Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
mamedjo a écrit:Bonjour Stef ,
je suis d'accord pour parler avec vous de la psychiatrie telle que je l'ai vu a travers mon métier et a travers mon vécu d'épouse ...Je ne connais que le système public français gratuit ouvert à tous et se chargeant des soins ordonnés par des placements sous contrainte .
si vous preferez utilisez le systeme par message personnel .
a bientôt et Sainte Journée pascale pour demain. Je vous présenterai au Seigneur, ainsi que nos amis de ce forum, lors de la messe demain matin
que Dieu vous bénisse et couvre de son amour les patients actuellement en traitement pour des soins mentaux .
Bonsoir Mamedjo,
Je vous réponds avec un peu de retard, et je m'en excuses.
Je vous remercie pour vos intentions.
Je serais ravi, et néanmoins un peu peureux, de dialoguer sur la psychiatrie, à travers des messages plutôt personnels, car il ne s'agit pas de faire étalage de tout ici.
Je connais également que le système français.
Par contre, je ne saurais par où commencer, sans trop raconter ma vie.....Si vous avez une piste ?
Je vous souhaite une bonne fin de semaine ainsi qu'un bon jeudi du 1er mai.
Que Dieu vous bénisse ainsi que toutes et tous.
Stef54- Aime la Divine Volonté
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Personellement je suis allée 3 fois plusieurs semaines dans un hôpital psychiatrique à cause de mon anorexie quand j'étais jeune (heureusement j'ai guéri en 2 ans, ce n'est pas devenu chronique).
C'est comme une zone de non droit.
De toutes façons, ceux qui refusent les médicaments se les font finalement injecter : cela revient au même.
Les seuls rayons de soleil étaient les autres patient(e)s de ma tranche d'âge : on développe une solidarité. J'en profite pour remercier Muriel !
C'est comme une zone de non droit.
De toutes façons, ceux qui refusent les médicaments se les font finalement injecter : cela revient au même.
Les seuls rayons de soleil étaient les autres patient(e)s de ma tranche d'âge : on développe une solidarité. J'en profite pour remercier Muriel !
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Quand j'avais 23 ans, suite à une liaison avec un homme très déséquilibré qui était bisexuel et versait dans l'occultisme (astrologie, pendule, cartomancie, fréquentations de groupes New age et d'une secte : Osho Ranesh), j'étais à la dérive :
insomnies, perte de poids importante,dépression et je n'allais plus aux cours de la fac, je restais désemparée à attendre ses appels.
Après une TS je suis allée 3 jours à l'hopital, ils m'ont remise dehors en me disant que ce service était pour des psychotiques et que c'était pas mon cas.
A l'hopital de jour je commence une thérapie avec une psychologue clinicienne (c'était en Allemagne), elle avait le droit de prescrire des médicaments.
Elle m'a prescrit un médicament réservé aux psychotiques !
Elle m'a prescrit cela d'emblée !
Et je n'ai jamais été psychotique !
Au bout de six entretiens elle m'a dit son diagnostic : état-limite.
Là encore c'était erroné : les comportements (peur de l'abandon, vive réaction au stress, perte de l'espoir en l'avenir...)que j'ai pu avoir durant cette année de liaison puis rupture avec cet homme instable (et le milieu "gay" où il était une "star") et qui ont pu la mettre sur cette piste ont disparu rapidement et à eux seuls ils ne suffisent pas à déclarer quelqu'un "état-limite". Pour cela il faut d'autres critères, notamment les "cas-limites" se mettent régulièrement en danger(sur la route, alcool), se scarifient, se font couler le sang, et je ne faisais pas ça.
Je n'avais plus de troubles alimentaire; pas de comportements autodestructeurs ni à risques; pas de comportements impulsif (achats, nourriture...).
J'étais épuisée comme quand on se fait harceler:
désespérée, je ne savais plus où j'en étais, mais ça se comprend après l'échec d'une relation avec son premier amoureux...ça s'est estompé ensuite, avec le temps j'ai repris pied dans la vie.
Quelques années plus tard une autre psy m'a confirmé que ce diagnostic était faux et que cette psychologue aurait du me faire prendre seulement un antidépresseur.
J'ai plus tard consulté internet et vu que ce médicament n'était pas du tout adapté.
Et pourtant au moment où elle m'a mise à la porte, j'ai consulté d'autres psys pour essayer de comprendre ce qui m'arrivait, et tous disaient d'elle "c'est une très bonne thérapeute".
insomnies, perte de poids importante,dépression et je n'allais plus aux cours de la fac, je restais désemparée à attendre ses appels.
Après une TS je suis allée 3 jours à l'hopital, ils m'ont remise dehors en me disant que ce service était pour des psychotiques et que c'était pas mon cas.
A l'hopital de jour je commence une thérapie avec une psychologue clinicienne (c'était en Allemagne), elle avait le droit de prescrire des médicaments.
Elle m'a prescrit un médicament réservé aux psychotiques !
Elle m'a prescrit cela d'emblée !
Et je n'ai jamais été psychotique !
Au bout de six entretiens elle m'a dit son diagnostic : état-limite.
Là encore c'était erroné : les comportements (peur de l'abandon, vive réaction au stress, perte de l'espoir en l'avenir...)que j'ai pu avoir durant cette année de liaison puis rupture avec cet homme instable (et le milieu "gay" où il était une "star") et qui ont pu la mettre sur cette piste ont disparu rapidement et à eux seuls ils ne suffisent pas à déclarer quelqu'un "état-limite". Pour cela il faut d'autres critères, notamment les "cas-limites" se mettent régulièrement en danger(sur la route, alcool), se scarifient, se font couler le sang, et je ne faisais pas ça.
Je n'avais plus de troubles alimentaire; pas de comportements autodestructeurs ni à risques; pas de comportements impulsif (achats, nourriture...).
J'étais épuisée comme quand on se fait harceler:
désespérée, je ne savais plus où j'en étais, mais ça se comprend après l'échec d'une relation avec son premier amoureux...ça s'est estompé ensuite, avec le temps j'ai repris pied dans la vie.
Quelques années plus tard une autre psy m'a confirmé que ce diagnostic était faux et que cette psychologue aurait du me faire prendre seulement un antidépresseur.
J'ai plus tard consulté internet et vu que ce médicament n'était pas du tout adapté.
Et pourtant au moment où elle m'a mise à la porte, j'ai consulté d'autres psys pour essayer de comprendre ce qui m'arrivait, et tous disaient d'elle "c'est une très bonne thérapeute".
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
J'avoue aussi que j'avais pris ce médicament deux ou trois jours : je me méfiais.
Après je l'ai "oublié".
Je me méfiais de cette psy car ses méthodes étaient très dures, on passait ma vie au crible et elle ne tenait pas compte que je sortais d'une relation éprouvante et toxique, non,pour elle je n'étais pas "saine" et c'est "à cause de ça" que j'étais "allée inconsciemment vers ce type de relation".
Elle passait toute ma vie au scanner de ses fiches de classement et m'appliquait une méthode "corrective".
J'avais toujours tout faux.
Je m'interrogeais beaucoup sur ce que c'est la bissexualité, sur la profondeur de mes blessures, sur la sexualité "libérée", mais elle bloquait toute réfléxion dans ce sens parce que "ne rejetez pas la responsabilité de vos souffrances sur le monde extérieur, c'est vous qui en êtes responsable" et "l"homosexualité, la bissexualité, ce sont des sexualités comme toutes les autres".
C'était horrible, je n'avais pas l'autorisation de penser.
Elle me parlait avec un ton ironique et condescendant, comme si j'avais été une "grande enfant".
Si je me conformais à ses "prescriptions" (médicamenteuses, comportementales, dans le ressenti) j'irais "mieux".
Or j'étais capable sans son "aide" de me donner une hygiène de vie, de me lever tôt, d'arrêter de fréquenter certains milieux et de retourner en fac : c'est ce que j'ai fait !
Et pour le ressenti, je trouve cela étrange qu'on soit "malade" dès qu'on souffre un peu "trop" pour une rupture ou qu'on met "trop" de temps à oublier la personne.
Après je l'ai "oublié".
Je me méfiais de cette psy car ses méthodes étaient très dures, on passait ma vie au crible et elle ne tenait pas compte que je sortais d'une relation éprouvante et toxique, non,pour elle je n'étais pas "saine" et c'est "à cause de ça" que j'étais "allée inconsciemment vers ce type de relation".
Elle passait toute ma vie au scanner de ses fiches de classement et m'appliquait une méthode "corrective".
J'avais toujours tout faux.
Je m'interrogeais beaucoup sur ce que c'est la bissexualité, sur la profondeur de mes blessures, sur la sexualité "libérée", mais elle bloquait toute réfléxion dans ce sens parce que "ne rejetez pas la responsabilité de vos souffrances sur le monde extérieur, c'est vous qui en êtes responsable" et "l"homosexualité, la bissexualité, ce sont des sexualités comme toutes les autres".
C'était horrible, je n'avais pas l'autorisation de penser.
Elle me parlait avec un ton ironique et condescendant, comme si j'avais été une "grande enfant".
Si je me conformais à ses "prescriptions" (médicamenteuses, comportementales, dans le ressenti) j'irais "mieux".
Or j'étais capable sans son "aide" de me donner une hygiène de vie, de me lever tôt, d'arrêter de fréquenter certains milieux et de retourner en fac : c'est ce que j'ai fait !
Et pour le ressenti, je trouve cela étrange qu'on soit "malade" dès qu'on souffre un peu "trop" pour une rupture ou qu'on met "trop" de temps à oublier la personne.
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
J'ai trouvé sur youtube un reportage sur Arte, la chaine franco-allemande, à l'hopital Sainte Anne à Paris (le plus célèbre des hopitaux psychiatriques français) :
c'est HORRIBLE !!!
Pauvres gens, on les assomme de médicaments et c'est tout.
Le personnel est endurci, les aides-soignants leur parlent comme à des bêtes ("continuez comme ça et vous serez attaché"), pas de possibilités de téléphoner...une jeune femme est déshabillée non par une infirmière mais par un infirmier (un homme : c'est fort de café, quand même) et le chef du service n'arrête pas de dire au personnel soignant qu'il faut trairer, coller des médicaments, etc.
On est dans un rapport de force très froid, ça ressemble au milieu carcéral, et encore ! J'avais donné autrefois des spectacles de chanson dans un centre de détention et je trouvais qu'ils étaient mieux traités.
c'est HORRIBLE !!!
Pauvres gens, on les assomme de médicaments et c'est tout.
Le personnel est endurci, les aides-soignants leur parlent comme à des bêtes ("continuez comme ça et vous serez attaché"), pas de possibilités de téléphoner...une jeune femme est déshabillée non par une infirmière mais par un infirmier (un homme : c'est fort de café, quand même) et le chef du service n'arrête pas de dire au personnel soignant qu'il faut trairer, coller des médicaments, etc.
On est dans un rapport de force très froid, ça ressemble au milieu carcéral, et encore ! J'avais donné autrefois des spectacles de chanson dans un centre de détention et je trouvais qu'ils étaient mieux traités.
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
oh ces méthodes,
en tout cas, la psychologie qui fait culpabiliser c'est plutôt louche.
un bon psychologue amène la personne à se connaître, elle l'amène à réfléchir sur ses véritables motivations dans la vie, l'aide à retomber sur terre quand c'est hors limite;
Sur ce qu'elle veut, et ne veut plus. Et l'aide à s'affirmer, à ne plus accepter !
Il fait en sorte de faire ressortir les refoulements qui bloquent les processus.
il faut aussi avoir la foi !!
et mettre le tout dans la balance
en tout cas, la psychologie qui fait culpabiliser c'est plutôt louche.
un bon psychologue amène la personne à se connaître, elle l'amène à réfléchir sur ses véritables motivations dans la vie, l'aide à retomber sur terre quand c'est hors limite;
Sur ce qu'elle veut, et ne veut plus. Et l'aide à s'affirmer, à ne plus accepter !
Il fait en sorte de faire ressortir les refoulements qui bloquent les processus.
il faut aussi avoir la foi !!
et mettre le tout dans la balance
namita- Contre la Franc Maconnerie
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Vous faites bien, Philon, de rapporter votre expérience..
Elle peut éviter à certaines personnes des déboires; tout en les aidant à se convaincre que, décidément non!, les psys n'ont pas forcément toujours raison.
Ou, autrement dit, qu'on peut avoir raison envers et contre tous...les psys de tout poil.
Elle peut éviter à certaines personnes des déboires; tout en les aidant à se convaincre que, décidément non!, les psys n'ont pas forcément toujours raison.
Ou, autrement dit, qu'on peut avoir raison envers et contre tous...les psys de tout poil.
Delsanto- En adoration
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Merci de vos réponses !
Je pense que les patients qui sont déjà allés dans un service de psychiatrie vont avoir peur, ils voudront prouver à tous prix qu'ils sont normaux, de peur qu'on les y remettent !
C'est là que commence la culpabilisation. Souvent ce sont des abandonnés sociaux, personne ne veut d'eux.
A l'époque où j'ai fait cette deuxième thérapie (avec celle qui m'a donné une mauvaise ordonnance),
je cumulais les causes de vulnérabilité :
seule à l'étranger (pas de soutien familial )
revenus précaires
jeune, mal informée
venant de subir une rupture.
Les psys centrent tout sur l'individu, pour eux le contexte socio économique , l'insécurité, la casse du lien familial et social, ce n'est pas ce qui rend les gens malades, non : c'est qu'ils sont de toutes façons malades (donc il faut prescrire) et que ces chocs "inévitables" ( exemple : une tromperie; un harcèlement; un licenciement; un divorce subi...) révèlent leur fragilité !!!!!
Et cette fragilité prétendue s'explique pour eux par l'enfance ou, plus inquiétant encore, l'hérédité, la génétique.
Je pense que les patients qui sont déjà allés dans un service de psychiatrie vont avoir peur, ils voudront prouver à tous prix qu'ils sont normaux, de peur qu'on les y remettent !
C'est là que commence la culpabilisation. Souvent ce sont des abandonnés sociaux, personne ne veut d'eux.
A l'époque où j'ai fait cette deuxième thérapie (avec celle qui m'a donné une mauvaise ordonnance),
je cumulais les causes de vulnérabilité :
seule à l'étranger (pas de soutien familial )
revenus précaires
jeune, mal informée
venant de subir une rupture.
Les psys centrent tout sur l'individu, pour eux le contexte socio économique , l'insécurité, la casse du lien familial et social, ce n'est pas ce qui rend les gens malades, non : c'est qu'ils sont de toutes façons malades (donc il faut prescrire) et que ces chocs "inévitables" ( exemple : une tromperie; un harcèlement; un licenciement; un divorce subi...) révèlent leur fragilité !!!!!
Et cette fragilité prétendue s'explique pour eux par l'enfance ou, plus inquiétant encore, l'hérédité, la génétique.
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Namita,
est-ce que ce que vous dites d'un "bon" psy est le fruit d'une expérience personnelle (ou de proches) concrète ?
est-ce que ce que vous dites d'un "bon" psy est le fruit d'une expérience personnelle (ou de proches) concrète ?
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Le problème quand on est dans une souffrance est que son origine peut être concrète/sociale/sociétale/économique.... et que la psychiatrie et la psychanalyse conditionnent nos sociétés à interpréter les souffrances, quelles qu'elles soient, sous l'angle "psy".
Variables selon l'école ou la profession (psychiatre, psychologue clinicien...) ces interprétations ont un dénominateur commun : l'origine de la souffrance est dans l'individu.
C'est très contestable mais à l'ére du "tout-psy" il devient "immoral" de vouloir y échapper (d'où les discours du "prends-toi en main", "il vaut mieux changer soi-même que changer le monde", etc.).
Variables selon l'école ou la profession (psychiatre, psychologue clinicien...) ces interprétations ont un dénominateur commun : l'origine de la souffrance est dans l'individu.
C'est très contestable mais à l'ére du "tout-psy" il devient "immoral" de vouloir y échapper (d'où les discours du "prends-toi en main", "il vaut mieux changer soi-même que changer le monde", etc.).
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Je pense par exemple à de nombreuses souffrances de femmes liées à la "libération sexuelle" avec ses multiples conséquences sur le rapport à la fécondité, à l'autre,à l'enfant...et qui sont interprétées avec les grilles de la psychanalyse ou de la psychiatrie.
Alors qu'avec un "conservatisme" lucide et réfléchi, on pourrait les atténuer, leur donner sens ou même les éviter !!!!
Alors qu'avec un "conservatisme" lucide et réfléchi, on pourrait les atténuer, leur donner sens ou même les éviter !!!!
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Les hôpitaux psychiatriques sont des mannes financières pour les ventes des laboratoires pharmaceutiques.
Business.
Avec des cadeaux pour ceux qui prescrivent.
J'ai même vu une psychiatre rouler en Porsche.
Les médicaments chimiques créent une accoutumance et une dépendance à ces médicaments prescrits, telle une drogue,
ils coupent toute volonté, donc toute volonté de s'en sortir.
Et de plus créent des effets secondaires dans le corps physique, qui obligent à prendre, en plus, des médicaments pour soigner les conséquences des effets secondaires.
Un cercle vicieux qui rapporte beaucoup de millions d'euros aux laboratoires pharmaceutiques. Bling bling.
Les malades les intéressent, financièrement,
mais ce qui ne les intéresse PAS,
c'est que les gens retrouvent la bonne santé, ou la préservent.
La psychiatrie et la psychologie sont des méthodes qui restent dans le mental.
Or les émotions ne sont PAS dans le mental.
Les émotions ressenties sont dans la mémoire émotionnelle, qui se trouve dans le cerveau limbique, certes, mais pas seulement, dans toutes les cellules du corps humain.
Les émotions sont naturelles et tout à fait normales, sans émotions nous serions des sortes de "robots" inhumains, incapables de ressentir des émotions, donc incapables d'aimer et d'apprécier d'être aimés.
Chercher toujours les méthodes et soins les plus naturels possibles.
Par respect pour soi.
Il est parfaitement naturel de ressentir des émotions après une rupture de relation sentimentale, une déception.
Parfois, souvent même, cette fin de relation est nécessaire, pour reprendre votre vie en main, retrouver votre bon chemin de vie,
et surtout tirer la leçon de l'épreuve traversée,
pour ne pas recommencer à subir cela.
Les épreuves de la vie sont faites pour être traversées
sans être démoli par elles.
Se faire aider par la Grâce de Dieu qui peut nous accompagner,
tout en s'aidant soi-même.
Il y a toujours une leçon à apprendre, un chemin pour évoluer.
Si la leçon est bien comprise, (sans jamais se culpabiliser, mais juste avec une conscience claire), alors la situation ne se représentera plus dans votre vie.
La psychothérapie est un bon starter de début de travail sur soi pour guérir nos blessures, mais ce n'est pas une fin.
Se confier par la parole à une personne neutre qui n'ets aps de votre entourage famille ou amis et est tenue à la confidentialité est une bonne chose SI la personne vous respecte et a une très bonne qualité d'écoute.
Les psychothérapeutes ont un diplôme universitaire et ne peuvent PAS prescrire de médicaments.
Les psychiatres sont des docteurs en médecine qui ont suivi ensuite une spécialité et qui peuvent (hélas souvent) prescrire des médicaments (très) chimiques.
Créant une accoutumance et une forte dépendance aux médicaments.
Et coupant toute volonté, en anesthésiant les symptômes, sans aller chercher les vraies causes.
Il y a toujours une, ou des causes.
Il y a toujours une cause à une émotion, ou à un comportement.
Ne pas soigner la racine la cause de telle émotion, qui conduit à tel comportement,
ne guérit rien.
Tout est lié et interdépendant, corps, âme, esprit.
Soigner le corps sans soigner l'âme ne sert à rien.
Tout vient de l'enfance en effet, et même de la vie fœtale (souventes fois),
où l'enfant appelé fœtus est aussi une âme et un esprit,
un être humain parfaitement conscient de ce qui l'entoure, qui absorbe comme une éponge émotionnelle tous les émotions de sa maman qui le porte en son ventre.
Chercher toujours des plantes, et des méthodes naturelles de guérison,
en cherchant la cause d'origine de telle mémoire d'émotion,
permet de guérir.
Je reste persuadé que Dieu Amour et Science infuse,
a fait des nous des êtres doués pour la Joie de vivre et la Joie d'aimer et d'être aimés !
Et qu'il a mis TOUT dans la Nature, dans Sa Création pour que l'on puisse se guérir
de tout.
Il existe en chacun de nous une parcelle de l'Esprit Saint,
cet endroit merveilleux où personne (si nous ne le voulons pas volontairement)
personne ne peut nous salir, nous souiller.
Cette Lumière est en nous et nous aide.
Business.
Avec des cadeaux pour ceux qui prescrivent.
J'ai même vu une psychiatre rouler en Porsche.
Les médicaments chimiques créent une accoutumance et une dépendance à ces médicaments prescrits, telle une drogue,
ils coupent toute volonté, donc toute volonté de s'en sortir.
Et de plus créent des effets secondaires dans le corps physique, qui obligent à prendre, en plus, des médicaments pour soigner les conséquences des effets secondaires.
Un cercle vicieux qui rapporte beaucoup de millions d'euros aux laboratoires pharmaceutiques. Bling bling.
Les malades les intéressent, financièrement,
mais ce qui ne les intéresse PAS,
c'est que les gens retrouvent la bonne santé, ou la préservent.
La psychiatrie et la psychologie sont des méthodes qui restent dans le mental.
Or les émotions ne sont PAS dans le mental.
Les émotions ressenties sont dans la mémoire émotionnelle, qui se trouve dans le cerveau limbique, certes, mais pas seulement, dans toutes les cellules du corps humain.
Les émotions sont naturelles et tout à fait normales, sans émotions nous serions des sortes de "robots" inhumains, incapables de ressentir des émotions, donc incapables d'aimer et d'apprécier d'être aimés.
Chercher toujours les méthodes et soins les plus naturels possibles.
Par respect pour soi.
Il est parfaitement naturel de ressentir des émotions après une rupture de relation sentimentale, une déception.
Parfois, souvent même, cette fin de relation est nécessaire, pour reprendre votre vie en main, retrouver votre bon chemin de vie,
et surtout tirer la leçon de l'épreuve traversée,
pour ne pas recommencer à subir cela.
Les épreuves de la vie sont faites pour être traversées
sans être démoli par elles.
Se faire aider par la Grâce de Dieu qui peut nous accompagner,
tout en s'aidant soi-même.
Il y a toujours une leçon à apprendre, un chemin pour évoluer.
Si la leçon est bien comprise, (sans jamais se culpabiliser, mais juste avec une conscience claire), alors la situation ne se représentera plus dans votre vie.
La psychothérapie est un bon starter de début de travail sur soi pour guérir nos blessures, mais ce n'est pas une fin.
Se confier par la parole à une personne neutre qui n'ets aps de votre entourage famille ou amis et est tenue à la confidentialité est une bonne chose SI la personne vous respecte et a une très bonne qualité d'écoute.
Les psychothérapeutes ont un diplôme universitaire et ne peuvent PAS prescrire de médicaments.
Les psychiatres sont des docteurs en médecine qui ont suivi ensuite une spécialité et qui peuvent (hélas souvent) prescrire des médicaments (très) chimiques.
Créant une accoutumance et une forte dépendance aux médicaments.
Et coupant toute volonté, en anesthésiant les symptômes, sans aller chercher les vraies causes.
Il y a toujours une, ou des causes.
Il y a toujours une cause à une émotion, ou à un comportement.
Ne pas soigner la racine la cause de telle émotion, qui conduit à tel comportement,
ne guérit rien.
Tout est lié et interdépendant, corps, âme, esprit.
Soigner le corps sans soigner l'âme ne sert à rien.
Tout vient de l'enfance en effet, et même de la vie fœtale (souventes fois),
où l'enfant appelé fœtus est aussi une âme et un esprit,
un être humain parfaitement conscient de ce qui l'entoure, qui absorbe comme une éponge émotionnelle tous les émotions de sa maman qui le porte en son ventre.
Chercher toujours des plantes, et des méthodes naturelles de guérison,
en cherchant la cause d'origine de telle mémoire d'émotion,
permet de guérir.
Je reste persuadé que Dieu Amour et Science infuse,
a fait des nous des êtres doués pour la Joie de vivre et la Joie d'aimer et d'être aimés !
Et qu'il a mis TOUT dans la Nature, dans Sa Création pour que l'on puisse se guérir
de tout.
Il existe en chacun de nous une parcelle de l'Esprit Saint,
cet endroit merveilleux où personne (si nous ne le voulons pas volontairement)
personne ne peut nous salir, nous souiller.
Cette Lumière est en nous et nous aide.
Michel5- Pour le roi
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
@philon
j'ai eu à faire à un psy
à la suite d'un travail d'enfer, je me suis retrouvée en urgence sur un lit d'hôpital, avec intervention en urgence.
je ne savais pas lever le pied,
Il m'a fait travailler sur ça. Il m'a fait lever le rideau qui a fait que j'ai atteint le mur.
en bref
Alors que j'avais 17 ans, j'ai dû faire appel à une ambulance pour emmener ma mère très malade. Nous étions en camping. Ca a été une course contre la montre.
malheureusement elle est partie de ce monde peu après.
dans ce cas là, on ne court jamais assez vite et après je n'ai fait que courir ! je ne savais plus marcher.
On a eu aussi parlé de mes croyances, justement il m'a emmenée vers le bon sens qui a été de me dire, que je n'étais pas Dieu, et que forcément j'avais attend des limites à ne pas dépasser.
et dans ce monde cruel, beaucoup de gens ont profité de ma bonne volonté, bien mal récompensée. Et au fond de moi, je ne faisais jamais assez bien.
ainsi j'ai appris qu'il ne faut pas ignorer ordre établi.
j'ai quand même cette tendance, comme il me disait à remonter sur le cheval aussitôt tombée. Donc je suis tout le temps obligé de me battre contre cette tendance.
un jour j'ai eu envie de dire stop, à la fin je ne le voyais que tous les 6 mois , je lui ai posé la question à savoir comment il me voyait ? et il m'a répondu, vous avez les pieds sur terre et il a convenu que je pouvais arrêter.
Mais force est de reconnaître que j'ai eu une grande tendance à me surpasser à tout point de vue. et donc il faut que je me gendarme sans arrêt.
bien entendu, il y a des niveaux où je n'ai même plus besoin de le faire, j'ai des rappels à l'ordre; Mon intervention ne m'a pas laissé le choix !
Toujours est-il que je ne cours plus du tout !!!
j'ai eu à faire à un psy
à la suite d'un travail d'enfer, je me suis retrouvée en urgence sur un lit d'hôpital, avec intervention en urgence.
je ne savais pas lever le pied,
Il m'a fait travailler sur ça. Il m'a fait lever le rideau qui a fait que j'ai atteint le mur.
en bref
Alors que j'avais 17 ans, j'ai dû faire appel à une ambulance pour emmener ma mère très malade. Nous étions en camping. Ca a été une course contre la montre.
malheureusement elle est partie de ce monde peu après.
dans ce cas là, on ne court jamais assez vite et après je n'ai fait que courir ! je ne savais plus marcher.
On a eu aussi parlé de mes croyances, justement il m'a emmenée vers le bon sens qui a été de me dire, que je n'étais pas Dieu, et que forcément j'avais attend des limites à ne pas dépasser.
et dans ce monde cruel, beaucoup de gens ont profité de ma bonne volonté, bien mal récompensée. Et au fond de moi, je ne faisais jamais assez bien.
ainsi j'ai appris qu'il ne faut pas ignorer ordre établi.
j'ai quand même cette tendance, comme il me disait à remonter sur le cheval aussitôt tombée. Donc je suis tout le temps obligé de me battre contre cette tendance.
un jour j'ai eu envie de dire stop, à la fin je ne le voyais que tous les 6 mois , je lui ai posé la question à savoir comment il me voyait ? et il m'a répondu, vous avez les pieds sur terre et il a convenu que je pouvais arrêter.
Mais force est de reconnaître que j'ai eu une grande tendance à me surpasser à tout point de vue. et donc il faut que je me gendarme sans arrêt.
bien entendu, il y a des niveaux où je n'ai même plus besoin de le faire, j'ai des rappels à l'ordre; Mon intervention ne m'a pas laissé le choix !
Toujours est-il que je ne cours plus du tout !!!
namita- Contre la Franc Maconnerie
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
pour ma part j'ai vu la "sortie" du tunnel dans l'abandon des approches psys et dans l'étude autodidacte d'auteurs (sociologues, penseurs, hommes d'Eglise) critique du libéralisme . Libéralisme économique. Mais surtout libéralisme sociétal.
Cela permet de ne pas se croire responsable de tout ce qui ne correspond pas au comportement idéal selon les psys : un exemple, les gens qui "se mettent eux-mêmes sous pression" (pour parler "psy") , ce sont plutôt à mon sens des gens mis sous pression.
Non par leurs parents dans l'enfance (pauvres boucs émissaires, ces braves parents qu'on embobine) mais par la réalité économique. Il y a eu des suicides de cadres chez Renault, ils subissaient une horrible pression.
Avec les "psys" j'ai TOUJOURS constaté que les vrais persécuteurs ne sont pas nommés : soit on pense que c'est les parents (ommettant qu'ils sont eux-mêmes dans une société impitoyablement individualiste et marchande), soit c'est dans la tête des patients.
Avec la psy que j'ai vue suite à cette rupture, ce n'est pas le "travail sur soi" qui m'aurait permis d'en sortir ! Et pourtant c'est vers cela que j'ai été orientée, quasi-forcée.
En fait c'est quoi les ruptures, des catastrophes climatiques ? Des épreuves nécessaires pour tirer leçon de la vie ? Eh ben des leçons comme ça j'en souhaite à personne.
Notre société programme l'instabilité relationnelle via la contraception : une fille qui vit l'amour dans la fidélité à la volonté divine et ne se donne pas avant d'être mariée (c'est rare de nos jours et IL FAUT TROUVER L HOMME QUI ACCEPTE CELA ) est 10 fois moins exposée à tomber dans les griffes d'un toccard et à passer des années à s'en remettre.
Or le péché c'est cela : la sexualité hors mariage et c'est aujourd'hui la norme.
Mais cela, c'est une critique sociétale et une réflexion, c'est une lecture sur le discernement spirituel, qui m'ont amenées à en prendre conscience...cependant que des best-sellers "psys" sur les "femmes qui aiment trop" se vendent en tête de gobdole, parce l'interprétation "psy" ne touche pas au libéralisme sexuel, aux "progrès"du féminisme, (ce sont des vaches sacrées) mais livrent une interprétation psy : la relation destructrice, l'abandon après s'être donnée, c'est la patiente (ou son enfance) qui a un "trouble" et qu'il faut "responsabiliser" (elle mais pas son séducteur).
Le "péché" (le trouble) pour les psys c'est pas la sexualité hors mariage (qui revient à de l'égoisme et de l'instrumentalisation), c'est de souffrir puisqu'ils se basent sur l'idée que nous sommes ENTIEREMENT responsables de notre destin.
On croit rêver.
La vogue "psy" est un phénomène très récent.
Nos aieux se référaient au prêtre.
Aujourd'hui le "psy" peut y aller, conquérir des parts de marchés, des médias, l'école, l'entreprise, la justice...dans une société qui s'est éloignée de Dieu.
Cela permet de ne pas se croire responsable de tout ce qui ne correspond pas au comportement idéal selon les psys : un exemple, les gens qui "se mettent eux-mêmes sous pression" (pour parler "psy") , ce sont plutôt à mon sens des gens mis sous pression.
Non par leurs parents dans l'enfance (pauvres boucs émissaires, ces braves parents qu'on embobine) mais par la réalité économique. Il y a eu des suicides de cadres chez Renault, ils subissaient une horrible pression.
Avec les "psys" j'ai TOUJOURS constaté que les vrais persécuteurs ne sont pas nommés : soit on pense que c'est les parents (ommettant qu'ils sont eux-mêmes dans une société impitoyablement individualiste et marchande), soit c'est dans la tête des patients.
Avec la psy que j'ai vue suite à cette rupture, ce n'est pas le "travail sur soi" qui m'aurait permis d'en sortir ! Et pourtant c'est vers cela que j'ai été orientée, quasi-forcée.
En fait c'est quoi les ruptures, des catastrophes climatiques ? Des épreuves nécessaires pour tirer leçon de la vie ? Eh ben des leçons comme ça j'en souhaite à personne.
Notre société programme l'instabilité relationnelle via la contraception : une fille qui vit l'amour dans la fidélité à la volonté divine et ne se donne pas avant d'être mariée (c'est rare de nos jours et IL FAUT TROUVER L HOMME QUI ACCEPTE CELA ) est 10 fois moins exposée à tomber dans les griffes d'un toccard et à passer des années à s'en remettre.
Or le péché c'est cela : la sexualité hors mariage et c'est aujourd'hui la norme.
Mais cela, c'est une critique sociétale et une réflexion, c'est une lecture sur le discernement spirituel, qui m'ont amenées à en prendre conscience...cependant que des best-sellers "psys" sur les "femmes qui aiment trop" se vendent en tête de gobdole, parce l'interprétation "psy" ne touche pas au libéralisme sexuel, aux "progrès"du féminisme, (ce sont des vaches sacrées) mais livrent une interprétation psy : la relation destructrice, l'abandon après s'être donnée, c'est la patiente (ou son enfance) qui a un "trouble" et qu'il faut "responsabiliser" (elle mais pas son séducteur).
Le "péché" (le trouble) pour les psys c'est pas la sexualité hors mariage (qui revient à de l'égoisme et de l'instrumentalisation), c'est de souffrir puisqu'ils se basent sur l'idée que nous sommes ENTIEREMENT responsables de notre destin.
On croit rêver.
La vogue "psy" est un phénomène très récent.
Nos aieux se référaient au prêtre.
Aujourd'hui le "psy" peut y aller, conquérir des parts de marchés, des médias, l'école, l'entreprise, la justice...dans une société qui s'est éloignée de Dieu.
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Cela n'empêche pas d'ailleurs de se responsabiliser : j'ai finalement découvert tardivement pourquoi mes comportements passés généralement admis par nos sociétés comme allant de soi sont en réalité des péchés contre Dieu qui nous aime.
Et je ne veux pas qu'on mente aux générations suivantes.
Avec la contraception généralisée, on est dans un mensonge collectif, on transmet des mensonges à nos jeunes. On les conditionne à une sexualité détachée de l'engagement, de la gravité de la fécondité. Est-ce un psy qui va dire cela à une jeune fille/femme qui a cru être "mature", "normale", libérée"
-1 en choisissant un compagnon sur des critères "sexy"(obéissant à l'injonction d'une psy freudienne qui voulait qu'elle ait une "activité sexuelle", et à une mère féministe)
2 en passant à l'acte puis en se retrouvant abandonnée et "à la suivante"
3 en étant amoureuse et désespérée car c'était le premier ?
Une telle jeune femme, je lui conseillerait d'aller voir un prêtre et de lire la Théologie du corps. Je lui parlerait des pilliers du mariage chrétiens et de la chasteté.
Je n'ai jamais trouvé des personnes qui me parlaient comme ça : c'était d'emblée le psy et les prescriptions médicamenteuses.
Des tas de jeunes femmes autour de moi avaient fait ce type d'expérience malheureuse et la panacée était un livre féministe où une psy américaine explique que c'est parce qu'on a été traumatisée dans l'enfance alors il faut travailler sur soi, etc.
Mais, me disais-je, n'est-ce pas plutôt toute notre société qui est dans l'erreur avec la sexualité et l'amour ?
Est-ce que les hommes, dédouanés de la nécessité d'épouser pour accéder au plaisir, n'y trouvent pas fabuleusement leur compte ? D'où le nombre d'hommes réticents à s'engager...qui veulent "du sexe" et une compagne "ouverte" (à la polygamie), et qui bosse (pour le pouvoir d'achat du couple), et cela ne va pas sans les contraceptifs.
Et j'ai fait remarquer à ma psy qu'il y avait une affinité, une convergence d'intérêts, entre le discours de l'homme féministe (comme mon séducteur) et celui de la "psy" censée pourtant soigner des jeunes femmes "cassées" par ce dernier...
Et je ne veux pas qu'on mente aux générations suivantes.
Avec la contraception généralisée, on est dans un mensonge collectif, on transmet des mensonges à nos jeunes. On les conditionne à une sexualité détachée de l'engagement, de la gravité de la fécondité. Est-ce un psy qui va dire cela à une jeune fille/femme qui a cru être "mature", "normale", libérée"
-1 en choisissant un compagnon sur des critères "sexy"(obéissant à l'injonction d'une psy freudienne qui voulait qu'elle ait une "activité sexuelle", et à une mère féministe)
2 en passant à l'acte puis en se retrouvant abandonnée et "à la suivante"
3 en étant amoureuse et désespérée car c'était le premier ?
Une telle jeune femme, je lui conseillerait d'aller voir un prêtre et de lire la Théologie du corps. Je lui parlerait des pilliers du mariage chrétiens et de la chasteté.
Je n'ai jamais trouvé des personnes qui me parlaient comme ça : c'était d'emblée le psy et les prescriptions médicamenteuses.
Des tas de jeunes femmes autour de moi avaient fait ce type d'expérience malheureuse et la panacée était un livre féministe où une psy américaine explique que c'est parce qu'on a été traumatisée dans l'enfance alors il faut travailler sur soi, etc.
Mais, me disais-je, n'est-ce pas plutôt toute notre société qui est dans l'erreur avec la sexualité et l'amour ?
Est-ce que les hommes, dédouanés de la nécessité d'épouser pour accéder au plaisir, n'y trouvent pas fabuleusement leur compte ? D'où le nombre d'hommes réticents à s'engager...qui veulent "du sexe" et une compagne "ouverte" (à la polygamie), et qui bosse (pour le pouvoir d'achat du couple), et cela ne va pas sans les contraceptifs.
Et j'ai fait remarquer à ma psy qu'il y avait une affinité, une convergence d'intérêts, entre le discours de l'homme féministe (comme mon séducteur) et celui de la "psy" censée pourtant soigner des jeunes femmes "cassées" par ce dernier...
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Mais elle m'a radiée, elle ne supportait pas mon franc- parler.
Je n'arrivais pas (pas assez vite selon elle) à oublier mon ex. Elle me mettait des ultimatum.
Et en même temps j'étais privée des moyens de le mettre à distance, de me tourner vers la Vraie Source d'Amour.
Finalement c'est beaucoup plus tard, après une infructueuse odyssée chez les psys que, grâce à des amis, je me suis reconvertie.
Je n'arrivais pas (pas assez vite selon elle) à oublier mon ex. Elle me mettait des ultimatum.
Et en même temps j'étais privée des moyens de le mettre à distance, de me tourner vers la Vraie Source d'Amour.
Finalement c'est beaucoup plus tard, après une infructueuse odyssée chez les psys que, grâce à des amis, je me suis reconvertie.
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
ce sont des écrits forts intelligents, le psy a dû être dépassé !
il y a tellement de bon sens que l'on ne peut rien ajouter à ça !
il y a tellement de bon sens que l'on ne peut rien ajouter à ça !
namita- Contre la Franc Maconnerie
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Merci
C'est surtout les médicaments qui m'inquiètent car on n'a pas de recul : est-ce vraiment sans danger de prescrire tant de cachets ?
Et les effets iatrogènes ?
Et l'accoutumance ?
Et puis ces cachets passent dans les eaux ensuite (tout comme les hormones féminines de la pillule et les hormones de croissance données aux animaux)
beaucoup de déséquilibres écologiques sont à prévoir à long terme pour une rentabilité à court terme en faveur de l'industrie pharmaceutique.
Avec la pillule, on a constaté que certaines espèces vivant dans des rivières se sont "féminisées" (atrophie des mâles), peut-être que l'espèce humaine finira par être affectée (stérilité masculine, etc) ?
Alors que dire de ce qui peut se produire dans 20 ou 50 ans si les "psys" continuent à médicaliser de plus en plus de personnes ?
C'est surtout les médicaments qui m'inquiètent car on n'a pas de recul : est-ce vraiment sans danger de prescrire tant de cachets ?
Et les effets iatrogènes ?
Et l'accoutumance ?
Et puis ces cachets passent dans les eaux ensuite (tout comme les hormones féminines de la pillule et les hormones de croissance données aux animaux)
beaucoup de déséquilibres écologiques sont à prévoir à long terme pour une rentabilité à court terme en faveur de l'industrie pharmaceutique.
Avec la pillule, on a constaté que certaines espèces vivant dans des rivières se sont "féminisées" (atrophie des mâles), peut-être que l'espèce humaine finira par être affectée (stérilité masculine, etc) ?
Alors que dire de ce qui peut se produire dans 20 ou 50 ans si les "psys" continuent à médicaliser de plus en plus de personnes ?
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Ils mettent les émotions dans le mental.
Ce qui n'est pas la réalité du fonctionnement humain.
Ceux qui font des recherches au-delà de ce qui leur a été enseigné, trouvent.
Une précision : les psychothérapeutes s'arrêtent à l'acceptation (de ce qui a eu lieu).
Or cela ne permet pas de guérir les blessures.
L'acceptation est une étape sur le chemin de guérison,
étape nécessaire et très utile,
mais cette étape n'est pas la fin du chemin de guérison.
Pour guérir les blessures émotionnelles, psychiques, il est nécessaire à mon sens, d'aller plus loin que l'acceptation des faits.
Aller vers le pardon du cœur (et pas seulement le pardon du mental, le pardon de l'intellect qui ne fonctionne pas, car il reste en surface).
Ensuite, une fois l'étape du pardon venu du cœur vécue et intégrée, il est nécessaire d'aller vers la guérison totale :
l'étape de l'amour sans conditions.
Ces étapes ultimes étant liées les unes aux autres.
> Acceptation des faits,
> Transformation des blessures en paix et harmonie (avec l'aide de l'Amour divin)
> Pardon qui vient du cœur
> Amour humain sans conditions, amour universel,
s'élever plus haut.
Ce qui n'est pas la réalité du fonctionnement humain.
Ceux qui font des recherches au-delà de ce qui leur a été enseigné, trouvent.
Une précision : les psychothérapeutes s'arrêtent à l'acceptation (de ce qui a eu lieu).
Or cela ne permet pas de guérir les blessures.
L'acceptation est une étape sur le chemin de guérison,
étape nécessaire et très utile,
mais cette étape n'est pas la fin du chemin de guérison.
Pour guérir les blessures émotionnelles, psychiques, il est nécessaire à mon sens, d'aller plus loin que l'acceptation des faits.
Aller vers le pardon du cœur (et pas seulement le pardon du mental, le pardon de l'intellect qui ne fonctionne pas, car il reste en surface).
Ensuite, une fois l'étape du pardon venu du cœur vécue et intégrée, il est nécessaire d'aller vers la guérison totale :
l'étape de l'amour sans conditions.
Ces étapes ultimes étant liées les unes aux autres.
> Acceptation des faits,
> Transformation des blessures en paix et harmonie (avec l'aide de l'Amour divin)
> Pardon qui vient du cœur
> Amour humain sans conditions, amour universel,
s'élever plus haut.
Michel5- Pour le roi
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
C'est une démarche possible quoique difficile en faits, mais possible : on peut pardonner quand on a compris que ceux qui vous ont blessé(e), pas aidé(e), induit(e)en erreur...ne savent pas ce qu'ils font.
C'est tout notre rapport occidental libéral au corps, à l'amour, à la fécondité et à la vie qu'il faut interroger.
C'est stérile de rester sur des haines dirigée vers des personnes car on peut comprendre ce qui pousse ces personnes vers des aveuglements. Pas forcément une "enfance traumatisée" mais sans doute une conception fausse de l'amour, véhiculée par toute la culture "post mai68".
C'est tout notre rapport occidental libéral au corps, à l'amour, à la fécondité et à la vie qu'il faut interroger.
C'est stérile de rester sur des haines dirigée vers des personnes car on peut comprendre ce qui pousse ces personnes vers des aveuglements. Pas forcément une "enfance traumatisée" mais sans doute une conception fausse de l'amour, véhiculée par toute la culture "post mai68".
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Vous avez tout à fait raison,
c'est une démarche longue et difficile mais tellement salutaire au final !
Une chose me semble sûre : tant que l'on n'a pas pardonné en totalité, avec tout son cœur, et vraiment en pleine conscience de ce que l'on ressent,
mais sans se forcer,
une démarche longue et difficile.
Tant que le pardon du cœur n'est pas donné vraiment, en vérité,
et remplacé par la Paix précieuse et sacrée,
et l'Harmonie avec soi,
alors on reste attaché par des liens de souffrance
au passé, et aux personnes qui ont généré les émotions de souffrance (souvent il est vrai sans s'en rendre compte ne sachant pas ce qu'ils font),
à cause des conditionnements de leur parcours de vie.
Une fois cette longue démarche accomplie, alors on peut progresser,
aller vers soi en mieux, guéri d'une partie des scories de la vie terrestre.
Retrouver un peu de cette pureté originelle de notre âme, débarrassée de son vieux manteau usé.
C'est tout notre rapport occidental libéral au corps, à l'amour, à la fécondité et à la vie qu'il faut interroger.
C'est totalement vrai !
L'amour et la fécondité sont tellement beaux et sacrés.
La liberté sans Dieu, c'est comme un esclave qui se croit libre et ne l'est pas.
les chaînes sont dans la pensée.
Pas forcément une "enfance traumatisée" mais sans doute une conception fausse de l'amour, véhiculée par toute la culture "post mai68".
La culture de mort a commencé à cette date là, sous couvert de "liberté" des moeurs.
c'est une démarche longue et difficile mais tellement salutaire au final !
Une chose me semble sûre : tant que l'on n'a pas pardonné en totalité, avec tout son cœur, et vraiment en pleine conscience de ce que l'on ressent,
mais sans se forcer,
une démarche longue et difficile.
Tant que le pardon du cœur n'est pas donné vraiment, en vérité,
et remplacé par la Paix précieuse et sacrée,
et l'Harmonie avec soi,
alors on reste attaché par des liens de souffrance
au passé, et aux personnes qui ont généré les émotions de souffrance (souvent il est vrai sans s'en rendre compte ne sachant pas ce qu'ils font),
à cause des conditionnements de leur parcours de vie.
Une fois cette longue démarche accomplie, alors on peut progresser,
aller vers soi en mieux, guéri d'une partie des scories de la vie terrestre.
Retrouver un peu de cette pureté originelle de notre âme, débarrassée de son vieux manteau usé.
C'est tout notre rapport occidental libéral au corps, à l'amour, à la fécondité et à la vie qu'il faut interroger.
C'est totalement vrai !
L'amour et la fécondité sont tellement beaux et sacrés.
La liberté sans Dieu, c'est comme un esclave qui se croit libre et ne l'est pas.
les chaînes sont dans la pensée.
Pas forcément une "enfance traumatisée" mais sans doute une conception fausse de l'amour, véhiculée par toute la culture "post mai68".
La culture de mort a commencé à cette date là, sous couvert de "liberté" des moeurs.
Michel5- Pour le roi
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
la culture post mai 68
rien n'est interdit
il est interdit d'interdire
contestation du rôle du père dans la famille
débats sur tous les sujets
foulards rouges
révolte manipulée depuis l'extérieur
con et bandit le rouge allemand aux moeurs particulières
peace and love...and drugs
La révolution sexuelle : une idéologie marxiste
L'expression "révolution sexuelle" a été lancée en 1936 par le livre du même nom, dont l'édition italienne portait comme sous-titre La sexualité dans la lutte culturelle pour la restructuration socialiste de l'homme.
Son auteur était l'autrichien Wilhelm Reich, une figure de proue de l'école dite de Francfort qui combine la psychanalyse de Freud avec les théories sociales de Marx.
Herbert Marcuse et les autres théoriciens de la Révolution de Mai 68 ont répandu ces mêmes idées.
source
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/10/la-r%C3%A9volution-sexuelle-une-id%C3%A9ologie-marxiste-et-%C3%A9volutionniste.html
rien n'est interdit
il est interdit d'interdire
contestation du rôle du père dans la famille
débats sur tous les sujets
foulards rouges
révolte manipulée depuis l'extérieur
con et bandit le rouge allemand aux moeurs particulières
peace and love...and drugs
La révolution sexuelle : une idéologie marxiste
L'expression "révolution sexuelle" a été lancée en 1936 par le livre du même nom, dont l'édition italienne portait comme sous-titre La sexualité dans la lutte culturelle pour la restructuration socialiste de l'homme.
Son auteur était l'autrichien Wilhelm Reich, une figure de proue de l'école dite de Francfort qui combine la psychanalyse de Freud avec les théories sociales de Marx.
Herbert Marcuse et les autres théoriciens de la Révolution de Mai 68 ont répandu ces mêmes idées.
source
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/10/la-r%C3%A9volution-sexuelle-une-id%C3%A9ologie-marxiste-et-%C3%A9volutionniste.html
Michel5- Pour le roi
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Michel5 a écrit:Ils mettent les émotions dans le mental.
Ce qui n'est pas la réalité du fonctionnement humain.
Ceux qui font des recherches au-delà de ce qui leur a été enseigné, trouvent.
Une précision : les psychothérapeutes s'arrêtent à l'acceptation (de ce qui a eu lieu).
Or cela ne permet pas de guérir les blessures.
L'acceptation est une étape sur le chemin de guérison,
étape nécessaire et très utile,
mais cette étape n'est pas la fin du chemin de guérison.
Pour guérir les blessures émotionnelles, psychiques, il est nécessaire à mon sens, d'aller plus loin que l'acceptation des faits.
Aller vers le pardon du cœur (et pas seulement le pardon du mental, le pardon de l'intellect qui ne fonctionne pas, car il reste en surface).
Ensuite, une fois l'étape du pardon venu du cœur vécue et intégrée, il est nécessaire d'aller vers la guérison totale :
l'étape de l'amour sans conditions.
Ces étapes ultimes étant liées les unes aux autres.
> Acceptation des faits,
> Transformation des blessures en paix et harmonie (avec l'aide de l'Amour divin)
> Pardon qui vient du cœur
> Amour humain sans conditions, amour universel,
s'élever plus haut.
Bonsoir @Michel5,
Vous expliquez drôlement bien ^^ que je ne peux qu'acquiescer vos dires.....mais c'est très long en effet ^^
bien à vous.
Stef.
Stef54- Aime la Divine Volonté
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Dans la bible décodée, on trouve un code sur psychologie :
Une Manne venue du mauvais: la Psychologie est une « religion »!
(trouvé sur un autre site catholique)
Une Manne venue du mauvais: la Psychologie est une « religion »!
(trouvé sur un autre site catholique)
Invité- Invité
Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
Bien vu nath, et même une "religion" assez sectaire.
P12345- Avec Saint Joseph
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Re: Tous fous? Prescrire des médicaments psychiatriques pour un rien
je conseille le cheminement proposé sur le FIL ci après : il repond à la question posée notamment sur l'insuffisance de la démarche psychiatrique , y compris par des psychothérapeutes chrétiens en ce qu'elles ne prennent pas la dimension chrétienne de la personne , et notamment sa finalité : passer de l'image à la ressemblance de Dieu
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t38634-agape-guerison-du-coeur-de-l-image-du-corps?highlight=agape
à commencer par la consultation de son dossier PP1 : http://catholiquedu.free.fr/2008/Guerison_affectivite_I_II.pdf
"Perspective en Personnalisation Profonde pour la guérison psycho-spirituelleen affectivité"
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t38634-agape-guerison-du-coeur-de-l-image-du-corps?highlight=agape
à commencer par la consultation de son dossier PP1 : http://catholiquedu.free.fr/2008/Guerison_affectivite_I_II.pdf
"Perspective en Personnalisation Profonde pour la guérison psycho-spirituelleen affectivité"
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