Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
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Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
Je propose d'ouvrir un fil consacré aux témoignages de foi de personnes connues médiatiquement...
Témoigner de sa foi est un acte fort qui mérite de faire écho ...
Au détour d'une interview, ou d'une phrase dite ici, ou d'un acte posé là, une facette plus intime et plus profonde est révélée...
Cela donne à saisir la dimension spirituelle qui traverse certaines personnalités en vue,
cela change notre regard sur eux,
et peut nous stimuler sur notre propre chemin...
Tout témoignage sera le bienvenu...
Gloire à Dieu !
Fraternellement
Voici une interview de Benoît Poelwoorde publiée le 27/08/2013 dans le Figaro...
Témoigner de sa foi est un acte fort qui mérite de faire écho ...
Au détour d'une interview, ou d'une phrase dite ici, ou d'un acte posé là, une facette plus intime et plus profonde est révélée...
Cela donne à saisir la dimension spirituelle qui traverse certaines personnalités en vue,
cela change notre regard sur eux,
et peut nous stimuler sur notre propre chemin...
Tout témoignage sera le bienvenu...
Gloire à Dieu !
Fraternellement
Voici une interview de Benoît Poelwoorde publiée le 27/08/2013 dans le Figaro...
Poelvoorde, photographe sans clichés
INTERVIEW -
Le comédien fait sa rentrée dans le film de Fabienne Godet Une place sur la terre et crée un festival littéraire à Namur.
Dans Une place sur la terre de Fabienne Godet, Benoît Poelvoorde, photographe désenchanté, a le cœur en écharpe. Pour l'instant, c'est son bras cassé qu'il porte en écharpe, en essayant courageusement de le rééduquer très vite après un accident de vacances, pour être prêt à tourner dans un mois Trois cœursde Benoît Jacquot , où il sera amoureux de deux sœurs, Charlotte Gainsbourg et Léa Seydoux. Entre-temps, il lance ce week-end à Namur l'Intime Festival, trois jours de lectures et d'échanges (du 30 août au 1er septembre). Rencontre avec un amoureux des femmes et des livres.
LE FIGARO. - Qu'est-ce qui vous a porté vers ce film?
Benoît POELVOORDE. - Le scénario m'a vraiment ému. Fabienne Godet est douce et délicate comme ses films. J'aime beaucoup les réalisatrices, parce qu'elles sont à la fois mère, femme, sœur. Elles m'ont donné mes plus beaux rôles. Le tournage était difficile parce qu'il n'y avait pas d'argent mais il était heureux pour la même raison: les gens qui s'engagent dans des films pauvres le font parce qu'ils les aiment.
Vous vous reconnaissez dans le personnage d'Antoine?
C'est un silencieux et je suis très bavard. J'aime la solitude, mais sans doute parce que je rencontre beaucoup de gens. Et la solitude ne m'empêche pas de parler, au chien, aux plantes. En ne disant rien, j'avais l'impression de ne pas travailler. Mais je me reconnais dans sa phrase sur le répondeur: «Surtout ne laissez pas de message!»
Un côté misanthrope?
Non, pas plus que moi. Il n'est pas agressif mais déconnecté. C'est important de pouvoir vivre avec les autres, mais, pour cela, il faut pouvoir vivre avec soi-même. Les hôpitaux sont peuplés de gens qui ne se supportent pas. On croit que les alcooliques cherchent à fuir. Mon expérience me dit au contraire que, paradoxalement, la boisson est leur seule façon de se reconnecter avec ce qui les entoure, de retrouver une place dans la société. Et je ne dis pas cela par compassion chrétienne, même si ça compte pour moi.
D'être chrétien?
Je me sens chrétien parce que c'est mon éducation, et je ne crois pas qu'on puisse renier les choses qui vous ont fondé. J'ai été élevé par une mère très croyante et par des curés qui ne m'ont pas battu ni traumatisé, contrairement à tous les clichés à la mode, qui m'énervent assez. J'ai la foi, et je crois que Dieu est amour. «Aimez-vous les uns les autres», c'est la phrase la plus culottée du monde, parce que si on se regarde, on n'est pas programmé pour s'aimer. J'ai tourné récemment un film de Xavier Beauvois, un sauvage plein d'amour pour les gens. Cela s'appelle La Rançon de la gloire, l'histoire vraie du vol du cercueil de Charlie Chaplin par deux malfrats. Tout ça sous la protection de sainte Rita, patronne des causes perdues: c'est un film suisse de Rita productions!
Vous créez un festival littéraire…
Le cinéma prenait trop de place dans ma vie, et peu de choses m'intéressent à part les voitures et les livres. J'habite Namur, où il y a trois excellents libraires, donc des lecteurs. Et j'adore entendre les livres lus. Prendre le temps de s'asseoir et d'écouter, passer trois jours ensemble à échanger, voilà. C'est la rencontre qui m'intéresse. Il y aura des comédiens, Catherine Frot, Édouard Baer, Éric Caravaca, et des écrivains qui liront leurs livres. Moi-même, je lirai une nouvelle de Laurent Gaudé écrite exprès pour ce festival.
Pourquoi l'appeler «l'Intime Festival»?
Tout grand livre est intime et nous construit dans l'intimité, je crois. L'intime, pour moi, ce n'est pas l'autobiographie, la confession. Le mot est assez galvaudé aujourd'hui. En fait, c'est comme ça que l'idée m'est venue: à cause du malaise que me donnait un livre. Il me livrait des choses que je n'avais pas envie de savoir. Si on continue, il y a une gêne: est-on encore dans l'intimité, ou dans une curiosité un peu malsaine? Mais si quelqu'un sait me raconter comment dort son chat, il me parle de moi, des moments de douceur de la vie. Je me souviens d'un documentaire sur Mondrian. Pendant l'interview, il manipulait une boîte d'allumettes sur la table. C'est un geste intime, que chacun peut lire à sa façon. Ou bien, tu croises le regard de quelqu'un qui se regarde dans la glace et surprend ton regard: il y a une délicatesse, dans cet échange subtil. Je crois que c'est cela, l'intime: la rencontre de deux subjectivités profondes.
http://www.lefigaro.fr/cinema/2013/08/27/03002-20130827ARTFIG00459-poelvoorde-photographe-sans-cliches.php
Dernière édition par Garabandal le Dim 26 Jan 2014 - 18:24, édité 1 fois
Garabandal- En adoration
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Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
Benoît Poelvoorde, un namurois comme moi. Je suis heureuse d'apprendre qu'il est chrétien
Chaton8- Aime le Rosaire
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Inscription : 18/02/2010
Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
Heureuse également de l'apprendre !
Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
cool je savais pas qu il était chretien
bach88- Combat avec Sainte Marie
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Inscription : 18/04/2009
Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
J'ai eu des problèmes avec lui à cause de ses premiers films dont le fameux inutile et pathétique "C’est arrivé près de chez vous" et ça m'est resté un peu.
Pourtant j'ai un solide humour et j'apprécie la dérision...
Mais bon : une brebis de Seigneur que je ne connaissais pas .... youppie !
Pourtant j'ai un solide humour et j'apprécie la dérision...
Mais bon : une brebis de Seigneur que je ne connaissais pas .... youppie !
Jean21- Pour la Paix
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Inscription : 21/10/2012
Laurent VOULZY un chanteur méditatif
http://bcove.me/a38si578
Le bouddhisme l'a fait revenir vers les chrétiens....il a compris beaucoup de choses.
Le bouddhisme l'a fait revenir vers les chrétiens....il a compris beaucoup de choses.
Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
Valéria Bruni-Tedeschi explique pourquoi la religion a beaucoup d'importance dans sa vie (23/10/13)
Dans une interview qu'elle a acordée à un quotidien régional en octobre 2013, Valéria Bruni-Tedeschi (la soeur aînée de Carla Bruni) a expliqué pourquoi la religion avait beaucoup d'importance dans sa vie :
"Cela vient sûrement de mon éducation : j'allais tous les dimanches à l'église, j'allais dans une école de soeurs à Turin... C'est peut-être l'inconscient collectif italien. Mon grand-père était juif et ça, on le ressent un peu dans mon histoire"
(ndlr : à noter que son grand-père, un célèbre industriel, s'est converti au christianisme pendant la seconde guerre mondiale et a épousé une catholique).
Au sujet de son dernier film, "Un château en Italie" (qui sortira sur les écrans le 30 octobre 2013), Valéria Bruni-Tedeschi dit : "Notre idée de départ pour le film était vraiment une recherche de la foi".
source : chere-gospa.eklablog.com
Dans une interview qu'elle a acordée à un quotidien régional en octobre 2013, Valéria Bruni-Tedeschi (la soeur aînée de Carla Bruni) a expliqué pourquoi la religion avait beaucoup d'importance dans sa vie :
"Cela vient sûrement de mon éducation : j'allais tous les dimanches à l'église, j'allais dans une école de soeurs à Turin... C'est peut-être l'inconscient collectif italien. Mon grand-père était juif et ça, on le ressent un peu dans mon histoire"
(ndlr : à noter que son grand-père, un célèbre industriel, s'est converti au christianisme pendant la seconde guerre mondiale et a épousé une catholique).
Au sujet de son dernier film, "Un château en Italie" (qui sortira sur les écrans le 30 octobre 2013), Valéria Bruni-Tedeschi dit : "Notre idée de départ pour le film était vraiment une recherche de la foi".
source : chere-gospa.eklablog.com
Anne ROUMANOFF parle de son baptême
Anne Roumanoff parle de son baptême et de ses origines juives
Voici un extrait de l'interview que l'humoriste Anne Roumanoff a accordée à Pèlerin dans le numéro du 16 janvier 2014 (à paraître demain) :
Pèlerin : Vous avez été baptisée à Pâques 2011…
AR : Je suis d'une famille juive non-pratiquante. Mon mari, catholique, est très croyant. C'est lui qui m'a fait découvrir la foi. Je l'accompagne à l'église depuis longtemps, mais je me sentais comme une catholique clandestine. J'assistais à la messe, sans pouvoir communier, c'était frustrant. Une amie de mes filles s'est fait baptiser vers 13 ans. Pendant la cérémonie, j'ai ressenti quelque chose de très fort, c'est ce qui m'a décidé à me faire baptiser. Et j'ai demandé à cette jeune fille d'être ma marraine, elle n'avait que 16 ans.
Pèlerin : Pourquoi cette démarche tardive ?
AR : Je pense que j'avais une soif spirituelle qui n'avait jamais été comblée dans mon enfance. Je ressentais un manque. Si j'avais épousé un juif, j'aurais certainement pratiqué le judaïsme.
Certains disent que j'ai trahi ma religion. Pourtant, Jésus était juif ! Et je me sens toujours juive.
http://chere-gospa.eklablog.com/les-echos-du-gotha-anne-roumanoff-parle-de-son-bapteme-et-de-ses-origi-a92226725
Voici un extrait de l'interview que l'humoriste Anne Roumanoff a accordée à Pèlerin dans le numéro du 16 janvier 2014 (à paraître demain) :
Pèlerin : Vous avez été baptisée à Pâques 2011…
AR : Je suis d'une famille juive non-pratiquante. Mon mari, catholique, est très croyant. C'est lui qui m'a fait découvrir la foi. Je l'accompagne à l'église depuis longtemps, mais je me sentais comme une catholique clandestine. J'assistais à la messe, sans pouvoir communier, c'était frustrant. Une amie de mes filles s'est fait baptiser vers 13 ans. Pendant la cérémonie, j'ai ressenti quelque chose de très fort, c'est ce qui m'a décidé à me faire baptiser. Et j'ai demandé à cette jeune fille d'être ma marraine, elle n'avait que 16 ans.
Pèlerin : Pourquoi cette démarche tardive ?
AR : Je pense que j'avais une soif spirituelle qui n'avait jamais été comblée dans mon enfance. Je ressentais un manque. Si j'avais épousé un juif, j'aurais certainement pratiqué le judaïsme.
Certains disent que j'ai trahi ma religion. Pourtant, Jésus était juif ! Et je me sens toujours juive.
http://chere-gospa.eklablog.com/les-echos-du-gotha-anne-roumanoff-parle-de-son-bapteme-et-de-ses-origi-a92226725
Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
Si des acteurs ou actrices sont chrétiens,leur premier témoignage est de ne pas accepter n'importe quel rôle mais seulement ceux qui sont conformes à la dignité humaine.
Benoit Poelvoorde a joué un rôle très rafraichissant dans les "émotifs anonymes" et d'autres bons films mais un des derniers est très douteux,malheureusement.
D'autres ont commencé par des films à scènes scabreuses et se sont convertis pas la suite,comme Brigitte Fossey qui lit maintenant des contes pour enfants.
De même le contesté Depardieu qui s'est fortement intéressé à la vie de Saint Augustin et qui maintenant est séduit par l'Orthodoxie.
Michael Londsdale également,après avoir été dans un rôle contestable en sa Jeunesse dans un film de Bunuel est devenu maintenant un grand témoin de sa foi dans le monde médiatique particulier du cinéma.
N'oublions pas notre regretté Michel Serraut,si talentueux,qui était chrétien pratiquant,malgré les personnages abominables qu'il incarnait au cinéma.Dans un interview qui portait sur la compatibilité de ces rôles avec sa foi catholique,il répondait avec pertinence:"En me mettant à la place de ces personnes,je les sauve"...à méditer.
Marie Christine Barrault a aussi fait une belle évolution spirituelle et si elle a parfois accepté de dévoiler son anatomie,elle n'hésite par à dire sa foi au Christ avec la belle lumière spirituelle qui lui est propre.
A bientôt!
Benoit Poelvoorde a joué un rôle très rafraichissant dans les "émotifs anonymes" et d'autres bons films mais un des derniers est très douteux,malheureusement.
D'autres ont commencé par des films à scènes scabreuses et se sont convertis pas la suite,comme Brigitte Fossey qui lit maintenant des contes pour enfants.
De même le contesté Depardieu qui s'est fortement intéressé à la vie de Saint Augustin et qui maintenant est séduit par l'Orthodoxie.
Michael Londsdale également,après avoir été dans un rôle contestable en sa Jeunesse dans un film de Bunuel est devenu maintenant un grand témoin de sa foi dans le monde médiatique particulier du cinéma.
N'oublions pas notre regretté Michel Serraut,si talentueux,qui était chrétien pratiquant,malgré les personnages abominables qu'il incarnait au cinéma.Dans un interview qui portait sur la compatibilité de ces rôles avec sa foi catholique,il répondait avec pertinence:"En me mettant à la place de ces personnes,je les sauve"...à méditer.
Marie Christine Barrault a aussi fait une belle évolution spirituelle et si elle a parfois accepté de dévoiler son anatomie,elle n'hésite par à dire sa foi au Christ avec la belle lumière spirituelle qui lui est propre.
A bientôt!
Dernière édition par pax et bonum le Ven 17 Jan 2014 - 20:14, édité 1 fois
pax et bonum- Avec les anges
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Inscription : 10/03/2007
Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
J'ai lu hier dans Ouest-France le témoignage du chanteur Michel Delpech, très émouvant !
Michel Delpech : « Dieu n’est pas rancunier, il attend toujours que nous venions à lui »
Le chanteur révèle le nom de son premier grand amour, le Christ, qu’il a perdu et retrouvé pour ne plus le quitter
Isabelle Cousturié
Qui est Dieu ? À quoi servent les rites, le pape, la messe ? Quel sens a la vie ? Quelle porte ouvre la mort ? Ce sont les questions dans lesquelles Michel Delpech, la star des Yé-yé des années 60 se plongeait quand il n'était pas sur scène, menant une double vie, de paillettes et de croyant.
Cette double vie il la révèle au public à l’âge de 68 ans, dans un petit livre de 240 pages intitulé « J'ai osé Dieu… ». La vedette se remet doucement d’un cancer de la gorge, une épreuve contre laquelle son amour du Christ, rencontré dans son enfance puis perdu et retrouvé entre 15 et 30 ans, pour finalement ne plus le quitter, l’armera, lui faisant oublier toutes les pudeurs à parler du vrai moteur de sa vie : la foi.
Michel Delpech a eu envie d'écrire. « Je sais, dit-il, que ce langage est difficilement audible, venant d'un chanteur populaire. Un chanteur de variétés qui lit les Pères de l'Église et ceux du désert est-il crédible ? Une star qui cultive sa vie intérieure en se passionnant pour la théologie a-t-elle le droit de dire qu'il ne s'agit pas d'une toquade passagère ? Je m'y risque quand même parce que je sais que si je m'en allais sans jamais en avoir parlé, j'aurais des regrets. »
Cette foi, il la taisait : par « Peur des railleries. Crainte d'ennuyer son auditoire. De dévoiler ce qu'il a de « bien plus intime que sa vie privée », commente François Vercelletto sur « Etats d'âme ».
Aujourd'hui, l'interprète de Chez Lorette et de Pour un flirt a franchi le pas et raconte dans son livre plus de 40 années d’intimité partagée, en coulisse, avec un « guide », un « ami », un « frère » nommé Jésus. « Un Dieu dont il s'était éloigné pendant une quinzaine d'années… avant d'être « happé » par le témoignage d'un moine, à la télé, au début des années 1980 », rapporte François Vercelletto, et qui lui a permis de ne pas sombrer.
« Dieu attend toujours que nous venions à lui. Il n'est pas rancunier. Il nous reçoit même si on le fait patienter » : Michel Delpech en est convaincu !
Lire l’article de François Vercelletto en se connectant à la page: http://religions.blogs.ouest-france.fr/archive/2014/01/15/michel-delpech-cachait-sa-foi-sous-les-paillettes-11027.html
Michel Delpech : « Dieu n’est pas rancunier, il attend toujours que nous venions à lui »
Le chanteur révèle le nom de son premier grand amour, le Christ, qu’il a perdu et retrouvé pour ne plus le quitter
Isabelle Cousturié
Qui est Dieu ? À quoi servent les rites, le pape, la messe ? Quel sens a la vie ? Quelle porte ouvre la mort ? Ce sont les questions dans lesquelles Michel Delpech, la star des Yé-yé des années 60 se plongeait quand il n'était pas sur scène, menant une double vie, de paillettes et de croyant.
Cette double vie il la révèle au public à l’âge de 68 ans, dans un petit livre de 240 pages intitulé « J'ai osé Dieu… ». La vedette se remet doucement d’un cancer de la gorge, une épreuve contre laquelle son amour du Christ, rencontré dans son enfance puis perdu et retrouvé entre 15 et 30 ans, pour finalement ne plus le quitter, l’armera, lui faisant oublier toutes les pudeurs à parler du vrai moteur de sa vie : la foi.
Michel Delpech a eu envie d'écrire. « Je sais, dit-il, que ce langage est difficilement audible, venant d'un chanteur populaire. Un chanteur de variétés qui lit les Pères de l'Église et ceux du désert est-il crédible ? Une star qui cultive sa vie intérieure en se passionnant pour la théologie a-t-elle le droit de dire qu'il ne s'agit pas d'une toquade passagère ? Je m'y risque quand même parce que je sais que si je m'en allais sans jamais en avoir parlé, j'aurais des regrets. »
Cette foi, il la taisait : par « Peur des railleries. Crainte d'ennuyer son auditoire. De dévoiler ce qu'il a de « bien plus intime que sa vie privée », commente François Vercelletto sur « Etats d'âme ».
Aujourd'hui, l'interprète de Chez Lorette et de Pour un flirt a franchi le pas et raconte dans son livre plus de 40 années d’intimité partagée, en coulisse, avec un « guide », un « ami », un « frère » nommé Jésus. « Un Dieu dont il s'était éloigné pendant une quinzaine d'années… avant d'être « happé » par le témoignage d'un moine, à la télé, au début des années 1980 », rapporte François Vercelletto, et qui lui a permis de ne pas sombrer.
« Dieu attend toujours que nous venions à lui. Il n'est pas rancunier. Il nous reçoit même si on le fait patienter » : Michel Delpech en est convaincu !
Lire l’article de François Vercelletto en se connectant à la page: http://religions.blogs.ouest-france.fr/archive/2014/01/15/michel-delpech-cachait-sa-foi-sous-les-paillettes-11027.html
myriam85- Contre le nouvel ordre mondial
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Localisation : Vendée
Inscription : 20/05/2008
Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
15 janvier 2014 Michel Delpech cachait sa foi sous les paillettes
La vedette qui enchaînait les tubes dans les années 1960 et 1970, confesse aujourd’hui un vieux secret : il est amoureux du Christ. Une foi qui résiste à toutes les épreuves. Même à celle du cancer.
Photo Bruno Klein
« Laisse les morts enterrer leurs morts. » Ces paroles de Jésus, dans l'Évangile, le touchent. Profondément. « Il faut être dans la vie », insiste-t-il. À près de 68 ans, Michel Delpech se relève doucement d'un cancer de la langue.
Une nouvelle épreuve, plus de trente ans après une grave dépression qu'il juge aujourd'hui étonnamment « plus dure encore que la souffrance physique ». Il l'avait vécue comme « une violente plongée en enfer » qu'il a appris « après coup à reconnaître comme un bien ».
Il sourit. Apaisé. Fort de la foi qui l'anime depuis son enfance. Mais qu'il vient seulement de confesser publiquement dans un petit livre bouleversant : J'ai osé Dieu. Oui, le chanteur populaire qui enchaîna les tubes dans les années 1960 et 1970 - Chez Laurette, Pour un flirt, Que Marianne était jolie, Le Loir-et-Cher... - l'avoue. Il a « probablement toujours été chrétien ».
Il le taisait. Peur des railleries. Crainte d'ennuyer son auditoire. De dévoiler ce qu'il a de « bien plus intime que sa vie privée. Je ne voulais pas non plus jouer le chrétien de service dans mon métier ».
Aujourd'hui, il franchit le pas. « Si je m'en allais sans jamais en avoir parlé, j'aurais des regrets. » Et l'homme n'est pas du style à nourrir des regrets. Même si la vedette paye aujourd'hui les excès de son ancienne vie de star et les ravages du tabac.
Près de quarante ans que Michel Delpech mène cette « double vie de paillettes et de croyant ». Qu'il partage son intimité, derrière la scène, avec un « guide », un « ami », un « frère » nommé Jésus.
Son « Dieu ». Un Dieu dont il s'était éloigné pendant une quinzaine d'années, de l'adolescence à la trentaine, avant d'être « happé » par le témoignage d'un moine, à la télé, au début des années 1980. Il écrit alors à cet ex-junkie devenu bénédictin à l'abbaye normande de Saint-Wandrille.
Odon le reçoit et achève de le « réconcilier avec le christianisme », lui qui a tâté toutes les spiritualités en vogue dans le monde du spectacle, du bouddhisme à la méditation transcendantale.
Il lui conseille des lectures. Et la star des années yé-yé dévore les écrits de Jean de La Croix, François de Sales, Thérèse de Lisieux, du starets Silouane... Il échange aussi avec le philosophe Gustave Thibon. « Tellement magnifique. »
En 1985, c'est LA « rencontre ». Michel vient d'épouser Geneviève. Un mariage religieux à l'Église copte. Le couple se rend à Jérusalem. Et là, au Saint-Sépulcre, « devant le tombeau du Christ, je me suis agenouillé et Jésus est entré dans ma vie, dans mon cœur. C'était très doux. J'ai vraiment ressenti que je revenais vers lui. Comme des épousailles », raconte-t-il.
Il ne s'en étonne guère. D'accord pour dire, comme le poète Paul Éluard, qu'« il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous ».
Dieu et lui ne se sont plus quittés depuis. En « ingrat », il l'engueule parfois, mais, le plus souvent, il le prie. « Une petite conversation directe qui n'est pas si simple que ça. » Pourtant, croit-il, « Dieu attend toujours que nous venions à lui. Il n'est pas rancunier. Il nous reçoit même si on le fait patienter ».
« Il faut parfois aller au bord du gouffre »
Il reprend : « Tout nous est proposé. Les épreuves comme les joies. Le cancer m'a fait comprendre qu'il ne fallait plus fumer. Il faut parfois aller jusqu'au bord du gouffre... » Sa foi l'a aidé à ne pas sombrer. Chrétien, Michel Delpech - « aussi à l'aise chez les coptes que chez les catholiques » - ne se revendique d'aucune église en particulier, à cheval entre orthodoxes et catholiques.
« Je le regrette, mais c'est comme ça. Leurs différences ne sont pas importantes pour moi, estime-t-il. Ce qui est important, c'est l'amour. »
« Aimer, c'est le vrai, le seul travail. Quand on aime, on ne fait plus d'erreurs. C'est la sagesse suprême. Ah, si je pouvais appliquer la maxime de saint Augustin : 'Aime et fais ce qui te plaît' ».
Une leçon de vie ? « Je fais ce que je peux... Je ne cherche pas à en donner. Je reste quelqu'un d'anxieux. » L'homme de foi s'avoue toujours « rongé par le doute ». La chanson dont il est le plus fier n'est-elle pas Quand j'étais chanteur ? Ne l'est-il plus ? « J'ai encore une ou deux chansons qui m'attendent. J'ignore si je les interpréterai un jour. Le cancer a attaqué mon instrument de travail... »
Son regard se voile. Mais la maladie n'a pas altéré sa quête spirituelle. « Aimer Jésus » est sa plus belle chanson d'amour, dit-il.
Celle qu'il n'a pas encore osé chanter.
J'ai osé Dieu, Presses de la Renaissance, 126 pages, 14,90 €.
La vedette qui enchaînait les tubes dans les années 1960 et 1970, confesse aujourd’hui un vieux secret : il est amoureux du Christ. Une foi qui résiste à toutes les épreuves. Même à celle du cancer.
Photo Bruno Klein
« Laisse les morts enterrer leurs morts. » Ces paroles de Jésus, dans l'Évangile, le touchent. Profondément. « Il faut être dans la vie », insiste-t-il. À près de 68 ans, Michel Delpech se relève doucement d'un cancer de la langue.
Une nouvelle épreuve, plus de trente ans après une grave dépression qu'il juge aujourd'hui étonnamment « plus dure encore que la souffrance physique ». Il l'avait vécue comme « une violente plongée en enfer » qu'il a appris « après coup à reconnaître comme un bien ».
Il sourit. Apaisé. Fort de la foi qui l'anime depuis son enfance. Mais qu'il vient seulement de confesser publiquement dans un petit livre bouleversant : J'ai osé Dieu. Oui, le chanteur populaire qui enchaîna les tubes dans les années 1960 et 1970 - Chez Laurette, Pour un flirt, Que Marianne était jolie, Le Loir-et-Cher... - l'avoue. Il a « probablement toujours été chrétien ».
Il le taisait. Peur des railleries. Crainte d'ennuyer son auditoire. De dévoiler ce qu'il a de « bien plus intime que sa vie privée. Je ne voulais pas non plus jouer le chrétien de service dans mon métier ».
Aujourd'hui, il franchit le pas. « Si je m'en allais sans jamais en avoir parlé, j'aurais des regrets. » Et l'homme n'est pas du style à nourrir des regrets. Même si la vedette paye aujourd'hui les excès de son ancienne vie de star et les ravages du tabac.
Près de quarante ans que Michel Delpech mène cette « double vie de paillettes et de croyant ». Qu'il partage son intimité, derrière la scène, avec un « guide », un « ami », un « frère » nommé Jésus.
Son « Dieu ». Un Dieu dont il s'était éloigné pendant une quinzaine d'années, de l'adolescence à la trentaine, avant d'être « happé » par le témoignage d'un moine, à la télé, au début des années 1980. Il écrit alors à cet ex-junkie devenu bénédictin à l'abbaye normande de Saint-Wandrille.
Odon le reçoit et achève de le « réconcilier avec le christianisme », lui qui a tâté toutes les spiritualités en vogue dans le monde du spectacle, du bouddhisme à la méditation transcendantale.
Il lui conseille des lectures. Et la star des années yé-yé dévore les écrits de Jean de La Croix, François de Sales, Thérèse de Lisieux, du starets Silouane... Il échange aussi avec le philosophe Gustave Thibon. « Tellement magnifique. »
En 1985, c'est LA « rencontre ». Michel vient d'épouser Geneviève. Un mariage religieux à l'Église copte. Le couple se rend à Jérusalem. Et là, au Saint-Sépulcre, « devant le tombeau du Christ, je me suis agenouillé et Jésus est entré dans ma vie, dans mon cœur. C'était très doux. J'ai vraiment ressenti que je revenais vers lui. Comme des épousailles », raconte-t-il.
Il ne s'en étonne guère. D'accord pour dire, comme le poète Paul Éluard, qu'« il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous ».
Dieu et lui ne se sont plus quittés depuis. En « ingrat », il l'engueule parfois, mais, le plus souvent, il le prie. « Une petite conversation directe qui n'est pas si simple que ça. » Pourtant, croit-il, « Dieu attend toujours que nous venions à lui. Il n'est pas rancunier. Il nous reçoit même si on le fait patienter ».
« Il faut parfois aller au bord du gouffre »
Il reprend : « Tout nous est proposé. Les épreuves comme les joies. Le cancer m'a fait comprendre qu'il ne fallait plus fumer. Il faut parfois aller jusqu'au bord du gouffre... » Sa foi l'a aidé à ne pas sombrer. Chrétien, Michel Delpech - « aussi à l'aise chez les coptes que chez les catholiques » - ne se revendique d'aucune église en particulier, à cheval entre orthodoxes et catholiques.
« Je le regrette, mais c'est comme ça. Leurs différences ne sont pas importantes pour moi, estime-t-il. Ce qui est important, c'est l'amour. »
« Aimer, c'est le vrai, le seul travail. Quand on aime, on ne fait plus d'erreurs. C'est la sagesse suprême. Ah, si je pouvais appliquer la maxime de saint Augustin : 'Aime et fais ce qui te plaît' ».
Une leçon de vie ? « Je fais ce que je peux... Je ne cherche pas à en donner. Je reste quelqu'un d'anxieux. » L'homme de foi s'avoue toujours « rongé par le doute ». La chanson dont il est le plus fier n'est-elle pas Quand j'étais chanteur ? Ne l'est-il plus ? « J'ai encore une ou deux chansons qui m'attendent. J'ignore si je les interpréterai un jour. Le cancer a attaqué mon instrument de travail... »
Son regard se voile. Mais la maladie n'a pas altéré sa quête spirituelle. « Aimer Jésus » est sa plus belle chanson d'amour, dit-il.
Celle qu'il n'a pas encore osé chanter.
J'ai osé Dieu, Presses de la Renaissance, 126 pages, 14,90 €.
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Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
foot,sexe jeux,fric...frikexe,footric,jexoot,froojexric...etc...
Dernière édition par pax et bonum le Mar 28 Jan 2014 - 11:03, édité 1 fois
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La foi de Radamel Falcao, l'attaquant vedette de l'AS Monaco
Falcao : « Mon cœur est détruit »
Radamel Falcao est sorti de son silence jeudi soir et a réagi sur Twitter pour remercier tous ceux qui l'ont soutenu après sa grave blessure au genou gauche.
Le Colombien affirme par ailleurs qu'il va s'en remettre à Dieu pour avoir une chance d'être présent au Brésil.
Sur un post sous forme de bloc note pris en photo, Radamel Falcao est sorti de son silence, jeudi soir sur Twitter. Apparemment très abattu, l’attaquant vedette de l’AS Monaco et de la sélection colombienne emploie des mots très forts pour exprimer sa profonde peine. « Je ne vous cache pas que ma tristesse est énorme, écrit Falcao.
Mon cœur est détruit, mais je m’accroche à l’espoir gros, comme une graine de moutarde mais suffisant pour me laisser croire qu’il me reste une chance de participer au Mondial.
Dieu rend possible l’improbable et je crois en lui. »
Victime d’une lésion du ligament croisé antérieur du genou gauche, l’ancien buteur de l’Atletico Madrid profite également de ce Tweet pour remercier tous ceux qui l’ont soutenu après cette grave blessure qui le privera de la fin de saison avec Monaco et très probablement également de la Coupe du Monde au Brésil. « Je voudrais tous vous remercier pour les messages de soutien qui me sont arrivés ces dernières heures du Monde entier. J'ai été très touché par l’affection que vous me portez. » El Tigre a également une grosse pensée pour ses anciens coéquipiers, qui lui ont rendu hommage jeudi soir en Coupe du Roi en portant un T-shirt « Fuerza Tigre » à leur entrée sur la pelouse pour affronter l'Athletic Bilbao. Radamel Falcao, présent jeudi à Porto pour y subir des examens, pourrait se faire opérer samedi.
- See more at: http://www.football365.fr/france/infos-clubs/monaco/falcao-mon-c-ur-est-detruit-1096328.shtml#sthash.AakBTNpG.dpuf
http://chere-gospa.eklablog.com/les-echos-du-gotha-la-foi-de-radamel-falcao-l-attaquant-vedette-de-l-a-a92226725
Radamel Falcao est sorti de son silence jeudi soir et a réagi sur Twitter pour remercier tous ceux qui l'ont soutenu après sa grave blessure au genou gauche.
Le Colombien affirme par ailleurs qu'il va s'en remettre à Dieu pour avoir une chance d'être présent au Brésil.
Sur un post sous forme de bloc note pris en photo, Radamel Falcao est sorti de son silence, jeudi soir sur Twitter. Apparemment très abattu, l’attaquant vedette de l’AS Monaco et de la sélection colombienne emploie des mots très forts pour exprimer sa profonde peine. « Je ne vous cache pas que ma tristesse est énorme, écrit Falcao.
Mon cœur est détruit, mais je m’accroche à l’espoir gros, comme une graine de moutarde mais suffisant pour me laisser croire qu’il me reste une chance de participer au Mondial.
Dieu rend possible l’improbable et je crois en lui. »
Victime d’une lésion du ligament croisé antérieur du genou gauche, l’ancien buteur de l’Atletico Madrid profite également de ce Tweet pour remercier tous ceux qui l’ont soutenu après cette grave blessure qui le privera de la fin de saison avec Monaco et très probablement également de la Coupe du Monde au Brésil. « Je voudrais tous vous remercier pour les messages de soutien qui me sont arrivés ces dernières heures du Monde entier. J'ai été très touché par l’affection que vous me portez. » El Tigre a également une grosse pensée pour ses anciens coéquipiers, qui lui ont rendu hommage jeudi soir en Coupe du Roi en portant un T-shirt « Fuerza Tigre » à leur entrée sur la pelouse pour affronter l'Athletic Bilbao. Radamel Falcao, présent jeudi à Porto pour y subir des examens, pourrait se faire opérer samedi.
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Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
En janvier 2014, un magazine people a demandé à une jeune actrice française ce qu'elle possédait de plus cher.
Cette dernière a répondu : "Mon chapelet. Il m'aide à me recentrer".
Qui est cette actrice ?
1-Vanessa Paradis
2-Laura Smet
3-Julie Depardieu
4-Charlotte Gainsbourg
5-Marion Cotillard
Réponse :
Cette dernière a répondu : "Mon chapelet. Il m'aide à me recentrer".
Qui est cette actrice ?
1-Vanessa Paradis
2-Laura Smet
3-Julie Depardieu
4-Charlotte Gainsbourg
5-Marion Cotillard
Réponse :
- Spoiler:
- 2
Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
Anne Roumanoff nous dit ce qui la touche le plus dans la religion catholique
En ce premier samedi du mois où la Vierge de Medjugorje nous appelle à la confession, voici un extrait d'une interview que l'humoriste Anne Roumanoff a accordée à la revue "Prier" en septembre 2008 :
Ce que j'aime dans la religion catholique, c'est le pardon. C'est même une des plus belles choses qui existent dans cette religion. Le pardon et l'amour. C'est Dieu qui nous pardonne, et nous aussi, les uns aux autres : "Pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés".
Bien sûr, c'est dur de pardonner; mais j'observe que les gens qui en veulent à quelqu'un pendant 150 ans restent dans la rancoeur, se détruisent et sont malheureux.
En ce premier samedi du mois où la Vierge de Medjugorje nous appelle à la confession, voici un extrait d'une interview que l'humoriste Anne Roumanoff a accordée à la revue "Prier" en septembre 2008 :
Ce que j'aime dans la religion catholique, c'est le pardon. C'est même une des plus belles choses qui existent dans cette religion. Le pardon et l'amour. C'est Dieu qui nous pardonne, et nous aussi, les uns aux autres : "Pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés".
Bien sûr, c'est dur de pardonner; mais j'observe que les gens qui en veulent à quelqu'un pendant 150 ans restent dans la rancoeur, se détruisent et sont malheureux.
Dans le monde du football...
Football : l'amour de Diego Alves pour la Vierge d'Aparecida
"La Vierge m'accompagne toujours"
Rome, 6 février 2014 (Zenit.org) Federico Cenci
Les gants de Diego Alves, gardien de but au club de Valence, en Espagne, sont des gants spéciaux : sur leur revers, on peut y voir Notre Dame d’Aparecida, sainte patronne du Brésil. Le joueur ne fait en effet aucun mystère sur sa dévotion à la Vierge, qui « lui donne confiance et sérénité ».
Le jeune Brésilien de 28 ans, d'origine italienne, est un gardien de but doué, ayant réussi la prouesse d’intercepter 12 des 24 tirs au but qu’il a dû parer depuis qu’il est en Espagne (2011). Un record qui le propulse dans les visées de l’équipe de Barcelone.
Diego Alves a fait ses classes dans une école de football à Rio de Janeiro (« Clube de Regatas RP »), puis au « Botafogo SP ». En 2004, le club brésilien « Atletico Mineiro » l’a engagé, puis le club espagnol « Almeria ». Depuis 2011, il est à Valence.
Néanmoins c’est à son style loin des stéréotypes qu’il doit aussi sa réputation : Diego Alves est connu dans son pays pour sa profonde foi chrétienne. Le jour de sa présentation à Valence, assailli par les questions des journalistes, il a confié sans embarras : « La Vierge m’accompagne toujours. Je suis quelqu’un de très religieux et Elle sera toujours avec moi ».
Diego est très attaché à la Vierge d’Aparecida, et ne manque pas, avant chaque match, d’embrasser une petite médaille qui provient du Sanctuaire où le pape François a consacré son pontificat l’été dernier (cf. Zenit du 24 juillet 2013).
« C’est un cadeau de ma tante, qui était très religieuse, à un moment où je vivais des choses très difficiles dans ma vie», a-t-il expliqué au cours d’une rencontre avec de jeunes catholiques d’Espagne.
« Elle me l’a offerte et m’a apporté beaucoup de réconfort. J’ai vécu beaucoup de belles choses et j’ai commencé à mieux connaître la Vierge ».
La Vierge est aussi dessinée sur ses gants de gardien : « je l’ai toujours sur moi, à tous les matchs, ça me donne confiance et sérénité ».
Comme la Vierge d’Aparecida, la famille de Diego a joué un rôle déterminant dans sa carrière : « La famille est la plus grande et la plus importante des certitudes que nous ayons. Pour moi cela a été le fondement de tout. Si je suis ici et que j’ai la tête sur les épaules, c’est grâce à ma famille ».
Dans le monde du ballon, sa foi n’est pas isolée : nombreux sont ceux (sud-américains, mais pas seulement) qui font partie des « Athlètes du Christ », une association d’inspiration évangélique.
On connaît aussi la foi de l’attaquant paraguayen Roque Santa Cruz, et celle Jesus Navas, un pilier de l’équipe nationale espagnole, qui porte des protège-tibias sur lesquels est écrit « Dieu est amour ».
En Italie, la foi de Javier Zanetti est bien connue. Le capitaine de l’Inter a créé la fondation « Pupi », en soutien aux pauvres de son pays d'origine, l’Argentine.
Un autre argentin, l’ancien footballeur Abel Balbo, est lui très attaché à la Vierge argentine de Lujan : il portait un brassard à son effigie, lorsqu’il était capitaine de l’équipe de Rome.
Traduction d’Océane Le Gall
"La Vierge m'accompagne toujours"
Rome, 6 février 2014 (Zenit.org) Federico Cenci
Les gants de Diego Alves, gardien de but au club de Valence, en Espagne, sont des gants spéciaux : sur leur revers, on peut y voir Notre Dame d’Aparecida, sainte patronne du Brésil. Le joueur ne fait en effet aucun mystère sur sa dévotion à la Vierge, qui « lui donne confiance et sérénité ».
Le jeune Brésilien de 28 ans, d'origine italienne, est un gardien de but doué, ayant réussi la prouesse d’intercepter 12 des 24 tirs au but qu’il a dû parer depuis qu’il est en Espagne (2011). Un record qui le propulse dans les visées de l’équipe de Barcelone.
Diego Alves a fait ses classes dans une école de football à Rio de Janeiro (« Clube de Regatas RP »), puis au « Botafogo SP ». En 2004, le club brésilien « Atletico Mineiro » l’a engagé, puis le club espagnol « Almeria ». Depuis 2011, il est à Valence.
Néanmoins c’est à son style loin des stéréotypes qu’il doit aussi sa réputation : Diego Alves est connu dans son pays pour sa profonde foi chrétienne. Le jour de sa présentation à Valence, assailli par les questions des journalistes, il a confié sans embarras : « La Vierge m’accompagne toujours. Je suis quelqu’un de très religieux et Elle sera toujours avec moi ».
Diego est très attaché à la Vierge d’Aparecida, et ne manque pas, avant chaque match, d’embrasser une petite médaille qui provient du Sanctuaire où le pape François a consacré son pontificat l’été dernier (cf. Zenit du 24 juillet 2013).
« C’est un cadeau de ma tante, qui était très religieuse, à un moment où je vivais des choses très difficiles dans ma vie», a-t-il expliqué au cours d’une rencontre avec de jeunes catholiques d’Espagne.
« Elle me l’a offerte et m’a apporté beaucoup de réconfort. J’ai vécu beaucoup de belles choses et j’ai commencé à mieux connaître la Vierge ».
La Vierge est aussi dessinée sur ses gants de gardien : « je l’ai toujours sur moi, à tous les matchs, ça me donne confiance et sérénité ».
Comme la Vierge d’Aparecida, la famille de Diego a joué un rôle déterminant dans sa carrière : « La famille est la plus grande et la plus importante des certitudes que nous ayons. Pour moi cela a été le fondement de tout. Si je suis ici et que j’ai la tête sur les épaules, c’est grâce à ma famille ».
Dans le monde du ballon, sa foi n’est pas isolée : nombreux sont ceux (sud-américains, mais pas seulement) qui font partie des « Athlètes du Christ », une association d’inspiration évangélique.
On connaît aussi la foi de l’attaquant paraguayen Roque Santa Cruz, et celle Jesus Navas, un pilier de l’équipe nationale espagnole, qui porte des protège-tibias sur lesquels est écrit « Dieu est amour ».
En Italie, la foi de Javier Zanetti est bien connue. Le capitaine de l’Inter a créé la fondation « Pupi », en soutien aux pauvres de son pays d'origine, l’Argentine.
Un autre argentin, l’ancien footballeur Abel Balbo, est lui très attaché à la Vierge argentine de Lujan : il portait un brassard à son effigie, lorsqu’il était capitaine de l’équipe de Rome.
Traduction d’Océane Le Gall
Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
jeudi 20 août 2015
Sylvester Stallone et sa foi en Jésus
Voilà maintenant quelques années que Sylvester Stallone, interprète des célèbres Rocky, Rambo ou plus récemment réalisateur du film Expendables, a rendu publique sa foi en Jésus.
Malgré ses déclarations, l’information n’a été que très peu relayée, ce genre de coming-out ne semblant pas susciter autant l’intérêt que d’autres !
Après avoir été élevé dans les valeurs chrétiennes au sein d’une famille catholique, l’acteur s’était détourné de la foi, se laissant gagner peu à peu par les sirènes Hollywoodiennes. Ce n’est qu’au début des années 2000 que Stallone redécouvrira le message de l’évangile et recommencera son parcours de foi.
Pour ce féru de sport et body-building, venir à l’église serait comme se rendre à la salle de gym de l’âme et les pasteurs en seraient les entraîneurs.
« Plus je me rends à l’église et plus ma foi en Jésus grandit ».
Dans le dernier opus de Rocky, « Rocky Balboa », sorti en 2006, le réalisateur de la saga, a souhaité faire le parallèle entre ce que vit Rocky et la marche avec Dieu…
Sylvester Stallone et sa foi en Jésus
Voilà maintenant quelques années que Sylvester Stallone, interprète des célèbres Rocky, Rambo ou plus récemment réalisateur du film Expendables, a rendu publique sa foi en Jésus.
Malgré ses déclarations, l’information n’a été que très peu relayée, ce genre de coming-out ne semblant pas susciter autant l’intérêt que d’autres !
Après avoir été élevé dans les valeurs chrétiennes au sein d’une famille catholique, l’acteur s’était détourné de la foi, se laissant gagner peu à peu par les sirènes Hollywoodiennes. Ce n’est qu’au début des années 2000 que Stallone redécouvrira le message de l’évangile et recommencera son parcours de foi.
Pour ce féru de sport et body-building, venir à l’église serait comme se rendre à la salle de gym de l’âme et les pasteurs en seraient les entraîneurs.
« Plus je me rends à l’église et plus ma foi en Jésus grandit ».
Dans le dernier opus de Rocky, « Rocky Balboa », sorti en 2006, le réalisateur de la saga, a souhaité faire le parallèle entre ce que vit Rocky et la marche avec Dieu…
« Rocky est une métaphore de la vie. Je me suis perdu en chemin puis j’ai réalisé que je devais revenir à la base et prendre ce qui était dans ma main pour le mettre dans le main de Dieu. Je ne peux pas croire que tout ce que j’ai fait je l’ai fait par moi-même, mais il y avait un appel pour partager un message, le message de Rocky, un homme qui se sacrifie et agit par amour des autres. Par la grâce de Dieu je suis là de nouveau. »
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
La seule star absolue du Chrétien, c’est Jésus-Christ "Soleil de justice portant la guérison dans ses rayons" (Ml 3,20). La Tradition dit aussi que Marie, "belle comme la lune" (Ct 6,10) reflète Sa lumière. Mais bon, il y a aussi de petites gloires humaines passagères, et parmi elles quelques unes, qui ne s’attribuent pas leur succès terrestre, scintillent aussi de la Lumière véritable. Remarquons que beaucoup sont d’Amérique (latine ou du nord) et sportifs : on attend que des témoins se lèvent pareillement d’autres pays et d’autres activités...
Eduardo Verastegui
Né en 1976, mannequin (pour Calvin Klein etc), chanteur (pour les studios Universal), acteur et producteur (cofondateur des studios Metanoia).
D’origine mexicaine (les gens l’appelaient là-bas le Brad Pitt de Mexico), il vit désormais en Californie. Connaissant par ses talents un grand succès très jeune, il en perçoit toute la vacuité et comprend vite que rien ici-bas ne peut le combler : il cherche quelque chose de plus vrai et plus profond. Après avoir lu "Rome sweet home" de Scott Hahn et été touché par le témoignage catholique de sa prof personnelle d’anglais, il va se confesser et se convertit en donnant toute sa vie au Christ (Il attribue aussi cette conversion aux prières de sa mère qui le voyait se perdre). "Je cherchais la célébrité, l’argent, le succès, les plaisirs, mais ce n’était que le poison de l’égoïsme en moi. Nous sommes tous faits pour beaucoup mieux que ça : connaître, aimer et servir le Christ ! ; et donc, pardonner plus, se plaindre moins, utiliser nos talents pour servir les autres."
"Parfois, nos rêves peuvent être nos pires ennemis, s’ils ne cherchent pas d’abord à faire régner le Christ dans notre cœurs et Le laisser guider nos vies".
Il demande à entrer au séminaire pour partir un jour comme missionnaire dans la jungle, mais un prêtre lui conseille de commencer par produire des films pour l’évangélisation, donner sa vie pour les âmes en se consacrant à la mission dans une autre jungle, Hollywood, et dans les medias.
Eduardo lit la Bible et les vies de saints (il cite notamment Mère Teresa), prie le bréviaire des fidèles et le chapelet, porte la médaille de Marie à la rue du Bac, va à la messe y compris en semaine, s’est engagé à se confesser chaque semaine, vit la chasteté (par exemple il refuse tout film incluant une scène de nudité), et défend la vie des enfants dans le sein de leurs mères : après avoir dénoncé les incitations d’associations à avorter plus fortes envers les hispaniques et autres classes défavorisées, il s’engage personnellement et son témoignage permet la naissance d’enfants dont plusieurs ont été nommés Eduardo par leurs parents. Il a fondé une clinique d’accueil pour jeunes femmes enceintes de milieux défavorisés (plus de mille déjà accueillies...). Il s’est aussi engagé publiquement pour la protection légale du statut du mariage naturel et historique entre un homme et une femme, au service du bien commun de la société.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
Chaton8 a écrit:Benoît Poelvoorde, un namurois comme moi. Je suis heureuse d'apprendre qu'il est chrétien
Pourtant, le dernier film où Benoit Poelvoorde joue est blasphématoire:
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t32832-les-films-de-plus-en-plus-blasphematoire-et-satanique-la-liste
Quel insulte envers Jésus-Christ!
Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
Chase Hilgenbrinck (ici à gauche ainsi que ci-dessus) était défenseur pour l’équipe de soccer des ligues majeures, la New England Revolution, lorsqu’il décida d’entrer au séminaire, en 2008.
Chase Hilgenbrinck
Né en 1982, ex-footballer professionnel, Séminariste
Né dans une famille catholique pratiquante de l’Illinois, servant de messe puis diplômé de l’Université de Caroline du Sud, il intègre l’équipe nationale junior des États-Unis puis la Major Soccer League (équivalent de la Ligue 1). Tout en vivant souvent loin de ses parents, il continue d’aller à la Messe et étudie la Bible. Pendant les matchs, il est repéré par un entraîneur du Chili, pays où il part et devient une star (2005-2008, dont 2 années meilleur joueur), tout en partageant ses gains. Il sort avec sa bonne amie.
Loin de son pays, il prend du temps pour réfléchir et prier ; il voit que cette vie qu’il mène et le succès ne peuvent pas le combler et commence à penser donner sa vie à Dieu et aux autres. De retour aux États-Unis, il fait un bref passage de joueur professionnel dans l’équipe des Colorado Rapids avant d’intégrer la New England Revolution (Foxborough, Massachussetts), sans doute la meilleure équipe des États-Unis. Mais il aspire à une autre couronne que celle sportive et périssable qu’évoque Paul (1Co 9,25) : la couronne du Sacerdoce in æternum, pour la plus grande gloire de Dieu et le salut des âmes…
Séminariste depuis trois ans, ce jeune athlète de 29 ans, au visage radieux et au corps bien découplé – malgré une taille plutôt raisonnable de 1,78 m –, se prépare à être un tout autre athlète : un athlète de Dieu.
Ci-dessous, un entretien de Chase dans un récent journal télévisé sur Fox News...
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
Chris Durán, de son vrai nom Christian Calderin, est un chanteur chrétien français né le 25 mai 1976 à Dieppe . Il est surtout connu au Brésil comme pasteur et chanteur (avec aussi un ministère de guérison).
Depuis son accident en 2003 au Chili , Chris est une personne profondément religieuse qui a abandonné le succès et la renommée de poursuivre Dieu. Dans leurs Etats site officiel: « … Je peux dire que la musique occupe désormais 40% de mon ministère. Le reste est précédée par l’administration de la Parole, la guérison et de salut. » Evangelista prêche la religion et la vie au Brésil.
http://www.chrisduran.com.br/
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
16.05.2014
Dolores Hart, la femme qui préféra Dieu à Elvis
Celle qui fut la première femme à embrasser Elvis Presley à l’écran est aujourd’hui prieure de l’abbaye de Regina Laudis, dans le Connecticut. Retour sur ce destin unique.
"Je n’ai jamais eu l’impression de quitter Hollywood, je n’ai jamais eu l’impression de quitter quoi que ce soit que l’on m’avait donné. L’abbaye était comme une grâce de Dieu, qui est entrée dans ma vie de manière totalement inattendue… Dieu était plus grand qu’Elvis”, raconte mère Dolores dans le film documentaire qui retrace sa vie.
L’appel de Dieu s’est présenté comme une évidence pour celle qui est devenue catholique à l’âge de 10 ans, une décision des plus surprenantes, étant donné que sa famille ne l’a jamais été. Née sous le nom de Dolores Hicks en 1938, elle était l’enfant unique des acteurs Bert et Harriet Hicks, qui ont divorcé alors qu’elle n’avait que 3 ans. Dès lors, elle grandit dans l’instabilité : elle vivait une partie de l’année à Chicago auprès de ses grands-parents, qui l’ont envoyée à la St Gregory Catholic School – tout simplement parce que c’était l’école la plus proche – puis elle passait ses vacances avec sa mère qui travaillait dans un cinéma à Beverly Hills, en Californie.
Jean XXIII à Dolores : Tu es Claire d’Assise !
Elle a poursuivi ses études au Marymount College, un autre établissement catholique de la région. C’est à cette occasion que la future star se découvre une passion pour la comédie, qui la conduira, notamment du fait de sa beauté, a être sélectionnée pour jouer avec Elvis Presley, dans le fameux film Loving You, sorti en 1957.
Dès lors, sa carrière était lancée : un an plus tard, elle réapparaissait aux côtés d’Elvis dans King Creole, un immense succès au box-office. Peu de temps après, elle jouera à Broadway (où elle recevra une récompense), puis dans Ces folles filles d’Ève en 1960, avant d’incarner Claire dans le film sur saint François d’Assise, avec Bradford Dillman dans le rôle principal. À cette occasion, la rencontre de l’actrice avec le pape Jean XXIII va être un élément déclencheur : alors que celle-ci se présenta à lui en tant que Dolores Hart, l’actrice qui jouait Claire, le Pape lui répondit alors: “Non, tu ES Claire !”. Encore aujourd’hui, mère Dolores garde un souvenir impérissable de cette rencontre, qui n’est certainement pas étrangère à sa vocation.
De Hollywood à l’Abbaye de Regina Laudis
La jeune femme qui était devenue l'une des étoiles montantes d'Hollywood tourna encore quatre films, jusqu’à la comédie Come Fly With Me, en 1963, aux côtés d’Hugh O’Brian. Dolores s’apprêtait à épouser Don Robinson, un brillant architecte, lorsqu’elle demanda aux soeurs de l’Abbaye de Regina Laudis- à laquelle elle se rendait régulièrement pour échapper au tourbillon, parfois rude, du succès - d'entrer dans leur communauté.
C’est ainsi qu’à 24 ans, au sommet de sa gloire, Dolores Hart choisit d’abandonner les feux des projecteurs pour débuter une vie de cloîtrée auprès des soeurs bénédictines. Une décision qui ne fut pas du goût de tout le monde, à commencer par ses producteurs hollywoodiens, furieux, mais également des amis de l’ex-actrice : « Même mon meilleur ami, le père Doody, qui était prêtre, me disait : Tu es folle. C’est de la pure folie de faire ça », se remémore-t-elle, cinquante ans après son entrée au couvent.
Malgré ces débuts mouvementés et un temps d’adaptation qu’elle décrit comme long et difficile, elle affirme ne pas regretter son choix le moins du monde. Son fiancé, qu’elle avait quitté pour rejoindre l’Ordre Bénédictin, fut l’un des seuls à comprendre l’appel qu’elle avait reçu, et resta un ami fidèle jusqu’à sa mort en 2011.
Mère Dolores est devenue Prieure de l’abbaye en 2001. Elle est aujourd’hui membre du jury des Oscars de l’Académie des Arts et des Sciences du Cinéma, au sein duquel elle est la seule religieuse. L’une des ses missions consiste à regarder des DVD de films nominés, que l’Académie envoie à son bureau. En 2012, la religieuse fit une apparition remarquée à la cérémonie des Oscars, pour la présentation du film documentaire retraçant l’histoire de sa vocation, God Is The Bigger Elvis.
Dolores Hart, la femme qui préféra Dieu à Elvis
Celle qui fut la première femme à embrasser Elvis Presley à l’écran est aujourd’hui prieure de l’abbaye de Regina Laudis, dans le Connecticut. Retour sur ce destin unique.
"Je n’ai jamais eu l’impression de quitter Hollywood, je n’ai jamais eu l’impression de quitter quoi que ce soit que l’on m’avait donné. L’abbaye était comme une grâce de Dieu, qui est entrée dans ma vie de manière totalement inattendue… Dieu était plus grand qu’Elvis”, raconte mère Dolores dans le film documentaire qui retrace sa vie.
L’appel de Dieu s’est présenté comme une évidence pour celle qui est devenue catholique à l’âge de 10 ans, une décision des plus surprenantes, étant donné que sa famille ne l’a jamais été. Née sous le nom de Dolores Hicks en 1938, elle était l’enfant unique des acteurs Bert et Harriet Hicks, qui ont divorcé alors qu’elle n’avait que 3 ans. Dès lors, elle grandit dans l’instabilité : elle vivait une partie de l’année à Chicago auprès de ses grands-parents, qui l’ont envoyée à la St Gregory Catholic School – tout simplement parce que c’était l’école la plus proche – puis elle passait ses vacances avec sa mère qui travaillait dans un cinéma à Beverly Hills, en Californie.
Jean XXIII à Dolores : Tu es Claire d’Assise !
Elle a poursuivi ses études au Marymount College, un autre établissement catholique de la région. C’est à cette occasion que la future star se découvre une passion pour la comédie, qui la conduira, notamment du fait de sa beauté, a être sélectionnée pour jouer avec Elvis Presley, dans le fameux film Loving You, sorti en 1957.
Dès lors, sa carrière était lancée : un an plus tard, elle réapparaissait aux côtés d’Elvis dans King Creole, un immense succès au box-office. Peu de temps après, elle jouera à Broadway (où elle recevra une récompense), puis dans Ces folles filles d’Ève en 1960, avant d’incarner Claire dans le film sur saint François d’Assise, avec Bradford Dillman dans le rôle principal. À cette occasion, la rencontre de l’actrice avec le pape Jean XXIII va être un élément déclencheur : alors que celle-ci se présenta à lui en tant que Dolores Hart, l’actrice qui jouait Claire, le Pape lui répondit alors: “Non, tu ES Claire !”. Encore aujourd’hui, mère Dolores garde un souvenir impérissable de cette rencontre, qui n’est certainement pas étrangère à sa vocation.
De Hollywood à l’Abbaye de Regina Laudis
La jeune femme qui était devenue l'une des étoiles montantes d'Hollywood tourna encore quatre films, jusqu’à la comédie Come Fly With Me, en 1963, aux côtés d’Hugh O’Brian. Dolores s’apprêtait à épouser Don Robinson, un brillant architecte, lorsqu’elle demanda aux soeurs de l’Abbaye de Regina Laudis- à laquelle elle se rendait régulièrement pour échapper au tourbillon, parfois rude, du succès - d'entrer dans leur communauté.
C’est ainsi qu’à 24 ans, au sommet de sa gloire, Dolores Hart choisit d’abandonner les feux des projecteurs pour débuter une vie de cloîtrée auprès des soeurs bénédictines. Une décision qui ne fut pas du goût de tout le monde, à commencer par ses producteurs hollywoodiens, furieux, mais également des amis de l’ex-actrice : « Même mon meilleur ami, le père Doody, qui était prêtre, me disait : Tu es folle. C’est de la pure folie de faire ça », se remémore-t-elle, cinquante ans après son entrée au couvent.
Malgré ces débuts mouvementés et un temps d’adaptation qu’elle décrit comme long et difficile, elle affirme ne pas regretter son choix le moins du monde. Son fiancé, qu’elle avait quitté pour rejoindre l’Ordre Bénédictin, fut l’un des seuls à comprendre l’appel qu’elle avait reçu, et resta un ami fidèle jusqu’à sa mort en 2011.
Mère Dolores est devenue Prieure de l’abbaye en 2001. Elle est aujourd’hui membre du jury des Oscars de l’Académie des Arts et des Sciences du Cinéma, au sein duquel elle est la seule religieuse. L’une des ses missions consiste à regarder des DVD de films nominés, que l’Académie envoie à son bureau. En 2012, la religieuse fit une apparition remarquée à la cérémonie des Oscars, pour la présentation du film documentaire retraçant l’histoire de sa vocation, God Is The Bigger Elvis.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Conversion
Ces deux derniers posts ont déjà été mis sur ce fil : pourquoi ramener la même chose !Ce n'est pas nouveau !!
Bretagne
Bretagne
Bretagne- Pour le roi
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Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
@Bretagne
Cesse donc une fois pour toutes de tout critiquer négativement.
Au lieu de cela, prend donc le temps de lire les témoignages... Cela t'apportera beaucoup plus !
Cesse donc une fois pour toutes de tout critiquer négativement.
Au lieu de cela, prend donc le temps de lire les témoignages... Cela t'apportera beaucoup plus !
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
Pour ma part, c'est nouveau, je ne connaissais pas.
Le témoignage sur la vie de Cris Duran est particulièrement impressionnant...
Les guérisons sont saisissantes.
L'amour de Dieu est bien à l'oeuvre en lui.
Le témoignage sur la vie de Cris Duran est particulièrement impressionnant...
Les guérisons sont saisissantes.
L'amour de Dieu est bien à l'oeuvre en lui.
Garabandal- En adoration
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conversion
je ne critique pas négativement : je CONSTATE que tu ramènes souvent les mêmes sujets ;Pourquoi?
Et je ne crois pas que ce soit ce genre de lecture qui puisse m'apporter "beaucoup" comme tu l'écris .il y a quantité de vies de saints etc....
Et je ne crois pas que ce soit ce genre de lecture qui puisse m'apporter "beaucoup" comme tu l'écris .il y a quantité de vies de saints etc....
Bretagne- Pour le roi
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Inscription : 19/10/2010
Re: Des célébrités de tous genres témoignent de leur foi chrétienne
Bretagne a écrit:je ne critique pas négativement : je CONSTATE que tu ramènes souvent les mêmes sujets ;Pourquoi?
Et je ne crois pas que ce soit ce genre de lecture qui puisse m'apporter "beaucoup" comme tu l'écris .il y a quantité de vies de saints etc....
Alors si ce fil de discussion ne t'intéresse pas, n'y viens plus et cesse de critiquer !!!
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Conversion
Je te demandais poliment pourquoi tu postais plusieurs fois les MEMES sujets : ça alourdit le fil pour rien !
Bretagne- Pour le roi
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Inscription : 19/10/2010
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