Nos libertés

Mais qu'est-ce que ce fil fait dans la section de musique ?

Cinci a écrit:Mais qu'est-ce que ce fil fait dans la section de musique ?

au début c'était le titre d'une chanson d'Ingrid Courrèges, dont le titre était "nos libertés", maintenant que c'est devenu le thème du Fil, ça se justifie un peu moins, même si les artistes revendiquent de pouvoir s'exprimer aussi par la musique ; regardez le succès, inattendu d'ailleurs par son auteur, HK, de "Danser encore" :

"Nous on veut continuer à danser encore, voir nos pensées enlacer nos corps, passer nos vies sur une grille d'accords.."

"la musique adoucit les mœurs" disait-on autrefois et c'est vrai qu'elle a permis dans de nombreuses mobilisations, de donner du soleil, de la paix et de l'espoir sans passer par la case "violence" alors même que les hommes et femmes en ont gros sur le cœur d'injustices et d'oppression subies !

Dernièrement donc, Francis Lalanne et son ami Bruno Comparetti, ils s'exprimaient chez Me Brusa sur la genèse de leur chanson "les gens comme nous n'abandonnent jamais" : "c'est un message envoyé au tyran" disent-ils ! "Chanter c'est invoquer la vie" c'est une prière qui nous relie à la transcendance, nous rappelle que Dieu existe :

https://reaction19.fr/reaction19-webtv/100522-genese-de-la-chanson-la-gente-come-noi-non-molla-mai-avec-carlo-francis-et-bruno/

Merci ! 

 Puis c'est vrai que Francis Lalanne fut une agréable surprise en comparaison de la plupart des autres camarades de la colonie artistique. Plus libre. Moins conformiste.

Discours historique de Giorgio Agamben à la Commission DuPré : 28 novembre 2022

Comme toujours, chaque mot est pesé et il vaut la peine de le lire entièrement. Il utilise un terme du droit pénal pour éclairer comment, dans la situation qui est la nôtre, chacun a failli à sa responsabilité pour se faire complice d'un crime qu'il ne peut ni nommer ni identifier. Et sans au minimum une remise en question complète de tous les fondements politico-juridiques sur lesquels s'appuie notre modernité, la situation restera sans issue.



"Je voudrais partager avec vous quelques réflexions sur la situation politique extrême que nous avons connue et dont il serait naïf de croire que nous en sommes sortis ou même que nous pouvons en sortir. Je crois que même parmi nous, tout le monde n'a pas compris que ce à quoi nous sommes confrontés est à quelque chose chose de plus grave qu'un abus flagrant dans l'exercice du pouvoir ou à une perversion - aussi grave soit-elle - des principes du droit et des institutions publiques. Je crois plutôt que nous sommes au devant d'une ligne d'ombre que, contrairement à celle du roman de Conrad, aucune génération ne peut croire pouvoir franchir impunément. Et si, un jour, les historiens enquêtent sur ce qui s'est passé sous le couvert de la pandémie, il s'avérera, je crois, que notre société n'avait peut-être jamais atteint un tel degré de sauvagerie, d'irresponsabilité et, en même temps, de désintégration. J'ai utilisé à juste titre ces trois termes, liés aujourd'hui dans un nœud borroméen, c'est-à-dire un nœud dont chaque élément ne peut être défait par les deux autres. Et si, comme certains le prétendent non sans raison, la gravité d'une situation se mesure au nombre de meurtres, je crois que même cet indice s'avérera beaucoup plus élevé que ce que l'on a cru ou feint de croire. En empruntant à Lévi-Strauss une expression qu'il avait utilisée pour l'Europe de la Seconde Guerre mondiale, on pourrait dire que notre société s'est "vomie elle-même". C'est pourquoi je pense qu'il n'y a pas d'issue pour cette société à la situation dans laquelle elle s'est plus ou moins consciemment confinée, à moins que quelque chose ou quelqu'un ne la remette en question de fond en comble.

Mais ce n'est pas de cela dont je voulais vous parler ; je voudrais plutôt m'interroger avec vous sur ce que nous avons fait jusqu'à présent et pouvons continuer à faire dans une telle situation. En effet, je suis entièrement d'accord avec les considérations contenues dans un document qui a été diffusé par Luca Marini concernant l'impossibilité d'une réconciliation. Il ne peut y avoir de réconciliation avec ceux qui ont dit et fait ce qui a été dit et fait au cours de ces deux années.

Nous n'avons pas simplement devant nous des hommes qui se sont trompés ou ont professé des opinions erronées pour une raison quelconque, que nous pouvons essayer de corriger. Ceux qui pensent cela se font des illusions. Nous avons devant nous quelque chose de différent, une nouvelle figure de l'homme et du citoyen, pour utiliser deux termes familiers à notre tradition politique. En tout cas, c'est quelque chose qui a pris la place de cette dyade et que je propose d'appeler provisoirement par un terme technique du droit pénal : le complice - à condition de préciser qu'il s'agit d'une figure spéciale de la complicité, une complicité absolue, pour ainsi dire, dans le sens que je vais essayer d'expliquer.

Dans la terminologie du droit pénal, le complice est celui qui a adopté un comportement qui ne constitue pas en soi un délit, mais qui contribue à l'action criminelle d'une autre personne, l'auteur du délit. Nous nous sommes retrouvés et nous nous retrouvons face à des individus, ou plutôt une société entière, qui se sont rendus complices d'un crime dont le coupable est absent ou en tout cas ne peut par elle être nommé. Une situation paradoxale, c'est-à-dire une situation où il n'y a que des complices mais où l'auteur du délit est absent, une situation où chacun - qu'il s'agisse du président de la République ou d'un simple citoyen, du ministre de la Santé ou d'un simple médecin - agit toujours en tant que complice et jamais en tant qu'auteur du crime.

Je crois que cette situation singulière peut nous permettre de lire le pacte hobbesien dans une nouvelle perspective. C'est-à-dire que le contrat social a pris la figure - qui est peut-être sa vraie figure extrême - d'un pacte de complicité sans le délinquant - et ce délinquant absent coïncide avec le souverain dont le corps est formé par la même masse de complices et qui n'est donc rien d'autre que l'incarnation de cette complicité générale, de cet être com-plice, c'est-à-dire plié ensemble, de tous les individus.

Une société de complices est plus oppressive et étouffante que n'importe quelle dictature, car ceux qui ne participent pas à la complicité - les non-complices - sont purement et simplement exclus du pacte social, ils n'ont pas leur place dans la cité.

Il y a aussi un autre sens dans lequel on peut parler de complicité, et c'est la complicité non pas tant et seulement entre le citoyen et le souverain, mais aussi et plutôt entre l'homme et le citoyen. Hannah Arendt a montré à plusieurs reprises combien la relation entre ces deux termes est ambiguë et comment, dans les Déclarations des droits, c'est l'inscription de la naissance, c'est-à-dire de la vie biologique de l'individu, dans l'ordre juridico-politique de l'État-nation moderne qui est en cause.

Les droits ne sont attribués à l'homme que dans la mesure où il est le préalable immédiatement évanouissant du citoyen. L'émergence permanente à notre époque de l'homme en tant que tel est le signe d'une crise irrémédiable de cette fiction d'identité entre l'homme et le citoyen sur laquelle se fonde la souveraineté de l'État moderne. Ce que nous avons devant nous aujourd'hui, c'est une nouvelle configuration de cette relation, dans laquelle l'homme ne passe plus dialectiquement dans le citoyen, mais établit une relation singulière avec ce dernier, dans le sens où, avec la nativité de son corps, il fournit au citoyen la complicité dont il a besoin pour se constituer politiquement, et le citoyen, de son côté, se déclare complice de la vie de l'homme, dont il prend soin. Cette complicité, vous l'aurez compris, c'est la biopolitique, qui a maintenant atteint sa configuration extrême - et, espérons-le, finale.

La question que je voulais poser est donc la suivante : dans quelle mesure pouvons-nous encore nous sentir obligés envers cette société ? Ou si, comme je le crois, nous nous sentons malgré tout obligés d'une manière ou d'une autre, de quelle manière et dans quelles limites pouvons-nous répondre à cette obligation et parler publiquement ?
Je n'ai pas de réponse exhaustive, je ne peux que vous dire, comme le poète, ce que je sais ne plus pouvoir faire.

Je ne peux plus, face à un médecin ou à toute personne qui dénonce la manière perverse dont la médecine est utilisée depuis deux ans, ne pas d'abord remettre en cause la médecine elle-même. Si nous ne repensons pas à nouveau ce que la médecine est progressivement devenue, et peut-être même toute la science dont elle prétend faire partie, nous ne pouvons en aucun cas espérer arrêter son cours mortel.
Je ne peux plus, face à un juriste ou à toute personne qui dénonce la manière dont le droit et la constitution ont été manipulés et trahis, ne pas remettre en cause le droit et la constitution en premier lieu. Est-il nécessaire, sans parler du présent, que je rappelle ici que ni Mussolini ni Hitler n'ont eu besoin de remettre en cause les constitutions en vigueur en Italie et en Allemagne, mais qu'ils y ont trouvé les dispositifs dont ils avaient besoin pour établir leurs régimes ? Il est possible, en effet, que le geste de ceux qui cherchent aujourd'hui à fonder leur combat sur la constitution et les droits, soit déjà vaincu dès le départ.

Si j'ai évoqué cette double impossibilité qui est la mienne, ce n'est en fait pas au nom de vagues principes méta-historiques, mais, au contraire, comme une conséquence inéluctable d'une analyse précise de la situation historique dans laquelle nous nous trouvons. C'est comme si certaines procédures ou certains principes auxquels nous croyions ou, plutôt, faisions semblant de croire, avaient maintenant montré leur vrai visage, que nous ne pouvons manquer de regarder.

Je n'ai pas l'intention de dévaloriser ou de considérer comme inutile le travail critique que nous avons fait jusqu'à présent et que nous continuerons certainement à faire ici aujourd'hui avec rigueur et acuité. Ce travail peut être et est certainement utile sur le plan tactique, mais ce serait faire preuve d'aveuglement que de l'identifier simplement à une stratégie à long terme.

Dans cette perspective, il reste beaucoup à faire et cela ne peut se faire qu'en abandonnant sans réserve des concepts et des vérités que nous tenions pour acquis. Le travail qui nous attend ne peut que commencer, selon une belle image d'Anna Maria Ortese, "là où tout est perdu, sans compromis et sans nostalgie".

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

https://www.radioradio.it/2022/12/intervento-storico-di-giorgio-agamben-in-commissione-dupre/

Encore une exhortation solennelle de maître Di Vizio, qui se retire de l'association JNSPUD, passant à son "admirable, merveilleuse épouse" le flambeau. "Formons une communauté de destins", et c'est le cas de citer Jean-Paul Sartre, le philosophe de l'engagement :

"Jamais nous n'avons été plus libres que sous l'occupation" !  

ou bien à la manière de maître Di Vizio : "Le meilleur reste à vivre"  

Rebâtir ensemble

https://www.twitch.tv/videos/1716329434

Toujours plus solennellement et inlassablement, maître Di Vizio poursuit son exhortation à adhérer au mouvement politique qu'avec son "admirable épouse" il désire mener à bien. Projet de reconstruction à la lumière de l'Espérance ;  "redonner au peuple de France cette certitude que le meilleur est à venir, que tout n'est pas foutu mais possible ; ça dépend de nous, nous sommes acteurs du changement, nous ne pouvons pas laisser l'ouvrage de nos mains, de nos ancêtres être ainsi détruit".

"Les traités de l'OMS nous préparent un sale coup pendant que nous sommes occupés à nous battre contre les retraites et l'inflation.

Nous nous sommes enracinés dans une société où la légalité n'est plus la règle, où la liberté est devenue l'exception et la police la règle, où la fraternité n'a plus cours.

Essayons au quotidien de conjurer le sort en disant que non nous ne l'accepterons pas. C'est le sens de ce mouvement politique : accrocher sa charrue aux étoiles et tendre de nouveau vers la flêche des cathédrales."

Les dossiers immédiats : travailler à des partenariats avec les agriculteurs, à des labellisations alimentaires si nous ne voulons pas être à nouveau des cobayes.

Vers une écologie intégrale qui respecte l'homme pour ce qu'il est : une richesse.

Les grands procès : contre Delfraissy et le comité scientifique, contre le pass sanitaire, les soignants suspendus etc

La discrimination n'est pas derrière nous, mais devant nous, et ce n'est pas l'avenir que nous voulons laisser à nos enfants.

Hommage de maître Di Vizio au père Marcel Calot, un prêtre ouvrier. Hommage à Jean-Paul II qui a annoncé le combat dans lequel nous sommes, et la civilisation de l'Amour.

Mise en place d'une plate-forme communautaire, où chacun pourra offrir ses services, où nous prendrons soin les uns des autres, : "une communauté qui ne se laisse pas conter par la laideur du monde mais est capable d'avoir des ilots, de beauté et de résistance."

"Lever une armée de bienveillance, une armée de vérité, une armée de bâtisseurs !" Soyons des bâtisseurs, des bâtisseurs de cathédrales, des bâtisseurs d'Éternité, mais l'Éternité, elle commence aujourd'hui !"




https://www.twitch.tv/videos/1729372528

Carlo Alberto Brusa vous invite à découvrir le thème de la liberté à travers cinq heures de vidéos/conférences organisées par l'association REACTION19 le 27 janvier 2023. Vous aurez l'opportunité d'entendre les points de vue de personnalités marquantes telles que Martine Vonner, Denis Agret, Francis Lalanne, Fabrice Di Vizio, entre autres, sur des sujets importants tels que les droits de l'homme, la société et la vie publique. Ce sera l'occasion de faire un bilan sur les trois dernières années difficiles pour les français, et de mieux comprendre la période actuelle grâce à d'illustres défenseurs de la liberté.



Lien vers les vidéos et le chapitrage des rencontres de cette riche journée !

https://reaction19.fr/reaction19/actualites/association-reaction19/asso-2023/270123-la-journee-des-libertes/

Chanson qui est un hymne à la liberté, Dieu merci : rien de politique, pas de sang pour abreuver les sillons etc rien que le soleil, les oiseaux, les fleurs, les arbres, les rivières...  



Les oiseaux volent haut, tu sais ce que je ressens
Le soleil dans le ciel, tu sais ce que je ressens
Les roseaux dérivent, tu sais ce que je ressens

C'est une nouvelle aube
C'est un nouveau jour
C'est une nouvelle vie pour moi
C'est une nouvelle aube, c'est un nouveau jour
C'est une nouvelle vie pour moi
Et je me sens bien

Un poisson dans l'eau, tu sais ce que je ressens
La rivière coule librement, tu sais ce que je ressens
Les arbres fleurissent, tu sais ce que je ressens

C'est une nouvelle aube, c'est un nouveau jour
C'est une nouvelle vie pour moi
Et je me sens bien

Une libellule à la lumière du jour
Tu vois ce que je veux dire n'est-ce pas ?
Les papillons s'amusent
Tu vois ce que je veux dire
Dormir en paix quand le jour s'achève, c'est ce que je veux dire
Et ce vieux monde est un nouveau monde
Un vrai monde pour moi

Des étoiles brillent, tu sais ce que je ressens
Une odeur de pin, tu sais ce que je ressens
Oh la liberté est à moi
Et tu sais ce que je ressens

C'est une nouvelle aube, c'est un nouveau jour
C'est une nouvelle vie pour moi
Je me sens bien

@TraduZic

Intéressant pour comprendre dans quel genre de dictature nous sommes, le fait que la répression soit tacite, sans violence apparente, du moins à première vue... ne la rend pas moins féroce, bien au contraire

Alexis Haupt Philosophie
@AlexisPhilo

Les soignants n'ont jamais été "suspendus".
Ils ont vécu de la "répression tacite". C'est pas pareil et c'est pire.
Petite explication, à chaud.

https://twitter.com/AlexisPhilo/status/1643626446110203914

Nos libertés

Desiderius Ulixes a écrit:Nos libertés

Là on n'est plus trop dans le tacite...    mais la situation est suffisamment grave pour inquiéter des militaires, certains appellent les citoyens à l'union sacrée

Par la force des choses, j'entends tous les soirs ce qui se dit à la grand-messe du 20 heures et ce qui ressort pour moi, c'est le message : ben vous voyez bien qu'on est trop nombreux sur la terre, les ressources s'épuisent, on pourra pas nourrir tout le monde, y'a plus d'eau...
Bref, si vous voulez survivre soyez impitoyables avec les mangeurs inutiles. C'est ce que j'avais ressenti à la première "élection" de Jupiter.
Donc oui, union de tous ceux qui savent que finalement, ils sont dans le même bateau ou kwassa kwassa*...

Citation (explication) : le kwassa kwassa, ça pêche peu, mais ça ramène du comorien. (Dixit Jupiter).

A quel moment bascule t-on en tyrannie ? A partir du moment où les citoyens n’ont que des obligations et les gouvernants que des droits ! C’est ce qui est en train d’advenir en France ! Méditations sur le basculement opéré par @EmmanuelMacron



https://twitter.com/DIVIZIO1/status/1649856160306978816

Fabrice Di Vizio
@DIVIZIO1
Mon confrère sort cet ouvrage et il dit ceci : ne pas savoir est dangereux, ne pas vouloir savoir est complice ! Tout est dit
https://twitter.com/DIVIZIO1/status/1653323737112932360

Et à écouter  

La liberté des autres on s’en fout ! Jusqu’au jour où l’autre c’est nous
https://twitter.com/DIVIZIO1/status/1652707921631891456

Des fois je me dis qu'ils ont fait coïncider la réforme des retraites en même temps que la mise en évidence des effets indésirables des vaccins.
"Bénis" soit les casseurs qui travaillent pour le gouvernement qui est entrain de retourner l'opinion vers le "il faut arrêter cette violence intolérable dans une démocratie comme la nôtre".
Dit autrement, ils volent la colère légitime et préparent la surveillance de masse ou prison numérique... Bon, ça peut être ça ou pas. On verra bien.

T'as qu'à bosser, mon gars !  

https://twitter.com/DIVIZIO1/status/1656401852391473160?cxt=HHwWkIC-ka6t3PwtAAAA

 

https://www.youtube.com/watch?v=NH1eLL9O248

Les dissidents actuels de l'Occident ne font plus scandale, mais ils continuent à déranger :  fine analyse toute en ironie de Josef. Prions pour la multiplication des "dérangés" !  

«Il faut beaucoup de prodigues pour faire un peuple généreux, beaucoup d'indisciplinés pour faire un peuple libre, et beaucoup de jeunes fous pour faire un peuple héroïque. » Bernanos in Les Enfants humiliés (1949)

Révoludroit me paraît la proposition actuelle la plus compatible et apte à nous réconcilier avec notre histoire et avec le droit naturel, les deux étant liés. La plus réaliste en somme.

Valérie Bugault a raison, à mon avis, de vouloir se passer de Constitution. Le royaume de France pendant des siècles n'en a pas eu besoin, il avait l'Evangile comme constitution. Valérie Bugault a d'ailleurs eu une parole forte, à graver dans le marbre, en disant : "Aucune norme de droit positif ne peut être fondée sur une fiction juridique".
Elle-même propose une Charte des valeurs intangibles de la France, or les valeurs intangibles de la France sont chrétiennes, toute son histoire le dit. Sur le plan politique, ce qui fut mis en place à partir de 1789 fut une imposture, comme il apparait maintenant au grand jour.

https://revoludroit.fr/wp-content/uploads/2022/02/pdf_charte_des_valeurs_intangibles_de_la_france_revoludroit_reforme_des_institutions_valerie_bugault_mars_2022.pdf

*Nous ne vivons pas en république, notre régime politique intérieur n'a jamais correspondu à la res publica, chose publique, bien au contraire la nature des partis politiques fait que le parti vainqueur concentre en lui tous les pouvoirs.
La France par son histoire et par sa langue "de précision et de discernement" est le contre-modèle du modèle globaliste que les "financiers apatrides" veulent imposer : great reset ou esclavage transhumaniste des identités biologiques et numériques qui jusqu'à présent a avancé de façon masquée, parce qu'il faut bien dire qu'ils ne sont pas nombreux ceux que ce NOM fait rêver !!

Politique & Eco n°324 avec Valérie Bugault ; pour visionner l'entretien : https://www.youtube.com/watch?v=Rhdeb4nTZNs

"Il faut bien comprendre que cette domination sans partage de la caste des financiers, utilisant le commerce maritime et le pseudo « droit » commercial anglo-saxon, s’est développée dans l’ombre, en organisant son irresponsabilité juridique et politique ; son développement s’est réalisé par des pratiques de corruption systématique, rendue possible par le contrôle qu’elle avait sur les monnaies. C’est ainsi que cette caste a développé, partout dans le monde, un contre-modèle fondé sur :

Le cirque politique du pouvoir dit représentatif,
 Une fallacieuse séparation des pouvoirs et
 Un système centralisé de banques dites centrales organisées en réseau.

La corruption est irrémédiablement lié à ce type de régime. Notons qu’afin de couper court à toute contestation conceptuelle, cette caste à vocation hégémonique a pris soin de qualifier le régime ci-dessus décrit de « République » alors qu’en réalité une telle organisation politico-sociale ne doit RIEN à la « chose publique » (Res publica) et tout à la « chose privée » par l’accaparement des richesses et des pouvoirs dans les mains de quelques fournisseurs de crédit.

L’émergence politique du Covid n’a fait que mettre en lumière, rendre visible aux yeux de tous, cette triste réalité de l’accaparement et de l’hégémonie politique de la Haute finance au moyen d’un système de corruption systématique de toutes les instances dites « politiques » 

(...)

Ce système n’est pas politique en ce qu’il donne réellement les manettes du pouvoir à ceux qui fournissent l’argent et les capitaux, c’est-à-dire aux banquiers-commerçants qui ont pris le contrôle de nos États. Lesdits États ne sont plus « politiques » au sens propre du terme car ils n’ont plus pour vocation d’organiser la « vie de la Cité » mais de corrompre, de mettre en scène des hommes de paille, afin de donner le contrôle de la force publique et du pouvoir – en ayant bien pris soin de liquider tout contre-pouvoir effectif – aux pourvoyeurs de capitaux, lesquels sont parfaitement et par construction « transnationaux » ou « apatrides ».

Je précise encore que la mise en scène politique a inclus l’existence d’apparents contrepouvoirs (Conseil d’État, Cours de justice, Cours constitutionnelles…), ces derniers n’étant que de façade puisque contrôlés à 100% par le pouvoir dit exécutif, ce qui a permis d’endormir les populations qui se sont crues en réel contrôle du phénomène politique.

(...)

Ce système a-politique, prétendument démocratique et républicain, qui a été mis en place en France à la faveur de la Révolution de 1789, a permis de donner aux pourvoyeurs de capitaux le contrôle de la législation. Nous avons en conséquence glissé d’un véritable système de droit qui s’applique à tous et qui tend à établir la vérité et la justice (représenté par l’ancien système dit « de droit continental »), à un système juridique au service exclusif des puissances d’argent, sur le modèle du droit maritime et commercial anglo-saxon.

En conséquence, il ne faut pas s’étonner que le système économique se soit déployé dans la mesure exacte des besoins de captation des richesses et du pouvoir par la caste financière qui contrôlait les monnaies. Ainsi, le système dit capitaliste d’origine hollando-britannique – caricature de l’utilisation du capital en tant qu’arme de prédation ultime – a déployé ses méfaits dans tous les domaines de la vie.

Vous comprendrez que le domaine de l’information ne fait pas exception à ce principe général : il a été capté, comme tous les autres domaines de la vie collective, au profit de ceux qui le financent. Le contrôle du domaine médiatique est particulièrement recherché par l’oligarchie aux commandes en raison du contrôle de l’opinion publique qu’il permet au moyen de la diffusion généralisée d’informations difficilement vérifiables par chaque personne individuellement.

(...)

Cette solution est un réel changement de paradigme en ce qu’elle permettra de « refaire société », c’est-à-dire de renouer avec le concept de civilisation, et de casser le cercle vicieux de la déresponsabilisation du « personnel en charge », c’est-à-dire des individus chargés d’une mission publique au sens large du terme. Révoludroit permet de rendre à chaque habitant d’un territoire déterminé une parcelle du pouvoir politique qui lui a été volé en remettant chaque individu au cœur du développement de sa vie privée et de la vie publique.

Cela passe non seulement par une rénovation de la structure étatique mais également par une reprise en main politique des concepts de droit et de règlementation. Ainsi, dans mon nouveau modèle, le droit positif redevient soumis aux règles du droit naturel. Le droit positif redevient également un « droit commun » de nature civile (disparition de tous les droits d’exception, notamment le droit commercial, le droit social, le droit administratif…) qui s’impose à tous. L’organisation de l’activité humaine réintègre le droit commun civil sous la forme de l’instauration d’un modèle unique d’entreprise fondé sur la codécision des apporteurs de travail et des apporteurs de capitaux (personnalité professionnelle).

Cela passe également par la réinitialisation du « fait monétaire » dans le sens, qui aurait dû rester le sien, d’un service public destiné à tous les habitants et soumis aux besoins exclusif du développement de la Société, en tant qu’organe politique.

(...)

Enfin, il est évident que les actuelles instances européennes, conçues ab initio comme une arme politique au service exclusif des puissances financières dominantes, ne sauraientt en aucune façon faire partie du monde politique renouvelé ; pas plus que l’OTAN, bras armé de l’oligarchie transnationale, ne saurait en faire partie.

(...)

lIl y a toujours de l’espoir mais les individus doivent prendre conscience que l’espoir ne viendra que de leurs propres actions, lesquelles impulseront – ou non – une nouvelle dynamique sociétale et civilisationnelle.

Il ne saurait être question de réinventer les règles qui permettent le développement collectif et l’édification d’une civilisation. En ce domaine, nous ne pouvons que réinventer la roue car tout à déjà été expérimenté par l’humanité. Il suffit d’en connaître les grandes règles et de les respecter.

(...)

Si les individus acceptent à nouveau de respecter ces quelques principes légués par l’expérience de la longue histoire humaine, s’ils acceptent de redevenir acteurs de l’évolution de la Société politique, tous les espoirs sont permis.

Si, en revanche, la paresse intellectuelle, la sidération mentale et le rejet du réel continuent de gouverner les foules, il faut alors d’ores et déjà abandonner tout espoir de revenir à une Société plus juste et harmonieuse, comme tout espoir de survie pour l’humanité.

Mon mot de la fin sera le suivant : je souhaite à tous d’être courageux, ancrés dans le réel et combatifs face à l’empire du mensonge qui se dresse chaque jour devant chacun de nous. Ces qualités sont la condition du succès de l’émancipation des populations ; elles sont aussi la condition de la pérennité de la vie sur Terre.

https://valeriebugault.fr/article-pour-le-magazine-biotempo

ou en pdf :

https://valeriebugault.fr/wp-content/uploads/2022/04/BioTempo-N50_p052-054_MC_ENJEUX-Valerie-Bugault.pdf

Seigneur, tout est dévoilé, à Toi de jouer !  

"Lève-toi, Dieu, juge la terre, car toutes les nations t'appartiennent."

https://www.aelf.org/bible/Ps/81

"ce vaccin a agi comme un révélateur de la barbarie progressiste. Un révélateur, et un catalyseur. C’est l’inhumanité des Droits de l’Homme qui s’est donnée à voir durant cette crise Covid. C’est la barbarie intrinsèque des Lumières qui s’y est déchaînée. L’injonction de l’injection, et les comportements inouïs de bassesse qu’elle a suscités, nous ont offert de voir en pleine lumière l’Homme des Lumières. Le vrai. Le concret. Pas celui des finasseries philosophiques, des pitreries casuistiques et des embrouilles bavardes : celui que l’on observe dans la réalité. Nous avons vu ce qu’il en allait de ses valeurs de Liberté, d’Égalité et de Fraternité : QR-code et apartheid. Et ce qu’il en allait de sa Logique et sa Raison : inflation psychotique de rituels superstitieux (masques de pénitents, piqûres de vertu, gestes-barrières vade retro, aspersions d’eau bénite — pardon, de gel hydroalcoolique, fétichisme vaccinal confinant à l’idolâtrie), obscurantisme scientiste — pléonasme — refusant toute remise en question de La très Sainte et Vénérée « Science » (ce qui suffit à prouver qu’il ne s’agissait pas de science puisque la science, c’est la remise en question), haine de toute forme d’esprit critique (immédiatement taxée de complotisme). Nous avons pu admirer le glorieux couronnement de deux siècles de Lumières : le vaccinocrate. Cet être vide et arrogant dont le cervelet vagabonde entre sottise, ignorance et superstition. Et sadisme. Jubilation perverse de donner mauvaise conscience à ceux qui disent la vérité. De les persécuter. D’anéantir leur vie sociale. Voire leur vie tout court… Il n’y a aucun doute : ce vaccin détruit le cœur — dans tous les sens du terme" (extrait)

https://blognicolas.fr/2023/03/03/le-progressisme-est-une-barbarie/

La Jeanne d'Arc du droit  droit Fançais et continental, contre le droit de la city qui n'est qu'un instrument au service de la captation financière.


Il est heureux que de plus en plus d'intellectuels, comme Etienne Chouard et d'autres, se rapprochent de ses analyses, qui sont le fruit, dit-elle, de la réflexion, et d'avoir "les bonnes informations", que sa situation personnelle lui ont permis d'acquérir, un peu plus tôt que les autres. Elle ne se place pas sur un plan religieux, dit-elle, ne s'estimant pas autorisée à s'exprimer sur ce chapitre, mais elle constate une convergence.

Sa solution passe par l'éviction des partis politiques, par l'étude de l'histoire, pour reprendre ce qui peut-on dire, fonctionnait, ou pour le dire autrement ce qui correspond réellement au bien commun ; et notamment à réinvestir le lien entre pouvoir et responsabilité.

Le droit naturel a été élaboré par les grands penseurs de l’Église au Moyen Age. Il est essentiel d'y revenir sans quoi aucune justice ne pourra exister entre les hommes.

Elle pose donc les conditions d'une vraie démocratie.

"Révoludroit est fondé sur le retour au réel"; elle travaille à cela en collaboration avec des économistes, sur la question de la monnaie, des échanges, pour permettre qu'ils fonctionnent selon plus de justice, et avec quelques autres groupes de travail sur différents domaines concernés ; mais fondamentalement, dit-elle, Révoludroit appartient aux Français. Il leur appartient de s'y investir et de donner vie aux principes et règles non perverties des différentes activités humaines.

Valérie Bugault invite par conséquent les gens à venir la rejoindre, former avec elle des groupes de travail sur tous les éléments de Révoludroit : "j'attends les gens, j'attends que des préfets me rejoignent, déjà certaines forces de l'ordre travaillent à repenser une organisation saine de ce qu'était la force publique, tout ça a existé un temps, il faut juste reprendre les fondamentaux et évacuer toutes les scories qui se sont agrégées dessus pour rendre le système non viable. Mais dans Révoludroit, je repense tout le corps préfectoral dans le cadre d'une fonction qui ressemble beaucoup plus aux Missi Dominici d'Ancien Régime, donc ce n'est pas des préfets tels qu'ils sont aujourd'hui qui seront demain, mais on a quand même un corps de Missi Dominici, on a quand même un corps de diplomates donc j'attends que tous ces gens-là viennent me rejoindre pour former un groupe de travail, élaborer leurs règles de fonctionnement."

Au plan économique, tout fonctionnera selon le modèle de la participation : "L'activité humaine doit appartenir aux humains, pas seulement aux banquiers et aux capitalistes."

Son rôle est celui d'un éclaireur, Révoludroit apporte une compréhension globale collective, ouvre des pistes mais le chemin, il revient aux Français, à nous tous de l'emprunter, ou non :  "moi je ne compte pas... il faut sortir de cette emprise du pouvoir où il y a quelqu'un de tout-puissant qui peut renverser la vapeur. A moi seule, je ne peux pas faire ça ; ce que je peux faire, c'est montrer la réalité, et montrer le chemin pour un renouveau collectif, Si les gens veulent prendre ce chemin qui est viable parce que j'ai beaucoup réfléchi, sur tous ces fondamentaux, ils le feront et ça ne m'appartiendra plus ; ça ne m'appartient que pour lancer la machine, si vous voulez, mettre les différents travaux sur piste ; et c'est déjà en cours donc à la limite même si je disparaissais aujourd'hui, Révoludroit continuerait... Rien n'est secret dans Révoludroit. Tout est accessible à tout le monde."

dernière question : y a t-il un espoir pour l'avenir ?

"Mike, il y a un espoir tant que les gens veulent accepter le réel qui est tragique. Sans compréhension précise des phénomènes auxquels nous sommes confrontés, qui sont des phénomènes extraordinairement dangereux, il n'y a pas d'espoir possible. L'espoir ne viendra que du fait qu'on accepte le réel, et à partir du moment où on l'accepte, on trouve des moyens, pour changer les rapports de force qui s'imposent. Dans ces cas-là tout est possible...; mais si les gens continuent à faire l'autruche et à ne pas vouloir considérer le réel, et préfèrent continuer à être envoûtés par Bfm et Macron, il ne se passera rien."

"L'espoir ne viendra que du fait que les gens acceptent de se confronter à une réalité qui est extrêmement violente, parce qu'hégémonique.... tant que vous restez sur l'idée que les partis politiques vont vous sauver, il n'y a aucun espoir."

autre lien :

106 - LES MONDIALISTES EN GUERRE CONTRE LE PEUPLE AVEC VALÉRIE BUGAULT (GEOPOLITIQUE PROFONDE)

https://odysee.com/@valeriebugault:c/LES-MONDIALISTES-EN-GUERRE-CONTRE-LE-PEUPLE-AVEC-VAL%C3%89RIE-BUGAULT:5

Entretien sur la question de : comment mettre en oeuvre les groupements d'intérêts (comme par exemple étaient les corporations anciennes) de façon à changer de paradigme, repartir sur des bases saines et solides, sinon saintes ! et tel est le projet de Révoludroit, qui fait du retour au droit naturel la condition et la base même de ce changement.

Très intéressant justement par la tournure que prend la conversation à un certain moment (45èmn env.) le journaliste met "les pieds dans le plat" :

"Ce qui relie les gens aujourd'hui, même si on ne parle pas la même langue, c'est l'argent. Dans l'Ancien Régime, ce qui reliait les gens c'était Dieu. Donc, comment on réorganise une société sans transcendance ?"

Réponse de Valérie Bugault :

"Non on ne peut pas réorganiser une société sans transcendance... la quête de spiritualité est de plus en plus prégnante dans les sociétés... les jeunes en particulier sont en quête de sens...cette quête de transcendance est de plus en plus palpable, elle existe...

Artemus : "vous dites que la clé de voûte c'est le droit, est-ce que la clé de voûte c'est pas plutôt la transcendance, la spiritualité ?"

Valérie Bugault : "en fait les deux sont liés. Si vous comprenez bien, le droit naturel, c'est lié à la transcendance... la transcendance a impliqué des règles de vie ensemble, en commun qui sont : tu ne tueras pas tu ne voleras pas, tu ne feras pas à ton prochain ce que tu ne veux pas que ton prochain te fasse. En fait, le b-a-ba de la vie en commun et des règles de droit naturel, c'est ça donc les deux sont liés ; parce qu'effectivement ce sont les religions qui ont investigué finalement cet état transcendantal. Donc oui, ce n'est pas contradictoire en fait (...) à titre personnel, fondamentalement je crois en Dieu... maintenant chacun doit faire son propre cheminement, doit prendre ses positions, mais en n'étant pas dans le déni, c'est à dire en acceptant toutes les contraintes qui vont avec les prises de position que l'on prend."



https://odysee.com/@valeriebugault:c/preparer-demain-Valerie-Bugault-et-Artemus:6

"Les partis politiques portent en eux le germe du totalitarisme" Simone Weil

Isabelle-Marie a écrit:"Les partis politiques portent en eux le germe du totalitarisme" Simone Weil

en résume les partis ne font que servir les intérêts Parti-culiers  , desservent la vérité , la raison et le bien collectif , la justice  et la beauté 20è mn S Weil dit comme Platon (contre le sophisme Socrate qui sert le Pouvoir contre la raison) que le bien c'est la vérité , la justice et la beauté qui se logent dans les 3 parties de l'être humain ( âme sensible, morale et rationnelle , autrement dit corps , âme et esprit )

Ailleurs dans son dernier livre ,  Simone Weil a le mérite de distinguer l'âme de l'esprit ( esprit qui comme le corps est voué à mourir , l'âme étant quant à elle en croissance et même en devenir immortelle: c'est elle qu il faut nourrir , découvrir, faire grandir , commence avant la naissance: à la conception où elle trouve sa source et sa finalité éternelle ) 
 Elle dit que la Bonté crée la Beauté - comme  le Devoir  du(des) droit(s)  et non l'inverse -  la Vérité est  source de la liberté de la justice et de la paix 

 "tout ce qui est beau est difficile autant que rare" est une bonne conclusion de cette video

Tout se tient si l'on reste fidèle à son être  profond : restons fidèle à ce que nous sommes en profondeur, êtres reçus de Dieu qui est Amour , Pardon ( le pardon est la démesure de l'amour) , Bonte , vie, paix et joie dont nous "devons " rayonner : telle est notre liberté 

Notre dame de la paix  ( shalom en hébreu , salam en arabe = plenitude de Dieu )  ne dit rien d'autre à Medjugorje : la paix dans le monde gagnera si chacun fait  et grandit dans la paix intérieure

Il me semble, selon mon expérience et le regard que je porte sur ce monde, que la seule liberté consisterait à suivre les commandements de Dieu et j'oserais dire de l'Église.
Il devient tellement évident, avec la dite crise sanitaire que nous vivons dans un épais brouillard mental, un smog qui nous empêche de distinguer quoi que ce soit.  Le seul fait que nous puissions émerger du brouillard le plus épais est encore une sorte de preuve que nous sommes fait pour la liberté de suivre les commandements. Pour quelle raison nos yeux ont-ils cette capacité de voir à nouveau ?
On le voit, l'actualité diffusée par les médias devient de plus en plus grotesque nous montrant le roi complètement nu.
Ici, le décès d'une idole des années 70, là le décès de la dame au chapeau, là encore la planète qui a mangé ses ressources au jour J. Le jour J pas la veille ni le lendemain.
En écrivant ceci, j'ai pensé à cette chanson... allez savoir pourquoi.

suivre les commandements de Dieu ne suffit pas . C'est l'évangile de Jésus avec le jeune homme riche qui le dit .... 

Viens , vends ( laisse tes forces et tes occupations pour tous les biens matériels ou "t'appartenant " intérieurement et extérieurement)et  suis Moi   

"l'humilité est la reconnaissance de son néant ; mais le suprême degré de l'humilité va jusqu' à aimer son propre anéantissement"  ( recueil III Padre Pio page 566) 

autrement dit en laissant la place faite  à Jésus ( et par Lui ) , je deviens riche de ce que je suis  depuis ma conception et qui ne cessera de grandir sur la terre comme au ciel

azais a écrit:suivre les commandements de Dieu ne suffit pas . C'est l'évangile de Jésus avec le jeune homme riche qui le dit .... 

Viens , vends ( laisse tes forces et tes occupations pour tous les biens matériels ou "t'appartenant " intérieurement et extérieurement)et  suis Moi   

"l'humilité est la reconnaissance de son néant ; mais le suprême degré de l'humilité va jusqu' à aimer son propre anéantissement"  ( recueil III Padre Pio page 566) 

autrement dit en laissant la place faite  à Jésus ( et par Lui ) , je deviens riche de ce que je suis  depuis ma conception et qui ne cessera de grandir sur la terre comme au ciel

Ok je prends l'apéro et j'y réfléchis.

C'est l'adoration véritable ( évangile de la samaritaine : adorer Dieu en esprit et en vérité )

l'apéro c'est une interprétation moins sûre