Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
+58
olivier0
Prince de Talmont
diskdur77
Zamie
Charles-Edouard
GayLibre
Ginette Boudreau
jeff70
Pécheur
M1234
pax et bonum
LeGuerrierMonarchiste
adelinec
P34512
Neb
tous artisans de paix
Tibelle07
BENEDICTE 2
Sofoyal
spiri
thanneguy
Elmalina
Stef54
D37215
P12345
Emmanuel
C54637
Titix
Liza2028
Cmartel.
Jean-Michel et Béatrice
Le cavalier
BENEDICTE 1
Ange Gardien10
Audifax
Marie Rose
ravie974
a53432
romu
mariejesus
pouce
Bénédicte777
fraysse
s153A8
bach88
ERICMASGMSFA
may80
cj
Malou
violaine
Luca
Ludwik59
Maud
Samaritain
Manuela
Nicolas77
Maria-Christina
Gilles
62 participants
Page 8 sur 16
Page 8 sur 16 • 1 ... 5 ... 7, 8, 9 ... 12 ... 16
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
Stef54 a écrit:
punaise
Elmalina- Aime le Rosaire
- Messages : 740
Age : 44
Localisation : Gard
Inscription : 30/06/2014
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
Il a sauvé 669 enfants pendant l’Holocauste … et il ne sait pas qu’ils sont assis à côté de lui !
Sir Nicholas Winton est un humaniste qui a organisé une opération de sauvetage qui a sauvé la vie de 669 enfants juifs de Tchécoslovaquie dans les camps de la mort nazis, avant de les ramener en sécurité en Grande-Bretagne entre les années 1938-1939.
Après la guerre, ses efforts sont restés inconnus. Mais en 1988, la femme de Winton, Grete, a trouvé un album photo datant de 1939, avec la liste complète des noms et des photos de chaque enfant sauvé.
Dans la vidéo ci-dessous, Sir Nicholas Winton est assis dans un auditoire et se retrouve, sans le savoir, au milieu de tous les enfants qui il a sauvé 50 ans auparavant.
Sir Nicholas Winton est un humaniste qui a organisé une opération de sauvetage qui a sauvé la vie de 669 enfants juifs de Tchécoslovaquie dans les camps de la mort nazis, avant de les ramener en sécurité en Grande-Bretagne entre les années 1938-1939.
Après la guerre, ses efforts sont restés inconnus. Mais en 1988, la femme de Winton, Grete, a trouvé un album photo datant de 1939, avec la liste complète des noms et des photos de chaque enfant sauvé.
Dans la vidéo ci-dessous, Sir Nicholas Winton est assis dans un auditoire et se retrouve, sans le savoir, au milieu de tous les enfants qui il a sauvé 50 ans auparavant.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
emouvante cette video ... que Dieu benisse cet homme
bach88- Combat avec Sainte Marie
- Messages : 1556
Localisation : israel
Inscription : 18/04/2009
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
Sir Nicholas Winton - le pouvoir de l’altruisme
Sir Nicholas Winton a fêté ses 105 ans le 19 mai 2014.
Avant que ne commence la Seconde guerre mondiale, le Britannique a réussi à sauver plus de six cents enfants juifs tchèques et slovaques des griffes des nazis.
Nicholas Winton a sauvé des camps de concentration 669 enfants de la Tchécoslovaquie d’avant-guerre. Né à Londres le 19 mai 1909 d’une famille d’immigrés allemands, Nicholas Winton, agent de change rejoint à Prague en décembre 1938 un ami, membre du Comité britannique pour les réfugiés en provenance de Tchécoslovaquie (BCRC), lui demandant de lui venir en aide, pour faire transporter des enfants en Grande-Bretagne. Après l’obtention de différentes autorisations, du côté allemand et du côté britannique, au total huit convois remplis d’enfants sans parents quittent la Gare centrale de Prague entre mars et août 1939. Seul le neuvième et dernier convoi n’a jamais pu quitter Prague, en raison de l’invasion de la Pologne par l’Allemagne, le 1er septembre 1939, déclenchant la guerre. Les 250 enfants qui étaient à son bord ont tous disparu. Cet événement a marqué le jour le plus triste de la vie de Nicholas Winton. La veille de son 105e anniversaire, il ne semble toujours pas s’accoutumer de l’admiration de son entourage :
« Dans un certain sens, tout cela me met toujours dans un embarras, dans une confusion, car je ne suis qu’un être humain tout à fait normal. Et désormais je suis trop vieux pour m’occuper de mon jardin, et de mes enfants encore moins. »
Une fois à Londres, Nicholas Winton trouve des familles d’accueil pour ces enfants, qui ne reverront plus jamais leurs parents. Néanmoins, il subit des critiques de la part de certains rabbins, lui reprochant de vouloir convertir les enfants au christianisme. Il refuse cette critique, en argumentant que c’étaient leurs vies qu’il sauvait et non pas leur âme.
Matej Mináč, photo: Šárka Ševčíková
Si ce geste héroïque est passé inaperçu pendant près d’un demi-siècle, ce n’est que lorsque sa femme découvre des archives, des photos et des lettres des parents au grenier, que cette histoire de courage est révélée non seulement au monde entier, mais aussi aux enfants sauvés, désormais adultes. Nicholas Winton ne les rencontre pour la première fois depuis le début de la guerre, qu’en 1988 ; une rencontre très émouvante qui sera retransmise à la BBC, puis dans un documentaire réalisé en 2002, « La Force de l’humanité », par le Slovaque Matej Mináč, qui avait également réalisé un film joué quatre ans auparavant. Matej Mináč a dévoilé à propos de « Nicky », qui a continué à garder contact avec pratiquement tous ceux qu’il avait sauvés :
« La raison pour laquelle il a sauvé tous ces enfants il y a plus de 75 ans reste toujours entourée de mystère. Quand on lui demande quel était sa motivation, il nous répond : ‘Demandez à mes parents, car ce sont eux qui m’ont créé de telle manière. J’ai été façonné pour aider.’ »
En décembre 2002, sir Nicholas Winton est fait chevalier par la reine Elizabeth II pour services rendus à l’humanité. Des mains du président Václav Havel, Nicholas Winton reçoit l’Ordre de Tomáš Garrigue Masaryk, en 1998. A cette occasion, Václav Havel, s’était laissé entendre dire :
« Cette histoire possède un certain rayonnement, il en émane une inspiration, montrant qu’il est possible de faire du bien sur cette Terre. »
Le nombre des descendants des « enfants de Winton », équivaut à près de 6 000 personnes. En 2009, une statue en son honneur est dévoilée à la gare de Prague. Sa modestie et son dévouement n’a pas connu de limites. A son domicile à Maidenhead, il a été à l’origine de la création d’une maison pour personnes âgées atteintes de démence. Cette année, il a provoqué un enthousiasme auprès de la communauté musulmane, en participant à leur Journée de la lutte contre les préjugés. Pour fêter son anniversaire, deux ans auparavant, il avait survolé le pays en avion ultraléger motorisé. Si à l’âge de 105 ans, sa santé l’empêche de faire tout ce qu’il souhaiterait, il n’hésite pas à se rendre au cinéma ou au restaurant, et se dit être toujours extrêmement intéressé par le monde qui l’entoure :
Nicholas Winton, photo: ČT24
« Chaque année est importante, chaque jour est important. La question est de savoir ce que vous allez en faire, et ce que vous pensez que vous pouvez faire. (...) Je suis plus qu’intéressé par la politique, et même à l’heure actuelle, je me sens toujours concerné par cela. Mais au regard de ce qui se passe dans le monde, je suis infiniment déçu. Et ce surtout, lorsque je découvre que personne n’a rien appris du passé. »
Le 28 octobre prochain, le chef de l’Etat, Miloš Zeman, décernera à Nicholas Winton la plus haute distinction tchèque, l’ordre du Lion Blanc. Des étudiants du lycée Open Gate de l’est de Prague, ont lancé l’initiative le prix Nobel de la paix pour Nicholas Winton, qui a récolté déjà plus de 240 000 signatures.
Source : www.radio.cz/fr
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
12H17 Le 22/07/14
La jeune Breanna Mitchell a mis en ligne un selfie pris à Auschwitz le mois dernier. Depuis quelques jours, la photo fait le tour du monde.
Selfie à Auschwitz : Une adolescente reçoit des menaces de mort
Il y a eu le selfie des Oscars d'Ellen DeGeneres, le selfie à 60 milliards de dollars du petit garçon qui s'est pris en photo avec Paul McCartney et Warren Buffett, le selfie d'un journaliste du Monde à la Maison Blanche... Désormais, la jeune Breanna Mitchell peut se targuer d'avoir signé l'un des selfies les plus mémorables. Mais elle s'en serait sans doute bien passée.
En effet, depuis quelques jours, sa photo mise en ligne sur Twitter fait le tour du monde pour son côté pour le moins indélicat. On y voit la jeune fille tout sourire, avec comme décor le camp de concentration d'Auschwitz. Mise en ligne il y a un mois, la photo en question n'est devenue virale que cette semaine, et les réactions ont été très violentes, si l'on en croit la jeune fille elle-même.
"J'ai reçu des menaces de mort"
"J'ai reçu des menaces de mort, des gens m'ont dit que je ferais mieux de mettre fin à mes jours...", a ainsi expliqué Breanna Mitchell dans l'émission "Take Part Live", diffusée sur la chaîne câblée Pivot outre-Atlantique. Suite à ces commentaires, l'adolescente a publié plusieurs tweets dans lesquels elle a fait part de son incompréhension.
"J'aimerais que les gens arrêtent de répondre, de citer, de retweeter et de mettre en favori ma photo où je souris dans le camp de concentration d'Auschwitz", a-t-elle d'abord demandé, avant d'aller plus loin. "Je suis tellement idiote et je foire tout. C'est officiel", a-t-elle ainsi ajouté un peu plus tard.
Interrogée dans l'émission, Breanna a eu l'occasion d'expliquer le contexte de cette photo, comme elle avait déjà tenté de le faire sur Twitter. "La Deuxième guerre mondiale et l'Holocauste sont les deux seuls sujets qui m'aient jamais intéressée en histoire, et c'était aussi le sujet préféré de mon père. J'ai même parlé à un survivant de l'Holocauste en primaire, via webcam. C'est vraiment le seul sujet qui m'ait intéressée... Et mes parents m'avaient toujours dit qu'après mon diplôme, on ferait un voyage hors des Etats-Unis pour aller là où je le souhaitais. Puis mon père est mort, un an avant que je prenne cette photo."
"Je ne regrette pas"
C'est donc en hommage à son père que Breanna affirme avoir pris cette photo et malgré l'avalanche de tweets négatifs reçus, l'adolescente ne regrette pas. "Honnêtement, je ne pense pas que je ferais quoi que ce soit différemment, tout simplement parce que je n'ai voulu blesser personne... Et j'ai dit à tout le monde l'histoire personnelle qu'il y avait derrière ce cliché... Pour cette raison, je ne regrette pas d'avoir pris cette photo", a-t-elle ainsi expliqué.
La jeune Breanna Mitchell a mis en ligne un selfie pris à Auschwitz le mois dernier. Depuis quelques jours, la photo fait le tour du monde.
Selfie à Auschwitz : Une adolescente reçoit des menaces de mort
Il y a eu le selfie des Oscars d'Ellen DeGeneres, le selfie à 60 milliards de dollars du petit garçon qui s'est pris en photo avec Paul McCartney et Warren Buffett, le selfie d'un journaliste du Monde à la Maison Blanche... Désormais, la jeune Breanna Mitchell peut se targuer d'avoir signé l'un des selfies les plus mémorables. Mais elle s'en serait sans doute bien passée.
En effet, depuis quelques jours, sa photo mise en ligne sur Twitter fait le tour du monde pour son côté pour le moins indélicat. On y voit la jeune fille tout sourire, avec comme décor le camp de concentration d'Auschwitz. Mise en ligne il y a un mois, la photo en question n'est devenue virale que cette semaine, et les réactions ont été très violentes, si l'on en croit la jeune fille elle-même.
"J'ai reçu des menaces de mort"
"J'ai reçu des menaces de mort, des gens m'ont dit que je ferais mieux de mettre fin à mes jours...", a ainsi expliqué Breanna Mitchell dans l'émission "Take Part Live", diffusée sur la chaîne câblée Pivot outre-Atlantique. Suite à ces commentaires, l'adolescente a publié plusieurs tweets dans lesquels elle a fait part de son incompréhension.
"J'aimerais que les gens arrêtent de répondre, de citer, de retweeter et de mettre en favori ma photo où je souris dans le camp de concentration d'Auschwitz", a-t-elle d'abord demandé, avant d'aller plus loin. "Je suis tellement idiote et je foire tout. C'est officiel", a-t-elle ainsi ajouté un peu plus tard.
Interrogée dans l'émission, Breanna a eu l'occasion d'expliquer le contexte de cette photo, comme elle avait déjà tenté de le faire sur Twitter. "La Deuxième guerre mondiale et l'Holocauste sont les deux seuls sujets qui m'aient jamais intéressée en histoire, et c'était aussi le sujet préféré de mon père. J'ai même parlé à un survivant de l'Holocauste en primaire, via webcam. C'est vraiment le seul sujet qui m'ait intéressée... Et mes parents m'avaient toujours dit qu'après mon diplôme, on ferait un voyage hors des Etats-Unis pour aller là où je le souhaitais. Puis mon père est mort, un an avant que je prenne cette photo."
"Je ne regrette pas"
C'est donc en hommage à son père que Breanna affirme avoir pris cette photo et malgré l'avalanche de tweets négatifs reçus, l'adolescente ne regrette pas. "Honnêtement, je ne pense pas que je ferais quoi que ce soit différemment, tout simplement parce que je n'ai voulu blesser personne... Et j'ai dit à tout le monde l'histoire personnelle qu'il y avait derrière ce cliché... Pour cette raison, je ne regrette pas d'avoir pris cette photo", a-t-elle ainsi expliqué.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
Mise à jour le mardi 29 juillet 2014 à 17 h 27 HAE
Efraim Zuroff à Riga, en Lettonie, le 16 mars 2012 Photo : Ints Kalnins / Reuters
Chasse aux nazis : l'attitude du Canada dénoncée
Plusieurs organisations juives considèrent qu'Ottawa ne fait pas suffisamment d'efforts pour chasser les criminels de guerre nazis, même si ces derniers risquent au Canada l'expulsion et la perte de la citoyenneté.
Le Centre international Simon-Wiesenthal, qui vise à préserver la mémoire de la Shoah, déplore le nombre peu élevé de criminels jugés au Canada et extradés.
« C'est très contrariant et très décourageant », résume Efraim Zuroff, directeur du centre et l'un des derniers chasseurs de nazis au monde.
Chaque année, le personnel du centre basé en Israël dresse une liste des criminels de guerre nazis les plus recherchés. À plusieurs reprises au cours des dernières années, des citoyens canadiens ont figuré sur ses listes, dont Vladimir Katriuk en ce moment.
Dans une décision rendue en novembre 2010, la Cour fédérale d'appel a confirmé le maintien de la citoyenneté canadienne de Vladimir Katriuk, qui avait été rétablie en 2007 après avoir été révoquée en 1999.
« Les efforts du gouvernement canadien pour évincer les criminels de guerre nazis vivant au Canada ont franchement été totalement infructueux. » — Efraim Zuroff
Le B'Nai Brith, une des plus importantes organisations juives au pays, a d'ailleurs publié en 2010 un rapport sur l'inaction d'Ottawa face aux collaborateurs du Troisième Reich. Le document fait état d'une série d'échecs judiciaires et procéduraux qui sont survenus au cours des 20 dernières années.
Des obstacles juridiques
Pour le Centre consultatif des relations juives et israéliennes, les obstacles pour juger les criminels de guerre nazis sont avant tout juridiques, les cours étant réticentes à utiliser des preuves provenant d'anciens pays communistes de l'Europe de l'Est.
Le cas d'Helmut Oberlander illustre bien la lenteur du processus. Ancien membre d'un commando nazi, il a été privé de sa citoyenneté canadienne en 2012 et fait face à la déportation. Sa cause a ensuite été portée en appel et la Cour fédérale ne s'est toujours pas prononcée.
De son côté, le ministère fédéral de la Justice défend son bilan. Depuis 1987, le gouvernement a traité presque 2000 dossiers liés à la Seconde Guerre mondiale.
Dans un courriel, un porte-parole du ministère réitère que son département est déterminé à révoquer le statut et la citoyenneté des personnes qui ont commis des crimes de guerre et à les expulser du pays.
D'après un reportage de David Savoie
Efraim Zuroff à Riga, en Lettonie, le 16 mars 2012 Photo : Ints Kalnins / Reuters
Chasse aux nazis : l'attitude du Canada dénoncée
Plusieurs organisations juives considèrent qu'Ottawa ne fait pas suffisamment d'efforts pour chasser les criminels de guerre nazis, même si ces derniers risquent au Canada l'expulsion et la perte de la citoyenneté.
Le Centre international Simon-Wiesenthal, qui vise à préserver la mémoire de la Shoah, déplore le nombre peu élevé de criminels jugés au Canada et extradés.
« C'est très contrariant et très décourageant », résume Efraim Zuroff, directeur du centre et l'un des derniers chasseurs de nazis au monde.
Chaque année, le personnel du centre basé en Israël dresse une liste des criminels de guerre nazis les plus recherchés. À plusieurs reprises au cours des dernières années, des citoyens canadiens ont figuré sur ses listes, dont Vladimir Katriuk en ce moment.
Dans une décision rendue en novembre 2010, la Cour fédérale d'appel a confirmé le maintien de la citoyenneté canadienne de Vladimir Katriuk, qui avait été rétablie en 2007 après avoir été révoquée en 1999.
« Les efforts du gouvernement canadien pour évincer les criminels de guerre nazis vivant au Canada ont franchement été totalement infructueux. » — Efraim Zuroff
Le B'Nai Brith, une des plus importantes organisations juives au pays, a d'ailleurs publié en 2010 un rapport sur l'inaction d'Ottawa face aux collaborateurs du Troisième Reich. Le document fait état d'une série d'échecs judiciaires et procéduraux qui sont survenus au cours des 20 dernières années.
Des obstacles juridiques
Pour le Centre consultatif des relations juives et israéliennes, les obstacles pour juger les criminels de guerre nazis sont avant tout juridiques, les cours étant réticentes à utiliser des preuves provenant d'anciens pays communistes de l'Europe de l'Est.
Le cas d'Helmut Oberlander illustre bien la lenteur du processus. Ancien membre d'un commando nazi, il a été privé de sa citoyenneté canadienne en 2012 et fait face à la déportation. Sa cause a ensuite été portée en appel et la Cour fédérale ne s'est toujours pas prononcée.
De son côté, le ministère fédéral de la Justice défend son bilan. Depuis 1987, le gouvernement a traité presque 2000 dossiers liés à la Seconde Guerre mondiale.
Dans un courriel, un porte-parole du ministère réitère que son département est déterminé à révoquer le statut et la citoyenneté des personnes qui ont commis des crimes de guerre et à les expulser du pays.
D'après un reportage de David Savoie
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
2 août 2014
Pologne: hommage aux Roms victimes du génocide commis par les nazis
Plus d'un millier de personnes, en particulier des jeunes Roms venus de 25 pays d'Europe, ont rendu hommage samedi aux Roms victimes de génocide à l'occasion du 70e anniversaire de la liquidation du "Zigeunerlager" à Auschwitz-Birkenau.
Ce jour est une date symbolique pour les Roms: durant la nuit du 2 au 3 août 1944, trois mille Roms, dont de nombreux enfants, ont été conduits aux chambres à gaz au camp nazi d'Auschwitz-Birkenau, installé par l'Allemagne nazie dans le sud de la Pologne.
"Nous nous unissons ici dans la douleur, dans la mémoire des victimes. Ici, nous nous consolidons en tant que peuple. Non seulement par rapport à notre passé mais aussi à notre avenir", a déclaré devant le mémorial aux victimes Roms d'Auschwitz le chef de l'Association des Roms en Pologne, Roman Kwiatkowski.
Un message du président polonais Bronislaw Komorowski a été lu à l'occasion de cette Journée internationale du souvenir de l'Holocauste des Roms.
"C'est un génocide oublié par les Européens et cela devrait changer", a déclaré à l'AFP Thomas Schobesberger, 23 ans, Autrichien.
Après les juifs dont près d'un million ont été exterminé à Auschwitz, et les Polonais dont 80.000 y périrent, les Roms ont été le troisième groupe de déportés dans ce camp de la mort. Au total, quelque 21.000 déportés Roms, originaires de 14 pays d'Europe, y périrent. Selon les historiens, 220.000 à 500.000 Roms ont été assassinés par le régime nazi, une tragédie que les communautés roms appellent Samudaripen ou Pharrajimo.
L'Union européenne estime qu'il y a actuellement 10 à 12 millions de Roms, Tsiganes ou Gitans, ce qui fait d'eux la plus grande minorité ethnique en Europe, victime dans de nombreux pays de discriminations, d'une extrême pauvreté, et d'un accès inégal aux soins ou à l'éducation.
Pologne: hommage aux Roms victimes du génocide commis par les nazis
Plus d'un millier de personnes, en particulier des jeunes Roms venus de 25 pays d'Europe, ont rendu hommage samedi aux Roms victimes de génocide à l'occasion du 70e anniversaire de la liquidation du "Zigeunerlager" à Auschwitz-Birkenau.
Ce jour est une date symbolique pour les Roms: durant la nuit du 2 au 3 août 1944, trois mille Roms, dont de nombreux enfants, ont été conduits aux chambres à gaz au camp nazi d'Auschwitz-Birkenau, installé par l'Allemagne nazie dans le sud de la Pologne.
"Nous nous unissons ici dans la douleur, dans la mémoire des victimes. Ici, nous nous consolidons en tant que peuple. Non seulement par rapport à notre passé mais aussi à notre avenir", a déclaré devant le mémorial aux victimes Roms d'Auschwitz le chef de l'Association des Roms en Pologne, Roman Kwiatkowski.
Un message du président polonais Bronislaw Komorowski a été lu à l'occasion de cette Journée internationale du souvenir de l'Holocauste des Roms.
"C'est un génocide oublié par les Européens et cela devrait changer", a déclaré à l'AFP Thomas Schobesberger, 23 ans, Autrichien.
Après les juifs dont près d'un million ont été exterminé à Auschwitz, et les Polonais dont 80.000 y périrent, les Roms ont été le troisième groupe de déportés dans ce camp de la mort. Au total, quelque 21.000 déportés Roms, originaires de 14 pays d'Europe, y périrent. Selon les historiens, 220.000 à 500.000 Roms ont été assassinés par le régime nazi, une tragédie que les communautés roms appellent Samudaripen ou Pharrajimo.
L'Union européenne estime qu'il y a actuellement 10 à 12 millions de Roms, Tsiganes ou Gitans, ce qui fait d'eux la plus grande minorité ethnique en Europe, victime dans de nombreux pays de discriminations, d'une extrême pauvreté, et d'un accès inégal aux soins ou à l'éducation.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
HITLER : INFORMATIONS SECRETES DES ANNEES 40
Dans les années 40, Hitler était atteint d'une grave maladie déjà très avancée : la syphilis paralysante dont l'évolution, c'est bien connu, affecte gravement et irrémédiablement le cerveau. Il l'avait contractée bien des années plus tôt avait cru à tort être guéri. Cette information est extraite du livre du Docteur Félix KERSTEN, le médecin personnel d'Himmler. Himmler séquestrait KERSTEN pour l'avoir toujours sous la main et un jour, il lui soumit le dossier médical ultra secret d'Hitler pour avoir l'avis de Kersten à ce sujet, dans l'espoir que ce dernier soulage le Fuhrer. Ainsi, seules 4 ou 5 personnes étaient, pendant la guerre, au courant de la maladie d'Hitler. Par la suite, le témoignage du Docteur Félix KERSTEN fut rédigé et publié par l'écrivain Joseph KESSEL sous le titre "Les Mains du Miracle". C'est un livre assez extraordinaire à lire.
Dans ce même livre, on découvre quel était le projet SPIRITUEL d'Hitler pour l'Europe, c'est-à-dire pour la Nouvelle Allemagne. Je fais un copier-coller de la page 80 du livre "Les Mains du Miracle" déjà cité :
"Il fallait se résigner à vivre dans le train maudit.
Pour échapper au passage des rails et des bâtiments ferroviaires, Kersten se promenait dans la campagne. Pour échapper à l'oisiveté, il se mit à tenir un journal. Enfin, pour passer le temps, il eut recours à la petite bibliothèque personnelle qu'Himmler avait amenée et qu'il mit avec empressement à la disposition de son médecin.
Alors Kersten fit une découverte qui le stupéfia. Tous les livres du maître des SS et de la Gestapo se rapportaient à la religion. Il y avait là, outre les grandes illuminations prophétiques, comme les Védas, la Bible, l'Evangile, le Coran, il y avait, soit d'origine allemande, soit traduits du français, de l'anglais, du latin, du grec ou de l'hébreu, des exégèses et des commentaires, des traités de théologie, des textes mystiques, des ouvrages sur la juridiction de l'Eglise à toutes les époques.
Quand Kersten eut achevé de reconnaître ces volumes, il demanda à Himmler :
- Vous m'avez bien affirmé qu'un vrai national-socialiste ne peut pas appartenir à une confession quelconque ?
- Assurément, dit Himmler.
- Mais alors ? demanda encore Kersten, en montrant les rayons de la bibliothèque de campagne.
Himmler rit franchement.
- Non, non, je ne suis pas converti, dit-il. Ces livres sont de simples instruments de travail.
- Je ne comprends pas, dit Kersten.
La figure de Himmler devint soudain sérieuse, exaltée, et, avant-même qu'il ne parlât, Kersten sut qu'il allait prononcer le nom de son idole. Himmler dit en effet :
- Hitler m'a chargé d'une tâche essentielle. Je dois préparer la nouvelle religion nationale-socialiste. Je dois rédiger la nouvelle Bible, celle de la foi germanique.
- Je ne comprends pas, répéta Kersten.
Himmler dit alors :
- Le Führer est décidé, après la victoire du IIIe Reich, à supprimer le christianisme dans toute la Grande Allemagne, c'est-à-dire l'Europe, et à établir, sur ses ruines, la foi germanique. Elle conservera la notion de Dieu, mais très vague, très confuse. Et le Führer prendra la place du Christ comme Sauveur de l'Humanité. Ainsi des millions et des millions d'hommes invoqueront, dans leurs prières, le seul nom de Hitler et, cent ans plus tard, on ne connaîtra plus que la religion nouvelle qui durera des siècles et des siècles.
Kersten écoutait, la tête basse. Il craignait de montrer sur son visage, dans son regard, qu'il jugeait ce projet démence pure, et fous dangereux les gens qui l'avaient conçu. Enfin, ayant composé ses traits, il leva les yeux sur Himmler. Rien n'avait changé dans cette figure, devenue si familière, de maître pédant, aux pommettes mongoloïdes.
- Vous comprenez, pour cette nouvelle Bible, j'ai besoin de documents, acheva Himmler.
- Je comprends dit Kersten.
Le soir même, il résumait cet entretien dans le journal qu'il s'était mis à tenir. Ces notes, prises d'abord pour se distraire, devenaient une habitude, un besoin.
Cependant, l'agonie de la France arrivait à son terme. Le maréchal Pétain demanda l'armistice. Avant de se rendre à Compiègne pour assister à la cérémonie de la signature, Himmler offrit à Kersten de l'emmener. Cette fois encore, Kersten refusa. Il n'était pas, en général, amateur de spectacles historiques, encore moins de ceux qui lui faisaient toucher le fond de la détresse.
Quelques jours plus tard, le train spécial de Himmler regagna Berlin."
Dans ce même livre, on découvre quel était le projet SPIRITUEL d'Hitler pour l'Europe, c'est-à-dire pour la Nouvelle Allemagne. Je fais un copier-coller de la page 80 du livre "Les Mains du Miracle" déjà cité :
"Il fallait se résigner à vivre dans le train maudit.
Pour échapper au passage des rails et des bâtiments ferroviaires, Kersten se promenait dans la campagne. Pour échapper à l'oisiveté, il se mit à tenir un journal. Enfin, pour passer le temps, il eut recours à la petite bibliothèque personnelle qu'Himmler avait amenée et qu'il mit avec empressement à la disposition de son médecin.
Alors Kersten fit une découverte qui le stupéfia. Tous les livres du maître des SS et de la Gestapo se rapportaient à la religion. Il y avait là, outre les grandes illuminations prophétiques, comme les Védas, la Bible, l'Evangile, le Coran, il y avait, soit d'origine allemande, soit traduits du français, de l'anglais, du latin, du grec ou de l'hébreu, des exégèses et des commentaires, des traités de théologie, des textes mystiques, des ouvrages sur la juridiction de l'Eglise à toutes les époques.
Quand Kersten eut achevé de reconnaître ces volumes, il demanda à Himmler :
- Vous m'avez bien affirmé qu'un vrai national-socialiste ne peut pas appartenir à une confession quelconque ?
- Assurément, dit Himmler.
- Mais alors ? demanda encore Kersten, en montrant les rayons de la bibliothèque de campagne.
Himmler rit franchement.
- Non, non, je ne suis pas converti, dit-il. Ces livres sont de simples instruments de travail.
- Je ne comprends pas, dit Kersten.
La figure de Himmler devint soudain sérieuse, exaltée, et, avant-même qu'il ne parlât, Kersten sut qu'il allait prononcer le nom de son idole. Himmler dit en effet :
- Hitler m'a chargé d'une tâche essentielle. Je dois préparer la nouvelle religion nationale-socialiste. Je dois rédiger la nouvelle Bible, celle de la foi germanique.
- Je ne comprends pas, répéta Kersten.
Himmler dit alors :
- Le Führer est décidé, après la victoire du IIIe Reich, à supprimer le christianisme dans toute la Grande Allemagne, c'est-à-dire l'Europe, et à établir, sur ses ruines, la foi germanique. Elle conservera la notion de Dieu, mais très vague, très confuse. Et le Führer prendra la place du Christ comme Sauveur de l'Humanité. Ainsi des millions et des millions d'hommes invoqueront, dans leurs prières, le seul nom de Hitler et, cent ans plus tard, on ne connaîtra plus que la religion nouvelle qui durera des siècles et des siècles.
Kersten écoutait, la tête basse. Il craignait de montrer sur son visage, dans son regard, qu'il jugeait ce projet démence pure, et fous dangereux les gens qui l'avaient conçu. Enfin, ayant composé ses traits, il leva les yeux sur Himmler. Rien n'avait changé dans cette figure, devenue si familière, de maître pédant, aux pommettes mongoloïdes.
- Vous comprenez, pour cette nouvelle Bible, j'ai besoin de documents, acheva Himmler.
- Je comprends dit Kersten.
Le soir même, il résumait cet entretien dans le journal qu'il s'était mis à tenir. Ces notes, prises d'abord pour se distraire, devenaient une habitude, un besoin.
Cependant, l'agonie de la France arrivait à son terme. Le maréchal Pétain demanda l'armistice. Avant de se rendre à Compiègne pour assister à la cérémonie de la signature, Himmler offrit à Kersten de l'emmener. Cette fois encore, Kersten refusa. Il n'était pas, en général, amateur de spectacles historiques, encore moins de ceux qui lui faisaient toucher le fond de la détresse.
Quelques jours plus tard, le train spécial de Himmler regagna Berlin."
thanneguy- Avec le Pape François
- Messages : 917
Age : 54
Inscription : 16/01/2011
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
Merci beaucoup "thanneguy" pour nous avoir partagé cet extrait très intéressant du livre "Les mains du Miracle" dont j'ignorais l' existence.
Ce Himmler était aussi fou que son "maître" !
Je vous partage une vidéo que j'ai postée à la page 7 de ce fil de discussion qui devrait grandement vous intéresser. Bon visionnement !
Les suppots d' Hitler par grandeetoile
Ce Himmler était aussi fou que son "maître" !
Je vous partage une vidéo que j'ai postée à la page 7 de ce fil de discussion qui devrait grandement vous intéresser. Bon visionnement !
Les suppots d' Hitler par grandeetoile
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
Effectivement très intéressante vidéo, je l'ai regardée avec attention. Pourtant, elle pose des questions auxquelles le livre "Les Mains du Miracle" répond. Par exemple la vidéo mentionne ignorer ce que se sont dit Himmler et Churchill dans leur négociation... Le livre explique que Himmler, sachant Hitler fou et le Front de l'Est perdu, a tenté de négocier un partage de certaines terres de l'Est dans le cas d'un accord de paix. En fait, la proposition est venue d'Himmler et Churchill l'a ignorée, n'y a pas répondu. Le livre révèle plein d'autres choses. J'ai découvert ça presque par hasard cet été. La vidéo ne mentionne pas non plus la maladie dont souffrait Hitler et qui, pourtant, explique bien des choses. Mais c'est une vidéo à voir, résolument car elle donne d'autres précisions intéressantes. Merci Gilles.
thanneguy- Avec le Pape François
- Messages : 917
Age : 54
Inscription : 16/01/2011
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
5 juillet2014
La rédemption de certains criminels nazis
A Nuremberg, un pasteur américain est allé visiter les criminels nazis condamnés à mort pour leur prêcher l'évangile. Comme le bandit sur la croix, certains vont accepter le salut en Jésus Christ, avant de faire le grand saut.
A fin 1945, un pasteur américain fut nommé aumônier auprès des grands criminels de guerre nazis, pendant leur procès de Nuremberg. Ses deux fils ayant été victimes de leurs méfaits, il se posa la question fondamentale : “Comment aborder ces hommes qui ont causé au monde de telles indicibles souffrances et sacrifié des millions de vie?” Il passa une nuit en prières, demandant à Dieu de lui donner un message pour eux. Il reçut la grâce, dit-il, d’aimer ces pécheurs au-delà de la haine du péché.
Les prisonniers étaient vingt-et-un. Six choisirent l’aide spirituelle d’un prêtre catholique, quinze celle d’un pasteur protestant. Streicher, Jold, Hess et Rosenberg n’avaient jamais assisté à un culte. Deux cellules de la prison furent transformées en chapelle. Un ancien lieutenant-colonnel SS devint organiste et communia en Christ.
Franck, Seyss-Inquart, Kaltenbrunner et von Papen assistaient au culte catholique. Keitel, von Ribbentropp, Raeder, von Neurath, Speer, Schacht, Frick, Funk, Fritsche, Von Schirach, Sauckel et Goering composaient l’assemblée du pasteur américain. Sept d’entre eux communiaient après avoir chanté trois cantiques, entendu des passages de la Bible, un court message et une prière.
Le dégel de la grâce
Sauckel fut le premier a ouvrir son coeur à l’Evangile. Il était père de dix enfants et sa femme était chrétienne. Puis Fritsche, von Schirach et Speer prirent la Sainte Cène et, en pécheurs repentants, acceptèrent le pardon accordé par le Christ. Reader, chef suprême de la marine allemande, lisait la Bible avec ardeur et bientôt il communia. Keitel, chef suprême de l’armée allemande, remercia dans les larmes ceux qui leur apportaient le secours spirituel, à eux qui étaient des criminels. D’abord réticent, von Ribbentropp commença aussi à lire la Bible.
Puis tombèrent les sentences de mort par pendaison pour onze d’entre les prisonniers, alors que Hess, Funk et Reader écopèrent de la prison à vie, von Schirach et Speer vingt ans, von Neurath quinze ans et Dönitz dix ans, alors que Schacht, von Papen et Fritsche furent acquittés.
Désormais le pasteur passa la majeure partie du temps qui restait dans les cellules des condamnés, qui obtinrent la faveur de voir leurs femmes. Triste entrevue : von Ribbentropp demanda à son épouse d’élever leurs enfants dans la crainte du Seigneur. Sauckel fit jurer à la sienne d’élever leur nombreuse famille au pied de la croix de Jésus. Goering pleura lorsqu’il sut que sa petite fille Edda espérait rencontrer son papa au ciel.
Jour et nuit, le pasteur resta avec ceux qui avaient remis leur âme à Dieu. Il visitait certains cinq fois par jour. Von Ribbentropp lisait sa Bible toute la journée. Keitel était profondément remué par les passages parlant du pouvoir rédempteur du Sang du Christ. Sauckel souhaitait disparaître avant l’exécution et priait à haute voix continuellement “O Dieu, aie pitié de moi qui suis un pécheur!” Ces trois-là prirent la communion pour la dernière fois en cellule et, sur le point de perdre leur vie indigne, se confièrent aux promesses du Tout-Puissant faites aux pécheurs perdus.
Un examen de conscience universel
La veille de l’exécution des sentences, Goering s’entretint longuement avec le pasteur américain. Il ridiculisa certaines vérités de la Bible, refusa d’accepter que le Christ soit mort pour les pécheurs et nia complètement la puissance du sang. “La mort est la mort” dit-il. Et, comme on lui rappelait les paroles d’espérance de sa petite fille, il répondit : “Elle croit à sa manière et moi à la mienne”. Une heure après, il s’était donné la mort dans sa cellule. Fin effrayante, qui bouleversa le pasteur.
Quand von Ribbentropp dut monter à la potence, il déclara qu’il plaçait toute sa confiance dans le sang de l’Agneau qui avait ôté la culpabilité du monde et il pria Dieu d’avoir pitié de son âme. En montant les treize marches du gibet, il fit une dernière prière.
Keitel entra aussi dans l’éternité en se fiant à la grâce de Dieu qui pardonne. Seickel marcha à la mort en adressant une dernière salutation à sa femme. Avant de mourir, Frick, lui aussi, assura qu’il croyait au sang purificateur et avait fait, grâce aux entretiens avec l’aumônier, une rencontre personnelle avec Jésus-Christ.
Au dernier groupe appartenait Rosenberg qui avait constamment refusé toute aide spirituelle. Lorsque le pasteur demanda s’il pouvait prier pour lui, il répondit en souriant: “Non, je vous remercie”. Il vécut et mourut sans Sauveur.
Puis ce fut le tour de Streicher. D’abord, il refusa de donner son nom; mais, au moment de l’exécution, il prononça le nom de sa femme et entra dans l’éternité en criant : “Heil, Hitler!” Fin épouvantable !
Et le pasteur conclut : “La repentante sincère que Dieu accorda dans la vie de ceux qui, à vue humaine, étaient dignes de la plus profonde disgrâce, peut sans doute apporter un rayon d’espoir à ceux dont les vies ont été corrompues par le péché”.
Que penser de ces pestiférés de l’humanité ? N’étaient-ils pas la pointe d’un iceberg immense qui avait sa base, pour les neuf dixièmes, bien ancrée dans les coeurs et les esprits pervertis de toute une époque et dans tous les pays. Les forces du mal se sont concentrées et focalisées à travers ces formes humaines qui en furent les instruments mécaniques. Le pasteur aumônier américain amena ces robots à la frange de la conscience divine. En les jugeant et en les condamnant, l’humanité en quelque sorte se jugeait elle-même et croyait exorciser des démons qu’on voit hélas réapparaître en tout temps et en tout lieu.
Source : christweb.free.fr
La rédemption de certains criminels nazis
A Nuremberg, un pasteur américain est allé visiter les criminels nazis condamnés à mort pour leur prêcher l'évangile. Comme le bandit sur la croix, certains vont accepter le salut en Jésus Christ, avant de faire le grand saut.
A fin 1945, un pasteur américain fut nommé aumônier auprès des grands criminels de guerre nazis, pendant leur procès de Nuremberg. Ses deux fils ayant été victimes de leurs méfaits, il se posa la question fondamentale : “Comment aborder ces hommes qui ont causé au monde de telles indicibles souffrances et sacrifié des millions de vie?” Il passa une nuit en prières, demandant à Dieu de lui donner un message pour eux. Il reçut la grâce, dit-il, d’aimer ces pécheurs au-delà de la haine du péché.
Les prisonniers étaient vingt-et-un. Six choisirent l’aide spirituelle d’un prêtre catholique, quinze celle d’un pasteur protestant. Streicher, Jold, Hess et Rosenberg n’avaient jamais assisté à un culte. Deux cellules de la prison furent transformées en chapelle. Un ancien lieutenant-colonnel SS devint organiste et communia en Christ.
Franck, Seyss-Inquart, Kaltenbrunner et von Papen assistaient au culte catholique. Keitel, von Ribbentropp, Raeder, von Neurath, Speer, Schacht, Frick, Funk, Fritsche, Von Schirach, Sauckel et Goering composaient l’assemblée du pasteur américain. Sept d’entre eux communiaient après avoir chanté trois cantiques, entendu des passages de la Bible, un court message et une prière.
Le dégel de la grâce
Sauckel fut le premier a ouvrir son coeur à l’Evangile. Il était père de dix enfants et sa femme était chrétienne. Puis Fritsche, von Schirach et Speer prirent la Sainte Cène et, en pécheurs repentants, acceptèrent le pardon accordé par le Christ. Reader, chef suprême de la marine allemande, lisait la Bible avec ardeur et bientôt il communia. Keitel, chef suprême de l’armée allemande, remercia dans les larmes ceux qui leur apportaient le secours spirituel, à eux qui étaient des criminels. D’abord réticent, von Ribbentropp commença aussi à lire la Bible.
Puis tombèrent les sentences de mort par pendaison pour onze d’entre les prisonniers, alors que Hess, Funk et Reader écopèrent de la prison à vie, von Schirach et Speer vingt ans, von Neurath quinze ans et Dönitz dix ans, alors que Schacht, von Papen et Fritsche furent acquittés.
Désormais le pasteur passa la majeure partie du temps qui restait dans les cellules des condamnés, qui obtinrent la faveur de voir leurs femmes. Triste entrevue : von Ribbentropp demanda à son épouse d’élever leurs enfants dans la crainte du Seigneur. Sauckel fit jurer à la sienne d’élever leur nombreuse famille au pied de la croix de Jésus. Goering pleura lorsqu’il sut que sa petite fille Edda espérait rencontrer son papa au ciel.
Jour et nuit, le pasteur resta avec ceux qui avaient remis leur âme à Dieu. Il visitait certains cinq fois par jour. Von Ribbentropp lisait sa Bible toute la journée. Keitel était profondément remué par les passages parlant du pouvoir rédempteur du Sang du Christ. Sauckel souhaitait disparaître avant l’exécution et priait à haute voix continuellement “O Dieu, aie pitié de moi qui suis un pécheur!” Ces trois-là prirent la communion pour la dernière fois en cellule et, sur le point de perdre leur vie indigne, se confièrent aux promesses du Tout-Puissant faites aux pécheurs perdus.
Un examen de conscience universel
La veille de l’exécution des sentences, Goering s’entretint longuement avec le pasteur américain. Il ridiculisa certaines vérités de la Bible, refusa d’accepter que le Christ soit mort pour les pécheurs et nia complètement la puissance du sang. “La mort est la mort” dit-il. Et, comme on lui rappelait les paroles d’espérance de sa petite fille, il répondit : “Elle croit à sa manière et moi à la mienne”. Une heure après, il s’était donné la mort dans sa cellule. Fin effrayante, qui bouleversa le pasteur.
Quand von Ribbentropp dut monter à la potence, il déclara qu’il plaçait toute sa confiance dans le sang de l’Agneau qui avait ôté la culpabilité du monde et il pria Dieu d’avoir pitié de son âme. En montant les treize marches du gibet, il fit une dernière prière.
Keitel entra aussi dans l’éternité en se fiant à la grâce de Dieu qui pardonne. Seickel marcha à la mort en adressant une dernière salutation à sa femme. Avant de mourir, Frick, lui aussi, assura qu’il croyait au sang purificateur et avait fait, grâce aux entretiens avec l’aumônier, une rencontre personnelle avec Jésus-Christ.
Au dernier groupe appartenait Rosenberg qui avait constamment refusé toute aide spirituelle. Lorsque le pasteur demanda s’il pouvait prier pour lui, il répondit en souriant: “Non, je vous remercie”. Il vécut et mourut sans Sauveur.
Puis ce fut le tour de Streicher. D’abord, il refusa de donner son nom; mais, au moment de l’exécution, il prononça le nom de sa femme et entra dans l’éternité en criant : “Heil, Hitler!” Fin épouvantable !
Et le pasteur conclut : “La repentante sincère que Dieu accorda dans la vie de ceux qui, à vue humaine, étaient dignes de la plus profonde disgrâce, peut sans doute apporter un rayon d’espoir à ceux dont les vies ont été corrompues par le péché”.
Que penser de ces pestiférés de l’humanité ? N’étaient-ils pas la pointe d’un iceberg immense qui avait sa base, pour les neuf dixièmes, bien ancrée dans les coeurs et les esprits pervertis de toute une époque et dans tous les pays. Les forces du mal se sont concentrées et focalisées à travers ces formes humaines qui en furent les instruments mécaniques. Le pasteur aumônier américain amena ces robots à la frange de la conscience divine. En les jugeant et en les condamnant, l’humanité en quelque sorte se jugeait elle-même et croyait exorciser des démons qu’on voit hélas réapparaître en tout temps et en tout lieu.
Source : christweb.free.fr
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
Toxicomane, le führer prenait un cocktail de 74 drogues
Un rapport des services secrets américains dévoilé par les médias britannique montre que le Fürhrer avait recours à de nombreuses drogues.
La méthamphétamine est l'une des drogues les plus addictives et les plus craintes. Prisée par les toxicomanes pour ses puissants effets, elle détruit leur santé en peu de temps. C'est à cette substance que l'un des pires dictateurs de ce siècle, Adolf Hitler, avait pris goût.
Un rapport secret de l'armée américaine, révélé par un documentaire de la chaîne de télévision britannique Channel 4, décrit le Führer comme un grand hypocondriaque. Selon ce document de 47 pages, il était capable de prendre plusieurs dizaines de médicaments en une seule journée, dont de la méthamphétamine.
Une drogue courante dans l'armée allemande
Créée en 1937, la méthamphétamine est commercialisée sous le nom de Pervitin, afin de traiter l'asthme. Très vite, l'armée repère ses effets sur la concentration, l'endurance et la fatigue. Le tout pour un prix inférieur au café. De nombreux comprimés seront distribués aux soldats allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, comme le montre le documentaire La pilule de Göring, diffusé par Arte:
Les lettres des soldats révèlent le caractère addictif de cette drogue. Le futur prix Nobel de littérature, Heinrich Böll, stationné en Pologne en 1939, en réclamait à ses parents, de manière suppliante.
Un cocktail néfaste
Hitler confiait sa santé au docteur Theodor Gilbert Morell, connu pour administrer des traitements non conventionnels. Pour doper Hitler, Morell lui prescrivait des stimulants. Pour l'endormir, des sédatifs. Dès 1943, le Führer semblait accroc à ce cocktail néfaste.
Le dictateur fut mis sous traitement de méthamphétamine, pour rester éveillé et motivé. Le dossier militaire indique que le Führer aurait pris de cette drogue juste avant sa dernière réunion avec le dictateur italien, Mussolini, en juillet 1943. Une rencontre houleuse pendant laquelle Adolf Hitler fut particulièrement agité. Le rapport des années 1940 évoque d'autres substances prescrites à Hitler, telles que le Brom-Nervacit, un barbiturique, l'Eukodal, un sédatif à base de morphine, ou encore de la semence de taureau, afin de booster sa testostérone.
En revanche, le dossier coupe court à certaines rumeurs concernant l'intimité du Führer. Notamment celle affirmant qu'il aurait perdu un testicule pendant la bataille de la Somme, durant la Première Guerre mondiale. Il éloigne également la rumeur d'une homosexualité dissimulée. Une ligne du rapport indique qu'il «n'était ni un pervers, ni un homosexuel. Ses organes sexuels n'ont montré aucune indication d'anomalie.»
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
Maïti Girtanner - Après 40 ans, elle rencontre, pardonne et invite ... son bourreau Nazi à aimer
« Un témoignage renversant, touchant et édifiant qui a été réalisé sur la chaîne www.lejourduseigneur.com .
À entendre et à réentendre pour en tirer le message le plus fort de l'évangile : « Pardonnez à vos ennemis ». C'est cette phrase qui définit l'originalité particulière du christianisme et représente le plus grand défi dans chacune de nos vies. »
« Un témoignage renversant, touchant et édifiant qui a été réalisé sur la chaîne www.lejourduseigneur.com .
À entendre et à réentendre pour en tirer le message le plus fort de l'évangile : « Pardonnez à vos ennemis ». C'est cette phrase qui définit l'originalité particulière du christianisme et représente le plus grand défi dans chacune de nos vies. »
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
Des milliers de corps, victimes des nazis, découverts en Pologne
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
31 décembre 2014
Les nazis auraient été sur le point d'avoir la bombe atomique
Le secret était bien gardé. Une immense usine d'armes souterraine, construite lors du IIIe Reich, a été découverte mi-décembre en Autriche, dans le village de Sankt Georgen an der Gusen, proche de la frontière avec l'Allemagne et la République Tchèque. Andreas Sulzer, qui a mené les recherches, a expliqué au Sunday Times (l'article traduit ici) de Londres qu'il s'agirait du plus grand complexe nazi destiné à fabriquer des armes de destruction massives, dont des bombes nucléaires. Une information à prendre cependant avec des pincettes pour le moment.
Recherche atomique
L'usine, grande de "quelque" 30 000 mètres carrés, aurait été construite près de l'usine B8 Bergkristall où le premier avion de chasse du monde aurait vu le jour en 1945. Elle était restée inexplorée depuis, car gardée secrète pendant le règne d'Hitler. Mais c'était sans compter la découverte du journal de bord d'un physicien autrichien ayant travaillé pour le compte des nazis faisant mention d'un tel complexe. La radioactivité autour des lieux confirmait également la présence de l'usine ainsi que les suspicions incriminant les nazis de vouloir développer la bombe atomique.D'après le réalisateur, cette usine relevait de la plus grande importance et donc devait, pour cette raison, être tenue au secret. D'ailleurs, c'est le bras droit en personne du führer, Heinrich Himmler, qui aurait supervisé le développement de l'usine. La découverte du lieu aurait également permi de retrouver des casques ayant appartenu à la section SS et des objets du IIIe Reich. Et pour alimenter la production, les SS faisait appel aux prisonniers du camp de concentration voisins. Parmi eux, des experts capables de donner aux nazis l'objet de leur désir: la bombe atomique. Il s'agissait donc de physiciens, de chimistes et autres spécialistes. Mais, selon Andreas Sulzer, les conditions de travail étaient rudes et 320 000 d'entre eux seraient morts sous terre.
Operation Paperclip
Cette découverte, bien qu'historiquement importante, s'inscrit dans la recherche pour savoir ce qu'est devenu le général SS Hans Kammler, en charge de ce projet. L'homme est également connu pour avoir signé les plans des chambres à gaz et des fours crématoires du camp d'Auschwitz, en Pologne. Les rumeurs disent que les Américains l'auraient capturé pour qu'il travaille pour le compte de leurs ambitions atomique, sous une nouvelle identité. Ainsi, il aurait fait partie des 1500 autres scientifiques de l'opération Paperclip embarqués pour les Etats-Unis dans un même objectif. L'intérêt était aussi d'éviter que l'URSS n'accède à des connaissances supérieures aux leurs. Mais, "officiellement, Kammler se serait suicidé après la guerre", rapporte le journal anglais. Pourtant, les documents déclassifiés des services de renseignements américains actifs pendant la Seconde Guerre Mondiale indique le contraire. Kammler aurait été interrogé par l'Office of Strategic Services, ancêtre de la CIA. Et si l'exploration du site a été stoppée par les autorités autrichiennes, qui demandaient un permis de recherches, elles devraient reprendre le mois prochain. Andreas Sulzer a, en ce sens, indiqué au Times vouloir "révéler la vérité aux victimes".
Les nazis auraient été sur le point d'avoir la bombe atomique
Le secret était bien gardé. Une immense usine d'armes souterraine, construite lors du IIIe Reich, a été découverte mi-décembre en Autriche, dans le village de Sankt Georgen an der Gusen, proche de la frontière avec l'Allemagne et la République Tchèque. Andreas Sulzer, qui a mené les recherches, a expliqué au Sunday Times (l'article traduit ici) de Londres qu'il s'agirait du plus grand complexe nazi destiné à fabriquer des armes de destruction massives, dont des bombes nucléaires. Une information à prendre cependant avec des pincettes pour le moment.
Recherche atomique
L'usine, grande de "quelque" 30 000 mètres carrés, aurait été construite près de l'usine B8 Bergkristall où le premier avion de chasse du monde aurait vu le jour en 1945. Elle était restée inexplorée depuis, car gardée secrète pendant le règne d'Hitler. Mais c'était sans compter la découverte du journal de bord d'un physicien autrichien ayant travaillé pour le compte des nazis faisant mention d'un tel complexe. La radioactivité autour des lieux confirmait également la présence de l'usine ainsi que les suspicions incriminant les nazis de vouloir développer la bombe atomique.D'après le réalisateur, cette usine relevait de la plus grande importance et donc devait, pour cette raison, être tenue au secret. D'ailleurs, c'est le bras droit en personne du führer, Heinrich Himmler, qui aurait supervisé le développement de l'usine. La découverte du lieu aurait également permi de retrouver des casques ayant appartenu à la section SS et des objets du IIIe Reich. Et pour alimenter la production, les SS faisait appel aux prisonniers du camp de concentration voisins. Parmi eux, des experts capables de donner aux nazis l'objet de leur désir: la bombe atomique. Il s'agissait donc de physiciens, de chimistes et autres spécialistes. Mais, selon Andreas Sulzer, les conditions de travail étaient rudes et 320 000 d'entre eux seraient morts sous terre.
Operation Paperclip
Cette découverte, bien qu'historiquement importante, s'inscrit dans la recherche pour savoir ce qu'est devenu le général SS Hans Kammler, en charge de ce projet. L'homme est également connu pour avoir signé les plans des chambres à gaz et des fours crématoires du camp d'Auschwitz, en Pologne. Les rumeurs disent que les Américains l'auraient capturé pour qu'il travaille pour le compte de leurs ambitions atomique, sous une nouvelle identité. Ainsi, il aurait fait partie des 1500 autres scientifiques de l'opération Paperclip embarqués pour les Etats-Unis dans un même objectif. L'intérêt était aussi d'éviter que l'URSS n'accède à des connaissances supérieures aux leurs. Mais, "officiellement, Kammler se serait suicidé après la guerre", rapporte le journal anglais. Pourtant, les documents déclassifiés des services de renseignements américains actifs pendant la Seconde Guerre Mondiale indique le contraire. Kammler aurait été interrogé par l'Office of Strategic Services, ancêtre de la CIA. Et si l'exploration du site a été stoppée par les autorités autrichiennes, qui demandaient un permis de recherches, elles devraient reprendre le mois prochain. Andreas Sulzer a, en ce sens, indiqué au Times vouloir "révéler la vérité aux victimes".
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
Je suis d'accord que la shoa fut un crime épouvantable, mais serait-ce les suites du refus des juifs
de ne pas croire en jésus ......parce qu'un jour ils vont se convertir,
ne pas croire en jésus c'est refuser la rédemption et lorsqu'on refuse dieu on en paye le prix
toutes les épreuves sont de nature à nous faire avancer.....? c'est le prix d'une humanité corrompue qui s'en est pris à la foi, celle de l'ancien testament
base du nouveau.
jc
de ne pas croire en jésus ......parce qu'un jour ils vont se convertir,
ne pas croire en jésus c'est refuser la rédemption et lorsqu'on refuse dieu on en paye le prix
toutes les épreuves sont de nature à nous faire avancer.....? c'est le prix d'une humanité corrompue qui s'en est pris à la foi, celle de l'ancien testament
base du nouveau.
jc
spiri- Hosanna au plus haut des cieux!
- Messages : 499
Localisation : quebec
Inscription : 16/07/2010
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
Mais c'est une croix qui est rédemptrice pour l'humanité.
jc
jc
spiri- Hosanna au plus haut des cieux!
- Messages : 499
Localisation : quebec
Inscription : 16/07/2010
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
N'oublions les millions de morts non juifs, victimes de la folie Nazi!
Car si la shoah en est un épisode particulièrement cruel,
On dit qu'il y a eu 45 millions de morts civils de toutes nations lors de cette guerre .
Il y a donc environ 39 millions de civils non juifs.
Rappelons nous en.
Leur sort à été juste un peu moins cruel que celui des victimes juives...
Car si la shoah en est un épisode particulièrement cruel,
On dit qu'il y a eu 45 millions de morts civils de toutes nations lors de cette guerre .
Il y a donc environ 39 millions de civils non juifs.
Rappelons nous en.
Leur sort à été juste un peu moins cruel que celui des victimes juives...
Sofoyal- Combat l'antechrist
- Messages : 2384
Inscription : 03/11/2013
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
Pourquoi ne pas jeuner partiellement aujourd'hui, anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz.
La ration du déporté (2 litres de soupe très claire, ersatz de café sans sucre, 400 grammes de pain) sera notre ration de ce jour. Nous prierons pour nous souvenir de toutes les victimes du nazisme.
La ration du déporté (2 litres de soupe très claire, ersatz de café sans sucre, 400 grammes de pain) sera notre ration de ce jour. Nous prierons pour nous souvenir de toutes les victimes du nazisme.
P12345- Avec Saint Joseph
- Messages : 1404
Age : 57
Localisation : Vers mon port d'attache
Inscription : 05/02/2014
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
je déplore qu'on ne parle jamais des millions de morts du communisme , c'est un sujet tabou ...pourtant
Staline ,des millions
Mao ,Pol pot ,des millions
et les nombreux petits chefs cruels ......
ils avaient aussi leur camp ,avec tortures et exécutions ...
Staline ,des millions
Mao ,Pol pot ,des millions
et les nombreux petits chefs cruels ......
ils avaient aussi leur camp ,avec tortures et exécutions ...
BENEDICTE 2- Aime la Divine Volonté
- Messages : 889
Localisation : france
Inscription : 25/11/2013
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
Publication: 26/01/2015 14h22 CET
VIDÉOS. Avant la libération d'Auschwitz en 1945, la "marche de la mort"
Le 27 janvier 1945, les troupes soviétiques libéraient le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau en Pologne. Alors que survivants et chefs d'Etat commémorent cette date 70 ans plus tard, avec des cérémonies organisées mardi à l'intérieur du camp, il est intéressant de revenir sur une autre journée marquante de cette fin de guerre.
Le 18 janvier 1945, alors que les alliés se rapprochent à grands pas, les SS décident à la hâte d'évacuer le camp. C'est alors le début de ce qui sera appelé plus tard la "marche de la mort". 60.000 déportés encore en vie furent contraints à ce départ d'Auschwitz en plusieurs convois vers d'autres camps de concentration plus à l'ouest tel que Buchenwald, distant d'une soixantaine de kilomètres. Si la plupart des déportés effectuaient le chemin à pied, d'autres ont fait tout ou partie du trajet en train dans des wagons ouverts où beaucoup mouraient de froid.
Parmi les quelque 300 survivants français encore en vie, certains ont témoigné, racontant ces marches qui ressemblaient à tout sauf à un retour à la liberté après plusieurs semaines ou mois enfermé derrière les barbelés d'Auschwitz. Ils racontent ainsi le froid de l'hiver polonais, la faim, la soif, les maladies, les nazis qui tuaient en cours de route les plus faibles qui n'arrivaient pas à suivre la cadence...
Simone Veil a fait partie d'un convoi de 2000 personnes, dont seulement la moitié arriva à destination à Gliwice, non loin du camp de Buchenwald. Elle a témoigné en 1995 sur France2:
"Un certain nombre ont été exécutés. D'autres, dès qu'ils tombaient, mouraient de froid. Je crois qu'il y a eu encore beaucoup plus de gens qui sont morts dans les wagons, les wagons ouverts dans lesquels nous avons circulé durant plusieurs jours, sans avoir pour la plupart ni à manger ni à boire sauf la neige, (...) quand les SS d'ailleurs voulaient bien nous donner de la neige dans les gamelles que nous avions".
"Dans cette marche, alors que beaucoup étaient déjà épuisés (...), il y a eu un instinct de survie qui est quelque chose d'absolument extraordinaire tout de même (...)".
Le cortège, ce "gigantesque mollusque"
Deux autres rescapés d'Auschwitz, Sarah Montard et Jacques Altmann, qui avaient à l'époque 16 et 20 ans, prirent part aux marches de la mort. Dans un reportage de France Télévisions (voir la vidéo ci-dessous), la première explique qu'elle a pu survivre grâce à la présence de sa mère encore vivante à ses côtés, alors qu'elles étaient toutes deux malades du typhus; le second raconte qu'en arrivant à Buchenwald, craignant de se voir dirigé vers le crématoire du camp, il a choisi de se cacher sous une montagne de cadavres dans laquelle il est resté pendant deux jours.
D'autres témoignages sur les marches de la mort au départ d'Auschwitz ont été publiés sur Internet. Un déporté juif, Silvain Kahn, aujourd'hui décédé, raconte "les Allemands (qui) nous faisaient avancer à coup de 'gummi', une espèce de bâton flexible qui faisait affreusement mal. Ils tiraient sur les traînards sans hésiter si bien que notre marche forcée était jalonnée de cadavres."
Serge Smulevic, déporté en 1943, a lui livré un témoignage par écrit, comparant le cortège de sa marche à un "gigantesque mollusque". En voici quelques extraits:
"Imagine-toi, vu du ciel, un gigantesque mollusque sortant de Monowitz (Auschwitz III) le 18 janvier 1945, et mesurant environ six mètres de large sur près de mille cinq cents mètres de long.
Il fait très froid et une neige très fine tombe depuis des heures.
Il règne un silence mystérieux et angoissant.
Le mollusque commence à ondoyer le long de la route, au fil des kilomètres et avance de plus en plus lentement.
L’énorme mollusque va de moins en moins vite, et les anneaux se détachent de plus en plus nombreux.
Puis le mollusque arrive enfin à destination, et s’écroule épuisé par sa longue reptation.
Le lendemain, ce qui reste du mollusque est embarqué dans les wagons découverts d’un train qui prend son départ, sous une neige de plus en plus abondante."
VIDÉOS. Avant la libération d'Auschwitz en 1945, la "marche de la mort"
Le 27 janvier 1945, les troupes soviétiques libéraient le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau en Pologne. Alors que survivants et chefs d'Etat commémorent cette date 70 ans plus tard, avec des cérémonies organisées mardi à l'intérieur du camp, il est intéressant de revenir sur une autre journée marquante de cette fin de guerre.
Le 18 janvier 1945, alors que les alliés se rapprochent à grands pas, les SS décident à la hâte d'évacuer le camp. C'est alors le début de ce qui sera appelé plus tard la "marche de la mort". 60.000 déportés encore en vie furent contraints à ce départ d'Auschwitz en plusieurs convois vers d'autres camps de concentration plus à l'ouest tel que Buchenwald, distant d'une soixantaine de kilomètres. Si la plupart des déportés effectuaient le chemin à pied, d'autres ont fait tout ou partie du trajet en train dans des wagons ouverts où beaucoup mouraient de froid.
Parmi les quelque 300 survivants français encore en vie, certains ont témoigné, racontant ces marches qui ressemblaient à tout sauf à un retour à la liberté après plusieurs semaines ou mois enfermé derrière les barbelés d'Auschwitz. Ils racontent ainsi le froid de l'hiver polonais, la faim, la soif, les maladies, les nazis qui tuaient en cours de route les plus faibles qui n'arrivaient pas à suivre la cadence...
Simone Veil a fait partie d'un convoi de 2000 personnes, dont seulement la moitié arriva à destination à Gliwice, non loin du camp de Buchenwald. Elle a témoigné en 1995 sur France2:
"Un certain nombre ont été exécutés. D'autres, dès qu'ils tombaient, mouraient de froid. Je crois qu'il y a eu encore beaucoup plus de gens qui sont morts dans les wagons, les wagons ouverts dans lesquels nous avons circulé durant plusieurs jours, sans avoir pour la plupart ni à manger ni à boire sauf la neige, (...) quand les SS d'ailleurs voulaient bien nous donner de la neige dans les gamelles que nous avions".
"Dans cette marche, alors que beaucoup étaient déjà épuisés (...), il y a eu un instinct de survie qui est quelque chose d'absolument extraordinaire tout de même (...)".
Le cortège, ce "gigantesque mollusque"
Deux autres rescapés d'Auschwitz, Sarah Montard et Jacques Altmann, qui avaient à l'époque 16 et 20 ans, prirent part aux marches de la mort. Dans un reportage de France Télévisions (voir la vidéo ci-dessous), la première explique qu'elle a pu survivre grâce à la présence de sa mère encore vivante à ses côtés, alors qu'elles étaient toutes deux malades du typhus; le second raconte qu'en arrivant à Buchenwald, craignant de se voir dirigé vers le crématoire du camp, il a choisi de se cacher sous une montagne de cadavres dans laquelle il est resté pendant deux jours.
D'autres témoignages sur les marches de la mort au départ d'Auschwitz ont été publiés sur Internet. Un déporté juif, Silvain Kahn, aujourd'hui décédé, raconte "les Allemands (qui) nous faisaient avancer à coup de 'gummi', une espèce de bâton flexible qui faisait affreusement mal. Ils tiraient sur les traînards sans hésiter si bien que notre marche forcée était jalonnée de cadavres."
Serge Smulevic, déporté en 1943, a lui livré un témoignage par écrit, comparant le cortège de sa marche à un "gigantesque mollusque". En voici quelques extraits:
"Imagine-toi, vu du ciel, un gigantesque mollusque sortant de Monowitz (Auschwitz III) le 18 janvier 1945, et mesurant environ six mètres de large sur près de mille cinq cents mètres de long.
Il fait très froid et une neige très fine tombe depuis des heures.
Il règne un silence mystérieux et angoissant.
Le mollusque commence à ondoyer le long de la route, au fil des kilomètres et avance de plus en plus lentement.
L’énorme mollusque va de moins en moins vite, et les anneaux se détachent de plus en plus nombreux.
Puis le mollusque arrive enfin à destination, et s’écroule épuisé par sa longue reptation.
Le lendemain, ce qui reste du mollusque est embarqué dans les wagons découverts d’un train qui prend son départ, sous une neige de plus en plus abondante."
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
spiri a écrit:Je suis d'accord que la shoa fut un crime épouvantable, mais serait-ce les suites du refus des juifs
de ne pas croire en jésus ......parce qu'un jour ils vont se convertir,
ne pas croire en jésus c'est refuser la rédemption et lorsqu'on refuse dieu on en paye le prix
toutes les épreuves sont de nature à nous faire avancer.....? c'est le prix d'une humanité corrompue qui s'en est pris à la foi, celle de l'ancien testament
D'abord beaucoup de juifs se sont convertis
Ensuite,c'est la haine qui a tué le Christ, ce sont nos péchés, nous sommes tous responsables de sa mort,nous pouvons aller à la messe tous les dimanches et nous croire un peuple de bapitisés sauvés,nous ne sommes pas meilleurs que les autres
Ce que ces pauvres gens ont subi,ces pauvres jeunes et ces pauvres enfants n'est pas la conséquence de ce que les juifs ont refusé le Christ
C'est le diable qui passe à travers des fous furieux avides de pouvoir,des malades!!!
Les chrétiens sont massacrés de partout dans le monde! Et eux Refusent ils le Christ?!
Vous dites lorsque l'on refuse Dieu on en paye le prix?
Dieu n'a certainement pas voulu cet holocauste!
Il y a des personnes très croyantes,très pieuses à qui il leur arrive épreuves sur épreuves!
Quand à ceux qui refusent Dieu,il faut prier pour eux,ils ne sont pas plus mauvais que nous,DIEU seul voit les coeurs
Par contre une chose me réconforte,c'est de savoir que ce fou d'hitler subit la justice divine!!!!
Marie Rose- En adoration
- Messages : 2720
Localisation : bouches du rhône
Inscription : 07/01/2013
A Auschwitz-Birkenau, commémoration dans la neige et le froid
Ils seront trois cents, rassemblés à l'entrée du camp de la mort. Trois cents survivants ont été invités, mardi 27 janvier, à commémorer les 70 ans de la découverte du camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau par l'armée rouge, en compagnie d'une trentaine de chefs d'Etat et de gouvernement.
Un immense chapiteau blanc a été dressé à l'entrée du site. A l'intérieur, les chaises noires font face au tristement célèbre mirador qui surveillait la voie ferrée d'accès aux chambres à gaz, située à 700 mètres, entre les rangées de baraques. Ici, plus de 1,1 million de personnes ont été exterminées par les nazis, dont un million de juifs.
« C'EST LEUR VOIX QUI PORTE LA MISE EN GARDE »
Les cérémonies doivent commencer vers 15 h 30 dans cette région du Sud de la Pologne balayée par la bise et la neige. Les survivants de différents pays, dont une centaine venue d'Israël, écouteront quelques brefs discours, dont celui du président polonais, Bronislaw Komorowski, et le témoignage de trois rescapés venus de Pologne, d'Israël et des Etats-Unis.
« C'est leur voix qui porte la mise en garde contre notre capacité de pratiquer l'humiliation, la haine et le génocide », explique Piotr Cywinski, le directeur du Musée national d'Auschwitz-Birkenau. « Bientôt, ce sera à nous, les générations de l'après-guerre, de transmettre le leg que nous font les survivants ». Le réalisateur Steven Spielberg présentera un documentaire préparé pour l'occasion, peut-être la dernière fois qu'autant de rescapés sont en mesure d'être là pour se souvenir, et témoigner. Des prières ponctueront l'hommage.
Bougies en main, survivants et officiels partiront ensuite en procession vers le monument aux victimes, installé près des restes des chambres à gaz et des fours crématoire détruits par les nazis avant d'abandonner les lieux. Trois représentants de survivants ouvriront la marche, accompagnés de jeunes.
Lire sur Big Browser : Dans les camps, le dessin comme témoin
POUTINE ABSENT
Chefs d'Etat et de gouvernement suivront. Il est prévu que François Hollande, attendu en compagnie de deux rescapés français, dépose une bougie au niveau de la plaque dédiée aux victimes françaises. Le tout en présence du président allemand, Joaquim Gauck. Le mémorial est situé au-delà des quais où les déportés descendaient des trains. Les uns, surtout les femmes et les enfants, pour être directement gazés, puis incinérés. Les autres, pour rejoindre les baraquements alignés par dizaines sur le site.
Les cérémonies surviennent à un moment particulier en Europe. En France, les attentats de Paris ont rappelé que la violence antisémite continue de menacer la communauté juive. Avant son déplacement en Pologne, François Hollande, a exhorté les juifs de France à ne pas quitter leur pays pour Israël : « la France est votre patrie », a insisté le chef de l'Etat.
Le continent est par ailleurs plongé dans une ambiance de néo-guerre froide, en raison de la crise avec la Russie au sujet de l'Ukraine. Le président russe, Vladimir Poutine, a décidé de ne pas venir aux commémorations, en prétextant ne pas y avoir pas été invité. Depuis Moscou, où il participait à une cérémonie au musée du judaïsme il a qualifié d'« inacceptable » toute « tentative de réécrire l'Histoire ». « Souvent, derrière ces tentatives il y a le désir de cacher sa propre honte, la honte de sa lâcheté, hypocrisie et trahison, de cacher sa complicité tacite, passive ou active avec les nazis », a ajouté M. Poutine.
[img][/img]
Source: Le Monde
Tibelle07- En adoration
- Messages : 2771
Age : 25
Localisation : France
Inscription : 05/04/2014
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
Marie Rose a écrit:spiri a écrit:Je suis d'accord que la shoa fut un crime épouvantable, mais serait-ce les suites du refus des juifs
de ne pas croire en jésus ......parce qu'un jour ils vont se convertir,
ne pas croire en jésus c'est refuser la rédemption et lorsqu'on refuse dieu on en paye le prix
toutes les épreuves sont de nature à nous faire avancer.....? c'est le prix d'une humanité corrompue qui s'en est pris à la foi, celle de l'ancien testament
D'abord beaucoup de juifs se sont convertis
Ensuite,c'est la haine qui a tué le Christ, ce sont nos péchés, nous sommes tous responsables de sa mort,nous pouvons aller à la messe tous les dimanches et nous croire un peuple de bapitisés sauvés,nous ne sommes pas meilleurs que les autres
Ce que ces pauvres gens ont subi,ces pauvres jeunes et ces pauvres enfants n'est pas la conséquence de ce que les juifs ont refusé le Christ
C'est le diable qui passe à travers des fous furieux avides de pouvoir,des malades!!!
Les chrétiens sont massacrés de partout dans le monde! Et eux Refusent ils le Christ?!
Vous dites lorsque l'on refuse Dieu on en paye le prix?
Dieu n'a certainement pas voulu cet holocauste!
Il y a des personnes très croyantes,très pieuses à qui il leur arrive épreuves sur épreuves!
Quand à ceux qui refusent Dieu,il faut prier pour eux,ils ne sont pas plus mauvais que nous,DIEU seul voit les coeurs
Par contre une chose me réconforte,c'est de savoir que ce fou d'hitler subit la justice divine!!!!
Tout à fait d'accord @Marie-Rose...
... sauf pour la dernière phrase:
Marie-Rose a écrit:Par contre une chose me réconforte,c'est de savoir que ce fou d'hitler subit la justice divine!!!!
Il ne faut jamais souhaiter de mal à qui que ce soit, ni se réjouir de la ruine d'une âme, même s'il s'agit du pire des criminels.
Proverbe 24
17 Si ton ennemi tombe, ne te réjouis pas, et que ton coeur ne se réjouisse pas de sa ruine,
18 de peur que Yahweh ne le voie, que cela soit mauvais à ses yeux, et qu'il ne détourne de lui sa colère.
@Spiri:
Spiri a écrit:Je suis d'accord que la shoa fut un crime épouvantable
Spiri a écrit:toutes les épreuves sont de nature à nous faire avancer.....?
Dieu permet certaines choses; il les permet sans doute pour que nous progressions ou pour que nous nous fortifions dans notre foi. Ou pour d'autres raisons, qui lui sont propres. Mais il n'en est pas pour autant l'auteur!
Dieu permet parfois l'épreuve, il laisse faire... avec des limites toutefois:
1 Corinthiens 10
13 Aucune tentation ne vous est survenue, qui n'ait été humaine; et Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tentés au delà de vos forces; mais, avec la tentation, il ménagera aussi une heureuse issue en vous donnant le pouvoir de la supporter.
Dieu n'est cependant pas l'auteur de la tentation et la colère de l'homme ne fait pas la justice de Dieu:
Jacques
12 Heureux l'homme qui supportera l'épreuve! Devenu un homme éprouvé, il recevra la couronne de vie que Dieu a promise à ceux qui l'aiment.
13 Que nul, lorsqu'il est tenté, ne dise: " C'est Dieu qui me tente "; car Dieu ne saurait être tenté de mal, et lui-même ne tente personne.
14 Mais chacun est tenté par sa propre convoitise, qui l'amorce et l'entraîne.
15 Ensuite la convoitise, lorsqu'elle a conçu, enfante le péché, et le péché, lorsqu'il est consommé, engendre la mort.
16 Ne vous abusez pas, mes frères bien-aimés.
17 Tout don excellent, toute grâce parfaite, descend d'en haut, du Père des lumières, en qui n'existe aucune vicissitude, ni ombre de changement.
18 De sa propre volonté, il nous a engendrés par la parole de la vérité, afin que nous soyons comme les prémices de ses créatures.
19 Mes frères bien-aimés, vous le savez, que l'homme soit prompt à écouter, lent à parler, lent à se mettre en colère.
20 Car la colère de l'homme n'opère point la justice de Dieu.
21 C'est pourquoi, rejetant toute souillure et toute excroissance de méchanceté, recevez avec douceur la parole qui a été entée en vous, et qui peut sauver vos âmes.
En d'autres termes, ceux qui sont tentés de céder à la méchanceté et de faire du mal à leur prochain ne sont pas tentés par Dieu et ne font pas la justice de Dieu en agissant ainsi.
Enfin:
La foi est parfois éprouvée par le feu; il faut tenir bon:
1 Pierre 1
6 Dans cette pensée, vous tressaillez de joie, bien qu'il vous faille encore pour un peu de temps être affligés par diverses épreuves,
7 afin que l'épreuve de votre foi beaucoup plus précieuse que l'or périssable que l'on ne laisse pourtant pas d'éprouver par le feu, vous soit un sujet de louange, de gloire et d'honneur lorsque se manifestera Jésus-Christ.
Amitiés
Dernière édition par tous artisans de paix le Mer 28 Jan 2015 - 9:57, édité 6 fois
tous artisans de paix- Enfant de Dieu
- Messages : 3430
Inscription : 17/06/2014
Re: Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des nazis
tous artisans de paix a écrit:
... sauf pour la dernière phrase:
@Marie-Rose a écrit:
Par contre une chose me réconforte,c'est de savoir que ce fou d'hitler subit la justice divine!!!!
Il ne faut jamais souhaiter de mal à qui que ce soit, ni se réjouir de la ruine d'une âme, même s'il s'agit du pire des criminels.
Bien sur entièrement d'accord,hier j'étais dans un tel état imaginant ce que ces pauvres innocents avaient subi!Et ces images!!!! Il faut espérer qu'il reste tjs une étincelle divine sur le point de refaire surface dans le coeur des pires criminelles
Marie Rose- En adoration
- Messages : 2720
Localisation : bouches du rhône
Inscription : 07/01/2013
Page 8 sur 16 • 1 ... 5 ... 7, 8, 9 ... 12 ... 16
Sujets similaires
» Un fil de discussion en mémoire des millions de victimes des EtatsUnis
» Un fil de discussion en mémoire des victimes en Palestine
» Un fil de discussion en mémoire du génocide arménien chrétien
» Un fil de discussion en mémoire de toutes les personnes âgées tuées dans les EPHAD et à l'hopital
» a la mémoire de 6 millions de juifs morts dans les camps
» Un fil de discussion en mémoire des victimes en Palestine
» Un fil de discussion en mémoire du génocide arménien chrétien
» Un fil de discussion en mémoire de toutes les personnes âgées tuées dans les EPHAD et à l'hopital
» a la mémoire de 6 millions de juifs morts dans les camps
Page 8 sur 16
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum