La confusion actuelle de l'église, eglise en dérive?

La perte de la conscience du bien et du mal voilà le problème et c'est comme cela que Satan agit en mettant le doute et la confusion dans les esprits.

vinz 109 a écrit:La perte de la conscience du bien et du mal voilà le problème et c'est comme cela que Satan agit en mettant le doute et la confusion dans les esprits.

Pour certains c'est confusion - dont on peut revenir 'théoriquement' ... - mais pour d'autres il est à craindre que ce soit dangereuse volonté arrêtée, hélas ! ...

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Cette poignée de main entre la pape François et ce cardinal débonnaire et libertaire en dit long!
Ben voyons!puisqu'ils s'aiment,c'est bien!
"Amour,amour" est l'arbre qui cache la forêt et le leitmotiv des faux prophètes.

Ce verset à lui seul, prouve qu'il ne faut pas exclure la possibilité que l'Eglise terrestre tombe entièrement dans l'erreur. Et ça ne remet absolument pas en question les promesses du Christ. Au contraire, la Gloire de Dieu n'en sera que plus éclatante. Comme l'enseigne notre Seigneur, la prophétie de Daniel concerne le corps de l'homme, mais aussi l'Eglise terrestre. Le Bon Dieu peut se permettre de laisser la dévastation s'étendre totalement, y compris qu'un successeur de Pierre le trahisse pour un temps.

pax et bonum a écrit:Cette poignée de main entre la pape François et ce cardinal débonnaire et libertaire en dit long!
Ben voyons!puisqu'ils s'aiment,c'est bien!
"Amour,amour" est l'arbre qui cache la forêt et le leitmotiv des faux prophètes.

 Nous sommes passés du Dieu-Amour à l'amour-dieu. C'est la Charité profanée, aboutissement du Modernisme.

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Mgr Peter Kohlgraf évêque de Mayence : l'homosexualité n'est pas un péché

https://www.kath.ch/newsd/bischof-peter-kohlgraf-der-streit-mit-kardinal-kurt-koch-ist-nicht-beendet/

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L'évêque de Mayence Peter Kohlgraf souhaite discuter des acquis suisses dans son diocèse - par exemple le fait que des personnes non ordonnées puissent également baptiser et marier.
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Vous avez récemment introduit une pastorale sensible aux homosexuels dans votre diocèse. Cela a été salué comme une nouveauté.

Kohlgraf : Ce n'est pas grave.

Pourquoi pas?

Kohlgraf : Pourquoi n'y aurait-il aucun accompagnement et aucune voix politique pour ceux qui sont touchés ? Des gens m'ont approché en tant qu'évêque et m'ont dit : nous sommes touchés et nous vous demandons d'être une voix pour nous. Je peux être heureux si quelqu'un veut encore quelque chose de l'église aujourd'hui.

Les réactions n'ont pas toutes été positives.

Kohlgraf : On s'est vite dit que nous haletions maintenant après l'air du temps.
Si vous voulez être dans l'air du temps, vous n'allez pas voir l'évêque et lui demandez : "Pensez à la façon dont vous nous traitez".
Il ne s'agit pas d'air du temps. Le péché est toujours centré sur l'élément sexuel. Mais : La sexualité a plusieurs dimensions et l'homosexualité n'est pas un péché.

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on peut se demander s'il se rappelle pourquoi il a été consacré , puis nommé évêque ...

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Gallia Sacra a écrit:Nous sommes passés du Dieu-Amour à l'amour-dieu. C'est la Charité profanée, aboutissement du Modernisme.

On peut le penser.

J'aurais une petite question : le fait qu'autant d'évêques puissent déclarer ouvertement que l'homosexualité ne serait pas un péché en soi (désordre, tendance peccamineuse, etc.) amène à se poser de sérieuses questions à propos de la tête au Vatican, non ? De telles déclarations de la part d'évêques sont pour moi une hérésie manifeste dans l'ordre moral. Qu'aucune sanction ne tombe signifie que le Vatican est complice en réalité.

Cinci a écrit:J'aurais une petite question : le fait qu'autant d'évêques puissent déclarer ouvertement que l'homosexualité ne serait pas un péché en soi (désordre, tendance peccamineuse, etc.) amène à se poser de sérieuses questions à propos de la tête au Vatican, non ? De telles déclarations de la part d'évêques sont pour moi une hérésie manifeste dans l'ordre moral. Qu'aucune sanction ne tombe signifie que le Vatican est complice en réalité.

Effectivement cette absence de réaction et de remède de sa part concernant l'homosexualité et l'homosexualisme ainsi que les nominations de plusieurs évêques (et d'autres) qui les promeuvent est grave ...

Mgr Viganò y a réagi - et quelques autres évêques en plusieurs circonstances - par exemple :

https://www.medias-presse.info/de-hoc-mundo-la-secularisation-de-lautorite-comme-premisse-de-la-liberte-religieuse-et-du-dialogue-oecumenique-theorise-par-vatican-ii-par-mgr-vigano/165513/
extraits

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D’où le Synode sur la Synodalité, c’est-à-dire l’établissement d’une sorte de « Concile permanent », voire de « mise à jour (aggiornamento) permanente » (ici) qui devient le promoteur de présumées instances de la base – le correspondant ecclésial du « prolétariat » – comme le diaconat féminin et « l’inclusion radicale » des divorcés, des concubinaires, des polygames, des couples homosexuels avec enfants adoptés et des adhérents du mouvement LGBTQ (ici).

On notera que ces demandes, toutes totalement irrecevables d’un point de vue doctrinal et moral fidèle au Magistère, ne constituent pas une image spontanée et véridique de ce que le clergé et les fidèles demandent à l’Autorité suprême de l’Église [...]

Et aussi dans ce cas la réalité est mystifiée pour l’adapter de force à la pensée dystopique, à l’idée présomptueuse d’avoir une meilleure solution que celle que la sagesse millénaire de l’Église ou la volonté de son Fondateur ont voulu établir.

...

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Ils veulent réécrire le catéchisme de saint Jean-Paul II

Mgr Laurent Ulrich Archevêque de Paris, a été interrogé dans La Croix. Extrait :

https://www.riposte-catholique.fr/archives/173037

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Certains ont du mal à trouver leur place, divorcés remariés, homosexuels : quelles évolutions possibles pour qu’ils ne se sentent pas marginalisés ?

[...]

C’est de la responsabilité pastorale de tous.

Quant à l’homosexualité, qualifiée en 1992 « d’actes intrinsèquement désordonnés » , cela reflétait une époque.

Trente ans plus tard, il faut sans doute y revenir avec un plus grand respect.

Au-delà du pastoral, c’est le pape qui est maître des évolutions du catéchisme.

[...]

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cf aussi https://www.gloria.tv/post/4QfkTCntRmsz1MRqZd8Gao3tC

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Merci.


Mais il serait chouette quand même d'obtenir une copie in extenso de l'article lui-même si c'est possible, celui du journal La Croix; au moins du paragraphe pertinent. 





En attendant, le genre de propos rapporté et attribué à l'archevêque de Paris ne tient pas la route. C'est sûr. On ne pourrait qu'y voir du «modernisme» et rien d'autre.

 Il est impossible que l'enseignement moral de l'Église condensé dans le catéchisme de 1992 ne soit que le  «reflet d'une époque». Ridicule. Car ce n'était sûrement pas la pensée de Jean-Paul II lui-même ou même celle du cardinal Ratzinger de l'époque, sinon à quoi pourrait bien servir un si gros ouvrage de référence ? Le catéchisme officiel de l'Église est sensé représenter un guide sûr de ce qu'est la foi catholique. Ainsi, pérorer à l'effet que «ce qui aurait paru sûr hier ne le serait plus du tout maintenant», en revient à ridiculiser le contenu de la foi, prétendre que l'Église raconte n'importe quoi en fin de compte. 

L'équivoque entretenu à dessein par les modernistes consiste toujours à se jouer de la question des changements purement accidentels et légitimes, espérant toujours déguiser, par exemple, des changements substantiels de la foi, en des changements accidentels, choses superficielles et qui ne porteraient nullement à conséquence.

Cinci a écrit:Merci.


Mais il serait chouette quand même d'obtenir une copie in extenso de l'article lui-même si c'est possible, celui du journal La Croix; au moins du paragraphe pertinent. 





En attendant, le genre de propos rapporté et attribué à l'archevêque de Paris ne tient pas la route. C'est sûr. On ne pourrait qu'y voir du «modernisme» et rien d'autre.

 Il est impossible que l'enseignement moral de l'Église condensé dans le catéchisme de 1992 ne soit que le  «reflet d'une époque». Ridicule. Car ce n'était sûrement pas la pensée de Jean-Paul II lui-même ou même celle du cardinal Ratzinger de l'époque, sinon à quoi pourrait bien servir un si gros ouvrage de référence ? Le catéchisme officiel de l'Église est sensé représenter un guide sûr de ce qu'est la foi catholique. Ainsi, pérorer à l'effet que «ce qui aurait paru sûr hier ne le serait plus du tout maintenant», en revient à ridiculiser le contenu de la foi, prétendre que l'Église raconte n'importe quoi en fin de compte. 

L'équivoque entretenu à dessein par les modernistes consiste toujours à se jouer de la question des changements purement accidentels et légitimes, espérant toujours déguiser, par exemple, des changements substantiels de la foi, en des changements accidentels, choses superficielles et qui ne porteraient nullement à conséquence.

Bien d'accord avec vous.

L'article de la Croix est payant ...

Un autre site mentionne aussi la déclaration de Mgr Ulrich :

https://tribunechretienne.com/le-pape-maitre-des-evolutions-du-catechisme-dixit-monseigneur-ulrich-dans-sa-premiere-lettre-pastorale/

Peut être plus tard y aura-t-il plus de texte sur cet entretien ...

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Bonjour,

J'avais déjà visionné cette réplique très mordante du monsieur qui a fini par en avoir marre de s'être fait charrié. Ça ne fait rien. Car il vaut la peine de la réécouter de nouveau. Je comprend sa réaction et même sa décision aussi. 

+1

Quand on a lu ce livre, on comprend mieux les changements qui se sont  opérés depuis les années 50 et les premières réformes qui concernaient la semaine sainte.
Tout est passé au peigne fin y compris le contenu des oraisons modifiées qui ne devaient plus écorcher la sensibilité à la psychanalyse des paroissiens des années 60.
Personnellement, j'ai fait un détour par l'orthodoxie et la fréquentation de deux monastères de tradition russe et grecque.
Je gardais un souvenir comme émerveillé du baptême d'un enfant que j'avais vu dans un monastère (saint Antoine le Grand). C'était d'une beauté !
Plusieurs années après, j'achetais par curiosité un missel catholique des années 1923 et je pouvais lire le rituel du baptême pratiqué à l'époque et c'était ce que j'avais vu dans le monastère de tradition grecque dans les années 2013...
Et ce que j'ai vu dans le monastère de tradition russe avec une liturgie en slavon, je retrouve des points communs avec ce qui se passait dans l'église catholique avant les années 50 (quand je feuillette mes missels)... les fidèles ne doivent pas être privés de la beauté et de la richesse de la Liturgie. Voilà ce que je pense.
Et puis je lis de temps en temps le petit catéchisme des années 30 de ma mère (à l'époque les enfants apprenaient encore quelque chose).

Ma génération chantait les chansons d'Enrico Macias (la célébration du mondialisme : enfants de tous pays) pendant la retraite de communion et après ce furent le catéchisme des "Pierres vivantes" et des journées bols de riz du Carême....

A défaut de trouver un exemplaire de Pierre Vivantes, on peut lire ceci : https://archive.org/details/CatchismePopulaire/page/n175/mode/2up

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Interview du cardinal Sarah à Valeurs actuelles :


https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/leurope-ne-sera-vraiment-elle-meme-que-si-elle-se-reconnait-chretienne

article payant ...

Extraits sur un autre site de cet article :

https://www.gloria.tv/post/SgmFyDw4is89446K9nyUNGTTT

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Le cardinal Robert Sarah a donné une interview à ValeursActuelles.com (22 décembre), dont voici les passages les plus forts :

• "L'idée que nous irons tous au paradis n'est pas ce que dit l'Évangile".

• "Le péché doit être dénoncé" et "les coupables doivent être punis".

• "L'islam se répand parce que nous [les catholiques] ne sommes ni missionnaires ni ardents dans notre foi. L'avancée de l'islam révèle la tiédeur des chrétiens. Nous n'osons pas évangéliser."

• "La liturgie obéit à des schémas codifiés, hérités de mille générations", mais "la liturgie catholique est aujourd'hui malade".

• " Pourquoi tant de jeunes sont-ils fascinés par la liturgie ancienne ? ". Soyons honnêtes. Il serait trop facile de déclarer sentencieusement qu'ils ont tous un besoin psychologique d'identité. Ne devrions-nous pas plutôt admettre que de nombreuses célébrations [Novus Ordo] les déçoivent ? ".

• "On croit parfois que la liturgie doit être rendue plus accessible par l'utilisation de musique profane, par des attitudes artificiellement détendues, par la suppression des séparations sacrées et par le nivellement architectural des églises. C'est une illusion tragique. Tous ces choix nous éloignent de Dieu au lieu de nous en rapprocher."

• "Au sujet de Traditionis Custodes, je veux être explicite. Il y a un profond malaise et une vraie souffrance dans l'Église autour de la liturgie."

• "Très souvent, les liturgies paroissiales ne sont pas fidèles à Vatican II. Par exemple, le chant grégorien y occupe-t-il la première place, comme cela a été demandé ?".

• "La pratique liturgique actuelle doit évoluer. Elle doit intégrer les meilleurs éléments de l'ancien à la lumière du Concile : la célébration orientée ad Deum ou vers la Croix, le large usage du latin, l'utilisation de l'ancien offertoire ou des prières dites au pied de l'autel."

• "Un culte qui ne devient pas culture est une illusion".

• "Ce qui se passe en Allemagne [= le Synode allemand] est effrayant. Il s'agit d'une tentation d'abandon de l'Évangile, une tentation d'apostasie. L'Église y est trop riche, trop dépendante de l'État, trop liée au monde."

• [L'Église allemande] croit qu'en copiant les protestants, qui bénissent les unions homosexuelles et nomment des femmes comme pasteurs, elle va réussir. Or, ces communautés protestantes allemandes n'ont pratiquement pas de vocations ni de fidèles ! Alors, après quoi courons-nous ?
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https://lanuovabq.it/it/omosessualita-la-chiave-per-sovvertire-la-chiesa
traduction
https://www.benoit-et-moi.fr/2020/2023/03/02/lhomosexualite-et-la-transsexualite-cles-pour-subvertir-leglise/

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Plus que d’autres questions, l’homosexualité et la transsexualité ont en elles une capacité destructrice qui s’étend dans de nombreuses directions, sapant l’identité d’une personne, son mariage, sa famille, sa vie, sa liberté religieuse et sa liberté de pensée.

D’où la fortune, même chez certains pasteurs qui poussent à changer la doctrine, se pliant aux desseins du diable.

Le couinement d’une souris est devenu le barrissement de l’éléphant.
Si d’un point de vue moral, ce sont des phénomènes de très grande importance, d’un point de vue numérique, les phénomènes de l’homosexualité et de la transsexualité restent des phénomènes de niche (on parle en effet de minorités); mais d’un point de vue social ils sont devenus des coutumes, c’est-à-dire des événements de pensée collective qui marquent fortement le tissu culturel.

La perception, manifestement bien stimulée par certaines agences idéologiques, a magnifié le phénomène en lui attribuant une signification et un rôle qui dépassent la sphère étroite de l’homosexualité et de la transsexualité, investissant et modifiant certaines catégories conceptuelles telles que « l’amour », « la famille », « la liberté ».

Ce processus révolutionnaire a également investi l’Église.

Mais il faut se demander pourquoi cela s’est produit.

1 – Une première réponse, qui est certainement correcte, renverrait au fait que, depuis un certain temps, l’Église, désireuse de dialoguer avec le monde (et c’est bien ainsi), n’a pas mis le masque de la foi pour se protéger et a donc été infectée par tous ces virus – y compris l’idéologie LGBT – qui courent dans le monde.
Bref, par osmose, la théorie du genre s’est transmise, depuis le siècle, à l’intérieur de l’enceinte sacrée.

2 – Mais peut-être existe-t-il aussi une deuxième réponse, moins sociale et plus transcendante par nature. C’est banal à rappeler, Satan est en guerre perpétuelle avec l’Église et cherche à la détruire en l’attaquant de l’extérieur, mais surtout de l’intérieur. Et il veut réussir dans son dessein de la manière la plus efficace possible, c’est-à-dire qu’il veut trouver l’arme capable de causer le plus de dégâts.

L’homosexualité et la transsexualité sont peut-être la bombe atomique que Satan recherchait car, plus que d’autres sujets, l’homosexualité et la transsexualité ont en elles une capacité de destruction qui s’étend dans de nombreuses directions.

Le rayon de l’explosion de cet engin est donc large, plus large que l’avortement, le divorce, la fécondation in vitro et l’euthanasie pris individuellement.

D’où sa fortune dans le foyer catholique et principalement chez certains pasteurs qui, plus que les laïcs, poussent à changer la doctrine après avoir déjà changé la pastorale sur ces questions.
En effet, l’homosexualité et la transsexualité ont un fort pouvoir destructeur dans les domaines suivants.

• En premier lieu, elles sapent le concept d’identité, qui est la première vérité de la réalité. Dans le transsexualisme, l’identité est effacée pour être remplacée par une construction arbitraire de celle-ci : du réel à la fiction.
  
  L’homosexualité contredit alors l’identité de la personne car l’orientation sexuelle est un aspect fortement lié à l’unicité de la personne, puisque l’orientation sexuelle est une expression de sa masculinité et de sa féminité, des traits qui ne sont pas accessoires à la personne, mais des éléments essentiels de celle-ci.
  Le conflit avec l’idée d’identité se traduit par la rhétorique bien connue de la fluidité, du désir d’abolir toute frontière, car elle est perçue comme une limite à la libre expression.
  
  

• La famille est un autre domaine dans lequel la théorie du genre fait des dégâts. Affirmer qu’il existe des « familles » arc-en-ciel revient à éliminer le concept même de famille et de mariage : là aussi, c’est l’identité, en l’occurrence de la famille et du mariage, qui est frappée en plein cœur.
  
  Si tout peut être famille, l’affection entre les gens suffit, plus rien n’est famille.
  
  Si je dis que même une figure plane à quatre côtés peut être appelée « triangle », alors le concept de triangle et même celui de quadrilatère disparaissent pour laisser place à une nouvelle invention géométrique qui n’existera jamais dans la réalité.
  
  Elle ne sera qu’une abstraction géométrique. Le fait d’affecter la famille affecte également l’éducation des enfants qui grandissent dans un environnement où la figure maternelle ou paternelle est absente, avec de graves répercussions pour eux.
  
  

• Poursuivons. La relation homosexuelle, dans une tentative de mimer la famille, a dû recourir massivement à l’insémination artificielle.
  
  Voilà un troisième vulnus : l’atteinte à la vie.
  
  En effet, chaque éprouvette dans laquelle un enfant est conçu entraîne la mort d’un pourcentage très élevé d’enfants à naître et la réification [/chosification] de ces derniers, car l’enfant est produit et non pas né de l’étreinte amoureuse du papa et de la maman, un couple parental qui est ici absent.
  
  La réification touche également la figure de la femme car il n’est pas rare que les couples gays masculins aient recours à la pratique des mères porteuses.
  
  

• Enfin, les thématiques LGBT font également obstacle à la liberté de pensée et de religion. …
  Dans le monde entier, sous le prétexte de prévenir des discriminations injustes, les cas de violation de la liberté personnelle sont innombrables.
  
  Même chez les catholiques, ceux qui s’opposent aujourd’hui à l’homosexualité et à la transsexualité, bien qu’étant accueillants envers les personnes homosexuelles et transsexuelles, sont accusés de semer la discorde et se voient donc souvent retirer leur stylo et leur micro.
  

L’homosexualité et la transsexualité ont donc une capacité dynamisante intrinsèque sur des questions telles que l’identité, la famille, l’éducation, la vie, la femme et la liberté.

C’est pourquoi – mais ce n’est qu’une hypothèse – les forces du mal appuient sur ces deux pédales pour accélérer le processus de destruction de l’Église (évidemment en vain, car Dieu la préservera jusqu’à la fin des temps), bien qu’il s’agisse de questions qui n’ont été portées à la connaissance du grand public que relativement récemment, et en tout cas beaucoup plus récemment que d’autres, comme la contraception, l’avortement, le divorce et la fécondation extracorporelle.

Ces dernières auraient pu être, sur le papier, de meilleures candidates pour saper les fondements de l’Église, car il s’agit de phénomènes moins « de niche » et contestés depuis plus longtemps, du moins au niveau social.

Pourtant, le phénomène LGBT est en train de gagner sur ces questions, peut-être parce que, comme nous l’avons mentionné, dans l’économie de perdition souhaitée par les puissances obscures, l’homo-transsexualité est la carte maîtresse.

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La confusion actuelle se nomme le mystère d'iniquité ou encore la passion de l'Eglise, chacun devant lutter pour conserver la foi et l'entretenir dans la prière, la pratique des sacrements et de la charité.
Qui peut dire aujourd'hui, à quelle station du chemin de croix est-on arrivé ou dans quel chapitre du livre de l'Apocalypse sommes-nous ?
Est-il si important de le savoir ?
On espère que l'avertissement annoncé sera pour bientôt car les peuples sont confondus à cause de leurs mauvais chefs. Pareillement le peuple Chrétien erre grandement à cause du petit nombre de bons bergers.
Oh Seigneur, venez à notre secours !

territoire en héritage a écrit:.

C’est pourquoi – mais ce n’est qu’une hypothèse – les forces du mal appuient sur ces deux pédales pour accélérer le processus de destruction de l’Église 

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Sans faire de vilain jeux de mots, le sujet de l'homosexualité et aujourd'hui de la transexualité sont devenu des sujets majeurs dans l'église car il en va de l'unité de l'Eglise.

Le pape François semble plutôt progressiste sur le sujet mais il semble s'opposer aux dérives du synode allemand complétement phagocyté par la secte LGBT et wokiste.

Je n'ai pas tous les éléments mais j'ai l'impression que l'église catholique glisse doucement vers un schisme.

Pedro31 a écrit:

territoire en héritage a écrit:.

C’est pourquoi – mais ce n’est qu’une hypothèse – les forces du mal appuient sur ces deux pédales pour accélérer le processus de destruction de l’Église

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Sans faire de  vilain jeux de mots, le sujet de l'homosexualité et aujourd'hui de la transexualité sont devenu des sujets majeurs dans l'église car il en va de l'unité de l'Eglise.

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Je n'ai pas tous les éléments mais j'ai l'impression que l'église catholique glisse doucement vers un schisme.

Quant à moi je n'avais pas même remarqué ce 'jeu de mots'  - qui n'en est peut-être pas un d'ailleurs, attention aux interprétations trop rapides et comme on dit : "honni soit qui mal y pense"...

Cela dit, vous avez raison, la promotion  homosexualiste etc etc ... est développée subversivement, et spécialement, hélas, dans l'Eglise même, comme le montre l'article de la NBQ ci-dessus ...

Vous parlez de schisme, oui, mais mon opinion est que c'est pire encore : apostasie même ! ...


 
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Enfant du Père a écrit:La confusion actuelle se nomme le mystère d'iniquité

Un livre réimprimé approuvé par le pape Léon XIII expose le complot maçonnique visant à renverser l'Église

( LifeSiteNews ) –– L'Église catholique a publié des condamnations répétées de la franc-maçonnerie depuis son lancement officiel dans les années 1700. En 1885, le prêtre catholique Mgr. George Dillon, DD, a publié un livre qui détaillait le complot caché de la maçonnerie pour renverser l'Église, et le livre à son tour a reçu l'approbation du pape Léon XIII. 



Mon invité aujourd'hui, converti à la foi catholique du protestantisme Joshua Charles, a récemment édité une nouvelle édition du livre de Dillon publié par TAN sous le titre La guerre de l'Antéchrist avec l'Église et la civilisation chrétienne , explique pourquoi l'Église a condamné à plusieurs reprises la maçonnerie et quelle est son ultime les objectifs sont.


Décrivant la maçonnerie, Charles m'a dit : « [Les maçons] voulaient détruire le pouvoir temporel puis spirituel de la papauté. Ils voulaient des lois sur le divorce faciles à travers le monde. Ils voulaient que le mariage soit aussi facile à rompre ou sinon plus facile qu'un contrat commercial. Donc, je pense que le divorce est sans faute et ainsi de suite. Ils voulaient une éducation complètement laïcisée. Ils ne voulaient pas de l'église ni de quelque influence chrétienne que ce soit. Ils voulaient une séparation complète et totale de l'Église et de l'État. Ils… étaient animés par une sorte de programme socialiste, communiste… Et finalement, cela menait à une sorte de culte panthéiste de la nature.



Il a également expliqué que la différence essentielle entre la maçonnerie et le catholicisme est la doctrine catholique sur la grâce, essentiellement « abaissant l'horizon » de la destinée humaine de la nature restaurée et perfectionnée par la grâce à la nature sans grâce.



Selon Charles, « La différence essentielle est que nous, en tant que catholiques, croyons que nous ne pouvons pas nous sauver nous-mêmes. Nous devons recevoir le Saint-Esprit dans le baptême et les sacrements si nous tombons, et que cela nous est donné par la grâce de Dieu, et que lorsque nous le recevons, nos âmes deviennent un temple pour sa présence… La racine de [la maçonnerie ] est le contraire, c'est que la divinité réside déjà dans la nature humaine… latente, pour ainsi dire, attendant d'être déverrouillée par leur propre gnose, leurs savoirs, leurs savoirs particuliers, leurs rituels, leurs signes, leurs symboles. Et qu'il y a là le salut plutôt qu'une participation à la nature divine elle-même, ils croient que c'est déjà là. Et donc quand on se dirige vers le panthéisme, c'est en quelque sorte le sens que le divin est intrinsèque à la nature elle-même. Et vous n'avez pas besoin de grâce. ”


Charles a en outre expliqué que les maçons ont pour objectif ultime la réintroduction des religions mystérieuses païennes préchrétiennes, telles que les mystères éleusiniens dans la Grèce antique ou le mithraïsme dans la Rome antique.



" Les vrais livres maçonniques… prétendent explicitement qu'ils sont la restauration du système de mystère païen qui a précédé l'incarnation de notre Seigneur", a déclaré Charles. « Et nous savons par Paul, qui, je crois, cite les Psaumes, que les dieux des nations sont des démons. Donc avant l'incarnation de notre Seigneur, il y avait littéralement un acte d'alliance entre les humains et le démoniaque. Et cela retenait le monde, le fascinait dans l'ignorance et la superstition. ”



« Et ainsi les mystères chrétiens finissent par supplanter et détruire, vraiment vaincre, les mystères païens. Eh bien, la franc-maçonnerie se voit comme une restauration de ces mystères païens. C'est ce que beaucoup d'entre eux disent », a-t-il poursuivi. " Et donc la raison pour laquelle ils veulent restaurer ces mystères païens est parce que c'est le système pré-chrétien dans lequel l'homme trouvait le salut dans une fausse tentative d'être comme Dieu, ce que Satan nous avait tenté en premier lieu. ”



Charles a en outre expliqué que le moyen de cette réintroduction des cultes païens des mystères est, selon des sources maçonniques, la réintroduction d'une alliance active entre les êtres humains et les démons.



Charles a également expliqué qu'il y avait deux partis dans la maçonnerie, un parti intellectuel et un parti guerrier, dirigés par un directoire secret, dont le dernier directeur, suggère Charles, sera l'Antéchrist. « Mgr. Dillon a affirmé qu'il y avait un répertoire secret qui contrôlait de manière centralisée tous ou la plupart des groupes occultes dans le monde qui cherchaient à renverser la chrétienté », m'a dit Charles. "Il a affirmé que ce répertoire était dirigé par un individu avec très, très peu de personnes autour d'eux qui étaient au courant."



"Ce répertoire contrôle tout de manière centralisée", a poursuivi Charles. « Et ce qu'il fait, c'est qu'il a ce qu'on appelle le Parti intellectuel et le Parti de la guerre. Le Parti Intellectuel c'est les idées, les législateurs, peu importe. Le War Party est, je suppose que nous pourrions dire, les militants, les manifestants de rue, peut-être ceux qui deviennent violents. Et fondamentalement… le Parti Intellectuel sait toujours ce que fait le Parti de la Guerre. Mais le Parti de la Guerre ne sait pas toujours ce que fait le Parti Intellectuel, alors ils sont séparés.



Charles a également abordé les raisons concernant la perte apparente de raison dans les guerres culturelles. Selon lui, la cause profonde de la perte culturelle de la raison est le rejet de l'enseignement catholique. 



« Je dirais que c'est parce que la foi catholique est vraie », m'a-t-il dit. « Et qu'est-ce que je veux dire par là ? L'Église catholique a toujours dit que la loi naturelle s'impose à nous tous. C'est en quelque sorte résumé dans les Dix Commandements, etc. Mais nous avons aussi toujours dit, encore une fois, comme nous l'avons dit tout au long de cette conversation, que nous ne pouvons pas atteindre notre fin sans grâce.



« Avec les Lumières… nous avons commencé à considérer la nature comme quelque chose à manipuler et à contrôler à des fins de pouvoir, alors que… dans… la mentalité chrétienne médiévale… la nature était sacramentelle, ce qui signifie que vous regardiez quelque chose dans la nature et que vous l'associiez automatiquement à la divin. Comment cette chose naturelle pointe-t-elle vers ce qui est supérieur à elle-même ? Cela a vraiment changé avec les Lumières.



Charles a expliqué qu'en raison du rejet du magistère de l'Église par les premiers protestants, il n'y avait plus de sentiment de certitude en matière religieuse, et que cet état d'esprit s'est répandu dans la philosophie et les sciences naturelles, changeant "la vision de l'homme sur la nature, passant de sacramentelle à mécaniste". .”



Le but des francs-maçons spécifiquement contre le catholicisme, soutient Charles, est lié à la venue de l'Antéchrist.



Soulignant que son point de vue est une opinion basée sur des commentaires patristiques de l'Écriture, il soutient que l'utilisation par saint Paul du terme «homme d'anarchie» dans sa lettre aux Thessaloniciens, universellement considéré comme l'Antéchrist, signifie que le Christ et son Église sont les sources de la licéité. Ainsi, Charles soutient que le programme maçonnique de réintroduire les cultes païens du mystère signifie non seulement un défi à une distinction catholique entre les ordres temporel et spirituel, quelque chose d'étranger au paganisme que Charles considère que les maçons veulent réintroduire, mais aussi à l'introduction de l'Antéchrist.



"Eh bien, l'Église a toujours enseigné les deux pouvoirs, le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel", a expliqué Charles. 



«Nous savons par Romains 13 que le pouvoir temporel tient l'épée et qu'il la tient pour la justice, pour faire justice contre les malfaiteurs et pour soutenir les justes. Et nous connaissons aussi le pouvoir spirituel avec la hiérarchie. Ils ont l'autorité de parler pour Dieu. Mais voici la chose. Avant l'incarnation, les deux, les païens ne les concevaient pas comme temporel et spirituel, mais cela faisait partie du problème. Le temporel dans le spirituel étaient complètement les mêmes. ” 


« Maintenant, pourquoi cette distinction est-elle importante ? Parce que le pouvoir temporel, un pouvoir purement naturel, dépourvu de grâce, n'est pas capable de conduire les gens à Dieu », a-t-il poursuivi. « Ce n'est tout simplement pas le cas. Il a besoin de la puissance spirituelle dans le sens où nos esprits… ont besoin de grâce… pour discerner ce que Dieu demande. Même chose avec le pouvoir temporel. Le pouvoir temporel a besoin du pouvoir spirituel pour le conduire dans la bonne direction. ”



Charles a également expliqué que le katechon référencé par saint Paul, la force de retenue qui empêche le mystère de l'iniquité de se manifester est, selon lui, l'Église catholique, et que les cultes païens du mystère sont le mystère de l'iniquité, qui conduisent à la montée de l'Antéchrist. 
" Je crois personnellement que c'est très, très lié au fait que le katechon ne restreint plus", a déclaré Charles. «Je ne pense pas que ce soit fait pour retenir pour l'instant. Mais je pense que mon opinion personnelle est que ça devient assez proche. 



"Mais c'est pourquoi je pense que l'Église catholique est leur cible numéro un", a-t-il poursuivi. "Ouais, ils veulent s'en prendre aux chrétiens en général, mais ils sont très, très clairs dans beaucoup de leurs écrits que le grand kahuna est l'Église catholique, parce que franchement, le protestantisme n'a pas la même vision de la grâce que nous. .”



"Et donc je pense que le katechon est probablement la chrétienté", a précisé Charles. « C'est l'Église. Ce sont… les sources de la légalité qui s'opposent à la venue de l'homme de l'anarchie. Et donc quand ce katechon cesse de retenir, nous savons ce qui vient ensuite. Et il semble certainement qu'il y a lieu de faire valoir qu'il se rapproche de plus en plus de la non-retenue. ”



Plus tard dans notre conversation, Charles m'a expliqué à quoi le pape saint Grégoire le Grand, docteur et père de l'Église, avait dit que cela pourrait ressembler.



Se référant à St. Gregory's Moralia on Job , Charles a déclaré: «L' Église avant l'apparition de l'Antéchrist serait gravement affaiblie. Il a dit… que la voix de la doctrine se tait. Il a dit… la pénitence serait plus faible, qu'il y aurait moins de miracles.



Charles a également expliqué que saint Grégoire a donné deux raisons pour lesquelles ce serait le cas, qui concordent avec ce que saint Paul discute dans sa lettre aux Thessaloniciens. « Saint Pape Grégoire le Grand dit que la raison pour laquelle cette [faiblesse de l'Église] est permise est que ceux… qui n'aiment pas notre Seigneur, seront montrés pour qui et ce qu'ils sont, et ils le feront d'autant plus facilement. tomber. Et deuxièmement, ceux qui aiment notre Seigneur mériteront encore plus par le fait qu'ils peuvent compter de moins en moins sur ce qu'ils voient et de plus en plus sur ce qu'ils savent [d'après ce que l'Église enseigne].



https://www-lifesitenews-com.translate.goog/blogs/reprinted-book-endorsed-by-pope-leo-xiii-exposes-the-masonic-plot-to-overthrow-the-church/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp

C'est long mais c'est bon.L'Eglise n'a jamais été aussi faible...de l'intérieur.

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Suivant l'enseignement de l'Eglise le baptême est nécessaire pour recevoir l'Eucharistie mais un évêque du Brésil n'accepte pas cette règle lors d'une Messe à Londrina, le 28 août 2023 :

https://tribunechretienne.com/la-communion-donnee-aux-musulmans-pour-ou-contre/
extraits

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Monseigneur Geremias Steinmetz est Archevêque de Londrina, au Brésil.Suite au décès du Cardinal Géraldo Majella Agnelo, âgé de 89 ans (26 août 2023), ancien Archevêque de São Salvador da Bahia, Mgr Steinmetz a participé à une Messe funéraire présidée par le Cardinal Sérgio da Rocha le lundi 28 août.
Mgr Steinmetz a proposé la communion au cheikh Ahmad Saleh Mahairi, fondateur de la mosquée locale

Alors que dire ?

Nous ne rentrerons pas dans une polémique explosive ..et pourtant.. Est-ce là aussi l’application du ” tous,tous,tous..” …?

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Les images de la Sainte Messe diffusées montrent Sheik Mahairi recevant l’Eucharistie de mes mains, mais ne le montrent pas en train de la consommer. Face aux répercussions de ces images, j’ai demandé au vicaire général de l’archidiocèse de Londrina, le Père Rafael Solano, de parler au sheik afin de clarifier la situation. 
Regrettant profondément ce qui s’était passé, car son intention n’était pas de manquer de respect à l’Église catholique, Sheik Mahairi a expliqué au vicaire général qu’il avait reçu Jésus, était retourné à son banc, s’était assis et avait consommé l’Eucharistie. Selon lui, l’évêque Albano lui avait expliqué il y a de nombreuses années que l’Eucharistie était le corps de Jésus, considéré comme un prophète dans l’islam.

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