✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Vendredi 22 Décembre 2017
Fête de Sainte Françoise-Xavière Cabrini, Vierge et Fondatrice des «Sœurs Missionnaires du Sacré-Cœur », Sainte Patronne des émigrés (1850-1917).
Fête de Sainte Françoise-Xavière Cabrini, Vierge et Fondatrice des «Sœurs Missionnaires du Sacré-Cœur », Sainte Patronne des émigrés (1850-1917).
Françoise-Xavière Cabrini était la treizième enfant d'une famille aisée de la banlieue Milanaise.
Elle rêvait, comme beaucoup à l'époque, de la Chine.
Elle voulait y être Missionnaire. Mais en attendant, il lui fallait gagner sa vie.
Elle se fit institutrice, mais elle n'oubliait pas l'Extrême-Orient.
Elle se présenta dans plusieurs Congrégations religieuses féminines qui toutes lui répondent:
"Postulante de santé trop fragile."
Alors, elle passe outre et fonde une Congrégation:
"Les Sœurs Missionnaires du Sacré-Cœur" https://fr.wikipedia.org/wiki/S%C5%93urs_missionnaires_du_Sacr%C3%A9-C%C5%93ur
La Chine, pense-t-elle, se profile à l'horizon. Les voies de Dieu sont autres.
Le Pape Léon XIII lui demande d'accompagner les émigrants italiens qui traversent l'Atlantique, misérables, déracinés, abandonnés, pauvres.
Elle part avec eux. Pour eux, elle fonde des écoles et des hôpitaux.
La Providence aplanit les difficultés. "La mère des émigrants" meurt d'épuisement à 67 ans.
Elle a été Béatifiée le 13 Novembre 1938 par Pie XI et Canonisée (première Sainte des États Unis) le 7 Juillet 1946 à Rome par Pie XII qui l'a déclarée Sainte Patronne des émigrés.
À Chicago dans l’Illinois, aux États-Unis d’Amérique, en 1917, Sainte Françoise-Xavière Cabrini, vierge, qui fonda l’Institut des Sœurs Missionnaires du Sacré-Cœur et dépensa toutes ses forces avec une immense Charité au soin des migrants.
Martyrologe romain.
Elle rêvait, comme beaucoup à l'époque, de la Chine.
Elle voulait y être Missionnaire. Mais en attendant, il lui fallait gagner sa vie.
Elle se fit institutrice, mais elle n'oubliait pas l'Extrême-Orient.
Elle se présenta dans plusieurs Congrégations religieuses féminines qui toutes lui répondent:
"Postulante de santé trop fragile."
Alors, elle passe outre et fonde une Congrégation:
"Les Sœurs Missionnaires du Sacré-Cœur" https://fr.wikipedia.org/wiki/S%C5%93urs_missionnaires_du_Sacr%C3%A9-C%C5%93ur
La Chine, pense-t-elle, se profile à l'horizon. Les voies de Dieu sont autres.
Le Pape Léon XIII lui demande d'accompagner les émigrants italiens qui traversent l'Atlantique, misérables, déracinés, abandonnés, pauvres.
Elle part avec eux. Pour eux, elle fonde des écoles et des hôpitaux.
La Providence aplanit les difficultés. "La mère des émigrants" meurt d'épuisement à 67 ans.
Elle a été Béatifiée le 13 Novembre 1938 par Pie XI et Canonisée (première Sainte des États Unis) le 7 Juillet 1946 à Rome par Pie XII qui l'a déclarée Sainte Patronne des émigrés.
À Chicago dans l’Illinois, aux États-Unis d’Amérique, en 1917, Sainte Françoise-Xavière Cabrini, vierge, qui fonda l’Institut des Sœurs Missionnaires du Sacré-Cœur et dépensa toutes ses forces avec une immense Charité au soin des migrants.
Martyrologe romain.
Demandons à Sainte Françoise-Xavière Cabrini l'art de la Prière à Marie, afin d'obtenir pour toutes les familles et pour toutes les nations la Paix qui vient de Jésus-Christ, Prince de la Paix.
Dom Antoine Marie osb, Abbé
Dom Antoine Marie osb, Abbé
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Aujourd'hui, 4è dimanche de l'Avent, est aussi la fête de Saint Charbel Makhlouf, celui dont son supérieur disait au jour de son enterrement:
"A cause de ce qu'il fera après sa mort, je n'ai pas besoin de parler au sujet de son comportement."
Voici le lien du site officiel :
http://www.saintcharbel-annaya.com/home.php?lgid=1
"A cause de ce qu'il fera après sa mort, je n'ai pas besoin de parler au sujet de son comportement."
Voici le lien du site officiel :
http://www.saintcharbel-annaya.com/home.php?lgid=1
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
JÉSUS NOUS DEMANDE…“ TE SOUVIENS-TU QU’À NOËL C’EST MON ANNIVERSAIRE-? ”
Je suis sûr que vous ne l’avez pas oublié : c’est mon anniversaire !
Tous les ans, il y a une grande célébration en mon honneur, et cette année encore cette célébration va avoir lieu. C’est une période au cours de laquelle tout le monde va faire des courses, acheter des cadeaux, et il y a plein de publicités à la radio, à la télé et dans les magasins, et cette fièvre augmente au fur et à mesure que mon anniversaire se rapproche.
Je me souviens d’un grand banquet en mon honneur organisé l’an dernier. La table de la salle à manger était garnie de plats succulents, de gâteaux et de chocolats. Les décorations étaient magnifiques et il y avait plein de cadeaux emballés dans des papiers multicolores.
Je n’étais pas invité…
J’étais en théorie l’invité d’honneur, mais personne ne s’en était souvenu, et ils ne m’avaient pas envoyé d’invitation.
La fête était en mon honneur, mais quand le grand jour est arrivé, on m’a laissé dehors, et ils m’ont fermé la porte à la figure… et pourtant moi je voulais être avec eux et partager leur repas !
En réalité, je n’étais pas surpris, car depuis quelques années, toutes les portes se referment devant moi.
Comme je n’étais pas invité, j’ai décidé de me joindre à la fête sans faire de bruit, sans me faire remarquer. Je me suis mis dans un coin, et j’ai observé.
A minuit, ils se sont tous embrassés…♥ J’ai ouvert les bras et j’ai attendu que quelqu’un vienne me serrer dans ses bras, ♥ mais… personne n’est venu vers moi…
Puis ils se sont offerts les cadeaux. Ils les ont ouverts un par un, très excités.
Quand tout a été déballé, j’ai regardé pour voir si, peut-être, un cadeau était resté pour moi.
J’ai enfin compris que je n’étais pas désiré à cette soirée et je suis parti silencieusement.
Les gens se rappellent seulement de ce qu’ils ont bu, de ce qu’ils ont mangé, des cadeaux qu’ils ont reçus, et plus personne ne pense à moi.
J’aurais voulu que pour la fête de Noël cette année, vous me laissiez entrer dans votre vie…
J’aurai souhaité que vous vous rappeliez qu’il y a plus de 2000 ans, je suis venu au monde pour donner ma vie pour vous, et pour vous sauver. Ce n’est pas pour rire que je vous ai aimés… Je souhaite que vous le croyiez de tout votre coeur !♥
Voulez-vous vraiment célébrer mon anniversaire ? Je vous attends à l’église, ce soir, demain… toujours ! Par la Communion Eucharistique, dans la petite crèche de votre cœur, je viendrai à vous, et nous ne ferons plus qu’un, vous et moi…
Je vous aime !♥
Jésus
Je suis sûr que vous ne l’avez pas oublié : c’est mon anniversaire !
Tous les ans, il y a une grande célébration en mon honneur, et cette année encore cette célébration va avoir lieu. C’est une période au cours de laquelle tout le monde va faire des courses, acheter des cadeaux, et il y a plein de publicités à la radio, à la télé et dans les magasins, et cette fièvre augmente au fur et à mesure que mon anniversaire se rapproche.
C’est vraiment bien de savoir qu’au moins une fois par an, certaines personnes pensent à moi. Pourtant je remarque que si au début les gens paraissaient comprendre et semblaient reconnaissants de tout ce que j’ai fait pour eux, plus le temps passe, et moins ils semblent se rappeler la raison d’être de cette célébration. Les familles et les amis se rassemblent pour s’amuser, mais ils ont oublié le sens de cette si belle fête.
Je me souviens d’un grand banquet en mon honneur organisé l’an dernier. La table de la salle à manger était garnie de plats succulents, de gâteaux et de chocolats. Les décorations étaient magnifiques et il y avait plein de cadeaux emballés dans des papiers multicolores.
Mais vous savez quoi ?
Je n’étais pas invité…
J’étais en théorie l’invité d’honneur, mais personne ne s’en était souvenu, et ils ne m’avaient pas envoyé d’invitation.
La fête était en mon honneur, mais quand le grand jour est arrivé, on m’a laissé dehors, et ils m’ont fermé la porte à la figure… et pourtant moi je voulais être avec eux et partager leur repas !
En réalité, je n’étais pas surpris, car depuis quelques années, toutes les portes se referment devant moi.
Comme je n’étais pas invité, j’ai décidé de me joindre à la fête sans faire de bruit, sans me faire remarquer. Je me suis mis dans un coin, et j’ai observé.
Tout le monde s’amusait, quelques-uns qui avaient bu plus que de raison étaient ivres, ils faisaient des farces, ils riaient à propos de tout. Ils passaient visiblement un bon moment. Pour couronner le tout, un gros bonhomme à la barbe blanche est arrivé, vêtu d’une longue robe rouge. Il s’est assis sur le canapé et tous les enfants ont couru vers lui en criant : » Père Noël ! Père Noël ! « , comme si la fête était en son honneur !
A minuit, ils se sont tous embrassés…♥ J’ai ouvert les bras et j’ai attendu que quelqu’un vienne me serrer dans ses bras, ♥ mais… personne n’est venu vers moi…
Puis ils se sont offerts les cadeaux. Ils les ont ouverts un par un, très excités.
Quand tout a été déballé, j’ai regardé pour voir si, peut-être, un cadeau était resté pour moi.
Qu’auriez-vous ressenti si, le jour de votre anniversaire, tout le monde s’échangeait des cadeaux et que vous n’en receviez aucun ?
J’ai enfin compris que je n’étais pas désiré à cette soirée et je suis parti silencieusement.
Et tous les ans ça empire !
Les gens se rappellent seulement de ce qu’ils ont bu, de ce qu’ils ont mangé, des cadeaux qu’ils ont reçus, et plus personne ne pense à moi.
J’aurais voulu que pour la fête de Noël cette année, vous me laissiez entrer dans votre vie…
J’aurai souhaité que vous vous rappeliez qu’il y a plus de 2000 ans, je suis venu au monde pour donner ma vie pour vous, et pour vous sauver. Ce n’est pas pour rire que je vous ai aimés… Je souhaite que vous le croyiez de tout votre coeur !♥
Voulez-vous vraiment célébrer mon anniversaire ? Je vous attends à l’église, ce soir, demain… toujours ! Par la Communion Eucharistique, dans la petite crèche de votre cœur, je viendrai à vous, et nous ne ferons plus qu’un, vous et moi…
M’offrirez-vous cette joie ? Alors ce sera Noël à chacune de vos Communions, Noël dans votre cœur, Noël pour tous ceux qui vous entourent, Noël chaque jour un peu plus sur la terre ! Je vous attends, ne tardez pas…
Je vous aime !♥
Jésus
AnneLÉA- En adoration
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Mercredi 27 Décembre 2017
Fête de Saint Jean, Apôtre et Évangéliste († v. 101).
Fête de Saint Jean, Apôtre et Évangéliste († v. 101).
Saint Jean l'Évangéliste dans la Basilique Saint Jean de Latran, Rome, Italie
Catéchèses du Pape Benoît XVI :
1) Jean, apôtrehttp://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/audiences/2006/documents/hf_ben-xvi_aud_20060705.html
2) Jean, le théologienhttp://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/audiences/2006/documents/hf_ben-xvi_aud_20060809.html
3) Jean, le Voyant de Patmoshttp://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/audiences/2006/documents/hf_ben-xvi_aud_20060823.html
1) Jean, apôtrehttp://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/audiences/2006/documents/hf_ben-xvi_aud_20060705.html
2) Jean, le théologienhttp://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/audiences/2006/documents/hf_ben-xvi_aud_20060809.html
3) Jean, le Voyant de Patmoshttp://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/audiences/2006/documents/hf_ben-xvi_aud_20060823.html
SAINT JEAN ET PROCHORE
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Jeudi 28 Décembre 2017
Fête des Saints Innocents, Martyrs, massacrés par Hérode (Ier s.).
Fête des Saints Innocents, Martyrs, massacrés par Hérode (Ier s.).
QUE POUVONS-NOUS FAIRE CONTRE L'AVORTEMENT ?
Si nous ne défendons pas l'enfant à naître que l'on avorte par plusieurs milliers chaque année, commettons-nous un péché grave ? Le message du Christ passera-t-il si ces enfants les plus vulnérables ne sont pas défendus ?
Il sera toujours à propos de s'ouvrir à la vie, de favoriser la planification familiale naturelle (PFN).
Mais qu'advient-il après la conception ? Mère Teresa ne craignait pas de répéter son message en faveur de la vie de ces petits êtres sans défense, blottis dans le corps de leur maman et risquant sans cesse d'être brutalement expulsés.
L'Église propose l'exemple de sainte Jeanne Beretta Molla, italienne du diocèse de Milan, morte le 28 avril 1962, à l'âge de 39 ans. Plutôt que d'accepter l'avortement, elle a sacrifié sa vie pour que son enfant naisse. " Même si je dois perdre ma vie ", disait-elle au docteur qui voulait interrompre la grossesse, " je veux que mon enfant vive ". Elle est le modèle des mères de famille des temps modernes.
J'admire votre souci devant ce massacre de ces saints innocents modernes. Vous déplorez à bon droit le fléau de l'avortement.
Le Pape ne cesse d'élever la voix pour protester contre les lois inhumaines qui sacrifient l'enfant à naître.
Certains scientifiques manipulent les embryons humains comme s'ils n'étaient que des tissus ; parfois, en clamant que c'est dans un but thérapeutique.
Pour obtenir la guérison de certaines maladies, plutôt que de recourir à des cellules souches provenant d'un adulte ou d'un cordon ombilical, on utilise des cellules souches d'embryons dont on détruit la vie.
Parmi les causes d'avortements, ne peut-on pas inclure le Levonorgestrel ?
Cette pilule du lendemain gagne en popularité et est disponible en nombre de pays. On l'appelle un contraceptif d'urgence, car elle peut empêcher l'ovulation, mais elle peut aussi empêcher l'implantation après la fécondation. Elle cause alors un avortement précoce (Mgr Pierre Morissette).
La défense de ces fœtus, de ces petits êtres innocents, ne doit-elle pas être l'action spéciale de laïques, en lien avec des non-catholiques ?
Puisque beaucoup ont cessé de croire en Dieu, dans la vertu, le péché et la punition divine, il faut de plus en plus mettre l'accent sur les droits de l'embryon et du fœtus. Ne voyons-nous pas de nos jours les bannières affichant le " Droit à la vie " faire face aux bannières du " Droit de choisir " ?
L'Église affirme que l'enfant à naître jouit du droit comme personne, qu'il soit ou non hors du sein de sa mère (Clifford Longley).
C'est là aussi la raison pour laquelle l'Église s'oppose à l'utilisation de cellules-souches embryonnaires, car elle implique la mort de ces embryons.
Désormais, des lois protectrices doivent reconnaître ces droits de l'embryon. Votre action pour promouvoir de telles lois est précieuse.
Si nous ne défendons pas l'enfant à naître que l'on avorte par plusieurs milliers chaque année, commettons-nous un péché grave ? Le message du Christ passera-t-il si ces enfants les plus vulnérables ne sont pas défendus ?
Il sera toujours à propos de s'ouvrir à la vie, de favoriser la planification familiale naturelle (PFN).
Mais qu'advient-il après la conception ? Mère Teresa ne craignait pas de répéter son message en faveur de la vie de ces petits êtres sans défense, blottis dans le corps de leur maman et risquant sans cesse d'être brutalement expulsés.
L'Église propose l'exemple de sainte Jeanne Beretta Molla, italienne du diocèse de Milan, morte le 28 avril 1962, à l'âge de 39 ans. Plutôt que d'accepter l'avortement, elle a sacrifié sa vie pour que son enfant naisse. " Même si je dois perdre ma vie ", disait-elle au docteur qui voulait interrompre la grossesse, " je veux que mon enfant vive ". Elle est le modèle des mères de famille des temps modernes.
J'admire votre souci devant ce massacre de ces saints innocents modernes. Vous déplorez à bon droit le fléau de l'avortement.
Le Pape ne cesse d'élever la voix pour protester contre les lois inhumaines qui sacrifient l'enfant à naître.
Certains scientifiques manipulent les embryons humains comme s'ils n'étaient que des tissus ; parfois, en clamant que c'est dans un but thérapeutique.
Pour obtenir la guérison de certaines maladies, plutôt que de recourir à des cellules souches provenant d'un adulte ou d'un cordon ombilical, on utilise des cellules souches d'embryons dont on détruit la vie.
Parmi les causes d'avortements, ne peut-on pas inclure le Levonorgestrel ?
Cette pilule du lendemain gagne en popularité et est disponible en nombre de pays. On l'appelle un contraceptif d'urgence, car elle peut empêcher l'ovulation, mais elle peut aussi empêcher l'implantation après la fécondation. Elle cause alors un avortement précoce (Mgr Pierre Morissette).
La défense de ces fœtus, de ces petits êtres innocents, ne doit-elle pas être l'action spéciale de laïques, en lien avec des non-catholiques ?
Puisque beaucoup ont cessé de croire en Dieu, dans la vertu, le péché et la punition divine, il faut de plus en plus mettre l'accent sur les droits de l'embryon et du fœtus. Ne voyons-nous pas de nos jours les bannières affichant le " Droit à la vie " faire face aux bannières du " Droit de choisir " ?
L'Église affirme que l'enfant à naître jouit du droit comme personne, qu'il soit ou non hors du sein de sa mère (Clifford Longley).
C'est là aussi la raison pour laquelle l'Église s'oppose à l'utilisation de cellules-souches embryonnaires, car elle implique la mort de ces embryons.
Désormais, des lois protectrices doivent reconnaître ces droits de l'embryon. Votre action pour promouvoir de telles lois est précieuse.
AVORTEMENTS….Les conséquences !!!
Magnifique vidéo :
Conséquences de nos avortements par Gloria Polo, ayant vécu une expérience de vie après la mort, et telle qu’elle l’a vu alors !!!
Je vis dans le Livre de Vie, comment notre âme se formait, le moment où la semence parvient dans l'œuf.
Une belle étincelle jaillit, une lumière qui rayonne du soleil de Dieu le Père.
Dès que le ventre de la mère est ensemencé, il s'éclaire de la lumière de l'âme… (L’âme jaillit à la seconde même de la fécondation, comme une Lumière rayonnante du Soleil !!!).
https://www.dailymotion.com/video/xjjfyy_nde-gloria-polo-nous-revele-ce-qui-se-passe-apres-l-avortement_news.
Magnifique vidéo :
Conséquences de nos avortements par Gloria Polo, ayant vécu une expérience de vie après la mort, et telle qu’elle l’a vu alors !!!
Je vis dans le Livre de Vie, comment notre âme se formait, le moment où la semence parvient dans l'œuf.
Une belle étincelle jaillit, une lumière qui rayonne du soleil de Dieu le Père.
Dès que le ventre de la mère est ensemencé, il s'éclaire de la lumière de l'âme… (L’âme jaillit à la seconde même de la fécondation, comme une Lumière rayonnante du Soleil !!!).
https://www.dailymotion.com/video/xjjfyy_nde-gloria-polo-nous-revele-ce-qui-se-passe-apres-l-avortement_news.
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Les SAINTS INNOCENTS : Fleurs des Martyrs
Dieu permit le massacre des saints Innocents pour faire d'eux les prémices de la rédemption de Jésus-Christ. C'est la jalousie et la crainte qui poussèrent Hérode à commettre un crime inouï dans l'histoire ; il en fut châtié et d'une manière terrible, car il mourut dans le désespoir et dévoré tout vivant par les vers.
Saint Augustin nous a dépeint le saisissant tableau de cette horrible boucherie: "Les mères s'arrachaient les cheveux; elles voulaient cacher leurs petits enfants, mais ces tendres créatures se trahissaient elles-mêmes; elles ne savaient pas se taire, n'ayant pas appris à craindre. C'était un combat entre la mère et le bourreau; l'un saisissait violemment sa proie, l'autre la retenait avec effort. La mère disait au bourreau: "Moi, te livrer mon enfant! Mes entrailles lui ont donné la vie, et tu veux le briser contre la terre!" Une autre mère s'écriait: "Cruel, s'il y a une coupable, c'est moi! Ou bien épargne mon fils, ou bien tue-moi avec lui!" Une voix se faisait entendre: "Qui cherchez-vous? Vous tuez une multitude d'enfants pour vous débarrasser d'un seul, et Celui que vous cherchez vous échappe!" Et tandis que les cris des femmes formaient un mélange confus, le sacrifice des petits enfants était agréé du Ciel.
Saint Jean, dans son Apocalypse, nous montre les saints Innocents entourant le trône de l'Agneau parce qu'ils sont purs, et Le suivant partout où Il va.
"Demanderez-vous, dit saint Bernard, pour quels mérites ces enfants ont été couronnés de la main de Dieu? Demandez plutôt à Hérode pour quels crimes ils ont été cruellement massacrés. La bonté du Sauveur sera-t-elle vaincue par la barbarie d'Hérode? Ce roi impie a pu mettre à mort des enfants innocents, et Jésus-Christ ne pourrait pas donner la vie éternelle à ceux qui ne sont morts qu'à cause de Lui? Les yeux de l'homme ou de l'ange ne découvrent aucun mérite dans ces tendres créatures; mais la grâce divine s'est plu à les enrichir", aussi l'Église a-t-elle établi leur fête au plus tard dès le second siècle.
Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.
Nous ne pouvons manquer de penser à tous ces enfants morts par l'avortement - Tant de millions d'enfants tués.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Zamie- Enfant de Dieu
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Vendredi 29 Décembre 2017
Fête du Saint Roi David, fils de Jessé le Bethléémite, IIe roi d'Israël (Xe av JC).
Fête du Saint Roi David, fils de Jessé le Bethléémite, IIe roi d'Israël (Xe av JC).
Né à Bethléem, mort à Jérusalem, fils de Jesséhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Jess%C3%A9 de la tribu de Juda ,https://fr.wikipedia.org/wiki/Tribu_de_Juda il fut le plus illustre des rois d'Israël avec son fils Salomon.
Il est l'auteur d'une bonne partie du livre des psaumes, qu'il composait à l'aide de sa harpe.
Il y annonça entre autre la venue du Messie qui devait naître de sa lignée.
Il est l'auteur d'une bonne partie du livre des psaumes, qu'il composait à l'aide de sa harpe.
Il y annonça entre autre la venue du Messie qui devait naître de sa lignée.
La prière de l’Église récite souvent ce qu’on a appelé le Miserere Mei, Deus, et que des poètes musiciens ont mis en musique.
Le roi David recouvrit son cœur d’enfant de Dieu.
Il fut, par la suite de son long règne, un roi modèle que l’on présenta toujours comme tel à la postérité: tous les rois qui suivirent furent jugés à l’aune du roi David.
Pareillement, on attendit toujours le Messie à venir comme “fils de David” qui devait naître à Béit-Lèhèm de Iehouda, la ville du Saint Roi David.
MISERERE MEI DEUS (Psaume 50)
Pitié pour moi, mon Dieu, dans ton amour,
selon ta grande miséricorde, efface mon péché.
Lave-moi tout entier de ma faute,
purifie-moi de mon offense.
Oui, je connais mon péché,
ma faute est toujours devant moi.
Contre toi, et toi seul, j’ai péché,
ce qui est mal à tes yeux, je l’ai fait.
Ainsi, tu peux parler et montrer ta justice,
être juge et montrer ta victoire.
Moi, je suis né dans la faute,
j’étais pécheur dès le sein de ma mère.
Mais tu veux au fond de moi la vérité ;
dans le secret, tu m’apprends la sagesse.
Purifie-moi avec l’hysope, et je serai pur ;
lave-moi et je serai blanc, plus que la neige.
Fais que j’entende les chants et la fête :
ils danseront, les os que tu broyais.
Détourne ta face de mes fautes,
enlève tous mes péchés.
Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu,
renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit.
Ne me chasse pas loin de ta face,
ne me reprends pas ton esprit saint.
Rends-moi la joie d’être sauvé ;
que l’esprit généreux me soutienne.
Aux pécheurs, j’enseignerai tes chemins ;
vers toi, reviendront les égarés.
Libère-moi du sang versé, Dieu, mon Dieu sauveur,
et ma langue acclamera ta justice.
Seigneur, ouvre mes lèvres,
et ma bouche annoncera ta louange.
Si j’offre un sacrifice, tu n’en veux pas,
tu n’acceptes pas d’holocauste.
Le sacrifice qui plaît à Dieu, c’est un esprit brisé ;
tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé…
Le roi David recouvrit son cœur d’enfant de Dieu.
Il fut, par la suite de son long règne, un roi modèle que l’on présenta toujours comme tel à la postérité: tous les rois qui suivirent furent jugés à l’aune du roi David.
Pareillement, on attendit toujours le Messie à venir comme “fils de David” qui devait naître à Béit-Lèhèm de Iehouda, la ville du Saint Roi David.
MISERERE MEI DEUS (Psaume 50)
Pitié pour moi, mon Dieu, dans ton amour,
selon ta grande miséricorde, efface mon péché.
Lave-moi tout entier de ma faute,
purifie-moi de mon offense.
Oui, je connais mon péché,
ma faute est toujours devant moi.
Contre toi, et toi seul, j’ai péché,
ce qui est mal à tes yeux, je l’ai fait.
Ainsi, tu peux parler et montrer ta justice,
être juge et montrer ta victoire.
Moi, je suis né dans la faute,
j’étais pécheur dès le sein de ma mère.
Mais tu veux au fond de moi la vérité ;
dans le secret, tu m’apprends la sagesse.
Purifie-moi avec l’hysope, et je serai pur ;
lave-moi et je serai blanc, plus que la neige.
Fais que j’entende les chants et la fête :
ils danseront, les os que tu broyais.
Détourne ta face de mes fautes,
enlève tous mes péchés.
Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu,
renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit.
Ne me chasse pas loin de ta face,
ne me reprends pas ton esprit saint.
Rends-moi la joie d’être sauvé ;
que l’esprit généreux me soutienne.
Aux pécheurs, j’enseignerai tes chemins ;
vers toi, reviendront les égarés.
Libère-moi du sang versé, Dieu, mon Dieu sauveur,
et ma langue acclamera ta justice.
Seigneur, ouvre mes lèvres,
et ma bouche annoncera ta louange.
Si j’offre un sacrifice, tu n’en veux pas,
tu n’acceptes pas d’holocauste.
Le sacrifice qui plaît à Dieu, c’est un esprit brisé ;
tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé…
Sur cette image (venant du site « en famille avec Dieu »)
http://eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/vivre-sa-foi-a-tous-les-ages/transmettre-la-foi/vivre-foi-famille/
Il y a David, futur roi d’Israël, et quelques générations plus tard, la Vierge Marie (sur le dessin, on a l’impression que Marie est descendante directe de David ; ce n’est pas le cas. Il y a 1000 ans d’écart entre les deux).
Parmi les sept fils de Jessé, Dieu s’est choisi le plus jeune, le plus petit, pour que le Messie naisse de sa descendance.
L’arbre de Jessé http://www.1oeuvre-1histoire.com/arbre-jesse.htmlreprésente traditionnellement l’arbre généalogique de Jésus illustrant son appartenance à l’histoire des hommes.
L’arbre, enraciné dans le sol et montant vers le Ciel symbolise le lien entre la Terre et le Ciel.
Pour un approfondissement, lire :
Premier Livre de Samuel (chapitres 16 à 31) http://bible.catholique.org/premier-livre-de-samuel/3816-chapitre-1
Deuxième livre de Samuel (chapitres 1 à 24)http://bible.catholique.org/deuxieme-livre-de-samuel/3856-chapitre-1
Premier livre des Rois (chapitres 1 et 2)http://bible.catholique.org/premier-livre-des-rois/3887-chapitre-1http://bible.catholique.org/premier-livre-des-chroniques/3954-chapitre-1
Premier livre des Chroniques (chapitres 3, 11 à 29).http://bible.catholique.org/premier-livre-des-chroniques/3954-chapitre-1
http://eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/vivre-sa-foi-a-tous-les-ages/transmettre-la-foi/vivre-foi-famille/
Il y a David, futur roi d’Israël, et quelques générations plus tard, la Vierge Marie (sur le dessin, on a l’impression que Marie est descendante directe de David ; ce n’est pas le cas. Il y a 1000 ans d’écart entre les deux).
Parmi les sept fils de Jessé, Dieu s’est choisi le plus jeune, le plus petit, pour que le Messie naisse de sa descendance.
L’arbre de Jessé http://www.1oeuvre-1histoire.com/arbre-jesse.htmlreprésente traditionnellement l’arbre généalogique de Jésus illustrant son appartenance à l’histoire des hommes.
L’arbre, enraciné dans le sol et montant vers le Ciel symbolise le lien entre la Terre et le Ciel.
Pour un approfondissement, lire :
Premier Livre de Samuel (chapitres 16 à 31) http://bible.catholique.org/premier-livre-de-samuel/3816-chapitre-1
Deuxième livre de Samuel (chapitres 1 à 24)http://bible.catholique.org/deuxieme-livre-de-samuel/3856-chapitre-1
Premier livre des Rois (chapitres 1 et 2)http://bible.catholique.org/premier-livre-des-rois/3887-chapitre-1http://bible.catholique.org/premier-livre-des-chroniques/3954-chapitre-1
Premier livre des Chroniques (chapitres 3, 11 à 29).http://bible.catholique.org/premier-livre-des-chroniques/3954-chapitre-1
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Samedi 30 Décembre 2017
Fête du Bienheureux Jean-Marie Boccardo, Prêtre et Fondateur des « Sœurs de Saint-Gaétan » (1848-1913).
Fête du Bienheureux Jean-Marie Boccardo, Prêtre et Fondateur des « Sœurs de Saint-Gaétan » (1848-1913).
Jean-Paul II nous dépeint sa vie en ces termes:
«Ce fut un homme de profonde spiritualité et, dans le même temps, un apôtre dynamique, promoteur de la Vie Religieuse et du laïcat, toujours attentif à discerner les signes des temps.
Dans l'écoute priante de la Parole de Dieu, il développa une Foi très vive et très profonde. Il écrivait:
"Oui, Mon Dieu, ce que toi tu veux, je le veux moi aussi".
Et que dire de son infatigable zèle pour les plus pauvres?
Il sut se pencher sur chaque forme de pauvreté humaine avec l'esprit de Saint Gaétan de Thienne (1480-1547),https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1635/Saint-Gaetan-de-Thiene.html lequel avait renoncé aux honneurs et aux richesses pour se consacrer aux malades et aux pauvres.
Don Giovanni communiqua cet esprit à la Congrégation féminine - les Sœurs de Saint-Gaétan - qu'il fonda pour soigner les personnes âgées, les malades et pour l'éducation de la jeunesse.
Il fit sienne la devise évangélique: "cherchez d'abord son Royaume et sa Justice" (Mt 6,33).
Fidèle dévot du Curé d'Ars et à son exemple, il indique à ses paroissiens, à travers la parole et surtout l'exemple, la voie du Ciel.
Le jour de son arrivée comme Curé à Pancalieri, il s'adressa ainsi aux fidèles:
"Je viens à vous, chers amis, pour vivre comme l'un de vous, votre père, frère et ami, et partager avec vous les joies et les peines de la vie.
Je viens à vous comme serviteur de tous, chacun pourra disposer de ma personne, et je m'estimerai toujours chanceux et heureux de pouvoir servir, en ne cherchant rien d'autre que le bien de tous."
Il se proclamait toujours fils de la Madone et il se tournait vers elle avec une confiance constante.
A ceux qui lui demandaient: "Est-il difficile de gagner le paradis?", il répondait:
"Fais preuve de dévotion à l'égard de Marie, qui est la 'Porte', et tu y entreras".
Il meurt en 1913. Son exemple est encore vivant dans la mémoire des gens.»
(Source: abbaye Saint Benoît).http://www.abbaye-saint-benoit.ch/hagiographie/fiches/f0429.htm
Béatifié le 24 Mai 1998 à Turin par Saint Jean-Paul II.
À Pancalieri près de Turin dans le Piémont, en 1913, le Bienheureux Jean-Marie Boccardo, Prêtre.
Parmi ses œuvres multiples et considérables, il fonda la Congrégation des Pauvres sœurs, filles de Saint Gaétan, pour le soin des vieillards et des malades et pour l’éducation Chrétienne des enfants.
Martyrologe romain.
«Ce fut un homme de profonde spiritualité et, dans le même temps, un apôtre dynamique, promoteur de la Vie Religieuse et du laïcat, toujours attentif à discerner les signes des temps.
Dans l'écoute priante de la Parole de Dieu, il développa une Foi très vive et très profonde. Il écrivait:
"Oui, Mon Dieu, ce que toi tu veux, je le veux moi aussi".
Et que dire de son infatigable zèle pour les plus pauvres?
Il sut se pencher sur chaque forme de pauvreté humaine avec l'esprit de Saint Gaétan de Thienne (1480-1547),https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1635/Saint-Gaetan-de-Thiene.html lequel avait renoncé aux honneurs et aux richesses pour se consacrer aux malades et aux pauvres.
Don Giovanni communiqua cet esprit à la Congrégation féminine - les Sœurs de Saint-Gaétan - qu'il fonda pour soigner les personnes âgées, les malades et pour l'éducation de la jeunesse.
Il fit sienne la devise évangélique: "cherchez d'abord son Royaume et sa Justice" (Mt 6,33).
Fidèle dévot du Curé d'Ars et à son exemple, il indique à ses paroissiens, à travers la parole et surtout l'exemple, la voie du Ciel.
Le jour de son arrivée comme Curé à Pancalieri, il s'adressa ainsi aux fidèles:
"Je viens à vous, chers amis, pour vivre comme l'un de vous, votre père, frère et ami, et partager avec vous les joies et les peines de la vie.
Je viens à vous comme serviteur de tous, chacun pourra disposer de ma personne, et je m'estimerai toujours chanceux et heureux de pouvoir servir, en ne cherchant rien d'autre que le bien de tous."
Il se proclamait toujours fils de la Madone et il se tournait vers elle avec une confiance constante.
A ceux qui lui demandaient: "Est-il difficile de gagner le paradis?", il répondait:
"Fais preuve de dévotion à l'égard de Marie, qui est la 'Porte', et tu y entreras".
Il meurt en 1913. Son exemple est encore vivant dans la mémoire des gens.»
(Source: abbaye Saint Benoît).http://www.abbaye-saint-benoit.ch/hagiographie/fiches/f0429.htm
Béatifié le 24 Mai 1998 à Turin par Saint Jean-Paul II.
À Pancalieri près de Turin dans le Piémont, en 1913, le Bienheureux Jean-Marie Boccardo, Prêtre.
Parmi ses œuvres multiples et considérables, il fonda la Congrégation des Pauvres sœurs, filles de Saint Gaétan, pour le soin des vieillards et des malades et pour l’éducation Chrétienne des enfants.
Martyrologe romain.
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Dimanche 31 Décembre 2017
Fête de Saint Sylvestre I, Pape (33e) de 314 à 335.
Fête de Saint Sylvestre I, Pape (33e) de 314 à 335.
Saint Sylvestre Ier
Pape (33 ème) de 314 à 335 (+ 335)
ou Silvestre.
Il fut le premier Pape de la paix constantinienne.
Il est souvent accusé d'avoir été trop effacé dans ses interventions, ne venant ni au Concile d'Arles (314), ni au Concile de Nicée (325) mais il les confirma par ses légats.
Ces réticences avaient peut-être pour raison qu'ils n'étaient pas convoqués par le Pape lui-même, mais par l'empereur Constantin.https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1190/Saint-Constantin-Ier-le-Grand.html
Il fut très respectueux de l'autonomie des Eglises orientales.
Il entreprit de grands travaux dans la Rome impériale.
C'est sous son pontificat que Constantin fait édifier la Basilique Saint-Jean de Latran, la Basilique de Sainte-Croix de Jérusalem, la Basilique de Saint-Paul hors les Murs, la Basilique de Saint Laurent.
Saint Silvestre intervient pour le mobilier liturgique, les ornements. Il aménagea les catacombes.
Il eut la tâche d'organiser l'Église dans une société enfin pacifiée.
Il est un fait indéniable : il reste l'un des premiers confesseurs non martyrs dont le culte fut établi très tôt à Rome.
Mémoire de Saint Silvestre Ier, Pape qui dirigea saintement l’Église durant de longues années à l’époque où l’empereur Constantin fit construire les Basiliques vénérables et où le Concile de Nicée acclama Le Christ Fils de Dieu.
Il fut mis au tombeau en ce jour, en 335, à Rome, au cimetière de Priscille sur la nouvelle voie Salarienne.
Martyrologe romain.
Pape (33 ème) de 314 à 335 (+ 335)
ou Silvestre.
Il fut le premier Pape de la paix constantinienne.
Il est souvent accusé d'avoir été trop effacé dans ses interventions, ne venant ni au Concile d'Arles (314), ni au Concile de Nicée (325) mais il les confirma par ses légats.
Ces réticences avaient peut-être pour raison qu'ils n'étaient pas convoqués par le Pape lui-même, mais par l'empereur Constantin.https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1190/Saint-Constantin-Ier-le-Grand.html
Il fut très respectueux de l'autonomie des Eglises orientales.
Il entreprit de grands travaux dans la Rome impériale.
C'est sous son pontificat que Constantin fait édifier la Basilique Saint-Jean de Latran, la Basilique de Sainte-Croix de Jérusalem, la Basilique de Saint-Paul hors les Murs, la Basilique de Saint Laurent.
Saint Silvestre intervient pour le mobilier liturgique, les ornements. Il aménagea les catacombes.
Il eut la tâche d'organiser l'Église dans une société enfin pacifiée.
Il est un fait indéniable : il reste l'un des premiers confesseurs non martyrs dont le culte fut établi très tôt à Rome.
Mémoire de Saint Silvestre Ier, Pape qui dirigea saintement l’Église durant de longues années à l’époque où l’empereur Constantin fit construire les Basiliques vénérables et où le Concile de Nicée acclama Le Christ Fils de Dieu.
Il fut mis au tombeau en ce jour, en 335, à Rome, au cimetière de Priscille sur la nouvelle voie Salarienne.
Martyrologe romain.
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Lundi 1er Janvier 2018
Fête de Sainte Marie, Mère de Dieu.
Fête de Sainte Marie, Mère de Dieu.
Sainte Marie, Mère de Dieu
Cette Fête nous rappelle que toute personne humaine, tout homme, toute femme, a été créée non seulement pour la vie, et la vie heureuse qui ne finit pas, mais aussi pour donner la vie, la faire grandir chez d’autres.
Certes, Dieu seul donne la vie, il en est l’auteur, il est même la Vie. Il ne la reçoit de personne.
Il est Amour et Amour créateur, c’est à dire, Vie qui se diffuse en lui-même et hors de lui-même, dans toutes ses créatures, dans toute personne créée à son image et à sa ressemblance (Gn 1, 26).
Alors, un des signes de cette ressemblance de la personne humaine avec son Créateur, n’est-ce pas cette capacité d’aimer, de donner et de se donner ? Et le don fait par amour est toujours créateur de vie.
« Marie représente l’amour qui donne la vie », la vie qu’est Le Christ. C’est autour de cette idée que va s’articuler cette petite méditation sur la Fête de Marie, Mère de Dieu.
Marie est Modèle pour l’Église, pour tout croyant. Si Marie a donné Le Christ au monde, de même, l’Église, par les Sacrements Le donne à tout croyant et tout croyant, à son tour et à sa mesure, est appelé, comme la Vierge, à Le donner au monde.
C’est le but de toute Vie Chrétienne, de toute Vie spirituelle.
Par Jésus nous savons ce que c’est que d’être « Mère du Christ ».
Être mère du Christ, c’est faire la Volonté du Père : « Quiconque fait la volonté de Dieu, voilà mon frère, ma sœur, ma mère » (Mc. 3, 35).
Marie, mère de Dieu peut nous aider à faire Sa volonté, à Lui plaire, et par là, à Le manifester, à Le donner au monde.
Mais comment devenir « Mère » du Christ ? On le devient certainement en entrant petit à petit dans les sentiments mêmes de la Vierge, jusqu’à même « devenir spirituellement Marie », comme le disent les auteurs de l’ouvrage, d’être conforme à Marie, en son âme, en son être intérieur.
Quels actes concrets cela suppose-t-il?
À l’exemple de Marie qui méditait dans son cœur tous les événements concernant son Fils. Saint Luc nous dit en effet que la Vierge « conservait avec soin toutes ces choses, les méditant en son cœur » ; en encore, elle « gardait fidèlement toutes ces choses en son cœur. » (Lc 2, 19 et 51).
Méditer, ainsi, comme Marie, tout ce qui concerne Le Christ, se mettre à son école qui est celle de l’Évangile.
Alors, cette méditation de la Parole, si elle est vraie, ne restera pas sans effet, elle prendra forme, pour ainsi dire, en nous et hors de nous, elle nous travaillera de l’intérieur, en renouvelant notre manière de penser et de réagir face à tel ou tel événement, face au monde et aux idées ambiantes, renouvelant aussi notre manière de vivre et d’agir, d’être avec les autres.
En un mot, on vivra, aujourd’hui, ce que conseillait Saint Paul aux premières communautés Chrétiennes : « ne vous modelez pas sur le monde présent, mais que le renouvellement de votre jugement vous transforme et vous fasse discerner quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, ce qui lui plaît, ce qui est parfait, (Rm 12, 2).
La méditation de la Parole, nous aide à discerner ce qui plaît à Dieu, ce qui est conforme à ses vues sur l’homme, nous aide à suivre les traces de Jésus Christ, nous aide donc à le manifester et à le donner aux autres par notre vie.
La méditation de la Parole nous aide à voir où est le bien, selon le Dieu de Jésus Christ.
La Parole de Dieu nous aide à aimer selon le Cœur de Dieu, et cet amour devrait informer nos pensées, nos paroles et nos actions.
Ainsi, petit à petit notre vie s’ouvre au Christ et le manifeste, le donne en le laissant voir, pour ainsi dire, par notre comportement.
Saint François d’Assise, en quelques mots, a bien résumé ce qu’est la maternité spirituelle de tout Chrétien.
Nous devenons les « mères » de Jésus-Christ, dit-il, « lorsque nous le portons dans notre cœur et notre corps par l’Amour, par la loyauté et la pureté de notre conscience, et que nous l’enfantons par nos bonnes actions qui doivent être pour autrui une lumière et un exemple. (Saint François d’Assise, Documents, Paris, 1968, p. 106 : Lettre à tous les fidèles).
Pour François, la Vie Chrétienne a comme vocation celle de porter et d’enfanter Le Christ. Le fondement de ceci est la vie de Foi, nourrie dans la Prière et la Méditation de la Parole, l’écoute du Magistère.
En nous conviant à mener à bien de bonnes actions, François fait appel à notre capacité à faire de nos existences une incessante maternité spirituelle.
Comme Marie qui a porté et enfanté Le Christ, notre vocation est de nous consacrer à porter et enfanter Jésus.
Cette vocation est la vocation de tout baptisé. En moi doit naître Le Christ qui est Amour.
Nous sommes donc appelés à manifester l’Amour du Seigneur à la mesure de la Grâce divine qui nous est confiée, et à le manifester à travers des actes concrets que Saint François nomment de « bonnes actions », c’est à dire, des actes bons, des gestes, des attitudes d’amour.
Si Marie a porté ainsi Jésus, le Verbe de Dieu, c’est parce qu’elle a cru. Alors, c’est donc par la Foi que, nous aussi, nous l’enfantons.
Saint Augustin, dans son commentaire de la Lettre de Saint Paul aux Galates, écrit que Le Christ est formé par la Foi chez le croyant, chez l’homme intérieur, appelé à la liberté de la grâce, l’homme doux et humble de cœur qui ne se vante ni de ses mérites ni de ses actions. Et cela s’opère par une humble vie de prière, et de prière assidue.
La Vierge Marie, encore une fois, est modèle pour l’Église. Cela veut dire que l’Église doit toujours enfanter Le Christ comme Marie l’a enfanté.
Mais, tout enfantement est long, douloureux.
Il faut ruminer la Parole, la laisser longuement grandir en nous pour qu’elle porte du fruit à son heure.
Il faut consentir à ouvrir notre vie quotidienne à Dieu en grandissant dans la Foi, la Confiance, la Prière ; en grandissant aussi dans l’Amour du prochain, en donnant le goût du beau et du bien, autour de nous, en faisant découvrir aux autres la joie de vivre et la joie de croire, en rayonnant autour de nous le message d’Amour, de Liberté et de Paix du Christ : voilà quelques moyens de Le donner au monde.
En portant nos regards sur la Vierge, et la Vierge Mère, nous découvrons un des aspects de notre vie, celui de donner la vie, de donner à d’autres le goût du Christ et de son Évangile, pour les aider à grandir dans le bien, pour leur faire découvrir quel est le meilleur en eux et les encourager à le donner autour d’eux.
Il est bon de contempler la Vierge et de comprendre toujours mieux que Marie est un modèle de « sollicitude pour la Vie. »
De même, la vie de l’Église, par son magistère, par ses Sacrements, par l’annonce de la Parole, n’est-elle pas, elle aussi, un modèle d’accueil de la vie, de « sollicitude pour la vie » ?
Comme le dit Jean-Paul II : « en contemplant la maternité de Marie, l’Église découvre le sens de sa propre maternité et la manière dont elle est appelée à l’exprimer.
En même temps, l’expérience maternelle de l’Église ouvre la perspective la plus profonde pour comprendre l’expérience de Marie, comme modèle incomparable d’accueil de la vie et de sollicitude pour la vie. » (Évangile de la Vie, n° 102)
Dans un monde qui bafoue la vie, qui bafoue le début comme le terme de la vie, comme il est important de vivre cet Évangile de la vie, car l’homme est fait pour la vie et la vie heureuse dont la source se trouve dans le Cœur de Dieu, Le Père, Source éternelle, jaillissante de Vie.
Méditation à partir Des repères pour vivre les fêtes mariales d’Anselm Grün, osb / Petra Reitz, Médiaspaul, 2001, p. 34-43.
Cette Fête nous rappelle que toute personne humaine, tout homme, toute femme, a été créée non seulement pour la vie, et la vie heureuse qui ne finit pas, mais aussi pour donner la vie, la faire grandir chez d’autres.
Certes, Dieu seul donne la vie, il en est l’auteur, il est même la Vie. Il ne la reçoit de personne.
Il est Amour et Amour créateur, c’est à dire, Vie qui se diffuse en lui-même et hors de lui-même, dans toutes ses créatures, dans toute personne créée à son image et à sa ressemblance (Gn 1, 26).
Alors, un des signes de cette ressemblance de la personne humaine avec son Créateur, n’est-ce pas cette capacité d’aimer, de donner et de se donner ? Et le don fait par amour est toujours créateur de vie.
« Marie représente l’amour qui donne la vie », la vie qu’est Le Christ. C’est autour de cette idée que va s’articuler cette petite méditation sur la Fête de Marie, Mère de Dieu.
Marie est Modèle pour l’Église, pour tout croyant. Si Marie a donné Le Christ au monde, de même, l’Église, par les Sacrements Le donne à tout croyant et tout croyant, à son tour et à sa mesure, est appelé, comme la Vierge, à Le donner au monde.
C’est le but de toute Vie Chrétienne, de toute Vie spirituelle.
Par Jésus nous savons ce que c’est que d’être « Mère du Christ ».
Être mère du Christ, c’est faire la Volonté du Père : « Quiconque fait la volonté de Dieu, voilà mon frère, ma sœur, ma mère » (Mc. 3, 35).
Marie, mère de Dieu peut nous aider à faire Sa volonté, à Lui plaire, et par là, à Le manifester, à Le donner au monde.
Mais comment devenir « Mère » du Christ ? On le devient certainement en entrant petit à petit dans les sentiments mêmes de la Vierge, jusqu’à même « devenir spirituellement Marie », comme le disent les auteurs de l’ouvrage, d’être conforme à Marie, en son âme, en son être intérieur.
Quels actes concrets cela suppose-t-il?
À l’exemple de Marie qui méditait dans son cœur tous les événements concernant son Fils. Saint Luc nous dit en effet que la Vierge « conservait avec soin toutes ces choses, les méditant en son cœur » ; en encore, elle « gardait fidèlement toutes ces choses en son cœur. » (Lc 2, 19 et 51).
Méditer, ainsi, comme Marie, tout ce qui concerne Le Christ, se mettre à son école qui est celle de l’Évangile.
Alors, cette méditation de la Parole, si elle est vraie, ne restera pas sans effet, elle prendra forme, pour ainsi dire, en nous et hors de nous, elle nous travaillera de l’intérieur, en renouvelant notre manière de penser et de réagir face à tel ou tel événement, face au monde et aux idées ambiantes, renouvelant aussi notre manière de vivre et d’agir, d’être avec les autres.
En un mot, on vivra, aujourd’hui, ce que conseillait Saint Paul aux premières communautés Chrétiennes : « ne vous modelez pas sur le monde présent, mais que le renouvellement de votre jugement vous transforme et vous fasse discerner quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, ce qui lui plaît, ce qui est parfait, (Rm 12, 2).
La méditation de la Parole, nous aide à discerner ce qui plaît à Dieu, ce qui est conforme à ses vues sur l’homme, nous aide à suivre les traces de Jésus Christ, nous aide donc à le manifester et à le donner aux autres par notre vie.
La méditation de la Parole nous aide à voir où est le bien, selon le Dieu de Jésus Christ.
La Parole de Dieu nous aide à aimer selon le Cœur de Dieu, et cet amour devrait informer nos pensées, nos paroles et nos actions.
Ainsi, petit à petit notre vie s’ouvre au Christ et le manifeste, le donne en le laissant voir, pour ainsi dire, par notre comportement.
Saint François d’Assise, en quelques mots, a bien résumé ce qu’est la maternité spirituelle de tout Chrétien.
Nous devenons les « mères » de Jésus-Christ, dit-il, « lorsque nous le portons dans notre cœur et notre corps par l’Amour, par la loyauté et la pureté de notre conscience, et que nous l’enfantons par nos bonnes actions qui doivent être pour autrui une lumière et un exemple. (Saint François d’Assise, Documents, Paris, 1968, p. 106 : Lettre à tous les fidèles).
Pour François, la Vie Chrétienne a comme vocation celle de porter et d’enfanter Le Christ. Le fondement de ceci est la vie de Foi, nourrie dans la Prière et la Méditation de la Parole, l’écoute du Magistère.
En nous conviant à mener à bien de bonnes actions, François fait appel à notre capacité à faire de nos existences une incessante maternité spirituelle.
Comme Marie qui a porté et enfanté Le Christ, notre vocation est de nous consacrer à porter et enfanter Jésus.
Cette vocation est la vocation de tout baptisé. En moi doit naître Le Christ qui est Amour.
Nous sommes donc appelés à manifester l’Amour du Seigneur à la mesure de la Grâce divine qui nous est confiée, et à le manifester à travers des actes concrets que Saint François nomment de « bonnes actions », c’est à dire, des actes bons, des gestes, des attitudes d’amour.
Si Marie a porté ainsi Jésus, le Verbe de Dieu, c’est parce qu’elle a cru. Alors, c’est donc par la Foi que, nous aussi, nous l’enfantons.
Saint Augustin, dans son commentaire de la Lettre de Saint Paul aux Galates, écrit que Le Christ est formé par la Foi chez le croyant, chez l’homme intérieur, appelé à la liberté de la grâce, l’homme doux et humble de cœur qui ne se vante ni de ses mérites ni de ses actions. Et cela s’opère par une humble vie de prière, et de prière assidue.
La Vierge Marie, encore une fois, est modèle pour l’Église. Cela veut dire que l’Église doit toujours enfanter Le Christ comme Marie l’a enfanté.
Mais, tout enfantement est long, douloureux.
Il faut ruminer la Parole, la laisser longuement grandir en nous pour qu’elle porte du fruit à son heure.
Il faut consentir à ouvrir notre vie quotidienne à Dieu en grandissant dans la Foi, la Confiance, la Prière ; en grandissant aussi dans l’Amour du prochain, en donnant le goût du beau et du bien, autour de nous, en faisant découvrir aux autres la joie de vivre et la joie de croire, en rayonnant autour de nous le message d’Amour, de Liberté et de Paix du Christ : voilà quelques moyens de Le donner au monde.
En portant nos regards sur la Vierge, et la Vierge Mère, nous découvrons un des aspects de notre vie, celui de donner la vie, de donner à d’autres le goût du Christ et de son Évangile, pour les aider à grandir dans le bien, pour leur faire découvrir quel est le meilleur en eux et les encourager à le donner autour d’eux.
Il est bon de contempler la Vierge et de comprendre toujours mieux que Marie est un modèle de « sollicitude pour la Vie. »
De même, la vie de l’Église, par son magistère, par ses Sacrements, par l’annonce de la Parole, n’est-elle pas, elle aussi, un modèle d’accueil de la vie, de « sollicitude pour la vie » ?
Comme le dit Jean-Paul II : « en contemplant la maternité de Marie, l’Église découvre le sens de sa propre maternité et la manière dont elle est appelée à l’exprimer.
En même temps, l’expérience maternelle de l’Église ouvre la perspective la plus profonde pour comprendre l’expérience de Marie, comme modèle incomparable d’accueil de la vie et de sollicitude pour la vie. » (Évangile de la Vie, n° 102)
Dans un monde qui bafoue la vie, qui bafoue le début comme le terme de la vie, comme il est important de vivre cet Évangile de la vie, car l’homme est fait pour la vie et la vie heureuse dont la source se trouve dans le Cœur de Dieu, Le Père, Source éternelle, jaillissante de Vie.
Méditation à partir Des repères pour vivre les fêtes mariales d’Anselm Grün, osb / Petra Reitz, Médiaspaul, 2001, p. 34-43.
"Réjouis-toi Mère de l'Astre sans déclin
Réjouis-toi Reflet de la clarté de Dieu
Réjouis-toi en qui s’éteint la brûlure du mensonge
Réjouis-toi en qui s'illumine pour nous la Trinité d'Amour
Réjouis-toi en qui l'inhumaine puissance est défaite
Réjouis-toi tu nous montres le Christ Seigneur Ami des hommes
Réjouis-toi en qui les idoles païennes sont renversées
Réjouis-toi tu nous donnes d’être libérés des œuvres mauvaises
Réjouis-toi en qui s’éteint l'idolâtrie du feu païen
Réjouis-toi en qui nous sommes affranchis du feu des passions
Réjouis-toi tu conduis les croyants vers le Christ Sagesse
Réjouis-toi Allégresse de toutes les générations
Réjouis-toi Épouse inépousée !"
(hymne Acathiste)
Réjouis-toi Reflet de la clarté de Dieu
Réjouis-toi en qui s’éteint la brûlure du mensonge
Réjouis-toi en qui s'illumine pour nous la Trinité d'Amour
Réjouis-toi en qui l'inhumaine puissance est défaite
Réjouis-toi tu nous montres le Christ Seigneur Ami des hommes
Réjouis-toi en qui les idoles païennes sont renversées
Réjouis-toi tu nous donnes d’être libérés des œuvres mauvaises
Réjouis-toi en qui s’éteint l'idolâtrie du feu païen
Réjouis-toi en qui nous sommes affranchis du feu des passions
Réjouis-toi tu conduis les croyants vers le Christ Sagesse
Réjouis-toi Allégresse de toutes les générations
Réjouis-toi Épouse inépousée !"
(hymne Acathiste)
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Mardi 02 Janvier 2018
Fête de Saint Basile le Grand, Moine, Évêque de Césarée de Cappadoce, Docteur de l'Église (329-✝ 379).
Fête de Saint Basile le Grand, Moine, Évêque de Césarée de Cappadoce, Docteur de l'Église (329-✝ 379).
Moine, Évêque de Césarée de Cappadoce, Docteur de l'Église (✝ 379)
Basile de Césarée et Grégoire de Nazianzehttps://nominis.cef.fr/contenus/saint/356/Saint-Gregoire-de-Nazianze.html sont tous deux nés en Cappadoce.
Basile dans une famille de dix enfants qui deviendront presque tous des Saints.
Saint Grégoire est né dans le foyer d'un juif converti qui deviendra Évêque.
Ils se rencontrent à Athènes, lors de leurs études, et désormais ils se lient d'une grande amitié.
La même Foi et le même désir de perfection animent les deux étudiants.
De retour en Cappadoce, ils font des projets Monastiques, mais l'Église a besoin d'Évêques dynamiques en cette période troublée par les hérésies.
Basile devient Évêque de Césarée. Grégoire, Évêque de Nazianze, le siège épiscopal de son père, puis de Constantinople.
La forte personnalité de Basile en fait un Évêque de premier plan qui défend la Foi trinitaire.
Il rédige également des règles Monastiques, qui sont encore en vigueur dans les Monastères "basiliens".
Saint Grégoire est plus fragile. Chassé de Constantinople, il finira solitaire, composant d'admirables poèmes que la liturgie utilise encore.
Mémoire des Saints Basile le Grand et Grégoire de Naziance, Évêques et Docteurs de l’Église.
Basile, Évêque de Césarée en Cappadoce, appelé Grand pour sa doctrine et sa sagesse, enseigna aux Moines la méditation des Écritures, le labeur de l’obéissance et la charité fraternelle.
Il organisa leur vie par des règles qu’il avait lui-même rédigées.
Par ses écrits excellents, il instruisit les fidèles et se distingua par son souci pastoral des pauvres et des malades.
Il mourut le premier janvier 379.
Grégoire, son ami, Évêque successivement de Sasimes, de Constantinople et de Naziance, défendit avec beaucoup d’ardeur la Divinité du Verbe, ce qui lui valut d’être appelé le Théologien.
Il mourut le 25 Janvier 390. L’Église se réjouit de célébrer la mémoire conjointe de si grands Docteurs.
Martyrologe romain.
Basile de Césarée et Grégoire de Nazianzehttps://nominis.cef.fr/contenus/saint/356/Saint-Gregoire-de-Nazianze.html sont tous deux nés en Cappadoce.
Basile dans une famille de dix enfants qui deviendront presque tous des Saints.
Saint Grégoire est né dans le foyer d'un juif converti qui deviendra Évêque.
Ils se rencontrent à Athènes, lors de leurs études, et désormais ils se lient d'une grande amitié.
La même Foi et le même désir de perfection animent les deux étudiants.
De retour en Cappadoce, ils font des projets Monastiques, mais l'Église a besoin d'Évêques dynamiques en cette période troublée par les hérésies.
Basile devient Évêque de Césarée. Grégoire, Évêque de Nazianze, le siège épiscopal de son père, puis de Constantinople.
La forte personnalité de Basile en fait un Évêque de premier plan qui défend la Foi trinitaire.
Il rédige également des règles Monastiques, qui sont encore en vigueur dans les Monastères "basiliens".
Saint Grégoire est plus fragile. Chassé de Constantinople, il finira solitaire, composant d'admirables poèmes que la liturgie utilise encore.
Mémoire des Saints Basile le Grand et Grégoire de Naziance, Évêques et Docteurs de l’Église.
Basile, Évêque de Césarée en Cappadoce, appelé Grand pour sa doctrine et sa sagesse, enseigna aux Moines la méditation des Écritures, le labeur de l’obéissance et la charité fraternelle.
Il organisa leur vie par des règles qu’il avait lui-même rédigées.
Par ses écrits excellents, il instruisit les fidèles et se distingua par son souci pastoral des pauvres et des malades.
Il mourut le premier janvier 379.
Grégoire, son ami, Évêque successivement de Sasimes, de Constantinople et de Naziance, défendit avec beaucoup d’ardeur la Divinité du Verbe, ce qui lui valut d’être appelé le Théologien.
Il mourut le 25 Janvier 390. L’Église se réjouit de célébrer la mémoire conjointe de si grands Docteurs.
Martyrologe romain.
Pour approfondir, lire les Catéchèses du Pape Benoît XVI : Saint Basile (1)
http://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/audiences/2007/documents/hf_ben-xvi_aud_20070704.html
Saint Basile (2)
http://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/audiences/2007/documents/hf_ben-xvi_aud_20070801.html
http://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/audiences/2007/documents/hf_ben-xvi_aud_20070704.html
Saint Basile (2)
http://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/audiences/2007/documents/hf_ben-xvi_aud_20070801.html
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Mercredi 03 Janvier 2018
Fête de Sainte Geneviève, Vierge, Patronne de Paris et de la Gendarmerie, Co-Patronne secondaire de la France (vers 420, 422 - vers 500, 512).
Fête de Sainte Geneviève, Vierge, Patronne de Paris et de la Gendarmerie, Co-Patronne secondaire de la France (vers 420, 422 - vers 500, 512).
Sainte Geneviève
Vierge à Paris (+ 500)
Elle est née à Nanterre vers 420. Alors qu'elle a sept ans, l'Évêque saint Germain d'Auxerre,https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1592/Saint-Germain-d-Auxerre.html de passage, la remarque et la consacre à Dieu.
C'est dans le monde qu'elle mènera sa vie consacrée.
En 451, les Huns menacent Paris.
Geneviève persuade les parisiens affolés que les Barbares n'attaqueront pas la ville et qu'il est inutile de fuir.
En effet Paris est épargné.
Puis ce sont les Francs qui viennent l'assiéger.
Geneviève s'échappe par la Seine et va quérir du ravitaillement jusqu'à Troyes.
Plus tard, elle jouit de la confiance des rois francs et obtient d'eux la grâce des condamnés.
Elle se lia d'amitié avec sainte Clotilde.https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1268/Sainte-Clotilde.html
Sa réputation est telle qu'elle se répand jusqu'en Syrie où saint Syméon le Stylite,https://nominis.cef.fr/contenus/saint/7082/Saint-Symeon-le-Stylite.html du haut de sa colonne, se recommande à ses Prières.
Elle passera sa vie à secourir les pauvres et guérir les malades.
Site du diocèse de Nanterre dont elle est la patronne et où elle est née.http://diocese92.fr/sainte-genevieve-nanterre
Femme forte, paisible et de grande autorité, femme qui sut rétablir l'ordre et la Paix de la cité au cours des pires épreuves, Geneviève reste un repère et un exemple pour tous les gendarmes dans leur labeur, en même temps qu'elle intercède pour eux.
Par décret en date du 18 Mai 1962, le Pape Saint Jean XXIII a solennellement désigné Sainte Geneviève comme Patronne de la Gendarmerie, dont il avait pu apprécier les engagements et le sens du service comme nonce apostolique à Paris, peu auparavant.
Au calendrier de l'Église, la Fête de Sainte Geneviève figure au 3 Janvier qui correspond à la date de sa mort, c'est-à-dire de sa naissance au Ciel.
Cependant, cette date n'étant pas favorable au rassemblement des gendarmes requis par cette Célébration, elle est Célébrée par la Gendarmerie au 26 Novembre, qui correspond à la Fête de Sainte Geneviève des Ardents, institué par le Pape Innocent II pour le diocèse de Paris en l'honneur des miracles de guérison de la peste opérés à l'invocation de la suite en cette ville en l'an 1130.
La gendarmerie étant une unité dont les origines sont liées à l'histoire de la ville de Paris, cette date paraît particulièrement bien convenir.
(Diocèse aux Armées françaises)https://dioceseauxarmees.fr/86-saints-patrons-et-commemorations/1581-sainte-genevieve-26-novembre.html
Voir aussi:
Sainte Geneviève (v. 420 - v. 500), patronne de Paris et les Saints parisiens - diocèse de Paris.https://www.paris.catholique.fr/652-Sainte-Genevieve.html
https://www.paris.catholique.fr/-art-histoire-de-paris-
À Paris, vers l’an 500, la mise au tombeau de Sainte Geneviève, vierge de Nanterre, qui, à l’âge de quinze ans, reçut le voile des vierges à l’invitation de Saint Germain d’Auxerre.
Elle réconforta les habitants de la cité lors de l’invasion des Huns, et vint en aide à ses concitoyens pendant une famine.
Martyrologe romain.
Vierge à Paris (+ 500)
Elle est née à Nanterre vers 420. Alors qu'elle a sept ans, l'Évêque saint Germain d'Auxerre,https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1592/Saint-Germain-d-Auxerre.html de passage, la remarque et la consacre à Dieu.
C'est dans le monde qu'elle mènera sa vie consacrée.
En 451, les Huns menacent Paris.
Geneviève persuade les parisiens affolés que les Barbares n'attaqueront pas la ville et qu'il est inutile de fuir.
En effet Paris est épargné.
Puis ce sont les Francs qui viennent l'assiéger.
Geneviève s'échappe par la Seine et va quérir du ravitaillement jusqu'à Troyes.
Plus tard, elle jouit de la confiance des rois francs et obtient d'eux la grâce des condamnés.
Elle se lia d'amitié avec sainte Clotilde.https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1268/Sainte-Clotilde.html
Sa réputation est telle qu'elle se répand jusqu'en Syrie où saint Syméon le Stylite,https://nominis.cef.fr/contenus/saint/7082/Saint-Symeon-le-Stylite.html du haut de sa colonne, se recommande à ses Prières.
Elle passera sa vie à secourir les pauvres et guérir les malades.
Site du diocèse de Nanterre dont elle est la patronne et où elle est née.http://diocese92.fr/sainte-genevieve-nanterre
Femme forte, paisible et de grande autorité, femme qui sut rétablir l'ordre et la Paix de la cité au cours des pires épreuves, Geneviève reste un repère et un exemple pour tous les gendarmes dans leur labeur, en même temps qu'elle intercède pour eux.
Par décret en date du 18 Mai 1962, le Pape Saint Jean XXIII a solennellement désigné Sainte Geneviève comme Patronne de la Gendarmerie, dont il avait pu apprécier les engagements et le sens du service comme nonce apostolique à Paris, peu auparavant.
Au calendrier de l'Église, la Fête de Sainte Geneviève figure au 3 Janvier qui correspond à la date de sa mort, c'est-à-dire de sa naissance au Ciel.
Cependant, cette date n'étant pas favorable au rassemblement des gendarmes requis par cette Célébration, elle est Célébrée par la Gendarmerie au 26 Novembre, qui correspond à la Fête de Sainte Geneviève des Ardents, institué par le Pape Innocent II pour le diocèse de Paris en l'honneur des miracles de guérison de la peste opérés à l'invocation de la suite en cette ville en l'an 1130.
La gendarmerie étant une unité dont les origines sont liées à l'histoire de la ville de Paris, cette date paraît particulièrement bien convenir.
(Diocèse aux Armées françaises)https://dioceseauxarmees.fr/86-saints-patrons-et-commemorations/1581-sainte-genevieve-26-novembre.html
Voir aussi:
Sainte Geneviève (v. 420 - v. 500), patronne de Paris et les Saints parisiens - diocèse de Paris.https://www.paris.catholique.fr/652-Sainte-Genevieve.html
https://www.paris.catholique.fr/-art-histoire-de-paris-
À Paris, vers l’an 500, la mise au tombeau de Sainte Geneviève, vierge de Nanterre, qui, à l’âge de quinze ans, reçut le voile des vierges à l’invitation de Saint Germain d’Auxerre.
Elle réconforta les habitants de la cité lors de l’invasion des Huns, et vint en aide à ses concitoyens pendant une famine.
Martyrologe romain.
Les miracles de Sainte Genevièvehttp://sainte-genevieve.net/Pages_fr/miracles_fr.htm#1130
Litanies de Sainte Genevièvehttp://sainte-genevieve.net/Pages_fr/pray_litanies_fr.htm
Litanies de Sainte Genevièvehttp://sainte-genevieve.net/Pages_fr/pray_litanies_fr.htm
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Jeudi 04 Janvier 2018
Fête de Sainte Angèle (Angela) de Foligno, Pénitente italienne, Mystique (v. 1248-1309).
Fête de Sainte Angèle (Angela) de Foligno, Pénitente italienne, Mystique (v. 1248-1309).
Sainte Angèle de Foligno (+1309)
Fille d’une riche famille de Foligno, en Ombrie, mariée alors qu’elle est encore jeune, elle met au monde plusieurs enfants et mène une vie confortable au milieu des mondanités et du luxe.
Vers le milieu de sa vie, après que St François lui soit apparu, elle est saisie de remords et éprouve le besoin de changer de vie.
Après avoir confessé ses fautes au chapelain franciscain de la Cathédrale Saint-Félicien, elle distribue tous ses objets de valeur et commence une nouvelle vie faite de pénitence et d’austérités.
Dans le même temps, elle a la douleur de perdre la plupart des membres de sa famille proche (sa mère, son mari et ses enfants).
Désormais libre, elle vend tout ce qui lui reste et se retire comme recluse en compagnie d’une autre femme prénommée Marie.
Elle commence également à être témoin de nombreux phénomènes mystiques spectaculaires et sa santé se détériore graduellement jusqu’à un point qui fait craindre pour sa vie.
Elle parvient tout de même à guérir et vers 1290 elle rejoint le Tiers Ordre.
Au cours des années qui suivent, elle effectue plusieurs pèlerinages à Assise, au cours desquels se produisent de fréquentes extases aussi spectaculaires qu’inquiétantes pour son entourage.
La renommée d’Angèle commence à se répandre et plusieurs disciples viennent se placer sous sa direction.
Fille d’une riche famille de Foligno, en Ombrie, mariée alors qu’elle est encore jeune, elle met au monde plusieurs enfants et mène une vie confortable au milieu des mondanités et du luxe.
Vers le milieu de sa vie, après que St François lui soit apparu, elle est saisie de remords et éprouve le besoin de changer de vie.
Après avoir confessé ses fautes au chapelain franciscain de la Cathédrale Saint-Félicien, elle distribue tous ses objets de valeur et commence une nouvelle vie faite de pénitence et d’austérités.
Dans le même temps, elle a la douleur de perdre la plupart des membres de sa famille proche (sa mère, son mari et ses enfants).
Désormais libre, elle vend tout ce qui lui reste et se retire comme recluse en compagnie d’une autre femme prénommée Marie.
Elle commence également à être témoin de nombreux phénomènes mystiques spectaculaires et sa santé se détériore graduellement jusqu’à un point qui fait craindre pour sa vie.
Elle parvient tout de même à guérir et vers 1290 elle rejoint le Tiers Ordre.
Au cours des années qui suivent, elle effectue plusieurs pèlerinages à Assise, au cours desquels se produisent de fréquentes extases aussi spectaculaires qu’inquiétantes pour son entourage.
La renommée d’Angèle commence à se répandre et plusieurs disciples viennent se placer sous sa direction.
Pour approfondir, lire la Catéchèse du Pape Benoît XVI :
Sainte Angèle de Foligno
Sainte Angèle de Foligno
Livre des visons et instructions]
Pdf
Source
Et Angèle de conclure :
“Que l’humilité très profonde, très humble et absolument inouïe de cette très haute majesté, dégonfle et confonde l’orgueil de notre nullité!”
Vraiment Jésus peut dire, à chacun d’entre nous:
“Je ne t’ai pas aimé par plaisanterie”, phrase qui a été souvent traduite par:
”Ce n’est pas pour rire que je t’ai aimé.”
Non! Ce n’est pas pour rire que Jésus nous a aimés !
“Que l’humilité très profonde, très humble et absolument inouïe de cette très haute majesté, dégonfle et confonde l’orgueil de notre nullité!”
Vraiment Jésus peut dire, à chacun d’entre nous:
“Je ne t’ai pas aimé par plaisanterie”, phrase qui a été souvent traduite par:
”Ce n’est pas pour rire que je t’ai aimé.”
Non! Ce n’est pas pour rire que Jésus nous a aimés !
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Vendredi 05 Janvier 2018
Fête de Saint Édouard III le Confesseur, Roi d'Angleterre (1002-1066).
Fête de Saint Édouard III le Confesseur, Roi d'Angleterre (1002-1066).
Saint Édouard le Confesseur
Roi d'Angleterre (✝ 1066)
Il fut le dernier roi à régner sur l'Angleterre avant la conquête de ce pays par les Normands de Guillaume le Conquérant.
Il avait horreur du sang versé. Son peuple le chérissait. Aussi éminent par sa piété que par sa générosité, il sut se faire l'ami des petites gens et fut vite l'objet d'un culte populaire, mais il n'était pas fait pour être roi.
Après bien des querelles pour le pouvoir en Angleterre, la situation n'était pas bien claire.
Les Danois avec le roi Canut régnaient sur l'est du pays, la Norvège et le Danemark.
Edmond "Côte de Fer" prince d'Angleterre avait été assassiné et sa femme s'était réfugiée en Normandie.
Edouard, son demi-frère, revint en Angleterre et y rétablit la couronne par sa sagesse, son humilité et sa compétence.
Il cherchait toujours l'entente et la réconciliation là où c'était possible.
Les expéditions danoises échouèrent.
Le royaume connut une période moins troublée.
Il épousa une princesse et vécurent toujours l'un et l'autre dans l'union la plus intime et la plus parfaite.
Pourtant les guerres continuaient de se succéder entre Gallois et Anglais, entre les partisans d'Harold et ceux de Malcolm en Écosse, ce qui n'empêcha pas Sint Édouard de légiférer pour son royaume afin d'y établir meilleure justice et plus grande attention aux pauvres.
Il résidait à Londres et à Westminster où il fit construire sa Cathédrale. Il mourut quelque temps après sa dédicace.
Décédé le 5 Janvier 1066, il est aussi fêté le 13 Octobre, date à laquelle son corps fut transféré dans le tombeau prévu pour lui (1163).
Voir sur le site (en anglais) de l'abbaye de Westminster.http://www.westminster-abbey.org/our-history/royals
À Londres, en 1066, Saint Édouard le Confesseur, roi d’Angleterre, qui fut très aimé de son peuple à cause de sa remarquable charité.
Il assura la paix à son royaume et maintint avec soin la communion avec le Siège romain.
Martyrologe romain.
Roi d'Angleterre (✝ 1066)
Il fut le dernier roi à régner sur l'Angleterre avant la conquête de ce pays par les Normands de Guillaume le Conquérant.
Il avait horreur du sang versé. Son peuple le chérissait. Aussi éminent par sa piété que par sa générosité, il sut se faire l'ami des petites gens et fut vite l'objet d'un culte populaire, mais il n'était pas fait pour être roi.
Après bien des querelles pour le pouvoir en Angleterre, la situation n'était pas bien claire.
Les Danois avec le roi Canut régnaient sur l'est du pays, la Norvège et le Danemark.
Edmond "Côte de Fer" prince d'Angleterre avait été assassiné et sa femme s'était réfugiée en Normandie.
Edouard, son demi-frère, revint en Angleterre et y rétablit la couronne par sa sagesse, son humilité et sa compétence.
Il cherchait toujours l'entente et la réconciliation là où c'était possible.
Les expéditions danoises échouèrent.
Le royaume connut une période moins troublée.
Il épousa une princesse et vécurent toujours l'un et l'autre dans l'union la plus intime et la plus parfaite.
Pourtant les guerres continuaient de se succéder entre Gallois et Anglais, entre les partisans d'Harold et ceux de Malcolm en Écosse, ce qui n'empêcha pas Sint Édouard de légiférer pour son royaume afin d'y établir meilleure justice et plus grande attention aux pauvres.
Il résidait à Londres et à Westminster où il fit construire sa Cathédrale. Il mourut quelque temps après sa dédicace.
Décédé le 5 Janvier 1066, il est aussi fêté le 13 Octobre, date à laquelle son corps fut transféré dans le tombeau prévu pour lui (1163).
Voir sur le site (en anglais) de l'abbaye de Westminster.http://www.westminster-abbey.org/our-history/royals
À Londres, en 1066, Saint Édouard le Confesseur, roi d’Angleterre, qui fut très aimé de son peuple à cause de sa remarquable charité.
Il assura la paix à son royaume et maintint avec soin la communion avec le Siège romain.
Martyrologe romain.
Il s’agit d’un diptyque, c’est-à-dire un tableau composé de deux panneaux.
Déployée, l’œuvre présente sur sa face principale, d’une part la Vierge et l’Enfant entourés d’anges, et d’autre part un groupe d’hommes dont trois sont couronnés :
Il s’agit du roi Richard II d’Angleterre, agenouillé, accompagné de Saint Jean-Baptiste, son saint patron, de Saint Edmond le Martyr et de Saint Édouard le Confesseur.
Le Diptyque Wilton est conservé à la National Gallery de Londres.
Déployée, l’œuvre présente sur sa face principale, d’une part la Vierge et l’Enfant entourés d’anges, et d’autre part un groupe d’hommes dont trois sont couronnés :
Il s’agit du roi Richard II d’Angleterre, agenouillé, accompagné de Saint Jean-Baptiste, son saint patron, de Saint Edmond le Martyr et de Saint Édouard le Confesseur.
Le Diptyque Wilton est conservé à la National Gallery de Londres.
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Samedi 06 Janvier 2018
Fête de Saint Charles (Carlo) de Sezze, Frère Lai Franciscain o.f.m., stigmatisé, Patron de la ville de Sezze (1613- † 1670).
Fête de Saint Charles (Carlo) de Sezze, Frère Lai Franciscain o.f.m., stigmatisé, Patron de la ville de Sezze (1613- † 1670).
Saint Charles de Sezze
Frère Mineur (✝ 1670)
Saint Charles de Sezze Macchione
http://www.abbaye-saint-benoit.ch/hagiographie/fiches/f0113.htm
Frère lai Franciscain, portier, sacristain...
Favorisé de dons mystiques, consulté par les Papes, stigmatisé.
Béatifié en 1882 à Rome par Léon XIII et premier Saint Canonisé par le Pape Saint Jean XXIII le 12 Avril 1959.
Homélie du Card. José Saraiva Martins pendant la Concélébration Eucharistique à l'honneur des Saints patrons du diocèse et de la ville de Sezze https://fr.wikipedia.org/wiki/Sezze(Latina) (3 juillet 2004) [Italien]http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/csaints/documents/rc_con_csaints_doc_20040703_card-martins-sezze_it.html
À Rome, en 1670, Saint Charles de Sezze, Religieux de l’Ordre des Mineurs. Contraint depuis son enfance de gagner sa nourriture quotidienne, il amenait ses compagnons à l’imitation du Christ et des saints.
Enfin, comme il le désirait, revêtu de l’habit franciscain, il se consacra à l’Adoration devant l’autel du Saint Sacrement.
Martyrologe romain.
Frère Mineur (✝ 1670)
Saint Charles de Sezze Macchione
http://www.abbaye-saint-benoit.ch/hagiographie/fiches/f0113.htm
Frère lai Franciscain, portier, sacristain...
Favorisé de dons mystiques, consulté par les Papes, stigmatisé.
Béatifié en 1882 à Rome par Léon XIII et premier Saint Canonisé par le Pape Saint Jean XXIII le 12 Avril 1959.
Homélie du Card. José Saraiva Martins pendant la Concélébration Eucharistique à l'honneur des Saints patrons du diocèse et de la ville de Sezze https://fr.wikipedia.org/wiki/Sezze(Latina) (3 juillet 2004) [Italien]http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/csaints/documents/rc_con_csaints_doc_20040703_card-martins-sezze_it.html
À Rome, en 1670, Saint Charles de Sezze, Religieux de l’Ordre des Mineurs. Contraint depuis son enfance de gagner sa nourriture quotidienne, il amenait ses compagnons à l’imitation du Christ et des saints.
Enfin, comme il le désirait, revêtu de l’habit franciscain, il se consacra à l’Adoration devant l’autel du Saint Sacrement.
Martyrologe romain.
SIGNES SUR LA VIE DE SAINT CHARLES DE SEZZE
Né à Sezze le 22 Octobre 1613, Jean Charles (ceci était son nom de Baptême) fut obligé bientôt à abandonner les écoles publiques pour la garde du troupeau, mais en même temps il réussit à cultiver la profonde dévotion à l'Esprit Chrétien lui transmise grâce à ses parents.
L'amour pour la Croix et la Vierge Marie lui furent deux conseillers pour son chemin spirituel; Charles entra au Couvent Franciscain de Nazzano, en indossant le vêtement du Pauvre d'Assise le 18 Mai 1635.
En étant obéissant aux dispositions de ses supérieurs, il exerçât ses charges de Religieux dans de différents Couvents de Morlupo, Ponticelli, Palestrina, Piglio, Carpineto Romano, Castel Gandolfo, S. Pietro in Montorio et S. Francesco à Ripa en Rome, en vivant toujours en extrême humilité et discipline franciscaine.
Fr. Charles accomplit des œuvres qui étaient joyeusement tournées pour procurer un certain réconfort aux pauvres et l'assistance aux infirmes et aux moribonds. Le Seigneur voulût reconnaitre l'extraordinaire foi de Fr. Charles.
Un matin, pendant que le Frère participait à la Ste Messe à l'église de S. Joseph à Capo le Case à Rome, au moment de l'élévation, un rayon lumineux, parti de l'Hostie Sainte, touchât Charles au cœur, en lui procurant une profonde blessure.
Tel fut le signe d'Amour reçu est décrit par lui comme cela:
"Il était entre deux extrêmes, c'est à dire entre la douceur et suavité de la douceur, et on avait l'impression que l'âme voulait sortir du corps.
Pour la douceur j'aurais supporté quelconque tourment et chaque peine".
Ceci arriva en Octobre du 1648.
Fr. Charles accomplit beaucoup de miracles, comme des guérisons des infirmités et des multiplications de mets.
Frappé de maladie il mourut au Couvent de S. François à Ripa le 6 Janvier 1670.
Au point où Le Seigneur lui infligeât la blessure d'amour, un signe à forme de Croix commença à apparaitre après sa mort; le phénomène a été un des miracles reconnus de la Sacrée Congrégation des Rites.
Une fois que les miracles proposés pour la Béatification furent reconnus, le décret de Béatification fut en Octobre 1881 sous le Pontificat de Léon 13.
Fr. Charles de Sezze fut reconnu Saint de la part de l'Église le 12 Avril 1959, par le Pape Saint Jean XXIII.
Saint Charles est connu comme le seul Saint stigmatisé de l'Eucharistie.
Né à Sezze le 22 Octobre 1613, Jean Charles (ceci était son nom de Baptême) fut obligé bientôt à abandonner les écoles publiques pour la garde du troupeau, mais en même temps il réussit à cultiver la profonde dévotion à l'Esprit Chrétien lui transmise grâce à ses parents.
L'amour pour la Croix et la Vierge Marie lui furent deux conseillers pour son chemin spirituel; Charles entra au Couvent Franciscain de Nazzano, en indossant le vêtement du Pauvre d'Assise le 18 Mai 1635.
En étant obéissant aux dispositions de ses supérieurs, il exerçât ses charges de Religieux dans de différents Couvents de Morlupo, Ponticelli, Palestrina, Piglio, Carpineto Romano, Castel Gandolfo, S. Pietro in Montorio et S. Francesco à Ripa en Rome, en vivant toujours en extrême humilité et discipline franciscaine.
Fr. Charles accomplit des œuvres qui étaient joyeusement tournées pour procurer un certain réconfort aux pauvres et l'assistance aux infirmes et aux moribonds. Le Seigneur voulût reconnaitre l'extraordinaire foi de Fr. Charles.
Un matin, pendant que le Frère participait à la Ste Messe à l'église de S. Joseph à Capo le Case à Rome, au moment de l'élévation, un rayon lumineux, parti de l'Hostie Sainte, touchât Charles au cœur, en lui procurant une profonde blessure.
Tel fut le signe d'Amour reçu est décrit par lui comme cela:
"Il était entre deux extrêmes, c'est à dire entre la douceur et suavité de la douceur, et on avait l'impression que l'âme voulait sortir du corps.
Pour la douceur j'aurais supporté quelconque tourment et chaque peine".
Ceci arriva en Octobre du 1648.
Fr. Charles accomplit beaucoup de miracles, comme des guérisons des infirmités et des multiplications de mets.
Frappé de maladie il mourut au Couvent de S. François à Ripa le 6 Janvier 1670.
Au point où Le Seigneur lui infligeât la blessure d'amour, un signe à forme de Croix commença à apparaitre après sa mort; le phénomène a été un des miracles reconnus de la Sacrée Congrégation des Rites.
Une fois que les miracles proposés pour la Béatification furent reconnus, le décret de Béatification fut en Octobre 1881 sous le Pontificat de Léon 13.
Fr. Charles de Sezze fut reconnu Saint de la part de l'Église le 12 Avril 1959, par le Pape Saint Jean XXIII.
Saint Charles est connu comme le seul Saint stigmatisé de l'Eucharistie.
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Dimanche 07 Janvier 2018
Fête de l'Épiphanie du Seigneur.
Fête de l'Épiphanie du Seigneur.
Épiphanie du Seigneur
En ce jour, nous célébrons la sainte Épiphanie de notre Seigneur, Dieu et Sauveur Jésus-Christ, lorsqu'il se fit connaître aux mages venus de l'Orient.
C'est l'adoration de ces mageshttps://nominis.cef.fr/contenus/saint/1434/Saints-Rois-mages.html qui constitue, en Occident, l'objet principal de cette Fête.
La Liturgie de l'Église latine, là où ce jour n'est pas férié, reporte la Célébration de cette Fête au Dimanche le plus proche, afin que le plus grand nombre des fidèles puissent la commémorer dignement.
Les Églises d'Orient Célèbrent de même la sainte Théophanie, au jour de son Baptême dans le Jourdain lorsqu’eut lieu la manifestation de la Divinité du Christ et la première claire révélation du Mystère de la Sainte Trinité.
Le Père et le Saint-Esprit rendirent alors témoignage que Jésus est vraiment le Fils Unique de Dieu, consubstantiel au Père, Verbe Incarné pour notre salut, Sauveur annoncé par les prophètes et qu'en sa personne la Divinité s'est unie sans mélange à notre humanité et l'a fait resplendir de sa Gloire.
A lire:
- Du grec épiphanéia: «apparition» - de épiphainéin:
«paraître ou briller sur».
La Solennité de l'Épiphanie Célèbre la manifestation de Jésus comme Messie. (site portail de l'Église catholique en France)
http://eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/la-celebration-de-la-foi/les-grandes-fetes-chretiennes/epiphanie/
- la Fête de l'Épiphanie sur le site du cybercuré.http://cybercure.fr/les-fetes-de-l-eglise/avent-noel/epiphanie/article/fete-de-l-epiphanie
- L'Épiphanie du Seigneur, La légende doréehttp://www.abbaye-saint-benoit.ch/voragine/tome01/017.htm du Bienheureux Jacques de Voragine.https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1498/Bienheureux-Jacques-de-Voragine.html
Le 6 Janvier 2011 pour l'Epiphanie, Benoît XVI a Célébré la Messe en la Basilique vaticane, rappelant à l'homélie que les mages "étaient probablement des savants qui ne scrutaient pas simplement le Ciel pour lire l'avenir dans les astres...mais des hommes en recherche de la lumière véritable qui peut guider nos vies.
Certains de ce qu'on peut lire la marque de Dieu dans la création, ils pensaient que l'homme peut y déchiffrer sa main...
Homme de pouvoir, Hérode...est antipathique.
Notre jugement négatif vient de sa brutalité.
Y aurait-il quelque chose d'Hérode en nous?
Ne voyons-nous pas parfois Dieu comme un rival?
Peut être sommes-nous également aveugles face à ses signaux, sourds à ses paroles car nous pensons qu'il limite nos vies et nous empêchent de vivre à notre convenance.
En voyant ainsi Dieu, nous devenons insatisfaits et mécontents, en refusant de nous laisser guider par celui qui est à la base de toute chose.
Il faut libérer notre esprit et notre cœur de cette idée de rivalité.
Il ne faut plus croire que faire place à Dieu signifie réduire la notre.
Nous devons nous ouvrir à Lui car il est certainement l'Amour tout puissant qui n'enlève rien et ne menace rien, mais est le seul capable de nous faire vivre pleinement, de nous offrir la Joie véritable".
Puis le Pape a dit que les mages "savaient que c'est avec les yeux de la raison, du sens ultime de la réalité, et d'un désir de Dieu animé par la Foi, non avec des télescopes, qu'il devient possible de s'approcher de Dieu.
L'univers ne découle pas du chaos, comme certains le veulent faire croire.
En le contemplant, nous sommes invités à y lire quelque chose de profond, la Sagesse du Créateur, l'infini Amour et imagination de Dieu à propos de l'homme.
Ne laissons pas nos esprits être limités par des théories incomplètes qui, sans concurrencer la Foi ne peuvent expliquer le sens profond de la réalité.
Dans la beauté, dans le mystère et la grandeur du monde, comment ne pas lire la raison éternelle.
Laissons-nous guider par cette raison vers le Dieu unique, Créateur du Ciel et de la Terre.
Ainsi verrons nous à travers le Créateur celui qui, né à Bethléem, continue de vivre parmi nous dans l'Eucharistie.
Dieu vivant, il nous aime et nous appelle à la Vie éternelle...
Pour les mages, il était logique de chercher au palais royal le nouveau roi...mais c'est parmi les pauvres et les humbles que l'étoile les conduisit pour rencontrer le Roi du monde.
Les critères Divins différent de ceux des hommes, et Dieu ne se manifeste pas dans ce monde par la puissance, mais dans l'Humilité d'un Amour qui réclame de notre liberté qu'elle se transforme pour joindre celui qui n'est qu'Amour".
Rappelant enfin que les mages durent écouter la voix de l'Ecriture car elle est la seule indication de la voie à suivre, Benoît XVI a dit que la Parole est l'étoile véritable.
Dans l'imprécision des débats humains elle nous fournit la splendeur de la vérité...
Laissons-nous donc conduire par cette étoile, suivons-la en cheminant avec l'Eglise, où la Parole a planté sa tente.
Notre chemin est éclairé par une lumière qu'aucun autre signe ne saurait donner.
Ainsi pourrons-nous aussi devenir des étoiles pour autrui, en reflétant la Lumière que Le Christ a fait briller sur nous".
En ce jour, nous célébrons la sainte Épiphanie de notre Seigneur, Dieu et Sauveur Jésus-Christ, lorsqu'il se fit connaître aux mages venus de l'Orient.
C'est l'adoration de ces mageshttps://nominis.cef.fr/contenus/saint/1434/Saints-Rois-mages.html qui constitue, en Occident, l'objet principal de cette Fête.
La Liturgie de l'Église latine, là où ce jour n'est pas férié, reporte la Célébration de cette Fête au Dimanche le plus proche, afin que le plus grand nombre des fidèles puissent la commémorer dignement.
Les Églises d'Orient Célèbrent de même la sainte Théophanie, au jour de son Baptême dans le Jourdain lorsqu’eut lieu la manifestation de la Divinité du Christ et la première claire révélation du Mystère de la Sainte Trinité.
Le Père et le Saint-Esprit rendirent alors témoignage que Jésus est vraiment le Fils Unique de Dieu, consubstantiel au Père, Verbe Incarné pour notre salut, Sauveur annoncé par les prophètes et qu'en sa personne la Divinité s'est unie sans mélange à notre humanité et l'a fait resplendir de sa Gloire.
A lire:
- Du grec épiphanéia: «apparition» - de épiphainéin:
«paraître ou briller sur».
La Solennité de l'Épiphanie Célèbre la manifestation de Jésus comme Messie. (site portail de l'Église catholique en France)
http://eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/la-celebration-de-la-foi/les-grandes-fetes-chretiennes/epiphanie/
- la Fête de l'Épiphanie sur le site du cybercuré.http://cybercure.fr/les-fetes-de-l-eglise/avent-noel/epiphanie/article/fete-de-l-epiphanie
- L'Épiphanie du Seigneur, La légende doréehttp://www.abbaye-saint-benoit.ch/voragine/tome01/017.htm du Bienheureux Jacques de Voragine.https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1498/Bienheureux-Jacques-de-Voragine.html
Le 6 Janvier 2011 pour l'Epiphanie, Benoît XVI a Célébré la Messe en la Basilique vaticane, rappelant à l'homélie que les mages "étaient probablement des savants qui ne scrutaient pas simplement le Ciel pour lire l'avenir dans les astres...mais des hommes en recherche de la lumière véritable qui peut guider nos vies.
Certains de ce qu'on peut lire la marque de Dieu dans la création, ils pensaient que l'homme peut y déchiffrer sa main...
Homme de pouvoir, Hérode...est antipathique.
Notre jugement négatif vient de sa brutalité.
Y aurait-il quelque chose d'Hérode en nous?
Ne voyons-nous pas parfois Dieu comme un rival?
Peut être sommes-nous également aveugles face à ses signaux, sourds à ses paroles car nous pensons qu'il limite nos vies et nous empêchent de vivre à notre convenance.
En voyant ainsi Dieu, nous devenons insatisfaits et mécontents, en refusant de nous laisser guider par celui qui est à la base de toute chose.
Il faut libérer notre esprit et notre cœur de cette idée de rivalité.
Il ne faut plus croire que faire place à Dieu signifie réduire la notre.
Nous devons nous ouvrir à Lui car il est certainement l'Amour tout puissant qui n'enlève rien et ne menace rien, mais est le seul capable de nous faire vivre pleinement, de nous offrir la Joie véritable".
Puis le Pape a dit que les mages "savaient que c'est avec les yeux de la raison, du sens ultime de la réalité, et d'un désir de Dieu animé par la Foi, non avec des télescopes, qu'il devient possible de s'approcher de Dieu.
L'univers ne découle pas du chaos, comme certains le veulent faire croire.
En le contemplant, nous sommes invités à y lire quelque chose de profond, la Sagesse du Créateur, l'infini Amour et imagination de Dieu à propos de l'homme.
Ne laissons pas nos esprits être limités par des théories incomplètes qui, sans concurrencer la Foi ne peuvent expliquer le sens profond de la réalité.
Dans la beauté, dans le mystère et la grandeur du monde, comment ne pas lire la raison éternelle.
Laissons-nous guider par cette raison vers le Dieu unique, Créateur du Ciel et de la Terre.
Ainsi verrons nous à travers le Créateur celui qui, né à Bethléem, continue de vivre parmi nous dans l'Eucharistie.
Dieu vivant, il nous aime et nous appelle à la Vie éternelle...
Pour les mages, il était logique de chercher au palais royal le nouveau roi...mais c'est parmi les pauvres et les humbles que l'étoile les conduisit pour rencontrer le Roi du monde.
Les critères Divins différent de ceux des hommes, et Dieu ne se manifeste pas dans ce monde par la puissance, mais dans l'Humilité d'un Amour qui réclame de notre liberté qu'elle se transforme pour joindre celui qui n'est qu'Amour".
Rappelant enfin que les mages durent écouter la voix de l'Ecriture car elle est la seule indication de la voie à suivre, Benoît XVI a dit que la Parole est l'étoile véritable.
Dans l'imprécision des débats humains elle nous fournit la splendeur de la vérité...
Laissons-nous donc conduire par cette étoile, suivons-la en cheminant avec l'Eglise, où la Parole a planté sa tente.
Notre chemin est éclairé par une lumière qu'aucun autre signe ne saurait donner.
Ainsi pourrons-nous aussi devenir des étoiles pour autrui, en reflétant la Lumière que Le Christ a fait briller sur nous".
Nous avons vu se lever son étoile et nous sommes venus nous prosterner devant Lui
MESSE EN LA SOLENNITÉ DE L'ÉPIPHANIE DU SEIGNEUR
HOMÉLIE DU PAPE BENOÎT XVI
Basilique Vaticane
Vendredi 6 janvier 2012
HOMÉLIE DU PAPE BENOÎT XVI
Basilique Vaticane
Vendredi 6 janvier 2012
Signification du récit de la visite des mages et de l'attitude d’Hérode ?
Le récit de la visite des mages exprime une manifestation de Dieu aux païens.
Qui étaient les mages ?
Une étoile les met en marche et les conduit jusqu'à l'enfant Jésus.
Tout le récit souligne le contraste entre l'attitude des mages et celle d'Hérode et des scribes de Jérusalem devant la manifestation Divine.
Les mages, qui sont des païens, se mettent en marche, sur le signe de l'étoile, à la recherche de l'enfant qui vient de naître.
Quand les mages le trouvent, ils éprouvent une grande joie, se prosternent devant lui et lui offrent des présents.
Par contre, en apprenant l'apparition de l'étoile et l'arrivée des mages, Hérode et tout Jérusalem fut prit d'inquiétude.
Le roi Hérode veut faire périr l'enfant qui pourrait devenir pour lui un rival : le roi messie.
Les chefs des prêtres et les scribes, qui connaissent pourtant les prophéties sur la naissance du messie à Bethléem, ne cherchent pas à le connaître.
Quand Mathieu écrivit son Évangile, la communauté Chrétienne vivait une situation paradoxale : beaucoup de païens se convertissaient à la Foi Chrétienne et par contre la majorité des Juifs rejetaient l'Évangile et persécutaient les Chrétiens.
Cette conjoncture était difficile à accepter pour un Juif comme Mathieu qui avait une vive conscience que le peuple Juif était le peuple élu qui avait été choisi par Dieu pour accueillir le Messie.
La communauté Chrétienne voit dans l'histoire des mages et d'Hérode la préfiguration de ce qu'elle vivait.
Ce récit éclaire son épreuve par une nouvelle espérance.
Qui étaient les mages ?
Le récit de Matthieu ne dit presque rien sur les Mages. Il ne dit pas qu'ils sont trois et que ce sont des rois.
Il signale seulement que ces mages venaient d'Orient. - Qui étaient - ils ?
En fait, dans l'Ancien Testament, nous n'avons trace de "mages" qu'au début du livre de Daniel.
L'épisode se déroule justement en Orient, à Babylone.
Le roi Nabuchodonosor est profondément troublé par un songe. Il convoque les mages de son pays pour qu'ils puissent interpréter ce songe étrange.
Chez les Perses et les Mèdes les mages constituaient une caste Sacerdotale; ils formaient le conseil secret des rois, administraient les affaires religieuses et se vouaient à l'étude de l'astronomie
Les trois rois mages
La tradition a fixé leur nombre à trois en se basant sur les trois cadeaux dont parle l'Evangile (or, encens, myrrhe).
Le chiffre 3 est très symbolique, il symbolise d'abord les 3 continents
Asie, Afrique et Europe (qui étaient les seuls connus à l'époque).
C'est aussi l'image des trois fils de Noé :
Sem, Cham et Japhet.
On leur attribua au XVIème siècle une couleur de peau distincte pour chacun : blanche, noire et jaune.
Le chiffre 3 figure enfin les trois âges de la vie.
Melchior est présenté avec une longue barbe et il est le plus âgé des trois. Il offrit l'or.
Gaspar est le plus jeune des trois et il donna l'encens.
Balthazar est barbu sans être âgé et il fit l'offrande de la myrrhe.
Les noms traditionnels des rois mages Gaspard, Melchior et Balthazar apparaissent pour la première fois au VI° siècle.
La mystérieuse étoile des mages ?
L'Évangile parle d'une étoile des mages. Il dit qu'ils furent guidés par une étoile jusqu'à la crèche.
On a souvent cherché ce qu'était cette étoile des mages.
Par exemple, on a suggéré qu'elle aurait pu être la comète de Halley, qui justement est passée à proximité de la terre vers l'an 11 avant J.-C.
Cette date correspond à peu près avec celle où on a estimé que Jésus est né: 6 ou 7 ans avant notre ère.
Un grand astronome, Kepler, suggéra que l’étoile des mages aurait pu être une nova.
Cette théorie est renforcée par la découverte d'un astronome chinois qui, dans les archives des Chroniques chinoises, a remarqué qu'un objet céleste, qui aurait pu être une nova, a été repéré vers l'an 5 avant J.-C.
Une autre hypothèse sur l'étoile des mages est celle de la conjoncture des planètes Jupiter et Saturne puis de Mars, vers l'an 6 avant J.-C.
Tous ces mouvements uniques des planètes auraient pu être interprétés par des astrologues comme signe d'un important événement proche.
Or les Mages étaient sans doute astrologues.
Le symbole de l'étoile des mages
Plus que le caractère historique de l'étoile des mages, ce qui est important c'est l'aspect symbolique de l'étoile des mages.
Elle est le symbole de la manifestation de Dieu aux païens. Une étoile les met en marche et les conduit jusqu'à Jésus.
Elle est peut-être plus symbolique qu'historique. L’étoile des Mages pourrait bien ne représenter qu’un symbole, dont il est vain de chercher à établir la réalité astronomique.
Le 7 janv. 2009 à l'Epiphanie, Benoît XVI a expliqué le symbole de l'étoile qui a conduit les mages à Bethléem.
L'adoration des mages
Pour l'adoration des mages l'étoile est au dessus de l'enfant Jésus à la crèche et l'Évangile dit :
" Les mages se prosternèrent et l'adorèrent.
Ils ouvrirent ensuite leurs trésors, L'adoration des mages a une signification symbolique.
L'adoration des mages a été peinte par beaucoup de peintres
Les cadeaux des mages :
L’or, l’encens et la myrrhe.
Ils lui offrirent en présent de l'or, de l'encens et de la myrrhe". Les cadeaux des mages ont une signification symbolique.
Signification des cadeaux des mages :
L'or célébrait la Royauté, l'encens la Divinité et la myrrhe annonçait la souffrance Rédemptrice.
La myrrhe est une résine odorante venant d'un arbre d'Arabie, le balsamier.
Le récit de la visite des mages exprime une manifestation de Dieu aux païens.
Qui étaient les mages ?
Une étoile les met en marche et les conduit jusqu'à l'enfant Jésus.
Tout le récit souligne le contraste entre l'attitude des mages et celle d'Hérode et des scribes de Jérusalem devant la manifestation Divine.
Les mages, qui sont des païens, se mettent en marche, sur le signe de l'étoile, à la recherche de l'enfant qui vient de naître.
Quand les mages le trouvent, ils éprouvent une grande joie, se prosternent devant lui et lui offrent des présents.
Par contre, en apprenant l'apparition de l'étoile et l'arrivée des mages, Hérode et tout Jérusalem fut prit d'inquiétude.
Le roi Hérode veut faire périr l'enfant qui pourrait devenir pour lui un rival : le roi messie.
Les chefs des prêtres et les scribes, qui connaissent pourtant les prophéties sur la naissance du messie à Bethléem, ne cherchent pas à le connaître.
Quand Mathieu écrivit son Évangile, la communauté Chrétienne vivait une situation paradoxale : beaucoup de païens se convertissaient à la Foi Chrétienne et par contre la majorité des Juifs rejetaient l'Évangile et persécutaient les Chrétiens.
Cette conjoncture était difficile à accepter pour un Juif comme Mathieu qui avait une vive conscience que le peuple Juif était le peuple élu qui avait été choisi par Dieu pour accueillir le Messie.
La communauté Chrétienne voit dans l'histoire des mages et d'Hérode la préfiguration de ce qu'elle vivait.
Ce récit éclaire son épreuve par une nouvelle espérance.
Qui étaient les mages ?
Le récit de Matthieu ne dit presque rien sur les Mages. Il ne dit pas qu'ils sont trois et que ce sont des rois.
Il signale seulement que ces mages venaient d'Orient. - Qui étaient - ils ?
En fait, dans l'Ancien Testament, nous n'avons trace de "mages" qu'au début du livre de Daniel.
L'épisode se déroule justement en Orient, à Babylone.
Le roi Nabuchodonosor est profondément troublé par un songe. Il convoque les mages de son pays pour qu'ils puissent interpréter ce songe étrange.
Chez les Perses et les Mèdes les mages constituaient une caste Sacerdotale; ils formaient le conseil secret des rois, administraient les affaires religieuses et se vouaient à l'étude de l'astronomie
Les trois rois mages
La tradition a fixé leur nombre à trois en se basant sur les trois cadeaux dont parle l'Evangile (or, encens, myrrhe).
Le chiffre 3 est très symbolique, il symbolise d'abord les 3 continents
Asie, Afrique et Europe (qui étaient les seuls connus à l'époque).
C'est aussi l'image des trois fils de Noé :
Sem, Cham et Japhet.
On leur attribua au XVIème siècle une couleur de peau distincte pour chacun : blanche, noire et jaune.
Le chiffre 3 figure enfin les trois âges de la vie.
Melchior est présenté avec une longue barbe et il est le plus âgé des trois. Il offrit l'or.
Gaspar est le plus jeune des trois et il donna l'encens.
Balthazar est barbu sans être âgé et il fit l'offrande de la myrrhe.
Les noms traditionnels des rois mages Gaspard, Melchior et Balthazar apparaissent pour la première fois au VI° siècle.
La mystérieuse étoile des mages ?
L'Évangile parle d'une étoile des mages. Il dit qu'ils furent guidés par une étoile jusqu'à la crèche.
On a souvent cherché ce qu'était cette étoile des mages.
Par exemple, on a suggéré qu'elle aurait pu être la comète de Halley, qui justement est passée à proximité de la terre vers l'an 11 avant J.-C.
Cette date correspond à peu près avec celle où on a estimé que Jésus est né: 6 ou 7 ans avant notre ère.
Un grand astronome, Kepler, suggéra que l’étoile des mages aurait pu être une nova.
Cette théorie est renforcée par la découverte d'un astronome chinois qui, dans les archives des Chroniques chinoises, a remarqué qu'un objet céleste, qui aurait pu être une nova, a été repéré vers l'an 5 avant J.-C.
Une autre hypothèse sur l'étoile des mages est celle de la conjoncture des planètes Jupiter et Saturne puis de Mars, vers l'an 6 avant J.-C.
Tous ces mouvements uniques des planètes auraient pu être interprétés par des astrologues comme signe d'un important événement proche.
Or les Mages étaient sans doute astrologues.
Le symbole de l'étoile des mages
Plus que le caractère historique de l'étoile des mages, ce qui est important c'est l'aspect symbolique de l'étoile des mages.
Elle est le symbole de la manifestation de Dieu aux païens. Une étoile les met en marche et les conduit jusqu'à Jésus.
Elle est peut-être plus symbolique qu'historique. L’étoile des Mages pourrait bien ne représenter qu’un symbole, dont il est vain de chercher à établir la réalité astronomique.
Le 7 janv. 2009 à l'Epiphanie, Benoît XVI a expliqué le symbole de l'étoile qui a conduit les mages à Bethléem.
L'adoration des mages
Pour l'adoration des mages l'étoile est au dessus de l'enfant Jésus à la crèche et l'Évangile dit :
" Les mages se prosternèrent et l'adorèrent.
Ils ouvrirent ensuite leurs trésors, L'adoration des mages a une signification symbolique.
L'adoration des mages a été peinte par beaucoup de peintres
Les cadeaux des mages :
L’or, l’encens et la myrrhe.
Ils lui offrirent en présent de l'or, de l'encens et de la myrrhe". Les cadeaux des mages ont une signification symbolique.
Signification des cadeaux des mages :
L'or célébrait la Royauté, l'encens la Divinité et la myrrhe annonçait la souffrance Rédemptrice.
La myrrhe est une résine odorante venant d'un arbre d'Arabie, le balsamier.
LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Localisation : Vendée (Marie du 85)
Inscription : 12/01/2016
Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Lundi 08 Janvier 2018
Fête du Baptême de Jésus.
Fête du Baptême de Jésus.
Lorsque le Dimanche où l’on fête l’Épiphanie tombe le 07 ou le 08 Janvier, comme c’est le cas en 2018, la Fête du Baptême du Seigneur est Célébrée, non pas le Dimanche qui suit la Fête de l’Épiphanie, mais dès le lendemain Lundi, soit ce Lundi 08 Janvier 2018.
Cette Fête du Baptême du Seigneur clôture le cycle de la Nativité du Seigneur. La Liturgie entre dans le « Temps Ordinaire ».
Cette Fête du Baptême du Seigneur clôture le cycle de la Nativité du Seigneur. La Liturgie entre dans le « Temps Ordinaire ».
Benoît XVI
Angelus - Place Saint-Pierre
Chers frères et sœurs,
Avec la fête du Baptême de Jésus, que nous célébrons aujourd'hui, s'achève le temps liturgique de Noël.
L'Enfant que les Mages étaient venus adorer de l'Orient, à Bethléem, en offrant leurs dons symboliques, nous le retrouvons maintenant adulte, au moment où il se fait baptiser dans le fleuve du Jourdain par le grand prophète Jean (cf. Mt 3, 13).
L'Évangile fait remarquer que lorsque Jésus sortit de l'eau après avoir reçu le baptême, les cieux s'ouvrirent et l'Esprit Saint descendit sur lui comme une colombe (cf. Mt 3, 16).
On entendit alors une voix venue du ciel qui disait :
« Celui-ci est mon Fils bien-aimé; en lui j'ai mis tout mon amour » (Mt 3, 17).
Ce fut sa première manifestation publique après environ trente ans de vie cachée à Nazareth.
Outre Jean Baptiste, ses disciples furent également des témoins oculaires de cet événement singulier.
Certains d'entre eux commencèrent à le suivre à partir de ce moment (cf. Jn 1, 35-40).
Ce fut dans le même temps une christophanie et une théophanie : tout d'abord Jésus se manifesta en tant que Christ, terme grec traduisant le mot hébreu Messia, qui signifie "oint" :
Il ne fut pas oint avec de l'huile à la manière des rois et des grands prêtres d'Israël, mais avec l'Esprit Saint.
Dans le même temps, aux côtés du Fils de Dieu apparurent les signes de l'Esprit Saint et du Père céleste.
Quelle est la signification de cet acte que Jésus a voulu accomplir, en vainquant la résistance du Baptiste, pour obéir à la volonté du Père (cf. Mt 3, 14-15) ?
Son sens profond n'apparaîtra qu'à la fin de l'existence terrestre du Christ, c'est-à-dire dans sa mort et sa résurrection.
En se faisant baptiser par Jean en même temps que les pécheurs, Jésus a commencé à prendre sur lui le poids de la faute de l'humanité tout entière, comme Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde (cf. Jn 1, 29).
Une œuvre qu'Il a accomplie pleinement sur la croix, lorsqu'il a reçu également son baptême (cf. Lc 12, 50).
En effet, en mourant il s'immerge dans l'amour du Père et répand l'Esprit Saint, afin que ceux qui croient en Lui puissent renaître de cette source intarissable de vie nouvelle et éternelle.
Toute la mission du Christ se résume ainsi : nous baptiser dans l'Esprit Saint, pour nous libérer de l'esclavage de la mort et nous ouvrir le ciel, c'est-à-dire l'accès à la vie véritable et pleine, qui sera « une immersion toujours nouvelle dans l'immensité de l'être, tandis que nous sommes simplement comblés de joie » (Spe salvi, n. 12).
Prions pour tous les chrétiens afin qu'ils comprennent toujours mieux le don du Baptême et s'engagent à le vivre avec cohérence, en témoignant de l'amour du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Je vous souhaite à tous un bon dimanche.
Angelus - Place Saint-Pierre
Chers frères et sœurs,
Avec la fête du Baptême de Jésus, que nous célébrons aujourd'hui, s'achève le temps liturgique de Noël.
L'Enfant que les Mages étaient venus adorer de l'Orient, à Bethléem, en offrant leurs dons symboliques, nous le retrouvons maintenant adulte, au moment où il se fait baptiser dans le fleuve du Jourdain par le grand prophète Jean (cf. Mt 3, 13).
L'Évangile fait remarquer que lorsque Jésus sortit de l'eau après avoir reçu le baptême, les cieux s'ouvrirent et l'Esprit Saint descendit sur lui comme une colombe (cf. Mt 3, 16).
On entendit alors une voix venue du ciel qui disait :
« Celui-ci est mon Fils bien-aimé; en lui j'ai mis tout mon amour » (Mt 3, 17).
Ce fut sa première manifestation publique après environ trente ans de vie cachée à Nazareth.
Outre Jean Baptiste, ses disciples furent également des témoins oculaires de cet événement singulier.
Certains d'entre eux commencèrent à le suivre à partir de ce moment (cf. Jn 1, 35-40).
Ce fut dans le même temps une christophanie et une théophanie : tout d'abord Jésus se manifesta en tant que Christ, terme grec traduisant le mot hébreu Messia, qui signifie "oint" :
Il ne fut pas oint avec de l'huile à la manière des rois et des grands prêtres d'Israël, mais avec l'Esprit Saint.
Dans le même temps, aux côtés du Fils de Dieu apparurent les signes de l'Esprit Saint et du Père céleste.
Quelle est la signification de cet acte que Jésus a voulu accomplir, en vainquant la résistance du Baptiste, pour obéir à la volonté du Père (cf. Mt 3, 14-15) ?
Son sens profond n'apparaîtra qu'à la fin de l'existence terrestre du Christ, c'est-à-dire dans sa mort et sa résurrection.
En se faisant baptiser par Jean en même temps que les pécheurs, Jésus a commencé à prendre sur lui le poids de la faute de l'humanité tout entière, comme Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde (cf. Jn 1, 29).
Une œuvre qu'Il a accomplie pleinement sur la croix, lorsqu'il a reçu également son baptême (cf. Lc 12, 50).
En effet, en mourant il s'immerge dans l'amour du Père et répand l'Esprit Saint, afin que ceux qui croient en Lui puissent renaître de cette source intarissable de vie nouvelle et éternelle.
Toute la mission du Christ se résume ainsi : nous baptiser dans l'Esprit Saint, pour nous libérer de l'esclavage de la mort et nous ouvrir le ciel, c'est-à-dire l'accès à la vie véritable et pleine, qui sera « une immersion toujours nouvelle dans l'immensité de l'être, tandis que nous sommes simplement comblés de joie » (Spe salvi, n. 12).
Prions pour tous les chrétiens afin qu'ils comprennent toujours mieux le don du Baptême et s'engagent à le vivre avec cohérence, en témoignant de l'amour du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Je vous souhaite à tous un bon dimanche.
Le Baptême du Seigneur
La fête du Baptême du Seigneur, fixée au dimanche qui suit l’Épiphanie, rappelle la première théophanie de la nouvelle alliance : sur le Fils unique, l’Esprit descend tandis que la voix du Père se fait entendre.
Elle commémore l’investiture messianique donnée à Jésus et la manifestation de sa vocation au début de sa vie publique. Mais elle s’enrichit aussi de tout un ensemble de significations symboliques liées au baptême.
Les lectures de la fête sont ordonnées autour de l’évangile du baptême de Jésus, qui est lu, les trois années A, B et C, selon les récits qu’en donnent Matthieu, Marc et Luc, chacun selon sa grâce propre :
Matthieu montre l’humilité de Jésus, venant «accomplir ce qui est juste» (Mt 3,13-17) ; Marc, plus sobre, rappelle la prophétie de Jean annonçant celui qui vient «baptiser dans l’Esprit Saint» (Mc 1,7-11) ;
Luc insiste sur cette descente de l’Esprit sur Jésus «sous une apparence corporelle, comme une colombe» (Lc 3,15...22).
Et les termes prêtés au Père renvoient aux préfigurations de la Première Alliance : le fils bien-aimé, tel Isaac mené au sacrifice (Gn 22,2), le Serviteur en qui le Seigneur met son amour (Is 42,21), le roi-messie engendré du Père (Ps 2,7)
Ainsi la contemplation du Christ, humble serviteur s’enfonçant dans les eaux du baptême et élu de Dieu comblé de la plénitude de l’Esprit, nous ouvre à la compréhension du mystère de sa pâque où il s’enfoncera librement dans les eaux de la mort, pour en surgir dans la lumière de la résurrection et faire de nous «des fils adoptifs, nés de l’eau et de l’Esprit» (prière d’ouverture).
FÊTE DU BAPTÊME DU SEIGNEUR
CÉLÉBRATION DE LA MESSE ET BAPTÊME DE NOUVEAUX-NÉS
HOMÉLIE DU PAPE BENOÎT XVI
Chers frères et sœurs !
C’est toujours une joie de célébrer cette Messe pendant laquelle ont lieu les Baptêmes des enfants, en la Fête du Baptême du Seigneur.
Je vous salue tous avec affection, chers parents, parrains et marraines, ainsi que vous tous parents et amis !
Vous êtes venus — vous l’avez dit à haute voix — afin que vos enfants nouveau-nés reçoivent le don de la Grâce de Dieu, la semence de la Vie éternelle.
Vous, parents, avez voulu cela. Vous avez pensé au Baptême avant encore que votre petit garçon ou votre petite fille ne vienne au monde.
Votre responsabilité de parents Chrétiens vous a fait penser immédiatement au Sacrement qui marque l’entrée dans la Vie Divine, dans la communauté de l’Eglise.
Nous pouvons dire que cela a été votre premier choix éducatif comme témoins de la Foi envers vos enfants : le choix est fondamental !
La tâche des parents, aidés par le parrain et par la marraine, est celle d’éduquer son fils ou sa fille.
Eduquer requiert un grand engagement, cela est parfois difficile pour nos capacités humaines, toujours limitées.
Mais éduquer devient une mission merveilleuse si on l’accomplit en collaboration avec Dieu, qui est le premier et véritable éducateur de chaque homme.
Dans la première lecture que nous avons écoutée, tirée du livre du prophète Isaïe, Dieu s’adresse à son peuple précisément comme un éducateur.
Il met en garde les Israélites contre le danger de chercher à étancher sa soif et à se nourrir à des sources erronées :
« Pourquoi — dit-il — dépenser de l'argent pour autre chose que du pain, et ce que vous avez gagné, pour ce qui ne rassasie pas ? » (Is 55, 2).
Dieu veut nous donner de bonnes choses à boire et à manger, des choses qui nous font du bien ; alors que parfois, nous utilisons mal nos ressources, nous les utilisons pour des choses qui ne servent pas, et qui sont même au contraire nocives.
Dieu veut en particulier nous donner sa Personne et sa Parole : il sait qu’en nous éloignant de Lui, nous nous trouverions très vite en difficulté, comme le fils prodigue de la parabole, et surtout, nous perdrions notre dignité humaine.
Et c’est pour cela qu’il nous assure qu’Il est la Miséricorde infinie, que ses pensées et ses voies ne sont pas comme les nôtres — heureusement pour nous ! — et que nous pouvons toujours revenir à Lui, à la maison du Père.
Il nous assure ensuite que si nous accueillons sa Parole, celle-ci portera de bons fruits dans notre vie, comme la pluie qui irrigue la terre (cf. Is 55, 10-11).
A cette parole que le Seigneur nous a adressée à travers le prophète Isaïe, nous avons répondu avec le refrain du Psaume :
« Nous puiserons avec joie aux sources du Salut ».
En tant que personnes adultes, nous nous sommes engagés à puiser à de bonnes sources, pour notre bien et pour celui de ceux qui sont confiés à notre responsabilité, en particulier vous, chers parents, parrains et marraines, pour le bien de ces enfants.
Et quelles sont « les sources du Salut » ?
Ce sont la Parole de Dieu et les Sacrements. Les adultes sont les premiers à devoir se nourrir à ces sources, pour pouvoir guider les plus jeunes dans leur croissance.
Les parents doivent beaucoup donner, mais pour pouvoir donner, ils ont à leur tour besoin de recevoir, autrement ils se vident, ils s’assèchent.
Les parents ne sont pas la source, de même que nous, Prêtres, ne sommes pas la source: nous sommes plutôt comme des canaux, à travers lesquels doit couler la sève vitale de l’Amour de Dieu.
Si nous nous détachons de la source, nous sommes les premiers à en ressentir les effets négatifs et nous ne sommes plus en mesure d’éduquer les autres.
C’est pourquoi nous nous sommes engagés en disant :
« Nous puiserons avec joie aux sources du Salut ».
Et venons-en à présent à la deuxième lecture et à l’Évangile.
Ces derniers nous disent que la première et principale éducation a lieu à travers le témoignage.
L’Évangile nous parle de Jean le Baptiste. Jean a été un grand éducateur de ses disciples, car il les a conduits à la rencontre de Jésus, auquel il a rendu témoignage.
Il ne s’est pas exalté lui-même, il n’a pas voulu garder les disciples liés à lui.
Et pourtant, Jean était un grand prophète, sa renommée était très grande.
Lorsque Jésus est arrivé, il s’est retiré et c’est Lui qu’il a indiqué :
« Vient derrière moi celui qui est plus fort que moi [...] Moi, je vous ai baptisés avec de l'eau, mais lui vous Baptisera avec L'Esprit Saint » (Mc 1, 7-huit).
Le véritable éducateur ne lie pas les personnes à lui, il n’est pas possessif.
Il veut que son fils ou son disciple apprenne à connaître la vérité, et établisse avec celle-ci une relation personnelle.
L’éducateur accomplit son devoir jusqu’au bout, il ne fait pas manquer sa présence attentive et fidèle ; mais son objectif est que celui qu’il éduque écoute la voix de la vérité parler à son cœur et la suive le long d’un chemin personnel.
Revenons encore au témoignage.
Dans la deuxième lecture, l’apôtre Jean écrit :
« C'est l'Esprit qui rend témoignage » (1 Jn 5, 6).
Il se réfère à L’Esprit Saint, L’Esprit de Dieu, qui rend témoignage à Jésus, en attestant qu’il est Le Christ, Le Fils de Dieu.
On le voit également dans la scène du Baptême dans le fleuve Jourdain :
L’Esprit Saint descend sur Jésus comme une colombe pour lui révéler qu’Il est Le Fils unique du Père éternel (cf. Mc 1, 10).
Jean souligne également cet aspect dans son Evangile, là où Jésus dit aux disciples :
« Lorsque viendra le Paraclet, que je vous enverrai d'auprès du Père, L'Esprit de vérité, qui vient du Père, il me rendra témoignage.
Mais vous aussi, vous témoignerez, parce que vous êtes avec moi depuis le commencement » (Jn 15, 26-27).
Cela est pour nous un grand réconfort dans l’engagement d’éduquer à la Foi, car nous savons que nous ne sommes pas seuls et que notre témoignage est soutenu par L’Esprit Saint.
Il est très important pour vous parents, et également pour les parrains et les marraines, de croire fortement dans la présence et dans l’action de L’Esprit Saint, de l’invoquer et de l’accueillir en vous, à travers la Prière et Sacrements.
C’est Lui, en effet, qui illumine l’esprit, qui réchauffe le cœur de l’éducateur pour qu’il sache transmettre la connaissance et l’Amour de Jésus.
La Prière est la première condition pour éduquer, car en priant, nous nous mettons dans la disposition de laisser à Dieu l’initiative, de Lui confier nos enfants, à Lui qui les connaît avant nous et mieux que nous, et qui sait parfaitement quel est leur bien véritable.
Et, dans le même temps, quand nous prions, nous nous mettons à l’écoute des inspirations de Dieu pour bien accomplir notre part, qui nous revient quoi qu’il en soit et que nous devons réaliser.
Les Sacrements, en particulier l’Eucharistie et la Pénitence, nous permettent d’accomplir l’action éducative en union avec Le Christ, en communion avec Lui et en étant sans cesse renouvelés par son Pardon.
La Prière et les Sacrements nous permettent d’obtenir cette Lumière de Vérité, grâce à laquelle nous pouvons être dans le même temps tendres et forts, faire usage de douceur et de fermeté, nous taire et parler lorsqu’il le faut, faire des remontrances et corriger de la juste manière.
Chers amis, invoquons donc tous ensemble L’Esprit Saint, afin qu’il descende en abondance sur ces enfants, qu’il les consacre à l’image de Jésus Christ, et qu’il les accompagne toujours sur le chemin de leur vie.
Nous les confions à la direction maternelle de la Très Sainte Vierge, afin qu’ils grandissent en âge, en sagesse et en grâce et qu’ils deviennent de véritables Chrétiens, témoins fidèles et joyeux de l’Amour de Dieu.
Amen.
CÉLÉBRATION DE LA MESSE ET BAPTÊME DE NOUVEAUX-NÉS
HOMÉLIE DU PAPE BENOÎT XVI
Chers frères et sœurs !
C’est toujours une joie de célébrer cette Messe pendant laquelle ont lieu les Baptêmes des enfants, en la Fête du Baptême du Seigneur.
Je vous salue tous avec affection, chers parents, parrains et marraines, ainsi que vous tous parents et amis !
Vous êtes venus — vous l’avez dit à haute voix — afin que vos enfants nouveau-nés reçoivent le don de la Grâce de Dieu, la semence de la Vie éternelle.
Vous, parents, avez voulu cela. Vous avez pensé au Baptême avant encore que votre petit garçon ou votre petite fille ne vienne au monde.
Votre responsabilité de parents Chrétiens vous a fait penser immédiatement au Sacrement qui marque l’entrée dans la Vie Divine, dans la communauté de l’Eglise.
Nous pouvons dire que cela a été votre premier choix éducatif comme témoins de la Foi envers vos enfants : le choix est fondamental !
La tâche des parents, aidés par le parrain et par la marraine, est celle d’éduquer son fils ou sa fille.
Eduquer requiert un grand engagement, cela est parfois difficile pour nos capacités humaines, toujours limitées.
Mais éduquer devient une mission merveilleuse si on l’accomplit en collaboration avec Dieu, qui est le premier et véritable éducateur de chaque homme.
Dans la première lecture que nous avons écoutée, tirée du livre du prophète Isaïe, Dieu s’adresse à son peuple précisément comme un éducateur.
Il met en garde les Israélites contre le danger de chercher à étancher sa soif et à se nourrir à des sources erronées :
« Pourquoi — dit-il — dépenser de l'argent pour autre chose que du pain, et ce que vous avez gagné, pour ce qui ne rassasie pas ? » (Is 55, 2).
Dieu veut nous donner de bonnes choses à boire et à manger, des choses qui nous font du bien ; alors que parfois, nous utilisons mal nos ressources, nous les utilisons pour des choses qui ne servent pas, et qui sont même au contraire nocives.
Dieu veut en particulier nous donner sa Personne et sa Parole : il sait qu’en nous éloignant de Lui, nous nous trouverions très vite en difficulté, comme le fils prodigue de la parabole, et surtout, nous perdrions notre dignité humaine.
Et c’est pour cela qu’il nous assure qu’Il est la Miséricorde infinie, que ses pensées et ses voies ne sont pas comme les nôtres — heureusement pour nous ! — et que nous pouvons toujours revenir à Lui, à la maison du Père.
Il nous assure ensuite que si nous accueillons sa Parole, celle-ci portera de bons fruits dans notre vie, comme la pluie qui irrigue la terre (cf. Is 55, 10-11).
A cette parole que le Seigneur nous a adressée à travers le prophète Isaïe, nous avons répondu avec le refrain du Psaume :
« Nous puiserons avec joie aux sources du Salut ».
En tant que personnes adultes, nous nous sommes engagés à puiser à de bonnes sources, pour notre bien et pour celui de ceux qui sont confiés à notre responsabilité, en particulier vous, chers parents, parrains et marraines, pour le bien de ces enfants.
Et quelles sont « les sources du Salut » ?
Ce sont la Parole de Dieu et les Sacrements. Les adultes sont les premiers à devoir se nourrir à ces sources, pour pouvoir guider les plus jeunes dans leur croissance.
Les parents doivent beaucoup donner, mais pour pouvoir donner, ils ont à leur tour besoin de recevoir, autrement ils se vident, ils s’assèchent.
Les parents ne sont pas la source, de même que nous, Prêtres, ne sommes pas la source: nous sommes plutôt comme des canaux, à travers lesquels doit couler la sève vitale de l’Amour de Dieu.
Si nous nous détachons de la source, nous sommes les premiers à en ressentir les effets négatifs et nous ne sommes plus en mesure d’éduquer les autres.
C’est pourquoi nous nous sommes engagés en disant :
« Nous puiserons avec joie aux sources du Salut ».
Et venons-en à présent à la deuxième lecture et à l’Évangile.
Ces derniers nous disent que la première et principale éducation a lieu à travers le témoignage.
L’Évangile nous parle de Jean le Baptiste. Jean a été un grand éducateur de ses disciples, car il les a conduits à la rencontre de Jésus, auquel il a rendu témoignage.
Il ne s’est pas exalté lui-même, il n’a pas voulu garder les disciples liés à lui.
Et pourtant, Jean était un grand prophète, sa renommée était très grande.
Lorsque Jésus est arrivé, il s’est retiré et c’est Lui qu’il a indiqué :
« Vient derrière moi celui qui est plus fort que moi [...] Moi, je vous ai baptisés avec de l'eau, mais lui vous Baptisera avec L'Esprit Saint » (Mc 1, 7-huit).
Le véritable éducateur ne lie pas les personnes à lui, il n’est pas possessif.
Il veut que son fils ou son disciple apprenne à connaître la vérité, et établisse avec celle-ci une relation personnelle.
L’éducateur accomplit son devoir jusqu’au bout, il ne fait pas manquer sa présence attentive et fidèle ; mais son objectif est que celui qu’il éduque écoute la voix de la vérité parler à son cœur et la suive le long d’un chemin personnel.
Revenons encore au témoignage.
Dans la deuxième lecture, l’apôtre Jean écrit :
« C'est l'Esprit qui rend témoignage » (1 Jn 5, 6).
Il se réfère à L’Esprit Saint, L’Esprit de Dieu, qui rend témoignage à Jésus, en attestant qu’il est Le Christ, Le Fils de Dieu.
On le voit également dans la scène du Baptême dans le fleuve Jourdain :
L’Esprit Saint descend sur Jésus comme une colombe pour lui révéler qu’Il est Le Fils unique du Père éternel (cf. Mc 1, 10).
Jean souligne également cet aspect dans son Evangile, là où Jésus dit aux disciples :
« Lorsque viendra le Paraclet, que je vous enverrai d'auprès du Père, L'Esprit de vérité, qui vient du Père, il me rendra témoignage.
Mais vous aussi, vous témoignerez, parce que vous êtes avec moi depuis le commencement » (Jn 15, 26-27).
Cela est pour nous un grand réconfort dans l’engagement d’éduquer à la Foi, car nous savons que nous ne sommes pas seuls et que notre témoignage est soutenu par L’Esprit Saint.
Il est très important pour vous parents, et également pour les parrains et les marraines, de croire fortement dans la présence et dans l’action de L’Esprit Saint, de l’invoquer et de l’accueillir en vous, à travers la Prière et Sacrements.
C’est Lui, en effet, qui illumine l’esprit, qui réchauffe le cœur de l’éducateur pour qu’il sache transmettre la connaissance et l’Amour de Jésus.
La Prière est la première condition pour éduquer, car en priant, nous nous mettons dans la disposition de laisser à Dieu l’initiative, de Lui confier nos enfants, à Lui qui les connaît avant nous et mieux que nous, et qui sait parfaitement quel est leur bien véritable.
Et, dans le même temps, quand nous prions, nous nous mettons à l’écoute des inspirations de Dieu pour bien accomplir notre part, qui nous revient quoi qu’il en soit et que nous devons réaliser.
Les Sacrements, en particulier l’Eucharistie et la Pénitence, nous permettent d’accomplir l’action éducative en union avec Le Christ, en communion avec Lui et en étant sans cesse renouvelés par son Pardon.
La Prière et les Sacrements nous permettent d’obtenir cette Lumière de Vérité, grâce à laquelle nous pouvons être dans le même temps tendres et forts, faire usage de douceur et de fermeté, nous taire et parler lorsqu’il le faut, faire des remontrances et corriger de la juste manière.
Chers amis, invoquons donc tous ensemble L’Esprit Saint, afin qu’il descende en abondance sur ces enfants, qu’il les consacre à l’image de Jésus Christ, et qu’il les accompagne toujours sur le chemin de leur vie.
Nous les confions à la direction maternelle de la Très Sainte Vierge, afin qu’ils grandissent en âge, en sagesse et en grâce et qu’ils deviennent de véritables Chrétiens, témoins fidèles et joyeux de l’Amour de Dieu.
Amen.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Inscription : 12/01/2016
Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Mardi 09 Janvier 2018
Fête de la Bienheureuse Alix Le Clerc, Co-Fondatrice de la Congrégation de Notre-Dame « Chanoinesses de Saint-Augustin » (1576-1622).
Fête de la Bienheureuse Alix Le Clerc, Co-Fondatrice de la Congrégation de Notre-Dame « Chanoinesses de Saint-Augustin » (1576-1622).
Fondatrice de la Congrégation Notre-Dame - Chanoinesses de Saint Augustin (✝ 1622)
Sa famille qui habitait Remiremont dans les Vosges était riche; Alix était belle, elle aimait la vie, la danse et les danseurs.
Et puis, un jour, elle se convertit.
Elle avait vingt et un ans.
Sous la direction spirituelle de saint Pierre Fourierhttps://nominis.cef.fr/contenus/saint/240/Saint-Pierre-Fourier.html, elle se donna à l'éducation des jeunes filles en fondant la Congrégation Notre-Dame (Chanoinesses de Saint-Augustin).
Sa vie est faite de simplicité, de Prière et de respect de la grâce de Dieu en chaque jeune dont elle recevait la charge éducative.
Voir aussi le site de la Congrégation Notre-Dame.https://www.cnd-csa.org/index.php?lang=fr
...Elle meurt le 9 Janvier 1622 au Monastère de Nancy, récemment fondé. Pie XII la Béatifie le 4 Mai 1947.
Aujourd’hui encore ses filles rayonnent son idéal dans le monde... (diocèse de Saint-Dié)https://www.catholique88.fr/page/1509449193-les-saints-vosgiens_
Un internaute nous signale "Elle fut Béatifiée avant la découverte de ses reliques, fait exceptionnel.
Ses reliques ont été transférées le 14 Octobre 2007 à la Cathédrale de Nancy. Une grande cérémonie a eu lieu en présence de l'Évêque Mgr Papin."
- Bienheureuse Alix Le Clerc (1576-1622) Encouragée par Saint Pierre Fourier de Mattaincourt, son jeune curé, cette Religieuse lorraine fonde la Congrégation Notre-Dame et se consacre à l'éducation des jeunes filles dont personne ne s'occupe.
Témoins - site de l'Église catholique en Francehttp://eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/temoigner/temoins/
À Nancy, en 1622, la Bienheureuse Alix Le Clerc (Marie-Thérèse de Jésus), vierge, qui fonda, avec Saint Pierre Fourier, la Congrégation des Chanoinesses régulières de Notre-Dame, sous la Règle de Saint Augustin, pour l’éducation des jeunes filles.
Martyrologe romain.
Sa famille qui habitait Remiremont dans les Vosges était riche; Alix était belle, elle aimait la vie, la danse et les danseurs.
Et puis, un jour, elle se convertit.
Elle avait vingt et un ans.
Sous la direction spirituelle de saint Pierre Fourierhttps://nominis.cef.fr/contenus/saint/240/Saint-Pierre-Fourier.html, elle se donna à l'éducation des jeunes filles en fondant la Congrégation Notre-Dame (Chanoinesses de Saint-Augustin).
Sa vie est faite de simplicité, de Prière et de respect de la grâce de Dieu en chaque jeune dont elle recevait la charge éducative.
Voir aussi le site de la Congrégation Notre-Dame.https://www.cnd-csa.org/index.php?lang=fr
...Elle meurt le 9 Janvier 1622 au Monastère de Nancy, récemment fondé. Pie XII la Béatifie le 4 Mai 1947.
Aujourd’hui encore ses filles rayonnent son idéal dans le monde... (diocèse de Saint-Dié)https://www.catholique88.fr/page/1509449193-les-saints-vosgiens_
Un internaute nous signale "Elle fut Béatifiée avant la découverte de ses reliques, fait exceptionnel.
Ses reliques ont été transférées le 14 Octobre 2007 à la Cathédrale de Nancy. Une grande cérémonie a eu lieu en présence de l'Évêque Mgr Papin."
- Bienheureuse Alix Le Clerc (1576-1622) Encouragée par Saint Pierre Fourier de Mattaincourt, son jeune curé, cette Religieuse lorraine fonde la Congrégation Notre-Dame et se consacre à l'éducation des jeunes filles dont personne ne s'occupe.
Témoins - site de l'Église catholique en Francehttp://eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/temoigner/temoins/
À Nancy, en 1622, la Bienheureuse Alix Le Clerc (Marie-Thérèse de Jésus), vierge, qui fonda, avec Saint Pierre Fourier, la Congrégation des Chanoinesses régulières de Notre-Dame, sous la Règle de Saint Augustin, pour l’éducation des jeunes filles.
Martyrologe romain.
Quand Pierre Fourier est Canonisé, en 1897, on dénombre 31 Monastères-écoles de Notre-Dame en Europe. Puis ce sont les Fondations au Brésil, au Vietnam, en RD Congo, à Hong Kong, au Mexique.
Avec Vatican II, les Sœurs ont revisité le charisme éducatif de leurs Fondateurs.
Elles offrent de partager ce trésor aux nombreux laïcs rencontrés dans leur vie de Religieuses apostoliques : enfants, jeunes, éducateurs, animateurs, enseignants, parents, collaborateurs, associés, et tant d’autres, proches et amis.
En 1987 Rome approuve les nouvelles constitutions.
Avec Vatican II, les Sœurs ont revisité le charisme éducatif de leurs Fondateurs.
Elles offrent de partager ce trésor aux nombreux laïcs rencontrés dans leur vie de Religieuses apostoliques : enfants, jeunes, éducateurs, animateurs, enseignants, parents, collaborateurs, associés, et tant d’autres, proches et amis.
En 1987 Rome approuve les nouvelles constitutions.
Elle dira plus tard :
« Ceci me réjouit, de me retirer du monde qui m'ennuyait sans en savoir la cause »
« Ceci me réjouit, de me retirer du monde qui m'ennuyait sans en savoir la cause »
Son œuvre
Malgré le succès de cette première école, la Foi et l'enthousiasme de la Communauté réunie autour d'Alix, les difficultés ne manquaient pas, à commencer par l'hostilité des dames du Chapitre, toute de bonne noblesse, peu enclines à voir s'épanouir si près d'elles un groupe aussi vertueux et austère alors qu'elles mêmes ne l'étaient guère.
Madame d'Apremont réussit à persuader Alix et ses compagnes de s'installer à Mattaincourt dans une maison qu'elle venait d'acquérir.
Ce qu'elles firent avec la protection de Pierre Fourier, curé du lieu.
C'est ce dernier qui se chargera de faire connaître l'œuvre, d'abord à l'évêque de Toul Jean des Porcelets de Maillane, puis au primat de Lorraine, et enfin à Rome pour obtenir l'approbation du Pape Urbain VIII, qui n'arrivera qu'en 1628, six ans après la mort d'Alix.
Pendant ce temps, de nouvelles écoles étaient fondées, à Saint-Mihiel, et aussi à Nancy où le Cardinal Charles de Lorraine signait l'acte d'approbation de la Congrégation de la Bienheureuse Vierge Marie, le 8 Décembre 1603.
C'est en 1617, le 21 Novembre, qu'eut lieu la première vêture des Religieuses, cérémonie présidée par le Primat de Lorraine, en présence bien sûr de Pierre Fourier curé de Mattaincourt.
C'est lors de cette Cérémonie qu'Alix Le Clerc prit le nom de Mère Thérèse de Jésus.
De nombreuses écoles furent fondées :
Pont-à-Mousson en 1604.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont-%C3%A0-Mousson
Saint-Nicolas-de-Port en 1605.https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Nicolas-de-Port
Verdun en 1608.https://fr.wikipedia.org/wiki/Verdun
Châlons-sur-Marne en 1613.https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2lons-en-Champagne
Bar-le-Duc en 1618.https://fr.wikipedia.org/wiki/Bar-le-Duc
Mirecourt en 1619.https://fr.wikipedia.org/wiki/Mirecourt
Épinal en 1620.https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89pinal
La Mothe-en-Bassigny et Soissons en 1621.https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Mothe-en-Bassigny
D'autres Fondations eurent lieu après le décès d'Alix.
À la veille de la Révolution, l'œuvre comportait 84 Monastères et 4000 Religieuses.
Après de nombreuses péripéties, dues aux tourmentes politiques, la Congrégation, à la fin du XIXe siècle, possédait encore 27 Monastères et 1 200 Religieuses, tandis que des Unions s'ouvraient à l'étranger.
Elles fusionnèrent en 1962 sous le nom de Chanoinesses de Saint-Augustin de la Congrégation Notre-Dame.
Au XIXe siècle, ces Religieuses possédaient trois pensionnats réputés à Paris : le Roule, les Oiseaux, et l'Abbaye-aux-Bois où Madame Récamier s'était retirée et où le vieux Chateaubriand venait lire à ses vieilles admiratrices le manuscrit des Mémoires d'outre-tombe.
En dehors de la France, trois Tiers ordres de Notre-Dame, branches parallèles, connaissaient une grande expansion en Europe centrale et aux Amériques, portant en 1947 à 1 427 le nombre de Maisons et à 15 400 le nombre de Religieuses.
Malgré le succès de cette première école, la Foi et l'enthousiasme de la Communauté réunie autour d'Alix, les difficultés ne manquaient pas, à commencer par l'hostilité des dames du Chapitre, toute de bonne noblesse, peu enclines à voir s'épanouir si près d'elles un groupe aussi vertueux et austère alors qu'elles mêmes ne l'étaient guère.
Madame d'Apremont réussit à persuader Alix et ses compagnes de s'installer à Mattaincourt dans une maison qu'elle venait d'acquérir.
Ce qu'elles firent avec la protection de Pierre Fourier, curé du lieu.
C'est ce dernier qui se chargera de faire connaître l'œuvre, d'abord à l'évêque de Toul Jean des Porcelets de Maillane, puis au primat de Lorraine, et enfin à Rome pour obtenir l'approbation du Pape Urbain VIII, qui n'arrivera qu'en 1628, six ans après la mort d'Alix.
Pendant ce temps, de nouvelles écoles étaient fondées, à Saint-Mihiel, et aussi à Nancy où le Cardinal Charles de Lorraine signait l'acte d'approbation de la Congrégation de la Bienheureuse Vierge Marie, le 8 Décembre 1603.
C'est en 1617, le 21 Novembre, qu'eut lieu la première vêture des Religieuses, cérémonie présidée par le Primat de Lorraine, en présence bien sûr de Pierre Fourier curé de Mattaincourt.
C'est lors de cette Cérémonie qu'Alix Le Clerc prit le nom de Mère Thérèse de Jésus.
De nombreuses écoles furent fondées :
Pont-à-Mousson en 1604.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont-%C3%A0-Mousson
Saint-Nicolas-de-Port en 1605.https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Nicolas-de-Port
Verdun en 1608.https://fr.wikipedia.org/wiki/Verdun
Châlons-sur-Marne en 1613.https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2lons-en-Champagne
Bar-le-Duc en 1618.https://fr.wikipedia.org/wiki/Bar-le-Duc
Mirecourt en 1619.https://fr.wikipedia.org/wiki/Mirecourt
Épinal en 1620.https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89pinal
La Mothe-en-Bassigny et Soissons en 1621.https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Mothe-en-Bassigny
D'autres Fondations eurent lieu après le décès d'Alix.
À la veille de la Révolution, l'œuvre comportait 84 Monastères et 4000 Religieuses.
Après de nombreuses péripéties, dues aux tourmentes politiques, la Congrégation, à la fin du XIXe siècle, possédait encore 27 Monastères et 1 200 Religieuses, tandis que des Unions s'ouvraient à l'étranger.
Elles fusionnèrent en 1962 sous le nom de Chanoinesses de Saint-Augustin de la Congrégation Notre-Dame.
Au XIXe siècle, ces Religieuses possédaient trois pensionnats réputés à Paris : le Roule, les Oiseaux, et l'Abbaye-aux-Bois où Madame Récamier s'était retirée et où le vieux Chateaubriand venait lire à ses vieilles admiratrices le manuscrit des Mémoires d'outre-tombe.
En dehors de la France, trois Tiers ordres de Notre-Dame, branches parallèles, connaissaient une grande expansion en Europe centrale et aux Amériques, portant en 1947 à 1 427 le nombre de Maisons et à 15 400 le nombre de Religieuses.
Vénération
Ce n'est qu'en 1950 qu'on retrouva fortuitement le cercueil contenant les reliques d'Alix Le Clerc au 9 rue Maurice Barrès à Nancy, son tombeau ayant disparu à la Révolution.
Longtemps conservées par le lycée Notre-Dame Saint-Sigisbert, ses reliques ont été transférées à la cathédrale de Nancy le 14 Octobre 2007.
Son cercueil est conservé et visible dans la partie basse de l'Église Abbatiale Saint-Pierre de Remiremont, sa ville Natale.
Une chapelle lui est dédiée, sur la gauche du chœur de la Basilique Saint-Pierre-Fourier de Mattaincourt.
Une autre chapelle, à l'Institution Notre-Dame d'Épinal lui est aussi dédiée depuis 1961.
Plusieurs Monastères portent son nom, en Belgique, au Brésil et aux Pays-Bas.
C'est dans ce dernier qu'est conservée la seule statue existante de la Bienheureuse, une statuette en bois sculpté du XVIIIe.
Ce n'est qu'en 1950 qu'on retrouva fortuitement le cercueil contenant les reliques d'Alix Le Clerc au 9 rue Maurice Barrès à Nancy, son tombeau ayant disparu à la Révolution.
Longtemps conservées par le lycée Notre-Dame Saint-Sigisbert, ses reliques ont été transférées à la cathédrale de Nancy le 14 Octobre 2007.
Son cercueil est conservé et visible dans la partie basse de l'Église Abbatiale Saint-Pierre de Remiremont, sa ville Natale.
Une chapelle lui est dédiée, sur la gauche du chœur de la Basilique Saint-Pierre-Fourier de Mattaincourt.
Une autre chapelle, à l'Institution Notre-Dame d'Épinal lui est aussi dédiée depuis 1961.
Plusieurs Monastères portent son nom, en Belgique, au Brésil et aux Pays-Bas.
C'est dans ce dernier qu'est conservée la seule statue existante de la Bienheureuse, une statuette en bois sculpté du XVIIIe.
La Basilique de Mattaincourt.
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Mercredi 10 Janvier 2018
Fête de la Bienheureuse María Dolores Rodríguez Sopeña, Fondatrice de l'Institut Catéchétique "Dolores Sopeña" (1848-1918).
Fête de la Bienheureuse María Dolores Rodríguez Sopeña, Fondatrice de l'Institut Catéchétique "Dolores Sopeña" (1848-1918).
Bienheureuse María Dolores Rodríguez Sopeña
Fondatrice de l'Institut Catéchétique "Dolores Sopeña" (✝ 1918)
"Je suis Yahvé, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Égypte, de la maison de servitude" (Ex 20, 1).
La grande révélation du Sinaï nous montre Dieu qui rachète et libère de tout esclavage, portant ensuite ce dessein à sa plénitude dans le mystère Rédempteur de Son Fils unique, Jésus-Christ.
Comment ne pas faire parvenir ce message sublime en particulier à ceux qui ne l'entendent pas dans leur cœur parce qu'ils ignorent l'Évangile?
Dolores Rodríguez Sopeña ressentit cette nécessité et désira répondre au défi d'apporter la Rédemption du Christ dans le monde du travail.
C'est pourquoi elle se proposa comme objectif "de faire de tous les hommes une seule famille en Jésus-Christ" (Constitutions de 1907).
Cet esprit se concrétisa dans les trois œuvres fondées par la nouvelle Bienheureuse: le Mouvement de Laïcs "Sopeña", l'Institut des Dames Catéchistes, appelées aujourd'hui "Catéchistes Sopeña", et l'Œuvre sociale et culturelle "Sopeña".
A travers elles, en Espagne et en Amérique latine, se poursuit une spiritualité qui promeut l'édification d'un monde plus juste, en annonçant le message de Salut de Jésus-Christ.
(Source: homélie du pape Jean-Paul II le 23 mars 2003 pour la Béatification de 5 serviteurs de Dieu)http://w2.vatican.va/content/john-paul-ii/fr/homilies/2003/documents/hf_jp-ii_hom_20030323_beatif.html
María Dolores Rodríguez Sopeña (1848-1918) biographie site du Vaticanhttp://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_20030323_rodriguez_fr.html
À Madrid, en 1918, la Bienheureuse Maria-Dolorès (Maria Rodriguez Sapena), vierge, qui donna un témoignage admirable de Charité en allant au plus près des personnes de la plus basse condition dans la société de son temps, surtout dans les faubourgs des grandes villes, et qui suscita l’Institut des Dames Catéchistes pour l’annonce de l’Évangile aux pauvres et aux ouvriers, en même temps qu’à leur promotion sociale.
Martyrologe romain.
Fondatrice de l'Institut Catéchétique "Dolores Sopeña" (✝ 1918)
"Je suis Yahvé, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Égypte, de la maison de servitude" (Ex 20, 1).
La grande révélation du Sinaï nous montre Dieu qui rachète et libère de tout esclavage, portant ensuite ce dessein à sa plénitude dans le mystère Rédempteur de Son Fils unique, Jésus-Christ.
Comment ne pas faire parvenir ce message sublime en particulier à ceux qui ne l'entendent pas dans leur cœur parce qu'ils ignorent l'Évangile?
Dolores Rodríguez Sopeña ressentit cette nécessité et désira répondre au défi d'apporter la Rédemption du Christ dans le monde du travail.
C'est pourquoi elle se proposa comme objectif "de faire de tous les hommes une seule famille en Jésus-Christ" (Constitutions de 1907).
Cet esprit se concrétisa dans les trois œuvres fondées par la nouvelle Bienheureuse: le Mouvement de Laïcs "Sopeña", l'Institut des Dames Catéchistes, appelées aujourd'hui "Catéchistes Sopeña", et l'Œuvre sociale et culturelle "Sopeña".
A travers elles, en Espagne et en Amérique latine, se poursuit une spiritualité qui promeut l'édification d'un monde plus juste, en annonçant le message de Salut de Jésus-Christ.
(Source: homélie du pape Jean-Paul II le 23 mars 2003 pour la Béatification de 5 serviteurs de Dieu)http://w2.vatican.va/content/john-paul-ii/fr/homilies/2003/documents/hf_jp-ii_hom_20030323_beatif.html
María Dolores Rodríguez Sopeña (1848-1918) biographie site du Vaticanhttp://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_20030323_rodriguez_fr.html
À Madrid, en 1918, la Bienheureuse Maria-Dolorès (Maria Rodriguez Sapena), vierge, qui donna un témoignage admirable de Charité en allant au plus près des personnes de la plus basse condition dans la société de son temps, surtout dans les faubourgs des grandes villes, et qui suscita l’Institut des Dames Catéchistes pour l’annonce de l’Évangile aux pauvres et aux ouvriers, en même temps qu’à leur promotion sociale.
Martyrologe romain.
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Bonjour Marie J.,
je vous remercie pour vos vœux. J'aurai juste une question par rapport aux jours des Saints. Sur mon calendrier, le 10 janvier correspond à Saint Guillaume. Peut-on fêter plusieurs Saints ou Saintes le même jour et sur quel calendrier ou document vous basez-vous?
D'avance merci
Affectueusement
je vous remercie pour vos vœux. J'aurai juste une question par rapport aux jours des Saints. Sur mon calendrier, le 10 janvier correspond à Saint Guillaume. Peut-on fêter plusieurs Saints ou Saintes le même jour et sur quel calendrier ou document vous basez-vous?
D'avance merci
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lacolombe- J'adore l'Eucharistie
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
coucou M,lacolombe a écrit:Bonjour Marie J.,
je vous remercie pour vos vœux. J'aurai juste une question par rapport aux jours des Saints. Sur mon calendrier, le 10 janvier correspond à Saint Guillaume. Peut-on fêter plusieurs Saints ou Saintes le même jour et sur quel calendrier ou document vous basez-vous?
D'avance merci
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Voici les Saints du Jours
Affectueusement
https://nominis.cef.fr/
Bienheureuse Adèle de Batz de TrenquelléonMarie de la Conception, fondatrice des sœurs marianistes (✝ 1828)Saint AgathonPape (79 ème) de 678 à 681 (✝ 681)Bienheureuse Anne des AngesPrieure dans l'Ordre de saint Dominique (✝ 1686)Saint AntipasMoine à la skite roumaine de Lakkou (✝ 1882)Saint ArconceEvêque de Viviers (✝ 745)Bienheureux BénincasaAbbé du monastère bénédictin de La Cave (✝ 1194)Saint DométienEvêque de l'Eglise de Mélitène (✝ 602)Bienheureux Egideermite franciscain (✝ 1518)Sainte Floridemartyre à Dijon (✝ v. 180)Bienheureux GonzalveChanoine de Braga (✝ 1259)Saint Grégoire de NysseEvêque de Nysse (✝ 394)Bienheureux Grégoire XPape (182 ème) de 1271 à 1276 (✝ 1276)Saint Jeanévêque de Jérusalem (✝ 417)Sainte Léonie Françoise de Sales Aviatreligieuse fondatrice des Oblates de Saint François de Sales (✝ 1914)Vénérable Leonie Maria Nastalreligieuse mystique polonaise (✝ 1940)Saint MarcienEconome de la Grande Eglise Sainte Sophie (✝ 471)Bienheureuse María Dolores Rodríguez Sopeñafondatrice de l'Institut catéchétique "Dolores Sopeña" (✝ 1918)Saint MaurilleEvêque de Cahors (✝ 580)Saint MiltiadePape (32 ème) de 311 à 314 (✝ 314)Saint NicanorUn des sept premiers diacres (✝ 76)Saint PaulDisciple de saint Serge de Radonège (✝ 1429)Saint Paul l'ErmiteErmite en Thébaïde (✝ 345)Saint PétroneEvêque de Die (✝ 463)Bienheureux Philippe de Bourgesarchevêque (✝ 1260)Saint Pierre OrseoloDoge de Venise (✝ 997)Sainte Séthrideabbesse de Faremoutiers-en-Brie (✝ v. 660)Saint Vaulryermite (✝ v. 620)
Bienheureuse María Dolores Rodríguez Sopeña
fondatrice de l'Institut catéchétique "Dolores Sopeña" (✝ 1918)
"Je suis Yahvé, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Égypte, de la maison de servitude" (Ex 20, 1). La grande révélation du Sinaï nous montre Dieu qui rachète et libère de tout esclavage, portant ensuite ce dessein à sa plénitude dans le mystère rédempteur de son Fils unique, Jésus-Christ. Comment ne pas faire parvenir ce message sublime en particulier à ceux qui ne l'entendent pas dans leur cœur parce qu'ils ignorent l'Évangile?
Dolores Rodríguez Sopeña ressentit cette nécessité et désira répondre au défi d'apporter la rédemption du Christ dans le monde du travail. C'est pourquoi elle se proposa comme objectif "de faire de tous les hommes une seule famille en Jésus-Christ" (Constitutions de 1907).
Cet esprit se concrétisa dans les trois œuvres fondées par la bienheureuse: le Mouvement de Laïcs "Sopeña", l'Institut des Dames catéchistes, appelées aujourd'hui "Catéchistes Sopeña", et l'Œuvre sociale et culturelle "Sopeña". A travers elles, en Espagne et en Amérique latine, se poursuit une spiritualité qui promeut l'édification d'un monde plus juste, en annonçant le message de salut de Jésus-Christ.
(source: homélie du pape Jean-Paul II le 23 mars 2003 pour la béatification de 5 serviteurs de Dieu)
María Dolores Rodríguez Sopeña (1848-1918) biographie site du Vatican
Voir aussi: Obra Social y Cultural Sopeña (en espagnol)
À Madrid, en 1918, la bienheureuse Maria-Dolorès (Maria Rodriguez Sapena), vierge, qui donna un témoignage admirable de charité en allant au plus près des personnes de la plus basse condition dans la société de son temps, surtout dans les faubourgs des grandes villes, et qui suscita l’Institut des Dames catéchistes pour l’annonce de l’Évangile aux pauvres et aux ouvriers, en même temps qu’à leur promotion sociale.
Dolores Rodríguez Sopeña ressentit cette nécessité et désira répondre au défi d'apporter la rédemption du Christ dans le monde du travail. C'est pourquoi elle se proposa comme objectif "de faire de tous les hommes une seule famille en Jésus-Christ" (Constitutions de 1907).
Cet esprit se concrétisa dans les trois œuvres fondées par la bienheureuse: le Mouvement de Laïcs "Sopeña", l'Institut des Dames catéchistes, appelées aujourd'hui "Catéchistes Sopeña", et l'Œuvre sociale et culturelle "Sopeña". A travers elles, en Espagne et en Amérique latine, se poursuit une spiritualité qui promeut l'édification d'un monde plus juste, en annonçant le message de salut de Jésus-Christ.
(source: homélie du pape Jean-Paul II le 23 mars 2003 pour la béatification de 5 serviteurs de Dieu)
María Dolores Rodríguez Sopeña (1848-1918) biographie site du Vatican
Voir aussi: Obra Social y Cultural Sopeña (en espagnol)
À Madrid, en 1918, la bienheureuse Maria-Dolorès (Maria Rodriguez Sapena), vierge, qui donna un témoignage admirable de charité en allant au plus près des personnes de la plus basse condition dans la société de son temps, surtout dans les faubourgs des grandes villes, et qui suscita l’Institut des Dames catéchistes pour l’annonce de l’Évangile aux pauvres et aux ouvriers, en même temps qu’à leur promotion sociale.
Martyrologe romain
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Jeudi 11 Janvier 2018
Fête de Saint Thomas de Cori Placidi, Prêtre o.f.m. († 1729).
Fête de Saint Thomas de Cori Placidi, Prêtre o.f.m. († 1729).
Franciscain italien (✝ 1729)
Confesseur.
Il naquit dans le Latium, en Italie, près de Rome, d'une pauvre famille de paysans.
Confié par ses parents à un chanoine de Cori qui éduquait des élèves, il découvrit la joie de servir le Christ et fut admis chez les franciscains.
Sa bonté et sa fermeté, ainsi que son sens pédagogique, en firent un maître des novices puis l'animateur d'un couvent destiné aux retraites et récollections spirituelles.
Après plusieurs années de ce ministère, ses supérieurs lui demandèrent de devenir prédicateur.
Attaché à la maison de Civitella, il y vécut vingt années de prédication et de solitude, de gardien du couvent et de frère dévoué aux plus humbles tâches.
Ses dernières années le clouèrent dans la souffrance. De la croix, il passa à la joie de la résurrection.
À Bellegra dans le Latium, en 1729, saint Thomas de Cori, prêtre de l’Ordre des Mineurs, admirable par son austérité et sa prédication et remarquable fondateur de retraites.
Martyrologe romain
Confesseur.
Il naquit dans le Latium, en Italie, près de Rome, d'une pauvre famille de paysans.
Confié par ses parents à un chanoine de Cori qui éduquait des élèves, il découvrit la joie de servir le Christ et fut admis chez les franciscains.
Sa bonté et sa fermeté, ainsi que son sens pédagogique, en firent un maître des novices puis l'animateur d'un couvent destiné aux retraites et récollections spirituelles.
Après plusieurs années de ce ministère, ses supérieurs lui demandèrent de devenir prédicateur.
Attaché à la maison de Civitella, il y vécut vingt années de prédication et de solitude, de gardien du couvent et de frère dévoué aux plus humbles tâches.
Ses dernières années le clouèrent dans la souffrance. De la croix, il passa à la joie de la résurrection.
À Bellegra dans le Latium, en 1729, saint Thomas de Cori, prêtre de l’Ordre des Mineurs, admirable par son austérité et sa prédication et remarquable fondateur de retraites.
Martyrologe romain
La lévitation du Bienheureux Thomas de Cori, 18e siècle
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Vendredi 12 Janvier 2018
Fête de Sainte Marguerite Bourgeoys, Fondatrice de la Congrégation des Sœurs de Notre-Dame, « Mère de la Colonie » et Co-Fondatrice de l'Église du Canada (1620-1700).
Fête de Sainte Marguerite Bourgeoys, Fondatrice de la Congrégation des Sœurs de Notre-Dame, « Mère de la Colonie » et Co-Fondatrice de l'Église du Canada (1620-1700).
Le portrait post mortem de Marguerite Bourgeoys est la seule représentation contemporaine de cette femme qui a joué un rôle remarquable dans l'histoire de Montréal au XVIIe siècle.
Peint en 1700 par Pierre Le Ber, l'œuvre est conservée depuis ce temps par la Congrégation de Notre-Dame et est actuellement exposée au Musée Marguerite-Bourgeoys.
Ce portrait a cependant connu de nombreuses retouches entre le XIXe siècle et le début du XXe siècle, à tel point que son aspect s'est transformé complètement.
Sa restauration, en 1963-1964, a permis de redécouvrir à la fois le vrai visage de Marguerite Bourgeoys et l'œuvre authentique de l'un des premiers peintres canadiens.
Peint en 1700 par Pierre Le Ber, l'œuvre est conservée depuis ce temps par la Congrégation de Notre-Dame et est actuellement exposée au Musée Marguerite-Bourgeoys.
Ce portrait a cependant connu de nombreuses retouches entre le XIXe siècle et le début du XXe siècle, à tel point que son aspect s'est transformé complètement.
Sa restauration, en 1963-1964, a permis de redécouvrir à la fois le vrai visage de Marguerite Bourgeoys et l'œuvre authentique de l'un des premiers peintres canadiens.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Samedi 13 Janvier 2018
Fête de Saint Hilaire, Évêque de Poitiers et Docteur de l'Église (v. 310 - 367).
Fête de Saint Hilaire, Évêque de Poitiers et Docteur de l'Église (v. 310 - 367).
Saint Hilaire
Évêque de Poitiers et Docteur de l’Église, Patron secondaire du Diocèse de Luçon.
Mémoire dans le diocèse le 13 Janvier.
Hilaire est né, entre les années 310 et 320, à Poitiers même, d’après saint Jérôme, ou dans la contrée angevine du Layon, d’après d’autres auteurs.
Il a écrit de lui-même qu’il fut élevé dans l’idolâtrie et que, par degrés, Dieu l’amena à la connaissance de la vraie Foi.
Il se fait inscrire parmi les catéchumènes et reçoit le Baptême.
Devenu Évêque de Poitiers vers 350, il aura bientôt à prendre la défense du patriarche d’Alexandrie Athanase et de l’orthodoxie contre les ariens : ce qui lui vaut d’être exilé en Phrygie et lui donne l’occasion d’écrire, entre 356 et 359, ses douze livres sur la Trinité.
Mais les ariens obtiennent de l’empereur qu’il renvoie en Gaule celui qu’ils lui représentent comme un semeur de discorde et un perturbateur de l’Orient.
L’Église des Gaules, écrit saint Jérôme, fait un accueil triomphal à l’Évêque de Poitiers.
C’est à cette époque qu’abandonnant les ouvrages polémiques, il transcrit de sa main un exemplaire des Évangiles et compose ses hymnes et ses commentaires sur les psaumes.
Au dire de Saint Fortunat, Hilaire serait venu libérer l’île de la Dive, près de la pointe de l’Aiguillon, des serpents qui l’infestaient.
Il est probable que son action en Bas-Poitou ne se borna pas à ce miracle et qu’il contribua activement à l’évangélisation de cette partie de son diocèse, dont neuf paroisses portent son nom et vingt-et-une l’ont choisi comme patron.
Décédé à Poitiers le 13 Janvier 368, Hilaire fut inhumé dans l’église des Saints Jean et Paul, aujourd’hui Saint-Hilaire-le-Grand.
Évêque de Poitiers et Docteur de l’Église, Patron secondaire du Diocèse de Luçon.
Mémoire dans le diocèse le 13 Janvier.
Hilaire est né, entre les années 310 et 320, à Poitiers même, d’après saint Jérôme, ou dans la contrée angevine du Layon, d’après d’autres auteurs.
Il a écrit de lui-même qu’il fut élevé dans l’idolâtrie et que, par degrés, Dieu l’amena à la connaissance de la vraie Foi.
Il se fait inscrire parmi les catéchumènes et reçoit le Baptême.
Devenu Évêque de Poitiers vers 350, il aura bientôt à prendre la défense du patriarche d’Alexandrie Athanase et de l’orthodoxie contre les ariens : ce qui lui vaut d’être exilé en Phrygie et lui donne l’occasion d’écrire, entre 356 et 359, ses douze livres sur la Trinité.
Mais les ariens obtiennent de l’empereur qu’il renvoie en Gaule celui qu’ils lui représentent comme un semeur de discorde et un perturbateur de l’Orient.
L’Église des Gaules, écrit saint Jérôme, fait un accueil triomphal à l’Évêque de Poitiers.
C’est à cette époque qu’abandonnant les ouvrages polémiques, il transcrit de sa main un exemplaire des Évangiles et compose ses hymnes et ses commentaires sur les psaumes.
Au dire de Saint Fortunat, Hilaire serait venu libérer l’île de la Dive, près de la pointe de l’Aiguillon, des serpents qui l’infestaient.
Il est probable que son action en Bas-Poitou ne se borna pas à ce miracle et qu’il contribua activement à l’évangélisation de cette partie de son diocèse, dont neuf paroisses portent son nom et vingt-et-une l’ont choisi comme patron.
Décédé à Poitiers le 13 Janvier 368, Hilaire fut inhumé dans l’église des Saints Jean et Paul, aujourd’hui Saint-Hilaire-le-Grand.
Évêque de Poitiers, Docteur de l'Église (+ 367).
Né dans une noble et riche famille païenne d'Aquitaine, ce jeune homme était doué pour les études, mais la question du sens de la vie le tourmentait.
Où se trouve le bonheur pour l'homme?
A quoi sert d'exister si l'on doit mourir? Y a-t-il un dieu?
Déçu dans ses lectures, il découvre un jour ce passage de la Bible "Je suis celui qui est" et s'enthousiasme.
Mais la mort reste une idée insupportable.
Il trouvera le plein rassasiement de sa faim spirituelle dans l'Évangile de saint Jean,https://nominis.cef.fr/contenus/saint/321/Saint-Jean-l-Evangeliste.html l'évangile de l'Incarnation et de la Résurrection.
A trente ans, il demande le Baptême.
Son envergure le désigne à l'attention des fidèles.
Il est élu Évêque de Poitiers, rencontre saint Athanase d'Alexandrie, alors en exil en Gaule à cause de l'hérésie arienne.
Combattant à son tour cette hérésie, il est exilé en Phrygie (*) et découvre la théologie grecque.
De retour en Gaule, il fera triompher à la fois l'orthodoxie et la Paix religieuse.
En accueillant saint Martin, pour fonder le Monastère de Ligugé, il favorisa l'instauration du monachisme en Gaule.
Dans son magistral "Traité sur la Trinité", il a le premier fait entrer, dans la langue latine, les subtilités et les délicatesse de la langue grecque.
De tous les Pères Latins, il est celui dont la pensée est la plus proche des Pères Grecs.
(*) d'où est originaire Sainte Florencehttps://nominis.cef.fr/contenus/saints/340/Sainte-Florence.html qu'il avait convertie et qui le suivit à son retour.
Hilaire fut, au milieu du IVe siècle, le premier Évêque de Poitiers connu avec certitude et l'un des grands auteurs Chrétiens.
Exilé pour avoir défendu la Foi Trinitaire dans une Gaule acquise à l'arianisme, il rédige son ouvrage le plus connu, le De Trinitate, et revient d'Orient pour finir ses jours à Poitiers en 367 ou 368. (diocèse de Poitiers- quelques saints du Poitou et d'ailleurs)http://www.poitiers.catholique.fr/
A l'occasion de l'audience générale, le 10 octobre 2007 Place Saint Pierre devant 23.000 personnes, Benoît XVI a évoqué la grande figure du docteur de l'Eglise, Hilaire de Poitiers.
Probablement né païen en 310, dans une famille aristocratique locale, il se convertit à l'issue d'un processus de recherche de la vérité.
Elu Évêque de sa ville natale en 353, il s'opposa à l'arianisme qui niait la nature Divine de Jésus-Christ, ce qui lui valut trois ans plus tard d'être exilé en Phrygie sur ordre de l'empereur Constance.
Ce dernier avait embrassé les décisions du synode de Béziers majoritairement composé d'ariens. L'empereur étant mort, Hilaire put rentrer à Poitiers en 361, où il mourut six ans plus tard.
Dans son œuvre principale, De Trinitate, Hilaire expose son "cheminement personnel vers la connaissance de Dieu et démontre que l'Écriture atteste avec clarté la Divinité du Fils, sa ressemblance au Père dans l'Évangile comme dans l'Ancien Testament qui dévoile le mystère du Christ".
Le Saint-Père a ensuite rappelé que le saint Évêque "a développé sa théologie Trinitaire à partir de la formule Baptismale même donnée par Le Père: au nom du Père, du Fils et de L'Esprit".
Saint Hilaire offre aussi des règles de lecture de l'Évangile, écrivant aussi, a précisé le Pape, que "certaines pages de l'Écriture annoncent Jésus comme étant Dieu, tandis que d'autres soulignent son humanité...
Des passages montrent sa préexistence aux côtés du Père..., rapportent son incarnation et jusqu'à sa mort...et sa Résurrection".
"Malgré sa ferme opposition aux ariens -a précisé le Pape- Hilaire était conciliant avec ceux qui acceptaient de confesser que Le Fils était à l'image du Père en essence, tout en s'efforçant de les ramener à la Foi véritable: non seulement ressemblance mais égalité...dans la nature Divine".
"Dans un esprit de conciliation -a-t-il ajouté- il cherchait à comprendre
ceux qui ne parvenaient pas" à la vérité, "et il les aidait avec patience et intelligence théologique à atteindre la Foi authentique en la Divinité de Jésus".
"Étant tout Amour, Dieu est en mesure de communiquer sa pleine Divinité au Fils", a conclu Benoît XVI.
"En assumant la nature humaine, le Fils s'est uni à tout homme... ce pour quoi la voie vers Le Christ est ouverte à chacun de nous... s'il y a conversion personnelle".
La première évangélisation fut l’œuvre de St Hilaire (+ 368), Évêque de Poitiers, et de St Philbert https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1708/Saint-Philibert-ou-Philbert.htmlde Noirmoutier (+ 685), Fondateur de monastères. St Louis-Marie Grignion de Montfort (1673-1716)https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1049/Saint-Louis-Marie-Grignion-de-Montfort.html fut le missionnaire des campagnes et fonda une famille religieuse importante et diversifiée. (diocèse de Luçon en Vendée)http://vendee.catholique.fr/
Saint Hilaire, Évêque de Poitiers, mort en 368, que l’Église de Luçon considère comme son premier apôtre...
(liste des Saints et Bienheureux du Diocèse de Luçon)http://mouvements.catho85.org/spip.php?article208&decoupe_recherche=saints
Mémoire de Saint Hilaire, Évêque et Docteur de l’Église. Élevé au siège épiscopal de Poitiers sous l’empereur Constance attaché à l’hérésie arienne, il défendit courageusement par ses écrits la Foi de Nicée sur la Trinité et la Divinité du Christ, ce qui lui valut d’être exilé quatre ans en Phrygie.
Il composa également des commentaires célèbres sur les psaumes et sur l'Évangile de Matthieu et mourut en 368.
Martyrologe romain
Je t’en prie, conserve intacte la ferveur de ma Foi et jusqu’à mon dernier souffle donne-moi de conformer ma voix à ma conviction profonde.
Oui, que je garde toujours ce que j’ai affirmé dans le symbole proclamé lors de ma nouvelle naissance, lorsque j’ai été Baptisé dans Le Père, Le Fils et L’Esprit Saint !
Saint Hilaire - Traité de la Trinité III, 57.
Pour approfondir, lire la Catéchèse du Pape Benoît XVI
http://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/audiences/2007/documents/hf_ben-xvi_aud_20071010.html
Né dans une noble et riche famille païenne d'Aquitaine, ce jeune homme était doué pour les études, mais la question du sens de la vie le tourmentait.
Où se trouve le bonheur pour l'homme?
A quoi sert d'exister si l'on doit mourir? Y a-t-il un dieu?
Déçu dans ses lectures, il découvre un jour ce passage de la Bible "Je suis celui qui est" et s'enthousiasme.
Mais la mort reste une idée insupportable.
Il trouvera le plein rassasiement de sa faim spirituelle dans l'Évangile de saint Jean,https://nominis.cef.fr/contenus/saint/321/Saint-Jean-l-Evangeliste.html l'évangile de l'Incarnation et de la Résurrection.
A trente ans, il demande le Baptême.
Son envergure le désigne à l'attention des fidèles.
Il est élu Évêque de Poitiers, rencontre saint Athanase d'Alexandrie, alors en exil en Gaule à cause de l'hérésie arienne.
Combattant à son tour cette hérésie, il est exilé en Phrygie (*) et découvre la théologie grecque.
De retour en Gaule, il fera triompher à la fois l'orthodoxie et la Paix religieuse.
En accueillant saint Martin, pour fonder le Monastère de Ligugé, il favorisa l'instauration du monachisme en Gaule.
Dans son magistral "Traité sur la Trinité", il a le premier fait entrer, dans la langue latine, les subtilités et les délicatesse de la langue grecque.
De tous les Pères Latins, il est celui dont la pensée est la plus proche des Pères Grecs.
(*) d'où est originaire Sainte Florencehttps://nominis.cef.fr/contenus/saints/340/Sainte-Florence.html qu'il avait convertie et qui le suivit à son retour.
Hilaire fut, au milieu du IVe siècle, le premier Évêque de Poitiers connu avec certitude et l'un des grands auteurs Chrétiens.
Exilé pour avoir défendu la Foi Trinitaire dans une Gaule acquise à l'arianisme, il rédige son ouvrage le plus connu, le De Trinitate, et revient d'Orient pour finir ses jours à Poitiers en 367 ou 368. (diocèse de Poitiers- quelques saints du Poitou et d'ailleurs)http://www.poitiers.catholique.fr/
A l'occasion de l'audience générale, le 10 octobre 2007 Place Saint Pierre devant 23.000 personnes, Benoît XVI a évoqué la grande figure du docteur de l'Eglise, Hilaire de Poitiers.
Probablement né païen en 310, dans une famille aristocratique locale, il se convertit à l'issue d'un processus de recherche de la vérité.
Elu Évêque de sa ville natale en 353, il s'opposa à l'arianisme qui niait la nature Divine de Jésus-Christ, ce qui lui valut trois ans plus tard d'être exilé en Phrygie sur ordre de l'empereur Constance.
Ce dernier avait embrassé les décisions du synode de Béziers majoritairement composé d'ariens. L'empereur étant mort, Hilaire put rentrer à Poitiers en 361, où il mourut six ans plus tard.
Dans son œuvre principale, De Trinitate, Hilaire expose son "cheminement personnel vers la connaissance de Dieu et démontre que l'Écriture atteste avec clarté la Divinité du Fils, sa ressemblance au Père dans l'Évangile comme dans l'Ancien Testament qui dévoile le mystère du Christ".
Le Saint-Père a ensuite rappelé que le saint Évêque "a développé sa théologie Trinitaire à partir de la formule Baptismale même donnée par Le Père: au nom du Père, du Fils et de L'Esprit".
Saint Hilaire offre aussi des règles de lecture de l'Évangile, écrivant aussi, a précisé le Pape, que "certaines pages de l'Écriture annoncent Jésus comme étant Dieu, tandis que d'autres soulignent son humanité...
Des passages montrent sa préexistence aux côtés du Père..., rapportent son incarnation et jusqu'à sa mort...et sa Résurrection".
"Malgré sa ferme opposition aux ariens -a précisé le Pape- Hilaire était conciliant avec ceux qui acceptaient de confesser que Le Fils était à l'image du Père en essence, tout en s'efforçant de les ramener à la Foi véritable: non seulement ressemblance mais égalité...dans la nature Divine".
"Dans un esprit de conciliation -a-t-il ajouté- il cherchait à comprendre
ceux qui ne parvenaient pas" à la vérité, "et il les aidait avec patience et intelligence théologique à atteindre la Foi authentique en la Divinité de Jésus".
"Étant tout Amour, Dieu est en mesure de communiquer sa pleine Divinité au Fils", a conclu Benoît XVI.
"En assumant la nature humaine, le Fils s'est uni à tout homme... ce pour quoi la voie vers Le Christ est ouverte à chacun de nous... s'il y a conversion personnelle".
La première évangélisation fut l’œuvre de St Hilaire (+ 368), Évêque de Poitiers, et de St Philbert https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1708/Saint-Philibert-ou-Philbert.htmlde Noirmoutier (+ 685), Fondateur de monastères. St Louis-Marie Grignion de Montfort (1673-1716)https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1049/Saint-Louis-Marie-Grignion-de-Montfort.html fut le missionnaire des campagnes et fonda une famille religieuse importante et diversifiée. (diocèse de Luçon en Vendée)http://vendee.catholique.fr/
Saint Hilaire, Évêque de Poitiers, mort en 368, que l’Église de Luçon considère comme son premier apôtre...
(liste des Saints et Bienheureux du Diocèse de Luçon)http://mouvements.catho85.org/spip.php?article208&decoupe_recherche=saints
Mémoire de Saint Hilaire, Évêque et Docteur de l’Église. Élevé au siège épiscopal de Poitiers sous l’empereur Constance attaché à l’hérésie arienne, il défendit courageusement par ses écrits la Foi de Nicée sur la Trinité et la Divinité du Christ, ce qui lui valut d’être exilé quatre ans en Phrygie.
Il composa également des commentaires célèbres sur les psaumes et sur l'Évangile de Matthieu et mourut en 368.
Martyrologe romain
Je t’en prie, conserve intacte la ferveur de ma Foi et jusqu’à mon dernier souffle donne-moi de conformer ma voix à ma conviction profonde.
Oui, que je garde toujours ce que j’ai affirmé dans le symbole proclamé lors de ma nouvelle naissance, lorsque j’ai été Baptisé dans Le Père, Le Fils et L’Esprit Saint !
Saint Hilaire - Traité de la Trinité III, 57.
Pour approfondir, lire la Catéchèse du Pape Benoît XVI
http://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/audiences/2007/documents/hf_ben-xvi_aud_20071010.html
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Dimanche 14 Janvier 2018
Fête de la Vénérable Anne de Guigné (1911-1922).
Fête de la Vénérable Anne de Guigné (1911-1922).
Anne de Guigné est une enfant née au début du XXe siècle qui, après avoir vécu onze ans seulement, a laissé derrière elle une étonnante réputation de sainteté (biographie sur le site 'Anne de Guigné').https://www.annedeguigne.fr/fr/biographie/grande-ame.html
Elle a été déclarée Vénérable par Jean-Paul II le 3 Mars 1990.
"Pour parler d’elle, il n’y a pas à raconter une longue suite d’événements.
Il suffit de dire que cette fillette, née à Annecy en 1911, est morte à Cannes en 1922.
Il faut ajouter cependant qu’elle s’est convertie à 4 ans!..."
Entretien avec le Père Guilmard, vice-président d’«Enfance et Sainteté» et Moine de Solesmes à l'occasion du centenaire de sa naissance.https://www.annedeguigne.fr/fr/evenements2/centenaire-naissance-anne/14-entretien-avec-le-pere-guilmard.html
"Pourvu que Jésus soit content".
Elle a été déclarée Vénérable par Jean-Paul II le 3 Mars 1990.
"Pour parler d’elle, il n’y a pas à raconter une longue suite d’événements.
Il suffit de dire que cette fillette, née à Annecy en 1911, est morte à Cannes en 1922.
Il faut ajouter cependant qu’elle s’est convertie à 4 ans!..."
Entretien avec le Père Guilmard, vice-président d’«Enfance et Sainteté» et Moine de Solesmes à l'occasion du centenaire de sa naissance.https://www.annedeguigne.fr/fr/evenements2/centenaire-naissance-anne/14-entretien-avec-le-pere-guilmard.html
"Pourvu que Jésus soit content".
La mort de son père, tombé à la tête de ses chasseurs en 1915, fut, à quatre ans, le principe de sa « conversion ».
Cette enfant, d'intelligence vive, de volonté ardente, facilement violente et jalouse, difficilement soumise, acquit rapidement une douceur et une abnégation peu ordinaires.
Elle fit sa Première Communion à 6 ans. Mais son jeune âge exigeait une dispense.
L'Évêque lui imposa donc un "examen" qu'elle franchira avec une facilité déconcertante.
« Je souhaite que nous soyons toujours au niveau d’instruction religieuse de cet enfant-là » dira l’examinateur.
Extérieurement, ce fut la plus simple et la plus aimable des enfants : effacée et modeste, toute à ses petits devoirs et à ses jeux.
D'après son institutrice, Melle Basset, elle voulait sans cesse s'améliorer :
« Rien d’extraordinaire dans sa vie, si ce n’est sa persévérance à devenir bonne. Le secret de sa montée spirituelle : prière et volonté. »
Son humilité, sa douceur, son obéissance, son amour du sacrifice, sa permanente charité étonnèrent ses contemporains.
Sa manière de Communier remuait les cœurs et plusieurs fois on la vit comme transfigurée.
Ses pensées révélaient aussi sa sainteté.
Sa pureté était rayonnante et sa bonté sans limites.
Elle mourut d'une méningite, à l’aube du 14 Janvier 1922 après ce dernier échange avec la Religieuse qui la veille :
« Ma Sœur, puis-je aller avec les anges ? »
« Oui, ma belle petite fille »
« Merci, ma Sœur, ô merci ! ».
Cette enfant, d'intelligence vive, de volonté ardente, facilement violente et jalouse, difficilement soumise, acquit rapidement une douceur et une abnégation peu ordinaires.
Elle fit sa Première Communion à 6 ans. Mais son jeune âge exigeait une dispense.
L'Évêque lui imposa donc un "examen" qu'elle franchira avec une facilité déconcertante.
« Je souhaite que nous soyons toujours au niveau d’instruction religieuse de cet enfant-là » dira l’examinateur.
Extérieurement, ce fut la plus simple et la plus aimable des enfants : effacée et modeste, toute à ses petits devoirs et à ses jeux.
D'après son institutrice, Melle Basset, elle voulait sans cesse s'améliorer :
« Rien d’extraordinaire dans sa vie, si ce n’est sa persévérance à devenir bonne. Le secret de sa montée spirituelle : prière et volonté. »
Son humilité, sa douceur, son obéissance, son amour du sacrifice, sa permanente charité étonnèrent ses contemporains.
Sa manière de Communier remuait les cœurs et plusieurs fois on la vit comme transfigurée.
Ses pensées révélaient aussi sa sainteté.
Sa pureté était rayonnante et sa bonté sans limites.
Elle mourut d'une méningite, à l’aube du 14 Janvier 1922 après ce dernier échange avec la Religieuse qui la veille :
« Ma Sœur, puis-je aller avec les anges ? »
« Oui, ma belle petite fille »
« Merci, ma Sœur, ô merci ! ».
Une très grande âme
pour une toute petite fille
En 1915, un an après le début de la guerre, alors que les combats s’enlisent dans les tranchées, toutes les familles de France savent qu’une visite d’officiers d’état civil dans un foyer signifie l’annonce d’une mort au champ d’honneur.
Aussi lorsque le 29 Juillet 1915, Madame de Guigné voit le Maire d’Annecy-le-Vieux venir frapper à la porte de sa demeure, elle comprend que son mari, déjà blessé à trois reprises, ne reviendra plus.
« Anne, si tu veux me consoler, il faut être bonne » dit sa mère à sa fille âgée tout juste de quatre ans et aînée de ses quatre enfants.
À partir de cet instant, l’enfant jusqu’alors volontiers désobéissante, orgueilleuse et jalouse, va mener, avec acharnement et continuité, un combat de tous les instants pour devenir bonne, combat de sa transformation intérieure qu’elle gagnera grâce à sa volonté certes, mais surtout – et c’est elle qui nous le dit – par la Prière et les sacrifices qu’elle s’impose.
On la voit devenir rouge et serrer ses petits poings pour maîtriser son caractère devant les contrariétés qu’elle rencontre ; puis, petit à petit, les crises s’espacent et son entourage a bientôt l’impression que tout lui est agréable.
Son amour pour sa mère qu’elle veut consoler va ainsi devenir son chemin vers son Dieu.
Ce chemin est balisé par les nombreuses réflexions d’Anne qui nous montrent l’intensité de sa vie spirituelle, et par la multitude de témoignages de son entourage rapportant les efforts continuels qu’elle faisait pour progresser dans sa conversion.
Pour Anne de Guigné, le phare qui éclaire son chemin de conversion est sa première Communion à laquelle elle aspire de tout son être et de toute son âme et qu’elle prépare avec joie.
Le moment venu, son jeune âge nécessitant une dispense, l’Évêque lui imposera un examen qu’elle franchira avec une facilité déconcertante.
« Je souhaite que nous soyons toujours au niveau d’instruction religieuse de cette enfant-là » dira l’examinateur.
La suite de sa courte vie traduit la paix d’un grand bonheur intime alimenté par l’Amour de son Dieu qui s’applique, au fur et à mesure qu’elle grandit, à un cercle de personnes de plus en plus vaste : ses parents, sa famille, son entourage, les malades, les pauvres, les incroyants.
Elle vit, elle prie, elle souffre pour les autres. Atteinte très tôt de rhumatismes, elle sait ce qu’est la souffrance et y répond par une offrande :
« Jésus, je vous l’offre » ou encore : « Oh ! Non, je ne souffre pas ; j’apprends à souffrir ».
Mais en Décembre 1921, elle est frappée d’une maladie cérébrale – sans doute une méningite – qui la force à s’aliter.
Elle répète sans cesse :
« Mon Dieu, je veux tout ce que vous voulez » et ajoute systématiquement aux Prières qui sont faites pour son rétablissement :
« et guérissez aussi les autres malades ».
Cette petite fille est une “Sainte”, tel est alors le verdict général.
Les témoignages affluent, des articles paraissent et l’Évêque d’Annecy ouvre en 1932 le procès de Béatification.
Mais l’Église n’avait encore jamais eu à juger de la sainteté d’une enfant qui ne fut pas martyre.
Les études menées à Rome sur la possibilité de l’héroïcité des vertus de l’enfance furent conclues positivement en 1981 et le 3 Mars 1990, le décret reconnaissant l’héroïcité des vertus d’Anne de Guigné et la proclamant “Vénérable” était signé par le Pape Saint Jean-Paul II.
pour une toute petite fille
En 1915, un an après le début de la guerre, alors que les combats s’enlisent dans les tranchées, toutes les familles de France savent qu’une visite d’officiers d’état civil dans un foyer signifie l’annonce d’une mort au champ d’honneur.
Aussi lorsque le 29 Juillet 1915, Madame de Guigné voit le Maire d’Annecy-le-Vieux venir frapper à la porte de sa demeure, elle comprend que son mari, déjà blessé à trois reprises, ne reviendra plus.
« Anne, si tu veux me consoler, il faut être bonne » dit sa mère à sa fille âgée tout juste de quatre ans et aînée de ses quatre enfants.
À partir de cet instant, l’enfant jusqu’alors volontiers désobéissante, orgueilleuse et jalouse, va mener, avec acharnement et continuité, un combat de tous les instants pour devenir bonne, combat de sa transformation intérieure qu’elle gagnera grâce à sa volonté certes, mais surtout – et c’est elle qui nous le dit – par la Prière et les sacrifices qu’elle s’impose.
On la voit devenir rouge et serrer ses petits poings pour maîtriser son caractère devant les contrariétés qu’elle rencontre ; puis, petit à petit, les crises s’espacent et son entourage a bientôt l’impression que tout lui est agréable.
Son amour pour sa mère qu’elle veut consoler va ainsi devenir son chemin vers son Dieu.
Ce chemin est balisé par les nombreuses réflexions d’Anne qui nous montrent l’intensité de sa vie spirituelle, et par la multitude de témoignages de son entourage rapportant les efforts continuels qu’elle faisait pour progresser dans sa conversion.
Pour Anne de Guigné, le phare qui éclaire son chemin de conversion est sa première Communion à laquelle elle aspire de tout son être et de toute son âme et qu’elle prépare avec joie.
Le moment venu, son jeune âge nécessitant une dispense, l’Évêque lui imposera un examen qu’elle franchira avec une facilité déconcertante.
« Je souhaite que nous soyons toujours au niveau d’instruction religieuse de cette enfant-là » dira l’examinateur.
La suite de sa courte vie traduit la paix d’un grand bonheur intime alimenté par l’Amour de son Dieu qui s’applique, au fur et à mesure qu’elle grandit, à un cercle de personnes de plus en plus vaste : ses parents, sa famille, son entourage, les malades, les pauvres, les incroyants.
Elle vit, elle prie, elle souffre pour les autres. Atteinte très tôt de rhumatismes, elle sait ce qu’est la souffrance et y répond par une offrande :
« Jésus, je vous l’offre » ou encore : « Oh ! Non, je ne souffre pas ; j’apprends à souffrir ».
Mais en Décembre 1921, elle est frappée d’une maladie cérébrale – sans doute une méningite – qui la force à s’aliter.
Elle répète sans cesse :
« Mon Dieu, je veux tout ce que vous voulez » et ajoute systématiquement aux Prières qui sont faites pour son rétablissement :
« et guérissez aussi les autres malades ».
Cette petite fille est une “Sainte”, tel est alors le verdict général.
Les témoignages affluent, des articles paraissent et l’Évêque d’Annecy ouvre en 1932 le procès de Béatification.
Mais l’Église n’avait encore jamais eu à juger de la sainteté d’une enfant qui ne fut pas martyre.
Les études menées à Rome sur la possibilité de l’héroïcité des vertus de l’enfance furent conclues positivement en 1981 et le 3 Mars 1990, le décret reconnaissant l’héroïcité des vertus d’Anne de Guigné et la proclamant “Vénérable” était signé par le Pape Saint Jean-Paul II.
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Lundi 15 Janvier 2018
Fête de Saint Rémi, Archevêque de Reims, apôtre des Francs, Co-Patron secondaire de la France (438-533).
Fête de Saint Rémi, Archevêque de Reims, apôtre des Francs, Co-Patron secondaire de la France (438-533).
Saint Remi
Évêque de Reims (✝ 530)
Au propre de France, Rémi est fêté le 15 Janvier (dies natalis).
Au propre du diocèse de Reims, il est fêté le 1er Octobre, jour de la "translation" des reliques pour y être vénéré par les rémois à l'emplacement où s'élèvera l'actuelle Basilique (attesté dès 585 - installation d'un Monastère vers 750-760).
Issu d'une grande famille gallo-romaine de la région de Laon, il avait pour mère sainte Céline.https://nominis.cef.fr/contenus/saint/2050/Sainte-Celine.html
A 22 ans, il est choisi comme Évêque de Reims et son activité missionnaire s'étend jusqu'à la Belgique.
Il fonde les diocèses de Thérouanne, Laon et Arras, crée tout un réseau d'assistance pour les pauvres et joue un rôle de médiateur auprès des Barbares.
Quand le chef franc Clovis prend le pouvoir, Saint Rémi lui envoie un message "Soulage tes concitoyens, secours les affligés, protège les veuves, nourris les orphelins."
La reine sainte Clotilde,https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1268/Sainte-Clotilde.html tout naturellement, se tournera vers Saint Rémi et vers un autre Évêque contemporain, saint Vaast, https://nominis.cef.fr/contenus/saint/2123/Saint-Gaston.htmlpour acheminer le roi vers la Foi.
Après le Baptême de Reims, Saint Rémi restera, jusqu'à sa mort, l'un des conseillers écoutés du roi et sera l'un des artisans, en Gaule, du retour à la vérité Catholique des Burgondes après le bataille de Dijon et des Wisigoths à Vouillé, deux populations contaminées par l'arianisme.
Voir aussi sur le site du diocèse de Reims.http://www.catholique-reims.fr/diocese/le-diocese/histoire-du-diocese/
Au 13 Janvier au martyrologe romain:
À Reims, vers 530, la naissance au Ciel de Saint Remi, Évêque, qui, après avoir lavé le roi Clovis dans la fontaine baptismale et l’avoir initié aux Sacrements de la Foi, il convertit au Christ le peuple des Francs.
Il quitta cette vie, célèbre par sa sainteté après plus de soixante ans d’épiscopat. (En France, sa mémoire est célébrée le 15, jour de sa mise au tombeau.).
Martyrologe romain.
Secourez les malheureux, protégez les veuves, nourrissez les orphelins…
Que votre tribunal reste ouvert à tous et que personne n’en sorte triste !
Toutes les richesses de vos ancêtres, vous les emploierez à la libération des captifs et au rachat des esclaves.
Admis en votre palais, que nul ne s’y sente étranger !
Plaisantez avec les jeunes, délibérez avec les vieillards !
Lettre de Saint Rémi au roi Clovis - 482.
Évêque de Reims (✝ 530)
Au propre de France, Rémi est fêté le 15 Janvier (dies natalis).
Au propre du diocèse de Reims, il est fêté le 1er Octobre, jour de la "translation" des reliques pour y être vénéré par les rémois à l'emplacement où s'élèvera l'actuelle Basilique (attesté dès 585 - installation d'un Monastère vers 750-760).
Issu d'une grande famille gallo-romaine de la région de Laon, il avait pour mère sainte Céline.https://nominis.cef.fr/contenus/saint/2050/Sainte-Celine.html
A 22 ans, il est choisi comme Évêque de Reims et son activité missionnaire s'étend jusqu'à la Belgique.
Il fonde les diocèses de Thérouanne, Laon et Arras, crée tout un réseau d'assistance pour les pauvres et joue un rôle de médiateur auprès des Barbares.
Quand le chef franc Clovis prend le pouvoir, Saint Rémi lui envoie un message "Soulage tes concitoyens, secours les affligés, protège les veuves, nourris les orphelins."
La reine sainte Clotilde,https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1268/Sainte-Clotilde.html tout naturellement, se tournera vers Saint Rémi et vers un autre Évêque contemporain, saint Vaast, https://nominis.cef.fr/contenus/saint/2123/Saint-Gaston.htmlpour acheminer le roi vers la Foi.
Après le Baptême de Reims, Saint Rémi restera, jusqu'à sa mort, l'un des conseillers écoutés du roi et sera l'un des artisans, en Gaule, du retour à la vérité Catholique des Burgondes après le bataille de Dijon et des Wisigoths à Vouillé, deux populations contaminées par l'arianisme.
Voir aussi sur le site du diocèse de Reims.http://www.catholique-reims.fr/diocese/le-diocese/histoire-du-diocese/
Au 13 Janvier au martyrologe romain:
À Reims, vers 530, la naissance au Ciel de Saint Remi, Évêque, qui, après avoir lavé le roi Clovis dans la fontaine baptismale et l’avoir initié aux Sacrements de la Foi, il convertit au Christ le peuple des Francs.
Il quitta cette vie, célèbre par sa sainteté après plus de soixante ans d’épiscopat. (En France, sa mémoire est célébrée le 15, jour de sa mise au tombeau.).
Martyrologe romain.
Secourez les malheureux, protégez les veuves, nourrissez les orphelins…
Que votre tribunal reste ouvert à tous et que personne n’en sorte triste !
Toutes les richesses de vos ancêtres, vous les emploierez à la libération des captifs et au rachat des esclaves.
Admis en votre palais, que nul ne s’y sente étranger !
Plaisantez avec les jeunes, délibérez avec les vieillards !
Lettre de Saint Rémi au roi Clovis - 482.
Tombeau de Saint Remi dans la Basilique Saint Remi à Reims (Marne - Champagne-Ardennes).
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Mardi 16 Janvier 2018
Fête de Saint Honorat, Fondateur et Abbé de Lérins puis Évêque d'Arles (+ 430).
Fête de Saint Honorat, Fondateur et Abbé de Lérins puis Évêque d'Arles (+ 430).
Saint Honorat
Abbé de Lérins et Évêque d'Arles (✝ 430)
Originaires d'une noble famille gallo-romaine, Honorat et son frère Venance reçurent le Baptême dès leur jeunesse.
Saisis par le désir de perfection, ils cherchèrent à gagner l'Orient, patrie des Moines.
Ils s'embarquent alors pour la Grèce avec un troisième compagnon, épris lui aussi de vie Monastique.
En Grèce, Venance tombe malade et meurt.
Honorat regagne l'Occident avec son compagnon, mais l'appel de la solitude ne les a pas fait se quitter.
L'Évêque de Fréjus, Léonce, leur fait don d'une île de l'archipel de Lérins au large de Cannes, alors déserte.
Les deux solitaires en chassent démons et serpents et, grâce aux disciples venus du continent, l'île se peuple de Moines organisés en une Communauté Cénobitique fort souple, sous la direction d'Honorat.
Ce Monastère deviendra l'un des grands centres spirituels de la région.
Actuellement, le Monastère est encore habité par des Moines Cisterciens.
La Règle de Saint Honorat, qui insiste sur la stabilité du Moine, servira de modèle à d'autres et fera l'admiration de Jean Cassien.https://nominis.cef.fr/contenus/saint/7675/Saint-Jean-Cassien.html
En 426, Saint Honorat quitte son île pour devenir Évêque d'Arles.
Dans ce diocèse déchiré par les divisions, il rétablit la concorde et rend à l'Église d'Arles rigueur, vigueur et sainteté.
C’est au début du cinquième siècle que St Honorat trouve, en se fixant à Lérina, le désert qu’il désirait et qui va rapidement devenir l’un des centres les plus rayonnant du monachisme occidental à ses débuts... http://www.abbayedelerins.com/site/index.php/fr/
En 427, Saint Honorat, Fondateur de Lérins, est Évêque d'Arles. (Diocèse d'Aix et Arles - Une histoire)http://www.catho-aixarles.fr/notre-diocese/
... La Communauté que fonde Honorat est à l’image de l'Église naissante, forte d’une Foi missionnaire qui bouleversera le monde romain. L’Abbaye de Lérins est une source de Saints et d’Évêques.
(Histoire des saints de Provence - diocèse de Fréjus-Toulon)http://diocese-frejus-toulon.com/-Histoire-des-saints-de-Provence-.html
A lire aussi
- Saint Honorat, fondateur de Lérins et évêque d'Arles, la France Orthodoxe.http://la-france-orthodoxe.net/
À Arles en Provence, l’an 430, Saint Honorat, Évêque, qui fonda sur l’île de Lérins un Monastère très célèbre et reçut ensuite le gouvernement de l’Église d’Arles.
Martyrologe romain
Vivez de telle sorte que la fin de la vie, - on l’appelle la mort –, ne vous effraie pas.
Le trépas serait-il une peine lorsqu’il ne conduit pas aux supplices de l’Enfer ?
Saint Honorat à ses Moines
Abbé de Lérins et Évêque d'Arles (✝ 430)
Originaires d'une noble famille gallo-romaine, Honorat et son frère Venance reçurent le Baptême dès leur jeunesse.
Saisis par le désir de perfection, ils cherchèrent à gagner l'Orient, patrie des Moines.
Ils s'embarquent alors pour la Grèce avec un troisième compagnon, épris lui aussi de vie Monastique.
En Grèce, Venance tombe malade et meurt.
Honorat regagne l'Occident avec son compagnon, mais l'appel de la solitude ne les a pas fait se quitter.
L'Évêque de Fréjus, Léonce, leur fait don d'une île de l'archipel de Lérins au large de Cannes, alors déserte.
Les deux solitaires en chassent démons et serpents et, grâce aux disciples venus du continent, l'île se peuple de Moines organisés en une Communauté Cénobitique fort souple, sous la direction d'Honorat.
Ce Monastère deviendra l'un des grands centres spirituels de la région.
Actuellement, le Monastère est encore habité par des Moines Cisterciens.
La Règle de Saint Honorat, qui insiste sur la stabilité du Moine, servira de modèle à d'autres et fera l'admiration de Jean Cassien.https://nominis.cef.fr/contenus/saint/7675/Saint-Jean-Cassien.html
En 426, Saint Honorat quitte son île pour devenir Évêque d'Arles.
Dans ce diocèse déchiré par les divisions, il rétablit la concorde et rend à l'Église d'Arles rigueur, vigueur et sainteté.
C’est au début du cinquième siècle que St Honorat trouve, en se fixant à Lérina, le désert qu’il désirait et qui va rapidement devenir l’un des centres les plus rayonnant du monachisme occidental à ses débuts... http://www.abbayedelerins.com/site/index.php/fr/
En 427, Saint Honorat, Fondateur de Lérins, est Évêque d'Arles. (Diocèse d'Aix et Arles - Une histoire)http://www.catho-aixarles.fr/notre-diocese/
... La Communauté que fonde Honorat est à l’image de l'Église naissante, forte d’une Foi missionnaire qui bouleversera le monde romain. L’Abbaye de Lérins est une source de Saints et d’Évêques.
(Histoire des saints de Provence - diocèse de Fréjus-Toulon)http://diocese-frejus-toulon.com/-Histoire-des-saints-de-Provence-.html
A lire aussi
- Saint Honorat, fondateur de Lérins et évêque d'Arles, la France Orthodoxe.http://la-france-orthodoxe.net/
À Arles en Provence, l’an 430, Saint Honorat, Évêque, qui fonda sur l’île de Lérins un Monastère très célèbre et reçut ensuite le gouvernement de l’Église d’Arles.
Martyrologe romain
Vivez de telle sorte que la fin de la vie, - on l’appelle la mort –, ne vous effraie pas.
Le trépas serait-il une peine lorsqu’il ne conduit pas aux supplices de l’Enfer ?
Saint Honorat à ses Moines
Pour un approfondissement biographique
Saint Honorat, Fondateur de Lérins et Évêque d'Arleshttp://www.orthodoxa.org/FR/orthodoxie/synaxaire/stHonorat.htm
Saint Honorat, Fondateur et Abbé de Lérins puis Évêque d'Arleshttps://fr.wikipedia.org/wiki/Honorat_d%27Arles
Saint Honorat, Fondateur de Lérins et Évêque d'Arleshttp://www.orthodoxa.org/FR/orthodoxie/synaxaire/stHonorat.htm
Saint Honorat, Fondateur et Abbé de Lérins puis Évêque d'Arleshttps://fr.wikipedia.org/wiki/Honorat_d%27Arles
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: ✟Les Saints - Les Saintes du Jour✟
Mercredi 17 Janvier 2018
Fête de Saint Antoine le Grand, Ermite en Égypte (251-356)
Fête de Saint Antoine le Grand, Ermite en Égypte (251-356)
De nombreuses représentations du Saint nous le montrent accompagné d'un cochon portant une clochette.
Il est ainsi parfois appelé en Italie Antonio del porco ou Saint Antoine des Cochons dans la vallée de la Bruche en Alsace.
Selon Émile Mâlehttps://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89mile_M%C3%A2le qui signale que cette tradition date de la fin du XIVe siècle, le cochon n'a rien à voir avec la vie du Saint mais avec un Ordre Religieux fondé en Dauphiné https://fr.wikipedia.org/wiki/Dauphin%C3%A9en 1095 (les Antonins) : les porcs n'avaient pas le droit d'errer librement dans les rues, à l'exception de ceux des Antonins, reconnaissables à leur clochette.
http://levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=saintfeast&localdate=20180117&id=1271&fd=0
Saint Antoine
Abbé, Premier Père des Solitaires d'Égypte
(251-356)
Antoine naquit à Côme, dans la Haute-Égypte.
Si la gloire de l'Ermite Paul est d'avoir donné le premier exemple connu de la vie cachée au désert, celle d'Antoine est d'avoir réuni des peuples de solitaires sous les règles d'une vie commune.
Antoine avait reçu de ses parents une éducation profondément Chrétienne.
Peu de temps après leur mort, étant âgé de dix-huit ans, il entendit lire, à l'église, ces paroles de l'Évangile :
« Si vous voulez être parfait, allez, vendez tout ce que vous avez et donnez-en le prix aux pauvres. »
Il prend aussitôt cette parole pour lui, et voulant l'accomplir à la lettre, il se retire dans le désert, où il partage son temps entre la prière et le travail; il fait son unique repas après le coucher du soleil, d'un peu de pain, de sel et d'eau, et garde parfois l'abstinence jusqu'à quatre jours entiers ; le peu de sommeil qu'il se permet, il le prend sur une simple natte de jonc ou sur la terre nue.
À deux reprises, il s'enfonce plus avant dans le désert et s'abîme de plus en plus dans la Pénitence et la Prière.
La persécution le fait retourner dans le monde :
« Allons, dit-il, voir les triomphes de nos frères qui combattent pour la cause de Dieu ; allons combattre avec eux. »
On le voyait soulager les confesseurs de Jésus-Christ dans les cachots, les accompagner devant les juges et les exhorter à la constance.
Son courage étonnait les juges et les bourreaux ; il alla cent fois au-devant du martyre ; mais Dieu lui réservait une autre couronne.
La persécution ayant cessé, il retourna au désert, fonda des monastères et devint le père d'une multitude de religieux.
Le travail des mains, le chant des cantiques, la lecture des Saints Livres, la prière, les jeûnes et les veilles étaient leur vie.
Le désert, habité par des anges, florissait de toutes les vertus, et Antoine était l'âme de ce grand mouvement cénobitique.
Il mourut à l'âge de cent cinq ans.
Sa joie en quittant cette terre, fut si grande, qu'il semblait voir le ciel ouvert devant ses yeux, et les esprits Célestes prêts à lui faire escorte.
St Antoine est particulièrement célèbre par ses combats contre les démons.
Des légions infernales le frappaient et le laissaient demi-mort ; les malins esprits prenaient pour l'épouvanter les formes les plus horribles ; mais il se moquait de leurs efforts.
Après les avoir chassés par le signe de la Croix :
« Où étiez-vous donc, Seigneur ? » s'écriait-il ; et Dieu lui répondait
« Antoine, j'étais avec toi et je me réjouissais de ta victoire. »
Il est ainsi parfois appelé en Italie Antonio del porco ou Saint Antoine des Cochons dans la vallée de la Bruche en Alsace.
Selon Émile Mâlehttps://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89mile_M%C3%A2le qui signale que cette tradition date de la fin du XIVe siècle, le cochon n'a rien à voir avec la vie du Saint mais avec un Ordre Religieux fondé en Dauphiné https://fr.wikipedia.org/wiki/Dauphin%C3%A9en 1095 (les Antonins) : les porcs n'avaient pas le droit d'errer librement dans les rues, à l'exception de ceux des Antonins, reconnaissables à leur clochette.
http://levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=saintfeast&localdate=20180117&id=1271&fd=0
Saint Antoine
Abbé, Premier Père des Solitaires d'Égypte
(251-356)
Antoine naquit à Côme, dans la Haute-Égypte.
Si la gloire de l'Ermite Paul est d'avoir donné le premier exemple connu de la vie cachée au désert, celle d'Antoine est d'avoir réuni des peuples de solitaires sous les règles d'une vie commune.
Antoine avait reçu de ses parents une éducation profondément Chrétienne.
Peu de temps après leur mort, étant âgé de dix-huit ans, il entendit lire, à l'église, ces paroles de l'Évangile :
« Si vous voulez être parfait, allez, vendez tout ce que vous avez et donnez-en le prix aux pauvres. »
Il prend aussitôt cette parole pour lui, et voulant l'accomplir à la lettre, il se retire dans le désert, où il partage son temps entre la prière et le travail; il fait son unique repas après le coucher du soleil, d'un peu de pain, de sel et d'eau, et garde parfois l'abstinence jusqu'à quatre jours entiers ; le peu de sommeil qu'il se permet, il le prend sur une simple natte de jonc ou sur la terre nue.
À deux reprises, il s'enfonce plus avant dans le désert et s'abîme de plus en plus dans la Pénitence et la Prière.
La persécution le fait retourner dans le monde :
« Allons, dit-il, voir les triomphes de nos frères qui combattent pour la cause de Dieu ; allons combattre avec eux. »
On le voyait soulager les confesseurs de Jésus-Christ dans les cachots, les accompagner devant les juges et les exhorter à la constance.
Son courage étonnait les juges et les bourreaux ; il alla cent fois au-devant du martyre ; mais Dieu lui réservait une autre couronne.
La persécution ayant cessé, il retourna au désert, fonda des monastères et devint le père d'une multitude de religieux.
Le travail des mains, le chant des cantiques, la lecture des Saints Livres, la prière, les jeûnes et les veilles étaient leur vie.
Le désert, habité par des anges, florissait de toutes les vertus, et Antoine était l'âme de ce grand mouvement cénobitique.
Il mourut à l'âge de cent cinq ans.
Sa joie en quittant cette terre, fut si grande, qu'il semblait voir le ciel ouvert devant ses yeux, et les esprits Célestes prêts à lui faire escorte.
St Antoine est particulièrement célèbre par ses combats contre les démons.
Des légions infernales le frappaient et le laissaient demi-mort ; les malins esprits prenaient pour l'épouvanter les formes les plus horribles ; mais il se moquait de leurs efforts.
Après les avoir chassés par le signe de la Croix :
« Où étiez-vous donc, Seigneur ? » s'écriait-il ; et Dieu lui répondait
« Antoine, j'étais avec toi et je me réjouissais de ta victoire. »
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 26371
Age : 70
Localisation : Vendée (Marie du 85)
Inscription : 12/01/2016
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