Donnez vous au denier de l'Eglise, oui, non, pourquoi ?

Le denier du culte en France

Lors de la Révolution française, les biens de l’Église furent confisqués. Napoléon signa en 1801 un concordat avec le pape Pie VII, dans lequel l'Église s'engageait à ne plus réclamer la restitution des biens si l'État français assurait « un traitement convenable aux évêques et aux curés ». L’Église dépend alors institutionnellement et financièrement de l’État français.

La loi de séparation de l’Église et de l’État de 1905 met fin à ce statut, la République n'acceptant plus de reconnaître ni de salarier aucun culte. Les biens qui étaient propriété de l’État le demeurent et sont laissés à la disposition de l’Église, mais les prêtres perdent leur salaire. Ce n'est qu'en 1925 que de nouveaux statuts d’associations diocésaines voient le jour :

Une association cultuelle représente juridiquement chacun des 95 diocèses français. Elle a à sa charge la formation, la subsistance, le logement, la protection sociale des ministres du culte et de leurs auxiliaires d’une part, la possession et l’administration des biens immobiliers nécessaires à l’exercice public du culte d’autre part.
L’association diocésaine est chargée de recueillir les fonds nécessaires à la rémunération des prêtres.
Le denier du culte (dans un premier temps nommé le denier du clergé) et une contribution libre et volontaire demandée à tous les catholiques. C'est la seule source de rémunération des prêtres et des laïcs salariés travaillant pour l'Église. L'expression « denier du Culte » est remplacée en 1989 par le « denier de l'Église ».

Cependant, si dans les premiers temps, le Denier de l'Église ne servait qu'à la rémunération des équipes sacerdotale et laïque, sur le Diocèse de Paris, il sert également au paiement des Charges Sociales, à l'entretien, au chauffage, aux assurances, aux frais de catéchèse (enfants ou adultes), de pastorale, d'entraide, etc.

Je donne parceque les prêtres ne sont pas payés...et j'invite mon curé à la maison pour qu'il ne crêve pas de faim

Bonjour,

je donne peu au denier en direct, mais plutot au prêtre et aux religieuses , j'en connais quelques-unes qui se donnent s'en compter dans une toutes petites congrégation , ellesont juste de qui survivre elle s'occupe de ceux d'ont personnes ne veux s'occuper; donc je leurs donne car même le diocése ne les soutiens guère, devant une telle gestion humaine, j'avoue que bien des trucs descendent assez mal dans mon gosier !

le diocèse gère un parc important d'immeubles de grande valeurs cela occupe des personnes consacrées a faire de la gestion financière , ce qui n'est pas la mission de l'Église (loin s'en faut) on voit bien le bénéfice spirituelle que l'on en a tiré depuis des décennies !
et ces femmes qui se dévouent corps et âmes pour éducquer chrétiennement leurs fréres, on ne trouve même de quoi leurs offrir une maison descente, elles vivent dans une cabanne qui est presque d'avant guerre et elles ne peuvent pas financer les travaux de plus elels sont toujours dehors a suivre ceux qu'elles aident.
alors ledenier de l'Eglise je crois qu'ailleurs reviens et pas pour aller restaurer je ne sais qu'elle oeuvres ou autres trucs d'artiste, alors que les vrais travailleurs de l'Evangile sont sans moyens ou presque !

pour donner une idée du denier , l'appel l'an dernier a été formulé ainsi (une honte !)
"pour l'Eglise aussi l'argent ne tombe pas du Ciel, donnez au denier de l'Eglise !"
une main a écrit sous cette sottise ; " hé bien on croit plus au Bon Dieu ?".

Jésus a dit a Pierre " va au Lac jette l'ameçon et là sort le premier poisson qui mord ouvre lui la bouche tu trouvera de quoi payer l'impôt pour toi et moi " et aussi " Tout travailleur mériet son salire !" maisilfaut croire que l'on a plus le temps de croire a toutes ces bigotteries et lire l'evangile, les livres de comptes par le sdiplomés certifiés ça méne là où on est !

Dieu est la 99eme roues de secourt du chariot !
ça tombe bien on vient de crever la 98emme roues de secourt

re-bonjour pas trés lisible mon message ,un eu fatigué !

je remet un peu en ordre ce que j'ai voulu dire

alors le denier de l'Eglise je crois qu'il leurs revient d'ailleurs; et non pas pour aller restaurer je ne sais qu'elle œuvres ou autres trucs d'artiste, alors que les vrais travailleurs de l'Evangile sont sans moyens ou presque !

Tout travailleur mériete son salaire