le coeur de Louis XVII : analyse de l'ADN
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le coeur de Louis XVII : analyse de l'ADN
L'authentification du cœur de Louis-Charles de France wikipédia
Selon l'historien Georges Bordonove, dans son Louis XVII et l'énigme du Temple, Louis "XVII" serait mort non pas en 1795 mais plutôt entre le 1er et le 3 janvier 1794. Sa mort aurait entraîné la révocation de Simon et le remplacement de Louis "XVII" par un enfant qui, lui, serait mort en 1795. Cette hypothèse, partagée par Louis Hastier, est aujourd'hui dépassée par les analyses ADN positives effectuées en 2000 sur le cœur de l'enfant mort au Temple en 1795.
Une autopsie est pratiquée en prison sur le corps du jeune prince et son cœur a été conservé par le chirurgien Philippe-Jean Pelletan. Le corps est alors inhumé au cimetière Sainte-Marguerite, puis recouvert de chaux vive. Les ossements n'ont jamais été retrouvés et ceux dégagés au XIXe siècle au cimetière Ste Marguerite, proviennent de plusieurs squelettes, dont un crâne d'un jeune adulte d'au moins dix-huit ans.
Le cœur de Louis "XVII" dans la basilique de Saint-Denis
Le cœur de Louis-Charles de France changea plusieurs fois de main à titre de relique avant d'être placé, en 1975, dans la crypte royale de la basilique de Saint-Denis, lieu où ont été enterrés ses parents et une grande partie des rois de France. Des analyses génétiques par comparaison d'ADN mitochondrial, pratiquées par le professeur Jean-Jacques Cassiman de la KU Leuven en Belgique, et par le docteur Berndt Brinkmann de l'université allemande de Muenster, sur le cœur du présumé Louis "XVII", et des cheveux de Marie-Antoinette, ont démontré en 2000 qu'il appartient bien à un enfant apparenté à cette dernière, en ligne féminine. Comme, de son côté, l'enquête historique, conduite par l'historien Philippe Delorme, a confirmé que ce cœur est bien celui que le docteur Philippe-Jean Pelletan a « soustrait » sur le cadavre de l'enfant mort au Temple le 8 juin 1795, ces deux informations – signature génétique et « traçabilité » historique – permettent de conclure qu'il s'agit bien du cœur de Louis-Charles. Cette conclusion réhabilitant du même coup les témoignages de contemporains recueillis par l'historien Alcide de Beauchesne. Cette authenticité démontrée, l'urne funéraire contenant le cœur a été placée, le 8 juin 2004, dans la chapelle des Bourbons de la basilique Saint-Denis, lors d'une cérémonie rassemblant des membres de diverses branches de la famille de Bourbon et diverses personnalités.
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Selon l'historien Georges Bordonove, dans son Louis XVII et l'énigme du Temple, Louis "XVII" serait mort non pas en 1795 mais plutôt entre le 1er et le 3 janvier 1794. Sa mort aurait entraîné la révocation de Simon et le remplacement de Louis "XVII" par un enfant qui, lui, serait mort en 1795. Cette hypothèse, partagée par Louis Hastier, est aujourd'hui dépassée par les analyses ADN positives effectuées en 2000 sur le cœur de l'enfant mort au Temple en 1795.
Une autopsie est pratiquée en prison sur le corps du jeune prince et son cœur a été conservé par le chirurgien Philippe-Jean Pelletan. Le corps est alors inhumé au cimetière Sainte-Marguerite, puis recouvert de chaux vive. Les ossements n'ont jamais été retrouvés et ceux dégagés au XIXe siècle au cimetière Ste Marguerite, proviennent de plusieurs squelettes, dont un crâne d'un jeune adulte d'au moins dix-huit ans.
Le cœur de Louis "XVII" dans la basilique de Saint-Denis
Le cœur de Louis-Charles de France changea plusieurs fois de main à titre de relique avant d'être placé, en 1975, dans la crypte royale de la basilique de Saint-Denis, lieu où ont été enterrés ses parents et une grande partie des rois de France. Des analyses génétiques par comparaison d'ADN mitochondrial, pratiquées par le professeur Jean-Jacques Cassiman de la KU Leuven en Belgique, et par le docteur Berndt Brinkmann de l'université allemande de Muenster, sur le cœur du présumé Louis "XVII", et des cheveux de Marie-Antoinette, ont démontré en 2000 qu'il appartient bien à un enfant apparenté à cette dernière, en ligne féminine. Comme, de son côté, l'enquête historique, conduite par l'historien Philippe Delorme, a confirmé que ce cœur est bien celui que le docteur Philippe-Jean Pelletan a « soustrait » sur le cadavre de l'enfant mort au Temple le 8 juin 1795, ces deux informations – signature génétique et « traçabilité » historique – permettent de conclure qu'il s'agit bien du cœur de Louis-Charles. Cette conclusion réhabilitant du même coup les témoignages de contemporains recueillis par l'historien Alcide de Beauchesne. Cette authenticité démontrée, l'urne funéraire contenant le cœur a été placée, le 8 juin 2004, dans la chapelle des Bourbons de la basilique Saint-Denis, lors d'une cérémonie rassemblant des membres de diverses branches de la famille de Bourbon et diverses personnalités.
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Re: le coeur de Louis XVII : analyse de l'ADN
en attente
Dernière édition par Dieu est Amour le Sam 19 Nov 2011 - 19:32, édité 1 fois
Dieu est Amour- Contre la puce électronique
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Re: le coeur de Louis XVII : analyse de l'ADN
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Dernière édition par Dieu est Amour le Sam 19 Nov 2011 - 19:17, édité 1 fois
Dieu est Amour- Contre la puce électronique
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