Recueil d'Apparitions de Jésus aux Saints et aux Mystiques
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Re: Recueil d'Apparitions de Jésus aux Saints et aux Mystiques
V. Pratique de l'humilité
31. L'humilité vient par l'amour
« Aime-moi bien, dit
Notre-Seigneur à Anne-Marguerite Clément ; plus on m'aime, plus on est
humble. » (Vie, 1915, p. 486.)
31. L'humilité vient par l'amour
« Aime-moi bien, dit
Notre-Seigneur à Anne-Marguerite Clément ; plus on m'aime, plus on est
humble. » (Vie, 1915, p. 486.)
Re: Recueil d'Apparitions de Jésus aux Saints et aux Mystiques
32. Quelle est la vraie humilité et la vraie
charité ?
« Celui qui m'offrira un
cœur humble, patient et charitable, dit le Seigneur à sainte Mecthilde, me fera
un présent tout à fait agréable. » Et quel est le cœur si humble qui
puisse ainsi vous plaire ? répondit la sainte. Le Seigneur reprit: « Celui qui
est joyeux d‘être méprisé, que les peines et toutes les épreuves rendent
heureux, qui se réjouit de pouvoir ajouter quelque chose à ma passion et à mes
humiliations et d'avoir quelque chose à me sacrifier, voilà celui qui est
patient et humble de cœur. De même, celui qui se réjouit du bien qui arrive à
ses frères et s'affIige de leurs disgrâces comme si elles étaient les siennes,
celui-la m'offre un cœur vraiment charitable. » (1re part, ch.
11.)
charité ?
« Celui qui m'offrira un
cœur humble, patient et charitable, dit le Seigneur à sainte Mecthilde, me fera
un présent tout à fait agréable. » Et quel est le cœur si humble qui
puisse ainsi vous plaire ? répondit la sainte. Le Seigneur reprit: « Celui qui
est joyeux d‘être méprisé, que les peines et toutes les épreuves rendent
heureux, qui se réjouit de pouvoir ajouter quelque chose à ma passion et à mes
humiliations et d'avoir quelque chose à me sacrifier, voilà celui qui est
patient et humble de cœur. De même, celui qui se réjouit du bien qui arrive à
ses frères et s'affIige de leurs disgrâces comme si elles étaient les siennes,
celui-la m'offre un cœur vraiment charitable. » (1re part, ch.
11.)
Re: Recueil d'Apparitions de Jésus aux Saints et aux Mystiques
33. Penser que de soi on n'est rien
Je me plaignais une fois à
Notre-Seigneur, raconte la bienheureuse Anne de Saint‑Barthélemy, de ce qu'Il
souffrait qu'on mît sur mes épaules une charge si importante, puisque de
moi-même j'étais si peu de chose, moins que de la paille. Il me répondit :
« Je me sers de la paille pour allumer le feu. » (Vie, ch. 27.)
Je me plaignais une fois à
Notre-Seigneur, raconte la bienheureuse Anne de Saint‑Barthélemy, de ce qu'Il
souffrait qu'on mît sur mes épaules une charge si importante, puisque de
moi-même j'étais si peu de chose, moins que de la paille. Il me répondit :
« Je me sers de la paille pour allumer le feu. » (Vie, ch. 27.)
Re: Recueil d'Apparitions de Jésus aux Saints et aux Mystiques
34. Chercher les humiliations et accepter celles
que la Providence ménage
Jésus m'a dit, raconte Gertrude-Marie :
« Demande à ton directeur de t'humilier, de te dire tes défauts et tout ce
qu'il y a de mauvais en toi. Par ces humiliations tu arracheras de mon Cœur
toutes ces épines que tu y as mises par ton orgueil. » (17 mars 1907.)
Le Sauveur dit à
Marie-Céleste : « Souvent je cherche à délivrer les âmes séduites par l'amour
d'elles-mêmes en leur envoyant des humiliations, ou en permettant qu‘il leur en
vienne de la part du prochain. Hélas ! au lieu d'en profiter, elles changent ce
remède en poison, et, comme le serpent, tournent la queue de leur amour-propre
contre moi ou contre le prochain qui les humilie. Au lieu de se résigner à ma
volonté, elles prennent tout en mal, commettent mille imperfections et
conçoivent de l'aversion pour le prochain. Leur charité se refroidit et il en
résulte encore d'autres maux. » (Vie,
p. 390.)
Jésus fit la même plainte à
Benigna : « Quand je donne des consolations, les âmes croient facilement à
mon amour. Mais quand je leur offre des occasions d'humiliations, alors, même
les âmes religieuses me ferment facilement la porte au visage, ou si elles
l'ouvrent, c'est à peine pour entendre... puis, finalement, elles la Ierment
entièrement. Ma Benigna, si seulement il m'était donné de trouver une âme qui
réponde à mon désir, que n'en ferais-je pas ? » (Vie, 8 mai 1916, p. 399.)
« Quand une âme, lui dit-Il
encore, reçoit bien les humiliations, je donne à cette âme un nouveau trait de
ressemblance avec moi. En disant tes coulpes, choisis toujours celles qui
t'humilient le plus, sois bonne économe pour le Paradis.
Ma Benigna, la pureté de
l'amour consiste dans la pureté du sacrifice, et il n'y a pas de sacrifice qui
me plaise autant que celui de l'estime et de l'honneur, de la réputation, car
là est la vie morale de l'homme. Quand une âme en est arrivée à ce point
d'aimer le mépris pour donner plus de gloire à Dieu, je la regarde avec un
regard tel que, si l'âme pouvait le voir, elle en mourrait de joie... Mais on
craint le mépris comme on craindrait un monstre. Pourquoi tant d'âmes
n'arrivent-elles pas au sommet de la perfection ? parce qu'elles ont peur du
mépris... Un avertissement bien reçu peut en cinq minutes, ou le temps qu'il
dure, faire arriver une âme dans mon intimité, là où elle n'arriverait qu'après
deux ou trois années de vie ordinaire... Plus une âme tend à l'humilité, plus
elle s'approche de moi. » (p. 62, 63, 64.)
que la Providence ménage
Jésus m'a dit, raconte Gertrude-Marie :
« Demande à ton directeur de t'humilier, de te dire tes défauts et tout ce
qu'il y a de mauvais en toi. Par ces humiliations tu arracheras de mon Cœur
toutes ces épines que tu y as mises par ton orgueil. » (17 mars 1907.)
Le Sauveur dit à
Marie-Céleste : « Souvent je cherche à délivrer les âmes séduites par l'amour
d'elles-mêmes en leur envoyant des humiliations, ou en permettant qu‘il leur en
vienne de la part du prochain. Hélas ! au lieu d'en profiter, elles changent ce
remède en poison, et, comme le serpent, tournent la queue de leur amour-propre
contre moi ou contre le prochain qui les humilie. Au lieu de se résigner à ma
volonté, elles prennent tout en mal, commettent mille imperfections et
conçoivent de l'aversion pour le prochain. Leur charité se refroidit et il en
résulte encore d'autres maux. » (Vie,
p. 390.)
Jésus fit la même plainte à
Benigna : « Quand je donne des consolations, les âmes croient facilement à
mon amour. Mais quand je leur offre des occasions d'humiliations, alors, même
les âmes religieuses me ferment facilement la porte au visage, ou si elles
l'ouvrent, c'est à peine pour entendre... puis, finalement, elles la Ierment
entièrement. Ma Benigna, si seulement il m'était donné de trouver une âme qui
réponde à mon désir, que n'en ferais-je pas ? » (Vie, 8 mai 1916, p. 399.)
« Quand une âme, lui dit-Il
encore, reçoit bien les humiliations, je donne à cette âme un nouveau trait de
ressemblance avec moi. En disant tes coulpes, choisis toujours celles qui
t'humilient le plus, sois bonne économe pour le Paradis.
Ma Benigna, la pureté de
l'amour consiste dans la pureté du sacrifice, et il n'y a pas de sacrifice qui
me plaise autant que celui de l'estime et de l'honneur, de la réputation, car
là est la vie morale de l'homme. Quand une âme en est arrivée à ce point
d'aimer le mépris pour donner plus de gloire à Dieu, je la regarde avec un
regard tel que, si l'âme pouvait le voir, elle en mourrait de joie... Mais on
craint le mépris comme on craindrait un monstre. Pourquoi tant d'âmes
n'arrivent-elles pas au sommet de la perfection ? parce qu'elles ont peur du
mépris... Un avertissement bien reçu peut en cinq minutes, ou le temps qu'il
dure, faire arriver une âme dans mon intimité, là où elle n'arriverait qu'après
deux ou trois années de vie ordinaire... Plus une âme tend à l'humilité, plus
elle s'approche de moi. » (p. 62, 63, 64.)
Re: Recueil d'Apparitions de Jésus aux Saints et aux Mystiques
35. Ne pas s'enorgueillir des faveurs divines,
elles sont souvent données aux plus faibles
Comme je craignais la vaine
gloire, dit sainte Gertrude au Seigneur, votre tendresse paternelle m'a donné
cette leçon : je devais regarder votre disposition envers moi, comme il en
serait d'un père de famille qui aurait la joie de se voir entouré de nombreux
et beaux enfants, aux ordres desquels s'empresserait une foule nombreuse de
serviteurs et de voisins ; cependant, il y en aurait parmi eux un plus jeune,
qui ne serait pas encore parvenu à l'élégance des autres et que le père, ému
d'une compassion vraiment paternelle, prendrait souvent entre ses bras, lui
prodiguant plus qu'aux autres caresses et petits présents. Puis, vous avez
ajouté que, si j'avais cette conviction bien arrêtée que je suis plus
imparfaite que les autres, le torrent de vos douceurs célestes ne cesserait
jamais de couler dans mon âme. (Liv. 2, ch. 18.)
elles sont souvent données aux plus faibles
Comme je craignais la vaine
gloire, dit sainte Gertrude au Seigneur, votre tendresse paternelle m'a donné
cette leçon : je devais regarder votre disposition envers moi, comme il en
serait d'un père de famille qui aurait la joie de se voir entouré de nombreux
et beaux enfants, aux ordres desquels s'empresserait une foule nombreuse de
serviteurs et de voisins ; cependant, il y en aurait parmi eux un plus jeune,
qui ne serait pas encore parvenu à l'élégance des autres et que le père, ému
d'une compassion vraiment paternelle, prendrait souvent entre ses bras, lui
prodiguant plus qu'aux autres caresses et petits présents. Puis, vous avez
ajouté que, si j'avais cette conviction bien arrêtée que je suis plus
imparfaite que les autres, le torrent de vos douceurs célestes ne cesserait
jamais de couler dans mon âme. (Liv. 2, ch. 18.)
Re: Recueil d'Apparitions de Jésus aux Saints et aux Mystiques
36. Garder l'humilité dans la ferveur sensible
Le divin Maître donna à
Anna-Maria Taïgi cette instruction : « Les âmes doivent s'humilier et ne
pas être trop confiantes quand elles sont dans la ferveur ; car l'âme qui se
trouve en cet état s'empresse bien vite de faire des promesses, puis quand la
froideur arrive, elle devient timide, peureuse et ne va plus en avant. Toute
âme qui commence doit parler ainsi : Ô mon Dieu, vous qui êtes grand, qui êtes
tout-puissant, faites de votre serviteur ce qui vous convient, pourvu qu'il
accomplisse votre volonté. Je veux souffrir ce que vous voulez que je souffre,
mais rappelez-vous que je ne suis bon à rien. Les âmes doivent se souvenir que
Pierre, mon bien-aimé, fit sa promesse dans un moment de grande ferveur, et,
quand le moment de l'épreuve fut venue, il oublia mon amour. Rappelle-toi ce
que je t'ai dit : les hommes sont comme la girouette ; si ma grâce ne les
retenait, ils tourneraient à tous les vents. » (Vie, par Mgr Luquet, ch. 3.)
Le divin Maître donna à
Anna-Maria Taïgi cette instruction : « Les âmes doivent s'humilier et ne
pas être trop confiantes quand elles sont dans la ferveur ; car l'âme qui se
trouve en cet état s'empresse bien vite de faire des promesses, puis quand la
froideur arrive, elle devient timide, peureuse et ne va plus en avant. Toute
âme qui commence doit parler ainsi : Ô mon Dieu, vous qui êtes grand, qui êtes
tout-puissant, faites de votre serviteur ce qui vous convient, pourvu qu'il
accomplisse votre volonté. Je veux souffrir ce que vous voulez que je souffre,
mais rappelez-vous que je ne suis bon à rien. Les âmes doivent se souvenir que
Pierre, mon bien-aimé, fit sa promesse dans un moment de grande ferveur, et,
quand le moment de l'épreuve fut venue, il oublia mon amour. Rappelle-toi ce
que je t'ai dit : les hommes sont comme la girouette ; si ma grâce ne les
retenait, ils tourneraient à tous les vents. » (Vie, par Mgr Luquet, ch. 3.)
Re: Recueil d'Apparitions de Jésus aux Saints et aux Mystiques
37. Les vrais amis de Dieu s'humilient et de
leurs défauts et des faveurs qu'ils reçoivent
Sainte Gertrude, ayant
quelque peu cédé à une tristesse déréglée et à un mouvement d'impatience, en
fut vivement peinée ; à la vue du grand nombre et de la gravité des défauts
qu'elle découvrait en elle, elle se sentait tout abattue et comme découragée.
Alors le Seigneur lui dit : « Pourquoi donc te défier de toi-même comme si
tu n'avais pas la charité, puisque les faveurs dont tu es comblée sont une
preuve que tu la possèdes ? Et pourquoi parler d'une manière désespérée de tes
péchés, quand, au témoignage de l'Écriture, la charité couvre la multitude des
péchés ; puisque tu ne préfères pas ta volonté à la mienne, quoiqu'en la
suivant, tu pourrais vivre commodément, honnêtement, possédant la faveur du
monde et le renom de sainteté ? Et le Seigneur lui expliqua pourquoi Il avait
permis qu'elle ressentît ces angoisses : « Dans la grandeur de mon amour,
je restreins toujours pour mes élus par le remords de la conscience les
commodités de ce monde, afin qu'ils aient plus de facilité à les
mépriser. » (Liv. 3, ch. 4.) Une autre fois, Il lui dit : « Souvent
mes dons ne servent qu'à t'humilier; en effet, tu t'en juges si indigne qu'il
te semble que tu les reçois comme un mercenaire que l'on paie pour s'en faire
servir, et il te paraît que sans ce don même tu n'aurais pour moi aucune
fidélité. Aussi, pour cela tu te préfères les autres, qui, sans être engagés
par de semblables faveurs, se montrent néanmoins fidèles à moi en toutes
circonstances. » (Liv. 3, ch. 9.)
leurs défauts et des faveurs qu'ils reçoivent
Sainte Gertrude, ayant
quelque peu cédé à une tristesse déréglée et à un mouvement d'impatience, en
fut vivement peinée ; à la vue du grand nombre et de la gravité des défauts
qu'elle découvrait en elle, elle se sentait tout abattue et comme découragée.
Alors le Seigneur lui dit : « Pourquoi donc te défier de toi-même comme si
tu n'avais pas la charité, puisque les faveurs dont tu es comblée sont une
preuve que tu la possèdes ? Et pourquoi parler d'une manière désespérée de tes
péchés, quand, au témoignage de l'Écriture, la charité couvre la multitude des
péchés ; puisque tu ne préfères pas ta volonté à la mienne, quoiqu'en la
suivant, tu pourrais vivre commodément, honnêtement, possédant la faveur du
monde et le renom de sainteté ? Et le Seigneur lui expliqua pourquoi Il avait
permis qu'elle ressentît ces angoisses : « Dans la grandeur de mon amour,
je restreins toujours pour mes élus par le remords de la conscience les
commodités de ce monde, afin qu'ils aient plus de facilité à les
mépriser. » (Liv. 3, ch. 4.) Une autre fois, Il lui dit : « Souvent
mes dons ne servent qu'à t'humilier; en effet, tu t'en juges si indigne qu'il
te semble que tu les reçois comme un mercenaire que l'on paie pour s'en faire
servir, et il te paraît que sans ce don même tu n'aurais pour moi aucune
fidélité. Aussi, pour cela tu te préfères les autres, qui, sans être engagés
par de semblables faveurs, se montrent néanmoins fidèles à moi en toutes
circonstances. » (Liv. 3, ch. 9.)
Re: Recueil d'Apparitions de Jésus aux Saints et aux Mystiques
38. L'âme humble ne se désole pas des faveurs
dont elle est l'objet
Notre-Seigneur, raconte
sainte Thérèse, m'enseigna lui-même la vérité que voici : « Si j'étais
fermement convaincue qu'aucun bien ne venait de moi, que tout était de Dieu, je
ne me désolerais pas qu'Il fît éclater en moi ses merveilles, pas plus que je
ne me désolais d'entendre louer les autres. » (Vie, ch. 31.)
dont elle est l'objet
Notre-Seigneur, raconte
sainte Thérèse, m'enseigna lui-même la vérité que voici : « Si j'étais
fermement convaincue qu'aucun bien ne venait de moi, que tout était de Dieu, je
ne me désolerais pas qu'Il fît éclater en moi ses merveilles, pas plus que je
ne me désolais d'entendre louer les autres. » (Vie, ch. 31.)
Re: Recueil d'Apparitions de Jésus aux Saints et aux Mystiques
39. Les parures mondaines déplaisent à Dieu
Esprite de Jésus entendit
cette parole : « Si tu veux t'élever, ce désir ne servira qu'à te
précipiter. » (Vie, ch. 5.) Afin
d'obéir à sa mère, qui la pressait de se parer comme les jeunes filles de son
âge, Esprite avait pris quelques vêtements mondains pour aller avec sa mère à
l'église. Elle crut entendre au-dedans d'elle-même une voix qui lui criait : «
Où vas-tu ? Oses-tu paraître devant ton Dieu dans cet état ? » (Ibid, ch.
3.)
Esprite de Jésus entendit
cette parole : « Si tu veux t'élever, ce désir ne servira qu'à te
précipiter. » (Vie, ch. 5.) Afin
d'obéir à sa mère, qui la pressait de se parer comme les jeunes filles de son
âge, Esprite avait pris quelques vêtements mondains pour aller avec sa mère à
l'église. Elle crut entendre au-dedans d'elle-même une voix qui lui criait : «
Où vas-tu ? Oses-tu paraître devant ton Dieu dans cet état ? » (Ibid, ch.
3.)
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