Idées de lectures

Bonjour, je suis débutante dans le catholicisme et je recherche des livres qui pourraient m'enseigner ,soit sur les pratiques ou sur la vie des saints,mais je ne sais pas ou commencer.
Je possède le Youcat et j'aime beaucoup le lire, mais je n'ai rien d'autre.

Que le Seigneur vous protèges tous

Il y en tout plein tout plein , tout livre sur le christiannisme peut aider et est intéressant ça dépend ce que vous voulez précisément par exemple quel saint ? Quel genre de livre ? Il y a plein de critère sinon il faut prendre tout

Tibelle07 a écrit:Il y en tout plein tout plein , tout livre sur le christiannisme peut aider et est intéressant ça dépend ce que vous voulez précisément par exemple quel saint ? Quel genre de livre ? Il y a plein de critère sinon il faut prendre tout

Enfaîte je ne sais pas, il y a plusieurs choses que je ne comprend pas sur le catho,car j'étais protestante,c'est très différent,donc sur tout et pour les saints, je ne connais même pas les plus connue alors...

Bah au pire il y a des livres comme "découvrir la foi catholique" et un gros rayon de livre sur les saints mais tu peux aller dans une eglise catholique et rencontrer le prêtre et il te prêtera voir peut être donner un livre. En tout cas si t'as des questions , je peux t'aider en MP sans problème

Tibelle07 a écrit:Bah au pire il y a des livres comme "découvrir la foi catholique" et un gros rayon de livre sur les saints mais tu peux aller dans une eglise catholique et rencontrer le prêtre et il te prêtera voir peut être donner un livre. En tout cas si t'as des questions , je peux t'aider en MP sans problème

Merci je vais vérifier les librairies catho ici et aller dans une église Bah j'aurais plusieurs questions alors si tu veux on pourrai discuter à l'extérieur du forum ?

l'imitation de jésus christ
la vraie dévotion de st louis de monfort

Le tabernacle de l'amour
Les plus beaux textes de conchita

Stephie96 a écrit:

Tibelle07 a écrit:Bah au pire il y a des livres comme "découvrir la foi catholique" et un gros rayon de livre sur les saints mais tu peux aller dans une eglise catholique et rencontrer le prêtre et il te prêtera voir peut être donner un livre. En tout cas si t'as des questions , je peux t'aider en MP sans problème

Merci je vais vérifier les librairies catho ici et aller dans une église Bah j'aurais plusieurs questions alors si tu veux on pourrai discuter à l'extérieur du forum ?

On peut parler en MP.

spiri a écrit:Le tabernacle de l'amour
Les plus beaux textes de conchita

merci beaucoup !

Ça vient de sortir aux éditions Via Romana. C'est ma lecture du soir, je ne regrette pas cet achat, c'est très documenté.

Saint Paul VI est canonisé ....

Pour ceux qui ne connaissent pas la langue de notre Mère la Sainte Église, ni le grec, voici une découverte que j'ai faite depuis peu qui pourrais intéresser, aider  ceux qui recherche à la source, la foi infailliblement exprimé par l'Eglise, la traduction viens d'un Prêtre, le Dumeige , équivalent du Denzinger pour les Francophones...

https://archive.org/details/DumeigeLaFoiCatholique/mode/2up

Bonjour
Je suis nouvelle sur ce forum. Je vais tenter d'écrire une réponse. Je vous suggère ce site comme lectures spirituelles; ce site est un peu nouveau et pas encore terminé. Les textes des 36 volumes de Luisa Piccarreta y sont gratuitement.
https://sites.google.com/view/livreduciel-36volumes/accueil
 

Le Combat Spirituel du Père Scupoli + le Supplément traduit
 
{* Note du traducteur le Père Augustin Riche: "parlons de notre traduction.
Il y a quelques mois, le vénérable Supérieur d'un Grand Séminaire nous écrivait la lettre suivante : « Monsieur et bien cher ami, n'avez-vous jamais comparé le texte du Combat Spirituel, soit avec la traduction latine, soit avec la traduction française du Père Brignon, soit enfin, avec
une prétendue nouvelle, qui ne vaut guère mieux
que l'ancienne ? »
« Comment se fait-il qu'il y ait tant de différences entre les unes et les autres, et que personne ne réclame, et que personne ne pense à donner au public le vrai livre d'or du Père Scupoli, celui que prisait tant le bon saint François de Sales ? Toutes les traductions invoquent ces deux noms, ces deux autorités ; et cependant, toutes
sont à cent lieues du texte italien, non-seulement par la délicatesse et l'élégance du style, mais, quelquefois même, par l'exactitude du sens.
Voici donc, maintenant, une véritable et complète traduction du Combat Spirituel et du Supplément au Combat Spirituel. Nous n'avons pas la prétention de la présenter telle qu'on ne puisse faire encore beaucoup mieux après nous; nous croyons, cependant, avoir reproduit la doctrine du Père Scupoli dans toute sa pureté et dans toute son intégrité»


https://canadienfrancais.org/wp-content/uploads/editions/pdf/combatSpirituel-canadienfrancais.org.pdf

Laurent Dandrieu vient de publier Rome ou Babel, pour un christianisme universaliste et enraciné, dans lequel il montre comment l’attachement à nos petites et grandes patries concourt au bien commun et nous détache de nos égoïsmes. L’universalisme chrétien, le catholicisme, n’est pas un mondialisme. L’Eglise catholique, c’est-à-dire universelle, est la religion de l’incarnation. Mais c’est l’écrivain qui parle le mieux de son ouvrage, dans Valeurs Actuelles :

Depuis une soixantaine d’années, il y a dans l’Église une tendance à la désincarnation qui s’est traduite, dans les années 1960, par une traque de tout ce qui avait trait à la piété populaire : processions, ex-voto, culte des reliques, dévotions mariales, etc., censés relever d’une religiosité archaïque et superstitieuse. Dès cette époque, le père Serge Bonnet, sociologue dominicain pas particulièrement conservateur, avertissait que cette destruction du catholicisme populaire aboutirait à un catholicisme apatride. Or, c’est précisément ce que l’on est en train de vivre. Le mépris d’une foi enracinée dans les rites et les sacrements et celui d’une foi enracinée dans une culture nationale vont de pair.

Faire de la foi un phénomène purement spirituel, penser que la relation avec Dieu rend le culte et le rite secondaires, et la culture catholique accessoire, c’est une trahison du catholicisme. Et c’est une erreur fondamentale, à la fois parce que la foi personnelle a besoin d’être étayée par une culture sous peine de risquer l’asphyxie, et parce que cette culture catholique constitue un lien très fort avec ceux qui n’ont pas la foi : c’est un terreau formidable d’évangélisation, en particulier des classes populaires qui, même inconsciemment, restent imprégnées de catholicisme.

En réalité, ce débat qui semble extérieur à mon sujet en est au cœur : c’est l’une des formes d’un affrontement entre une vision enracinée du catholicisme et une vision désincarnée, hors-sol. Cela rejoint le sujet fondamental de mon livre, le duel entre l’universalisme catholique et le mondialisme.

La suite de l’article : https://www.lesalonbeige.fr/le-mepris-dune-foi-enracinee-dans-les-rites-et-les-sacrements-et-celui-dune-foi-enracinee-dans-une-culture-nationale-vont-de-pair/

Merci pour la suggestion de lecture. Rome ou Babel ... Si je n'ai pas encore lu, je me doute bien que le livre doit contenir pas mal de réflexions intéressantes.

Yeshoua

voici une découverte que j'ai faite depuis peu qui pourrais intéresser, aider  ceux qui recherche à la source, la foi infailliblement exprimé par l'Eglise, la traduction viens d'un Prêtre, le Dumeige , équivalent du Denzinger pour les Francophones...

Un cadeau ! Je ne connaissais pas. Il s'agit là d'un outil fort utile.

Cristina Campo (1923-1977), écrivain et poète, a connu après sa mort un grand succès de la part du public et de la critique.
   Les seuls à l'avoir apparemment oubliée sont les catholiques "traditionalistes", dont elle fut pourtant une personnalité de premier plan. Vittoria Guerini (véritable nom de Cristina Campo) a, parmi les fondateurs d'"Una Voce¬Italia", apporté une contribution décisive à la rédaction du "Bref examen critique" du nouveau missel présenté à Paul VI par les cardinaux Ottaviani et Bacci. Ces années-là, nous trouvons autour de Cristina Campo Mgr Lefebvre et le Père Guérard des Lauriers, Mgr d'Amato et Mgr Pozzi et, en France, Jean Madiran et l'abbé de Nantes... et le lecteur découvrira peut-être pour la première fois une bonne partie de l'histoire de l'opposition à la réforme liturgique - lorsque tout était encore possible - de 1965 à 1970.
   En suivant les traces de Cristina Campo, on peut, dans le même temps se perdre dans les méandres d'une autre "tradition" bien différente de la Tradition catholique! De Simone Weil à la psychanalyse jungienne, du manichéisme à l'hésychasme byzantin, du Vedanta au Cabalisme d'Abraham J. Heschel, Cristina Campo parcourt les voies ténébreuses de l'ésotérisme "chrétien", guidée en cela par le maître indiscuté qu'est Elémire Zolla avec lequel elle partagea sa vie.
   Quel est donc le vrai visage de Cristina Campo, une femme qui, au sens propre, vécut "sous un faux nom"? Quelle est celle qui repose dans sa Bologne natale, aux pieds de la Vierge de San Luca à laquelle l'avait consacrée sa mère : l'intrépide admiratrice de la Messe romaine ou une inquiétante initiée ?
   L'auteur tente de résoudre ce dilemme auquel, en dernier ressort, Dieu seul pourra donner la réponse. L'historien - pour sa part - ne peut que se fier aux documents. Outre des sources inédites, l'abbé Ricossa a pu se prévaloir des archives de l'un des protagonistes de notre histoire le Père M.-L. Guérard des Lauriers - et des témoignages de son dernier confesseur, le Cardinal Augustin Mayer...
   Dans la seconde partie de ce livre est republié un texte désormais introuvable (édité par Borla en 1970 et l'année suivante par le Père Barbara) mais fondamental : la Réponse à la "Lettre à un religieux" écrite par le Père Guérard des Lauriers, texte qui eut une grande importance dans le cheminement spirituel de Cristina Campo.

Pas encore lu le livre du dessus mais c'est intéressant de voir que Vittoria Guerrini qui s'est intéressé à des dimensions ésotériques ou occultes veuille en même temps défendre la messe du concile de Trente. C'est qui a participé à la rédaction du Bref Examen Critique écrit en grande partie par le père Michel Guérard des Lauriers (Dominicain, professeur à l'Université du pape, Latran)

Desiderius Ulixes a écrit:Cristina Campo (1923-1977), écrivain et poète, a connu après sa mort un grand succès de la part du public et de la critique.
   Les seuls à l'avoir apparemment oubliée sont les catholiques "traditionalistes", dont elle fut pourtant une personnalité de premier plan. Vittoria Guerini (véritable nom de Cristina Campo) a, parmi les fondateurs d'"Una Voce¬Italia", apporté une contribution décisive à la rédaction du "Bref examen critique" du nouveau missel présenté à Paul VI par les cardinaux Ottaviani et Bacci. Ces années-là, nous trouvons autour de Cristina Campo Mgr Lefebvre et le Père Guérard des Lauriers, Mgr d'Amato et Mgr Pozzi et, en France, Jean Madiran et l'abbé de Nantes... et le lecteur découvrira peut-être pour la première fois une bonne partie de l'histoire de l'opposition à la réforme liturgique - lorsque tout était encore possible - de 1965 à 1970.
   En suivant les traces de Cristina Campo, on peut, dans le même temps se perdre dans les méandres d'une autre "tradition" bien différente de la Tradition catholique! De Simone Weil à la psychanalyse jungienne, du manichéisme à l'hésychasme byzantin, du Vedanta au Cabalisme d'Abraham J. Heschel, Cristina Campo parcourt les voies ténébreuses de l'ésotérisme "chrétien", guidée en cela par le maître indiscuté qu'est Elémire Zolla avec lequel elle partagea sa vie.
   Quel est donc le vrai visage de Cristina Campo, une femme qui, au sens propre, vécut "sous un faux nom"? Quelle est celle qui repose dans sa Bologne natale, aux pieds de la Vierge de San Luca à laquelle l'avait consacrée sa mère : l'intrépide admiratrice de la Messe romaine ou une inquiétante initiée ?
   L'auteur tente de résoudre ce dilemme auquel, en dernier ressort, Dieu seul pourra donner la réponse. L'historien - pour sa part - ne peut que se fier aux documents. Outre des sources inédites, l'abbé Ricossa a pu se prévaloir des archives de l'un des protagonistes de notre histoire le Père M.-L. Guérard des Lauriers - et des témoignages de son dernier confesseur, le Cardinal Augustin Mayer...
   Dans la seconde partie de ce livre est republié un texte désormais introuvable (édité par Borla en 1970 et l'année suivante par le Père Barbara) mais fondamental : la Réponse à la "Lettre à un religieux" écrite par le Père Guérard des Lauriers, texte qui eut une grande importance dans le cheminement spirituel de Cristina Campo.

Livre qui fourmille de références concernant les auteurs qui ont développé tout ce qui tourne autour de la gnose. Et qui parle de la genèse de la résistance en France, à Rome contre le nouveau missel.

il y a une chose fascinante c'est l'implication de Vittoria Guerrini d'un côté pour défendre l'ancien missel et de l'autre sa dépendance (de quelle nature ?) à Éllemire Zolla. De ceux qui se réunissaient autour de Cristina Campo pour préserver l'ancienne messe, Zolla disait froidement : laisse donc ces imbéciles !
Dans la version 1982 ou 83 du Bref Examen Critique, le père Guérard des Lauriers dira que Cristina Campo (Vittoria Guerrini) aura laissé sa peau dans ce combat qui la déchirait (entre le choix du Christ et l'emprise de Zolla)

A part ça, il y a la réponse à la lettre à un religieux (Simone Weil).
Pour cette partie, je n'arrive pas à suivre faute de bagages philosophiques, théologiques... Dommage.