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Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
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Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Ven 11 Mai 2012 - 13:54
Ashton rend compte à Netanyahu des négociations sur l'Iran...
JERUSALEM - La chef de la diplomatie de l'Union européenne (UE) Catherine Ashton, en visite non annoncée mercredi en Israël, a rendu compte au Premier ministre Benjamin Netanyahu de l'état des négociations nucléaires sur l'Iran, a-t-on appris de source gouvernementale israélienne.
Ils ont parlé de l'Iran. Israël a présenté ses positions à l'approche de la prochaine série de discussions du groupe 5 1 à Bagdad le 23 mai, a indiqué à l'AFP un responsable gouvernemental sous couvert de l'anonymat.
Israël réclame des accords avec l'Iran, avec un calendrier précis pour leur mise en oeuvre, sur trois points: l'arrêt de tout enrichissement de l'uranium, le retrait d'Iran de tout le matériau déjà enrichi et le démantèlement des installations souterraines près de Qom (NDLR: le site de Fordo, centre de l'Iran), a expliqué ce responsable.
Le nouveau vice-Premier ministre israélien Shaul Mofaz et le ministre de la Défense Ehud Barak ont participé à l'entretien.
Au cours de l'entretien, M. Netanyahu a exprimé des doutes sur l'efficacité de ces pourparlers. D'après ce qu'on a vu jusqu'ici, le régime iranien utilise ces discussions pour jouer avec le temps, rien n'indique qu'ils ont l'intention de stopper leur programme nucléaire.
Selon une source européenne à Bruxelles, la rencontre de mercredi fait partie des contacts réguliers et en cours de Mme Ashton avec le Premier ministre israélien --comme avec d'autres dirigeants.
L'entrevue devait porter sur un certain nombre de questions: la situation régionale, le processus de paix au Proche-Orient, l'Iran, la mise en place de la nouvelle coalition en Israël, a précisé la source.
La réunion s'est tenue dans la plus grande discrétion. La semaine dernière, le quotidien de gauche israélien Haaretz avait été le seul à évoquer la visite de Mme Ashton en annonçant qu'elle devait rendre compte à M. Netanyahu de l'état des négociations.
Selon la presse israélienne, le conseiller à la Sécurité nationale d'Israël, Yaakov Amidror, s'était rendu la semaine dernière en Europe pour rencontrer de hauts responsables directement impliqués dans la discussions avec l'Iran.
Ce déplacement survient alors qu'Israël a dit craindre que les pourparlers aboutissent sur un accord permettant à Téhéran de poursuivre l'enrichissement d'uranium, avait indiqué le journal, précisant que le responsable israélien s'était rendu auparavant à Moscou.
Téhéran et le groupe 5 1 (Etats-Unis, Russie, Chine, Grande-Bretagne, France et Allemagne) ont tenu des discussions sur le programme nucléaire iranien le 14 avril à Istanbul.
Une grande partie de la communauté internationale, Israël en tête, soupçonne l'Iran de vouloir, sous couvert de programme nucléaire civil, se doter de la bombe atomique, ce que dément Téhéran.
L'Etat hébreu souffle le chaud et le froid sur l'éventualité de frappes contre les installations nucléaires iraniennes.
Le mois dernier, M. Netanyahu avait critiqué les discussions d'Istanbul affirmant que l'Iran a décroché une prime (...) pour poursuivre sans la moindre limitation et sans le moindre scrupule son programme d'enrichissement (d'uranium).
(©AFP / 09 mai 2012 16h46)
Dernière édition par Gilles le Mar 24 Sep 2013 - 3:25, édité 6 fois
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Ven 11 Mai 2012 - 19:21
Mahmoud Ahmadinejad
Le président iranien promet de ne pas céder "d'un iota ses droits" à cause des sanctions.
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a déclaré que la République islamique ne cèdera pas d'un iota sur ses droits à cause des sanctions.
Dans la ville de Torbat-e Jam, dans le nord-est du pays, M. Ahmadinejad a déclaré que "l'occident devrait savoir que cette nation (iranienne) ne cèdera pas même d'un iota sur ses droits inaliénables", selon la source.
M. Ahmadinejad faisait alors allusion aux sanctions occidentales successives contre la République islamique pour le programme nucléaire controversée de cette dernière.
Le 7 mai, les Etats-Unis ont appelé l'Inde à réduire davantage ses importations de pétrole d'Iran.
Plus tôt ce mois-ci, le président américain Barack Obama a également ordonné au Trésor de viser les entités étrangères et individus qui dérogent aux sanctions américaines contre l'Iran.
L'Iran fait l'objet de sanctions importantes, notamment sur son industrie pétrolière et ses exportations de pétrole, par l'occident.
Le ministère iranien des Affaires étrangères a déclaré que toutes nouvelles sanctions contre l'Iran "affecteront l'esprit" des négociations sur le nucléaire qui se tiendront le mois prochain.
Le dernier cycle des négociations sur le nucléaire entre l'Iran et les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU ( Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Russie et Chine, plus l'Allemagne) s'est achevé en avril à Istanbul en Turquie, toutes les parties qualifiant les négociations de positives et acceptant de se réunir de nouveau dans la capitale irakienne le 23 mai.
2012-05-12 00:55:01
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Sam 12 Mai 2012 - 15:53
Publié le 12/05/2012
Israël: l'union nationale prélude à la guerre ?
Avec un nouveau gouvernement d'union nationale et la ralliement au Premier Ministre Benjamin Netanyahou du parti centriste Kadima et de son leader Shaoul Mofaz, les Etats-Unis s'inquiétent sérieusement d'une attaque israélienne des installations nucléaires iraniennes à tout moment. Sachant que si cette guerre «préventive» a lieu, ce sera avant l'élection présidentielle américaine de novembre qui rend plus difficile pour l'administration Obama de contraindre par des sanctions le gouvernement israélien à ne pas se lancer dans une aventure militaire.
Le sentiment de l'imminence d'un conflit est partagé par le chroniqueur du Washington Post Charles Krauthammer. Il explique que la formation d'un gouvernement d'union nationale en Israël lui rappelle étrangement les évènements de mai et juin 1967 quand une alliance militaire entre l'Egypte, la Syrie et la Jordanie lancée dans un grand élan de nationalisme arabe par Nasser menaçait l'existence même de l'Etat d'Israël et qu'en réponse un gouvernement d'union nationale allait décider de se lancer dans la guerre préventive des six jours. «Quarante cinq ans plus tard, dans la nuit du 7 au 8 mai, le Premier Ministre Benjamin Netanyahou a surpris son pays en associant à son gouvernement Kadima le principal parti d'opposition… Parce que pour les Israéliens, aujourd'hui c'est mai 1967. Le temps commence à manquer… Israël fait face aujourd'hui à la plus grande menace pour son existence depuis mai 1967, l'arme nucléaire aux mains de mollah apocalyptiques qui ont publiquement annoncé l'annihilation d'Israël. Et le monde dit à nouveau aux Israéliens de ne rien faire…»
Un gouvernement d'union nationale n'est pas chose courante, y compris en Israël et même pendant les périodes de guerre et d'extrême tension. Tant que le scénario était celui d'élections législatives anticipées en Israël en septembre, l'administration Obama estimait qu'il n'y aurait pas d'attaque contre les installations nucléaires iraniennes avant octobre et que la fenêtre de tir pour l'aviation israélienne serait d'à peine quelques semaines. Mais avec un gouvernement d'union nationale disposant d'une très forte majorité au parlement tout change.
Pour Voice of America, cela ne signifie pas qu'il existe aujourd'hui un consensus au sein du cabinet israélien pour attaquer l'Iran, mais que si un consensus est trouvé, il aura bien plus de force car il sera appuyé par une large majorité des forces politiques du pays. La radio publique américaine rappelle aussi que le dirigeant de Kadima, Shaoul Mofaz, d'origine iranienne et ancien chef d'état-major de l'armée israélienne, déclarait il y a un mois dans une interview que: «permettre à l'Iran d'obtenir une capacité nucléaire changerait les rapports de force dans la région et qu'Israël ne peut pas l'accepter»
Le ministre de la défense israélien Ehud Barak a été plus explicite en expliquant le 1er mai qu'à ses yeux: l'Iran disposant d'une arme nucléaire est plus dangereux qu'une attaque contre l'Iran. «Je pense que cela est bien compris à Washington et à Jérusalem qu'aussi longtemps qu'il y aura une menace existentielle contre notre peuple, toutes les options pour empêcher l'Iran d'avoir une armé nucléaire doivent rester sur la table. J'ai suffisamment d'expérience pour savoir qu'une option militaire n'est pas simple. Cela sera compliqué avec des risques associés. Mais une République islamique d'Iran radicale avec des armes nucléaires sera plus dangereuse pour la région et pour le monde».
Et Charles Krauthammer de conclure son éditorial: «Netanyahou a annulé les élections de septembre qui lui auraient donné quatre années de plus au pouvoir. Il a choisi à la place de former une coalition nationale qui lui garantit 18 mois de stabilité - 18 mois durant lesquels, si le monde n'agit pas pour stopper l'Iran (par la diplomatie ou d'autres moyens), Israël le fera».
www.slate.fr
Israël: l'union nationale prélude à la guerre ?
Avec un nouveau gouvernement d'union nationale et la ralliement au Premier Ministre Benjamin Netanyahou du parti centriste Kadima et de son leader Shaoul Mofaz, les Etats-Unis s'inquiétent sérieusement d'une attaque israélienne des installations nucléaires iraniennes à tout moment. Sachant que si cette guerre «préventive» a lieu, ce sera avant l'élection présidentielle américaine de novembre qui rend plus difficile pour l'administration Obama de contraindre par des sanctions le gouvernement israélien à ne pas se lancer dans une aventure militaire.
Le sentiment de l'imminence d'un conflit est partagé par le chroniqueur du Washington Post Charles Krauthammer. Il explique que la formation d'un gouvernement d'union nationale en Israël lui rappelle étrangement les évènements de mai et juin 1967 quand une alliance militaire entre l'Egypte, la Syrie et la Jordanie lancée dans un grand élan de nationalisme arabe par Nasser menaçait l'existence même de l'Etat d'Israël et qu'en réponse un gouvernement d'union nationale allait décider de se lancer dans la guerre préventive des six jours. «Quarante cinq ans plus tard, dans la nuit du 7 au 8 mai, le Premier Ministre Benjamin Netanyahou a surpris son pays en associant à son gouvernement Kadima le principal parti d'opposition… Parce que pour les Israéliens, aujourd'hui c'est mai 1967. Le temps commence à manquer… Israël fait face aujourd'hui à la plus grande menace pour son existence depuis mai 1967, l'arme nucléaire aux mains de mollah apocalyptiques qui ont publiquement annoncé l'annihilation d'Israël. Et le monde dit à nouveau aux Israéliens de ne rien faire…»
Un gouvernement d'union nationale n'est pas chose courante, y compris en Israël et même pendant les périodes de guerre et d'extrême tension. Tant que le scénario était celui d'élections législatives anticipées en Israël en septembre, l'administration Obama estimait qu'il n'y aurait pas d'attaque contre les installations nucléaires iraniennes avant octobre et que la fenêtre de tir pour l'aviation israélienne serait d'à peine quelques semaines. Mais avec un gouvernement d'union nationale disposant d'une très forte majorité au parlement tout change.
Pour Voice of America, cela ne signifie pas qu'il existe aujourd'hui un consensus au sein du cabinet israélien pour attaquer l'Iran, mais que si un consensus est trouvé, il aura bien plus de force car il sera appuyé par une large majorité des forces politiques du pays. La radio publique américaine rappelle aussi que le dirigeant de Kadima, Shaoul Mofaz, d'origine iranienne et ancien chef d'état-major de l'armée israélienne, déclarait il y a un mois dans une interview que: «permettre à l'Iran d'obtenir une capacité nucléaire changerait les rapports de force dans la région et qu'Israël ne peut pas l'accepter»
Le ministre de la défense israélien Ehud Barak a été plus explicite en expliquant le 1er mai qu'à ses yeux: l'Iran disposant d'une arme nucléaire est plus dangereux qu'une attaque contre l'Iran. «Je pense que cela est bien compris à Washington et à Jérusalem qu'aussi longtemps qu'il y aura une menace existentielle contre notre peuple, toutes les options pour empêcher l'Iran d'avoir une armé nucléaire doivent rester sur la table. J'ai suffisamment d'expérience pour savoir qu'une option militaire n'est pas simple. Cela sera compliqué avec des risques associés. Mais une République islamique d'Iran radicale avec des armes nucléaires sera plus dangereuse pour la région et pour le monde».
Et Charles Krauthammer de conclure son éditorial: «Netanyahou a annulé les élections de septembre qui lui auraient donné quatre années de plus au pouvoir. Il a choisi à la place de former une coalition nationale qui lui garantit 18 mois de stabilité - 18 mois durant lesquels, si le monde n'agit pas pour stopper l'Iran (par la diplomatie ou d'autres moyens), Israël le fera».
www.slate.fr
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Sam 12 Mai 2012 - 17:08
AFP, Mis à jour le: 12 mai 2012 07:50
Poutine et Ahmadinejad veulent renforcer la coopération entre la Russie et l'Iran...
Le nouveau président russe Vladimir Poutine et son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad se sont mis d'accord pour renforcer la coopération entre les deux pays au cours d'un entretien téléphonique samedi, a annoncé le Kremlin.
"MM. Poutine et Ahmadinejad se sont dits prêts à continuer le développement de la coopération russo-iranienne. Au cours de l'entretien, ils ont établi les perspectives de contacts ultérieurs entre les chefs d'Etat", a indiqué le Kremlin sur son site officiel.
L'entretien a eu lieu à l'initiative de Téhéran, selon la même source.
Moscou entretient des relations militaires et commerciales étroites avec l'Iran et n'a soutenu qu'à contrecoeur les quatre séries de sanctions du Conseil de sécurité des Nations unies contre Téhéran, soupçonné par les Occidentaux de développer des armes nucléaires.
Téhéran et le groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, Grande-Bretagne, France et Allemagne) ont tenu des discussions sur le programme nucléaire iranien le 14 avril à Istanbul.
Une grande partie de la communauté internationale, Israël en tête, soupçonne l'Iran de vouloir, sous couvert de programme nucléaire civil, se doter de la bombe atomique, ce que dément Téhéran.
La Russie a construit la centrale nucléaire iranienne de Bouchehr qui est entrée en service en 2011.
© 2012 AFP
Poutine et Ahmadinejad veulent renforcer la coopération entre la Russie et l'Iran...
Le nouveau président russe Vladimir Poutine et son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad se sont mis d'accord pour renforcer la coopération entre les deux pays au cours d'un entretien téléphonique samedi, a annoncé le Kremlin.
"MM. Poutine et Ahmadinejad se sont dits prêts à continuer le développement de la coopération russo-iranienne. Au cours de l'entretien, ils ont établi les perspectives de contacts ultérieurs entre les chefs d'Etat", a indiqué le Kremlin sur son site officiel.
L'entretien a eu lieu à l'initiative de Téhéran, selon la même source.
Moscou entretient des relations militaires et commerciales étroites avec l'Iran et n'a soutenu qu'à contrecoeur les quatre séries de sanctions du Conseil de sécurité des Nations unies contre Téhéran, soupçonné par les Occidentaux de développer des armes nucléaires.
Téhéran et le groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, Grande-Bretagne, France et Allemagne) ont tenu des discussions sur le programme nucléaire iranien le 14 avril à Istanbul.
Une grande partie de la communauté internationale, Israël en tête, soupçonne l'Iran de vouloir, sous couvert de programme nucléaire civil, se doter de la bombe atomique, ce que dément Téhéran.
La Russie a construit la centrale nucléaire iranienne de Bouchehr qui est entrée en service en 2011.
© 2012 AFP
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Nicolas77 Sam 12 Mai 2012 - 19:47
plaçons tous cela entre les main de la divine miséricorde, notre pauvre esprit humain ne comprenne pas les graves enjeux de tous cela.
merci gilles de nous tenir au courant
que Dieu te bénisse mon frère
en udp
nicolas
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Dim 13 Mai 2012 - 14:49
2012-05-13
Ahmadinejad réaffirme la détermination de l'Iran à conserver son droit au nucléaire (télévision d'Etat)
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a réaffirmé la détermination de son pays à conserver son droit au nucléaire, a rapporté dimanche la chaîne d'Etat IRIB sur son site internet.
Ahmadinejad réaffirme la détermination de l'Iran à conserver son droit au nucléaire (télévision d'Etat)
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a réaffirmé la détermination de son pays à conserver son droit au nucléaire, a rapporté dimanche la chaîne d'Etat IRIB sur son site internet.
"La nation iranienne ne renoncera jamais à ses droits fondamentaux", a déclaré M. Ahmadinejad lors d'une visite dans la province de Khorasan Razavi, dans le nord-est du pays.
Il a tenu ces propos alors que l'Iran et les principales puissances mondiales se préparent à une nouvelle réunion sur le programme nucléaire iranien, dans l'espoir de trouver des mesures susceptibles de sortir les négociations de l'impasse.
"Les puissances hégémoniques s'efforcent de faire obstacle au développement de l'Iran, mais le peuple iranien ne se laissera jamais tromper par les puissances étrangères", a déclaré le président iranien.
La semaine dernière, dans la ville de Torbat-e Jam, M. Ahmadinejad a affirmé que les sanctions ne feraient pas céder la République islamique ; "l'Occident devrait savoir que la nation iranienne ne cèdera pas d'un iota sur la question de ses droits inaliénables", a-t-il déclaré, cité par la chaîne locale par satellite Press TV.
La dernière session de négociations sur le nucléaire entre l'Iran et le G5+1 (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU plus l'Allemagne) a pris fin en avril à Istanbul, en Turquie. Toutes les parties conviées ont décrit les négociations comme positives, et ont convenu de se rencontrer de nouveau à Bagdad le 23 mai.
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par ELISABETH99 Dim 13 Mai 2012 - 15:45
Je ne sais plus qui a dit que les grands bouleversements de l'Histoire ne sont prévisibles que par Dieu, par Dieu seul.
Nous, les pauvres fourmis qui galopent toute la journée pour survivre, qu'est-ce que nous pouvons comprendre de ce qui ce passe,
en ayant juste l'accès à des informations intentionnellement trompeuses,
qu'est-ce que nous pouvons prévoir,
qu'elle influence pouvons-nous avoir sur les événements.......
Nous, les pauvres fourmis qui galopent toute la journée pour survivre, qu'est-ce que nous pouvons comprendre de ce qui ce passe,
en ayant juste l'accès à des informations intentionnellement trompeuses,
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Dim 13 Mai 2012 - 15:56
ELISABETH99 a écrit: Je ne sais plus qui a dit que les grands bouleversements de l'Histoire ne sont prévisibles que par Dieu, par Dieu seul.
Nous, les pauvres fourmis qui galopent toute la journée pour survivre, qu'est-ce que nous pouvons comprendre de ce qui ce passe,
en ayant juste l'accès à des informations intentionnellement trompeuses,
qu'est-ce que nous pouvons prévoir,
qu'elle influence pouvons-nous avoir sur les événements...
Bonjour "ELISABETH99" !
J'approuve votre pensée... N'oublions jamais que notre Dieu Créateur est Maître de l'histoire et du temps.
Permettra-t-il que notre planète soit mise "à feu et à sang" par une poignée de guerriers fous israéliens et iraniens ?
Nous ne pouvons prévoir les résultats de ces futurs pourparlers. 
La prière pour la paix demeure notre seule arme contre les intentions guerrières de ces hommes d'étât.
Fraternellement...
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Nicolas77 Dim 13 Mai 2012 - 20:39
bien parlé
en udp
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Lotfi Dim 13 Mai 2012 - 20:58
@Gilles
J'ai lu ton message privé qui m'invite à voter.....Mais je ne vais pas voter...
Cher frère,je suis désolé car je suis très pessimiste.......
La persécution des palestiniens(Chrétiens et Musulmans) arrivera à son terme avec le retour de Jésus sur terre......
J'ai lu ton message privé qui m'invite à voter.....Mais je ne vais pas voter...
Cher frère,je suis désolé car je suis très pessimiste.......
La persécution des palestiniens(Chrétiens et Musulmans) arrivera à son terme avec le retour de Jésus sur terre......
Lotfi- Dans la prière
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Dim 13 Mai 2012 - 23:41
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Lun 14 Mai 2012 - 3:30
Article publié le : lundi 14 mai 2012
Reprise des discussions entre l'AIEA et Téhéran à Vienne...
Cela faisait trois mois que les contacts avaient été rompus. L’Agence internationale de l’énergie atomique et l’Iran négocient de nouveau ce lundi 14 mai et demain à Vienne. L’AIEA veut absolument pouvoir entrer sur le site militaire de Parchin où l’Iran est accusé d’effacer toute trace d’activités nucléaires militaires. L’équipe du nouveau président français François Hollande va observer attentivement ce premier rendez-vous sur l’un des sujets de politique internationale les plus sensibles.
Avec notre correspondant à Vienne, Blaise Gauquelin
Finalement, aller à Parchin ou pas, peu importe selon les observateurs, car il y a de grands risques pour que déjà l’Iran ait réussi à faire disparaître là-bas toute trace d’essais liés à sa course à la bombe. Mais cette réunion de deux jours va être très observée quand même par les Occidentaux, parce qu’elle précède une rencontre clé avec les grandes puissances à Bagdad le 23 mai prochain.
La France, notamment, qui a changé de président, sera très attentive. Si l’Iran ouvre enfin entièrement ce fameux site de Parchin aux inspecteurs de l’AIEA, cela sera perçu comme un geste envers le nouveau pouvoir à Paris. Mais rien ne dit que la République islamique est prête à se montrer conciliante.
L’Iran a d’ailleurs brouillé les pistes en accueillant un ancien Premier ministre français sur son sol à la veille de la rencontre. L’initiative du socialiste Michel Rocard est historique : l’Iran est traditionnellement boycotté par les officiels français, elle a tout de suite été présentée comme une visite privée par l’entourage du président François Hollande.
Le mal pourtant est fait, les partenaires britanniques et américains de la France sont irrités, car le voyage de Michel Rocard est présenté par la propagande iranienne comme un geste nouveau d’apaisement de Paris à son égard après cinq ans d’une ligne très dure de Nicolas Sarkozy, un fléchissement majeur d’un grand pays occidental, à la veille d’un rendez-vous diplomatique important.
Gilles. Ville de Québec - Canada
Reprise des discussions entre l'AIEA et Téhéran à Vienne...
Cela faisait trois mois que les contacts avaient été rompus. L’Agence internationale de l’énergie atomique et l’Iran négocient de nouveau ce lundi 14 mai et demain à Vienne. L’AIEA veut absolument pouvoir entrer sur le site militaire de Parchin où l’Iran est accusé d’effacer toute trace d’activités nucléaires militaires. L’équipe du nouveau président français François Hollande va observer attentivement ce premier rendez-vous sur l’un des sujets de politique internationale les plus sensibles.
Avec notre correspondant à Vienne, Blaise Gauquelin
Finalement, aller à Parchin ou pas, peu importe selon les observateurs, car il y a de grands risques pour que déjà l’Iran ait réussi à faire disparaître là-bas toute trace d’essais liés à sa course à la bombe. Mais cette réunion de deux jours va être très observée quand même par les Occidentaux, parce qu’elle précède une rencontre clé avec les grandes puissances à Bagdad le 23 mai prochain.
La France, notamment, qui a changé de président, sera très attentive. Si l’Iran ouvre enfin entièrement ce fameux site de Parchin aux inspecteurs de l’AIEA, cela sera perçu comme un geste envers le nouveau pouvoir à Paris. Mais rien ne dit que la République islamique est prête à se montrer conciliante.
L’Iran a d’ailleurs brouillé les pistes en accueillant un ancien Premier ministre français sur son sol à la veille de la rencontre. L’initiative du socialiste Michel Rocard est historique : l’Iran est traditionnellement boycotté par les officiels français, elle a tout de suite été présentée comme une visite privée par l’entourage du président François Hollande.
Le mal pourtant est fait, les partenaires britanniques et américains de la France sont irrités, car le voyage de Michel Rocard est présenté par la propagande iranienne comme un geste nouveau d’apaisement de Paris à son égard après cinq ans d’une ligne très dure de Nicolas Sarkozy, un fléchissement majeur d’un grand pays occidental, à la veille d’un rendez-vous diplomatique important.
Gilles. Ville de Québec - Canada
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Lotfi Lun 14 Mai 2012 - 4:16
La France n'a rien à ajouter et n'a rien à enlever......
Le Pétrole Iranien est nécessaire pour les industriels Européens et Français....
Par ailleurs,le peuple Juif ne fait pas de plitique internationale......La Politique internationale d'Israel,du monde Arabe et du Monde entier est tracée d'avance dans les Loges lucéferiennes....
Le Pétrole Iranien est nécessaire pour les industriels Européens et Français....
Par ailleurs,le peuple Juif ne fait pas de plitique internationale......La Politique internationale d'Israel,du monde Arabe et du Monde entier est tracée d'avance dans les Loges lucéferiennes....
Lotfi- Dans la prière
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Lun 14 Mai 2012 - 15:17
AFP, Mis à jour le: 14 mai 2012 06:19
Nucléaire: reprise des discussions test entre l'AIEA et l'Iran...
AFP
L'Iran et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) ont repris lundi à Vienne des discussions sur le programme nucléaire controversé de Téhéran, considérées comme un test avant une réunion avec les grandes puissances le 23 mai à Bagdad.
"Nous sommes ici afin de poursuivre notre dialogue dans un esprit positif", a déclaré le chef des inspecteurs de l'AIEA, le Belge Herman Nackaerts, à son entrée dans la représentation permanente de la République islamique auprès des Nations-Unies, où la réunion doit se dérouler jusqu'à mardi.
Les discussions avaient été interrompues il y a près de trois mois après l'échec de deux visites à Téhéran d'inspecteurs de l'agence de l'Organisation des Nations Unies (ONU).
Ces derniers avaient affirmé s'être vu refuser l'accès au site militaire de Parchin, où l'Iran aurait, selon les soupçons de l'agence, procédé à des tests d'explosion conventionnelle pouvant être applicables au nucléaire, ce que Téhéran dément.
"L'objectif de ces deux jours est de trouver un accord sur une approche visant à résoudre toutes les questions en suspens avec l'Iran", a indiqué Herman Nackaerts, en particulier celles concernant la possible dimension militaire du programme nucléaire de la République islamique. "Il est important que nous abordions la substance de ces questions et que l'Iran nous laisse accéder aux personnes, documents, informations, et sites" pouvant aider à leur clarification, a-t-il insisté.
Ces questions ont été soulevées dans un rapport très critique de l'agence en novembre, où elle avait présenté un catalogue d'éléments indiquant que l'Iran avait travaillé à la mise au point de l'arme atomique jusqu'en 2003 et, peut-être, ensuite.
L'ambassadeur iranien auprès de l'AIEA, Ali Asghar Soltanieh, qui mène les discussions lundi et mardi à Vienne, avait qualifié le rapport de "non-professionnel, déséquilibré, illégal et politisé".
Il s'en était suivi une montée des tensions entre la communauté internationale et l'Iran, ainsi qu'un renforcement des sanctions des Etats-Unis et de l'Union européenne.
La reprise du dialogue à Vienne est considérée par de nombreux experts et diplomates comme un test des intentions de l'Iran avant la tenue le 23 mai à Bagdad d'une réunion-clé avec le Groupe 5+1 (Etats-Unis, Chine, Russie, France, Grande-Bretagne et Allemagne).
Cette rencontre, qui fait suite à une reprise de contact jugée positive en avril à Istanbul, doit permettre d'entrer dans le vif du sujet.
"Si l'Iran et l'AIEA font quelques progrès, je pense que le Groupe des 5+1 verra cela de façon positive", a indiqué lundi un diplomate occidental sous couvert d'anonymat.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, avait déclaré samedi que son pays souhaitait une "solution acceptable" par toutes les parties à Bagdad, selon l'agence de presse officielle iranienne Irna.
Dimanche, le négociateur en chef iranien pour le nucléaire, Saïd Jalili, avait de son côté mis en garde l'Occident contre "tout mauvais calcul" qui "empêcherait le succès des négociations".
Téhéran a suggéré qu'il serait prêt, sous condition, à accepter de renoncer à l'enrichissement d'uranium jusqu'à 20%, au coeur de son conflit avec les grandes puissances. Selon le quotidien américain Los Angeles Times, les Etats-Unis pourraient envisager de laisser l'Iran enrichir à un faible degré de pureté pour produire de l'électricité. Enrichi jusqu'à 90%, l'uranium entre dans la composition de l'arme atomique.
L'Iran est soupçonné par les Occidentaux et Israël de vouloir fabriquer l'arme atomique, malgré ses démentis répétés. Le pays fait l'objet de six résolutions de l'ONU pour son programme nucléaire, dont quatre assorties de sanctions.
© 2012 AFP
Gilles. Ville de Québec - Canada
Nucléaire: reprise des discussions test entre l'AIEA et l'Iran...
AFP
L'Iran et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) ont repris lundi à Vienne des discussions sur le programme nucléaire controversé de Téhéran, considérées comme un test avant une réunion avec les grandes puissances le 23 mai à Bagdad.
"Nous sommes ici afin de poursuivre notre dialogue dans un esprit positif", a déclaré le chef des inspecteurs de l'AIEA, le Belge Herman Nackaerts, à son entrée dans la représentation permanente de la République islamique auprès des Nations-Unies, où la réunion doit se dérouler jusqu'à mardi.
Les discussions avaient été interrompues il y a près de trois mois après l'échec de deux visites à Téhéran d'inspecteurs de l'agence de l'Organisation des Nations Unies (ONU).
Ces derniers avaient affirmé s'être vu refuser l'accès au site militaire de Parchin, où l'Iran aurait, selon les soupçons de l'agence, procédé à des tests d'explosion conventionnelle pouvant être applicables au nucléaire, ce que Téhéran dément.
"L'objectif de ces deux jours est de trouver un accord sur une approche visant à résoudre toutes les questions en suspens avec l'Iran", a indiqué Herman Nackaerts, en particulier celles concernant la possible dimension militaire du programme nucléaire de la République islamique. "Il est important que nous abordions la substance de ces questions et que l'Iran nous laisse accéder aux personnes, documents, informations, et sites" pouvant aider à leur clarification, a-t-il insisté.
Ces questions ont été soulevées dans un rapport très critique de l'agence en novembre, où elle avait présenté un catalogue d'éléments indiquant que l'Iran avait travaillé à la mise au point de l'arme atomique jusqu'en 2003 et, peut-être, ensuite.
L'ambassadeur iranien auprès de l'AIEA, Ali Asghar Soltanieh, qui mène les discussions lundi et mardi à Vienne, avait qualifié le rapport de "non-professionnel, déséquilibré, illégal et politisé".
Il s'en était suivi une montée des tensions entre la communauté internationale et l'Iran, ainsi qu'un renforcement des sanctions des Etats-Unis et de l'Union européenne.
La reprise du dialogue à Vienne est considérée par de nombreux experts et diplomates comme un test des intentions de l'Iran avant la tenue le 23 mai à Bagdad d'une réunion-clé avec le Groupe 5+1 (Etats-Unis, Chine, Russie, France, Grande-Bretagne et Allemagne).
Cette rencontre, qui fait suite à une reprise de contact jugée positive en avril à Istanbul, doit permettre d'entrer dans le vif du sujet.
"Si l'Iran et l'AIEA font quelques progrès, je pense que le Groupe des 5+1 verra cela de façon positive", a indiqué lundi un diplomate occidental sous couvert d'anonymat.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, avait déclaré samedi que son pays souhaitait une "solution acceptable" par toutes les parties à Bagdad, selon l'agence de presse officielle iranienne Irna.
Dimanche, le négociateur en chef iranien pour le nucléaire, Saïd Jalili, avait de son côté mis en garde l'Occident contre "tout mauvais calcul" qui "empêcherait le succès des négociations".
Téhéran a suggéré qu'il serait prêt, sous condition, à accepter de renoncer à l'enrichissement d'uranium jusqu'à 20%, au coeur de son conflit avec les grandes puissances. Selon le quotidien américain Los Angeles Times, les Etats-Unis pourraient envisager de laisser l'Iran enrichir à un faible degré de pureté pour produire de l'électricité. Enrichi jusqu'à 90%, l'uranium entre dans la composition de l'arme atomique.
L'Iran est soupçonné par les Occidentaux et Israël de vouloir fabriquer l'arme atomique, malgré ses démentis répétés. Le pays fait l'objet de six résolutions de l'ONU pour son programme nucléaire, dont quatre assorties de sanctions.
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Invité Lun 14 Mai 2012 - 16:21
Oui Lofti, c'est hélas bien ainsi que tourne la pomme empoisonnée !La Politique internationale d'Israel,du monde Arabe et du Monde entier est tracée d'avance dans les Loges lucéferiennes....
Puisse les armes se retourner contre (tous) les esclaves de satan et ceux-ci être enfin menés sur la place publique mondiale pour le procès final et définitif.
Que tout ce qui est "mal" tombe dans l'abîme qu'il a généré et les hommes induits en erreur être éclairés, pardonnés et sauvés.
La délivrance de tous les hommes, tous les peuples de toutes les oppressions, toutes les erreurs, ne peut et ne doit pas être qu'une chimère.
Que Dieu fait Homme, Jésus de Nazareth notre seul Sauveur, guide nos pas, nos pensées, nos paroles et nos actions afin que nous soyons tous unis pour Sa Gloire Qui est la Nôtre. Il n'y a pas d'autre Voie pour guérir le monde des erreurs commises contre la Vie sacrée.
+++ que jamais,il nous faut, par Sa Grâce, garder toujours l'Espoir Vif de voir Sa Lumière vaincre toutes les ténèbres, Lui la Cause de toutes les causes, l'Alpha et l'Omega, seule Raison d'Être de l'Homme sur terre, notre accomplissement par Lui et en Lui.
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Maud Lun 14 Mai 2012 - 16:26
@ Lofti 
@ Anne ..combien je partage votre pensée
Ce n'est que par l' AMOUR que le monde sera sauvé
Maud
@ Anne ..combien je partage votre pensée
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Dernière édition par Maud le Lun 14 Mai 2012 - 16:28, édité 1 fois
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Lun 14 Mai 2012 - 16:27
Gilles a écrit:ELISABETH99 a écrit: Je ne sais plus qui a dit que les grands bouleversements de l'Histoire ne sont prévisibles que par Dieu, par Dieu seul.
Nous, les pauvres fourmis qui galopent toute la journée pour survivre, qu'est-ce que nous pouvons comprendre de ce qui ce passe,
en ayant juste l'accès à des informations intentionnellement trompeuses,
qu'est-ce que nous pouvons prévoir,
qu'elle influence pouvons-nous avoir sur les événements...
Bonjour "ELISABETH99" !
J'approuve votre pensée... N'oublions jamais que notre Dieu Créateur est Maître de l'histoire et du temps.
Permettra-t-il que notre planète soit mise "à feu et à sang" par une poignée de guerriers fous israéliens et iraniens ?
La prière pour la paix demeure notre seule arme contre les intentions guerrières de ces hommes d'étât.
Fraternellement...
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Invité Lun 14 Mai 2012 - 17:40
Oui chère Maud Nous n'avons pas d'autre Voie-Empreinte laissée dans l'histoire de l'humanité que nous puissions suivre pour éradiquer le mal et la mort qu'il a généré... et oh miracle, cette Voie praticable sur Terre l'unit au Ciel...de l'Une à l'Autre, en Christ et Marie, il n'y a aucun espace où s'égarer.
Qui d'autre que le Christ et l'Immaculée Conception auront transmis le Chemin Qui Unit le Ciel à la terre ?
Nul autre !
Nous n'avons pas d'autre Voie-Empreinte laissée dans l'histoire de l'humanité que nous puissions suivre pour éradiquer le mal et la mort qu'il a généré... et oh miracle, cette Voie praticable sur Terre l'unit au Ciel...de l'Une à l'Autre, en Christ et Marie, il n'y a aucun espace où s'égarer. Qui d'autre que le Christ et l'Immaculée Conception auront transmis le Chemin Qui Unit le Ciel à la terre ?
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Mar 15 Mai 2012 - 15:47
15-05-2012 à 11h45
L'Iran juge les discussions avec l'AIEA à Vienne constructives...
VIENNE (Reuters) - Les pourparlers entamés lundi à Vienne entre l'Iran et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur le programme nucléaire controversé iranien se déroulent bien, a déclaré mardi l'émissaire de la République islamique à Vienne.
Ces discussions, qui se tiennent sur deux jours au siège de la mission diplomatique à Vienne, doivent permettre de tester la volonté de Téhéran de clarifier des aspects de son programme nucléaire avant la rencontre prévue le 23 mai à Bagdad avec le groupe des "Six" (Etats-Unis, Russie, Chine, France et Grande-Bretagne, plus l'Allemagne).
"Nous avons eu de bonnes discussions. Tout est (sur la) bonne voie. L'environnement est très constructif", a déclaré Ali Asghar Soltanieh à des journalistes avant le début de la deuxième et dernière journée de discussions.
Le directeur général adjoint de l'AIEA Herman Nackaerts, chef de la délégation de l'agence onusienne dans le cadre des pourparlers, s'est montré plus prudent.
"Vous comprendrez que je ne peux faire aucun commentaire à l'heure actuelle. Les discussions se poursuivent évidemment aujourd'hui", a-t-il déclaré.
La République islamique est soupçonnée par l'Occident de chercher à se doter de l'arme nucléaire sous couvert de son programme nucléaire civil. Téhéran dément et assure que son programme atomique est destiné uniquement à produire de l'électricité.
L'AIEA, chargée d'empêcher la propagation des armes nucléaires dans le monde, a insisté sur le fait que la question de l'accès aux sites, aux documents et aux informations liées au programme nucléaire de l'Iran, serait "prioritaire" lors des discussions de Vienne.
Jusqu'à présent, la République islamique a résisté aux demandes pressantes de l'agence onusienne d'avoir accès au complexe militaire de Parchin, situé au sud-est de Téhéran.
Selon un rapport de l'AIEA publié fin novembre, l'Iran aurait construit une vaste chambre de confinement sur ce site, permettant de tester des explosifs de très forte puissance, un "indicateur fort d'un possible développement militaire".
Des diplomates occidentaux soupçonnent l'Iran de vouloir nettoyer le site avant d'y faire entre les inspecteurs de l'AIEA. Le ministère iranien des Affaires étrangères a démenti ces accusations, affirmant qu'il n'était pas possible de "nettoyer" des activités nucléaires.
La publication du rapport a conduit les Etats-Unis et l'Union européenne à renforcer leurs sanctions contre la République islamique.
Israël, le seul pays du Proche-Orient possédant un arsenal nucléaire selon l'opinion généralement admise, même si l'Etat juif ne confirme ni ne dément, et les Etats-Unis n'ont pas écarté d'intervenir militairement contre l'Iran pour l'empêcher de devenir une puissance nucléaire.
Fredrik Dahl; Hélène Duvigneau et Marine Pennetier pour le service français
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L'Iran juge les discussions avec l'AIEA à Vienne constructives...
VIENNE (Reuters) - Les pourparlers entamés lundi à Vienne entre l'Iran et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur le programme nucléaire controversé iranien se déroulent bien, a déclaré mardi l'émissaire de la République islamique à Vienne.
Ces discussions, qui se tiennent sur deux jours au siège de la mission diplomatique à Vienne, doivent permettre de tester la volonté de Téhéran de clarifier des aspects de son programme nucléaire avant la rencontre prévue le 23 mai à Bagdad avec le groupe des "Six" (Etats-Unis, Russie, Chine, France et Grande-Bretagne, plus l'Allemagne).
"Nous avons eu de bonnes discussions. Tout est (sur la) bonne voie. L'environnement est très constructif", a déclaré Ali Asghar Soltanieh à des journalistes avant le début de la deuxième et dernière journée de discussions.
Le directeur général adjoint de l'AIEA Herman Nackaerts, chef de la délégation de l'agence onusienne dans le cadre des pourparlers, s'est montré plus prudent.
"Vous comprendrez que je ne peux faire aucun commentaire à l'heure actuelle. Les discussions se poursuivent évidemment aujourd'hui", a-t-il déclaré.
La République islamique est soupçonnée par l'Occident de chercher à se doter de l'arme nucléaire sous couvert de son programme nucléaire civil. Téhéran dément et assure que son programme atomique est destiné uniquement à produire de l'électricité.
L'AIEA, chargée d'empêcher la propagation des armes nucléaires dans le monde, a insisté sur le fait que la question de l'accès aux sites, aux documents et aux informations liées au programme nucléaire de l'Iran, serait "prioritaire" lors des discussions de Vienne.
Jusqu'à présent, la République islamique a résisté aux demandes pressantes de l'agence onusienne d'avoir accès au complexe militaire de Parchin, situé au sud-est de Téhéran.
Selon un rapport de l'AIEA publié fin novembre, l'Iran aurait construit une vaste chambre de confinement sur ce site, permettant de tester des explosifs de très forte puissance, un "indicateur fort d'un possible développement militaire".
Des diplomates occidentaux soupçonnent l'Iran de vouloir nettoyer le site avant d'y faire entre les inspecteurs de l'AIEA. Le ministère iranien des Affaires étrangères a démenti ces accusations, affirmant qu'il n'était pas possible de "nettoyer" des activités nucléaires.
La publication du rapport a conduit les Etats-Unis et l'Union européenne à renforcer leurs sanctions contre la République islamique.
Israël, le seul pays du Proche-Orient possédant un arsenal nucléaire selon l'opinion généralement admise, même si l'Etat juif ne confirme ni ne dément, et les Etats-Unis n'ont pas écarté d'intervenir militairement contre l'Iran pour l'empêcher de devenir une puissance nucléaire.
Fredrik Dahl; Hélène Duvigneau et Marine Pennetier pour le service français
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par E3462 Mar 15 Mai 2012 - 17:55
Tout ceci est très intéressant Gilles. D'un point de vue purement politique et non religieux, tous ces évènements sont d'une importance capitale et permettent de mieux comprendre ce qui se passe au moyen-orient.
Après religieusement, je ne sais , tout comme vous, ce qu'il en adviendra.
En tous les cas, une future guerre nucléaire est terrifiante pour les pauvres gens et les souffrances engendrées. Je ne peut qu'être compatissante envers les chrétiens tout comme les non-chrétiens, juifs, musulmans, athés etc
Après religieusement, je ne sais , tout comme vous, ce qu'il en adviendra.
En tous les cas, une future guerre nucléaire est terrifiante pour les pauvres gens et les souffrances engendrées. Je ne peut qu'être compatissante envers les chrétiens tout comme les non-chrétiens, juifs, musulmans, athés etc
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Invité Mar 15 Mai 2012 - 21:46
Je suis comme Lofti, je ne me sens pas de supputer sur l'avenir des nations ici : Israël et l'Iran,
c'est pourquoi je ne voterai pas non plus, Gilles; Cependant je comprends qu'étant donné l'état actuel de l'actualité dans le monde beaucoup de personnes puissent s'en inquiéter.
J'avoue que je me sens un peu dépassée... Au point où nous en sommes rendus, je crois que Dieu seul peut changer la donne : Il compte sur nos prières et .... Notre bonne volonté en la matière.
Il suffit de voir combien Maman Marie nous exhorte à prier pour la conversion et la paix, dans ses apparitions dans le monde entier. Oui, Dieu est Amour et c'est ainsi qu'Il veut que nous le soyons tous aussi.
Dans un lieu de Bretagne où l'apparition , n'a pas encore était reconnue par l'Eglise mais le culte permis, Maman Marie dans un de ses messages à Jeanne-Louise Ramonet dit que c'est quand le monde sera au bord de l'abîme et prêt à tomber que Dieu le sauvera... Et nous comprendrons ensuite que Dieu a sauvé le monde grâce à une Prière. Je pense que c'est du Rosaire dont elle parlait. A Pontmain, c'est grâce à son exhortation et à la prière que la France a été sauvée des prussiens qui menaçaient ses frontières ! Alors armons nous du chapelet, de nos prières de louanges et permettons à Dieu par notre foi et notre espérance d'agir ! Il nous est demander d'espérer en Dieu au-delà de toute espérance.
Que Dieu réconcilie nos frères égarés dans la colère, la haine et les guerres.
C'est Dieu le Créateur, Dieu Notre Père qui peut nous libérer de la menace du nucluaire et l'éradiquer. Science sans conscience n'est que ruine de l'âme" disait Rabelais ...
A mon avis, est-ce que nous avons suffisamment de sagesse pour contrebalancer une telle énergie ?
c'est pourquoi je ne voterai pas non plus, Gilles; Cependant je comprends qu'étant donné l'état actuel de l'actualité dans le monde beaucoup de personnes puissent s'en inquiéter.
J'avoue que je me sens un peu dépassée... Au point où nous en sommes rendus, je crois que Dieu seul peut changer la donne : Il compte sur nos prières et .... Notre bonne volonté en la matière.
Il suffit de voir combien Maman Marie nous exhorte à prier pour la conversion et la paix, dans ses apparitions dans le monde entier. Oui, Dieu est Amour et c'est ainsi qu'Il veut que nous le soyons tous aussi.
Dans un lieu de Bretagne où l'apparition , n'a pas encore était reconnue par l'Eglise mais le culte permis, Maman Marie dans un de ses messages à Jeanne-Louise Ramonet dit que c'est quand le monde sera au bord de l'abîme et prêt à tomber que Dieu le sauvera... Et nous comprendrons ensuite que Dieu a sauvé le monde grâce à une Prière. Je pense que c'est du Rosaire dont elle parlait. A Pontmain, c'est grâce à son exhortation et à la prière que la France a été sauvée des prussiens qui menaçaient ses frontières ! Alors armons nous du chapelet, de nos prières de louanges et permettons à Dieu par notre foi et notre espérance d'agir ! Il nous est demander d'espérer en Dieu au-delà de toute espérance.
Que Dieu réconcilie nos frères égarés dans la colère, la haine et les guerres.
C'est Dieu le Créateur, Dieu Notre Père qui peut nous libérer de la menace du nucluaire et l'éradiquer. Science sans conscience n'est que ruine de l'âme" disait Rabelais ...
A mon avis, est-ce que nous avons suffisamment de sagesse pour contrebalancer une telle énergie ?
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par ELISABETH99 Mer 16 Mai 2012 - 0:10
Je me souviens bien encore, que dans mon enfance, puisqu'on a parlé autour de moi si souvent de la guerre qui venait de se terminer – je parle ici des années 50 – j'ai voulu savoir plein de choses sur l'Occupation, je posais plein de questions sur la vie pendant la guerre, et entre autres, j'ai voulu savoir si les gens savaient en 1938 ou en 1939 que la guerre était sur le point d'éclater. Toutes les femmes de la famille m'assuraient que si.
« Mais bien sûr que l'on savait » répondait maman, « oh oui, nous savions » confirmaient mes tantes,
et toutes les autres grandes personnes, nos amis, nos invités, qui ne parlaient que de la guerre au cours des réunions familiales, étaient du même avis.
On savait. Partout, dans toute l'Europe, on savait.
Alors, si l'on savait, pourquoi on n'a rien fait pour empêcher? On me répondait que cela n'était plus possible.
Il m'est resté de mon enfance le sentiment, qu'avant les grands bouleversements comme les guerres, les révolutions, les gens les sentent, et ils savent.
C'est pourquoi, Gilles, votre petit sondage me semble tellement inquiétant.
Nous sommes 9% à peine à penser que la diplomatie trouvera une solution.
Nous sommes 55% qui sentent venir la guerre.
C'est vrai que 32% (dont moi) restent vaguement optimistes. Mais je suis persuadée que dans ce pourcentage, il y en a qui sont, comme moi, d'un optimisme très incertain. D'un optimisme très optimiste – si je peux m'exprimer ainsi.
Dans l'ensemble, cela fait dresser les cheveux sur la tête, car du moment où les gens sentent venir la guerre, partout, dans tous les pays, dans tous les milieux, la guerre peut venir non seulement du conflit israelo-palestinien, mais de n'importe quel autre conflit, puisqu'elle est tapie quelque part dans l'ombre, dans le monde qui est devenu une grande poudrière ...et à cela, probablement, nous ne pouvons plus rien.
« Mais bien sûr que l'on savait » répondait maman, « oh oui, nous savions » confirmaient mes tantes,
et toutes les autres grandes personnes, nos amis, nos invités, qui ne parlaient que de la guerre au cours des réunions familiales, étaient du même avis.
On savait. Partout, dans toute l'Europe, on savait.
Alors, si l'on savait, pourquoi on n'a rien fait pour empêcher? On me répondait que cela n'était plus possible.
Il m'est resté de mon enfance le sentiment, qu'avant les grands bouleversements comme les guerres, les révolutions, les gens les sentent, et ils savent.
C'est pourquoi, Gilles, votre petit sondage me semble tellement inquiétant.
Nous sommes 9% à peine à penser que la diplomatie trouvera une solution.
Nous sommes 55% qui sentent venir la guerre.
C'est vrai que 32% (dont moi) restent vaguement optimistes. Mais je suis persuadée que dans ce pourcentage, il y en a qui sont, comme moi, d'un optimisme très incertain. D'un optimisme très optimiste – si je peux m'exprimer ainsi.
Dans l'ensemble, cela fait dresser les cheveux sur la tête, car du moment où les gens sentent venir la guerre, partout, dans tous les pays, dans tous les milieux, la guerre peut venir non seulement du conflit israelo-palestinien, mais de n'importe quel autre conflit, puisqu'elle est tapie quelque part dans l'ombre, dans le monde qui est devenu une grande poudrière ...et à cela, probablement, nous ne pouvons plus rien.
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Mer 16 Mai 2012 - 3:29
AFP, Mis à jour le: 15 mai 2012 11:55
Nucléaire: l'AIEA et l'Iran entretiennent l'espoir d'un accord avant Bagdad...
AFP
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et l'Iran, soupçonné de vouloir se doter de l'arme nucléaire, ont décidé mardi de se retrouver le 21 mai à Vienne après deux jours de discussions jugées positives, entretenant l'espoir d'une avancée avant une réunion-clé à Bagdad.
"Nous avons eu un bon échange de vues et nous allons nous rencontrer de nouveau lundi", a déclaré le chef des inspecteurs et directeur général adjoint de l'agence onusienne, Herman Nackaerts.
"Nous avons eu des discussions fructueuses dans un environnement très favorable", a renchéri l'ambassadeur iranien auprès de l'AIEA, Ali Asghar Soltanieh, lors d'un point presse tenu --chose rare-- en commun avec M. Nackaerts.
Tous deux ont néanmoins refusé de donner des détails concrets et de répondre aux questions des journalistes rassemblés à la représentation iranienne auprès des Nations-Unies à Vienne, où s'est tenue la réunion.
Cette rencontre était considérée par de nombreux experts comme un test des intentions de l'Iran avant la tenue d'une réunion à Bagdad avec le Groupe 5+1 (Etats-Unis, Chine, Russie, France, Grande-Bretagne et Allemagne) le 23 mai.
L'AIEA avait de nouveau exhorté l'Iran lundi à donner des gages sérieux de coopération, en laissant les inspecteurs de l'agence "accéder aux documents, personnes, informations et sites" pouvant aider à clarifier les questions en suspens concernant la nature de son programme nucléaire.
Téhéran est soupçonné par les Occidentaux et Israël de vouloir fabriquer l'arme atomique sous couvert d'un programme civil, malgré ses démentis répétés.
L'agence veut trouver un accord sur une "approche visant à résoudre toutes les questions en suspens avec l'Iran", avait expliqué Herman Nackaerts.
Selon M. Soltanieh, les parties ont avancé sur ce point. "Nous avons fait quelques progrès concernant la préparation et la négociation du cadre de modalités visant à résoudre les questions en suspens", a-t-il déclaré. "Nous avons décidé d'avoir un nouveau round de discussions lundi afin de faire avancer ce travail en vue d'une conclusion", a-t-il ajouté.
Le dialogue entre l'AIEA et l'Iran avait été interrompu brutalement il y a trois mois après l'échec de deux visites d'inspecteurs de l'agence à Téhéran.
Ces derniers avaient affirmé s'être vu refuser l'accès au site militaire de Parchin, où l'Iran aurait, selon les soupçons de l'agence, procédé à des tests d'explosion conventionnelle pouvant être applicables au nucléaire, ce que Téhéran dément.
En novembre, l'agence avait publié un rapport, le plus critique en huit ans d'enquête, où elle avait présenté un catalogue d'éléments indiquant que l'Iran avait travaillé à la mise au point de l'arme atomique jusqu'en 2003 et, peut-être, ensuite.
Experts et diplomates jugent qu'un résultat positif à Vienne serait de bon augure pour la réunion de Bagdad, où les grandes puissances et l'Iran veulent entrer dans le vif du sujet après une reprise de contact encourageante en avril.
Des responsables iraniens ont suggéré ces dernières semaines que le pays serait prêt, sous condition, à accepter de renoncer à l'enrichissement d'uranium jusqu'à 20%, au coeur de son conflit avec les grandes puissances. Enrichi jusqu'à 90%, l'uranium entre dans la composition de l'arme atomique.
Le quotidien Los Angeles Times avait fait de son côté état de rumeurs selon lesquelles les Etats-Unis pourraient envisager de laisser l'Iran enrichir à un faible degré de pureté pour produire de l'électricité, idée rejetée avec véhémence par Israël.
© 2012 AFP
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Nucléaire: l'AIEA et l'Iran entretiennent l'espoir d'un accord avant Bagdad...
AFP
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et l'Iran, soupçonné de vouloir se doter de l'arme nucléaire, ont décidé mardi de se retrouver le 21 mai à Vienne après deux jours de discussions jugées positives, entretenant l'espoir d'une avancée avant une réunion-clé à Bagdad.
"Nous avons eu un bon échange de vues et nous allons nous rencontrer de nouveau lundi", a déclaré le chef des inspecteurs et directeur général adjoint de l'agence onusienne, Herman Nackaerts.
"Nous avons eu des discussions fructueuses dans un environnement très favorable", a renchéri l'ambassadeur iranien auprès de l'AIEA, Ali Asghar Soltanieh, lors d'un point presse tenu --chose rare-- en commun avec M. Nackaerts.
Tous deux ont néanmoins refusé de donner des détails concrets et de répondre aux questions des journalistes rassemblés à la représentation iranienne auprès des Nations-Unies à Vienne, où s'est tenue la réunion.
Cette rencontre était considérée par de nombreux experts comme un test des intentions de l'Iran avant la tenue d'une réunion à Bagdad avec le Groupe 5+1 (Etats-Unis, Chine, Russie, France, Grande-Bretagne et Allemagne) le 23 mai.
L'AIEA avait de nouveau exhorté l'Iran lundi à donner des gages sérieux de coopération, en laissant les inspecteurs de l'agence "accéder aux documents, personnes, informations et sites" pouvant aider à clarifier les questions en suspens concernant la nature de son programme nucléaire.
Téhéran est soupçonné par les Occidentaux et Israël de vouloir fabriquer l'arme atomique sous couvert d'un programme civil, malgré ses démentis répétés.
L'agence veut trouver un accord sur une "approche visant à résoudre toutes les questions en suspens avec l'Iran", avait expliqué Herman Nackaerts.
Selon M. Soltanieh, les parties ont avancé sur ce point. "Nous avons fait quelques progrès concernant la préparation et la négociation du cadre de modalités visant à résoudre les questions en suspens", a-t-il déclaré. "Nous avons décidé d'avoir un nouveau round de discussions lundi afin de faire avancer ce travail en vue d'une conclusion", a-t-il ajouté.
Le dialogue entre l'AIEA et l'Iran avait été interrompu brutalement il y a trois mois après l'échec de deux visites d'inspecteurs de l'agence à Téhéran.
Ces derniers avaient affirmé s'être vu refuser l'accès au site militaire de Parchin, où l'Iran aurait, selon les soupçons de l'agence, procédé à des tests d'explosion conventionnelle pouvant être applicables au nucléaire, ce que Téhéran dément.
En novembre, l'agence avait publié un rapport, le plus critique en huit ans d'enquête, où elle avait présenté un catalogue d'éléments indiquant que l'Iran avait travaillé à la mise au point de l'arme atomique jusqu'en 2003 et, peut-être, ensuite.
Experts et diplomates jugent qu'un résultat positif à Vienne serait de bon augure pour la réunion de Bagdad, où les grandes puissances et l'Iran veulent entrer dans le vif du sujet après une reprise de contact encourageante en avril.
Des responsables iraniens ont suggéré ces dernières semaines que le pays serait prêt, sous condition, à accepter de renoncer à l'enrichissement d'uranium jusqu'à 20%, au coeur de son conflit avec les grandes puissances. Enrichi jusqu'à 90%, l'uranium entre dans la composition de l'arme atomique.
Le quotidien Los Angeles Times avait fait de son côté état de rumeurs selon lesquelles les Etats-Unis pourraient envisager de laisser l'Iran enrichir à un faible degré de pureté pour produire de l'électricité, idée rejetée avec véhémence par Israël.
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Mer 16 Mai 2012 - 16:18
 Il jugera entre les nations, et sera l'arbitre de plusieurs peuples. Alors ils forgeront de leurs épées des hoyaux, et de leurs lances, des serpes; une nation ne lèvera plus l'épée contre l'autre, et on n'apprendra plus la guerre (Esaïe 2:4) |
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PAIX MONDIALE
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Invité Mer 16 Mai 2012 - 19:28
Amen ! Gilles.
Pensée 3B_02: Mon tout-petit, Ma toute-petite, tu n'as rien à craindre, Je suis un Dieu d'Amour! Ce que Je veux pour toi, c'est ce qu'il y a de mieux pour toi. Demande-Moi de couper les attaches qui te retiennent aux choses du monde, à ta façon de voir, de juger les événements et de les vivre. À ta demande, J'agirai!
La Pensée est extraite du livre Pour le bonheur des Miens, Mes choisis - Jésus, de Léandre Lachance, volume 3, numéro 5.
Dans Matthieu 24-6,8 :Vous aurez aussi à entendre parler des guerres et de rumeurs de guerres ; voyez, ne vous alarmez pas : car il faut que cela arrive, mais ce n'est pas encore la fin. On se dressera nation contre nation et royaume contre royaume. Il y aura par endroits des famines et des tremblements de terre. Et tout cela ne fera que commencer les douleurs de l'enfantement".
Tout notre espérance et notre foi reposent en Dieu et en sa Parole. Nous savons que Dieu est Fidèle, que nous pouvons compter sur Lui et ses Promesses.
Je pense que notre terre continue de connaître actuellement les douleurs de l'enfantement dont parle la Bible et qu'il faut tenir bon.
Est-ce que les personnes concernées avant toute négociation et décision importante à prendre, jeûnent et prient pour implorer Dieu de les conseiller, de les guider dans les directifs des choix qu'ils doivent faire ?
Est-ce qu'en invoquant Dieu, elles ont à coeur avant tout d'être en accord avec sa Volonté ?
Je crois que Dieu soutiendra toujours ceux qui comme le Seigneur en Gethsémani en se confiant à Lui, diront non pas notre volonté mais la tienne Père ! L'esprit de Dieu les inspirera et ils auront la victoire car avant de vouloir vaincre quiconque ils ont commencé par se vaincre eux-mêmes avec humilité. Ils montrent ainsi que leur véritable souci est la Paix, avant tout, et non pas d'être les plus forts.
Lorsque nous étions enfants et que nous nous disputions entre frères et soeurs, ma mère nous répétait souvent un conseil trouvé dans la bible : "La joie appartient à ceux qui conseillent la paix".
Les informations des médias peuvent être subjectives et parfois même manipulatrices. Cependant je sais bien qu'il ne faut pas non plus tomber dans la paranoïa.
Il vaut mieux rester optimiste, et, en nous appuyant sur notre foi en Dieu et nos prières, croire que Dieu fera tout concourir au bien de ceux qui L'aiment en vérité. Que par son Esprit, Il inspire tous les hommes engagés dans ces négociations et touchent leur coeur pour faire pencher la balance vers ce qui est le mieux pour Israël, pour l'Iran et par répercussion pour le monde ! Le bien ou le mal que nous faisons aux autres c'est à nous-mêmes que nous le faisons.
Esprit- Saint, viens; remplis le coeur de tes fidèles; embrase-les du feu de ton Amour.
Envoie ton Esprit, et tout sera recréé; et la face de la terre sera renouvelée.
Viens, Esprit Saint, viens par la puissante intercession du Coeur Immaculé de Marie, ton Épouse bien-aimée.
Saint Paul, Galates 5 -22,23 : Mais le fruit de l'Esprit est Charité, joie, paix, longanimité, serviabilité, bonté, confiance dans les autres, douceur, maîtrise de soi : contre de telles choses il n'y a pas de loi.
Que Dieu bénisse toutes les nations en difficultés, que le Christ vienne régner dans tous les coeurs par la foi pour que tous connaissent " l'Amour du Christ qui surpasse toute connaissance" et entrent par leur " plénitude dans toute la plénitude de Dieu" pour sa plus grande Gloire dans tous les siècles. Amen
Pensée 3B_02: Mon tout-petit, Ma toute-petite, tu n'as rien à craindre, Je suis un Dieu d'Amour! Ce que Je veux pour toi, c'est ce qu'il y a de mieux pour toi. Demande-Moi de couper les attaches qui te retiennent aux choses du monde, à ta façon de voir, de juger les événements et de les vivre. À ta demande, J'agirai!
La Pensée est extraite du livre Pour le bonheur des Miens, Mes choisis - Jésus, de Léandre Lachance, volume 3, numéro 5.
Dans Matthieu 24-6,8 :Vous aurez aussi à entendre parler des guerres et de rumeurs de guerres ; voyez, ne vous alarmez pas : car il faut que cela arrive, mais ce n'est pas encore la fin. On se dressera nation contre nation et royaume contre royaume. Il y aura par endroits des famines et des tremblements de terre. Et tout cela ne fera que commencer les douleurs de l'enfantement".
Tout notre espérance et notre foi reposent en Dieu et en sa Parole. Nous savons que Dieu est Fidèle, que nous pouvons compter sur Lui et ses Promesses.
Je pense que notre terre continue de connaître actuellement les douleurs de l'enfantement dont parle la Bible et qu'il faut tenir bon.
Est-ce que les personnes concernées avant toute négociation et décision importante à prendre, jeûnent et prient pour implorer Dieu de les conseiller, de les guider dans les directifs des choix qu'ils doivent faire ?
Est-ce qu'en invoquant Dieu, elles ont à coeur avant tout d'être en accord avec sa Volonté ?
Je crois que Dieu soutiendra toujours ceux qui comme le Seigneur en Gethsémani en se confiant à Lui, diront non pas notre volonté mais la tienne Père ! L'esprit de Dieu les inspirera et ils auront la victoire car avant de vouloir vaincre quiconque ils ont commencé par se vaincre eux-mêmes avec humilité. Ils montrent ainsi que leur véritable souci est la Paix, avant tout, et non pas d'être les plus forts.
Lorsque nous étions enfants et que nous nous disputions entre frères et soeurs, ma mère nous répétait souvent un conseil trouvé dans la bible : "La joie appartient à ceux qui conseillent la paix".
Les informations des médias peuvent être subjectives et parfois même manipulatrices. Cependant je sais bien qu'il ne faut pas non plus tomber dans la paranoïa.
Il vaut mieux rester optimiste, et, en nous appuyant sur notre foi en Dieu et nos prières, croire que Dieu fera tout concourir au bien de ceux qui L'aiment en vérité. Que par son Esprit, Il inspire tous les hommes engagés dans ces négociations et touchent leur coeur pour faire pencher la balance vers ce qui est le mieux pour Israël, pour l'Iran et par répercussion pour le monde ! Le bien ou le mal que nous faisons aux autres c'est à nous-mêmes que nous le faisons.
Esprit- Saint, viens; remplis le coeur de tes fidèles; embrase-les du feu de ton Amour.
Envoie ton Esprit, et tout sera recréé; et la face de la terre sera renouvelée.
Viens, Esprit Saint, viens par la puissante intercession du Coeur Immaculé de Marie, ton Épouse bien-aimée.
Saint Paul, Galates 5 -22,23 : Mais le fruit de l'Esprit est Charité, joie, paix, longanimité, serviabilité, bonté, confiance dans les autres, douceur, maîtrise de soi : contre de telles choses il n'y a pas de loi.
Que Dieu bénisse toutes les nations en difficultés, que le Christ vienne régner dans tous les coeurs par la foi pour que tous connaissent " l'Amour du Christ qui surpasse toute connaissance" et entrent par leur " plénitude dans toute la plénitude de Dieu" pour sa plus grande Gloire dans tous les siècles. Amen
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Invité Mer 16 Mai 2012 - 20:14
Merci pour les textes que tu as postés Gilles aujourd'hui : ils sont remplis d'espérance et tellement beaux !
Alors la Paix viendra
Si tu crois qu'un sourire est plus fort qu'une arme,
Si tu crois à la puissance d'une main offerte,
Si tu crois que ce qui rassemble les hommes
est plus important que ce qui divise,
Si tu crois qu'être différent est une richesse
et non pas un danger,
Si tu sais regarder l'autre avec un brin d'amour,
Si tu préfères l'espérance au soupçon,
Si tu estimes que c'est à toi de faire le premier pas,
plutôt qu'à l'autre,
Si le regard d'un enfant parvient encore à désarmer ton coeur,
Si tu peux te réjouir de la joie de ton voisin,
Si l'injustice qui frappe les autres te révolte
autant que celle que tu subis,
Si pour toi l'étranger est un frère qui t'est proposé,
Si tu sais donner gratuitement un peu de ton temps par amour,
Si tu acceptes qu'un autre te rende service,
Si tu partages ton pain
et que tu saches y joindre un morceau de ton coeur,
Si tu crois qu'un pardon va plus loin qu'une vengeance,
Si tu sais chanter le bonheur des autres
et danser leur allégresse,
Si tu peux écouter le malheureux qui te fait perdre ton temps
et lui garder ton sourire,
Si tu sais accepter la critique et en faire ton profit,
sans la renvoyer et te justifier,
Si tu sais accueillir et adopter un avis différent du tien,
Si pour toi l'autre est d'abord un frère,
Si la colère est pour toi une faiblesse, non une preuve de force,
Si tu préfères être lésé que faire tort à quelqu'un,
Si tu refuses qu'après toi ce soit le déluge,
Si tu te ranges du côté du pauvre et de l'opprimé
sans te prendre pour un héros,
Si tu crois que l'Amour est la seule force de dissuasion,
Si tu crois que la Paix est possible,
...........Alors la Paix viendra.
Auteur : Pierre Guilbert (Prêtre)
Alors la Paix viendra
Si tu crois qu'un sourire est plus fort qu'une arme,
Si tu crois à la puissance d'une main offerte,
Si tu crois que ce qui rassemble les hommes
est plus important que ce qui divise,
Si tu crois qu'être différent est une richesse
et non pas un danger,
Si tu sais regarder l'autre avec un brin d'amour,
Si tu préfères l'espérance au soupçon,
Si tu estimes que c'est à toi de faire le premier pas,
plutôt qu'à l'autre,
Si le regard d'un enfant parvient encore à désarmer ton coeur,
Si tu peux te réjouir de la joie de ton voisin,
Si l'injustice qui frappe les autres te révolte
autant que celle que tu subis,
Si pour toi l'étranger est un frère qui t'est proposé,
Si tu sais donner gratuitement un peu de ton temps par amour,
Si tu acceptes qu'un autre te rende service,
Si tu partages ton pain
et que tu saches y joindre un morceau de ton coeur,
Si tu crois qu'un pardon va plus loin qu'une vengeance,
Si tu sais chanter le bonheur des autres
et danser leur allégresse,
Si tu peux écouter le malheureux qui te fait perdre ton temps
et lui garder ton sourire,
Si tu sais accepter la critique et en faire ton profit,
sans la renvoyer et te justifier,
Si tu sais accueillir et adopter un avis différent du tien,
Si pour toi l'autre est d'abord un frère,
Si la colère est pour toi une faiblesse, non une preuve de force,
Si tu préfères être lésé que faire tort à quelqu'un,
Si tu refuses qu'après toi ce soit le déluge,
Si tu te ranges du côté du pauvre et de l'opprimé
sans te prendre pour un héros,
Si tu crois que l'Amour est la seule force de dissuasion,
Si tu crois que la Paix est possible,
...........Alors la Paix viendra.
Auteur : Pierre Guilbert (Prêtre)
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Mer 16 Mai 2012 - 20:41
La Chine se félicite des résultats positifs des pourparlers entre l'Iran et l'AIEA
Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Lio Wi Min, s'est félicité mercredi de l'issue positive des pourparlers entre l'Iran et l'Agence internationale de l'énergie atomique.
Il a déclaré aux journalistes que les pourparlers et la coopération entre l'Iran et l'AIEA visant à résoudre le dossier nucléaire de l'Iran par des moyens diplomatiques sont fructueux.
Lio Wi Min a exprimé l'espoir que l'Iran et l'AIEA poursuivront leurs discussions et leur coopération pour un règlement intégral de l'ensemble des questions encore en suspens.
Gilles. Ville de Québec - Canada
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par vero57 Mer 16 Mai 2012 - 22:55
Il est inconcevable de voir comme quelques individus président à la destinée mondiale et s'arrogent des droits qu'ils n'ont pas.
Quelle est donc la légitimité de ces personnes (une vingtaine autour d'une table) pour décider du sort de MILLIARDS d'autres ?
Franchement, c'est quelque chose qui me dépasse un peu.
Quelle est donc la légitimité de ces personnes (une vingtaine autour d'une table) pour décider du sort de MILLIARDS d'autres ?
Franchement, c'est quelque chose qui me dépasse un peu.
vero57- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Invité Jeu 17 Mai 2012 - 0:04
Demain nous fêterons tous l'Ascension de Notre Seigneur et avec un groupe d'amis nous allons dire une neuvaine de prière à l'Esprit Saint pour la Paix dans nos familles, nos institutions, notre pays et le monde, en union de prières avec toutes les personnes qui le désirent et communierons durant cette période du 18 au 25 mai . Que l'Esprit Saint vienne sur nous tous et fassent de nous des instruments de Paix partout où nous nous trouvons et puissions-nous nous réjouir et rendre gloire à Dieu comme vous le faites Gilles, pour tout avancement positif vers une paix possible.
Jeudi 17 mai: "L'Esprit Saint vous enseignera toutes choses"
Vendredi 18 mai: "Le don de Sagesse nous donne le goût de Dieu pour chercher le bien en toute chose."
Samedi 19 mai: "Le don d'intelligence ouvre les yeux de notre coeur au mystère de sa Parole pour qu'elle donne sens à notre vie"
Dimanche 20 mai: "Le don de conseil pour éclairer notre conscience et agir selon la volonté de Dieu"
Lundi 21 mai: "Le don de force pour que notre vie témoigne de notre foi au Christ."
Mardi 22 mai: "Le don de science pour n'avoir soif que de Dieu seul."
Mercredi 23 mai: "Le don de piété pour faire grandir en nous le désir de la sainteté."
Jeudi 24 mai: "Le don de crainte qui nous aide à nous mettre en présence du Seigneur dans l'adoration"
Vendredi 25 mai: "Les fruits de l'Esprit Saint dans notre vie"
Bonne fête de l'Acension et bonne Fête de la Pentecôte ! Que Dieu te bénisse Gilles, ainsi que tous ceux qui prient et oeuvrent pour la Paix.
https://www.youtube.com/watch?v=7YzmJqK3Omo&feature=related
Jeudi 17 mai: "L'Esprit Saint vous enseignera toutes choses"
Vendredi 18 mai: "Le don de Sagesse nous donne le goût de Dieu pour chercher le bien en toute chose."
Samedi 19 mai: "Le don d'intelligence ouvre les yeux de notre coeur au mystère de sa Parole pour qu'elle donne sens à notre vie"
Dimanche 20 mai: "Le don de conseil pour éclairer notre conscience et agir selon la volonté de Dieu"
Lundi 21 mai: "Le don de force pour que notre vie témoigne de notre foi au Christ."
Mardi 22 mai: "Le don de science pour n'avoir soif que de Dieu seul."
Mercredi 23 mai: "Le don de piété pour faire grandir en nous le désir de la sainteté."
Jeudi 24 mai: "Le don de crainte qui nous aide à nous mettre en présence du Seigneur dans l'adoration"
Vendredi 25 mai: "Les fruits de l'Esprit Saint dans notre vie"
Bonne fête de l'Acension et bonne Fête de la Pentecôte ! Que Dieu te bénisse Gilles, ainsi que tous ceux qui prient et oeuvrent pour la Paix.
https://www.youtube.com/watch?v=7YzmJqK3Omo&feature=related
Invité- Invité
Re: Israël - Iran - États-Unis : Une issue positive possible ?
par Gilles Jeu 17 Mai 2012 - 16:00
mercredi, 16 mai 2012 17:03
Iran-AIEA : les négociations de Vienne aboutissent...
IRIB- Les discussions de deux jours entre l'Iran et l'AIEA se sont terminées à Vienne.
Mardi, dans un point de presse, tenu à l'issue de ce tour de négociations, l'ambassadeur iranien auprès de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique, Ali Asghar Soltanieh, a fait part des progrès acquis dans le domaine de l'élaboration d'une modalité et d'un cadre d'action pour résoudre les questions non-réglées entre la RII et l'Agence.
" Les deux parties poursuivront leurs négociations lundi prochain, a ajouté M. Soltanieh. Lundi, l'Iran et l'AIEA ont entamé une nouvelle phase de négociations à Vienne où ils ont examiné l'élaboration des modalités censées dissiper les ambiguïtés et répondre aux éventuelles questions de l'Agence ainsi que les coopérations réciproques et les engagements de l'Agence envers les droits des membres de cette instance.
Selon les observateurs politiques, il est très important que ces discussions pivotent sur ces deux axes car une récapitulation transparente des pourparlers pourrait mettre fin au processus de la politisation du nucléaire iranien, objet d'oppositions, de menaces et de sanctions anti-iraniennes de la part de l'Occident.
D'autre part, cette coopération, allant au-delà du cadre des coopérations courantes des pays membres, fait preuve de l'engagement de l'Iran au TNP. Ce qui empêche l'Occident de le priver de ses droits inaliénables. Conformément aux lois, stipulées dans le TNP, les droits nucléaires de tous les pays membres de l'AIEA sont bien définis et ils ne doivent pas être interprétés par les autres pays. Il est évident que l'Agence doit aussi aider les membres dans les questions techniques pour qu'ils puissent profiter du savoir-faire nucléaire à des fins pacifiques. Ceci dit, les discussions menées entre Téhéran et les responsables de l'Agence concernent les coopérations techniques et juridiques. Il est à noter que l'Iran avait répondu aux questions de l'Agence dans le cadre des modalités selon laquelle les deux parties s'étaient mises d'accord il y a 5 ans. A cette époque-là, l'Iran a répondu aux questions de l'Agence, dissipé les ambiguïtés et permis aux inspecteurs de visiter le Centre militaire de Parchin, bien que cela n'ait pas fait partie des engagements de l'Iran envers l'Agence.
Dans la conjoncture actuelle, l'importance toute particulière des discussions Iran/AIEA nécessite l'élaboration d'un programme dans un cadre temporel.
De toute façon, la poursuite des discussions, lundi prochain, fait preuve de la volonté sérieuse de part et d'autre pour régler les questions. Cependant, ce règlement pourrait être entravé vu l'approche politique de l'Agence vis-à-vis de l'Iran.
Pour le rappel, le deuxième tour des négociations Iran/5+1 se tiendra la semaine prochaine, le 23 mai, à Bagdad. Les négociations dont le premier tour a été qualifié de positif et de constructif par les observateurs internationaux.
Gilles. Ville de Québec - Canada
Iran-AIEA : les négociations de Vienne aboutissent...
IRIB- Les discussions de deux jours entre l'Iran et l'AIEA se sont terminées à Vienne.
Mardi, dans un point de presse, tenu à l'issue de ce tour de négociations, l'ambassadeur iranien auprès de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique, Ali Asghar Soltanieh, a fait part des progrès acquis dans le domaine de l'élaboration d'une modalité et d'un cadre d'action pour résoudre les questions non-réglées entre la RII et l'Agence.
" Les deux parties poursuivront leurs négociations lundi prochain, a ajouté M. Soltanieh. Lundi, l'Iran et l'AIEA ont entamé une nouvelle phase de négociations à Vienne où ils ont examiné l'élaboration des modalités censées dissiper les ambiguïtés et répondre aux éventuelles questions de l'Agence ainsi que les coopérations réciproques et les engagements de l'Agence envers les droits des membres de cette instance.
Selon les observateurs politiques, il est très important que ces discussions pivotent sur ces deux axes car une récapitulation transparente des pourparlers pourrait mettre fin au processus de la politisation du nucléaire iranien, objet d'oppositions, de menaces et de sanctions anti-iraniennes de la part de l'Occident.
D'autre part, cette coopération, allant au-delà du cadre des coopérations courantes des pays membres, fait preuve de l'engagement de l'Iran au TNP. Ce qui empêche l'Occident de le priver de ses droits inaliénables. Conformément aux lois, stipulées dans le TNP, les droits nucléaires de tous les pays membres de l'AIEA sont bien définis et ils ne doivent pas être interprétés par les autres pays. Il est évident que l'Agence doit aussi aider les membres dans les questions techniques pour qu'ils puissent profiter du savoir-faire nucléaire à des fins pacifiques. Ceci dit, les discussions menées entre Téhéran et les responsables de l'Agence concernent les coopérations techniques et juridiques. Il est à noter que l'Iran avait répondu aux questions de l'Agence dans le cadre des modalités selon laquelle les deux parties s'étaient mises d'accord il y a 5 ans. A cette époque-là, l'Iran a répondu aux questions de l'Agence, dissipé les ambiguïtés et permis aux inspecteurs de visiter le Centre militaire de Parchin, bien que cela n'ait pas fait partie des engagements de l'Iran envers l'Agence.
Dans la conjoncture actuelle, l'importance toute particulière des discussions Iran/AIEA nécessite l'élaboration d'un programme dans un cadre temporel.
De toute façon, la poursuite des discussions, lundi prochain, fait preuve de la volonté sérieuse de part et d'autre pour régler les questions. Cependant, ce règlement pourrait être entravé vu l'approche politique de l'Agence vis-à-vis de l'Iran.
Pour le rappel, le deuxième tour des négociations Iran/5+1 se tiendra la semaine prochaine, le 23 mai, à Bagdad. Les négociations dont le premier tour a été qualifié de positif et de constructif par les observateurs internationaux.
Gilles. Ville de Québec - Canada
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