dieu.
Jésus précise donc qui est sa mère et qui sont ses frères. « Celui qui fait la volonté de Dieu, celui-là est mon frère, ma sœur, ma mère ». Faire la volonté de Dieu est essentiel et indispensable, c’est le premier devoir du chrétien.
Sans cela, tout le reste ne sert à rien, le Christ est le premier à nous donner l’exemple. La lecture d’aujourd’hui en effet nous dit : « Tu n’as pas accepté les holocaustes ni les expiations pour le péché ; alors, je t’ai dit : Me voici mon Dieu, je suis venu pour faire ta volonté » (Hébreux 10, 4-5).
D’un autre côté, les paroles du Christ sont un réconfort car, en faisant la volonté de Dieu, nous pouvons tous devenir membres de la famille de Jésus. Jésus nous accueille dans sa famille spirituelle, qui est fondée sur des liens plus réels que ceux qui sont nés du sang.
3. Marie : mère à double titre.
Ce qui pourrait paraître d’abord être comme une négation de la maternité de Marie, est, en fait, un éloge envers elle.
Jésus sait qui est sa mère, mais en soulignant l’importance de faire la volonté de Dieu, il fait remarquer que Marie l’est à double titre. Non seulement elle l’a porté dans son ventre pendant neuf mois, mais elle est aussi un modèle d’obéissance pour nous tous.
Marie a su s’abandonner complètement dans les mains du Seigneur, elle est celle qui a su accomplir de façon parfaite la volonté de Dieu dans sa vie. Son « fiat » au Seigneur a été inconditionnel, dans la joie de l’Incarnation comme dans la douleur de la Passion. Marie, toi qui as toujours dit « oui » au Seigneur, apprends-nous à faire de même.
Dialogue avec le Christ
Seigneur, j’ai confiance en toi. Apprends-moi à toujours faire ta volonté, à m’abandonner totalement à toi. Fais que je sois à l’écoute de ton Esprit, car je sais que tu veux le meilleur pour moi.
Résolution
Réciter la prière d’abandon de Charles de Foucauld pendant un moment de la journée : Mon Père, Je m'abandonne à toi, fais de moi ce qu'il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j'accepte tout. Pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures, je ne désire rien d'autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l'amour de mon cœur, parce que je t'aime, et que ce m'est un besoin d'amour de me donner, de me remettre entre tes mains, sans mesure, avec une infinie confiance, car tu es mon Père.
SOURCE : Catholique.org
" Voici ta Mère et tes frères "
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Inscription : 16/01/2010
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Nicolas
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Mercredi 28 Janvier 2015
« Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! »
Evangile selon St Marc, chapitre 4, 1-20
Jésus se mit de nouveau à enseigner au bord de la mer de Galilée. Une foule très nombreuse se rassembla auprès de lui, si bien qu’il monta dans une barque où il s’assit. Il était sur la mer, et toute la foule était près de la mer, sur le rivage.
Il leur enseignait beaucoup de choses en paraboles, et dans son enseignement il leur disait : « Écoutez ! Voici que le semeur sortit pour semer. Comme il semait, du grain est tombé au bord du chemin ; les oiseaux sont venus et ils ont tout mangé.
Du grain est tombé aussi sur du sol pierreux, où il n’avait pas beaucoup de terre ; il a levé aussitôt, parce que la terre était peu profonde ; et lorsque le soleil s’est levé, ce grain a brûlé et, faute de racines, il a séché.
Du grain est tombé aussi dans les ronces, les ronces ont poussé, l’ont étouffé, et il n’a pas donné de fruit.
Mais d’autres grains sont tombés dans la bonne terre ; ils ont donné du fruit en poussant et en se développant, et ils ont produit trente, soixante, cent, pour un. »
Et Jésus disait : « Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! »
Quand il resta seul, ceux qui étaient autour de lui avec les Douze l’interrogeaient sur les paraboles.
Il leur disait : « C’est à vous qu’est donné le mystère du royaume de Dieu ; mais à ceux qui sont dehors, tout se présente sous forme de paraboles.
Et ainsi, comme dit le prophète : Ils auront beau regarder de tous leurs yeux, ils ne verront pas ; ils auront beau écouter de toutes leurs oreilles, ils ne comprendront pas ; sinon ils se convertiraient et recevraient le pardon. » Il leur dit encore : « Vous ne saisissez pas cette parabole ? Alors, comment comprendrez-vous toutes les paraboles ?
Le semeur sème la Parole. Il y a ceux qui sont au bord du chemin où la Parole est semée : quand ils l’entendent, Satan vient aussitôt et enlève la Parole semée en eux.
Et de même, il y a ceux qui ont reçu la semence dans les endroits pierreux : ceux-là, quand ils entendent la Parole, ils la reçoivent aussitôt avec joie ; mais ils n’ont pas en eux de racine, ce sont les gens d’un moment ; que vienne la détresse ou la persécution à cause de la Parole, ils trébuchent aussitôt. Et il y en a d’autres qui ont reçu la semence dans les ronces : ceux-ci entendent la Parole, mais les soucis du monde, la séduction de la richesse et toutes les autres convoitises les envahissent et étouffent la Parole, qui ne donne pas de fruit.
Et il y a ceux qui ont reçu la semence dans la bonne terre : ceux-là entendent la Parole, ils l’accueillent, et ils portent du fruit : trente, soixante, cent, pour un. »
Prière d'introduction
AU COMMENCEMENT était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement auprès de Dieu. C’est par lui que tout est venu à l’existence, et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans lui. En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ; la lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée.
Ô Dieu, nous contemplons la puissance et la splendeur de ta Parole ; nous t’adorons, car c’est toi qui nous as faits, c’est toi qui es la source de la vie. Béni sois-tu Seigneur dans ta création ; toute la terre t’appartient : que ton amour emplisse le monde entier et mon cœur fait à ton image et à ta ressemblance.
Demande
Donne-moi, Seigneur, d’accueillir ta Parole de grand cœur et de lui faire porter du fruit. Aide-moi à arracher les ronces, à enlever la pierraille et protège-moi de la tentation sur le chemin de vie.
Points de réflexion
1.Le message incompris. « Ils auront beau regarder de tous leurs yeux, ils ne verront pas ; ils auront beau écouter de toutes leurs oreilles, ils ne comprendront pas ».
Comment peut-on regarder sans voir ou écouter sans comprendre ?
Notre monde est fait de communication. Lorsqu’il s’agit de transmettre des reportages sur des événements, comme le font les informations télévisées ou radiodiffusées, en général on n’a pas de mal à comprendre, même si certaines interprétations sont discutables.
Lorsqu’il s’agit d’un cours scientifique ou d’une réflexion philosophique, l’étudiant a parfois du mal à suivre et doit se mettre à investiguer.
Lorsqu’il s’agit en revanche de l’Évangile du Royaume, on a beau écouter « convertissez-vous »,
la vie suit son cours vers la ruine du péché ; on a beau assister à des miracles de la grâce de Dieu (conversion, guérison), la foi n’en est pas augmentée. Pourquoi ? Le message est-il trop compliqué ou abstrait ?
2. L’accueil de la Parole à l’épreuve du fruit.
L’appel prophétique direct est souvent entendu comme un message qui concerne « les autres », « la société », bref tout le monde, sauf la propre vie ; l’esprit du monde cache un scepticisme déguisé en « pensée critique ». En échange, la Parabole enrobe le message en des problématiques de la vie courante, communément acceptées : la tentation sceptique est acculée et ne peut faire autre qu’accepter.
Le message du Seigneur contient une leçon : la qualité de notre existence (ce que nous en faisons), telle une terre, se mesure par le fruit qu’elle fait porter à la semence.
La foi et l’adhésion à Dieu, le choix de nos préoccupations, qui sont un langage d’amour, la profondeur de notre espérance parlent de l’accueil que chacun réserve à l’appel du Seigneur dans sa conscience ; elles sont les attitudes que décrivent les trois types de terrain où la semence se perd. Le quatrième terrain est fertile ; sa bonne disposition n’est pas un privilège réservé à un cercle d’initiés : il dépend de notre option de vie
.
3. La Parole à travers l’histoire de l’Église.
La Parole divine va bien au-delà d’une dimension purement conceptuelle (intellectuelle) ; il s’agit de la vie de grâce semée en notre âme, qui se développe par une vie vertueuse, docile à l’action de l’Esprit Saint. Elle a porté de nombreux fruits dans l’histoire de l’Église : les Saints !
Jésus est reproduit à raison de trente, soixante ou cent pour un... Et chaque Saint aura attiré les hommes et les femmes à une rencontre avec le Christ, à l’amitié, jusqu’à l’imitation de Jésus Christ : trente, soixante, cent pour un...
En raison de la potentialité extraordinaire de la Parole de Dieu, les fruits sont innombrables. La Parole n’a pas besoin de nous pour porter du fruit. C’est nous qui avons besoin d’elle : alors, pourquoi encore hésiter ?
Dialogue avec le Christ
Jésus, nous te rendons grâce pour le don de ta Parole, de ta vie, de ton amour. Je veux te connaître davantage, te suivre dans ma vie quotidienne et produire des fruits de vie chrétienne et de sainteté comme le Père me le demande.
Résolution
Je lirai une page du Psaume 118 (119).
SOURCE : Catholique.org
Jésus dans la barque enseigne à la foule
Bonjour Lumen
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*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Mercredi 28 Janvier 2015
« Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! »
Evangile selon St Marc, chapitre 4, 1-20
Jésus se mit de nouveau à enseigner au bord de la mer de Galilée. Une foule très nombreuse se rassembla auprès de lui, si bien qu’il monta dans une barque où il s’assit. Il était sur la mer, et toute la foule était près de la mer, sur le rivage.
Il leur enseignait beaucoup de choses en paraboles, et dans son enseignement il leur disait : « Écoutez ! Voici que le semeur sortit pour semer. Comme il semait, du grain est tombé au bord du chemin ; les oiseaux sont venus et ils ont tout mangé.
Du grain est tombé aussi sur du sol pierreux, où il n’avait pas beaucoup de terre ; il a levé aussitôt, parce que la terre était peu profonde ; et lorsque le soleil s’est levé, ce grain a brûlé et, faute de racines, il a séché.
Du grain est tombé aussi dans les ronces, les ronces ont poussé, l’ont étouffé, et il n’a pas donné de fruit.
Mais d’autres grains sont tombés dans la bonne terre ; ils ont donné du fruit en poussant et en se développant, et ils ont produit trente, soixante, cent, pour un. »
Et Jésus disait : « Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! »
Quand il resta seul, ceux qui étaient autour de lui avec les Douze l’interrogeaient sur les paraboles.
Il leur disait : « C’est à vous qu’est donné le mystère du royaume de Dieu ; mais à ceux qui sont dehors, tout se présente sous forme de paraboles.
Et ainsi, comme dit le prophète : Ils auront beau regarder de tous leurs yeux, ils ne verront pas ; ils auront beau écouter de toutes leurs oreilles, ils ne comprendront pas ; sinon ils se convertiraient et recevraient le pardon. » Il leur dit encore : « Vous ne saisissez pas cette parabole ? Alors, comment comprendrez-vous toutes les paraboles ?
Le semeur sème la Parole. Il y a ceux qui sont au bord du chemin où la Parole est semée : quand ils l’entendent, Satan vient aussitôt et enlève la Parole semée en eux.
Et de même, il y a ceux qui ont reçu la semence dans les endroits pierreux : ceux-là, quand ils entendent la Parole, ils la reçoivent aussitôt avec joie ; mais ils n’ont pas en eux de racine, ce sont les gens d’un moment ; que vienne la détresse ou la persécution à cause de la Parole, ils trébuchent aussitôt. Et il y en a d’autres qui ont reçu la semence dans les ronces : ceux-ci entendent la Parole, mais les soucis du monde, la séduction de la richesse et toutes les autres convoitises les envahissent et étouffent la Parole, qui ne donne pas de fruit.
Et il y a ceux qui ont reçu la semence dans la bonne terre : ceux-là entendent la Parole, ils l’accueillent, et ils portent du fruit : trente, soixante, cent, pour un. »
Prière d'introduction
AU COMMENCEMENT était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement auprès de Dieu. C’est par lui que tout est venu à l’existence, et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans lui. En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ; la lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée.
Ô Dieu, nous contemplons la puissance et la splendeur de ta Parole ; nous t’adorons, car c’est toi qui nous as faits, c’est toi qui es la source de la vie. Béni sois-tu Seigneur dans ta création ; toute la terre t’appartient : que ton amour emplisse le monde entier et mon cœur fait à ton image et à ta ressemblance.
Demande
Donne-moi, Seigneur, d’accueillir ta Parole de grand cœur et de lui faire porter du fruit. Aide-moi à arracher les ronces, à enlever la pierraille et protège-moi de la tentation sur le chemin de vie.
Points de réflexion
1.Le message incompris. « Ils auront beau regarder de tous leurs yeux, ils ne verront pas ; ils auront beau écouter de toutes leurs oreilles, ils ne comprendront pas ».
Comment peut-on regarder sans voir ou écouter sans comprendre ?
Notre monde est fait de communication. Lorsqu’il s’agit de transmettre des reportages sur des événements, comme le font les informations télévisées ou radiodiffusées, en général on n’a pas de mal à comprendre, même si certaines interprétations sont discutables.
Lorsqu’il s’agit d’un cours scientifique ou d’une réflexion philosophique, l’étudiant a parfois du mal à suivre et doit se mettre à investiguer.
Lorsqu’il s’agit en revanche de l’Évangile du Royaume, on a beau écouter « convertissez-vous »,
la vie suit son cours vers la ruine du péché ; on a beau assister à des miracles de la grâce de Dieu (conversion, guérison), la foi n’en est pas augmentée. Pourquoi ? Le message est-il trop compliqué ou abstrait ?
2. L’accueil de la Parole à l’épreuve du fruit.
L’appel prophétique direct est souvent entendu comme un message qui concerne « les autres », « la société », bref tout le monde, sauf la propre vie ; l’esprit du monde cache un scepticisme déguisé en « pensée critique ». En échange, la Parabole enrobe le message en des problématiques de la vie courante, communément acceptées : la tentation sceptique est acculée et ne peut faire autre qu’accepter.
Le message du Seigneur contient une leçon : la qualité de notre existence (ce que nous en faisons), telle une terre, se mesure par le fruit qu’elle fait porter à la semence.
La foi et l’adhésion à Dieu, le choix de nos préoccupations, qui sont un langage d’amour, la profondeur de notre espérance parlent de l’accueil que chacun réserve à l’appel du Seigneur dans sa conscience ; elles sont les attitudes que décrivent les trois types de terrain où la semence se perd. Le quatrième terrain est fertile ; sa bonne disposition n’est pas un privilège réservé à un cercle d’initiés : il dépend de notre option de vie
.
3. La Parole à travers l’histoire de l’Église.
La Parole divine va bien au-delà d’une dimension purement conceptuelle (intellectuelle) ; il s’agit de la vie de grâce semée en notre âme, qui se développe par une vie vertueuse, docile à l’action de l’Esprit Saint. Elle a porté de nombreux fruits dans l’histoire de l’Église : les Saints !
Jésus est reproduit à raison de trente, soixante ou cent pour un... Et chaque Saint aura attiré les hommes et les femmes à une rencontre avec le Christ, à l’amitié, jusqu’à l’imitation de Jésus Christ : trente, soixante, cent pour un...
En raison de la potentialité extraordinaire de la Parole de Dieu, les fruits sont innombrables. La Parole n’a pas besoin de nous pour porter du fruit. C’est nous qui avons besoin d’elle : alors, pourquoi encore hésiter ?
Dialogue avec le Christ
Jésus, nous te rendons grâce pour le don de ta Parole, de ta vie, de ton amour. Je veux te connaître davantage, te suivre dans ma vie quotidienne et produire des fruits de vie chrétienne et de sainteté comme le Père me le demande.
Résolution
Je lirai une page du Psaume 118 (119).
SOURCE : Catholique.org
Jésus dans la barque enseigne à la foule
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Localisation : France
Inscription : 16/01/2010
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Maud, Bonjour Lumen,
Bonjour tous artisans de paix,
Bonjour caillon,
Bonjour à toutes et à tous,
Mercredi 28 Janvier 2015
Saint Thomas d’Aquin, Prêtre et Docteur de l’Église
Mort en 1274. Dominicain, disciple de Saint Albert le Grand, professeur en France et en Italie. Son oeuvre monumentale et audacieuse a renouvelé la philosophie et la théologie de son temps.
3ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Blanc )
Année B
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=28/01/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Bonjour tous artisans de paix,
Bonjour caillon,
Bonjour à toutes et à tous,
Mercredi 28 Janvier 2015
Saint Thomas d’Aquin, Prêtre et Docteur de l’Église
Mort en 1274. Dominicain, disciple de Saint Albert le Grand, professeur en France et en Italie. Son oeuvre monumentale et audacieuse a renouvelé la philosophie et la théologie de son temps.
3ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Blanc )
Année B
(Première lecture)
Lettre aux Hébreux 10 : 11 à 18
« IL a mené pour toujours à leur perfection ceux qu’IL sanctifie »
Dans l’Ancienne Alliance,
tout prêtre, chaque jour, se tenait debout dans le Lieu Saint
pour le service liturgique,
et il offrait à maintes reprises les mêmes sacrifices,
qui ne peuvent jamais enlever les péchés.
JÉSUS CHRIST, au contraire,
après avoir offert pour les péchés un UNIQUE SACRIFICE,
s’est assis pour toujours à la DROITE de DIEU.
IL attend désormais
que Ses Ennemis soient mis sous Ses Pieds.
Par Son UNIQUE OFFRANDE,
IL a mené pour toujours à leur perfection
ceux qu’IL sanctifie.
L’ESPRIT SAINT, LUI aussi,
nous l’atteste dans l’Écriture,
car, après avoir dit :
Voici quelle sera l’ALLIANCE
que J’établirai avec eux
quand ces jours- là seront passés,
le SEIGNEUR dit :
Quand Je leur donnerai Mes LOIS,
Je LES inscrirai sur leurs cœurs et dans leur pensée
et Je ne Me rappellerai plus leurs péchés ni leurs fautes.
Or, quand le pardon est accordé,
on n’offre plus le sacrifice pour le péché.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Lettre aux Hébreux 10 : 11 à 18
« IL a mené pour toujours à leur perfection ceux qu’IL sanctifie »
Dans l’Ancienne Alliance,
tout prêtre, chaque jour, se tenait debout dans le Lieu Saint
pour le service liturgique,
et il offrait à maintes reprises les mêmes sacrifices,
qui ne peuvent jamais enlever les péchés.
JÉSUS CHRIST, au contraire,
après avoir offert pour les péchés un UNIQUE SACRIFICE,
s’est assis pour toujours à la DROITE de DIEU.
IL attend désormais
que Ses Ennemis soient mis sous Ses Pieds.
Par Son UNIQUE OFFRANDE,
IL a mené pour toujours à leur perfection
ceux qu’IL sanctifie.
L’ESPRIT SAINT, LUI aussi,
nous l’atteste dans l’Écriture,
car, après avoir dit :
Voici quelle sera l’ALLIANCE
que J’établirai avec eux
quand ces jours- là seront passés,
le SEIGNEUR dit :
Quand Je leur donnerai Mes LOIS,
Je LES inscrirai sur leurs cœurs et dans leur pensée
et Je ne Me rappellerai plus leurs péchés ni leurs fautes.
Or, quand le pardon est accordé,
on n’offre plus le sacrifice pour le péché.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
ROI et PRÊTRE
Psaume appartenant au recueil de David.
Psaume 109 (110), entièrement
Psaume 109 (110), entièrement
Psaume 109 (110) : 1, 2, 3, 4
R/ TU es PRÊTRE à jamais
selon l’ORDRE de Melkisédek.
Oracle du SEIGNEUR à Mon SEIGNEUR :
« Siège à Ma Droite,
et Je ferai de Tes ennemis
le marchepied de Ton TRÔNE. »
R/
De Sion, le SEIGNEUR Te présente
le SCEPTRE de Ta FORCE :
« Domine jusqu’au cœur de l’ennemi. »
R/
Le jour où paraît Ta PUISSANCE,
Tu es PRINCE, ÉBLOUISSANT de SAINTETÉ :
« Comme la rosée qui naît de l’aurore,
Je T’ai engendré. »
R/
Le SEIGNEUR l’a juré
dans un SERMENT IRRÉVOCABLE :
« TU es PRÊTRE à jamais
selon l’ORDRE du roi Melkisédek. »
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
selon l’ORDRE de Melkisédek.
Oracle du SEIGNEUR à Mon SEIGNEUR :
« Siège à Ma Droite,
et Je ferai de Tes ennemis
le marchepied de Ton TRÔNE. »
R/
De Sion, le SEIGNEUR Te présente
le SCEPTRE de Ta FORCE :
« Domine jusqu’au cœur de l’ennemi. »
R/
Le jour où paraît Ta PUISSANCE,
Tu es PRINCE, ÉBLOUISSANT de SAINTETÉ :
« Comme la rosée qui naît de l’aurore,
Je T’ai engendré. »
R/
Le SEIGNEUR l’a juré
dans un SERMENT IRRÉVOCABLE :
« TU es PRÊTRE à jamais
selon l’ORDRE du roi Melkisédek. »
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Marc 4 : 1 à 20
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. La SEMENCE est la PAROLE de DIEU ; le SEMEUR est le CHRIST, celui qui LE trouve demeure pour toujours. Alléluia.
« Voici que le SEMEUR sortit pour semer »
En ce temps-là,
JÉSUS se mit de nouveau à enseigner au bord de la mer de Galilée.
Une foule très nombreuse se rassembla auprès de LUI,
si bien qu’IL monta dans une barque où IL s’assit.
IL était sur la mer,
et toute la foule était près de la mer, sur le rivage.
IL leur enseignait beaucoup de choses en paraboles,
et dans Son ENSEIGNEMENT IL leur disait :
« Écoutez ! Voici que le SEMEUR sortit pour semer.
Comme IL semait,
du grain est tombé au bord du chemin ;
les oiseaux sont venus et ils ont tout mangé.
Du grain est tombé aussi sur du sol pierreux,
où il n’avait pas beaucoup de terre ;
il a levé aussitôt,
parce que la terre était peu profonde ;
et lorsque le soleil s’est levé, ce grain a brûlé
et, faute de racines, il a séché.
Du grain est tombé aussi dans les ronces,
les ronces ont poussé, l’ont étouffé,
et il n’a pas donné de fruit.
Mais d’autres grains sont tombés dans la bonne terre ;
ils ont donné du fruit
en poussant et en se développant,
et ils ont produit
trente, soixante, cent, pour un. »
Et JÉSUS disait :
« Celui qui a des oreilles pour entendre,
qu’il entende ! »
Quand IL resta seul,
ceux qui étaient autour de LUI avec les Douze
L’interrogeaient sur les paraboles.
Il leur disait :
« C’est à vous qu’est donné
le Mystère du Royaume de DIEU ;
mais à ceux qui sont dehors,
tout se présente sous forme de paraboles.
Et ainsi, comme dit le Prophète :
Ils auront beau regarder de tous leurs yeux,
ils ne verront pas ;
ils auront beau écouter de toutes leurs oreilles,
ils ne comprendront pas ;
sinon ils se convertiraient
et recevraient le pardon. »
IL leur dit encore :
« Vous ne saisissez pas cette parabole ?
Alors, comment comprendrez- vous toutes les paraboles ?
Le SEMEUR sème la PAROLE.
Il y a ceux qui sont au bord du chemin
où la PAROLE est semée :
quand ils L’entendent,
Satan vient aussitôt
et enlève la PAROLE semée en eux.
Et de même, il y a ceux qui ont reçu la SEMENCE
dans les endroits pierreux :
ceux- là, quand ils entendent la PAROLE,
ils LA reçoivent aussitôt avec joie ;
mais ils n’ont pas en eux de racine,
ce sont les gens d’un moment ;
que vienne la détresse ou la persécution à cause de la PAROLE,
ils trébuchent aussitôt.
Et il y en a d’autres qui ont reçu la SEMENCE dans les ronces :
ceux-ci entendent la PAROLE,
mais les soucis du monde, la séduction de la richesse
et toutes les autres convoitises
les envahissent et étouffent la PAROLE,
qui ne donne pas de fruit.
Et il y a ceux qui ont reçu la SEMENCE dans la bonne terre :
ceux-là entendent la PAROLE, ils L’accueillent,
et ils portent du fruit :
trente, soixante, cent, pour un. »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. La SEMENCE est la PAROLE de DIEU ; le SEMEUR est le CHRIST, celui qui LE trouve demeure pour toujours. Alléluia.
« Voici que le SEMEUR sortit pour semer »
En ce temps-là,
JÉSUS se mit de nouveau à enseigner au bord de la mer de Galilée.
Une foule très nombreuse se rassembla auprès de LUI,
si bien qu’IL monta dans une barque où IL s’assit.
IL était sur la mer,
et toute la foule était près de la mer, sur le rivage.
IL leur enseignait beaucoup de choses en paraboles,
et dans Son ENSEIGNEMENT IL leur disait :
« Écoutez ! Voici que le SEMEUR sortit pour semer.
Comme IL semait,
du grain est tombé au bord du chemin ;
les oiseaux sont venus et ils ont tout mangé.
Du grain est tombé aussi sur du sol pierreux,
où il n’avait pas beaucoup de terre ;
il a levé aussitôt,
parce que la terre était peu profonde ;
et lorsque le soleil s’est levé, ce grain a brûlé
et, faute de racines, il a séché.
Du grain est tombé aussi dans les ronces,
les ronces ont poussé, l’ont étouffé,
et il n’a pas donné de fruit.
Mais d’autres grains sont tombés dans la bonne terre ;
ils ont donné du fruit
en poussant et en se développant,
et ils ont produit
trente, soixante, cent, pour un. »
Et JÉSUS disait :
« Celui qui a des oreilles pour entendre,
qu’il entende ! »
Quand IL resta seul,
ceux qui étaient autour de LUI avec les Douze
L’interrogeaient sur les paraboles.
Il leur disait :
« C’est à vous qu’est donné
le Mystère du Royaume de DIEU ;
mais à ceux qui sont dehors,
tout se présente sous forme de paraboles.
Et ainsi, comme dit le Prophète :
Ils auront beau regarder de tous leurs yeux,
ils ne verront pas ;
ils auront beau écouter de toutes leurs oreilles,
ils ne comprendront pas ;
sinon ils se convertiraient
et recevraient le pardon. »
IL leur dit encore :
« Vous ne saisissez pas cette parabole ?
Alors, comment comprendrez- vous toutes les paraboles ?
Le SEMEUR sème la PAROLE.
Il y a ceux qui sont au bord du chemin
où la PAROLE est semée :
quand ils L’entendent,
Satan vient aussitôt
et enlève la PAROLE semée en eux.
Et de même, il y a ceux qui ont reçu la SEMENCE
dans les endroits pierreux :
ceux- là, quand ils entendent la PAROLE,
ils LA reçoivent aussitôt avec joie ;
mais ils n’ont pas en eux de racine,
ce sont les gens d’un moment ;
que vienne la détresse ou la persécution à cause de la PAROLE,
ils trébuchent aussitôt.
Et il y en a d’autres qui ont reçu la SEMENCE dans les ronces :
ceux-ci entendent la PAROLE,
mais les soucis du monde, la séduction de la richesse
et toutes les autres convoitises
les envahissent et étouffent la PAROLE,
qui ne donne pas de fruit.
Et il y a ceux qui ont reçu la SEMENCE dans la bonne terre :
ceux-là entendent la PAROLE, ils L’accueillent,
et ils portent du fruit :
trente, soixante, cent, pour un. »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=28/01/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonsoir Maud, Bonsoir Lumen,
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Jeudi 29 Janvier 2015
De la férie
3ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
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Nicolas
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Jeudi 29 Janvier 2015
De la férie
3ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
(Première lecture)
Lettre aux Hébreux 10 : 19 à 25
« Dans la plénitude de la foi, continuons d’affirmer notre espérance. Soyons attentifs les uns aux autres pour nous stimuler à vivre dans l’amour »
Frères, c’est avec assurance
que nous pouvons entrer dans le véritable SANCTUAIRE
GRÂCE au SANG de JÉSUS :
nous avons là un CHEMIN NOUVEAU et VIVANT
qu’IL a inauguré en franchissant le RIDEAU du SANCTUAIRE ;
or, ce RIDEAU est Sa CHAIR.
Et nous avons le PRÊTRE par EXCELLENCE,
CELUI qui est établi sur la MAISON de DIEU.
Avançons-nous donc vers DIEU
avec un cœur sincère
et dans la plénitude de la foi,
le cœur purifié de ce qui souille notre conscience,
le corps lavé par une eau pure.
Continuons sans fléchir d’affirmer notre espérance,
car IL est FIDÈLE, CELUI qui a promis.
Soyons attentifs les uns aux autres
pour nous stimuler à vivre dans l’amour et à bien agir.
Ne délaissons pas nos assemblées,
comme certains en ont pris l’habitude,
mais encourageons-nous,
d’autant plus que vous voyez s’approcher le Jour du SEIGNEUR.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Lettre aux Hébreux 10 : 19 à 25
« Dans la plénitude de la foi, continuons d’affirmer notre espérance. Soyons attentifs les uns aux autres pour nous stimuler à vivre dans l’amour »
Frères, c’est avec assurance
que nous pouvons entrer dans le véritable SANCTUAIRE
GRÂCE au SANG de JÉSUS :
nous avons là un CHEMIN NOUVEAU et VIVANT
qu’IL a inauguré en franchissant le RIDEAU du SANCTUAIRE ;
or, ce RIDEAU est Sa CHAIR.
Et nous avons le PRÊTRE par EXCELLENCE,
CELUI qui est établi sur la MAISON de DIEU.
Avançons-nous donc vers DIEU
avec un cœur sincère
et dans la plénitude de la foi,
le cœur purifié de ce qui souille notre conscience,
le corps lavé par une eau pure.
Continuons sans fléchir d’affirmer notre espérance,
car IL est FIDÈLE, CELUI qui a promis.
Soyons attentifs les uns aux autres
pour nous stimuler à vivre dans l’amour et à bien agir.
Ne délaissons pas nos assemblées,
comme certains en ont pris l’habitude,
mais encourageons-nous,
d’autant plus que vous voyez s’approcher le Jour du SEIGNEUR.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Le SEIGNEUR fait Son ENTRÉE au TEMPLE
Psaume appartenant au recueil de David.
Psaume 23 (24), entièrement
Psaume 23 (24), entièrement
Psaume 23 (24) : 1 et 2, 3 et 4ab, 5 et 6
R/ Voici le peuple
de ceux qui cherchent Ta FACE, SEIGNEUR.
Au SEIGNEUR, le monde et sa richesse,
la Terre et tous ses habitants !
C’est LUI qui l’a fondée sur les mers
et la garde inébranlable sur les flots.
R/
Qui peut gravir la MONTAGNE du SEIGNEUR
et se tenir dans le LIEU SAINT ?
L’homme au cœur pur, aux mains innocentes,
qui ne livre pas son âme aux idoles.
R/
Il obtient, du SEIGNEUR, la BÉNÉDICTION,
et de DIEU Son SAUVEUR, la JUSTICE.
Voici le peuple de ceux qui LE cherchent !
Voici Jacob qui recherche Ta FACE !
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
de ceux qui cherchent Ta FACE, SEIGNEUR.
Au SEIGNEUR, le monde et sa richesse,
la Terre et tous ses habitants !
C’est LUI qui l’a fondée sur les mers
et la garde inébranlable sur les flots.
R/
Qui peut gravir la MONTAGNE du SEIGNEUR
et se tenir dans le LIEU SAINT ?
L’homme au cœur pur, aux mains innocentes,
qui ne livre pas son âme aux idoles.
R/
Il obtient, du SEIGNEUR, la BÉNÉDICTION,
et de DIEU Son SAUVEUR, la JUSTICE.
Voici le peuple de ceux qui LE cherchent !
Voici Jacob qui recherche Ta FACE !
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Marc 4 : 21 à 25
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Ta PAROLE est la LUMIÈRE de mes Pas, la LAMPE de ma Route. Alléluia. (Ps 118, 105)
« La LAMPE est apportée pour être mise sur le lampadaire. La mesure que vous utilisez sera utilisée pour vous »
En ce temps-là,
JÉSUS disait à la foule :
« Est-ce que la LAMPE est apportée
pour être mise sous le boisseau ou sous le lit ?
N’est-ce pas pour être mise sur le lampadaire ?
Car rien n’est caché,
sinon pour être manifesté ;
rien n’a été gardé secret,
sinon pour venir à la clarté.
Si quelqu’un a des oreilles pour entendre,
qu’il entende ! »
IL leur disait encore :
« Faites attention à ce que vous entendez !
La mesure que vous utilisez
sera utilisée aussi pour vous,
et il vous sera donné encore plus.
Car celui qui a,
on lui donnera ;
celui qui n’a pas,
on lui enlèvera même ce qu’il a. »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Ta PAROLE est la LUMIÈRE de mes Pas, la LAMPE de ma Route. Alléluia. (Ps 118, 105)
« La LAMPE est apportée pour être mise sur le lampadaire. La mesure que vous utilisez sera utilisée pour vous »
En ce temps-là,
JÉSUS disait à la foule :
« Est-ce que la LAMPE est apportée
pour être mise sous le boisseau ou sous le lit ?
N’est-ce pas pour être mise sur le lampadaire ?
Car rien n’est caché,
sinon pour être manifesté ;
rien n’a été gardé secret,
sinon pour venir à la clarté.
Si quelqu’un a des oreilles pour entendre,
qu’il entende ! »
IL leur disait encore :
« Faites attention à ce que vous entendez !
La mesure que vous utilisez
sera utilisée aussi pour vous,
et il vous sera donné encore plus.
Car celui qui a,
on lui donnera ;
celui qui n’a pas,
on lui enlèvera même ce qu’il a. »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
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Amicalement, fraternellement
Nicolas
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour à vous tous, amis qui aimez la Parole de Vie, goûtez et voyez comme est bon le Seigneur !
Bonjour Nicolas et Maud, Merci !
Jeudi 29 janvier 2015 : Jeudi de la 3e semaine du temps ordinaire
Saintt Aphraate le Perse, anachorète († v. 378),
Saint Sulpice Sévère, disciple de saint Martin († 410)
http://jubilatedeo.centerblog.net/6572882-Les-saints-du-jour-jeudi-29-janvier
Homélie :
L’image est simple, la question facile. Profitons-en ! Évidemment, la lampe n’est pas faite pour être mise sous le boisseau ni sous le lit ; elle est faite pour être accrochée au plafond, posée sur un meuble haut, et, de-là, illuminer toute la pièce.
Remarquons que cette leçon de choses s’adresse aux disciples, au cercle large des Douze et de ceux qui ont choisi de suivre Jésus. Elle a bien sûr un sens spirituel plus large que la logique domestique. L’image est belle, par exemple, est pour illustrer le combat spirituel. Nous peinons dans notre combat contre la tentation en oubliant souvent que le combat est difficile tant que nous sommes complices avec notre ennemi. La lumière, qui n’a aucun point commun avec les ténèbres, remporte une victoire instantanée sur elles. Dès que la lampe est allumée, il ne fait plus sombre.
Pour peu, bien entendu, que l’on mettre la lampe en situation d’illuminer la pièce. Jésus ne pose jamais de question en vain. En nous rappelant cette vérité simple, il cherche certainement à nous rappeler que la lumière de notre baptême n’a pas place sous le lit des idéologies ni sous le boisseau des pressions sociales. Être chrétien est plus qu’un engagement, c’est un devoir pour que la lumière éclaire le monde où nous vivons.
Cette question si simple contient en outre un détail étrange : « est-ce que la lampe vient », demande Jésus. Or, une lampe ne vient pas, elle est amenée. Jésus, lui, vient parmi nous. Il est la lumière du monde. Voilà curieusement imagé le mystère de l’Incarnation. Jésus humblement comparé à un objet de notre quotidien, lui, la source de la lumière sur notre quotidien. Il est vrai que parmi ses contemporains, beaucoup l’ont vu et peu l’ont reconnu. Il est vrai que dans nos quotidiens, nous manquons par aveuglement beaucoup de rendez-vous avec lui.
De là les avertissements qui suivent. Être parmi les disciples n’est pas une garantie. « Si quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu’il entende ». L’enseignement donné par Dieu est donné à tous et pour tous. Il n’est pas fait pour être tenu secret. Mais l’avoir reçu n’est pas une garantie de salut car tout dépend de la qualité de l’écoute, tout dépend de l’attitude intérieure de celui qui écoute. Les exemples sont nombreux dans l’évangile. Hérode entend parler de Jésus mais le confond avec le Baptiste ; la femme souffrant de pertes de sang entend l’enseignement de Jésus et reçoit le salut. Jésus met donc en garde ses disciples, dans la même inspiration que la parabole du semeur. Il ne suffit pas d’être disciple, il faut surtout être une terre fertile et accueillante au don de Dieu.
« Faites attention à ce que vous entendez ! » insiste Jésus. Nous devons donc nous laisser ébranler par cette image de la lampe. Elle s’adresse bien à nous et il nous faut absolument éviter de regarder les disciples d’un peu haut, nous qui avons la connaissance et l’expérience du Christ ressuscité, contrairement aux disciples qui écoutaient Jésus ce jour-là. Eux en effet avaient à découvrir un Dieu paradoxal, l’infini qui se faisait connaître par le visage fini de Jésus, le maître de la vie qui se laissait emporter par la mort. Mais notre expérience n’est pas différente ! La résurrection n’enlève pas le poids de la mort dans nos vies, sa victoire définitive n’atténue pas les combats que nous avons encore à mener. Notre Dieu se fait toujours connaître à ses disciples par une voie qui les déconcerte, qui les dérange. Il nous faut donc être grandement vigilants à ce qu’il nous enseigne jour après jour. En accueillant docilement sa parole, nous comprendrons la joie et la douceur de ce qu’il nous annonce : « celui qui a, recevra encore », celui qui a reçu la vie du ressuscité par son baptême, recevra encore la joie de Pâques, la joie parfaite que donne la vie dans la plénitude de l’Esprit.
Frère Dominique
Moines et Moniales de Saint Joseph | Saint-Joseph de Mont-Rouge | F-34480 Puimisson
Bienheureuse Teresa de Calcutta (1910-1997), fondatrice des Sœurs Missionnaires de la Charité
Something Beautiful for God (trad. La Joie du don, p. 30 rev.)
« La mesure dont vous vous servez servira aussi pour vous »
Le Christ étant invisible, nous ne pouvons lui montrer notre amour ; mais nos voisins sont toujours visibles, et nous pouvons faire pour eux ce que, si le Christ était visible, nous aimerions faire pour lui.
Aujourd'hui c'est le même Christ qui est présent en ceux dont on n'a pas besoin, qu'on n'emploie pas, qu'on ne soigne pas, qui ont faim, qui sont nus, qui n'ont pas de foyer. Ils semblent inutiles à l'Etat et à la société ; personne n'a de temps à leur donner. C'est à nous, chrétiens, vous et moi, dignes de l'amour du Christ si notre amour est véritable, c'est à nous de les trouver, de les aider ; ils sont là pour que nous les trouvions.
Travailler pour travailler, tel est le danger qui nous menace toujours. C'est là que le respect et l'amour et la dévotion interviennent, pour que nous adressions notre travail à Dieu, au Christ. Et voilà pourquoi nous essayons de le faire de la plus belle façon possible.
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Nicolas
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Jeudi 29 Janvier 2015
M’ouvrir à la lumière de Jésus
Evangile selon St Marc, chapitre 4, 21-25
Il leur disait encore : « Est-ce que la lampe est apportée pour être mise sous le boisseau ou sous le lit ? N’est-ce pas pour être mise sur le lampadaire ? Car rien n’est caché, sinon pour être manifesté ; rien n’a été gardé secret, sinon pour venir à la clarté.
Si quelqu’un a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! »
Il leur disait encore : « Faites attention à ce que vous entendez ! La mesure que vous utilisez sera utilisée aussi pour vous, et il vous sera donné encore plus.
Car celui qui a, on lui donnera ; celui qui n’a pas, on lui enlèvera même ce qu’il a. »
Prière d'introduction
Jésus, voici plusieurs semaines déjà que nous avons fêté ta venue au milieu de nous. Aujourd’hui, tu me demandes de témoigner de ton Incarnation. Que cette prière fortifie ma foi !
Demande
Jésus, sois la lumière qui brille à travers ma pauvre vie, pour tous ceux que je rencontrerai aujourd’hui !
Points de réflexion
1.Jésus a lui-même utilisé l’image de la lumière pour décrire sa personne et son œuvre. « Je suis la lumière du monde » (Jn 8,12), disait-il.
Non seulement il détient, mais il est, la vérité dont tous les hommes sont à la recherche, à commencer par nous-mêmes.
Celui qui a trouvé Jésus a trouvé la vraie lumière. Il n’a « plus besoin de lampe ou de soleil pour s’éclairer » (Ap 22,5). C’est pourquoi Jésus a partagé son message sans peur, sans retenue, sans prudence.
Il est venu pour tous les hommes, pour que tous soient éclairés de cette nouvelle lumière. Aucun secret dans le message de Jésus.
Au contraire, il est accessible à tous.
2. « Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! »
Ouvre les oreilles de mon âme, Seigneur, pour que je t’entende et te reçoive aujourd’hui, à travers ton Évangile. Plus on écoute et plus on accueille la Parole de Jésus, ses commandements et surtout celui de l’amour, plus on est enrichi. « Il vous sera donné encore plus », dit-il.
Attention à ne pas écouter Jésus que d’une oreille, dans une attitude passive. Dans la Bible, le verbe écouter est lié à l’obéissance. Écouter Jésus, c’est déjà le suivre.
3. En revanche, Jésus ne peut pas nous forcer à l’écouter.
Celui qui avait la possibilité de l’entendre, mais qui a fermé ses oreilles, est comme l’homme qui n’a rien. Il a tout perdu, car il est passé à côté de la vraie lumière. Jésus respecte notre mesure.
Mais celui qui a les oreilles ouvertes recevra davantage. Il recevra selon la mesure de Dieu. Et la mesure de Dieu est précisément de n’avoir aucune mesure !
Dialogue avec le Christ
Jésus, sans toi, ma vie serait bien différente et vide. Ton amour se fait pressentir chaque jour dans tout ce que je vis. Ta présence, même discrète, m’accompagne. Je veux t’écouter pour mieux te suivre. Je veux te suivre pour mieux t’aimer.
Résolution
Formuler une prière d’action de grâce pour remercier Jésus du don qu’il m’a fait de pouvoir le connaître.
SOURCE : Catholique.org
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Jeudi 29 Janvier 2015
M’ouvrir à la lumière de Jésus
Evangile selon St Marc, chapitre 4, 21-25
Il leur disait encore : « Est-ce que la lampe est apportée pour être mise sous le boisseau ou sous le lit ? N’est-ce pas pour être mise sur le lampadaire ? Car rien n’est caché, sinon pour être manifesté ; rien n’a été gardé secret, sinon pour venir à la clarté.
Si quelqu’un a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! »
Il leur disait encore : « Faites attention à ce que vous entendez ! La mesure que vous utilisez sera utilisée aussi pour vous, et il vous sera donné encore plus.
Car celui qui a, on lui donnera ; celui qui n’a pas, on lui enlèvera même ce qu’il a. »
Prière d'introduction
Jésus, voici plusieurs semaines déjà que nous avons fêté ta venue au milieu de nous. Aujourd’hui, tu me demandes de témoigner de ton Incarnation. Que cette prière fortifie ma foi !
Demande
Jésus, sois la lumière qui brille à travers ma pauvre vie, pour tous ceux que je rencontrerai aujourd’hui !
Points de réflexion
1.Jésus a lui-même utilisé l’image de la lumière pour décrire sa personne et son œuvre. « Je suis la lumière du monde » (Jn 8,12), disait-il.
Non seulement il détient, mais il est, la vérité dont tous les hommes sont à la recherche, à commencer par nous-mêmes.
Celui qui a trouvé Jésus a trouvé la vraie lumière. Il n’a « plus besoin de lampe ou de soleil pour s’éclairer » (Ap 22,5). C’est pourquoi Jésus a partagé son message sans peur, sans retenue, sans prudence.
Il est venu pour tous les hommes, pour que tous soient éclairés de cette nouvelle lumière. Aucun secret dans le message de Jésus.
Au contraire, il est accessible à tous.
2. « Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! »
Ouvre les oreilles de mon âme, Seigneur, pour que je t’entende et te reçoive aujourd’hui, à travers ton Évangile. Plus on écoute et plus on accueille la Parole de Jésus, ses commandements et surtout celui de l’amour, plus on est enrichi. « Il vous sera donné encore plus », dit-il.
Attention à ne pas écouter Jésus que d’une oreille, dans une attitude passive. Dans la Bible, le verbe écouter est lié à l’obéissance. Écouter Jésus, c’est déjà le suivre.
3. En revanche, Jésus ne peut pas nous forcer à l’écouter.
Celui qui avait la possibilité de l’entendre, mais qui a fermé ses oreilles, est comme l’homme qui n’a rien. Il a tout perdu, car il est passé à côté de la vraie lumière. Jésus respecte notre mesure.
Mais celui qui a les oreilles ouvertes recevra davantage. Il recevra selon la mesure de Dieu. Et la mesure de Dieu est précisément de n’avoir aucune mesure !
Dialogue avec le Christ
Jésus, sans toi, ma vie serait bien différente et vide. Ton amour se fait pressentir chaque jour dans tout ce que je vis. Ta présence, même discrète, m’accompagne. Je veux t’écouter pour mieux te suivre. Je veux te suivre pour mieux t’aimer.
Résolution
Formuler une prière d’action de grâce pour remercier Jésus du don qu’il m’a fait de pouvoir le connaître.
SOURCE : Catholique.org
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonsoir Maud, Bonsoir Lumen,
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Vendredi 30 Janvier 2015
De la férie
3ième semaine du Temps Ordinaire
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Vendredi 30 Janvier 2015
De la férie
3ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
(Première lecture)
Lettre aux Hébreux 10 : 32 à 39
« Vous avez soutenu le dur combat. Ne perdez pas votre assurance »
Frères,
souvenez-vous de ces premiers jours
où vous veniez de recevoir la LUMIÈRE du CHRIST :
vous avez soutenu alors le dur combat des souffrances,
tantôt donnés en spectacle sous les insultes et les brimades,
tantôt solidaires de ceux qu’on traitait ainsi.
En effet, vous avez montré de la compassion
à ceux qui étaient en prison ;
vous avez accepté avec joie
qu’on vous arrache vos biens,
car vous étiez sûrs de posséder un bien encore meilleur, et permanent.
Ne perdez pas votre assurance ;
grâce à elle, vous serez largement récompensés.
Car l’endurance vous est nécessaire
pour accomplir la VOLONTÉ de DIEU
et obtenir ainsi la RÉALISATION des PROMESSES.
En effet, encore un peu, très peu de temps,
et CELUI qui doit venir arrivera,
IL ne tardera pas.
Celui qui est juste à mes yeux par la foi vivra ;
mais s’il abandonne,
je ne trouve plus mon bonheur en lui.
Or nous ne sommes pas, nous, de ceux qui abandonnent
et vont à leur perte,
mais de ceux qui ont la foi
et sauvegardent leur âme.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Lettre aux Hébreux 10 : 32 à 39
« Vous avez soutenu le dur combat. Ne perdez pas votre assurance »
Frères,
souvenez-vous de ces premiers jours
où vous veniez de recevoir la LUMIÈRE du CHRIST :
vous avez soutenu alors le dur combat des souffrances,
tantôt donnés en spectacle sous les insultes et les brimades,
tantôt solidaires de ceux qu’on traitait ainsi.
En effet, vous avez montré de la compassion
à ceux qui étaient en prison ;
vous avez accepté avec joie
qu’on vous arrache vos biens,
car vous étiez sûrs de posséder un bien encore meilleur, et permanent.
Ne perdez pas votre assurance ;
grâce à elle, vous serez largement récompensés.
Car l’endurance vous est nécessaire
pour accomplir la VOLONTÉ de DIEU
et obtenir ainsi la RÉALISATION des PROMESSES.
En effet, encore un peu, très peu de temps,
et CELUI qui doit venir arrivera,
IL ne tardera pas.
Celui qui est juste à mes yeux par la foi vivra ;
mais s’il abandonne,
je ne trouve plus mon bonheur en lui.
Or nous ne sommes pas, nous, de ceux qui abandonnent
et vont à leur perte,
mais de ceux qui ont la foi
et sauvegardent leur âme.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Ne t’irrite pas du succès des méchants
Du recueil de David.
Psaume 36 (37), entièrement
Psaume 36 (37), entièrement
Psaume 36 (37) : 3 et 4, 5 et 6, 23 à 24, 39 et 40ac
R/ Le salut des justes vient du Seigneur.
Fais confiance au SEIGNEUR, agis bien,
habite la terre et reste fidèle ;
mets ta joie dans le SEIGNEUR :
IL comblera les désirs de ton cœur.
R/
Dirige ton chemin vers le SEIGNEUR,
fais-LUI confiance, et LUI, IL agira.
IL fera lever comme le jour ta justice,
et ton droit comme le plein midi.
R/
Quand le SEIGNEUR conduit les pas de l’homme,
ils sont fermes et sa marche LUI plaît.
S’il trébuche, il ne tombe pas
car le SEIGNEUR le soutient de Sa MAIN.
R/
Le SEIGNEUR est le SALUT pour les justes,
leur abri au temps de la détresse.
Le SEIGNEUR les aide et les délivre,
car ils cherchent en LUI leur refuge.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Fais confiance au SEIGNEUR, agis bien,
habite la terre et reste fidèle ;
mets ta joie dans le SEIGNEUR :
IL comblera les désirs de ton cœur.
R/
Dirige ton chemin vers le SEIGNEUR,
fais-LUI confiance, et LUI, IL agira.
IL fera lever comme le jour ta justice,
et ton droit comme le plein midi.
R/
Quand le SEIGNEUR conduit les pas de l’homme,
ils sont fermes et sa marche LUI plaît.
S’il trébuche, il ne tombe pas
car le SEIGNEUR le soutient de Sa MAIN.
R/
Le SEIGNEUR est le SALUT pour les justes,
leur abri au temps de la détresse.
Le SEIGNEUR les aide et les délivre,
car ils cherchent en LUI leur refuge.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Marc 4 : 26 à 34
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. TU es béni, PÈRE, SEIGNEUR du Ciel et de la Terre, TU as révélé aux tout-petits les Mystères du Royaume ! Alléluia. (cf. Mt 11, 25)
« L’homme qui jette en terre la semence, qu’il dorme ou qu’il se lève, la semence grandit, il ne sait comment »
En ce temps-là,
JÉSUS disait aux foules :
« Il en est du RÈGNE de DIEU
comme d’un homme qui jette en terre la semence :
nuit et jour,
qu’il dorme ou qu’il se lève,
la semence germe et grandit,
il ne sait comment.
D’elle-même, la terre produit d’abord l’herbe,
puis l’épi, enfin du blé plein l’épi.
Et dès que le blé est mûr,
il y met la faucille,
puisque le temps de la moisson est arrivé. »
IL disait encore :
« À quoi allons-nous comparer le RÈGNE de DIEU ?
Par quelle parabole pouvons-nous le représenter ?
Il est comme une graine de moutarde :
quand on la sème en terre,
elle est la plus petite de toutes les semences.
Mais quand on l’a semée,
elle grandit et dépasse toutes les plantes potagères ;
et elle étend de longues branches,
si bien que les oiseaux du ciel
peuvent faire leur nid à son ombre. »
Par de nombreuses paraboles semblables,
JÉSUS leur annonçait la PAROLE,
dans la mesure où ils étaient capables de L’entendre.
IL ne leur disait rien sans parabole,
mais IL expliquait tout à Ses Disciples en particulier.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. TU es béni, PÈRE, SEIGNEUR du Ciel et de la Terre, TU as révélé aux tout-petits les Mystères du Royaume ! Alléluia. (cf. Mt 11, 25)
« L’homme qui jette en terre la semence, qu’il dorme ou qu’il se lève, la semence grandit, il ne sait comment »
En ce temps-là,
JÉSUS disait aux foules :
« Il en est du RÈGNE de DIEU
comme d’un homme qui jette en terre la semence :
nuit et jour,
qu’il dorme ou qu’il se lève,
la semence germe et grandit,
il ne sait comment.
D’elle-même, la terre produit d’abord l’herbe,
puis l’épi, enfin du blé plein l’épi.
Et dès que le blé est mûr,
il y met la faucille,
puisque le temps de la moisson est arrivé. »
IL disait encore :
« À quoi allons-nous comparer le RÈGNE de DIEU ?
Par quelle parabole pouvons-nous le représenter ?
Il est comme une graine de moutarde :
quand on la sème en terre,
elle est la plus petite de toutes les semences.
Mais quand on l’a semée,
elle grandit et dépasse toutes les plantes potagères ;
et elle étend de longues branches,
si bien que les oiseaux du ciel
peuvent faire leur nid à son ombre. »
Par de nombreuses paraboles semblables,
JÉSUS leur annonçait la PAROLE,
dans la mesure où ils étaient capables de L’entendre.
IL ne leur disait rien sans parabole,
mais IL expliquait tout à Ses Disciples en particulier.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=30/01/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Nicolas
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Vendredi 30 Janvier 2015
Le règne de Dieu en notre cœur
Evangile selon St Marc, chapitre 4, 26-34
Il disait : « Il en est du règne de Dieu comme d’un homme qui jette en terre la semence : nuit et jour, qu’il dorme ou qu’il se lève, la semence germe et grandit, il ne sait comment.
D’elle-même, la terre produit d’abord l’herbe, puis l’épi, enfin du blé plein l’épi.
Et dès que le blé est mûr, il y met la faucille, puisque le temps de la moisson est arrivé. »
Il disait encore : « À quoi allons-nous comparer le règne de Dieu ? Par quelle parabole pouvons-nous le représenter ?
Il est comme une graine de moutarde : quand on la sème en terre, elle est la plus petite de toutes les semences.
Mais quand on l’a semée, elle grandit et dépasse toutes les plantes potagères ; et elle étend de longues branches, si bien que les oiseaux du ciel peuvent faire leur nid à son ombre. »
Par de nombreuses paraboles semblables, Jésus leur annonçait la Parole, dans la mesure où ils étaient capables de l’entendre.
Il ne leur disait rien sans parabole, mais il expliquait tout à ses disciples en particulier.
Prière d'introduction
Ô mon Dieu, je viens me mettre en ta présence. Je viens t’écouter, parler avec toi, le roi des rois et le seul Dieu. Parce que tu m’appelles. Parle, ô Seigneur, ton serviteur écoute. Je crois que tu es présent ici, à mes côtés ; augmente ma foi. J’espère en la vie éternelle ; je l’attends avec joie et impatience, car je sais que tu l’as préparée pour moi. Augmente mon espérance. Je t’aime par-dessus toute chose, mais donne-moi de t’aimer aujourd’hui un peu plus.
Demande
Ô Seigneur mon Roi, fais que tout mon être te soit soumis avec amour.
Points de réflexion
1.« Il en est du règne de Dieu ». Qu’est-ce que le royaume de Dieu ?
Pourquoi Jésus est-il venu l’annoncer ? Au temps de Jésus, les juifs attendaient le Messie, le retour d’un roi pour Israël, qui expulse les romains. Jésus est ce Messie, et il annonce donc la venue de ce roi et de son Royaume.
Et pourtant, c’est un royaume différent, d’amour, de justice et de paix.
Jésus ne peut pas leur expliquer clairement les mystères du péché, du salut, de la grâce. Ils ne comprendraient pas, comme nous, aujourd’hui, nous ne comprendrions peut-être pas. Alors il parle en paraboles. Mais c’est bien d’un Royaume dont il s’agit !
Avec un roi, Jésus Christ ; des sujets, nous ses créatures ; un peuple, les baptisés. Quand Jésus annonce le Royaume, il annonce qu’il vient comme roi, et veut régner sur le monde. Il vient instaurer un nouvel ordre, fondé sur l’amour pour Dieu et les hommes.
Il veut faire surgir dans les foules une réponse à ce nouveau royaume et à son roi.
2. « Il est comme une graine de moutarde ».
Dieu n’agit pas comme les hommes. Son Royaume est différent. Il est semé dans le cœur de chacun. C’est une graine qui croît petit à petit, une graine d’amour, de soumission et d’obéissance filiale à la volonté de notre Roi céleste, une graine embrasée du feu intérieur pour l’évangélisation.
Cette graine, qui l’a plantée ? Aucun d’entre nous.
C’est le Seigneur. Qui peut se vanter d’avoir trouvé la foi tout seul ? À un moment de notre vie, le Seigneur a planté le germe de son Royaume en nous. Est-ce que je me souviens de ce moment, de cette rencontre avec le Roi, Jésus-Christ ?
Est-ce que je remercie le Seigneur d’avoir choisi mon cœur pour y déposer son amour et sa confiance ? Il y a dans le monde plus de cinq milliards de personnes qui ne le connaissent pas, ne l’aiment pas. Et moi si...
3. « Elle grandit et [...] elle étend de longues branches ».
Le royaume commence par l’adhésion de chacun d’entre nous au Seigneur. Quand je cherche sa volonté, quand je vis humblement, docile à sa parole, c’est alors que je le reconnais comme mon Roi. Quand je l’adore au Saint Sacrement de l’autel, quand je le chante et le loue, c’est alors que je lui rends l’hommage d’être mon Roi.
Cette graine grandit en moi
Plus je vis selon le Christ, plus il prend d’importance dans ma vie. Ses critères deviennent mes critères ; je souffre avec lui, présent dans les chrétiens persécutés ; je me réjouis avec lui pour le baptême d’un de ses nouveaux enfants ; l’annonce de l’Évangile commence à me brûler intérieurement. Que puis-je faire pour qu’il règne !
Cette graine grandit dans le cœur de ceux qui m’entourent.
Une fois devenue adulte dans ma vie, elle a besoin de s’étendre. Le Christ est roi de l’univers, et ses créatures, les hommes, ne trouveront le bonheur qu’en se soumettant à son doux pouvoir. Le Règne grandit quand, à travers moi, ma vie, mes paroles et mes actions, d’autres commencent à reconnaître Jésus Christ comme leur Roi.
D’autres commencent à cultiver cette graine dans leur cœur. Que puis-je faire pour qu’il règne ?
Dialogue avec le Christ
Ô Jésus, mon Roi, je me prosterne en ta présence, et je t’offre librement ma vie, mes biens, ma volonté, mes plans et mes projets, les personnes que j’aime. O mon Seigneur, tout est tien, parce que je vis pour ton Royaume. Fais grandir en moi ta présence, ta royauté. Que je ne serve que toi, ne vive que pour toi. Que je t’aime par-dessus tout et tous. Que ma vie soit un hommage permanent à ta grandeur. Christ mon roi, que ton Règne vienne !
Résolution
Aujourd’hui je prendrai quelques minutes de prière pour faire une consécration personnelle à mon Roi, Jésus-Christ, lui soumettant toute ma vie, mon être et mes biens.
SOURCE : Catholique.org
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Vendredi 30 Janvier 2015
Le règne de Dieu en notre cœur
Evangile selon St Marc, chapitre 4, 26-34
Il disait : « Il en est du règne de Dieu comme d’un homme qui jette en terre la semence : nuit et jour, qu’il dorme ou qu’il se lève, la semence germe et grandit, il ne sait comment.
D’elle-même, la terre produit d’abord l’herbe, puis l’épi, enfin du blé plein l’épi.
Et dès que le blé est mûr, il y met la faucille, puisque le temps de la moisson est arrivé. »
Il disait encore : « À quoi allons-nous comparer le règne de Dieu ? Par quelle parabole pouvons-nous le représenter ?
Il est comme une graine de moutarde : quand on la sème en terre, elle est la plus petite de toutes les semences.
Mais quand on l’a semée, elle grandit et dépasse toutes les plantes potagères ; et elle étend de longues branches, si bien que les oiseaux du ciel peuvent faire leur nid à son ombre. »
Par de nombreuses paraboles semblables, Jésus leur annonçait la Parole, dans la mesure où ils étaient capables de l’entendre.
Il ne leur disait rien sans parabole, mais il expliquait tout à ses disciples en particulier.
Prière d'introduction
Ô mon Dieu, je viens me mettre en ta présence. Je viens t’écouter, parler avec toi, le roi des rois et le seul Dieu. Parce que tu m’appelles. Parle, ô Seigneur, ton serviteur écoute. Je crois que tu es présent ici, à mes côtés ; augmente ma foi. J’espère en la vie éternelle ; je l’attends avec joie et impatience, car je sais que tu l’as préparée pour moi. Augmente mon espérance. Je t’aime par-dessus toute chose, mais donne-moi de t’aimer aujourd’hui un peu plus.
Demande
Ô Seigneur mon Roi, fais que tout mon être te soit soumis avec amour.
Points de réflexion
1.« Il en est du règne de Dieu ». Qu’est-ce que le royaume de Dieu ?
Pourquoi Jésus est-il venu l’annoncer ? Au temps de Jésus, les juifs attendaient le Messie, le retour d’un roi pour Israël, qui expulse les romains. Jésus est ce Messie, et il annonce donc la venue de ce roi et de son Royaume.
Et pourtant, c’est un royaume différent, d’amour, de justice et de paix.
Jésus ne peut pas leur expliquer clairement les mystères du péché, du salut, de la grâce. Ils ne comprendraient pas, comme nous, aujourd’hui, nous ne comprendrions peut-être pas. Alors il parle en paraboles. Mais c’est bien d’un Royaume dont il s’agit !
Avec un roi, Jésus Christ ; des sujets, nous ses créatures ; un peuple, les baptisés. Quand Jésus annonce le Royaume, il annonce qu’il vient comme roi, et veut régner sur le monde. Il vient instaurer un nouvel ordre, fondé sur l’amour pour Dieu et les hommes.
Il veut faire surgir dans les foules une réponse à ce nouveau royaume et à son roi.
2. « Il est comme une graine de moutarde ».
Dieu n’agit pas comme les hommes. Son Royaume est différent. Il est semé dans le cœur de chacun. C’est une graine qui croît petit à petit, une graine d’amour, de soumission et d’obéissance filiale à la volonté de notre Roi céleste, une graine embrasée du feu intérieur pour l’évangélisation.
Cette graine, qui l’a plantée ? Aucun d’entre nous.
C’est le Seigneur. Qui peut se vanter d’avoir trouvé la foi tout seul ? À un moment de notre vie, le Seigneur a planté le germe de son Royaume en nous. Est-ce que je me souviens de ce moment, de cette rencontre avec le Roi, Jésus-Christ ?
Est-ce que je remercie le Seigneur d’avoir choisi mon cœur pour y déposer son amour et sa confiance ? Il y a dans le monde plus de cinq milliards de personnes qui ne le connaissent pas, ne l’aiment pas. Et moi si...
3. « Elle grandit et [...] elle étend de longues branches ».
Le royaume commence par l’adhésion de chacun d’entre nous au Seigneur. Quand je cherche sa volonté, quand je vis humblement, docile à sa parole, c’est alors que je le reconnais comme mon Roi. Quand je l’adore au Saint Sacrement de l’autel, quand je le chante et le loue, c’est alors que je lui rends l’hommage d’être mon Roi.
Cette graine grandit en moi
Plus je vis selon le Christ, plus il prend d’importance dans ma vie. Ses critères deviennent mes critères ; je souffre avec lui, présent dans les chrétiens persécutés ; je me réjouis avec lui pour le baptême d’un de ses nouveaux enfants ; l’annonce de l’Évangile commence à me brûler intérieurement. Que puis-je faire pour qu’il règne !
Cette graine grandit dans le cœur de ceux qui m’entourent.
Une fois devenue adulte dans ma vie, elle a besoin de s’étendre. Le Christ est roi de l’univers, et ses créatures, les hommes, ne trouveront le bonheur qu’en se soumettant à son doux pouvoir. Le Règne grandit quand, à travers moi, ma vie, mes paroles et mes actions, d’autres commencent à reconnaître Jésus Christ comme leur Roi.
D’autres commencent à cultiver cette graine dans leur cœur. Que puis-je faire pour qu’il règne ?
Dialogue avec le Christ
Ô Jésus, mon Roi, je me prosterne en ta présence, et je t’offre librement ma vie, mes biens, ma volonté, mes plans et mes projets, les personnes que j’aime. O mon Seigneur, tout est tien, parce que je vis pour ton Royaume. Fais grandir en moi ta présence, ta royauté. Que je ne serve que toi, ne vive que pour toi. Que je t’aime par-dessus tout et tous. Que ma vie soit un hommage permanent à ta grandeur. Christ mon roi, que ton Règne vienne !
Résolution
Aujourd’hui je prendrai quelques minutes de prière pour faire une consécration personnelle à mon Roi, Jésus-Christ, lui soumettant toute ma vie, mon être et mes biens.
SOURCE : Catholique.org
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Nicolas
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Samedi 31 Janvier 2015
« Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde » (Mt 28, 20)
Evangile selon St Marc, chapitre 4, 35-41
Ce jour-là, le soir venu, il dit à ses disciples : « Passons sur l’autre rive. »
Quittant la foule, ils emmenèrent Jésus, comme il était, dans la barque, et d’autres barques l’accompagnaient.
Survient une violente tempête. Les vagues se jetaient sur la barque, si bien que déjà elle se remplissait.
Lui dormait sur le coussin à l’arrière. Les disciples le réveillent et lui disent : « Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ? »
Réveillé, il menaça le vent et dit à la mer : « Silence, tais-toi ! » Le vent tomba, et il se fit un grand calme.
Jésus leur dit : « Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? »
Saisis d’une grande crainte, ils se disaient entre eux : « Qui est-il donc, celui-ci, pour que même le vent et la mer lui obéissent ? »
Prière d'introduction
1. Si le vent des tentations s’élève, Si tu heurtes le rocher des épreuves.
Si les flots de l’ambition t’entraînent,
Si l’orage des passions se déchaîne : Regarde l’étoile, invoque Marie, Si tu la suis, tu ne crains rien !
Regarde l’étoile, invoque Marie,
Elle te conduit sur le chemin !
2. Dans l’angoisse et les périls, le doute,
Quand la nuit du désespoir te recouvre. Si devant la gravité de tes fautes,
La pensée du jugement te tourmente :
Regarde l’étoile...
3. Si ton âme est envahie de colère,
Jalousie et trahison te submergent. Si ton cœur est englouti dans le gouffre,
Emporté par les courants de tristesse :
Regarde l’étoile...
4. Elle se lève sur la mer, elle éclaire,
Son éclat et ses rayons illuminent. Sa lumière resplendit sur la terre,
Dans les cieux et jusqu’au fond des abîmes.
Regarde l’étoile...
Si tu la suis, tu ne dévies pas, Si tu la pries, tu ne faiblis pas.
Tu ne crains rien, elle est avec toi, Et jusqu’au port, elle te guidera.
(Paroles d’un chant, tirées d’une homélie de Saint Bernard sur la Vierge Marie).
Demande
Ô Jésus, j’ai confiance en toi. Je n’ai pas peur à tes côtés. Sois toujours prêt de moi, protège-moi, fortifie-moi et augmente en moi la foi !
Points de réflexion
1.Ce passage de l’Évangile se situe au tout début du ministère public de Jésus.
Après le baptême dans le Jourdain, Jésus appelle ses premiers disciples et commence à annoncer le Règne de Dieu à travers guérisons et prédications.
C’est alors que saint Marc relate quatre récits de miracles où apparait le caractère décisif de la foi : « Pourquoi avoir peur ? Comment se fait-il que vous n’ayez pas la foi ? »
A la fin d’une longue journée de travail, Jésus traverse le lac de Galilée avec ses disciples afin d’aller annoncer à d’autres la Bonne Nouvelle. Jésus dort, il est fatigué.
C’est alors que « survient une violente tempête. Les vagues se jetaient sur la barque, si bien que déjà elle se remplissait d’eau. Lui dormait ».
Comment Jésus peut-il dormir en de telles circonstances ?
Pourquoi Dieu semble-t-il si absent de ma vie quand les difficultés arrivent ? Pourquoi ai-je l’impression qu’il dort dans les moments où j’ai le plus besoin de lui ?
2. C’est alors que survient le cri désespéré des disciples : « Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ? »
Jésus réveillé, se lève et ordonne avec force au vent et à la mer de se taire, « et il se fit un grand calme ». Quelle force, quelle puissance, quelle merveille !
Aucune parole humaine ne peut exprimer la grandeur de cette scène : « Qui est-il donc pour que même le vent et la mer lui obéissent ? »
A partir de ce moment, les disciples allaient-ils douter de la toute-puissance de Dieu ?
3. Quand viennent les moments de difficultés, ma foi est mise à l’épreuve.
Jésus n’est pas absent de ma barque ; au contraire, il est là et il veille sur moi, mais ai-je confiance en lui ?
Suis-je préoccupé par tant de problèmes et d’épreuves ou bien est-ce que je m’abandonne à lui dans la paix et la confiance ?
Malgré le vent et les vagues, suis-je convaincu que près de lui je ne crains rien ?
Dialogue avec le Christ
Seigneur Jésus, augmente ma foi. J’ai si souvent peur de m’abandonner entre tes mains et de te laisser le volant de ma vie. Aide-moi à te faire confiance et à vraiment croire que « je peux tout en celui qui me rend fort ». Quand la tempête survient dans ma vie et que la mer autour de moi se déchaîne, apprend-moi à lever la tête et à regarder au loin, avec courage, l’étoile qui m’éclaire et qui me guide sur le chemin vers toi.
Résolution
Quand la difficulté surviendra aujourd’hui, lever la tête et regarder vers le ciel en étant confiant que Jésus est là, présent, qu’il me regarde, qu’il m’aime, et qu’il ne me laissera pas seul. « Jésus, j’ai confiance en toi, mais augmente ma foi ! ».
SOURCE : Catholique.org
Jésus calme la tempête
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Samedi 31 Janvier 2015
« Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde » (Mt 28, 20)
Evangile selon St Marc, chapitre 4, 35-41
Ce jour-là, le soir venu, il dit à ses disciples : « Passons sur l’autre rive. »
Quittant la foule, ils emmenèrent Jésus, comme il était, dans la barque, et d’autres barques l’accompagnaient.
Survient une violente tempête. Les vagues se jetaient sur la barque, si bien que déjà elle se remplissait.
Lui dormait sur le coussin à l’arrière. Les disciples le réveillent et lui disent : « Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ? »
Réveillé, il menaça le vent et dit à la mer : « Silence, tais-toi ! » Le vent tomba, et il se fit un grand calme.
Jésus leur dit : « Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? »
Saisis d’une grande crainte, ils se disaient entre eux : « Qui est-il donc, celui-ci, pour que même le vent et la mer lui obéissent ? »
Prière d'introduction
1. Si le vent des tentations s’élève, Si tu heurtes le rocher des épreuves.
Si les flots de l’ambition t’entraînent,
Si l’orage des passions se déchaîne : Regarde l’étoile, invoque Marie, Si tu la suis, tu ne crains rien !
Regarde l’étoile, invoque Marie,
Elle te conduit sur le chemin !
2. Dans l’angoisse et les périls, le doute,
Quand la nuit du désespoir te recouvre. Si devant la gravité de tes fautes,
La pensée du jugement te tourmente :
Regarde l’étoile...
3. Si ton âme est envahie de colère,
Jalousie et trahison te submergent. Si ton cœur est englouti dans le gouffre,
Emporté par les courants de tristesse :
Regarde l’étoile...
4. Elle se lève sur la mer, elle éclaire,
Son éclat et ses rayons illuminent. Sa lumière resplendit sur la terre,
Dans les cieux et jusqu’au fond des abîmes.
Regarde l’étoile...
Si tu la suis, tu ne dévies pas, Si tu la pries, tu ne faiblis pas.
Tu ne crains rien, elle est avec toi, Et jusqu’au port, elle te guidera.
(Paroles d’un chant, tirées d’une homélie de Saint Bernard sur la Vierge Marie).
Demande
Ô Jésus, j’ai confiance en toi. Je n’ai pas peur à tes côtés. Sois toujours prêt de moi, protège-moi, fortifie-moi et augmente en moi la foi !
Points de réflexion
1.Ce passage de l’Évangile se situe au tout début du ministère public de Jésus.
Après le baptême dans le Jourdain, Jésus appelle ses premiers disciples et commence à annoncer le Règne de Dieu à travers guérisons et prédications.
C’est alors que saint Marc relate quatre récits de miracles où apparait le caractère décisif de la foi : « Pourquoi avoir peur ? Comment se fait-il que vous n’ayez pas la foi ? »
A la fin d’une longue journée de travail, Jésus traverse le lac de Galilée avec ses disciples afin d’aller annoncer à d’autres la Bonne Nouvelle. Jésus dort, il est fatigué.
C’est alors que « survient une violente tempête. Les vagues se jetaient sur la barque, si bien que déjà elle se remplissait d’eau. Lui dormait ».
Comment Jésus peut-il dormir en de telles circonstances ?
Pourquoi Dieu semble-t-il si absent de ma vie quand les difficultés arrivent ? Pourquoi ai-je l’impression qu’il dort dans les moments où j’ai le plus besoin de lui ?
2. C’est alors que survient le cri désespéré des disciples : « Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ? »
Jésus réveillé, se lève et ordonne avec force au vent et à la mer de se taire, « et il se fit un grand calme ». Quelle force, quelle puissance, quelle merveille !
Aucune parole humaine ne peut exprimer la grandeur de cette scène : « Qui est-il donc pour que même le vent et la mer lui obéissent ? »
A partir de ce moment, les disciples allaient-ils douter de la toute-puissance de Dieu ?
3. Quand viennent les moments de difficultés, ma foi est mise à l’épreuve.
Jésus n’est pas absent de ma barque ; au contraire, il est là et il veille sur moi, mais ai-je confiance en lui ?
Suis-je préoccupé par tant de problèmes et d’épreuves ou bien est-ce que je m’abandonne à lui dans la paix et la confiance ?
Malgré le vent et les vagues, suis-je convaincu que près de lui je ne crains rien ?
Dialogue avec le Christ
Seigneur Jésus, augmente ma foi. J’ai si souvent peur de m’abandonner entre tes mains et de te laisser le volant de ma vie. Aide-moi à te faire confiance et à vraiment croire que « je peux tout en celui qui me rend fort ». Quand la tempête survient dans ma vie et que la mer autour de moi se déchaîne, apprend-moi à lever la tête et à regarder au loin, avec courage, l’étoile qui m’éclaire et qui me guide sur le chemin vers toi.
Résolution
Quand la difficulté surviendra aujourd’hui, lever la tête et regarder vers le ciel en étant confiant que Jésus est là, présent, qu’il me regarde, qu’il m’aime, et qu’il ne me laissera pas seul. « Jésus, j’ai confiance en toi, mais augmente ma foi ! ».
SOURCE : Catholique.org
Jésus calme la tempête
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Maud, Bonjour Lumen,
Bonjour tous artisans de paix,
Bonjour caillon,
Bonjour à toutes et à tous,
Samedi 31 Janvier 2015
Saint Jean Bosco, Prêtre
3ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Blanc )
Année B
Saint Luc 1 : 67 à 79, entièrement
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=31/01/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Bonjour tous artisans de paix,
Bonjour caillon,
Bonjour à toutes et à tous,
Samedi 31 Janvier 2015
Saint Jean Bosco, Prêtre
3ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Blanc )
Année B
(Première lecture)
Lettre aux Hébreux 11 : 1 et 2, 8 à 19
« Il attendait la ville dont DIEU lui-même est le bâtisseur et l’architecte »
Frères,
la foi est une façon de posséder ce que l’on espère,
un moyen de connaître des réalités qu’on ne voit pas.
Et quand l’Écriture rend témoignage aux anciens,
c’est à cause de leur foi.
Grâce à la foi, Abraham obéit à l’APPEL de DIEU :
il partit vers un pays
qu’il devait recevoir en héritage,
et il partit sans savoir où il allait.
Grâce à la foi, il vint séjourner en immigré dans la Terre promise,
comme en terre étrangère ;
il vivait sous la tente,
ainsi qu’Isaac et Jacob,
héritiers de la même promesse,
car il attendait la ville qui aurait de vraies fondations,
la ville dont DIEU LUI-MÊME est le BÂTISSEUR et l’ARCHITECTE.
Grâce à la foi, Sara, elle aussi, malgré son âge,
fut rendue capable d’être à l’origine d’une descendance
parce qu’elle pensait que DIEU est FIDÈLE à Ses PROMESSES.
C’est pourquoi, d’un seul homme, déjà marqué par la mort,
a pu naître une descendance aussi nombreuse
que les étoiles du ciel
et que le sable au bord de la mer,
une multitude innombrable.
C’est dans la foi, sans avoir connu la réalisation des promesses,
qu’ils sont tous morts ;
mais ils l’avaient vue et saluée de loin,
affirmant que, sur la Terre,
ils étaient des étrangers et des voyageurs.
Or, parler ainsi, c’est montrer clairement
qu’on est à la recherche d’une patrie.
S’ils avaient songé à celle qu’ils avaient quittée,
ils auraient eu la possibilité d’y revenir.
En fait, ils aspiraient à une patrie meilleure,
celle des Cieux.
Aussi DIEU n’a pas honte d’être appelé leur DIEU,
puisqu’il leur a préparé une ville.
Grâce à la foi, quand il fut soumis à l’épreuve,
Abraham offrit Isaac en sacrifice.
Et il offrait le fils unique,
alors qu’il avait reçu les promesses
et entendu cette PAROLE :
C’est par Isaac qu’une descendance portera ton nom.
Il pensait en effet
que DIEU est capable même de ressusciter les morts ;
c’est pourquoi son fils lui fut rendu :
il y a là une préfiguration.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Lettre aux Hébreux 11 : 1 et 2, 8 à 19
« Il attendait la ville dont DIEU lui-même est le bâtisseur et l’architecte »
Frères,
la foi est une façon de posséder ce que l’on espère,
un moyen de connaître des réalités qu’on ne voit pas.
Et quand l’Écriture rend témoignage aux anciens,
c’est à cause de leur foi.
Grâce à la foi, Abraham obéit à l’APPEL de DIEU :
il partit vers un pays
qu’il devait recevoir en héritage,
et il partit sans savoir où il allait.
Grâce à la foi, il vint séjourner en immigré dans la Terre promise,
comme en terre étrangère ;
il vivait sous la tente,
ainsi qu’Isaac et Jacob,
héritiers de la même promesse,
car il attendait la ville qui aurait de vraies fondations,
la ville dont DIEU LUI-MÊME est le BÂTISSEUR et l’ARCHITECTE.
Grâce à la foi, Sara, elle aussi, malgré son âge,
fut rendue capable d’être à l’origine d’une descendance
parce qu’elle pensait que DIEU est FIDÈLE à Ses PROMESSES.
C’est pourquoi, d’un seul homme, déjà marqué par la mort,
a pu naître une descendance aussi nombreuse
que les étoiles du ciel
et que le sable au bord de la mer,
une multitude innombrable.
C’est dans la foi, sans avoir connu la réalisation des promesses,
qu’ils sont tous morts ;
mais ils l’avaient vue et saluée de loin,
affirmant que, sur la Terre,
ils étaient des étrangers et des voyageurs.
Or, parler ainsi, c’est montrer clairement
qu’on est à la recherche d’une patrie.
S’ils avaient songé à celle qu’ils avaient quittée,
ils auraient eu la possibilité d’y revenir.
En fait, ils aspiraient à une patrie meilleure,
celle des Cieux.
Aussi DIEU n’a pas honte d’être appelé leur DIEU,
puisqu’il leur a préparé une ville.
Grâce à la foi, quand il fut soumis à l’épreuve,
Abraham offrit Isaac en sacrifice.
Et il offrait le fils unique,
alors qu’il avait reçu les promesses
et entendu cette PAROLE :
C’est par Isaac qu’une descendance portera ton nom.
Il pensait en effet
que DIEU est capable même de ressusciter les morts ;
c’est pourquoi son fils lui fut rendu :
il y a là une préfiguration.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Le cantique prophétique de Zacharie
Saint Luc 1 : 67 à 79, entièrement
Saint Luc 1 : 69 et 70, 71 et 72, 73 à 75
R/ Béni soit le SEIGNEUR, le DIEU d’Israël, car IL a visité Son Peuple
IL a fait surgir la FORCE qui nous sauve
dans la maison de David, Son Serviteur,
comme I l’avait dit par la Bouche des Saints,
par Ses Prophètes, depuis les temps anciens :
R/
SALUT qui nous arrache à l’ennemi,
à la main de tous nos oppresseurs,
AMOUR qu’IL montre envers nos pères,
mémoire de Son ALLIANCE SAINTE,
R/
serment juré à notre père Abraham
de nous rendre sans crainte,
afin que, délivrés de la main des ennemis,
nous LE servions dans la Justice et la Sainteté,
en Sa PRÉSENCE, tout au long de nos jours.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
IL a fait surgir la FORCE qui nous sauve
dans la maison de David, Son Serviteur,
comme I l’avait dit par la Bouche des Saints,
par Ses Prophètes, depuis les temps anciens :
R/
SALUT qui nous arrache à l’ennemi,
à la main de tous nos oppresseurs,
AMOUR qu’IL montre envers nos pères,
mémoire de Son ALLIANCE SAINTE,
R/
serment juré à notre père Abraham
de nous rendre sans crainte,
afin que, délivrés de la main des ennemis,
nous LE servions dans la Justice et la Sainteté,
en Sa PRÉSENCE, tout au long de nos jours.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Marc 4 : 35 à 41
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. DIEU a tellement aimé le monde qu’IL a donné Son FILS UNIQUE, afin que ceux qui croient en LUI aient la VIE ÉTERNELLE. Alléluia. (Jn 3, 16)
« Qui est-IL donc, CELUI-CI, pour que même le vent et la mer LUI obéissent ? »
Ce jour-là, le soir venu, JÉSUS dit à Ses Disciples :
« Passons sur l’autre rive. »
Quittant la foule, ils emmenèrent JÉSUS, comme IL était,
dans la barque,
et d’autres barques L’accompagnaient.
Survient une violente tempête.
Les vagues se jetaient sur la barque,
si bien que déjà elle se remplissait.
LUI dormait sur le coussin à l’arrière.
Les Disciples LE réveillent et LUI disent :
« MAÎTRE, nous sommes perdus ;
cela ne TE fait rien ? »
Réveillé, IL menaça le vent et dit à la mer :
« Silence, tais-toi ! »
Le vent tomba,
et il se fit un grand calme.
JÉSUS leur dit :
« Pourquoi êtes-vous si craintifs ?
N’avez-vous pas encore la foi ? »
Saisis d’une grande crainte,
ils se disaient entre eux :
« Qui est-IL donc, CELUI-CI,
pour que même le vent et la mer LUI obéissent ? »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. DIEU a tellement aimé le monde qu’IL a donné Son FILS UNIQUE, afin que ceux qui croient en LUI aient la VIE ÉTERNELLE. Alléluia. (Jn 3, 16)
« Qui est-IL donc, CELUI-CI, pour que même le vent et la mer LUI obéissent ? »
Ce jour-là, le soir venu, JÉSUS dit à Ses Disciples :
« Passons sur l’autre rive. »
Quittant la foule, ils emmenèrent JÉSUS, comme IL était,
dans la barque,
et d’autres barques L’accompagnaient.
Survient une violente tempête.
Les vagues se jetaient sur la barque,
si bien que déjà elle se remplissait.
LUI dormait sur le coussin à l’arrière.
Les Disciples LE réveillent et LUI disent :
« MAÎTRE, nous sommes perdus ;
cela ne TE fait rien ? »
Réveillé, IL menaça le vent et dit à la mer :
« Silence, tais-toi ! »
Le vent tomba,
et il se fit un grand calme.
JÉSUS leur dit :
« Pourquoi êtes-vous si craintifs ?
N’avez-vous pas encore la foi ? »
Saisis d’une grande crainte,
ils se disaient entre eux :
« Qui est-IL donc, CELUI-CI,
pour que même le vent et la mer LUI obéissent ? »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=31/01/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Nicolas
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que ce Saint Dimanche soit béni par le Seigneur et éclairé par Sa divine Lumière
****
Méditation de l’ Evangile du Jour : Dimanche 1er Février 2015
Jésus, Fils de Dieu
Evangile selon St Marc, chapitre 1, 21-28
Ils entrèrent à Capharnaüm. Aussitôt, le jour du sabbat, Jésus se rendit à la synagogue, et là, il enseignait. On était frappé par son enseignement, car il enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes.
Or, il y avait dans leur synagogue un homme tourmenté par un esprit impur, qui se mit à crier : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais qui tu es : tu es le Saint de Dieu. »
Jésus l’interpella vivement : « Tais-toi ! Sors de cet homme. »
L’esprit impur le fit entrer en convulsions, puis, poussant un grand cri, sortit de lui.
Ils furent tous frappés de stupeur et se demandaient entre eux : « Qu’est-ce que cela veut dire ? Voilà un enseignement nouveau, donné avec autorité ! Il commande même aux esprits impurs, et ils lui obéissent. »
Sa renommée se répandit aussitôt partout, dans toute la région de la Galilée.
Prière d'introduction
Seigneur, aide-moi à mieux te connaître. Aide-moi à savoir qui tu es.
Demande
Une meilleure connaissance de Jésus.
Points de réflexion
1.Après une brève introduction, dans laquelle l’évangéliste parle de Jean Baptiste, du baptême de Jésus et des tentations dans le désert, Marc commence directement avec le ministère public de Jésus en Galilée
. Ce passage vient juste après l’appel des quatre premiers disciples. Jésus arrive à Capharnaüm, ville au bord du lac, il va dans la synagogue, enseigne, et guérit un possédé qui était entré.
2. Dans ce passage, deux faits importants sont soulignés : d’une part, Jésus enseigne avec autorité, ce qui surprend ceux qui l’écoutent.
En effet, l’enseignement des maîtres juifs du temps de Jésus se basait entièrement sur la Loi contenue dans les textes sacrés, Loi que Moïse avait reçue de Dieu au mont Sinaï. Il n’y avait donc qu’à connaître et interpréter cette Loi.
Mais la manière de parler de Jésus était différente : il semble qu’il parle en son propre nom. Sans récuser la Loi, il parle avec une autorité qui ne lui est pas inférieure. L’autre fait est la libération du possédé, le démon n’ayant pas d’autre choix que d’obéir à Jésus.
3. Si ces deux faits se retrouvent dans le même passage, c’est parce que tous deux nous indiquent qui est Jésus
: il a une autorité égale à celui qui a donné la Loi au Sinaï et il a pouvoir sur les esprits mauvais. Le message est donc clair : dès le début de son Évangile, Marc nous montre que la présence de Jésus est la présence de Dieu lui-même. Jésus est Dieu.
Voilà la bonne nouvelle de l’Évangile, Dieu est venu parmi nous. Et cette bonne nouvelle est arrivée jusqu’à nous, pour que nous aussi nous ayons la foi.
Dialogue avec le Christ
Seigneur, je crois que tu es le Fils de Dieu. Je crois que tu t’es fait homme, pour devenir notre frère. Merci, Jésus, de venir parmi nous, et, par cela, de nous permettre de faire à notre tour partie de la famille divine.
Résolution
Relire en entier le premier chapitre de l’Évangile de Marc.
SOURCE : Catholique.org
Jésus à la Synagogue
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que ce Saint Dimanche soit béni par le Seigneur et éclairé par Sa divine Lumière
****
Méditation de l’ Evangile du Jour : Dimanche 1er Février 2015
Jésus, Fils de Dieu
Evangile selon St Marc, chapitre 1, 21-28
Ils entrèrent à Capharnaüm. Aussitôt, le jour du sabbat, Jésus se rendit à la synagogue, et là, il enseignait. On était frappé par son enseignement, car il enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes.
Or, il y avait dans leur synagogue un homme tourmenté par un esprit impur, qui se mit à crier : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais qui tu es : tu es le Saint de Dieu. »
Jésus l’interpella vivement : « Tais-toi ! Sors de cet homme. »
L’esprit impur le fit entrer en convulsions, puis, poussant un grand cri, sortit de lui.
Ils furent tous frappés de stupeur et se demandaient entre eux : « Qu’est-ce que cela veut dire ? Voilà un enseignement nouveau, donné avec autorité ! Il commande même aux esprits impurs, et ils lui obéissent. »
Sa renommée se répandit aussitôt partout, dans toute la région de la Galilée.
Prière d'introduction
Seigneur, aide-moi à mieux te connaître. Aide-moi à savoir qui tu es.
Demande
Une meilleure connaissance de Jésus.
Points de réflexion
1.Après une brève introduction, dans laquelle l’évangéliste parle de Jean Baptiste, du baptême de Jésus et des tentations dans le désert, Marc commence directement avec le ministère public de Jésus en Galilée
. Ce passage vient juste après l’appel des quatre premiers disciples. Jésus arrive à Capharnaüm, ville au bord du lac, il va dans la synagogue, enseigne, et guérit un possédé qui était entré.
2. Dans ce passage, deux faits importants sont soulignés : d’une part, Jésus enseigne avec autorité, ce qui surprend ceux qui l’écoutent.
En effet, l’enseignement des maîtres juifs du temps de Jésus se basait entièrement sur la Loi contenue dans les textes sacrés, Loi que Moïse avait reçue de Dieu au mont Sinaï. Il n’y avait donc qu’à connaître et interpréter cette Loi.
Mais la manière de parler de Jésus était différente : il semble qu’il parle en son propre nom. Sans récuser la Loi, il parle avec une autorité qui ne lui est pas inférieure. L’autre fait est la libération du possédé, le démon n’ayant pas d’autre choix que d’obéir à Jésus.
3. Si ces deux faits se retrouvent dans le même passage, c’est parce que tous deux nous indiquent qui est Jésus
: il a une autorité égale à celui qui a donné la Loi au Sinaï et il a pouvoir sur les esprits mauvais. Le message est donc clair : dès le début de son Évangile, Marc nous montre que la présence de Jésus est la présence de Dieu lui-même. Jésus est Dieu.
Voilà la bonne nouvelle de l’Évangile, Dieu est venu parmi nous. Et cette bonne nouvelle est arrivée jusqu’à nous, pour que nous aussi nous ayons la foi.
Dialogue avec le Christ
Seigneur, je crois que tu es le Fils de Dieu. Je crois que tu t’es fait homme, pour devenir notre frère. Merci, Jésus, de venir parmi nous, et, par cela, de nous permettre de faire à notre tour partie de la famille divine.
Résolution
Relire en entier le premier chapitre de l’Évangile de Marc.
SOURCE : Catholique.org
Jésus à la Synagogue
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Inscription : 16/01/2010
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Maud, Bonjour Lumen,
Bonjour tous artisans de paix,
Bonjour caillon,
Bonjour à toutes et à tous,
Dimanche 1er Février 2015
4ième Dimanche du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
Lien :
http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/nouveautes/en-marche-vers-dimanche-4e-dimanche-ordinaire-b-integrale/00090896
Vu sur :
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Psaume 94 (95), entièrement
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
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Amicalement, fraternellement
Nicolas
Bonjour tous artisans de paix,
Bonjour caillon,
Bonjour à toutes et à tous,
Dimanche 1er Février 2015
4ième Dimanche du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
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(Première lecture)
Livre du Deutéronome 18 : 15 à 20
« Je ferai se lever un PROPHÈTE ; Je mettrai dans Sa BOUCHE Mes PAROLES »
Moïse disait au peuple :
« Au milieu de vous, parmi vos frères,
le SEIGNEUR votre DIEU
fera se lever un PROPHÈTE comme moi,
et vous L’écouterez.
C’est bien ce que vous avez demandé au SEIGNEUR votre DIEU,
au mont Horeb, le jour de l’assemblée, quand vous disiez :
“Je ne veux plus entendre la VOIX du SEIGNEUR mon DIEU,
je ne veux plus voir cette GRANDE FLAMME,
je ne veux pas mourir !”
Et le SEIGNEUR me dit alors :
“Ils ont bien fait de dire cela.
Je ferai se lever au milieu de leurs frères
un PROPHÈTE comme toi ;
Je mettrai dans Sa BOUCHE Mes PAROLES,
et IL leur dira tout ce que Je LUI prescrirai.
Si quelqu’un n’écoute pas les PAROLES
que ce PROPHÈTE prononcera en Mon NOM,
MOI-MÊME Je lui en demanderai compte.
Mais un Prophète qui aurait la présomption de dire en Mon NOM
une parole que Je ne lui aurais pas prescrite,
ou qui parlerait au nom d’autres dieux,
ce Prophète-là mourra.” »
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Livre du Deutéronome 18 : 15 à 20
« Je ferai se lever un PROPHÈTE ; Je mettrai dans Sa BOUCHE Mes PAROLES »
Moïse disait au peuple :
« Au milieu de vous, parmi vos frères,
le SEIGNEUR votre DIEU
fera se lever un PROPHÈTE comme moi,
et vous L’écouterez.
C’est bien ce que vous avez demandé au SEIGNEUR votre DIEU,
au mont Horeb, le jour de l’assemblée, quand vous disiez :
“Je ne veux plus entendre la VOIX du SEIGNEUR mon DIEU,
je ne veux plus voir cette GRANDE FLAMME,
je ne veux pas mourir !”
Et le SEIGNEUR me dit alors :
“Ils ont bien fait de dire cela.
Je ferai se lever au milieu de leurs frères
un PROPHÈTE comme toi ;
Je mettrai dans Sa BOUCHE Mes PAROLES,
et IL leur dira tout ce que Je LUI prescrirai.
Si quelqu’un n’écoute pas les PAROLES
que ce PROPHÈTE prononcera en Mon NOM,
MOI-MÊME Je lui en demanderai compte.
Mais un Prophète qui aurait la présomption de dire en Mon NOM
une parole que Je ne lui aurais pas prescrite,
ou qui parlerait au nom d’autres dieux,
ce Prophète-là mourra.” »
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Au moment de se présenter devant le SEIGNEUR
Psaume 94 (95), entièrement
Psaume 94 (95) : 1 et 2, 6 et 7abc, 7d à 9
R/ Aujourd’hui, ne fermez pas votre cœur, mais écoutez la VOIX du SEIGNEUR.
Venez, crions de joie pour le SEIGNEUR,
acclamons notre ROCHER, notre SALUT !
Allons jusqu’à LUI en rendant grâce,
par nos hymnes de fête acclamons-LE !
R/
Entrez, inclinez-vous, prosternez-vous,
adorons le SEIGNEUR qui nous a faits.
Oui, IL est notre DIEU ;
nous sommes le Peuple qu’IL conduit
le Troupeau guidé par Sa MAIN.
R/
Aujourd’hui écouterez-vous Sa PAROLE ?
« Ne fermez pas votre cœur comme au désert,
comme au jour de tentation et de défi,
où vos pères M’ont tenté et provoqué,
et pourtant ils avaient vu Mon EXPLOIT. »
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Venez, crions de joie pour le SEIGNEUR,
acclamons notre ROCHER, notre SALUT !
Allons jusqu’à LUI en rendant grâce,
par nos hymnes de fête acclamons-LE !
R/
Entrez, inclinez-vous, prosternez-vous,
adorons le SEIGNEUR qui nous a faits.
Oui, IL est notre DIEU ;
nous sommes le Peuple qu’IL conduit
le Troupeau guidé par Sa MAIN.
R/
Aujourd’hui écouterez-vous Sa PAROLE ?
« Ne fermez pas votre cœur comme au désert,
comme au jour de tentation et de défi,
où vos pères M’ont tenté et provoqué,
et pourtant ils avaient vu Mon EXPLOIT. »
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Du CD, Les Psaumes pour tous les Dimanches et fêtes :
http://www.mirari.fr/b0Nn
http://www.mirari.fr/b0Nn
(Deuxième lecture)
Première Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens 7 : 32 à 35
La femme qui reste vierge a le souci des AFFAIRES du SEIGNEUR, afin d’être SANCTIFIÉE »
Frères,
j’aimerais vous voir libres de tout souci.
Celui qui n’est pas marié a le souci des AFFAIRES du SEIGNEUR,
il cherche comment plaire au SEIGNEUR.
Celui qui est marié a le souci des affaires de ce monde,
il cherche comment plaire à sa femme,
et il se trouve divisé.
La femme sans mari,
ou celle qui reste vierge,
a le souci des AFFAIRES du SEIGNEUR,
afin d’être SANCTIFIÉE dans son Corps et son Esprit.
Celle qui est mariée a le souci des affaires de ce monde,
elle cherche comment plaire à son mari.
C’est dans votre intérêt que je dis cela ;
ce n’est pas pour vous tendre un piège,
mais pour vous proposer ce qui est bien,
afin que vous soyez attachés au SEIGNEUR sans partage.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Première Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens 7 : 32 à 35
La femme qui reste vierge a le souci des AFFAIRES du SEIGNEUR, afin d’être SANCTIFIÉE »
Frères,
j’aimerais vous voir libres de tout souci.
Celui qui n’est pas marié a le souci des AFFAIRES du SEIGNEUR,
il cherche comment plaire au SEIGNEUR.
Celui qui est marié a le souci des affaires de ce monde,
il cherche comment plaire à sa femme,
et il se trouve divisé.
La femme sans mari,
ou celle qui reste vierge,
a le souci des AFFAIRES du SEIGNEUR,
afin d’être SANCTIFIÉE dans son Corps et son Esprit.
Celle qui est mariée a le souci des affaires de ce monde,
elle cherche comment plaire à son mari.
C’est dans votre intérêt que je dis cela ;
ce n’est pas pour vous tendre un piège,
mais pour vous proposer ce qui est bien,
afin que vous soyez attachés au SEIGNEUR sans partage.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Marc 1 : 21 à 28
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia.
Le peuple qui habitait dans les ténèbres a vu une GRANDE LUMIÈRE. Sur ceux qui habitaient dans le pays et l’ombre de la mort, une LUMIÈRE s’est levée.
Alléluia.
(Mt 4, 16)
« IL enseignait en Homme qui a AUTORITÉ »
JÉSUS et Ses Disciples entrèrent à Capharnaüm.
Aussitôt, le jour du sabbat,
IL se rendit à la synagogue, et là, IL enseignait.
On était frappé par Son ENSEIGNEMENT,
car IL enseignait en Homme qui a AUTORITÉ,
et non pas comme les scribes.
Or, il y avait dans leur synagogue
un homme tourmenté par un esprit impur,
qui se mit à crier :
« Que nous veux-TU, JÉSUS de Nazareth ?
Es-TU venu pour nous perdre ?
Je sais qui TU es :
TU es le SAINT de DIEU. »
JÉSUS l’interpella vivement :
« Tais-toi ! Sors de cet homme. »
L’esprit impur le fit entrer en convulsions,
puis, poussant un grand cri, sortit de lui.
Ils furent tous frappés de stupeur
et se demandaient entre eux :
« Qu’est-ce que cela veut dire ?
Voilà un ENSEIGNEMENT NOUVEAU, donné avec AUTORITÉ !
IL commande même aux esprits impurs,
et ils LUI obéissent. »
Sa RENOMMÉE se répandit aussitôt partout,
dans toute la région de la Galilée.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia.
Le peuple qui habitait dans les ténèbres a vu une GRANDE LUMIÈRE. Sur ceux qui habitaient dans le pays et l’ombre de la mort, une LUMIÈRE s’est levée.
Alléluia.
(Mt 4, 16)
« IL enseignait en Homme qui a AUTORITÉ »
JÉSUS et Ses Disciples entrèrent à Capharnaüm.
Aussitôt, le jour du sabbat,
IL se rendit à la synagogue, et là, IL enseignait.
On était frappé par Son ENSEIGNEMENT,
car IL enseignait en Homme qui a AUTORITÉ,
et non pas comme les scribes.
Or, il y avait dans leur synagogue
un homme tourmenté par un esprit impur,
qui se mit à crier :
« Que nous veux-TU, JÉSUS de Nazareth ?
Es-TU venu pour nous perdre ?
Je sais qui TU es :
TU es le SAINT de DIEU. »
JÉSUS l’interpella vivement :
« Tais-toi ! Sors de cet homme. »
L’esprit impur le fit entrer en convulsions,
puis, poussant un grand cri, sortit de lui.
Ils furent tous frappés de stupeur
et se demandaient entre eux :
« Qu’est-ce que cela veut dire ?
Voilà un ENSEIGNEMENT NOUVEAU, donné avec AUTORITÉ !
IL commande même aux esprits impurs,
et ils LUI obéissent. »
Sa RENOMMÉE se répandit aussitôt partout,
dans toute la région de la Galilée.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Textes du jour, lu sur :
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Nicolas
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonsoir Maud, Bonsoir Lumen,
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Lundi 2 Février 2015
Présentation du SEIGNEUR au Temple
Fête du SEIGNEUR
4ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Blanc )
Année B
Textes du jour, lu sur :
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Nicolas
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Lundi 2 Février 2015
Présentation du SEIGNEUR au Temple
Fête du SEIGNEUR
4ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Blanc )
Année B
(Première lecture)
Livre du Prophète Malachie 3 : 1 à 4
« Soudain viendra dans Son Temple le SEIGNEUR que vous cherchez »
Ainsi PARLE le SEIGNEUR DIEU :
Voici que J’envoie Mon MESSAGER
pour qu’IL prépare le CHEMIN devant Moi ;
et soudain viendra dans Son Temple
le SEIGNEUR que vous cherchez.
Le MESSAGER de l’ALLIANCE que vous désirez,
LE voici qui vient – dit le SEIGNEUR de l’Univers.
Qui pourra soutenir le Jour de Sa VENUE ?
Qui pourra rester debout lorsqu’IL se montrera ?
Car IL est pareil au feu du fondeur,
pareil à la lessive des blanchisseurs.
IL s’installera pour fondre et purifier :
IL purifiera les fils de Lévi,
IL les affinera comme l’or et l’argent ;
ainsi pourront-ils, aux YEUX du SEIGNEUR,
présenter l’offrande en toute justice.
Alors, l’offrande de Juda et de Jérusalem
sera bien accueillie du SEIGNEUR,
comme il en fut aux jours anciens,
dans les années d’autrefois.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Livre du Prophète Malachie 3 : 1 à 4
« Soudain viendra dans Son Temple le SEIGNEUR que vous cherchez »
Ainsi PARLE le SEIGNEUR DIEU :
Voici que J’envoie Mon MESSAGER
pour qu’IL prépare le CHEMIN devant Moi ;
et soudain viendra dans Son Temple
le SEIGNEUR que vous cherchez.
Le MESSAGER de l’ALLIANCE que vous désirez,
LE voici qui vient – dit le SEIGNEUR de l’Univers.
Qui pourra soutenir le Jour de Sa VENUE ?
Qui pourra rester debout lorsqu’IL se montrera ?
Car IL est pareil au feu du fondeur,
pareil à la lessive des blanchisseurs.
IL s’installera pour fondre et purifier :
IL purifiera les fils de Lévi,
IL les affinera comme l’or et l’argent ;
ainsi pourront-ils, aux YEUX du SEIGNEUR,
présenter l’offrande en toute justice.
Alors, l’offrande de Juda et de Jérusalem
sera bien accueillie du SEIGNEUR,
comme il en fut aux jours anciens,
dans les années d’autrefois.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Le SEIGNEUR fait Son ENTRÉE au Temple
Psaume appartenant au recueil de David.
Psaume 23 (24), entièrement
Psaume 23 (24), entièrement
Psaume 23 (24) : 7, 8, 9, 10
R/ C’est le SEIGNEUR, DIEU de l’Univers ; c’est LUI, le ROI de GLOIRE.
Portes, levez vos frontons,
élevez-vous, Portes Éternelles :
qu’IL entre, le ROI de GLOIRE !
R/
Qui est ce ROI de GLOIRE ?
C’est le SEIGNEUR, le FORT, le VAILLANT,
le SEIGNEUR, le VAILLANT des combats.
R/
Portes, levez vos frontons,
levez-les, Portes Éternelles :
qu’IL entre, le ROI de GLOIRE !
R/
Qui donc est ce ROI de GLOIRE ?
C’est le SEIGNEUR, DIEU de l’Univers ;
c’est LUI, le ROI de GLOIRE.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Portes, levez vos frontons,
élevez-vous, Portes Éternelles :
qu’IL entre, le ROI de GLOIRE !
R/
Qui est ce ROI de GLOIRE ?
C’est le SEIGNEUR, le FORT, le VAILLANT,
le SEIGNEUR, le VAILLANT des combats.
R/
Portes, levez vos frontons,
levez-les, Portes Éternelles :
qu’IL entre, le ROI de GLOIRE !
R/
Qui donc est ce ROI de GLOIRE ?
C’est le SEIGNEUR, DIEU de l’Univers ;
c’est LUI, le ROI de GLOIRE.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
(Deuxième lecture)
Lettre aux Hébreux 2 : 14 à 18
« Il LUI fallait se rendre en tout semblable à Ses Frères »
Puisque les enfants des hommes
ont en commun le sang et la chair,
JÉSUS a partagé, LUI aussi, pareille condition :
ainsi, par Sa Mort, IL a pu réduire à l’impuissance
celui qui possédait le pouvoir de la mort,
c’est-à-dire le diable,
et IL a rendu libres tous ceux qui, par crainte de la mort,
passaient toute leur vie dans une situation d’esclaves.
Car ceux qu’IL prend en charge, ce ne sont pas les Anges,
c’est la descendance d’Abraham.
Il LUI fallait donc se rendre en tout semblable à Ses Frères,
pour devenir un GRAND PRÊTRE MISÉRICORDIEUX et DIGNE de FOI
pour les RELATIONS avec DIEU,
afin d’enlever les péchés du peuple.
Et parce qu’IL a souffert jusqu’au bout l’épreuve de Sa PASSION,
IL est capable de porter secours à ceux qui subissent une épreuve.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Lettre aux Hébreux 2 : 14 à 18
« Il LUI fallait se rendre en tout semblable à Ses Frères »
Puisque les enfants des hommes
ont en commun le sang et la chair,
JÉSUS a partagé, LUI aussi, pareille condition :
ainsi, par Sa Mort, IL a pu réduire à l’impuissance
celui qui possédait le pouvoir de la mort,
c’est-à-dire le diable,
et IL a rendu libres tous ceux qui, par crainte de la mort,
passaient toute leur vie dans une situation d’esclaves.
Car ceux qu’IL prend en charge, ce ne sont pas les Anges,
c’est la descendance d’Abraham.
Il LUI fallait donc se rendre en tout semblable à Ses Frères,
pour devenir un GRAND PRÊTRE MISÉRICORDIEUX et DIGNE de FOI
pour les RELATIONS avec DIEU,
afin d’enlever les péchés du peuple.
Et parce qu’IL a souffert jusqu’au bout l’épreuve de Sa PASSION,
IL est capable de porter secours à ceux qui subissent une épreuve.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Luc 2 : 22 à 40
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. LUMIÈRE qui se révèle aux nations et donne GLOIRE à Ton Peuple Israël. Alléluia. (Lc 2, 32)
« Mes yeux ont vu Ton SALUT »
Quand fut accompli le temps prescrit par la Loi de Moïse
pour la purification,
les Parents de JÉSUS L’amenèrent à Jérusalem
pour LE présenter au SEIGNEUR,
selon ce qui est écrit dans la Loi :
Tout premier-né de sexe masculin
sera consacré au SEIGNEUR.
Ils venaient aussi offrir
le sacrifice prescrit par la Loi du SEIGNEUR :
un couple de tourterelles
ou deux petites colombes.
Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon.
C’était un homme juste et religieux,
qui attendait la Consolation d’Israël,
et l’ESPRIT SAINT était sur lui.
Il avait reçu de l’ESPRIT SAINT l’ANNONCE
qu’il ne verrait pas la mort
avant d’avoir vu le CHRIST, le MESSIE du SEIGNEUR.
Sous l’ACTION de l’ESPRIT, Syméon vint au Temple.
Au moment où les Parents présentaient l’ENFANT JÉSUS
pour se conformer au rite de la Loi qui LE concernait,
Syméon reçut l’ENFANT dans ses bras,
et il bénit DIEU en disant :
« Maintenant, Ô MAÎTRE SOUVERAIN,
TU peux laisser Ton Serviteur s’en aller
en paix, selon Ta PAROLE.
Car mes yeux ont vu le SALUT
que TU préparais à la face des peuples :
LUMIÈRE qui se révèle aux nations
et donne GLOIRE à ton peuple Israël. »
Le père et la Mère de l’ENFANT
s’étonnaient de ce qui était dit de LUI.
Syméon les bénit,
puis il dit à Marie Sa Mère :
« Voici que cet ENFANT
provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël.
IL sera un SIGNE de CONTRADICTION
– et Toi, Ton Âme sera traversée d’un glaive – :
ainsi seront dévoilées
les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »
Il y avait aussi une femme Prophète,
Anne, fille de Phanuel, de la tribu d’Aser.
Elle était très avancée en âge ;
après sept ans de mariage,
demeurée veuve,
elle était arrivée à l’âge de 84 ans.
Elle ne s’éloignait pas du Temple,
servant DIEU jour et nuit dans le jeûne et la prière.
Survenant à cette heure même,
elle proclamait les LOUANGES de DIEU
et parlait de l’ENFANT
à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.
Lorsqu’ils eurent achevé
tout ce que prescrivait la Loi du SEIGNEUR,
ils retournèrent en Galilée, dans leur ville de Nazareth.
L’ENFANT, LUI, grandissait et se fortifiait,
rempli de SAGESSE,
et la GRÂCE de DIEU était sur LUI.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. LUMIÈRE qui se révèle aux nations et donne GLOIRE à Ton Peuple Israël. Alléluia. (Lc 2, 32)
« Mes yeux ont vu Ton SALUT »
Quand fut accompli le temps prescrit par la Loi de Moïse
pour la purification,
les Parents de JÉSUS L’amenèrent à Jérusalem
pour LE présenter au SEIGNEUR,
selon ce qui est écrit dans la Loi :
Tout premier-né de sexe masculin
sera consacré au SEIGNEUR.
Ils venaient aussi offrir
le sacrifice prescrit par la Loi du SEIGNEUR :
un couple de tourterelles
ou deux petites colombes.
Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon.
C’était un homme juste et religieux,
qui attendait la Consolation d’Israël,
et l’ESPRIT SAINT était sur lui.
Il avait reçu de l’ESPRIT SAINT l’ANNONCE
qu’il ne verrait pas la mort
avant d’avoir vu le CHRIST, le MESSIE du SEIGNEUR.
Sous l’ACTION de l’ESPRIT, Syméon vint au Temple.
Au moment où les Parents présentaient l’ENFANT JÉSUS
pour se conformer au rite de la Loi qui LE concernait,
Syméon reçut l’ENFANT dans ses bras,
et il bénit DIEU en disant :
« Maintenant, Ô MAÎTRE SOUVERAIN,
TU peux laisser Ton Serviteur s’en aller
en paix, selon Ta PAROLE.
Car mes yeux ont vu le SALUT
que TU préparais à la face des peuples :
LUMIÈRE qui se révèle aux nations
et donne GLOIRE à ton peuple Israël. »
Le père et la Mère de l’ENFANT
s’étonnaient de ce qui était dit de LUI.
Syméon les bénit,
puis il dit à Marie Sa Mère :
« Voici que cet ENFANT
provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël.
IL sera un SIGNE de CONTRADICTION
– et Toi, Ton Âme sera traversée d’un glaive – :
ainsi seront dévoilées
les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »
Il y avait aussi une femme Prophète,
Anne, fille de Phanuel, de la tribu d’Aser.
Elle était très avancée en âge ;
après sept ans de mariage,
demeurée veuve,
elle était arrivée à l’âge de 84 ans.
Elle ne s’éloignait pas du Temple,
servant DIEU jour et nuit dans le jeûne et la prière.
Survenant à cette heure même,
elle proclamait les LOUANGES de DIEU
et parlait de l’ENFANT
à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.
Lorsqu’ils eurent achevé
tout ce que prescrivait la Loi du SEIGNEUR,
ils retournèrent en Galilée, dans leur ville de Nazareth.
L’ENFANT, LUI, grandissait et se fortifiait,
rempli de SAGESSE,
et la GRÂCE de DIEU était sur LUI.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=02/02/2015
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Amicalement, fraternellement
Nicolas
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Nicolas
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Lundi 2 Févier 2015
De l’extraordinaire dans l’ordinaire
Evangile selon St Luc, chapitre 2, 22-40
Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur.
Ils venaient aussi offrir le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes.
Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple. Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait,
Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant : « Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples : lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. »
Le père et la mère de l’enfant s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction ? et toi, ton âme sera traversée d’un glaive ? : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »
Il y avait aussi une femme prophète, Anne, fille de Phanuel, de la tribu d’Aser. Elle était très avancée en âge ; après sept ans de mariage, demeurée veuve, elle était arrivée à l’âge de quatre-vingt-quatre ans. Elle ne s’éloignait pas du Temple, servant Dieu jour et nuit dans le jeûne et la prière.
Survenant à cette heure même, elle proclamait les louanges de Dieu et parlait de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.
Lorsqu’ils eurent achevé tout ce que prescrivait la loi du Seigneur, ils retournèrent en Galilée, dans leur ville de Nazareth.
L’enfant, lui, grandissait et se fortifiait, rempli de sagesse, et la grâce de Dieu était sur lui.
Prière d'introduction
Seigneur, je crois que tu es le Sauveur du monde, le Sauveur de tous les hommes de toutes les époques et de toutes les nations. Mais tu te présentes parfois dans la simplicité et la pauvreté, comme tu te présentes devant Syméon. Aide-moi à avoir la foi. Aide-moi à te reconnaître quand tu viens me rencontrer, Seigneur.
Demande
Vivre avec foi et amour notre vie de tous les jours.
Points de réflexion
1.Dans ce passage de la Présentation de Jésus au Temple, se trouve, dans un certain sens, condensée toute la vie de Jésus. Le Fils de Dieu s’est fait chair, dans le sein d’une femme, Marie, et il sera élevé par un homme, Joseph, et par sa mère. Il est venu dans la pauvreté
. L’offrande de deux tourterelles ou pigeons était prescrite pour ceux qui ne pouvaient pas payer un agneau. Jésus passa ensuite trente ans à Nazareth, dans la simplicité de la vie d’une humble famille juive.
Syméon prophétise ce que sera la vie de Jésus : il apporte la lumière, le relèvement, le salut. Mais il connaîtra aussi l’opposition, jusqu’à être crucifié.
La crucifixion, qui sera l’événement qui enfoncera jusqu’au bout l’épée dans le cœur de Marie.
2. Il y a dans la vie de Joseph et de Marie plusieurs rencontres étonnantes, qui ont dû les renforcer dans leur foi, leur rappeler que Jésus était bien quelqu’un de spécial.
Juste après sa naissance, des bergers vinrent le contempler, envoyés par des anges. Puis, plus tard, se présentèrent des rois venus d’Orient, avec des présents, pour adorer le nouveau-né.
Et ici ils rencontrent Syméon et Anne, qui louent Dieu de pouvoir voir Jésus, et prophétisent qu’il sera le salut d’Israël et de toutes les nations du monde. Et pourtant, malgré ces faits extraordinaires, Marie et Joseph sont restés pauvres et simples, et obéissants à la loi de leur peuple.
Le retour à une vie simple et ordinaire n’a pas changé en eux leur foi, le sens de la mission qu’ils avaient reçue. Et c’est Marie qui devra porter cette foi jusqu’au bout, le jour de la mort de Jésus, quand il semble que, par sa crucifixion, il termine sa vie dans l’échec total.
3. Il est possible que, dans notre vie, nous ayons eu des moments où nous avons pu percevoir d’une façon spéciale l’action et la présence de Dieu : dans une prière particulièrement intense, un événement marquant dans notre vie, un signe que nous avons reçu..
. Mais il faut bien reconnaître que notre vie se déroule le plus souvent dans la simplicité et l’ordinaire. Est-ce pour cela que ce que nous faisons n’a pas d’importance ? Bien au contraire.
C’est dans notre vie de tous les jours que nous pouvons vivre avec profondeur notre foi. Dans notre vie de tous les jours que nous pouvons laisser Dieu venir nous rencontrer, dans le silence et la simplicité
. Il faut apprendre, comme pouvaient le faire Joseph et Marie regardant l’enfant Jésus à Nazareth, à voir l’extraordinaire dans l’ordinaire. Rendre, par notre foi et notre amour, les choses ordinaires extraordinaires.
Dialogue avec le Christ
Seigneur, j’aimerais parfois avoir une vie plus extraordinaire, plus excitante, pleine de choses merveilleuses. Et pourtant toi tu es là dans la simplicité et la pauvreté. C’est un des meilleurs endroits pour te rencontrer. Donne-moi la foi et l’amour pour que je sache mettre ta présence dans ma vie ordinaire. Pour que je puisse faire de l’ordinaire une vie pleine de foi et d’amour.
Résolution
Accomplir avec amour les plus petites choses que je vais faire aujourd’hui.
SOURCE : Catholique.org
Présentation de Jésus au Temple
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Lundi 2 Févier 2015
De l’extraordinaire dans l’ordinaire
Evangile selon St Luc, chapitre 2, 22-40
Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur.
Ils venaient aussi offrir le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes.
Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple. Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait,
Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant : « Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples : lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. »
Le père et la mère de l’enfant s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction ? et toi, ton âme sera traversée d’un glaive ? : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »
Il y avait aussi une femme prophète, Anne, fille de Phanuel, de la tribu d’Aser. Elle était très avancée en âge ; après sept ans de mariage, demeurée veuve, elle était arrivée à l’âge de quatre-vingt-quatre ans. Elle ne s’éloignait pas du Temple, servant Dieu jour et nuit dans le jeûne et la prière.
Survenant à cette heure même, elle proclamait les louanges de Dieu et parlait de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.
Lorsqu’ils eurent achevé tout ce que prescrivait la loi du Seigneur, ils retournèrent en Galilée, dans leur ville de Nazareth.
L’enfant, lui, grandissait et se fortifiait, rempli de sagesse, et la grâce de Dieu était sur lui.
Prière d'introduction
Seigneur, je crois que tu es le Sauveur du monde, le Sauveur de tous les hommes de toutes les époques et de toutes les nations. Mais tu te présentes parfois dans la simplicité et la pauvreté, comme tu te présentes devant Syméon. Aide-moi à avoir la foi. Aide-moi à te reconnaître quand tu viens me rencontrer, Seigneur.
Demande
Vivre avec foi et amour notre vie de tous les jours.
Points de réflexion
1.Dans ce passage de la Présentation de Jésus au Temple, se trouve, dans un certain sens, condensée toute la vie de Jésus. Le Fils de Dieu s’est fait chair, dans le sein d’une femme, Marie, et il sera élevé par un homme, Joseph, et par sa mère. Il est venu dans la pauvreté
. L’offrande de deux tourterelles ou pigeons était prescrite pour ceux qui ne pouvaient pas payer un agneau. Jésus passa ensuite trente ans à Nazareth, dans la simplicité de la vie d’une humble famille juive.
Syméon prophétise ce que sera la vie de Jésus : il apporte la lumière, le relèvement, le salut. Mais il connaîtra aussi l’opposition, jusqu’à être crucifié.
La crucifixion, qui sera l’événement qui enfoncera jusqu’au bout l’épée dans le cœur de Marie.
2. Il y a dans la vie de Joseph et de Marie plusieurs rencontres étonnantes, qui ont dû les renforcer dans leur foi, leur rappeler que Jésus était bien quelqu’un de spécial.
Juste après sa naissance, des bergers vinrent le contempler, envoyés par des anges. Puis, plus tard, se présentèrent des rois venus d’Orient, avec des présents, pour adorer le nouveau-né.
Et ici ils rencontrent Syméon et Anne, qui louent Dieu de pouvoir voir Jésus, et prophétisent qu’il sera le salut d’Israël et de toutes les nations du monde. Et pourtant, malgré ces faits extraordinaires, Marie et Joseph sont restés pauvres et simples, et obéissants à la loi de leur peuple.
Le retour à une vie simple et ordinaire n’a pas changé en eux leur foi, le sens de la mission qu’ils avaient reçue. Et c’est Marie qui devra porter cette foi jusqu’au bout, le jour de la mort de Jésus, quand il semble que, par sa crucifixion, il termine sa vie dans l’échec total.
3. Il est possible que, dans notre vie, nous ayons eu des moments où nous avons pu percevoir d’une façon spéciale l’action et la présence de Dieu : dans une prière particulièrement intense, un événement marquant dans notre vie, un signe que nous avons reçu..
. Mais il faut bien reconnaître que notre vie se déroule le plus souvent dans la simplicité et l’ordinaire. Est-ce pour cela que ce que nous faisons n’a pas d’importance ? Bien au contraire.
C’est dans notre vie de tous les jours que nous pouvons vivre avec profondeur notre foi. Dans notre vie de tous les jours que nous pouvons laisser Dieu venir nous rencontrer, dans le silence et la simplicité
. Il faut apprendre, comme pouvaient le faire Joseph et Marie regardant l’enfant Jésus à Nazareth, à voir l’extraordinaire dans l’ordinaire. Rendre, par notre foi et notre amour, les choses ordinaires extraordinaires.
Dialogue avec le Christ
Seigneur, j’aimerais parfois avoir une vie plus extraordinaire, plus excitante, pleine de choses merveilleuses. Et pourtant toi tu es là dans la simplicité et la pauvreté. C’est un des meilleurs endroits pour te rencontrer. Donne-moi la foi et l’amour pour que je sache mettre ta présence dans ma vie ordinaire. Pour que je puisse faire de l’ordinaire une vie pleine de foi et d’amour.
Résolution
Accomplir avec amour les plus petites choses que je vais faire aujourd’hui.
SOURCE : Catholique.org
Présentation de Jésus au Temple
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour à vous tous, amis qui aimez la Parole de Vie, goûtez et voyez comme est bon le Seigneur !
Bonjour Nicolas et Maud, Merci !
Présentation du Seigneur au Temple
« Chandeleur »
Homélie :
Quarante jours après la naissance du Seigneur, le 2 février, la Présentation au Temple de Jérusalem est un complément du cycle de Noël. La fête est sous le signe de la lumière, en raison de la parole du vieillard Siméon, qui voit dans l'Enfant « la lumière qui éclaire les nations ». Le mot « Chandeleur » vient précisément de candela - la chandelle - reprise dans l'expression Festa candelarum, fête des chandelles. En fait, à l’époque des Romains, il s’agissait d’une célébration en l’honneur du dieu Pan. Toute la nuit, les dévots de cette divinité païenne parcouraient les rues de Rome en agitant des flambeaux.
En 472, le pape Gélase 1er décida de christianiser cette fête en la faisant coïncider avec la célébration de la Présentation de Jésus au Temple. De là la bénédiction traditionnelle des cierges avant la Messe et la procession qui anticipe en quelque sorte la nuit pascale. Ce qui souligne l’unité du cycle liturgique et l’orientation de tous les mystères vers la Pâques, où s’accomplit « le salut que Dieu préparait à tous les peuples ». (Pour être complet il faut ajouter qu’au cours des anciennes lupercales romaines, il convenait également de manger une galette de céréales en l'honneur de Proserpine pour obtenir d'elle la fertilité de la terre. Cette pratique s’est maintenue jusqu’à nos jours dans la tradition des crêpes de la Chandeleur !)
La solennité de ce jour veut nous introduire au mystère de l’incarnation comme l’événement de la rencontre entre Dieu et les hommes. Tout le récit de la présentation de Jésus au Temple est empreint de cette « théologie de la rencontre » ou de la « visitation » de Dieu. Une rencontre qui n’a rien de formel : tout se passe dans la simplicité d’un dialogue, d’un échange de regard, d’un sourire, d’un geste respectueux, dans lesquels Dieu et l’homme s’approchent, s’apprivoisent, s’engagent mutuellement.
Car c’est bien le Seigneur qui, porté dans les bras de Marie, entre dans son Temple : il est chez lui dans cet édifice ; c’est lui qu’on y adore. Et pourtant, seul deux vieillards aux yeux déjà éteints, vont le reconnaître là où il se donne à contempler : dans l’humilité d’un enfant offert à nos regards attendris. Dieu n’est pas derrière l’autel des sacrifices ; il ne se rassasie pas du sang des animaux : « c’est la miséricorde que je veux, non le sacrifice » (Mt 9, 13). Et encore : « Le sacrifice qui plaît à Dieu, c’est un cœur brisé ; du cœur brisé, ô mon Dieu, tu n’as point de mépris ! » (Ps 50). Le cœur que le Seigneur aime est le cœur repentant, qui renonce à vouloir mettre la main sur Dieu, à chercher à le manipuler par sacrifices interposés, et accepte de s’ouvrir à une vraie rencontre, humble et sincère.
Rencontre déconcertante il est vrai : le Verbe éternel cache sa divinité sous le voile de l’humanité qu’il reçoit de la Vierge, et s’offre à nous comme un petit enfant dans les bras de sa mère, tout aussi dépendant d’elle que nous l’avons tous été. En lui nous sommes invités à reconnaître le Fils de Dieu qui se fait Fils de l’homme pour ne pas nous anéantir sous le poids de sa gloire divine. Qui en effet pourrait tenir sous le regard de Dieu ? « L’homme ne saurait me voir et vivre ! » (Ex 33, 20).
Marie et Joseph viennent au Temple pour accomplir un précepte de la Loi ; mais ce faisant, ils présentent aux hommes religieux rassemblés dans le Temple, celui qui vient accomplir tous les préceptes et toutes les lois reçues du Très-Haut dans le contexte de la première Alliance. Pourtant, ce ne sont pas les prêtres chargés du culte, ni les docteurs chargés de l’interprétation de la Torah qui viennent l’accueillir, mais deux « anawim », ces pauvres que Dieu aime précisément en raison de leur humilité de cœur. C’est parce qu’ils ont le cœur pur - purifié de tout orgueil - qu’ils peuvent « voir Dieu » (Mt 5, 8.) et reconnaître la présence du Messie dans l’enfant présenté ce jour-là au Temple.
La grande conversion à laquelle nous sommes invités dès les premières pages de l’Evangile consiste à nous laisser surprendre par un Dieu déconcertant, qui cherche à engager avec nous un dialogue empreint de simplicité, de familiarité. N’est-ce pas ce que fera Jésus tout au long de sa vie publique ? Il appelle ses disciples « pour être avec lui », il les invite à entrer dans son intimité ; il vit avec eux en communauté - ce que ne faisait aucun rabbi de l’époque - il trouve sa joie à partager leur convivialité, et instituera même le mémorial de sa Pâques au cours d’un repas.
Aujourd’hui « le Roi de gloire, le Seigneur, le fort, le vaillant des combats, le Dieu de l’univers » nous visite ; il « veut demeurer chez nous » (Lc 19, 5). Ne le cherchons pas dans l’éclat du feu ou dans la rumeur du tonnerre : il vient à nous comme le pauvre, le mendiant d’amour ; comme un enfant dépendant, ou comme ce frère ou cette sœur qui ont besoin de mon aide, de mon accueil, de mon écoute, de mon sourire. Notre cœur est-il suffisamment simplifié pour laisser à Dieu la liberté de nous visiter de manière aussi déconcertante ? Notre regard est-il assez purifié de l’orgueil pour le reconnaître dans un enfant ? Notre désir de la rencontre est-il assez fort pour lui faire une place et lui répondre amour pour amour ?
En rappelant le lien entre la Fête de la Présentation et la Journée de la Vie Consacrée, le pape Benoît XVI exhortait les religieux à être au sein du Peuple de Dieu « comme des sentinelles que l’on aperçoit et qui annoncent la vie nouvelle déjà présente dans l’histoire ». Le dévouement complet des personnes consacrées à Dieu et à leurs frères, « doit devenir pour le monde d’aujourd’hui le signe éloquent de la présence du Règne de Dieu. Leur façon de vivre et d’agir doit manifester sans équivoque la pleine appartenance au seul Dieu. Leur abandon total dans les mains du Christ et de l’Eglise est le message fort et clair de la présence de Dieu en un langage compréhensible aussi à nos contemporains. Ceci est le premier service que les personnes consacrées rendent à l’Eglise et au monde ».
« Le pèlerinage de foi et de consécration de la Vierge Marie constitue l'archétype de celui de chaque baptisé. Il l'est d'une façon particulière pour ceux qui embrassent la vie consacrée. Comme il est réconfortant de savoir que Marie est à nos côtés, en tant que Mère et Maîtresse, sur notre itinéraire de consécration ! Ô Marie, Mère du Christ et notre Mère, nous te remercions de l'attention avec laquelle tu nous accompagnes sur le chemin de la vie, et nous te demandons : présente-nous aujourd'hui à nouveau à Dieu, notre unique bien, afin que notre vie, ardente d'Amour, soit pour Lui un sacrifice vivant, saint et agréable » (Jean-Paul II, Homélie pour la fête de la Présentation du Seigneur, 2 février 2002).
Père Joseph-Marie
Moines et Moniales de Saint Joseph | Saint-Joseph de Mont-Rouge | F-34480 Puimisson
Bienheureux Guerric d'Igny (v. 1080-1157), abbé cistercien
1er Sermon pour la Purification, 2-3 (trad. Bouchet, Lectionnaire, p. 396 ; cf SC 166, p 311s)
Qui, en tenant aujourd'hui un cierge allumé en sa main, ne se rappelle pas aussitôt ce vieillard qui en ce jour a reçu en ses bras Jésus, Verbe dans la chair, lumière dans la cire, et a témoigné qu'il était la lumière qui éclaire tous les peuples ? Et le vieillard était lui-même flamme ardente qui éclaire, rendant témoignage à la lumière, lui qui, dans l'Esprit Saint dont il était rempli, est venu recevoir, ô Dieu, ton Amour au milieu de ton temple (Ps 47,10) et témoigner qu'il est l'Amour et la lumière de ton peuple...
Réjouis-toi, juste vieillard ; vois aujourd'hui ce que tu avais entrevu par avance : les ténèbres du monde sont dissipées, les nations marchent à sa lumière (Is 60,3). La terre entière est remplie de la gloire (Is 6,3) de cette lumière que tu cachais autrefois dans ton cœur et qui aujourd'hui illumine tes yeux... Embrasse, ô saint vieillard, la Sagesse de Dieu, et que ta jeunesse se renouvelle (Ps 102,5). Reçois sur ton cœur la miséricorde de Dieu, et ta vieillesse connaîtra la douceur de la miséricorde. « Il reposera sur mon sein », dit l'Écriture (Ct 1,12). Même quand je le rendrai à sa mère, il demeurera avec moi ; mon cœur sera enivré de sa miséricorde, plus encore le cœur de sa mère... Je rends grâces et je me réjouis pour toi, pleine de grâce, tu as mis au monde la miséricorde que j'ai reçue ; le cierge que tu as préparé, je le tiens en mes mains...
Et vous frères, voyez le cierge qui brûle entre les mains de Syméon, allumez vos cierges en lui empruntant sa lumière... Alors, non seulement vous porterez une lumière entre vos mains, mais vous serez vous-mêmes lumière. Lumière dans vos cœurs, lumière dans vos vies, lumière pour vous, lumière pour vos frères.
Bonjour Nicolas et Maud, Merci !
Lundi 02 février 2015 : Fête de la Présentation du Seigneur au Temple
Les saints du jour (Lundi 02 février) :
http://jubilatedeo.centerblog.net/6572894-Les-saints-du-jour-lundi-02-fevrier
Les saints du jour (Lundi 02 février) :
http://jubilatedeo.centerblog.net/6572894-Les-saints-du-jour-lundi-02-fevrier
Présentation du Seigneur au Temple
« Chandeleur »
- Présentation du Seigneur au Temple:
- La fête de ce jour a un double objet, célébrer la purification de Marie et la présentation de Jésus au Temple selon la loi de Moïse. Cette loi fixait le temps où les mères devaient se présenter avec leurs nouveau-nés devant les autels, et elle exigeait une offrande pour le rachat des enfants mâles. Ni Marie, toute pure dans sa maternité, ni Jésus, Fils de Dieu, n'étaient obligés à cette cérémonie ; cependant par humilité, et pour donner aux hommes un éclatant exemple d'obéissance aux lois divines, Marie, accompagnée de Joseph et portant Jésus en ses bras, se rendit au Temple de Jérusalem.
La fête chrétienne qui nous conserve le souvenir de cette cérémonie porte, dans le langage populaire, le nom de la Chandeleur, à cause de la procession qui se fait ce jour-là dans nos églises avec des cierges allumés.
Les cierges symbolisent Notre-Seigneur Jésus-Christ, Lumière du monde ; la procession représente le passage de la sainte Famille dans le Temple et la rencontre des deux vieillards Siméon et Anne. Saint Anselme, développant ce mystère, nous dit qu'il y a trois choses à considérer dans le cierge : la cire, la mèche et la flamme. La cire, ouvrage de l'abeille virginale, est la chair du Christ ; la mèche, qui est intérieure, est son âme ; la flamme, qui brille en la partie supérieure est sa Divinité.
La procession de la Chandeleur nous apparaît comme la marche du peuple chrétien à la lumière du Christ, figuré par les cierges que porte le clergé, la portion choisie de l'Église, comme Jésus même était porté entre les bras de Marie, entre ceux du saint vieillard Siméon et du pontife qui l'offrit au Seigneur.
Les cierges de la Chandeleur sont bénits avec une solennité toute particulière et avec l'emploi des prières les plus touchantes. Conservés dans la maison des chrétiens, ils sont un gage de la protection divine. Il est dans l'esprit de l'Église d'allumer les cierges de la Chandeleur pour repousser les esprits de ténèbres, dans les dangers corporels et spirituels, au lit des mourants, pour éloigner d'eux l'ennemi des hommes, qui fait alors son suprême effort afin d'arracher les âmes à Dieu. C'est bien alors surtout, en effet, que l'homme a besoin du recours du Rédempteur, vraie lumière des âmes, pour illuminer les derniers instants de sa vie.
Pour approfondir, lire l’Homélie de Saint Jean-Paul II :
>>> Fête de la Présentation du Seigneur au Temple
http://w2.vatican.va/content/john-paul-ii/fr/homilies/1999/documents/hf_jp-ii_hom_19990202_vida-consagrada.html
Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.
Homélie :
Quarante jours après la naissance du Seigneur, le 2 février, la Présentation au Temple de Jérusalem est un complément du cycle de Noël. La fête est sous le signe de la lumière, en raison de la parole du vieillard Siméon, qui voit dans l'Enfant « la lumière qui éclaire les nations ». Le mot « Chandeleur » vient précisément de candela - la chandelle - reprise dans l'expression Festa candelarum, fête des chandelles. En fait, à l’époque des Romains, il s’agissait d’une célébration en l’honneur du dieu Pan. Toute la nuit, les dévots de cette divinité païenne parcouraient les rues de Rome en agitant des flambeaux.
En 472, le pape Gélase 1er décida de christianiser cette fête en la faisant coïncider avec la célébration de la Présentation de Jésus au Temple. De là la bénédiction traditionnelle des cierges avant la Messe et la procession qui anticipe en quelque sorte la nuit pascale. Ce qui souligne l’unité du cycle liturgique et l’orientation de tous les mystères vers la Pâques, où s’accomplit « le salut que Dieu préparait à tous les peuples ». (Pour être complet il faut ajouter qu’au cours des anciennes lupercales romaines, il convenait également de manger une galette de céréales en l'honneur de Proserpine pour obtenir d'elle la fertilité de la terre. Cette pratique s’est maintenue jusqu’à nos jours dans la tradition des crêpes de la Chandeleur !)
La solennité de ce jour veut nous introduire au mystère de l’incarnation comme l’événement de la rencontre entre Dieu et les hommes. Tout le récit de la présentation de Jésus au Temple est empreint de cette « théologie de la rencontre » ou de la « visitation » de Dieu. Une rencontre qui n’a rien de formel : tout se passe dans la simplicité d’un dialogue, d’un échange de regard, d’un sourire, d’un geste respectueux, dans lesquels Dieu et l’homme s’approchent, s’apprivoisent, s’engagent mutuellement.
Car c’est bien le Seigneur qui, porté dans les bras de Marie, entre dans son Temple : il est chez lui dans cet édifice ; c’est lui qu’on y adore. Et pourtant, seul deux vieillards aux yeux déjà éteints, vont le reconnaître là où il se donne à contempler : dans l’humilité d’un enfant offert à nos regards attendris. Dieu n’est pas derrière l’autel des sacrifices ; il ne se rassasie pas du sang des animaux : « c’est la miséricorde que je veux, non le sacrifice » (Mt 9, 13). Et encore : « Le sacrifice qui plaît à Dieu, c’est un cœur brisé ; du cœur brisé, ô mon Dieu, tu n’as point de mépris ! » (Ps 50). Le cœur que le Seigneur aime est le cœur repentant, qui renonce à vouloir mettre la main sur Dieu, à chercher à le manipuler par sacrifices interposés, et accepte de s’ouvrir à une vraie rencontre, humble et sincère.
Rencontre déconcertante il est vrai : le Verbe éternel cache sa divinité sous le voile de l’humanité qu’il reçoit de la Vierge, et s’offre à nous comme un petit enfant dans les bras de sa mère, tout aussi dépendant d’elle que nous l’avons tous été. En lui nous sommes invités à reconnaître le Fils de Dieu qui se fait Fils de l’homme pour ne pas nous anéantir sous le poids de sa gloire divine. Qui en effet pourrait tenir sous le regard de Dieu ? « L’homme ne saurait me voir et vivre ! » (Ex 33, 20).
Marie et Joseph viennent au Temple pour accomplir un précepte de la Loi ; mais ce faisant, ils présentent aux hommes religieux rassemblés dans le Temple, celui qui vient accomplir tous les préceptes et toutes les lois reçues du Très-Haut dans le contexte de la première Alliance. Pourtant, ce ne sont pas les prêtres chargés du culte, ni les docteurs chargés de l’interprétation de la Torah qui viennent l’accueillir, mais deux « anawim », ces pauvres que Dieu aime précisément en raison de leur humilité de cœur. C’est parce qu’ils ont le cœur pur - purifié de tout orgueil - qu’ils peuvent « voir Dieu » (Mt 5, 8.) et reconnaître la présence du Messie dans l’enfant présenté ce jour-là au Temple.
La grande conversion à laquelle nous sommes invités dès les premières pages de l’Evangile consiste à nous laisser surprendre par un Dieu déconcertant, qui cherche à engager avec nous un dialogue empreint de simplicité, de familiarité. N’est-ce pas ce que fera Jésus tout au long de sa vie publique ? Il appelle ses disciples « pour être avec lui », il les invite à entrer dans son intimité ; il vit avec eux en communauté - ce que ne faisait aucun rabbi de l’époque - il trouve sa joie à partager leur convivialité, et instituera même le mémorial de sa Pâques au cours d’un repas.
Aujourd’hui « le Roi de gloire, le Seigneur, le fort, le vaillant des combats, le Dieu de l’univers » nous visite ; il « veut demeurer chez nous » (Lc 19, 5). Ne le cherchons pas dans l’éclat du feu ou dans la rumeur du tonnerre : il vient à nous comme le pauvre, le mendiant d’amour ; comme un enfant dépendant, ou comme ce frère ou cette sœur qui ont besoin de mon aide, de mon accueil, de mon écoute, de mon sourire. Notre cœur est-il suffisamment simplifié pour laisser à Dieu la liberté de nous visiter de manière aussi déconcertante ? Notre regard est-il assez purifié de l’orgueil pour le reconnaître dans un enfant ? Notre désir de la rencontre est-il assez fort pour lui faire une place et lui répondre amour pour amour ?
En rappelant le lien entre la Fête de la Présentation et la Journée de la Vie Consacrée, le pape Benoît XVI exhortait les religieux à être au sein du Peuple de Dieu « comme des sentinelles que l’on aperçoit et qui annoncent la vie nouvelle déjà présente dans l’histoire ». Le dévouement complet des personnes consacrées à Dieu et à leurs frères, « doit devenir pour le monde d’aujourd’hui le signe éloquent de la présence du Règne de Dieu. Leur façon de vivre et d’agir doit manifester sans équivoque la pleine appartenance au seul Dieu. Leur abandon total dans les mains du Christ et de l’Eglise est le message fort et clair de la présence de Dieu en un langage compréhensible aussi à nos contemporains. Ceci est le premier service que les personnes consacrées rendent à l’Eglise et au monde ».
« Le pèlerinage de foi et de consécration de la Vierge Marie constitue l'archétype de celui de chaque baptisé. Il l'est d'une façon particulière pour ceux qui embrassent la vie consacrée. Comme il est réconfortant de savoir que Marie est à nos côtés, en tant que Mère et Maîtresse, sur notre itinéraire de consécration ! Ô Marie, Mère du Christ et notre Mère, nous te remercions de l'attention avec laquelle tu nous accompagnes sur le chemin de la vie, et nous te demandons : présente-nous aujourd'hui à nouveau à Dieu, notre unique bien, afin que notre vie, ardente d'Amour, soit pour Lui un sacrifice vivant, saint et agréable » (Jean-Paul II, Homélie pour la fête de la Présentation du Seigneur, 2 février 2002).
Père Joseph-Marie
Moines et Moniales de Saint Joseph | Saint-Joseph de Mont-Rouge | F-34480 Puimisson
Bienheureux Guerric d'Igny (v. 1080-1157), abbé cistercien
1er Sermon pour la Purification, 2-3 (trad. Bouchet, Lectionnaire, p. 396 ; cf SC 166, p 311s)
« Lumière pour éclairer les nations »
Qui, en tenant aujourd'hui un cierge allumé en sa main, ne se rappelle pas aussitôt ce vieillard qui en ce jour a reçu en ses bras Jésus, Verbe dans la chair, lumière dans la cire, et a témoigné qu'il était la lumière qui éclaire tous les peuples ? Et le vieillard était lui-même flamme ardente qui éclaire, rendant témoignage à la lumière, lui qui, dans l'Esprit Saint dont il était rempli, est venu recevoir, ô Dieu, ton Amour au milieu de ton temple (Ps 47,10) et témoigner qu'il est l'Amour et la lumière de ton peuple...
Réjouis-toi, juste vieillard ; vois aujourd'hui ce que tu avais entrevu par avance : les ténèbres du monde sont dissipées, les nations marchent à sa lumière (Is 60,3). La terre entière est remplie de la gloire (Is 6,3) de cette lumière que tu cachais autrefois dans ton cœur et qui aujourd'hui illumine tes yeux... Embrasse, ô saint vieillard, la Sagesse de Dieu, et que ta jeunesse se renouvelle (Ps 102,5). Reçois sur ton cœur la miséricorde de Dieu, et ta vieillesse connaîtra la douceur de la miséricorde. « Il reposera sur mon sein », dit l'Écriture (Ct 1,12). Même quand je le rendrai à sa mère, il demeurera avec moi ; mon cœur sera enivré de sa miséricorde, plus encore le cœur de sa mère... Je rends grâces et je me réjouis pour toi, pleine de grâce, tu as mis au monde la miséricorde que j'ai reçue ; le cierge que tu as préparé, je le tiens en mes mains...
Et vous frères, voyez le cierge qui brûle entre les mains de Syméon, allumez vos cierges en lui empruntant sa lumière... Alors, non seulement vous porterez une lumière entre vos mains, mais vous serez vous-mêmes lumière. Lumière dans vos cœurs, lumière dans vos vies, lumière pour vous, lumière pour vos frères.
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonsoir Maud, Bonsoir Lumen,
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Mardi 3 Février 2015
Saint Anschaire, Évêque
Saint Blaise, Évêque et Martyr
Mort vers 316. Évêque de Sébaste, en Arménie. Il refusa de sacrifier aux idoles et fut décapité.
4ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=03/02/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Mardi 3 Février 2015
Saint Anschaire, Évêque
Saint Blaise, Évêque et Martyr
Mort vers 316. Évêque de Sébaste, en Arménie. Il refusa de sacrifier aux idoles et fut décapité.
4ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
(Première lecture)
Lettre aux Hébreux 12 : 1 à 4
« Courons avec endurance l’épreuve qui nous est proposée »
Frères,
nous aussi, entourés de cette immense nuée de témoins,
et débarrassés de tout ce qui nous alourdit
– en particulier du péché qui nous entrave si bien –,
courons avec endurance
l’épreuve qui nous est proposée,
les yeux fixés sur JÉSUS,
qui est à l’origine et au terme de la foi.
Renonçant à la joie qui LUI était proposée,
IL a enduré la Croix en méprisant la honte de ce supplice,
et IL siège à la DROITE du TRÔNE de DIEU.
Méditez l’exemple
de CELUI qui a enduré de la part des pécheurs une telle hostilité,
et vous ne serez pas accablés par le découragement.
Vous n’avez pas encore résisté jusqu’au sang
dans votre lutte contre le péché.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Lettre aux Hébreux 12 : 1 à 4
« Courons avec endurance l’épreuve qui nous est proposée »
Frères,
nous aussi, entourés de cette immense nuée de témoins,
et débarrassés de tout ce qui nous alourdit
– en particulier du péché qui nous entrave si bien –,
courons avec endurance
l’épreuve qui nous est proposée,
les yeux fixés sur JÉSUS,
qui est à l’origine et au terme de la foi.
Renonçant à la joie qui LUI était proposée,
IL a enduré la Croix en méprisant la honte de ce supplice,
et IL siège à la DROITE du TRÔNE de DIEU.
Méditez l’exemple
de CELUI qui a enduré de la part des pécheurs une telle hostilité,
et vous ne serez pas accablés par le découragement.
Vous n’avez pas encore résisté jusqu’au sang
dans votre lutte contre le péché.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Mon DIEU, mon DIEU, pourquoi M’as-TU abandonné ?
Du répertoire du chef de chorale. A chanter sur l’air de “Biche de l’aurore”. Psaume appartenant au recueil de David.
Psaume 21 (22), entièrement
Psaume 21 (22), entièrement
Psaume 21 (22) : 26b et 27, 28 et 30, 31 et 32
R/ Ils loueront le SEIGNEUR,
ceux qui LE cherchent.
Devant ceux qui TE craignent, je tiendrai mes promesses.
Les pauvres mangeront : ils seront rassasiés ;
ils loueront le SEIGNEUR, ceux qui LE cherchent :
« À vous, toujours, la vie et la joie ! »
R/
La Terre entière se souviendra et reviendra vers le SEIGNEUR,
chaque famille de nations se prosternera devant LUI.
Tous ceux qui festoyaient s’inclinent ;
promis à la mort, ils plient en Sa PRÉSENCE.
R/
Et moi, je vis pour LUI : ma descendance LE servira ;
on annoncera le SEIGNEUR aux générations à venir.
On proclamera Sa JUSTICE au peuple qui va naître :
Voilà Son ŒUVRE !
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
ceux qui LE cherchent.
Devant ceux qui TE craignent, je tiendrai mes promesses.
Les pauvres mangeront : ils seront rassasiés ;
ils loueront le SEIGNEUR, ceux qui LE cherchent :
« À vous, toujours, la vie et la joie ! »
R/
La Terre entière se souviendra et reviendra vers le SEIGNEUR,
chaque famille de nations se prosternera devant LUI.
Tous ceux qui festoyaient s’inclinent ;
promis à la mort, ils plient en Sa PRÉSENCE.
R/
Et moi, je vis pour LUI : ma descendance LE servira ;
on annoncera le SEIGNEUR aux générations à venir.
On proclamera Sa JUSTICE au peuple qui va naître :
Voilà Son ŒUVRE !
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Marc 5 : 21 à 43
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Le CHRISt a pris nos souffrances, IL a porté nos maladies. Alléluia. (Mt 8, 17)
« Jeune fille, Je te le dis, lève-toi ! »
En ce temps-là,
JÉSUS regagna en barque l’autre rive,
et une grande foule s’assembla autour de LUI.
IL était au bord de la mer.
Arrive un des chefs de synagogue, nommé Jaïre.
Voyant JÉSUS, il tombe à Ses PIEDS
et LE supplie instamment :
« Ma fille, encore si jeune, est à la dernière extrémité.
Viens LUI imposer les MAINS
pour qu’elle soit sauvée et qu’elle vive. »
JÉSUS partit avec lui,
et la foule qui LE suivait
était si nombreuse qu’elle L’écrasait.
Or, une femme, qui avait des pertes de sang depuis douze ans…
– elle avait beaucoup souffert
du traitement de nombreux médecins,
et elle avait dépensé tous ses biens
sans avoir la moindre amélioration ;
au contraire, son état avait plutôt empiré –
… cette femme donc, ayant appris ce qu’on disait de JÉSUS,
vint par-derrière dans la foule et toucha Son vêtement.
Elle se disait en effet :
« Si je parviens à toucher seulement son Vêtement,
je serai sauvée. »
À l’instant, l’hémorragie s’arrêta,
et elle ressentit dans son corps qu’elle était guérie de son mal.
Aussitôt JÉSUS se rendit compte qu’une force était sortie de LUI.
IL se retourna dans la foule, et IL demandait :
« Qui a touché Mes Vêtements ? »
Ses Disciples LUI répondirent :
« TU vois bien la foule qui T’écrase,
et TU demandes : “Qui M’a touché ?” »
Mais LUI regardait tout autour
pour voir celle qui avait fait cela.
Alors la femme, saisie de crainte et toute tremblante,
sachant ce qui lui était arrivé,
vint se jeter à Ses PIEDS et LUI dit toute la vérité.
JÉSUS lui dit alors :
« Ma fille, ta foi t’a sauvée.
Va en paix et sois guérie de ton mal. »
Comme IL parlait encore,
des gens arrivent de la maison de Jaïre, le chef de synagogue,
pour dire à celui-ci :
« Ta fille vient de mourir.
À quoi bon déranger encore le MAÎTRE ? »
JÉSUS, surprenant ces mots, dit au chef de synagogue :
« Ne crains pas, crois seulement. »
IL ne laissa personne l’accompagner,
sauf Pierre, Jacques, et Jean, le frère de Jacques.
Ils arrivent à la maison du chef de synagogue.
JÉSUS voit l’agitation,
et des gens qui pleurent et poussent de grands cris.
IL entre et leur dit :
« Pourquoi cette agitation et ces pleurs ?
L’enfant n’est pas morte : elle dort. »
Mais on se moquait de LUI.
Alors IL met tout le monde dehors,
prend avec LUI le père et la mère de l’enfant,
et ceux qui étaient avec LUI ;
puis IL pénètre là où reposait l’enfant.
IL saisit la main de l’enfant, et LUI dit :
« Talitha koum »,
ce qui signifie :
« Jeune fille, Je te le dis, lève-toi ! »
Aussitôt la jeune fille se leva et se mit à marcher
– elle avait en effet douze ans.
Ils furent frappés d’une grande stupeur.
Et JÉSUS leur ordonna fermement
de ne le faire savoir à personne ;
puis IL leur dit de la faire manger.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Le CHRISt a pris nos souffrances, IL a porté nos maladies. Alléluia. (Mt 8, 17)
« Jeune fille, Je te le dis, lève-toi ! »
En ce temps-là,
JÉSUS regagna en barque l’autre rive,
et une grande foule s’assembla autour de LUI.
IL était au bord de la mer.
Arrive un des chefs de synagogue, nommé Jaïre.
Voyant JÉSUS, il tombe à Ses PIEDS
et LE supplie instamment :
« Ma fille, encore si jeune, est à la dernière extrémité.
Viens LUI imposer les MAINS
pour qu’elle soit sauvée et qu’elle vive. »
JÉSUS partit avec lui,
et la foule qui LE suivait
était si nombreuse qu’elle L’écrasait.
Or, une femme, qui avait des pertes de sang depuis douze ans…
– elle avait beaucoup souffert
du traitement de nombreux médecins,
et elle avait dépensé tous ses biens
sans avoir la moindre amélioration ;
au contraire, son état avait plutôt empiré –
… cette femme donc, ayant appris ce qu’on disait de JÉSUS,
vint par-derrière dans la foule et toucha Son vêtement.
Elle se disait en effet :
« Si je parviens à toucher seulement son Vêtement,
je serai sauvée. »
À l’instant, l’hémorragie s’arrêta,
et elle ressentit dans son corps qu’elle était guérie de son mal.
Aussitôt JÉSUS se rendit compte qu’une force était sortie de LUI.
IL se retourna dans la foule, et IL demandait :
« Qui a touché Mes Vêtements ? »
Ses Disciples LUI répondirent :
« TU vois bien la foule qui T’écrase,
et TU demandes : “Qui M’a touché ?” »
Mais LUI regardait tout autour
pour voir celle qui avait fait cela.
Alors la femme, saisie de crainte et toute tremblante,
sachant ce qui lui était arrivé,
vint se jeter à Ses PIEDS et LUI dit toute la vérité.
JÉSUS lui dit alors :
« Ma fille, ta foi t’a sauvée.
Va en paix et sois guérie de ton mal. »
Comme IL parlait encore,
des gens arrivent de la maison de Jaïre, le chef de synagogue,
pour dire à celui-ci :
« Ta fille vient de mourir.
À quoi bon déranger encore le MAÎTRE ? »
JÉSUS, surprenant ces mots, dit au chef de synagogue :
« Ne crains pas, crois seulement. »
IL ne laissa personne l’accompagner,
sauf Pierre, Jacques, et Jean, le frère de Jacques.
Ils arrivent à la maison du chef de synagogue.
JÉSUS voit l’agitation,
et des gens qui pleurent et poussent de grands cris.
IL entre et leur dit :
« Pourquoi cette agitation et ces pleurs ?
L’enfant n’est pas morte : elle dort. »
Mais on se moquait de LUI.
Alors IL met tout le monde dehors,
prend avec LUI le père et la mère de l’enfant,
et ceux qui étaient avec LUI ;
puis IL pénètre là où reposait l’enfant.
IL saisit la main de l’enfant, et LUI dit :
« Talitha koum »,
ce qui signifie :
« Jeune fille, Je te le dis, lève-toi ! »
Aussitôt la jeune fille se leva et se mit à marcher
– elle avait en effet douze ans.
Ils furent frappés d’une grande stupeur.
Et JÉSUS leur ordonna fermement
de ne le faire savoir à personne ;
puis IL leur dit de la faire manger.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=03/02/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Nicolas
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Mardi 2 Février 2015
La puissance de la foi
Evangile selon St Marc, chapitre 5, 21-43
Jésus regagna en barque l’autre rive, et une grande foule s’assembla autour de lui. Il était au bord de la mer.
Arrive un des chefs de synagogue, nommé Jaïre. Voyant Jésus, il tombe à ses pieds et le supplie instamment : « Ma fille, encore si jeune, est à la dernière extrémité. Viens lui imposer les mains pour qu’elle soit sauvée et qu’elle vive. »
Jésus partit avec lui, et la foule qui le suivait était si nombreuse qu’elle l’écrasait.
Or, une femme, qui avait des pertes de sang depuis douze ans... ? elle avait beaucoup souffert du traitement de nombreux médecins, et elle avait dépensé tous ses biens sans avoir la moindre amélioration ; au contraire, son état avait plutôt empiré ? cette femme donc, ayant appris ce qu’on disait de Jésus, vint par-derrière dans la foule et toucha son vêtement. Elle se disait en effet : « Si je parviens à toucher seulement son vêtement, je serai sauvée. »
À l’instant, l’hémorragie s’arrêta, et elle ressentit dans son corps qu’elle était guérie de son mal.
Aussitôt Jésus se rendit compte qu’une force était sortie de lui. Il se retourna dans la foule, et il demand
ait : « Qui a touché mes vêtements ? »
Ses disciples lui répondirent : « Tu vois bien la foule qui t’écrase, et tu demandes : ?Qui m’a touché ?? »
Mais lui regardait tout autour pour voir celle qui avait fait cela.
Alors la femme, saisie de crainte et toute tremblante, sachant ce qui lui était arrivé, vint se jeter à ses pieds et lui dit toute la vérité.
Jésus lui dit alors : « Ma fille, ta foi t’a sauvée. Va en paix et sois guérie de ton mal. »
Comme il parlait encore, des gens arrivent de la maison de Jaïre, le chef de synagogue, pour dire à celui-ci : « Ta fille vient de mourir. À quoi bon déranger encore le Maître ? »
Jésus, surprenant ces mots, dit au chef de synagogue : « Ne crains pas, crois seulement. »
Il ne laissa personne l’accompagner, sauf Pierre, Jacques, et Jean, le frère de Jacques.
Ils arrivent à la maison du chef de synagogue. Jésus voit l’agitation, et des gens qui pleurent et poussent de grands cris.
Il entre et leur dit : « Pourquoi cette agitation et ces pleurs ? L’enfant n’est pas morte : elle dort. »
Mais on se moquait de lui. Alors il met tout le monde dehors, prend avec lui le père et la mère de l’enfant, et ceux qui étaient avec lui ; puis il pénètre là où reposait l’enfant.
Il saisit la main de l’enfant, et lui dit : « Talitha koum », ce qui signifie : « Jeune fille, je te le dis, lève-toi ! »
Aussitôt la jeune fille se leva et se mit à marcher ? elle avait en effet douze ans. Ils furent frappés d’une grande stupeur.
Et Jésus leur ordonna fermement de ne le faire savoir à personne ; puis il leur dit de la faire manger.
Prière d'introduction
Seigneur Jésus, tu es le Dieu tout-puissant. Tu es le Seigneur de la vie et de la mort. Je crois en toi. Mon espoir est en toi.
Demande
Grandir dans la foi.
Points de réflexion
1.Nous retrouvons dans ce passage Jésus en Galilée.
Il est arrivé, avec un petit bateau, dans une ville, au bord du lac. Or il se trouve que, dans cette ville, on avait déjà entendu parler de Jésus, car une grande foule se rassemble autour de lui, pour écouter ses paroles ou pour lui présenter des malades.
Et voilà qu’un notable, chef de la synagogue, vient se mettre à ses pieds pour lui demander la guérison de sa fille, atteinte d’une grave maladie et maintenant en péril de mort. Ils se mettent donc en route vers la maison où elle se trouve.
Mais il y a là une autre personne, qui a besoin de guérison. Une femme, qui souffre depuis douze ans du même mal. Quand elle voit Jésus partir, elle se décide à, au moins, essayer de toucher son manteau, en se frayant, tant bien que mal, un chemin à travers la foule.
2. Comme on le sait, en lisant la suite de ce passage, les deux obtiendront la guérison qu’ils demandent.
Car les deux ont eu la foi. Ils sont allés vers Jésus en croyant qu’il pouvait vraiment faire quelque chose.
Ces guérisons, que Jésus faisait, sont des images d’une guérison encore plus importante qu’il est venu donner aux hommes : la guérison de l’âme, la conversion du cœur.
On se préoccupe beaucoup pour notre corps, qui finira en poussière dans peu de temps. Mais se préoccupe-t-on autant de notre âme, qui ne périra pas ? En fait nous devrions nous en préoccuper bien plus.
3. Comme ces deux miracles le montrent, rien n’est impossible à Dieu.
Cette femme avait consulté tous les médecins possibles, et personne ne pouvait la guérir. La petite fille semblait s’être endormie pour toujours. Mais pour Jésus, et pour qui met sa foi en lui, rien n’est impossible.
Et ceci vaut aussi pour nos âmes, pour notre cœur. Si l’on croit que notre conversion, ou celle de notre prochain, est impossible, c’est qu’il nous manque de la foi. Le désespoir est une des armes les plus fortes du démon.
Même dans les pires situations, demandons donc à Jésus de nous donner une foi toujours plus forte que le mal.
Dialogue avec le Christ
Seigneur, donne-moi une grande foi. Une foi capable de surmonter les difficultés qui se présentent dans ma vie. Une foi qui me permette de garder l’espoir, même quand tout semble perdu, même quand le mal semble avoir gagné dans ma vie ou dans celle de mes proches. Laisse-moi m’approcher de toi, me mettre à genoux, et remettre tout ce qu’il y a dans mon cœur entre tes mains.
Résolution
Prier, avec foi, pour la conversion d’un pécheur.
SOURCE : Catholique.org
La femme souffrant d' hémorragie aux pieds de Jésus
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Mardi 2 Février 2015
La puissance de la foi
Evangile selon St Marc, chapitre 5, 21-43
Jésus regagna en barque l’autre rive, et une grande foule s’assembla autour de lui. Il était au bord de la mer.
Arrive un des chefs de synagogue, nommé Jaïre. Voyant Jésus, il tombe à ses pieds et le supplie instamment : « Ma fille, encore si jeune, est à la dernière extrémité. Viens lui imposer les mains pour qu’elle soit sauvée et qu’elle vive. »
Jésus partit avec lui, et la foule qui le suivait était si nombreuse qu’elle l’écrasait.
Or, une femme, qui avait des pertes de sang depuis douze ans... ? elle avait beaucoup souffert du traitement de nombreux médecins, et elle avait dépensé tous ses biens sans avoir la moindre amélioration ; au contraire, son état avait plutôt empiré ? cette femme donc, ayant appris ce qu’on disait de Jésus, vint par-derrière dans la foule et toucha son vêtement. Elle se disait en effet : « Si je parviens à toucher seulement son vêtement, je serai sauvée. »
À l’instant, l’hémorragie s’arrêta, et elle ressentit dans son corps qu’elle était guérie de son mal.
Aussitôt Jésus se rendit compte qu’une force était sortie de lui. Il se retourna dans la foule, et il demand
ait : « Qui a touché mes vêtements ? »
Ses disciples lui répondirent : « Tu vois bien la foule qui t’écrase, et tu demandes : ?Qui m’a touché ?? »
Mais lui regardait tout autour pour voir celle qui avait fait cela.
Alors la femme, saisie de crainte et toute tremblante, sachant ce qui lui était arrivé, vint se jeter à ses pieds et lui dit toute la vérité.
Jésus lui dit alors : « Ma fille, ta foi t’a sauvée. Va en paix et sois guérie de ton mal. »
Comme il parlait encore, des gens arrivent de la maison de Jaïre, le chef de synagogue, pour dire à celui-ci : « Ta fille vient de mourir. À quoi bon déranger encore le Maître ? »
Jésus, surprenant ces mots, dit au chef de synagogue : « Ne crains pas, crois seulement. »
Il ne laissa personne l’accompagner, sauf Pierre, Jacques, et Jean, le frère de Jacques.
Ils arrivent à la maison du chef de synagogue. Jésus voit l’agitation, et des gens qui pleurent et poussent de grands cris.
Il entre et leur dit : « Pourquoi cette agitation et ces pleurs ? L’enfant n’est pas morte : elle dort. »
Mais on se moquait de lui. Alors il met tout le monde dehors, prend avec lui le père et la mère de l’enfant, et ceux qui étaient avec lui ; puis il pénètre là où reposait l’enfant.
Il saisit la main de l’enfant, et lui dit : « Talitha koum », ce qui signifie : « Jeune fille, je te le dis, lève-toi ! »
Aussitôt la jeune fille se leva et se mit à marcher ? elle avait en effet douze ans. Ils furent frappés d’une grande stupeur.
Et Jésus leur ordonna fermement de ne le faire savoir à personne ; puis il leur dit de la faire manger.
Prière d'introduction
Seigneur Jésus, tu es le Dieu tout-puissant. Tu es le Seigneur de la vie et de la mort. Je crois en toi. Mon espoir est en toi.
Demande
Grandir dans la foi.
Points de réflexion
1.Nous retrouvons dans ce passage Jésus en Galilée.
Il est arrivé, avec un petit bateau, dans une ville, au bord du lac. Or il se trouve que, dans cette ville, on avait déjà entendu parler de Jésus, car une grande foule se rassemble autour de lui, pour écouter ses paroles ou pour lui présenter des malades.
Et voilà qu’un notable, chef de la synagogue, vient se mettre à ses pieds pour lui demander la guérison de sa fille, atteinte d’une grave maladie et maintenant en péril de mort. Ils se mettent donc en route vers la maison où elle se trouve.
Mais il y a là une autre personne, qui a besoin de guérison. Une femme, qui souffre depuis douze ans du même mal. Quand elle voit Jésus partir, elle se décide à, au moins, essayer de toucher son manteau, en se frayant, tant bien que mal, un chemin à travers la foule.
2. Comme on le sait, en lisant la suite de ce passage, les deux obtiendront la guérison qu’ils demandent.
Car les deux ont eu la foi. Ils sont allés vers Jésus en croyant qu’il pouvait vraiment faire quelque chose.
Ces guérisons, que Jésus faisait, sont des images d’une guérison encore plus importante qu’il est venu donner aux hommes : la guérison de l’âme, la conversion du cœur.
On se préoccupe beaucoup pour notre corps, qui finira en poussière dans peu de temps. Mais se préoccupe-t-on autant de notre âme, qui ne périra pas ? En fait nous devrions nous en préoccuper bien plus.
3. Comme ces deux miracles le montrent, rien n’est impossible à Dieu.
Cette femme avait consulté tous les médecins possibles, et personne ne pouvait la guérir. La petite fille semblait s’être endormie pour toujours. Mais pour Jésus, et pour qui met sa foi en lui, rien n’est impossible.
Et ceci vaut aussi pour nos âmes, pour notre cœur. Si l’on croit que notre conversion, ou celle de notre prochain, est impossible, c’est qu’il nous manque de la foi. Le désespoir est une des armes les plus fortes du démon.
Même dans les pires situations, demandons donc à Jésus de nous donner une foi toujours plus forte que le mal.
Dialogue avec le Christ
Seigneur, donne-moi une grande foi. Une foi capable de surmonter les difficultés qui se présentent dans ma vie. Une foi qui me permette de garder l’espoir, même quand tout semble perdu, même quand le mal semble avoir gagné dans ma vie ou dans celle de mes proches. Laisse-moi m’approcher de toi, me mettre à genoux, et remettre tout ce qu’il y a dans mon cœur entre tes mains.
Résolution
Prier, avec foi, pour la conversion d’un pécheur.
SOURCE : Catholique.org
La femme souffrant d' hémorragie aux pieds de Jésus
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Inscription : 16/01/2010
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Nicolas
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
****
Méditation sur l’Evangile du Jour : Mercredi 4 Janvier 2015
Jésus dans notre vie
Evangile selon St Marc, chapitre 6, 1-6
Sorti de là, Jésus se rendit dans son lieu d’origine, et ses disciples le suivirent.
Le jour du sabbat, il se mit à enseigner dans la synagogue. De nombreux auditeurs, frappés d’étonnement, disaient : « D’où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et ces grands miracles qui se réalisent par ses mains ?
N’est-il pas le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon ? Ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ? » Et ils étaient profondément choqués à son sujet. Jésus leur disait : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa parenté et sa maison. »
Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle ; il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains.
Et il s’étonna de leur manque de foi. Jésus parcourait les villages d’alentour en enseignant.
Prière d'introduction
Seigneur, je crois que tu es le Seigneur. Mais ma foi est faible. Donne-moi plus de foi ! Aide-moi à croire. Aide-moi à ne pas voir simplement avec mes yeux, mais à voir avec les yeux de la foi. Ainsi, je pourrai voir qui tu es vraiment, Jésus.
Demande
Une plus grande foi.
Points de réflexion
1.Nous voyons ici Jésus de retour chez lui, dans la région de Nazareth, où il a passé la plus grande partie de sa vie. Il connaissait bien l’endroit, et tous ses habitants, et il était connu d’eux.
Il serait donc normal de voir toutes ces personnes contentes de revoir Jésus, le féliciter pour ses miracles, pour son enseignement, les voir heureuses de pouvoir passer un peu de temps avec lui. Et pourtant ce n’est pas ce qui se passe.
Au contraire, l’Évangile dit qu’ils sont choqués, au point que Jésus dit cette phrase terrible : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays ».
En effet, Jésus sortait de l’ordinaire. Il était quelqu’un de spécial, avec un message différent de tout ce qu’ils avaient entendu avant. Jésus ne trouve pas sa place dans leur petit monde, dans leurs habitudes, et ils le rejettent.
2. Les habitants de Nazareth avaient vécu beaucoup de temps avec Jésus.
Mais quand il commence sa mission, ils ne l’acceptent plus. C’est un risque que les chrétiens, qui ont eu la chance de connaître Jésus depuis qu’ils sont petits, ou depuis très longtemps, peuvent connaître. Les nouveaux convertis ont souvent un feu intérieur qui est plus rare chez les chrétiens de longue date.
Si nous ne prenons pas garde, nous pouvons nous habituer à Jésus, le ranger dans une partie de notre vie, en espérant qu’il ne bouge pas de là où nous l’avons laissé. Nous pensons alors avoir la foi. Mais l’avons-nous vraiment ?
Le jour où Jésus nous demande quelque chose de spécial, le jour où se présente devant nous un choix difficile, dans lequel se joue notre adhésion à l’Évangile, avons-nous vraiment la foi ?
Il ne suffit pas de croire que Dieu existe pour avoir la foi. Il faut que Jésus puisse venir à tout moment dans notre vie, et que nous soyons prêts à le suivre.
3. Quand nous témoignons de notre foi autour de nous, avec les personnes que nous connaissons le mieux, nous pouvons trouver des personnes qui ne nous comprennent pas, et même qui nous rejettent.
Mais il ne faut pas se décourager, Jésus a connu la même situation ! Il ne faut pas s’énerver, ni condamner ces personnes.
Comme Jésus respecte la liberté des hommes, il nous faut les respecter, et avoir beaucoup de patience.
Pour celui qui a la foi, la prière et la patience peuvent faire des miracles.
Dialogue avec le Christ
Seigneur, je te connais peut-être depuis longtemps, et peut-être suis-je trop habitué à toi. Viens dans ma vie, Seigneur, dans toute ma vie. Que je ne te laisse pas dans un coin et que je ne t’oublie pas. Donne-moi la foi pour que tu puisses faire des miracles dans ma vie.
Résolution
Faire une prière pour que l’Esprit Saint réveille les chrétiens endormis.
SOURCE : Catholique.org
Jésus
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
****
Méditation sur l’Evangile du Jour : Mercredi 4 Janvier 2015
Jésus dans notre vie
Evangile selon St Marc, chapitre 6, 1-6
Sorti de là, Jésus se rendit dans son lieu d’origine, et ses disciples le suivirent.
Le jour du sabbat, il se mit à enseigner dans la synagogue. De nombreux auditeurs, frappés d’étonnement, disaient : « D’où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et ces grands miracles qui se réalisent par ses mains ?
N’est-il pas le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon ? Ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ? » Et ils étaient profondément choqués à son sujet. Jésus leur disait : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa parenté et sa maison. »
Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle ; il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains.
Et il s’étonna de leur manque de foi. Jésus parcourait les villages d’alentour en enseignant.
Prière d'introduction
Seigneur, je crois que tu es le Seigneur. Mais ma foi est faible. Donne-moi plus de foi ! Aide-moi à croire. Aide-moi à ne pas voir simplement avec mes yeux, mais à voir avec les yeux de la foi. Ainsi, je pourrai voir qui tu es vraiment, Jésus.
Demande
Une plus grande foi.
Points de réflexion
1.Nous voyons ici Jésus de retour chez lui, dans la région de Nazareth, où il a passé la plus grande partie de sa vie. Il connaissait bien l’endroit, et tous ses habitants, et il était connu d’eux.
Il serait donc normal de voir toutes ces personnes contentes de revoir Jésus, le féliciter pour ses miracles, pour son enseignement, les voir heureuses de pouvoir passer un peu de temps avec lui. Et pourtant ce n’est pas ce qui se passe.
Au contraire, l’Évangile dit qu’ils sont choqués, au point que Jésus dit cette phrase terrible : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays ».
En effet, Jésus sortait de l’ordinaire. Il était quelqu’un de spécial, avec un message différent de tout ce qu’ils avaient entendu avant. Jésus ne trouve pas sa place dans leur petit monde, dans leurs habitudes, et ils le rejettent.
2. Les habitants de Nazareth avaient vécu beaucoup de temps avec Jésus.
Mais quand il commence sa mission, ils ne l’acceptent plus. C’est un risque que les chrétiens, qui ont eu la chance de connaître Jésus depuis qu’ils sont petits, ou depuis très longtemps, peuvent connaître. Les nouveaux convertis ont souvent un feu intérieur qui est plus rare chez les chrétiens de longue date.
Si nous ne prenons pas garde, nous pouvons nous habituer à Jésus, le ranger dans une partie de notre vie, en espérant qu’il ne bouge pas de là où nous l’avons laissé. Nous pensons alors avoir la foi. Mais l’avons-nous vraiment ?
Le jour où Jésus nous demande quelque chose de spécial, le jour où se présente devant nous un choix difficile, dans lequel se joue notre adhésion à l’Évangile, avons-nous vraiment la foi ?
Il ne suffit pas de croire que Dieu existe pour avoir la foi. Il faut que Jésus puisse venir à tout moment dans notre vie, et que nous soyons prêts à le suivre.
3. Quand nous témoignons de notre foi autour de nous, avec les personnes que nous connaissons le mieux, nous pouvons trouver des personnes qui ne nous comprennent pas, et même qui nous rejettent.
Mais il ne faut pas se décourager, Jésus a connu la même situation ! Il ne faut pas s’énerver, ni condamner ces personnes.
Comme Jésus respecte la liberté des hommes, il nous faut les respecter, et avoir beaucoup de patience.
Pour celui qui a la foi, la prière et la patience peuvent faire des miracles.
Dialogue avec le Christ
Seigneur, je te connais peut-être depuis longtemps, et peut-être suis-je trop habitué à toi. Viens dans ma vie, Seigneur, dans toute ma vie. Que je ne te laisse pas dans un coin et que je ne t’oublie pas. Donne-moi la foi pour que tu puisses faire des miracles dans ma vie.
Résolution
Faire une prière pour que l’Esprit Saint réveille les chrétiens endormis.
SOURCE : Catholique.org
Jésus
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Maud, Bonjour Lumen,
Bonjour tous artisans de paix,
Bonjour caillon,
Bonjour à toutes et à tous,
Mercredi 4 Février 2015
De la férie
4ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=04/02/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Bonjour tous artisans de paix,
Bonjour caillon,
Bonjour à toutes et à tous,
Mercredi 4 Février 2015
De la férie
4ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
(Première lecture)
Lettre aux Hébreux 12 : 4 à 7, 11 à 15
Quand le SEIGNEUR aime quelqu’un, IL lui donne de bonnes leçons »
Frères,
vous n’avez pas encore résisté jusqu’au sang
dans votre lutte contre le péché,
et vous avez oublié cette PAROLE de RÉCONFORT,
qui vous est adressée comme à des fils :
Mon fils, ne néglige pas les LEÇONS du SEIGNEUR,
ne te décourage pas quand IL te fait des reproches.
Quand le SEIGNEUR aime quelqu’un,
IL lui donne de bonnes leçons ;
IL corrige tous ceux qu’IL accueille comme Ses Fils.
Ce que vous endurez est une leçon.
DIEU se comporte envers vous comme envers des Fils ;
et quel est le fils auquel son père ne donne pas des leçons ?
Quand on vient de recevoir une leçon,
on n’éprouve pas de la joie mais plutôt de la tristesse.
Mais plus tard, quand on s’est repris grâce à la leçon,
celle-ci produit un fruit de paix et de justice.
C’est pourquoi,
redressez les mains inertes et les genoux qui fléchissent,
et rendez droits pour vos pieds les sentiers tortueux.
Ainsi, celui qui boite ne se fera pas d’entorse ;
bien plus, il sera guéri.
Recherchez activement la paix avec tous,
et la Sainteté sans laquelle personne ne verra le SEIGNEUR.
Soyez vigilants :
que personne ne se dérobe à la GRÂCE de DIEU,
qu’il ne pousse chez vous aucune plante aux fruits amers,
cela causerait du trouble,
et beaucoup en seraient infectés.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Lettre aux Hébreux 12 : 4 à 7, 11 à 15
Quand le SEIGNEUR aime quelqu’un, IL lui donne de bonnes leçons »
Frères,
vous n’avez pas encore résisté jusqu’au sang
dans votre lutte contre le péché,
et vous avez oublié cette PAROLE de RÉCONFORT,
qui vous est adressée comme à des fils :
Mon fils, ne néglige pas les LEÇONS du SEIGNEUR,
ne te décourage pas quand IL te fait des reproches.
Quand le SEIGNEUR aime quelqu’un,
IL lui donne de bonnes leçons ;
IL corrige tous ceux qu’IL accueille comme Ses Fils.
Ce que vous endurez est une leçon.
DIEU se comporte envers vous comme envers des Fils ;
et quel est le fils auquel son père ne donne pas des leçons ?
Quand on vient de recevoir une leçon,
on n’éprouve pas de la joie mais plutôt de la tristesse.
Mais plus tard, quand on s’est repris grâce à la leçon,
celle-ci produit un fruit de paix et de justice.
C’est pourquoi,
redressez les mains inertes et les genoux qui fléchissent,
et rendez droits pour vos pieds les sentiers tortueux.
Ainsi, celui qui boite ne se fera pas d’entorse ;
bien plus, il sera guéri.
Recherchez activement la paix avec tous,
et la Sainteté sans laquelle personne ne verra le SEIGNEUR.
Soyez vigilants :
que personne ne se dérobe à la GRÂCE de DIEU,
qu’il ne pousse chez vous aucune plante aux fruits amers,
cela causerait du trouble,
et beaucoup en seraient infectés.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Je veux dire merci au SEIGNEUR
Du recueil de David.
Psaume 102 (103), entièrement
Psaume 102 (103), entièrement
Psaume 102 (103) : 1 et 2, 13 et 14, 17 et 18a
R/ L’AMOUR du SEIGNEUR,
sur ceux qui LE craignent, est de toujours à toujours.
Bénis le SEIGNEUR, ô mon âme,
bénis Son NOM TRÈS SAINT, tout mon être !
Bénis le SEIGNEUR, ô mon âme,
n’oublie aucun de Ses BIENFAITS !
R/
Comme la tendresse du père pour ses fils,
la TENDRESSE du SEIGNEUR pour qui LE craint !
IL sait de quoi nous sommes pétris,
IL se souvient que nous sommes poussière.
R/
Mais l’AMOUR du SEIGNEUR, sur ceux qui LE craignent,
est de toujours à toujours,
et Sa JUSTICE pour les enfants de leurs enfants,
pour ceux qui gardent Son ALLIANCE.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
sur ceux qui LE craignent, est de toujours à toujours.
Bénis le SEIGNEUR, ô mon âme,
bénis Son NOM TRÈS SAINT, tout mon être !
Bénis le SEIGNEUR, ô mon âme,
n’oublie aucun de Ses BIENFAITS !
R/
Comme la tendresse du père pour ses fils,
la TENDRESSE du SEIGNEUR pour qui LE craint !
IL sait de quoi nous sommes pétris,
IL se souvient que nous sommes poussière.
R/
Mais l’AMOUR du SEIGNEUR, sur ceux qui LE craignent,
est de toujours à toujours,
et Sa JUSTICE pour les enfants de leurs enfants,
pour ceux qui gardent Son ALLIANCE.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Marc 6 : 1 à 6
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Alléluia. Mes Brebis écoutent Ma VOIX, dit le SEIGNEUR ; Moi, Je les connais, et elles Me suivent. Alléluia. (Jn 10, 27)
« Un Prophète n’est méprisé que dans Son Pays »
En ce temps-là,
JÉSUS se rendit dans Son Lieu d’Origine,
et Ses Disciples LE suivirent.
Le jour du sabbat,
IL se mit à enseigner dans la synagogue.
De nombreux auditeurs, frappés d’étonnement, disaient :
« D’où cela LUI vient-il ?
Quelle est cette SAGESSE qui LUI a été donnée,
et Ces GRANDS MIRACLES qui se réalisent par Ses MAINS ?
N’est-IL pas le charpentier, le Fils de Marie,
et le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon ?
Ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ? »
Et ils étaient profondément choqués à Son Sujet.
JÉSUS leur disait :
« Un Prophète n’est méprisé que dans Son Pays,
Sa Parenté et Sa Maison. »
Et là IL ne pouvait accomplir aucun miracle ;
IL guérit seulement quelques malades
en leur imposant les MAINS.
Et IL s’étonna de leur manque de foi.
Alors JÉSUS parcourait les villages d’alentour en enseignant.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Alléluia. Mes Brebis écoutent Ma VOIX, dit le SEIGNEUR ; Moi, Je les connais, et elles Me suivent. Alléluia. (Jn 10, 27)
« Un Prophète n’est méprisé que dans Son Pays »
En ce temps-là,
JÉSUS se rendit dans Son Lieu d’Origine,
et Ses Disciples LE suivirent.
Le jour du sabbat,
IL se mit à enseigner dans la synagogue.
De nombreux auditeurs, frappés d’étonnement, disaient :
« D’où cela LUI vient-il ?
Quelle est cette SAGESSE qui LUI a été donnée,
et Ces GRANDS MIRACLES qui se réalisent par Ses MAINS ?
N’est-IL pas le charpentier, le Fils de Marie,
et le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon ?
Ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ? »
Et ils étaient profondément choqués à Son Sujet.
JÉSUS leur disait :
« Un Prophète n’est méprisé que dans Son Pays,
Sa Parenté et Sa Maison. »
Et là IL ne pouvait accomplir aucun miracle ;
IL guérit seulement quelques malades
en leur imposant les MAINS.
Et IL s’étonna de leur manque de foi.
Alors JÉSUS parcourait les villages d’alentour en enseignant.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=04/02/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonsoir Maud, Bonsoir Lumen,
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Jeudi 5 Février 2015
Sainte Agathe, Vierge et Martyre
Morte en 251. Jeune Sicilienne, Martyre à Catane. Pour avoir repoussé les avances d’un puissant et être restée fidèle au CHRIST, elle fut atrocement mutilée.
4ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Rouge )
Année B
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=05/02/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Jeudi 5 Février 2015
Sainte Agathe, Vierge et Martyre
Morte en 251. Jeune Sicilienne, Martyre à Catane. Pour avoir repoussé les avances d’un puissant et être restée fidèle au CHRIST, elle fut atrocement mutilée.
4ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Rouge )
Année B
(Première lecture)
Lettre aux Hébreux 12 : 18 et 19, 21 à 24
«Vous êtes venus vers la montagne de Sion et vers la Ville du DIEU VIVANT »
Frères,
quand vous êtes venus vers DIEU,
vous n’êtes pas venus vers une réalité palpable,
embrasée par le feu, comme la Montagne du Sinaï :
pas d’obscurité, de ténèbres ni d’ouragan,
pas de son de trompettes
ni de paroles prononcées par cette voix
que les fils d’Israël demandèrent à ne plus entendre.
Le spectacle était si effrayant
que Moïse dit :
Je suis effrayé et tremblant.
Mais vous êtes venus vers la Montagne de Sion
et vers la Ville du DIEU VIVANT, la Jérusalem CÉLESTE,
vers des myriades d’Anges en Fête
et vers l’assemblée des premiers-nés
dont les noms sont inscrits dans les Cieux.
Vous êtes venus vers DIEU, le JUGE de tous,
et vers les esprits des justes amenés à la perfection.
Vous êtes venus vers JÉSUS,
le MÉDIATEUR d’une ALLIANCE NOUVELLE,
et vers le SANG de l’ASPERSION,
Son SANG qui parle plus Fort que celui d’Abel.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Lettre aux Hébreux 12 : 18 et 19, 21 à 24
«Vous êtes venus vers la montagne de Sion et vers la Ville du DIEU VIVANT »
Frères,
quand vous êtes venus vers DIEU,
vous n’êtes pas venus vers une réalité palpable,
embrasée par le feu, comme la Montagne du Sinaï :
pas d’obscurité, de ténèbres ni d’ouragan,
pas de son de trompettes
ni de paroles prononcées par cette voix
que les fils d’Israël demandèrent à ne plus entendre.
Le spectacle était si effrayant
que Moïse dit :
Je suis effrayé et tremblant.
Mais vous êtes venus vers la Montagne de Sion
et vers la Ville du DIEU VIVANT, la Jérusalem CÉLESTE,
vers des myriades d’Anges en Fête
et vers l’assemblée des premiers-nés
dont les noms sont inscrits dans les Cieux.
Vous êtes venus vers DIEU, le JUGE de tous,
et vers les esprits des justes amenés à la perfection.
Vous êtes venus vers JÉSUS,
le MÉDIATEUR d’une ALLIANCE NOUVELLE,
et vers le SANG de l’ASPERSION,
Son SANG qui parle plus Fort que celui d’Abel.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
La Cité du GRAND ROI
Chant. Psaume appartenant au recueil de la confrérie de Coré.
Psaume 47 (48), entièrement
Psaume 47 (48), entièrement
Psaume 47 (48) : 2 et 3a, 3b et 4, 9, 10 et 11
R/ DIEU, nous revivons Ton AMOUR
au milieu de Ton Temple.
IL est GRAND, le SEIGNEUR, HAUTEMENT LOUÉ,
dans la Ville de notre DIEU,
Sa SAINTE MONTAGNE, altière et belle,
joie de toute la Terre.
R/
La Montagne de Sion, c’est le pôle du monde,
la Cité du GRAND ROI ;
DIEU se révèle, en Ses Palais,
Vraie Citadelle.
R/
Nous L’avions entendu, nous L’avons vu
dans la Ville du SEIGNEUR, DIEU de l’Univers,
dans la Ville de DIEU, notre DIEU,
qui L’affermira pour toujours.
R/
DIEU, nous revivons Ton AMOUR
au milieu de Ton Temple.
Ta LOUANGE, comme Ton NOM,
couvre l’étendue de la Terre.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
au milieu de Ton Temple.
IL est GRAND, le SEIGNEUR, HAUTEMENT LOUÉ,
dans la Ville de notre DIEU,
Sa SAINTE MONTAGNE, altière et belle,
joie de toute la Terre.
R/
La Montagne de Sion, c’est le pôle du monde,
la Cité du GRAND ROI ;
DIEU se révèle, en Ses Palais,
Vraie Citadelle.
R/
Nous L’avions entendu, nous L’avons vu
dans la Ville du SEIGNEUR, DIEU de l’Univers,
dans la Ville de DIEU, notre DIEU,
qui L’affermira pour toujours.
R/
DIEU, nous revivons Ton AMOUR
au milieu de Ton Temple.
Ta LOUANGE, comme Ton NOM,
couvre l’étendue de la Terre.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Marc 6 : 7 à 13
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Le RÈGNE de DIEU est tout proche. Convertissez-vous et croyez à l’Évangile. Alléluia. (Mc 1, 15)
« IL commença à les envoyer en mission »
En ce temps-là,
JÉSUS appela les Douze ;
alors IL commença à les envoyer en mission deux par deux.
IL leur donnait autorité sur les esprits impurs,
et IL leur prescrivit de ne rien prendre pour la route,
mais seulement un bâton ;
pas de pain, pas de sac,
pas de pièces de monnaie dans leur ceinture.
« Mettez des sandales,
ne prenez pas de tunique de rechange. »
IL leur disait encore :
« Quand vous avez trouvé l’hospitalité dans une maison,
restez-y jusqu’à votre départ.
Si, dans une localité,
on refuse de vous accueillir et de vous écouter,
partez et secouez la poussière de vos pieds :
ce sera pour eux un témoignage. »
Ils partirent,
et proclamèrent qu’il fallait se convertir.
Ils expulsaient beaucoup de démons,
faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades,
et les guérissaient.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Le RÈGNE de DIEU est tout proche. Convertissez-vous et croyez à l’Évangile. Alléluia. (Mc 1, 15)
« IL commença à les envoyer en mission »
En ce temps-là,
JÉSUS appela les Douze ;
alors IL commença à les envoyer en mission deux par deux.
IL leur donnait autorité sur les esprits impurs,
et IL leur prescrivit de ne rien prendre pour la route,
mais seulement un bâton ;
pas de pain, pas de sac,
pas de pièces de monnaie dans leur ceinture.
« Mettez des sandales,
ne prenez pas de tunique de rechange. »
IL leur disait encore :
« Quand vous avez trouvé l’hospitalité dans une maison,
restez-y jusqu’à votre départ.
Si, dans une localité,
on refuse de vous accueillir et de vous écouter,
partez et secouez la poussière de vos pieds :
ce sera pour eux un témoignage. »
Ils partirent,
et proclamèrent qu’il fallait se convertir.
Ils expulsaient beaucoup de démons,
faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades,
et les guérissaient.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=05/02/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Nicolas
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Jeudi 5 Février 2015
« Les religieux doivent être des hommes et des femmes capables de réveiller le monde »
Evangile selon St Marc, chapitre 6, 7-13
Il appela les Douze ; alors il commença à les envoyer en mission deux par deux. Il leur donnait autorité sur les esprits impurs, et il leur prescrivit de ne rien prendre pour la route, mais seulement un bâton ; pas de pain, pas de sac, pas de pièces de monnaie dans leur ceinture.
« Mettez des sandales, ne prenez pas de tunique de rechange. »
Il leur disait encore : « Quand vous avez trouvé l’hospitalité dans une maison, restez-y jusqu’à votre départ.
Si, dans une localité, on refuse de vous accueillir et de vous écouter, partez et secouez la poussière de vos pieds : ce sera pour eux un témoignage. »
Ils partirent, et proclamèrent qu’il fallait se convertir.
Ils expulsaient beaucoup de démons, faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades, et les guérissaient.
Prière d'introduction
Sainte Trinité, ce matin je veux prier en union avec toutes les personnes consacrées. Je te demande de les bénir et de les garder. Au nom du Père...
Demande
Seigneur, merci pour les Douze, merci pour les personnes que tu as appelées à te suivre de plus près. Envoie des religieux, des religieuses, des laïcs consacrés à ton Église.
Points de réflexion
1.L’épître aux Hébreux nous rappelle quelle a été la nouvelle économie du salut, instaurée par la venue du Christ.
Nous ne voyons plus les manifestations éclatantes de Dieu dans l’Ancien Testament (feu ardent, obscurité, ténèbres, ouragan, bruit de trompette). Nous nous approchons par la foi « des esprits des justes qui ont été rendus parfaits, de Jésus médiateur d’une alliance nouvelle, et d’un sang purificateur plus éloquent que celui d’Abel » (vv. 23-24).
Dans cette nouvelle étape de l’histoire du salut, le temps de l’Église, Dieu a voulu appeler des hommes et des femmes à le suivre de plus près, pour qu’ils soient pour ses frères des signes éclatants de son amour et de sa miséricorde. Jésus, dans la logique kénotique de cette nouvelle étape, se sert de leur pauvre humanité, pour annoncer la bonne nouvelle. Les consacrés sont appelés à « porter à tous l’étreinte de Dieu, qui se penche vers nous avec la tendresse d’une mère » (Lettre circulaire
Réjouissez-vous). Si les théophanies extraordinaires de l’Ancien Testament effraient le peuple, l’humilité des manifestations de Dieu dans le Nouveau suscite notre amour.
2. Dans cette nouvelle étape, Dieu choisit un groupe d’intimes et il a voulu que le message du Royaume soit annoncé, en partie, grâce à eux : « Il appelle à lui les Douze et il se mit à les envoyer en mission deux à deux » (Mc 6,7). « Que d’hommes entre Dieu et moi ! »
En un certain sens, je partage la même plainte que Rousseau, combien d’hommes qui se prennent pour Dieu et qui nous empêchent d’aller vers lui ! Ils se mettent comme des obstacles entre Dieu et moi.
Mais je rends grâce à Dieu pour tous ces hommes et femmes qui se mettent comme une passerelle entre Dieu et moi, ces consacrés qui n’attirent pas les regards vers eux, mais qui nous font lever les yeux et rendre gloire à Dieu. Ces hommes et ces femmes qui te donnent envie de Dieu, du Dieu vivant.
3. « En leur donnant pouvoir sur les esprits impurs » (Mc 6,7).
Nous sommes tous appelés à suivre le Christ. Dans ce chemin d’imitation de Jésus, nous rencontrons souvent des obstacles, des esprits impurs qui nous empêchent d’aller vers le Seigneur. Les personnes consacrées ont encore aujourd’hui ce pouvoir de nous en libérer.
Par leur vie obéissante, elles nous invitent à dépasser l’esprit impur de l’orgueil typique du monde. Elles nous rappellent la force rédemptrice de l’obéissance et de la soumission par amour dans la vie de famille, dans nos relations interpersonnelles.
Leur pauvreté nous invite à faire souvent une liste des choses dont nous n’avons pas besoin, à nous libérer de la primauté du matériel et, surtout, à faire de Jésus notre plus grande richesse.
La chasteté et la pureté de leur vie contribuent à purifier l’amour humain de ses bassesses et à nous ouvrir à l’amour trinitaire, comme source de la signification sponsale de notre corps. Sur ce dernier point, saint Jean Chrysostome s’exprime ainsi sur la complémentarité entre la vie consacrée et le mariage : « Dénigrer le mariage, c’est amoindrir du même coup la gloire de la virginité ; en faire l’éloge, c’est rehausser l’admiration qui est due à la virginité et en accroître l’éclat. Car enfin, ce qui ne paraît un bien que par comparaison avec un mal ne peut être vraiment un bien, mais ce qui est mieux encore que des biens incontestés est le bien par excellence ».
Dialogue avec le Christ
Jésus, je te rends grâce pour les religieux, les consacrés qui ornent de leur humanité offerte le visage de l’Église. Merci pour le bien qu’ils m’ont fait. Je te prie pour eux, qu’ils soient fidèles à leur vocation de te suivre au plus près. Préservez-les de la mondanité spirituelle, qu’ils soient dans le monde sans être du monde. Que leur vie soit un signe de Royaume, qu’ils nous aident à te suivre plus fidèlement, à être des chrétiens authentiques dans la recherche de la sainteté, des apôtres engagés dans la mission de l’Église.
Résolution
Écrire une lettre à un religieux ou une religieuse en mission à l’étranger, remercier pour son oui généreux au Seigneur.
SOURCE : Catholique.org
Jésus envoie Ses Apôtres en Mission
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Jeudi 5 Février 2015
« Les religieux doivent être des hommes et des femmes capables de réveiller le monde »
Evangile selon St Marc, chapitre 6, 7-13
Il appela les Douze ; alors il commença à les envoyer en mission deux par deux. Il leur donnait autorité sur les esprits impurs, et il leur prescrivit de ne rien prendre pour la route, mais seulement un bâton ; pas de pain, pas de sac, pas de pièces de monnaie dans leur ceinture.
« Mettez des sandales, ne prenez pas de tunique de rechange. »
Il leur disait encore : « Quand vous avez trouvé l’hospitalité dans une maison, restez-y jusqu’à votre départ.
Si, dans une localité, on refuse de vous accueillir et de vous écouter, partez et secouez la poussière de vos pieds : ce sera pour eux un témoignage. »
Ils partirent, et proclamèrent qu’il fallait se convertir.
Ils expulsaient beaucoup de démons, faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades, et les guérissaient.
Prière d'introduction
Sainte Trinité, ce matin je veux prier en union avec toutes les personnes consacrées. Je te demande de les bénir et de les garder. Au nom du Père...
Demande
Seigneur, merci pour les Douze, merci pour les personnes que tu as appelées à te suivre de plus près. Envoie des religieux, des religieuses, des laïcs consacrés à ton Église.
Points de réflexion
1.L’épître aux Hébreux nous rappelle quelle a été la nouvelle économie du salut, instaurée par la venue du Christ.
Nous ne voyons plus les manifestations éclatantes de Dieu dans l’Ancien Testament (feu ardent, obscurité, ténèbres, ouragan, bruit de trompette). Nous nous approchons par la foi « des esprits des justes qui ont été rendus parfaits, de Jésus médiateur d’une alliance nouvelle, et d’un sang purificateur plus éloquent que celui d’Abel » (vv. 23-24).
Dans cette nouvelle étape de l’histoire du salut, le temps de l’Église, Dieu a voulu appeler des hommes et des femmes à le suivre de plus près, pour qu’ils soient pour ses frères des signes éclatants de son amour et de sa miséricorde. Jésus, dans la logique kénotique de cette nouvelle étape, se sert de leur pauvre humanité, pour annoncer la bonne nouvelle. Les consacrés sont appelés à « porter à tous l’étreinte de Dieu, qui se penche vers nous avec la tendresse d’une mère » (Lettre circulaire
Réjouissez-vous). Si les théophanies extraordinaires de l’Ancien Testament effraient le peuple, l’humilité des manifestations de Dieu dans le Nouveau suscite notre amour.
2. Dans cette nouvelle étape, Dieu choisit un groupe d’intimes et il a voulu que le message du Royaume soit annoncé, en partie, grâce à eux : « Il appelle à lui les Douze et il se mit à les envoyer en mission deux à deux » (Mc 6,7). « Que d’hommes entre Dieu et moi ! »
En un certain sens, je partage la même plainte que Rousseau, combien d’hommes qui se prennent pour Dieu et qui nous empêchent d’aller vers lui ! Ils se mettent comme des obstacles entre Dieu et moi.
Mais je rends grâce à Dieu pour tous ces hommes et femmes qui se mettent comme une passerelle entre Dieu et moi, ces consacrés qui n’attirent pas les regards vers eux, mais qui nous font lever les yeux et rendre gloire à Dieu. Ces hommes et ces femmes qui te donnent envie de Dieu, du Dieu vivant.
3. « En leur donnant pouvoir sur les esprits impurs » (Mc 6,7).
Nous sommes tous appelés à suivre le Christ. Dans ce chemin d’imitation de Jésus, nous rencontrons souvent des obstacles, des esprits impurs qui nous empêchent d’aller vers le Seigneur. Les personnes consacrées ont encore aujourd’hui ce pouvoir de nous en libérer.
Par leur vie obéissante, elles nous invitent à dépasser l’esprit impur de l’orgueil typique du monde. Elles nous rappellent la force rédemptrice de l’obéissance et de la soumission par amour dans la vie de famille, dans nos relations interpersonnelles.
Leur pauvreté nous invite à faire souvent une liste des choses dont nous n’avons pas besoin, à nous libérer de la primauté du matériel et, surtout, à faire de Jésus notre plus grande richesse.
La chasteté et la pureté de leur vie contribuent à purifier l’amour humain de ses bassesses et à nous ouvrir à l’amour trinitaire, comme source de la signification sponsale de notre corps. Sur ce dernier point, saint Jean Chrysostome s’exprime ainsi sur la complémentarité entre la vie consacrée et le mariage : « Dénigrer le mariage, c’est amoindrir du même coup la gloire de la virginité ; en faire l’éloge, c’est rehausser l’admiration qui est due à la virginité et en accroître l’éclat. Car enfin, ce qui ne paraît un bien que par comparaison avec un mal ne peut être vraiment un bien, mais ce qui est mieux encore que des biens incontestés est le bien par excellence ».
Dialogue avec le Christ
Jésus, je te rends grâce pour les religieux, les consacrés qui ornent de leur humanité offerte le visage de l’Église. Merci pour le bien qu’ils m’ont fait. Je te prie pour eux, qu’ils soient fidèles à leur vocation de te suivre au plus près. Préservez-les de la mondanité spirituelle, qu’ils soient dans le monde sans être du monde. Que leur vie soit un signe de Royaume, qu’ils nous aident à te suivre plus fidèlement, à être des chrétiens authentiques dans la recherche de la sainteté, des apôtres engagés dans la mission de l’Église.
Résolution
Écrire une lettre à un religieux ou une religieuse en mission à l’étranger, remercier pour son oui généreux au Seigneur.
SOURCE : Catholique.org
Jésus envoie Ses Apôtres en Mission
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Inscription : 16/01/2010
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonsoir Maud, Bonsoir Lumen,
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Vendredi 6 Février 2015
Saint Paul Miki et ses compagnons, Martyrs
Mort en 1597. Paul Miki, jésuite japonais, était l’un des vingt-six chrétiens – religieux et laïcs – qui furent crucifiés sur une colline, près de Nagasaki.
4ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Rouge )
Année B
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=06/02/2015
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http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Vendredi 6 Février 2015
Saint Paul Miki et ses compagnons, Martyrs
Mort en 1597. Paul Miki, jésuite japonais, était l’un des vingt-six chrétiens – religieux et laïcs – qui furent crucifiés sur une colline, près de Nagasaki.
4ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Rouge )
Année B
(Première lecture)
Lettre aux Hébreux 13 : 1 à 8
« JÉSUS CHRIST, hier et aujourd’hui, est LE MÊME, IL l’est pour l’ÉTERNITÉ »
Frères,
que demeure l’amour fraternel !
N’oubliez pas l’hospitalité :
elle a permis à certains, sans le savoir,
de recevoir chez eux des Anges.
Souvenez-vous de ceux qui sont en prison,
comme si vous étiez prisonniers avec eux.
Souvenez-vous de ceux qui sont maltraités,
car vous aussi, vous avez un corps.
Que le mariage soit honoré de tous,
que l’union conjugale ne soit pas profanée,
car les débauchés et les adultères seront jugés par DIEU.
Que votre conduite ne soit pas inspirée par l’amour de l’argent :
contentez- vous de ce que vous avez,
car DIEU LUI-MÊME a dit :
Jamais Je ne te lâcherai,
jamais Je ne t’abandonnerai.
C’est pourquoi nous pouvons dire en toute assurance :
Le SEIGNEUR est mon SECOURS,
je n’ai rien à craindre !
Que pourrait me faire un homme ?
Souvenez-vous de ceux qui vous ont dirigés :
ils vous ont annoncé la PAROLE de DIEU.
Méditez sur l’aboutissement de la vie qu’ils ont menée,
et imitez leur foi.
JÉSUS CHRIST, hier et aujourd’hui, est LE MÊME,
IL l’est pour l’ÉTERNITÉ.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Lettre aux Hébreux 13 : 1 à 8
« JÉSUS CHRIST, hier et aujourd’hui, est LE MÊME, IL l’est pour l’ÉTERNITÉ »
Frères,
que demeure l’amour fraternel !
N’oubliez pas l’hospitalité :
elle a permis à certains, sans le savoir,
de recevoir chez eux des Anges.
Souvenez-vous de ceux qui sont en prison,
comme si vous étiez prisonniers avec eux.
Souvenez-vous de ceux qui sont maltraités,
car vous aussi, vous avez un corps.
Que le mariage soit honoré de tous,
que l’union conjugale ne soit pas profanée,
car les débauchés et les adultères seront jugés par DIEU.
Que votre conduite ne soit pas inspirée par l’amour de l’argent :
contentez- vous de ce que vous avez,
car DIEU LUI-MÊME a dit :
Jamais Je ne te lâcherai,
jamais Je ne t’abandonnerai.
C’est pourquoi nous pouvons dire en toute assurance :
Le SEIGNEUR est mon SECOURS,
je n’ai rien à craindre !
Que pourrait me faire un homme ?
Souvenez-vous de ceux qui vous ont dirigés :
ils vous ont annoncé la PAROLE de DIEU.
Méditez sur l’aboutissement de la vie qu’ils ont menée,
et imitez leur foi.
JÉSUS CHRIST, hier et aujourd’hui, est LE MÊME,
IL l’est pour l’ÉTERNITÉ.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Chez le SEIGNEUR, je me sens en sécurité
Du recueil de David.
Psaume 26 (27), entièrement
Psaume 26 (27), entièrement
Psaume 26 (27) : 1, 3, 5, 9abcd
R/ Le SEIGNEUR est ma LUMIÈRE et mon SALUT.
Le SEIGNEUR est ma LUMIÈRE et mon SALUT ;
de qui aurais-je crainte ?
Le SEIGNEUR est le REMPART de ma vie ;
devant qui tremblerais-je ?
R/
Qu’une armée se déploie devant moi,
mon cœur est sans crainte ;
que la bataille s’engage contre moi,
je garde confiance.
R/
Oui, IL me réserve un lieu sûr
au jour du malheur ;
IL me cache au plus secret de Sa Tente,
IL m’élève sur le Roc.
R/
C’est Ta FACE, SEIGNEUR, que je cherche :
ne me cache pas Ta FACE.
N’écarte pas Ton Serviteur avec colère :
TU restes mon SECOURS.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Le SEIGNEUR est ma LUMIÈRE et mon SALUT ;
de qui aurais-je crainte ?
Le SEIGNEUR est le REMPART de ma vie ;
devant qui tremblerais-je ?
R/
Qu’une armée se déploie devant moi,
mon cœur est sans crainte ;
que la bataille s’engage contre moi,
je garde confiance.
R/
Oui, IL me réserve un lieu sûr
au jour du malheur ;
IL me cache au plus secret de Sa Tente,
IL m’élève sur le Roc.
R/
C’est Ta FACE, SEIGNEUR, que je cherche :
ne me cache pas Ta FACE.
N’écarte pas Ton Serviteur avec colère :
TU restes mon SECOURS.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Marc 6 : 14 à 29
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Heureux ceux qui ont entendu la PAROLE dans un cœur bon et généreux, qui LA retiennent et portent du fruit par leur persévérance. Alléluia. (Mc 1, 15)
« Celui que j’ai fait décapiter, Jean, le voilà ressuscité ! »
En ce temps-là,
comme le NOM de JÉSUS devenait célèbre,
le roi Hérode en entendit parler.
On disait :
« C’est Jean, celui qui baptisait :
il est ressuscité d’entre les morts,
et voilà pourquoi des miracles se réalisent par LUI. »
Certains disaient :
« C’est le Prophète Élie. »
D’autres disaient encore :
« C’est un Prophète comme ceux de jadis. »
Hérode entendait ces propos et disait :
« Celui que j’ai fait décapiter, Jean,
le voilà ressuscité ! »
Car c’était lui, Hérode, qui avait donné l’ordre d’arrêter Jean
et de l’enchaîner dans la prison,
à cause d’Hérodiade, la femme de son frère Philippe,
que lui-même avait prise pour épouse.
En effet, Jean lui disait :
« Tu n’as pas le droit
de prendre la femme de ton frère. »
Hérodiade en voulait donc à Jean,
et elle cherchait à le faire mourir.
Mais elle n’y arrivait pas
parce que Hérode avait peur de Jean :
il savait que c’était un homme Juste et Saint,
et il le protégeait ;
quand il l’avait entendu, il était très embarrassé ;
cependant il l’écoutait avec plaisir.
Or, une occasion favorable se présenta
quand, le jour de son anniversaire,
Hérode fit un dîner pour ses dignitaires,
pour les chefs de l’armée et pour les notables de la Galilée.
La fille d’Hérodiade fit son entrée et dansa.
Elle plut à Hérode et à ses convives.
Le roi dit à la jeune fille :
« Demande- moi ce que tu veux,
et je te le donnerai. »
Et il lui fit ce serment :
« Tout ce que tu me demanderas, je te le donnerai,
même si c’est la moitié de mon royaume. »
Elle sortit alors pour dire à sa mère :
« Qu’est- ce que je vais demander ? »
Hérodiade répondit :
« La tête de Jean, celui qui baptise. »
Aussitôt la jeune fille s’empressa de retourner auprès du roi,
et lui fit cette demande :
« Je veux que, tout de suite,
tu me donnes sur un plat la tête de Jean le Baptiste. »
Le roi fut vivement contrarié ;
mais à cause du serment et des convives,
il ne voulut pas lui opposer un refus.
Aussitôt il envoya un garde
avec l’ordre d’apporter la tête de Jean.
Le garde s’en alla décapiter Jean dans la prison.
Il apporta la tête sur un plat,
la donna à la jeune fille,
et la jeune fille la donna à sa mère.
Ayant appris cela,
les disciples de Jean vinrent prendre son corps
et le déposèrent dans un tombeau.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Heureux ceux qui ont entendu la PAROLE dans un cœur bon et généreux, qui LA retiennent et portent du fruit par leur persévérance. Alléluia. (Mc 1, 15)
« Celui que j’ai fait décapiter, Jean, le voilà ressuscité ! »
En ce temps-là,
comme le NOM de JÉSUS devenait célèbre,
le roi Hérode en entendit parler.
On disait :
« C’est Jean, celui qui baptisait :
il est ressuscité d’entre les morts,
et voilà pourquoi des miracles se réalisent par LUI. »
Certains disaient :
« C’est le Prophète Élie. »
D’autres disaient encore :
« C’est un Prophète comme ceux de jadis. »
Hérode entendait ces propos et disait :
« Celui que j’ai fait décapiter, Jean,
le voilà ressuscité ! »
Car c’était lui, Hérode, qui avait donné l’ordre d’arrêter Jean
et de l’enchaîner dans la prison,
à cause d’Hérodiade, la femme de son frère Philippe,
que lui-même avait prise pour épouse.
En effet, Jean lui disait :
« Tu n’as pas le droit
de prendre la femme de ton frère. »
Hérodiade en voulait donc à Jean,
et elle cherchait à le faire mourir.
Mais elle n’y arrivait pas
parce que Hérode avait peur de Jean :
il savait que c’était un homme Juste et Saint,
et il le protégeait ;
quand il l’avait entendu, il était très embarrassé ;
cependant il l’écoutait avec plaisir.
Or, une occasion favorable se présenta
quand, le jour de son anniversaire,
Hérode fit un dîner pour ses dignitaires,
pour les chefs de l’armée et pour les notables de la Galilée.
La fille d’Hérodiade fit son entrée et dansa.
Elle plut à Hérode et à ses convives.
Le roi dit à la jeune fille :
« Demande- moi ce que tu veux,
et je te le donnerai. »
Et il lui fit ce serment :
« Tout ce que tu me demanderas, je te le donnerai,
même si c’est la moitié de mon royaume. »
Elle sortit alors pour dire à sa mère :
« Qu’est- ce que je vais demander ? »
Hérodiade répondit :
« La tête de Jean, celui qui baptise. »
Aussitôt la jeune fille s’empressa de retourner auprès du roi,
et lui fit cette demande :
« Je veux que, tout de suite,
tu me donnes sur un plat la tête de Jean le Baptiste. »
Le roi fut vivement contrarié ;
mais à cause du serment et des convives,
il ne voulut pas lui opposer un refus.
Aussitôt il envoya un garde
avec l’ordre d’apporter la tête de Jean.
Le garde s’en alla décapiter Jean dans la prison.
Il apporta la tête sur un plat,
la donna à la jeune fille,
et la jeune fille la donna à sa mère.
Ayant appris cela,
les disciples de Jean vinrent prendre son corps
et le déposèrent dans un tombeau.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=06/02/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Nicolas
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Vendredi 6 Février 2015
Les hommes et les femmes qui perdent la tête pour le Christ
Evangile selon St Marc, chapitre 6, 14-29
Le roi Hérode apprit cela ; en effet, le nom de Jésus devenait célèbre. On disait : « C’est Jean, celui qui baptisait : il est ressuscité d’entre les morts, et voilà pourquoi des miracles se réalisent par lui. »
Certains disaient : « C’est le prophète Élie. » D’autres disaient encore : « C’est un prophète comme ceux de jadis. »
Hérode entendait ces propos et disait : « Celui que j’ai fait décapiter, Jean, le voilà ressuscité ! »
Car c’était lui, Hérode, qui avait donné l’ordre d’arrêter Jean et de l’enchaîner dans la prison, à cause d’Hérodiade, la femme de son frère Philippe, que lui-même avait prise pour épouse.
En effet, Jean lui disait : « Tu n’as pas le droit de prendre la femme de ton frère. »
Hérodiade en voulait donc à Jean, et elle cherchait à le faire mourir. Mais elle n’y arrivait pas parce qu’Hérode avait peur de Jean : il savait que c’était un homme juste et saint, et il le protégeait ; quand il l’avait entendu, il était très embarrassé ; cependant il l’écoutait avec plaisir.
Or, une occasion favorable se présenta quand, le jour de son anniversaire, Hérode fit un dîner pour ses dignitaires, pour les chefs de l’armée et pour les notables de la Galilée.
La fille d’Hérodiade fit son entrée et dansa. Elle plut à Hérode et à ses convives. Le roi dit à la jeune fille : « Demande-moi ce que tu veux, et je te le donnerai. »
Et il lui fit ce serment : « Tout ce que tu me demanderas, je te le donnerai, même si c’est la moitié de mon royaume. »
Elle sortit alors pour dire à sa mère : « Qu’est-ce que je vais demander ? » Hérodiade répondit : « La tête de Jean, celui qui baptise. »
Aussitôt la jeune fille s’empressa de retourner auprès du roi, et lui fit cette demande : « Je veux que, tout de suite, tu me donnes sur un plat la tête de Jean le Baptiste. »
Le roi fut vivement contrarié ; mais à cause du serment et des convives, il ne voulut pas lui opposer un refus.
Aussitôt il envoya un garde avec l’ordre d’apporter la tête de Jean. Le garde s’en alla décapiter Jean dans la prison.
Il apporta la tête sur un plat, la donna à la jeune fille, et la jeune fille la donna à sa mère.
Ayant appris cela, les disciples de Jean vinrent prendre son corps et le déposèrent dans un tombeau.
Prière d'introduction
Viens Esprit du Père, renouvelle la face de la terre, la vie de ton Église, spécialement la vie de ceux qui te sont consacrés. Je te le demande au Nom du Père...
Demande
Seigneur, que toutes les âmes consacrées, unies à Jésus, soient des lumières pour éclairer notre monde, notre société.
Points de réflexion
1.L’auteur de l’épître aux Hébreux adresse cette exhortation à la communauté : « Souvenez-vous de vos chefs, eux qui vous ont fait entendre la parole de Dieu, et, considérant l’issue de leur carrière, imitez leur foi » (He 13,7).
L’Évangile d’aujourd’hui nous invite à la mettre en pratique, nous souvenant du témoignage ? martyre ? du précurseur du Seigneur, saint Jean-Baptiste. Toute sa vie a été une annonce et une préparation des âmes pour accueillir Jésus et son message. Par la grâce de l’Esprit, il est devenu à tel point imitateur de celui qu’il annonce, que même Hérode pourra dire de Jésus : « C’est Jean que j’ai fait décapiter, qui est ressuscité ! » (Mc 6,16).
A la fin de sa carrière, de son passage sur cette terre, le Père lui a accordé la grâce de témoigner de la vérité de Jésus par sa propre vie.
2. A la fin de la période des persécutions quelques chrétiens cherchaient un chemin nouveau pour suivre Jésus de manière radicale.
C’est dans ce contexte que naît, dans l’Église, la vie religieuse comme désir de suivre de plus près Jésus et de l’imiter dans les différentes configurations que ce style de vie a trouvé tout au long de l’histoire du christianisme, en orient et en occident. Les personnes consacrées connaissaient de moins en moins le martyre sanglant comme témoignage de leur foi en Jésus, mais elles témoignent encore aujourd’hui, autrement, de la folie de l’amour de Dieu.
Aux yeux des hommes elles ont perdu la tête et leur existence parmi nous nous rappelle que cela vaut le coup de perdre la tête pour le Christ. Elles sont pour nous tous un signe de la présence du Royaume dans le monde, elles nous confortent et nous fortifient dans la foi. Saint Jean-Baptiste nous offre un clair exemple de leur mission : annoncer Jésus, préparer les voies de l’Esprit dans le cœur des hommes, faire lever les yeux vers Dieu : « C’est de lui que j’ai dit : Celui qui vient derrière moi, le voilà passé devant moi, parce qu’avant moi il était. Voici l’agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde » (Jn 1,15. 29).
3. Une simple mission spirituelle ?
Le Concile Vatican II a mis en relief la mission fondamentale des religieux dans la cité en ces termes : « Nul ne doit penser que les religieux par leur consécration deviennent étrangers aux hommes ou inutiles dans la cité terrestre.
Car s’ils ne sont pas toujours directement présents aux côtés de leurs contemporains, ils leur sont présents plus profondément dans le cœur du Christ, coopérant spirituellement avec eux, pour que la construction de la cité terrestre ait toujours son fondement dans le Seigneur et soit orientée vers lui, afin que ceux qui bâtissent ne risquent pas de peiner en vain. C’est pourquoi enfin le saint Concile approuve et loue ces hommes et ces femmes, ces frères et ces sœurs qui, dans les monastères, dans les écoles et les hôpitaux, dans les missions, apportent à l’Épouse du Christ la parure d’une constante et humble fidélité à leur consécration, et à tous les hommes leurs services aussi généreux que divers » (Lumen Gentium, n. 46).
Leur vie laisse perplexes les Hérode de notre temps, interpelle leurs frères et libère ceux qui, se considérant des rois, ne sont que les esclaves de leurs passions.
Dialogue avec le Christ
Jésus, je te prie pour les religieux, pour les personnes consacrées, qu’ils soient fidèles à ton appel, pour que l’Église manifeste chaque jour de mieux en mieux ta miséricorde et ta tendresse. Qu’ils deviennent de plus en plus des icônes vivantes de la maternité et de la proximité de l’Église.
Résolution
Passer un temps ce week-end avec une personne consacrée, religieux, religieuse âgée, m’intéresser à sa vie et sa vocation.
SOURCE : Catholique.org
La décapitation de Jean le Baptiste
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Vendredi 6 Février 2015
Les hommes et les femmes qui perdent la tête pour le Christ
Evangile selon St Marc, chapitre 6, 14-29
Le roi Hérode apprit cela ; en effet, le nom de Jésus devenait célèbre. On disait : « C’est Jean, celui qui baptisait : il est ressuscité d’entre les morts, et voilà pourquoi des miracles se réalisent par lui. »
Certains disaient : « C’est le prophète Élie. » D’autres disaient encore : « C’est un prophète comme ceux de jadis. »
Hérode entendait ces propos et disait : « Celui que j’ai fait décapiter, Jean, le voilà ressuscité ! »
Car c’était lui, Hérode, qui avait donné l’ordre d’arrêter Jean et de l’enchaîner dans la prison, à cause d’Hérodiade, la femme de son frère Philippe, que lui-même avait prise pour épouse.
En effet, Jean lui disait : « Tu n’as pas le droit de prendre la femme de ton frère. »
Hérodiade en voulait donc à Jean, et elle cherchait à le faire mourir. Mais elle n’y arrivait pas parce qu’Hérode avait peur de Jean : il savait que c’était un homme juste et saint, et il le protégeait ; quand il l’avait entendu, il était très embarrassé ; cependant il l’écoutait avec plaisir.
Or, une occasion favorable se présenta quand, le jour de son anniversaire, Hérode fit un dîner pour ses dignitaires, pour les chefs de l’armée et pour les notables de la Galilée.
La fille d’Hérodiade fit son entrée et dansa. Elle plut à Hérode et à ses convives. Le roi dit à la jeune fille : « Demande-moi ce que tu veux, et je te le donnerai. »
Et il lui fit ce serment : « Tout ce que tu me demanderas, je te le donnerai, même si c’est la moitié de mon royaume. »
Elle sortit alors pour dire à sa mère : « Qu’est-ce que je vais demander ? » Hérodiade répondit : « La tête de Jean, celui qui baptise. »
Aussitôt la jeune fille s’empressa de retourner auprès du roi, et lui fit cette demande : « Je veux que, tout de suite, tu me donnes sur un plat la tête de Jean le Baptiste. »
Le roi fut vivement contrarié ; mais à cause du serment et des convives, il ne voulut pas lui opposer un refus.
Aussitôt il envoya un garde avec l’ordre d’apporter la tête de Jean. Le garde s’en alla décapiter Jean dans la prison.
Il apporta la tête sur un plat, la donna à la jeune fille, et la jeune fille la donna à sa mère.
Ayant appris cela, les disciples de Jean vinrent prendre son corps et le déposèrent dans un tombeau.
Prière d'introduction
Viens Esprit du Père, renouvelle la face de la terre, la vie de ton Église, spécialement la vie de ceux qui te sont consacrés. Je te le demande au Nom du Père...
Demande
Seigneur, que toutes les âmes consacrées, unies à Jésus, soient des lumières pour éclairer notre monde, notre société.
Points de réflexion
1.L’auteur de l’épître aux Hébreux adresse cette exhortation à la communauté : « Souvenez-vous de vos chefs, eux qui vous ont fait entendre la parole de Dieu, et, considérant l’issue de leur carrière, imitez leur foi » (He 13,7).
L’Évangile d’aujourd’hui nous invite à la mettre en pratique, nous souvenant du témoignage ? martyre ? du précurseur du Seigneur, saint Jean-Baptiste. Toute sa vie a été une annonce et une préparation des âmes pour accueillir Jésus et son message. Par la grâce de l’Esprit, il est devenu à tel point imitateur de celui qu’il annonce, que même Hérode pourra dire de Jésus : « C’est Jean que j’ai fait décapiter, qui est ressuscité ! » (Mc 6,16).
A la fin de sa carrière, de son passage sur cette terre, le Père lui a accordé la grâce de témoigner de la vérité de Jésus par sa propre vie.
2. A la fin de la période des persécutions quelques chrétiens cherchaient un chemin nouveau pour suivre Jésus de manière radicale.
C’est dans ce contexte que naît, dans l’Église, la vie religieuse comme désir de suivre de plus près Jésus et de l’imiter dans les différentes configurations que ce style de vie a trouvé tout au long de l’histoire du christianisme, en orient et en occident. Les personnes consacrées connaissaient de moins en moins le martyre sanglant comme témoignage de leur foi en Jésus, mais elles témoignent encore aujourd’hui, autrement, de la folie de l’amour de Dieu.
Aux yeux des hommes elles ont perdu la tête et leur existence parmi nous nous rappelle que cela vaut le coup de perdre la tête pour le Christ. Elles sont pour nous tous un signe de la présence du Royaume dans le monde, elles nous confortent et nous fortifient dans la foi. Saint Jean-Baptiste nous offre un clair exemple de leur mission : annoncer Jésus, préparer les voies de l’Esprit dans le cœur des hommes, faire lever les yeux vers Dieu : « C’est de lui que j’ai dit : Celui qui vient derrière moi, le voilà passé devant moi, parce qu’avant moi il était. Voici l’agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde » (Jn 1,15. 29).
3. Une simple mission spirituelle ?
Le Concile Vatican II a mis en relief la mission fondamentale des religieux dans la cité en ces termes : « Nul ne doit penser que les religieux par leur consécration deviennent étrangers aux hommes ou inutiles dans la cité terrestre.
Car s’ils ne sont pas toujours directement présents aux côtés de leurs contemporains, ils leur sont présents plus profondément dans le cœur du Christ, coopérant spirituellement avec eux, pour que la construction de la cité terrestre ait toujours son fondement dans le Seigneur et soit orientée vers lui, afin que ceux qui bâtissent ne risquent pas de peiner en vain. C’est pourquoi enfin le saint Concile approuve et loue ces hommes et ces femmes, ces frères et ces sœurs qui, dans les monastères, dans les écoles et les hôpitaux, dans les missions, apportent à l’Épouse du Christ la parure d’une constante et humble fidélité à leur consécration, et à tous les hommes leurs services aussi généreux que divers » (Lumen Gentium, n. 46).
Leur vie laisse perplexes les Hérode de notre temps, interpelle leurs frères et libère ceux qui, se considérant des rois, ne sont que les esclaves de leurs passions.
Dialogue avec le Christ
Jésus, je te prie pour les religieux, pour les personnes consacrées, qu’ils soient fidèles à ton appel, pour que l’Église manifeste chaque jour de mieux en mieux ta miséricorde et ta tendresse. Qu’ils deviennent de plus en plus des icônes vivantes de la maternité et de la proximité de l’Église.
Résolution
Passer un temps ce week-end avec une personne consacrée, religieux, religieuse âgée, m’intéresser à sa vie et sa vocation.
SOURCE : Catholique.org
La décapitation de Jean le Baptiste
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Nicolas
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Samedi 7 Février 2015
Jésus accueille et invite au repos de l’âme et du corps
Evangile selon St Marc, chapitre 6, 30-34
Les Apôtres se réunirent auprès de Jésus, et lui annoncèrent tout ce qu’ils avaient fait et enseigné.
Il leur dit : « Venez à l’écart dans un endroit désert, et reposez-vous un peu. » De fait, ceux qui arrivaient et ceux qui partaient étaient nombreux, et l’on n’avait même pas le temps de manger.
Alors, ils partirent en barque pour un endroit désert, à l’écart.
Les gens les virent s’éloigner, et beaucoup comprirent leur intention. Alors, à pied, de toutes les villes, ils coururent là-bas et arrivèrent avant eux.
En débarquant, Jésus vit une grande foule. Il fut saisi de compassion envers eux, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. Alors, il se mit à les enseigner longuement.
Prière d'introduction
Il nous faut revenir au Seigneur comme les disciples. C’est ce que nous faisons en prenant un temps d’oraison. Nous voulons revenir au Seigneur, nous recueillir pour le trouver, pour être avec lui, pour mettre sous son regard ce que nous avons fait ou ce que nous allons faire pendant cette journée. Et c’est aussi ce que Jésus veut pour nous. C’est lui-même qui invite les disciples à l’écart pour ce moment de rencontre et de repos.
Ce n’est pas juste un besoin personnel, c’est un désir même de Jésus que de nous retrouver, de passer un moment avec nous, de nous permettre le repos du corps et de l’âme.
Demande
Merci, Seigneur, pour cette invitation au repos, et au repos en toi et avec toi. Que ma prière soit aussi ce repos de mon âme et de mon corps, en toi et avec toi. Donne-moi, donne nous, Seigneur, la grâce de pouvoir aujourd’hui te retrouver dans ce repos, permets-nous d’entrer en relation avec toi aujourd’hui, de pouvoir aller à ta rencontre comme les disciples, qui, après une longue journée de mission, reviennent vers leur maître.
Points de réflexion
1.Les disciples arrivent auprès de Jésus et sont accueillis par lui : « Il leur dit : « Venez à l’écart dans un endroit désert, et reposez-vous un peu ».
Jésus veut qu’ils se reposent, il veut les écarter des personnes qui demandent leurs enseignements et guérisons et qui ne leur laissent même pas le temps de manger. Qui n’a pas fait cette expérience, chez soi ou au travail ?
Être sollicité un peu de partout ou au moment où tu t’apprêtais à mettre enfin une bouchée dans ta bouche. Combien de parents font tous les jours cette expérience ! Combien de personnes, au travail, sont sollicitées à tout moment pour résoudre toute situation !
Le Seigneur nous dit aujourd’hui, « Venez vous-même à l’écart dans un endroit désert et reposez-vous un peu ». Relis cette phrase et laisse retentir l’appel de Jésus à toi, aujourd’hui.
Le Seigneur t’appelle-t-il à « t’écarter », prendre de la distance ?
De quoi ? De qui ?
T’appelle-t-il plutôt à chercher le « désert » ; dans quel sens ?
À chercher le silence extérieur, intérieur ? À avoir un vrai temps de retraite spirituelle ?
T’invite-t-il au repos ? Repos du corps ?
À ce que tu manges ? Au sport ?
Ou à faire plus attention à ta santé ? Oui, Jésus veut l’équilibre de vie pour ses apôtres, il prend soin de toute leur personne, leur âme et leur corps.
2. Et Jésus prend avec lui ses disciples et les emmène ailleurs, dans un lieu désert et à l’écart.
Et arrivés là, une foule nombreuse les attend. Jésus est saisi de pitié et il se met à enseigner longuement. On ne nous dit rien sur ce que font les apôtres à la vue de la foule. Nous savons seulement que, cette fois-ci, c’est Jésus qui enseigne. Dans les versets qui suivent le passage choisi pour aujourd’hui, nous est dit : « L’heure déjà avancée, ses disciples s’approchèrent (de Jésus) et lui dirent... ».
On peut donc imaginer qu’ils sont un peu à l’écart et qu’ils ne participent pas à l’enseignement. Peut-être quelques-uns écoutent-ils et se laissent-ils instruire par les paroles de Jésus à la foule, d’autres mangent un peu, d’autres se reposent.
Quand c’est Jésus lui-même qui nous invite à prendre du temps pour nous, à nous mettre à l’écart, nous ne devons pas paniquer parce que l’on voit les brebis sans berger. Jésus, Le Bon Berger, ne laisse jamais ses brebis. Là où est notre faiblesse, il vient avec sa puissance : « Ma grâce te suffit : car la puissance se déploie dans la faiblesse » (2 Cor 12).
Si je vis pour le Christ, et en union à sa volonté, sa puissance se déploie dans ma faiblesse. Lorsque je suis faible, sa force et sa présence se déploient de façon plus claire et plus forte. La semence du Royaume que nous avons semée, continue de germer même lorsque nous dormons. (cf. : « Il en est du Royaume de Dieu comme d’un homme qui aurait jeté du grain en terre : qu’il dorme et qu’il se lève, nuit et jour, la semence germe et pousse, il ne sait comment » Mc 4,26).
Dialogue avec le Christ
Seigneur, aide- moi à vivre en ta volonté quand tu me demandes d’agir, d’annoncer et quand tu m’invites à m’écarter, à retrouver le silence extérieur ou intérieur, au repos. Maintenant que j’ai ouvert l’oreille à ta volonté, permets-moi de l’accomplir. Je te remercie pour ce temps de repos en toi, pour les grâces reçues pendant cette méditation, celles dont j’ai conscience et celles que tu m’as données et que je ne connais pas. Je remets ma vie encore une fois entre tes mains, permets-moi de rester ouverte à ta présence, tout au long de cette journée.
Résolution
Fais un pas concret, qui te permette de mettre en acte l’invitation que Jésus t’a faite aujourd’hui.
SOURCE : Catholique.org
Jésus aime et sauve
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Samedi 7 Février 2015
Jésus accueille et invite au repos de l’âme et du corps
Evangile selon St Marc, chapitre 6, 30-34
Les Apôtres se réunirent auprès de Jésus, et lui annoncèrent tout ce qu’ils avaient fait et enseigné.
Il leur dit : « Venez à l’écart dans un endroit désert, et reposez-vous un peu. » De fait, ceux qui arrivaient et ceux qui partaient étaient nombreux, et l’on n’avait même pas le temps de manger.
Alors, ils partirent en barque pour un endroit désert, à l’écart.
Les gens les virent s’éloigner, et beaucoup comprirent leur intention. Alors, à pied, de toutes les villes, ils coururent là-bas et arrivèrent avant eux.
En débarquant, Jésus vit une grande foule. Il fut saisi de compassion envers eux, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. Alors, il se mit à les enseigner longuement.
Prière d'introduction
Il nous faut revenir au Seigneur comme les disciples. C’est ce que nous faisons en prenant un temps d’oraison. Nous voulons revenir au Seigneur, nous recueillir pour le trouver, pour être avec lui, pour mettre sous son regard ce que nous avons fait ou ce que nous allons faire pendant cette journée. Et c’est aussi ce que Jésus veut pour nous. C’est lui-même qui invite les disciples à l’écart pour ce moment de rencontre et de repos.
Ce n’est pas juste un besoin personnel, c’est un désir même de Jésus que de nous retrouver, de passer un moment avec nous, de nous permettre le repos du corps et de l’âme.
Demande
Merci, Seigneur, pour cette invitation au repos, et au repos en toi et avec toi. Que ma prière soit aussi ce repos de mon âme et de mon corps, en toi et avec toi. Donne-moi, donne nous, Seigneur, la grâce de pouvoir aujourd’hui te retrouver dans ce repos, permets-nous d’entrer en relation avec toi aujourd’hui, de pouvoir aller à ta rencontre comme les disciples, qui, après une longue journée de mission, reviennent vers leur maître.
Points de réflexion
1.Les disciples arrivent auprès de Jésus et sont accueillis par lui : « Il leur dit : « Venez à l’écart dans un endroit désert, et reposez-vous un peu ».
Jésus veut qu’ils se reposent, il veut les écarter des personnes qui demandent leurs enseignements et guérisons et qui ne leur laissent même pas le temps de manger. Qui n’a pas fait cette expérience, chez soi ou au travail ?
Être sollicité un peu de partout ou au moment où tu t’apprêtais à mettre enfin une bouchée dans ta bouche. Combien de parents font tous les jours cette expérience ! Combien de personnes, au travail, sont sollicitées à tout moment pour résoudre toute situation !
Le Seigneur nous dit aujourd’hui, « Venez vous-même à l’écart dans un endroit désert et reposez-vous un peu ». Relis cette phrase et laisse retentir l’appel de Jésus à toi, aujourd’hui.
Le Seigneur t’appelle-t-il à « t’écarter », prendre de la distance ?
De quoi ? De qui ?
T’appelle-t-il plutôt à chercher le « désert » ; dans quel sens ?
À chercher le silence extérieur, intérieur ? À avoir un vrai temps de retraite spirituelle ?
T’invite-t-il au repos ? Repos du corps ?
À ce que tu manges ? Au sport ?
Ou à faire plus attention à ta santé ? Oui, Jésus veut l’équilibre de vie pour ses apôtres, il prend soin de toute leur personne, leur âme et leur corps.
2. Et Jésus prend avec lui ses disciples et les emmène ailleurs, dans un lieu désert et à l’écart.
Et arrivés là, une foule nombreuse les attend. Jésus est saisi de pitié et il se met à enseigner longuement. On ne nous dit rien sur ce que font les apôtres à la vue de la foule. Nous savons seulement que, cette fois-ci, c’est Jésus qui enseigne. Dans les versets qui suivent le passage choisi pour aujourd’hui, nous est dit : « L’heure déjà avancée, ses disciples s’approchèrent (de Jésus) et lui dirent... ».
On peut donc imaginer qu’ils sont un peu à l’écart et qu’ils ne participent pas à l’enseignement. Peut-être quelques-uns écoutent-ils et se laissent-ils instruire par les paroles de Jésus à la foule, d’autres mangent un peu, d’autres se reposent.
Quand c’est Jésus lui-même qui nous invite à prendre du temps pour nous, à nous mettre à l’écart, nous ne devons pas paniquer parce que l’on voit les brebis sans berger. Jésus, Le Bon Berger, ne laisse jamais ses brebis. Là où est notre faiblesse, il vient avec sa puissance : « Ma grâce te suffit : car la puissance se déploie dans la faiblesse » (2 Cor 12).
Si je vis pour le Christ, et en union à sa volonté, sa puissance se déploie dans ma faiblesse. Lorsque je suis faible, sa force et sa présence se déploient de façon plus claire et plus forte. La semence du Royaume que nous avons semée, continue de germer même lorsque nous dormons. (cf. : « Il en est du Royaume de Dieu comme d’un homme qui aurait jeté du grain en terre : qu’il dorme et qu’il se lève, nuit et jour, la semence germe et pousse, il ne sait comment » Mc 4,26).
Dialogue avec le Christ
Seigneur, aide- moi à vivre en ta volonté quand tu me demandes d’agir, d’annoncer et quand tu m’invites à m’écarter, à retrouver le silence extérieur ou intérieur, au repos. Maintenant que j’ai ouvert l’oreille à ta volonté, permets-moi de l’accomplir. Je te remercie pour ce temps de repos en toi, pour les grâces reçues pendant cette méditation, celles dont j’ai conscience et celles que tu m’as données et que je ne connais pas. Je remets ma vie encore une fois entre tes mains, permets-moi de rester ouverte à ta présence, tout au long de cette journée.
Résolution
Fais un pas concret, qui te permette de mettre en acte l’invitation que Jésus t’a faite aujourd’hui.
SOURCE : Catholique.org
Jésus aime et sauve
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
- Messages : 14722
Localisation : France
Inscription : 16/01/2010
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Maud, Bonjour Lumen,
Bonjour tous artisans de paix,
Bonjour caillon,
Bonjour à toutes et à tous,
Samedi 7 Février 2015
Bienheureuse VIERGE MARIE
Les Samedis du Temps Ordinaire où il n’y a pas de mémoire obligatoire, on peut faire mémoire de la VIERGE MARIE, selon une tradition qui honore la foi et l’espérance sans défaut de MARIE le Samedi Saint.
De la férie
4ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=07/02/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Bonjour tous artisans de paix,
Bonjour caillon,
Bonjour à toutes et à tous,
Samedi 7 Février 2015
Bienheureuse VIERGE MARIE
Les Samedis du Temps Ordinaire où il n’y a pas de mémoire obligatoire, on peut faire mémoire de la VIERGE MARIE, selon une tradition qui honore la foi et l’espérance sans défaut de MARIE le Samedi Saint.
De la férie
4ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
(Première lecture)
Lettre aux Hébreux 13 : 15 à 17, 20 et 21
« Que le DIEU de la PAIX, LUI qui a fait remonter d’entre les morts le PASTEUR par EXCELLENCE, vous forme en tout ce qui est bon »
Frères,
en toute circonstance,
offrons à DIEU, par JÉSUS, un sacrifice de louange,
c’est-à-dire les paroles de nos lèvres qui proclament Son NOM.
N’oubliez pas d’être généreux et de partager.
C’est par de tels sacrifices que l’on plaît à DIEU.
Faites confiance à ceux qui vous dirigent
et soyez-leur soumis ;
en effet, ils sont là pour veiller sur vos âmes,
ce dont ils auront à rendre compte.
Ainsi, ils accompliront leur tâche avec joie,
sans avoir à se plaindre,
ce qui ne vous serait d’aucun profit.
Que le DIEU de la PAIX,
LUI qui a fait remonter d’entre les morts,
GRÂCE au SANG de l’ALLIANCE ÉTERNELLE,
le BERGER des brebis, le PASTEUR par EXCELLENCE,
notre SEIGNEUR JÉSUS,
que ce DIEU vous forme en tout ce qui est BON
pour accomplir Sa VOLONTÉ,
qu’IL réalise en nous ce qui est agréable à Ses YEUX,
par JÉSUS CHRIST, à qui appartient la GLOIRE
pour les siècles des siècles. Amen.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Lettre aux Hébreux 13 : 15 à 17, 20 et 21
« Que le DIEU de la PAIX, LUI qui a fait remonter d’entre les morts le PASTEUR par EXCELLENCE, vous forme en tout ce qui est bon »
Frères,
en toute circonstance,
offrons à DIEU, par JÉSUS, un sacrifice de louange,
c’est-à-dire les paroles de nos lèvres qui proclament Son NOM.
N’oubliez pas d’être généreux et de partager.
C’est par de tels sacrifices que l’on plaît à DIEU.
Faites confiance à ceux qui vous dirigent
et soyez-leur soumis ;
en effet, ils sont là pour veiller sur vos âmes,
ce dont ils auront à rendre compte.
Ainsi, ils accompliront leur tâche avec joie,
sans avoir à se plaindre,
ce qui ne vous serait d’aucun profit.
Que le DIEU de la PAIX,
LUI qui a fait remonter d’entre les morts,
GRÂCE au SANG de l’ALLIANCE ÉTERNELLE,
le BERGER des brebis, le PASTEUR par EXCELLENCE,
notre SEIGNEUR JÉSUS,
que ce DIEU vous forme en tout ce qui est BON
pour accomplir Sa VOLONTÉ,
qu’IL réalise en nous ce qui est agréable à Ses YEUX,
par JÉSUS CHRIST, à qui appartient la GLOIRE
pour les siècles des siècles. Amen.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Le SEIGNEUR est mon BERGER
Psaume appartenant au recueil de David.
Psaume 22 (23) : 1 et 2ab, 2c et 3, 4, 5, 6
R/ Le SEIGNEUR est mon BERGER :
rien ne saurait me manquer.
Le SEIGNEUR est mon BERGER :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
IL me fait reposer.
R/
IL me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
IL me conduit par le JUSTE CHEMIN
pour l’HONNEUR de Son NOM.
R/
Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car TU es avec moi :
Ton BÂTON me guide et me rassure.
R/
TU prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
TU répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.
R/
Grâce et bonheur m’accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j’habiterai la MAISON du SEIGNEUR
pour la durée de mes jours.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
rien ne saurait me manquer.
Le SEIGNEUR est mon BERGER :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
IL me fait reposer.
R/
IL me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
IL me conduit par le JUSTE CHEMIN
pour l’HONNEUR de Son NOM.
R/
Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car TU es avec moi :
Ton BÂTON me guide et me rassure.
R/
TU prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
TU répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.
R/
Grâce et bonheur m’accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j’habiterai la MAISON du SEIGNEUR
pour la durée de mes jours.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Marc 6 : 30 à 34
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Mes Brebis écoutent Ma VOIX, dit le SEIGNEUR ; Moi, Je Les connais, et Elles Me suivent. Alléluia. (Jn 10, 27)
« Ils étaient comme des brebis sans berger »
En ce temps- là,
les Apôtres se réunirent auprès de JÉSUS,
et LUI annoncèrent tout ce qu’ils avaient fait et enseigné.
IL leur dit :
« Venez à l’écart dans un endroit désert,
et reposez- vous un peu. »
De fait, ceux qui arrivaient et ceux qui partaient étaient nombreux,
et l’on n’avait même pas le temps de manger.
Alors, ils partirent en barque
pour un endroit désert, à l’écart.
Les gens Les virent s’éloigner,
et beaucoup comprirent leur intention.
Alors, à pied, de toutes les villes,
ils coururent là-bas
et arrivèrent avant eux.
En débarquant, JÉSUS vit une grande foule.
IL fut saisi de compassion envers eux,
parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger.
Alors, IL se mit à les enseigner longuement.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Mes Brebis écoutent Ma VOIX, dit le SEIGNEUR ; Moi, Je Les connais, et Elles Me suivent. Alléluia. (Jn 10, 27)
« Ils étaient comme des brebis sans berger »
En ce temps- là,
les Apôtres se réunirent auprès de JÉSUS,
et LUI annoncèrent tout ce qu’ils avaient fait et enseigné.
IL leur dit :
« Venez à l’écart dans un endroit désert,
et reposez- vous un peu. »
De fait, ceux qui arrivaient et ceux qui partaient étaient nombreux,
et l’on n’avait même pas le temps de manger.
Alors, ils partirent en barque
pour un endroit désert, à l’écart.
Les gens Les virent s’éloigner,
et beaucoup comprirent leur intention.
Alors, à pied, de toutes les villes,
ils coururent là-bas
et arrivèrent avant eux.
En débarquant, JÉSUS vit une grande foule.
IL fut saisi de compassion envers eux,
parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger.
Alors, IL se mit à les enseigner longuement.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=07/02/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Nicolas
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que ce Saint Dimanche soit béni par le Seigneur et éclairé par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Dimanche 8 Février 2015
Jésus guérit et annonce la bonne nouvelle aux synagogues
Evangile selon St Marc, chapitre 1, 29-39
Aussitôt sortis de la synagogue, ils allèrent, avec Jacques et Jean, dans la maison de Simon et d’André.
Or, la belle-mère de Simon était au lit, elle avait de la fièvre. Aussitôt, on parla à Jésus de la malade. Jésus s’approcha, la saisit par la main et la fit lever. La fièvre la quitta, et elle les servait.
Le soir venu, après le coucher du soleil, on lui amenait tous ceux qui étaient atteints d’un mal ou possédés par des démons.
La ville entière se pressait à la porte.
Il guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies, et il expulsa beaucoup de démons ; il empêchait les démons de parler, parce qu’ils savaient, eux, qui il était.
Le lendemain, Jésus se leva, bien avant l’aube. Il sortit et se rendit dans un endroit désert, et là il priait.
Simon et ceux qui étaient avec lui partirent à sa recherche.
Ils le trouvent et lui disent : « Tout le monde te cherche. »
Jésus leur dit : « Allons ailleurs, dans les villages voisins, afin que là aussi je proclame l’Évangile ; car c’est pour cela que je suis sorti. »
Et il parcourut toute la Galilée, proclamant l’Évangile dans leurs synagogues, et expulsant les démons.
Prière d'introduction
Jésus, accorde-moi la grâce d’être docile et de pouvoir t’ouvrir mon cœur, pour que tu y entres et le soignes. Guéris-moi de tout ce qui est contraire à toi.
Demande
Esprit Saint, purifie-moi et renouvelle-moi, j’ai besoin que tu vives en moi pour que je puisse porter ton message à tous ceux qui m’entourent.
Points de réflexion
1.« Jésus s’approcha, la saisit par la main et la fit lever » (Mc 1,31).
Chaque matin, au réveil, c’est toi Jésus qui m’embrasse pour bénir ma journée. C’est toi qui me prends par la main et qui me lèves, pour que je vive toute ma journée en ta présence et que je puisse l’offrir pour les intentions que je porte dans mon cœur.
Je veux me lever chaque jour pour porter et transmettre ton message et ta grâce.
Que brille dans mes yeux cet immense désir de te prendre par la main et de partager avec toi mon chemin et mes œuvres. Je sais que, où que j’aille, tu m’accompagneras, car tu es fidèle et jamais tu ne me laisseras seul.
2. « On lui amenait tous ceux qui étaient atteints d’un mal ou possédés par des démons » (Mc 1,32).
Nous voulons tous nous rapprocher de Jésus, pour qu’il soigne ce qui nous coûte ou ce dont nous sommes affligés, préoccupés ou stressés. Mais lui ce qu’il cherche, plus que de nous enlever nos préoccupations ou nos difficultés, c’est que nos cœurs soient purs et que nous ne mettions notre confiance qu’en lui.
Jésus ne veut pas seulement que nous lui apportions les intentions des autres (qui sont très bonnes et saintes), il veut que nous soyons nous-mêmes une offrande agréable en lui apportant notre cœur pour qu’il le purifie.
3. « Jésus se leva, bien avant l’aube. Il sortit et se rendit dans un endroit désert, et là il priait » (Mc 1,35).
Le vrai aliment de notre âme, c’est la prière, ce sont ces moments de rencontre avec celui qui nous remplit de joie et de force pour continuer notre chemin.
Qu’à chaque fois que je me trouve dans le besoin, je puisse prendre sa main pour être relevé et que j’aille à ce lieu reculé pour prier. M’éloigner du bruit et me réfugier dans le silence de son cœur, c’est ce qui me remplira de paix pour qu’il « puisse rendre toutes choses nouvelles ».
Croire en la prière, c’est croire qu’il m’écoute avec attention et patience. Croire en lui, c’est avoir la certitude que ce que j’ai sur le cœur est le plus important pour lui.
Dialogue avec le Christ
Je te donne mes mains, Seigneur, pour travailler avec amour ; je te donne mes pieds, pour suivre ton chemin avec décision. Je te donne mes yeux, pour voir les besoins du monde. Je te donne ma langue pour prononcer tes paroles de charité. Mon âme t’appartient, viens y habiter, que ton amour y grandisse toujours ; que dans la confiance et la foi tu puisses vivre et prier en moi tous les jours de ma vie. Amen.
Résolution
Rendre grâce à Dieu pour toutes les grâces qu’il déverse dans mon âme aujourd’hui. Intercéder pour les membres de ma famille qui ont le plus besoin de la grâce de Dieu.
SOURCE : Catholique.org
Jésus guérit la belle-mère de Simon-Pierre
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que ce Saint Dimanche soit béni par le Seigneur et éclairé par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Dimanche 8 Février 2015
Jésus guérit et annonce la bonne nouvelle aux synagogues
Evangile selon St Marc, chapitre 1, 29-39
Aussitôt sortis de la synagogue, ils allèrent, avec Jacques et Jean, dans la maison de Simon et d’André.
Or, la belle-mère de Simon était au lit, elle avait de la fièvre. Aussitôt, on parla à Jésus de la malade. Jésus s’approcha, la saisit par la main et la fit lever. La fièvre la quitta, et elle les servait.
Le soir venu, après le coucher du soleil, on lui amenait tous ceux qui étaient atteints d’un mal ou possédés par des démons.
La ville entière se pressait à la porte.
Il guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies, et il expulsa beaucoup de démons ; il empêchait les démons de parler, parce qu’ils savaient, eux, qui il était.
Le lendemain, Jésus se leva, bien avant l’aube. Il sortit et se rendit dans un endroit désert, et là il priait.
Simon et ceux qui étaient avec lui partirent à sa recherche.
Ils le trouvent et lui disent : « Tout le monde te cherche. »
Jésus leur dit : « Allons ailleurs, dans les villages voisins, afin que là aussi je proclame l’Évangile ; car c’est pour cela que je suis sorti. »
Et il parcourut toute la Galilée, proclamant l’Évangile dans leurs synagogues, et expulsant les démons.
Prière d'introduction
Jésus, accorde-moi la grâce d’être docile et de pouvoir t’ouvrir mon cœur, pour que tu y entres et le soignes. Guéris-moi de tout ce qui est contraire à toi.
Demande
Esprit Saint, purifie-moi et renouvelle-moi, j’ai besoin que tu vives en moi pour que je puisse porter ton message à tous ceux qui m’entourent.
Points de réflexion
1.« Jésus s’approcha, la saisit par la main et la fit lever » (Mc 1,31).
Chaque matin, au réveil, c’est toi Jésus qui m’embrasse pour bénir ma journée. C’est toi qui me prends par la main et qui me lèves, pour que je vive toute ma journée en ta présence et que je puisse l’offrir pour les intentions que je porte dans mon cœur.
Je veux me lever chaque jour pour porter et transmettre ton message et ta grâce.
Que brille dans mes yeux cet immense désir de te prendre par la main et de partager avec toi mon chemin et mes œuvres. Je sais que, où que j’aille, tu m’accompagneras, car tu es fidèle et jamais tu ne me laisseras seul.
2. « On lui amenait tous ceux qui étaient atteints d’un mal ou possédés par des démons » (Mc 1,32).
Nous voulons tous nous rapprocher de Jésus, pour qu’il soigne ce qui nous coûte ou ce dont nous sommes affligés, préoccupés ou stressés. Mais lui ce qu’il cherche, plus que de nous enlever nos préoccupations ou nos difficultés, c’est que nos cœurs soient purs et que nous ne mettions notre confiance qu’en lui.
Jésus ne veut pas seulement que nous lui apportions les intentions des autres (qui sont très bonnes et saintes), il veut que nous soyons nous-mêmes une offrande agréable en lui apportant notre cœur pour qu’il le purifie.
3. « Jésus se leva, bien avant l’aube. Il sortit et se rendit dans un endroit désert, et là il priait » (Mc 1,35).
Le vrai aliment de notre âme, c’est la prière, ce sont ces moments de rencontre avec celui qui nous remplit de joie et de force pour continuer notre chemin.
Qu’à chaque fois que je me trouve dans le besoin, je puisse prendre sa main pour être relevé et que j’aille à ce lieu reculé pour prier. M’éloigner du bruit et me réfugier dans le silence de son cœur, c’est ce qui me remplira de paix pour qu’il « puisse rendre toutes choses nouvelles ».
Croire en la prière, c’est croire qu’il m’écoute avec attention et patience. Croire en lui, c’est avoir la certitude que ce que j’ai sur le cœur est le plus important pour lui.
Dialogue avec le Christ
Je te donne mes mains, Seigneur, pour travailler avec amour ; je te donne mes pieds, pour suivre ton chemin avec décision. Je te donne mes yeux, pour voir les besoins du monde. Je te donne ma langue pour prononcer tes paroles de charité. Mon âme t’appartient, viens y habiter, que ton amour y grandisse toujours ; que dans la confiance et la foi tu puisses vivre et prier en moi tous les jours de ma vie. Amen.
Résolution
Rendre grâce à Dieu pour toutes les grâces qu’il déverse dans mon âme aujourd’hui. Intercéder pour les membres de ma famille qui ont le plus besoin de la grâce de Dieu.
SOURCE : Catholique.org
Jésus guérit la belle-mère de Simon-Pierre
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Maud, Bonjour Lumen,
Bonjour tous artisans de paix,
Bonjour caillon,
Bonjour à toutes et à tous,
Dimanche 8 Février 2015
5ième Dimanche du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
Lien :
http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/nouveautes/en-marche-vers-dimanche-5e-dimanche-ordinaire-b-integrale/00091797
Vu sur :
www.KTOTV.com
Psaume 146-147 (147), entièrement
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=08/02/2015
Liens :
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Amicalement, fraternellement
Nicolas
Bonjour tous artisans de paix,
Bonjour caillon,
Bonjour à toutes et à tous,
Dimanche 8 Février 2015
5ième Dimanche du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
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(Première lecture)
Livre de Job 7 : 1 à 4, 6 et 7
« Je ne compte que des nuits de souffrance »
Job prit la parole et dit :
« Vraiment, la vie de l’homme sur la Terre est une corvée,
il fait des journées de manœuvre.
Comme l’esclave qui désire un peu d’ombre,
comme le manœuvre qui attend sa paye,
depuis des mois je n’ai en partage que le néant,
je ne compte que des nuits de souffrance.
À peine couché, je me dis :
“Quand pourrai-je me lever ?”
Le soir n’en finit pas :
je suis envahi de cauchemars jusqu’à l’aube.
Mes jours sont plus rapides que la navette du tisserand,
ils s’achèvent faute de fil.
Souviens-toi, SEIGNEUR : ma vie n’est qu’un souffle,
mes yeux ne verront plus le bonheur. »
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Livre de Job 7 : 1 à 4, 6 et 7
« Je ne compte que des nuits de souffrance »
Job prit la parole et dit :
« Vraiment, la vie de l’homme sur la Terre est une corvée,
il fait des journées de manœuvre.
Comme l’esclave qui désire un peu d’ombre,
comme le manœuvre qui attend sa paye,
depuis des mois je n’ai en partage que le néant,
je ne compte que des nuits de souffrance.
À peine couché, je me dis :
“Quand pourrai-je me lever ?”
Le soir n’en finit pas :
je suis envahi de cauchemars jusqu’à l’aube.
Mes jours sont plus rapides que la navette du tisserand,
ils s’achèvent faute de fil.
Souviens-toi, SEIGNEUR : ma vie n’est qu’un souffle,
mes yeux ne verront plus le bonheur. »
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Le POUVOIR de DIEU dans la nature et dans l’histoire
Psaume 146-147 (147), entièrement
Psaume 146 (147) : 1 et 3, 4 et 5, 6 et 7
R/ Bénissons le SEIGNEUR
qui guérit nos blessures !
Il est bon de fêter notre DIEU,
il est BEAU de chanter Sa LOUANGE :
IL guérit les cœurs brisés
et soigne leurs blessures.
R/
IL compte le nombre des étoiles,
IL donne à chacune un nom ;
IL est GRAND, il est FORT, notre MAÎTRE :
nul n’a mesuré Son INTELLIGENCE.
R/
Le SEIGNEUR élève les humbles
et rabaisse jusqu’à terre les impies.
Entonnez pour le SEIGNEUR l’Action de Grâce,
jouez pour notre DIEU sur la cithare !
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
qui guérit nos blessures !
Il est bon de fêter notre DIEU,
il est BEAU de chanter Sa LOUANGE :
IL guérit les cœurs brisés
et soigne leurs blessures.
R/
IL compte le nombre des étoiles,
IL donne à chacune un nom ;
IL est GRAND, il est FORT, notre MAÎTRE :
nul n’a mesuré Son INTELLIGENCE.
R/
Le SEIGNEUR élève les humbles
et rabaisse jusqu’à terre les impies.
Entonnez pour le SEIGNEUR l’Action de Grâce,
jouez pour notre DIEU sur la cithare !
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Du CD, Les Psaumes pour tous les Dimanches et fêtes :
http://www.mirari.fr/DQfG
http://www.mirari.fr/DQfG
(Deuxième lecture)
Première Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens 9 : 16 à 19, 22 et 23
« Malheur à moi si je n’annonçais pas l’Évangile ! »
Frères,
annoncer l’Évangile,
ce n’est pas là pour moi un motif de fierté,
c’est une nécessité qui s’impose à moi.
Malheur à moi si je n’annonçais pas l’Évangile !
Certes, si je le fais de moi-même,
je mérite une récompense.
Mais je ne le fais pas de moi-même,
c’est une mission qui m’est confiée.
Alors quel est mon mérite ?
C’est d’annoncer l’Évangile
sans rechercher aucun avantage matériel,
et sans faire valoir mes droits de prédicateur de l’Évangile.
Oui, libre à l’égard de tous,
je me suis fait l’esclave de tous
afin d’en gagner le plus grand nombre possible.
Avec les faibles, j’ai été faible,
pour gagner les faibles.
Je me suis fait tout à tous
pour en sauver à tout prix quelques-uns.
Et tout cela, je le fais à cause de l’Évangile,
pour y avoir part, moi aussi.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Première Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens 9 : 16 à 19, 22 et 23
« Malheur à moi si je n’annonçais pas l’Évangile ! »
Frères,
annoncer l’Évangile,
ce n’est pas là pour moi un motif de fierté,
c’est une nécessité qui s’impose à moi.
Malheur à moi si je n’annonçais pas l’Évangile !
Certes, si je le fais de moi-même,
je mérite une récompense.
Mais je ne le fais pas de moi-même,
c’est une mission qui m’est confiée.
Alors quel est mon mérite ?
C’est d’annoncer l’Évangile
sans rechercher aucun avantage matériel,
et sans faire valoir mes droits de prédicateur de l’Évangile.
Oui, libre à l’égard de tous,
je me suis fait l’esclave de tous
afin d’en gagner le plus grand nombre possible.
Avec les faibles, j’ai été faible,
pour gagner les faibles.
Je me suis fait tout à tous
pour en sauver à tout prix quelques-uns.
Et tout cela, je le fais à cause de l’Évangile,
pour y avoir part, moi aussi.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Marc 1 : 29 à 39
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia.
Le CHRIST a pris nos souffrances, IL a porté nos maladies.
Alléluia.
(Mt 08, 17)
« IL guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies »
En ce temps-là,
aussitôt sortis de la synagogue de Capharnaüm,
JÉSUS et Ses Disciples allèrent, avec Jacques et Jean,
dans la maison de Simon et d’André.
Or, la belle-mère de Simon était au lit,
elle avait de la fièvre.
Aussitôt, on parla à JÉSUS de la malade.
JÉSUS s’approcha,
la saisit par la main
et la fit lever.
La fièvre la quitta,
et elle les servait.
Le soir venu, après le coucher du soleil,
on LUI amenait tous ceux qui étaient atteints d’un mal
ou possédés par des démons.
La ville entière se pressait à la porte.
IL guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies,
et IL expulsa beaucoup de démons ;
IL empêchait les démons de parler,
parce qu’ils savaient, eux, qui IL était.
Le lendemain, JÉSUS se leva, bien avant l’aube.
IL sortit et se rendit dans un endroit désert,
et là IL priait.
Simon et ceux qui étaient avec LUI partirent à Sa RECHERCHE.
Ils LE trouvent et LUI disent :
« Tout le monde TE cherche. »
JÉSUS leur dit :
« Allons ailleurs, dans les villages voisins,
afin que là aussi Je proclame l’Évangile ;
car c’est pour cela que Je suis sorti. »
Et IL parcourut toute la Galilée,
proclamant l’Évangile dans leurs synagogues,
et expulsant les démons.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia.
Le CHRIST a pris nos souffrances, IL a porté nos maladies.
Alléluia.
(Mt 08, 17)
« IL guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies »
En ce temps-là,
aussitôt sortis de la synagogue de Capharnaüm,
JÉSUS et Ses Disciples allèrent, avec Jacques et Jean,
dans la maison de Simon et d’André.
Or, la belle-mère de Simon était au lit,
elle avait de la fièvre.
Aussitôt, on parla à JÉSUS de la malade.
JÉSUS s’approcha,
la saisit par la main
et la fit lever.
La fièvre la quitta,
et elle les servait.
Le soir venu, après le coucher du soleil,
on LUI amenait tous ceux qui étaient atteints d’un mal
ou possédés par des démons.
La ville entière se pressait à la porte.
IL guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies,
et IL expulsa beaucoup de démons ;
IL empêchait les démons de parler,
parce qu’ils savaient, eux, qui IL était.
Le lendemain, JÉSUS se leva, bien avant l’aube.
IL sortit et se rendit dans un endroit désert,
et là IL priait.
Simon et ceux qui étaient avec LUI partirent à Sa RECHERCHE.
Ils LE trouvent et LUI disent :
« Tout le monde TE cherche. »
JÉSUS leur dit :
« Allons ailleurs, dans les villages voisins,
afin que là aussi Je proclame l’Évangile ;
car c’est pour cela que Je suis sorti. »
Et IL parcourut toute la Galilée,
proclamant l’Évangile dans leurs synagogues,
et expulsant les démons.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=08/02/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonsoir Maud, Bonsoir Lumen,
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Lundi 9 Février 2015
De la férie
5ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
Psaume 103 (104), entièrement
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
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Nicolas
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Lundi 9 Février 2015
De la férie
5ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Vert )
Année B
(Première lecture)
Livre de la Genèse 1 : 1 à 19
« DIEU dit. Et ce fut ainsi »
Au commencement,
DIEU créa le ciel et la Terre.
La Terre était informe et vide,
les ténèbres étaient au- dessus de l’abîme
et le SOUFFLE de DIEU planait au-dessus des eaux.
DIEU dit :
« Que la LUMIÈRE soit. »
Et la LUMIÈRE fut.
DIEU vit que la LUMIÈRE était bonne,
et DIEU sépara la LUMIÈRE des ténèbres.
DIEU appela la LUMIÈRE « Jour »,
IL appela les ténèbres « nuit ».
Il y eut un soir, il y eut un matin :
premier jour.
Et DIEU dit :
« Qu’il y ait un firmament au milieu des eaux,
et qu’il sépare les eaux. »
DIEU fit le firmament,
IL sépara les eaux qui sont au-dessous du firmament
et les eaux qui sont au-dessus.
Et ce fut ainsi.
DIEU appela le firmament « ciel ».
Il y eut un soir, il y eut un matin :
deuxième jour.
Et DIEU dit :
« Les eaux qui sont au-dessous du ciel,
qu’elles se rassemblent en un seul lieu,
et que paraisse la terre ferme. »
Et ce fut ainsi.
DIEU appela la terre ferme « terre »,
et IL appela la masse des eaux « mer ».
Et DIEU vit que cela était bon.
DIEU dit :
« Que la terre produise l’herbe,
la plante qui porte sa semence,
et que, sur la terre, l’arbre à fruit donne,
selon son espèce,
le fruit qui porte sa semence. »
Et ce fut ainsi.
La terre produisit l’herbe,
la plante qui porte sa semence, selon son espèce,
et l’arbre qui donne, selon son espèce,
le fruit qui porte sa semence.
Et DIEU vit que cela était bon.
Il y eut un soir, il y eut un matin :
troisième jour.
Et DIEU dit :
« Qu’il y ait des luminaires au firmament du ciel,
pour séparer le jour de la nuit ;
qu’ils servent de signes
pour marquer les fêtes, les jours et les années ;
et qu’ils soient, au firmament du ciel,
des luminaires pour éclairer la Terre. »
Et ce fut ainsi.
DIEU fit les deux grands luminaires :
le plus grand pour commander au jour,
le plus petit pour commander à la nuit ;
IL fit aussi les étoiles.
DIEU les plaça au firmament du ciel
pour éclairer la Terre,
pour commander au jour et à la nuit,
pour séparer la LUMIÈRE des ténèbres.
Et DIEU vit que cela était bon.
Il y eut un soir, il y eut un matin :
quatrième jour.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Livre de la Genèse 1 : 1 à 19
« DIEU dit. Et ce fut ainsi »
Au commencement,
DIEU créa le ciel et la Terre.
La Terre était informe et vide,
les ténèbres étaient au- dessus de l’abîme
et le SOUFFLE de DIEU planait au-dessus des eaux.
DIEU dit :
« Que la LUMIÈRE soit. »
Et la LUMIÈRE fut.
DIEU vit que la LUMIÈRE était bonne,
et DIEU sépara la LUMIÈRE des ténèbres.
DIEU appela la LUMIÈRE « Jour »,
IL appela les ténèbres « nuit ».
Il y eut un soir, il y eut un matin :
premier jour.
Et DIEU dit :
« Qu’il y ait un firmament au milieu des eaux,
et qu’il sépare les eaux. »
DIEU fit le firmament,
IL sépara les eaux qui sont au-dessous du firmament
et les eaux qui sont au-dessus.
Et ce fut ainsi.
DIEU appela le firmament « ciel ».
Il y eut un soir, il y eut un matin :
deuxième jour.
Et DIEU dit :
« Les eaux qui sont au-dessous du ciel,
qu’elles se rassemblent en un seul lieu,
et que paraisse la terre ferme. »
Et ce fut ainsi.
DIEU appela la terre ferme « terre »,
et IL appela la masse des eaux « mer ».
Et DIEU vit que cela était bon.
DIEU dit :
« Que la terre produise l’herbe,
la plante qui porte sa semence,
et que, sur la terre, l’arbre à fruit donne,
selon son espèce,
le fruit qui porte sa semence. »
Et ce fut ainsi.
La terre produisit l’herbe,
la plante qui porte sa semence, selon son espèce,
et l’arbre qui donne, selon son espèce,
le fruit qui porte sa semence.
Et DIEU vit que cela était bon.
Il y eut un soir, il y eut un matin :
troisième jour.
Et DIEU dit :
« Qu’il y ait des luminaires au firmament du ciel,
pour séparer le jour de la nuit ;
qu’ils servent de signes
pour marquer les fêtes, les jours et les années ;
et qu’ils soient, au firmament du ciel,
des luminaires pour éclairer la Terre. »
Et ce fut ainsi.
DIEU fit les deux grands luminaires :
le plus grand pour commander au jour,
le plus petit pour commander à la nuit ;
IL fit aussi les étoiles.
DIEU les plaça au firmament du ciel
pour éclairer la Terre,
pour commander au jour et à la nuit,
pour séparer la LUMIÈRE des ténèbres.
Et DIEU vit que cela était bon.
Il y eut un soir, il y eut un matin :
quatrième jour.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Merci à DIEU le CRÉATEUR
Psaume 103 (104), entièrement
Psaume 103 (104) : 1 et 2a, 5 et 6, 10 et 12, 24 et 35c
R/ Que DIEU se réjouisse en Ses ŒUVRES !
Bénis le SEIGNEUR, ô mon âme ;
SEIGNEUR mon DIEU, TU es si GRAND !
REVÊTU de MAGNIFICENCE,
TU as pour MANTEAU la LUMIÈRE !
R/
TU as donné son assise à la Terre :
qu’elle reste inébranlable au cours des temps.
TU l’as vêtue de l’abîme des mers :
les eaux couvraient même les montagnes.
R/
Dans les ravins TU fais jaillir des sources
et l’eau chemine aux creux des montagnes ;
les oiseaux séjournent près d’elle :
dans le feuillage on entend leurs cris.
R/
Quelle profusion dans Tes ŒUVRES, SEIGNEUR !
Tout cela, Ta SAGESSE l’a fait ;
la Terre s’emplit de Tes BIENS.
Bénis le SEIGNEUR, ô mon âme !
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Bénis le SEIGNEUR, ô mon âme ;
SEIGNEUR mon DIEU, TU es si GRAND !
REVÊTU de MAGNIFICENCE,
TU as pour MANTEAU la LUMIÈRE !
R/
TU as donné son assise à la Terre :
qu’elle reste inébranlable au cours des temps.
TU l’as vêtue de l’abîme des mers :
les eaux couvraient même les montagnes.
R/
Dans les ravins TU fais jaillir des sources
et l’eau chemine aux creux des montagnes ;
les oiseaux séjournent près d’elle :
dans le feuillage on entend leurs cris.
R/
Quelle profusion dans Tes ŒUVRES, SEIGNEUR !
Tout cela, Ta SAGESSE l’a fait ;
la Terre s’emplit de Tes BIENS.
Bénis le SEIGNEUR, ô mon âme !
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Marc 6 : 53 à 56
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Alléluia. JÉSUS proclamait l’Évangile du Royaume et guérissait toute infirmité dans le peuple. Alléluia. (cf. Mt 4, 23)
« Tous ceux qui touchèrent la frange de Son MANTEAU étaient sauvés »
En ce temps-là,
après la traversée,
abordant à Génésareth
JÉSUS et Ses Disciples accostèrent.
Ils sortirent de la barque,
et aussitôt les gens reconnurent JÉSUS :
ils parcoururent toute la région,
et se mirent à apporter les malades sur des brancards
là où l’on apprenait que JÉSUS se trouvait.
Et dans tous les endroits où IL se rendait,
dans les villages, les villes ou les campagnes,
on déposait les infirmes sur les places.
Ils LE suppliaient de leur laisser toucher
ne serait-ce que la Frange de Son MANTEAU.
Et tous ceux qui La touchèrent
étaient sauvés.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Alléluia. JÉSUS proclamait l’Évangile du Royaume et guérissait toute infirmité dans le peuple. Alléluia. (cf. Mt 4, 23)
« Tous ceux qui touchèrent la frange de Son MANTEAU étaient sauvés »
En ce temps-là,
après la traversée,
abordant à Génésareth
JÉSUS et Ses Disciples accostèrent.
Ils sortirent de la barque,
et aussitôt les gens reconnurent JÉSUS :
ils parcoururent toute la région,
et se mirent à apporter les malades sur des brancards
là où l’on apprenait que JÉSUS se trouvait.
Et dans tous les endroits où IL se rendait,
dans les villages, les villes ou les campagnes,
on déposait les infirmes sur les places.
Ils LE suppliaient de leur laisser toucher
ne serait-ce que la Frange de Son MANTEAU.
Et tous ceux qui La touchèrent
étaient sauvés.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
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Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=09/02/2015
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Invité- Invité
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonjour Nicolas
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Lundi 9 Février 2015
Guéris-moi, Jésus !
Evangile selon St Marc, chapitre 6, 53-56
Après la traversée, abordant à Génésareth, ils accostèrent.
Ils sortirent de la barque, et aussitôt les gens reconnurent Jésus : ils parcoururent toute la région, et se mirent à apporter les malades sur des brancards là où l’on apprenait que Jésus se trouvait.
Et dans tous les endroits où il se rendait, dans les villages, les villes ou les campagnes, on déposait les infirmes sur les places. Ils le suppliaient de leur laisser toucher ne serait-ce que la frange de son manteau. Et tous ceux qui la touchèrent étaient sauvés.
Prière d'introduction
Jésus, aujourd’hui, je me présente devant toi, comme l’infirme qui a besoin de guérison. Humblement, comme celui qui manque de tout et qui a tout à recevoir.
Demande
Viens, Esprit Saint, viens embraser nos cœurs, Viens au secours de nos faiblesses, Viens, Esprit Saint, viens Esprit consolateur, Emplis nous de joie et d’allégresse. (Chant)
Points de réflexion
1.Avec la grande barque de l’Église, Jésus accoste au port de ma vie.
C’est chez moi, dans ma terre, qu’il veut venir me rencontrer. Il n’a pas eu peur de traverser le ciel pour se faire chair. Il n’a pas eu peur de traverser la mer pour parvenir au port de mon âme.
Parce qu’il est venu, il nous a été possible de le reconnaître, comme les gens de Génésareth. Si Jésus n’avait pas quitté son Père pour venir nous parler de lui, nous n’en saurions pas plus sur Dieu. C’est toute l’aventure de la Révélation de Dieu dont nous parle la Bible du début à la fin.
Dieu est un Dieu qui parle, qui parle de lui, car il veut être connu en vérité. Et la vérité, c’est qu’il s’attendrit devant les misères humaines.
2. On lui apportait des brancards chargés de malades ou d’infirmes parce qu’il les guérissait, parce qu’il les consolait, parce qu’il leur faisait le don de la foi en la vie éternelle. Jésus aimait les hommes et les femmes pauvres, malades, seuls, incompris,...
Il nous révèle le cœur de son Père : un cœur rempli de charité et de miséricorde. Nos péchés, nos misères, nos infirmités ne lui font pas peur. Au contraire, il veut que nous les lui donnions. Il les prend tous sur lui. Quelles misères, quels défauts, quels péchés ai-je à lui offrir aujourd’hui ?
3. Si la frange de son manteau guérissait les malades, que fait en nous l’Eucharistie lorsque nous la mangeons ?
Ne pensons pas que ceux qui ont vu et touché Jésus il y a deux mille ans avaient plus de chance que nous. Voici qu’aujourd’hui encore, Jésus se laisse toucher et prendre, dans l’hostie.
Avec quelle foi le recevons-nous chaque dimanche ? Rien n’est impossible à Dieu. Demandons-lui de fortifier notre foi. Si je touche Jésus dans la foi, je suis non seulement guéri de mes misères et de mes péchés, mais plus encore, je suis sauvé.
Dialogue avec le Christ
Jésus, augmente ma foi ! Je t’offre tout ce que je suis, spécialement mes limites, mes pauvretés, mes péchés. Guéris-moi, Jésus ! Donne-moi de vivre cette journée sans découragement, mais au contraire, avec la joie de me savoir sauvé !
Résolution
J’irai me confesser cette semaine.
SOURCE : Catholique.org
Toucher le vêtement de Jésus
Bonjour Lumen
Bonjour à vous toutes et tous qui nous lisez
Que cette Journée soit bénie par le Seigneur et éclairée par Sa divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Lundi 9 Février 2015
Guéris-moi, Jésus !
Evangile selon St Marc, chapitre 6, 53-56
Après la traversée, abordant à Génésareth, ils accostèrent.
Ils sortirent de la barque, et aussitôt les gens reconnurent Jésus : ils parcoururent toute la région, et se mirent à apporter les malades sur des brancards là où l’on apprenait que Jésus se trouvait.
Et dans tous les endroits où il se rendait, dans les villages, les villes ou les campagnes, on déposait les infirmes sur les places. Ils le suppliaient de leur laisser toucher ne serait-ce que la frange de son manteau. Et tous ceux qui la touchèrent étaient sauvés.
Prière d'introduction
Jésus, aujourd’hui, je me présente devant toi, comme l’infirme qui a besoin de guérison. Humblement, comme celui qui manque de tout et qui a tout à recevoir.
Demande
Viens, Esprit Saint, viens embraser nos cœurs, Viens au secours de nos faiblesses, Viens, Esprit Saint, viens Esprit consolateur, Emplis nous de joie et d’allégresse. (Chant)
Points de réflexion
1.Avec la grande barque de l’Église, Jésus accoste au port de ma vie.
C’est chez moi, dans ma terre, qu’il veut venir me rencontrer. Il n’a pas eu peur de traverser le ciel pour se faire chair. Il n’a pas eu peur de traverser la mer pour parvenir au port de mon âme.
Parce qu’il est venu, il nous a été possible de le reconnaître, comme les gens de Génésareth. Si Jésus n’avait pas quitté son Père pour venir nous parler de lui, nous n’en saurions pas plus sur Dieu. C’est toute l’aventure de la Révélation de Dieu dont nous parle la Bible du début à la fin.
Dieu est un Dieu qui parle, qui parle de lui, car il veut être connu en vérité. Et la vérité, c’est qu’il s’attendrit devant les misères humaines.
2. On lui apportait des brancards chargés de malades ou d’infirmes parce qu’il les guérissait, parce qu’il les consolait, parce qu’il leur faisait le don de la foi en la vie éternelle. Jésus aimait les hommes et les femmes pauvres, malades, seuls, incompris,...
Il nous révèle le cœur de son Père : un cœur rempli de charité et de miséricorde. Nos péchés, nos misères, nos infirmités ne lui font pas peur. Au contraire, il veut que nous les lui donnions. Il les prend tous sur lui. Quelles misères, quels défauts, quels péchés ai-je à lui offrir aujourd’hui ?
3. Si la frange de son manteau guérissait les malades, que fait en nous l’Eucharistie lorsque nous la mangeons ?
Ne pensons pas que ceux qui ont vu et touché Jésus il y a deux mille ans avaient plus de chance que nous. Voici qu’aujourd’hui encore, Jésus se laisse toucher et prendre, dans l’hostie.
Avec quelle foi le recevons-nous chaque dimanche ? Rien n’est impossible à Dieu. Demandons-lui de fortifier notre foi. Si je touche Jésus dans la foi, je suis non seulement guéri de mes misères et de mes péchés, mais plus encore, je suis sauvé.
Dialogue avec le Christ
Jésus, augmente ma foi ! Je t’offre tout ce que je suis, spécialement mes limites, mes pauvretés, mes péchés. Guéris-moi, Jésus ! Donne-moi de vivre cette journée sans découragement, mais au contraire, avec la joie de me savoir sauvé !
Résolution
J’irai me confesser cette semaine.
SOURCE : Catholique.org
Toucher le vêtement de Jésus
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
- Messages : 14722
Localisation : France
Inscription : 16/01/2010
Re: Méditation du jour et les Textes, commentaires (audio,vidéo)
Bonsoir Maud, Bonsoir Lumen,
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Mardi 10 Février 2015
Sainte Scholastique, Vierge
Morte en 543. Soeur de Saint Benoît de Nursie, elle fonda un monastère au pied du mont Cassin. Elle est considérée comme la première moniale bénédictine.
5ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Blanc )
Année B
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=10/02/2015
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Amicalement, fraternellement
Nicolas
Bonsoir tous artisans de paix,
Bonsoir caillon,
Bonsoir à toutes et à tous,
Mardi 10 Février 2015
Sainte Scholastique, Vierge
Morte en 543. Soeur de Saint Benoît de Nursie, elle fonda un monastère au pied du mont Cassin. Elle est considérée comme la première moniale bénédictine.
5ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Blanc )
Année B
(Première lecture)
Livre de la Genèse 1 : 20 à 2 : 4a
« Faisons l’Homme à Notre IMAGE, selon Notre RESSEMBLANCE »
Quand IL créa le ciel et la Terre,
DIEU dit encore :
« Que les eaux foisonnent
d’une profusion d’êtres vivants,
et que les oiseaux volent au-dessus de la terre,
sous le firmament du ciel. »
DIEU créa, selon leur espèce,
les grands monstres marins,
tous les êtres vivants qui vont et viennent
et foisonnent dans les eaux,
et aussi, selon leur espèce,
tous les oiseaux qui volent.
Et DIEU vit que cela était bon.
DIEU les bénit par Ces PAROLES :
« Soyez féconds et multipliez-vous,
remplissez les mers,
que les oiseaux se multiplient sur la Terre. »
Il y eut un soir, il y eut un matin :
cinquième jour.
Et DIEU dit :
« Que la Terre produise des êtres vivants
selon leur espèce,
bestiaux, bestioles et bêtes sauvages
selon leur espèce. »
Et ce fut ainsi.
DIEU fit les bêtes sauvages selon leur espèce,
les bestiaux selon leur espèce,
et toutes les bestioles de la Terre selon leur espèce.
Et DIEU vit que cela était bon.
DIEU dit :
« Faisons l’Homme à Notre IMAGE,
selon Notre RESSEMBLANCE.
Qu’Il soit le Maître des poissons de la mer, des oiseaux du ciel,
des bestiaux, de toutes les bêtes sauvages,
et de toutes les bestioles
qui vont et viennent sur la terre. »
DIEU créa l’Homme à Son IMAGE,
à l’IMAGE de DIEU IL Lle créa,
IL les créa homme et femme.
DIEU les bénit et leur dit :
« Soyez féconds et multipliez-vous,
remplissez la Terre et soumettez-la.
Soyez les Maîtres
des poissons de la mer, des oiseaux du ciel,
et de tous les animaux qui vont et viennent sur la Terre. »
DIEU dit encore :
« Je vous donne toute plante qui porte sa semence
sur toute la surface de la Terre,
et tout arbre dont le fruit porte sa semence :
telle sera votre nourriture.
À tous les animaux de la Terre,
à tous les oiseaux du ciel,
à tout ce qui va et vient sur la Terre
et qui a SOUFFLE de VIE,
Je donne comme nourriture toute herbe verte. »
Et ce fut ainsi.
Et DIEU vit tout ce qu’IL avait fait ;
et voici : cela était très bon.
Il y eut un soir, il y eut un matin :
sixième jour.
Ainsi furent achevés le ciel et la Terre,
et tout leur déploiement.
Le Septième jour,
DIEU avait achevé l’ŒUVRE qu’IL avait faite.
IL se reposa, le Septième jour,
de toute l’ŒUVRE qu’IL avait faite.
Et DIEU bénit le Septième jour :
IL Le sanctifia
puisque, ce jour-là, IL se reposa
de toute l’ŒUVRE de CRÉATION qu’IL avait faite.
Telle fut l’ORIGINE du ciel et de la Terre
lorsqu’ils furent créés.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Livre de la Genèse 1 : 20 à 2 : 4a
« Faisons l’Homme à Notre IMAGE, selon Notre RESSEMBLANCE »
Quand IL créa le ciel et la Terre,
DIEU dit encore :
« Que les eaux foisonnent
d’une profusion d’êtres vivants,
et que les oiseaux volent au-dessus de la terre,
sous le firmament du ciel. »
DIEU créa, selon leur espèce,
les grands monstres marins,
tous les êtres vivants qui vont et viennent
et foisonnent dans les eaux,
et aussi, selon leur espèce,
tous les oiseaux qui volent.
Et DIEU vit que cela était bon.
DIEU les bénit par Ces PAROLES :
« Soyez féconds et multipliez-vous,
remplissez les mers,
que les oiseaux se multiplient sur la Terre. »
Il y eut un soir, il y eut un matin :
cinquième jour.
Et DIEU dit :
« Que la Terre produise des êtres vivants
selon leur espèce,
bestiaux, bestioles et bêtes sauvages
selon leur espèce. »
Et ce fut ainsi.
DIEU fit les bêtes sauvages selon leur espèce,
les bestiaux selon leur espèce,
et toutes les bestioles de la Terre selon leur espèce.
Et DIEU vit que cela était bon.
DIEU dit :
« Faisons l’Homme à Notre IMAGE,
selon Notre RESSEMBLANCE.
Qu’Il soit le Maître des poissons de la mer, des oiseaux du ciel,
des bestiaux, de toutes les bêtes sauvages,
et de toutes les bestioles
qui vont et viennent sur la terre. »
DIEU créa l’Homme à Son IMAGE,
à l’IMAGE de DIEU IL Lle créa,
IL les créa homme et femme.
DIEU les bénit et leur dit :
« Soyez féconds et multipliez-vous,
remplissez la Terre et soumettez-la.
Soyez les Maîtres
des poissons de la mer, des oiseaux du ciel,
et de tous les animaux qui vont et viennent sur la Terre. »
DIEU dit encore :
« Je vous donne toute plante qui porte sa semence
sur toute la surface de la Terre,
et tout arbre dont le fruit porte sa semence :
telle sera votre nourriture.
À tous les animaux de la Terre,
à tous les oiseaux du ciel,
à tout ce qui va et vient sur la Terre
et qui a SOUFFLE de VIE,
Je donne comme nourriture toute herbe verte. »
Et ce fut ainsi.
Et DIEU vit tout ce qu’IL avait fait ;
et voici : cela était très bon.
Il y eut un soir, il y eut un matin :
sixième jour.
Ainsi furent achevés le ciel et la Terre,
et tout leur déploiement.
Le Septième jour,
DIEU avait achevé l’ŒUVRE qu’IL avait faite.
IL se reposa, le Septième jour,
de toute l’ŒUVRE qu’IL avait faite.
Et DIEU bénit le Septième jour :
IL Le sanctifia
puisque, ce jour-là, IL se reposa
de toute l’ŒUVRE de CRÉATION qu’IL avait faite.
Telle fut l’ORIGINE du ciel et de la Terre
lorsqu’ils furent créés.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
La GLOIRE de DIEU et la grandeur de l’homme
Psaume appartenant au répertoire du chef de chorale et au recueil de David. Accompagnement sur la harpe de Gat.
Psaume 8, entièrement
Psaume 8, entièrement
Psaume 8 : 4 et 5, 6 et 7, 8 et 9
R/ Ô SEIGNEUR notre DIEU,
qu’IL est GRAND, Ton NOM par toute la Terre !
À voir Ton ciel, ouvrage de Tes DOIGTS,
la Lune et les Étoiles que TU fixas,
qu’est-ce que l’homme pour que TU penses à lui,
le FILS d’un Homme, que TU en prennes souci ?
R/
TU L’as voulu un peu moindre qu’un dieu,
LE couronnant de GLOIRE et d’HONNEUR ;
TU L’établis sur les ŒUVRES de Tes MAINS,
TU mets toute chose à Ses PIEDS.
R/
Les troupeaux de bœufs et de brebis,
et même les bêtes sauvages,
les oiseaux du ciel et les poissons de la mer,
tout ce qui va son chemin dans les eaux.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
qu’IL est GRAND, Ton NOM par toute la Terre !
À voir Ton ciel, ouvrage de Tes DOIGTS,
la Lune et les Étoiles que TU fixas,
qu’est-ce que l’homme pour que TU penses à lui,
le FILS d’un Homme, que TU en prennes souci ?
R/
TU L’as voulu un peu moindre qu’un dieu,
LE couronnant de GLOIRE et d’HONNEUR ;
TU L’établis sur les ŒUVRES de Tes MAINS,
TU mets toute chose à Ses PIEDS.
R/
Les troupeaux de bœufs et de brebis,
et même les bêtes sauvages,
les oiseaux du ciel et les poissons de la mer,
tout ce qui va son chemin dans les eaux.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Marc 7 : 1 à 13
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Incline mon cœur vers Tes EXIGENCES ; fais- moi la GRÂCE de Ta LOI, SEIGNEUR. Alléluia. (Ps 118, 36a.29b)
« Vous laissez de côté le COMMANDEMENT de DIEU, pour vous attacher à la tradition des hommes »
En ce temps-là,
les pharisiens et quelques scribes, venus de Jérusalem,
se réunissent auprès de JÉSUS,
et voient quelques-uns de Ses Disciples prendre leur repas
avec des mains impures, c’est-à-dire non lavées.
– Les pharisiens en effet, comme tous les Juifs,
se lavent toujours soigneusement les mains avant de manger,
par attachement à la tradition des anciens ;
et au retour du marché,
ils ne mangent pas avant de s’être aspergés d’eau,
et ils sont attachés encore par tradition
à beaucoup d’autres pratiques :
lavage de coupes, de carafes et de plats.
Alors les pharisiens et les scribes demandèrent à JÉSUS :
« Pourquoi Tes Disciples ne suivent-Ils pas la tradition des anciens ?
Ils prennent leurs repas avec des mains impures. »
JÉSUS leur répondit :
« Isaïe a bien prophétisé à votre sujet, hypocrites,
ainsi qu’il est écrit :
Ce peuple M’honore des lèvres,
mais son cœur est loin de Moi.
C’est en vain qu’ils Me rendent un culte ;
les doctrines qu’ils enseignent ne sont que des préceptes humains.
Vous aussi, vous laissez de côté le COMMANDEMENT de DIEU,
pour vous attacher à la tradition des hommes. »
IL leur disait encore :
« Vous rejetez bel et bien le COMMANDEMENT de DIEU
pour établir votre tradition.
En effet, Moïse a dit :
Honore ton père et ta mère.
Et encore :
Celui qui maudit son père ou sa mère sera mis à mort.
Mais vous, vous dites :
Supposons qu’un homme déclare
à son père ou à sa mère :
“Les ressources qui m’auraient permis de t’aider
sont korbane, c’est-à-dire don réservé à DIEU”,
alors vous ne l’autorisez plus à faire quoi que ce soit
pour son père ou sa mère ;
vous annulez ainsi la PAROLE de DIEU
par la tradition que vous transmettez.
Et vous faites beaucoup de choses du même genre. »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Incline mon cœur vers Tes EXIGENCES ; fais- moi la GRÂCE de Ta LOI, SEIGNEUR. Alléluia. (Ps 118, 36a.29b)
« Vous laissez de côté le COMMANDEMENT de DIEU, pour vous attacher à la tradition des hommes »
En ce temps-là,
les pharisiens et quelques scribes, venus de Jérusalem,
se réunissent auprès de JÉSUS,
et voient quelques-uns de Ses Disciples prendre leur repas
avec des mains impures, c’est-à-dire non lavées.
– Les pharisiens en effet, comme tous les Juifs,
se lavent toujours soigneusement les mains avant de manger,
par attachement à la tradition des anciens ;
et au retour du marché,
ils ne mangent pas avant de s’être aspergés d’eau,
et ils sont attachés encore par tradition
à beaucoup d’autres pratiques :
lavage de coupes, de carafes et de plats.
Alors les pharisiens et les scribes demandèrent à JÉSUS :
« Pourquoi Tes Disciples ne suivent-Ils pas la tradition des anciens ?
Ils prennent leurs repas avec des mains impures. »
JÉSUS leur répondit :
« Isaïe a bien prophétisé à votre sujet, hypocrites,
ainsi qu’il est écrit :
Ce peuple M’honore des lèvres,
mais son cœur est loin de Moi.
C’est en vain qu’ils Me rendent un culte ;
les doctrines qu’ils enseignent ne sont que des préceptes humains.
Vous aussi, vous laissez de côté le COMMANDEMENT de DIEU,
pour vous attacher à la tradition des hommes. »
IL leur disait encore :
« Vous rejetez bel et bien le COMMANDEMENT de DIEU
pour établir votre tradition.
En effet, Moïse a dit :
Honore ton père et ta mère.
Et encore :
Celui qui maudit son père ou sa mère sera mis à mort.
Mais vous, vous dites :
Supposons qu’un homme déclare
à son père ou à sa mère :
“Les ressources qui m’auraient permis de t’aider
sont korbane, c’est-à-dire don réservé à DIEU”,
alors vous ne l’autorisez plus à faire quoi que ce soit
pour son père ou sa mère ;
vous annulez ainsi la PAROLE de DIEU
par la tradition que vous transmettez.
Et vous faites beaucoup de choses du même genre. »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
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