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L'histoire de Luisa Piccarreta prophète et mystique, servante de Dieu Bannie10

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L'histoire de Luisa Piccarreta prophète et mystique, servante de Dieu

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Emmanuel
flou
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L'histoire de Luisa Piccarreta prophète et mystique, servante de Dieu Empty L'histoire de Luisa Piccarreta prophète et mystique, servante de Dieu

Message par flou Jeu 2 Aoû 2012 - 14:41

LUISA PICCARRETA


La Servante de Dieu Luisa Piccarreta est née à Corato (Bari) en Italie, le 23 avril  1865. Elle y mourra en odeur de sainteté le 4 mars 1947.

Sa famille était l'une de ces famille patriarcales que l'on trouve encore aujourd'hui dans les Pouilles. Des gens qui aiment vivre à l'air des champs. Ses parents, Vito Nicola et Rosa Tarantino, eurent cinq filles: Maria, Rachele, Filomena, Luisa et Angela. Les trois aînées se marièrent. Angela, que l'on appelait "la petite Angela" resta célibataire et vécut aux côtés de sa sœur, Luisa, jusqu'à sa mort.

Luisa naquit le dimanche in Albis et fut baptisée le jour même. Son père — quelques heures après sa naissance — l'enveloppa dans une couverture et l'emmena à la paroisse pour y recevoir son Baptême.

Nicola Piccarreta travaillait comme métayer dans une ferme qui appartenait à la famille Mastrorilli. Cette ferme se trouvait dans une petite localité des Murge, Torre Disperata, à 27 kilomètres de Corato. Ceux qui connaissent l'endroit peuvent apprécier la solennité du silence qui règne sur ces collines ensoleillées, dépouillées et pierreuses. Luisa y passa toute son enfance et son adolescence. Le grand bon vieux mûrier au tronc percé dans lequel elle aimait se cacher pour prier loin des regards indiscrets, existe encore. C'est dans ce lieu solitaire et ensoleillé que commença pour Luisa cette grande aventure divine qui la conduira sur les sentiers de la souffrance et de la sainteté. C'est d'ailleurs là qu'elle subira les assauts du démon; des souffrances indicibles dont son corps ne saura être épargné. Pour se libérer de ses peines, Luisa se réfugiait sans cesse dans la prière, s'adressant en particulier à la Très Sainte Vierge dont la seule présence constituait pour elle une grande consolation.

La Divine Providence conduisait la jeune fille sur des sentiers d'un tel mystère qu'il ne pouvait y avoir de joie plus grande que Dieu et la Grâce de Dieu. Un jour, en effet, le Seigneur lui dit: " J'ai remué la terre entière, regardant une par une toutes les créatures. Je voulais choisir la plus petite d'entre elles, et c'est toi que j'ai trouvée, toi, la plus petite d'entre toutes. Tu me plaisais alors je t'ai choisie; puis je t'ai placée sous la protection de mes anges, non pas pour qu'ils te fassent grandir, mais pour qu'ils veillent sur toi, toi si petite; ma volonté était faite et je pouvais poursuivre mon oeuvre. Ceci n'est pas pour que tu te sentes plus grande, bien au contraire; ma volonté te fera encore plus petite et tu resteras la petite fille de la Volonté Divine" (cf. Volume XII, 23 mars 1921).

A l'âge de neuf ans, Luisa reçût l'Eucharistie pour la première fois, puis sa Confirmation. Dès lors, elle apprit à rester en prière des heures entières au pied du Saint Sacrement. A onze ans, elle fut Fille de Marie - alors en pleine floraison - à l'église Saint-Joseph, puis Tertiaire Dominicaine, sous le nom de Sœur Madeleine. Elle fut l'une des premières à s'inscrire au Troisième Ordre, dont son curé de paroisse était le fondateur. Sa dévotion pour la Mère de Dieu développera en elle une profonde spiritualité mariale, prélude de ce qu'un jour elle aurait écrit sur la Vierge Marie.

La voix de Jésus accompagnait Luisa dans son cheminement: elle se détacha d'elle-même, de tout et de tous les autres. Vers l'âge de dix-huit ans, du balcon de chez elle, via Nazario Sauro, elle eut une vision: Jésus, souffrant sous le poids de sa croix était là, sous ses yeux. Il la regardait et lui disait: " Ame! Aide-moi!". Cette apparition suscita en elle le désir insatiable de souffrir pour Jésus et pour le salut des âmes. Commencèrent alors pour elle ces souffrances physiques qui, ajoutées aux souffrances spirituelles et morales, allèrent jusqu'à l'héroïsme.

Sa famille, voyant tous ces phénomènes, la crut malade et fit appel à la science médicale. Mais tous les médecins interpellés à son chevet ne surent résoudre son cas, un cas aussi unique que singulier. A leur grande stupeur, Luisa, pourtant bien vivante, souffrait de rigidité cadavérique, et aucune cure au monde n'arrivait à la soulager de ses terribles souffrances. Ayant tout essayé sur le plan médical, il ne restait plus qu'un seul espoir: les prêtres. Ainsi fit-on appel à un prêtre augustin, le P. Cosma Loiodice, de retour chez lui après la condamnation des fameuses «lois siccardiennes»; et, à la stupeur générale, il suffit d'un signe de croix du père sur le pauvre corps de l'infirme pour que cette dernière retrouvât tous ses moyens. Du coup Luisa fut convaincue que tous les prêtres étaient des saints. Or, un jour le Seigneur lui dit: "non pas parce que ce sont des saints, mais parce qu'ils sont la continuité de mon sacerdoce dans le monde, tu dois te soumettre à leur autorité sacerdotale; ne les contrarie jamais, bons ou mauvais qu'ils soient". (cf. Vol. I). Luisa se soumettra à eux toute sa vie. Et elle en souffrira. Ce besoin quotidien d'avoir recours à eux pour redevenir normale était source de grande mortification pour elle. Au début, c'est d'ailleurs des prêtres eux-mêmes qu'elles subira toutes les incompréhensions et toutes les souffrances les plus humiliantes. Pour eux, Luisa était une jeune fille exaltée, une pauvre folle qui voulait attirer l'attention des autres sur elle. Il leur arrivait parfois de la laisser dans cet état pendant plus de vingt jours. Puis Luisa finit par accepter son rôle de victime et sa vie prit un nouveau tournant: le matin, elle se réveillait le corps raide et immobile. Recroquevillée au fond de son lit, personne n'arrivait à l'allonger. Impossible de relever ses bras, ni de bouger sa tête ou ses jambes. Comme nous le disions, il lui fallait la présence d'un prêtre qui, en la bénissant d'un signe de croix, aurait éliminé la rigidité de son corps. Sans cela elle ne pouvait retourner à ses occupations (travail de dentelle). Cas unique: ses confesseurs n'étaient pas ses directeurs spirituels. Une tâche que Notre Seigneur gardait pour Lui. Jésus préférait s'adresser à elle directement. Il l'éduquait, corrigeait ses fautes, et s'il le fallait, n'hésitait pas à lui faire des reproches, la portant peut à peu au plus haut sommet de la perfection. Luisa, sagement, fut instruite et préparée, pendant de longues années, à recevoir le don de la Volonté Divine.

Après avoir su ce qui se passait à Corato, l'Archevêque de l'époque, Mgr Giuseppe Bianchi Dottula (22 décembre 1848-22 septembre 1892), consulta plusieurs prêtres et décida de prendre sur lui la responsabilité de cette affaire. Après mûres réflexions, il délégua un confesseur personnel en la personne de Don Michele De Benedictis, un excellent prêtre auquel la jeune fille ouvrira son âme en profondeur. Don Michele, un homme avisé, imposa des limites à ses souffrances. Luisa ne devait rien faire sans son consentement. Il lui ordonna de manger au moins une fois par jour, tout en sachant parfaitement qu'elle aurait immédiatement tout rejeté. Luisa ne devait vivre que du Divin Vouloir. Dès lors elle reçut l'autorisation de garder son lit pour toujours, victime d'expiation. Nous sommes en 1888. Luisa restera clouée sur son lit de souffrance jusqu'à sa mort, survenue cinquante neuf ans plus tard. Si Luisa acceptait jusqu'ici son état de victime, elle ne pouvait cependant garder son lit toute la journée. Il lui fallait obéir aux règles de l'obéissance. A partir du 1er janvier 1899, Luisa ne quittera plus son lit.

En 1898, le nouvel Archevêque du lieu, Mgr Tommaso De Stefano (24 mars 1898- 13 mai 1906) décida de nommer un nouveau confesseur en la personne de Don Gennaro Di Gennaro. Celui-ci restera vingt-quatre ans à son service. Le nouveau confesseur, percevant les merveilles que produisait le Seigneur sur cette âme, ordonna à Luisa de mettre par écrit tout ce que la Grâce de Dieu opérait en elle. Toutes les raisons avancées par la Servante du Seigneur pour échapper à de telles obligations furent vaines: même ses capacités littéraires, très modestes, ne suffirent pas à la dispenser de faire ce qu'on lui demandait. Don Gennaro Di Gennaro, qui avait les idées claires, ne céda pas. Il était pourtant parfaitement au courant que la pauvre fille n'avait fréquenté que l'école primaire. Ainsi, le 28 février 1899, Luisa commença son journal, un énorme recueil de trente-six volumes! Le dernier chapitre fut achevé le 28 décembre 1939, date à laquelle elle reçut l'ordre de ne plus écrire.

A la mort de son confesseur, le 10 septembre 1922, arriva un chanoine, Don Francesco De Benedictis, qui mourut le 30 janvier 1926, au bout de quatre ans de service. L'Archevêque, Monseigneur Giuseppe Leo (17 janvier 1920-20 janvier 1939) délégua un autre confesseur, Don Benedetto Calvi, un jeune prêtre ordinaire qui assista Luisa jusqu'à sa mort. Il partagea avec elle toutes les souffrances et toutes les incompréhensions qui l'affligèrent durant les dernières années de sa vie.

Au début du siècle passé, la visite du Bienheureux Annibale Maria Di Francia dans les Pouilles fut une bénédiction pour nos populations. Venu chercher à Trani une nouvelle maison pour les hommes et les femmes de sa toute jeune Congrégation, il avait entendu parler de Luisa Piccarreta et avait décidé d'aller lui rendre visite. Les deux grandes âmes devinrent inséparables. Mais il ne fut pas le seul à la fréquenter. D'autres prêtres venaient la voir: le Père Gennaro Braccali, Jésuite, le Père Eustachio Montemurro, mort en odeur de sainteté, et Don Ferdinando Cento, Nonce Apostolique et Cardinal de Notre Sainte Mère l'Eglise. Le Bienheureux Annibale devint son confesseur extraordinaire et le réviseur officiel de ses écrits, examinés et soumis au fur et à mesure à l'approbation des autorités ecclésiastiques. Vers 1926, le Bienheureux Annibale ordonna à Luisa d'écrire un cahier de mémoires sur son enfance et son adolescence. Lui-même publia divers écrits de Luisa, dont le célèbre ouvrage L'Horloge de la Passion qui connut quatre éditions. Le 7 octobre 1928, à Corato, le couvent des sœurs de la Congrégation du Divin Zèle était achevé et Luisa, pour répondre au vœu du Bienheureux Annibale, y fut transférée. Le Bienheureux Annibale était déjà mort en odeur de sainteté à Messine.

En 1938, la vie de Luisa Piccarreta subit un bouleversement total: Rome la désavouait publiquement et ses écrits furent mis à l'index. A la publication de la condamnation du Saint-Office, Luisa se soumit à l'autorité de l'Eglise. (1)

De Rome, les autorités ecclésiastiques envoyèrent un prêtre lui réclamer tous ses écrits. Elle les lui remit immédiatement, et très gentiment. Ses écrits finirent dans les Archives secrètes du Saint-Office.

Le 7 octobre 1938, sur ordre de ses supérieurs, Luisa dut quitter le couvent et se trouver un nouveau logis. Elle passa les neuf dernières années de sa vie dans un appartement de la via Maddalena, bien connu des personnes âgées de Corato qui assistèrent à la sortie de sa dépouille, le 8 mars 1947.

Luisa connut une existence modeste. Elle occupait un appartement en location avec sa sœur Angelina et plusieurs autres femmes pieuses. Mais ce qu'elle possédait ne suffisait pas à payer son loyer. Alors elle faisait de la dentelle. Et ce qu'elle gagnait, en travaillant avec acharnement, lui permettait de subvenir aux besoins de sa sœur, dans la mesure où elle-même n'avait besoin ni de vêtements ni de chaussures. Sa nourriture se limitait à quelques grammes d'aliments que lui servait son assistante, Rosaria Bucci. Luisa ne demandait jamais rien. Elle ne désirait jamais rien, d'autant que son estomac rejetait immédiatement tout ce qu'elle mangeait. Mais son aspect n'était pas celui d'une mourante. Ce qui ne veut pas dire non plus qu'elle respirait la santé. Non plus. Mais elle n'était jamais inerte. Ses forces s'épuisaient dans la souffrance, le travail; et pour ceux qui la connaissaient, sa vie était considérée comme un miracle permanent.

Son détachement de tout ce qu'elle aurait pu gagner en dehors de son travail était admirable. Elle refusait l'argent et les offrandes que les autres voulaient lui donner. Au moment de la publication de ses ouvrages, alors que le Bienheureux Annibale était venu un jour lui remettre l'argent relatif à ses droits d'auteur, elle répondit: "Je n'y ai pas droit, car ce qui est écrit là n'est pas à moi" (cf. "Préface" du livre L'Horloge de la Passion, Messine, 1926). Lorsqu'une âme charitable s'avisait de lui envoyer de l'argent, elle le lui renvoyait immédiatement.

L'appartement de Luisa ressemblait à un monastère. Sa porte était fermée au regard des curieux. Seules quelques personnes, animées de la même spiritualité, et les jeunes filles venant prendre des cours de dentelle, l'entouraient. De ce cénacle sortirent de nombreuses vocations religieuses. Mais cette œuvre de formation n'était pas uniquement réservée aux filles. Il y avait aussi des garçons qui entrèrent dans les ordres et furent orientés vers le sacerdoce.

Sa journée commençait vers cinq heures, l'heure à laquelle arrivait le prêtre pour la bénir et célébrer la messe, celle-ci était présidée par son confesseur ou par un de ses délégués: un privilège accordé par Léon XIII et confirmé par Saint Pie X en 1907. Après la messe, Luisa restait deux heures en prière. Vers huit heures, elle commençait son travail qui durait jusqu'à midi; à l'issue d'un repas frugal, elle se retirait dans sa chambre pour se recueillir. Dans l'après-midi - au bout de quelques heures de travail - elle récitait son chapelet. Le soir, vers 20h., Luisa prenait son journal et se mettait à écrire jusqu'à minuit. Elle se réveillait au petit matin, le corps immobile, bloqué, toute recroquevillée dans son lit, la tête penchée vers la droite. Et il fallait attendre l'intervention du prêtre pour pouvoir l'asseoir dans son lit et qu'elle puisse reprendre sa routine.

Luisa mourut à l'âge de 81 ans, 10 mois et 9 jours, le 4 mars 1947, au bout de quinze jours de maladie, la seule et unique maladie que l'on ait réussi à diagnostiquer: une pneumonie. Elle mourut au petit matin, à l'heure même où le prêtre, en la bénissant, l'aurait libéré de son état. L'Archevêque du lieu était alors Mgr Francesco Petronelli (25 mai 1939-16 juin 1947). Luisa garda sa position assise. L'allonger était absolument impossible et - phénomène extraordinaire - son corps ne souffrait plus de rigidité.

A l'annonce de sa mort, toute la population, tel un torrent en pleine crue, se déversa chez elle et il fallut faire appel aux forces de l'ordre pour contenir la foule qui, jour et nuit, venait la voir. Luisa était chère à leurs cœurs. "Luisa la sainte est morte!" s'écriait-on. Et tout le monde se précipitait. Ainsi, les autorités publiques et sanitaires acceptèrent d'exposer sa dépouille pendant quatre jours de suite, sans qu'il n'y ait aucun signe de corruption du corps. Luisa n'avait pas l'air morte. Elle était assise dans son lit, vêtue de blanc; on aurait dit qu'elle dormait car, comme nous le disions, son corps avait perdu toute rigidité. En effet, bouger sa tête, lever ses bras, plier ses mains et tous ses doigts, ne demandait aucun effort. On pouvait même soulever ses paupières et observer ses yeux; des yeux tout à fait brillants, absolument pas voilés. Pour tout le monde, Luisa était encore vivante, plongée dans un sommeil profond. Un conseil de médecins, convoqué pour la circonstance, prit le temps de bien examiner sa dépouille avant d'en conclure que Luisa était vraiment morte et qu'il ne s'agissait pas d'une mort apparente comme tout le monde croyait.

Luisa disait toujours qu'elle était " née à l'envers", il est donc juste que sa mort fut "à l'envers" par rapport aux autres. Elle restera donc assise, sa position habituelle, position qu'elle gardera jusqu'au cimetière. Installée dans un cercueil aux parois de verre construit spécialement pour elle, tout le monde pouvait la voir, telle une reine assise sur son trône, toute de blanc vêtue, le Fiat posé sur sa poitrine. Plus de quarante prêtres, le Chapitre et le Clergé local, participèrent au cortège funèbre; les sœurs, à tour de rôle, la portaient sur leurs épaules, se créant un passage dans la foule immense: les rues étaient bondées. C'était incroyable. Il y avait des gens partout, sur les toits, aux balcons, et le cortège avait du mal à passer. Les obsèques de la petite fille de la Divine Volonté furent célébrées par le Chapitre au grand complet en l'Eglise Mère. Toute la population de Corato accompagna le corps jusqu'au cimetière. Tous voulaient ramener chez eux un petit souvenir, des fleurs. Au bout de quelques années, sa dépouille fut transférée en l'église Sainte-Marie-la-Grecque.

En 1994, jour de la fête du Christ-Roi, Son excellence Monseigneur Carmelo Cassati, en présence d'une foule nombreuse de fidèles et de personnalités étrangères réunies en l'Eglise Mère, ouvrit officiellement le procès de béatification de la Servante de Dieu Luisa Piccarreta.[center]

Source: http://voiemystique.free.fr/luisa_piccarreta_index.htm

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Message par Emmanuel Ven 3 Aoû 2012 - 3:10

Bonjour,

Merci, Flou, pour ce résumé. Comme les écrits de Jésus à Luisa Piccaretta sont beaux!

S'il vous est possible de le faire, j'encourage cette lecture à chaque âme qui désire connaître ce que signifie "vivre dans la Divine Volonté".

Smile

Amicalement,

Emmanuel


Dernière édition par Emmanuel le Ven 3 Aoû 2012 - 5:57, édité 3 fois
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Message par Emmanuel Ven 3 Aoû 2012 - 3:26

Le Livre du Ciel
Tome 12

Appel des créatures à revenir
à la place, au rang et au but
pour lesquels elles ont été créées par Dieu

Par Luisa Piccarreta,
la Petite Fille de la Divine Volonté


16 mars 1917

L’étroite union entre l’âme et Dieu n’est jamais rompue.


Je poursuivais dans mon état habituel et mon aimable Jésus se montra soudainement. Comme j’étais en train de me plaindre, il me dit: «Ma fille, ma fille, ma pauvre fille, si tu savais tout ce qui doit arriver, tu souffrirais grandement. Aussi, pour t’épargner d’aussi grandes souffrances, j’essaie de t’éviter.»

Quant à moi, j’ai poursuivi avec mes plaintes en disant: «Ma Vie, je ne m’attendais pas à ça de toi. Toi qui sembles incapable d’être sans moi, tu passes maintenant des heures et des heures loin de moi; il semble parfois que tu veux laisser passer toute la journée ainsi. Jésus, ne me fais pas cela! Comme tu as changé!»

Il m’interrompit en disant: «Calme-toi, calme-toi! Je n’ai pas changé, je suis immuable. Quand je me suis communiqué à une âme, que je l’ai tenue contre moi, lui ai parlé et l’ai comblée de mon Amour, cette communion entre elle et moi n’est jamais rompue. Au plus, les manières changent. À un moment, je me manifeste d’une manière, à un autre, d’une autre manière; je sais toujours inventer de nouvelles manières pour épancher mon Amour. Ne vois-tu pas que si je ne t’ai rien dit le matin, je te parle le soir?

«Quand les gens lisent les “applications” des Heures de ma Passion[1], je remplis ton âme jusqu’à déborder et je te parle de choses intimes dont je ne t’ai jamais parlé auparavant, de la manière de me suivre dans mes voies. Ces “applications” sont le miroir de ma vie intérieure et celui qui se modèle sur elles reproduit ma vie en lui. Oh! comme elles révèlent mon Amour et ma soif pour les âmes ressentis dans toutes les fibres de mon Coeur, dans chacune de mes respirations, dans chacune de mes pensées, etc.!

«En fait, je te parle plus que jamais mais, dès que j’ai fini, je me cache et, ne me voyant pas, tu dis que j’ai changé. J’ajouterai que lorsque tu ne répètes pas avec ta voix ce que je t’ai dit intérieurement, tu empêches l’épanchement de mon Amour.»


18 mars 1917

Effets bénéfiques dont profite celui qui se fond en Jésus.


Je priais en me fondant complètement en Jésus. Je voulais avoir toutes les pensées de Jésus en mon pouvoir pour les déposer dans les pensées des créatures et ainsi réparer pour tout ce qui n’est pas selon son Coeur dans leurs pensées, et ainsi de suite pour tout le reste. Mon doux Jésus me dit: «Ma fille, pendant que j’étais sur la terre, mon Humanité unissait toutes les pensées des créatures aux miennes. Ainsi, chacune de leurs pensées se reflétait dans mon Esprit, chacun de leurs mots dans ma voix, chacun de leurs battements de coeur dans mon Coeur, chacune de leurs actions dans mes mains, chacun de leurs pas dans mes pieds, et ainsi de suite. Ce faisant, je présentais des réparations divines au Père.

«De plus, tout ce que j’ai fait sur la terre, je le continue dans le Ciel: pendant que les créatures pensent, leurs pensées se versent dans mon Esprit; quand elles voient, je sens leur regard dans le mien, etc. Ainsi, entre elles et moi, un courant passe continuellement, de la même manière que la tête est en continuelle communication avec les membres du corps. Je dis au Père: “Mon Père, ce n’est pas seulement moi qui te prie, fais réparation et t’apaise, mais il y a des créatures qui font avec moi ce que je fais. Par leurs souffrances, elles remplacent mon Humanité maintenant glorieuse et incapable de souffrir.”

«Les âmes qui se fondent en moi répètent ce que j’ai fait. Quand elles seront avec moi au Ciel, quel sera leur contentement, elles qui ont vécu en moi et qui, avec moi, ont embrassé toutes les créatures et réparé pour chacune! Elles continueront leur vie en moi. Et quand les créatures encore sur la terre m’offenseront dans leurs pensées, les pensées de ces âmes se répercuteront dans l’esprit de ces âmes blessées et continueront les réparations qu’elles faisaient pendant qu’elles étaient sur la terre. Avec moi, elles seront des sentinelles d’honneur devant le trône divin. Quand les créatures sur la terre m’offenseront, elles feront les actes opposés dans le Ciel. Elles seront les gardiennes de mon trône et auront les places d’honneur. Elles seront celles qui me comprendront le mieux. Elles seront les plus glorieuses. Leur gloire sera fondue dans la mienne et la mienne dans la leur.

«Par conséquent, que ta vie sur la terre soit complètement fondue dans la mienne. Ne fais aucune action sans passer par moi. Chaque fois que tu te fonds en moi, je verse en toi des grâces nouvelles et une lumière nouvelle. Je serai une sentinelle vigilante de ton coeur pour te préserver de l’ombre même du péché; je te garderai comme ma propre Humanité et commanderai aux anges de former une couronne autour toi, de sorte que tu sois défendue contre tous et tout.»


28 mars 1917

Effets des “je t’aime” de Jésus. Jésus regarde à
la bonne volonté de l’âme.


J’étais dans mon état habituel et mon toujours aimable Jésus se montra brièvement. Il était si affligé qu’il faisait pitié. Je lui ai dit: «Qu’est-ce qui ne va pas, Jésus?» Il me répondit: «Ma fille, il surviendra des choses soudaines et inattendues; des révolutions éclateront un peu partout. Oh! comme les choses vont empirer!» Puis, tout accablé, il resta silencieux.

Je lui dis: «Vie de ma vie, dis-moi une autre parole.» En faisant comme s’il voulait souffler en moi, il me dit: «Je t’aime.» Par ce “je t’aime”, il me sembla que chaque être humain et chaque chose recevaient une vie nouvelle. Je continuai: «Jésus, dis encore une autre parole.» Il reprit: «Je ne peux pas te dire une plus belle parole que “Je t’aime.” Venant de moi, ce “je t’aime” remplit le Ciel et la terre. Il circule chez les saints qui en reçoivent une gloire nouvelle. Il descend dans le coeur des pèlerins terrestres dont quelques-uns reçoivent la grâce de la conversion et d’autres celle de la sanctification. Il pénètre dans le purgatoire et répand sur les âmes qui s’y trouvent une rosée bénéfique et rafraîchissante. Même les éléments se sentent investis d’une vie nouvelle dans leur fécondité et leur croissance. Tous entendent le “je t’aime” de ton Jésus!

«Sais-tu quand l’âme attire vers elle un “je t’aime” de ma part? Quand, se fondant en moi, elle prend l’attitude divine et fait tout ce que je fais.» Sur ce, je dis à Jésus: «Mon Amour, il est difficile de toujours avoir cette attitude divine.» Il poursuivit: «Ma fille, si l’âme ne peut pas toujours faire ainsi dans ses actions courantes, elle peut le faire par sa bonne volonté. Alors, je suis tellement content d’elle que je me fais la sentinelle vigilante de toutes ses pensées, de tous ses mots, de tous ses battements de coeur, etc., les plaçant à l’intérieur et à l’extérieur de moi comme escorte, les regardant avec amour comme des fruits de sa bonne volonté.

«Quand, se fondant en moi, l’âme fait ses actions courantes en union avec moi, je me sens si attiré vers elle que je fais avec elle tout ce qu’elle fait, changeant ses actions en actions divines. Je tiens compte de tout et récompense tout, même les plus petites choses. Aucun de ses actes de bonne volonté ne reste sans récompense.»


2 avril 1917

La souffrance d’être privée de Jésus est une souffrance divine.


Je me plaignais à mon toujours aimable Jésus à propos de mon habituelle privation de lui en lui disant: “Mon Amour, quelle mort continuelle! La privation de toi est une mort et cette mort est d’autant plus cruelle qu’elle ne conduit pas effectivement à la mort. Je ne comprends pas comment la bonté de ton Coeur puisse tolérer de me regarder souffrir ces morts continuelles et de me laisser encore vivante.»

Pendant que j’entretenais ces pensées, Jésus béni vint et, me pressant fermement sur son Coeur, me dit: «Ma fille, presse-toi bien fort contre mon Coeur et reprends vie. Sache que la souffrance qui me satisfait et me plaît le plus, qui est la plus puissante et ressemble le plus à la mienne, est celle de la privation de moi, car c’est une souffrance divine. Les âmes me tiennent tellement à coeur qu’elles sont comme enchaînées à mon Humanité. Et quand l’une d’elles se perd, la chaîne qui la retient à moi est rompue et j’en ressens une douleur comme si un membre m’était arraché.

«Et qui peut réparer cette chaîne rompue, réparer la déchirure? Qui peut me ramener cette âme, lui redonner vie? Les souffrances de la privation de moi, car ce sont des souffrances divines. Mes souffrances causées par la perte des âmes sont divines; les souffrances des âmes qui ne me voient pas et ne me ressentent pas sont divines. Ces deux espèces de souffrances divines se rencontrent, s’embrassent et ont une telle puissance qu’elles peuvent prendre les âmes séparées de moi et les réunir de nouveau à mon Humanité.

«Ma fille, est-ce que la privation de moi te coûte beaucoup? Si oui, ne rends pas inutile une souffrance d’un si grand prix. Puisque je te donne cette souffrance, ne la garde pas pour toi seule mais fais-la circuler chez les combattants pour saisir les âmes au milieu de la bataille et les enfermer en moi. Que ta souffrance circule dans le monde entier pour sauver les âmes et me les rapporter toutes.»


12 avril 1917

Ce ne sont pas les souffrances qui rendent les âmes malheureuses,
mais quand quelque chose manque à leur amour pour Dieu.


Me trouvant dans mon état habituel, mon toujours aimable Jésus vint. Comme je souffrais un peu, il me prit dans ses bras et me dit: «Ma fille bien-aimée, ma chère petite fille, repose-toi en moi; ne garde pas tes souffrances pour toi seule mais joins- les à ma Croix comme escorte et soulagement à mes douleurs. Mes souffrances se joindront aux tiennes et te soutiendront. Nos souffrances brûleront dans un même feu. Je verrai tes souffrances comme si elles étaient miennes. Je leur donnerai les mêmes effets et la même valeur que les miennes quand j’étais sur la Croix; elles rempliront le même office devant mon Père pour les âmes.

«Mieux encore, viens toi-même sur la Croix; comme nous y serons heureux, même en souffrant! En fait, ce n’est pas la souffrance qui rend la créature malheureuse; au contraire, souffrir la rend victorieuse, glorieuse, riche et belle. Elle devient malheureuse quand quelque chose manque à son amour. Unie à moi sur la Croix, tu seras satisfaite en tout par l’amour. Tes souffrances seront amour, ta vie sera amour et, ainsi, tu seras heureuse.»


18 avril 1917

Se fondre avec Jésus dans la Divine Volonté résulte
en une rosée bénéfique sur toute la Création.


Je me fondais en mon doux Jésus afin de pouvoir me diffuser dans toutes les créatures et les fondre toutes en lui. Je voulais me tenir entre Jésus et les créatures pour qu’elles soient incapables d’offenser Jésus. Pendant que je faisais ainsi, Jésus me dit: «Ma fille, quand tu te fonds avec moi dans ma Volonté, un soleil est formé en toi. Pendant que tu penses, que tu aimes, que tu répares, etc., les rayons de ce soleil se forment et, en arrière-plan, ma Volonté couronne ces rayons. Ce soleil s’élève dans le ciel et rayonne comme une rosée bénéfique sur toutes les créatures. Plus tu te fonds en moi, plus tu formes de tels soleils.

«Oh! comme il est beau de voir ces soleils qui, s’élevant, se fondent dans mon propre Soleil et font descendre une rosée bienfaisante sur tout! Combien de grâces les créatures ne reçoivent-elles pas ainsi! J’en suis si saisi que, dès qu’une âme se fond en moi, je fais pleuvoir sur elle des grâces en abondance, de manière à ce qu’elle forme un soleil encore plus grand pour pouvoir ensuite verser une rosée plus abondante sur tout.»

Par la suite, pendant que je me fondais en lui, j’ai ressenti la lumière, l’amour et les grâces pleuvoir sur ma tête.


2 mai 1917

Jésus mourait continuellement sans mourir. Luisa
participe à cette souffrance de Jésus.


Me trouvant dans mon état habituel, je me plaignais à mon doux Jésus d’être privée de sa présence en disant: «Mon Amour, qui pourrait savoir à quel point la privation de toi m’est pénible? Je me sens mourir petit à petit. Chaque action que je fais est une mort que je ressens parce que je ne trouve pas celui qui est ma vie. Mourir et vivre en même temps est plus cruel que la mort; c’est une double mort.»

Mon aimable Jésus vint et me dit: «Ma fille, sois courageuse et ferme en tout! Et puis, ne veux-tu pas m’imiter? Je suis également mort petit à petit. Pendant que les créatures me heurtaient dans mes pas, je sentais mes pieds se déchirer avec des spasmes capables de me donner la mort. Cependant, même si je me sentais mourir, je ne mourais pas. Quand les créatures m’offensaient par leurs actions, je sentais la mort dans mes mains; je me sentais mourir, mais la Volonté de mon Père m’empêchait de mourir. Les mauvaises conversations et les horribles blasphèmes des créatures retentissaient dans ma voix; alors je me sentais suffoquer, je sentais la mort dans ma voix, mais je ne mourais pas.

«Et mon Coeur torturé? Pendant qu’il palpitait, je sentais les mauvaises vies des créatures et les âmes qui se détachaient de moi; mon Coeur était sans cesse déchiré et lacéré. Je mourais continuellement pour chaque créature, pour chaque offense. Là encore, l’Amour et la Divine Volonté me contraignaient à vivre. C’est la raison pour laquelle toi aussi tu meurs petit à petit. Je te veux à mes côtés; je veux ta compagnie dans mes morts. N’es-tu pas heureuse?»
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Message par Fa-Victoria Ven 3 Aoû 2012 - 6:02

j'avais déjà entendu parler d'elle dans les revues de Stella Maris mais je n'avais jamais pris le temps de lire sa biographie, surtout après avoir travaillé 12h! Merci Flou et merci Emmanuel pour ce partage.
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Message par Emmanuel Ven 3 Aoû 2012 - 6:12

Smile

J'ai ajouté ci-dessus trois de ses volumes pour téléchargement, si vous aimez ces beaux enseignement de Notre-Seigneur à sa "petite fille de la Divine Volonté".
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Message par Malou Ven 3 Aoû 2012 - 8:20

Merci Flou et Emmanuel de nous faire connaître cette belle âme !
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Message par l43275 Ven 3 Aoû 2012 - 9:41

Nous faisons depuis des années le mois de mai (9ans )avec Luisa Piccarreta.

Ce livre s’appelle :"La Vierge Marie dans le Royaume de la Divine Volonté."
C'est une merveille ce livre.Il nous apprend peu à peu à mettre au pied du Trône de la Très Sainte Trinité par la grâce de Marie notre volonté humaine qui est la cause de tous nos péchés.
La vierge Marie ne s'est jamais servi de sa volonté.C'est l épreuve que le Seigneur Lui a demandé.

Vraiment c'est à lire et à ,méditer ,et surtout à mâcher,à ruminer.

Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des Natons

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Message par flou Ven 3 Aoû 2012 - 12:04

Merci Emmanuel, j'avais commencé à lire ces écrits au début de mon retour vers Dieu il y a quelques mois, je les ai trouvé complexes car elle parle beaucoup des tribulations;
Mais la chose qui m'a le plus marqué, est, qu'elle m'a fait comprendre que nous pouvons vivre le ciel dès notre vie sur la terre, et malgré sa grande souffrance elle nous montre comment, j'ai trouvé ça absolument magnifique, cela à joué sur ma conversion Smile

Maintenant que j'ai pris un peu de recul, je vais me lancer dans cette lecture avec des yeux un peu plus neuf .
Livre

Merci!
flou
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Message par l43275 Ven 3 Aoû 2012 - 12:33

Voici le lien qui permet d'imprimer :"La Vierge Marie dans le Royaume de la Divine Volonté."


http://www.divinewill.org/French%20Page/la_vierge_marie_dans_le_royaume.htm



Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des Nations

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Message par Invité Mar 5 Jan 2016 - 21:17



Luisa Piccarreta 1/4 ─ Sa vie, sa mission
Arnaud Dumouch

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Message par Invité Jeu 7 Jan 2016 - 15:43



Luisa Piccarreta 2/4 ─ FOI : La cause des malheurs des hommes
Arnaud Dumouch

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Message par Invité Sam 6 Fév 2016 - 0:17



Homélie de l'abbé Ghislain Roy, dans la Divine Volonté. (3 de 5)
Messe célébrée par l'abbé Ghislain Roy, dans la Divine Volonté.

C'est le 3e de 5 clips d'une conférence donnée à la Maison de la Madone (Sanctuaire Notre-Dame du CAP – www.sanctuaire-ndc.ca), à Cap de la Madeleine, QC, le 5 décembre 2010. Après la conférence de Marcel Laflamme, l'abbé Ghislain Roy qui a écrit la postface du livre "Premiers Pas avec Luisa Piccarreta - Vivre dans la Divine Volonté" (voir www.piccarreta.com) y va aussi de ses commentaires, juste avant de célébrer l'Eucharistie, don de Vie !

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Message par M1234 Sam 6 Fév 2016 - 8:16

Bonjour et Merci à vous @petit-croisé!
Magnifique partage
Amicalement Coucou
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Message par Invité Sam 6 Fév 2016 - 20:45



Homélie de l'abbé Ghislain Roy, dans la Divine Volonté. (4 de 5)

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