Les médicaments sont des armes de guerre !
Page 1 sur 1
Les médicaments sont des armes de guerre !
VITAL ! ARMES DE GUERRE PHARMACOLOGIQUES : LA PREUVE ABSOLUE QUE LES MEDICAMENTS SONT AUSSI UTILISES DE MANIÈRE DIRECTE COMME ARMES MILITAIRES, AFIN DE TUER !
Chers amis,
Nous venons de voir que les médicaments synthétiques produits par les charognards nécrophages des multinationales criminelles de l’industrie pharmaceutique, NE SONT PAS CRÉÉS POUR GUÉRIR, MAIS BIEN POUR ÉTENDRE UN MARCHÉ (c’est-à-dire pour faire durer la maladie le plus longtemps possible afin de rapporter un maximum de sous à l’industrie), OU POUR OUVRIR DE NOUVEAUX MARCHÉS EN CRÉANT D’AUTRES MALADIES VIA LES EFFETS SECONDAIRES NÉFASTES DES MÉDICAMENTS DE SYNTHÈSE. Twisted Evil Mad Exclamation
Nous avons vu que cette attitude criminelle a provoqué le dépôt d’une PLAINTE POUR GÉNOCIDE auprès du tribunal pénal international (TPI) de La Haye. Exclamation
Nous avons pu constater que les multinationales pharmaceutiques INCLUENT DÉLIBÉRÉMENT DES SUBSTANCES TOXIQUES DANS LES VACCINS (hydroxyde d’aluminium, thiomersal, squalène, merisol etc.). Twisted Evil Mad
AUJOURD’HUI, JE VOUS PROPOSE UN ARTICLE QUI DATE D’IL Y A PLUS DE 3 ANS, MAIS QUI EST ABSOLUMENT VITAL POUR COMPRENDRE LE FAIT QUE LES SOI-DISANT « PROGRÈS » EFFECTUÉS DANS LES NEUROSCIENCES ET QUE LES ACTIVITÉS SUSPECTES DES MULTINATIONALES PHARMACEUTIQUES, SERVENT EN RÉALITÉ AUSSI DIRECTEMENT À DÉVELOPPER DES ARMES MILITAIRES, QUE L’ON APPELLE ARMES PHARMACOLOGIQUES ! Surprised Shocked Exclamation
L’ARTICLE CI-DESSOUS, PUBLIÉ DANS LE MONDE DIPLOMATIQUE, EST UN MUST ! VOUS VERREZ QUE L’EFFACEMENT DE LA MÉMOIRE DES SOLDATS, QUE DES SUBSTANCES MÉDICAMENTEUSES ET CHIMIQUES SONT UTILISÉES COMME DES ARMES QUI VISENT À NUIRE À LA SANTÉ, ET QUE LES MÉDECINS POURRAIENT MÊME ÊTRE AMENÉS, EN TEMPS D’HOSTILITÉS, À SE TRANSFORMER EN MENGELE PLUTÔT QU’EN SAUVEURS DE VIES ! Twisted Evil Mad Mad Mad
A LIRE DE TOUTE URGENCE !
L’article, ci-dessous…
BONNE RÉVOLUTION… OU BON ESCLAVAGE, BONNE TYRANNIE ET BONNE MORT ! Exclamation Vic.
Sources : http://mecanoblog.wordpress.com/2010/03/01/armes-de-guerre-pharmacologiques/ et http://www.monde-
diplomatique.fr/2007/08/WRIGHT/15045
ARMES DE GUERRE PHARMACOLOGIQUES
La GUERRE CONTRE LES ESPRITS est parfois plus qu’une métaphore. Une fois militarisées, les innovations apportées par les NEUROSCIENCES et la RECHERCHE PHARMACOLOGIQUE permettent d’envisager des ARMES RADICALEMENT NOUVELLES. CERTAINES SONT DEJA EMPLOYEES SUR LE CHAMP DE BATAILLE EN IRAK, ET, AU NOM DE L’ANTITERRORISME, LES RECHERCHES SE POURSUIVENT TOUS AZIMUTS EN UTILISANT UNE BRECHE DE LA CONVENTION SUR LES ARMES CHIMIQUES. Sans que certains scientifiques aient conscience des responsabilités qu’ils assument.
Par Steve Wright
La PHARMACOLOGIE DE GUERRE est inéluctable. C’est du moins le constat qu’établit l’Association médicale britannique (BMA) dans son récent rapport sur L’UTILISATION DE MEDICAMENTS COMME ARMES (1).
IL Y A DEJA UNE QUARANTAINE D’ANNEES QUE LES MEDICAMENTS SONT ETUDIES POUR LEURS POSSIBILITES DE TRANSFORMATION EN ARMES DE GUERRE. Du célèbre LSD au gaz BZ, diverses drogues militaires ont été testées sur les humains ; le gaz CS a été utilisé à grande échelle durant la guerre du Vietnam. Bonfire, un programme soviétique secret, a tenté de transformer en armes des hormones humaines responsables de certaines des principales fonctions du corps. On ne compte plus les PRODUITS CHIMIQUES utilisés lors des interrogatoires, ni les diverses SUBSTANCES PSYCHOACTIVES OU PARALYSANTES EMPLOYEES POUR INHIBER LES TRANSMISSIONS NERVEUSES, INFLIGER LA DOULEUR OU CAUSER DES IRRITATIONS (2).
En raison de la nature extrêmement technique de ces recherches, les débats sont restés confinés aux organismes spécialisés dans les armes non conventionnelles, comme le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), le Harvard-Sussex Programme sur les armes chimiques et bactériologiques et l’organisation Pugwash (3). Cependant, la révolution des connaissances dans les sciences de la vie a transformé du tout au tout les attentes et les capacités des militaires en matière d’armement biochimique.
LES NEUROSCIENCES MODERNES OUVRENT DES PERSPECTIVES INIMAGINABLES. ON SAIT DESORMAIS REPROGRAMMER DES MOLECULES POUR QU’ELLES CIBLENT CERTAINS MECANISMES REGULANT LE FONCTIONNEMENT NEURONAL OU LE RYTHME CARDIAQUE.
Ce qui relevait de l’expérience lourde est de plus en plus informatisé, et les composés bioactifs les plus prometteurs peuvent être identifiés et testés à une vitesse prodigieuse. Ces prouesses, qui font les beaux jours des « jeunes pousses » pharmaceutiques et offrent des espoirs de traitement pour des maladies jusqu’ici incurables, INTERESSENT AUSSI LES MILITAIRES.
Supprimer le sentiment de culpabilité
CE N’EST PAS EXCLUSIVEMENT AUX ENNEMIS ET OPPOSANTS QU’EST DESTINEE L’APPLICATION SECURITAIRE DES NEUROSCIENCES. En Irak, les Etats-Unis et leurs alliés utilisent des drogues permettant d’améliorer la vigilance de leurs SOLDATS. Dans un avenir proche, nous verrons des troupes partir au combat chargées de MEDICAMENTS ACCROISSANT LEUR AGRESSIVITE, AINSI QUE LEUR RESISTANCE A LA PEUR, A LA DOULEUR ET A LA FATIGUE (4).
LA SUPPRESSION DES SOUVENIRS EST UN DES OBJECTIFS A PORTEE DE MAIN DE LA PHARMACOLOGIE ; ce n’est plus de la science-fiction que d’envisager, sur le champ de bataille, un PERSONNEL MILITAIRE AU SENTIMENT DE CULPABILITE SUPPRIME PAR DES DROGUES, ET PROTEGE DU STRESS POST-TRAUMATIQUE PAR UN EFFACEMENT SELECTIF DE LA MEMOIRE.
La tentation économique est forte, surtout quand on sait que les séquelles mentales de la guerre concernent cinq fois plus de soldats que les souffrances physiques, et coûtent une fortune à l’armée.
Le rapport de la BMA donne donc l’alerte : EN DEPIT DES CONVENTIONS INTERDISANT LES ARMES BIOLOGIQUES ET CHIMIQUES, LES GOUVERNEMENTS « FONT PREUVE D’UN INTERET CONSIDERABLE POUR LES POSSIBILITES D’USAGE DES DROGUES COMME ARMES ». UNE PART DE CET INTERET PROVIENT DE LA QUETE D’ARMES NON LETALES (lire « Vers des tranquillisants de combat » : http://www.monde-
diplomatique.fr/2007/08/WRIGHT/15046 ).
EN 1999, LA COMMISSION DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA SECURITE ET DE LA POLITIQUE DE DEFENSE DU PARLEMENT EUROPEEN AVAIT RECLAME « UN ACCORD INTERNATIONAL VISANT A INTERDIRE AU NIVEAU GLOBAL TOUT PROJET DE RECHERCHE ET DE DEVELOPPEMENT, TANT MILITAIRE QUE CIVIL, QUI VISE A APPLIQUER LA CONNAISSANCE DES PROCESSUS DU FONCTIONNEMENT DU CERVEAU HUMAIN DANS LES DOMAINES CHIMIQUE, ELECTRIQUE, DES ONDES SONORES OU AUTRES AU DEVELOPPEMENT D’ARMES, CE QUI POURRAIT OUVRIR LA PORTE A TOUTE FORME DE MANIPULATION DE L’HOMME (5) ».
LES ATTENTATS DU 11 SEPTEMBRE 2001 ONT MIS FIN A CETTE VOLONTE DE CONTROLE DEMOCRATIQUE DES TECHNOLOGIES DE SECURITE. Le complexe sécuritaro-industriel s’est retrouvé seul pilote à bord, avec des BUDGETS ILLIMITES (6).
Pour la BMA, l’utilisation d’armes pharmacologiques non létales « est simplement impossible sans engendrer une MORTALITE SIGNIFICATIVE dans la population cible. L’AGENT [CHIMIQUE] QUI PERMETTRAIT DE PROVOQUER UNE INCAPACITE (...) SANS RISQUE DE DECES DANS UNE SITUATION TACTIQUE N’EXISTE PAS, et a peu de chances de voir le jour dans un avenir proche ».
Le rapport fait état d’un spectre très large de craintes, concernant : les personnels de santé qui participeraient à l’élaboration ou à l’exécution d’une attaque médicalisée ; la collecte de données sur les effets de ces médicaments ; LE ROLE DE LA MEDECINE ET DE LA CONNAISSANCE MEDICALE DANS LE BUT DE DEVELOPPER DES ARMES ; le double rôle des médecins s’ils devaient, d’un côté, « ne pas nuire » et, de l’autre, défendre la sécurité nationale ; le rôle des professionnels de santé dans la MISE A L’ECART DU DROIT INTERNATIONAL.
Ces inquiétudes ont trouvé une illustration frappante dans l’assaut d’un théâtre de Moscou par les forces spéciales russes le 23 octobre 2002.
Plus de cent trente des neuf cent douze otages périrent (un taux de mortalité supérieur à celui du combat de terrain, où il est en moyenne de un pour seize). Accusées d’avoir maquillé les certificats de décès, les autorités n’ont toujours pas dévoilé le nom de l’AGENT CHIMIQUE EMPLOYE LORS DE L’ASSAUT. Un collectif a dénombré plus de cent soixante-quatorze morts et des SEQUELLES IRREVERSIBLES PARMI LES SURVIVANTS (7). De surcroît, la liquidation de tous les terroristes tchétchènes présumés renforce l’idée que l’utilisation de gaz facilite les exécutions arbitraires et évite le recours à la justice.
Le rapport de la BMA exprime aussi la crainte que la dépendance des fabricants d’armes vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique contribue à abaisser le niveau d’exigence de qualité et de sécurité appliqué aux médicaments. ECARTEES POUR CAUSE D’EFFETS SECONDAIRES INDESIRABLES, DES MILLIERS DE MOLECULES DORMENT SUR LES ETAGERES DES LABORATOIRES. ELLES POURRAIENT ETRE RECYCLEES
(8 ), LES RECHERCHES RELANCEES, ET LES ESSAIS CLINIQUES DELOCALISES VERS DES PAYS MOINS REGARDANTS. Dès lors que ces substances auront droit de cité dans les opérations de contre-terrorisme, le marché connaîtra une EVOLUTION FLORISSANTE.
L’inventivité concerne aussi la distribution des médicaments : mortier dispersant de grandes quantités d’agent chimique, pistolets de paintball modifiés (9), granules libérant l’agent chimique lorsqu’on les piétine, véhicules robotisés... A QUI, AU PASSAGE, POURRA-T-ON IMPUTER LA MORT D’UN PASSANT ASPERGE DE GAZ INCAPACITANT PAR UN ROBOT « AUTONOME » PILOTE PAR UN ALGORITHME DE DECISION ?
LES CONSEQUENCES PEUVENT ALLER DES BLESSURES IMMEDIATES A L’APPARITION DE CANCERS A UN HORIZON DE... VINGT ANS, EN PASSANT PAR DES SCENARIOS DE CIBLAGE GENETIQUE OU DE CONTROLE DES EMOTIONS, DE LA FERTILITE OU DU SYSTEME IMMUNITAIRE DES POPULATIONS. Le projet Sunshine, élaboré par un groupe spécialisé dans l’information sur les armes biologiques, a récemment mis au jour des documents de l’armée de l’air américaine, laquelle, dès 1994, envisageait de mener des recherches sur le concept « déplaisant mais complètement non létal d’aphrodisiaques forts, surtout s’ils provoquent des comportements homosexuels (10) ». Comment le monde réagira-t-il si un Etat militaire utilise ce type de drogue ?
Il paraît d’autant plus important de stopper ces recherches que RIEN NE GARANTIT QUE CES ARMES, UNE FOIS DEVELOPPEES, RESTERONT AUX MAINS D’ETATS « RESPONSABLES ». Mais ne sont-elles pas déjà interdites par la convention sur les armes chimiques, entrée en vigueur en 1997 ? C’est là que le bât blesse : UNE DISPOSITION – art. II.9 (d) – de celle-ci AUTORISE EN EFFET CES ARMES DANS CERTAINS CAS. Essentiellement pour préserver la peine de mort par injection et le maintien de l’ordre par recours aux gaz lacrymogènes. Mais CETTE DISPOSITION CREE AINSI UNE FAILLE DANS LAQUELLE L’ANTITERRORISME S’EST ENGOUFFRE.
Les négociateurs qui, au cours de l’année 2008, vont procéder à l’évaluation et à la révision de la convention affrontent une lourde responsabilité, car CES RECHERCHES OUVRENT LA VOIE A DE NOUVELLES APPROCHES REPRESSIVES POUR GERER LA CONTESTATION. SI ELLES NE SONT PAS TRES STRICTEMENT ENCADREES, DE NOMBREUX LABORATOIRES SE LANCERONT DANS LA FABRICATION DE NOUVELLES ARMES PHARMACOLOGIQUES.
DANS UNE PERIODE MARQUEE PAR LA VIOLATION DES NORMES INTERNATIONALES, DES CIVILS ET DES COMBATTANTS RISQUENT D’ETRE BIENTOT VISES COLLECTIVEMENT PAR CES ARMES DE NOUVEAU TYPE. Des commandos spéciaux se chargeant ensuite de procéder à des EXECUTIONS EXTRAJUDICIAIRES ciblées, au milieu d’une foule en état de choc.
Steve Wright.
(1) « The use of drugs as weapons : The concerns and responsibilities of healthcare professionals », British Medical Association, 2007 : http://www.bma.org.uk/ap.nsf/Content/drugsasweapons
(2) Julian Perry Robinson, « Disabling chemical weapons : A documentary chronology of events, 1945-2003 », version de travail non publiée, Harvard-Sussex programme, novembre 2003.
(3) Fondée en 1955 par le philosophe britannique Bertrand Russell, avec le soutien d’Albert Einstein, pour lutter contre la course aux armements nucléaires. www.pugwash.org
(4) Mark Wheelis et Malcolm Dando, « Neurobiology : A case study of the imminent militarization of biology », International Review of the Red Cross, n° 859, Genève, 2005 : http://www.icrc.org/Web/eng/siteeng0.nsf/html/review-859-p553
(5) Parlement européen, commission des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense, « Report on the environment, security and foreign policy », 14 janvier 1999 : http://www.envirosecurity.org/ges/TheorinReport14Jan1999.pdf
(6) Cf. Ben Hayes, « Arming Big Brother : The EU’s security research programme », TNI-Statewatch, Amsterdam, avril 2006 : http://www.statewatch.org/news/2006/apr/bigbrother.pdf
(7) « Investigation unfinished », Regional Public Organization for Support of Victims of Terrorist Attacks, Moscou, 26 avril 2006: http://www.geocities.com/svetlana.gubareva/appendix/dokleng.html
(8 ) Joan M. Lakoski, W. Bosseau Murray, John M. Kenny, « The advantages and limitations of calmatives for use as a non-lethal technique », College of Medicine Applied Research laboratory, Pennsylvania State University, 3 octobre 2000 : http://www.mindfully.org/Reform/Non-Lethal-Calmatives3oct00.htm
(9) Ces pistolets projettent des billes de peinture, ce qui permet ensuite d’appréhender les participants à une manifestation.
(10) « US "Non Lethal" Chemical (and Biochemical) Weapons Research : A Collection of Documents Detailing a Dangerous Program » : http://www.sunshine-project.org/incapacitants/jnlwdpdf
--------------------------------------------------------------------------------------------
Lilia non laborant neque nent.
Chers amis,
Nous venons de voir que les médicaments synthétiques produits par les charognards nécrophages des multinationales criminelles de l’industrie pharmaceutique, NE SONT PAS CRÉÉS POUR GUÉRIR, MAIS BIEN POUR ÉTENDRE UN MARCHÉ (c’est-à-dire pour faire durer la maladie le plus longtemps possible afin de rapporter un maximum de sous à l’industrie), OU POUR OUVRIR DE NOUVEAUX MARCHÉS EN CRÉANT D’AUTRES MALADIES VIA LES EFFETS SECONDAIRES NÉFASTES DES MÉDICAMENTS DE SYNTHÈSE. Twisted Evil Mad Exclamation
Nous avons vu que cette attitude criminelle a provoqué le dépôt d’une PLAINTE POUR GÉNOCIDE auprès du tribunal pénal international (TPI) de La Haye. Exclamation
Nous avons pu constater que les multinationales pharmaceutiques INCLUENT DÉLIBÉRÉMENT DES SUBSTANCES TOXIQUES DANS LES VACCINS (hydroxyde d’aluminium, thiomersal, squalène, merisol etc.). Twisted Evil Mad
AUJOURD’HUI, JE VOUS PROPOSE UN ARTICLE QUI DATE D’IL Y A PLUS DE 3 ANS, MAIS QUI EST ABSOLUMENT VITAL POUR COMPRENDRE LE FAIT QUE LES SOI-DISANT « PROGRÈS » EFFECTUÉS DANS LES NEUROSCIENCES ET QUE LES ACTIVITÉS SUSPECTES DES MULTINATIONALES PHARMACEUTIQUES, SERVENT EN RÉALITÉ AUSSI DIRECTEMENT À DÉVELOPPER DES ARMES MILITAIRES, QUE L’ON APPELLE ARMES PHARMACOLOGIQUES ! Surprised Shocked Exclamation
L’ARTICLE CI-DESSOUS, PUBLIÉ DANS LE MONDE DIPLOMATIQUE, EST UN MUST ! VOUS VERREZ QUE L’EFFACEMENT DE LA MÉMOIRE DES SOLDATS, QUE DES SUBSTANCES MÉDICAMENTEUSES ET CHIMIQUES SONT UTILISÉES COMME DES ARMES QUI VISENT À NUIRE À LA SANTÉ, ET QUE LES MÉDECINS POURRAIENT MÊME ÊTRE AMENÉS, EN TEMPS D’HOSTILITÉS, À SE TRANSFORMER EN MENGELE PLUTÔT QU’EN SAUVEURS DE VIES ! Twisted Evil Mad Mad Mad
A LIRE DE TOUTE URGENCE !
L’article, ci-dessous…
BONNE RÉVOLUTION… OU BON ESCLAVAGE, BONNE TYRANNIE ET BONNE MORT ! Exclamation Vic.
Sources : http://mecanoblog.wordpress.com/2010/03/01/armes-de-guerre-pharmacologiques/ et http://www.monde-
diplomatique.fr/2007/08/WRIGHT/15045
ARMES DE GUERRE PHARMACOLOGIQUES
La GUERRE CONTRE LES ESPRITS est parfois plus qu’une métaphore. Une fois militarisées, les innovations apportées par les NEUROSCIENCES et la RECHERCHE PHARMACOLOGIQUE permettent d’envisager des ARMES RADICALEMENT NOUVELLES. CERTAINES SONT DEJA EMPLOYEES SUR LE CHAMP DE BATAILLE EN IRAK, ET, AU NOM DE L’ANTITERRORISME, LES RECHERCHES SE POURSUIVENT TOUS AZIMUTS EN UTILISANT UNE BRECHE DE LA CONVENTION SUR LES ARMES CHIMIQUES. Sans que certains scientifiques aient conscience des responsabilités qu’ils assument.
Par Steve Wright
La PHARMACOLOGIE DE GUERRE est inéluctable. C’est du moins le constat qu’établit l’Association médicale britannique (BMA) dans son récent rapport sur L’UTILISATION DE MEDICAMENTS COMME ARMES (1).
IL Y A DEJA UNE QUARANTAINE D’ANNEES QUE LES MEDICAMENTS SONT ETUDIES POUR LEURS POSSIBILITES DE TRANSFORMATION EN ARMES DE GUERRE. Du célèbre LSD au gaz BZ, diverses drogues militaires ont été testées sur les humains ; le gaz CS a été utilisé à grande échelle durant la guerre du Vietnam. Bonfire, un programme soviétique secret, a tenté de transformer en armes des hormones humaines responsables de certaines des principales fonctions du corps. On ne compte plus les PRODUITS CHIMIQUES utilisés lors des interrogatoires, ni les diverses SUBSTANCES PSYCHOACTIVES OU PARALYSANTES EMPLOYEES POUR INHIBER LES TRANSMISSIONS NERVEUSES, INFLIGER LA DOULEUR OU CAUSER DES IRRITATIONS (2).
En raison de la nature extrêmement technique de ces recherches, les débats sont restés confinés aux organismes spécialisés dans les armes non conventionnelles, comme le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), le Harvard-Sussex Programme sur les armes chimiques et bactériologiques et l’organisation Pugwash (3). Cependant, la révolution des connaissances dans les sciences de la vie a transformé du tout au tout les attentes et les capacités des militaires en matière d’armement biochimique.
LES NEUROSCIENCES MODERNES OUVRENT DES PERSPECTIVES INIMAGINABLES. ON SAIT DESORMAIS REPROGRAMMER DES MOLECULES POUR QU’ELLES CIBLENT CERTAINS MECANISMES REGULANT LE FONCTIONNEMENT NEURONAL OU LE RYTHME CARDIAQUE.
Ce qui relevait de l’expérience lourde est de plus en plus informatisé, et les composés bioactifs les plus prometteurs peuvent être identifiés et testés à une vitesse prodigieuse. Ces prouesses, qui font les beaux jours des « jeunes pousses » pharmaceutiques et offrent des espoirs de traitement pour des maladies jusqu’ici incurables, INTERESSENT AUSSI LES MILITAIRES.
Supprimer le sentiment de culpabilité
CE N’EST PAS EXCLUSIVEMENT AUX ENNEMIS ET OPPOSANTS QU’EST DESTINEE L’APPLICATION SECURITAIRE DES NEUROSCIENCES. En Irak, les Etats-Unis et leurs alliés utilisent des drogues permettant d’améliorer la vigilance de leurs SOLDATS. Dans un avenir proche, nous verrons des troupes partir au combat chargées de MEDICAMENTS ACCROISSANT LEUR AGRESSIVITE, AINSI QUE LEUR RESISTANCE A LA PEUR, A LA DOULEUR ET A LA FATIGUE (4).
LA SUPPRESSION DES SOUVENIRS EST UN DES OBJECTIFS A PORTEE DE MAIN DE LA PHARMACOLOGIE ; ce n’est plus de la science-fiction que d’envisager, sur le champ de bataille, un PERSONNEL MILITAIRE AU SENTIMENT DE CULPABILITE SUPPRIME PAR DES DROGUES, ET PROTEGE DU STRESS POST-TRAUMATIQUE PAR UN EFFACEMENT SELECTIF DE LA MEMOIRE.
La tentation économique est forte, surtout quand on sait que les séquelles mentales de la guerre concernent cinq fois plus de soldats que les souffrances physiques, et coûtent une fortune à l’armée.
Le rapport de la BMA donne donc l’alerte : EN DEPIT DES CONVENTIONS INTERDISANT LES ARMES BIOLOGIQUES ET CHIMIQUES, LES GOUVERNEMENTS « FONT PREUVE D’UN INTERET CONSIDERABLE POUR LES POSSIBILITES D’USAGE DES DROGUES COMME ARMES ». UNE PART DE CET INTERET PROVIENT DE LA QUETE D’ARMES NON LETALES (lire « Vers des tranquillisants de combat » : http://www.monde-
diplomatique.fr/2007/08/WRIGHT/15046 ).
EN 1999, LA COMMISSION DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA SECURITE ET DE LA POLITIQUE DE DEFENSE DU PARLEMENT EUROPEEN AVAIT RECLAME « UN ACCORD INTERNATIONAL VISANT A INTERDIRE AU NIVEAU GLOBAL TOUT PROJET DE RECHERCHE ET DE DEVELOPPEMENT, TANT MILITAIRE QUE CIVIL, QUI VISE A APPLIQUER LA CONNAISSANCE DES PROCESSUS DU FONCTIONNEMENT DU CERVEAU HUMAIN DANS LES DOMAINES CHIMIQUE, ELECTRIQUE, DES ONDES SONORES OU AUTRES AU DEVELOPPEMENT D’ARMES, CE QUI POURRAIT OUVRIR LA PORTE A TOUTE FORME DE MANIPULATION DE L’HOMME (5) ».
LES ATTENTATS DU 11 SEPTEMBRE 2001 ONT MIS FIN A CETTE VOLONTE DE CONTROLE DEMOCRATIQUE DES TECHNOLOGIES DE SECURITE. Le complexe sécuritaro-industriel s’est retrouvé seul pilote à bord, avec des BUDGETS ILLIMITES (6).
Pour la BMA, l’utilisation d’armes pharmacologiques non létales « est simplement impossible sans engendrer une MORTALITE SIGNIFICATIVE dans la population cible. L’AGENT [CHIMIQUE] QUI PERMETTRAIT DE PROVOQUER UNE INCAPACITE (...) SANS RISQUE DE DECES DANS UNE SITUATION TACTIQUE N’EXISTE PAS, et a peu de chances de voir le jour dans un avenir proche ».
Le rapport fait état d’un spectre très large de craintes, concernant : les personnels de santé qui participeraient à l’élaboration ou à l’exécution d’une attaque médicalisée ; la collecte de données sur les effets de ces médicaments ; LE ROLE DE LA MEDECINE ET DE LA CONNAISSANCE MEDICALE DANS LE BUT DE DEVELOPPER DES ARMES ; le double rôle des médecins s’ils devaient, d’un côté, « ne pas nuire » et, de l’autre, défendre la sécurité nationale ; le rôle des professionnels de santé dans la MISE A L’ECART DU DROIT INTERNATIONAL.
Ces inquiétudes ont trouvé une illustration frappante dans l’assaut d’un théâtre de Moscou par les forces spéciales russes le 23 octobre 2002.
Plus de cent trente des neuf cent douze otages périrent (un taux de mortalité supérieur à celui du combat de terrain, où il est en moyenne de un pour seize). Accusées d’avoir maquillé les certificats de décès, les autorités n’ont toujours pas dévoilé le nom de l’AGENT CHIMIQUE EMPLOYE LORS DE L’ASSAUT. Un collectif a dénombré plus de cent soixante-quatorze morts et des SEQUELLES IRREVERSIBLES PARMI LES SURVIVANTS (7). De surcroît, la liquidation de tous les terroristes tchétchènes présumés renforce l’idée que l’utilisation de gaz facilite les exécutions arbitraires et évite le recours à la justice.
Le rapport de la BMA exprime aussi la crainte que la dépendance des fabricants d’armes vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique contribue à abaisser le niveau d’exigence de qualité et de sécurité appliqué aux médicaments. ECARTEES POUR CAUSE D’EFFETS SECONDAIRES INDESIRABLES, DES MILLIERS DE MOLECULES DORMENT SUR LES ETAGERES DES LABORATOIRES. ELLES POURRAIENT ETRE RECYCLEES
(8 ), LES RECHERCHES RELANCEES, ET LES ESSAIS CLINIQUES DELOCALISES VERS DES PAYS MOINS REGARDANTS. Dès lors que ces substances auront droit de cité dans les opérations de contre-terrorisme, le marché connaîtra une EVOLUTION FLORISSANTE.
L’inventivité concerne aussi la distribution des médicaments : mortier dispersant de grandes quantités d’agent chimique, pistolets de paintball modifiés (9), granules libérant l’agent chimique lorsqu’on les piétine, véhicules robotisés... A QUI, AU PASSAGE, POURRA-T-ON IMPUTER LA MORT D’UN PASSANT ASPERGE DE GAZ INCAPACITANT PAR UN ROBOT « AUTONOME » PILOTE PAR UN ALGORITHME DE DECISION ?
LES CONSEQUENCES PEUVENT ALLER DES BLESSURES IMMEDIATES A L’APPARITION DE CANCERS A UN HORIZON DE... VINGT ANS, EN PASSANT PAR DES SCENARIOS DE CIBLAGE GENETIQUE OU DE CONTROLE DES EMOTIONS, DE LA FERTILITE OU DU SYSTEME IMMUNITAIRE DES POPULATIONS. Le projet Sunshine, élaboré par un groupe spécialisé dans l’information sur les armes biologiques, a récemment mis au jour des documents de l’armée de l’air américaine, laquelle, dès 1994, envisageait de mener des recherches sur le concept « déplaisant mais complètement non létal d’aphrodisiaques forts, surtout s’ils provoquent des comportements homosexuels (10) ». Comment le monde réagira-t-il si un Etat militaire utilise ce type de drogue ?
Il paraît d’autant plus important de stopper ces recherches que RIEN NE GARANTIT QUE CES ARMES, UNE FOIS DEVELOPPEES, RESTERONT AUX MAINS D’ETATS « RESPONSABLES ». Mais ne sont-elles pas déjà interdites par la convention sur les armes chimiques, entrée en vigueur en 1997 ? C’est là que le bât blesse : UNE DISPOSITION – art. II.9 (d) – de celle-ci AUTORISE EN EFFET CES ARMES DANS CERTAINS CAS. Essentiellement pour préserver la peine de mort par injection et le maintien de l’ordre par recours aux gaz lacrymogènes. Mais CETTE DISPOSITION CREE AINSI UNE FAILLE DANS LAQUELLE L’ANTITERRORISME S’EST ENGOUFFRE.
Les négociateurs qui, au cours de l’année 2008, vont procéder à l’évaluation et à la révision de la convention affrontent une lourde responsabilité, car CES RECHERCHES OUVRENT LA VOIE A DE NOUVELLES APPROCHES REPRESSIVES POUR GERER LA CONTESTATION. SI ELLES NE SONT PAS TRES STRICTEMENT ENCADREES, DE NOMBREUX LABORATOIRES SE LANCERONT DANS LA FABRICATION DE NOUVELLES ARMES PHARMACOLOGIQUES.
DANS UNE PERIODE MARQUEE PAR LA VIOLATION DES NORMES INTERNATIONALES, DES CIVILS ET DES COMBATTANTS RISQUENT D’ETRE BIENTOT VISES COLLECTIVEMENT PAR CES ARMES DE NOUVEAU TYPE. Des commandos spéciaux se chargeant ensuite de procéder à des EXECUTIONS EXTRAJUDICIAIRES ciblées, au milieu d’une foule en état de choc.
Steve Wright.
(1) « The use of drugs as weapons : The concerns and responsibilities of healthcare professionals », British Medical Association, 2007 : http://www.bma.org.uk/ap.nsf/Content/drugsasweapons
(2) Julian Perry Robinson, « Disabling chemical weapons : A documentary chronology of events, 1945-2003 », version de travail non publiée, Harvard-Sussex programme, novembre 2003.
(3) Fondée en 1955 par le philosophe britannique Bertrand Russell, avec le soutien d’Albert Einstein, pour lutter contre la course aux armements nucléaires. www.pugwash.org
(4) Mark Wheelis et Malcolm Dando, « Neurobiology : A case study of the imminent militarization of biology », International Review of the Red Cross, n° 859, Genève, 2005 : http://www.icrc.org/Web/eng/siteeng0.nsf/html/review-859-p553
(5) Parlement européen, commission des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense, « Report on the environment, security and foreign policy », 14 janvier 1999 : http://www.envirosecurity.org/ges/TheorinReport14Jan1999.pdf
(6) Cf. Ben Hayes, « Arming Big Brother : The EU’s security research programme », TNI-Statewatch, Amsterdam, avril 2006 : http://www.statewatch.org/news/2006/apr/bigbrother.pdf
(7) « Investigation unfinished », Regional Public Organization for Support of Victims of Terrorist Attacks, Moscou, 26 avril 2006: http://www.geocities.com/svetlana.gubareva/appendix/dokleng.html
(8 ) Joan M. Lakoski, W. Bosseau Murray, John M. Kenny, « The advantages and limitations of calmatives for use as a non-lethal technique », College of Medicine Applied Research laboratory, Pennsylvania State University, 3 octobre 2000 : http://www.mindfully.org/Reform/Non-Lethal-Calmatives3oct00.htm
(9) Ces pistolets projettent des billes de peinture, ce qui permet ensuite d’appréhender les participants à une manifestation.
(10) « US "Non Lethal" Chemical (and Biochemical) Weapons Research : A Collection of Documents Detailing a Dangerous Program » : http://www.sunshine-project.org/incapacitants/jnlwdpdf
--------------------------------------------------------------------------------------------
Lilia non laborant neque nent.
Gaëlle- Combat avec l'Archange Michel
- Messages : 1003
Age : 71
Localisation : Beauraing - Belgique
Inscription : 26/09/2007
Sujets similaires
» Des armes de guerre pour la police ?
» La Guerre --- la vente d'armes et l'hypocrisie de l'Occident
» 17 enfants canadiens sont morts suite à médicaments antipsychotiques..
» La république et le mondialisme sont-ils les bras armés de Satan ?
» vos prières sont des armes de destructions massives contre Satan...
» La Guerre --- la vente d'armes et l'hypocrisie de l'Occident
» 17 enfants canadiens sont morts suite à médicaments antipsychotiques..
» La république et le mondialisme sont-ils les bras armés de Satan ?
» vos prières sont des armes de destructions massives contre Satan...
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum