Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
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Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
J'ai entendu dire que l'anneau représentait le péché, c'est vraiment bien fait, c'est très profond, ça décrit bien ce qui se passe quand la barque prend l'eau et que nous nous sentons entrainer à faire le mal.
Philec- Veut-etre un saint/e
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Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Monsieur Soucolline a écrit:https://www.dailymotion.com/video/xtptv3_le-hobbit-un-voyage-inattendu-bande-annonce-2-vf-hd_shortfilms
J'ai vu le film, en Imax 3D
Excellent,tout comme la trilogie.
Michael- Dans la prière
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Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
J'ai bien aimé aussi Michael c'est excellent, après la trilogie qui m'avait tout aussi passionnée.
Auparavant j'avais lu les tomes écrits par Tolkien.
J'ai essayé de trouver le dictionnaire du langage des elfes écrit par Tolkien mais sans succès !
Amicalement.
"Quand je dis Dieu, c'est un poème,
c'est une étoile dans ma vie,
du feu qui coule dans mes veines,
un grand soleil pour aujourd'hui !
Auparavant j'avais lu les tomes écrits par Tolkien.
J'ai essayé de trouver le dictionnaire du langage des elfes écrit par Tolkien mais sans succès !
Amicalement.
"Quand je dis Dieu, c'est un poème,
c'est une étoile dans ma vie,
du feu qui coule dans mes veines,
un grand soleil pour aujourd'hui !
Dernière édition par etoilebleue le Mar 28 Mai 2013 - 17:35, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Et bien voilà un sujet qui me pousse à relire Le Seigneur des Anneaux.
Etant une lectrice chevronnée, je dois dire que je n'ai jamais rencontrer de meilleur auteur, à part Maria Valtorta.
Etant une lectrice chevronnée, je dois dire que je n'ai jamais rencontrer de meilleur auteur, à part Maria Valtorta.
Tiphaine- Avec Saint Benoit
- Messages : 124
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Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
C'est la bande-annonce de la
deuxième partie du Hobbit "la désolation de Smaug"
Au cinéma le 11/12/2013
Titre original : The Hobbit: The Desolation of Smaug
Réalisateur : Peter Jackson
Nationalité : U.S.A.
Année de production : 2013
Genre : Fantastique Et Science Fiction
Acteurs :Martin Freeman, Ian McKellen, Andy Serkis, Richard Armitage, Aidan Turner
Synopsis :Les aventures de Bilbon Sacquet, paisible hobbit, qui sera entraîné, lui et une compagnie de Nains, par le magicien Gandalf pour récupérer le trésor détenu par le dragon Smaug. Au cours de ce périple, il mettra la main sur l'anneau de pouvoir que possédait Gollum...
"Quand je dis Dieu, c'est un poème,
c'est une étoile dans ma vie,
du feu qui coule dans mes veines,
un grand soleil pour aujourd'hui ! "
Invité- Invité
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Lumen a écrit:
J'ai essayé de trouver le dictionnaire du langage des elfes écrit par Tolkien mais sans succès !
Amicalement.
Bonjour
J'ai cette épaisse version du Silmarillion + Contes et Légendes Inachevées éditée par Christian Bourgeois Editeur, que je ne recommenderais jamais assez aux Meso-Terriens en herbe , et dans laquelle se trouve un petit dictionnaire de mots elfiques et de noms de lieux avec leur étymologie.
Audifax- Combat avec l'Archange Michel
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Inscription : 06/06/2011
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Merci Audifax, pour cette info. A charge de revanche petit frère.
J'ai envoyé un SMS à des amis qui travaillent à la FNAC et je l'aurai
la semaine prochaine !
"Quand je dis Dieu, c'est un poème,
c'est une étoile dans ma vie,
du feu qui coule dans mes veines,
un grand soleil pour aujourd'hui ! "
J'ai envoyé un SMS à des amis qui travaillent à la FNAC et je l'aurai
la semaine prochaine !
- Âme du Christ :
- Âme du Christ
Âme du Christ, sanctifie-moi.
Corps du Christ, sauve-moi.
Sang du Christ, Enivre-moi.
Eau du côté du Christ, lave-moi.
Passion du Christ, fortifie-moi.
O bon Jésus, exauce-moi.
Dans Tes blessures cache-moi.
Fais que je ne sois jamais séparé de toi
De l'ennemi malin, défends-moi.
A l'heure de ma mort, appelle-moi.
Et ordonne-moi de venir à toi.
Pour qu'avec tes saints je te loue.
Dans les siècles des siècles.
Amen
"Quand je dis Dieu, c'est un poème,
c'est une étoile dans ma vie,
du feu qui coule dans mes veines,
un grand soleil pour aujourd'hui ! "
Dernière édition par Lumen le Sam 15 Juin 2013 - 12:39, édité 2 fois (Raison : correction de la prière)
Invité- Invité
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Tant d'infos sur ce fil !!!
Oui, je viens de voir "Les deux tours". Très forte l'impression que c'est "l'Apocalypse" illustré.
L' armée composée de clones ??? fabriquée par les forces du mal. Ou bien la phrase " Pas de l'aube pour l'homme"...
Oui, je viens de voir "Les deux tours". Très forte l'impression que c'est "l'Apocalypse" illustré.
L' armée composée de clones ??? fabriquée par les forces du mal. Ou bien la phrase " Pas de l'aube pour l'homme"...
C54637- Aime le Rosaire
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Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
monsieur spoke est hors sujet. C' est une forme de mépris de parasiter ce sujet pour ceux et celles qui sont intérressés.
Dernière édition par Monsieur Soucolline le Sam 3 Aoû 2013 - 11:22, édité 1 fois
Monsieur Soucolline- Aime le chapelet
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Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Gilles tu me fais rire avec Spoke!
J'ai beaucoup aimé la trilogie du Seigneur des anneaux!
Et devinez avec qui j'ai été voir le premier film? Avec un prêtre!
Vouuuus... ne passerez... paaaaaas!
Maman indienne, le Saint Sacrement de ton image est belle!
C'est de ton église?
J'ai beaucoup aimé la trilogie du Seigneur des anneaux!
Et devinez avec qui j'ai été voir le premier film? Avec un prêtre!
Vouuuus... ne passerez... paaaaaas!
Maman indienne, le Saint Sacrement de ton image est belle!
C'est de ton église?
Invité- Invité
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Pourquoi le Seigneur des Anneaux est profondément catholique
- Tolkien, un catholique convaincu
Né en 1892 en Afrique du sud, orphelin de père à six ans, le jeune John Ronald Reuel Tolkien est né dans une famille anglicane. Mais sa mère, Mabel, entre dans l’Eglise catholique avec ses deux fils deux ans après le décès de son époux. La famille de la jeune veuve réagit très durement, coupant toutes relations avec elle. Luttant contre la misère avec le soutien des Oratoriens de Birmingham (le jeune Ronald sera élève dans l’école fondée quelques décennies plus tôt par Newman), elle meurt quelques années plus tard. Tolkien a alors douze ans, et il demeurera convaincu toute sa vie que sa mère était morte en martyre de la foi catholique : « Elle s’est tuée au travail et à la peine pour nous assurer de garder la foi. » Son catholicisme fervent et sévère se nourrit de la vénération et de la fidélité envers cette mère, et de la conviction qui sous-tend son œuvre comme sa vie : les valeurs fondamentales valent la peine qu’on sacrifie son existence.
Doué d’une intelligence et d’une imagination peu communes, l’adolescent réussit malgré sa pauvreté de brillantes études qui le conduisent à une chaire de professeur à Oxford, tout en créant dès son jeune âge des langages puis des mondes imaginaires. Ses deux passions sont le langage et les mythes, qui lui paraissent mieux exprimer la véritable nature de l’homme que la littérature moderne. En 1917, alors qu’il se remet dans un hôpital d’une blessure reçue dans les tranchées de la Première Guerre mondiale, il décide de créer « une mythologie pour l’Angleterre », capable de rivaliser avec celles des pays nordiques qu’il admire, un ensemble de contes, de légendes, d’épopées, et même des langues, un calendrier... Il apporte aussitôt à ce projet qui semble puéril le sérieux qu’il a mis dans ses études et qu’il mettra dans son enseignement. Il travaillera à cette mythologie jusqu’à la fin de sa vie, mais sa motivation passera progressivement de motivations artistiques, littéraires et patriotiques à des buts de plus en plus ouvertement religieux.
L’homme Tolkien est à la fois étonnement simple et complexe : un Anglais de la middle-class, britannique presque jusqu’à la caricature, ayant un tonneau de bière dans sa remise, aimant par-dessus tout les conversations dans un pub avec des amis au coin d’un feu de bois ou dans une chambre de son collège oxonien ; un philologue reconnu par ses pairs dans le monde entier et un auteur à succès acclamé par la jeunesse ; un homme économe devenu très riche à la fin de sa vie par le succès du Seigneur des Anneaux mais continuant à noter sur un petit carnet l’achat du moindre timbre-poste ; le mari patient d’une épouse difficile, le père d’un prêtre catholique et d’un défenseur de sa patrie dans la bataille d’Angleterre - également fier des deux ; et un homme pour qui son catholicisme était l’affaire la plus importante de sa vie, intransigeant et batailleur, apologiste de sa foi à une époque de tiédeur.
- Le conte, un instrument efficace pour former la culture
Tolkien présente le conte comme « la fonction la plus élevée » de l’art, puisqu’il trouve sa source dans les deux pouvoirs majeurs donnés par Dieu à l’homme : celui de nommer et de qualifier les êtres et les choses, et celui de désirer ce qui est fondamental pour la nature humaine. Et comme Dieu a aussi donné à l’homme la liberté, celui-ci en exerçant ses pouvoirs est un véritable « sous-créateur » qui prolonge la création divine. Le conte consiste à exercer ce pouvoir dans le domaine le plus élevé qui soit, puisqu’il s’agit de la totalité du monde, et donne naissance à des « mondes secondaires ». Les idées exprimées ici par Tolkien l’ont été aussi par d’autres créateurs réfléchissant sur leur œuvre, surtout des poètes et des musiciens. Son originalité propre vient qu’il place le conte au dessus de toute autre forme de littérature en ce domaine de la « sous-création », parce que c’est selon lui la forme où le pouvoir donné par Dieu s’exprime le plus librement et donc reflète le plus l’activité libre du Créateur.
Si le conte est le genre littéraire le plus élevé, c’est aussi celui qui porte le plus d’effets. On pourrait presque dire que le conte est le « creuset » dans lequel ont été moulées depuis toujours les cultures des peuples. Les jeunes hellénistes apprenaient par cœur les chants de l’Iliade et de l’Odyssée, les latins avaient aussi leur mythologie propre, les celtes, les normands, les germains aussi... Car le conte est un moyen littéraire extrêmement efficace pour transmettre les valeurs fondamentales aux jeunes générations (généralement en exaltant le courage des héros à la guerre, l’amour ardent pour la patrie, le respect aux morts et le culte dû aux dieux). Certes - note Tolkien - le conte est un récit fantastique, sortie de l’imagination, mais il est capable d’exprimer, mieux que tout autre genre littéraire, les vérités fondamentales sur l’être humain. En ce sens, le conte nous élève dans une autre réalité, un « monde secondaire », et l’histoire qui s’y déroule se présente à nous comme « vraie », c’est-à-dire cohérente avec la logique de cet univers.
L’un des drames de notre époque, c’est précisément d’avoir perdu ces repères culturels forts qui, au temps de nos grands-parents, étaient encore très présents. Si aujourd’hui l’Evangile a tant de mal à fleurir sur les terres occidentales, c’est peut-être parce que le « terreau culturel » n’est plus bon : la multiplication des moyens de communications et surtout de l’audio-visuel a paradoxalement appauvri la culture. Quant aux grandes épopées fantastiques qui imprègnent subtilement la culture du cinéma, elles sont généralement truffées d’idées ésotériques qui ne favorisent pas l’éveil du sens religieux, mais enferment la pensée dans un univers clos, sans véritable ouverture à la transcendance (lire à ce sujet l’article du père Alfonso Aguilar : Qu’est-ce que le New-Age ?).
- Une œuvre de pré-évangélisation
C’est ainsi que l’idée de former une grande mythologie au vingtième siècle s’est présentée petit à petit à Tolkien comme un moyen très puissant pour imprégner la culture de valeurs chrétiennes. En ce sens, on peut même dire que le Seigneur des Anneaux est une œuvre de « pré-évangélisation » : son contenu, ses valeurs, sont non seulement compatibles avec la foi, mais en constituent la toile de fond. Tolkien, dont la carrière littéraire avait commencé avec les histoires qu’il racontait à ses enfants avant de s’endormir, se rend compte du bien énorme que pourrait porter une grande épopée fantastique : Le conte dépasse en effet toutes les limites culturelles et religieuses et peut permettre à tous les hommes sans distinction de « savourer sans le savoir » les valeurs inhérentes à la foi chrétienne.
Pour Tolkien, le Seigneur des Anneaux est « une œuvre fondamentalement religieuse et catholique ; elle l’était inconsciemment au début, mais consciemment dans sa révision », comme il l’écrit à l’un de ses correspondants. Il ne s’agit pas d’une transposition originale de l’Evangile ou d’une simple allégorie, mais d’une histoire propre qui reprend de nombreux éléments mythologiques en lui ajoutant une dimension transcendantale et humaine plus importante. Car le Seigneur des Anneaux traite des questions religieuses fondamentales de toute l’humanité : la Création, la Chute, la mort, l’éternité et le destin de l’homme.
A la différence des autres grandes œuvres fantastiques de notre époque, le Seigneur des Anneaux ne met pas en scène des héros pleins de super-pouvoirs. Au contraire : le livre ne parle que de la faiblesse des hommes devant la tentation. Les véritables héros de l’histoire, ce sont en fait les plus petits, les hobbits, et particulièrement Frodon, seul capable de porter l’anneau jusqu’au Mont du Destin. Les hommes, quant à eux, appartiennent à une race faible, assoiffée de pouvoir et de domination. Le plus courageux d’entre eux, le roi Aragorn, puise sa force dans son refus net à s’approcher de l’anneau : il n’est qu’un homme et il reconnaît humblement sa propre faiblesse. Et cela, c’est une valeur très chrétienne : Jésus ne nous a-t-il pas enseigné que le meilleur moyen de ne pas succomber à la tentation, c’est de « couper court » avec tout ce qui conduit au péché ?
La trame générale, sans aucune allégorie, reprend quelques éléments fondamentaux de la Passion. C’est bien le salut de la « Terre du Milieu » qui est en jeu. Les personnages essentiels, qui se lancent dans une aventure complètement disproportionnée à leurs capacités savent que leur chance de revenir chez eux est infime. (Mais c’est sans compter sans cette providence invisible, qu’on ne voit pas et dont on ne parle pas explicitement, mais qui est en fait omniprésente à chaque page de l’œuvre de Tolkien). Vont-ils devoir donner leur vie pour ceux qu’ils aiment ? C’est lorsqu’ils s’y décident qu’ils découvrent que c’est seulement par le sacrifice et même par la mort que ce qui est perdu sera retrouvé, - mais ils ne savent comment -, et le mal et la mort vaincus. Une attitude bien exprimée par un des héros du livre au moment de sa mort : « Nous partons dans la tristesse, mais non dans le désespoir. » Les personnages de Tolkien acceptent ce sacrifice dans une conscience très grande de la bonté fondamentale de ce qu’ils vont perdre, et on peut retrouver en celle-ci un écho de la parole des premiers martyrs, exaltant la beauté du monde face à leurs bourreaux mais lui préférant son Auteur.
Le dénouement de l’histoire reprend, quant à lui, un élément présent dans la plupart des contes et aussi, bien qu’à un degré encore plus élevé, dans l’Evangile. Tout conte doit, d’après Tolkien, s’achever par une « eu-catastrophe » finale, c’est-à-dire un retournement de façon soudaine qui procure au lecteur de la joie. Cette idée est devenue une conviction le jour où, à la messe, Tolkien écouta le sermon dans lequel le prêtre reportait l’histoire de la guérison miraculeuse d’un enfant à Lourdes en 1927. Un petit garçon atteint d’une péritonite tuberculeuse et que l’on avait monté mourant dans le même wagon qu’une fillette qui, elle, avait été miraculeusement guérie, se leva alors soudain sur son séant (alors que le train passait à la hauteur de la Grotte) et dit « Je veux aller parler avec la petite fille », puis descendit de sa couche et partit jouer avec la petite fille, totalement guéri. Tolkien écrit qu’en écoutant ce récit, il a ressenti une profonde émotion et qu’il a compris tout à coup ce que c’était : « Cela même que j’avais essayé d’écrire et d’expliquer dans cet essai sur le conte... Pour cela j’ai créé le terme ‘eucatastrophe’, le soudain retournement heureux d’une histoire qui vous transperce d’une joie qui apporte des larmes (ce que je déclare être la fonction la plus haute que le conte doit produire). Et je fus conduit à cette idée qu’elle produit cet effet particulier parce que c’est un rayon soudain de la Vérité... »
L’objectif de Tolkien est donc non seulement religieux mais missionnaire, il veut conduire son lecteur à ressentir cette joie particulière de l’ « eucatastrophe » dans sa fiction afin de l’aider à saisir la « grande Joie » de l’ « eucatastrophe » réelle, celle que rapportent les Evangiles, celle du Gloria des Anges et du matin de Pâques : « La naissance du Christ est l’eucatastrophe de l’histoire de l’homme... le Résurrection est l’eucatastrophe de l’histoire de l’Incarnation. » Tolkien fait en effet remarquer que l’Evangile commence et s’achève dans la joie. Il est, pour lui, la plus belle des histoires que nous désirons être vraies - et il est vrai. Dans une lettre, Tolkien n’hésite pas à écrire que « bien sûr, je ne veux pas dire que les Evangiles ne sont qu’un conte ; mais je tiens avec force qu’ils racontent un conte : le plus grand ».
Source : catholique. org
- Tolkien, un catholique convaincu
Né en 1892 en Afrique du sud, orphelin de père à six ans, le jeune John Ronald Reuel Tolkien est né dans une famille anglicane. Mais sa mère, Mabel, entre dans l’Eglise catholique avec ses deux fils deux ans après le décès de son époux. La famille de la jeune veuve réagit très durement, coupant toutes relations avec elle. Luttant contre la misère avec le soutien des Oratoriens de Birmingham (le jeune Ronald sera élève dans l’école fondée quelques décennies plus tôt par Newman), elle meurt quelques années plus tard. Tolkien a alors douze ans, et il demeurera convaincu toute sa vie que sa mère était morte en martyre de la foi catholique : « Elle s’est tuée au travail et à la peine pour nous assurer de garder la foi. » Son catholicisme fervent et sévère se nourrit de la vénération et de la fidélité envers cette mère, et de la conviction qui sous-tend son œuvre comme sa vie : les valeurs fondamentales valent la peine qu’on sacrifie son existence.
Doué d’une intelligence et d’une imagination peu communes, l’adolescent réussit malgré sa pauvreté de brillantes études qui le conduisent à une chaire de professeur à Oxford, tout en créant dès son jeune âge des langages puis des mondes imaginaires. Ses deux passions sont le langage et les mythes, qui lui paraissent mieux exprimer la véritable nature de l’homme que la littérature moderne. En 1917, alors qu’il se remet dans un hôpital d’une blessure reçue dans les tranchées de la Première Guerre mondiale, il décide de créer « une mythologie pour l’Angleterre », capable de rivaliser avec celles des pays nordiques qu’il admire, un ensemble de contes, de légendes, d’épopées, et même des langues, un calendrier... Il apporte aussitôt à ce projet qui semble puéril le sérieux qu’il a mis dans ses études et qu’il mettra dans son enseignement. Il travaillera à cette mythologie jusqu’à la fin de sa vie, mais sa motivation passera progressivement de motivations artistiques, littéraires et patriotiques à des buts de plus en plus ouvertement religieux.
L’homme Tolkien est à la fois étonnement simple et complexe : un Anglais de la middle-class, britannique presque jusqu’à la caricature, ayant un tonneau de bière dans sa remise, aimant par-dessus tout les conversations dans un pub avec des amis au coin d’un feu de bois ou dans une chambre de son collège oxonien ; un philologue reconnu par ses pairs dans le monde entier et un auteur à succès acclamé par la jeunesse ; un homme économe devenu très riche à la fin de sa vie par le succès du Seigneur des Anneaux mais continuant à noter sur un petit carnet l’achat du moindre timbre-poste ; le mari patient d’une épouse difficile, le père d’un prêtre catholique et d’un défenseur de sa patrie dans la bataille d’Angleterre - également fier des deux ; et un homme pour qui son catholicisme était l’affaire la plus importante de sa vie, intransigeant et batailleur, apologiste de sa foi à une époque de tiédeur.
- Le conte, un instrument efficace pour former la culture
Tolkien présente le conte comme « la fonction la plus élevée » de l’art, puisqu’il trouve sa source dans les deux pouvoirs majeurs donnés par Dieu à l’homme : celui de nommer et de qualifier les êtres et les choses, et celui de désirer ce qui est fondamental pour la nature humaine. Et comme Dieu a aussi donné à l’homme la liberté, celui-ci en exerçant ses pouvoirs est un véritable « sous-créateur » qui prolonge la création divine. Le conte consiste à exercer ce pouvoir dans le domaine le plus élevé qui soit, puisqu’il s’agit de la totalité du monde, et donne naissance à des « mondes secondaires ». Les idées exprimées ici par Tolkien l’ont été aussi par d’autres créateurs réfléchissant sur leur œuvre, surtout des poètes et des musiciens. Son originalité propre vient qu’il place le conte au dessus de toute autre forme de littérature en ce domaine de la « sous-création », parce que c’est selon lui la forme où le pouvoir donné par Dieu s’exprime le plus librement et donc reflète le plus l’activité libre du Créateur.
Si le conte est le genre littéraire le plus élevé, c’est aussi celui qui porte le plus d’effets. On pourrait presque dire que le conte est le « creuset » dans lequel ont été moulées depuis toujours les cultures des peuples. Les jeunes hellénistes apprenaient par cœur les chants de l’Iliade et de l’Odyssée, les latins avaient aussi leur mythologie propre, les celtes, les normands, les germains aussi... Car le conte est un moyen littéraire extrêmement efficace pour transmettre les valeurs fondamentales aux jeunes générations (généralement en exaltant le courage des héros à la guerre, l’amour ardent pour la patrie, le respect aux morts et le culte dû aux dieux). Certes - note Tolkien - le conte est un récit fantastique, sortie de l’imagination, mais il est capable d’exprimer, mieux que tout autre genre littéraire, les vérités fondamentales sur l’être humain. En ce sens, le conte nous élève dans une autre réalité, un « monde secondaire », et l’histoire qui s’y déroule se présente à nous comme « vraie », c’est-à-dire cohérente avec la logique de cet univers.
L’un des drames de notre époque, c’est précisément d’avoir perdu ces repères culturels forts qui, au temps de nos grands-parents, étaient encore très présents. Si aujourd’hui l’Evangile a tant de mal à fleurir sur les terres occidentales, c’est peut-être parce que le « terreau culturel » n’est plus bon : la multiplication des moyens de communications et surtout de l’audio-visuel a paradoxalement appauvri la culture. Quant aux grandes épopées fantastiques qui imprègnent subtilement la culture du cinéma, elles sont généralement truffées d’idées ésotériques qui ne favorisent pas l’éveil du sens religieux, mais enferment la pensée dans un univers clos, sans véritable ouverture à la transcendance (lire à ce sujet l’article du père Alfonso Aguilar : Qu’est-ce que le New-Age ?).
- Une œuvre de pré-évangélisation
C’est ainsi que l’idée de former une grande mythologie au vingtième siècle s’est présentée petit à petit à Tolkien comme un moyen très puissant pour imprégner la culture de valeurs chrétiennes. En ce sens, on peut même dire que le Seigneur des Anneaux est une œuvre de « pré-évangélisation » : son contenu, ses valeurs, sont non seulement compatibles avec la foi, mais en constituent la toile de fond. Tolkien, dont la carrière littéraire avait commencé avec les histoires qu’il racontait à ses enfants avant de s’endormir, se rend compte du bien énorme que pourrait porter une grande épopée fantastique : Le conte dépasse en effet toutes les limites culturelles et religieuses et peut permettre à tous les hommes sans distinction de « savourer sans le savoir » les valeurs inhérentes à la foi chrétienne.
Pour Tolkien, le Seigneur des Anneaux est « une œuvre fondamentalement religieuse et catholique ; elle l’était inconsciemment au début, mais consciemment dans sa révision », comme il l’écrit à l’un de ses correspondants. Il ne s’agit pas d’une transposition originale de l’Evangile ou d’une simple allégorie, mais d’une histoire propre qui reprend de nombreux éléments mythologiques en lui ajoutant une dimension transcendantale et humaine plus importante. Car le Seigneur des Anneaux traite des questions religieuses fondamentales de toute l’humanité : la Création, la Chute, la mort, l’éternité et le destin de l’homme.
A la différence des autres grandes œuvres fantastiques de notre époque, le Seigneur des Anneaux ne met pas en scène des héros pleins de super-pouvoirs. Au contraire : le livre ne parle que de la faiblesse des hommes devant la tentation. Les véritables héros de l’histoire, ce sont en fait les plus petits, les hobbits, et particulièrement Frodon, seul capable de porter l’anneau jusqu’au Mont du Destin. Les hommes, quant à eux, appartiennent à une race faible, assoiffée de pouvoir et de domination. Le plus courageux d’entre eux, le roi Aragorn, puise sa force dans son refus net à s’approcher de l’anneau : il n’est qu’un homme et il reconnaît humblement sa propre faiblesse. Et cela, c’est une valeur très chrétienne : Jésus ne nous a-t-il pas enseigné que le meilleur moyen de ne pas succomber à la tentation, c’est de « couper court » avec tout ce qui conduit au péché ?
La trame générale, sans aucune allégorie, reprend quelques éléments fondamentaux de la Passion. C’est bien le salut de la « Terre du Milieu » qui est en jeu. Les personnages essentiels, qui se lancent dans une aventure complètement disproportionnée à leurs capacités savent que leur chance de revenir chez eux est infime. (Mais c’est sans compter sans cette providence invisible, qu’on ne voit pas et dont on ne parle pas explicitement, mais qui est en fait omniprésente à chaque page de l’œuvre de Tolkien). Vont-ils devoir donner leur vie pour ceux qu’ils aiment ? C’est lorsqu’ils s’y décident qu’ils découvrent que c’est seulement par le sacrifice et même par la mort que ce qui est perdu sera retrouvé, - mais ils ne savent comment -, et le mal et la mort vaincus. Une attitude bien exprimée par un des héros du livre au moment de sa mort : « Nous partons dans la tristesse, mais non dans le désespoir. » Les personnages de Tolkien acceptent ce sacrifice dans une conscience très grande de la bonté fondamentale de ce qu’ils vont perdre, et on peut retrouver en celle-ci un écho de la parole des premiers martyrs, exaltant la beauté du monde face à leurs bourreaux mais lui préférant son Auteur.
Le dénouement de l’histoire reprend, quant à lui, un élément présent dans la plupart des contes et aussi, bien qu’à un degré encore plus élevé, dans l’Evangile. Tout conte doit, d’après Tolkien, s’achever par une « eu-catastrophe » finale, c’est-à-dire un retournement de façon soudaine qui procure au lecteur de la joie. Cette idée est devenue une conviction le jour où, à la messe, Tolkien écouta le sermon dans lequel le prêtre reportait l’histoire de la guérison miraculeuse d’un enfant à Lourdes en 1927. Un petit garçon atteint d’une péritonite tuberculeuse et que l’on avait monté mourant dans le même wagon qu’une fillette qui, elle, avait été miraculeusement guérie, se leva alors soudain sur son séant (alors que le train passait à la hauteur de la Grotte) et dit « Je veux aller parler avec la petite fille », puis descendit de sa couche et partit jouer avec la petite fille, totalement guéri. Tolkien écrit qu’en écoutant ce récit, il a ressenti une profonde émotion et qu’il a compris tout à coup ce que c’était : « Cela même que j’avais essayé d’écrire et d’expliquer dans cet essai sur le conte... Pour cela j’ai créé le terme ‘eucatastrophe’, le soudain retournement heureux d’une histoire qui vous transperce d’une joie qui apporte des larmes (ce que je déclare être la fonction la plus haute que le conte doit produire). Et je fus conduit à cette idée qu’elle produit cet effet particulier parce que c’est un rayon soudain de la Vérité... »
L’objectif de Tolkien est donc non seulement religieux mais missionnaire, il veut conduire son lecteur à ressentir cette joie particulière de l’ « eucatastrophe » dans sa fiction afin de l’aider à saisir la « grande Joie » de l’ « eucatastrophe » réelle, celle que rapportent les Evangiles, celle du Gloria des Anges et du matin de Pâques : « La naissance du Christ est l’eucatastrophe de l’histoire de l’homme... le Résurrection est l’eucatastrophe de l’histoire de l’Incarnation. » Tolkien fait en effet remarquer que l’Evangile commence et s’achève dans la joie. Il est, pour lui, la plus belle des histoires que nous désirons être vraies - et il est vrai. Dans une lettre, Tolkien n’hésite pas à écrire que « bien sûr, je ne veux pas dire que les Evangiles ne sont qu’un conte ; mais je tiens avec force qu’ils racontent un conte : le plus grand ».
Source : catholique. org
Monsieur Soucolline- Aime le chapelet
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Localisation : la France dans le petit village de cul de sac perdu au milieu des fleurs ( ancien nom avant la revolution )
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Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Non, c'est au Sacré Coeur de Montmartre, Jem !C'est de ton église?
Ta maman indienne aime bien aller adorer dans ce lieu.
Là où est la présence réelle de Notre Seigneur, c'est l'antichambre du Paradis.
La Preuve en est que lorsque je dis en adoration en mon coeur : Moi en TOI et TOI en moi ! Tous mes maux disparaissent, mon fils.
Dieu est bon avec moi !
Voici une photo pour toi,hier au Sacré Coeur:
Excuse-moi Monsieur Soucolline,
c'est hors sujet mais tout de même plus beau que spoke de mon frère Gilles !
même si j'aime bien Star trek.
Merci pour votre dernier poste. je suis fermement convaincu de toute manière
du bien fondé de cette épopée. Tant pis pour les détracteurs
Dernière édition par Lumen le Dim 4 Aoû 2013 - 11:09, édité 1 fois (Raison : Changement d'image.)
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Michael- Dans la prière
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Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Dernière édition par Lumen le Dim 11 Aoû 2013 - 16:19, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Je m'étonne de voir apparaître mon avatar...
A mon avis,tout ce qui est "Seigneur des anneaux,spiderman et autres hommes volants sont antéchristiques.
Ils sont les contrefaçons grossière de ce qu'était le Christ.
Ils tiennent leur pouvoir de la magie,alors que le Christ le tenait du Père.Leur lumière est une parodie de la transfiguration.
Tout ce qui est amulettes et vases sacrés bizarroïdes sont des contrefaçons du Saint Graal et donc de l'Eucharistie et autres choses prodigieuses du même genre.
Chassez la religion et elle revient au galop,mais sous des formes qui ne viennent plus du ciel mais des profondeurs de l'inconscient...
A bientôt.
A mon avis,tout ce qui est "Seigneur des anneaux,spiderman et autres hommes volants sont antéchristiques.
Ils sont les contrefaçons grossière de ce qu'était le Christ.
Ils tiennent leur pouvoir de la magie,alors que le Christ le tenait du Père.Leur lumière est une parodie de la transfiguration.
Tout ce qui est amulettes et vases sacrés bizarroïdes sont des contrefaçons du Saint Graal et donc de l'Eucharistie et autres choses prodigieuses du même genre.
Chassez la religion et elle revient au galop,mais sous des formes qui ne viennent plus du ciel mais des profondeurs de l'inconscient...
A bientôt.
pax et bonum- Avec les anges
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Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
J'ai été surprise moi aussi par ton avatar, Pax, à cet endroit
d'autant plus que je ne l'y ai pas mis !
C'est Gilles, qui m'a mis ton avatar Pax.
sur le site des belles chansons il a carrément enlevé la vidéo que j'avais postée pour
en mettre un autre ridicule à la place. Il a carrément perdu son bon sens, tout cela parce
qu'il n'est pas d'accord avec nous par rapport aux "Seigneur des Anneaux".
Tu compares trois mondes différents Pax. La réalité avec le monde créé , Dieu qui s'est
fait homme en la personne de Notre Seigneur et le monde imaginaire de Tolkien !
Lorsque qu'une "mystique voit quelque chose qu'on lui montre dans le monde divin
et le transpose dans notre monde, elle est toujours déçue comme par exemple
Sainte Catherine Labouré avec la Statue de la Ste Vierge qui tient le monde dans
ses mains : elle ne trouvait pas qu'elle fût aussi belle que celle qu'elle avait visionnée.
Ce qui naît de notre imaginaire peut être aussi beau que laid. Tolkien a donné une touche
médiévale me semble-t-il au monde dans lequel évolue son histoire, ce qui fait son originalité.
De toute manière rien ne peut se comparer à Jésus Christ.
En aucune façon cette histoire que j'aime bien n'a mis en danger ma foi en Dieu Trine et Saint.
Partir dans le monde imaginaire a du bon parfois, elle enrichit notre esprit (mental). Un esprit sans imagination s'appauvrit.
L'important c'est que ce que nous visionnons n'offense pas Dieu.
Fraternellement.
d'autant plus que je ne l'y ai pas mis !
C'est Gilles, qui m'a mis ton avatar Pax.
sur le site des belles chansons il a carrément enlevé la vidéo que j'avais postée pour
en mettre un autre ridicule à la place. Il a carrément perdu son bon sens, tout cela parce
qu'il n'est pas d'accord avec nous par rapport aux "Seigneur des Anneaux".
Tu compares trois mondes différents Pax. La réalité avec le monde créé , Dieu qui s'est
fait homme en la personne de Notre Seigneur et le monde imaginaire de Tolkien !
Lorsque qu'une "mystique voit quelque chose qu'on lui montre dans le monde divin
et le transpose dans notre monde, elle est toujours déçue comme par exemple
Sainte Catherine Labouré avec la Statue de la Ste Vierge qui tient le monde dans
ses mains : elle ne trouvait pas qu'elle fût aussi belle que celle qu'elle avait visionnée.
Ce qui naît de notre imaginaire peut être aussi beau que laid. Tolkien a donné une touche
médiévale me semble-t-il au monde dans lequel évolue son histoire, ce qui fait son originalité.
De toute manière rien ne peut se comparer à Jésus Christ.
En aucune façon cette histoire que j'aime bien n'a mis en danger ma foi en Dieu Trine et Saint.
Partir dans le monde imaginaire a du bon parfois, elle enrichit notre esprit (mental). Un esprit sans imagination s'appauvrit.
L'important c'est que ce que nous visionnons n'offense pas Dieu.
Fraternellement.
Invité- Invité
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
C'était juste une bonne blague de "collégien en vacance" pour te faire rire chère Lumen !
Moi qui croyais que tu avais un bon sens de l'humour ! Dommage.
Moi qui croyais que tu avais un bon sens de l'humour ! Dommage.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Pleure pas ! Attends, tu m'as inquiétée sérieux Gilles !
Mais c'est vrai que le sens de l'humour, je ne l'ai pas trop eu ces derniers temps,
je te le concède.
Souviens-toi lorsque Pax t'a fait le coup sur le poste de Manuela,
tu n'étais pas content du tout non plus, parce que cela tombait mal
sans doute pour toi. Qu'est-ce qu'il a dit Jésus ? Faites aux autres ce
que vous voudriez que l'on vous fasse : Alors qu'est-ce que tu en penses ?
Il n'y a pas que ça tu as fait un raid sur mon poste dans le fil des chansons,
je ne crois pas que tu aurais apprécié cette blague de mauvais goût : sois honnête,
rien qu'un petit crocodile en plastique de la part de Pax, hein ? Mais le pire de tout
ça c'est que je me suis beaucoup inquiétée de toi. surtout. Réfléchit Gilles,
mon ami que ce n'est pas pareil lorsque les échanges se font de visu.
Moi je t'aime beaucoup, et tout ce qui vient de toi, compte tout autant.
D'autre part par Amour de Charité que Dieu met dans notre coeur, je vais
faire en sorte de croire que c'était bien une blague....
God bless you and remove all the shadows in your heart, brother !!!
Ta soeur Lumen.
Mais c'est vrai que le sens de l'humour, je ne l'ai pas trop eu ces derniers temps,
je te le concède.
Souviens-toi lorsque Pax t'a fait le coup sur le poste de Manuela,
tu n'étais pas content du tout non plus, parce que cela tombait mal
sans doute pour toi. Qu'est-ce qu'il a dit Jésus ? Faites aux autres ce
que vous voudriez que l'on vous fasse : Alors qu'est-ce que tu en penses ?
Il n'y a pas que ça tu as fait un raid sur mon poste dans le fil des chansons,
je ne crois pas que tu aurais apprécié cette blague de mauvais goût : sois honnête,
rien qu'un petit crocodile en plastique de la part de Pax, hein ? Mais le pire de tout
ça c'est que je me suis beaucoup inquiétée de toi. surtout. Réfléchit Gilles,
mon ami que ce n'est pas pareil lorsque les échanges se font de visu.
Moi je t'aime beaucoup, et tout ce qui vient de toi, compte tout autant.
D'autre part par Amour de Charité que Dieu met dans notre coeur, je vais
faire en sorte de croire que c'était bien une blague....
God bless you and remove all the shadows in your heart, brother !!!
Ta soeur Lumen.
Dernière édition par Lumen le Lun 12 Aoû 2013 - 9:37, édité 1 fois (Raison : orthographe corrigé)
Invité- Invité
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Merci maman indienne pour la belle image du Sacré-Coeur? C'est où MontMartre? Je connais très peu la France.
Gilles, tu m'intrigues mais je t'aime quand même bien.
Gilles, tu m'intrigues mais je t'aime quand même bien.
Invité- Invité
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
J'ai fait un article sur le film "le hobbit, la désolation de Smaug" car des passages ont le mérite d'être soulignés
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t25565-hobbit-la-desolation-de-smaug-des-paroles-bibliques-film-chretien#240156
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t25565-hobbit-la-desolation-de-smaug-des-paroles-bibliques-film-chretien#240156
des ténèbres à la lumière!
Les portes de la Moria ( les portes de Dürin ) sont invisibles pendant la journée, elles sont en Ithildin, qui ne reflète que la lumière des étoiles et de la lune. Sur ces dernières on peut lire :"Portes de Durin, Seigneur de la Moria ". Parler ami et entrez . Dans les circonstances actuelles vous allez vouloir rebrousser chemin je le crains... On reconnaît sur ce tableau le personnage de Gandalf avec un bonnet bleu en forme de pointe entouré des autres membres éminents de l' expédition. Les nains en creusant trop profondément sous la terre ont réveillé quelque-chose d' inquiétant, voilà ce qui arrive quand on se prend pour DIEU en jouant les apprentis-sorciers !
Ce lieu appelé les mines de la Moria dans lequel la communauté de l' anneau doit entrer n' a plus rien avoir avec ce qu' il était par le passé où il coulait encore des jours heureux comme partout sur la terre du milieu. Depuis que le mal est entré dans ce monde les choses ont beaucoup changé. Il va falloir beaucoup de courage, de ténacité et d' abnégation et le don de soi à nos merveilleux amis pour oser braver le danger jusqu' au sacrifice même de leur propre personne si besoin était, pour affronter les forces du mal qui les attendent. Cet endroit sinistre qui se cache derrière ces grandes portes taillées dans la roche est un lieu infernal avec différents niveaux et d' immenses galeries creusées très en profondeur sous la terre aussi hautes que des cathédrales avec un dédale de couloirs et d' escaliers à perte de vue sur des kilomètres qui s' enfoncent dans l'obscurité. Nous sommes ici dans le royaume des Enfers ou une multitude de démons y séjournent poussant des hurlements à nous glacer le sang, ils se tiennent dans des excavités. C' est le règne du mal avec son cortège d' abominations, le cannibalisme et les salles de tortures d' où s' échappe des odeurs de cadavres en putréfaction. Dans les parties les plus basses de ce monde des ténèbres un feu insatiable qui ne s' éteint jamais entretenu par la haine de ces êtres maudits qui ne savent que haïr s' opposant férocement à l' amour. Plutôt vivre dans le désespoir en étant tourmenté par d' atroces souffrances et demeurer dans la haine éternellement et ne surtout pas aimer! Vous qui nous lisez écoutez bien ce que nous allons vous dire... : << Nous avons fait le choix librement de rejeter l' amour et nous préférons endurer tous ces supplices, pensez-y car c' est ce qui vous attend un jour quand viendra pour vous l' heure fatidique de mourir si vous ne vivez pas ce commandement de DIEU « aimez vous les uns les autres! ». Nous, nous le haïssons comme nous vous haïssons! Nous voudrions dévorer vos chairs et nous ne serons jamais rassasiés, vous infliger les mêmes tourments que nous subissons sans être satisfait complètement .: >>
Pour le salut des habitants de la terre du milieu la communauté de l' anneau dans sa quête n' a pas d' autre choix que de traverser les mines de la Moria. Gandalf sait très bien que sans lui ce n' est pas réalisable! A l' image du Christ il va se sacrifier pour permettre aux enfants de la Terre d' être sauvés. Il devra combattre le Balrog qui est un géant de flamme et de souffre d' au moins 30 mètres de haut avec un physique herculéen. Il est l' incarnation du mal et rien ne peut lui résister, il est invincible. Il crache le feu et il se sert d' un fouet enflammé pour frapper ses victimes. C' est un démon aux yeux de braise qui porte en lui toutes les iniquités, il est muni de deux ailes de grande envergure semblables à celles de la chauve-souris et de deux cornes de bélier sur la tête. Son regard perçant tellement noir de haine nous pénètre comme s' il pouvait lire dans nos pensées les plus secrètes sans aucun moyen de pouvoir lui résister. Il est d' un aspect hideux absolument repoussant qui suscite chez-moi de l' aversion. Vous faire une description fidèle de cet être antédiluvien me donne la nausée. Sa tête ressemble à ces gargouilles qui sont suspendues sur la grande façade de l' Eglise Notre Dame à Paris. Notre ami Gandalf que Tolkien appelle affectueusement Gandalf le gris en se sacrifiant sous les coups de cette créature démoniaque deviendra Gandalf le blanc, en revenant à la vie il remportait la bataille après une longue chute dans le trou le plus profond de l' Enfer. De la mort à la résurrection! Cela symbolise magnifiquement la victoire du Christ sur la mort en passant par sa propre résurrection! Par cet acte d' amour incompréhensible Dieu rachète l' humanité en prenant sur LUI tous nos péchés consécutif à nos propres erreurs. Le Christ est descendu aux Enfers et le troisième jour il ressuscita du royaume des morts! C' est aussi le credo du grand écrivain catholique John Ronald Revel Tolkien.
Mc 16:5- Étant entrées dans le tombeau, elles virent un jeune homme assis à droite, vêtu d'une robe blanche, et elles furent saisies de stupeur.
Mc 16:6- Mais il leur dit : " Ne vous effrayez pas. C'est Jésus le Nazarénien que vous cherchez, le Crucifié : il est ressuscité, il n'est plus ici!
Psaumes 23:4 du roi David.
Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi: Ta houlette et ton bâton me rassurent. Même si je passe par la vallée obscure, je ne redoute aucun mal, Seigneur, car tu m’accompagnes. Tu me conduis, tu me défends, voilà ce qui me rassure.
Tu as été intègre dans tes voies, depuis le jour où tu fus crée ; jusqu’à celui où l’iniquité a été trouvée chez toi » Ezéchiel 28
Alexander Mc Fear ( mr soucolline)
Dernière édition par Monsieur Soucolline le Lun 12 Mai 2014 - 20:47, édité 5 fois
Monsieur Soucolline- Aime le chapelet
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Localisation : la France dans le petit village de cul de sac perdu au milieu des fleurs ( ancien nom avant la revolution )
Inscription : 14/03/2011
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Je suis un grand fan du seigneur des anneaux, j'ai une collection de status et de buste des personnages de cet univers.
À la question Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
je réponds oui, avidement que oui
Gandalf et son bâton n'est autre qu'un "hommage" à Moïse.
Mais le plus fragrant est lorsque Gandalf le gris devient Gandalf le blanc, c'est la transfiguration de Gandalf tiré bien sur de la transfiguration du Christ .
Ici l’apparition de Gandalf devenu Gandalf le blanc devant Légolas , Aragorn, et Gimlin
Et ici la transfiguration du Christ devant Pierre, Jacques, et Jean
Il ne faut pas oublier que Gandalf le gris devient Gandalf le blanc après son combat avec le Balrog dans le gouffre de Helm qui est équivaux à un enfer, C'est après ce combat et sa presque mort que provient une forme de résurrection qui le transforme en Gandalf le blanc
On peut parler aussi de Sauron l’équivalent du Diable qui est oublié pendant des siècles puis est de nouveau de retour sur terre pour semer le désordre
J'ai trouvé un site intéressant en cherchant des images, il est en anglais mais parle des points communs entre le seigneur des anneaux et le christianisme
http://copiosa.org/Lord_Rings/lord_ring_tolkien3.htm
À la question Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
je réponds oui, avidement que oui
Gandalf et son bâton n'est autre qu'un "hommage" à Moïse.
Mais le plus fragrant est lorsque Gandalf le gris devient Gandalf le blanc, c'est la transfiguration de Gandalf tiré bien sur de la transfiguration du Christ .
Ici l’apparition de Gandalf devenu Gandalf le blanc devant Légolas , Aragorn, et Gimlin
Et ici la transfiguration du Christ devant Pierre, Jacques, et Jean
Il ne faut pas oublier que Gandalf le gris devient Gandalf le blanc après son combat avec le Balrog dans le gouffre de Helm qui est équivaux à un enfer, C'est après ce combat et sa presque mort que provient une forme de résurrection qui le transforme en Gandalf le blanc
On peut parler aussi de Sauron l’équivalent du Diable qui est oublié pendant des siècles puis est de nouveau de retour sur terre pour semer le désordre
J'ai trouvé un site intéressant en cherchant des images, il est en anglais mais parle des points communs entre le seigneur des anneaux et le christianisme
http://copiosa.org/Lord_Rings/lord_ring_tolkien3.htm
Childebrand- Avec Saint Maximilien Kolbe
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les portes de Dürin s' ouvrant sur les mines de la Moria.
les portes de Dürin.
Monsieur Soucolline- Aime le chapelet
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Localisation : la France dans le petit village de cul de sac perdu au milieu des fleurs ( ancien nom avant la revolution )
Inscription : 14/03/2011
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Childebrand a écrit:Je suis un grand fan du seigneur des anneaux, j'ai une collection de status et de buste des personnages de cet univers.
À la question Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
je réponds oui, avidement que oui
Gandalf et son bâton n'est autre qu'un "hommage" à Moïse.
Mais le plus fragrant est lorsque Gandalf le gris devient Gandalf le blanc, c'est la transfiguration de Gandalf tiré bien sur de la transfiguration du Christ .
Ici l’apparition de Gandalf devenu Gandalf le blanc devant Légolas , Aragorn, et Gimlin
Et ici la transfiguration du Christ devant Pierre, Jacques, et Jean
Il ne faut pas oublier que Gandalf le gris devient Gandalf le blanc après son combat avec le Balrog dans le gouffre de Helm qui est équivaux à un enfer, C'est après ce combat et sa presque mort que provient une forme de résurrection qui le transforme en Gandalf le blanc
On peut parler aussi de Sauron l’équivalent du Diable qui est oublié pendant des siècles puis est de nouveau de retour sur terre pour semer le désordre
J'ai trouvé un site intéressant en cherchant des images, il est en anglais mais parle des points communs entre le seigneur des anneaux et le christianisme
http://copiosa.org/Lord_Rings/lord_ring_tolkien3.htm
Bonjour,
pourriez-vous nous mettre une photo de vos bustes ou statuettes des personnages de Tolkien que vous avez chez-vous?
Merci à vous.
Mr soucolline.
Monsieur Soucolline- Aime le chapelet
- Messages : 424
Age : 35
Localisation : la France dans le petit village de cul de sac perdu au milieu des fleurs ( ancien nom avant la revolution )
Inscription : 14/03/2011
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
J'ai vu la trilogie ces derniers jours. J'ai beaucoup apprécié. La symbolique chrétienne s'y trouve, les forces du bien et du mal n'y sont pas dépeintes comme dans le manichéisme que l'on trouve un peu partout dans les oeuvres fantastiques. Il n'est pas du tout question de magie, malgré les différents personnages, contrairement à Harry Potter où la magie est carrément mise en avant.
Il est beaucoup question de la destruction de l'homme (la race humaine) et du péché, de la tentation (avec l'anneau) et cette quête inversée (faire un long périple pour détruire un objet tant convoité) est une illustration du combat contre le mal peu commune.
Je ne sais pas encore si je vais lire les livres. Je les avais offerts à mon frère il y a longtemps, sachant qu'il appréciait l'héroïc fantasy, mais je ne connaissais pas du tout et je ne m'y intéressais pas spécialement.
Un homme très pieux comme Tolkien qui écrit une épopée de ce genre, c'est quand même très différent des autres qui peuvent écrire des ouvrages de littérature fantastique (Philip Pullman est son antagoniste par excellence, mais lui, sa cible était clairement identifiable, l'Eglise Catholique ; d'ailleurs il est dit de lui qu'il est Rowling au masculin...).
Il est beaucoup question de la destruction de l'homme (la race humaine) et du péché, de la tentation (avec l'anneau) et cette quête inversée (faire un long périple pour détruire un objet tant convoité) est une illustration du combat contre le mal peu commune.
Je ne sais pas encore si je vais lire les livres. Je les avais offerts à mon frère il y a longtemps, sachant qu'il appréciait l'héroïc fantasy, mais je ne connaissais pas du tout et je ne m'y intéressais pas spécialement.
Un homme très pieux comme Tolkien qui écrit une épopée de ce genre, c'est quand même très différent des autres qui peuvent écrire des ouvrages de littérature fantastique (Philip Pullman est son antagoniste par excellence, mais lui, sa cible était clairement identifiable, l'Eglise Catholique ; d'ailleurs il est dit de lui qu'il est Rowling au masculin...).
Scala-Coeli- MEDIATRICE
- Messages : 1794
Localisation : Sud de la France
Inscription : 04/07/2007
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
a punaise sa c'étai un trop bon film j'ai vue les 3 en version longue elles sont beaucoup mieux que les versions courtes si vous avez aimé la version courte la version longue est encore mieux sérieux
par contre la trilogie du hobbit j'ai trouvé que c'étai moins bien .
par contre je ne savait pas que y avait des référence a la religion catholique mais c'est vrais que y a des moment sa mefaisait pensé quand meme a ce gere de truck avec les elf qui sont iluminé plein de lumières et tout et que on vous les orques dans l'ombre .
je me le referai bien la saga .
et les musiques j'adore !
par contre la trilogie du hobbit j'ai trouvé que c'étai moins bien .
par contre je ne savait pas que y avait des référence a la religion catholique mais c'est vrais que y a des moment sa mefaisait pensé quand meme a ce gere de truck avec les elf qui sont iluminé plein de lumières et tout et que on vous les orques dans l'ombre .
je me le referai bien la saga .
et les musiques j'adore !
elexus- Aime la Divine Volonté
- Messages : 832
Age : 29
Localisation : Région Ile de France ( essonne ) / Haute Normandie (76 )
Inscription : 04/10/2015
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Ah, il y a une version longue ? de chaque film ? Il y a beaucoup de différences avec la version courte ?
Scala-Coeli- MEDIATRICE
- Messages : 1794
Localisation : Sud de la France
Inscription : 04/07/2007
Re: Le "Seigneur des Anneaux" est-il d'inspiration chrétienne?
Si vous regardez cette extrait l'orc dit qu'ils sont légions (référence aux démons?) :
C'est un extraits du film le Hobbit
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t25565-hobbit-la-desolation-de-smaug-des-paroles-bibliques-film-chretien
Un autre:
Sauron (le mal contre Galadriel) :
Là une référence à Marie?
Ou encore là:
C'est un extraits du film le Hobbit
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t25565-hobbit-la-desolation-de-smaug-des-paroles-bibliques-film-chretien
Un autre:
Sauron (le mal contre Galadriel) :
Là une référence à Marie?
Ou encore là:
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