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Papyrus du IVe siècle affirmant que Jésus était marié : Vrai ou faux ?

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Papyrus du IVe siècle affirmant que Jésus était marié : Vrai ou faux ? - Page 3 Empty Re: Papyrus du IVe siècle affirmant que Jésus était marié : Vrai ou faux ?

Message par Lotfi Ven 18 Avr 2014 - 0:54

....Suite

II - Condamnation des erreurs et doctrine de l’Église touchant la chasteté parfaite.

31. Cette doctrine qui établit l’excellence et la supériorité de la virginité et du célibat sur le mariage, comme Nous l’avons dit, a déjà été énoncée par le divin Rédempteur et l’Apôtre des nations ; de même au Concile de Trente [57] elle fut solennellement définie comme dogme de foi divine et les Pères et les Docteurs de l’Église ont toujours été unanimes à l’enseigner. Nous-même, comme Nos Prédécesseurs, chaque fois que l’occasion Nous en a été donnée, Nous n’avons cessé de l’exposer et de la recommander vivement. Cependant comme récemment plusieurs ont attaqué cette même doctrine transmise par l’Église, non sans graves dangers et dommages pour les fidèles en raison des devoirs de Notre charge, Nous avons jugé opportun de l’exposer à nouveau dans cette Encyclique et de dévoiler et condamner les erreurs qui bien souvent, sont proposées sous la fausse apparence de la vérité.

La chasteté ne nuit pas à l’organisme humain


32. D’abord, selon le sentiment commun d’hommes éprouvés auquel l’Église a toujours fait honneur, ceux qui considèrent l’instinct sexuel naturel comme la plus importante et la plus grande inclination de l’organisme humain et par conséquent en concluent que l’homme ne peut pendant toute sa vie contenir un tel instinct sans courir le grave danger de détériorer son organisme et particulièrement ses nerfs, et donc de nuire à l’équilibre de sa personnalité, sont sans aucun doute dans l’erreur.

33. Comme saint Thomas le fait justement observer, l’instinct qui est le plus profondément enraciné dans notre âme est celui de la conservation, l’instinct sexuel ne vient qu’en second lieu. De plus, il appartient à l’impulsion dirigeante de la raison humaine, ce privilège singulier de notre nature de maîtriser les impulsions et les instincts et de les ennoblir en les dirigeant avec rectitude [58].

34. Il est vrai, malheureusement qu’après le premier péché d’Adam, les facultés et les désirs déréglés de notre corps cherchent à dominer non seulement les sens, mais les âmes en obscurcissant les esprits et en affaiblissant les volontés. Mais la grâce de Jésus-Christ nous est donnée particulièrement dans les sacrements pour que vivant de l’esprit, nous réduisions notre corps en servitude [59]. La vertu de chasteté n’exige pas de nous que nous ne sentions pas l’aiguillon de la concupiscence, mais plutôt que nous le soumettions à la juste raison et à la loi de la grâce, en le faisant tendre de toutes nos forces à ce qu’il y a de plus noble dans la vie humaine et chrétienne.

35. Pour acquérir parfaitement cette domination de l’âme sur les sens, il ne suffit pas de s’abstenir seulement des actes qui sont directement contraires à la chasteté, mais il est absolument nécessaire de renoncer volontairement et généreusement à tout ce qui de près ou de loin offense cette vertu ; l’âme régnera alors pleinement sur ce corps et pourra avec tranquillité et liberté vivre de sa vie spirituelle. Qui ne voit parmi ceux qui sont imprégnés des principes de la religion catholique que la virginité et la chasteté parfaite loin de nuire au développement et au progrès naturels de l’homme et de la femme, les augmentent et les ennoblissent au plus haut point ?

On ne se sanctifie pas mieux dans le mariage que dans la virginité

36. Récemment, Nous avons avec regret condamné l’opinion de ceux qui vont jusqu’à dire que seul le mariage peut assurer à la personnalité humaine le développement naturel et la perfection voulue [60]. Certains, en effet affirment que la grâce donnée ex opere operato dans le sacrement de Mariage, sanctifie l’usage du mariage jusqu’à en faire un moyen plus efficace que la virginité elle-même pour unir les âmes à Dieu puisque le Mariage chrétien est un sacrement tandis que la virginité ne l’est pas. Nous dénonçons cette doctrine comme fausse et pernicieuse. Certes, ce sacrement donne aux époux la grâce d’accomplir saintement leur devoir conjugal et renforce les liens de l’amour réciproque qui les unit : cependant il n’a pas été institué pour faire de l’usage du mariage en quelque sorte, un moyen plus apte en soi à unir à Dieu les âmes des époux par les liens de la charité [61]. Saint Paul n’a-t-il pas plutôt reconnu aux époux le droit de s’abstenir de l’usage du mariage pour un certain temps afin de vaquer à la prière [62], parce que cette abstinence rend plus libre l’âme de celui qui veut s’adonner aux choses de Dieu et à la prière ?

37. Enfin, on ne peut pas affirmer, comme le font certains, que « l’aide mutuelle » [63] que les époux cherchent dans le mariage chrétien, soit pour leur propre sanctification une aide plus parfaite que — selon l’expression utilisée — la solitude de cœur des vierges et des non-mariés. Car bien que ceux qui ont embrassé l’état de chasteté parfaite aient renoncé à l’amour humain on ne peut dire que par cette renonciation ils aient diminué ou dépouillé leur personnalité humaine. Ils reçoivent, en effet, du Rémunérateur céleste lui-même, un don spirituel qui dépasse de loin « l’aide mutuelle » qu’il est donné aux époux de recevoir l’un de l’autre. En se consacrant à Celui qui est leur principe et qui leur communique sa vie divine, bien loin de s’appauvrir, ils s’enrichissent au plus haut point. Qui pourrait prendre à son compte d’une façon plus vraie que les vierges cette phrase admirable de saint Paul : « Ce n’est pas moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi ? » [64]

38. C’est pour cette raison que l’Église estime avec sagesse devoir maintenir le célibat des prêtres parce qu’elle sait qu’il est et doit être une source de grâces qui les unit plus intimement à Dieu.

L’apostolat n’est pas plus efficace dans le mariage que dans la virginité


39. Nous estimons opportun de parler encore de ceux qui pour détourner les jeunes gens des Séminaires et les jeunes filles des Instituts religieux, essayent de les persuader que l’Église, aujourd’hui, a davantage besoin de l’aide et des exemples de vertu chrétienne de ceux qui sont unis dans le mariage et vivent au milieu des autres hommes que des prêtres et des religieuses qui, à cause de leur vœu de chasteté vivent comme séparés de la société humaine. Il n’est personne, Vénérables Frères, qui ne voie que cette opinion est absolument fausse et pernicieuse.

40. Ce n’est certes pas notre intention de nier que les époux catholiques par les exemples de leur vie chrétienne dans leur milieu de vie et d’affaires peuvent porter des fruits abondants et salutaires par le témoignage de leurs vertus. Cependant, celui qui, pour cette raison suggère qu’il est préférable de vivre dans le mariage que de se consacrer à Dieu invertit et confond l’ordre normal des choses. Il est certain que nous désirons ardemment, Vénérables Frères que ceux qui sont déjà mariés ou aspirent à le devenir soient instruits du grave devoir qui leur incombe, non seulement d’élever avec un soin parfait leurs enfants, mais d’aider les autres, dans la mesure de leurs moyens, par leurs bons exemples et le témoignage de leur foi. Mais ceux qui cherchent à détourner les adolescents d’entrer au Séminaire ou dans les Ordres et Congrégations religieuses et de prononcer les saints vœux en les persuadant qu’ils peuvent en se mariant faire davantage de bien spirituel par la profession publique et visible de leur vie chrétienne en tant que père ou mère de famille, tous ceux-là, comme la conscience de Notre charge Nous en fait un devoir. Nous ne pouvons que les condamner absolument. ils feraient beaucoup mieux d’exhorter avec le plus de zèle possible ceux qui, nombreux, vivent dans le mariage à coopérer avec empressement aux œuvres d’apostolat laïque, plutôt que de chercher à détourner de l’état de virginité les jeunes aujourd’hui malheureusement peu nombreux, qui veulent se consacrer au service de Dieu. Saint Ambroise écrit opportunément, à ce propos : « Il a toujours appartenu à la grâce sacerdotale de répandre la semence de la chasteté et de susciter l’amour de la virginité » [65].

41. Nous estimons en outre devoir avertir qu’il est absolument faux d’affirmer que ceux qui embrassent une vie de chasteté parfaite sont comme étrangers à la communauté des hommes. Les religieuses qui consacrent leur vie au service des pauvres et des malades sans distinction de race, de condition sociale ou de religion, ne sont-elles pas unies intimement aux misères et aux douleurs de ces derniers et n’y compatissent-elles pas comme le feraient leurs mères ? De même, le prêtre, à l’exemple du divin Maître, ne remplit-il pas l’office de bon pasteur qui connaît ses brebis et les appelle par leur nom ? [66] C’est là une conséquence de la chasteté parfaite que pratiquent ces prêtres, ces religieux et ces religieuses qu’ils puissent se dévouer à tous les hommes et les aimer tous de l’amour du Christ. Même ceux qui mènent la vie contemplative, parce qu’ils offrent à Dieu non seulement leurs prières et leurs supplications, mais aussi leur propre immolation pour le salut des autres, contribuent beaucoup au bien de l’Église ; ils sont même hautement louables, car, dans les circonstances présentes, ils se consacrent aux œuvres d’apostolat et de charité selon les directives que Nous avons données dans la Lettre apostolique Sponsa Christi [67] ; ils ne peuvent pas être considérés comme étrangers à la société, puisqu’ils contribuent doublement au bien spirituel des hommes.



III - Les moyens de conserver la chasteté parfaite

42. Nous en venons maintenant, Vénérables Frères, aux conséquences pratiques qu’on peut déduire de la doctrine de l’Église sur l’excellence de la virginité.

43. Il faut d’abord dire clairement ceci : de ce que la virginité doit être estimée comme un état plus parfait que le mariage, on ne doit pas conclure qu’elle doive être considérée comme nécessaire pour parvenir à la perfection chrétienne. Il est possible de vivre saintement, même sans chasteté consacrée à Dieu, comme le prouve l’exemple de tant de saints et de saintes, honorés par l’Église d’un culte public, qui ont été des époux fidèles et d’excellents pères et mères de famille ; et il n’est pas rare de rencontrer des époux qui recherchent ardemment la perfection chrétienne.

La chasteté est la conséquence d’un choix libre et prudent


44. Il faut en outre faire observer que Dieu n’a pas imposé la virginité à tous les chrétiens, comme l’enseigne saint Paul par ces paroles : « Pour ce qui est des vierges, je n’ai pas de commandement du Seigneur, mais je donne un conseil » [68]. Ce n’est qu’un conseil qui nous invite à embrasser la chasteté comme conduisant ceux « à qui cela a été donné » [69], d’une façon plus sûre et plus facile à la perfection évangélique à laquelle ils aspirent et au royaume de Dieu ; comme le fait remarquer justement saint Ambroise, " elle est proposée et non imposée » [70].

45. C’est pourquoi, d’une part, la chasteté parfaite postule des chrétiens un libre choix avant qu’ils s’offrent et se consacrent à Dieu ; d’autre part, elle postule de Dieu lui-même un don et une grâce supérieure [71]. Déjà le divin Rédempteur lui-même nous a avertis à ce sujet en disant : « Tous ne comprennent pas cette parole mais seulement ceux à qui cela a été donné… Comprenne qui peut comprendre » [72]. Commentant cette parole de Jésus-Christ, saint Jérôme invite « chacun à estimer ses propres forces pour savoir s’il lui sera possible de pratiquer la virginité et d’obéir aux préceptes de la pureté. La chasteté en elle-même est en effet, douce et attirante pour tous. Mais il faut bien mesurer ses forces pour que celui qui peut comprendre comprenne. La voix du Seigneur semble encourager et exhorter ses soldats à recevoir la récompense de la chasteté. Que celui qui peut comprendre comprenne : que celui qui peut combattre combatte, vainque et triomphe » [73].

C’est une vertu difficile…


46. La virginité est, en effet, une vertu difficile : pour pouvoir la pratiquer, il ne suffit pas seulement d’être fermement et expressément décidé à s’abstenir d’une façon absolue et pour toujours des plaisirs licites du mariage, il faut encore pour contenir et maîtriser les révoltes de la chair et les passions du cœur par une vigilance et une lutte constantes fuir les attraits du monde afin de triompher des tentations du démon. Combien vraie est cette phrase de saint Jean Chrysostome : « La racine et le fruit de la virginité, c’est une vie crucifiée » [74]. La virginité, en effet, selon Saint Ambroise, est comme un sacrifice et la vierge elle-même « une hostie de pureté, une victime de la chasteté » [75]. Mieux, Méthode, évêque d’Olympe, compare les vierges aux martyrs [76], et saint Grégoire le Grand enseigne que la chasteté parfaite supplée le martyre : « Car, bien que le temps de la persécution soit passé, notre paix a cependant son martyre ; bien que nous ne présentions pas notre cou au fer, nous tuons les désirs charnels avec un glaive spirituel » [77]. C’est pourquoi la chasteté consacrée à Dieu exige des âmes fortes et nobles qui soient prêtes à lutter et à vaincre « pour le royaume des cieux » [78].

47. Avant de s’engager sur ce chemin ardu, que ceux à qui l’expérience a appris qu’ils ont l’âme trop faible écoutent humblement cet avertissement de saint Paul : « S’ils ne peuvent se contenir, qu’ils se marient ; car il vaut mieux se marier que de brûler » [79]. Pour beaucoup en effet la continence perpétuelle serait une charge beaucoup trop lourde pour qu’on puisse la leur conseiller. De même les prêtres en aidant de leurs conseils les adolescents qui disent sentir l’appel au sacerdoce ou à la vocation religieuse, ont le strict devoir de les exhorter à considérer la chose attentivement, de façon à ce qu’ils ne s’engagent pas dans un chemin dont on ne peut pas espérer qu’ils le parcourront jusqu’au bout avec constance et succès. Qu’ils examinent prudemment leurs aptitudes, en demandant conseil même à des médecins chaque fois que cela leur semblera nécessaire : alors, s’il reste un doute sérieux, surtout à cause de l’expérience de leur vie passée, qu’ils usent de leur autorité pour dissuader les candidats d’embrasser l’état de chasteté parfaite, et pour empêcher leur admission aux Ordres sacrés et à la profession religieuse.

… Mais elle est possible, avec la grâce de Dieu…


48. Bien que la chasteté consacrée à Dieu soit une vertu difficile, cependant, ceux qui, à l’invitation de Jésus-Christ, après un sérieux examen, répondent d’un cœur généreux et font tout leur possible pour la pratiquer, peuvent la conserver fidèlement et parfaitement. En effet, en acceptant cet état de virginité et de célibat, ils reçoivent de Dieu la grâce avec l’aide de laquelle ils pourront garder leur promesse. C’est pourquoi, si d’aventure ils s’en trouvaient « qui ne pensent pas avoir reçu le don de la chasteté (même s’ils en ont fait le vœu) » [80], qu’ils ne prétendent pas à cause de cela ne pouvoir satisfaire à leurs obligations sur ce point : car « Dieu ne commande pas des choses impossibles, mais en commandant il conseille, et de faire ce que tu peux et de demander ce que tu ne peux pas [81]. Rappelons cette vérité si consolante aussi à ceux dont la volonté est affaiblie par des troubles nerveux et auxquels certains médecins, parfois même catholiques, conseillent avec trop de facilité — sous ce prétexte fallacieux qu’ils ne pourront jamais conserver la chasteté sans nuire à leur équilibre mental — de se faire relever de leurs obligations. Combien il serait plus utile et opportun d’aider ces malades à fortifier en leur volonté et des les convaincre que la chasteté n’est pas impossible, même pour eux, selon la parole de l’Apôtre : « Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces ; mais avec la tentation, il ménagera aussi une heureuse issue en vous donnant le pouvoir de la supporter » [82].

49. Les moyens recommandés par le divin Rédempteur lui-même pour protéger efficacement notre vertu sont : une vigilance assidue et attentive, grâce à laquelle nous faisons soigneusement ce qui est en notre pouvoir : et en outre une prière constante par laquelle nous demandons à Dieu ce que, en raison de notre faiblesse, nous ne pouvons pas faire : « Veillez et priez afin que vous n’entriez point en tentation ; l’esprit est prompt, mais la chair est faible » [83].

… La vigilance est la mortification…


50. Une telle vigilance, qui doit s’étendre à tous les instants et toutes les circonstances de notre vie, nous est absolument nécessaire : « Car la chair a des désires contraires à ceux de l’esprit et l’esprit en a de contraires à ceux de la chair » [84]. Si quelqu’un fait des concessions, même petites, aux désirs de la chair, il se sentira facilement entraîné à ces « œuvres de la chair » que l’Apôtre énumère [85], et qui sont les vices les plus honteux et les plus repoussants de l’humanité.

51. A cause de cela, il faut avant tout que nous veillions sur les mouvements des passions et des sens et que nous les maîtrisions par une austérité volontaire de vie et les pénitences corporelles de façon à nous soumettre à la juste raison et à la loi de Dieu : « Ceux qui sont à Jésus-Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses convoitises » [86]. L’Apôtre des nations avoue au sujet de lui-même : « Je traite durement mon corps et je le tiens en servitude de peur qu’après avoir prêché aux autres, je ne sois moi-même réprouvé » [87]. Tous les saints et saintes ont veillé attentivement aux mouvements de leurs sens et des passions et quelquefois les ont maîtrisés énergiquement, selon les paroles du divin Maître lui-même qui nous enseigne : « Et moi je vous dis que quiconque regarde une femme avec convoitise, a déjà commis l’adultère avec elle dans son cœur. Si ton œil droit est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi ; car il vaut mieux pour toi perdre un seul de tes membres et que ton corps tout entier ne soit pas jeté dans la géhenne » [88]. Par cet avertissement, notre Rédempteur nous demande d’une façon très claire tout d’abord que nous ne tombions pas dans le péché, ne serait-ce qu’en pensée, et de même, que nous écartions de nous avec une volonté ferme ce qui pourrait ternir cette magnifique vertu, même le plus légèrement. Sur ce point, on ne veillera jamais trop, on ne sera jamais trop sévère. Si quelqu’un, en raison d’une mauvaise santé ou pour d’autres causes ne peut pas pratiquer les austérités corporelles, cela ne doit en aucun cas le dispenser de la vigilance et de la mortification intérieure.

… La fuite des tentations et des occasions de péché


52. A ce sujet, il faut encore rappeler — ce que d’ailleurs enseignent les Pères [89] — que nous pouvons plus facilement vaincre les charmes du péché et les attraits des passions en les fuyant de toutes nos forces plutôt qu’en les affrontant directement. Pour protéger la chasteté, selon la phrase de saint Jérôme la fuite vaut mieux que la lutte ouverte. « Je fuis pour ne pas être vaincu » [90]. Cette fuite doit être ainsi comprise que, non seulement nous évitions avec soin les occasions du péché, mais que surtout dans ce genre de combat, nous élevions notre esprit et notre âme vers les choses divines, et particulièrement vers Celui à qui nous avons consacré notre virginité. « Regardez la beauté de Celui qui vous aime » [91], comme le conseille saint Augustin.

53. En tous temps, les saints et les saintes ont considéré cette fuite et cette vigilance attentive, par lesquelles nous devons éviter soigneusement les occasions du péché comme la meilleure façon de lutter dans ce domaine ; cependant, aujourd’hui, il semble que tous ne pensent pas ainsi. Certains soutiennent que tous les chrétiens, et principalement les prêtres, ne doivent pas — selon leur expression — être séparés du monde comme dans les siècles passés, mais qu’ils doivent être présents au monde, et par conséquent qu’il est nécessaire de leur faire courir des risques et de mettre leur chasteté à l’épreuve, pour qu’ils montrent par là si oui ou non, ils ont la force voulue pour résister : il s’ensuivrait que les jeunes clercs doivent tout voir, pour les habituer à tout regarder avec une âme tranquille et les immuniser contre tous les troubles. Pour cela, ils leur permettent facilement, sans aucune réserve, de regarder librement tout ce qui se présente à leurs yeux, d’aller au cinéma et de voir même les films qui sont prohibés par la censure ecclésiastique : de feuilleter des revues même obscènes, et de lire même les romans qui sont à l’Index ou interdits par la loi naturelle. Et ils le leur permettent parce qu’ils estiment que les masses d’aujourd’hui se nourrissent de tels spectacles et de tels livres, et que ceux qui auront à les aider doivent comprendre leur mode de penser et de sentir. Mais il est facile de voir que cette façon d’éduquer les jeunes clercs et de les préparer à la sainteté de leur état est erronée et préjudiciable. En effet « celui qui aime le danger y trouvera sa perte » [92], et ce conseil de S. Augustin est ici opportun : « Ne dites pas que vous avez des âmes pures si vous avez des yeux impurs, parce que l’œil impur annonce un cœur impur » [93].

54. Il n’est pas douteux que cette funeste façon d’agir repose sur une grave confusion de pensée. Certes, Notre-Seigneur a dit de ses apôtres : « Je les ai envoyés dans le monde » [94] ; mais avant il avait aussi dit d’eux : « Ils ne sont pas du monde, comme moi-même je ne suis pas du monde » [95]. L’Église, qui est guidée par ces mêmes principes, a édicté des lois opportunes et sages pour éloigner les prêtres des tentations auxquelles peuvent facilement être sujets ceux qui sont engagés dans les affaires du monde [96] ; par ces règles leur sainteté de vie est suffisamment mise à l’abri des sollicitudes et des divertissements des laïques.

55. A plus forte raison les jeunes clercs, parce qu’ils doivent être formés à la vie spirituelle et à la perfection sacerdotale et religieuse, doivent être écartés du tumulte du monde avant d’être lancés dans les luttes de la vie ; ils doivent demeurer longtemps au Séminaire ou au Scholasticat pour y recevoir l’éducation soignée et attentive qui les préparera progressivement et prudemment à traiter et à connaître les problèmes de notre temps, selon les directives que nous avons Nous-mêmes, données dans l’Exhortation apostolique Menti Nostræ [97]. Quel jardinier exposerait de jeunes plantes, précieuses, mais fragiles, aux rigueurs de temps pour éprouver une robustesse qu’elles n’ont pas encore ? Les élèves des Séminaires et des Scolasticats sont comme les jeunes plantes fragiles, il faut les tenir à l’abri et les exercer progressivement à la résistance et à la lutte.

La pudeur chrétienne


56. Les éducateurs du jeune clergé feront œuvre plus juste et utile en inculquant aux adolescents les principes de la pudeur chrétienne, qui est si utile pour conserver la virginité, et que l’on peut justement appeler la prudence de la chasteté. La pudeur prévient le péril qui menace, empêche de s’exposer au danger et conseille d’éviter les occasions auxquelles s’exposent ceux qui sont moins prudents. Elle n’aime pas les paroles déshonnêtes et vulgaires, et elle a horreur de l’immodestie, même très légère ; elle se garde avec soin d’une familiarité suspecte avec les personnes de l’autre sexe ; elle porte fermement à donner au corps le respect qui lui est du comme membre du Christ [98] et comme temple du Saint-Esprit [99]. Celui qui connaît cette modestie chrétienne a en horreur tout péché d’impureté et il s’écarte immédiatement chaque fois qu’il se sent attiré par ses séductions.

57. La pudeur, en outre suggère aux parents et aux éducateurs et met dans leur bouche les paroles appropriées pour former à la pureté la conscience des jeunes. « Cette réserve — comme Nous l’avons dit dans une allocution récente — ne doit pas être entendue de telle sorte qu’on fasse un silence perpétuel sur ce sujet, et que dans l’enseignement de la morale on n’en dise jamais un mot avec sobriété et prudence » [100]. Cependant, aujourd’hui, il arrive trop souvent que des professeurs et des éducateurs croient qu’il est de leur devoir d’initier d’innocents enfants, garçons ou filles, aux mystères de la procréation d’une manière qui offense leur pudeur. La réserve chrétienne exige que, lorsque l’on traite de ce sujet, on le fasse avec juste mesure et modération.

58. Cette pudeur est alimentée par la crainte de Dieu, cette crainte filiale basée sur une profonde humilité chrétienne, qui nous fait prendre en horreur le moindre péché, comme Notre prédécesseur, saint Clément Ier l’assure en ces mots : « Celui qui est chaste, qu’il ne s’en glorifie pas, sachant bien que c’est à un autre qu’il doit ce don de la continence… » [101]. Quelle est l’importance de l’humilité dans la sauvegarde de la virginité, personne, peut-être, ne l’a dit plus clairement que saint Augustin : « La continence perpétuelle, et bien plus la virginité, est un grand don de Dieu qui est fait aux saints, il faut veiller avec soin à ce que l’orgueil ne le corrompe… Plus grand est le bien que je vois, plus je crains pour lui l’orgueil ravisseur. Ce don de la virginité, il n’est personne d’autre qui le protège que Dieu de qui il vient : et « Dieu est amour » [102]. Le gardien de la virginité, c’est donc l’amour, mais c’est dans l’humilité qu’il réside » [103].

Le secours de la prière et des sacrements


59. Il y a encore une autre chose sur laquelle il faut soigneusement arrêter son attention pour conserver intacte cette chasteté ; ni la vigilance, ni la pudeur ne sont suffisantes. Il faut encore utiliser ces secours qui dépassent nos forces naturelles : la prière, les sacrements de Pénitence et de l’Eucharistie, et une dévotion ardente envers la Très Sainte Mère de Dieu.

60. Il ne faut jamais oublier que la chasteté parfaite est un don supérieur qui vient de Dieu. Saint Jérôme dit nettement à ce sujet : « Cela a été donné [104], à ceux qui l’ont demandé, qui l’ont voulu, qui ont peiné pour l’obtenir. Celui qui demande recevra, celui qui cherche trouvera, et à celui qui frappe, il sera ouvert » [105]. Saint Ambroise ajoute que de la prière dépend la constante fidélité des vierges envers le divin Époux [106]. Et saint Alphonse de Liguori, avec son ardente piété, enseigne qu’il n’y a rien de plus nécessaire et de plus sûr pour vaincre les tentations contre cette belle vertu de la pureté que de se réfugier aussitôt près de Dieu dans la prière [107].

61. À la prière il faut encore ajouter le sacrement de la Pénitence qui reçu fréquemment et avec ferveur, est un remède spirituel qui purifie et guérit ; il en est de même de l’Eucharistie qui, selon les paroles de Notre Prédécesseur d’immortelle mémoire Léon XIII, est le meilleur « remède contre la concupiscence » [108]. Plus une âme est pure et chaste, plus elle a faim de ce Pain dans lequel elle puise la force de résister à tous les attraits du péché impur, et par lequel elle s’unit plus intimement avec le divin Époux : « Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui » [109].

La dévotion à la Très Sainte Vierge


62. Pour garder une chasteté sans tache et parfaite, et pour la faire grandir, il existe un moyen remarquable et qui n’a cessé de faire ses preuves au cours des siècles : c’est une dévotion solide et fervente envers la Vierge Mère de Dieu. D’une certaine manière, tous les autres moyens se trouvent contenus dans cette dévotion ; celui qui en est animé sincèrement et profondément est sans aucun doute poussé à veiller attentivement, à prier et à s’approcher avec fruit du tribunal de la Pénitence et de la Table sainte. C’est pourquoi, Nous exhortons d’un cœur paternel tous les prêtres, les religieux et les religieuses à se mettre sous la particulière protection de la Mère de Dieu, qui est la Vierge des vierges et « l’éducatrice de la virginité », selon l’expression de saint Ambroise [110] et qui est, tout particulièrement la Mère très puissante de tous ceux qui se sont consacrés au service de Dieu.

63. Saint Athanase fait remarquer que c’est par elle qu’est née la virginité [111] et Saint Augustin enseigne clairement : « C’est avec la Mère de Dieu qu’a commencé la dignité virginale » [112]. A la suite de saint Athanase [113], saint Ambroise propose en exemple aux vierges la vie de la Vierge Marie : « Filles, imitez-la… [114]. Que la vie de Marie soit pour vous comme un tableau de la virginité, qui, ainsi qu’un miroir, reflète l’éclat de la chasteté et la beauté de la vertu. Prenez des exemples pour votre vie, là où se trouve pour vous comme un modèle qui vous montre ce que vous devez corriger, imiter et garder… Elle est l’image de la virginité. Telle, en effet fut Marie, que sa seule vie soit un enseignement pour tous… [115]. Que Marie donc, soit la règle de votre vie » [116]. « Si grande fut sa grâce qu’elle n’a pas gardé pour elle seule le don de la virginité, mais qu’elle a donné la parure de l’intégrité aussi à ceux sur lesquels elle veillait » [117]. Combien est vraie cette phrase du même saint Ambroise : « O richesse de la virginité de Marie ! » [118] C’est à cause de ces richesses qu’il est si profitable aux religieuses, aux religieux et aux prêtres d’aujourd’hui de contempler la virginité de Marie, pour pratiquer plus fidèlement et plus parfaitement la chasteté de leur état.

64. Qu’il ne vous suffise pas, chers fils et filles, de méditer les vertus de la Bienheureuse Vierge Marie : recourez à elle avec une confiance absolue, selon le conseil de saint Bernard : « Cherchons la grâce et cherchons-la par Marie » [119]. Et particulièrement en cette Année mariale, confiez-lui le soin de votre vie spirituelle et de votre perfection, imitant l’exemple de saint Jérôme qui affirmait : « Pour moi, la virginité est une consécration en Marie et au Christ » [120].



IV - Inquiétudes du Saint-Père

65. Dans les graves difficulté contre lesquelles l’Église doit aujourd’hui lutter, c’est une grand consolation pour Notre âme de pasteur suprême, Vénérables Frères, de voir que la virginité qui fleurit dans le monde entier en notre époque comme dans les précédentes, est tenue en grand estime et hautement honorée, bien que, comme nous l’avons dit, elle se heurte à des erreurs, qui, nous l’espérons, seront passagères et se dissiperont rapidement.

La diminution des vocations


66. Nous ne nions cependant pas que notre joie se voile d’une certaine tristesse en voyant que, dans plusieurs pays, le nombre de ceux qui répondent à l’appel de Dieu et embrassent l’état de virginité diminue de jour en jour. Nous en avons déjà montré les principales causes et Nous n’avons pas à y revenir. Nous exprimons plutôt Notre confiance que les éducateurs de la jeunesse qui sont tombés dans ces erreurs en reviennent au plus vite et les répudient, qu’ils aient à cœur de les réparer, et qu’ils fassent tout ce qui est en leur pouvoir pour que ceux qui se sentent appelés par une force surnaturelle au sacerdoce et à la vie religieuse et s’en confient à eux, soient aidés de toutes manières pour atteindre ce noble idéal. Et souhaitons que de nouvelles et plus nombreuses légions de prêtres, de religieux et de religieuses répondant en nombre et en qualité aux besoins actuels de l’Église, s’avancent au plus tôt pour cultiver la vigne du Seigneur.

67. Nous exhortons en outre — comme la conscience de Notre charge apostolique Nous en fait un devoir — les pères et les mères de famille pour qu’ils consentent volontiers à offrir au service du Seigneur ceux de leurs enfants qui s’y sentent appelés. Si cela leur coûte, s’ils en éprouvent de la tristesse ou de l’amertume, qu’ils méditent attentivement ces paroles que saint Ambroise adressait aux mères de Milan : « J’ai connu des jeunes filles qui voulaient se consacrer à Dieu et qui en ont été empêchées par leur mère… Si c’était un homme que vos filles voulaient aimer, les lois leur permettraient de choisir celui qu’elles désirent. S’il leur est permis de choisir un homme, ne leur est-il pas permis de choisir Dieu ? » [121]

68. Que les parents pensent au grand honneur qui rejaillit sur eux avec un fils qui reçoit la prêtrise ou un fille qui consacre sa virginité au divin Époux. Parlant des vierges sacrées, le même évêque de Milan disait : « Parents, vous avez entendu… la vierge est un don de Dieu, une oblation de son père, le sacerdoce de la chasteté. La vierge est l’hostie de sa mère, dont le sacrifice quotidien apaise la colère de Dieu » [122].

Ceux qui souffrent persécution


69. Maintenant, Vénérables Frères, avant de terminer cette Encyclique, nous désirons diriger Notre esprit et Notre cœur tout particulièrement vers ceux et celles qui consacrés à Dieu, subissent dans de nombreux pays de dures et terribles persécutions. Qu’ils prennent exemple sur ces vierges sacrées des premiers temps de l’Église qui ont subi le martyre pour leur virginité avec un courage résolu et invincible [123].

70. Que tous persévèrent fermement dans leur sainte résolution de servir Dieu « jusqu’à la mort » [124] ; qu’ils pensent à la grande valeur que représentent devant Dieu leurs angoisses, leurs souffrances et leurs prières, pour instaurer son règne dans leurs pays et dans toute l’Église ; qu’ils soient aussi certains que ceux qui « suivent l’Agneau partout où il va » [125], chanteront éternellement le « cantique nouveau » [126] que personne d’autre ne peut chanter.

71. Notre cœur paternel et compatissant se tourne avec émotion vers ces prêtres, ces religieux et ces religieuses qui, courageusement, confessent leur foi jusqu’au martyre ; Nous prions pour eux comme aussi pour toutes les âmes consacrées au service divin dans toutes les parties du monde pour que Dieu les confirme, les fortifie, les console ; et Nous vous invitons ardemment, Vénérables Frères, ainsi que vos fidèles, à prier en union avec Nous afin d’implorer pour eux tous les consolations célestes ainsi que les dons et les secours divins qui leur sont nécessaires.

72. Pour qu’elle soit la médiatrice de ces dons divins et en gage de Notre particulière bienveillance, Nous vous accordons de grand cœur, Vénérables Frères, Notre Bénédiction apostolique, à tous les prêtres, les religieux, les religieuses, en particulier à ceux « qui souffrent persécution à cause de la justice » [127] et à tous vos fidèles.

73. Donné à Rome, à Saint-Pierre, le 25 mars en la fête de l’Annonciation de la Bienheureuse Vierge Marie, l’an MDCCCCLIV, de Notre pontificat le seizième.

Pius pp. XII.[/i]

Lotfi
Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ

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Papyrus du IVe siècle affirmant que Jésus était marié : Vrai ou faux ? - Page 3 Empty Je m'insurge...

Message par Mélusine Ven 18 Avr 2014 - 1:59

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Message par partel Ven 18 Avr 2014 - 16:44

Jésus a été magnifiquement décrit par les évangélistes et il est hors de question de le modeler sous une autre forme.

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Message par AZUR Ven 18 Avr 2014 - 18:19

Si on pouvait faussement "prouver" que Jésus était marié (comme les saletés répandues avec Sainte Marie-Madeleine), ce serait la porte ouverte au mariage des prêtres ...qui sont tous pédophiles, c'est bien connu.
Que de nombreux laïcs soient mariés et pédophiles, peu importe.
 Prends pitie 

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