La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
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Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Pécheur a écrit:Ce n'est pas une question de race mais de spiritualité.
D'Abraham à François il n'y a qu'une lignée spirituelle directe.
Après Jésus-Christ, s'affermit une lignée satanique qui l'a rejeté et crucifié (et qu'il vaut mieux effectivement appelée talmudique, kabbalistique ou sabbatéiste / franquiste selon ses avatars, plutôt que juive, terme inventé qui ne veut rien dire et désignant à l'origine les habitants de la Judée. A ce titre Jésus n'était pas Juif mais Galiléen).
Les Al Saoud sont une famille sabbatéiste, un avatar assez avancé et très occulte de la secte des assassins du Christ.
Tout cela est vrai pécheur
Mais qualifier la lignée de satanique n'est pas juste: une lignée ne peut pas être satanique
Les personnes oui, leur troisième Kaballah oui,
D'ailleurs l'Epitre aux Romains et sa longue digression sur l'avenir de cette lignée délaissée par Dieu nous interdit de désespérer de qui que ce soit et aussi de condamner une lignée en tant que telle
Je ne vous reconnais pas, pécheur, dans cette glissade sémantique qui ne vous est pas habituelle et à laquelle votre sens de la mesure et du mot juste ne nous avait pas préparé...
Question annexe : Avez vous visionné nos commentaires sur le M3ème secret?
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Pour ce qui est de la race par ailleurs Le Christ a bien été juif .
Il est en effet par ses deux parents Saints un membre de la tribu de Juda,
d'ou vient le mot de Judée et (judéen ou juif) (Yéhouda Yehoudim)
Dire qu'il fut appelé "galiléen" parce que résident galiléen cela est tout à fait exact.
Mais il était juif car descendant de la tribu de Juda.
Et ce n'était pas à l'époque le moindre des honneurs.
Ce sont ceux là qui portent le nom de juif
ce n'est donc pas une invention comme l'esprit pressé de prendre des raccourcis pourrait le croire...
Prétendre le contraire malgré la généalogie du Sauveur dans les saintes écritures c'est simplement se montrer cavalier avec l'histoire . Pour le moins.
Hébreu:7 : "Car Il est notoire que notre Seigneur est issue de la tribu de Juda."
Il est en effet par ses deux parents Saints un membre de la tribu de Juda,
d'ou vient le mot de Judée et (judéen ou juif) (Yéhouda Yehoudim)
Dire qu'il fut appelé "galiléen" parce que résident galiléen cela est tout à fait exact.
Mais il était juif car descendant de la tribu de Juda.
Et ce n'était pas à l'époque le moindre des honneurs.
Ce sont ceux là qui portent le nom de juif
ce n'est donc pas une invention comme l'esprit pressé de prendre des raccourcis pourrait le croire...
Prétendre le contraire malgré la généalogie du Sauveur dans les saintes écritures c'est simplement se montrer cavalier avec l'histoire . Pour le moins.
Hébreu:7 : "Car Il est notoire que notre Seigneur est issue de la tribu de Juda."
Sofoyal- Combat l'antechrist
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Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Pere Nathan a écrit:
D'ailleurs l'Epitre aux Romains et sa longue digression sur l'avenir de cette lignée délaissée par Dieu nous interdit de désespérer de qui que ce soit et aussi de condamner une lignée en tant que telle
Je ne vous reconnais pas, pécheur, dans cette glissade sémantique qui ne vous est pas habituelle et à laquelle votre sens de la mesure et du mot juste ne nous avait pas préparé...
Merci pour ce rappel Salutaire de l'Epitre aux romains.
votre étonnement sur cette "glissade" n'a pourtant pas lieu d'être malheureusement, Père Nathan.
Et c'est un sujet de tristesse...
Sofoyal- Combat l'antechrist
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Inscription : 03/11/2013
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Bonjour,
Jésus était appelé rabbi : (Jean 1:38) 38 Alors Jésus se retourna et, les voyant qui suivaient, il leur dit : “ Que cherchez-vous ? ” Ils lui dirent : “ Rabbi (ce qui, traduit, signifie Enseignant), où demeures-tu ? [...]
Pour être prêtres il fallait être de la tribut de LEVI mais Seul un Pharisien pouvait être un rabbin car ni le cohen ni le lévite n'est un maître d'enseignement, le premier étant prêtre et le second son assistant.A l'époque de Jésus, un Rabbi est un détenteur d'une fonction législative officielle, "grade" qu'il a acquis suite à une ordination du Sanhédrin.Néanmoins, à l'origine, le terme Rabbi est un titre de respect prescrit à toute personne ayant enseigné. Je n'ai jamais compris cette accusation "des juifs" car il y avait bien des juifs ou juives qui pleuraient Jésus ou le suivaient quand il a porté la croix. C'est comme dans nos démocraties, une majorité petite ou grande ne fait pas la totalité.
Jésus était appelé rabbi : (Jean 1:38) 38 Alors Jésus se retourna et, les voyant qui suivaient, il leur dit : “ Que cherchez-vous ? ” Ils lui dirent : “ Rabbi (ce qui, traduit, signifie Enseignant), où demeures-tu ? [...]
Pour être prêtres il fallait être de la tribut de LEVI mais Seul un Pharisien pouvait être un rabbin car ni le cohen ni le lévite n'est un maître d'enseignement, le premier étant prêtre et le second son assistant.A l'époque de Jésus, un Rabbi est un détenteur d'une fonction législative officielle, "grade" qu'il a acquis suite à une ordination du Sanhédrin.Néanmoins, à l'origine, le terme Rabbi est un titre de respect prescrit à toute personne ayant enseigné. Je n'ai jamais compris cette accusation "des juifs" car il y avait bien des juifs ou juives qui pleuraient Jésus ou le suivaient quand il a porté la croix. C'est comme dans nos démocraties, une majorité petite ou grande ne fait pas la totalité.
annonciation- Près de Jésus Christ
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Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
L'Europe aura une population qui se stabilisera vers les 700 millions dans l"Europe vers 2025 égale à celle de l'Amérique latine et si l'Europe voit sa population musulmane grandir, en Amérique du sud, c'est le catholicisme qui en aura la tête. L'Europe devrait gérer le problème de l'afflux des migrants par une modification de ses structures. Les pays du sud de l'Europe auront en effet plus de problèmes mais la France ne devrait pas être un pays du sud
Et voilà des évaluations de notre futur qui m'inquiètent d'avantage que les différences de religion:
Vers 2045, les humains deviennent intimement fusionnés avec des machines. Déjà dès 2025 , on attend que des nanorobots médicaux soient en cours d'élaboration, l'intelligence artificielle vers 2030 etc etc
Et voilà des évaluations de notre futur qui m'inquiètent d'avantage que les différences de religion:
Vers 2045, les humains deviennent intimement fusionnés avec des machines. Déjà dès 2025 , on attend que des nanorobots médicaux soient en cours d'élaboration, l'intelligence artificielle vers 2030 etc etc
annonciation- Près de Jésus Christ
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Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
ah ! voilà une nouvelle "voyante" !
vévette- Avec Saint Joseph
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Inscription : 13/11/2014
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Ce sont des prospectives évaluées par faisceaux d'études sérieuses sur les évolutions de la société, de la science et de la démographie voire de la politique. Il faut y ajouter un petit peu d'analyse, de logique et peut-être un tout petit peu "d'intuition" (maintenant elle commence à être reconnue dans notre monde tellement rationnel) et dans le langage catholique on pourrait dire prophétie ou pas (cela n'en est peut-être pas). Après il y a tout ce qui nous échappe bien sûr et que beaucoup n'auront pas loisir de savoir.
annonciation- Près de Jésus Christ
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Inscription : 06/05/2016
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Sofoyal a écrit:Pour ce qui est de la race Car Il est notoire que notre Seigneur est issue de la tribu de Juda."
"Fils de David, aie pitié de moi!"
Jésus, Fils de David, aie pitié de nous !
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Veuillez m'excusez, je me suis exprimé trop rapidement, je voulais dire que Jésus était Judéen et non pas Juif. Si cela vous intéresse :
Pour le reste j'ai raison, et merci au père Nathan de l'avoir confirmé.
Dire la Vérité ne signifie pas éprouver de la haine pour qui que ce soit.
Jésus ne nous demande pas d'ignorer nos ennemis, il nous demande de les aimer.
Bien à vous dans le Christ,
Pécheur.
- Jésus-Christ était-Il « Juif » ou « Judéen » ?:
- Jésus-Christ était-Il « Juif » ou « Judéen » ?
L’une des thèses qui nous vient de la hiérarchie ecclésiastique et qui jette le plus de confusion parmi les chrétiens, est l’affirmation sans cesse répétée que « Jésus-Christ était un Juif ».
Cela semble également être devenu votre thème favori. Cette distorsion de la vérité est brandie par les prêtres au moindre prétexte. Ils la répètent constamment, et même parfois sans que ce soit une provocation délibérée de leur part. Non, vraiment, ils ont la gâchette facile dès qu’il faut nous assaisonner avec cette fabrication. Ils ne manquent pas une occasion de le faire ! « Jésus était juif ! »... Mais aussi fort qu’ils le crient, leurs ouailles n’ont pas encore accordé leur prédilection à cette version mensongère de la réalité, et les informations qu’ils puisent à d’autres sources leur disent bien autre chose ; et leur confiance envers ces autres sources vaut largement celle qu’ils accordent à la hiérarchie ecclésiastique.
Cela pose même en vérité un sérieux problème à la hiérarchie ecclésiastique. Mais elle ne pourrait s’extraire du marécage où elle s’est empêtrée qu’en revenant à la formule magique du christianisme : « la vérité, toute la vérité, rien que la vérité ». C’est la seule formule par laquelle les prêtres pourraient regagner la confiance des fidèles ; car ils ne redeviendront jamais les chefs spirituels de cette nation sans un retour sincère de cette confiance. Ils devraient concentrer leurs principaux efforts sur ce seul objectif.
Mon cher Docteur Goldstein, vous êtes un théologien de prestige et un historien de marque, vous auriez donc dû partager l’avis des plus grands spécialistes sur la prétendue « judaïcité » de Jésus-Christ. Les plus grands spécialistes s’accordent aujourd’hui pour dire que le raisonnement ou l’insinuation suivant laquelle « Jésus était juif », ne repose sur aucune base factuelle. Des faits historiques incontestables, ainsi qu’une profusion d’autres preuves, établissent par delà tous les doutes possibles l’absurdité de cette phrase que l’on entend partout aujourd’hui : « Jésus était
juif ».
Sans redouter la moindre contradiction qui s’appuyât sur des faits historiques, les spécialistes les plus qualifiés s’accordent sur ce point précis que Jésus-Christ n’était pas un « Juif ». Ils pourront vous confirmer texte original à l’appui, que pendant sa vie Jésus-Christ était désigné comme un « Judéen » par ses contemporains, et non comme un « Juif » ; ils vous diront également que Jésus-Christ Se désignait Lui-même comme un « Judéen », et non comme un « Juif ». Pendant son passage ici sur Terre, Jésus fut désigné par les historiens de l’antiquité comme un « Judéen », et
non comme un « Juif ». Tous les théologiens de l’antiquité[1], dont la maîtrise de la question pourrait difficilement être mise en doute, désignent Jésus-Christ pendant Sa vie, ici, sur Terre, comme un « Judéen », et non comme un « Juif ».
Au sommet de la croix sur laquelle Jésus-Christ fut crucifié, on pouvait lire ces mots : Iesus Nazarenus rex Iudaeorum. Il s’agit là, vous le savez bien, de la langue maternelle de Ponce Pilate ; et j’ose espérer que personne ne mettra en question le fait que Ponce Pilate était capable de s’exprimer correctement dans sa langue maternelle. Or, tout latiniste vous dira que la traduction correcte du latin : Iesus Nazarenus rex Iudaeorum, donne : « Jésus le Nazarénien[2], chef souverain des Judéens ». Il n’y a pas le moindre désaccord sur ce sujet parmi tous les spécialistes.
Pendant sa vie, ici sur Terre, Jésus ne fut jamais considéré par Ponce Pilate, ni même par les Judéens avec lesquels Il vivait, comme : « le Roi des Juifs ». L’inscription fixée à la croix sur laquelle Jésus a été crucifié, a été traduite incorrectement dans la langue anglaise ; et cette traduction erronée ne fit son apparition qu’au XVIIIe siècle. Il faut bien comprendre que c’est par esprit de dérision, que Ponce Pilate a donné l’ordre de rédiger une telle inscription : sur le point d’autoriser la crucifixion de notre Seigneur, Ponce Pilate voulut également se moquer de Lui[3].
Ponce Pilate savait pertinemment que Jésus-Christ avait été dénoncé, bafoué, puis renié par les Judéens qui, ensuite, ourdirent Sa crucifixion, ainsi que l’histoire le raconte.
À part Ses quelques disciples, tous les autres Judéens Le détestaient, et méprisaient Son enseignement, ainsi que tout ce que Jésus-Christ représentait. Le temps n’effacera pas cela de l’histoire. Et nous savons bien que le « chef souverain » des Judéens, à l’époque où cette inscription fut placée sur la croix, n’était autre que Ponce Pilate lui-même ! Et il ne faut donc pas lire cette inscription ironique comme si Ponce Pilate pensait réellement que Jésus-Christ était « le chef souverain des Judéens ». Une telle interprétation est absolument inconcevable.
Aux temps de la crucifixion de Jésus-Christ, Ponce Pilate était Procurateur de Judée pour le compte de l’Empire romain. À cette époque, l’Empire romain couvrait toute une partie du Moyen Orient. Pour Ponce Pilate, en tout ce qui pouvait le concerner sur le plan officiel ou privé, les habitants de Judée étaient des « Judéens », et non des « Juifs », comme on les a maladroitement désignés depuis le XVIIIe siècle. Or aucun historien n’a jamais recensé de religion, de race, de
peuple ou de nation en Judée à cette époque, connus sous le nom de « Juifs » ; pas plus qu’ils n’en trouvèrent la moindre trace dans d’autres lieux, ou dans toute l’histoire qui a précédé.
En tant que Gouverneur d’une province de l’Empire romain, Ponce Pilate n’exprimait guère d’intérêt envers la multitude des cultes religieux qui se pratiquaient à cette époque dans toute la Judée. Ces pratiques religieuses allaient de formes diverses d’idolâtrie, dont en premier lieu le culte phallique, à la conception naissante[4] d’un Dieu éternel, omnipotent et invisible, dénommé Yahweh (Jéhovah), dont la première intuition remontait à Abraham, patriarche illustre s’il en est,
ayant vécu environ 2 000 ans auparavant. En tant que Gouverneur d’une province conquise, Ponce Pilate devait suivre les directives de Rome lui enjoignant de ne pas interférer dans les affaires religieuses du pays. Sa principale responsabilité se limitait à la collecte de l’impôt impérial, et à son acheminement vers Rome ; les cultes religieux de ses administrés ne lui importaient guère.
Maintenant mon cher Docteur Goldstein, ainsi que vous le savez, le mot latin rex ne signifiait pas « roi » initialement, mais « chef d’une tribu », leader en anglais ; et aux temps de Jésus-Christ, ce mot n’avait pas d’autre sens pour les Judéens qui connaissaient la langue latine. Le mot latin rex, vient du verbe latin rego, regere et signifie « diriger, conduire, mener, être à la tête de... ».
Évidemment, le latin était la langue officielle dans toutes les provinces de l’Empire Romain, et c’est pourquoi l’inscription sur la croix fut rédigée également en latin.
Or, après leur invasion des Îles Britanniques, les Anglo-Saxons remplacèrent le mot latin rex, par le mot king. Mais le remplacement du mot rex par le mot king à cette époque postérieure, ne modifie pas rétroactivement le sens que les Romains donnaient au mot rex à l’époque de Jésus-Christ. Le latin rex signifiait simplement pour eux « chef souverain », un leader. Le mot anglosaxon king, avait d’ailleurs une graphie différente de celle d’aujourd’hui, lorsqu’il a remplacé le
mot latin rex, mais toutefois son sens était encore à peu près équivalent à celui du latin.
Pour Ponce Pilate, il était bien évident que Jésus-Christ était la dernière personne que les Judéens auraient acceptée comme « chef de tribu »[5]. Malgré cela, Ponce Pilate n’a pas hésité à ordonner cette inscription : Iesus Nazarenus rex Iudaeorum, et je répète que même par le plus sauvage étirement de l’imagination, on ne peut soutenir que ces mots de Pilate furent autre chose qu’un misérable sarcasme. Par cette référence à Jésus-Christ comme « chef des Judéens », ceux-ci auraient ourdi la crucifixion de leur chef souverain.
À l’époque de Jésus-Christ, les Romains désignaient le territoire actuel de la Palestine sous le nom de Iudaea. Cette province était administrée par Ponce Pilate comme une partie intégrante de l’Empire romain. La traduction française de Iudaea est : « la Judée ». Le seul adjectif français que l’on puisse construire sur ce nom latin de Iudaea est « Judéen », et non pas « Juif ». Ainsi, la population qui vivait à l’emplacement de la zone géographique connue actuellement sous le nom de Palestine, était désignée en latin, à l’époque de Jésus-Christ, par le mot Iudaeus : « les Judéens ».
À strictement parler, ce mot ne désignait rien d’autre que les habitants vivant à l’intérieur des frontières de la Judée à cette époque. Or qui pourrait nier que Jésus-Christ ne fut, Lui aussi, un habitant de la Judée de cette époque ?[6]
Or vous savez très bien, mon cher Docteur Goldstein, que le génitif pluriel du latin Iudaeus est : Iudaeorum. Et que la traduction française littérale du génitif pluriel Iudaeorum, devrait être :
« des Judéens », et non pas : « des Juifs ». Il est complètement impossible de donner une autre traduction littérale au latin Iudaeorum[7]. C’est pourquoi comme je vous le disais, tous les théologiens et les historiens, qui maîtrisent bien ce problème, savent qu’il faut traduire Iesus Nazarenus rex Iudaeorum par « Jésus le Nazarénien chef souverain des Judéens ». Vous devez tomber d’accord sur cela.
À l’époque où Ponce Pilate a donné l’ordre de placer l’inscription Iesus Nazarenus rex Iudaeorum sur la croix, les autorités spirituelles de la Judée protestèrent d’ailleurs auprès de lui, en lui disant : « …ne marque pas que Jésus est le chef des Judéens, mais seulement qu’il a dit qu’il était le chef des Judéens »[8]. Les autorités spirituelles de la Judée émirent des protestations très fortes auprès de Ponce Pilate au sujet de cette référence à Jésus-Christ comme rex Iudaeorum ; insistant sur le fait que Ponce Pilate n’avait pas une connaissance précise du statut véritable de Jésus en Judée ; et comme vous le savez, ces protestations sont bien documentées pour
l’histoire[9].
Mais nous savons par les mêmes sources que les autorités spirituelles de la Judée protestèrent en vain auprès de Ponce Pilate. Ils soutinrent en effet auprès du Procurateur, que Jésus avait simplement « dit qu’Il était le chef des Judéens », et que par conséquent Pilate ne devait pas écrire que Jésus « était le chef des Judéens », car après tout, Ponce Pilate n’était qu’un étranger en Judée, et il ne pouvait pas comprendre la situation aussi bien que les autorités spirituelles de cette province. Et c’est un fait qu’à cette époque, le chevauchement inextricable des questions
religieuses, sociales et économiques dans la politique intérieure de la Judée, n’intéressait guère Ponce Pilate dans ses fonctions de Procurateur pour le compte de Rome.
Dans la version originale de l’Évangile selon saint Jean, rédigée en grec, on ne trouve pas d’équivalent de ce passage selon lequel les autorités spirituelles de la Judée prétendirent que Jésus avait « simplement dit qu’Il était le chef des Judéens ». Les traductions anglaises de Jean 19:19, se basant sur le manuscrit grec, nous donnent : « N’écris pas “le chef souverain (basiej) des Judéens (twn ioudaiwn)[10]”, mais qu’il a dit qu’il était le chef souverain des Judéens ». twn
ioudaiwn est le grec pour le latin Iudaeorum ; basiej est le grec pour le latin rex ; dans les versions respectivement grecques et latines de l’Évangile selon saint Jean.
Pilate n’eut cure de ces protestations de la part des autorités spirituelles de la Judée, et il leur répondit sèchement : « Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit », afin de les faire taire. Et l’inscription demeura telle que nous la connaissons aujourd’hui : Iesus Nazarenus rex Iudaeorum, « Jésus le Nazarénien, chef souverain des Judéens ».
Cette citation latine que je vous donne, reprend mot pour mot, comme vous le savez, la traduction du Nouveau Testament faite au IVe siècle par saint Jérôme. Cette traduction est bien évidemment : La Vulgate[11]. Ce fut la première traduction officielle de l’Église chrétienne du Nouveau Testament en latin. Et jusqu’à ce jour, elle est restée la seule version officielle utiliséedans toute l’Église catholique romaine. La traduction de l’Évangile selon saint Jean par Saint Jérôme fut réalisée à partir du manuscrit grec original. Et dans ce manuscrit grec, nous trouvons toujours cette protestation des autorités spirituelles de Judée, qui demandent à Pilate de ne pas écrire que Jésus était « le chef souverain des Judéens ».
Or mon cher Docteur Goldstein, ouvrez bien vous oreilles, car nous arrivons maintenant au coeur du problème : il n’existe aucun fondement historique qui nous permette de dire que le mot grec ioudaiwj, le mot latin Iudaeus, ou le mot français « Judéens », aient jamais possédé la moindre connotation religieuse ! Dans leurs langues respectives, ces mots n’ont toujours revêtu qu’une simple connotation géographique. Ces mots étaient utilisés pour identifier les habitants qui étaient nés dans le territoire de la Judée. Et à l’époque de Jésus-Christ, il n’existait aucun culte religieux en Judée ou ailleurs dont le nom ait la même racine que le mot « Judée », comme c’est par contre le cas pour le culte religieux dénommé « judaïsme ». Aucun culte, ni aucune secte ne portait le nom de « judaïsme »[12].
Personne ne pourra contredire le fait que le mot Jew (Juif) n’existait pas dans la langue anglaise avant l’année 1775[13].
La première acception écrite du mot Jew en langue anglaise, nous a été laissée au XVIIIe siècle par Sheridan dans sa pièce de théâtre : Les Rivaux. Dans l’Acte 2, scène 1 de cette pièce, nous lisons : « Elle aura la peau d’une momie, et la barbe d’un Juif ». Avant cette utilisation du mot Jew faite par Sheridan, ce mot n’existait pas dans notre langue. Ainsi, Shakespeare ne l’employa dans aucune de ses pièces, comme vous pourrez le vérifier vous-même. Certes, dans le Marchand de Venise, acte 5 scène 3, il est bien question d’un « Juif ». Mais pour ce passage précis, l’édition
originale nous donne : « Et pourquoi ? Je suis un Iewe, et un Iewe n’a t-il pas d’yeux ?[14] ».
Dans la Vulgate, Jésus est désigné comme « l’un des Judéens », grâce au génitif pluriel Iudaeorum.
Jésus est désigné pour la première fois par le mot Jew au XVIIIe siècle, dans l’édition révisée de la première traduction anglaise du Nouveau Testament qui remontait au XIVe siècle.
L’étymologie du mot Jew dans la langue anglaise, ne laisse aucun doute sur le fait que le mot Jew du XVIIIe siècle provient directement du mot Iudaean de la Vulgate[15].
Les manuscrits allant du IVe au XVIIIe siècle, retracent précisément l’évolution du mot Iudaean dans la langue anglaise. Dans ces manuscrits, on trouvera que la langue anglaise à connu un très grand nombre d’équivalents au mot Jew, tout au long de son histoire. Depuis le latin Iudaeus jusqu’à l’anglais moderne Jew, on rencontre successivement : Gyu, Giu, Iu, Iuu, Iuw, Ieuu, Ieuy, Iwe, Iow, Iewe, Ieue, leue, Iue, Ive, lew, et finalement au XVIIIe siècle : Jew. Et pour le pluriel on a : Giwis, Giws, Gyues, Gywes, Giwes, Geus, Iuys, Iows, Iouis, Iews, et finalement au
XVIIIe siècle : Jews.
Au XVIIIe siècle, les presses typographiques s’étaient grandement améliorées, et on imprima des quantités illimités du Nouveau Testament. Ces éditions révisées, qui se basaient encore toutes sur la première édition en langue profane du XIVe siècle, furent largement distribuées dans tout le monde anglophone, et de nombreuses familles qui n’avaient jamais possédé de Bible, ont pu en acquérir une qui soit rédigée dans la langue qu’ils parlaient tous les jours. C’est dans cette édition révisée que le mot Jew apparaît pour la première fois. Et grâce à l’importance du tirage, la forme
Jew s’est définitivement imposée dans la langue anglaise.
Ainsi que vous le savez, mon cher Docteur Goldstein, les éditions les plus connues du Nouveau Testament en langue anglaise sont : la Rheims (Douai) Edition, et la King James Authorized Edition. La première traduction du Nouveau Testament en anglais de la Rheims Editiondate de 1582, et conformément à ce qui a été dit, le mot Jew ne s’y trouve pas. De même pour la première traduction en anglais du Nouveau Testament de la King James Authorized Edition de
1611. Le mot Jew ne fit son apparition, dans ces deux éditions les plus connues du Nouveau
Testament, que dans leurs éditions révisées du XVIIIe siècle.
Un nombre incalculable de ces éditions sorties des presses typographiques a circulé parmi le clergé et les laïcs de tout le monde anglophone ; mais parmi ces personnes, très peu ne connaissaient ou ne se préoccupaient de l’étymologie exacte du mot Jew, qu’ils découvraient pour la première fois. Ils acceptèrent donc naturellement le mot Jew comme la traduction officielle du latin Iudaeus et du grec ioudaiwv. Il s’agissait simplement d’un mot nouveau pour eux.
Lorsque vous avez appris le latin à l’école, on vous a dit que la lettre « I », en début de mot, était prononcée comme le yod phonétique ; c’est à dire comme la première lettre du mot « yacht » ; et on le représente parfois par la lettre « J » plutôt que par la lettre « I », afin justement de marquer la différence de prononciation. Ainsi, le « I » initial de Iudaeus, se prononce comme le « Y » de « yacht ». Or toutes les formes anglaises de Jew antérieures au XVIIIe siècle, y compris celles qui commencent par les lettres Gi ou Gy, se prononçaient avec le yod en début de mot.
La prononciation actuelle du mot Jew (“DJOUUU”), date du XVIIIe siècle. Auparavant c’était le yod qui était utilisé (“YOUUU”).
Le mot allemand Jude : “YOU-DE”, reste quant à lui très fidèle à la prononciation latine. La
première syllabe du mot allemand Jud-e, se prononce exactement de la même manière que la
première syllabe du mot latin Iud-aeus. Et le mot allemand Jude résulte de la contraction que les
peuples germaniques ont fait subir au latin Iudaeus, tout comme le mot anglais Jew résulte de la
contraction que les peuples anglo-saxons ont fait subir au latin Iudaeus.
Mon cher Docteur Goldstein, comme vous le savez déjà, la langue anglaise est largement
composée de mots empruntés à des langues étrangères. Après leur adoption par la langue anglaise,
ces mots étrangers subissent diverses adaptations et contractions de leur orthographe, afin de les
rendre plus aisément prononçables dans le système phonétique anglais. Ce procédé d’adoption de
mots étrangers, puis de leur adaptation, est à l’origine de nombreux mots nouveaux, tels que le mot
cab, qui nous vient du français « cabriolet ». Et nous pourrions trouver des milliers d’exemples
comme celui-ci. Vous devez déjà en avoir des dizaines sur le bout des lèvres.
C’est par ce procédé naturel d’adoption-adaptation, que le latin Iudaeus et le grec ioudaiwv
ont fini par donner le mot Jew que nous connaissons. Ainsi, les anglophones auront dû se battre
pendant 14 siècles avant de trouver la prononciation et l’orthographe qui leur convienne, pour
l’adoption du mot latin Iudaeus. Les mots Iudaeus et ioudaiwv ne pouvant se prononcer
facilement en anglais, il a donc fallu forger un mot nouveau.
Comme dernière confirmation, je vous citerais l’édition Wyclife de la Bible de 1380, la toute
première traduction de la Vulgate en anglais. Dans cette édition, Jésus est désigné comme « l’un
des Iewes », car telle était la version anglaise du latin Iudaeus au XIVe siècle, et elle se prononçait :
« HHHYOU-WIIIZ » au pluriel, le singulier Iewe se prononçait : « HHHYOU-WIII ». Pour le
verset de Jean 19:19, on lit dans cette édition : « Ihesus of nazareth kyng of the iewes ». Avant le
XIVe siècle, la langue anglaise s’était dotée d’un grand nombre de mots anglo-saxons, dont le mot
kyng, qui avait la même signification que le latin rex et que le grec basileuv, c’est-à-dire, celle de
« chef de tribu ».
L’édition Tyndale du Nouveau Testament, publiée en anglais en 1525, présente aussi Jésus-
Christ comme « l’un des Iewes ». L’édition Coverdale publiée en 1535 le décrit encore comme
« l’un des Iewes », et traduit Jean 19:19 par : « Iesus the Nazareth, kynge of the Iewes ». L’Édition
Cranmer de 1539, nous parle encore de Jésus comme étant « l’un des Iewes ». Dans l’Édition de
Genève publiée de 1540 à 1557, Jésus est encore décrit comme « l’un des Iewes ». Dans l’Édition
Rheims de 1582, Jésus est appelé « l’un des Ievves ». Dans l’Édition King James publiée de 1604 à
1611, connue également sous le nom de Version Autorisée, Jésus était encore et toujours décrit
comme : « l’un des Iewes ». Chacune de ces formes du latin Iudaeus étant celle qui était en usage à
l’époque de ces différentes traductions.
[1] Les pères de l’Église.
[2] Ou « Jésus de Nazareth... », les « Nazaréniens » étant au sens strict : « les habitants de Nazareth ».
[3] Et des « Judéens » qui tramèrent son supplice.
[4] En ce qui concerne le culte rendu à Yahweh, et la compréhension de Yahweh, il faudrait dire plus exactement qu’au
temps de Jésus-Christ, cette conception n’était plus véritablement « à son état naissant », mais bien : « à son état
déclinant » (pharisaïsme), par rapport à l’intensité du culte qui lui était rendu par les Israélites, ainsi que nous allons
l’aborder plus loin. Toutefois, il existait bien une « conception naissante », et je pense que Benjamin Freedman a omis
cette distinction dans un raccourci de pensée, et selon laquelle la révélation de Yahweh se ferait également à certains
hommes qui ne sont pas des Israélites ; et cet universalisme du culte de Yahweh est précisément l’un des fondements du
christianisme.
[5] Cela est évident pour la Judée. Mais en ce qui concerne la Galilée proprement dite, prompte à la sédition, et d’où
était originaire Jésus-Christ, cela peut se discuter :
Jean 6:14-15 : « Or ces gens [qui vivaient à proximité du Lac de Tibériade], ayant vu le miracle que Jésus avait fait,
disaient : celui-ci est véritablement le Prophète qui devait venir au monde. Mais Jésus ayant connu qu'ils devaient venir
l'enlever afin de le faire Roi, se retira encore tout seul en la montagne » (Martin 1744).
[6] Cependant si l’épithète régionale, qui qualifie souvent un homme, est liée au lieu où cet homme est né, et où il a
grandi, et duquel il a acquis tous les particularismes régionaux de la population, il faudrait alors dire plus précisément
que Jésus-Christ était « Galiléen ». Mais dans notre problématique présente, cela revient au même ; car la Galilée était,
elle aussi, une province multiethnique et multiconfessionnelle (encore bien d’avantage que la Judée) ; et le mot
« Galiléen » entretient par conséquent bien moins de rapports avec le mot « Juif » (mot moderne dont Freedman va
analyser plus loin toutes les significations), que le mot « Judéen ».
[7] Le dictionnaire Félix Gaffiot de 1934 nous donne les entrées suivantes :
- Judaea, ae, nom fém. (du grec ioudaia) : la Judée. Pline : 5, 70. Suétone : Vie de Titus 4. Tacite : Histoires 2, 79.
- Judaeus, a, um, adj. : de Judée, juif. Pline : 13, 46 ; 31, 95. Substantivé au masculin pluriel : les Juifs. Cicéron :
Pro Valerio Flacco 37. Horace : Satires 1, 5, 100. Tacite : Histoires 5, 2.
- Judaea, nom fém., femme juive. Juvénal : 6, 543.
Ici, puisque le dictionnaire lui-même contredit Benjamin Freedman, il semble vraiment qu’il nous soit désormais
impossible de camoufler une erreur aussi grossière de sa part... Cependant, c’est une lecture superficielle qui nous le
laisserait supposer. Qu’on ne s’y trompe pas : Benjamin Freedman ne cherche pas ici à nous faire un grossier tour de
passe-passe en jouant sur les mots, pour établir que Jésus-Christ n’était pas « Juif », comme on le dit, mais « Judéen »,
et toc ! Non... comme cela se précisera plus loin, l’objet de Benjamin Freedman est essentiellement d’expliquer que
l’évolution naturelle qui fit du mot latin Iudaeus le mot anglais Jew (Juif), fut en même temps à l’origine d’une
confusion dramatique. Confusion que nous transmettons sans y prendre garde lorsque nous désignons les adeptes
authentiques de la religion de Yahweh de l’Ancien Testament par l’expression : « les Juifs » ; ou lorsque nous pensons
que « les Juifs » d’aujourd’hui, sont des adeptes authentiques de la religion de l’Ancien Testament. Il faudrait deux
mots différents pour distinguer ces deux réalités différentes. C’est la seule manière de permettre à la pensée de se
dégager de l’amalgame. Pour pallier à cet inconvénient majeur, je propose d’utiliser l’expression de « vrai Israélite »,
forgée par Blaise Pascal, vraisemblablement sur la base de Jean 1:47 (« Jésus aperçut Nathanaël venir vers lui, et il dit
de lui : voici vraiment un Israëlite en qui il n'y a point de fraude. »). Blaise Pascal nous permet ainsi de mettre fin à la
confusion entre ceux qui cherchent à prévariquer, et ceux qui honorent Yahweh en droiture et en vérité ; cette
expression heureuse apparaît dans le chapitre 13 des Preuves de la religion chrétienne, connues sous le nom de
Pensées de Pascal : « [Jésus-Christ] nous a appris enfin que toutes ces choses n’étaient que figures, et ce que c’est que
vraiment libre, vrai Israélite, vraie circoncision, vrai pain du Ciel, etc. »
[8] Jean 19:21.
[9] À ma connaissance, les seuls documents qui en attestent sont les Évangiles, qui en tant que documents écrits relatant
des évènements donnés (fussent-il à caractère religieux), constituent d’authentiques documents historiques, même s’ils
doivent être interprétés avec les précautions relatives aux documents ayant un caractère religieux. C’est ainsi que
l’histoire des Hébreux tire presque toute sa documentation de l’Ancien Testament. Ou que l’histoire des Aryens en Inde
se base elle aussi sur des textes sacrés.
[10] Du singulier ioudaiwv.
[11] Jean 19:19 : « scripsit autem et titulum Pilatus et posuit super crucem erat autem scriptum Iesus Nazarenus rex
Iudaeorum ». (Vulgate)
[12] Il est vrai qu’à proprement parler, aucune religion de cette époque ne portait un nom dérivé du mot « Juda » ou
« Judée », et ce dans n’importe quelle langue, même en hébreu. Ou si un tel mot a existé dans la sphère gréco-romaine,
ce ne pouvait être que de fraîche date, puisqu’on en a aucune trace écrite avant Flavius Josèphe. La situation religieuse
en Galilée était bien plus complexe que ne pourrait en rendre compte un mot unique :
À l’époque de Jésus-Christ, dans les territoires de Judée et de Galilée, quatre sectes se disputaient le culte de Yahweh,
au milieu d’une quantité de cultes païens (notamment hellénistiques). Il y avait : les pharisiens, les sadducéens, les
zélotes et les esséniens (cf. Flavius Josèphe : Guerre des Juifs, II, 162-166). Ces quatre sectes rendant un culte à
Yahweh, présentaient sous cet angle une certaine homogénéité d’apparence, je veux dire, par rapport aux païens qui les
entouraient. La preuve en est qu’ils se désignaient eux-mêmes depuis des siècles par un mot bien précis : le mot hébreu
Yehudi, qui était porteur d’un sens plus étendu que la connotation strictement géographique donnée par Benjamin
Freedman au mot « Judéen ». En effet, Yehudi, malheureusement traduit par « Juif », signifie d’après le Nouveau
Dictionnaire Biblique Emmaüs :
« Celui qui faisait partie de la tribu de Juda, ou du Royaume de Juda. Ce nom prit ensuite un sens plus étendu,
et désigna tous les Hébreux qui revinrent de la captivité [en Judée]. (...) »
Par conséquent, les descendants des Hébreux, toutes tribus confondues, se définissaient par rapport aux païens grâce
à un terme global, celui de Yehudim. Ce terme avait une connotation franchement raciale, plutôt que géographique. Et
les personnes qui parlaient latin, qu’ils vécussent en Judée ou ailleurs, désignaient ces Yehudim en employant toujours
le mot latin : Iudaean (ne faisant plus référence à la circonscription géographique de la Judée, mais bien aux
descendants du peuple qui formait le Royaume de Juda, comme le mot hébreu Yehudim)... Comment s’opérait alors, en
latin, la distinction entre les païens de Judée et les Yehudim (puisque ces païens de Judée, pour les Yehudim, n’étaient
pas du tout des Yehudim, alors que pour Rome ils étaient bien d’authentiques Iudaean) ?... Il semble qu’il n’y avait pas
de mot précis pour une telle distinction. Les fonctionnaires vivant à Rome, par exemple, devaient probablement user de
périphrases pour distinguer ces deux entités distinctes : « Les Judéens sacrifiant au Temple de Jérusalem », pour les
Yehudim, et pour les païens : « Les Judéens pratiquant tel ou tel culte hellénistique »...
Mais encore une fois, et sur le fond, cela ne change strictement rien, et ne contredit nullement la démonstration de
Benjamin Freedman établissant que Jésus n’était pas « Juif ». Puisque, comme il va le montrer, le mot « Juif » actuel
désigne exclusivement les héritiers du pharisaïsme, au détriment des autres sectes qui étaient très actives à l’époque de
Jésus. Or, compte tenu des « mots doux » que Jésus-Christ adresse en toute occasion aux pharisiens... il est impossible
qu’Il fut un de leurs sectateurs, ni même qu’Il fut sadducéen. Il est donc impossible qu’Il fut « Juif », dans le sens où Il
aurait été, même de loin, un amateur de la religion qui porte aujourd’hui le nom de « judaïsme ». De plus, l’objet de
cette lettre de Benjamin Freedman va être de montrer qu’il est impossible que Jésus-Christ ait été de la même race que
l’immense majorité des « Juifs » d’aujourd’hui.
Or si Jésus-Christ n’était ni pharisien, ni sadducéen sur le plan de la croyance, il reste donc quatre possibilités :
1 : Soit Jésus-Christ était esséniens.
2 : Soit Jésus-Christ était zélote.
3 : Soit Jésus-Christ appartenait à chacune de ces deux sectes (qui entretenaient effectivement certaines affinités : la
première incarnant une sédition spirituelle par rapport à la dégénérescence du culte de Yahweh ; la seconde incarnant
une sédition temporelle par rapport à l’occupation romaine ; et en outre, le mouvement des zélotes était fortement
implanté en Galilée, et un disciple de Jésus-Christ était Zélote).
4 : Soit enfin, et c’est le plus probable, Jésus-Christ n’appartenait activement à aucune de ces deux sectes, et traçait la
piste où s’engagerait le christianisme.
En revanche, et c’est là la précision qui s’imposait, il est plus que probable que Jésus-Christ ait été un Yehudi, dans le
sens que ce terme avait avant la captivité à Babylone. C’est-à-dire qu’il est plus que probable que le père du père du
père... du père de Jésus-Christ ait appartenu à la tribu de Juda. Tous les titres messianiques que les deux Testaments
nous transmettent désignent invariablement Jésus-Christ comme membre de la tribu de Juda : « Fils de David », « lion
de la tribu de Juda »... Deux Évangiles font par ailleurs remonter Sa généalogie au roi David lui-même, et Son « père »
[adoptif] Joseph est plusieurs fois désigné comme appartenant à la maison et à la famille de David. Il y a donc peu de
chances pour que tout cela ne fut qu’un canular, ou ne soit à considérer que sur un plan strictement spirituel. Pendant
les 9 siècles qui séparent l’époque de Jésus-Christ de l’époque du roi David, il est tout à fait possible que certaines
lignées israélites pratiquantes se soient transmis le souvenir de leur ascendance davidienne ; et il est certain que
beaucoup d’Israélites savaient encore de quelle tribu le père du père du père... de leur père provenait. Paul, par
exemple, nous révèle à plusieurs reprises qu’il est de la tribu de Benjamin. Et il ne s’agit pas de savoir de quelle tribu
était les mères, car je crois que cela n’avait que peu d’importance, pourvu que celles-ci fussent Israélites (même si mon
affirmation demande confirmation d’un spécialiste). Par conséquent, une ascendance exceptionnelle, ou le nom de la
tribu de l’ancêtre, est facilement transmissible de père en fils, car elle ne suit que la branche paternelle, et ce n’est plus
alors qu’une question d’absence de rupture dans la continuité : si un enfant connaît son père, il sait de quelle tribu était
le père de son père, et ainsi de suite. Et si les traditions accordant une importance à la tribu ou à un ancêtre
exceptionnel sont maintenues dans la lignée en question, il est très possible que la transmission se maintienne pendant
une dizaine de siècles.
On constatera par ailleurs que Benjamin Freedman ne nie nullement que Jésus-Christ ait été de la même race que les
Yehudim ; en réalité, il n’aborde pas du tout ce sujet. Il rejette par contre avec la plus grande vivacité, comme nous
allons le voir, que les « Juifs » d’aujourd’hui aient le droit de se présenter comme les héritiers des Yehudim d’hier, à la
foi sur le plan racial, et sur le plan religieux.
Enfin, l’Écriture vient renvoyer dos à dos les protagonistes qui s’attacheraient un peu trop à la question de la
généalogie temporelle de Jésus-Christ : « Or la naissance de Jésus-Christ arriva en cette manière. Comme Marie sa
mère eut été fiancée à Joseph, avant qu'ils fussent ensemble, elle se trouva enceinte par l'opération du Saint-Esprit. Et
Joseph son mari, parce qu'il était juste, et qu'il ne la voulait point diffamer, la voulut renvoyer secrètement. Mais
comme il pensait à ces choses, voici, l'Ange du Seigneur lui apparut dans un songe, et lui dit : Joseph, fils de David, ne
crains point de recevoir Marie ta femme ; car ce qui a été conçu en elle est du Saint-Esprit. Et elle enfantera un fils, et
tu appelleras son nom Jésus ; car il sauvera son peuple de leurs péchés. Or tout ceci est arrivé afin que fût accompli
ce dont le Seigneur avait parlé par le Prophète, en disant : Voici, la Vierge sera enceinte, et elle enfantera un fils; et on
appellera son nom Emmanuël, ce qui signifie, DIEU AVEC NOUS. Joseph étant donc réveillé de son sommeil, fit
comme l'Ange du Seigneur lui avait commandé, et reçut sa femme » (Matthieu 1:18 à 24, Version David Martin).
Juste avant de remettre la version définitive de cet ouvrage à son éditeur, j’ai eu la chance de lire sur Internet
l’explication la plus efficace que je connaisse pour dissiper toutes les confusions relatives au mot « Juif ». J’ai fait cette
précieuse découverte sur le site de G.O.A.L. (God’s Order Affirmed in Love).
Il s’agit du site Internet le plus important du Mouvement Identitaire Chrétien. Ce mouvement est dit « Identitaire »,
car il enseigne sur des bases très sérieuses quelle est la véritable identité des Israélites de la Bible (notamment quelle
est l’identité de ces « brebis perdues de la maison d’Israël », vers lesquelles Jésus-Christ a envoyé ses disciples :
« Jésus envoya ces douze, et leur commanda, en disant : n'allez point vers les Gentils, et n'entrez point dans aucune
ville des Samaritains ; mais plutôt allez vers les brebis perdues de la Maison d'Israël » (Matthieu 10:5-6). Je laisse
donc le lecteur découvrir par lui-même sur ce site quelle est cette identité véritable, quelle est cette identité volée ;
préparez-vous à une surprise... Le passage qui nous intéresse plus particulièrement ici, est la réponse à la 7ème
Question la plus Fréquemment Posée (F.A.Q. : Frequently Asked Questions) sur ce site. Je traduis intégralement cette
réponse :
« ISRAEL-IDENTITY
F.A.Q. n°7
Quelle est la différence entre un Sémite, un Hébreux, un Israélite, et un « Juif » ? Ces termes sont-ils
équivalents en quelque manière, et peut-on les employer indistinctement ?
Un Sémite est une personne qui descend de Sem, l’un des fils de Noé. Un Hébreu est une personne qui descend
d’Héber, l’un des petits petit-fils de Sem. Ainsi, tous les Hébreux sont des Sémites, mais tous les Sémites ne
sont pas des Hébreux.
Après six générations, de la lignée d’Héber naît Abraham. Abraham était donc tout à la fois un Hébreu et un
Sémite, puisqu’il appartenait aux deux lignées d’Héber et de Sem.
Isaac est né d’Abraham, puis Jacob d’Isaac. Le nom de Jacob fut changé en « Israël », et Israël fut le père de 12
fils. Ce sont les fils d’Israël et leurs descendants qui sont appelés : « les Israélites » ; et eux aussi sont tout à la
fois des Sémites et des Hébreux, sans que cela ne fasse d’Abraham ou d’Isaac des Israélites. Bon nombre de
personnes intervertissent également les termes « Juifs » et « Israélites », ou vont même jusqu’à appeler
Abraham « un Juif ». Or Abraham ne fut pas même un Israélite, et le mot « Juif » [Yehudi n.d.t.] n’est employé
dans la Bible que 1 000 ans après lui.
L’un des fils de Jacob-Israël était Juda (en hébreu : Yehuda). Ses descendants étaient les Yehudim, ce qui doit se
traduire rigoureusement par : les « Judahites ». Le mot hébreu donna en grec : ioudaiwv, et en latin Iudaean.
La confusion actuelle vient de ce que presque toutes les versions modernes de la Bible traduisent
indifféremment chacun de ces termes par le mot « Juif », qui est un mot relativement moderne résultant d’une
contraction phonétique à partir du latin. Mais chaque fois que vous lisez le mot « Juif » dans l’Ancien
Testament, vous devriez lire : « Judahite », et chaque fois que vous lisez le mot « Juif » dans le Nouveau
Testament, vous devriez lire : « Judéen ». Ces mots eurent une très longue histoire, et leur signification s’est
encore ramifiée ; ils finirent par revêtir des sens différents en fonction du contexte dans lequel on les trouve.
Dans l’Ancien Testament pour commencer, le mot « Judahite » présente trois sens bien distincts :
1 : Un « Judahite » est une personne qui est de la tribu de Juda (dans le sens racial).
2 : Un « Judahite » est une personne qui vit dans le territoire de la « Maison de Juda », ce qui inclut également
les tribus de Benjamin et de Lévi. La connotation est ici principalement géographique, mais également tribale.
3 : Au sens religieux, un « Judahite » désigne une personne qui pratique la religion du Royaume de Juda. Or à
l’époque d’Esther, de nombreux non-Israélites « devinrent Juifs » (c’est-à-dire, « Judahites ») par la
suite des victoires des Judahites sur leurs nations (cf. Esther 8 : 17).
Dans le Nouveau Testament maintenant, le mot grec ioudaiwv [le Nouveau Testament a été rédigé en grec
n.d.t.], aurait dû être traduit par « Judéen », et ce mot revêt globalement les mêmes sens que le précédent, avec
quelques adaptations pour le sens géographique :
1 : Un « Judéen » est une personne qui vit dans la province de Judée (par opposition à la Galilée et à la
Samarie). Tel est par exemple le sens qu’il faut retenir pour Jean 7:1. Cette fois l’usage est tout à fait
géographique, et il sert aussi à désigner les non-Israélites vivant en Judée, et qui ont été incorporés à la nation
en 135 av. J.-C.
2 : Un « Judéen » est toujours une personne qui est de la tribu de Juda (dans le sens racial).
3 : Un « Judéen » est toujours un adepte de la religion de l’ancien Royaume de Juda, religion qui a été donnée
par Moïse et par les Prophètes. Tel est par exemple le sens qu’il faut retenir pour Romain 2:28-29.
Or presque toutes les Églises actuelles ne font pas les distinctions requise entre tous ces termes.
En résumé, nous pouvons retenir que seul un petit nombre d’Israélites portèrent le nom de « Juifs » (ou plus
exactement « Judahites », puis « Judéens ») ; que beaucoup de non-Israélites furent appelés « Juifs » (ou plus
exactement « Judahites », puis « Judéens ») par le seul fait qu’ils vivaient en Judée, ou qu’ils suivaient la
religion du Royaume de Juda ; et enfin, comme nous l’avons vu précédemment [FAQ n°5], que les prétendus
« Juifs » du judaïsme, ne sont ni des Israélites, ni des Hébreux, ni des Sémites, mais bien des Khazars (de race
turco-mongole)... FIN DE LA QUESTION 7 »
Comme on le voit, les « Chrétiens Identitaires » des pays anglo-saxons font depuis des années un travail
« révisionniste », en traquant systématiquement toutes les interprétations truquées de l’écriture. Là comme pour
l’histoire de la Seconde Guerre Mondiale, les menteurs sont les mêmes... Ce « révisionnisme théologique » fait grincer
pas mal de dents là-bas, comme le prouve cette conclusion du B’nai Brith australien : « Les trois formes de haine [sic]
les plus menaçantes pour l’avenir de la communauté sont : la négation de l’Holocauste, la racisme New Age [?], et le
Mouvement d’Identité Chrétienne », (Australian Jewish News, Sydney, 10 décembre 1999).
[13] En ce qui concerne la première acception du mot « Juif » dans un écrit français, nous en avons des exemples bien
plus précoces avec Étienne Boileau à la fin du XIIIe siècle (Dictionnaire Étymologique et Historique Larousse). Le mot
« judaïsme » quant à lui, apparaît pour la première fois avec Gautier de Coincy, au début du XIIIe siècle. L’origine de
ces mots remonte au latin Iudaeus, emprunté au grec ioudaiwv, dérivé du nom propre grec ioudaia, venant de
l’hébreu Yehudi, et signifiant : « de Juda », sous-entendre : « du Royaume de Juda », sous-entendre : « du royaume de la
tribu de Juda », sous entendre : « du royaume de la tribu constituée par les fils de Juda », sous entendre : « du royaume
de la tribu constituée par les fils de Juda, lui-même quatrième fils de Jacob-Israël », etc. C’est à cette tribu de Juda
qu’échoua aux temps bibliques, le territoire connu par l’Antiquité sous le nom de Judée.
[14] “What is the reason? I am a Iewe; hath not a Iewe eyes?”
[15] De même pour le mot « Juif » en français.
Benjamin-Freedman : L'histoire occultée des faux Hébreux
Pour le reste j'ai raison, et merci au père Nathan de l'avoir confirmé.
Dire la Vérité ne signifie pas éprouver de la haine pour qui que ce soit.
Jésus ne nous demande pas d'ignorer nos ennemis, il nous demande de les aimer.
Bien à vous dans le Christ,
Pécheur.
Pécheur- Aime la Divine Volonté
- Messages : 867
Inscription : 14/01/2016
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
annonciation a écrit:Je n'ai jamais compris cette accusation "des juifs" car il y avait bien des juifs ou juives qui pleuraient Jésus ou le suivaient quand il a porté la croix.
C'est une question de sémantique. En réalité, ceux qu'on appelle Juifs aujourd'hui n'ont aucun rapport avec Jésus et son entourage, que ce soit sur le plan racial ou religieux.
Dernière édition par Pécheur le Dim 8 Mai 2016 - 15:06, édité 1 fois
Pécheur- Aime la Divine Volonté
- Messages : 867
Inscription : 14/01/2016
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
«L' invasion arabe de l'Europe est un fait social Phrase du pape dans la conversation politique rapportée par La Vie n'est évidemment pas un appel à la croisade ! Décryptage de Jean-Pierre Denis, directeur de la rédaction.
Phrase qui ne fait aucun doute. Certes, l'éthique de responsabilité peut conduire à retenir des propos susceptibles d'être mal interprétés. Mais il y a des limites : On ne réécrit pas le pape. On ne le censure pas. Comme catholique, en tout cas, je ne m'y autorise pas. Mon choix a d'ailleurs été validé quand le terme a été repris par L'Osservatore Romano, le journal du Vatican.
La solution est d'ordre surnaturel, avec le temps a en gros expliqué le pape
Exactement ce que dit MJ Jahenny au début de ce fil
Phrase qui ne fait aucun doute. Certes, l'éthique de responsabilité peut conduire à retenir des propos susceptibles d'être mal interprétés. Mais il y a des limites : On ne réécrit pas le pape. On ne le censure pas. Comme catholique, en tout cas, je ne m'y autorise pas. Mon choix a d'ailleurs été validé quand le terme a été repris par L'Osservatore Romano, le journal du Vatican.
La solution est d'ordre surnaturel, avec le temps a en gros expliqué le pape
Exactement ce que dit MJ Jahenny au début de ce fil
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Merci pour cette réponse en différenciant judéens de juifs mais pourquoi ai-je encore entendu "juifs" de la part d'une personne qui n'est pas le prêtre à la messe , pourquoi ne donne-t'on pas la bonne sémantique une bonne fois pour toutes ? On sait bien que les anciens dans toutes les parties du monde ne sont pas exactement les mêmes que ceux d'aujourd'hui qu'il y a eu des mouvements de population sur toute la terre, des apports de différentes origines et que le présent n'est pas le passé mais ne lit-on pas Il vint à Nazareth où il avait été élevé, entra, selon sa coutume le jour du sabbat, dans la synagogue, et se leva pour faire la lecture.(sabbat et synagogue) et s'il n'y avait pas de juifs en ce temps là que ce mot a été inventé bien plus tard pourquoi l'entend-on encore ? Ce que je voulais dire c'est que ceux qui ont laissé le Christ à Ponce Pilate, qui sont-ils ? pardon d'avoir soulevé cette épine mais cela peut enfin éclairer notre monde d'une autre vision et en finir avec cela . On a aussi entendu parler de coutume de circoncision qui a été abandonnée mais de quelle religion alors ? En tout cas, tous les gens de l'ancienne synagogue judéenne (puisque juive n'existait pas) n'ont pas condamné Jésus, seuls quelques-uns.
annonciation- Près de Jésus Christ
- Messages : 28
Inscription : 06/05/2016
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
c'est une grande mystification qui sert le plan du Démon et de ses suppôts.
C'est pour cela qu'il importe de rétablie la Vérité qui nous rend libres.
C'est pour cela qu'il importe de rétablie la Vérité qui nous rend libres.
Pécheur- Aime la Divine Volonté
- Messages : 867
Inscription : 14/01/2016
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
annonciation a écrit:Ce que je voulais dire c'est que ceux qui ont laissé le Christ à Ponce Pilate, qui sont-ils ?
Le mieux est d'employer le terme Hébreux. Ceux qui ont fait condamner le Christ sont les Hébreux qui se sont coupés de Dieu par leur acte, n'ayant pas reconnu le Messie annoncé par les Écritures (c'était en majorité les fameux Pharisiens dénoncés par Jésus). Ils ont donné naissance à la religion talmudique ou rabbinique, celle qu'on appelle "juive" aujourd'hui.
annonciation a écrit:pardon d'avoir soulevé cette épine mais cela peut enfin éclairer notre monde d'une autre vision et en finir avec cela . On a aussi entendu parler de coutume de circoncision qui a été abandonnée mais de quelle religion alors ?
Le religion des Hébreux, celle d'Abraham, la véritable et éternelle religion à l'époque, que le Christ a poursuivi et que Dieu a épuré de coutumes humaines inadéquates.
annonciation a écrit:En tout cas, tous les gens de l'ancienne synagogue judéenne (puisque juive n'existait pas) n'ont pas condamné Jésus, seuls quelques-uns.
Oui, ceux qui l'ont condamné sont les "Juifs" d’aujourd’hui, les autres ont formé les premiers chrétiens.
Pécheur- Aime la Divine Volonté
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Inscription : 14/01/2016
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Pardon mais j'ai du mal avec cela. Je ne crois pas que les juifs d'aujourd'hui soient les descendants de ceux qui ont condamné Jésus. Comme je vous l'ai dit quelques-uns ont condamné , cela ne fait pas tous. Il y a des juifs que j'aime beaucoup aujourd'hui (), je ne leur vois aucun héritage à ce fait, ni même à leur religion ou à leur rabbins (d'autre part, j'apprécie les émissions sur la 2 que j'écoute souvent) et Jésus bien sûr est pour moi la Vérité. Je voudrais bien que le monde tourne la page sur cette erreur. Je prends pour exemple ma famille, si un membre rejette jésus, moi je l'ai dans mon coeur et dans mon esprit j'entends ses paroles. (après pour leur politique dans leur Etat, il y a de ma part, des questions voire des désapprobations)
annonciation- Près de Jésus Christ
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Inscription : 06/05/2016
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Ce sont les descendants spirituels de ceux qui ont condamné le Christ.
La religion juive actuelle est fondée sur le rejet du Christ et l'approbation de sa condamnation par le Sanhédrin.
La religion juive actuelle est fondée sur le rejet du Christ et l'approbation de sa condamnation par le Sanhédrin.
Pécheur- Aime la Divine Volonté
- Messages : 867
Inscription : 14/01/2016
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Ils ne reconnaissent pas le Christ et ils perdent beaucoup à ne pas le reconnaître, en effet. Pour le reste, vous avez déjà mon avis et je vous souhaite à tous un bon dimanche. Merci de m'avoir lue et d'avoir répondu.
annonciation- Près de Jésus Christ
- Messages : 28
Inscription : 06/05/2016
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
ils ne perdent pas que leur temps, ils perdent aussi leur Salut.
Pécheur- Aime la Divine Volonté
- Messages : 867
Inscription : 14/01/2016
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Dieu jugera ! mais cela n'empêche pas mon affection pour telle ou telle personne car on peut y trouver des bons samaritains ou des braves personnes. Je vais continuer à réfléchir sur le physicien Stephen Hawking dont je viens de regarder les théories. Il se trompe quand il réduit l'avant big-bang à l'absence de Créateur "car dit-il , il n'y a plus de temps"donc il ne peut y avoir autre chose mais Dieu est l' Eternel et l'éternité n'est pas soumise au temps donc sa démonstration ne tient pas. Il réduit aussi ses démonstrations sur la logique suivante, une cause produit un résultat et là il se trompe plusieurs causes produisent un effet ou plusieurs effets et il n'y a pas toujours linéarité. Il parlait de la disparition et l'apparition de protons mais est-il certain que ces particules disparaissent vraiment ?
annonciation- Près de Jésus Christ
- Messages : 28
Inscription : 06/05/2016
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Pourtant, chaque génération apporte des juifs à l'Eglise : Ste Thérèse d'A. St Dominique Guzman St Thomas d'A., des centaines de milliers connus, Rabbi Shaul Drach, Ratisbonne,
aujourd'hui Lustiger, la soeur de BHL Véronique
Les rois de France sont tous d'ascendance Davidique
Aucun ne renonce à sa judaité
Moi aussi je suis juif, même si je suis prêtre catholique
page prise sur un site sédévacantiste !!! .
aujourd'hui Lustiger, la soeur de BHL Véronique
Les rois de France sont tous d'ascendance Davidique
Aucun ne renonce à sa judaité
Moi aussi je suis juif, même si je suis prêtre catholique
page prise sur un site sédévacantiste !!! .
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Mais ce n'est pas le sujet du fil
Retour immédiat à la case départ !!
Convertir au Christ ou l'inverse?
Retour immédiat à la case départ !!
Convertir au Christ ou l'inverse?
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Et parmi les juifs aussi on y trouve des convertis au catholicisme. Père Nathan, merci pour ce témoignage. Et pour les non-convertis, ils le seront peut-être plus tard et même s'ils ne le sont pas (ou pas encore ou même jamais), j'en apprécie bien parmi certains d'entre eux. Bonne soirée !
annonciation- Près de Jésus Christ
- Messages : 28
Inscription : 06/05/2016
Aucune autre péponse que notre culpabilité
nous avons mis en place l'égrégore des pouvoirs et nous avons pour le vérifier l'apocalypse d'AMIDLISA ! Les responsables : C'EST NOUS !
Pere Nathan a écrit:Oui, pécheur oui oui oui
J'aime les musulmans
je n'aime pas ce qu''ILS en font
DIEU NE TRICHE PAS
Dieu ne triche pas. Il nous a proposé la Liberté et Jésus nous a indiqué les façons de vivre. Il nous a écrit les prémisses d'un nouveau code civil : mettre en place les conditions garantissant la Liberté et la Dignité individuelles.
Tant que nous élirons des adorateurs de l'argent reniant Dieu et méprisant le message de Jésus, nous construirons la maison de "MORTIFER" !
Tant que nous élirons des adorateurs de l'argent reniant Dieu et méprisant le message de Jésus, nous construirons la maison de "MORTIFER" !
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Je n'aime pas nos pouvoirs politiques actuels qui insistent pour cacher leurs crimes pour s'enrichir et demeurer intouchables, comme nous l'a révélé (décaché) l'admirable femme gendarme AMIDLISA !
Je crois que l'apocalypse de Saint Jean devrait s'appeler la prophétie de Saint Jean de Patmos, et que le vrai décachement des horreurs, c'est bien l'apocalypse d'AMIDLISA
Je crois que l'apocalypse de Saint Jean devrait s'appeler la prophétie de Saint Jean de Patmos, et que le vrai décachement des horreurs, c'est bien l'apocalypse d'AMIDLISA
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
Bonjour, j'ai été élevée au carrefour du monde. Des gens bien différents avec leur coutume parfois très colorées sont venus chez mes parents. Récemment j'ai invité une gitane pauvre, édentée et jeune femme juive malade (grave maladie) à la messe dans un quartier riche et avec des personnes parfois un peu snobs. Je sais ce qui est la Vérité mais je ne peux pas exclure les personne différentes y compris en religion quand elles sont de bons samaritains.
Luc 10:25-37
Alors un maître de la loi arrive. Il veut tendre un piège à Jésus et lui demande : « Maître, qu'est-ce que je dois faire pour recevoir la vie avec Dieu pour toujours ? » Jésus lui dit : « Qu'est-ce qui est écrit dans la loi ? Comment est-ce que tu le comprends ? » L'homme répond : « Tu dois aimer le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de tout ton être, de toute ta force et de toute ton intelligence. Et tu dois aimer ton prochain comme toi-même. »
Jésus lui dit : « Tu as bien répondu. Fais cela et tu vivras. »
L'histoire du bon Samaritain
Mais le maître de la loi veut montrer que sa question est juste. Il demande à Jésus : « Et qui est mon prochain ? » Jésus répond : « Un homme descend de Jérusalem à Jéricho. Des bandits l'attaquent. Ils lui prennent ses vêtements, ils le frappent et ils s'en vont en le laissant à moitié mort. Par hasard, un prêtre descend aussi sur cette route. Quand il voit l'homme, il passe de l'autre côté de la route et continue son chemin. Un lévite fait la même chose. Il arrive à cet endroit, il voit l'homme, il passe de l'autre côté de la route et continue son chemin. Mais un Samaritain en voyage arrive près de l'homme. Il le voit, et son cœur est plein de pitié pour lui. Il s'approche, il verse de l'huile et du vin sur ses blessures et il lui met des bandes de tissu. Ensuite, il le fait monter sur sa bête, il l'emmène dans une maison pour les voyageurs et il s'occupe de lui. Le jour suivant, le Samaritain sort deux pièces d'argent, il les donne au propriétaire de la maison, et il lui dit : “Occupe-toi de cet homme. Ce que tu dépenseras en plus pour lui, je le rembourserai moi-même quand je reviendrai par ici.” » Et Jésus demande : « À ton avis, lequel des trois voyageurs a été le prochain de l'homme attaqué par les bandits ? » Le maître de la loi répond : « C'est celui qui a été bon pour lui. » Alors Jésus lui dit : « Va, et toi aussi, fais la même chose ! »
Luc 10:25-37
Alors un maître de la loi arrive. Il veut tendre un piège à Jésus et lui demande : « Maître, qu'est-ce que je dois faire pour recevoir la vie avec Dieu pour toujours ? » Jésus lui dit : « Qu'est-ce qui est écrit dans la loi ? Comment est-ce que tu le comprends ? » L'homme répond : « Tu dois aimer le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de tout ton être, de toute ta force et de toute ton intelligence. Et tu dois aimer ton prochain comme toi-même. »
Jésus lui dit : « Tu as bien répondu. Fais cela et tu vivras. »
L'histoire du bon Samaritain
Mais le maître de la loi veut montrer que sa question est juste. Il demande à Jésus : « Et qui est mon prochain ? » Jésus répond : « Un homme descend de Jérusalem à Jéricho. Des bandits l'attaquent. Ils lui prennent ses vêtements, ils le frappent et ils s'en vont en le laissant à moitié mort. Par hasard, un prêtre descend aussi sur cette route. Quand il voit l'homme, il passe de l'autre côté de la route et continue son chemin. Un lévite fait la même chose. Il arrive à cet endroit, il voit l'homme, il passe de l'autre côté de la route et continue son chemin. Mais un Samaritain en voyage arrive près de l'homme. Il le voit, et son cœur est plein de pitié pour lui. Il s'approche, il verse de l'huile et du vin sur ses blessures et il lui met des bandes de tissu. Ensuite, il le fait monter sur sa bête, il l'emmène dans une maison pour les voyageurs et il s'occupe de lui. Le jour suivant, le Samaritain sort deux pièces d'argent, il les donne au propriétaire de la maison, et il lui dit : “Occupe-toi de cet homme. Ce que tu dépenseras en plus pour lui, je le rembourserai moi-même quand je reviendrai par ici.” » Et Jésus demande : « À ton avis, lequel des trois voyageurs a été le prochain de l'homme attaqué par les bandits ? » Le maître de la loi répond : « C'est celui qui a été bon pour lui. » Alors Jésus lui dit : « Va, et toi aussi, fais la même chose ! »
annonciation- Près de Jésus Christ
- Messages : 28
Inscription : 06/05/2016
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
A me relire j 'ai oubliés quelques s en chemin à leurs coutumes, les personnes différentes. La femme gitane exerce en maison de retraite et s'occupent avec beaucoup de patience et de gentillesse des personnes âgées. hélas elle subit des discriminations au travail parfois graves d'autres personnes qui ne sont pas tendres avec les personnes âgées à cause de sa maigreur , de sa peau et de ses dents manquantes. elle s'est parfois occupée gentiment de mes parents quand ils étaient en fin de vie pour me relayer à l'hôpital. Alors voilà , nous avons une société à reconstruire avec des personnes bien différentes qui sont françaises mais avec des racines bien différentes tout en préservant au mieux le message du Christ et c'est là que l'intelligence va être nécessaire.
annonciation- Près de Jésus Christ
- Messages : 28
Inscription : 06/05/2016
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
relire "j'ai oublié" , "s'occupe". je pars de ce forum pour quelques temps et vous souhaite de toujours garder la bonne humeur en toute circonstance même pour des avis différents.
annonciation- Près de Jésus Christ
- Messages : 28
Inscription : 06/05/2016
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
[info Message supprimé
Marie du 65
Marie du 65
Re: La France presque entièrement sera musulmanne; Marie Julie Jahenny
pour amidlisa vous avez un FIL en cours sur le forum :
dites-y en bref de quoi il retourne
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t11874-pedophilie-les-reseaux-de-l-horreur-la-verite-sur-la-pedocriminalite
Pax
PN
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