Les pretres maries ..
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Re: Les pretres maries ..
Bonjour aegidi,
Aidons nous les uns les autres...
On est bien sur un site catholique. Nous devons nous aidez humblement. Il ne s'agit pas de compétition. C'est ce que je voulais entendre (lire) sur ce forum. Les forum catholiques doivent servir de centre d'enseignements et d'unité. Je pense qu'ils participent à cette nouvelles évangélisation dont le monde a besoin devant les attaques anti-catholiques.
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pedroso- Aime la Divine Volonté
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Re: Les pretres maries ..
Gilles a écrit:...J'ai bien écrit que l'apôtre Pierre et ses successeurs portaient le nom "Évêque", jusqu'au jour où l'Empereur Constantin instituat la Papauté. J'avais oublié de mentionner comme tu le précises que les successeurs de Pierre jusqu'à Constantin étaient les chefs de l'Église Primitive pusiqu'ils portaient le titre d'Évêque.
Bonjour Gilles,
Je suis d'accord en effet Pierre était marié avant de suivre le Christ. Certainement d'autres comme le dit michael. Le but pour nous est d'avoir des données historiques sérieuses et fiables sur un sujet trop souvent manipulé. Je vous invite à parcourir le site clerus.org. Vous trouverez des réponses insoupçonnées. Dans le document que je vous donné il est dit ceci :
LES CLERCS MARIÉS AUX PREMIERS SIÈCLES DE L'EGLISE
— La question du mariage des Apôtres
Un autre problème qui mérite l'examen est celui qui est posé par l'existence de nombreux clercs mariés aux premiers siècles de l'Eglise. Et tout d'abord par la situation de Pierre, et peut-être d'autres Apôtres, qui avaient une épouse lorsque le Christ les a appelés à le suivre. Question d'un intérêt primordial, c'est évident, dès lors qu'il s'agit de vérifier si la loi de la continence parfaite pour les ministres sacrés peut remonter à une origine apostolique, comme l'affirment les documents du 4ème siècle que nous avons rencontrés. Quand les Pères africains de 390 assurent vouloir observer « ce que les Apôtres ont enseigné », ils se réfèrent non seulement à un enseignement oral mais avant tout à l'exemple que, selon eux, les Douze ont laissé à la postérité. Car on peut être assuré que cet exemple, quel qu'il fût, joua un rôle déterminant dans la vie de l'Eglise et dans l'organisation de sa discipline. Le Nouveau Testament ne nous fournissant qu'un seul renseignement sûr: le mariage de Pierre, c'est à la Tradition des origines qu'il faut demander des indications supplémentaires.
Une enquête aussi complète que possible à travers la littérature chrétienne de l'époque conduit aux conclusions suivantes :
1- Hormis le cas de Pierre, il n'existe pas de tradition assez générale et constante sur laquelle on pouvait se fonder pour affirmer, de tel apôtre qu'il avait eu femme et enfants, ou de tel autre qu'il était célibataire. Deux exceptions cependant : l'apôtre Jean, qu'une tradition assez unanime reconnaît avoir été vierge ; et l'apôtre Paul, qu'une majorité de Pères estiment n'avoir jamais été marié, ou, en tout cas, avoir été veuf.
2- Concernant le genre de vie des Apôtres au lendemain de leur vocation, les Pères affirment tous, avec la même assurance, que ceux d'entre eux qui pouvaient avoir été mariés ont ensuite cessé la vie conjugale et pratiqué la continence parfaite. Ce remarquable consensus des Pères sur un point aussi important constitue une herméneutique autorisée des passages d'Evangile où il est fait allusion au détachement des disciples : « Alors, prenant la parole, Pierre dit à Jésus : "Eh bien ! nous, nous avons tout quitté et nous t'avons suivi..." (Mt 19, 27) Il leur dit : "En vérité, je vous le dis, nul n'aura quitté maison, femme, frères, parents ou enfants, à cause du Royaume de Dieu, qui ne reçoive bien davantage en ce temps-ci et dans le temps à venir la vie éternelle » (Lc 18, 28-30). Le sentiment commun des Pères, sans exception, était donc que les Apôtres avaient été les premiers à tout quitter, y compris éventuellement leur femme, pour le Royaume de Dieu. Nous avons là un écho de la prédication officielle des premiers siècles dans les grands centres chrétiens (dès la fin du 2ème siècle et le début du 3ème, par exemple, à Alexandrie, avec Clément, et en Afrique, avec Tertullien). Il est l'expression de la mémoire collective des Eglises apostoliques regardant l'exemple laissé par les Apôtres aux générations futures, et constitue un solide argument de tradition.
— Exemples de clercs mariés aux quatre premiers siècles
Il y eut, aux premiers siècles de l'Eglise, de très nombreux évêques, prêtres et diacres ayant eu femme et enfants. Les Communautés chrétiennes de l'époque, qui vivaient intensément du souvenir des Apôtres, considéraient en effet comme une chose normale d'admettre au ministère sacerdotal des hommes mariés. C'était là un hommage rendu à la sainteté du mariage, en même temps qu'au choix du Seigneur qui avait appelé Pierre, et peut-être d'autres hommes mariés, à tout quitter pour le suivre. Les documents publics et les textes patristiques que nous avons lus attestent indirectement l'existence de ces clercs monogames. Mais il y a plus, car les récits du temps et l'épigraphie nous ont conservé le souvenir d'un bon nombre et souvent plus d'une information utile à leur sujet. Leurs noms figurent de plein droit dans le dossier des origines du célibat sacerdotal, car la vérité et la science historiques ont tout à gagner à la connaissance des faits de ce genre. Aussi me suis-je efforcé de répertorier, à travers les sources disponibles, une liste de clercs mariés pouvant offrir une base de réflexion suffisamment large (45). Me limitant ici aux quatre premiers siècles, je me bornerai aussi à présenter ces personnages, sans surcharger la lecture de références bibliographiques qui ne sont pas nécessaires. C'est au total une liste de soixante et onze clercs, soit quarante six évêques, dix-sept prêtres et huit diacres.
- Exemples de clercs mariés au premier siècle : Indépendamment du cas des Apôtres, nous ne connaissons pour le premier siècle que deux exemples de clercs mariés, ce qui reflète la rareté de la documentation dans tous les domaines pour cette période. L'un est le diacre de Jérusalem Nicolas, dont parlent les Actes des Apôtres (6, 5) ; l'autre, un évêque anonyme du Pont, qui fut le père de l'hérétique Marcion. Une fois ordonnés, ces deux hommes ont-ils continuer à mener la vie conjugale, ou ont-ils vécu dans la continence parfaite ? L'histoire ne le dit pas, et il faut se garder de conclure, dans un sens comme dans l'autre, pour les raisons que nous connaissons.
- Exemples de clercs mariés au deuxième siècle : Deux noms aussi seulement pour cette période : un prêtre de Philippos en Macédoine, nommé Valens, dont parle saint Polycarpe dans sa lettre aux Philippiens ; et un diacre anonyme d'Asie, dont la femme, au dire de saint Irénée, s'était laissée séduire par Marc le magicien. Comme pour le premier siècle, il est évident que ces deux brèves notices n'autorisent par elles-mêmes aucune conclusion concernant la façon dont ces époux consacrés vivaient leur vie conjugale, et encore moins sur la discipline de l'époque.
- Exemples de clercs mariés au troisième siècle : Nous connaissons, pour le troisième siècle, cinq évêques qui étaient (ou avaient été) mariés : Chérémon, évêque de Nilopolis, en Egypte, qui s'enfuit « avec sa compagne » dans la montagne d'Arabie pour échapper à la persécution de Dèce ; Démétrien, évêque d'Antioche, père de l'évêque Domnus, son successeur ; Demetrius, l'évêque d'Origène, dont l'élection ne fut acceptée par la communauté chrétienne d'Alexandrie que lorsqu'on apprit qu'il avait toujours gardé la continence avec son épouse ; Irénée, jeune évêque de Sirmium, en Pannonie, qui, sans céder aux larmes de sa femme et de ses enfants, alla, au martyre en déclarant qu'il avait accompli le précepte du Seigneur : « Celui qui aime son père, sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ses frères ou ses parents plus que moi, n'est pas digne de moi », et Martial, évêque de Merida, en Espagne, qui avait plusieurs fils.
Chérémon de Nilopolis et Démétrien d'Antioche usaient-ils du mariage ou pratiquaient-ils la continence parfaite ? Les notices d'Eusèbe de Césarée, qui mentionnent ces deux personnages, ne permettent pas de répondre. On doit faire la même remarque à propos de Martial de Merida, dont parle saint Cyprien dans une de ses lettres. Le récit sur Demetrius d'Alexandrie a été sans doute enjolivé par la légende, mais il reste néanmoins un renseignement intéressant à noter. Quant à Irénée de Sirmium, son esprit de détachement total à l'heure du martyre montre que, malgré sa jeunesse, il avait fort bien pu pratiquer la continence parfaite si telle était la discipline à son époque. Le récit des Actes de son martyre ne dit rien sur sa vie conjugale.
Cinq noms de prêtres mariés figurent également dans l'histoire du troisième siècle. Ils appartiennent tous à l'Afrique : Cécilien, prêtre de Carthage, ami intime de saint Cyprien, auquel avant de mourir il confia sa femme et ses enfants ; Novatus de Carthage, sinistre individu qui, entre autres forfaits, brutalisa sa femme et la fit avorter ; Numidicus de Carthage, martyr, qui assista « avec joie » au martyre de sa fidèle épouse ; Saturnin d'Abitina, qui subit le martyre avec ses quatre enfants ; et Tertullien, du moins si l'on veut en croire saint Jérôme qui nous assure qu'il était prêtre.
Ici encore, l'examen de chaque cas laisse entière la question de savoir quel genre de vie ces hommes avaient mené avec leur femme après l'ordination, ou quelle était la discipline de leur temps. On peut toutefois observer que tous sont prêtres d'une Eglise qui affirmera au siècle suivant, par la voix de ses évêques (concile de Carthage), que la continence parfaite des membres supérieurs du clergé est une tradition d'origine apostolique. Ces Pères du 4ème siècle, qui connaissaient leur histoire au moins aussi bien que nous, semblent ainsi nous indiquer que la discipline de l'Eglise d'Afrique, du temps de Cécilien de Carthage et des autres, comportait également l'observation de la continence parfaite. Dans le cas contraire, ils n'auraient pu prétendre que leur décision était conforme à l'enseignement des Apôtres sans qu'on leur opposât justement ces exemples notoires de leur propre Eglise.
- Exemples de clercs mariés au quatrième siècle : L'Eglise du 4ème siècle, qui se développe et s'organise à la faveur de la paix constantinienne, nous offre un nombre important d'exemples de clercs mariés. Au total quarante évêques, onze prêtres et six diacres. En voici la liste, classée d'après le cadre géographique :
A) Préfecture d'Orient
— Dans le diocèse du Pont : Eulalius, évêque de Césarée de Cappadoce, père d'Eusthate de Sébaste ; Grégoire, évêque de Nysse ; Grégoire dit l'Ancien, évêque de Nazianze, père de saint Grégoire de Nazianze ; et Anysius, prêtre de Borille en Cappadoce, aïeul de l'historien grec Philostorge. En Arménie, Grégoire « l’Illuminateur » (*), père de deux fils, Verthanès et Aristakès, qui furent l'un et l'autre ses successeurs sur le siège du catholicos ; Verthanès (*), père du futur catholicos Yousik et de Grégoire, futur évêque d'Ibérie et d'Albanie ; Yousik (*), aïeul de Nersès le Grand ; et Nersès le Grand (*), père du futur catholicos Sahaq le Grand. En Arménie encore, les évêques Khat, Asroug et Pharen (patriarche).
— Dans le diocèse d'Asie : Antonin, évêque d'Ephèse, qui fut condamné par un concile de Constantinople présidé par saint Jean Chrysostome, parce que « après s'être séparé de sa femme, il avait repris la vie commune avec elle, et en avait eu des enfants » ; et six évêques anonymes de la région d'Ephèse.
— Dans le diocèse d'Orient : En Syrie, Ajax (*), évêque de Botolius ; Marcel, évêque d'Apamée ; Pelage (*), évêque de Laodicée ; Philogonius, évêque d'Antioche ; et Apollinaire, prêtre de Laodicée, père d'Apollinaire évêque de la même ville. A Chypre, Spiridon, évêque de Trimithus. En Phénicie, Léonce, évêque de Tripoli.
— Dans le diocèse d'Egypte : Philéas, évêque de Thmuis, qui mourut martyr.
B) Préfecture des Gaules
— Dans le diocèse d'Espagne : Cartérius, évêque espagnol d'un siège inconnu ; Pacien (*), évêque de Barcelone, père du préfet du prétoire Dexter ; Symposius, évêque d'Astorga, père de l'évêque Dictinius son successeur.
— Dans le diocèse des Gaules : Artémius (*), évêque d'Auvergne ; Hilaire (*), évêque de Poitiers ; Réticius (*), évêque d'Autun ; Simplicius (*), évêque d'Autun ; Urbicus (*), évêque de Clermont ; et Aper (*), prêtre, ami de saint Paulin de Nole.
— Dans le diocèse de Bretagne: Potitus, prêtre, père du diacre Calpornius, aïeul de saint Patrick ; Calpornius (Kalfurnus), diacre, père de saint Patrick.
C) Préfecture d'Italie
— Dans le diocèse d'Italie : Anastase I, pape, père (?) du pape Innocent I ; un évêque anonyme d'un siège inconnu (46) ; Antonius, évêque d'un siège suburbicaire de Rome, père du pape Damase ; Léon, évêque d'un siège inconnu, père du diacre Florentius ; Memor, évêque d'Italie méridionale, père de Julien d'Eclane ; Petronius Dextrus, évêque d'un siège inconnu ; Sévère (*), évêque de Ravenne ; les prêtres Gaudentius, Leontius et Limenius, tous trois de Rome ; le prêtre Pac. Patroclus ; deux prêtres anonymes ; et quatre diacres : Severus, de Rome, et trois anonymes, dont un de Rome et un de Florence (*).
— Dans le diocèse d'Afrique : Victor, évêque d'Ucresium en Numidie.
— Dans le diocèse d'Illyrie : Melon, prêtre de Mélos, et Fl. Julius, diacre de Salone.
Les noms suivis d'une astérisque (*) sont les clercs mariés dont les notices biographiques spécifient qu'ils vécurent dans la continence parfaite après leur ordination, quand ce n'était pas plus tôt. Pour trois d'entre eux, — Urbicus de Clermont, Simplicius d'Autun et Sévère de Ravenne —, il est clair que, ce faisant, ils obéissent, à une discipline formelle. Les catholicos arméniens de la lignée grégoride présentent, de leur côté, un exemple remarquable. Grégoire « l’Illuminateur », son fils Verthanès, son petit-fils Yousik et son arrière petit-fils Nersès ont tous vécu dans la continence parfaite. Etait-ce seulement en vertu d'une option personnelle ? Ou faut-il y percevoir l'indice d'une discipline en vigueur dans leur Eglise ? Quand on voit la continence associée de façon aussi régulière, sur plusieurs générations, au choix des catholicos, la question n'est pas vaine. Et si on se souvient que l'Eglise d'Arménie était alors rattachée à Césarée de Cappadoce et en étroite communion avec Rome, on peut se demander si les catholicos arméniens du 4ème siècle ne sont pas les témoins privilégiés, pour cette région d'Orient, d'une règle de continence sacerdotale identique à celle que connaissaient les Eglises d'Occident (47).
Pour les autres clercs de la liste, rien n'est dit souvent de leur épouse. On ignore même si celle-ci était encore de ce monde lors de l'ordination du mari. Il convient de se rappeler que les décrétales de Sirice concernaient l'ensemble des provinces d'Occident, et que, par conséquent, les clercs supérieurs mariés des deux préfectures d'Italie et des Gaules (Espagne, Gaules, Bretagne, Italie, Afrique et Illyrie) connaissaient tous une discipline de continence parfaite. Le contexte législatif éclaire l'histoire.
Une liste aussi complète que possible des clercs mariés aux premiers siècles de l'Eglise s'avère ainsi indispensable à la recherche. Elle répond avant tout à l'exigence première de la critique historique, qui est la connaissance des faits. Elle nous confirme ensuite ce que nous apprennent les documents législatifs et patristiques, à savoir l'existence d'un nombreux clergé marié, surtout à partir du 3ème siècle. L'examen de chaque cas fait ressortir l'importance du concept de célibat-continence, — ou de continence parfaite —, pour une évaluation adéquate de la réalité clérogamique aux origines de l'Eglise. La question à laquelle doit s'efforcer de répondre un historien averti est celle-ci : ce clerc marié a-t-il continué à vivre maritalement avec son épouse après son ordination, ou a-t-il vécu dans la continence parfaite ? Ignorer, ou éluder la question, comme on le fait parfois, c'est méconnaître un trait essentiel de la physionomie du sacerdoce à cette période. La liste nous montre qu'il n'existe aucun exemple de clerc marié dont on puisse affirmer qu'il a vécu maritalement avec son épouse après l'ordination en conformité avec une coutume reconnue ou une discipline officielle. Bien plus, les récits nous prouvent que certains vécurent dans la continence parfaite par soumission à une discipline bien établie, comme dans les Gaules ou en Italie. Dans d'autres cas, comme pour l'Arménie en communion avec Rome, on peut le supposer avec raison.
P+
pedroso- Aime la Divine Volonté
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Inscription : 17/02/2012
Re: Les pretres maries ..
Bonjour Pedroso,voici ce que j'ai écrit pour plus de précisions;pedroso a écrit:Bonjour Gilles,
Je suis d'accord en effet Pierre était marié avant de suivre le Christ. Certainement d'autres comme le dit michael.
P+
Michael a écrit:Plus présisément,Philippe marié à Marie de son prénom et Natanaël(connu sous Barthélemy)marié à Anne de Cana.Emmanuel a écrit:
Pierre était absolument marié, de même que quelques autres apôtres.
Ils étaient trois.(Pierre,Philippe et Natanaël)
Pour ceux qui veulent en savoir plus,cliquez sur ce lien.Très intéressant.
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t7839-caractere-et-aspect-des-personnages-bibliques?highlight=personnages+bibliques
Michael- Dans la prière
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Inscription : 08/03/2009
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