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Nos libertés
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Nos libertés
par Isabelle-Marie Mar 17 Nov 2020 - 21:21
Tout est dit ! 
« La menace qui pèse sur le monde est celle d'une organisation totalitaire et concentrationnaire universelle qui ferait, tôt ou tard, sous un nom ou sous un autre, qu'importe ! de l'homme libre une espèce de monstre réputé dangereux pour la collectivité tout entière, et dont l'existence dans la société future serait aussi insolite que la présence actuelle d'un mammouth sur les bords du Lac Léman. Ne croyez pas qu'en parlant ainsi je fasse seulement allusion au communisme. Le communisme disparaîtrait demain, comme a disparu l'hitlérisme, que le monde moderne n'en poursuivrait pas moins son évolution vers ce régime de dirigisme universel auquel semblent aspirer les démocraties elles-mêmes. " Bernanos
« La menace qui pèse sur le monde est celle d'une organisation totalitaire et concentrationnaire universelle qui ferait, tôt ou tard, sous un nom ou sous un autre, qu'importe ! de l'homme libre une espèce de monstre réputé dangereux pour la collectivité tout entière, et dont l'existence dans la société future serait aussi insolite que la présence actuelle d'un mammouth sur les bords du Lac Léman. Ne croyez pas qu'en parlant ainsi je fasse seulement allusion au communisme. Le communisme disparaîtrait demain, comme a disparu l'hitlérisme, que le monde moderne n'en poursuivrait pas moins son évolution vers ce régime de dirigisme universel auquel semblent aspirer les démocraties elles-mêmes. " Bernanos
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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yvesroga2 aime ce message
Re: Nos libertés
par azais Mer 18 Nov 2020 - 11:39
La chanson ( ici 3minutes qui font un bien enorme) dit plus que tout discours .Isabelle-Marie a écrit:Tout est dit !
Nos Libertés (ce qu’il en reste...)
Après une semaine chargée en infos :
Polémiques sur Hold-up, convocations de D. Raoult et L. Fouché, fermetures d‘hôpitaux, arrivée du vaccin, prolongation du confinement et état d’urgence, masquage des enfants, manifestations musclées des contestataires et des « non essentiels » et toujours plus de répressions et d’aberrations en face...
Je vous livre mes humeurs de « femme plus si libérée que ça » en chanson sur le célèbre tube de Cookie Dingler.
« On est tous éveillés, sortons de la file »
Amour, paix et humour.
Ingrid Courrège
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Philippe-Antoine aime ce message
Re: Nos libertés
par Philippe-Antoine Mer 18 Nov 2020 - 12:32
...j'aime bien aussi cette intervention de François Asselineau qui démontre et démonte par l'absurde les intentions cachées du pouvoir pour nous priver de tout esprit critique afin de nous réduire à une sorte d'esclavage moderne (notamment par le vaccin en 2ème partie de la vidéo attachée à ce lien)
https://www.upr.fr/actualite/covid-19-decisions-delirantes-accepter-l-inacceptable/
Pour ceux qui n'ont pas le temps (ou la flemme) de l'écouter en entier, voici ce qu'il dit en substance :
https://www.upr.fr/actualite/covid-19-decisions-delirantes-accepter-l-inacceptable/
Pour ceux qui n'ont pas le temps (ou la flemme) de l'écouter en entier, voici ce qu'il dit en substance :
Covid-énigme : François Asselineau nous fait prendre du recul sur la réalité délirante à l’œuvre dans nos vies quotidiennes. Il s’interroge sur les raisons de ces décisions, prises en pleine pandémie du coronavirus, au prétexte de lutter contre une crise sanitaire, et qui s’avèrent toutes plus ineptes les unes que les autres. Enfin il propose une explication : ne cherche-t-on pas à nous faire accepter l’inacceptable ?
La covid-19 prétexte à des décisions délirantes
Le quotidien des Français rythmé par des décisions ubuesques
A partir de quelques photos prises dans un supermarché, François Asselineau nous fait prendre conscience de la réalité absurde qui préside à notre quotidien. Nous pouvons acheter des vêtements pour bébé pas pour femme, des chaussettes pas des pantoufles, du matériel hi-tech, pas de ballon, des chocolats pas de jouets …
Le covidélire gouvernemental digne d’un film comique des années 70
Hésitant entre le rire et les larmes François Asselineau fait référence à un film tragi-comique de Woody Allen sorti en en 1971 : Bananas. Celui-ci met en scène un dictateur prenant des décisions ridicules, auxquelles la réalité absurde que nous vivons aujourd’hui n’a finalement rien à envier.
Des questions sans réponse claire
Sur l’efficience du vaccin
Une étude du CNRS pose la question de l’origine du virus. Étienne Decroly évoque la nécessité pour soigner la Covid-19 de connaitre sa généalogie. Or, nous n’avons pas à ce jour clairement identifié l’animal qui a permis la transmission du virus de la chauve-souris à l’homme.
Sur l’origine du sars-cov-2
La même étude du CNRS n’exclut aucune hypothèse et notamment, n’exclut pas une manipulation d’origine humaine. On se souvient que cette hypothèse avait déjà été évoquée par le Professeur Montagnier, prix Nobel de médecine. Les médias avaient essayé, à l’époque, de le faire passer pour complotiste.
Sur la vaccination obligatoire
Progressivement plusieurs responsables politiques se prononcent en faveur d’une vaccination obligatoire (Jadot, Pécresse etc.). Pourquoi le font-ils ? Quelles sont les raisons qui devraient nous pousser à nous faire vacciner ?
Y a-t-il une explication au covidélire ?
François Asselineau s’appuie sur une réflexion entendue parmi la population « on n’y comprend plus rien » pour dénoncer le fait que c’est peut être bien là l’objectif.
Tuer tout esprit de résistance et de rationalité ?
Et si ces décisions incompréhensibles étaient volontairement délirantes ? On s’aperçoit qu’une infime proportion de la population entre en résistance. Mais les autres, les plus nombreux, acceptent au point de ne plus réfléchir à des mesures qu’ils ne comprennent pas. Ils appliquent les directives quelque farfelues qu’elles soient. C’est la solution de facilité, l’option la moins stressante.
Et si, tout simplement ces mesures absurdes qui tuent tout esprit de résistance et de rationalité, n’avaient finalement pour objectif que d’acclimater la population à ne rien comprendre et à tout accepter sans se poser de question.
Faire accepter l’inacceptable ?
Tout accepter … y compris, par exemple, un vaccin rendu obligatoire et dont on ne saurait pas clairement ce qu’il contient. Nous le savons aujourd’hui, il est possible d’ajouter à un vaccin des nanoparticules à effet fluorescent détectables à la surface de la peau avec un appareil. Pourquoi demain, ces nanoparticules ne contiendraient-elles pas des données permettant de tracer les individus ?
Dernière édition par Philippe-Antoine le Mer 18 Nov 2020 - 12:38, édité 1 fois
Philippe-Antoine- Avec les anges
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Re: Nos libertés
par Invité Mer 18 Nov 2020 - 12:33
En Pensylvanie, les masques deviennent obligatoires à la maison.
"Cloth masks protect the wearer and others from COVID-19. Masks are mandatory indoors and outdoors away from home. "
https://www.health.pa.gov/topics/disease/coronavirus/Pages/Coronavirus.aspx
"Cloth masks protect the wearer and others from COVID-19. Masks are mandatory indoors and outdoors away from home. "
https://www.health.pa.gov/topics/disease/coronavirus/Pages/Coronavirus.aspx
Invité- Invité
Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Jeu 19 Nov 2020 - 20:36
Il est sidérant, avec le recul, de réentendre ces propos de 1947, qui à ses contemporains paraissaient peut-être exagérés, mais aujourd'hui résonnent d'une manière extraordinairement prophétique .
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Nos libertés
par Philippe-Antoine Mer 2 Déc 2020 - 21:40
Merci Nath.
"On va y arriver, ensemble!"
J'y crois moi aussi..
"On va y arriver, ensemble!"
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Philippe-Antoine- Avec les anges
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Re: Nos libertés
par azais Jeu 3 Déc 2020 - 1:12
En attendant notre liberté devra resister aux methodes employées pour entrainer les esprits dans leur perte de sens et de conscience :par la manipulation active experimentée prochainement
https://www.naturalnews.com/2020-12-02-world-leaders-launch-behavioral-control-experiment.html
ONU. Manipulation vers vaccin
(Natural News) An all-powerful global government has already formed, and they have already made their plans public. They plan to use covid-19 lock downs and public health orders to strip people of their individual rights, to forfeit private property ownership, and to submit sovereign countries to a one world economy that is complete with heightened data collection and surveillance of human beings with vaccine passports and a wealth redistribution system that quashes the American dream and submits everyone to an “equitable” future replete with controlled markets, a digital currency, and central bank economic controls. This will admittedly be accomplished through a sophisticated brainwashing initiative launched by the World Economic Forum (WEF), the United Nations (UN) and Big Tech.
This global government pledges to use thought control methods that will be deployed across the media and the internet channels. Big Tech censorship, which accelerated over the past four years, is only the first part of the deception — a period of elimination — where free thought, free market ideas, independent journalism and scientific advancement are restricted. Any information that gets in their way will be labeled as “misinformation” and will be mocked and blocked. The next phase of thought control will include overt manipulation, a coordinated attempt to convince people in influential positions to promote a new “sustainable” world economy, where people have no privacy or consent in what is mandated regarding their body. The system they want everyone to accept will require bodily submission to the public health orthodoxy, coupled with a more invasive surveillance state.
The initiative has already coordinated with a left-wing activist group called Purpose. This group strives to promote the LGBT movement and has recently launched attacks on Poland’s pro-family laws and culture, while eliminating any dissent through online censorship. The initiative has also partnered with Google and the Gates Foundation to eliminate any open discussion about vaccines, informed consent, individual rights, medical privacy, vaccine injury, etc.
The UN communications department said the collaboration with WEF is part of a larger project already in place called “Verified.” This psychological operation of thought control only allows people to share “verified content optimized for social sharing.” This content is pre-selected by the UN and prioritized in social media feeds. Fleming confessed that the United Nations is “working with social media platforms to help break the chain of misinformation.” The UN said they want to impact at least 1 billion people in this behavior control initiative. The initiative has already “recruited 110,000 information volunteers” who are employed to be “digital first responders.” These thought control police will monitor the internet to eliminate information that has been deemed “dangerous misinformation” — forcing intellectual subservience from all.
Sources include:
LifeSiteNews.com
NaturalNews.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2020-12-02-world-leaders-launch-behavioral-control-experiment.html
ONU. Manipulation vers vaccin
World leaders plotting thought and behavioral control experiments to manipulate populations
The facilitators behind the WEF’s “Great Reset” and the UN’s “sustainable development goals” are seeking submission from all developed nations in the realms of economics, private property ownership, energy production, and wealth distribution. Not only that, but this network of controlling psychopaths want to use the internet to control the thoughts and behaviors of over one billion people on the planet. They openly admit they want to use governments, researchers, businesses and influencers to promote their communist system which will be sold as “Build Back Better.”This global government pledges to use thought control methods that will be deployed across the media and the internet channels. Big Tech censorship, which accelerated over the past four years, is only the first part of the deception — a period of elimination — where free thought, free market ideas, independent journalism and scientific advancement are restricted. Any information that gets in their way will be labeled as “misinformation” and will be mocked and blocked. The next phase of thought control will include overt manipulation, a coordinated attempt to convince people in influential positions to promote a new “sustainable” world economy, where people have no privacy or consent in what is mandated regarding their body. The system they want everyone to accept will require bodily submission to the public health orthodoxy, coupled with a more invasive surveillance state.
UN, Big Tech and WEF to manipulate the world to submit to global governance
The UN and WEF have partnered to launch the #PledgetoPause initiative. UN communications director Melissa Fleming called the program “the first global behavior change campaign on misinformation.” Multiple NGOs backed by George Soros and all the Big Tech companies are on board. The program has already weeded out and removed online content that challenges their agendas. Now their goal is to “mobilize experts and researchers, government, influencers, civil society, businesses, regulators and the media to block out any “wrong information” regarding covid-19 vaccines, lock downs, economic controls, masks, social distancing, gathering restrictions, etc.The initiative has already coordinated with a left-wing activist group called Purpose. This group strives to promote the LGBT movement and has recently launched attacks on Poland’s pro-family laws and culture, while eliminating any dissent through online censorship. The initiative has also partnered with Google and the Gates Foundation to eliminate any open discussion about vaccines, informed consent, individual rights, medical privacy, vaccine injury, etc.
The UN communications department said the collaboration with WEF is part of a larger project already in place called “Verified.” This psychological operation of thought control only allows people to share “verified content optimized for social sharing.” This content is pre-selected by the UN and prioritized in social media feeds. Fleming confessed that the United Nations is “working with social media platforms to help break the chain of misinformation.” The UN said they want to impact at least 1 billion people in this behavior control initiative. The initiative has already “recruited 110,000 information volunteers” who are employed to be “digital first responders.” These thought control police will monitor the internet to eliminate information that has been deemed “dangerous misinformation” — forcing intellectual subservience from all.
Sources include:
LifeSiteNews.com
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Re: Nos libertés
par azais Jeu 3 Déc 2020 - 1:23
traduction google
photo : L’ONU, Big Tech et le Forum économique mondial lancent une expérience de contrôle comportemental pour renforcer la conformité vaccinale et pousser le système économique communiste
(Natural News )
Un gouvernement mondial tout-puissant s’est déjà formé, et ils ont déjà rendu leurs plans publics. Ils prévoient d’utiliser des verrous covid-19 et des ordonnances de santé publique pour dépouiller les gens de leurs droits individuels, de renoncer à la propriété privée, et de soumettre les pays souverains à une économie mondiale qui est complète avec une collecte de données accrue et la surveillance des êtres humains avec des passeports vaccinaux et un système de redistribution des richesses qui annule le rêve américain et soumet tout le monde à un avenir « équitable » rempli de marchés contrôlés , une monnaie numérique et des contrôles économiques de la banque centrale. Il est vrai que cela se fera grâce à une initiative sophistiquée de lavage de cerveau lancée par le Forum économique mondial (WEF), les Nations Unies (ONU) et Big Tech.
Les dirigeants mondiaux complotent des expériences de pensée et de contrôle comportemental pour manipuler les populations
Les facilitateurs derrière la « grande réinitialisation » du WEF et les « objectifs de développement durable » de l’ONU cherchent à obtenir la soumission de tous les pays développés dans les domaines de l’économie, de la propriété privée, de la production d’énergie et de la répartition des richesses. Non seulement cela, mais ce réseau de psychopathes de contrôle veulent utiliser l’Internet pour contrôler les pensées et les comportements de plus d’un milliard de personnes sur la planète. Ils admettent ouvertement qu’ils veulent utiliser les gouvernements, les chercheurs, les entreprises et les influenceurs pour promouvoir leur système communiste qui sera vendu sous le nom de « Build Back Better ».
Ce gouvernement mondial s’engage à utiliser des méthodes de contrôle de la pensée qui seront déployées dans les médias et les canaux Internet. La censure des big tech, qui s’est accélérée au cours des quatre dernières années, n’est que la première partie de la tromperie — une période d’élimination — où la libre pensée, les idées de marché libre, le journalisme indépendant et l’avancement scientifique sont limités. Toute information qui se met en travers de leur chemin sera étiquetée comme « désinformation » et sera moquée et bloquée. La phase suivante du contrôle de la pensée comprendra une manipulation ouverte, une tentative coordonnée de convaincre les personnes à des postes influents de promouvoir une nouvelle économie mondiale « durable », où les gens n’ont ni vie privée ni consentement dans ce qui est prescrit en ce qui concerne leur corps. Le système qu’ils veulent que tout le monde accepte exigera une soumission corporelle à l’orthodoxie de la santé publique, couplée à un état de surveillance plus contraignant et invasif
L’ONU, Big Tech et le WEF manipuleront le monde pour se soumettre à la gouvernance mondiale
L’ONU et le WEF se sont associés pour lancer l#PledgetoPause initiative. Melissa Fleming, directrice des communications de l’ONU, a qualifié le programme de « première campagne mondiale de changement de comportement sur la désinformation ».
Plusieurs ONG soutenues par George Soros et toutes les entreprises big tech sont à bord. Le programme a déjà éliminé et supprimé le contenu en ligne qui remet en question leurs programmes. Maintenant, leur objectif est de « mobiliser des experts et des chercheurs, le gouvernement, les influenceurs, la société civile, les entreprises, les régulateurs et les médias pour bloquer toute « mauvaise information » concernant les vaccins covid-19, les blocages, les contrôles économiques, les masques, la distanciation sociale, la collecte de restrictions, etc.
L’initiative s’est déjà coordonnée avec un groupe militant de gauche appelé Purpose. Ce groupe s’efforce de promouvoir le mouvement LGBT et a récemment lancé des attaques contre les lois et la culture pro-familiales de la Pologne, tout en éliminant toute dissidence par la censure en ligne. L’initiative s’est également associée à Google et à la Fondation Gates pour éliminer toute discussion ouverte sur les vaccins, le consentement éclairé, les droits individuels, la vie privée médicale, les blessures causées par le vaccin, etc.
Le département des communications de l’ONU a déclaré que la collaboration avec le WEF s’inscrit dans le cadre d’un projet plus vaste déjà en place appelé « Vérifié ».
Cette opération psychologique de contrôle de la pensée ne permet aux gens que de partager « des contenus vérifiés optimisés pour le partage social ». Ce contenu est présélectionné par l’ONU et priorisé dans les flux de médias sociaux. Fleming a avoué que les Nations Unies « travaillent avec les plateformes de médias sociaux pour aider à briser la chaîne de la désinformation ». L’ONU a déclaré qu’elle voulait avoir un impact sur au moins 1 milliard de personnes dans cette initiative de contrôle des comportements. L’initiative a déjà « recruté 110 000 bénévoles de l’information » qui sont employés pour être des « premiers intervenants numériques ». Ces policiers de contrôle de la pensée surveilleront l’Internet pour éliminer les informations qui ont été jugées « désinformation dangereuse » - forçant l’asservissement intellectuel de tous.
Les sources incluent :
LifeSiteNews.com
NaturalNews.com
NaturalNews.com
photo : L’ONU, Big Tech et le Forum économique mondial lancent une expérience de contrôle comportemental pour renforcer la conformité vaccinale et pousser le système économique communiste
(Natural News )
Un gouvernement mondial tout-puissant s’est déjà formé, et ils ont déjà rendu leurs plans publics. Ils prévoient d’utiliser des verrous covid-19 et des ordonnances de santé publique pour dépouiller les gens de leurs droits individuels, de renoncer à la propriété privée, et de soumettre les pays souverains à une économie mondiale qui est complète avec une collecte de données accrue et la surveillance des êtres humains avec des passeports vaccinaux et un système de redistribution des richesses qui annule le rêve américain et soumet tout le monde à un avenir « équitable » rempli de marchés contrôlés , une monnaie numérique et des contrôles économiques de la banque centrale. Il est vrai que cela se fera grâce à une initiative sophistiquée de lavage de cerveau lancée par le Forum économique mondial (WEF), les Nations Unies (ONU) et Big Tech.
Les dirigeants mondiaux complotent des expériences de pensée et de contrôle comportemental pour manipuler les populations
Les facilitateurs derrière la « grande réinitialisation » du WEF et les « objectifs de développement durable » de l’ONU cherchent à obtenir la soumission de tous les pays développés dans les domaines de l’économie, de la propriété privée, de la production d’énergie et de la répartition des richesses. Non seulement cela, mais ce réseau de psychopathes de contrôle veulent utiliser l’Internet pour contrôler les pensées et les comportements de plus d’un milliard de personnes sur la planète. Ils admettent ouvertement qu’ils veulent utiliser les gouvernements, les chercheurs, les entreprises et les influenceurs pour promouvoir leur système communiste qui sera vendu sous le nom de « Build Back Better ».
Ce gouvernement mondial s’engage à utiliser des méthodes de contrôle de la pensée qui seront déployées dans les médias et les canaux Internet. La censure des big tech, qui s’est accélérée au cours des quatre dernières années, n’est que la première partie de la tromperie — une période d’élimination — où la libre pensée, les idées de marché libre, le journalisme indépendant et l’avancement scientifique sont limités. Toute information qui se met en travers de leur chemin sera étiquetée comme « désinformation » et sera moquée et bloquée. La phase suivante du contrôle de la pensée comprendra une manipulation ouverte, une tentative coordonnée de convaincre les personnes à des postes influents de promouvoir une nouvelle économie mondiale « durable », où les gens n’ont ni vie privée ni consentement dans ce qui est prescrit en ce qui concerne leur corps. Le système qu’ils veulent que tout le monde accepte exigera une soumission corporelle à l’orthodoxie de la santé publique, couplée à un état de surveillance plus contraignant et invasif
L’ONU, Big Tech et le WEF manipuleront le monde pour se soumettre à la gouvernance mondiale
L’ONU et le WEF se sont associés pour lancer l#PledgetoPause initiative. Melissa Fleming, directrice des communications de l’ONU, a qualifié le programme de « première campagne mondiale de changement de comportement sur la désinformation ».
Plusieurs ONG soutenues par George Soros et toutes les entreprises big tech sont à bord. Le programme a déjà éliminé et supprimé le contenu en ligne qui remet en question leurs programmes. Maintenant, leur objectif est de « mobiliser des experts et des chercheurs, le gouvernement, les influenceurs, la société civile, les entreprises, les régulateurs et les médias pour bloquer toute « mauvaise information » concernant les vaccins covid-19, les blocages, les contrôles économiques, les masques, la distanciation sociale, la collecte de restrictions, etc.
L’initiative s’est déjà coordonnée avec un groupe militant de gauche appelé Purpose. Ce groupe s’efforce de promouvoir le mouvement LGBT et a récemment lancé des attaques contre les lois et la culture pro-familiales de la Pologne, tout en éliminant toute dissidence par la censure en ligne. L’initiative s’est également associée à Google et à la Fondation Gates pour éliminer toute discussion ouverte sur les vaccins, le consentement éclairé, les droits individuels, la vie privée médicale, les blessures causées par le vaccin, etc.
Le département des communications de l’ONU a déclaré que la collaboration avec le WEF s’inscrit dans le cadre d’un projet plus vaste déjà en place appelé « Vérifié ».
Cette opération psychologique de contrôle de la pensée ne permet aux gens que de partager « des contenus vérifiés optimisés pour le partage social ». Ce contenu est présélectionné par l’ONU et priorisé dans les flux de médias sociaux. Fleming a avoué que les Nations Unies « travaillent avec les plateformes de médias sociaux pour aider à briser la chaîne de la désinformation ». L’ONU a déclaré qu’elle voulait avoir un impact sur au moins 1 milliard de personnes dans cette initiative de contrôle des comportements. L’initiative a déjà « recruté 110 000 bénévoles de l’information » qui sont employés pour être des « premiers intervenants numériques ». Ces policiers de contrôle de la pensée surveilleront l’Internet pour éliminer les informations qui ont été jugées « désinformation dangereuse » - forçant l’asservissement intellectuel de tous.
Les sources incluent :
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Jeu 3 Déc 2020 - 1:30
azais a écrit: traduction google
photo : L’ONU, Big Tech et le Forum économique mondial lancent une expérience de contrôle comportemental pour renforcer la conformité vaccinale et pousser le système économique communiste
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Un gouvernement mondial tout-puissant s’est déjà formé, et ils ont déjà rendu leurs plans publics. Ils prévoient d’utiliser des verrous covid-19 et des ordonnances de santé publique pour dépouiller les gens de leurs droits individuels, de renoncer à la propriété privée, et de soumettre les pays souverains à une économie mondiale qui est complète avec une collecte de données accrue et la surveillance des êtres humains avec des passeports vaccinaux et un système de redistribution des richesses qui annule le rêve américain et soumet tout le monde à un avenir « équitable » rempli de marchés contrôlés , une monnaie numérique et des contrôles économiques de la banque centrale. Il est vrai que cela se fera grâce à une initiative sophistiquée de lavage de cerveau lancée par le Forum économique mondial (WEF), les Nations Unies (ONU) et Big Tech.
Les dirigeants mondiaux complotent des expériences de pensée et de contrôle comportemental pour manipuler les populations
Les facilitateurs derrière la « grande réinitialisation » du WEF et les « objectifs de développement durable » de l’ONU cherchent à obtenir la soumission de tous les pays développés dans les domaines de l’économie, de la propriété privée, de la production d’énergie et de la répartition des richesses. Non seulement cela, mais ce réseau de psychopathes de contrôle veulent utiliser l’Internet pour contrôler les pensées et les comportements de plus d’un milliard de personnes sur la planète. Ils admettent ouvertement qu’ils veulent utiliser les gouvernements, les chercheurs, les entreprises et les influenceurs pour promouvoir leur système communiste qui sera vendu sous le nom de « Build Back Better ».
Ce gouvernement mondial s’engage à utiliser des méthodes de contrôle de la pensée qui seront déployées dans les médias et les canaux Internet. La censure des big tech, qui s’est accélérée au cours des quatre dernières années, n’est que la première partie de la tromperie — une période d’élimination — où la libre pensée, les idées de marché libre, le journalisme indépendant et l’avancement scientifique sont limités. Toute information qui se met en travers de leur chemin sera étiquetée comme « désinformation » et sera moquée et bloquée. La phase suivante du contrôle de la pensée comprendra une manipulation ouverte, une tentative coordonnée de convaincre les personnes à des postes influents de promouvoir une nouvelle économie mondiale « durable », où les gens n’ont ni vie privée ni consentement dans ce qui est prescrit en ce qui concerne leur corps. Le système qu’ils veulent que tout le monde accepte exigera une soumission corporelle à l’orthodoxie de la santé publique, couplée à un état de surveillance plus contraignant et invasif
L’ONU, Big Tech et le WEF manipuleront le monde pour se soumettre à la gouvernance mondiale
L’ONU et le WEF se sont associés pour lancer l#PledgetoPause initiative. Melissa Fleming, directrice des communications de l’ONU, a qualifié le programme de « première campagne mondiale de changement de comportement sur la désinformation ».
Plusieurs ONG soutenues par George Soros et toutes les entreprises big tech sont à bord. Le programme a déjà éliminé et supprimé le contenu en ligne qui remet en question leurs programmes. Maintenant, leur objectif est de « mobiliser des experts et des chercheurs, le gouvernement, les influenceurs, la société civile, les entreprises, les régulateurs et les médias pour bloquer toute « mauvaise information » concernant les vaccins covid-19, les blocages, les contrôles économiques, les masques, la distanciation sociale, la collecte de restrictions, etc.
L’initiative s’est déjà coordonnée avec un groupe militant de gauche appelé Purpose. Ce groupe s’efforce de promouvoir le mouvement LGBT et a récemment lancé des attaques contre les lois et la culture pro-familiales de la Pologne, tout en éliminant toute dissidence par la censure en ligne. L’initiative s’est également associée à Google et à la Fondation Gates pour éliminer toute discussion ouverte sur les vaccins, le consentement éclairé, les droits individuels, la vie privée médicale, les blessures causées par le vaccin, etc.
Le département des communications de l’ONU a déclaré que la collaboration avec le WEF s’inscrit dans le cadre d’un projet plus vaste déjà en place appelé « Vérifié ».
Cette opération psychologique de contrôle de la pensée ne permet aux gens que de partager « des contenus vérifiés optimisés pour le partage social ». Ce contenu est présélectionné par l’ONU et priorisé dans les flux de médias sociaux. Fleming a avoué que les Nations Unies « travaillent avec les plateformes de médias sociaux pour aider à briser la chaîne de la désinformation ». L’ONU a déclaré qu’elle voulait avoir un impact sur au moins 1 milliard de personnes dans cette initiative de contrôle des comportements. L’initiative a déjà « recruté 110 000 bénévoles de l’information » qui sont employés pour être des « premiers intervenants numériques ». Ces policiers de contrôle de la pensée surveilleront l’Internet pour éliminer les informations qui ont été jugées « désinformation dangereuse » - forçant l’asservissement intellectuel de tous.
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C'est le moment de prier avec Marie le Magnificat
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Nos libertés
par azais Jeu 3 Déc 2020 - 1:38
bientot on ne pourra plus poster des infos fiables ici ou ailleurs , ni nous parler : on pourra enfin dire pleins de
Mon ame exalte le Seigneur , exulte mon esprit en Dieu mon Sauveur
Amen ! Alleluia !
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azais- MEDIATEUR
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Mar 26 Jan 2021 - 0:13
Au cloître des Carmes d'Avignon, et pas que sur les ponts, on y danse, on y danse 
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Dim 28 Mar 2021 - 6:55
Alexandra Henrion-Caude a attrapé le virus... de la danse ! 
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Lun 29 Mar 2021 - 10:04
L'institut Pasteur propose l'écouvillonement rectal pour les enfants ! indignation d'Alexandra Henrion-Caude : "ils vont de plus en plus loin dans l'humiliation, ils sont malades, nous sommes sains." "On est en train de bousiller les générations futures". Place Tien'amen, un seul homme fit reculer l'armée chinoise et c'est un symbole d'espérance. 
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Pèlerine, Della, Malou et mariannick aiment ce message
Re: Nos libertés
par azais Lun 29 Mar 2021 - 19:09
Nous l'avons déjà signalé sur un autre FIL ...Isabelle-Marie a écrit:L'institut Pasteur propose l'écouvillonement rectal pour les enfants ! indignation d'Alexandra Henrion-Caude : "ils vont de plus en plus loin dans l'humiliation, ils sont malades, nous sommes sains." "On est en train de bousiller les générations futures". Place Tien'amen, un seul homme fit reculer l'armée chinoise et c'est un symbole d'espérance.
Cette note de l'institut Pasteur s'appuie sur le fait que les test PCR nasal ou bucal ne permet pas de repérer le virus variant breton .... et contre lequel le vaccin d'ailleurs non plus ne serait pas capable de protéger ....
l'affaire est donc critique pour les lieux où seraient déProblème quelle clarés ce virus breton . Sa diffusion ( evidemment beaucoup plus grande que le primo virus ) on ne sait pas si on sait soigner aussi bien , ne sachant pas son degré de dangerosite : la test et la quarantaine à la clef en perspective sanitaire de ce fait apparait la seule solution
Le test anal lui serait efficace ? La note ne le dit pas .
la note s'adresse aux villes de Lannion , St Brieuc où les 1ers cas malades seraient identifiés
Donc on a là une possibilité politique de justifier cette procédure ....Problème : est on capable de stopper le variant breton et s'etendra t il peu ou prou sur le pays entier : dans ce cas la generalisation n'est pas inenvisageable
VITE VITE des thérapies efficaces seraient à expérimenter : voir le protocole Coordination Santé Libre, surtout puisque les vaccins sont considérés comme inefficaces ; Ce sera une Pub providentielle pour disqualifier les vaccins et rassurer la population grâce aux thérapies précoces :
soigner la seule politique de santé efficace et plausible et solution pour stopper l'épidémie et ses variants
..... et se faire tester en anal : car à quoi ça sert si les therapies enlèvent les symptomes en 3 jours ?
azais- MEDIATEUR
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Re: Nos libertés
par azais Lun 29 Mar 2021 - 19:43
rappel aussi comme recours : D’après l’avocat maitre Brusa l’école ne peut pas imposer les tests car illégal. Donne le conseil suivant : ne jamais signer aucun papier. Les tests ne sont pas fiables et contestés en justice.
-actions judiciaires en France contre le vaccin sa publicité ..illégales : l'annexe du refere de reaction19.fr ( Maitre Brusa ) et son annexe donnant toutes sources alertant sur la nocivité des vaccins
Réaction 19 - Actions juridiques et judiciaires pour https://reaction19.fr
https://www.youtube.com/watch?v=17BJIkJhFwE ( video maitre Brusa )
Mobilisons-nous pour défendre nos enfants ! Formons des collectifs !
-actions judiciaires en France contre le vaccin sa publicité ..illégales : l'annexe du refere de reaction19.fr ( Maitre Brusa ) et son annexe donnant toutes sources alertant sur la nocivité des vaccins
Réaction 19 - Actions juridiques et judiciaires pour https://reaction19.fr
https://www.youtube.com/watch?v=17BJIkJhFwE ( video maitre Brusa )
Mobilisons-nous pour défendre nos enfants ! Formons des collectifs !
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Mar 30 Mar 2021 - 8:06
Décidément sa chanson a fait mouche et fait danser toute la France, de Lille à Marseille (dizaines et dizaines de vidéos) ! A l'inverse du président du parti soi-disant en marche, qui a mis la France à l'arrêt, même de respirer librement ! arrêt à l'ESSENTIEL de notre humanité ! Mais nous disons : "Maranatha" ! 
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Lun 24 Mai 2021 - 0:01
Messages d'espoir de Ricardo, de Jean-Marie, d'Alexandra : résister pour construire un monde meilleur que le meilleur des mondes qu'on nous propose ! 
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Dim 18 Juil 2021 - 14:57
Le portrait de Valérie Bugault, son combat pour une nouvelle humanité libérée du mensonge, de la corruption et du totalitarisme.
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Mar 20 Juil 2021 - 10:11
à noter dans les commentaires cette info d'Appolinia...
"Le petit macron est prévu pour la direction de l'Europe en 2022.C'est vraiment l'antechrist"
Vérification :
"C’est une date marquée en rouge dans l’agenda du président de la République : le 19 janvier 2022. La France aura la présidence de l’Union Européenne pour six mois, et Emmanuel Macron, face aux 705 députés européens, tiendra un grand discours à Strasbourg, puis répondra aux questions. Une intervention tellement importante pour le chef de l’État qu’il a déjà commencé à la préparer."
https://www.leparisien.fr/politique/la-presidence-europeenne-de-macron-19-04-2021-6FQV2F5FVRAXVINVQZBDVPIV44.php
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Mar 27 Juil 2021 - 17:41
Est-ce que l'État peut m'obliger à venir poser un acte qui ne présente aucun avantage pour moi, voire des risques réels ? Dommage que la fin de la vidéo soit coupée (problème technique) mais elle permet à Maître Di Vizio de montrer comment le président change le sens des mots : la liberté, pour lui, c'est le sacrifice de l'individu à la collectivité, en réalité à une abstraction, et en cela il a bien raison de dire qu'une telle liberté est une fiction !
Mais l'exemple que prend maître Di Vizio pour montrer la manière dont la définition d'un mot influe sur la réalité, est plus intéressant encore : il a suffi de changer la définition du mot fœtus pour justifier juridiquement la possibilité de l'avortement.
A chaque fois l'intervention de l'État au cœur de ce qui nous est le plus intime et inaliénable, notre inscription génétique dans le livre de la vie, s'opère par perversion et manipulation du sens des mots.
https://www.twitch.tv/divizio1
Mais l'exemple que prend maître Di Vizio pour montrer la manière dont la définition d'un mot influe sur la réalité, est plus intéressant encore : il a suffi de changer la définition du mot fœtus pour justifier juridiquement la possibilité de l'avortement.
A chaque fois l'intervention de l'État au cœur de ce qui nous est le plus intime et inaliénable, notre inscription génétique dans le livre de la vie, s'opère par perversion et manipulation du sens des mots.
https://www.twitch.tv/divizio1
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Lun 6 Déc 2021 - 21:53
La liberté conditionnée, ce n'est pas la liberté du tout, c'est l'esclavage 
https://odysee.com/@Re-information2.0:2/VideobyJocelynePauliac:1
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Mar 7 Déc 2021 - 12:34
De Giorgio Agamben :
"Le deuxième point sur lequel je voudrais attirer votre attention ne concerne pas le problème médical du vaccin mais le problème politique du laissez-passer vert, qu'il ne faut pas confondre avec le premier, nous avons fait tant de vaccins sans que cela nous oblige à montrer un certificat. Des scientifiques et des médecins ont déclaré que le laissez-passer vert n'a aucune signification médicale en soi, mais sert à forcer les gens à se faire vacciner. Je crois cependant que l'on peut et que l'on doit dire le contraire, à savoir que le vaccin est un moyen de forcer les gens à avoir un laissez-passer vert, c'est-à-dire un dispositif qui permet de surveiller et de suivre leurs mouvements, une mesure qui n'a pas de précédent. Les politologues savent depuis longtemps que nos sociétés sont passées du modèle autrefois appelé sociétés de discipline au modèle des sociétés de contrôle, des sociétés fondées sur un contrôle numérique quasi illimité des comportements individuels, qui deviennent ainsi quantifiables dans un algorithme. Nous nous habituons maintenant à ces dispositifs de contrôle, mais je me demande jusqu'où nous sommes prêts à accepter ce contrôle ? Est-il possible que les citoyens d'une société qui se dit démocratique soient dans une situation pire que celle des citoyens de l'Union soviétique sous Staline ?"
pour tout lire :
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/facebook-censure-agamben-sur-le-236403
"Le Green Pass fait partie du modèle politique appelé « liberté autorisée ». De quoi s’agit-il ? L’autorisation d’un droit est un acte qui n’accorde pas de nouveaux droits, mais autorise l’exercice de droits déjà existants. Par exemple, la liberté de quitter la maison, d’aller au restaurant ou de prendre le train. Des droits élémentaires qui nécessitent désormais une autorisation pour être exercés. Et c’est là qu’on voit l’aveuglement des gens qui pensent que le Green Pass est un principe qui garantit la liberté alors que la liberté autorisée n’est plus une liberté, puisqu’elle peut être révoquée par celui qui a donné l’autorisation."
Pour tout lire :
http://www.benoit-et-moi.fr/2020/2021/11/27/la-colere-de-giorgio-agamben/
"Le deuxième point sur lequel je voudrais attirer votre attention ne concerne pas le problème médical du vaccin mais le problème politique du laissez-passer vert, qu'il ne faut pas confondre avec le premier, nous avons fait tant de vaccins sans que cela nous oblige à montrer un certificat. Des scientifiques et des médecins ont déclaré que le laissez-passer vert n'a aucune signification médicale en soi, mais sert à forcer les gens à se faire vacciner. Je crois cependant que l'on peut et que l'on doit dire le contraire, à savoir que le vaccin est un moyen de forcer les gens à avoir un laissez-passer vert, c'est-à-dire un dispositif qui permet de surveiller et de suivre leurs mouvements, une mesure qui n'a pas de précédent. Les politologues savent depuis longtemps que nos sociétés sont passées du modèle autrefois appelé sociétés de discipline au modèle des sociétés de contrôle, des sociétés fondées sur un contrôle numérique quasi illimité des comportements individuels, qui deviennent ainsi quantifiables dans un algorithme. Nous nous habituons maintenant à ces dispositifs de contrôle, mais je me demande jusqu'où nous sommes prêts à accepter ce contrôle ? Est-il possible que les citoyens d'une société qui se dit démocratique soient dans une situation pire que celle des citoyens de l'Union soviétique sous Staline ?"
pour tout lire :
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/facebook-censure-agamben-sur-le-236403
"Le Green Pass fait partie du modèle politique appelé « liberté autorisée ». De quoi s’agit-il ? L’autorisation d’un droit est un acte qui n’accorde pas de nouveaux droits, mais autorise l’exercice de droits déjà existants. Par exemple, la liberté de quitter la maison, d’aller au restaurant ou de prendre le train. Des droits élémentaires qui nécessitent désormais une autorisation pour être exercés. Et c’est là qu’on voit l’aveuglement des gens qui pensent que le Green Pass est un principe qui garantit la liberté alors que la liberté autorisée n’est plus une liberté, puisqu’elle peut être révoquée par celui qui a donné l’autorisation."
Pour tout lire :
http://www.benoit-et-moi.fr/2020/2021/11/27/la-colere-de-giorgio-agamben/
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Mar 14 Déc 2021 - 10:51
Bel échange en ce temps d'Avent où nous méditons sur le mystère du Noël qui vient, entre le Pasteur Daniel Vindigni et Maître Di Vizio qui plaide pour que les scellés qui encadenassent nos cœurs soient ôtés et que nous laissions simplement entrer la Lumière ! Oui les temps sont plus que jamais favorables !
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Sam 22 Jan 2022 - 20:13
Remarquable émission, très complète dans l'analyse qui est faite de la situation.
Nous sommes vraiment dans une époque de dévoilement, de ce à quoi 230 années de République maçonnique ont mené la France.
Il est heureux qu'un collectif d'avocats et juristes, en France comme ailleurs dans d'autres pays, se soit constitué. Union sacrée !
Nous sommes vraiment dans une époque de dévoilement, de ce à quoi 230 années de République maçonnique ont mené la France.
Il est heureux qu'un collectif d'avocats et juristes, en France comme ailleurs dans d'autres pays, se soit constitué. Union sacrée !
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Lun 7 Fév 2022 - 0:26
Le regard au laser de Giorgio Agamben ! 
Il est présenté comme celui qui a sauvé l'honneur de la philosophie, puisqu'il s'est positionné dès mars 2020 et a dénoncé la dérive sanitaire et politique en marche.
Direct de l'assemblée populaire franco-italienne, 29 janvier 2022
https://odysee.com/@francesoir:2/Direct_assemblee_populaire_franco_italienne:1
Texte :
"Où en sommes-nous ? Telle est la question qu'il nous faut poser, ici aujourd'hui car il me semble qu'on n'a pas pris suffisamment conscience du changement radical de l'ordre politique, juridique et culturel, que nous sommes en train de vivre.
Je dis cela car bien des gens pour ne pas avouer leur impuissance, préfèrent en être dupes et faire semblant de pouvoir continuer à agir, à l'intérieur d'un ordre qui n'existe plus. Il me semble qu'il est important que cela ne se passe pas aujourd'hui, ici.
Ce à quoi nous sommes confrontés est certainement l'effondrement d'un monde, mais non pas comme le voudraient ceux qui prétendent le gouverner selon leur intérêt, dans le sens d'un passage à un monde plus conforme aux nouvelles exigences de la société. Ce qui touche à sa fin est bien l'âge des démocraties bourgeoises, avec leurs droits, leurs constitutions et leurs Parlements.
Mais au-delà de l'aspect juridique, certes non négligeable, ce qui finit ce sont les présupposés substantiels de ce monde. Ils avaient d'ailleurs commencé à s'écrouler avec les deux ou trois guerres mondiales et les totalitarismes tyranniques et démocratiques qui les ont accompagnés.
Juste pour mesurer l'ampleur de ce changement : aujourd'hui dans le pays où je vis, sont en vigueur des lois concernant ce qu'on appelle les "no vax", dix fois plus restrictives que les lois fascistes de 1938 pour les non aryens. Et je voudrais aussi rappeler qu'au moment de son installation, le fascisme avait fait relativement peu de victimes, tandis que cette politique instaurée sans scrupule par nos gouvernements, a causé la mort de milliers de personnes.
L'opérateur qui a rendu possible ce qui nous arrive en ce moment, a été, comme il est évident, cette zone d'indifférence entre le droit et le politique qui est l'état d'urgence. Il y a presque vingt ans, dans un livre où j'essayais de fournir une théorie sur l'état d'exception, j'avais constaté que l'état d'exception était en train de devenir le système normal des gouvernements, ce qui est le cas aujourd'hui. Comme vous le constatez, l'état d'exception est un espace de suspension de la loi, donc un espace sans loi, mais comme étant inclus dans l'ordre juridique. Du point de vue technique, on a ici une séparation de la force des lois, de la loi au sens formel. L'état d'exception est défini un état de la loi dans lequel d'une part, la loi est théoriquement en vigueur mais n'a pas de force, ne s'applique pas de ce point de vue. Et d'autre part, des dispositions et des mesures, qui n'ont pas valeur de loi, en acquièrent la force ; on pourrait dire qu'à la limite ce qui est en jeu dans l'état d'exception, c'est une force de loi fluctuante, sans la loi. De quelque façon qu'on définisse cette situation, que l'on considère l'état d'exception comme intérieur à l'ordre juridique ou qu'on le qualifie à l'inverse, extérieur à cet ordre, en tout cas, ce qu'on a, c'est une sorte d'éclipse de la loi, au sens qu'on connaissait avant, dans laquelle comme dans une éclipse astronomique, la loi subsiste mais n'émane plus sa lumière. Au paradigme de la loi, se substituent celui des clauses et des formules vagues, comme "état de nécessité, sécurité, ordre public, salut public", qui, étant en soi indéterminées, ont besoin que quelqu'un intervienne, pour les déterminer.
Nous n'avons plus affaire avec une loi ou une Constitution, mais avec une force de loi fluctuante, qui peut être assumée comme nous le voyons aujourd'hui, par des commissions, des individus, des médecins, des experts, tout à fait étrangers à l'ordre juridique.
Je crois qu'on se trouve ici devant quelque chose qui est de l'ordre de ce que Ernst Fraenkel dans un livre de 1941 où il essayait d'expliquer la structure de l'état nazie, a dénommé état dual. L'état dual est un état dans lequel, à un état normatif qu'il appelait "Normenstaaten", état fondé sur la loi, s'accole un état discrétionnaire, un état de mesure d'urgence, et le gouvernement des hommes et des choses se fait par leur collaboration.
Une phrase de Frankael dans ce livre est significative, je vous la cite : "Pour son salut, le capitalisme allemand nécessitait, non pas un état unitaire, mais un double état : arbitraire dans la dimension politique, et rationnel dans la dimension économique."
C'est bien, je crois, dans la descendance de cet état dual, que l'on doit situer un phénomène dont l'importance ne pourrait pas être sous-évaluée et qui concerne vraiment un changement de la figure même de l'État. J'entends me référer ici à ce que les politologues américains appellent "The Administrative State", "l'État Administratif", qui a trouvé dans un livre récent de Sunstein sa théorisation.
De quoi s'agit-il ? Il s'agit d'un modèle d'État dans lequel la "governance" l'exercice du gouvernement, excède la traditionnelle répartition des pouvoirs constitutionnels : législatif, exécutif, judiciaire. Et des agences non prévues dans la Constitution, exercent au nom de l'administration et de façon discrétionnaire, des fonctions et des pouvoirs qui revenaient aux trois sujets constitutionnels compétents.
Il s'agit d'une sorte de Léviathan administratif. Un Léviathan purement administratif qui est supposé agir dans l'intérêt de la collectivité, même en transgressant ce qui est prescrit par la Constitution, dans le but d'assurer et de guider, non pas les libres choix des citoyens mais ce que ces théoriciens appellent la navigabilité, c'est-à-dire en réalité la gouvernabilité, de leurs choix.
C'est il me semble, ce qui advient aujourd'hui de manière évidente, quand nous voyons que les pouvoirs décisionnaires sont exercés, au moins c'est le cas en Italie, par des commissions et des sujets, les médecins, les experts, les économistes, tout à fait externes au pouvoir constitutionnel.
A travers ces procédures factuelles, la Constitution est altérée, de manière bien plus substantielle que ce qu'elle devient à travers les pouvoirs de révision prévus par les textes de la Constitution ; jusqu'à devenir, comme le disait autrefois un disciple de Marx, "ein stück papier" un morceau de papier.
Et il est certes significatif que ces transformations se modèlent, comme j'ai essayé de le montrer, sur la structure duale du gouvernement nazi, et que ce soit peut-être le concept même de gouvernement, d'une politique comme cybernétique, art du gouvernement, qu'il convient de mettre en question aujourd'hui.
On a dit que l'État moderne vit des présupposés qu'il ne peut pas garantir. Il est possible que la situation que je cherchais de décrire très brièvement, soit la forme dans laquelle cette absence de garantie atteint sa masse critique, et que donc l'État moderne, en renonçant comme il est aujourd'hui évident, à garantir ses présupposés, soit arrivé à la fin de son histoire.
Et c'est cette fin peut-être que nous sommes en train de vivre.
Je crois que toute discussion sur ce que nous pouvons ou devons faire, doit partir aujourd'hui de cette constatation, de la constatation que la civilisation dans laquelle nous vivons, s'est désormais effondrée. Ou mieux, vu qu'il s'agit d'une société fondée sur la finance, qu'elle a fait banqueroute.
Que notre culture fut au bord d'une générale banqueroute, était évident, je crois, depuis des décennies, et les esprits les plus lucides du XXè siècle, l'avaient diagnostiqué sans réserve.
Je ne peux pas ne pas rappeler, quand j'étais bien plus jeune, comment Pier Paolo Pasolini et Elsa Morante que j'ai fréquentés dans les années soixante, dénonçaient l'inhumanité et la barbarie qu'ils voyaient croître autour d'eux.
Et vu d'aujourd'hui, ce temps là nous semble beaucoup meilleur que le nôtre.
En tout cas à nous revient aujourd'hui l'expérience, certes non plaisante, mais plus vraie que la précédente, d'être non plus au bord mais plongés dans cette banqueroute, intellectuelle, éthique, religieuse, juridique, politique, et économique, dans la forme extrême qu'elle est venue à prendre.
C'est bien l'état d'exception au lieu de la loi, l'information au lieu de la vérité, la santé au lieu du salut, la médecine au lieu de la religion, la technique au lieu de la politique.
Certes, on peut dire qu'une société qui a fait une telle banqueroute, n'est plus vivante. Il se peut en effet que les puissances auxquelles nous sommes confrontés aujourd'hui soient spirituellement mortes.
Mais combattre avec un adversaire mort n'est pas plus facile que combattre avec un adversaire vivant. Au contraire, ça peut être une tâche plus difficile.
Les êtres humains ne peuvent pas vivre s'ils ne se donnent pour leur vie, des raisons et des justifications, qui de tout temps ont pris la forme des religions, des mythes, des croyances politiques, des philosophies ou des théories en tous genres.
Ces justifications semblent aujourd'hui, au moins dans la partie de l'humanité la plus riche et technologisée, être tombées. Les hommes se trouvent peut-être pour la première fois, réduits à leur pure survie biologique, qu'ils se révèlent, à ce qu'il semble, incapables d'accepter.
Cela seul peut expliquer pourquoi au lieu d'assumer le simple fait de vivre les uns à côté des autres, on a choisi d'instaurer une implacable terreur sanitaire, dans laquelle la vie sans plus de justification idéale, est menacée et punie à chaque instant, de maladie et de mort.
Que faire dans une telle situation ? Sur le plan individuel certes, il faut continuer dans la mesure du possible, à faire bien ce que l'on a cherché déjà à faire bien, même s'il ne semble plus y avoir aucun motif pour le faire. Mais justement peut-être, exactement parce qu'il n'y a pas de motif, il faut continuer.
Je ne crois pas pourtant que cela suffise. Hannah Arendt dans un texte que nous ne pouvons pas ne pas ressentir comme proche puisqu'il s'intitulait "On Humanity in Dark Times", "Sur une l'Humanité dans des temps obscurs", se demandait, je cite : "Dans quelle mesure nous restons obligés à l'égard du monde et de la sphère publique, même quand nous en avons été expulsés " - c'est ce qui est arrivé aux juifs en ce temps - "ou quand nous avons dû nous en retirer", comme celui qui avait choisi, avec une expression paradoxale, on appelait en Allemagne à l'époque : "l'émigration interne."
Et bien nous aussi on est dans cet état, on a été dans un sens expulsés ou réduits à une émigration interne.
Arendt dans ce texte, indiquait l'amitié, comme le possible fondement pour une politique en temps sombre, comme elle dit.
Je crois que l'indication est juste, à condition de rappeler que l'amitié c'est-à-dire le fait de ressentir une altérité dans le fait même d'exister, est une sorte de minimum politique, un seuil qui en même temps unit et sépare l'individu, et la communauté. A condition de rappeler qu'il s'agit de rien de moins que de tenter de constituer partout, une communauté dans la société. Il faut essayer de créer des communautés, à l'interne de la société, c'est-à-dire face à la dépolitisation croissante des individus, de retrouver dans l'amitié, le principe radical d'une politisation renouvelée.
Je dis cela sans renoncer ni à la lucidité, ni à l'espoir.
Si les puissances qui gouvernent le monde ont estimé devoir recourir à des mesures et à des dispositifs aussi extrêmes, que la biosécurité et la terreur sanitaire, c'est parce qu'elles craignaient de toute évidence, de ne pas avoir d'autre choix à survivre. Et si les gens ont accepté ces mesures, c'est aussi parce que, eux aussi savaient dans un sens, que le monde où ils avaient vécu jusqu'alors ne pouvait pas continuer.
Nous ne regrettons pas ce monde qui finit, nous n'avons aucune nostalgie pour l'idée de l'humain, du divin que les vagues implacables du temps effacent comme un visage de sable, sur les rives de l'histoire, mais avec la même décision nous refusons la vie nue, muette et sans visage et la religion de la santé que le gouvernement nous propose."
Elsa Morante et Pier Paolo Pasolini
Il est présenté comme celui qui a sauvé l'honneur de la philosophie, puisqu'il s'est positionné dès mars 2020 et a dénoncé la dérive sanitaire et politique en marche.
Direct de l'assemblée populaire franco-italienne, 29 janvier 2022
https://odysee.com/@francesoir:2/Direct_assemblee_populaire_franco_italienne:1
Texte :
"Où en sommes-nous ? Telle est la question qu'il nous faut poser, ici aujourd'hui car il me semble qu'on n'a pas pris suffisamment conscience du changement radical de l'ordre politique, juridique et culturel, que nous sommes en train de vivre.
Je dis cela car bien des gens pour ne pas avouer leur impuissance, préfèrent en être dupes et faire semblant de pouvoir continuer à agir, à l'intérieur d'un ordre qui n'existe plus. Il me semble qu'il est important que cela ne se passe pas aujourd'hui, ici.
Ce à quoi nous sommes confrontés est certainement l'effondrement d'un monde, mais non pas comme le voudraient ceux qui prétendent le gouverner selon leur intérêt, dans le sens d'un passage à un monde plus conforme aux nouvelles exigences de la société. Ce qui touche à sa fin est bien l'âge des démocraties bourgeoises, avec leurs droits, leurs constitutions et leurs Parlements.
Mais au-delà de l'aspect juridique, certes non négligeable, ce qui finit ce sont les présupposés substantiels de ce monde. Ils avaient d'ailleurs commencé à s'écrouler avec les deux ou trois guerres mondiales et les totalitarismes tyranniques et démocratiques qui les ont accompagnés.
Juste pour mesurer l'ampleur de ce changement : aujourd'hui dans le pays où je vis, sont en vigueur des lois concernant ce qu'on appelle les "no vax", dix fois plus restrictives que les lois fascistes de 1938 pour les non aryens. Et je voudrais aussi rappeler qu'au moment de son installation, le fascisme avait fait relativement peu de victimes, tandis que cette politique instaurée sans scrupule par nos gouvernements, a causé la mort de milliers de personnes.
L'opérateur qui a rendu possible ce qui nous arrive en ce moment, a été, comme il est évident, cette zone d'indifférence entre le droit et le politique qui est l'état d'urgence. Il y a presque vingt ans, dans un livre où j'essayais de fournir une théorie sur l'état d'exception, j'avais constaté que l'état d'exception était en train de devenir le système normal des gouvernements, ce qui est le cas aujourd'hui. Comme vous le constatez, l'état d'exception est un espace de suspension de la loi, donc un espace sans loi, mais comme étant inclus dans l'ordre juridique. Du point de vue technique, on a ici une séparation de la force des lois, de la loi au sens formel. L'état d'exception est défini un état de la loi dans lequel d'une part, la loi est théoriquement en vigueur mais n'a pas de force, ne s'applique pas de ce point de vue. Et d'autre part, des dispositions et des mesures, qui n'ont pas valeur de loi, en acquièrent la force ; on pourrait dire qu'à la limite ce qui est en jeu dans l'état d'exception, c'est une force de loi fluctuante, sans la loi. De quelque façon qu'on définisse cette situation, que l'on considère l'état d'exception comme intérieur à l'ordre juridique ou qu'on le qualifie à l'inverse, extérieur à cet ordre, en tout cas, ce qu'on a, c'est une sorte d'éclipse de la loi, au sens qu'on connaissait avant, dans laquelle comme dans une éclipse astronomique, la loi subsiste mais n'émane plus sa lumière. Au paradigme de la loi, se substituent celui des clauses et des formules vagues, comme "état de nécessité, sécurité, ordre public, salut public", qui, étant en soi indéterminées, ont besoin que quelqu'un intervienne, pour les déterminer.
Nous n'avons plus affaire avec une loi ou une Constitution, mais avec une force de loi fluctuante, qui peut être assumée comme nous le voyons aujourd'hui, par des commissions, des individus, des médecins, des experts, tout à fait étrangers à l'ordre juridique.
Je crois qu'on se trouve ici devant quelque chose qui est de l'ordre de ce que Ernst Fraenkel dans un livre de 1941 où il essayait d'expliquer la structure de l'état nazie, a dénommé état dual. L'état dual est un état dans lequel, à un état normatif qu'il appelait "Normenstaaten", état fondé sur la loi, s'accole un état discrétionnaire, un état de mesure d'urgence, et le gouvernement des hommes et des choses se fait par leur collaboration.
Une phrase de Frankael dans ce livre est significative, je vous la cite : "Pour son salut, le capitalisme allemand nécessitait, non pas un état unitaire, mais un double état : arbitraire dans la dimension politique, et rationnel dans la dimension économique."
C'est bien, je crois, dans la descendance de cet état dual, que l'on doit situer un phénomène dont l'importance ne pourrait pas être sous-évaluée et qui concerne vraiment un changement de la figure même de l'État. J'entends me référer ici à ce que les politologues américains appellent "The Administrative State", "l'État Administratif", qui a trouvé dans un livre récent de Sunstein sa théorisation.
De quoi s'agit-il ? Il s'agit d'un modèle d'État dans lequel la "governance" l'exercice du gouvernement, excède la traditionnelle répartition des pouvoirs constitutionnels : législatif, exécutif, judiciaire. Et des agences non prévues dans la Constitution, exercent au nom de l'administration et de façon discrétionnaire, des fonctions et des pouvoirs qui revenaient aux trois sujets constitutionnels compétents.
Il s'agit d'une sorte de Léviathan administratif. Un Léviathan purement administratif qui est supposé agir dans l'intérêt de la collectivité, même en transgressant ce qui est prescrit par la Constitution, dans le but d'assurer et de guider, non pas les libres choix des citoyens mais ce que ces théoriciens appellent la navigabilité, c'est-à-dire en réalité la gouvernabilité, de leurs choix.
C'est il me semble, ce qui advient aujourd'hui de manière évidente, quand nous voyons que les pouvoirs décisionnaires sont exercés, au moins c'est le cas en Italie, par des commissions et des sujets, les médecins, les experts, les économistes, tout à fait externes au pouvoir constitutionnel.
A travers ces procédures factuelles, la Constitution est altérée, de manière bien plus substantielle que ce qu'elle devient à travers les pouvoirs de révision prévus par les textes de la Constitution ; jusqu'à devenir, comme le disait autrefois un disciple de Marx, "ein stück papier" un morceau de papier.
Et il est certes significatif que ces transformations se modèlent, comme j'ai essayé de le montrer, sur la structure duale du gouvernement nazi, et que ce soit peut-être le concept même de gouvernement, d'une politique comme cybernétique, art du gouvernement, qu'il convient de mettre en question aujourd'hui.
On a dit que l'État moderne vit des présupposés qu'il ne peut pas garantir. Il est possible que la situation que je cherchais de décrire très brièvement, soit la forme dans laquelle cette absence de garantie atteint sa masse critique, et que donc l'État moderne, en renonçant comme il est aujourd'hui évident, à garantir ses présupposés, soit arrivé à la fin de son histoire.
Et c'est cette fin peut-être que nous sommes en train de vivre.
Je crois que toute discussion sur ce que nous pouvons ou devons faire, doit partir aujourd'hui de cette constatation, de la constatation que la civilisation dans laquelle nous vivons, s'est désormais effondrée. Ou mieux, vu qu'il s'agit d'une société fondée sur la finance, qu'elle a fait banqueroute.
Que notre culture fut au bord d'une générale banqueroute, était évident, je crois, depuis des décennies, et les esprits les plus lucides du XXè siècle, l'avaient diagnostiqué sans réserve.
Je ne peux pas ne pas rappeler, quand j'étais bien plus jeune, comment Pier Paolo Pasolini et Elsa Morante que j'ai fréquentés dans les années soixante, dénonçaient l'inhumanité et la barbarie qu'ils voyaient croître autour d'eux.
Et vu d'aujourd'hui, ce temps là nous semble beaucoup meilleur que le nôtre.
En tout cas à nous revient aujourd'hui l'expérience, certes non plaisante, mais plus vraie que la précédente, d'être non plus au bord mais plongés dans cette banqueroute, intellectuelle, éthique, religieuse, juridique, politique, et économique, dans la forme extrême qu'elle est venue à prendre.
C'est bien l'état d'exception au lieu de la loi, l'information au lieu de la vérité, la santé au lieu du salut, la médecine au lieu de la religion, la technique au lieu de la politique.
Certes, on peut dire qu'une société qui a fait une telle banqueroute, n'est plus vivante. Il se peut en effet que les puissances auxquelles nous sommes confrontés aujourd'hui soient spirituellement mortes.
Mais combattre avec un adversaire mort n'est pas plus facile que combattre avec un adversaire vivant. Au contraire, ça peut être une tâche plus difficile.
Les êtres humains ne peuvent pas vivre s'ils ne se donnent pour leur vie, des raisons et des justifications, qui de tout temps ont pris la forme des religions, des mythes, des croyances politiques, des philosophies ou des théories en tous genres.
Ces justifications semblent aujourd'hui, au moins dans la partie de l'humanité la plus riche et technologisée, être tombées. Les hommes se trouvent peut-être pour la première fois, réduits à leur pure survie biologique, qu'ils se révèlent, à ce qu'il semble, incapables d'accepter.
Cela seul peut expliquer pourquoi au lieu d'assumer le simple fait de vivre les uns à côté des autres, on a choisi d'instaurer une implacable terreur sanitaire, dans laquelle la vie sans plus de justification idéale, est menacée et punie à chaque instant, de maladie et de mort.
Que faire dans une telle situation ? Sur le plan individuel certes, il faut continuer dans la mesure du possible, à faire bien ce que l'on a cherché déjà à faire bien, même s'il ne semble plus y avoir aucun motif pour le faire. Mais justement peut-être, exactement parce qu'il n'y a pas de motif, il faut continuer.
Je ne crois pas pourtant que cela suffise. Hannah Arendt dans un texte que nous ne pouvons pas ne pas ressentir comme proche puisqu'il s'intitulait "On Humanity in Dark Times", "Sur une l'Humanité dans des temps obscurs", se demandait, je cite : "Dans quelle mesure nous restons obligés à l'égard du monde et de la sphère publique, même quand nous en avons été expulsés " - c'est ce qui est arrivé aux juifs en ce temps - "ou quand nous avons dû nous en retirer", comme celui qui avait choisi, avec une expression paradoxale, on appelait en Allemagne à l'époque : "l'émigration interne."
Et bien nous aussi on est dans cet état, on a été dans un sens expulsés ou réduits à une émigration interne.
Arendt dans ce texte, indiquait l'amitié, comme le possible fondement pour une politique en temps sombre, comme elle dit.
Je crois que l'indication est juste, à condition de rappeler que l'amitié c'est-à-dire le fait de ressentir une altérité dans le fait même d'exister, est une sorte de minimum politique, un seuil qui en même temps unit et sépare l'individu, et la communauté. A condition de rappeler qu'il s'agit de rien de moins que de tenter de constituer partout, une communauté dans la société. Il faut essayer de créer des communautés, à l'interne de la société, c'est-à-dire face à la dépolitisation croissante des individus, de retrouver dans l'amitié, le principe radical d'une politisation renouvelée.
Je dis cela sans renoncer ni à la lucidité, ni à l'espoir.
Si les puissances qui gouvernent le monde ont estimé devoir recourir à des mesures et à des dispositifs aussi extrêmes, que la biosécurité et la terreur sanitaire, c'est parce qu'elles craignaient de toute évidence, de ne pas avoir d'autre choix à survivre. Et si les gens ont accepté ces mesures, c'est aussi parce que, eux aussi savaient dans un sens, que le monde où ils avaient vécu jusqu'alors ne pouvait pas continuer.
Nous ne regrettons pas ce monde qui finit, nous n'avons aucune nostalgie pour l'idée de l'humain, du divin que les vagues implacables du temps effacent comme un visage de sable, sur les rives de l'histoire, mais avec la même décision nous refusons la vie nue, muette et sans visage et la religion de la santé que le gouvernement nous propose."
Elsa Morante et Pier Paolo Pasolini
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Lun 2 Mai 2022 - 9:56
"Aucune norme de droit positif ne peut être fondée sur une fiction juridique"
https://revoludroit.fr/wp-content/uploads/2022/02/pdf_charte_des_valeurs_intangibles_de_la_france_revoludroit_reforme_des_institutions_valerie_bugault_mars_2022.pdf
mais il faut aller plus loin, il faut se référer directement aux racines chrétiennes de la France et de l'Europe comme Saint Michel-Archange nous le demande*. La dimension religieuse ne peut être occultée. *
https://www.youtube.com/watch?v=HsOn99D5bj4
Le son n'est pas très bon, mais il est question (fin de la vidéo) à la demande de St Michel-Archange, de faire inscrire une Charte des valeurs chrétiennes dans la Constitution européenne.
"Dieu nous envoie St Michel-Archange, pour que l'Europe redevienne chrétienne, soit consacrée au Cœur Immaculé de Marie, et pour qu'on ait la paix."
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Re: Nos libertés
par Isabelle-Marie Sam 7 Mai 2022 - 20:33
Allumer le feu ! Alexandra Henrion-Caude et Ilan sont les parrain et marraine de cette course historique pour la cause de la liberté, la première fois 850 km de Lourdes au Sacré-Coeur de Montmartre, cette fois via la Corse. Vive la liberté ! 
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