Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
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Le Dr Anne-Marie Yim a autorisé Médias Presse Info à publier l’intégralité du texte de l’intervention qu’elle avait faite au Parlement du Grand-Duché de Luxembourg le 12 janvier 2022 et qui conserve un intérêt tout particulier à l’heure où les institutions européennes veulent organiser à la rentrée la « vaccination » anti-Covid à grande échelle des enfants dès l’âge de six mois. Ce document mérite la plus grande attention et la diffusion la plus large.
STOP aux VACCINS DE TYPE THÉRAPIE GÉNIQUE (COVID-19)
à NOS ENFANTSPétition 1916
Initiateur de la pétition : David GeorgiuLuxembourg le 12 janvier 2022Intervenants :
Pr Christian Perronne, Dr Anne-Marie Yim, Dr Hervé Seligmann,
Dr Benoît Ochs, David Georgiu.
Texte rédigé par Anne-Marie YIM.
Mesdames et Messieurs les Députés,
À l’heure où nous débattons en ce jour de la crise sanitaire liée à la pandémie mondiale de covid, l’Agence Européenne de Médicament (EMA) a autorisé depuis le 25 novembre 2021 l’usage des vaccins expérimentaux contre le Covid-19 chez les enfants âgés de 5-11 ans, emboîtant le pas à la Food And Drug Administration (FDA) qui a donné son aval le 29 octobre 2021, puisque rappelons le, le 23 août 2021, la même agence de santé a approuvé la phase 3 de l’essai clinique aux USA sur la base des résultats de l’étude clinique menée par Pfizer[1].
Au Luxembourg, le Ministère d’état, le Ministère de la santé ainsi que le Haut- commissariat à la protection Nationale (HCPN) a autorisé la vaccination des enfants de 5-11 ans avec le vaccin Cominarty de Pfizer/BioNTech dans 3 centres de vaccination : Victor-Hugo, Esch-Belval et Ettelbrück, s’ils sont accompagnés par un représentant légal, l’enfant devant disposer d’un numéro de sécurité sociale. La vaccination pouvant-être réalisée par les pédiatres ou médecins participant au programme de vaccination.
Les enfants de 5-11 ans recevront 10 ug (2 doses séparées de 28 jours), alors que les enfants de 12-18 ans reçoivent ; quant à eux une posologie de 30ug. Cette vaccination a été ouverte sur les études de Pfizer approuvée par la FDA aux USA. La Commission nationale d’éthique[2] (CNE) au Luxembourg a rendu un avis positif le 8 décembre 2021 sur la vaccination des enfants de 5-11 ans et la mise en place d’un pass sanitaire, comparable à celui des adultes, qui s’il est transformé en pass vaccinal est un point de non retour vers l’obligation vaccinale généralisée. Or, le Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE)[3] en France dans son avis du 16 décembre 2021 recommande que la vaccination des enfants soit une proposition et non une obligation, elle ne doit pas être incluse dans un pass sanitaire et doit s’accompagner d’ un choix éclairé des parents, sans contrainte avec un suivi pharmaco épidémiologique à long terme.
Il est à noter que : « Le gouvernement communiquera les modalités lorsque les résultats de l’étude seront disponibles ».
Les études cliniques analysées par la FDA montre une augmentation de 42 % de la séroprévalence de mai à juin 2021 chez les 5-11 ans.
Dans son rapport d’évaluation non clinique au gouvernement Australien, Département de la santé/Administration des biens thérapeutiques, Pfizer écrit que le vaccin BNT162b2 à ARNm connu sous la marque COMINARTY n’est pas indiqué pour une utilisation pédiatrique et qu’aucune étude chez des jeunes animaux n’a été réalisée.
En date du 25 novembre 2021,selon le Ministère de la santé : le taux de vaccination des 18-19 ans est de 71,6 % et celui des 12-17 ans de 68,7%.
Quel bilan pouvons nous tirer de cette politique sanitaire liée à la déclaration de pandémie par l’OMS le 11 mars 2020 ?
Le rapport de pharmacovigilance[4] établi par la division de la pharmacie et des médicaments de la direction de la santé en collaboration avec le centre régional de pharmacovigilance de Nancy sur le suivi des effets indésirables des vaccins en date du 01.11.2021 montre que 841 810 doses de vaccins ont été administrées correspondant à 442 517 personnes ayant reçu au moins une dose se répartissant comme suit : 615 933 injections avec Cominarty (Pfizer/BioNTech), 72 901 injections avec Spikevax (Moderna), 110 877 injections avec Vaxzeria (Astrazenzca) et 42 099 injections avec Janssen (Johnson).
1940 rapports d’effets indésirables ont été rapportés dans la base de données Eudravigileance[5] pour le Luxembourg dont 1510 cas non graves (77,84%) , 286 cas graves (22,16%) sur lesquels on compte 115 hospitalisations 18 cas où le pronostic vital est engagé et 11 décès au vaccin.
Le rapport a conclu que cela représentait 0,23 % d’effets indésirables et donc que la majorité des personnes vaccinées ne rapporte aucun effet indésirable. Les effets secondaires sont attendus et non graves tels des syndrômes pseudo-grippaux, des troubles digestifs transitoires, des malaises et des réactions au site d’injection. Parmi les tableaux cliniques marquants, le rapport cite une polysérite lié à une fuite capillaire (chez un immunodéprimé), une embolie pulmonaire bilatérale, une mort in utéro ainsi qu’ une malformation conduisant à une interruption médicale de grossesse (IMG) chez 2 femmes enceintes vaccinées.
2041 femmes enceintes ont reçu au moins une dose au cours de leur grossesse, or les données cliniques[6] sont insuffisantes pour l’évaluation des risques associés au vaccin.
Le réseau de surveillance sentinelle dont fait partie le LNS[7] (Laboratoire National de Santé) dans son rapport hebdomadaire (semaine 50:13/12-19/12 2021) ont séquencé 1188 échantillons (43,6-%) montre que le variant delta reste dominant au Luxembourg ainsi que l’émergence du variant omicron (50 cas) ; Le virus de la grippe pour la saison 2021-2022 étant apparu durant la semaine 40.
Le Luxembourg a introduit le « 3G » obligatoire en entreprise et dans le secteur public : mesure qui entrera en vigueur dès le 15 janvier 2022.
En France, la Haute Autorité se Santé (HAS) propose le 30 novembre 2021 de vacciner tous les enfants fragiles qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder et et pour ceux vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou vulnérables non protégées par la vaccination.
Faut-il le rappeler les enfants ne sont en général pas affectés par la maladie de la COVID-19 dont ils se remettent parfaitement, et au Luxembourg aucun enfant n’est décédé et aucun n’a du être admis en soins intensifs, bien qu’il a été observé chez une faible partie d’entre-eux : un syndrome inflammatoire multi systémique pédiatrique (PIMS ou MISC). Par ailleurs, tout épidémiologiste qui se respecte sait qu’il ne faut pas vacciner pendant une épidémie.
En ouvrant la vaccination des enfants et en créant une discrimination entre vaccinés et non vaccinés le gouvernement viole des droits humains inaliénables, créant une fracture dans la société en dressant les citoyens les uns contre les autres.
Quelle est la réalité scientifique et juridique de cette crise sanitaire et politique ?
Une étude statistique liée à la mortalité au Grand-Duché de Luxembourg depuis 1950 , menée par Amar Goudjil démographe démontre que si la population a plus que doublé en 70 ans passant de 294 550 à 628 928 en date du 1er janvier 2021, à partir des données publiées par le site du STATEC[8] il n’y a pas eu, en revanche de surmortalité en 2020.
Ainsi le taux brut de mortalité, qui représente en pourcentage le nombre de décès survenu au cours de l’année au sein de la population totale, est en constante diminution depuis 1950. On peut noter qu’à partir de 2010, cette valeur (0,74) se stabilise sur l’étendue d’une fourchette de 0,7-0,74 . Pour l’année 2019, elle est de 0,69 et pour l’année 2021 elle est de 0,73.
Par ailleurs , si nous avions été en situation de pandémie ou d’épidémie grave, nous aurions observé un taux de croissance des décès de l’ordre de 15 à 20 %.
François Peltier, Chef d’unité population et logement au STATEC parle d’une « mortalité modérée » pour l’année 2020 au Luxembourg.
Dr Laurent Toubiana Directeur de l’IRSAN[9] (Institut de Recherche pour la valorisation des données) montre en date du 31 décembre 2021 que l’incidence hebdomadaire, c’est-à-dire en épidémiologie : le nombre de nouveaux cas d’une maladie observée sur une période donnée et ramenée/comparée à la taille d’une population cible permettant d’évaluer la fréquence et la vitesse d’apparition de nouveaux cas atteints d’une pathologie, est de 646,22 cas positifs et 0,8 décès pour 100 000 habitants et de 7,03 en avril 2020 lors de la première vague. Pour comparaison cette incidence hebdomadaire est de 600 malades pour 100 000 habitants en France. Cette incidence n’est pas significative en termes épidémiologiques, car il ne s’agit pas de malades mais de cas positifs.
Ceci signifie que la dangerosité de l’épidémie Covid aurait pu être évitée en mettant en place un protocole prophylactique et thérapeutique adéquat, et notamment de traitement ambulatoire précoce qui évite les hospitalisations due à des formes sévères de la maladie. en lieu d’une stratégie vaccinale obligatoire du « tous vaccinés, tous guéris ou tous décédés ». Assurément, on ne peut que déplorer que les agences de santé, les gouvernement et les médias d’un commun accord dans une symphonie bien orchestrée ait déployée sa stratégie thérapeutique vaccinale expérimentale sur une population saine, basée sur une thérapie génique à ARNm dont l’efficacité et la sécurité ont été évalué de façon biaisée comme démontrée dans le scandale sanitaire dit du « Pfizergate[10] » parue dans le British Medical Journal (BMJ), le 2 novembre 2021.
Véritablement, cette étude remet en cause l’intégrité des données des essais cliniques réalisées par Ventavia, un sous-traitant des laboratoires Pfizer qui aurait falsifié des données et a tardé à assurer les effets secondaires, sans respect du protocole en double aveugle puisque l’identité des vaccinés ayant reçu le principe et le placebo était connu du personnel soignant invalidant de facto les résultats de l’essai.
Or des aveux des autorités de santé elle-même : la vaccination n’empêche ni l’infection, ni la transmission, et au mieux protégerait seulement des formes graves, alors que les AMMs conditionnelles et les EAUs déposées par Pfizer auprès de la FDA revendiquent une protection des vaccins contre seulement les formes légères ou modérées.
Soulignons le fait essentiel que le vaccin n’empêchant pas l’infection constitue un critère d’échec qui aurait automatiquement du invalider la phase clinique 1. Puisqu’il est admis qu’aucun vaccin génique anti-coronavirus n’avait jamais été approuvé dans les études pré-cliniques animales ni humaines au préalable. En effet, COMINARTY n’a pas été évalué pour son potentiel carcinogénique, mutagénique, génotoxique et son impact sur la fertilité masculine.
En regard, ces derniers sont responsables d’un emballement du système immunitaire par sécrétion d’anticorps facilitants (ADE : Antibody Dependant Enhancement) incapables de neutraliser les virus par phagocytose des macrophages et au contraire facilitant leur entrée dans les cellules et par conséquent exacerbant les infections virales pulmonaires (ERD) favorisant par ailleurs également les maladies auto-immunes[11]. Par conséquent, il est impossible d’atteindre une immunité collective[12] par une politique basée sur la vaccination à 100% de la population, à cause des phénomènes de mutation et d’échappée immunitaire, seule l’immunité naturelle cellulaire étant capable d’éradiquer l’épidémie de coronavirus, comme l’a rappelé Dr Geert Vand De Boosche dans sa lettre ouverte[13] à l’OMS en date du 6 mars 2021.
Des pathologistes allemands [14] ont réalisé l’autopsie d’un patient âgé de 86 ans, décédé d’insuffisance respiratoire et rénale suite à sa première dose, 4 semaines avant sa mort et ont montré une bio-distribution de la protéine spike/spicule (S) synthétisée par les ribosomes dans la majorité des organes analysés du corps (7/9), y compris les neurones et les cellules germinales (spermatozoïdes et ovocytes), soulevant des questions de stérilité d’une génération à l’autre. Ceci prouve que la protéine spike ne reste pas localisée au lieu d’injection, c’est-à-dire dans le muscle deltoïde mais est capable de passer dans le sang.
Ce d’autant plus que dans les formulations Pfizer pour les enfants de 5-11 ans, un ingrédient de la formulation le PBS a été remplacé par du TRIS, sans qu’aucune étude n’ait été réalisée alors que les modifications au niveau des charges impacte directement la taille des nanoparticules lipidiques (NPL) favorisant leur passage dans le sang. Rappelons que la technologie de l’ARNm inventée par Dr Robert Malone fait produire à l’organisme une information génétique exogène (endéans, la protéine spike) et est considérée comme un médicament de thérapie innovante ou (ATMP/Advanced Therapy Medicinal Product). Le règlement européen 2020/1043 vient modifier la réglementation OGM et permet à tout essai clinique de médicaments contenant des OGMs ou consistant en de tels organismes destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19 d’échapper aux évaluations sur la santé et l’environnement[15], remettant clairement en cause le principe de précaution.
L’épitope antigénique ciblé par la thérapie génique spike posent donc des problèmes évidents à la fois sur le plan immunologique et inflammatoire, mais également sur le plan génétique, et leur évaluation accélérée (9 mois au lieu de 5 à 15 ans[16]) avec des phases simultanées et non séquentielles 1,2,3 ne permet pas un suivi des effets secondaires à moyen et long termes suffisants d’où un manque de recul pouvant remettre en question le la balance bénéfice/risque. Les effets à court terme ayant été évalué simplement sur 2 mois alors que la jurisprudence considère que la durée à court terme d’un vaccin a été fixée à 6 mois.
Les travaux du Docteur Hervé Seligmann montre qu’il existe une corrélation entre le pourcentage des individus vaccinés dans les pays européens et la mortalité totale dans 6 classes d’âges les semaines suivant la vaccination de janvier 2021 à mai 2021. La mortalité pour les moins de 15 ans non vaccinés augmente avec le temps qui s’écoule après la vaccination.
Christine Cotton[17], biostatisticienne indépendante a réalisé une étude statistique descriptive de la base de données VAERS[18] aux USA et montre des effets secondaires et des décès liés à la vaccination. 1 000 227 effets indésirables, et 21 002 décès suite aux vaccinations ont été rapportées en date du 24 décembre 2021, un fait sans précédent historique puisque par comparaison, en 31 ans d’existence du VAERS seulement 9 248 décès dus aux vaccins ont été répertoriés[19], alors que seulement 1%[20] des effets indésirables sont rapportés[21]. Parmi les nombreux effets secondaires indésirables, l’on peut citer 8 673 anaphylaxies, 12 532 paralysies de Bell, 3 435 avortements, 10 640 attaques cardiaques, 22 117 myocardites/péricardites, 35 650 handicaps permanents, 5011 thrombocytopénies ; 23 892 cas engageant un prognostique vital, 36 492 réactions d’allergie sévères ainsi que 11 462 zonas. Elle a par ailleurs mis en évidence 11 507 réinfections covid en population réelle, ainsi qu’un délai moyen de 21 jours pour la survenue des effets indésirables graves.
Dr Benoît Ochs a réalisé un suivi des patients vaccinés par analyse du taux de D-dimères et de la CRP (C réactive protéine), qui sont des biomarqueurs d’un état thrombotique inflammatoire pouvant être 10x ou 20x plus élevé que la normale et entraînant des micro et macro thromboses au niveau du système artériel pouvant aboutir à des embolies pulmonaires, des arrêts cardiaques, des AVC ou encore des phlébites qui sont plutôt alarmants.
L’étude qui a été menée le 10 mai 2021 sur une cohorte de 2 260 âgés de 12-15 ans en phase 2/3 en double aveugle avec un contrôle placebo a montré la survenue de myocardites et de péricardites chez les adolescents, notamment après la deuxième dose : 60 cas de myocardites recensés dans l’essai clinique et 573 myocardites sur 7 millions de la population vaccinée avec un indice de confiance de 95%.
Sur le plan juridique, la vaccination obligatoire contrevient aux textes de loi ; tels :
1-le serment d’Hippocrate
2-le Code déontologique médical Art 36, Art R 41, 7, 36 du code la santé publique
3-Le code de Nuremberg de 1947
4-La déclaration de Genève de 1948
5-La déclaration d’Helsinki de 1996, Art.25
6-La Convention d’Oviedo de 1997, Art 5
7-La loi Kouchner du 4 mars 2002 ; Art 1111-4
8- Arrêt Salveti de 2002
9-Code Civil Français Art.16.1
10-la Résolution 2361 du Conseil de l’Europe et l’Art 58 de la Constitution Française.
Enfin pour conclure, quant à l’incitation médicale en milieu scolaire, les syndicats enseignants, recherche et libertés ainsi que l’association de défense des enfants : Enfance et Libertés rappellent à juste titre que :
« Tout acte médical est effectué en concertation entre le patient et son médecin, seul habilité à prendre les décisions les plus adaptées à sa santé. L’école , administration fondée sur les principes d’égalité, de laïcité et de neutralité et qui n’est pas un lieu de soin, n’a pas à intervenir dans ce dialogue privé.
Il en va donc ainsi pour la vaccination, qui reste comme tout acte médical, une décision intime, protégée par le secret professionnel et prise avec le médecin traitant en fonction de la santé du patient.
Ainsi, aucune parole d’incitation à un geste médical n’a sa place dans l’enceinte d’une école. L’école est et doit demeurer un lieu sûr abrité de toute influence partisane.
En conclusion, le rapport bénéfice/risque est clairement défavorable aux jeunes, c’est pourquoi plusieurs pays scandinaves[22] ainsi que le Japon ont renoncé à injecter les jeunes avec les inoculations à ARNm dont les effets à long termes demeurent inconnus.
La CCNE (Comité Consultatif National d’Ethique) en France saisie par le gouvernement avait conclu : la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable ».
[1] https://clinicaltrial.gov/ct2/show/NCT04368728
[2] Réflexion sur la situation vaccinale des mineurs et une possible obligation vaccinale des majeurs dans le contexte de la pandémie de Covid-19 dans le contexte de la pandémie de Covid-19, prise de position de l
[3] Proposer la vaccination aux enfants de 5-11 ans est-il éthiquement acceptable ? Réponse du CCNE à la saisine du ministère des solidarités, Comité Consultatif National d’Ethique pour les sciences de la vie et de la santé, Parise 16 décembre 2021.
[4] Rapport de pharmacovigilance : suivi des effets indésirables des vaccins -données au 01.11.2021 Ministère de la Santé, le gouvernement du Grand-Duché du Luxembourg
[5] https://www.ema.europa.eu
[6] www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/cominarty-epar-public-assessment-report_en.pdf
[7] Www.lns.lu
[8] www.statistiques.public.lu
[9] www.covid.irsan.eu
[10] Covid-19 : Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial,P.D. Thacker, BMJ, 2 November 2021.
[11] Rapport expertise sur les vaccins Covid-19, A. Henrion-Caude, FDDL -Fondation pour la défense des Droits et Libertés du peuple), 11 novembre 2021.
[12] The Great Barrington Declaration, signed on October 4th by Dr M . Kulldorf, Dr S. Gupta, et Dr J. Bhattacharya.
[13] G. Vanden Bossche, To all authorities, scientists and experts around the world, to whom this concerns ; the entire world, 6 mars 2021-www.geertvandenbossche.org
[14] T. Hansen et al, First case of post mortem study in a patient vaccinated against SARS-COv-2, Intl. J. of Infectious Diseases, volume 107, June 2021, 172-175.
[15] C. Vélot, Note d’expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM.
[16] Long term follow-up after administration of human gene therapy products, guidance for Industry, Departement of Health and Human services, FDA-CEnter for Biologics evaluation and research, January 2020.
[17] C. Cotton, A.M. Yim , D. Evans, CDC-VAERS statistical analysis using SAS softwares shows severe adverse reactions or deaths after covid-19 vaccination in real population, preprint.
[18] www.vaers.hhs.gov
[19] https://openvaers.com
[20] R. Lazarus, M. Klompas, Automated vaccine adverse event detection and reporting from electronical medical records, CDC Public Health Informatics Network (PHIN) Conference, August 27, 2008.
[21] V. Zelenko, The death report, 10 September 2021,
[22] Une nouvelle religion vaccinale est née en Occident, Tribune du 12 décembre 2021 signée par Dr Laurent Toubiana.
(Source)
>>> GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 2876 à 2884
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
HAUSSE de la MORTALITÉ INFANTILE
en AMÉRIQUE du NORD depuis DÉCEMBRE 2021
Multiplication par 4
des ventes de cercueils de moins de 1m50
selon un témoin !
Il faut absolument approfondir la question car nous savons tous que ce ne sont pas les autorités sanitaires qui vont réaliser le travail étant donné que ce sont elles-mêmes qui ont poussé à la vaccination des moins de 12 ans contre le Covid-19 alors que cette tranche d’âge n’est pas concernée par la maladie ! Si cette information se confirme, c’est un véritable carnage, elles seront tenues pour responsables et elles ne pourront que finir en prison ! Par contre, elles ne pourront jamais cacher l’explosion des ventes de cercueils, sachant qu’elles n’ont aucun contrôle sur ces entreprises. À suivre…
(Source)
>>> GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 2867 à 2875
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- « Le plus grand crime contre l’humanité » : Résumé des 11 SECRETS DÉVOILÉS lors des essais de Pfizer – par Naomi Wolf
2- 500 Australiens se joignent à la première action collective au monde pour des blessures causées par le vaccin COVID
3- Qui croit en la science ? Qui est complotiste ? Le bilan de deux ans de « vaccination covid » – par Patrice Gibertie
4- États-Unis : Les universités mettent discrètement fin à leurs mandats sans s’attaquer à leurs effets néfastes
5- Infertilité : un programme diabolique
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4721 à 4729
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Selon un MÉDECIN,
les MÉDIAS et les RESPONSABLES de la SANTÉ
devraient « DIRE la VÉRITÉ »
sur les VACCINS contre la COVID pour ENFANTS
Dans une vidéo publiée cette semaine, Vinay Prasad, M.D., MPH, a dénoncé ce qu'il a qualifié de « mensonges et exagérations » concernant les vaccins contre la COVID-19 et les enfants, diffusés par les médias et les responsables de la santé publique.
Vinay Prasad, M.D., MPH, a abordé cette semaine les informations trompeuses sur les enfants et les vaccins contre la COVID-19 provenant de quatre sources : Le New York Times, l’ancien conseiller de Biden pour la réponse à la COVID-19, Andy Slavitt, le chef de la réponse à la COVID-19, le Dr Ashish Jha, et l’école de santé publique de l’université Brown.
M. Prasad a fait ces commentaires dans sa réponse enregistrée sur vidéo à la couverture médiatique de la décision du 15 juin de recommander les vaccins contre la COVID-19 de Pfizer et Moderna pour les nourrissons et les jeunes enfants.
M. Prasad avait un message pour les « experts » qui espèrent convaincre les parents de faire vacciner leurs jeunes enfants contre la COVID-19 : « Vous ne persuadez personne. »
« Vous en faites un peu trop, vous n’êtes pas honnête et, ce faisant, vous vous discréditez », a déclaré M. Prasad.
M. Prasad, hématologue-oncologue et professeur associé au département d’épidémiologie et de biostatistique de l’Université de Californie à San Francisco, a critiqué les vaccins contre la COVID-19 – et en particulier leur utilisation chez les enfants – depuis leur introduction.
Il a cité un article du New York Times qui déclare :« Certains parents peuvent se désintéresser de [in the vaccines] parce que leurs enfants faisaient partie des 75 % que l’on pense avoir déjà été infectés.
« Mais la vaccination offre une protection plus puissante et plus constante, même si un enfant a déjà été infecté, ont noté samedi les scientifiques de [Centers for Disease Control and Prevention]. »
« La vérité est … qu’ils ne savent pas que c’est vrai », a déclaré M. Prasad. « Si un enfant a déjà eu la COVID, [and] s’est rétabli de la COVID, nous ne savons pas s’il a une réduction supplémentaire du MIS-C [syndrome inflammatoire multisystème chez l’enfant], de la mort, de l’hospitalisation, etc. à cause d’une réinfection potentielle. »
« C’est un mensonge », a-t-il ajouté. « Le mieux qu’ils puissent dire est que, bien que certaines personnes spéculent sur ce point, nous n’avons actuellement aucune preuve randomisée à grande échelle pour soutenir cette affirmation. Nous n’avons même pas de données d’observation pour soutenir cette affirmation dans ce groupe d’âge. »
M. Prasad a ensuite répondu à un tweet de M. Slavitt :
« Je pense qu’Eric Weinstein a raison », a déclaré M. Prasad. « Personne n’aime le sentiment que quelqu’un vous vend quelque chose. Tout le monde peut voir que les preuves sont rares. »
« Les gens ne font que du prosélytisme et de l’exagération à la télévision et il n’y a pas vraiment de dialogue sur ce que l’on sait ou pas. »
Si les experts de la santé avaient simplement présenté au public les informations connues et inconnues sur les vaccins, a-t-il ajouté, s’ils avaient admis que, selon toute vraisemblance, les risques et les avantages du vaccin sont « probablement assez faibles », nous aurions davantage confiance dans leurs conseils.
« Dites simplement la vérité », a insisté M. Prasad.
Au contraire, les autorités sanitaires « exagèrent, mentent et déforment la vérité ».
« Eh bien, en fait, vous n’en savez rien, Andy », a déclaré M. Prasad, en réponse à l’affirmation de M. Slavitt selon laquelle le vaccin protège contre les maladies graves et la « longue COVID ».
En fait, « les gens devraient le signaler à Twitter pour désinformation », a-t-il déclaré.
Les essais de vaccins chez les jeunes enfants étaient trop limités pour permettre de faire des commentaires sur les maladies graves, a-t-il ajouté.
« La maladie grave est [so] peu fréquente que personne ne peut dire quoi que ce soit à ce sujet, et vous ne connaissez certainement pas la longue COVID – ce n’était même pas un critère mesuré dans ces études. »
« Et … quelle est la définition de longue COVID chez les enfants ? » a-t-il demandé. « Nous devons d’abord régler ça. »
« C’est un mensonge, c’est une exagération, c’est essayer de faire faire quelque chose à quelqu’un mais ce n’est pas être parfaitement honnête. »
M. Prasad a également examiné une déclaration de Jha faite lundi sur « Good Morning America » : « Les preuves sont vraiment claires que les vaccinations préviennent les hospitalisations et les maladies graves, y compris chez les enfants. »
Il répondait à l’animateur George Stephanopoulos qui demandait si un enfant de moins de 5 ans ayant déjà eu la COVID-19 et récupéré devait recevoir un vaccin contre la COVID-19.
Cette réponse est factuellement incorrecte et constitue une exagération pour atteindre un objectif politique, a déclaré M. Prasad. « La vraie réponse est que nous ne savons pas. »
« Nous ne disposons d’aucune preuve permettant d’étayer cette affirmation », a-t-il déclaré. « Nous n’avons pas la preuve que la vaccination améliore les résultats en matière de santé pour [children], et nous n’avons certainement pas la preuve qu’elle prévient l’hospitalisation de maladies graves chez ces enfants. »
M. Prasad s’est ensuite attaqué à une « fiche de conseils » de l’école de santé publique de l’université Brown intitulée « Talking About Covid-19 Vaccines for Children Six Months to Four Years Old» [Discuter des vaccins contre la COVID-19 pour les enfants agés de six mois à quatre ans].
La fiche de conseils a été produite « dans le but de fournir des connaissances opportunes et des points de discussion fondés sur des preuves aux professionnels de la santé publique, aux travailleurs de la santé et autres » sur les vaccins contre la COVID-19 pour les enfants dès l’âge de 6 mois.
M. Prasad a qualifié la fiche de conseils « d’opinions de quelques personnes qui s’autoproclament experts et qui se font passer pour des preuves ».
Les auteurs de la fiche affirment : « Nous savons, grâce aux vaccinations chez les 5-17 ans, que les hospitalisations, les maladies graves et les décès sont tous plus fréquents chez les enfants et les adolescents qui ne sont pas vaccinés que chez ceux qui sont vaccinés et ont reçu un rappel. »
M. Prasad n’était pas d’accord. En raison de la mauvaise conception des études, dit-il, « nous ne savons vraiment pas, en particulier chez les enfants de 5 à 11 ans, si [vaccination] réduit réellement les hospitalisations ou le MIS-C. »
« Je n’ai pas encore vu de bonne étude pour me convaincre, en particulier chez les enfants qui ont eu la COVID », a-t-il déclaré.
La fiche de conseils indique également que dans les études menées par Pfizer et Moderna, les vaccins « ont réduit le taux DE TOUTE infection par le virus de 37 à 80 %. Bien que le nombre total de cas ait été faible, les deux vaccins devraient également réduire les hospitalisations et les séjours en soins intensifs ».
M. Prasad a répondu : « Vous pouvez vous attendre à ce que ce soit le cas, mais certains d’entre nous veulent des données, et non des attentes de personnes qui ont un certain point de vue. »
« L’affirmation selon laquelle ces vaccins se sont révélés efficaces à 37 % ou 80 % est un mensonge. C’est faux », a-t-il ajouté.
M. Prasad a résumé le traitement réservé aux personnes préoccupées par le vaccin par un tweet d’Eric Weinstein :
« Je pense qu’Eric Weinstein a raison », a déclaré M. Prasad. « Personne n’aime le sentiment que quelqu’un vous vend quelque chose. Tout le monde peut voir que les preuves sont rares. »
« Les gens ne font que du prosélytisme et de l’exagération à la télévision et il n’y a pas vraiment de dialogue sur ce que l’on sait ou pas. »
Si les experts de la santé avaient simplement présenté au public les informations connues et inconnues sur les vaccins, a-t-il ajouté, s’ils avaient admis que, selon toute vraisemblance, les risques et les avantages du vaccin sont « probablement assez faibles », nous aurions davantage confiance dans leurs conseils.
« Dites simplement la vérité », a insisté M. Prasad.
Au contraire, les autorités sanitaires « exagèrent, mentent et déforment la vérité ».
(Source)
>>> GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 2858 à 2866
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
1- En 2022, la France a été touchée par une surmortalité, selon l’INSEE
2- Surmortalité de 53.000 personnes en 2022 : comme prévu le vaccin tue plus que leur “virus” télé
3- Le gouvernement cherche des communicants imaginatifs pour expliquer la surmortalité catastrophique de 2022 et innocenter les injections covid – par Patrice Gibertie
4- Surmortalité vaccinale en Allemagne pour 2021 et 2022 ?
5- Les médias se taisent alors que les données britanniques révèlent une forte augmentation de la surmortalité
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4730 à 4738
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Mickey-Catho a écrit:1- En 2022, la France a été touchée par une surmortalité, selon l’INSEE
2- Surmortalité de 53.000 personnes en 2022 : comme prévu le vaccin tue plus que leur “virus” télé
3- Le gouvernement cherche des communicants imaginatifs pour expliquer la surmortalité catastrophique de 2022 et innocenter les injections covid – par Patrice Gibertie
Il y a aussi le détournement de l'attention :
https://twitter.com/MichelJeanDomi1/status/1666858464142929954
aussi :
https://twitter.com/JuvingBrunet/status/1666764857809543170
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Mickey-Catho a écrit: Surmortalité de 53 800 énorme (chiffres de l'INSEE pour 2022)...Forçons à l'éclatement de la vérité. Les responsables doivent payer.
Si la justice ne le fait pas, le peuple va demander des comptes, et cela est commencé. En Italie (Palerme, juin dernier), le ministre de la santé Speranza (aussi "bien" nommé que notre Veran national) avait été assailli par les manifestants, et l'on entend nettement le cri : "assassino" !
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
RÉSUMÉ du RAPPORT SCIENTIFIQUE EXPLOSIF
concernant les ESSAIS PFIZER
par la BIOSTATISTICIENNE Christine COTTONÉvaluation des pratiques méthodologiques mises en œuvre dans les essais Pfizer dans le développement de son vaccin ARN-messager contre la COVID-19 en regard des Bonnes Pratiques Cliniques
>>> Son RAPPORT de plus de 100 pages (11 janvier 2022)
>>> Vidéo explicative : Le rapport scientifique explosif concernant les essais Pfizer, itw de C. Cotton, biostatisticienne
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Des ÉLÉMENTS ESSENTIELS
et PARTICULIÈREMENT ALARMANTS• D’importants biais dans les essais cliniques de phase 3
Les manquements et les biais dans l'essai clinique de phase 3 du vaccin Pfizer ont rendu les conclusions de l’essai clinique peu fiables du point de vue des Bonnes Pratiques Cliniques.
• Une opacité de l’information
Les chercheurs sont confrontés à l'opacité des données publiques sur les vaccins qui ne sont ni ouvertes au public ni aux chercheurs, un fait inédit dans l’histoire de la pharmacovigilance française.
• Une sous-évaluation notable des effets indésirables
Seuls entre 1% à 10% des effets indésirables sont usuellement déclarés dans les bases de données de pharmacovigilance.
• Une sous-évaluation notable des effets indésirables
Seuls entre 1% à 10% des effets indésirables sont usuellement déclarés dans les bases de données de pharmacovigilance.• Des chiffres de mortalité alarmants(Source 23 mai 2022)
Les bases de données de pharmacovigilance européennes (EMA) font état, à ce jour, d’environ 30 000 décès en Europe pouvant être liés au vaccin, le nombre de décès est très probablement beaucoup plus élevé, eu égard à la sous-déclaration usuelle en ce domaine.
• Des remontées inquiétantes
A ce jour, les bases de données de pharmacovigilance montrent : 1 788% d'augmentation des troubles de cycles menstruels, 732% d'augmentation d'AVC et autant de cécité en quelques mois de vaccination que sur 30 années cumulées tous vaccins confondus. 62% de ces effets indésirables surviennent le jour même de la vaccination.
• Des informations méconnues du grand public
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
LETTRE OUVERTE
à Mr Le DÉPUTÉ Fabien ROUSSEL et à ses COLLÈGUES :
le PSEUDOVACCIN ANTICOVID est DANGEREUX et INUTILE,
il FAUT l’INTERDIRE !
par le Dr Gérard DelépineNon, Monsieur le Député, le pseudo vaccin ne réduit ni le risque de porter le virus (ce qui n’a aucune incidence), ni les contaminations, ni les formes graves. Il faut écouter les vrais scientifiques, ceux qui ne sont pas liés aux laboratoires pharmaceutiques et qui basent leurs conclusions sur les seuls faits établis au lieu de croire en des simulations biaisées.
Ce graphique publié par l’OMS sur https://Covid19.who.int/ montre que les vaccinations n’ont pas réduit les contaminations, mais ont au contraire été suivies par une accélération de l’épidémie :
D’ailleurs, comme nous, vous devez connaître parmi vos proches de nombreuses personnes totalement vaccinées et qui ont été malades du Covid parfois même à plusieurs reprises.
De plus, cette injection expérimentale est à l’origine de nombreux effets secondaires, dont des décès rapides, des maladies neurologiques comme certaines maladies de la vache folle, de perturbations hormonales majeures et de risque d’atteinte de la fertilité à plus ou moins long terme. La diminution de l’immunité personnelle qui s’aggrave avec les doses successives entraîne une fragilité des personnes sources d’infections répétées et d’augmentation du nombre de cancers.
Les collègues médecins du monde entier, dont de grands scientifiques et chercheurs, multiplient les appels pour un moratoire mondial auxquels vous ne pourrez rester indifférent, si comme nous le pensons, vous ne voulez que le bien de l’Humanité et singulièrement des électeurs qui vous ont fait confiance.
Votre tweet[1] témoigne d’une désinformation dont vous avez été victime comme tant d’autres et que nous tentons de combattre comme beaucoup en publiant les FAITS AVÉRÉS, malgré la censure qui rend leur accès difficile et malgré la propagande permanente répétant les opinions de médecins trop liés aux laboratoires pharmaceutiques.
La réponse d’Antoine Léaument à votre tweet est justifiée. Espérons qu’il sera entendu :@ALeaument · 5 juil. a écrit:« J’ai interpellé aujourd’hui le ministre de la Santé. Je lui ai dit qu’il FAUT réintégrer les soignants suspendus. Puisqu’être vacciné n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus, à quoi bon continuer avec cette absurdité ? »
[...]
Mais le vax inutile est aussi dangereux
Il augmente les fausses couches de façon drastique tant en UE comme la dia en témoigne qu’aux USA :
Les cancers augmentent de façon spectaculaire, comme les médecins militaires américains l’ont signalé depuis des mois demandant eux aussi un arrêt de ces injections expérimentales :
Mr Le Député, ne prenez pas le risque d’envoyer vos concitoyens à l’injection de trop, car vous en supporteriez au moins la responsabilité morale. L’histoire tragique de Céline Dion et de Justin Bieber, entre autres vedettes qui avaient exigé la preuve des injections pour assister à leur concert, est terrible.[2]
Et que direz-vous de la hausse de la mortalité globale constatée et publiée par l’Office National des Statistiques anglais beaucoup plus transparent que nous ?
Cette augmentation de la mortalité hors Covid des vaccinés n’a pas de cause établie avec certitude pour l’instant, mais reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse globale d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancer.
Cette augmentation de la mortalité des vaccinés est d’autant plus inquiétante qu’elle a aussi été constatée dans de nombreux autres pays : en France (+38 %)[3], aux USA[4] en Allemagne[5][6] et plus globalement en Europe[7].
Cette surmortalité des vaccinés, tant Covid que non Covid, apparaissant quelques mois après les injections nécessite en urgence des analyses approfondies et, en attendant un moratoire sur la pseudo vaccination Covid.
La négation de ce paradoxe prépare un scandale bien plus grave que celui du médiator, du Vioxx, ou du sang contaminé…
Lisez l’appel du conseil mondial de la santé :
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
1- Effets indésirables des injections chez les femmes : Jérémie Mercier reçoit Mélodie Féron, fondatrice du collectif Où est mon cycle ?
2- En Allemagne également, la surmortalité augmente avec les vaccinations : Covid et canicule innocentées. La Covid inoffensive pour les enfants mais pas les injections – par Patrice Gibertie
3- Les statistiques officielles mettent en évidence une sous mortalité des moins de 14 ans en Europe en 2020, avant la vaccination, puis une explosion de la mortalité à partir des injections – par Patrice Gibertie
4- Augmentation « inhabituelle » des myocardites du nourrisson au Royaume-Uni – mais les autorités ne parlent pas du vaccin anti-covid – par Anne Dolhein
5- Des études indiennes montrent que la protéine spike (celle que l’ARNm fait fabriquer sans contrôle par l’organisme) entraine une explosion des marqueurs cancéreux (poumon et sein) – par Patrice Gibertie
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4739 à 4747
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- BERLUSCONI : une leucémie diagnostiquée un mois après la 3ème dose… une coïncidence, comme pour des centaines de milliers d’autres – par Patrice Gibertie
2- Les personnes vaccinées contre le COVID ont un risque plus élevé de déficience visuelle – par Pierre-Alain Depauw
3- Comment la nature aurait-elle pu concevoir une protéine spike qui a une similitude moléculaire avec 54 espèces pathogènes ? L’État américain subventionne à nouveau les créateurs du virus ! – par Patrice Gibertie
4- Soyez prudents, faites comme les autres français : refusez les rappels ! – par le Dr Gérard Delépine
5- Pour ne pas être contaminé par la covid, mieux vaut… ne pas être à jour des ses « vaccccxxx » (étude sur 50 000 soignants Cleveland) – par Patrice Gibertie
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4748 à 4756
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
La CATASTROPHE VACCINALE du PÉROU
DÉMONTRE encore
qu’il FAUT STOPPER ces INJECTIONS EXPÉRIMENTALES !
par le Dr Gérard DelépineCe pays d’Amérique latine de 32 millions d’habitants a été un élève particulièrement obéissant de l’OMS et a appliqué sa stratégie « interdiction de la chloroquine et des autres traitements précoces. Tout vaccin ».
L’Algérie, pays du Maghreb de 45,5 millions d’habitants a appliqué le traitement précoce prôné par le professeur Raoult et les pays d’Afrique subsaharienne, souffrant chroniquement du paludisme, ont poursuivi l’utilisation des antipaludéens.
Après plus de 2 ans, l’échec des vaccins au Pérou est dramatique alors que l’Algérie comme les pays africains utilisant les antipaludéens ont traversé l’épidémie sans beaucoup en souffrir. Rappelons les faits avérés publiés par l’OMS et mis en figures par l’université John Hopkins
La vaccination n’a pas protégé les Péruviens de la maladie
Début 2022, le Pérou a enregistré plus de 70 000 nouveaux cas en une seule semaine, dépassant les sommets atteints lors des première et deuxième vagues de la pandémie
Vaccinés mais pas protégés !
La vaccination n’a pas évité aux Péruviens de mourir de Covid
La propagande vaccinale prétend que la vaccination protégerait des formes graves et de la mort. Mais l’exemple du Pérou montre qu’une telle affirmation est mensongère. La mortalité covid cumulée a doublé au Pérou depuis la vaccination qui a pourtant concerné plus de 85 % des habitants, dont plus de 95 % des personnes à risques. Au 15 juin 2022, le nombre de morts attribuées au Covid dépasse les 200 000, infligeant à ce pays le taux de mortalité le plus élevé de tous les pays du monde (6700 par million).
À l’opposé, les pays Africains qui ont traité précocement par antipaludéens et très peu vacciné ont quasi complètement évité les formes graves et les morts covid. Leurs mortalités cumulées ne sont pas les 200 par million !
Par million d’habitants les mortalités constatées dans les pays africains adeptes des traitements précoces sont 200 à 400 fois inférieures à celle du Pérou confirmant la catastrophe sanitaire du tout vaccin.
Qui peut encore croire que les pseudo vaccins vont résoudre le problème Covid ou qu’ils protègent des formes graves et de la mort ?
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Merci!
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
QUE nous a APPRIS l’ANGLETERRE
sur la CRISE COVID et les "VACCINS" ?
par le Dr Gérard DelépineL’Angleterre est la championne européenne des injections anti-covid. C’est aussi un pays beaucoup plus transparent que le nôtre dans lequel les données sanitaires brutes sont publiées sur internet par l’Office National des Statistiques. Chacun peut ainsi les analyser permettant d’apprécier les effets des pseudo vaccins avec le plus long recul européen connu.
Les données officielles du gouvernement britannique montrent qu’après six mois la vaccination anti-covid augmente le risque de décès par covid 19 et hors covid.[1]
Rappel de la politique vaccinale anti-covid anglaise
La première injection de Covid-19 a été administrée en Angleterre le 8 décembre 2020. La campagne d’injection a ciblé en priorité les personnes les plus âgées (>80 ans) puis très rapidement les autres groupes par âge décroissant.
La flambée d’épidémie et de mortalité post vaccinale
Les injections ont été immédiatement suivies par une augmentation franche des contaminations et de la mortalité covid pendant 6 à 8 semaines réalisant une véritable « hécatombe post vaccinale » semblable à celle observée dans tous les autres pays[2] qui ont injecté rapidement leurs populations.
Les données officielles du gouvernement britannique montrent que le nombre de nouveaux cas a alors considérablement augmenté.
Les chiffres et la courbe publiés par l’OMS montrent que la mortalité a également fortement augmenté après les injections, les mois de janvier et février 2021 battant les records mensuels du moment et totalisant à eux deux autant de décès covid que les dix mois d’épidémie d’avant les vaccins.
L’hécatombe post vaccinale a été suivie pendant plusieurs mois par une accalmie observée en Europe en même temps dans les pays vaccinés comme dans les pays non injectés
Le surrisque des vaccinés d’attraper la maladie, d’être hospitalisés et de mourir de covid
Six mois après le début des injections, partir de mai 2021, les doubles vaccinés ont progressivement souffert d’un surrisque d’attraper le Covid et cette augmentation de risque s’est confirmé au fil des mois atteignant au total 100 % à 200 % en mars 2022.
Cette augmentation de risque de contracter la maladie des vaccinés s’est traduite par l’envolée du nombre total de cas en Grande-Bretagne alors qu’elle n’a pas été observée au Nigéria ni à Madagascar qui ont préféré les traitements précoces aux vaccins.
La différence est d’autant plus démonstrative que le nombre de cas dépend peu de l’âge et très peu du climat (ainsi que le prouve la comparaison de l’Afrique et de l’Amérique du Sud).Au bout de quelques mois, les Anglais vaccinés ont été hospitalisés plus que les non-vaccinés pour covid sévère :
Et aussi davantage de risques de mourir de covid :
Au total, en juillet 2022 la stratégie tout vaccin de la Grande-Bretagne a abouti à une mortalité cumulée soixante fois plus élevée qu’au Nigéria (20 fois plus élevée après correction selon la population à risque).
La vaccination augmente-t-elle la mortalité globale ?
Depuis mai 2021, les Anglais vaccinés ont commencé à souffrir d’une augmentation de mortalité toutes causes confondues. Cette tendance s’est aggravée progressivement.
Elle est d’abord apparue chez les Anglais, les plus âgés qui ont reçu les injections de Covid-19 en premier (dès décembre 2020). Ainsi en mai 2021, les vaccinés de 70-79, 80-89 et les 90 ans et plus avaient un taux de mortalité plus élevé que les non-vaccinés du même âge.Le graphique suivant montre les taux de mortalité standardisés selon l’âge pour 100 000 années-personnes par statut vaccinal et groupe d’âge pour le mois de mai 2021
En juin 2021 les 60-69 ans, vaccinés un mois plus tard, rejoignaient le groupe à mortalité le plus élevé :
Ces données indiquent que les injections de Covid-19 prennent environ 5 mois pour augmenter la mortalité des vaccinés toutes causes confondues
Les plus récentes publications de l’ONS (juin 2022) confirment qu’en décembre 2021 et janvier 2022 la mortalité toutes causes confondues des vaccinés est nettement supérieure à celle des non-vaccinés à l’exception de ceux qui ont reçu 3 injections, mais dont le recul beaucoup plus faible ne permet pas une comparaison significative.
Cette augmentation de la mortalité hors covid des vaccinés n’a pas de cause établie avec certitude pour l’instant, mais reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse globale d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancer.
Cette augmentation de la mortalité des vaccinés est d’autant plus inquiétante qu’elle a aussi été constatée dans de nombreux autres pays : en France (+38 %)[3], aux USA[4][5][6] en Allemagne[7]…
Cette surmortalité des vaccinés, tant covid que non covid, apparaissant quelques mois après les injections nécessite en urgence des analyses approfondies et, en attendant un moratoire sur la pseudo vaccination Covid. La négation de ce paradoxe constitue, non pas une erreur, mais une faute de nos agences et de nos dirigeants et prépare un scandale bien plus grave que celui du médiator.
(Source)
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- Échec colossal : 99 % des hospitalisations et des décès dus au COVID concernent désormais des personnes vaccinées en Australie – par le Dr Peter McCullough
2- Instructions officielles aux médecins et aux pharmaciens : ne parlez pas des risques concernant les vaccins ! – par Silvano Trotta
3- « Je suis un exemple vivant ou mourant de 3 injections de Pfizer »
4- Écoutez cette Maman qui a perdu sa fille !
5- Une avocate révèle que l’armée canadienne a empêché les médecins de signaler les blessures causées par le vaccin Covid
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4757 à 4765
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
JAMAIS avant ces poisons-vaccins on avait vu cela ! Autant de sportifs, d'artistes etc "mourir subitement". JAMAIS !!! Un autre artiste "meurt soudainement" à mi-parcours, le rappeur "Big Pokey", âgé de 45 ans, de son vrai nom Milton Powell, se produisait lors d'un spectacle et soudainement. Ne surtout pas se poser de questions, ne surtout pas faire d'autopsies, d'enquêtes, cela pourrait venir perturber l'usine à cash de Big Pharma et des corrompus.
https://twitter.com/silvano_trotta/status/1670703196589703169?cxt=HHwWgoC23ZPtw68uAAAA
Je ne peux plus faire un pas sur mon marché local sans que les gens viennent me raconter des effets secondaires graves ce matin: 2 tumeurs au cerveau,une perte brutale de l'audition, une mort subite de pompier,une récidive de cancer à 15 ans d'écart
Médecins, dîtes le par pitié
https://twitter.com/RogezVeronique/status/1664935124385800193
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Précisons qu il est éliminé en deux coups de cuillère à pot par la trithérapie Ivermectine et bien plus efficacement encore par la Dioxyde de chlore ( CDS du DR Andreas Kalcker
Sur ce forum , il est juste de ne pas seulement annoncer les fléaux sans dire que il y a une solution ( qui sera niée occultée et combattue par le Biopouvoir politico- mediatico - pseudo scientifico-médical et le système de santé totalement devenu la main de cabinets privés et Etats dirigés par les laboratoires que nous connaissons comme Pfizer et consorts )
Action réaction : préparez vos flacons ( ou poudre de ) de chlorite de sodium et d'eau cllhlorée à 4% pour fabriquer dans des pots de 500 cl à 1 l étanches, le CDS par dilution dans l'eau purifiée ... et vous serez sas symptômes ou vos symptômes disparaitront aussitôt
rien de tres compliqué + tuto fabrication bocal hermetique https://lemineralmiracle.com/cds-et-cdi/
Faites en pour vos amis
rappel : aller sur les liens dédiés ici au CDS !!!
bien sur le site du DR Kalcker est la référence https://andreaskalcker.com/fr/clo2-cd.html
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
Les VACCINS contre la COVID-19
PERTURBENT-ils le SYSTÈME ENDOCRINIEN
et ont-ils un IMPACT sur la FERTILITÉ ?
Bien que les vaccins contre la COVID-19, comme le vaccin BioNTtech de Pfizer, n’auraient pas transporté de polluants chimiques traditionnellement considérés comme des perturbateurs endocriniens, certains scientifiques craignent que les vaccins n’affectent le système endocrinien humain.
Des chercheurs en endocrinologie ont publié une étude fin 2021, documentant sept cas de thyrotoxicose – activité hormonale excessive de la thyroïde – après avoir reçu un vaccin contre la COVID-19.
Les auteurs ont écrit : « Après la vaccination, [thyroid] symptômes, notamment des douleurs au cou ou une faiblesse dans les extrémités inférieures, ont été jugés comme étant causés par le vaccin. »
Un mois plus tard, une autre équipe de scientifiques a publié une étude faisant état d’un cas de gonflement douloureux de la thyroïde – appelé « thyroïdite subaiguë » – après la vaccination contre la COVID-19.
Le 10 juin, les CDC ont publié des données montrant qu’un total de 1 301 356 rapports d’événements indésirables suite aux vaccins contre la COVID-19 ont été soumis entre le 14 décembre 2020 et le 10 juin 2022 au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), rapporte The Defender.
Plus de 5 000 des effets indésirables signalés étaient liés à des problèmes de fertilité.
Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les réactions indésirables aux vaccins aux États-Unis.
Ce que j’ai vu ces deux dernières années est sans précédent.
Le Dr James Thorp, un médecin ayant publié de nombreux articles et certifié en obstétrique et gynécologie et en médecine materno-fœtale, qui pratique l’obstétrique depuis plus de 42 ans, a déclaré au Epoch Times le 27 avril :
« J’ai vu beaucoup, beaucoup, beaucoup de complications chez les femmes enceintes, chez les mamans et chez les fœtus, chez les enfants, la progéniture… mort fœtale, fausse couche, mort du fœtus à l’intérieur de la maman.
« Ce que j’ai vu ces deux dernières années est sans précédent. »
M. Thorp a participé à l’épisode du 16 juin de l’émission « Doctors & Scientists » de CHD.TV, où il a partagé des données indiquant que 1 283 anomalies menstruelles associées à la vaccination contre la COVID-19 ont été signalées au VAERS chaque mois, à compter du 27 février.
Cependant, l’American College of Obstetricians and Gynecologists « recommande fortement que les personnes enceintes soient vaccinées contre la COVID-19 », et ajoute que la vaccination complète des femmes enceintes devrait être une « priorité ».
L’ancien vice-président de Pfizer, Michael Yeadon, a déclaré que les inquiétudes concernant l’impact possible du vaccin sur la fertilité étaient connues depuis longtemps, mais qu’elles avaient été négligées.
Selon M. Yeadon dans une déclaration à The Epoch Times :« Le 1er décembre 2020, nous avons détaillé une série de préoccupations toxicologiques mécanistes qu’il nous semblait raisonnable de retenir, jusqu’à preuve du contraire. L’une d’entre elles était que les effets négatifs sur la conception et la capacité à maintenir une grossesse étaient prévisibles.
« Il est important de noter qu’aucun de ces agents génétiques n’avait fait l’objet de ce que l’on appelle la « toxicologie de la reproduction ». Plus d’un an plus tard, cette batterie de tests sur les animaux n’a toujours pas été réalisée. Il n’y avait donc et il n’y a toujours aucun ensemble de données soutenant la sécurité pendant la grossesse ou avant la conception.
« Au cours de l’année 2021, j’ai découvert deux autres éléments de preuve qui rendaient beaucoup plus probable l’existence d’effets indésirables des « vaccins » contre la COVID-19 sur la grossesse.
« On aurait dit que quelqu’un avait essayé d’écarter nos préoccupations en recherchant des preuves du problème particulier dont nous avions parlé en décembre 2020. Malheureusement, ils n’ont fait que renforcer nos inquiétudes. Nous avions envisagé le risque qu’en réagissant au morceau synthétique de protéine de pointe du virus, le système immunitaire des femmes réagisse également à leur propre protéine placentaire.
« C’est exactement ce qui a été rapporté dans l’ article pré-imprimé. »
Ces preuves ont signalé que le vaccin était dangereux pour les femmes en âge de procréer.
« Sur la base de cette seule préoccupation », a déclaré M. Yeadon, « tous ces produits expérimentaux en tant que classe auraient dû être complètement contre-indiqués chez les femmes avant la ménopause. »
Un autre problème de fertilité négligé était que « les produits ARNm (Pfizer & Moderna) s’accumuleraient dans les ovaires », a déclaré M. Yeadon.
« Personne dans l’industrie ou dans les médias de premier plan ne pourrait prétendre qu’il n’était pas au courant de ces risques pour une grossesse réussie », a déclaré M. Yeadon au Epoch Times.
Les cycles menstruels des femmes sont affectés par les vaccins, le Dr Christiane Northrup a également déclaré à The Epoch Times.
« Les femmes ont des saignements », a déclaré Mme Northrup, une obstétricienne et gynécologue certifiée par le conseil d’administration et ayant plus de 30 ans d’expérience.
« Les médecins de notre région pratiquent des hystérectomies sur des femmes jeunes, comme des trentenaires, ils ont dit : Oh, ce n’est pas inhabituel », a-t-elle dit.
« Laissez-moi vous dire, en tant que gynécologue certifiée, que c’est très inhabituel. Les règles des femmes sont chamboulées partout… J’ai eu un énorme groupe Facebook de milliers de femmes parlant de cette situation qui a été supprimée », a ajouté Mme Northrup.
Des experts discutent de l’infertilité et des vaccins sur CHD.TV
La semaine dernière, Mme Northrup était l’invitée vedette de l’émission « Friday Roundtable’ Episode 11 : Infertility : A Diabolical Agenda Expert Q+A ».
Parmi les autres invités figuraient le Dr Andrew Wakefield, le Dr Brain Hooker, le Dr Liz Mumper et Mary Holland, présidente et conseillère juridique de la Children’s Health Defense.
Le groupe d’experts a discuté du nouveau film documentaire de la CHD, « Infertility : A Diabolical Agenda » – réalisé par M. Wakefield et produit par Robert F. Kennedy, Jr. – révélant comment la fertilité de certaines femmes africaines a été éradiquée par un programme expérimental de vaccination contre le tétanos.
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
REVUE de PRESSE sur les "VACCINS"-TUEURS
1- Le rappeur Big Pokey décède subitement lors d’un concert à Beaumont, au Texas
2- Jean-Michel Jacquemin-Raffestin sur les effets secondaires dramatiques des injections
3- Hélène Banoun : La vidéo à ne pas manquer ! ARNm : vaccin ou thérapie génique ? Questions réglementaires – par Patrice Gibertie
4- Contamination par des agents cancérigènes, intégration dans le génome, toxicité : ils n’ont RIEN contrôlé ! Le scandale de l’absence de règlementation ARNm – par Patrice Gibertie
5- Loterie vaccinale : Avez-vous tiré le bon numéro ? – par Olivier Demeulenaere
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4766 à 4774
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
« Les GENS sont MALADES
pour d’AUTRES RAISONS que la CONTAMINATION »Avec le retour de la peur du Covid sur les plateaux télé et la crise alimentaire en arrière-plan, l’agenda mondialiste continue sa marche impitoyable vers la Grande Réinitialisation. Le chaos est méthodiquement organisé, bouleversant l’équilibre et les valeurs de nos sociétés. La cryptomonnaie se fait une place dans notre quotidien, promettant une spéculation abusive dans l’avenir, le symbolisme occulte se banalise dans l’espace public, le mensonge médiatique envahie les foyers mais ne parvient plus à cacher le fait que l’Occident se désintègre. Sa tentative désespérée en Ukraine et l’intégration de la Finlande et de la Suède à l’OTAN n’y changeront rien.
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
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Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
PFIZER a CLASSÉ la QUASI-TOTALITÉ
des ÉVÉNEMENTS INDÉSIRABLES GRAVES
SURVENUS au COURS des ESSAIS
du VACCIN contre la COVID
comme « NON LIÉS aux VACCINS ».Les rapports de cas inclus dans les documents d'essais cliniques de Pfizer, publiés le 1er juin par la Food and Drug Administration américaine, révèlent une tendance à classer presque tous les effets indésirables - et en particulier les effets indésirables graves - comme étant « non liés » au vaccin.
La dernière publication par la Food and Drug Administration (FDA) des documents relatifs au vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech révèle de nombreux cas de participants ayant subi des effets indésirables graves au cours des essais de phase 3. Certains de ces participants se sont retirés des essais, d’autres ont été abandonnés et d’autres encore sont morts.
La cachette de documents de 80 000 pages comprend un vaste ensemble de formulaires de rapport de cas [« Case Report Forms (CRF) »] provenant des essais de phase 3 de Pfizer menés à divers endroits aux États-Unis, ainsi que d’autres documents relatifs aux participants aux essais de vaccins de Pfizer-BioNTech aux États-Unis et dans le monde.
Le 1er juin, la FDA a publié les documents, qui concernent l’autorisation d’utilisation d’urgence (AUU) du vaccin, dans le cadre d’un calendrier de divulgation ordonné par le tribunal à la suite d’une demande accélérée en vertu de la loi sur la liberté d’information [« Freedom of Information Act (FOIA) »] déposée en août 2021.
Public Health and Medical Professionals for Transparency (PHMPT), un groupe de médecins et de professionnels de la santé publique, a soumis la demande de FOIA.
Les CRF font état de décès et de réactions graves aux vaccins pendant les essais de phase 3.
Les CRF inclus dans les documents de ce mois-ci contiennent des explications souvent vagues sur les symptômes spécifiques ressentis par les participants à l’essai.
Ils révèlent également une tendance à classer presque tous les effets indésirables – et en particulier les effets indésirables graves (EIG) – comme « non liés » au vaccin.
Par exemple :
- Une femme d’une cinquantaine d’années (numéro de randomisation 86545) qui a participé à l’essai au Sterling Research Group à Cincinnati, Ohio, est décédée d’un infarctus du myocarde apparent le 4 novembre 2020. Elle avait reçu deux doses du vaccin, le 10 septembre et le 29 septembre 2020.
Le patient avait des antécédents médicaux de maladie pulmonaire obstructive chronique, d’hypertension, d’hypothyroïdie, d’arthrose des genoux et de troubles de l’attention. Son décès a été répertorié comme « non lié » au vaccin, et a été attribué à une « maladie cardiovasculaire hypertensive ».
- Une femme d’une cinquantaine d’années (numéro de randomisation 220496), qui a participé à l’essai au Cincinnati Children’s Hospital Medical Center, est décédée d’un arrêt cardiaque le 21 octobre 2020. Son décès, cependant, a été indiqué comme « non lié » à ses vaccinations (qui ont eu lieu le 30 juillet 2020 et le 20 août 2020) car il est « survenu 2 mois après la dernière réception de l’agent d’étude », selon son CRF.
Les antécédents médicaux du participant comprenaient l’obésité, la pose d’une sleeve gastrique, le reflux gastro-œsophagien, l’apnée du sommeil, la tachycardie supraventriculaire, l’hypothyroïdie, la dépression et l’asthme.
- Un homme d’une soixantaine d’années (numéro de randomisation 221076) qui participait à l’essai mené par le groupe de recherche Ventavia, basé au Texas, est décédé d’un infarctus du myocarde apparent le 28 novembre 2020. Il avait reçu les deux doses du vaccin le 31 juillet 2020 et le 19 août 2020.
Le participant avait des antécédents médicaux comprenant un infarctus du myocarde antérieur, une hypertension artérielle, un taux de cholestérol élevé, de l’anxiété, des douleurs bilatérales à la hanche, un diabète de type 2, une rétention d’eau, une angine (intermittente), un syndrome des jambes sans repos, une carence en vitamine D, une dépendance au tabac et la pose d’un stent coronarien en 2017.
Selon le CRF, il a subi l’infarctus du myocarde le 27 octobre 2020 et a reçu un diagnostic de pneumonie le jour suivant. Bien que les deux diagnostics aient été classés comme « graves » dans son CRF, ils ont tous deux été répertoriés comme « non liés » à la vaccination, l’infection du myocarde étant attribuée à un « échec de l’endoprothèse cardiaque » et la pneumonie simplement attribuée à une « infection ».
- Une femme adolescente (numéro de randomisation 104650) a reçu un diagnostic de thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit le 15 novembre 2020, qui était toujours en cours au 29 mars 2021, date du CRF. Elle a été hospitalisée et son état a été classé comme « grave », mais il a été indiqué comme « non lié » au vaccin, plutôt attribué à une « fracture » survenue avant sa vaccination le 11 septembre 2020.
Le patient avait des antécédents médicaux comprenant de l’asthme, un trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention, la maladie de Charcot-Marie-Tooth et l’obésité.
- Un homme d’environ 70 ans (numéro de randomisation 227629) participant à l’essai chez Clinical Neuroscience Solutions Inc. (opérant en Floride et au Tennessee) a subi une série d’événements indésirables après avoir été vacciné les 13 août et 7 octobre 2020.
Il a été diagnostiqué COVID-19 le 30 août 2020, ce qui a coïncidé avec plusieurs autres diagnostics classés comme « graves », notamment des adhérences abdominales (29 août 2020), une altération de l’état mental (29 août 2020, qui a duré jusqu’au 16 septembre 2020) et une insuffisance respiratoire hypoxique aiguë (30 août 2020). Ces diagnostics ont nécessité son hospitalisation.
Il a également été répertorié comme ayant souffert d’une insuffisance cardiaque congestive le 30 août 2020, mais ce diagnostic a été répertorié comme « sans gravité » et comme « non lié » au vaccin, mais à une « chirurgie antérieure », sans autre précision. De même, ses autres événements indésirables graves ont été répertoriés comme étant liés à une chirurgie « antérieure » ou « précédente », ou à un « traitement non médicamenteux concomitant ».
Les autres effets indésirables « non graves » énumérés dans le CRF de ce patient comprennent l’hypokaliémie, l’anémie, l’insuffisance rénale aiguë, la septicémie, l’hyponatrémie, la leucopénie, l’occlusion de l’intestin grêle, la pneumonie par aspiration, l’hypertrophie ventriculaire gauche concentrique légère (dont les symptômes étaient toujours présents à la date du CRF, soit le 29 mars 2021) et l’infection urinaire.
Le patient avait des antécédents médicaux comprenant une hypertension permanente, une hypercholestérolémie, un reflux gastro-oesophagien, une constipation, une hernie hiatale et des diagnostics antérieurs de résection de l’intestin grêle, de perforation de l’intestin grêle, de hernie inguinale, d’arthrose aux deux genoux et de remplacement du genou (aux deux genoux).
- Un homme d’environ 70 ans (numéro de randomisation 266982) participant à l’essai au Boston Medical Center a souffert d’une série d’effets indésirables après la vaccination, notamment une pneumonie et un œdème périphérique. Il avait reçu deux doses du vaccin, le 2 octobre 2020 et le 27 octobre 2020.
Le patient a été hospitalisé pour une pneumonie le 20 janvier 2021, un événement classé comme « grave » mais aussi comme « non lié » au vaccin. Cependant, la cause de sa pneumonie était simplement indiquée dans le CRF comme « non liée au vaccin », tandis que son diagnostic d’œdème périphérique était attribué à une « neuropathie existante ».
Pendant son hospitalisation pour pneumonie, sa tension artérielle a été mesurée jusqu’à 179/72, avec une fréquence cardiaque atteignant 105 battements par minute et un niveau de saturation en oxygène qui est tombé à 92,0. Au total, il a eu trois visites aux urgences pendant la période d’observation.
Les antécédents médicaux du patient comprenaient un diabète de type 2, une cirrhose alcoolique, une hypothyroïdie, de l’asthme, une apnée du sommeil, de l’hypertension, une neuropathie diabétique, une insuffisance cardiaque congestive, un trouble anxieux généralisé, une dépression, de l’insomnie, une miction excessive, une maladie pulmonaire obstructive chronique et une séropositivité.
Une déviation du protocole s’est également produite chez ce patient, car son journal n’a pas été activé après l’administration de la première dose du vaccin.
- Un homme d’une quarantaine d’années (numéro de randomisation 68489) qui a participé à l’essai au centre médical de l’hôpital pour enfants de Cincinnati a souffert d’une leucémie myélogène chronique le 24 septembre 2020, l’affection étant toujours présente à la date du CRF, le 29 mars 2021.
Il s’agit d’un événement indésirable « grave » et « potentiellement mortel », même s’il n’a pas nécessité d’hospitalisation, mais il a été classé comme « non lié » à la vaccination mais à une « modification génétique des cellules souches ».
Le patient avait été vacciné le 26 août 2020 et le 17 septembre 2020, et avait des antécédents médicaux d’asthme et d’allergies saisonnières. Les autres effets indésirables « non graves » qu’il a subis sont la leucocytose et la thrombocytose.
- Une femme d’une quarantaine d’années (numéro de randomisation 49018) ayant participé à l’essai de Clinical Neuroscience Solutions Inc. a reçu un diagnostic de calculs rénaux le 4 janvier 2021.
Il s’agit d’un événement indésirable « grave » qui a nécessité une hospitalisation, mais qui a été classé comme « non lié » au vaccin, étant plutôt lié, encore une fois, à un « calcul rénal » (sic). Elle avait reçu les deux doses du vaccin le 17 août 2020 et le 8 septembre 2020.
Le patient a été diagnostiqué avec COVID-19 le 27 janvier 2021. Ses antécédents médicaux comprenaient des migraines, une hypercholestérolémie et un kyste de Tarlov.
- Une femme âgée d’environ 30 ans (numéro de randomisation 53307) participant à l’essai au Boston Medical Center, sans rien à signaler dans ses antécédents médicaux, a subi une blessure à l’épaule liée à l’administration du vaccin (SIRVA) le 9 septembre 2020, les symptômes se poursuivant jusqu’au 8 février 2021.
Cette blessure a été répertoriée comme étant liée à la deuxième dose du vaccin, qu’elle a reçue le 9 septembre 2020 (elle avait auparavant reçu sa première dose le 17 août 2020).
- Une femme d’une cinquantaine d’années ( numéro de randomisation 260125) participant à l’essai de Clinical Neuroscience Solutions Inc. a souffert d’une exacerbation aiguë de l’asthme. Les symptômes sont apparus à la mi-décembre 2020, après sa vaccination le 16 septembre 2020 et le 5 octobre 2020.
Ses symptômes ont été classés comme graves mais ne mettant pas sa vie en danger, et elle a été hospitalisée. Cependant, ses symptômes d’asthme ont été répertoriés comme « non liés » au vaccin, mais comme liés à l’ « asthme », sans autre explication. Le 12 janvier 2021, sa tension artérielle était de 183/130, avec une fréquence cardiaque de 98 battements par minute.
Les autres effets indésirables moins graves subis par le patient comprenaient des douleurs au site d’injection, des douleurs corporelles, des frissons et une faible fièvre.
Ses antécédents médicaux comprenaient une cholécystite (et une cholécystectomie), une hernie discale, une hystérectomie abdominale totale, une ovariectomie bilatérale, une salpingectomie bilatérale, une endométriose, une hypertension, une hypercholestérolémie, une polyarthrite rhumatoïde en rémission, de l’asthme, des allergies saisonnières, un syndrome du côlon irritable et une obésité.
- Un homme d’une vingtaine d’années (numéro de randomisation 48413) qui a participé à l’essai chez Clinical Neuroscience Solutions Inc. a subi une embolie pulmonaire bilatérale le 14 décembre 2020, avec des symptômes toujours présents à la date du CRF du 29 mars 2021.
Il s’agit d’un événement indésirable « grave » qui a nécessité une hospitalisation, mais qui a été attribué à l’habitude du patient de fumer et à son « mode de vie sédentaire ». Il avait reçu les deux doses du vaccin le 13 août 2020 et le 2 septembre 2020.
Les autres symptômes post-vaccination répertoriés pour le patient étaient les suivants : fièvre, fatigue, maux de tête, frissons, vomissements, diarrhée, douleurs musculaires nouvelles/aggravées, douleurs et gonflements articulaires nouveaux/aggravés.
Le patient avait des antécédents médicaux comprenant un taux élevé de triglycérides, un herpès génital et des allergies saisonnières, en plus d’une habitude de fumer.
Les nombreux effets indésirables graves – et plusieurs décès – enregistrés au cours des essais de la phase 3 sont également mis en évidence dans un document distinct et massif, de plus de 2 500 pages, qui répertorie ces effets indésirables.
Ce document énumère un large éventail d’effets indésirables subis par les participants à l’essai et classés au niveau de toxicité 4 – le plus élevé et le plus grave de ces niveaux.
Cependant, aucun des effets indésirables de niveau 4 (les plus graves) énumérés dans ce document particulier n’est classé comme étant lié à la vaccination.
Les effets indésirables de niveau 4 énumérés dans le document comprennent, sans s’y limiter, les éléments suivants, dont beaucoup sont survenus chez plusieurs patients :
- Cholécystite aiguë
- Insuffisance respiratoire aiguë
- Carcinome surrénalien
- Choc anaphylactique
- Incompétence de la valve aortique
- Appendicite
- Arythmie supraventriculaire
- Artériosclérose
- Abcès cérébral
- Arrêt cardiaque
- Leucémie myéloïde chronique
- Appendicite compliquée/appendicite aiguë avec nécrose
- Maladie cardiaque congénitale/anomalie cardiaque
- Occlusion de l’artère coronaire
- Maladie de COVID-19
- Thrombose veineuse profonde
- Diverticulite
- Migraine hémiplégique
- Accident vasculaire cérébral hémorragique
- Maladie pulmonaire interstitielle
- Infarctus du myocarde
- Hypotension orthostatique/possible hypotension posturale
- L’arthrose
- Abcès péricolique
- Abcès péritonéal
- Colique néphrétique
- Diverticule rompu
- Obstruction de l’intestin grêle/obstruction de l’intestin grêle
- Dissection spontanée d’une artère coronaire
- Hémorragie sous-arachnoïdienne
- Idées suicidaires (et idées suicidaires avec tentative)
- Syncope
- Le diabète de type 2
- Aggravation des douleurs abdominales
- Un « événement non évaluable » ou « inconnu d’origine inconnue ».
De même, seul un petit nombre d’événements indésirables de niveau de toxicité 3 ont été indiqués comme ayant été « liés » à la vaccination. Ces effets indésirables comprennent, sans s’y limiter, les éléments suivants, dont certains sont survenus chez plusieurs participants à l’essai :
- Arthralgie
- Augmentation de la glycémie / pic de glycémie
- Surdité/perte auditive
- Dyspepsie
- Hypotension
- Douleur des ganglions lymphatiques
- Lymphadénopathie/gonflement des ganglions lymphatiques
- Douleur thoracique musculo-squelettique (non cardiaque)
- Neutropénie
- Douleur dans les doigts/les mains bilatérales
- Prurit
- Pyrexie/syndrome fébrile
- Maux de tête sévères
- Blessure à l’épaule liée à l’administration du vaccin
- Trouble du sommeil/perturbation du sommeil
- Tachycardie
- Urticaire
- Arythmie ventriculaire
- Vertige
La page 2 525 du document en question énumère également six décès de participants à l’essai, les causes de la mort comprenant l’artériosclérose, l’arrêt cardiaque, l’accident vasculaire cérébral hémorragique et l’infarctus du myocarde.
Le petit nombre d’événements indésirables répertoriés comme étant liés au vaccin suit une tendance observée dans la tranche précédente des documents de Pfizer-BioNTech, publiés en mai.
Un document supplémentaire publié dans la tranche de ce mois-ci répertorie les patients qui ont interrompu leur participation à l’essai de phase 3, ou dont la participation a été interrompue par des médecins ou d’autres professionnels de la santé.
Bien que de nombreux patients aient cessé leur participation parce qu’ils n’ont pas pu être localisés, en raison de l’ordonnance d’un médecin, parce qu’ils ont déménagé dans une autre région ou pour d’autres raisons personnelles, de nombreux patients ont mis fin à leur participation en raison d’événements indésirables, notamment les symptômes suivants :
- Infarctus aigu du myocarde
- Amnesia
- Anorexie
- Fibrillation auriculaire
- Infarctus cérébral
- Insuffisance cardiaque congestive
- Maladie coronarienne
- Surdité (unilatérale)
- Dépression
- Pieds diabétiques
- Perforation diverticulaire
- Exposition pendant la grossesse
- Douleurs oculaires
- Instabilité de la démarche
- Adénocarcinome gastrique
- Hémorragie gastro-intestinale
- Hypertension artérielle
- Fréquence cardiaque irrégulière
- Perte du goût et de l’odorat
- Myalgie
- Paraparésie
- Parkinsonisme
- Presyncope
- Embolie pulmonaire
- Pyrexie
- Gonflement du visage
- Tachycardie
- Accident ischémique transitoire
- Urticaire
- Allergie aux vaccins
- Vertige
Dans d’autres cas, les sujets se sont retirés en raison de craintes liées à des problèmes d’innocuité du vaccin, ou d’un malaise à recevoir la deuxième dose.
Un document d’examen clinique passe sous silence les événements indésirables survenus au cours des essais
Également inclus dans la décharge de documents de la FDA de juin était un document d’« examen clinique », de 334 pages, qui semble avoir été approuvé par la FDA le 30 avril 2021, et qui présente des « données essentielles » provenant de l’étude de phase 1/2/3 C4591001, réalisée aux États-Unis, ainsi que des données de phase 1/2 « justificatives » provenant de l’étude BNT162-01, réalisée en Allemagne.
Ce document fait référence à la fois au vaccin de Pfizer-BioNTech, qui a reçu un AUU de la FDA, et au vaccin Comirnaty de Pfizer, qui a reçu l’approbation complète de la FDA mais qui serait presque impossible à trouver dans les lieux de vaccination aux États-Unis.
Comme le rapportait précédemment The Defender, un juge fédéral a estimé que les vaccins de Pfizer-BioNTech et Pfizer Comirnaty sont juridiquement distincts.
Le document d’examen clinique indique :
« Le BNT162b2 a reçu des autorisations temporaires pour un approvisionnement d’urgence dans 28 pays et des autorisations de mise sur le marché conditionnelles dans 39 pays dans le monde.
« Le nom du produit fourni en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence/temporaire pour toutes les régions applicables est le vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech.
« Le nom du produit fourni dans le cadre d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle pour toutes les régions applicables est COMIRNATY [COVID-19 mRNA Vaccine (nucleoside modified)]. »
Le document indique que les participants à l’essai se sont vu administrer l’un des deux vaccins candidats, appelés BNT162b1 et BNT162b2 (ce dernier ayant finalement reçu une AUU de la FDA), ou un placebo. Diverses doses ont également été testées, allant de 10 μg à 100 μg pour BNT162b1, et de 10 μg à 30 μg pour BNT162b2.
Dans la phase 1 de l’étude BNT162-01, l’examen clinique rapporte que « 40 % à 45 % des participants ayant reçu BNT162b1 et BNT162b2, toutes tranches d’âge confondues et tous niveaux de dose confondus, ont signalé un ou plusieurs EI [adverse events] entre la dose 1 et les 28 jours (c’est-à-dire 1 mois) suivant la dose 2 ».
Dans ce qui s’avérera être une tendance générale tout au long de l’examen clinique, on nous dit que « la plupart des EI ont été considérés par l’investigateur comme non liés à l’intervention de l’étude et d’une gravité légère à modérée, et tous les EI ont été signalés comme résolus ».
Certains événements indésirables spécifiques mis en évidence dans cette partie de l’examen clinique sont les suivants :
« Parmi les receveurs de BNT162b1, 1 jeune participant du groupe 10 μg a arrêté l’étude en raison d’un EI modéré de malaise (considéré comme non lié à l’intervention de l’étude) après la dose 1 et 1 jeune participant du groupe 60 μg a arrêté l’étude en raison d’une toxicité limitant la dose de pyrexie après la dose 1.
« Un participant plus âgé du groupe 20 μg a présenté un EIG de syncope sévère (considéré comme non lié à l’intervention de l’étude) après la dose 1 et le traitement de l’étude a été retiré.
« Parmi les receveurs de BNT162b2, 1 jeune participant du groupe 10 μg a arrêté l’étude en raison d’un EI modéré de rhinopharyngite (considéré comme non lié à l’intervention de l’étude) après la dose 1.
« Un participant plus âgé du groupe 20 μg a eu un EIG de fracture de la cheville (considéré comme non lié à l’intervention de l’étude) après avoir reçu les deux doses, a été répertorié comme se rétablissant et reste dans le suivi. »
L’examen clinique indique également « qu’aucun décès n’est survenu dans la partie phase 1 de l’étude BNT162-01 ».
L’examen ajoute que « de la dose 1 de BNT162b2 30 μg à la date de levée de l’insu, 6 (50,0 %) participants du groupe d’âge le plus jeune et 3 (25,0 %) participants du groupe d’âge le plus âgé ont signalé au moins 1 EI. »
Plus précisément, dans cette partie de l’étude, « deux (16,7 %) participants du groupe d’âge BNT162b2 30 μg plus jeune et 1 (8,3 %) participant du groupe d’âge BNT162b2 30 μg plus âgé ont signalé au moins 1 EI grave » et « dans le groupe d’âge BNT162b2 30 μg plus jeune, 3 (25,0 %) participants ont signalé au moins 1 EI lié et 1 (8,3 %) participant a signalé 1 EIG grave. »
Selon l’étude, ces effets indésirables spécifiques ont été signalés dans « la classe de systèmes d’organes (SOC) des troubles du système nerveux (3 participants [25 .0%] dans le groupe d’âge le plus jeune et 1 participant [8 .3%] dans le groupe d’âge le plus élevé), suivis des troubles de l’appareil locomoteur et du tissu conjonctif (1 participant [8 .3%] dans chaque groupe d’âge). Tous les EI par terme préférentiel (PT) ont été signalés par au plus un participant. »
L’examen ajoute que « de la dose 1 à la date de levée de l’insu, 1 participant du groupe BNT162b2 30 μg plus jeune a signalé un EIG sévère (névrite) qui a été évalué par l’investigateur comme n’étant pas lié à l’intervention de l’étude », et « aucun participant de la phase 1 randomisé pour BNT162b2 30 μg ou le placebo correspondant n’est décédé jusqu’à la date de clôture des données du 13 mars 2021 ».
Examen des résultats de l’étude C4591001
Alors que l’incidence du BNT162b2 et du placebo était similaire dans les groupes d’âge des participants plus jeunes (9,1 % vs 11,1 %) et plus âgés (4,3 % vs 8,9 %), parmi ceux qui ont reçu le BNT162b2 au lieu du placebo, « deux événements graves de myalgie et d’adénocarcinome gastrique (qui était également un EIG) ont été signalés pour 2 participants dans le groupe d’âge … plus jeune, tous deux évalués par l’investigateur comme n’étant pas liés à l’intervention de l’étude ».
Il est également mentionné que « le seul abandon dû à un EI pendant cette période a été le participant du groupe d’âge le plus jeune de BNT162b2 qui a signalé un EI d’adénocarcinome gastrique (abandon de l’étude le jour 23 après la dose 1 de BNT162b2) ».
Enfin, de la dose 1 à 1 mois après la dose 2 pour les participants au suivi de sécurité en aveugle de l’étude C4591001, « le nombre total de participants ayant signalé au moins 1 EI et au moins 1 EI connexe était plus élevé dans le groupe BNT162b2 (30,2 % et 23,9 %, respectivement) que dans le groupe placebo (13,9 % et 6,0 %, respectivement) ».
Plus précisément, « des EI sévères ont été signalés par 1,2 % et 0,7 % dans les groupes BNT162b2 et placebo respectivement, et les EI mettant en jeu le pronostic vital étaient similaires (0,1 % dans les deux groupes) », et « des EIG et des EI conduisant à l’arrêt du traitement ont été signalés par ≤0,6 % et ≤0,2 %, respectivement, dans les deux groupes », tandis que « des abandons dus à des EI connexes ont été signalés chez 13 participants du groupe BNT162b2 et 11 participants du groupe placebo (0,1 % dans les deux groupes) ».
Dans l’ensemble, comme indiqué pour cette partie de l’étude, « dans le groupe d’âge le plus jeune, le nombre de participants ayant signalé au moins un événement indésirable entre la dose 1 et le mois suivant la dose 2 était de 4233 (32,6 %) et de 1871 (14,4 %) dans les groupes BNT162b2 et placebo, respectivement. Dans la tranche d’âge supérieure, le nombre de participants ayant signalé au moins un événement indésirable entre la dose 1 et le mois suivant la dose 2 était de 2384 (26,7 %) et 1177 (13,2 %) dans les groupes BNT162b2 et placebo, respectivement ».
L’examen précise que « les EI les plus fréquemment signalés dans le groupe BNT162b2 … étaient des douleurs au point d’injection (2 915 [13 .3%]), la pyrexie (1517 [6 .9%]), la fatigue (1463 [6 .7%]), des frissons (1365 [6 .2%]), les maux de tête (1339 [6 .1%]), et la myalgie (1239 [5 .7%]) », mais certains effets indésirables plus graves ont été signalés au cours de cette phase de l’essai, notamment une paralysie faciale, des troubles cardiaques, une cirrhose hépatique, une cholécystite/cholécystite aiguë, une colique biliaire, un calcul du canal biliaire, une dyskinésie biliaire, une lymphadénopathie, une appendicite, une névrite optique et une hypersensibilité/anaphylaxie.
Dans l’ensemble, selon l’étude, « de la dose 1 à 1 mois après la dose 2, les EI graves signalés pendant la période de suivi en aveugle ont été peu fréquents, signalés chez 1,2 % des bénéficiaires de BNT162b2 et 0,7 % des bénéficiaires du placebo ».
Au cours de la « période de suivi ouvert », c’est-à-dire lorsque l’essai initial est terminé mais que les participants sont invités à continuer à prendre le médicament à l’étude pendant une période supplémentaire, l’étude indique que « trois participants initialement randomisés pour BNT162b2 sont décédés au cours du suivi ouvert ».
Si l’un de ces décès serait dû à un accident de la route, les deux autres ont été attribués à des métastases pulmonaires et à un infarctus du myocarde. Cependant, aucun de ces décès « n’a été évalué par l’investigateur comme étant lié à l’intervention de l’étude ».
En outre, selon le rapport, au cours de cette période, « 12 006 participants ont été suivis pendant au moins 6 mois. Parmi eux, 3 454 participants (28,8 %) ont signalé au moins un EI et 2 245 participants (18,7 %) ont signalé au moins un EI connexe. Les EI graves et les EAS ont été signalés par 2,1 % et 1,6 %, respectivement ».
L’étude fournit des données pour les participants à partir de la dose 3 (première dose de BNT162b2) jusqu’à la date limite des données. Le taux d’incidence des effets indésirables graves (EI) était de 6,0 pour 100 AP (années-patients), les conditions spécifiques rapportées comprenant des embolies pulmonaires, une thrombose, une urticaire, un accident vasculaire cérébral et une pneumonie COVID-19.
Ici, la revue ajoute que l’IR pour les participants au placebo original qui ont eu au moins un EI mettant en jeu le pronostic vital entre la dose 3 et la date de clôture des données était de 0,5 pour 100 AP. Un seul de ces événements mettant en danger la vie du patient, un cas de réaction anaphylactoïde, a été considéré comme lié à la vaccination. Les autres effets indésirables graves mettant en jeu le pronostic vital comprenaient l’arrêt cardio-respiratoire, la nécrose gastro-intestinale, la thrombose veineuse profonde et l’embolie pulmonaire.
Le rapport note également qu’« il y a eu 15 décès dans le groupe BNT162b2 et 14 décès dans le groupe placebo entre la dose 1 et la date de levée de l’aveugle pendant la période de suivi en aveugle contre placebo ».
Cependant, le rapport ne semble pas entrer dans le détail des causes de décès pour l’un ou l’autre groupe, si ce n’est pour déclarer : « Aucun de ces décès n’a été évalué par l’investigateur comme étant lié à l’intervention de l’étude ».
Dans la « période de suivi en aveugle de la dose 1 à 1 mois après la dose 2 », dans le groupe BNT162b2, « EIG [serious adverse events] était similaire dans le groupe BNT162b2 (0,6 %) et dans le groupe placebo (0,5 %) », avec trois EIG dans le groupe non placebo considérés comme liés au vaccin. Il s’agissait notamment d’arythmie ventriculaire, de lymphadénopathie et de SIRVA.
Au cours de la « période de suivi ouverte » pour les « participants originaux à l’étude BNT162b2 », le rapport indique qu’« un participant plus jeune, sans antécédents médicaux, a subi un EIG potentiellement mortel d’infarctus du myocarde 71 jours après la dose 2, qui a été évalué par l’investigateur comme lié à l’intervention de l’étude ».
Cependant, malgré son caractère potentiellement mortel, cet état « a duré 1 jour et s’est résolu le même jour ».
Dans l’ensemble, « de la dose 1 à 6 mois après la dose 2, pendant les périodes de suivi en aveugle et en ouvert, 190 (1,6 %) participants du groupe BNT162b2 ont rapporté au moins un EIG » et « le nombre de participants ayant rapporté au moins un EIG était de 73 (1,1 %) et 117 (2,2 %) dans les groupes d’âge plus jeunes et plus âgés, respectivement ».
Ces EIG ont été classés dans les catégories suivantes : néoplasmes, infections et infestations, troubles gastro-intestinaux, troubles hépatobiliaires, troubles respiratoires/thoraciques/médiastinaux et blessures/empoisonnements/complications de la procédure.
Un participant au placebo initial qui a reçu le BNT162b2 pour la dose 3 a connu un événement indésirable grave qui a été évalué par l’investigateur comme étant lié à l’intervention de l’étude ; plus précisément, une réaction anaphylactoïde 2 jours après la dose 3, ce qui a entraîné le retrait du participant de l’étude, malgré une résolution signalée.
Une sous-section distincte du rapport traite spécifiquement des cas de paralysie de Bell et de paralysie faciale chez les participants à l’essai. Plus précisément, « pendant la période de suivi en aveugle contre placebo, 6 participants ont développé une paralysie faciale unilatérale (paralysie de Bell) : 4 ont été randomisés pour le BNT162b2 (tous des hommes) et 2 ont été randomisés pour le placebo (1 homme ; 1 femme) », selon la revue.
En ce qui concerne les quatre participants à l’essai vacciné, leur âge variait de 40 à 70 ans, les symptômes apparaissant de trois à 48 jours après leur dernière dose. Leurs symptômes ont été enregistrés comme étant « d’intensité légère à modérée », avec une durée allant « de 3 à 68 jours », et deux de ces cas ont été « considérés par l’investigateur comme étant liés à l’intervention de l’étude ».
De plus, « au cours de la période de suivi en ouvert, 3 participants qui ont reçu BNT162b2 à la dose 3 ou à la dose 4 (après avoir été initialement randomisés dans un placebo) ont présenté une paralysie faciale », selon l’étude. Ces patients étaient tous des femmes, dont l’âge variait entre 19 et 34 ans. Les événements ont été enregistrés comme commençant deux à huit jours après l’administration de la troisième dose, et « étaient légers à graves ». Une affaire a duré 12 jours, tandis que les deux autres étaient en cours à la date limite de l’essai.
Notamment, selon la revue, « tous ces événements de paralysie faciale ont été considérés par l’investigateur comme liés à l’intervention de l’étude ».
La revue ajoute que « pendant la période de suivi en ouvert des participants initialement randomisés pour BNT162b2, un participant de sexe masculin âgé de 51 ans a développé une paralysie de Bell 154 jours après avoir reçu la dose 2 ». Aucune indication n’est donnée quant à savoir si cela a été considéré comme étant lié à la vaccination ou non.
De la dose 1 à la date de levée de l’insu, les événements indésirables liés au cœur comprenaient « 6 infarctus aigus du myocarde, 4 infarctus du myocarde du groupe et 1 syndrome coronarien aigu » dans le groupe BNT162b2.
Selon la revue, « la plupart de ces événements sont apparus à distance (c’est-à-dire > 30 jours après) de la réception du vaccin ou du placebo. Aucun de ces événements n’a été évalué par l’investigateur comme étant lié à l’intervention de l’étude ».
De plus, « un participant du groupe d’âge le plus âgé BNT162b2 a présenté une péricardite. L’événement est apparu 28 jours après la dose 2, était en cours à la date de clôture des données et a été évalué par l’investigateur comme n’étant pas lié à l’intervention de l’étude ».
En outre, « il y a eu 8 cas d’embolie pulmonaire dans le groupe BNT162b2 », en plus de quatre accidents vasculaires cérébraux hémorragiques et « 2 accidents vasculaires cérébraux ischémiques, 4 accidents vasculaires cérébraux, 2 accidents ischémiques transitoires » dans ce groupe, plus « 1 cas de thrombocytopénie et 1 cas de diminution du nombre de plaquettes ».
En outre, « il y a eu 9 événements thrombotiques dans le groupe BNT162b2 », dont sept cas de thrombose veineuse profonde, un cas de coagulopathie et un cas de thrombose de la veine ophtalmique.
En ce qui concerne les problèmes auto-immuns dans le groupe BNT162b2, l’étude indique que « 10 cas de maladies auto-immunes ont été identifiés », avec un cas de « thyroïdite auto-immune, colite ulcéreuse, maladie de Crohn, arthrite réactive, fibromyalgie, lupus érythémateux disséminé, alopécie areata, psoriasis » et deux cas d’arthropathie psoriasique.
Les grossesses ont été largement passées sous silence dans l’examen, qui indique que :
« Au moment de la date de clôture des données (13 mars 2021), un total de 50 participants ayant reçu BNT162b2 avaient déclaré des grossesses, dont 42 participants initialement randomisés dans le groupe BNT162b2 et 8 participants initialement randomisés dans le groupe placebo qui ont ensuite reçu BNT162b2. »
« Au total, 12 participants (n=6 chacun dans les groupes randomisés BNT162b2 et placebo) se sont retirés de la période de vaccination en aveugle contrôlée par placebo de l’étude en raison d’une grossesse, et 4 participants initialement randomisés sous placebo qui ont ensuite reçu BNT162b2 se sont retirés de la période de vaccination en ouvert en raison d’une grossesse.
« Ces participants continuent d’être suivis pour les résultats de la grossesse. « Aucune naissance n’a été signalée chez les personnes qui sont devenues enceintes dans l’étude C4591001 au moment de cette soumission.
« Toutes les grossesses comportent un risque d’anomalie congénitale, de perte ou d’autres résultats indésirables. Les données disponibles sur le BNT162b2 administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer des risques associés au vaccin pendant la grossesse. »
Pfizer conclut que les vaccins sont « sûrs et bien tolérés »
Dans l’ensemble, malgré l’incidence des effets indésirables graves – dont certains ont été reconnus comme étant liés au vaccin – et des décès, ainsi que le manque reconnu de données concernant les résultats pour les femmes enceintes qui ont participé à l’essai, les « conclusions de sécurité » de l’examen indiquent ce qui suit :
« Sur la base des données de phase 1 de l’étude FIH BNT162-01, BNT162b1 et BNT162b2 se sont révélés sûrs et bien tolérés chez des adultes en bonne santé âgés de 18 à 55 ans, sans aucun résultat inattendu en matière de sécurité … et le profil d’EI et les résultats de laboratoire clinique n’ont pas suggéré de problèmes de sécurité.
« Sur la base des données de phase 1 de l’étude C4591001 et de l’étude BNT162-01, BNT162b1 et BNT162b2 se sont avérés sûrs et bien tolérés chez des adultes sains plus jeunes, âgés de 18 à 85 ans, sans aucun résultat de sécurité inattendu … et le profil d’EI n’a pas suggéré de problèmes de sécurité, y compris jusqu’à environ 6 mois après la dose 2 pour les groupes BNT162b2 30 μg.
« Sur la base des données de phase 2/3 obtenues auprès d’environ 44 000 participants âgés de ≥16 ans et ayant bénéficié d’un suivi d’au moins 6 mois après la dose 2 de l’étude C4591001, BNT162b2 à 30 μg s’est avéré sûr et bien toléré dans tous les groupes d’âge … et le profil d’EI n’a pas suggéré de problèmes de sécurité graves. L’incidence des EIG et des décès a été faible par rapport au nombre de participants recrutés et comparable pour BNT162b2 et le placebo. L’incidence des abandons dus à des EI était également généralement faible et similaire entre les groupes BNT162b2 et placebo.
« Le suivi cumulatif de la sécurité jusqu’à au moins 6 mois après la dose 2 pour environ 12 000 participants de la phase 2/3 initialement randomisés pour BNT162b2, comprenant les périodes combinées en aveugle et en ouvert, n’a montré aucun nouveau signal de sécurité ou suggéré [any] de nouveaux problèmes de sécurité découlant de cette période de suivi.
« De même, le suivi en ouvert des participants initialement randomisés dans le groupe placebo, depuis la levée de l’obligation de recevoir BNT162b2 jusqu’à la date de clôture des données, n’a révélé aucun nouveau signal ou problème de sécurité.
« Le profil d’EI parmi environ 44 000 participants âgés de ≥16 ans inscrits à ce jour à la date limite de sécurité la plus récente (13 mars 2021), reflétait principalement des événements de réactogénicité avec de faibles incidences d’événements graves et/ou liés. L’incidence des EIG était faible et similaire dans les groupes vaccin et placebo. Peu de participants se sont retirés de l’étude en raison d’EI. Peu de décès sont survenus dans l’ensemble, tant dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo, sans déséquilibre.
« Pour les participants randomisés dans le groupe placebo et dont l’insu a ensuite été levé pour recevoir la vaccination BNT162b2, les données ouvertes entre le moment où l’insu a été levé et la date de clôture des données (13 mars 2021) n’ont pas montré de nouveaux résultats ou signaux de sécurité.
« Dans l’ensemble, les données d’efficacité et d’immunogénicité suggèrent que le schéma à 2 doses de BNT162b2 (30 μg) induit une forte réponse immunitaire et fournit une protection durable contre la COVID-19 à travers un spectre d’individus représentatif de la population en général pour les personnes âgées de ≥16 ans : ceux qui ont ou non une exposition antérieure au SRAS-CoV-2 et ceux qui se trouvent dans des catégories à risque plus élevé en fonction de l’âge, de la race, de l’ethnicité et/ou de la comorbidité. »
En conséquence, et sur la base des données ci-dessus, l’examen se prononce en faveur de l’approbation du BNT162b2 :
« Un programme de vaccination doit être mis en œuvre rapidement et étendu pour avoir un impact significatif sur le cours de la pandémie. L’homologation du BNT162b2 est susceptible d’améliorer l’adoption du vaccin en facilitant la fourniture du vaccin de Pfizer/BioNTech directement aux pharmacies et aux prestataires de soins de santé.
« L’impact le plus important de l’homologation du BNT162b2 pourrait être l’approvisionnement direct des prestataires de soins de santé qui desservent des populations vulnérables telles que les patients âgés et ceux qui vivent dans des communautés rurales et mal desservies (c’est-à-dire des personnes qui pourraient être incapables de relever les défis de l’obtention de l’accès aux vaccins en utilisant les systèmes en place pour l’AUU).
« L’expansion du vaccin par le biais de l’homologation améliorerait en fin de compte les chances d’atteindre l’immunité collective de la population pour maîtriser la pandémie.
« Dans l’ensemble, les risques et les avantages potentiels, évalués par le profil de sécurité et l’efficacité et l’immunogénicité de BNT162b2 (30 μg), sont équilibrés en faveur des avantages potentiels pour prévenir la COVID-19 chez les personnes immunisées.
« De même, le profil de bénéfice et de risque de BNT162b2 30 μg plaide en faveur de la poursuite du développement dans les populations pédiatriques, maternelles et autres populations à risque. »
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
EXCLUSIF :
la CARRIÈRE d’un JEUNE FEMME de 29 ans
s’est EFFONDRÉE
après la BLESSURE CAUSÉE
par le 'VACCIN' COVID de PFIZER.Dans une interview exclusive accordée à The Defender, Hayley Lopez, qui a développé le syndrome de tachycardie orthostatique posturale à l'âge de 29 ans après avoir reçu sa première dose du vaccin Pfizer COVID-19, ne peut plus exercer le métier qu'elle aime car elle ne peut pas passer les tests médicaux requis.
À 29 ans, Hayley Lopez avait une carrière prometteuse pour laquelle elle avait travaillé 12 ans, en tant que contrôleur aérien dans l’une des installations les plus fréquentées de l’administration fédérale de l’aviation (FAA) des États-Unis.
Le 8 octobre 2021, cette carrière s’est arrêtée net 15 minutes après que Mme Lopez ait reçu sa première et unique dose du vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech.
Dans un entretien exclusif avec The Defender, Mme Lopez, aujourd’hui âgée de 30 ans, a raconté son histoire, notamment les blessures qu’elle a subies et les difficultés qu’elle a rencontrées pour obtenir un diagnostic et un traitement.
« Environ 15 minutes après le tir, j’ai ressenti une douleur au bras et à la poitrine », a déclaré Lopez. « Ensuite, j’ai remarqué des étourdissements, un essoufflement, des problèmes de mémoire et des bégaiements en l’espace de trois jours – et c’est là que j’ai su que quelque chose n’allait vraiment pas ».
Mme Lopez a cherché de l’aide dans un centre de soins d’urgence et, pendant qu’elle y était, elle a dit qu’elle a eu des pertes de conscience.
« Mes autres symptômes comprennent des contractions, des douleurs nerveuses, de la fatigue, une pression artérielle élevée, un rythme cardiaque élevé, des palpitations, des étourdissements, une sensation de vertige et des migraines », a déclaré Lopez.
« Je souffre toujours de tous les symptômes maintenant, huit mois plus tard ».
Lopez ne voulait pas se faire vacciner, mais en vertu du décret de l’administration Biden, les employés fédéraux devaient se faire vacciner ou être licenciés.
« Je veux que les gens sachent que j’étais juste une jeune femme de 29 ans, normale et en bonne santé, qui essayait de naviguer dans la vie », a déclaré Mme Lopez.
« J’ai travaillé très dur pour arriver là où j’en suis dans ma carrière et à l’époque, j’avais l’impression que mon monde allait s’écrouler si je perdais mon emploi. J’ai eu la piqûre pour garder mon emploi et maintenant cela pourrait mettre fin à ma carrière ».
Pour Mme Lopez, les symptômes qu’elle a ressentis presque immédiatement après avoir reçu la piqûre de Pfizer n’étaient qu’une partie de ses problèmes. Elle a également eu du mal à trouver un médecin capable de diagnostiquer son état et qui ne rejetterait pas ses craintes que les symptômes soient liés au vaccin.
« Je pourrais continuer à parler du système de santé et de la façon dont on est traité lorsqu’on est blessé par un vaccin », a déclaré Mme Lopez. « Je suis allé à un total de 32 rendez-vous avec 17 médecins différents en sept mois ».
Les deux premiers médecins qu’elle a consultés aux urgences lui ont dit que c’était une coïncidence que les symptômes soient apparus immédiatement après le vaccin.
« Ils semblaient plus soucieux de m’assurer que ce n’était pas dû au vaccin que de me soigner », a-t-elle déclaré.
Certains des « diagnostics » qu’elle a reçus étaient dédaigneux – simplement « liés au stress », lui ont dit les médecins – tandis que d’autres étaient à la limite du sexisme.
« Mes tests revenaient toujours normaux, alors mon médecin a pensé que c’était ‘juste de l’anxiété’ ». Lopez a dit. « Des spécialistes m’ont même dit que c’était dû à ‘mon cycle’ et que ‘beaucoup de femmes ont les mêmes plaintes’ ».
Selon Mme Lopez, elle a reçu une série de diagnostics erronés, notamment la costochondrite, le syndrome inflammatoire multisystémique, la COVID longue, l’anxiété et la dépression.
« J’ai quitté chaque rendez-vous chez le médecin les larmes aux yeux parce que je savais qu’ils avaient tort », a déclaré Mme Lopez. « Je savais que quelque chose n’allait pas chez moi et que ce n’était pas seulement dans ma tête ».
Mme Lopez a obtenu un diagnostic après avoir lu un article sur le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS), une affection qui affecte la circulation sanguine et peut entraîner des symptômes tels que des étourdissements, des évanouissements et une accélération du rythme cardiaque, symptômes qui apparaissent lorsqu’on se lève d’une position allongée.
« La première fois que j’ai lu un article sur le POTS, j’ai pleuré parce que c’était comme si je lisais un article sur moi », a déclaré Mme Lopez. « J’ai découvert le POTS par moi-même. Je n’ai reçu aucune information ni aucun conseil de la part d’un médecin ».
Lorsqu’elle a finalement consulté un médecin spécialisé dans le POTS, « il a tout de suite su que j’étais atteinte du POTS et a compris les difficultés que j’avais rencontrées avec mes médecins précédents, car tous ses patients atteints du POTS vivent les mêmes choses », a déclaré Mme Lopez.
Le POTS a empêché Lopez de travailler, dit-elle :
« Je suis toujours employé par la FAA, mais je suis incapable de travailler. Je dois conserver une autorisation médicale, comme les pilotes de ligne, pour faire mon travail.
Mon autorisation médicale m’a été retirée et je ne sais pas si je la récupérerai un jour.
J’ai reçu la piqûre pour garder le travail que j’aime et maintenant cette même piqûre m’empêche d’être médicalement capable de faire mon travail ».
Mme Lopez a reçu une certaine aide financière du programme fédéral d’indemnisation des travailleurs – 45 jours de maintien de salaire – car les blessures qu’elle a subies ont été considérées comme un accident du travail. Cependant, elle attend toujours l’approbation d’une indemnisation supplémentaire au-delà des 45 jours initiaux.
Mme Lopez a signalé ses blessures au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Elle a reçu une réponse du VAERS « environ six mois après l’avoir signalé, et ils ont demandé des informations à jour sur ma blessure due au vaccin ».
Cependant, à ce jour, l’un des diagnostics erronés qu’elle a reçus continue d’apparaître dans son dossier VAERS.
« Mon état n’a pas été mis à jour dans le VAERS depuis que j’ai envoyé des informations supplémentaires à leur demande, il y a presque deux mois ». Le rapport fait toujours état de son mauvais diagnostic, dit-elle.
Les dernières données disponibles du VAERS font état de 429 rapports de POTS, dont 310 casattribués à Pfizer, 99 rapports attribués à Moderna et 20 rapports à Johnson & Johnson. Les rapports ont été soumis entre le 14 décembre 2020 et le 3 juin 2022.
Mme Lopez a déclaré que ses blessures continuent d’avoir un impact sur « tous les aspects » de sa vie.
« Les mauvais jours, j’ai du mal à passer du canapé à la cuisine pour aller chercher un verre d’eau », dit-elle. « Dans un bon jour, je ne peux pas marcher plus de deux minutes, donc je ne peux pas aller au magasin ou emmener mon chien en promenade. J’ai de la chance si je suis capable de préparer le dîner ».
Elle a même du mal à parler. « Je m’arrête souvent au milieu d’une phrase parce que j’ai oublié ce dont je parlais ou [have] oublié un simple mot ».
Comme elle a des évanouissements, elle ne peut se doucher que lorsque son mari est à la maison, dit-elle.
« Je porte un moniteur au poignet pour mon rythme cardiaque et le système de détection des chutes [have] pour alerter mon mari si je m’évanouis ».
En plus de travailler comme contrôleur aérien, Lopez était un pilote privé et aimait voler. Elle n’a pas pu s’adonner à cette activité non plus après sa vaccination.
« Je n’ai pas été en mesure de voler – les autorisations médicales pour les contrôleurs aériens et les pilotes ont le même certificat », a-t-elle déclaré.
Ses blessures vaccinales ont également affecté les relations avec des personnes qui étaient auparavant proches d’elle.
« J’ai perdu des personnes qui m’étaient proches parce qu’elles ne voulaient pas entendre ou croire que le vaccin pouvait être dangereux, ou parce qu’elles s’en fichaient tout simplement », a-t-elle déclaré.
Mme Lopez a déclaré qu’elle ne connaissait pas d’autres contrôleurs aériens ayant vécu une expérience similaire à la sienne, mais qu’elle savait que « quelques pilotes » avaient été blessés par les vaccins.
« Je suis sûr qu’il y a beaucoup de personnes dans l’industrie de l’aviation qui ont peur de se présenter avec des blessures dues à des vaccins, car elles perdront leurs autorisations médicales et, à leur tour, leur emploi ».
Pour Mme Lopez, son expérience montre l’importance de sensibiliser le public aux blessures causées par les vaccins et à des maladies telles que le syndrome de stress post-traumatique.
« La communauté médicale doit être sensibilisée au POTS », a-t-elle déclaré. « La seule chose qui est rare à propos des blessures dues aux vaccins, c’est qu’on en parle rarement. Le POTS est incurable et peut durer toute la vie ».
(Source)
Re: Injection ARNm anti-covid : témoignages recensés de personnes victimes d'effets secondaires
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3- Épidémie des nouveau-nés britanniques diagnostiqués avec une myocardite
4- L’OMS met en garde contre une augmentation « inhabituelle » des cas de myocardite grave chez les bébés
5- Pfizer savait dès le début que ses injections empoisonnaient les adolescents – par Patrice Gibertie
6- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 4775 à 4783
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