Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
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Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
Le Sénat vient d'approuver le projet d'inscrire l'avortement dans la Constitution.
https://www.dna.fr/politique/2023/02/01/le-senat-se-prononce-pour-inscrire-la-liberte-de-recourir-a-l-ivg-dans-la-constitution
Pour tout vous avouer je m'y attendais : Satan est tellement puissant comme le rappelle la Vierge Marie dans ses derniers messages que cela ne me surprend pas.
La culture de la mort est tellement répandue dans les esprits et a pris une telle ampleur que cela n'est malheureusement pas si étonnant. Prions pour les sénateurs courageux qui ont voté contre et subiront sans doute un lynchage virtuel terrible.
Gardons cependant espoir la Vierge Marie a été claire et Notre Seigneur aussi. Le règne de Dieu triomphera et Satan le sait c'est bien pour cela qu'il se déchaîne ainsi car il sait que son temps est compté...
https://www.dna.fr/politique/2023/02/01/le-senat-se-prononce-pour-inscrire-la-liberte-de-recourir-a-l-ivg-dans-la-constitution
Pour tout vous avouer je m'y attendais : Satan est tellement puissant comme le rappelle la Vierge Marie dans ses derniers messages que cela ne me surprend pas.
La culture de la mort est tellement répandue dans les esprits et a pris une telle ampleur que cela n'est malheureusement pas si étonnant. Prions pour les sénateurs courageux qui ont voté contre et subiront sans doute un lynchage virtuel terrible.
Gardons cependant espoir la Vierge Marie a été claire et Notre Seigneur aussi. Le règne de Dieu triomphera et Satan le sait c'est bien pour cela qu'il se déchaîne ainsi car il sait que son temps est compté...
vinz 109- Contemplatif
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
Le Sénat à majorité de droite s'est prononcé mercredi, par 166 voix contre 152. : Même si le chemin est encore très long avant une possible adoption définitive par le Parlement (qui devrait être en plus suivie d'un référendum), le groupe socialiste s'est immédiatement félicité d'une « avancée majeure pour le droit des femmes », tandis que le groupe écologiste saluait « une victoire historique ». « Historique », a aussi réagi sur Twitter la cheffe de file du groupe LFI à l'Assemblée nationale
PAStP :
« Ce projet paraît délirant, mais il faut considérer que la puissance du mal marche également avec la science qui est orgueilleuse et financée par eux. Mais aujourd’hui, et surtout depuis la Loi de Bioéthique française, la possibilité d’atteindre la Mémoire de
Dieu dans ses possibles devient probable. Il suffit de couper certains de ses liens reliant les fonctions qu’animent les possibles provenant des Puissances de l’âme, en intervenant surl’ADN.
Sous l’inspiration des anges-déchus et l’oppression de ceux qui ont l’argent, les savants tentent de renverser l’ordre du créé et celui du vivant afin de prouver que Dieu est inutile à l’homme. Ils sont dépourvus de toute conscience morale, pris au piège de leur orgueil de dément. Ils dissimulent leur objectif, qui est de rejoindre l’Acte Créateur de Dieu, en vue d’inverser le paradigme divin et de le remplacer par le leur[2]. Ilscherchent un passage pour atteindre leur objectif par deux voies possibles : les sciences génétiques et la physique primordiale »
AÏE AÏE AÏE
[ltr]Pitié, seigneur Ils ne savent pas ce qu’ils font ![/ltr]
PAStP :
« Ce projet paraît délirant, mais il faut considérer que la puissance du mal marche également avec la science qui est orgueilleuse et financée par eux. Mais aujourd’hui, et surtout depuis la Loi de Bioéthique française, la possibilité d’atteindre la Mémoire de
Dieu dans ses possibles devient probable. Il suffit de couper certains de ses liens reliant les fonctions qu’animent les possibles provenant des Puissances de l’âme, en intervenant surl’ADN.
Sous l’inspiration des anges-déchus et l’oppression de ceux qui ont l’argent, les savants tentent de renverser l’ordre du créé et celui du vivant afin de prouver que Dieu est inutile à l’homme. Ils sont dépourvus de toute conscience morale, pris au piège de leur orgueil de dément. Ils dissimulent leur objectif, qui est de rejoindre l’Acte Créateur de Dieu, en vue d’inverser le paradigme divin et de le remplacer par le leur[2]. Ilscherchent un passage pour atteindre leur objectif par deux voies possibles : les sciences génétiques et la physique primordiale »
AÏE AÏE AÏE
[ltr]Pitié, seigneur Ils ne savent pas ce qu’ils font ![/ltr]
Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
En fait le projet est encore long car l'assemblée nationale doit voter le texte exactement dans les mêmes termes que le Sénat. Or justement pour mieux faire passer la pilule les sénateurs ont remplacé le mot "droit" par le mot "liberté". Donc à voir maintenant ce que les députés décideront en sachant que comme c'est une proposition de loi constitutionnelle le gouvernement ne peut pas donner le dernier mot à l'assemblée nationale : l'accord du Sénat restera donc indispensable. A supposé que les deux assemblées se mettent d'accord comme il s'agit d'une proposition de loi (c'es-à-dire que l'initiative du projet vient de parlementaires) dans ce cas la proposition devra obligatoirement être ratifiée par référendum et non par le Congrès. C'est bien pour cela que ces lobbys démoniaques pressent le gouvernement de déposer un projet de loi constitutionnelle sur le même sujet parce que dans ce cas le président pourrait choisir la ratification par le Congrès plutôt que le référendum (toujours politiquement périlleux).
vinz 109- Contemplatif
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
Continuons de prier.
Invité- Invité
Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
"En contradiction avec l’article 16 du Code civil qui « interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie », la manœuvre, consistant en une reformulation de l’unique article de la proposition de Loi remplaçant le mot « droit » par celui de « liberté », a entrainé une partie des Sénateurs LR à rentrer dans la logique de l’extrême gauche qui instrumentalise la Constitution en vue de la création sans fin de nouveaux droits individuels."
https://www.lesalonbeige.fr/basses-manoeuvres-au-senat-les-sages-votent-linscription-de-lavortement-dans-la-constitution/
apparemment à partir d'une substitution de mots (que pensent les juristes de ce tour de passe-passe ? ) la République Française dans sa grande magnanimité donne non pas le droit, mais la liberté aux femmes de se débarrasser d'une encombrante progéniture. E. Macron le prestidigitateur peut s'enorgueillir d'avoir damé le pion aux Américains sur ce chapitre.
Quand lâcheté et mensonge se rencontrent...
https://www.lesalonbeige.fr/basses-manoeuvres-au-senat-les-sages-votent-linscription-de-lavortement-dans-la-constitution/
apparemment à partir d'une substitution de mots (que pensent les juristes de ce tour de passe-passe ? ) la République Française dans sa grande magnanimité donne non pas le droit, mais la liberté aux femmes de se débarrasser d'une encombrante progéniture. E. Macron le prestidigitateur peut s'enorgueillir d'avoir damé le pion aux Américains sur ce chapitre.
Quand lâcheté et mensonge se rencontrent...
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Père Nathan aime ce message
Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
C'est la licence de tuer. Une fausse liberté car contraire au droit divin en vérité.
L'idée de constitutionnaliser la chose vise-t-elle non seulement (symboliquement du moins) à empêcher toutes refontes ultérieures du code de loi, pouvant hypothétiquement porter préjudice à cette licence (fausse liberté,) mais certainement aussi, je penserais, et comme plus réalistement dans l'immédiat, pour faciliter le prononcé de sanctions judiciaires contre les militants opposés à l'avortement sans frein libre et gratuit. Même dynamique de fond en esprit que celle en Angleterre visant à criminaliser les gens qui prient silencieusement à proximité de cliniques abortives. «Criminalisons l'objecteur de conscience» ... ; «Mauvais citoyen, déviant, gêneur qui nuit à autrui, extrémiste qui cherche à opprimer les femmes !»
L'idée de constitutionnaliser la chose vise-t-elle non seulement (symboliquement du moins) à empêcher toutes refontes ultérieures du code de loi, pouvant hypothétiquement porter préjudice à cette licence (fausse liberté,) mais certainement aussi, je penserais, et comme plus réalistement dans l'immédiat, pour faciliter le prononcé de sanctions judiciaires contre les militants opposés à l'avortement sans frein libre et gratuit. Même dynamique de fond en esprit que celle en Angleterre visant à criminaliser les gens qui prient silencieusement à proximité de cliniques abortives. «Criminalisons l'objecteur de conscience» ... ; «Mauvais citoyen, déviant, gêneur qui nuit à autrui, extrémiste qui cherche à opprimer les femmes !»
Cinci- Avec Saint Joseph
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
Hier, je lisais cela :
https://www.cqv.qc.ca/un_avortement_tardif_de_38_semaines_a_eu_lieu_ce_matin_l_hopital_du_sacre_coeur_de_montreal
Une anecdote relative à un «beau» cas d'avortement tardif. Tout ce qu'il y a de plus légal pourtant ... Un cas d'infanticide tout simplement. Avec un tel droit constitutionnalisé mur à mur, il est certain que le nombre de cas semblables serait appelé à de démultiplier, non pas diminuer, pour que la frontière permissive recule toujours un peu plus.
https://www.cqv.qc.ca/un_avortement_tardif_de_38_semaines_a_eu_lieu_ce_matin_l_hopital_du_sacre_coeur_de_montreal
Une anecdote relative à un «beau» cas d'avortement tardif. Tout ce qu'il y a de plus légal pourtant ... Un cas d'infanticide tout simplement. Avec un tel droit constitutionnalisé mur à mur, il est certain que le nombre de cas semblables serait appelé à de démultiplier, non pas diminuer, pour que la frontière permissive recule toujours un peu plus.
Cinci- Avec Saint Joseph
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
Cinci a écrit:C'est la licence de tuer. Une fausse liberté car contraire au droit divin en vérité.
L'idée de constitutionnaliser la chose vise-t-elle non seulement (symboliquement du moins) à empêcher toutes refontes ultérieures du code de loi, pouvant hypothétiquement porter préjudice à cette licence (fausse liberté,) mais certainement aussi, je penserais, et comme plus réalistement dans l'immédiat, pour faciliter le prononcé de sanctions judiciaires contre les militants opposés à l'avortement sans frein libre et gratuit. Même dynamique de fond en esprit que celle en Angleterre visant à criminaliser les gens qui prient silencieusement à proximité de cliniques abortives. «Criminalisons l'objecteur de conscience» ... ; «Mauvais citoyen, déviant, gêneur qui nuit à autrui, extrémiste qui cherche à opprimer les femmes !»
Ce sont les prémices de la persécution qui arrive. En voici un exemple concret :
https://www.rue89strasbourg.com/soixantaine-feministes-bloque-acces-conference-pro-vie-254141
vinz 109- Contemplatif
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
Il semble que de tels textes devraient amener les légistes à réviser notre Constitution pour mieux protéger le caractère sacré de la vie dès son commencement. Manque de courage ? mais peut-on acheter la paix sociale sur l'autel du sacrifice des innocents ? une telle paix d'ailleurs n'existe pas !
"La continuité du développement de l’être humain à partir de la conception a été aujourd’hui scientifiquement prouvée : l’embryon est dès l’origine un nouvel individu humain, distinct de ses parents ; il se développe par lui-même et ne sera jamais rendu humain s’il ne l’est pas dès lors. Il doit donc être respecté comme tout être humain.
Dès la fécondation l’embryon humain est donc autonome, doté d’une identité précise, totalement distinct de ses propres parents et de tout autre embryon.
Il s’agit incontestablement d’un être dont le patrimoine génétique nous apprend qu’il ne s’agit ni d’un végétal ni d’un animal mais bien d’un individu de l’espèce humaine. L’information contenue dans son génome est un programme codifié qui le dote d’immenses potentialités morphogénétiques, c’est-à-dire de capacités intrinsèques qui se mettront en place de manière graduelle si rien ne vient entraver sa croissance. Il est donc totalement erroné d’affirmer comme l’a fait le Conseil d’État français que « De la fécondation d’un embryon humain à la naissance d’un enfant, le champ de notre ignorance demeure infiniment plus grand que celui de nos connaissances. Dire qui est l’embryon ou ce qu’il est relève de l’impossibilité. » (Conseil d’État, La révision des lois de bioéthique, La documentation française, Paris, 2009).
(...)
si la logique scientifique considère la vie humaine comme un processus continu depuis la conception, la logique juridique ne doit-elle pas protéger ce processus au nom de la dignité humaine ?
Il faut reconnaître qu’il n’y a dans le processus de développement de l’embryon aucune étape qui puisse lui permettre de changer de nature
Dignitas personae répond avec conviction : « La réalité de l’être humain, tout au long de son existence, avant et après sa naissance, ne permet d’affirmer ni un changement de nature, ni une gradation de la valeur morale » (n. 5), l’embryon « possédant une pleine qualification anthropologique et éthique ». Parce que l’on ne peut pas penser rationnellement le passage de quelque chose à quelqu’un, Dignitas personae en déduit avec force que « l’embryon humain a donc, dès le commencement, la dignité propre à la personne. » Ainsi doit-il jouir de tous les droits de la personne en vertu de sa dignité intrinsèque, au premier chef celui de l’inviolabilité de sa vie.
Le respect inconditionnel de tout être humain devrait être le fondement de tout système juridique
Le respect inconditionnel moralement dû au fruit de la génération humaine dès le premier instant de son existence est « le critère fondamental d’éthique (…) pour juger toutes les interventions sur l’embryon humain. » (DP, n. 4). Reconnue « vraie et conforme à la loi morale naturelle par la raison elle-même », cette vérité « devrait être le fondement de tout système juridique ». L’État se doit donc de reconnaître la valeur objective et la vraie nature de l’embryon humain afin d’en tirer les conséquences juridiques et législatives qui s’imposent pour le protéger efficacement.
Toutes les pratiques qui portent atteinte à la vie de l’embryon humain relèvent de la catégorie de l’avortement « qu’aucune loi humaine ne peut prétendre légitimer » (Evangelium vitae, n. 73)
L’avortement étant, comme Dignitas personae le rappelle, « le meurtre délibéré et direct, quelle que soit la façon dont il est effectué, d’un être humain dans la phase initiale de son existence, située entre la conception et la naissance », l’Église récuse aussi bien la recherche sur l’embryon que l’utilisation du stérilet ou de la pilule du lendemain. Peu importe que la destruction de l’embryon ait lieu dans une éprouvette ou l’utérus maternel, il n’y a pas lieu d’opérer en l’espèce une distinction morale entre l’activité d’un scientifique qui désagrège un embryon humain dans son laboratoire ou l’emploi d’une molécule qui vise son expulsion dans le sein de sa mère."
Source :
https://questions.aleteia.org/articles/113/pourquoi-plaider-pour-le-respect-inconditionnel-de-lembryon-humain/
"La continuité du développement de l’être humain à partir de la conception a été aujourd’hui scientifiquement prouvée : l’embryon est dès l’origine un nouvel individu humain, distinct de ses parents ; il se développe par lui-même et ne sera jamais rendu humain s’il ne l’est pas dès lors. Il doit donc être respecté comme tout être humain.
Dès la fécondation l’embryon humain est donc autonome, doté d’une identité précise, totalement distinct de ses propres parents et de tout autre embryon.
Il s’agit incontestablement d’un être dont le patrimoine génétique nous apprend qu’il ne s’agit ni d’un végétal ni d’un animal mais bien d’un individu de l’espèce humaine. L’information contenue dans son génome est un programme codifié qui le dote d’immenses potentialités morphogénétiques, c’est-à-dire de capacités intrinsèques qui se mettront en place de manière graduelle si rien ne vient entraver sa croissance. Il est donc totalement erroné d’affirmer comme l’a fait le Conseil d’État français que « De la fécondation d’un embryon humain à la naissance d’un enfant, le champ de notre ignorance demeure infiniment plus grand que celui de nos connaissances. Dire qui est l’embryon ou ce qu’il est relève de l’impossibilité. » (Conseil d’État, La révision des lois de bioéthique, La documentation française, Paris, 2009).
(...)
si la logique scientifique considère la vie humaine comme un processus continu depuis la conception, la logique juridique ne doit-elle pas protéger ce processus au nom de la dignité humaine ?
Il faut reconnaître qu’il n’y a dans le processus de développement de l’embryon aucune étape qui puisse lui permettre de changer de nature
Dignitas personae répond avec conviction : « La réalité de l’être humain, tout au long de son existence, avant et après sa naissance, ne permet d’affirmer ni un changement de nature, ni une gradation de la valeur morale » (n. 5), l’embryon « possédant une pleine qualification anthropologique et éthique ». Parce que l’on ne peut pas penser rationnellement le passage de quelque chose à quelqu’un, Dignitas personae en déduit avec force que « l’embryon humain a donc, dès le commencement, la dignité propre à la personne. » Ainsi doit-il jouir de tous les droits de la personne en vertu de sa dignité intrinsèque, au premier chef celui de l’inviolabilité de sa vie.
Le respect inconditionnel de tout être humain devrait être le fondement de tout système juridique
Le respect inconditionnel moralement dû au fruit de la génération humaine dès le premier instant de son existence est « le critère fondamental d’éthique (…) pour juger toutes les interventions sur l’embryon humain. » (DP, n. 4). Reconnue « vraie et conforme à la loi morale naturelle par la raison elle-même », cette vérité « devrait être le fondement de tout système juridique ». L’État se doit donc de reconnaître la valeur objective et la vraie nature de l’embryon humain afin d’en tirer les conséquences juridiques et législatives qui s’imposent pour le protéger efficacement.
Toutes les pratiques qui portent atteinte à la vie de l’embryon humain relèvent de la catégorie de l’avortement « qu’aucune loi humaine ne peut prétendre légitimer » (Evangelium vitae, n. 73)
L’avortement étant, comme Dignitas personae le rappelle, « le meurtre délibéré et direct, quelle que soit la façon dont il est effectué, d’un être humain dans la phase initiale de son existence, située entre la conception et la naissance », l’Église récuse aussi bien la recherche sur l’embryon que l’utilisation du stérilet ou de la pilule du lendemain. Peu importe que la destruction de l’embryon ait lieu dans une éprouvette ou l’utérus maternel, il n’y a pas lieu d’opérer en l’espèce une distinction morale entre l’activité d’un scientifique qui désagrège un embryon humain dans son laboratoire ou l’emploi d’une molécule qui vise son expulsion dans le sein de sa mère."
Source :
https://questions.aleteia.org/articles/113/pourquoi-plaider-pour-le-respect-inconditionnel-de-lembryon-humain/
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
Extraits d'un long article de Thibaud Collin :
"Certes cette inscription ne changera rien sur le terrain, nonobstant la crainte d’une possible remise en cause de la clause de conscience des médecins. Certes, on peut considérer que Macron et son gouvernement ne jouent là qu’une partie strictement politicienne en donnant des gages à la gauche.
Quoi qu’il en soit, cette inscription a une dimension symbolique indéniable. On peut se gausser du ridicule d’une France qui, après le retournement de la Cour suprême américaine, se prend pour le phare du progressisme mondial et cherche à incarner l’avant-garde de l’humanité luttant contre les forces censées opprimer les femmes.
Mais cette décision qui fait honte à la France manifeste surtout la gravité de son état spirituel. Comme Péguy et Bernanos l’auraient dit, la France commet « un péché mortel ». Par le vote de ses représentants, le peuple français pose un acte d’apostasie. Inscrire dans sa constitution la liberté de perpétuer ce « crime abominable » (expression de Vatican II reprise dernièrement par le pape François) est en effet une ignominie qui offense Dieu.
Cette abomination est hélas logique.
Puisse cet événement être l’occasion d’une prise de conscience de la nature spirituelle, morale et anthropologique de nos institutions républicaines, et ce depuis leurs origines révolutionnaires, actualisées sous la Troisième République.
(...)
Quelle est dès lors la place de Dieu dans nos sociétés postchrétiennes et donc nihilistes ? Où se situe-t-il ? Dieu est toujours présent au plus faible et au plus innocent des humains, notamment à l’embryon lové dans l’utérus de sa mère. En sacralisant cette prétendue liberté de le tuer, notre société veut atteindre Dieu en son cœur de Père. En prétendant éclairer le monde entier par son exemple, la France nie sa vocation surnaturelle et consacre son âme au « père du mensonge », à celui qui singe Dieu par orgueil. Ainsi la France qui envoyait des missionnaires dans le monde entier est devenue la France qui, aux yeux des nations, donne l’exemple d’une liberté impie et criminelle.
(...)
Puisse la constitutionnalisation de l’avortement être l’occasion d’une conversion politique des clercs et des laïcs ! Non pas en s’engageant dans tel ou tel parti, mais en tirant toutes les conséquences des implications sociales et politiques de la foi qu’ils professent.
Nous sommes dans la deuxième année de la neuvaine d’années préparant les 600 ans de la mort de sainte Jeanne d’Arc que nous fêterons en 2031. Prions Jeanne de nous faire entrer dans cette perspective du Christ-Roi qui a gouverné tout son engagement théologal, politique et militaire. Qu’elle aide chacun à discerner en prudence comment œuvrer dans la situation actuelle à promouvoir hardiment le règne du Christ sur notre société. Qu’elle nous aide à exercer les vertus d’espérance dans la Providence divine et de charité envers tous.
Thibaud Collin
https://lesalonbeige.fr/constitutionnalisation-de-lavortement-laicite-et-royaute-sociale-du-christ/
"Certes cette inscription ne changera rien sur le terrain, nonobstant la crainte d’une possible remise en cause de la clause de conscience des médecins. Certes, on peut considérer que Macron et son gouvernement ne jouent là qu’une partie strictement politicienne en donnant des gages à la gauche.
Quoi qu’il en soit, cette inscription a une dimension symbolique indéniable. On peut se gausser du ridicule d’une France qui, après le retournement de la Cour suprême américaine, se prend pour le phare du progressisme mondial et cherche à incarner l’avant-garde de l’humanité luttant contre les forces censées opprimer les femmes.
Mais cette décision qui fait honte à la France manifeste surtout la gravité de son état spirituel. Comme Péguy et Bernanos l’auraient dit, la France commet « un péché mortel ». Par le vote de ses représentants, le peuple français pose un acte d’apostasie. Inscrire dans sa constitution la liberté de perpétuer ce « crime abominable » (expression de Vatican II reprise dernièrement par le pape François) est en effet une ignominie qui offense Dieu.
Cette abomination est hélas logique.
Puisse cet événement être l’occasion d’une prise de conscience de la nature spirituelle, morale et anthropologique de nos institutions républicaines, et ce depuis leurs origines révolutionnaires, actualisées sous la Troisième République.
(...)
Quelle est dès lors la place de Dieu dans nos sociétés postchrétiennes et donc nihilistes ? Où se situe-t-il ? Dieu est toujours présent au plus faible et au plus innocent des humains, notamment à l’embryon lové dans l’utérus de sa mère. En sacralisant cette prétendue liberté de le tuer, notre société veut atteindre Dieu en son cœur de Père. En prétendant éclairer le monde entier par son exemple, la France nie sa vocation surnaturelle et consacre son âme au « père du mensonge », à celui qui singe Dieu par orgueil. Ainsi la France qui envoyait des missionnaires dans le monde entier est devenue la France qui, aux yeux des nations, donne l’exemple d’une liberté impie et criminelle.
(...)
Puisse la constitutionnalisation de l’avortement être l’occasion d’une conversion politique des clercs et des laïcs ! Non pas en s’engageant dans tel ou tel parti, mais en tirant toutes les conséquences des implications sociales et politiques de la foi qu’ils professent.
Nous sommes dans la deuxième année de la neuvaine d’années préparant les 600 ans de la mort de sainte Jeanne d’Arc que nous fêterons en 2031. Prions Jeanne de nous faire entrer dans cette perspective du Christ-Roi qui a gouverné tout son engagement théologal, politique et militaire. Qu’elle aide chacun à discerner en prudence comment œuvrer dans la situation actuelle à promouvoir hardiment le règne du Christ sur notre société. Qu’elle nous aide à exercer les vertus d’espérance dans la Providence divine et de charité envers tous.
Thibaud Collin
https://lesalonbeige.fr/constitutionnalisation-de-lavortement-laicite-et-royaute-sociale-du-christ/
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
Bonsoir Isabelle MarieIsabelle-Marie a écrit:Extraits d'un long article de Thibaud Collin :
"Certes cette inscription ne changera rien sur le terrain, nonobstant la crainte d’une possible remise en cause de la clause de conscience des médecins. Certes, on peut considérer que Macron et son gouvernement ne jouent là qu’une partie strictement politicienne en donnant des gages à la gauche.
Quoi qu’il en soit, cette inscription a une dimension symbolique indéniable. On peut se gausser du ridicule d’une France qui, après le retournement de la Cour suprême américaine, se prend pour le phare du progressisme mondial et cherche à incarner l’avant-garde de l’humanité luttant contre les forces censées opprimer les femmes.
Mais cette décision qui fait honte à la France manifeste surtout la gravité de son état spirituel. Comme Péguy et Bernanos l’auraient dit, la France commet « un péché mortel ». Par le vote de ses représentants, le peuple français pose un acte d’apostasie. Inscrire dans sa constitution la liberté de perpétuer ce « crime abominable » (expression de Vatican II reprise dernièrement par le pape François) est en effet une ignominie qui offense Dieu.
Cette abomination est hélas logique.
Puisse cet événement être l’occasion d’une prise de conscience de la nature spirituelle, morale et anthropologique de nos institutions républicaines, et ce depuis leurs origines révolutionnaires, actualisées sous la Troisième République.
(...)
Quelle est dès lors la place de Dieu dans nos sociétés postchrétiennes et donc nihilistes ? Où se situe-t-il ? Dieu est toujours présent au plus faible et au plus innocent des humains, notamment à l’embryon lové dans l’utérus de sa mère. En sacralisant cette prétendue liberté de le tuer, notre société veut atteindre Dieu en son cœur de Père. En prétendant éclairer le monde entier par son exemple, la France nie sa vocation surnaturelle et consacre son âme au « père du mensonge », à celui qui singe Dieu par orgueil. Ainsi la France qui envoyait des missionnaires dans le monde entier est devenue la France qui, aux yeux des nations, donne l’exemple d’une liberté impie et criminelle.
(...)
Puisse la constitutionnalisation de l’avortement être l’occasion d’une conversion politique des clercs et des laïcs ! Non pas en s’engageant dans tel ou tel parti, mais en tirant toutes les conséquences des implications sociales et politiques de la foi qu’ils professent.
Nous sommes dans la deuxième année de la neuvaine d’années préparant les 600 ans de la mort de sainte Jeanne d’Arc que nous fêterons en 2031. Prions Jeanne de nous faire entrer dans cette perspective du Christ-Roi qui a gouverné tout son engagement théologal, politique et militaire. Qu’elle aide chacun à discerner en prudence comment œuvrer dans la situation actuelle à promouvoir hardiment le règne du Christ sur notre société. Qu’elle nous aide à exercer les vertus d’espérance dans la Providence divine et de charité envers tous.
Thibaud Collin
https://lesalonbeige.fr/constitutionnalisation-de-lavortement-laicite-et-royaute-sociale-du-christ/
Ce n'est pas Tout LE PEUPLE qui adhère à cette loi, loin s'en faut.. Et ce n'est pas Tout le peuple qui apostasie..attention aux raccourcis malencontreux..
Fraternellement.
Marie
Marie mamùke- Contre la puce électronique
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
Isabelle-Marie a écrit:Extraits d'un long article de Thibaud Collin :
"Certes cette inscription ne changera rien sur le terrain, nonobstant la crainte d’une possible remise en cause de la clause de conscience des médecins. Certes, on peut considérer que Macron et son gouvernement ne jouent là qu’une partie strictement politicienne en donnant des gages à la gauche.
Quoi qu’il en soit, cette inscription a une dimension symbolique indéniable. On peut se gausser du ridicule d’une France qui, après le retournement de la Cour suprême américaine, se prend pour le phare du progressisme mondial et cherche à incarner l’avant-garde de l’humanité luttant contre les forces censées opprimer les femmes.
Effectivement,du côté des femmes,il n'y a rien de changé puisque l'avortement était déjà libre en France.
Alors que change la constitutionnalisation?
Ce ne serait que du côté du médecin qui verrait sa liberté de refuser cet acte en conscience s'amoindrir ou disparaître.
Ce qui ajoute encore à l'abomination.On obligerait le médecin à déroger au Serment d'Hyppocrate dont il a fait la promesse.
pax et bonum- Avec les anges
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
https://lesalonbeige.fr/avortement-mgr-rey-et-mgr-touvet-appellent-a-la-mobilisation/CULTURE DE MORT : AVORTEMENT
Avortement : Mgr Rey et Mgr Touvet appellent à la mobilisation
Par Michel Janva le 1 mars 20240 commentaire / 775 vues
Avortement : Mgr Rey et Mgr Touvet appellent à la mobilisation
Mgr Rey et Mgr Touvet s’expriment concernant le projet d’inscription du droit à l’IVG dans la Constitution :
Les parlementaires, députés et sénateurs, vont se réunir en Congrès ce lundi 4 mars à Versailles, pour voter un projet de constitutionnalisation du droit à l’IVG (interruption volontaire de grossesse).
Nous demeurons convaincus qu’un tel projet n’est pas compatible avec le respect de la vie humaine, de sa conception à sa mort naturelle.
« La défense de la vie à naître est intimement liée à la défense de tous les droits humains. (…) Si cette conviction disparaît, il ne reste plus de fondements solides et permanents pour la défense des droits humains, qui seraient toujours sujets aux convenances contingentes des puissants du moment. » (Pape François)
Ce projet fragilise également la clause de conscience des soignants, et la liberté d’expression sur ces sujets.
Nous invitons tous les chrétiens à se mobiliser, dans un élan de prière, en invoquant, par la récitation du chapelet, l’intercession de la Sainte-Famille de Nazareth.
https://lesalonbeige.fr/avortement-mgr-rey-et-mgr-touvet-appellent-a-la-mobilisation/
Avortement : Mgr Rey et Mgr Touvet appellent à la mobilisation
Par Michel Janva le 1 mars 20240 commentaire / 775 vues
Avortement : Mgr Rey et Mgr Touvet appellent à la mobilisation
Mgr Rey et Mgr Touvet s’expriment concernant le projet d’inscription du droit à l’IVG dans la Constitution :
Les parlementaires, députés et sénateurs, vont se réunir en Congrès ce lundi 4 mars à Versailles, pour voter un projet de constitutionnalisation du droit à l’IVG (interruption volontaire de grossesse).
Nous demeurons convaincus qu’un tel projet n’est pas compatible avec le respect de la vie humaine, de sa conception à sa mort naturelle.
« La défense de la vie à naître est intimement liée à la défense de tous les droits humains. (…) Si cette conviction disparaît, il ne reste plus de fondements solides et permanents pour la défense des droits humains, qui seraient toujours sujets aux convenances contingentes des puissants du moment. » (Pape François)
Ce projet fragilise également la clause de conscience des soignants, et la liberté d’expression sur ces sujets.
Nous invitons tous les chrétiens à se mobiliser, dans un élan de prière, en invoquant, par la récitation du chapelet, l’intercession de la Sainte-Famille de Nazareth.
https://lesalonbeige.fr/avortement-mgr-rey-et-mgr-touvet-appellent-a-la-mobilisation/
brigitte57- Avec le Pape François
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Père Nathan aime ce message
Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
CULTURE DE MORT : AVORTEMENT / L'EGLISE : L'EGLISE EN FRANCE
Avortement : Mgr Aillet invite les catholiques à prier et à jeûner lundi 4 mars
Par Michel Janva le 2 mars 2024Les commentaires sont fermés / 89 vues
Avortement : Mgr Aillet invite les catholiques à prier et à jeûner lundi 4 mars
Communiqué de Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron à propos de l’inscription de l’avortement dans la Constitution française :
C’est avec consternation que nous apprenons les résultats du vote du Sénat, à la suite de l’Assemblée nationale, ouvrant la voie à l’inscription dans la Constitution française de « la liberté garantie à la femme d’avoir recours à l’IVG ». 50 sénateurs seulement se sont courageusement élevés contre l’idéologie dominante. C’est une nouvelle avancée de la « culture de mort » (Jean Paul II) ou de la « culture du déchet », tant décriée par le Pape François.
La France, qui détient déjà le triste record du nombre annuel d’avortements (233 000 en 2022), sera l’un des premiers pays à inscrire l’IVG dans la Constitution comme un droit fondamental, performance qui devrait assurément nous faire honte. La classe politique est-elle si dénuée de conscience éthique pour en arriver à un si déplorable résultat ? Les députés et les sénateurs se laisseront-ils interpeller par ces paroles fortes de saint Jean Paul II :
« Lorsqu’une majorité parlementaire ou sociale décrète la légitimité de la suppression de la vie humaine non encore née, même à certaines conditions, ne prend-elle pas une décision ‘tyrannique’ envers l’être humain le plus faible et sans défense ? La conscience universelle réagit à juste titre devant des crimes contre l’humanité dont notre siècle a fait la triste expérience. Ces crimes cesseraient-ils d’être des crimes si, au lieu d’être commis par des tyrans sans scrupules, ils étaient légitimés par l’assentiment populaire ? » (Évangile de la vie n. 70).
Car, ce qui est présenté comme une victoire du droit des femmes est en réalité une nouvelle atteinte contre la vie humaine en son commencement, autrement dit : un « crime abominable » (Concile Vatican II), le « meurtre délibéré d’une personne humaine innocente », comme l’a rappelé avec force le Pape saint Jean Paul II dans son encyclique l’Évangile de la Vie.
N’y a-t-il pas d’ailleurs une offense faite à la science, une sorte de régression scientifique, quand on invoque « le droit de la femme à disposer de son corps », comme si la génétique moderne n’avait pas montré depuis longtemps que l’embryon est dès la première cellule fécondée un organisme vivant, distinct de celui de sa mère et dont la molécule d’ADN contient toute l’information génétique qui fera de cet embryon telle ou telle personne humaine, avec toutes ses caractéristiques propres ?
À travers ce projet de loi constitutionnelle, on prétend ni plus ni moins valoriser la femme contre l’enfant à naître qui demeure le grand oublié des débats. Ce faisant, on est loin de résoudre le problème des femmes, souvent contraintes à avorter en raison de difficultés sociales et économiques, environ 70% des femmes ayant recours à l’IVG. Les nombreuses confidences reçues au confessionnal de la part de femmes ayant eu recours à l’avortement – et beaucoup de psychologues pourraient en dire autant – nous confirment dans l’idée que l’avortement est toujours un drame et une source de profonds traumatismes pour la femme.
Les parlementaires, réunis en Congrès le 4 mars, s’honoreront-ils d’un sursaut de conscience ou bien deviendront-ils responsables devant l’histoire de la plus grande transgression qui soit, celle de l’interdit de tuer ? En tout cas :
« Dieu se fera le juge exigeant de toute violation du commandement ‘tu ne tueras pas’, placé à la base de toute la convivialité de la société. Il est le ‘goël’, c’est-à-dire le défenseur de l’innocent » (Évangile de la Vie n. 53).
J’invite donc les fidèles du diocèse qui le pourront à prier et à jeûner à cette intention, le lundi 4 mars, alors que le Congrès sera appelé à ratifier ce projet de loi constitutionnelle.
https://lesalonbeige.fr/avortement-mgr-aillet-invite-les-catholiques-a-prier-et-a-jeuner-lundi-4-mars/
Avortement : Mgr Aillet invite les catholiques à prier et à jeûner lundi 4 mars
Par Michel Janva le 2 mars 2024Les commentaires sont fermés / 89 vues
Avortement : Mgr Aillet invite les catholiques à prier et à jeûner lundi 4 mars
Communiqué de Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron à propos de l’inscription de l’avortement dans la Constitution française :
C’est avec consternation que nous apprenons les résultats du vote du Sénat, à la suite de l’Assemblée nationale, ouvrant la voie à l’inscription dans la Constitution française de « la liberté garantie à la femme d’avoir recours à l’IVG ». 50 sénateurs seulement se sont courageusement élevés contre l’idéologie dominante. C’est une nouvelle avancée de la « culture de mort » (Jean Paul II) ou de la « culture du déchet », tant décriée par le Pape François.
La France, qui détient déjà le triste record du nombre annuel d’avortements (233 000 en 2022), sera l’un des premiers pays à inscrire l’IVG dans la Constitution comme un droit fondamental, performance qui devrait assurément nous faire honte. La classe politique est-elle si dénuée de conscience éthique pour en arriver à un si déplorable résultat ? Les députés et les sénateurs se laisseront-ils interpeller par ces paroles fortes de saint Jean Paul II :
« Lorsqu’une majorité parlementaire ou sociale décrète la légitimité de la suppression de la vie humaine non encore née, même à certaines conditions, ne prend-elle pas une décision ‘tyrannique’ envers l’être humain le plus faible et sans défense ? La conscience universelle réagit à juste titre devant des crimes contre l’humanité dont notre siècle a fait la triste expérience. Ces crimes cesseraient-ils d’être des crimes si, au lieu d’être commis par des tyrans sans scrupules, ils étaient légitimés par l’assentiment populaire ? » (Évangile de la vie n. 70).
Car, ce qui est présenté comme une victoire du droit des femmes est en réalité une nouvelle atteinte contre la vie humaine en son commencement, autrement dit : un « crime abominable » (Concile Vatican II), le « meurtre délibéré d’une personne humaine innocente », comme l’a rappelé avec force le Pape saint Jean Paul II dans son encyclique l’Évangile de la Vie.
N’y a-t-il pas d’ailleurs une offense faite à la science, une sorte de régression scientifique, quand on invoque « le droit de la femme à disposer de son corps », comme si la génétique moderne n’avait pas montré depuis longtemps que l’embryon est dès la première cellule fécondée un organisme vivant, distinct de celui de sa mère et dont la molécule d’ADN contient toute l’information génétique qui fera de cet embryon telle ou telle personne humaine, avec toutes ses caractéristiques propres ?
À travers ce projet de loi constitutionnelle, on prétend ni plus ni moins valoriser la femme contre l’enfant à naître qui demeure le grand oublié des débats. Ce faisant, on est loin de résoudre le problème des femmes, souvent contraintes à avorter en raison de difficultés sociales et économiques, environ 70% des femmes ayant recours à l’IVG. Les nombreuses confidences reçues au confessionnal de la part de femmes ayant eu recours à l’avortement – et beaucoup de psychologues pourraient en dire autant – nous confirment dans l’idée que l’avortement est toujours un drame et une source de profonds traumatismes pour la femme.
Les parlementaires, réunis en Congrès le 4 mars, s’honoreront-ils d’un sursaut de conscience ou bien deviendront-ils responsables devant l’histoire de la plus grande transgression qui soit, celle de l’interdit de tuer ? En tout cas :
« Dieu se fera le juge exigeant de toute violation du commandement ‘tu ne tueras pas’, placé à la base de toute la convivialité de la société. Il est le ‘goël’, c’est-à-dire le défenseur de l’innocent » (Évangile de la Vie n. 53).
J’invite donc les fidèles du diocèse qui le pourront à prier et à jeûner à cette intention, le lundi 4 mars, alors que le Congrès sera appelé à ratifier ce projet de loi constitutionnelle.
https://lesalonbeige.fr/avortement-mgr-aillet-invite-les-catholiques-a-prier-et-a-jeuner-lundi-4-mars/
brigitte57- Avec le Pape François
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territoire en héritage, Père Nathan et Felipe aiment ce message
Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
Cette fois, il semble bien que les autorités civiles de la France aient "franchi le Rubicon,"
Jusqu'où peut on abuser de la Miséricorde de Dieu qui est certes infinie, sans déclancher sa Justice qui l'est tout autant ?
Jusqu'où peut on abuser de la Miséricorde de Dieu qui est certes infinie, sans déclancher sa Justice qui l'est tout autant ?
Felipe- Veut-etre un saint/e
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brigitte57 aime ce message
Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
L'anaconda géant, le plus grand des serpents du monde, que l'on retrouve du Vénézuela au Brésil, de la Guyane à la Bolivie .... s'est glissé au Sénat sans se faire voir
les enfants, faites attention !!!
les enfants, faites attention !!!
brigitte57 aime ce message
Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
Felipe a écrit:Cette fois, il semble bien que les autorités civiles de la France aient "franchi le Rubicon,"
Jusqu'où peut on abuser de la Miséricorde de Dieu qui est certes infinie, sans déclancher sa Justice qui l'est tout autant ?
des mystiques catholiques ont bien parlé de la "chambre de l'enfer" à Paris.
Et rappelez-vous ces paroles de Marthe Robin.
La France tombera très bas plus bas que les autres nations à cause de son orgueil et des mauvais dirigeants qu'elle se sera choisie. Elle aura le nez dans la poussière mais dans sa détresse elle se souviendra de Dieu.
vinz 109- Contemplatif
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territoire en héritage aime ce message
Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
il existe pourtant une voie pour échapper au nombre effarant de sacrifices d'enfants innocents , conçus à Satan qu on le veuille ou non, et est à la portée de tous surtout de ceux qui veulent faire la Volonté de Dieu : si les méthodes non contraceptives aujourd'hui ne sont utilisées "que" par moins de 4,6% des femmes ( voir tableau ) à "autres méthodes " (dont méthodes naturelles y compris symptothermique de nos grands mères mais abandonnées -grossesses indésirées dans 20% des cas- mais depuis 60 ans l'information sur les méthodes naturelles ont évolué et sont reconnues y c des catholiques )
Après la méthode Billings, la naprotehnologie permet aujourd'hui un taux théorique équivalent à la pilule 99,5% , et surtout 3 fois moins de grossesses indésirées qu'avec la pilule (9%) laquelle , on l'a vu dans plusieurs posts du forum, est en plus abortive dans 15% des cas
Il s'agit de la méthode qui suppose une formation FertilityCare ( dite de Creighton) de plus en plus facile d’accès, y c par Skype (50 instructrices diplômées Creighton en France (plus de 20 dans le reste du monde, en croissance chaque année)
Après la méthode Billings, la naprotehnologie permet aujourd'hui un taux théorique équivalent à la pilule 99,5% , et surtout 3 fois moins de grossesses indésirées qu'avec la pilule (9%) laquelle , on l'a vu dans plusieurs posts du forum, est en plus abortive dans 15% des cas
Il s'agit de la méthode qui suppose une formation FertilityCare ( dite de Creighton) de plus en plus facile d’accès, y c par Skype (50 instructrices diplômées Creighton en France (plus de 20 dans le reste du monde, en croissance chaque année)
Trouvez la plus proche de votre domicile :
Faites le savoir à vos enfants et autour de vous c'est un minimum
azais- MEDIATEUR
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
azais a écrit:il existe pourtant une voie pour échapper au nombre effarant de sacrifices d'enfants innocents , conçus à Satan qu on le veuille ou non, et est à la portée de tous surtout de ceux qui veulent faire la Volonté de Dieu : si les méthodes non contraceptives aujourd'hui ne sont utilisées "que" par moins de 4,6% des femmes ( voir tableau ) à "autres méthodes " (dont méthodes naturelles y compris symptothermique de nos grands mères mais abandonnées -grossesses indésirées dans 20% des cas- mais depuis 60 ans l'information sur les méthodes naturelles ont évolué et sont reconnues y c des catholiques )
Après la méthode Billings, la naprotehnologie permet aujourd'hui un taux théorique équivalent à la pilule 99,5% , et surtout 3 fois moins de grossesses indésirées qu'avec la pilule (9%) laquelle , on l'a vu dans plusieurs posts du forum, est en plus abortive dans 15% des cas
Il s'agit de la méthode qui suppose une formation FertilityCare ( dite de Creighton) de plus en plus facile d’accès, y c par Skype (50 instructrices diplômées Creighton en France (plus de 20 dans le reste du monde, en croissance chaque année)Trouvez la plus proche de votre domicile :Faites le savoir à vos enfants et autour de vous c'est un minimum
Après la méthode Billings, la naprotehnologie permet aujourd'hui un taux théorique équivalent à la pilule 99,5% , et surtout 3 fois moins de grossesses indésirées qu'avec la pilule (9%) laquelle , on l'a vu dans plusieurs posts du forum,(*) est en plus abortive dans 15% des cas
(*) ici
azais- MEDIATEUR
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
vinz 109 a écrit:Felipe a écrit:Cette fois, il semble bien que les autorités civiles de la France aient "franchi le Rubicon,"
Jusqu'où peut on abuser de la Miséricorde de Dieu qui est certes infinie, sans déclancher sa Justice qui l'est tout autant ?
des mystiques catholiques ont bien parlé de la "chambre de l'enfer" à Paris.
Et rappelez-vous ces paroles de Marthe Robin.
La France tombera très bas plus bas que les autres nations à cause de son orgueil et des mauvais dirigeants qu'elle se sera choisie. Elle aura le nez dans la poussière mais dans sa détresse elle se souviendra de Dieu.
Il me semble aussi (de mémoire) que Marie-Julie Jahenny avait dit exactement la même chose, presque mot pour mot avant elle.
Les événements (du moins pour la première partie) semblent leur donner raison ! Espérons tous que la 2eme partie se révélera exacte le plus rapidement possible ! Malgré tout, il y a quelques petites lueurs d'espoir qui s'allument au beau milieu de cette obscurité spirituelle qui pourraient le laisser supposer. Tout n'est pas perdu, gardons confiance
Felipe- Veut-etre un saint/e
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
cette 2ème partie , comme vous le dites , ne se fera pas sans souffrance , sans conversion, sans demande de pardon , sans réparation et amendement ... ce que permettra le Grand Avertissement et le Miracle ... puis sans persécution accrue car il s'agit d'un combat spirituel contre la Bête
Plus personne ne pourra y échapper et en conscience s'engager dans ce chemin .... qui est celui de marcher sur les pas de Jésus qui a pris sur lui nos péchés et ceux de ses frères ... non sans souffrir par la cruauté qui nous est comme attachée mais qui sera lavée dans le sang de l'Agneau qui a tout mis sous ses pieds ...
En attendant , nous qui le savons, préparons nous , prenons les bonnes armes de la foi , de l'espérance et de la charité , par les sacrements , la prière du coeur et de notre vie lavée et sanctifiée, n'attendons pas l'Avertissement , dépouillons nous au plus vite du vêtement de ceux qui ont enfoui toute conscience de culpabilité qui seule, avouée , une fois remise sur l'autel de l'Offrande de nous même à Dieu dans celle de Jésus, nous fait devenir petits , pauvres, humbles devant Dieu et la vérité , en un mot Enfant et fils bien aimés du Père tendre et miséricordieux, patient, rendu visible en nous montrant Son vrai Visage: Jésus .Ecoutons le
ça ne se fera pas en un jour ; je lisais que les traces de nos blessures ( celle de nos péchés et de nos proches ) s'inscrivent dans notre ADN pour au moins deux ou trois générations ... et nous savons qu il faut , biologiquement , dix ans pour que toutes nos cellules soient régénérées Le traumatisme laisse des « cicatrices » dans l’ADN des descendants. Jusqu’à trois générations. (https://t.me/journaldeschouans/77601)
Plus personne ne pourra y échapper et en conscience s'engager dans ce chemin .... qui est celui de marcher sur les pas de Jésus qui a pris sur lui nos péchés et ceux de ses frères ... non sans souffrir par la cruauté qui nous est comme attachée mais qui sera lavée dans le sang de l'Agneau qui a tout mis sous ses pieds ...
En attendant , nous qui le savons, préparons nous , prenons les bonnes armes de la foi , de l'espérance et de la charité , par les sacrements , la prière du coeur et de notre vie lavée et sanctifiée, n'attendons pas l'Avertissement , dépouillons nous au plus vite du vêtement de ceux qui ont enfoui toute conscience de culpabilité qui seule, avouée , une fois remise sur l'autel de l'Offrande de nous même à Dieu dans celle de Jésus, nous fait devenir petits , pauvres, humbles devant Dieu et la vérité , en un mot Enfant et fils bien aimés du Père tendre et miséricordieux, patient, rendu visible en nous montrant Son vrai Visage: Jésus .Ecoutons le
C'est tout un chemin d'amour que je vais faire avec toi ...
ça ne se fera pas en un jour ; je lisais que les traces de nos blessures ( celle de nos péchés et de nos proches ) s'inscrivent dans notre ADN pour au moins deux ou trois générations ... et nous savons qu il faut , biologiquement , dix ans pour que toutes nos cellules soient régénérées Le traumatisme laisse des « cicatrices » dans l’ADN des descendants. Jusqu’à trois générations. (https://t.me/journaldeschouans/77601)
"C'est Ta face que je cherche O Mon Dieu , ne me cache pas ta Face "
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=1gQS4qf6Lv0. video 5 minutesazais a écrit:C'est tout un chemin d'amour que je vais faire avec toi ...ça ne se fera pas en un jour ; je lisais que les traces de nos blessures ( celle de nos péchés et de nos proches ) s'inscrivent dans notre ADN pour au moins deux ou trois générations ... et nous savons qu il faut , biologiquement , dix ans pour que toutes nos cellules soient régénérées Le traumatisme laisse des « cicatrices » dans l’ADN des descendants. Jusqu’à trois générations. (https://t.me/journaldeschouans/77601)
azais- MEDIATEUR
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
cette 2ème partie , comme vous le dites , ne se fera pas sans souffrance , sans conversion, sans demande de pardon , sans réparation et amendement ... ce que permettra le Grand Avertissement et le Miracle ... puis sans persécution accrue car il s'agit d'un combat spirituel contre la Bête
Bien sûr, j'en ai parfaitement conscience !!!
mais ce que je voulais dire par là : "gardons confiance" c'est que sans la confiance il nous sera impossible de surmonter les épreuves qui nous attendent.
Demandons donc au Seigneur cette grâce de la confiance .
Felipe- Veut-etre un saint/e
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
confiance oui mais mieux dans la foi surnaturelle agir en conséquence : heureux ceux qui écoutent la Parole (Jésus) et qui la mettent en pratique
azais a écrit:nous catholiques avons nous des excuses ? non !ne serions nous pas complices et coupables : oui !nous en confessons nous ? c'est le moment ![size]
l'ignorance entretenue , la paresse face au Péché le plus grand dans l'histoire de l'humanité , jusque dans nos familles "pratiquantes" ( "on va pas dire ça a nos enfants tout de même on se fait jeter" ... "et nous on peut faire quoi ?" ... "on a bien utilisé la contraception, c'est trop tard ") ne SONT PLUS PARDONNABLES
[/size]y a t il réparation possible ? Oui :réhabiliter nos enfants non nés dans notre famille et damner qu'ils soit revêtue de la robe de baptème : site non-nés.compeut on stopper pour notre part et témoigner que ce massacre nous n'en voulons pas ? ouicommençons par nous a commencer par nos proches[size]
il existe pourtant une voie pour échapper au nombre effarant de sacrifices d'enfants innocents , conçus à Satan qu on le veuille ou non, et est à la portée de tous surtout de ceux qui veulent faire la Volonté de Dieu : si les méthodes non contraceptives aujourd'hui ne sont utilisées "que" par moins de 4,6% des femmes ( voir tableau ) à "autres méthodes " (dont méthodes naturelles y compris symptothermique de nos grands mères mais abandonnées -grossesses indésirées dans 20% des cas- mais depuis 60 ans l'information sur les méthodes naturelles ont évolué et sont reconnues y c des catholiques )
Après la méthode Billings, la naprotehnologie permet aujourd'hui un taux théorique équivalent à la pilule 99,5% , et surtout 3 fois moins de grossesses indésirées qu'avec la pilule (9%) laquelle , on l'a vu dans plusieurs posts du forum, est en plus abortive dans 15% des cas
Il s'agit de la méthode qui suppose une formation FertilityCare ( dite de Creighton) de plus en plus facile d’accès, y c par Skype (50 instructrices diplômées Creighton en France (plus de 20 dans le reste du monde, en croissance chaque année)
[/size]Trouvez la plus proche de votre domicile :Faites le savoir à vos enfants et autour de vous c'est un minimum
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
Message de la Conférence des évêques de France
[url=https://www.catholique78.fr/2024/03/02/message-de-mgr-luc-crepy-a-loccasion-de-la-convocation-du-congres-a-versailles-le-4-mars-2024/#:~:text=Ce lundi 4 mars%2C l,%27acc%C3%A8s %C3%A0 l%27avortement.]https://www.catholique78.fr/2024/03/02/message-de-mgr-luc-crepy-a-loccasion-de-la-convocation-du-congres-a-versailles-le-4-mars-2024/#:~:text=Ce%20lundi%204%20mars%2C%20l,%27acc%C3%A8s%20%C3%A0%20l%27avortement.[/url]
Chemin de croix avec le st Sacrement de la cathédrale jusque dans 3 Eglises paroissiales de Versailles ou sera adoré 3h le st Sacrement et célébré l'eucharistie
Marche pour la Vie vers une des principales places de la Ville (Place Hoche)
[size=32]Message de Mgr Luc Crepy à l’occasion de la convocation du congrès à Versailles le 4 mars 2024[/size]
Ce lundi 4 mars, l’Assemblée Nationale et le Sénat sont convoqués en Congrès au Château de Versailles par le Président de la République en vue d’inscrire dans la Constitution la garantie de la liberté d’accès à l’avortement.
Avec tous les évêques de France, je redis ma tristesse et ma profonde opposition devant cette évolution. C’est bien au contraire le respect de toute vie, de sa conception à sa mort naturelle, qui devrait être reconnu comme faisant partie du socle commun sur lequel se fonde notre société. C’est l’aide aux femmes seules ou aux futurs parents en précarité, qui voudraient garder leur enfant malgré les difficultés, qui devrait nous rassembler. C’est le soutien aux soignants engagés
auprès des malades pour sauver des vies, travaillant bien souvent dans des conditions dégradées, qui devrait nous mobiliser. Autant de réelles urgences qui auraient mérité la convocation du parlement…
Comment ne pas repenser à ce qu’écrivait en 2013 le Pape François, qu’on sait si proche des plus fragiles : « cette défense de la vie à naître est intimement liée à la défense de tous les droits humains. Elle suppose la conviction qu’un être humain est toujours sacré (…) dans n’importe quelle situation et en toute phase de son développement. (…). Si cette conviction disparaît, il ne reste plus de fondements solides et permanents pour la défense des droits humains, qui seraient
toujours sujets aux convenances contingentes des puissants du moment » (La joie de l’Evangile, 213).
Je veux encourager les parlementaires réunis à Versailles, et tout spécialement ceux des Yvelines, à résister à toute pression médiatique ou politique, à voter en conscience et avec gravité, et à faire preuve de courage comme certains – que je remercie – l’ont déjà fait à l’Assemblée ou au Sénat. Je sais leur désir habituel de servir le bien commun. Au cœur de ce bien commun, il y a la certitude que toute vie, même la plus fragile, même à son commencement, est infiniment digne et précieuse et doit être protégée. Qu’ils en soient les témoins courageux aujourd’hui et demain !
J’invite les fidèles du Diocèse de Versailles à prier pour nos parlementaires et nos gouvernants, afin que le Seigneur éclaire les consciences et fortifie le courage de chacun, au service de la beauté et de la dignité de toute vie. Que nous prenions le temps d’encourager nos parlementaires dans ce sens ! Je me réjouis devant l’engagement de beaucoup de chrétiens au service de la vie, toujours dans la charité et le respect des personnes. Que chacun prenne le temps de discerner dans sa vie comment manifester en acte ce soin des plus fragiles, des plus petits ou des plus pauvres. C’est ainsi que nous rebâtirons peu à peu une véritable culture de vie pour les générations à venir.
[url=https://www.catholique78.fr/2024/03/02/message-de-mgr-luc-crepy-a-loccasion-de-la-convocation-du-congres-a-versailles-le-4-mars-2024/#:~:text=Ce lundi 4 mars%2C l,%27acc%C3%A8s %C3%A0 l%27avortement.]https://www.catholique78.fr/2024/03/02/message-de-mgr-luc-crepy-a-loccasion-de-la-convocation-du-congres-a-versailles-le-4-mars-2024/#:~:text=Ce%20lundi%204%20mars%2C%20l,%27acc%C3%A8s%20%C3%A0%20l%27avortement.[/url]
Chemin de croix avec le st Sacrement de la cathédrale jusque dans 3 Eglises paroissiales de Versailles ou sera adoré 3h le st Sacrement et célébré l'eucharistie
Marche pour la Vie vers une des principales places de la Ville (Place Hoche)
[size=32]Message de Mgr Luc Crepy à l’occasion de la convocation du congrès à Versailles le 4 mars 2024[/size]
Ce lundi 4 mars, l’Assemblée Nationale et le Sénat sont convoqués en Congrès au Château de Versailles par le Président de la République en vue d’inscrire dans la Constitution la garantie de la liberté d’accès à l’avortement.
Avec tous les évêques de France, je redis ma tristesse et ma profonde opposition devant cette évolution. C’est bien au contraire le respect de toute vie, de sa conception à sa mort naturelle, qui devrait être reconnu comme faisant partie du socle commun sur lequel se fonde notre société. C’est l’aide aux femmes seules ou aux futurs parents en précarité, qui voudraient garder leur enfant malgré les difficultés, qui devrait nous rassembler. C’est le soutien aux soignants engagés
auprès des malades pour sauver des vies, travaillant bien souvent dans des conditions dégradées, qui devrait nous mobiliser. Autant de réelles urgences qui auraient mérité la convocation du parlement…
Comment ne pas repenser à ce qu’écrivait en 2013 le Pape François, qu’on sait si proche des plus fragiles : « cette défense de la vie à naître est intimement liée à la défense de tous les droits humains. Elle suppose la conviction qu’un être humain est toujours sacré (…) dans n’importe quelle situation et en toute phase de son développement. (…). Si cette conviction disparaît, il ne reste plus de fondements solides et permanents pour la défense des droits humains, qui seraient
toujours sujets aux convenances contingentes des puissants du moment » (La joie de l’Evangile, 213).
Je veux encourager les parlementaires réunis à Versailles, et tout spécialement ceux des Yvelines, à résister à toute pression médiatique ou politique, à voter en conscience et avec gravité, et à faire preuve de courage comme certains – que je remercie – l’ont déjà fait à l’Assemblée ou au Sénat. Je sais leur désir habituel de servir le bien commun. Au cœur de ce bien commun, il y a la certitude que toute vie, même la plus fragile, même à son commencement, est infiniment digne et précieuse et doit être protégée. Qu’ils en soient les témoins courageux aujourd’hui et demain !
J’invite les fidèles du Diocèse de Versailles à prier pour nos parlementaires et nos gouvernants, afin que le Seigneur éclaire les consciences et fortifie le courage de chacun, au service de la beauté et de la dignité de toute vie. Que nous prenions le temps d’encourager nos parlementaires dans ce sens ! Je me réjouis devant l’engagement de beaucoup de chrétiens au service de la vie, toujours dans la charité et le respect des personnes. Que chacun prenne le temps de discerner dans sa vie comment manifester en acte ce soin des plus fragiles, des plus petits ou des plus pauvres. C’est ainsi que nous rebâtirons peu à peu une véritable culture de vie pour les générations à venir.
Mgr Luc Crepy, évêque de Versailles
azais- MEDIATEUR
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pax et bonum aime ce message
Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
François Bernon
A propos du vote du Sénat concernant l'inscription de l'avortement dans la constitution, Monseigneur Aillet publie un communiqué dont un passage semble pertinent :
"N’y a-t-il pas d’ailleurs une offense faite à la science, une sorte de régression scientifique, quand on invoque « le droit de la femme à disposer de son corps », comme si la génétique moderne n’avait pas montré depuis longtemps que l’embryon est dès la première cellule fécondée un organisme vivant, distinct de celui de sa mère et dont la molécule d’ADN contient toute l’information génétique qui fera de cet embryon telle ou telle personne humaine, avec toutes ses caractéristiques propres ?"
Pour la totalité du communiqué:
https://diocese64.org/communique-de-mgr-marc-aillet-a-propos-de-linscription-de-livg-dans-la-constitution-francaise/
A propos du vote du Sénat concernant l'inscription de l'avortement dans la constitution, Monseigneur Aillet publie un communiqué dont un passage semble pertinent :
"N’y a-t-il pas d’ailleurs une offense faite à la science, une sorte de régression scientifique, quand on invoque « le droit de la femme à disposer de son corps », comme si la génétique moderne n’avait pas montré depuis longtemps que l’embryon est dès la première cellule fécondée un organisme vivant, distinct de celui de sa mère et dont la molécule d’ADN contient toute l’information génétique qui fera de cet embryon telle ou telle personne humaine, avec toutes ses caractéristiques propres ?"
Pour la totalité du communiqué:
https://diocese64.org/communique-de-mgr-marc-aillet-a-propos-de-linscription-de-livg-dans-la-constitution-francaise/
azais- MEDIATEUR
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Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
Communiqué à propos de l'inscription de l'IVG dans la Constitution
samedi 2 mars 2024 Diocèse de Martinique Afin de s'associer à la Déclaration des évêques de France à propos de la révision constitutionnelle sur l’accès à l’avortement en France, l’archevêque de Saint-Pierre et Fort-de-France, demande au clergé et aux fidèles de Martinique de pratiquer un jeûne, de réciter les mystères douloureux du Rosaire et d'offrir des sacrifices spirituels. ce lundi 4 mars, jour du vote du Congrès.
samedi 2 mars 2024 Diocèse de Martinique Afin de s'associer à la Déclaration des évêques de France à propos de la révision constitutionnelle sur l’accès à l’avortement en France, l’archevêque de Saint-Pierre et Fort-de-France, demande au clergé et aux fidèles de Martinique de pratiquer un jeûne, de réciter les mystères douloureux du Rosaire et d'offrir des sacrifices spirituels. ce lundi 4 mars, jour du vote du Congrès.
azais- MEDIATEUR
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Felipe- Veut-etre un saint/e
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Localisation : Var
Inscription : 06/02/2024
Re: Le Sénat se prononce pour inscrire l'avortement dans la constitution
Pensées et prières pour tous ces enfants sacrifiés sur l'autel du "progrès" et de la "liberté".
Scala-Coeli- MEDIATRICE
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Localisation : Sud de la France
Inscription : 04/07/2007
territoire en héritage, Père Nathan, azais et Felipe aiment ce message
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