oui, mais aussi cela !
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Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX :: La Fin des Temps :: PROPHÉTIES, RÉVÉLATIONS SUR LE TEMPS QUI VIENT
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oui, mais aussi cela !
2003 2e trimestre, témoignage :
Depuis plusieurs jours la prière s’accentue pour l’Humanité, puis ce soir-là :
je suis seul, je me couche en priant pour l’Humanité, je visualise les hommes jusqu’à sur toute la planète, je ressens leurs douleurs, à cet instant :
D’un seul coup tout est noir, je suis soulevé et mis debout, tout est noir, pas de sol, pas d’extrémités, mais j’entends en plus un énorme battement de cœur, une présence, je me retourne, Le Seigneur est là, j’avais mis une hésitation car bien que c’est sur qu’il est mon Seigneur, Jésus n’a pas tout à fait le même visage que quand il est sur la croix, pourtant c’est Lui. Il est surélevé, une luminescence est issue de l’arrière de Lui et de Lui, proche de moi Jésus sourit (le plus beau sourire), je suis heureux, Il est doux et humble, beau, son cœur en chair bât à l’extérieur de son corps au niveau du plexus, Sa main gauche semblait écarter un peu le tissu et m’indiquait avec son cœur, ses vêtements extérieurs un peu rouge et de bleu, le tissu est ample ; Jésus et ses habits semblent pourtant un peu en transparence, Il rayonne, sa main droite (et en pensée) en remontant m’indique de regarder à ma droite ; là, je vois une partie de l’univers illuminé d’étoiles (c’est comme si c’était des priants), chaque étoile se transforme en petites sortes de flammes, puis, des flammes (de chaque flamme, des milliers) part leurs prières en faisceau lumineux vers le cœur de Jésus (depuis le début je continue à ressentir la douleur des hommes sur la terre, mais je ne les voyais plus) ; puis l’univers (par Jésus) se mit à plat en tournant (comme un dais, un disque) puis telle une pierre plate (avec ses milliers d’étoiles) vint se positionner sur mon plexus, puis Jésus vint en moi (comme, un calque, comme une commune-union) et là je ressentis l’intensité des prières, également de l’acceptation (immesurable) de Son cœur, puis je sens une pression énorme, une contrition au niveau de mon plexus (du lieu du cœur central), puis du Cœur de Jésus et du mien, sort de Jésus « Sa miséricorde divine », un faisceau lumineux ardent (comme un phare de bateau) qui abreuve les hommes qui L’implorent en contrebas et même ceux qui ne priaient pas mais se plaignaient de douleurs (blanchissaient plus ceux qui imploraient le plus et L’accueillaient). Je ressentais Tout cela, l’Amour, La miséricorde ; puis mes mains que je venais d’écarter du Faisceau
d’Amour sont guidées et je touche l’endroit de départ du faisceau, soit du cœur central, et là j’écarte mes mains et le faisceau, la Lumière (d’Amour) sort également du centre de mes paumes (comme en transparence, en commune-union par le Seigneur) pour abreuver l’Humanité. Puis plus rien, je suis debout vivant de cela (tout est toujours presque présent), j’ai mis du temps à me recoucher et à dormir. C’était dans une maison (pas chez moi) dans un village mitoyen de la basilique de l’Épine, près d’un moulin démonté…en France. Ceci est pour tout un chacun.
Depuis plusieurs jours la prière s’accentue pour l’Humanité, puis ce soir-là :
je suis seul, je me couche en priant pour l’Humanité, je visualise les hommes jusqu’à sur toute la planète, je ressens leurs douleurs, à cet instant :
D’un seul coup tout est noir, je suis soulevé et mis debout, tout est noir, pas de sol, pas d’extrémités, mais j’entends en plus un énorme battement de cœur, une présence, je me retourne, Le Seigneur est là, j’avais mis une hésitation car bien que c’est sur qu’il est mon Seigneur, Jésus n’a pas tout à fait le même visage que quand il est sur la croix, pourtant c’est Lui. Il est surélevé, une luminescence est issue de l’arrière de Lui et de Lui, proche de moi Jésus sourit (le plus beau sourire), je suis heureux, Il est doux et humble, beau, son cœur en chair bât à l’extérieur de son corps au niveau du plexus, Sa main gauche semblait écarter un peu le tissu et m’indiquait avec son cœur, ses vêtements extérieurs un peu rouge et de bleu, le tissu est ample ; Jésus et ses habits semblent pourtant un peu en transparence, Il rayonne, sa main droite (et en pensée) en remontant m’indique de regarder à ma droite ; là, je vois une partie de l’univers illuminé d’étoiles (c’est comme si c’était des priants), chaque étoile se transforme en petites sortes de flammes, puis, des flammes (de chaque flamme, des milliers) part leurs prières en faisceau lumineux vers le cœur de Jésus (depuis le début je continue à ressentir la douleur des hommes sur la terre, mais je ne les voyais plus) ; puis l’univers (par Jésus) se mit à plat en tournant (comme un dais, un disque) puis telle une pierre plate (avec ses milliers d’étoiles) vint se positionner sur mon plexus, puis Jésus vint en moi (comme, un calque, comme une commune-union) et là je ressentis l’intensité des prières, également de l’acceptation (immesurable) de Son cœur, puis je sens une pression énorme, une contrition au niveau de mon plexus (du lieu du cœur central), puis du Cœur de Jésus et du mien, sort de Jésus « Sa miséricorde divine », un faisceau lumineux ardent (comme un phare de bateau) qui abreuve les hommes qui L’implorent en contrebas et même ceux qui ne priaient pas mais se plaignaient de douleurs (blanchissaient plus ceux qui imploraient le plus et L’accueillaient). Je ressentais Tout cela, l’Amour, La miséricorde ; puis mes mains que je venais d’écarter du Faisceau
d’Amour sont guidées et je touche l’endroit de départ du faisceau, soit du cœur central, et là j’écarte mes mains et le faisceau, la Lumière (d’Amour) sort également du centre de mes paumes (comme en transparence, en commune-union par le Seigneur) pour abreuver l’Humanité. Puis plus rien, je suis debout vivant de cela (tout est toujours presque présent), j’ai mis du temps à me recoucher et à dormir. C’était dans une maison (pas chez moi) dans un village mitoyen de la basilique de l’Épine, près d’un moulin démonté…en France. Ceci est pour tout un chacun.
Re: oui, mais aussi cela !
Merci pour la transmission de vos visions.
Dernière édition par Anne Onime 1 le Sam 2 Juin 2012 - 17:51, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: oui, mais aussi cela !
C'est très beau ce que vous vivez RumuliHa ! Depuis quand vivez-vous ces belles situations? Et la Ste Vierge, la voyez-vous aussi ? Merci pour votre témoignage.
sylvia- Avec les anges
- Messages : 6631
Inscription : 22/01/2011
Re: oui, mais aussi cela !
"Courage et Espérance ! ",
Oui, Sylvia
La préparation de ce que je puis formuler s'achemine pas à pas, à bientôt.
Fraternellement.
Mais pour Maintenant :
20 mai 2012 : La barre tourne, l'Antique (navire) s'apprête à quitter le quai. ô Marie !
C'est après l'accueil de l'Eucharistie que ceci m'est montré, il est rappelé de clairement amener les enfants à Marie, si l'un des adultes n'entend pas et bien que celui qui reçoit les amène.
Aussi :
Le 14 mars 2012 : Une dame assise, j'y voyais un sceau vide, puis un instant après, debout lors de la louange, lorsqu'elle est située à la proue, d'un coup une sorte de baleine a surgi du Haut en descendant vers elle, de face, s'apprêtant à l'avaler.
Oui, Sylvia
La préparation de ce que je puis formuler s'achemine pas à pas, à bientôt.
Fraternellement.
Mais pour Maintenant :
20 mai 2012 : La barre tourne, l'Antique (navire) s'apprête à quitter le quai. ô Marie !
C'est après l'accueil de l'Eucharistie que ceci m'est montré, il est rappelé de clairement amener les enfants à Marie, si l'un des adultes n'entend pas et bien que celui qui reçoit les amène.
Aussi :
Le 14 mars 2012 : Une dame assise, j'y voyais un sceau vide, puis un instant après, debout lors de la louange, lorsqu'elle est située à la proue, d'un coup une sorte de baleine a surgi du Haut en descendant vers elle, de face, s'apprêtant à l'avaler.
Re: oui, mais aussi cela !
Cela fait penser au songe de Don Bosco! Il faut se cramponner à Marie qui nous guide, prier pour le Pape et vénérer la Ste Eucharistie!
Avez-vous aussi vu " l'avertissement? ". Comme vous êtes favorisée chère RumuliHa! Quelle chance vous avez!
Vous pouvez chanter " Le Seigneur fait pour moi des merveilles.."
Avez-vous aussi vu " l'avertissement? ". Comme vous êtes favorisée chère RumuliHa! Quelle chance vous avez!
Vous pouvez chanter " Le Seigneur fait pour moi des merveilles.."
sylvia- Avec les anges
- Messages : 6631
Inscription : 22/01/2011
Re: oui, mais aussi cela !
Sylvia, c'est un peu plus loin dans les jours que je continuerai si vous le permettez de déposer ici ce que je puis, suite à votre lecture. Mais pour ce jour je viens de finaliser la recopie d'une autre partie de mes notes...
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2005 six janvier : Ce matin, je vois, au-dessus d’eau translucide, mais du dessus de là où il m’était donné de regarder, une goutte tombe, elle remue légèrement la surface de l’eau translucide et au travers je perçois l’enfant-Jésus, mais là, tout bébé, avec comme des étincelles douces jaunes autour de lui et de sa paille (ou comme du rotin). Il est dans un tissu, et cette goutte Le mouille mais n’est pas visible à l’œil humain (de chair) mais au travers cette eau vive. Merci Père, merci Jésus, merci Mère, merci Marie Joseph. Cela fut dans une pièce où il n’y avait point d’eau…
……………………………………………………….
Depuis une dizaine d’années j’étais invité par le cœur à souhaiter et demander à Dieu que Jésus accepte que par Marie et l’Esprit Saint je puisse revivre et vivre des, les, moments de l’enfance de Jésus, ainsi en partager comme un copain d’enfance et connaître la douceur de Marie (et Joseph) envers son fils puis petit à petit bénéficier de ces moments, de cette éducation, de sa culture, d’en accueillir la compréhension, de découvrir avec une intelligence et un cœur renouvelés par Grâce. Voyez-vous quand cela est bon, ajusté au Royaume, le Seigneur répond toujours, soit cela est perceptible par nos sens psychico-corporels mais aussi par nos sens spirituels (je n’ai pas dit intellectuels mais bien en commune union avec l’Esprit Saint par Sa grâce). Ainsi je témoigne non pas d’une construction via mon imagination mais bel et bien d’expérience, du Seigneur, oui le Seigneur est bon. C’est ainsi qu’également le langage prend forme, l’abandon progressif, ou plutôt l’adaptation progressive par Grâce d’un nouveau dialogue, tenant compte de la Tradition décrite dans la complémentarité des Ecrits de la Sainte Bible, que l’Esprit dans l’Amour instruit. Je lui rends grâce, chaleureusement, amicalement, offrande sur offrande, vague sur vague, comme je peux, où je peux, dans l’état où je suis. Si vous le permettez j’invite tout individu à demander cette douceur Maternelle céleste, certes nous ne pouvons faire que le pas de la foi, mais pour Dieu tout est possible, et si notre cœur a subi le gout d’un vin aigre, Dieu a le cœur plus grand que notre cœur ; avec Lui je n’ai pas peur, et puis qui suis-je pour refuser cette douceur véridique.
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https://i.servimg.com/u/f43/16/33/70/58/1_09_l10.jpg
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Mais auparavant j’en reviens à 1983 un 25 ou 15 mars me semble-t-il, près d’Amiens. Avec un bon camarade, un ami, nous fêtions, en consommant de la boisson alcoolisée, un évènement quelconque, une excuse ; La quantité était trop conséquente, mais au fond, j’acceptais de partir…, nous rentrons dans ma chambre, la famille absente, je m’allonge de malaise, le copain s’agenouille, de ma pensée... je n’ai qu’un souhait profond que je ne puis exprimer avec des mots à cette époque, mais voici : Totalement, tout de moi, oui, « je m’en remets à toi mon Dieu », d’un coup ce surnaturel m’est révélé de surcroit ; plus un ressenti d’alcool ; je ... commence à être soulevé de mon corps que je vois nettement dans la pièce, puis je suis mis debout, tout est noir, pas de sol, pas d’horizon, ni de ciel, j’entends « Mon prénom », je passe outre, puis encore « mon prénom », je me retourne intrigué, une troisième fois « mon prénom ». Là un grondement, claquement, comme un orage et un bruit de trompette, c’est énorme et bref (et comme un rappel à l’ordre), puis alors que je suis dans la ténèbre un point lumineux apparait légèrement en face sur ma gauche, le point lumineux grandit , bouge , grandit prenant forme ovale (vertical), cela devient très grand, très lumineux, je baisse le regard, je ne peux supporter cette puissance ; puis c’est régulé, plus doux, je peux à présent regarder, je m’approche, ça fait plusieurs fois ma taille, ça vit, la lumière, le feu varie en intensité, et telle une brume douce qui s’écarte, je m’approche, (je vois aussi comme mon corps, plus sombre, mais ce n’est pas mon corps que je nommerai depuis cet événement « mon âme », oui qui ne peut être vue qu’à la lumière de Dieu), je m’approche donc, curieux mais pas téméraire, jusqu’au pied de la Lumière et là :
La Lumière, tel un feu ardent mais doux…une voix tonitruante parle « « « JeSuis (mais le « JeSuis » est contracté, c’Est le sens de ce qu’Il dit Etre) ‘Yawhéé……………(Il n’est pas chair mais esprit Lui seul peut le citer, l’humain ne le peut, et encore il n’en cite qu’une partie que je pouvais supporter) (et là j’ai su que Dieu est Dieu, le Créateur de tout l’univers et le père de tous les hommes. Son Nom contient plus que toutes les lettres de l’univers, et je l’entends comme un murmure d’eau) ( je reconnais et crains, je m’incline et le salue en baissant la nuque, je me demande ce que je fais là moi, si petit) …………l’Eternel ton Dieu, l’unique, le Père d’Abraham, Isaac et de Jacob/Israël (je vois défiler en Vrai l’Histoire du Peuple, le peuple qu’Il a choisi, l’ainé et qu’à partir de l’EVENEMENT je deviens son fils par adoption). Oui je suis heureux il m’adopte, Merci Père.
Quand l’Eternel s’est présenté, je voyais sur la droite de la Puissance, venir un nuage large et puissant « Celui qui arrive ! », j’ai ressenti qu’une grande puissance s’en dégageait et comme une multitude à Ses pieds dans le nuage (car je ne voyais rien d’autre).
Puis Il me demande (tout cela est Esprit) si j’accepte quelque chose qu’Il veut que je fasse (il est difficile de refuser à Dieu), je lui exprime en pensée comment je peux faire, moi, quelque chose (car je ne suis rien ici-bas). Lui me dit de dire pour ici « Avec Lui…. », j’accepte, je dis « oui », puis s’ensuit qu’Il me demande de terminer (compléter) une œuvre (en retrait du Seigneur)(je ne peux en dire plus, l’éclairage fut au début 18 ans plus tard) et autre chose plus tard, tu dois auparavant connaitre Celui à qui je te confie !... la Lumière change de tonalité, de chaleur, la Voix est directive et semble mature, rigoureuse mais plus jeune…(comme Son fils)… Cette Deuxième Personne (qui est Esprit, car je suis toujours devant et dans la lumière) me donne à Manger un livre, oui Lui me lit un livre (j’ai compris 20ans + tard que c’était la Bible) qui m’emplit de connaissance et d’amertume et je m’attriste de ce qui m’est montré et là Lui me dit de ne pas m’inquiéter des guerres, que cela doit arriver…(il y a aussi un moment fait pour me Marquer : Lui m’apprend à mettre ma main comme le poing, contre mon côté gauche : vingt ans plus tard je découvrai cela durant la Célébration :’ Seigneur je ne suis pas digne de te recevoir mais dis seulement une parole et je serai guéri’. Sauf que là c’est esprit)……..Puis la Lumière change et devient plus douce et la Voix se féminise, La plus belle voix qu’il m’ait été donné d’entendre, douce, et rassurant et Elle me demande si j’accepte une mission pour réaliser ce qu’a demandé mon Dieu et là par amour je dis « oui » (mais j’ignorai quoi) et instantanément Elle me montre toutes les souffrances que je dois vivre pour, et pour réussir Elle me dit Qu’Elle me donne (en même temps qu’Elle dit, ça arrive !) : De cette Voix, de ce Feu, je reçois des rayons d’Amour, de Lumière, et de chaleur douce, qui me transpercent tout mon être (Cela venait de face, cette quantité d’Amour et cet Amour, personne sur terre ne peut en donner autant et pourtant ce n’est qu’une partie de ce qu’Elle peut donner à tous les hommes). A l’arrière de ce Rayon il m’a semblé voir une silhouette féminine de face et le Rayon partait de son centre et à la fois de la précédente Personne (Esprit) comme s’ils étaient inter dépendants. Il me revient (à partir de 2001, j’en parlerai par la suite) que cette 3e Voix, c’est Mère, ma Reine, et que celui que je Dois connaitre, c’est Jésus.
Et puis Mère me dit que tout ce qui m’a été confié pour l’instant, je ne pourrai m’en rappeler immédiatement après, et « Aie Confiance ! », « Il faut aplanir le chemin (sentiers) en attendant qu’Il arrive ! » , je m’en retourne comme pour partir, puis je me retourne pour poser une question, mais plus rien ! Je suis comme attiré par un fil ou cordon sombre de la cheville de mon corps à mon âme et hop, je réintègre mon corps dans la chambre, allongé. ..Je secoue le camarade qui n’a rien vu ni entendu, nous ne savons pas la durée d’ici. Je ne me rappelais que d’une petite lumière jusqu’en fin 2001 à mars 2002. (je développerai dans un autre dépôt).
...............................................................
En 1983 je n’avais jamais lu la Bible, à part quelques mots au bref catéchisme vers 1970….Baptisé à Cinq jours en la maternité…Mais c’est à partir de 2001 que Jésus devint mon Seigneur bien qu’il fut là bien avant, mais je ne le connaissais pas !
………………………………………………………..
En mars dernier, 2012, dans les Ardennes, nous finissions prière, louanges, témoignages pour la première fois que nous nous rencontrions ; les parents de ce frère, âgés de 92 années nous faisaient part d’un évènement survenu quelques jours plus tôt : « Nous vous croyons, car on un ami qui a cent ans, il n’habite pas loin, nous a appelé pour nous dire que le Seigneur vient de se montrer à lui. Nous avons confiance en lui, vu nos âges nous nous connaissons depuis très longtemps, puis il a dit qu’il n’en parlerait à personne d’autre car on le prendrait pour un fou, il craignait d’être enfermé. Toujours est-il qu’il est enthousiaste et paisible concernant Jésus. Oui à 100 ans.
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2005 six janvier : Ce matin, je vois, au-dessus d’eau translucide, mais du dessus de là où il m’était donné de regarder, une goutte tombe, elle remue légèrement la surface de l’eau translucide et au travers je perçois l’enfant-Jésus, mais là, tout bébé, avec comme des étincelles douces jaunes autour de lui et de sa paille (ou comme du rotin). Il est dans un tissu, et cette goutte Le mouille mais n’est pas visible à l’œil humain (de chair) mais au travers cette eau vive. Merci Père, merci Jésus, merci Mère, merci Marie Joseph. Cela fut dans une pièce où il n’y avait point d’eau…
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Depuis une dizaine d’années j’étais invité par le cœur à souhaiter et demander à Dieu que Jésus accepte que par Marie et l’Esprit Saint je puisse revivre et vivre des, les, moments de l’enfance de Jésus, ainsi en partager comme un copain d’enfance et connaître la douceur de Marie (et Joseph) envers son fils puis petit à petit bénéficier de ces moments, de cette éducation, de sa culture, d’en accueillir la compréhension, de découvrir avec une intelligence et un cœur renouvelés par Grâce. Voyez-vous quand cela est bon, ajusté au Royaume, le Seigneur répond toujours, soit cela est perceptible par nos sens psychico-corporels mais aussi par nos sens spirituels (je n’ai pas dit intellectuels mais bien en commune union avec l’Esprit Saint par Sa grâce). Ainsi je témoigne non pas d’une construction via mon imagination mais bel et bien d’expérience, du Seigneur, oui le Seigneur est bon. C’est ainsi qu’également le langage prend forme, l’abandon progressif, ou plutôt l’adaptation progressive par Grâce d’un nouveau dialogue, tenant compte de la Tradition décrite dans la complémentarité des Ecrits de la Sainte Bible, que l’Esprit dans l’Amour instruit. Je lui rends grâce, chaleureusement, amicalement, offrande sur offrande, vague sur vague, comme je peux, où je peux, dans l’état où je suis. Si vous le permettez j’invite tout individu à demander cette douceur Maternelle céleste, certes nous ne pouvons faire que le pas de la foi, mais pour Dieu tout est possible, et si notre cœur a subi le gout d’un vin aigre, Dieu a le cœur plus grand que notre cœur ; avec Lui je n’ai pas peur, et puis qui suis-je pour refuser cette douceur véridique.
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https://i.servimg.com/u/f43/16/33/70/58/1_09_l10.jpg
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Mais auparavant j’en reviens à 1983 un 25 ou 15 mars me semble-t-il, près d’Amiens. Avec un bon camarade, un ami, nous fêtions, en consommant de la boisson alcoolisée, un évènement quelconque, une excuse ; La quantité était trop conséquente, mais au fond, j’acceptais de partir…, nous rentrons dans ma chambre, la famille absente, je m’allonge de malaise, le copain s’agenouille, de ma pensée... je n’ai qu’un souhait profond que je ne puis exprimer avec des mots à cette époque, mais voici : Totalement, tout de moi, oui, « je m’en remets à toi mon Dieu », d’un coup ce surnaturel m’est révélé de surcroit ; plus un ressenti d’alcool ; je ... commence à être soulevé de mon corps que je vois nettement dans la pièce, puis je suis mis debout, tout est noir, pas de sol, pas d’horizon, ni de ciel, j’entends « Mon prénom », je passe outre, puis encore « mon prénom », je me retourne intrigué, une troisième fois « mon prénom ». Là un grondement, claquement, comme un orage et un bruit de trompette, c’est énorme et bref (et comme un rappel à l’ordre), puis alors que je suis dans la ténèbre un point lumineux apparait légèrement en face sur ma gauche, le point lumineux grandit , bouge , grandit prenant forme ovale (vertical), cela devient très grand, très lumineux, je baisse le regard, je ne peux supporter cette puissance ; puis c’est régulé, plus doux, je peux à présent regarder, je m’approche, ça fait plusieurs fois ma taille, ça vit, la lumière, le feu varie en intensité, et telle une brume douce qui s’écarte, je m’approche, (je vois aussi comme mon corps, plus sombre, mais ce n’est pas mon corps que je nommerai depuis cet événement « mon âme », oui qui ne peut être vue qu’à la lumière de Dieu), je m’approche donc, curieux mais pas téméraire, jusqu’au pied de la Lumière et là :
La Lumière, tel un feu ardent mais doux…une voix tonitruante parle « « « JeSuis (mais le « JeSuis » est contracté, c’Est le sens de ce qu’Il dit Etre) ‘Yawhéé……………(Il n’est pas chair mais esprit Lui seul peut le citer, l’humain ne le peut, et encore il n’en cite qu’une partie que je pouvais supporter) (et là j’ai su que Dieu est Dieu, le Créateur de tout l’univers et le père de tous les hommes. Son Nom contient plus que toutes les lettres de l’univers, et je l’entends comme un murmure d’eau) ( je reconnais et crains, je m’incline et le salue en baissant la nuque, je me demande ce que je fais là moi, si petit) …………l’Eternel ton Dieu, l’unique, le Père d’Abraham, Isaac et de Jacob/Israël (je vois défiler en Vrai l’Histoire du Peuple, le peuple qu’Il a choisi, l’ainé et qu’à partir de l’EVENEMENT je deviens son fils par adoption). Oui je suis heureux il m’adopte, Merci Père.
Quand l’Eternel s’est présenté, je voyais sur la droite de la Puissance, venir un nuage large et puissant « Celui qui arrive ! », j’ai ressenti qu’une grande puissance s’en dégageait et comme une multitude à Ses pieds dans le nuage (car je ne voyais rien d’autre).
Puis Il me demande (tout cela est Esprit) si j’accepte quelque chose qu’Il veut que je fasse (il est difficile de refuser à Dieu), je lui exprime en pensée comment je peux faire, moi, quelque chose (car je ne suis rien ici-bas). Lui me dit de dire pour ici « Avec Lui…. », j’accepte, je dis « oui », puis s’ensuit qu’Il me demande de terminer (compléter) une œuvre (en retrait du Seigneur)(je ne peux en dire plus, l’éclairage fut au début 18 ans plus tard) et autre chose plus tard, tu dois auparavant connaitre Celui à qui je te confie !... la Lumière change de tonalité, de chaleur, la Voix est directive et semble mature, rigoureuse mais plus jeune…(comme Son fils)… Cette Deuxième Personne (qui est Esprit, car je suis toujours devant et dans la lumière) me donne à Manger un livre, oui Lui me lit un livre (j’ai compris 20ans + tard que c’était la Bible) qui m’emplit de connaissance et d’amertume et je m’attriste de ce qui m’est montré et là Lui me dit de ne pas m’inquiéter des guerres, que cela doit arriver…(il y a aussi un moment fait pour me Marquer : Lui m’apprend à mettre ma main comme le poing, contre mon côté gauche : vingt ans plus tard je découvrai cela durant la Célébration :’ Seigneur je ne suis pas digne de te recevoir mais dis seulement une parole et je serai guéri’. Sauf que là c’est esprit)……..Puis la Lumière change et devient plus douce et la Voix se féminise, La plus belle voix qu’il m’ait été donné d’entendre, douce, et rassurant et Elle me demande si j’accepte une mission pour réaliser ce qu’a demandé mon Dieu et là par amour je dis « oui » (mais j’ignorai quoi) et instantanément Elle me montre toutes les souffrances que je dois vivre pour, et pour réussir Elle me dit Qu’Elle me donne (en même temps qu’Elle dit, ça arrive !) : De cette Voix, de ce Feu, je reçois des rayons d’Amour, de Lumière, et de chaleur douce, qui me transpercent tout mon être (Cela venait de face, cette quantité d’Amour et cet Amour, personne sur terre ne peut en donner autant et pourtant ce n’est qu’une partie de ce qu’Elle peut donner à tous les hommes). A l’arrière de ce Rayon il m’a semblé voir une silhouette féminine de face et le Rayon partait de son centre et à la fois de la précédente Personne (Esprit) comme s’ils étaient inter dépendants. Il me revient (à partir de 2001, j’en parlerai par la suite) que cette 3e Voix, c’est Mère, ma Reine, et que celui que je Dois connaitre, c’est Jésus.
Et puis Mère me dit que tout ce qui m’a été confié pour l’instant, je ne pourrai m’en rappeler immédiatement après, et « Aie Confiance ! », « Il faut aplanir le chemin (sentiers) en attendant qu’Il arrive ! » , je m’en retourne comme pour partir, puis je me retourne pour poser une question, mais plus rien ! Je suis comme attiré par un fil ou cordon sombre de la cheville de mon corps à mon âme et hop, je réintègre mon corps dans la chambre, allongé. ..Je secoue le camarade qui n’a rien vu ni entendu, nous ne savons pas la durée d’ici. Je ne me rappelais que d’une petite lumière jusqu’en fin 2001 à mars 2002. (je développerai dans un autre dépôt).
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En 1983 je n’avais jamais lu la Bible, à part quelques mots au bref catéchisme vers 1970….Baptisé à Cinq jours en la maternité…Mais c’est à partir de 2001 que Jésus devint mon Seigneur bien qu’il fut là bien avant, mais je ne le connaissais pas !
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En mars dernier, 2012, dans les Ardennes, nous finissions prière, louanges, témoignages pour la première fois que nous nous rencontrions ; les parents de ce frère, âgés de 92 années nous faisaient part d’un évènement survenu quelques jours plus tôt : « Nous vous croyons, car on un ami qui a cent ans, il n’habite pas loin, nous a appelé pour nous dire que le Seigneur vient de se montrer à lui. Nous avons confiance en lui, vu nos âges nous nous connaissons depuis très longtemps, puis il a dit qu’il n’en parlerait à personne d’autre car on le prendrait pour un fou, il craignait d’être enfermé. Toujours est-il qu’il est enthousiaste et paisible concernant Jésus. Oui à 100 ans.
Re: oui, mais aussi cela !
Il y a peu, un ou deux ans, que je lis parfois des textes d'autrui (rarement), je me permets d'en mesurer selon ce qui m'a été donné. Mais je retiens difficilement les noms des personnes, pour Don Bosco je ne sais ; je crois que ce monsieur vivait en intimité avec le Seigneur, désolé de ne pas répondre plus précisément. Mais si ce n'est pas trop vous demander pouvez-vous me transmettre Sa correspondance, il se peut que je puisse amener une réponse à votre question.
Je viens de recopier une nouvelle petite partie de mes notes... ci-dessous.
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2004 vers mars/avril, un vendredi soir dans une église Saint Jean d’un quartier du même nom :
Nous voici réunis comme à l’accoutumée (je n’y suis pas souvent) priants et au centre une croix de Taizé posée à plat sur des petits tabourets, des bougies allumées y sont posées, il nous reste la place positionnés à genoux pour y déposer notre tête ou une main aux souhaits de chacun, ponctuellement le temps que l’un des chants s’écoulent comme parfois nos larmes. Cette fois, d’un coup je me retrouve, par la vue, au pied de la croix, Jésus est accroché, surélevé ; des proches sont là, moi aussi (bizarrement), puis je suis comme ‘monté’et Jésus me laisse prendre place en Lui pour voir par Ses yeux et là (je ne suis toujours qu’en esprit, ce n’est pas expliquable avec des mots), donc, et là, Jésus dit : « Père je te remets mon esprit », notre regard (ou ma vue par Son regard) se lève vers l’horizon et en faisant cela, de la croix part vers les extrémités de la Terre Son regard et tous les malades et tous se retournent vers Lui. Puis plus rien ! je ne vous détaillerai pas ici l’intimité de mon état.
Peu après je rentre, je m’allonge sur mon lit, puis d’un coup je fais ‘comme un songe’ (et pas un rêve non plus) : je démarche vers les gens, une grande croix fine (le vertical va presqu’au sol) à la main gauche, je la mets en avant de moi et j’annonce le Christ en le mettant en avant et ma main droite levée avec deux doigts tendus, j’étais en blanc écru, comme le tissu. Puis plus rien.
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2002 Il m’est donné de voir un paysage quand la Terre est aride, le ciel rouge feu et sombre, il n’y a plus de soleil, des pierres de feu tombent partout, des pierres de la taille de la moitié d’un homme, et la multitude humaine avance ne sachant où aller, peu de monde en échappe, quelle souffrance, ils implorent mais ne trouvent même pas de prêtres (à leurs yeux). La foule comme un exode avance, il y a aussi un vent comme sec et de poussière aussi comme du sol par leurs pas, ils ont faim et soif aussi. Je suis situé au rebord d’une grotte ou d’une falaise, ce qui me permet de voir (je ne vous dit pas tout), mais je ne peux bouger vers eux, j’ai envie mais je ne peux car ceux derrière qui ont cru et sont couverts seraient en danger. Pourtant, en bas je connaissais aussi des gens, mais n’avaient pas écoutés. Je ne vous en dirais pas plus….
Toutefois en 2008 en priant pour une sœur, le soleil de justice se levait et je voyais à nouveau une partie de cette errance, la sœur aussi qui l’annonçait…émue !
……………………………………………………………………
2005 début décembre, L’Esprit me montre une nouvelle tente sur la France et le bas de la toile (transparente) fait le contour de la France. Comme si Dieu mettait sa tente (volumineuse) sur la France.
2009 alors que je prends une sœur dans les bras, je vois des anges (puissants) du seigneur en attente prêts à intervenir, chacun étant sur une toiture de monuments connus (ils avaient la forme de temple ou d’hôtel de ville), presqu’un par grosse ville.
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2005, 15 août : Durant la messe en la Basilique de l’épine, j’avance comme tout un chacun vers l’Eucharistie, je vois devant moi l’eau qui coule de la plaie du corps du Christ, j’en ressens instantanément cet Amour indescriptible de la Miséricorde ; mon cœur semble s’ouvrir et une fois communié cet Amour que je ressens dans mes entrailles est présent alors qu’une sorte d’étoile, une lumière jaune recouvre tous mes frères et sœurs en un seul corps, y compris les prêtres. Cette image vécue est gravée dans mon cœur. Puis quelques secondes après j’aperçois Cet être de Lumière (plus intense en son centre) qui scintille et bouge légèrement (pour moi c’est le Seigneur) et devant Lui des arbres, de l’herbe et dessus des moutons qui mangent, quelle plénitude, quelle paix. Je vois cela durant trois à quatre secondes après la communion, mais cet horizon est comme partagé en deux, à droite il n’y avait rien. Rumuli (ma filleule) fit une peinture nommée : La Récolte dernière : https://i.servimg.com/u/f43/16/33/70/58/1_010_10.jpg
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03 juin 2012, traduction d’un songe de ce matin vers 5H : Voici un soutien maternel.
Tu as eu extrême nécessité à ton tour, et tu t’es adressé auprès de ceux avec qui tu as apporté labeur durablement, mais malgré leurs engagements affichés ils ne les respectent pas et te tournent le dos, d’accords ou individuellement ; même sur les places publiques d’aucun de ceux-là ne t’embauchent malgré tes attentes, ta patience, eux institués pourtant pour l’embauche. De tristesse, de pitié, rien ! juste l’égoïsme, le leurre.
Alors voici que celui, responsable du travail semblable au concurrent, ne l’est pas en fait, mais faché contre les premiers ne te fourni pas l’aide prévue, d’une entente silencieuse, comme d’un jeu entre eux, et tu ne peux manifester ton soutien paternel.
Alors insistant, constant, te voici à demander entretien ; alors qu’il t’invite à te diriger vers son lieu de décision, sur le chemin de couloir en couloir montants, passants sous des arcs tu as l’impression de gravir à partir d’un sous-sol, comme celui des vieilles bâtisses, rare est l’humidité, les murs sont friables comme de la craie ou des limons blancs, mais en passant sous un arc étroit puis encore un suivant tu aperçois qu’ils sont fait de petites briquettes rouges vieillies, comme en occident, mais il n’y a pas de pierre de faite, mais voilà, tu continues et voici qu’à un étage tu te retrouves en plein air car tous les murs, cloisons, toitures sont détruits, sauf par endroit leur hauteur parvient de trente à cinquante centimètres, ressemblant alors aux terrasses orientales, mais cette fois remplies d’eau, d’eau du ciel, il y a aussi de l’eau par ci par là, alors lorsque ces bas de murs parviennent à faire un contour cela ressemble à des piscines ; c’est alors que le Seigneur ouvre ton intelligence et ton cœur, et au lieu de la tristesse tu es d’un coup réjoui ! oui car tu sais à présent qu’alors que presque tout ce qui est fabriqué des hommes est détruit, là le Seigneur a fait pleuvoir et prévu des piscines ! (les piscines sont les lieux où quand les priants viennent pour louer Dieu d’un seul cœur et implorer…comme dans certains regroupements, vous savez, la moquette devant…), et puis voilà qu’à partir de ruines tu vas rebâtir…
Je viens de recopier une nouvelle petite partie de mes notes... ci-dessous.
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2004 vers mars/avril, un vendredi soir dans une église Saint Jean d’un quartier du même nom :
Nous voici réunis comme à l’accoutumée (je n’y suis pas souvent) priants et au centre une croix de Taizé posée à plat sur des petits tabourets, des bougies allumées y sont posées, il nous reste la place positionnés à genoux pour y déposer notre tête ou une main aux souhaits de chacun, ponctuellement le temps que l’un des chants s’écoulent comme parfois nos larmes. Cette fois, d’un coup je me retrouve, par la vue, au pied de la croix, Jésus est accroché, surélevé ; des proches sont là, moi aussi (bizarrement), puis je suis comme ‘monté’et Jésus me laisse prendre place en Lui pour voir par Ses yeux et là (je ne suis toujours qu’en esprit, ce n’est pas expliquable avec des mots), donc, et là, Jésus dit : « Père je te remets mon esprit », notre regard (ou ma vue par Son regard) se lève vers l’horizon et en faisant cela, de la croix part vers les extrémités de la Terre Son regard et tous les malades et tous se retournent vers Lui. Puis plus rien ! je ne vous détaillerai pas ici l’intimité de mon état.
Peu après je rentre, je m’allonge sur mon lit, puis d’un coup je fais ‘comme un songe’ (et pas un rêve non plus) : je démarche vers les gens, une grande croix fine (le vertical va presqu’au sol) à la main gauche, je la mets en avant de moi et j’annonce le Christ en le mettant en avant et ma main droite levée avec deux doigts tendus, j’étais en blanc écru, comme le tissu. Puis plus rien.
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2002 Il m’est donné de voir un paysage quand la Terre est aride, le ciel rouge feu et sombre, il n’y a plus de soleil, des pierres de feu tombent partout, des pierres de la taille de la moitié d’un homme, et la multitude humaine avance ne sachant où aller, peu de monde en échappe, quelle souffrance, ils implorent mais ne trouvent même pas de prêtres (à leurs yeux). La foule comme un exode avance, il y a aussi un vent comme sec et de poussière aussi comme du sol par leurs pas, ils ont faim et soif aussi. Je suis situé au rebord d’une grotte ou d’une falaise, ce qui me permet de voir (je ne vous dit pas tout), mais je ne peux bouger vers eux, j’ai envie mais je ne peux car ceux derrière qui ont cru et sont couverts seraient en danger. Pourtant, en bas je connaissais aussi des gens, mais n’avaient pas écoutés. Je ne vous en dirais pas plus….
Toutefois en 2008 en priant pour une sœur, le soleil de justice se levait et je voyais à nouveau une partie de cette errance, la sœur aussi qui l’annonçait…émue !
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2005 début décembre, L’Esprit me montre une nouvelle tente sur la France et le bas de la toile (transparente) fait le contour de la France. Comme si Dieu mettait sa tente (volumineuse) sur la France.
2009 alors que je prends une sœur dans les bras, je vois des anges (puissants) du seigneur en attente prêts à intervenir, chacun étant sur une toiture de monuments connus (ils avaient la forme de temple ou d’hôtel de ville), presqu’un par grosse ville.
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2005, 15 août : Durant la messe en la Basilique de l’épine, j’avance comme tout un chacun vers l’Eucharistie, je vois devant moi l’eau qui coule de la plaie du corps du Christ, j’en ressens instantanément cet Amour indescriptible de la Miséricorde ; mon cœur semble s’ouvrir et une fois communié cet Amour que je ressens dans mes entrailles est présent alors qu’une sorte d’étoile, une lumière jaune recouvre tous mes frères et sœurs en un seul corps, y compris les prêtres. Cette image vécue est gravée dans mon cœur. Puis quelques secondes après j’aperçois Cet être de Lumière (plus intense en son centre) qui scintille et bouge légèrement (pour moi c’est le Seigneur) et devant Lui des arbres, de l’herbe et dessus des moutons qui mangent, quelle plénitude, quelle paix. Je vois cela durant trois à quatre secondes après la communion, mais cet horizon est comme partagé en deux, à droite il n’y avait rien. Rumuli (ma filleule) fit une peinture nommée : La Récolte dernière : https://i.servimg.com/u/f43/16/33/70/58/1_010_10.jpg
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03 juin 2012, traduction d’un songe de ce matin vers 5H : Voici un soutien maternel.
Tu as eu extrême nécessité à ton tour, et tu t’es adressé auprès de ceux avec qui tu as apporté labeur durablement, mais malgré leurs engagements affichés ils ne les respectent pas et te tournent le dos, d’accords ou individuellement ; même sur les places publiques d’aucun de ceux-là ne t’embauchent malgré tes attentes, ta patience, eux institués pourtant pour l’embauche. De tristesse, de pitié, rien ! juste l’égoïsme, le leurre.
Alors voici que celui, responsable du travail semblable au concurrent, ne l’est pas en fait, mais faché contre les premiers ne te fourni pas l’aide prévue, d’une entente silencieuse, comme d’un jeu entre eux, et tu ne peux manifester ton soutien paternel.
Alors insistant, constant, te voici à demander entretien ; alors qu’il t’invite à te diriger vers son lieu de décision, sur le chemin de couloir en couloir montants, passants sous des arcs tu as l’impression de gravir à partir d’un sous-sol, comme celui des vieilles bâtisses, rare est l’humidité, les murs sont friables comme de la craie ou des limons blancs, mais en passant sous un arc étroit puis encore un suivant tu aperçois qu’ils sont fait de petites briquettes rouges vieillies, comme en occident, mais il n’y a pas de pierre de faite, mais voilà, tu continues et voici qu’à un étage tu te retrouves en plein air car tous les murs, cloisons, toitures sont détruits, sauf par endroit leur hauteur parvient de trente à cinquante centimètres, ressemblant alors aux terrasses orientales, mais cette fois remplies d’eau, d’eau du ciel, il y a aussi de l’eau par ci par là, alors lorsque ces bas de murs parviennent à faire un contour cela ressemble à des piscines ; c’est alors que le Seigneur ouvre ton intelligence et ton cœur, et au lieu de la tristesse tu es d’un coup réjoui ! oui car tu sais à présent qu’alors que presque tout ce qui est fabriqué des hommes est détruit, là le Seigneur a fait pleuvoir et prévu des piscines ! (les piscines sont les lieux où quand les priants viennent pour louer Dieu d’un seul cœur et implorer…comme dans certains regroupements, vous savez, la moquette devant…), et puis voilà qu’à partir de ruines tu vas rebâtir…
Re: oui, mais aussi cela !
RumuliHa à écrit:
Il n’est pas chair mais esprit Lui seul peut le citer, l’humain ne le peut, et encore il n’en cite qu’une partie que je pouvais supporter) (et là j’ai su que Dieu est Dieu, le Créateur de tout l’univers et le père de tous les hommes. Son Nom contient plus que toutes les lettres de l’univers, et je l’entends comme un murmure d’eau
On dirait la même phrases d'un livre intitulé: "Les mots ne peuvent dire ce que j'ai vu" de Jean Potdevin au début cela me faisait pensé au livre :
"Dieu existe je l'ai rencontré" d'André Frossard.
Vous connaissez ces bouquins?
Il n’est pas chair mais esprit Lui seul peut le citer, l’humain ne le peut, et encore il n’en cite qu’une partie que je pouvais supporter) (et là j’ai su que Dieu est Dieu, le Créateur de tout l’univers et le père de tous les hommes. Son Nom contient plus que toutes les lettres de l’univers, et je l’entends comme un murmure d’eau
On dirait la même phrases d'un livre intitulé: "Les mots ne peuvent dire ce que j'ai vu" de Jean Potdevin au début cela me faisait pensé au livre :
"Dieu existe je l'ai rencontré" d'André Frossard.
Vous connaissez ces bouquins?
Re: oui, mais aussi cela !
non, désolé. Depuis 2001 La Sainte Bible (Jérusalem 1956) est ma lecture journalière, Chouraqui en complément, Vatican II vers 2005, un peu le Cathéchisme," Rome Sweet Home" (un frère en ministère de prêtre depuis 60 ans m'a invité à le cheminer), "La sexualité selon Jean-Paul II", "Deus Charitas Est" Benoît XVI, plusieurs écrits journaliers des propos du Pape sur VIS par courriel, un livre du frère Rémi Schappacher (je ne sais plus le titre), Quelques autres écrits mais je n'ai plus les titres en mémoire et pour d'autres je ne les cite pas volontairement car à mon humble avis le trouble inclus peut amener à se tromper. Voilà Charles-Edouard, bien peu en fait ! , et puis d'autres écrits épineux que je dois affronter dans la vallée de larmes.
Quand je serai disponible....j'aborderai peut-être celui dont vous me parler, quand cela sera, j'essaierai de vous répondre à son sujet, mais pour l'instant, désolé !
Quand je serai disponible....j'aborderai peut-être celui dont vous me parler, quand cela sera, j'essaierai de vous répondre à son sujet, mais pour l'instant, désolé !
Re: oui, mais aussi cela !
Vous avez eu une grande grâce avec ce que vous avez vécu!
Que faites vous maintenant? vous témoignez lors de conférences?
Que faites vous maintenant? vous témoignez lors de conférences?
Re: oui, mais aussi cela !
Non Charles-Edouard, plutôt mis à part... des rencontres autres, différentes, avec des inconnus, des situations nouvelles mais aussi d'autres qui perdurent, mais pas de foule. Des préparations 2009/10/11/12 à transmettre, comme les œuvres peintes (j'y inclue des messages) qui s'adressent à tous même d'autres origines linguistiques par le visuel ; aussi ces anciens témoignages manuscrits que je dépose progressivement depuis le mois dernier (toutefois cela avait été déposé depuis cinq à sept ans à certains ministères...) ; aussi un travail de présentation de l'évangile, cela viendra ensuite si cela ne vous dérange pas (fait en 2008 et déposé aussi à certains ministères...) ; aussi toute la complexité de mon quotidien, vos prières fidèles sont les bienvenues et plus que nécessaires. Depuis un certains temps, comme un poteau télégraphique en plein désert dans la constance, au cas où...
Voici ci-dessous quelque complément de témoignages...
2005, août, Gagnières : Un soir après les louanges je retourne à ma tente et, alors que le sol est très sec, il devint (à mon regard) mouillé de quelques millimètres tout en avançant…
Il y a un autre temps, lorsque l’autorité proclame la Parole de Dieu, le ciel était ouvert (cela se passe sous le grand chapiteau), des dizaines puis des centaines de cerfs, deux par deux, descendaient du Ciel tel un flot et passaient sur ma droite et allaient (me semble-t-il vers l’Extrême Orient et l’Inde). Également le rythme des inscriptions juives en surimpression s’accentuait, à chaque fois que le prêtre ou l’autorité annonçait la Parole de Dieu, et bien c’était (je le suppose) retranscrit en hébreux, tel un rouleau déroulé, le tout m’était montré par l’Esprit, les yeux ouverts ou fermés (je ne comprends ni ne lis l’hébreu), lunettes ou pas, Cela s’affichait au travers ma vue, très nettement, c’est comme si Quelqu’un écrivait mais je ne voyais pas de main, juste les lettres, les mots, les phrases qui défilaient, j’avais conscience que c’était sacré mais que faire ?; cela avait débuté dans la journée ( et cela a continué les jours suivants).
En repos, le Seigneur me montre une tente avec dessous du monde et dessus une croix blanche, puis il m’est montré comme le mur des lamentations (je ne connais pas le nom), neuf ou douze briques avec des lettres juives à l’intérieur et la croix du Christ en surimpression au milieu du mur de pierres ; mais depuis le début de la première journée le Seigneur me montre, m’imprègne ponctuellement de face à mon regard, des symboles, le 1er est une grappe de raisin maintenue à un bout de sarment, puis (ce n’est peut-être pas dans l’ordre) Une moitié de soleil levant avec devant une sorte de branche (comme Joseph), puis un cerf sans les bois, puis un lion de profil la tête vers ici, puis trois tentes un peu entrecroisées ‘c’est brulant’, puis 9 briques encore, puis un arbre (différend du cèdre du Liban) un peu comme un olivier, puis aussi une grande tente avec dessous trois tentes (gigognes) avec la croix dessus, je n’en ai plus en mémoire ensuite ;
par la suite il y a un temps où je vais voir le motard (juif messianique) pour la première fois, qui tient un stand de livres à l’extérieur, en visualisant rapidement quelques livres ; après hésitations je lui explique en détail ma visibilité de l’Ecriture sacrée juive et les symboles précisément, il me ramène un livre, je lui confirme les symboles qui m’ont été montrés, ils y étaient exactement, je lui demande ce que cela est, il me répond que ce sont les symboles des tribus d’Israël. Je lui réexplique alors ce que je vivais depuis deux trois jours et que je ne comprenais pas ce que je recevais, il m’a demandé d’être attentif à tout ce que je recevais et aussi il a regardé mon badge, aussi il m’a dit que quand Dieu révèlera cela à quelqu’un que cela correspondrait à l’Appel des tribus ou nations…
A un autre moment, nous (parmi les priants) sommes appelés vers le centre (devant la Parole) avec proposition de la « Pentecôte », j’y vais fermant les yeux , je converse avec ma Mère et je cherche Jésus en l’implorant ; je me retrouve à genoux imprégné par l’Amour (onction) ; je vois mes frères te sœurs en blanc (pas aussi blanc que le ciel) et puis j’aperçois Jésus avec son tissu blanc à la taille et la couronne d’épines, Il se montre apparaissant légèrement à l’arrière d’un frère (je comprenais comme si je manquais d’humilité et de douceur pour qu’il avance plus) et puis je retombe à nouveau dans le repos dans l’Esprit et là je sens ma tête qui est tournée comme pour me remettre mes vertèbres tout en douceur, comme anesthésié ; puis à nouveau beaucoup d’inscriptions en hébreu.
Il y a un temps je ressens une énorme présence dans le ciel, je n’identifie pas, de l’Amour en lumière, et puis une couronne d’or dans le ciel, je ne vois pas en dessous de la couronne (c’est flou, voilé), on dirait la présence de Marie, la couronne tourne et est majestueuse et très proche. Amen !
Pour en revenir au mardi soir 9 août, le prédicateur lit en ¾ H un condensé de la Bible ; je vis (vivre) chaque mot annoncé (parole vivante) et je représente (là c’est de ma construction) chaque instant ou scène citée ; puis l’Esprit m’emmène très vite au-dessus d’une mer, puis du sombre, puis soudain, après la montée accélérée, oui soudain, un ciel, une nouvelle Terre, un monde nouveau (révélation), je hurle tellement c’est soudain (une autre sœur aussi); je suis prêt à l’annoncer et là, j’entends, Silence ! (par la bouche du prédicateur), c’est pour moi une directive de ne rien dire !(Apo)
Un autre temps, un autre intervenant dit « je vous aime » et là : je vois la Croix et le Christ en blanc, de peut-être 6 à 7 mètres de haut et le ciel ouvert au-dessus, le ciel s’était mis à gronder tel du tonnerre (je ne sais pas si les autres ont entendu), la Lumière du Ciel passe par Jésus et inonde l’intervenant qui était au sol en Repos ( auparavant il y a eu quelques gouttes de la Miséricorde, l’eau de la plaie). Le Rayon de l’amour du Seigneur sort du cœur de Jésus et va tel un faisceau (de phare) remplir l’intervenant. Soit béni Seigneur !
Je passe des étapes, mais : le ciel s’ouvre à la verticale (c’est-à-dire de face, pas du dessus), en face de moi, le Voile apparait, puis d’un seul coup, Joseph apparaît, saint Joseph, le père de jésus et mon père aussi par l’Esprit et en esprit, Dieu le Père se manifestant en m’envoyant Joseph. Merci mon Dieu. O merveille des merveilles et quelle démarche majestueuse tel Jésus, et le soleil correspondait également à l’image « d’une des douze tribus », le soleil de la tribu de Joseph ((c’est vraiment surprenant, mais là au lieu que ce soit le palmier (ou autre), c’est Joseph le papa de Jésus)) . (je ne confonds pas Joseph (AT) et Joseph le papa qui a accueilli Jésus)
Il y a un temps, le mercredi, j’ai reçu comme le doigt de Dieu tel un éclair de feu au niveau du plexus, j’ai carrément cramé jusqu’à toutes les extrémités, j’ai été arcbouté tellement en arrière, je ne sais même pas comment je ne suis pas tombé. Ça a été soudain, si le seigneur n’était pas bon, j’aurais brûlé et ne serai plus, tellement nous sommes petits devant Dieu.
Il y a eu un temps, lorsque le prédicateur blond priait le Seigneur (bien entendu tous les gens depuis le début prient aussi) pour que des guérisons arrivent, et bien, le ciel s’est ouvert et des centaines d’étoiles blanches en sont descendues sur la piscine (moquette), il y a eu souvent cette étoile jaune, où, comme une étoile filante, tout plein de fils lumineux descendaient de cette étoile et nous recouvraient tous (une étoile à plat).
Voilà, cela suffit comme dépôt à transmettre, pour cette note…
2012, 05 juin, Ce matin, le Seigneur pose un pied, son seul pas appui sur la presque totalité des USA, vous savez, là où était la tête de la grande pieuvre (je n’ai pas dit : des américains !, qu’il n’y ait pas de confusion).
2012, vers fin mai, j’implore la Miséricorde, progressivement sur toute la planète, alors l’Esprit fait prendre forme à une croix sur la boule de la taille de la planète en largeur et légèrement plus haute, elle est épaisse, et elle est blanche en formation, et c’est comme une onction qui sort d’elle et abreuve.
2005, 24/25 avril, songe avec le Pape Jean-Paul II : J’étais heureux ; en effet depuis le temps que je voulais le rencontrer et lui transmettre… ; Il me tient par la main, ma droite dans sa gauche, et nous avançons le long de ce chemin blanchâtre avec des petits arbres à fleurs de chaque côté ; quelle plénitude, quel bon moment, il me choyait tel un papa avec son fils, tel un ami, un berger ; quel moment d’amour merveilleux. Puis après quelques pas le chemin bifurque à gauche, encore quelques pas, les petits arbres à fleurs étaient assez écartés et de l’herbe dessous, des deux côtés et au loin j’aperçois comme une grande porte entourée de grosses pierres taillées, mais avant d’y parvenir nous allons nous assoir face à face sur des sortes de chaises de pierres blanches taillées, ce carré de près de cinq mètres sur cinq semble comme un patio ; j’étais tellement heureux que nous discutions….puis plus rien ! des mois plus tard j’aperçois une photo sur un magazine du même jardin, je lis, c’était au Vatican (je ne suis jamais allé à Rome). C’était un cadeau du ciel.
2005, fin juin : Une sœur me propose que nous allions à Paray le Monial, je ne connaissais rien à cette ville, mais perdant mon emploi la veille il devait être important d’y aller ; elle m’explique sur le chemin que jésus s’est montré à Marguerite Marie, la sœur savait pour 2003 avec jésus, elle était là aussi en l’église Sainte Thérèse la semaine sainte (voir témoignages des jours précédents). Je m’attendais à une communauté et non une ville. Nous commençons par (je crois) la chapelle de la Visitation, ej me sentais chez moi, tous ces points communs, toutes ces phrases, tous ces signes confirmaient comment le Seigneur m’avait bercé depuis quelques mois et des années ; les deux cerfs, comme au pied de la croix de l’église de Getsémani (vu en photo) et expérience… je ne dis pas tout. Le Seigneur nous enseigne les choses de la Terre mais aussi du Ciel, c’est normal. Un groupe d’asiatiques arrive, peu après nous allons à la chapelle des apparitions, le groupe arrive aussi, puis les touristes ou pèlerins sortent, nous restons prier puis nous assistons à une surprise, une messe commence en langue asiatique (je ne sais pas de quel pays), quel bénéfice, nous étions en communion, parfois même comme en chantant le Notre Père, surprenant, puis d’un coup le Seigneur Jésus apparait, tout vêtu de blanc, il marche quelques pas mais trente centimètres au-dessus des frères et sœurs assis ou à genoux, autour de lui c’était comme le soleil et le sol (je suppose) du pays de là où il vivait, le sol semblait comme avec un peu de sable fin, il faisait beau rayonnant, mais surtout qu’est-ce que le Seigneur est beau, Jésus était apparu à l’avant droit devant le pupitre de la Parole, Jésus, oui jésus, doux, humble, et souriant, il rayonnait, sa chair était couleur chair et tout autour de lui ça rayonnait et Il avançait d’un pas majestueux, il avançait de deux à quatre pas, et Il envoyait sa miséricorde, Il répondait à leurs prières, oh, pas par ses rayons comme il m’a été donné de le voir en 2003, pas par son cœur, mais de « Tout LUI-Même », et cela EST ce que nous sommes amenés à être, maintenant. Il envoyait sa miséricorde à toutes ces personnes et à moi-même, quelle Grâce de voir cela ! oh mon Dieu quel émerveillement, Il était joyeux, oui joyeux, gai, je ne sais pas comment le dire, dans la joie. Toutes ces personnes priaient, c’était merveilleux, la durée de deux à trois minutes, et puis plus rien. Ma sœur avait ressenti quelque chose, mais n’avait rien vu cette fois. En sortant nous découvrons le petit magasin mitoyen et je découvre une image qui ressemblait un peu à comment le Seigneur s’était manifesté, je la montre à ma sœur, et en lisant je découvre que c’était une représentation de l’apparition avec Marguerite Marie, je ne savais rien de tout cela auparavant. Au retour nous visitâmes l’Abbaye de Citeaux, en fait il y avait des moines, et la cloche sonne, nous entrons et assistons à une merveille, la messe d’un moine qui venait de décéder et le texte lu avait été préparé à l’avance par lui, c’était d’une extrême beauté, une prière pour son cheminement vers Dieu, vers le Père, d’une telle beauté !!!
2005, juillet, dans une session… : Alors que nous étions détendus, en paix après avoir reçu la rosée…je suis debout, une sœur à mes côtés, puis, comme en surimpression, une dimension dans la notre, un ciel dans notre présent apparait et s’ouvre (comme un ciel de nuit), j’y suis, et en même temps devant moi une nuée vive blanche se forme et prend vie tel un lion et avance sa patte droite puis pénètre en moi (en nuée, en souffle, en vie, le Souffle de Vérité) ; à la fois dans la salle et intervenant dans le ciel (depuis le début de l’apparition de la nuée je me suis mis progressivement à souffler), puis alors que je souffle de plus en plus fort, cette puissance véridique et juste (c’est un souffle de Vérité) se propage par mon souffle associé, cela sort en blanc et là, une flamme ardente se décroche de moi, passe devant moi (je ressens en même temps cette chaleur qui veut me contenir et me brûler), je transpire intensément, mais le Souffle, je souffle plus fort, plus fort, plus fort (en blanc), la flamme se décroche et s’éloigne ; puis apparait derrière la flamme comme une planète en feu, enflammée ; la puissance du souffle augmente en diffusion ou amplitude ou en force et atteint la planète, alors apparait un dragon allongé en furie, et rouge comme en feu, le Mal (il était caché par la boule) ; puis le souffle augmente en sortant de ma bouche et atteint le dragon et il disparait dans l’abîme (non identifié). Puis plus rien ! La puissance du Seigneur gagne ! le Souffle de Vérité, amen.
2005, Gagnières : il y a un temps où l’Esprit me montre le haut de la montagne en roc, la Gloire de Dieu se lève et devant sur le roc, le Cerf qui annonce s’avance vers nous tous et prononce quelque chose, il prévient, Il arrive. Et la Gloire du Père se lève encore.
2005, 08 août, songe : Dans une pièce où tous les contrastes varient en blanc, des bancs sur chacun de deux des murs se rejoignent dans un angle ; dans l’angle est assis Notre Pape Jean-Paul II, de chaque côté cinq à six frères habillés en tissu blanc (comme des moines) ; le Pape et moi nous reconnaissons, puis j’arrive enfin à son côté, nous attendions ce moment (intime), Il me tient par la main, nos regards se joignent et là ses yeux sont de la même teinte…(que quand l’enfant Jésus était dans les bras du monsieur vêtu de blanc, avec le gros baton…décrit ailleurs sur le Forum) une Connaissance et une Sagesse, Il (le Pape) continue de me fixer, il me transmets une Sagesse, une Compréhension, je le reçois tel un don de Dieu ; dans nos regards il y a une complicité, une relation, sagesse de l’Eglise, sagesse du corps du Christ ; les autres ne voient pas cela car ça ne s’adresse pas à eux, je ne comprends pas, c’est comme cela ; et puis, je prends aussi conscience que je suis enfin arrivé et nous attendions ce moment. J’étais à sa droite, puis je me retrouve à sa gauche, nous discutons comme des amis, puis il est temps que l’on se parle, un message l’un pour l’autre, mais à cet instant arrive un autre frère (vêtu tel un moine en blanc) de l’extérieur et se dirige et parle au Pape, le frère lui précise qu’il n’arrive pas à guérir ou soigner un blessé dans la voiture à l’extérieur, alors le Saint père lui indique et aussitôt apparait dans sa main droite une lame et il grave quelque chose dans la main de mon frère et puis il prend ma main gauche et grave un signe qui apparait par le sang, c’est mon nom mais je ne peux l’expliquer, c’est à la fois mon nom et sa signature ןן
, c’est gravé à l’extrémité de ma paume du pouce.
2005, 12 décembre, en songe : Une fin de matinée fraîche et ciel bleu (comme un beau midi d’hiver ou de printemps), je sors de mon immeuble (avec des enfants) soudainement surpris par la vue d’une tornade d’eau (l’eau sue le sol rejoint l’eau des nuages) d’une puissance qui désintègre les immeubles de la cité au loin ; je n’entends pas la fin des cris des enfants tellement la déflagration est soudaine. Nous avons juste le temps de nous protéger dans des trous sous un hangar et nous trouvons dans le sol des malles au tampon militaire avec de la nourriture dedans. A côté une autre famille était arrivée avant nous avec des sandwiches frais qu’ils mangeaient sans partager et ne s’inquiétaient pas, mais eux n’avaient pas de réserves.
Voici ci-dessous quelque complément de témoignages...
2005, août, Gagnières : Un soir après les louanges je retourne à ma tente et, alors que le sol est très sec, il devint (à mon regard) mouillé de quelques millimètres tout en avançant…
Il y a un autre temps, lorsque l’autorité proclame la Parole de Dieu, le ciel était ouvert (cela se passe sous le grand chapiteau), des dizaines puis des centaines de cerfs, deux par deux, descendaient du Ciel tel un flot et passaient sur ma droite et allaient (me semble-t-il vers l’Extrême Orient et l’Inde). Également le rythme des inscriptions juives en surimpression s’accentuait, à chaque fois que le prêtre ou l’autorité annonçait la Parole de Dieu, et bien c’était (je le suppose) retranscrit en hébreux, tel un rouleau déroulé, le tout m’était montré par l’Esprit, les yeux ouverts ou fermés (je ne comprends ni ne lis l’hébreu), lunettes ou pas, Cela s’affichait au travers ma vue, très nettement, c’est comme si Quelqu’un écrivait mais je ne voyais pas de main, juste les lettres, les mots, les phrases qui défilaient, j’avais conscience que c’était sacré mais que faire ?; cela avait débuté dans la journée ( et cela a continué les jours suivants).
En repos, le Seigneur me montre une tente avec dessous du monde et dessus une croix blanche, puis il m’est montré comme le mur des lamentations (je ne connais pas le nom), neuf ou douze briques avec des lettres juives à l’intérieur et la croix du Christ en surimpression au milieu du mur de pierres ; mais depuis le début de la première journée le Seigneur me montre, m’imprègne ponctuellement de face à mon regard, des symboles, le 1er est une grappe de raisin maintenue à un bout de sarment, puis (ce n’est peut-être pas dans l’ordre) Une moitié de soleil levant avec devant une sorte de branche (comme Joseph), puis un cerf sans les bois, puis un lion de profil la tête vers ici, puis trois tentes un peu entrecroisées ‘c’est brulant’, puis 9 briques encore, puis un arbre (différend du cèdre du Liban) un peu comme un olivier, puis aussi une grande tente avec dessous trois tentes (gigognes) avec la croix dessus, je n’en ai plus en mémoire ensuite ;
par la suite il y a un temps où je vais voir le motard (juif messianique) pour la première fois, qui tient un stand de livres à l’extérieur, en visualisant rapidement quelques livres ; après hésitations je lui explique en détail ma visibilité de l’Ecriture sacrée juive et les symboles précisément, il me ramène un livre, je lui confirme les symboles qui m’ont été montrés, ils y étaient exactement, je lui demande ce que cela est, il me répond que ce sont les symboles des tribus d’Israël. Je lui réexplique alors ce que je vivais depuis deux trois jours et que je ne comprenais pas ce que je recevais, il m’a demandé d’être attentif à tout ce que je recevais et aussi il a regardé mon badge, aussi il m’a dit que quand Dieu révèlera cela à quelqu’un que cela correspondrait à l’Appel des tribus ou nations…
A un autre moment, nous (parmi les priants) sommes appelés vers le centre (devant la Parole) avec proposition de la « Pentecôte », j’y vais fermant les yeux , je converse avec ma Mère et je cherche Jésus en l’implorant ; je me retrouve à genoux imprégné par l’Amour (onction) ; je vois mes frères te sœurs en blanc (pas aussi blanc que le ciel) et puis j’aperçois Jésus avec son tissu blanc à la taille et la couronne d’épines, Il se montre apparaissant légèrement à l’arrière d’un frère (je comprenais comme si je manquais d’humilité et de douceur pour qu’il avance plus) et puis je retombe à nouveau dans le repos dans l’Esprit et là je sens ma tête qui est tournée comme pour me remettre mes vertèbres tout en douceur, comme anesthésié ; puis à nouveau beaucoup d’inscriptions en hébreu.
Il y a un temps je ressens une énorme présence dans le ciel, je n’identifie pas, de l’Amour en lumière, et puis une couronne d’or dans le ciel, je ne vois pas en dessous de la couronne (c’est flou, voilé), on dirait la présence de Marie, la couronne tourne et est majestueuse et très proche. Amen !
Pour en revenir au mardi soir 9 août, le prédicateur lit en ¾ H un condensé de la Bible ; je vis (vivre) chaque mot annoncé (parole vivante) et je représente (là c’est de ma construction) chaque instant ou scène citée ; puis l’Esprit m’emmène très vite au-dessus d’une mer, puis du sombre, puis soudain, après la montée accélérée, oui soudain, un ciel, une nouvelle Terre, un monde nouveau (révélation), je hurle tellement c’est soudain (une autre sœur aussi); je suis prêt à l’annoncer et là, j’entends, Silence ! (par la bouche du prédicateur), c’est pour moi une directive de ne rien dire !(Apo)
Un autre temps, un autre intervenant dit « je vous aime » et là : je vois la Croix et le Christ en blanc, de peut-être 6 à 7 mètres de haut et le ciel ouvert au-dessus, le ciel s’était mis à gronder tel du tonnerre (je ne sais pas si les autres ont entendu), la Lumière du Ciel passe par Jésus et inonde l’intervenant qui était au sol en Repos ( auparavant il y a eu quelques gouttes de la Miséricorde, l’eau de la plaie). Le Rayon de l’amour du Seigneur sort du cœur de Jésus et va tel un faisceau (de phare) remplir l’intervenant. Soit béni Seigneur !
Je passe des étapes, mais : le ciel s’ouvre à la verticale (c’est-à-dire de face, pas du dessus), en face de moi, le Voile apparait, puis d’un seul coup, Joseph apparaît, saint Joseph, le père de jésus et mon père aussi par l’Esprit et en esprit, Dieu le Père se manifestant en m’envoyant Joseph. Merci mon Dieu. O merveille des merveilles et quelle démarche majestueuse tel Jésus, et le soleil correspondait également à l’image « d’une des douze tribus », le soleil de la tribu de Joseph ((c’est vraiment surprenant, mais là au lieu que ce soit le palmier (ou autre), c’est Joseph le papa de Jésus)) . (je ne confonds pas Joseph (AT) et Joseph le papa qui a accueilli Jésus)
Il y a un temps, le mercredi, j’ai reçu comme le doigt de Dieu tel un éclair de feu au niveau du plexus, j’ai carrément cramé jusqu’à toutes les extrémités, j’ai été arcbouté tellement en arrière, je ne sais même pas comment je ne suis pas tombé. Ça a été soudain, si le seigneur n’était pas bon, j’aurais brûlé et ne serai plus, tellement nous sommes petits devant Dieu.
Il y a eu un temps, lorsque le prédicateur blond priait le Seigneur (bien entendu tous les gens depuis le début prient aussi) pour que des guérisons arrivent, et bien, le ciel s’est ouvert et des centaines d’étoiles blanches en sont descendues sur la piscine (moquette), il y a eu souvent cette étoile jaune, où, comme une étoile filante, tout plein de fils lumineux descendaient de cette étoile et nous recouvraient tous (une étoile à plat).
Voilà, cela suffit comme dépôt à transmettre, pour cette note…
2012, 05 juin, Ce matin, le Seigneur pose un pied, son seul pas appui sur la presque totalité des USA, vous savez, là où était la tête de la grande pieuvre (je n’ai pas dit : des américains !, qu’il n’y ait pas de confusion).
2012, vers fin mai, j’implore la Miséricorde, progressivement sur toute la planète, alors l’Esprit fait prendre forme à une croix sur la boule de la taille de la planète en largeur et légèrement plus haute, elle est épaisse, et elle est blanche en formation, et c’est comme une onction qui sort d’elle et abreuve.
2005, 24/25 avril, songe avec le Pape Jean-Paul II : J’étais heureux ; en effet depuis le temps que je voulais le rencontrer et lui transmettre… ; Il me tient par la main, ma droite dans sa gauche, et nous avançons le long de ce chemin blanchâtre avec des petits arbres à fleurs de chaque côté ; quelle plénitude, quel bon moment, il me choyait tel un papa avec son fils, tel un ami, un berger ; quel moment d’amour merveilleux. Puis après quelques pas le chemin bifurque à gauche, encore quelques pas, les petits arbres à fleurs étaient assez écartés et de l’herbe dessous, des deux côtés et au loin j’aperçois comme une grande porte entourée de grosses pierres taillées, mais avant d’y parvenir nous allons nous assoir face à face sur des sortes de chaises de pierres blanches taillées, ce carré de près de cinq mètres sur cinq semble comme un patio ; j’étais tellement heureux que nous discutions….puis plus rien ! des mois plus tard j’aperçois une photo sur un magazine du même jardin, je lis, c’était au Vatican (je ne suis jamais allé à Rome). C’était un cadeau du ciel.
2005, fin juin : Une sœur me propose que nous allions à Paray le Monial, je ne connaissais rien à cette ville, mais perdant mon emploi la veille il devait être important d’y aller ; elle m’explique sur le chemin que jésus s’est montré à Marguerite Marie, la sœur savait pour 2003 avec jésus, elle était là aussi en l’église Sainte Thérèse la semaine sainte (voir témoignages des jours précédents). Je m’attendais à une communauté et non une ville. Nous commençons par (je crois) la chapelle de la Visitation, ej me sentais chez moi, tous ces points communs, toutes ces phrases, tous ces signes confirmaient comment le Seigneur m’avait bercé depuis quelques mois et des années ; les deux cerfs, comme au pied de la croix de l’église de Getsémani (vu en photo) et expérience… je ne dis pas tout. Le Seigneur nous enseigne les choses de la Terre mais aussi du Ciel, c’est normal. Un groupe d’asiatiques arrive, peu après nous allons à la chapelle des apparitions, le groupe arrive aussi, puis les touristes ou pèlerins sortent, nous restons prier puis nous assistons à une surprise, une messe commence en langue asiatique (je ne sais pas de quel pays), quel bénéfice, nous étions en communion, parfois même comme en chantant le Notre Père, surprenant, puis d’un coup le Seigneur Jésus apparait, tout vêtu de blanc, il marche quelques pas mais trente centimètres au-dessus des frères et sœurs assis ou à genoux, autour de lui c’était comme le soleil et le sol (je suppose) du pays de là où il vivait, le sol semblait comme avec un peu de sable fin, il faisait beau rayonnant, mais surtout qu’est-ce que le Seigneur est beau, Jésus était apparu à l’avant droit devant le pupitre de la Parole, Jésus, oui jésus, doux, humble, et souriant, il rayonnait, sa chair était couleur chair et tout autour de lui ça rayonnait et Il avançait d’un pas majestueux, il avançait de deux à quatre pas, et Il envoyait sa miséricorde, Il répondait à leurs prières, oh, pas par ses rayons comme il m’a été donné de le voir en 2003, pas par son cœur, mais de « Tout LUI-Même », et cela EST ce que nous sommes amenés à être, maintenant. Il envoyait sa miséricorde à toutes ces personnes et à moi-même, quelle Grâce de voir cela ! oh mon Dieu quel émerveillement, Il était joyeux, oui joyeux, gai, je ne sais pas comment le dire, dans la joie. Toutes ces personnes priaient, c’était merveilleux, la durée de deux à trois minutes, et puis plus rien. Ma sœur avait ressenti quelque chose, mais n’avait rien vu cette fois. En sortant nous découvrons le petit magasin mitoyen et je découvre une image qui ressemblait un peu à comment le Seigneur s’était manifesté, je la montre à ma sœur, et en lisant je découvre que c’était une représentation de l’apparition avec Marguerite Marie, je ne savais rien de tout cela auparavant. Au retour nous visitâmes l’Abbaye de Citeaux, en fait il y avait des moines, et la cloche sonne, nous entrons et assistons à une merveille, la messe d’un moine qui venait de décéder et le texte lu avait été préparé à l’avance par lui, c’était d’une extrême beauté, une prière pour son cheminement vers Dieu, vers le Père, d’une telle beauté !!!
2005, juillet, dans une session… : Alors que nous étions détendus, en paix après avoir reçu la rosée…je suis debout, une sœur à mes côtés, puis, comme en surimpression, une dimension dans la notre, un ciel dans notre présent apparait et s’ouvre (comme un ciel de nuit), j’y suis, et en même temps devant moi une nuée vive blanche se forme et prend vie tel un lion et avance sa patte droite puis pénètre en moi (en nuée, en souffle, en vie, le Souffle de Vérité) ; à la fois dans la salle et intervenant dans le ciel (depuis le début de l’apparition de la nuée je me suis mis progressivement à souffler), puis alors que je souffle de plus en plus fort, cette puissance véridique et juste (c’est un souffle de Vérité) se propage par mon souffle associé, cela sort en blanc et là, une flamme ardente se décroche de moi, passe devant moi (je ressens en même temps cette chaleur qui veut me contenir et me brûler), je transpire intensément, mais le Souffle, je souffle plus fort, plus fort, plus fort (en blanc), la flamme se décroche et s’éloigne ; puis apparait derrière la flamme comme une planète en feu, enflammée ; la puissance du souffle augmente en diffusion ou amplitude ou en force et atteint la planète, alors apparait un dragon allongé en furie, et rouge comme en feu, le Mal (il était caché par la boule) ; puis le souffle augmente en sortant de ma bouche et atteint le dragon et il disparait dans l’abîme (non identifié). Puis plus rien ! La puissance du Seigneur gagne ! le Souffle de Vérité, amen.
2005, Gagnières : il y a un temps où l’Esprit me montre le haut de la montagne en roc, la Gloire de Dieu se lève et devant sur le roc, le Cerf qui annonce s’avance vers nous tous et prononce quelque chose, il prévient, Il arrive. Et la Gloire du Père se lève encore.
2005, 08 août, songe : Dans une pièce où tous les contrastes varient en blanc, des bancs sur chacun de deux des murs se rejoignent dans un angle ; dans l’angle est assis Notre Pape Jean-Paul II, de chaque côté cinq à six frères habillés en tissu blanc (comme des moines) ; le Pape et moi nous reconnaissons, puis j’arrive enfin à son côté, nous attendions ce moment (intime), Il me tient par la main, nos regards se joignent et là ses yeux sont de la même teinte…(que quand l’enfant Jésus était dans les bras du monsieur vêtu de blanc, avec le gros baton…décrit ailleurs sur le Forum) une Connaissance et une Sagesse, Il (le Pape) continue de me fixer, il me transmets une Sagesse, une Compréhension, je le reçois tel un don de Dieu ; dans nos regards il y a une complicité, une relation, sagesse de l’Eglise, sagesse du corps du Christ ; les autres ne voient pas cela car ça ne s’adresse pas à eux, je ne comprends pas, c’est comme cela ; et puis, je prends aussi conscience que je suis enfin arrivé et nous attendions ce moment. J’étais à sa droite, puis je me retrouve à sa gauche, nous discutons comme des amis, puis il est temps que l’on se parle, un message l’un pour l’autre, mais à cet instant arrive un autre frère (vêtu tel un moine en blanc) de l’extérieur et se dirige et parle au Pape, le frère lui précise qu’il n’arrive pas à guérir ou soigner un blessé dans la voiture à l’extérieur, alors le Saint père lui indique et aussitôt apparait dans sa main droite une lame et il grave quelque chose dans la main de mon frère et puis il prend ma main gauche et grave un signe qui apparait par le sang, c’est mon nom mais je ne peux l’expliquer, c’est à la fois mon nom et sa signature ןן
, c’est gravé à l’extrémité de ma paume du pouce.
2005, 12 décembre, en songe : Une fin de matinée fraîche et ciel bleu (comme un beau midi d’hiver ou de printemps), je sors de mon immeuble (avec des enfants) soudainement surpris par la vue d’une tornade d’eau (l’eau sue le sol rejoint l’eau des nuages) d’une puissance qui désintègre les immeubles de la cité au loin ; je n’entends pas la fin des cris des enfants tellement la déflagration est soudaine. Nous avons juste le temps de nous protéger dans des trous sous un hangar et nous trouvons dans le sol des malles au tampon militaire avec de la nourriture dedans. A côté une autre famille était arrivée avant nous avec des sandwiches frais qu’ils mangeaient sans partager et ne s’inquiétaient pas, mais eux n’avaient pas de réserves.
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