Droit à l’avortement dans la Constitution

La Comète sera au plus proche de la terre ce jour là : 1/2 février 

Voici un lien pour savoir où se trouve la comète chaque jour et que cette date de début février est à privilégier pour l'observation :
https://www.stelvision.com/astro/la-comete-c-2022-e3-ztf-visible-aux-jumelles-pour-debuter-2023/

La loi d’abomination se conjoint à la disparition officielle 33 jours après du munus Pétri de Benoît XVI

Ce n’est pas un petit signe

vinz 109 a écrit:https://www.lepoint.fr/societe/emmanuel-macron-annonce-vouloir-inscrire-l-ivg-dans-la-constitution-08-03-2023-2511352_23.php?utm_medium=Social&utm_source=Twitter&Echobox=1678292533-1#11

Le gouvernement du hors sol ! Faire plaisir à quelques ayatollahs en peine de reconnaissance qui applaudissent la consécration d’un droit que personne ne menace et se taisent sur les droits qu’on viole impunément en silence ! Consacrer des faux droits pour violer les vrais !

https://twitter.com/DIVIZIO1/status/1633519948654944258

En toute franchise c'était à mon avis une opération de com : donner des gages à l'aile gauche du pays au moment du conflit sur la réforme des retraites.

A mettre en parallèle avec cette demande qui pourrait être le début d'une prise de conscience (car GPA et avortement sont liés) et d'un retournement international, au moins d'une des roues de l'engrenage bioéthique. Les odieuses fanfaronnades d'un président détesté ne prévaudront pas contre le droit à la vie.

http://www.belgicatho.be/archive/2023/03/07/des-experts-de-75-pays-demandent-l-abolition-de-la-gpa-6431799.html

Information donnée par Aleteia ce matin (30 octobre 2023) :

Un projet de loi constitutionnelle pour "graver dans notre Constitution la liberté des femmes à recourir" à l’IVG va être envoyé au Conseil d’État cette semaine, a annoncé ce dimanche 29 octobre Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux.


J’ai bien peur que cela accentue le « Meshom » sur la France. D’autant plus que les prophéties de Marie-Julie Jahenny deviennent de plus en plus plausible, au vu du contexte géopolitique mondial.

Le site du collectif "Les survivants" a été fermé par la justice :
https://www.bfmtv.com/paris/campagne-anti-ivg-sur-les-velib-le-site-du-collectif-les-survivants-ferme_AN-202402130365.html
https://www.20minutes.fr/paris/4075637-20240210-site-survivants-groupe-anti-ivg-ferme-marge-procedure-judiciaire

Et le journal l'Humanité qui montre une illustration qui titre "Un enfant, c'est un choix" ; non, un enfant, c'est un être humain.

Les prophéties indiquent avec précision :

LA CHAMBRE DE L’ENFER

L’heure de Paris va sonner

Calex a écrit:Le Salon Beige

La France succède à la Yougoslavie de Tito 

Vidéo de 2 minutes






https://lesalonbeige.fr/la-france-succede-a-la-yougoslavie-de-tito/

La Constitution, il y a longtemps que ces personnages qui occupent l'Elysée se sont assis dessus. Au moins, ils ont signé ce que signifie le mot liberté dans leur belle république des lumières : glorification de la mort des enfants ! Simone Weil au moins, avait la décence de voir l'avortement comme un drame, pas comme l'éclat d'une victoire.

Isabelle-Marie a écrit:

Calex a écrit:Le Salon Beige

La France succède à la Yougoslavie de Tito 

Vidéo de 2 minutes






https://lesalonbeige.fr/la-france-succede-a-la-yougoslavie-de-tito/

La Constitution, il y a longtemps que ces personnages qui occupent l'Elysée se sont assis dessus. Au moins, ils ont signé ce que signifie le mot liberté dans leur belle république des lumières : glorification de la mort des enfants ! Simone Weil au moins, avait la décence de voir l'avortement comme un drame, pas comme l'éclat d'une victoire.

pas de fonction éditer, mais vous aurez compris qu'il s'agit de Simone Veil, la ministre, et non la philosophe qui s'écrit avec un W

Scala-Coeli a écrit:Le site du collectif "Les survivants" a été fermé par la justice :
https://www.bfmtv.com/paris/campagne-anti-ivg-sur-les-velib-le-site-du-collectif-les-survivants-ferme_AN-202402130365.html
https://www.20minutes.fr/paris/4075637-20240210-site-survivants-groupe-anti-ivg-ferme-marge-procedure-judiciaire

Et le journal l'Humanité qui montre une illustration qui titre "Un enfant, c'est un choix" ; non, un enfant, c'est un être humain.

Et ce n'est que le début bientôt ce sera la prison si pas pire!!!

Enfant du Père a écrit:La République dite française, — mais surtout universelle, maçonnique et luciférienne –, continue de détruire ce qui reste de chrétienté en France, et semble faire tout son possible pour appeler la vengeance divine sur elle.

oui, c'est en partie le constat que fait le légiste Gregor Puppinck sur le "comment en sommes-nous arrivés là" mais l'Eglise, c'est-à-dire nous tous et finalement tous les hommes de bonne volonté, a aussi sa part de compromission. Mais il n'est jamais trop tard pour bien faire : mieux aider concrètement les femmes enceintes pour les "sortir du piège de l'avortement" ; sauver la mère et l'enfant !


Extrait :

"l’Église doit regarder en face et analyser cet échec majeur, historique. Comment la France est-elle tombée si bas pour que moins de 10 % des parlementaires s’opposent à cette constitutionnalisation ? Avons-nous douté de la justesse de la cause de la défense de la vie humaine, de l’humanité du conceptus ? Avons-nous été suffisamment courageux ? Avons-nous vraiment combattu ou fait seulement semblant ? Croyons-nous vraiment en l’existence de l’âme ? Avons-nous une réelle compassion pour les femmes enceintes ? Notre manque de courage n’a-t-il pas été aussi un manque de charité ?
Notre silence a été coupable, notre lâcheté aussi, consistant souvent à nous résigner ou à employer de grands mots, des concepts abstraits, tels que « dignité » et « drame », pour se donner satisfaction au plan théorique, mais sans effet sur la réalité. Ces déclarations ne mordent pas la réalité ; ce sont des coups d’épée dans l’air, sachant que la bataille est ailleurs, sur le terrain de la réalité des vies ; un terrain qu’occupent les médias et le « planning familial », avec l’argent public.
« Prêcher ne suffit pas », ainsi que me le confiait récemment un évêque français. Il faut repartir de la réalité et de la charité. Il faut faire de l’avortement un problème central de l’action sociale de l’Église : que chaque diocèse, chaque paroisse ait à cœur d’aider les femmes enceintes et celles qui ont avorté, suivant l’exemple d’associations catholiques existantes. Les femmes enceintes en détresse doivent savoir qu’elles seront accueillies et aidées dans toutes les paroisses de France. Il faut aider ces femmes, et pour celles qui ont avorté, les aider à se réconcilier avec elles-mêmes et avec Dieu, les sortir du piège de l’avortement. Le pape François a fait grand bien en conférant à tous les prêtres le pouvoir d’accorder l’absolution du péché d’avortement. Il faut aussi mettre en garde les nouvelles générations. La charité doit nous y porter. Il y a tant de bien à faire.

Et l’enfant ?

Il faut aussi parler de l’enfant, et non seulement de la souffrance des femmes. Face à ceux qui dénient son existence et son humanité, l’Église devrait être plus explicite et dire clairement ce qu’est l’enfant conçu, s’il est connu et voulu par Dieu, s’il a une âme et un destin éternel. Dire ce qu’est le fruit de la conception est une nécessité pour l’éducation sexuelle et religieuse, mais aussi pour les femmes qui ont avorté et qui ne savent pas mettre un nom sur la cause de leurs souffrances.
L’Église a le pouvoir de briser ce mensonge qui tait jusqu’à la réalité de l’être avorté : et la science est en cela son alliée.
Sur le plan politique, ce retour à la charité et à la réalité peut prendre la forme du témoignage direct de femmes dont l’avortement n’a pas été une liberté, mais une contrainte et une source de souffrances. Le témoignage direct de ces femmes est le moyen le plus puissant de sortir de l’idéologie, de toucher les cœurs et d’y faire place à la charité.
La constitutionnalisation de l’avortement est une défaite sur le plan des idées ; mais il nous reste tout le champ de l’expérience humaine. Il nous faut regravir la côte à partir du bas, de la réalité ; une réalité douloureuse que personne ne veut voir ni soigner. Cette réalité douloureuse, vécue par tant de femmes, accumulée et enfermée dans le silence, est une bombe. Si nous parvenions à percer ce silence, à briser ce tabou, cette bombe pourrait alors exploser et modifier profondément le regard de la société sur la valeur de la vie et la fragilité de la femme qui la porte et la transmet.

https://lanef.net/2024/03/27/avortement-comment-sortir-du-piege/

Isabelle-Marie a écrit:

Enfant du Père a écrit:La République dite française, — mais surtout universelle, maçonnique et luciférienne –, continue de détruire ce qui reste de chrétienté en France, et semble faire tout son possible pour appeler la vengeance divine sur elle.

oui, c'est en partie le constat que fait le légiste Gregor Puppinck sur le "comment en sommes-nous arrivés là" mais l'Eglise, c'est-à-dire nous tous et finalement tous les hommes de bonne volonté, a aussi sa part de compromission. Mais il n'est jamais trop tard pour bien faire : mieux aider concrètement les femmes enceintes pour les "sortir du piège de l'avortement" ; sauver la mère et l'enfant !

Extrait :




Et l’enfant ?

Il faut aussi parler de l’enfant, et non seulement de la souffrance des femmes. Face à ceux qui dénient son existence et son humanité, l’Église devrait être plus explicite et dire clairement ce qu’est l’enfant conçu, s’il est connu et voulu par Dieu, s’il a une âme et un destin éternel. Dire ce qu’est le fruit de la conception est une nécessité pour l’éducation sexuelle et religieuse, mais aussi pour les femmes qui ont avorté et qui ne savent pas mettre un nom sur la cause de leurs souffrances.
L’Église a le pouvoir de briser ce mensonge qui tait jusqu’à la réalité de l’être avorté : et la science est en cela son alliée.
Sur le plan politique, ce retour à la charité et à la réalité peut prendre la forme du témoignage direct de femmes dont l’avortement n’a pas été une liberté, mais une contrainte et une source de souffrances. Le témoignage direct de ces femmes est le moyen le plus puissant de sortir de l’idéologie, de toucher les cœurs et d’y faire place à la charité.
La constitutionnalisation de l’avortement est une défaite sur le plan des idées ; mais il nous reste tout le champ de l’expérience humaine. Il nous faut regravir la côte à partir du bas, de la réalité ; une réalité douloureuse que personne ne veut voir ni soigner. Cette réalité douloureuse, vécue par tant de femmes, accumulée et enfermée dans le silence, est une bombe. Si nous parvenions à percer ce silence, à briser ce tabou, cette bombe pourrait alors exploser et modifier profondément le regard de la société sur la valeur de la vie et la fragilité de la femme qui la porte et la transmet.

https://lanef.net/2024/03/27/avortement-comment-sortir-du-piege/

https://non-nes.com/
il y a une solution  pour les mères qui ont vécu des fausses couches, avortements...,aussi sous pilules contraceptives qui sont en fait abortives.
retrouver ces enfants, et s'occuper d'eux spirituellement , la paix du cœur pour ces femmes sera retrouvée même si le regret sera toujours présent, un autre lien se construira avec Eux !!!



J’ai un enfant non-né, qu’est-ce que je peux faire pour lui ?
https://non-nes.com/

brigitte57 a écrit:

Isabelle-Marie a écrit:

Enfant du Père a écrit:La République dite française, — mais surtout universelle, maçonnique et luciférienne –, continue de détruire ce qui reste de chrétienté en France, et semble faire tout son possible pour appeler la vengeance divine sur elle.

oui, c'est en partie le constat que fait le légiste Gregor Puppinck sur le "comment en sommes-nous arrivés là" mais l'Eglise, c'est-à-dire nous tous et finalement tous les hommes de bonne volonté, a aussi sa part de compromission. Mais il n'est jamais trop tard pour bien faire : mieux aider concrètement les femmes enceintes pour les "sortir du piège de l'avortement" ; sauver la mère et l'enfant !

Extrait :




Et l’enfant ?

Il faut aussi parler de l’enfant, et non seulement de la souffrance des femmes. Face à ceux qui dénient son existence et son humanité, l’Église devrait être plus explicite et dire clairement ce qu’est l’enfant conçu, s’il est connu et voulu par Dieu, s’il a une âme et un destin éternel. Dire ce qu’est le fruit de la conception est une nécessité pour l’éducation sexuelle et religieuse, mais aussi pour les femmes qui ont avorté et qui ne savent pas mettre un nom sur la cause de leurs souffrances.
L’Église a le pouvoir de briser ce mensonge qui tait jusqu’à la réalité de l’être avorté : et la science est en cela son alliée.
Sur le plan politique, ce retour à la charité et à la réalité peut prendre la forme du témoignage direct de femmes dont l’avortement n’a pas été une liberté, mais une contrainte et une source de souffrances. Le témoignage direct de ces femmes est le moyen le plus puissant de sortir de l’idéologie, de toucher les cœurs et d’y faire place à la charité.
La constitutionnalisation de l’avortement est une défaite sur le plan des idées ; mais il nous reste tout le champ de l’expérience humaine. Il nous faut regravir la côte à partir du bas, de la réalité ; une réalité douloureuse que personne ne veut voir ni soigner. Cette réalité douloureuse, vécue par tant de femmes, accumulée et enfermée dans le silence, est une bombe. Si nous parvenions à percer ce silence, à briser ce tabou, cette bombe pourrait alors exploser et modifier profondément le regard de la société sur la valeur de la vie et la fragilité de la femme qui la porte et la transmet.

https://lanef.net/2024/03/27/avortement-comment-sortir-du-piege/

https://non-nes.com/
il y a une solution  pour les mères qui ont vécu des fausses couches, avortements...,aussi sous pilules contraceptives qui sont en fait abortives.
retrouver ces enfants, et s'occuper d'eux spirituellement , la paix du cœur pour ces femmes sera retrouvée même si le regret sera toujours présent, un autre lien se construira avec Eux !!!



J’ai un enfant non-né, qu’est-ce que je peux faire pour lui ?
https://non-nes.com/

une mère établit toujours un lien avec son enfant, et toutes ces femmes seraient heureuses de pouvoir et les savoir baptisés ; le père Nathan et quelques prêtres, le font, mais l'Eglise dans son ensemble, devrait sortir de son silence, pour ne pas laisser ces femmes, seules sous le poids d'une culpabilité trop lourde à porter, comme l'exprime Gregor Puppinck dans son article :
"Dire ce qu’est le fruit de la conception est une nécessité pour l’éducation sexuelle et religieuse, mais aussi pour les femmes qui ont avorté et qui ne savent pas mettre un nom sur la cause de leurs souffrances."
Plusieurs juristes ont demandé ce geste de l'Eglise qui est la seule à pouvoir le faire.

"L'inscription dans la Constitution de ce qui va déconstituer l'Europe" ou comment l'Europe, la France en tête, institue son propre suicide démographique ! Mais pour Fabrice Hadjadj, en jetant le discrédit sur le mariage, la famille et la vie (en particulier 18:00 etc.) la République française organise sa propre disparition et laisse à l’Église la place belle pour accueillir ceux, et ils sont nombreux, qui rêvent encore d'amour, de vrai mariage, de solidarité sociale et familiale, tout simplement de Dieu !