SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Le règne de la famille Assad, touche à sa fin en Syrie. La guerre civile prend place, et Israël ressent en danger imminent au bord de la frontière, au Golan. Ehud Barak laisse entendre, qu'Israël doit agir pour éviter le hezbollah de prendre possession des armes chimiques de la Syrie.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Merci Gilles pour cette actualité
Ludwik59- Contre la Franc Maconnerie
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Il y a peu j'ai reçu cette information... Je ne connais pas les personnes citées, ni l'Organisation, mais peut-être cela peut-il vous intéresser !
http://www.voltairenet.org/Video-Thierry-Meyssan-un-massacre
Attention, pour les personnes trop sensibles, mieux vaut s'abstenir de cliquer sur le lien !
Fraternellement
http://www.voltairenet.org/Video-Thierry-Meyssan-un-massacre
Attention, pour les personnes trop sensibles, mieux vaut s'abstenir de cliquer sur le lien !
Fraternellement
Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Syrie : Hillary Clinton veut «accélérer» la chute d'Assad
La secrétaire d'Etat américaine entend«casser le lien Hezbollah-Syrie-Iran», tandis que les combats s'étendent dans plusieurs villes syriennes.
La bataille pour le contrôle de la ville stratégique syrienne d’Alep continuait à faire rage samedi entre soldats et rebelles, non loin de la frontière avec la Turquie où la secrétaire d’Etat Hillary Clinton s’est engagée à «accélérer» la fin du régime syrien. Les combats ont également gagné Damas et d’autres villes du pays, dont Idleb et Homs, où certains secteurs étaient bombardés par l’artillerie de l’armée, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) et des militants.
Dans ce contexte de violences accrues, les chefs de la diplomatie arabes doivent tenir dimanche en Arabie saoudite une «réunion d’urgence» pour discuter du conflit et du remplacement du médiateur international, Kofi Annan, qui a démissionné la semaine dernière après l'échec de ses efforts de paix.
A Alep, «repli tactique» pour les rebelles
A Alep, deuxième ville du pays à 355 km au nord de Damas, les combats font rage sans relâche depuis le lancement le 8 août par les troupes du régime de Bachar al-Assad d’une offensive terrestre contre le principal bastion rebelle de Salaheddine (sud-ouest). L’armée affirme avoir repris le contrôle de Salaheddine et les rebelles de l’Armée syrienne libre (ASL, formée de déserteurs et de civils ayant pris les armes) ont dit avoir opéré un «repli tactique», mais les combats se poursuivent dans certains secteurs.
«L’ASL a réussi à reprendre quelques positions stratégiques à Salaheddine», a déclaré Abdel Qader Saleh, un commandant de l’ASL dans la région d’Alep. «Les combats sont violents et ne se sont pas arrêtés depuis 24 heures. Plusieurs secteurs d’Alep sont soumis à un pilonnage». Selon l’OSDH, le quartier al-Sukkari (sud), proche de Salaheddine, était la cible d’un violent pilonnage de l’armée qui semble se préparer à une opération d’envergure pour reprendre ce bastion rebelle.
La bataille d’Alep, poumon économique du pays, a été présentée comme cruciale par le régime syrien qui reste déterminé à écraser le mouvement de contestation. Lancée en mars 2011 par des manifestations pacifiques, la révolte s’est militarisée au fil des mois face à la répression brutale.
21 000 morts en 17 mois
A Damas, des combats se déroulaient à Tadamoun (sud), quartier dont l’armée avait annoncé la reprise il y a une semaine, selon l’OSDH et des militants sur le terrain. Des tirs et des explosions de roquettes ont été entendus dans d’autres quartiers.
En outre, l’armée a bombardé des localités de la province de Damas, d’où les habitants ont commencé à fuir, selon l’OSDH. Des violences ont secoué Deir Ezzor (est), Idleb (nord-ouest) et Homs (centre) avec de violents bombardements contre des quartiers échappant au contrôle de l’armée. A Deraa (sud), de fortes explosions ont été entendues.
Au moins 21 personnes, dont 13 civils, ont péri à travers le pays selon un bilan provisoire de l’OSDH, basé en Grande-Bretagne, alors que les violences tuent tous les jours plusieurs dizaines de personnes. En près de 17 mois de conflit, plus de 21.000 morts ont péri en Syrie, selon l’ONG.
«Casser le lien Hezbollah-Syrie-Iran»
Face à l’intention affichée du pouvoir syrien d’en finir avec ceux qu’il considère comme des «terroristes», Hillary Clinton s’est engagée à «accélérer la fin de l’effusion de sang et du régime Assad», lors d’une conférence de presse à Istanbul avec son homologue turc Ahmet Davutoglu. «Nous continuons à accroître la pression de l’extérieur. Nous avons annoncé hier à Washington des sanctions destinées à exposer et à casser les liens entre l’Iran, le Hezbollah et la Syrie qui prolongent la vie du régime Assad», a-t-elle ajouté.
Les Etats-Unis ont accusé vendredi le mouvement libanais du Hezbollah de jouer un «rôle central» dans la répression en Syrie. Le chef du parti chiite, Hassan Nasrallah, doit s’exprimer samedi à la télévision à 18H00 GMT. Aussi bien les Etats-Unis que la Turquie appuient l’opposition syrienne et réclament une transition politique prévoyant un départ de M. Assad.
En raison des divergences persistantes sur le dossier syrien dans la communauté internationale, notamment entre Russes et Occidentaux, l'émissaire international Kofi Annan avait jeté l'éponge la semaine dernière. Selon des diplomates à l’ONU, l’ancien diplomate algérien Lakhdar Brahimi est pressenti pour lui succéder.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
J’espère que vous vous posez les bonnes questions sur cette pseudo guerre civile. J'en doute quand même car je n'ai vu que des sources anti Régime Syrien...
On nous rabâche tout le temps (je vous fais pas un dessin) que la religion est la source de tout les maux de la terre, et la Syrie n'en est pas exempt...mais quel bordel ils foutent dans le monde avec leur démoncratie à la con!!! On sait très bien que parmi les pseudo rebelles, à peine 10% sont de vrai rebelles syriens tout le reste n'est que djihadiste, criminels et j'en passe.
Je finis par me demander si ceux qu'on veux nous présenter comme l'axe du mal n'est pas en réalité le dernier rempart face aux démons qui oeuvre dans l'ombre........et dire...dire que la plupart des occidentaux soutienne, ou du moins cautionne ça!!!
Je ne crois plus en l'homme ni même en mes compatriotes...de plus quand je vois un homme d'église soutenir les djihadistes, je me dis que j'ai très bien fais de ne pas me faire baptiser, qu'en réalité je n'en ai pas besoin...je ne veux d'intermédiaire de cet espèce entre Dieu et moi.
On nous rabâche tout le temps (je vous fais pas un dessin) que la religion est la source de tout les maux de la terre, et la Syrie n'en est pas exempt...mais quel bordel ils foutent dans le monde avec leur démoncratie à la con!!! On sait très bien que parmi les pseudo rebelles, à peine 10% sont de vrai rebelles syriens tout le reste n'est que djihadiste, criminels et j'en passe.
Je finis par me demander si ceux qu'on veux nous présenter comme l'axe du mal n'est pas en réalité le dernier rempart face aux démons qui oeuvre dans l'ombre........et dire...dire que la plupart des occidentaux soutienne, ou du moins cautionne ça!!!
Je ne crois plus en l'homme ni même en mes compatriotes...de plus quand je vois un homme d'église soutenir les djihadistes, je me dis que j'ai très bien fais de ne pas me faire baptiser, qu'en réalité je n'en ai pas besoin...je ne veux d'intermédiaire de cet espèce entre Dieu et moi.
namish- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
@Namish
S'il vous plaît Namish, pour la bonne entente de ce forum veuillez à peser davantage vos mots avant d'écrire. Je sais que nous vivons des temps difficiles mais la colère nous détruira plus sûrement que la guerre. J'ai vu les gens ronger leur frein en attente d'en découdre, et à la fin ils sont devenus complètement fous. J'en étais, ou plutôt j'ai failli en être, avant que la Providence ne me fasse sentir qu'il fallait cesser de fréquenter ces milieux. Je suis venu ici et j'ai pu guérir.
Vous ne croyez plus en l'Homme? Combien de fois a-t-on pu lire cela... En réalité il est bien vain de croire pouvoir se fier à l'Homme, car celui-ci est si faillible qu'il ne nous reste plus qu'à sombrer dans le désespoir. Réfugiez-vous dans le Christ, Il vous affranchira de l'agitation du monde comme Il l'a fait pour moi dans Sa grande Bonté.
Le baptême est un sacrement institué par Dieu et non un rite selon les Hommes, n'importe qui peut baptiser, même un non-baptisé, pourvu qu'il le fasse en communion avec l'Église.
De là où je venais, les internautes aussi fulminaient contre les "prêtres rouges" et "évêques collabos" qui "suçaient les babouches des imams", et ils se juraient de "ne jamais remettre les pieds à l'église", sans se rendre compte que ça n'était pas ces prêtres qu'ils boycottaient, mais Dieu lui-même, Dieu qui demande que l'on prie pour Ses prêtres au lieu de les juger.
À vrai dire le prêtre n'a jamais été un "intermédiaire", tel un oracle ou une Sibylle, chargé de transmettre toutes nos supplications à Dieu. Le prêtre est d'abord un instrument de Dieu agissant "in persona Christi", pour l'application des sacrements. S'il agit en son propre nom, alors le sacrement n'est rien.
Bien sûr que vous pouvez vous adresser à Dieu directement, mais dans ce cas vous aurez à Lui expliquer face à face votre refus de recevoir le sacrement qui nous introduit à Sa Vie et fait de nous Ses Enfants. Et tout ça pour une histoire de politique! Politique en laquelle vous ne croyez même plus!
Puisque vous ne croyez plus en l'homme, croyez donc en Dieu! Vous verrez, plus Dieu nous sanctifie, moins l'on se scandalise. Mais le baptême est la porte d'entrée...
Amicalement
Audifax
S'il vous plaît Namish, pour la bonne entente de ce forum veuillez à peser davantage vos mots avant d'écrire. Je sais que nous vivons des temps difficiles mais la colère nous détruira plus sûrement que la guerre. J'ai vu les gens ronger leur frein en attente d'en découdre, et à la fin ils sont devenus complètement fous. J'en étais, ou plutôt j'ai failli en être, avant que la Providence ne me fasse sentir qu'il fallait cesser de fréquenter ces milieux. Je suis venu ici et j'ai pu guérir.
Vous ne croyez plus en l'Homme? Combien de fois a-t-on pu lire cela... En réalité il est bien vain de croire pouvoir se fier à l'Homme, car celui-ci est si faillible qu'il ne nous reste plus qu'à sombrer dans le désespoir. Réfugiez-vous dans le Christ, Il vous affranchira de l'agitation du monde comme Il l'a fait pour moi dans Sa grande Bonté.
Le baptême est un sacrement institué par Dieu et non un rite selon les Hommes, n'importe qui peut baptiser, même un non-baptisé, pourvu qu'il le fasse en communion avec l'Église.
De là où je venais, les internautes aussi fulminaient contre les "prêtres rouges" et "évêques collabos" qui "suçaient les babouches des imams", et ils se juraient de "ne jamais remettre les pieds à l'église", sans se rendre compte que ça n'était pas ces prêtres qu'ils boycottaient, mais Dieu lui-même, Dieu qui demande que l'on prie pour Ses prêtres au lieu de les juger.
À vrai dire le prêtre n'a jamais été un "intermédiaire", tel un oracle ou une Sibylle, chargé de transmettre toutes nos supplications à Dieu. Le prêtre est d'abord un instrument de Dieu agissant "in persona Christi", pour l'application des sacrements. S'il agit en son propre nom, alors le sacrement n'est rien.
Bien sûr que vous pouvez vous adresser à Dieu directement, mais dans ce cas vous aurez à Lui expliquer face à face votre refus de recevoir le sacrement qui nous introduit à Sa Vie et fait de nous Ses Enfants. Et tout ça pour une histoire de politique! Politique en laquelle vous ne croyez même plus!
Puisque vous ne croyez plus en l'homme, croyez donc en Dieu! Vous verrez, plus Dieu nous sanctifie, moins l'on se scandalise. Mais le baptême est la porte d'entrée...
Amicalement
Audifax
Audifax- Combat avec l'Archange Michel
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Le Baptême, comme c'est grand! C'est une opération divine, surnaturelle. Les hommes importent peu en cela. Ils sont les instruments du Seigneur.
Notre âme est regénérée par le Sacrifice du Seigneur, et la cloison opaque qui fermait notre âme à la Lumìere, est anéantie, permettant à notre âme d'être soudainement libérée, légère, prète à recevoir les torrents d'Amour que Dieu désire tant déverser en nous.
Oh Namish, pour ton propre bonheur, écoute cet appel de ton âme, et Dieu, qui t'attend avec tant d'Amour... Les hommes ne comptent pour rien, en tout cela.
Tout est surnaturel.
Notre frère Audifax a dit de si belles choses. Lis-les avec attention, je t'en prie, cher frère, pour la joie de ton âme.
Fraternellement,
Emmanuel
Notre âme est regénérée par le Sacrifice du Seigneur, et la cloison opaque qui fermait notre âme à la Lumìere, est anéantie, permettant à notre âme d'être soudainement libérée, légère, prète à recevoir les torrents d'Amour que Dieu désire tant déverser en nous.
Oh Namish, pour ton propre bonheur, écoute cet appel de ton âme, et Dieu, qui t'attend avec tant d'Amour... Les hommes ne comptent pour rien, en tout cela.
Tout est surnaturel.
Notre frère Audifax a dit de si belles choses. Lis-les avec attention, je t'en prie, cher frère, pour la joie de ton âme.
Fraternellement,
Emmanuel
Dernière édition par Emmanuel le Mar 14 Aoû 2012 - 12:59, édité 1 fois
Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Audifax a dit:
Merci Audifax pour ces bonnes paroles inspirées
Que le Seigneur vous bénisse
Maud
Puisque vous ne croyez plus en l'homme, croyez donc en Dieu
Merci Audifax pour ces bonnes paroles inspirées
Que le Seigneur vous bénisse
Maud
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Mis à jour le: 8 septembre 2012 01:29
Sommet de l'APEC : Harper interpelle Poutine sur la question syrienne
Le sommet de l'APEC à Vladivostok, qui réunit les dirigeants de 21 pays d'Asie et des régions Pacifique pour discuter des enjeux économiques, a été marqué, samedi, par la situation en Syrie.
Le conflit syrien a notamment marqué la rencontre entre le premier ministre canadien, Stephen Harper, avec le président russe, Vladimir Poutine. Lors de la rencontre entre les deux chefs d'État, qui se sont entretenus pendant près d'une heure samedi matin, M. Harper a exhorté M. Poutine à se montrer plus coopératif pour une résolution de la crise en Syrie, plutôt que de faire obstruction aux mesures proposées.
Les discussions se sont d'abord déroulées en toute cordialité, les deux hommes parlant de commerce et du 40e anniversaire de la Série du siècle, qui avait opposé le Canada à l'URSS au hockey. Mais les sourires sont tombés lorsque la situation de la Syrie est venue sur la table. Les deux parties sont demeurés inflexibles, notamment sur la question du départ du président syrien, Bachar Al-Assad.
M. Harper a réitéré la position de son gouvernement selon laquelle M. Al-Assad doit se retirer dans le but de mettre fin au conflit sanglant en Syrie. Mais pour Vladimir Poutine, il ne peut y avoir une intervention étrangère pour régler le conflit syrien.
Cette rencontre, qui a eu lieu dans le cadre de l'APEC, s'entame deux jours après qu'Ottawa ait appelé Moscou à réfléchir à l'appui qu'elle accorde au régime syrien.
Par le passé, la Russie a bloqué plusieurs tentatives du Conseil de sécurité des Nations unies de sanctionner son allié de longue date au Moyen-Orient.
Plus tôt cette semaine, M. Poutine avait répliqué aux critiques venant de l'Occident en disant que des militants d'Al-Qaïda faisaient partie des forces anti-Assad.
Le président syrien, Bachar Al-Assad, tente d'écraser un soulèvement populaire né il y a 18 mois, dans des violences qui ont fait à ce jour au moins 23 000 morts.
Rencontre prévue avec le président chinois
Au cours du sommet de l'APEC, qui se poursuivra dimanche à Vladivostok, le premier ministre Harper doit aussi rencontrer le président chinois, Hu Jintao, un autre farouche opposant à toute intervention internationale en Syrie.
Ottawa se dit néanmoins déterminé à ce que ces désaccords politiques ne viennent pas nuire aux échanges économiques.
Stephen Harper approuve la rupture des relations diplomatiques avec l'Iran
En marge des travaux de l'APEC, le premier ministre Stephen Harper a commenté la décision de son gouvernement de suspendre les relations diplomatiques avec Téhéran et d'expulser les diplomates iraniens au pays.
Pour Stephen Harper, cette décision est motivée par la sécurité des diplomates canadiens, qui étaient en péril dans la capitale iranienne.
Il a rappelé que l'ambassade britannique à Téhéran a été prise d'assaut en novembre dernier par des manifestants. Cet incident, selon lui, démontre que l'Iran n'a aucun respect pour l'immunité et la protection diplomatiques.
Sommet de l'APEC : Harper interpelle Poutine sur la question syrienne
Le sommet de l'APEC à Vladivostok, qui réunit les dirigeants de 21 pays d'Asie et des régions Pacifique pour discuter des enjeux économiques, a été marqué, samedi, par la situation en Syrie.
Le conflit syrien a notamment marqué la rencontre entre le premier ministre canadien, Stephen Harper, avec le président russe, Vladimir Poutine. Lors de la rencontre entre les deux chefs d'État, qui se sont entretenus pendant près d'une heure samedi matin, M. Harper a exhorté M. Poutine à se montrer plus coopératif pour une résolution de la crise en Syrie, plutôt que de faire obstruction aux mesures proposées.
Les discussions se sont d'abord déroulées en toute cordialité, les deux hommes parlant de commerce et du 40e anniversaire de la Série du siècle, qui avait opposé le Canada à l'URSS au hockey. Mais les sourires sont tombés lorsque la situation de la Syrie est venue sur la table. Les deux parties sont demeurés inflexibles, notamment sur la question du départ du président syrien, Bachar Al-Assad.
M. Harper a réitéré la position de son gouvernement selon laquelle M. Al-Assad doit se retirer dans le but de mettre fin au conflit sanglant en Syrie. Mais pour Vladimir Poutine, il ne peut y avoir une intervention étrangère pour régler le conflit syrien.
Cette rencontre, qui a eu lieu dans le cadre de l'APEC, s'entame deux jours après qu'Ottawa ait appelé Moscou à réfléchir à l'appui qu'elle accorde au régime syrien.
Par le passé, la Russie a bloqué plusieurs tentatives du Conseil de sécurité des Nations unies de sanctionner son allié de longue date au Moyen-Orient.
Plus tôt cette semaine, M. Poutine avait répliqué aux critiques venant de l'Occident en disant que des militants d'Al-Qaïda faisaient partie des forces anti-Assad.
Le président syrien, Bachar Al-Assad, tente d'écraser un soulèvement populaire né il y a 18 mois, dans des violences qui ont fait à ce jour au moins 23 000 morts.
Rencontre prévue avec le président chinois
Au cours du sommet de l'APEC, qui se poursuivra dimanche à Vladivostok, le premier ministre Harper doit aussi rencontrer le président chinois, Hu Jintao, un autre farouche opposant à toute intervention internationale en Syrie.
Ottawa se dit néanmoins déterminé à ce que ces désaccords politiques ne viennent pas nuire aux échanges économiques.
Stephen Harper approuve la rupture des relations diplomatiques avec l'Iran
En marge des travaux de l'APEC, le premier ministre Stephen Harper a commenté la décision de son gouvernement de suspendre les relations diplomatiques avec Téhéran et d'expulser les diplomates iraniens au pays.
Pour Stephen Harper, cette décision est motivée par la sécurité des diplomates canadiens, qui étaient en péril dans la capitale iranienne.
Il a rappelé que l'ambassade britannique à Téhéran a été prise d'assaut en novembre dernier par des manifestants. Cet incident, selon lui, démontre que l'Iran n'a aucun respect pour l'immunité et la protection diplomatiques.
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Je viens de trouvé cette information je pense qu'elle va vous intéressez:
http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2012/10/12/en-2011-israel-etait-pret-a-rendre-tout-le-golan-contre-une-paix-avec-la-syrie_1774536_3218.html
http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2012/10/12/en-2011-israel-etait-pret-a-rendre-tout-le-golan-contre-une-paix-avec-la-syrie_1774536_3218.html
Monarque94- J'adore l'Eucharistie
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Publié le 03.12.2012, 13h20
Le chef de la Ligue arabe a estimé lundi que le régime syrien pouvait tomber "à n'importe quel moment" face une opposition qui progresse, et a appelé la communauté internationale à ne plus se contenter de prôner un "processus" sans paix réelle dans le conflit israélo-palestinien
EXCLUSIF AFP - Syrie: le régime peut tomber n'importe quand, selon al-Arabi
Le chef de la Ligue arabe a estimé lundi que le régime syrien pouvait tomber "à n'importe quel moment" face une opposition qui progresse, et a appelé la communauté internationale à ne plus se contenter de prôner un "processus" sans paix réelle dans le conflit israélo-palestinien.
"Cela peut arriver à n'importe quel moment", a déclaré Nabil al-Arabi dans un entretien à l'AFP, interrogé pour savoir quand le régime de Damas pourrait être amené à disparaître.
"Aujourd'hui il y a des combats dans Damas", et après vingt mois de violences dans ce pays "je pense qu'il va se passer quelque chose bientôt", a-t-il poursuivi.
"Les faits sur le terrain montrent très clairement que l'opposition syrienne progresse politiquement et militairement. Elle progresse chaque jour", a-t-il ajouté, interrogé au siège de la Ligue au Caire.
Il a également estimé que la nouvelle Coalition de l'opposition syrienne, qui s'est créée en novembre à Doha et a décidé de s'installer dans la capitale égyptienne, "allait de l'avant".
"Nous sommes en contact avec eux et nous les rencontrons tout le temps", a-t-il ajouté, alors que la Syrie de Bachar al-Assad est suspendue de l'organisation panarabe.
Interrogé sur une contagion du conflit syrien à des pays voisins, il a estimé que "la possibilité est là, on ne peut pas l'exclure".
M. Arabi a également déploré que le soutien de la Russie à Damas empêche l'ONU d'avancer sur ce dossier, mais a estimé que la Chine, qui soutient elle aussi le régime syrien au Conseil de sécurité, pourrait évoluer. "Les déclarations que font les Chinois (...) montrent qu'ils sont plus souples", a-t-il déclaré.
Interrogé sur le rôle de l'Iran, considéré comme le plus ferme soutien de Bachar al-Assad dans la communauté internationale, il a estimé que Téhéran n'était en réalité "pas si influent que cela".
Sur le dossier israélo-palestinien, M. Arabi se montre très critique envers le Quartette international (ONU, UE, USA, Russie) sur le Proche-Orient, appelant à tourner la page d'une formule qui selon lui privilégie un "processus" sans résultats.
"Ce que je veux c'est parvenir à la paix, une paix qui soit juste, pas un processus".
A titre personnel, il a assuré ne pas utiliser l'expression "processus de paix", qui dans le cas israélo-palestinien revient selon lui à un "processus et pas de paix".
Le Conseil de sécurité de l'ONU, a-t-il ajouté, se borne à dire "qu'il faut davantage de commissions pour suivre tout ça, derrière des portes fermées, sans que l'on sache ce qui se passe, et dans les faits il ne se passe rien. C'est ça le Quartette", a-t-il dit.
Le Quartette international pour le Proche-Orient, qui a pour émissaire l'ancien Premier ministre britannique Tony Blair, a été lancé en 2002 mais les discussions de paix entre Israël et l'Autorité palestinienne sont aujourd'hui au point mort.
M. Arabi a indiqué qu'il allait proposer que les Arabes "disent qu'ils ne veulent plus de tout cela".
"Tout cela va être examiné, et j'espère que les choses vont changer", a-t-il dit, en souhaitant que les pays arabes exigent du Conseil de sécurité l'application de la résolution 242 sur le retrait israélien des territoires occupés, au moment où Israël annonce des projets de nouveaux logements dans des colonies en Cisjordanie et à Jérusalem-Est
"Si le Conseil de sécurité ne prend pas ses responsabilités, nous pourrions demander une conférence internationale" pour régler ce conflit, a-t-il dit.
Diplomate et juriste international, Nabil al-Arabi, 76 ans, a notamment fait partie de l'équipe égyptienne qui a négocié la paix avec Israël en 1978-79.
Il a été ministre des Affaires étrangères après la chute de Hosni Moubarak en février 2011, puis a été nommé à la tête de la Ligue arabe en mai de la même année.
Le chef de la Ligue arabe a estimé lundi que le régime syrien pouvait tomber "à n'importe quel moment" face une opposition qui progresse, et a appelé la communauté internationale à ne plus se contenter de prôner un "processus" sans paix réelle dans le conflit israélo-palestinien
EXCLUSIF AFP - Syrie: le régime peut tomber n'importe quand, selon al-Arabi
Le chef de la Ligue arabe a estimé lundi que le régime syrien pouvait tomber "à n'importe quel moment" face une opposition qui progresse, et a appelé la communauté internationale à ne plus se contenter de prôner un "processus" sans paix réelle dans le conflit israélo-palestinien.
"Cela peut arriver à n'importe quel moment", a déclaré Nabil al-Arabi dans un entretien à l'AFP, interrogé pour savoir quand le régime de Damas pourrait être amené à disparaître.
"Aujourd'hui il y a des combats dans Damas", et après vingt mois de violences dans ce pays "je pense qu'il va se passer quelque chose bientôt", a-t-il poursuivi.
"Les faits sur le terrain montrent très clairement que l'opposition syrienne progresse politiquement et militairement. Elle progresse chaque jour", a-t-il ajouté, interrogé au siège de la Ligue au Caire.
Il a également estimé que la nouvelle Coalition de l'opposition syrienne, qui s'est créée en novembre à Doha et a décidé de s'installer dans la capitale égyptienne, "allait de l'avant".
"Nous sommes en contact avec eux et nous les rencontrons tout le temps", a-t-il ajouté, alors que la Syrie de Bachar al-Assad est suspendue de l'organisation panarabe.
Interrogé sur une contagion du conflit syrien à des pays voisins, il a estimé que "la possibilité est là, on ne peut pas l'exclure".
M. Arabi a également déploré que le soutien de la Russie à Damas empêche l'ONU d'avancer sur ce dossier, mais a estimé que la Chine, qui soutient elle aussi le régime syrien au Conseil de sécurité, pourrait évoluer. "Les déclarations que font les Chinois (...) montrent qu'ils sont plus souples", a-t-il déclaré.
Interrogé sur le rôle de l'Iran, considéré comme le plus ferme soutien de Bachar al-Assad dans la communauté internationale, il a estimé que Téhéran n'était en réalité "pas si influent que cela".
Sur le dossier israélo-palestinien, M. Arabi se montre très critique envers le Quartette international (ONU, UE, USA, Russie) sur le Proche-Orient, appelant à tourner la page d'une formule qui selon lui privilégie un "processus" sans résultats.
"Ce que je veux c'est parvenir à la paix, une paix qui soit juste, pas un processus".
A titre personnel, il a assuré ne pas utiliser l'expression "processus de paix", qui dans le cas israélo-palestinien revient selon lui à un "processus et pas de paix".
Le Conseil de sécurité de l'ONU, a-t-il ajouté, se borne à dire "qu'il faut davantage de commissions pour suivre tout ça, derrière des portes fermées, sans que l'on sache ce qui se passe, et dans les faits il ne se passe rien. C'est ça le Quartette", a-t-il dit.
Le Quartette international pour le Proche-Orient, qui a pour émissaire l'ancien Premier ministre britannique Tony Blair, a été lancé en 2002 mais les discussions de paix entre Israël et l'Autorité palestinienne sont aujourd'hui au point mort.
M. Arabi a indiqué qu'il allait proposer que les Arabes "disent qu'ils ne veulent plus de tout cela".
"Tout cela va être examiné, et j'espère que les choses vont changer", a-t-il dit, en souhaitant que les pays arabes exigent du Conseil de sécurité l'application de la résolution 242 sur le retrait israélien des territoires occupés, au moment où Israël annonce des projets de nouveaux logements dans des colonies en Cisjordanie et à Jérusalem-Est
"Si le Conseil de sécurité ne prend pas ses responsabilités, nous pourrions demander une conférence internationale" pour régler ce conflit, a-t-il dit.
Diplomate et juriste international, Nabil al-Arabi, 76 ans, a notamment fait partie de l'équipe égyptienne qui a négocié la paix avec Israël en 1978-79.
Il a été ministre des Affaires étrangères après la chute de Hosni Moubarak en février 2011, puis a été nommé à la tête de la Ligue arabe en mai de la même année.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
L'Escroquerie du Nouvel ordre Mondial en Syrie:
Lotfi- Dans la prière
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Pourquoi on veut détruire la Syrie
Lotfi- Dans la prière
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
L'ecroulement du Nouvel ordre mondial commencera par la Syrie...
Bientôt très bientôt...
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Lotfi- Dans la prière
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
A connaître, le discours du Président Bachar Al Assad du 6 janvier 2013
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article3113
Syrie :
Dans son discours, Bachar Al Assad propose sa solution et pose ses conditions
dimanche 6 janvier 2013, par Comité Valmy
Voir en ligne : Agence SANA : discours intégral du Président Bachar Al Assad
Assad propose sa solution et pose ses conditions
Le président syrien Bachar al-Assad a proposé l’amorce d’un dialogue national regroupant toutes les catégories du peuple syrien, celles de l’intérieur et de l’extérieur, pour mettre fin au conflit qui sévit en Syrie depuis près de deux années.
Le chef de l’état syrien a tenu ces propos lors d’un discours prononcé devant de centaines de Syriens, dans la salle de la Maison de la culture et des Arts, où son entrée s’est faite sous les applaudissements et les slogans « Allah, la Syrie et toi » ou encore « par nos âmes et nos vies nous nous sacrifierons pour toi ».
Dialogue, entente et constitution, référendums et gouvernement
Une entente et une constitution nationales devraient découler de ce dialogue, selon sa proposition de solution politique, ainsi que deux réferendums, au bout desquels un nouveau gouvernement sera formé pour mettre en application leurs résultats. Par la suite une conférence pour la réconciliation devrait se tenir, en parallère avec la proclamation d’une amnesty générale.
Avant l’amorcement du dialogue, le président syrien a posé comme condition que les pays concernés par la crise syrienne stoppe le financement et l’armement des milices en Syrie, pour que les réfugiés syriens puissent retourner chez eux, avant que l’armée ne cesse de son côté ses opérations militaires, tout en conservant le droit de riposte. Selon lui, la guerre contre le terrorisme se poursuivra parallèlement avec le processus politique, « car c’est en luttant contre le terrorisme que la solution politique devient plausible ».
Critique de l’initiative de Genève
Le numéro un syrien a tenu à signaler que toute autre initiative politique suggérée par un quelconque individu ou Etat devrait prendre en considération celle qu’il a proposée, et devrait avoir pour visée de l’aider ou la compléter.
Il a critiqué l’initiative de Genève, qu’il avait toutefois acceptée, signalant qu’elle compte une clause ambigüe, celle notamment de la phase transitoire : « bien sûr, elle n’est pas claire. Lorsqu’on parle d’une phase transitoire, la première chose qui nous vient à l’esprit est de se demander d’où vers où transite-t-elle. Serait-ce un passage de l’Etat d’un pays libre vers celui d’un pays sous occupation, d’un pays qui possède un Etat, vers celui qui n’en aurait pas, de l’Etat de l’autodétermination à celui où la décision est entre les mains des étrangers ? », s’est-il interrogé.
Selon lui, toute initiative ou changement devrait inéluctablement passer par les moyens constitutionnels, c’est à dire les urnes, pour consulter l’avis du peuple syrien.
Hommage au peuple syrien
A cet égard, le président syrien a rendu hommage au peuple syrien qui selon lui a refusé d’héberger les terroristes : « la dignité et le nationalisme coulent dans son sang. De grandes catégories se sont mobilisées pour faire face au terrorisme, certains ont donné des informations importantes aux services de sécurité, leur permettant de torpiller des opérations terroristes contre les citoyens ;.. ; d’autres se sont rebellés contre les miliciens et ont refusé de les héberger, soit en défendant leurs régions, soit en manifestant contre les criminels, et dont certains sont tombés en martyre ;.. ; il y a ceux qui ont rejoint les forces armées dans les villes, les quartiers ;.. ; mais il y a un exemple que je voudrais évoquer, celui dans le gouvernorat de Hassaké, dans la localité de Ra’as elEïn et dont les jeunes se sont mobilisés contre l’attaque menée des régions turques pour défendre leur village et qui sont parvenus à repousser les terroristes,..,et il y a ceux qui ont pardonné et se sont pardonnés et ont opté pour le dialogue national ».
Ce n’est pas une révolution
Au début de son allocution plusieurs fois interrompue par les applaudissements, Bachar el-Assad a rejeté l’idée que l’insurrection puisse être une révolution en disant : « elle n’a rien à voir avec les révolutions, ni de près ni de loin. La révolution a besoin d’intellectuels, cette révolution est sans intellectuels, la révolution a besoin d’un commandant, celle-ci n’en a pas ; la révolution nécessite une pensée, un projet, celle-ci n’en a pas ; la révolution aspire à pousser le pays de l’avant, celle-ci voudrait le ramener des siècles en arrière ; ..., en général la révolution est celle du peuple et non une révolution de gens importés de l’étranger pour se révolter contre le peuple, la révolution se devrait être dans l’intérêt du peuple et non contre comme l’est celle-ci ».
Une guerre entre la patrie et ses ennemis
Selon lui, la Syrie est en proie à un conflit entre les criminels et les assassins d’un côté et le peuple syrien de l’autre, entre la patrie et ses ennemis. « Au début, ils ont annoncé leur prétendue révolution, mais lorsque le peuple a refusé de les couvrir, ils ont voulu l’imposer par l’argent, les médias et les armes, ..., et comme le peuple a refusé de les suivre, ils ont décidé de se venger de lui, ils ont laissé tomber les masques de leur prétendue révolution et ont brandi leurs armes,.., ils ont voulu se venger du peuple en semant la terreur là où ils se trouvent », a-t-il expliqué.
Les takfiris importés
Le président syrien s’est attardé sur la présence des groupes takfiris parmi les insurgés qui comptent dans leurs rangs d’innombrables étrangers, et qui mènent de plus en plus l’insurrection syrienne. Au début de l’insurrection, indique-t-il, « ils étaient restés dans l’arrière-plan de l’insurrection et se sont lancés dans les attentats, les massacres, le banditisme et les pillages...Mais ils ont pris les devants de l’insurrection armée, lorsque les autres miliciens ont essuyé un échec ». Estimant que « la pensée takfirie est importée de l’étranger », il en conclut que la Syrie fait l’objet d’une guerre au sens vrai du terme, « une guerre de la part de ceux qui veulent la diviser, qui cherchent à l’affaiblir, et à la dominer,..., et à la sortir de l’équation de la résistance. »
Une guerre des étrangers avec des mains syriennes
Selon lui, c’est « une guerre des étrangers contre la Syrie avec des mains syriennes ». « Nous faisons face à une offensive extérieure barbare, particulièrement vicieuse parce qu’elle n’utilise pas ses propres instruments, mais une petite bande de Syriens et beaucoup d’étrangers », affirme-t-il.
Le président syrien s’était auparavant expliqué plus longuement sur le fait que la crise en Syrie est beaucoup plus dictée par des velléités régionales et internationales, que par des revendications de réformes internes : « si les raisons du conflit avaient été réellement internes, entre forces loyalistes et forces de l’opposition,..., les divergences devraient se porter sur la façon d’édifier la patrie, et non sur celle de la détruire. Comment expliquer ces tentatives de détruire le pays, de ravager son infrastructure, de le ramener plusieurs dizaines d’années en arrière. » Et de poursuivre : « le lien entre l’opposition et les forces loyales est une relation interne, mains lorsque l’intérieur est soumis et connecté à l’étranger, le conflit dans ce cas devient entre l’intérieur et l’extérieur ». Il en conclut que le conflit en Syrie est entre l’indépendance et l’hégémonie, entre la souveraineté de la patrie et sa soumission politique à l’étranger.
Nous n’oublierons pas
Evoquant les positions de la Russie, de la Chine et des pays du Brics, lesquels ont refusé toute ingérence dans les affaires internes des autres pays, le président syrien a tenu à les remercier ainsi que l’Iran. Leur signalant que « nous n’oublierons jamais vos positions ».
Il a également averti les pays hostiles à la Syrie, que le peuple syrien ne les oubliera pas non plus : « il y a cet État édifié sur l’invasion et les agressions, nous ne sommes pas étonnés par ce qu’il fait (en allusion à l’entité sioniste) ; il y a des Etats voisins de la Syrie et qui ont voulu l’affaiblir pour y imposer leur hégémonie ; et il y a des Etats à la recherche d’une position qu’ils n’ont jamais eu dans l’histoire, et qui ont voulu l’écrire avec le sang des Syriens ; mais le peuple syrien est plus fort et plus rigide », avait-il dit auparavant.
Transformer la Syrie en pion
Le président syrien a particulièrement pris à part les Etats occidentaux qui sont gênés d’après lui parce que la Syrie veut coute que coute rester maitresse d’elle-même et refuse la tutelle de quiconque. « Ils ont voulu exploiter des évènements internes pour sortir la Syrie de l’équation politique de la région, pour en finir avec ce nœud gênant, pour porter atteinte à la pensée de la résistance, et nous transformer en pions comme la plupart de ceux qui nous entourent ».
La guerre imposée
Concernant la situation interne et dans ce qui semble être une réponse de sa part à ses réfractaires, il a insisté sur le fait que le fait de se défendre ne constitue pas de solution sécuritaire. « Ce n’est pas nous qui avons choisi la guerre ; elle nous a été imposée, et lorsque l’Etat défend son peuple ce n’est pas une solution sécuritaire » a-t-il signifié.
Dialoguer avec les maitres et non les esclaves
Pour ce qui est de la solution politique, elle a d’après lui été entravée en raison de l’absence de partenaire : « avec qui devrions-nous dialoguer ? Avec ceux qui prônent une pensée extrémiste qui légitiment l’effusion de sang, les tueries, et le terrorisme, avec des bandes téléguidées par l’étranger,.., avec des marionnettes confectionnées par l’occident qui leur écrit les rôles à jouer », s’est-il interrogé. Pour en déduire toutefois : « dans ce cas, il est préférable de dialoguer avec les originaux, et non les comparses, avec ceux qui les ont confectionnés, avec les maitres et non les esclaves ».
Le président syrien s’est toutefois engagé à toujours tendre la main pour le dialogue, « à ceux qui ne sont pas d’accord avec nous en politique,.., mais qui n’ont pas porté atteinte aux principes nationalistes. Nous sommes prêts à dialoguer avec des partis et des individus qui n’ont pas vendu leur patrie aux étrangers, tous ceux qui sont prêts à jeter l’arme, avec tous ceux qui sont réellement soucieux de l’intérêt de la Syrie, de sa stabilité et de son indépendance ».
Solution aux trois volets
Il a néanmoins précisé que la solution en Syrie nécessite trois volets : politique, sécuritaire pour combattre le terrorisme, ainsi qu’un volet social : « Nous en avons des exemples à Homs et Deraa en particulier où des gens ayant l’esprit nationaliste ont de leur propre initiative amorcé un dialogue entre l’Etat et des gens qui se sont laissés séduire par les miliciens terroristes ; ce qui a donné des résultats très importants », poursuit-il.
Le président syrien a rendu hommage à l’armé syrienne, s’adressant aux officiers et aux soldats, ainsi qu’aux différentes forces de sécurité. Il a salué tous les citoyens syriens, leur ayant porté assistance ; Il a dit compatir avec le peuple syrien et se désoler pour les souffrances qu’il endure par le martyre de ses fils, regrettant que " les cercueils des martyrs soient entrés dans les maisons de beaucoup".
Changer la boussole de l’ennemi
Il s’est engagé à ce que la Syrie reste telle qu’ils l’ont connu : " jamais nous ne renoncerons à nos droits ; le Golan nous appartient, la Palestine est notre cause, pour laquelle nous avons donné ce que nous avons de plus cher, nous soutiendrons à jamais la résistance contre notre ennemi unique ; la résistance est une voie et non des personnes", a-t-il affirmé, assurant que le peuple et l’Etat syriens seront à jamais dans la même position que celle de leurs frères palestiniens.
Selon lui, la tentative d’immiscer les Palestiniens dans les évènements syriens a pour but de changer la direction de la boussole du véritable ennemi et va se solder par un échec.
Main dans la main
Pour terminer son discours, il a assuré que tout ce qui a été planifié contre la Syrie ne changera en rien au nationalisme qui coule dans les veines des Syriens , et pour qui la Syrie est ce qu’il y a de plus chère. Selon lui, " rien ne peut faire effondrer la Syrie , car son peuple résiste à la soumission". Et de conclure : " main dans la main , en dépit des blessures, nous ferons avancer ensemble la Syrie vers un avemir plus radieux et plus fort,... nous avanceron ensemble.. Leurs armes ne nous effraieront pas, ni leur terrorisme ne nous intimidra ; parce que nous avons une cause véridique. Dieu est avec le vrai."
L’équipe du site
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Syrie :
Dans son discours, Bachar Al Assad propose sa solution et pose ses conditions
dimanche 6 janvier 2013, par Comité Valmy
Voir en ligne : Agence SANA : discours intégral du Président Bachar Al Assad
Assad propose sa solution et pose ses conditions
Le président syrien Bachar al-Assad a proposé l’amorce d’un dialogue national regroupant toutes les catégories du peuple syrien, celles de l’intérieur et de l’extérieur, pour mettre fin au conflit qui sévit en Syrie depuis près de deux années.
Le chef de l’état syrien a tenu ces propos lors d’un discours prononcé devant de centaines de Syriens, dans la salle de la Maison de la culture et des Arts, où son entrée s’est faite sous les applaudissements et les slogans « Allah, la Syrie et toi » ou encore « par nos âmes et nos vies nous nous sacrifierons pour toi ».
Dialogue, entente et constitution, référendums et gouvernement
Une entente et une constitution nationales devraient découler de ce dialogue, selon sa proposition de solution politique, ainsi que deux réferendums, au bout desquels un nouveau gouvernement sera formé pour mettre en application leurs résultats. Par la suite une conférence pour la réconciliation devrait se tenir, en parallère avec la proclamation d’une amnesty générale.
Avant l’amorcement du dialogue, le président syrien a posé comme condition que les pays concernés par la crise syrienne stoppe le financement et l’armement des milices en Syrie, pour que les réfugiés syriens puissent retourner chez eux, avant que l’armée ne cesse de son côté ses opérations militaires, tout en conservant le droit de riposte. Selon lui, la guerre contre le terrorisme se poursuivra parallèlement avec le processus politique, « car c’est en luttant contre le terrorisme que la solution politique devient plausible ».
Critique de l’initiative de Genève
Le numéro un syrien a tenu à signaler que toute autre initiative politique suggérée par un quelconque individu ou Etat devrait prendre en considération celle qu’il a proposée, et devrait avoir pour visée de l’aider ou la compléter.
Il a critiqué l’initiative de Genève, qu’il avait toutefois acceptée, signalant qu’elle compte une clause ambigüe, celle notamment de la phase transitoire : « bien sûr, elle n’est pas claire. Lorsqu’on parle d’une phase transitoire, la première chose qui nous vient à l’esprit est de se demander d’où vers où transite-t-elle. Serait-ce un passage de l’Etat d’un pays libre vers celui d’un pays sous occupation, d’un pays qui possède un Etat, vers celui qui n’en aurait pas, de l’Etat de l’autodétermination à celui où la décision est entre les mains des étrangers ? », s’est-il interrogé.
Selon lui, toute initiative ou changement devrait inéluctablement passer par les moyens constitutionnels, c’est à dire les urnes, pour consulter l’avis du peuple syrien.
Hommage au peuple syrien
A cet égard, le président syrien a rendu hommage au peuple syrien qui selon lui a refusé d’héberger les terroristes : « la dignité et le nationalisme coulent dans son sang. De grandes catégories se sont mobilisées pour faire face au terrorisme, certains ont donné des informations importantes aux services de sécurité, leur permettant de torpiller des opérations terroristes contre les citoyens ;.. ; d’autres se sont rebellés contre les miliciens et ont refusé de les héberger, soit en défendant leurs régions, soit en manifestant contre les criminels, et dont certains sont tombés en martyre ;.. ; il y a ceux qui ont rejoint les forces armées dans les villes, les quartiers ;.. ; mais il y a un exemple que je voudrais évoquer, celui dans le gouvernorat de Hassaké, dans la localité de Ra’as elEïn et dont les jeunes se sont mobilisés contre l’attaque menée des régions turques pour défendre leur village et qui sont parvenus à repousser les terroristes,..,et il y a ceux qui ont pardonné et se sont pardonnés et ont opté pour le dialogue national ».
Ce n’est pas une révolution
Au début de son allocution plusieurs fois interrompue par les applaudissements, Bachar el-Assad a rejeté l’idée que l’insurrection puisse être une révolution en disant : « elle n’a rien à voir avec les révolutions, ni de près ni de loin. La révolution a besoin d’intellectuels, cette révolution est sans intellectuels, la révolution a besoin d’un commandant, celle-ci n’en a pas ; la révolution nécessite une pensée, un projet, celle-ci n’en a pas ; la révolution aspire à pousser le pays de l’avant, celle-ci voudrait le ramener des siècles en arrière ; ..., en général la révolution est celle du peuple et non une révolution de gens importés de l’étranger pour se révolter contre le peuple, la révolution se devrait être dans l’intérêt du peuple et non contre comme l’est celle-ci ».
Une guerre entre la patrie et ses ennemis
Selon lui, la Syrie est en proie à un conflit entre les criminels et les assassins d’un côté et le peuple syrien de l’autre, entre la patrie et ses ennemis. « Au début, ils ont annoncé leur prétendue révolution, mais lorsque le peuple a refusé de les couvrir, ils ont voulu l’imposer par l’argent, les médias et les armes, ..., et comme le peuple a refusé de les suivre, ils ont décidé de se venger de lui, ils ont laissé tomber les masques de leur prétendue révolution et ont brandi leurs armes,.., ils ont voulu se venger du peuple en semant la terreur là où ils se trouvent », a-t-il expliqué.
Les takfiris importés
Le président syrien s’est attardé sur la présence des groupes takfiris parmi les insurgés qui comptent dans leurs rangs d’innombrables étrangers, et qui mènent de plus en plus l’insurrection syrienne. Au début de l’insurrection, indique-t-il, « ils étaient restés dans l’arrière-plan de l’insurrection et se sont lancés dans les attentats, les massacres, le banditisme et les pillages...Mais ils ont pris les devants de l’insurrection armée, lorsque les autres miliciens ont essuyé un échec ». Estimant que « la pensée takfirie est importée de l’étranger », il en conclut que la Syrie fait l’objet d’une guerre au sens vrai du terme, « une guerre de la part de ceux qui veulent la diviser, qui cherchent à l’affaiblir, et à la dominer,..., et à la sortir de l’équation de la résistance. »
Une guerre des étrangers avec des mains syriennes
Selon lui, c’est « une guerre des étrangers contre la Syrie avec des mains syriennes ». « Nous faisons face à une offensive extérieure barbare, particulièrement vicieuse parce qu’elle n’utilise pas ses propres instruments, mais une petite bande de Syriens et beaucoup d’étrangers », affirme-t-il.
Le président syrien s’était auparavant expliqué plus longuement sur le fait que la crise en Syrie est beaucoup plus dictée par des velléités régionales et internationales, que par des revendications de réformes internes : « si les raisons du conflit avaient été réellement internes, entre forces loyalistes et forces de l’opposition,..., les divergences devraient se porter sur la façon d’édifier la patrie, et non sur celle de la détruire. Comment expliquer ces tentatives de détruire le pays, de ravager son infrastructure, de le ramener plusieurs dizaines d’années en arrière. » Et de poursuivre : « le lien entre l’opposition et les forces loyales est une relation interne, mains lorsque l’intérieur est soumis et connecté à l’étranger, le conflit dans ce cas devient entre l’intérieur et l’extérieur ». Il en conclut que le conflit en Syrie est entre l’indépendance et l’hégémonie, entre la souveraineté de la patrie et sa soumission politique à l’étranger.
Nous n’oublierons pas
Evoquant les positions de la Russie, de la Chine et des pays du Brics, lesquels ont refusé toute ingérence dans les affaires internes des autres pays, le président syrien a tenu à les remercier ainsi que l’Iran. Leur signalant que « nous n’oublierons jamais vos positions ».
Il a également averti les pays hostiles à la Syrie, que le peuple syrien ne les oubliera pas non plus : « il y a cet État édifié sur l’invasion et les agressions, nous ne sommes pas étonnés par ce qu’il fait (en allusion à l’entité sioniste) ; il y a des Etats voisins de la Syrie et qui ont voulu l’affaiblir pour y imposer leur hégémonie ; et il y a des Etats à la recherche d’une position qu’ils n’ont jamais eu dans l’histoire, et qui ont voulu l’écrire avec le sang des Syriens ; mais le peuple syrien est plus fort et plus rigide », avait-il dit auparavant.
Transformer la Syrie en pion
Le président syrien a particulièrement pris à part les Etats occidentaux qui sont gênés d’après lui parce que la Syrie veut coute que coute rester maitresse d’elle-même et refuse la tutelle de quiconque. « Ils ont voulu exploiter des évènements internes pour sortir la Syrie de l’équation politique de la région, pour en finir avec ce nœud gênant, pour porter atteinte à la pensée de la résistance, et nous transformer en pions comme la plupart de ceux qui nous entourent ».
La guerre imposée
Concernant la situation interne et dans ce qui semble être une réponse de sa part à ses réfractaires, il a insisté sur le fait que le fait de se défendre ne constitue pas de solution sécuritaire. « Ce n’est pas nous qui avons choisi la guerre ; elle nous a été imposée, et lorsque l’Etat défend son peuple ce n’est pas une solution sécuritaire » a-t-il signifié.
Dialoguer avec les maitres et non les esclaves
Pour ce qui est de la solution politique, elle a d’après lui été entravée en raison de l’absence de partenaire : « avec qui devrions-nous dialoguer ? Avec ceux qui prônent une pensée extrémiste qui légitiment l’effusion de sang, les tueries, et le terrorisme, avec des bandes téléguidées par l’étranger,.., avec des marionnettes confectionnées par l’occident qui leur écrit les rôles à jouer », s’est-il interrogé. Pour en déduire toutefois : « dans ce cas, il est préférable de dialoguer avec les originaux, et non les comparses, avec ceux qui les ont confectionnés, avec les maitres et non les esclaves ».
Le président syrien s’est toutefois engagé à toujours tendre la main pour le dialogue, « à ceux qui ne sont pas d’accord avec nous en politique,.., mais qui n’ont pas porté atteinte aux principes nationalistes. Nous sommes prêts à dialoguer avec des partis et des individus qui n’ont pas vendu leur patrie aux étrangers, tous ceux qui sont prêts à jeter l’arme, avec tous ceux qui sont réellement soucieux de l’intérêt de la Syrie, de sa stabilité et de son indépendance ».
Solution aux trois volets
Il a néanmoins précisé que la solution en Syrie nécessite trois volets : politique, sécuritaire pour combattre le terrorisme, ainsi qu’un volet social : « Nous en avons des exemples à Homs et Deraa en particulier où des gens ayant l’esprit nationaliste ont de leur propre initiative amorcé un dialogue entre l’Etat et des gens qui se sont laissés séduire par les miliciens terroristes ; ce qui a donné des résultats très importants », poursuit-il.
Le président syrien a rendu hommage à l’armé syrienne, s’adressant aux officiers et aux soldats, ainsi qu’aux différentes forces de sécurité. Il a salué tous les citoyens syriens, leur ayant porté assistance ; Il a dit compatir avec le peuple syrien et se désoler pour les souffrances qu’il endure par le martyre de ses fils, regrettant que " les cercueils des martyrs soient entrés dans les maisons de beaucoup".
Changer la boussole de l’ennemi
Il s’est engagé à ce que la Syrie reste telle qu’ils l’ont connu : " jamais nous ne renoncerons à nos droits ; le Golan nous appartient, la Palestine est notre cause, pour laquelle nous avons donné ce que nous avons de plus cher, nous soutiendrons à jamais la résistance contre notre ennemi unique ; la résistance est une voie et non des personnes", a-t-il affirmé, assurant que le peuple et l’Etat syriens seront à jamais dans la même position que celle de leurs frères palestiniens.
Selon lui, la tentative d’immiscer les Palestiniens dans les évènements syriens a pour but de changer la direction de la boussole du véritable ennemi et va se solder par un échec.
Main dans la main
Pour terminer son discours, il a assuré que tout ce qui a été planifié contre la Syrie ne changera en rien au nationalisme qui coule dans les veines des Syriens , et pour qui la Syrie est ce qu’il y a de plus chère. Selon lui, " rien ne peut faire effondrer la Syrie , car son peuple résiste à la soumission". Et de conclure : " main dans la main , en dépit des blessures, nous ferons avancer ensemble la Syrie vers un avemir plus radieux et plus fort,... nous avanceron ensemble.. Leurs armes ne nous effraieront pas, ni leur terrorisme ne nous intimidra ; parce que nous avons une cause véridique. Dieu est avec le vrai."
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VoxpopulideChristo- J'adore l'Eucharistie
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Merci pour l'article, VoxpopulideChristo
Lotfi- Dans la prière
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Publié le : 25 mars 2013
D’importants échanges de feu entre Israël et la Syrie, dans la nuit de dimanche à lundi…
C’est la très sérieuse Metulla News Agency qui a donnée l’information – et c’est d’ailleurs la seule. Mais au vu de son emplacement physique et de ses réseaux dans le nord d’Israël, on peut considérer que ce qui y a été publié est fiable.
Selon ce site d’analyse et d’information, des combats importants ont eu lieu entre les armées israéliennes et des forces syriennes.
Les bureaux de la Mena sont situés à moins de 20 km du lieu des affrontements et les responsables connaissent parfaitement des témoins sur place.
De véritables combats à l’arme lourde se déroulent actuellement dans un périmètre précis situé en territoire israélien entre Massadé, au Nord, et Bukata, à 3,7 km plus au Sud.
Et les reporters d’ajouter:
Nous faisons état de tirs nourris de roquettes et de nombreuses explosions, lourdes, qui génèrent une importante anxiété chez les habitants du Golan. Des policiers et des forces de la Mishmar Ha-Gvoul, la police des frontières, nous ont dépassés se dirigeant vers l’épicentre des affrontements. La Brigade Golani, actuellement déployée sur le plateau, gère la situation et des appareils de l’Armée de l’Air survolent la région. Cette fois, il ne fait aucun doute que nous sommes en présence d’une opération concertée de nature agressive, dans laquelle l’ennemi poursuit un plan préétabli.
Nous ignorons encore s’il s’agit d’une action menée par l’armée de Béchar al Assad ou par les milices insurgées.
A 22h10 locales, il y a encore eu des explosions et on a entendu des rafales d’armes automatiques, probablement des mitrailleuses.
Saleh, un habitant du bourg de Boukata, qui demeure à quelques mètres de la frontière syrienne, nous a confié : « j’ignorais que ma maison fût capable de trembler de la sorte sous le souffle des canons. C’était terrifiant ».
Joint par JSSNews, l’armée s’est refusée à tout commentaire mais il semble que les armes se soient tuent vers minuit.
A présent, reste aux analystes de commenter la situation ? Est-ce une tentative de déstabilisation contre le gouvernement syrien ? Est-ce une action menée pour le compte de la Turquie et des Etats-Unis par Israël suite aux dénouements géopolitiques en cours ? Est-ce plus simplement une « réponse » aux très nombreux « tirs intentionnels » des Syriens sur le territoire israélien ? S’il est encore trop tôt pour le dire, chacun garde quand même en mémoire les mots d’Obama à Jérusalem la semaine dernière : « le gouvernement Assad vit ses derniers jours… »
Et dans le même temps, il n’y a toujours aucune confirmation ou infirmation officielle de l’Etat de santé, de vie ou de mort, du dictateur syrien. Plusieurs sources arabes, en Syrie, en Tunisie, mais aussi des sites arabes israéliens et hébraïsants, affirment qu’il aurait été au moins grièvement blessé, sinon tué, par un de ses gardes du corps.
Mais pour le moment, le porte-parole de Tsahal ne fait aucun commentaire.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
C'est Bachar qui tient la Syrie.
Il consternant de voir la France s'opposer à son régime en armant les rebelles.
Il consternant de voir la France s'opposer à son régime en armant les rebelles.
Joannes Maria- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
@ Joannes Maria
D'autant plus que les rebelles en question sont des islamistes : La France soutient les islamistes en Syrie, et les combat au Mali... Cherchez l'erreur !
D'autant plus que les rebelles en question sont des islamistes : La France soutient les islamistes en Syrie, et les combat au Mali... Cherchez l'erreur !
romu- Hosanna au plus haut des cieux!
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Syrie: Obama promet une enquête «solide» sur les armes chimiques
http://fr.euronews.com/ Les Etats-Unis marchent sur des oeufs en annonçant que le régime syrien a probablement "utilisé des armes chimiques à petite échelle, en particulier du gaz sarin". A Abou Dhabi, le secrétaire américain à la défense Chuck Hagel a précisé que les degrés de certitude variaient, ce qui signifierait que les agences de renseignements ne sont pas du même avis.
"Nous avons besoin de tous les faits, de toutes les informations, a ajouté Hagel.Ce dont je vous ai informé c'est ce que notre communauté du renseignement a dit qu'elle savait. Comme je l'ai également dit, ils sont toujours en train de faire une évaluation et de voir ce qui s'est passé, qui est responsable et d'obtenir d'autres détails dont nous aurons besoin".
Le mois dernier, le gouvernement syrien et les rebelles se sont mutuellement accusés d'avoir mené une attaque chimique près de la ville d'Alep, dans le nord du pays.
http://fr.euronews.com/ Les Etats-Unis marchent sur des oeufs en annonçant que le régime syrien a probablement "utilisé des armes chimiques à petite échelle, en particulier du gaz sarin". A Abou Dhabi, le secrétaire américain à la défense Chuck Hagel a précisé que les degrés de certitude variaient, ce qui signifierait que les agences de renseignements ne sont pas du même avis.
"Nous avons besoin de tous les faits, de toutes les informations, a ajouté Hagel.Ce dont je vous ai informé c'est ce que notre communauté du renseignement a dit qu'elle savait. Comme je l'ai également dit, ils sont toujours en train de faire une évaluation et de voir ce qui s'est passé, qui est responsable et d'obtenir d'autres détails dont nous aurons besoin".
Le mois dernier, le gouvernement syrien et les rebelles se sont mutuellement accusés d'avoir mené une attaque chimique près de la ville d'Alep, dans le nord du pays.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Créé le 27-04-2013 à 17h02 - Mis à jour à 17h02
Le ministre syrien de l'Information, Omrane al-Zohbi, a accusé samedi les Etats-Unis et la Grande-Bretagne de "mensonge éhonté" à propos de l'éventuelle utilisation d'armes chimiques en Syrie, dans une interview à la chaîne de télévision russe RT. (c) Afp
Armes chimiques en Syrie: Damas accuse Londres et Washington de mentir
MOSCOU (AFP) - Le ministre syrien de l'Information, Omrane al-Zohbi, a accusé samedi les Etats-Unis et la Grande-Bretagne de "mensonge éhonté" à propos de l'éventuelle utilisation d'armes chimiques en Syrie, dans une interview à la chaîne de télévision russe RT.
"Les déclarations du secrétaire d'Etat américain et du gouvernement britannique ne correspondent pas à la réalité et sont un mensonge éhonté", a déclaré le ministre syrien dans cette interview publiée en anglais sur le site de RT.
"Je tiens à insister une fois de plus sur le fait que la Syrie n'utiliserait jamais (d'armes chimiques), pas seulement parce qu'elle respecte la législation internationale et les règles d'une guerre, mais en raison de problèmes humanitaires et moraux", a ajouté M. al-Zohbi.
Le ministre a estimé que le lobby anti-Assad à l'ONU utilisait la peur de l'arme chimique comme un nouveau moyen de pression politique et économique sur le gouvernement syrien.
La Russie, qui soutient le régime de Damas, a été dans le même sens samedi que le ministre syrien, Moscou estimant que les informations faisant état de l'utilisation d'armes chimiques en Syrie ne doivent pas constituer un alibi pour une intervention militaire dans ce pays.
"S'il y a des preuves sérieuses sur l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, il faut les montrer immédiatement et ne pas les dissimuler", a prévenu Mikhail Bogdanov, l'émissaire du président russe Vladimir Poutine pour le Moyen-Orient.
"Il faut s'assurer de ces données immédiatement et conformément à des critères internationaux et non pas les utiliser pour atteindre d'autres objectifs. Il ne faut pas qu'elles soient un alibi pour une intervention en Syrie", a indiqué l'émissaire spécial selon des propos à la chaîne Al-Mayadeen traduits en arabe. M. Bogdanov se trouve en visite depuis jeudi à Beyrouth dans le cadre d'une tournée régionale
Vendredi, le Premier ministre britannique David Cameron avait fait état de "preuves croissantes" de l'usage d'armes chimiques par le régime syrien, une escalade "extrêmement grave" de nature à encourager la communauté internationale à "faire davantage".
De leur côté, les Etats-Unis ont reconnu pour la première fois jeudi que le régime syrien avait probablement utilisé des armes chimiques, tout en soulignant que leurs renseignements n'étaient pas suffisants pour avoir la certitude que Damas avait franchi la "ligne rouge" tracée par Washington.
Le président américain Barack Obama a promis une "enquête très solide" sur l'utilisation éventuelle d'armes chimiques en Syrie et mis à nouveau en garde Damas contre un recours à ces dernières, qui changerait selon lui "la règle du jeu" du conflit.
Le Royaume-Uni et la France ont demandé à l'ONU d'enquêter sur des accusations de l'opposition syrienne selon lesquelles Damas a utilisé des armes chimiques à Homs (centre) et dans les environs d'Alep (nord) et de Damas. Le gouvernement syrien a accusé les opposants d'avoir fait de même près d'Alep le 19 mars.
La Syrie a elle aussi demandé à l'ONU d'enquêter sur l'incident survenu à Khan al-Assal, a ajouté Omrane al-Zohbi.
"Cela prouve une fois de plus que la politique du gouvernement syrien est orientée contre l'utilisation de toute arme de destruction massive par qui que ce soit : des terroristes, Israël ou tout autre pays voisin", a-t-il déclaré.
Le ministre syrien a accusé les grandes puissances occidentales de vouloir répéter en Syrie le "scénario irakien" qui a mené à la chute du dictateur irakien Saddam Hussein, en prétextant la présence d'armes chimiques dans le pays.
L'argument des Etats-Unis de la présence d'armes de destruction massive en Irak avait servi à justifier l'invasion de ce pays en mars 2003. Cet argument s'était ensuite révélé faux.
Sur le terrain en Syrie, les forces de Bachar al-Assad ont bombardé samedi la ville de Douma, près de la capitale Damas, tuant dix personnes, dont un enfant, a rapporté une ONG syrienne.
Dans le même temps, la ville de Mouadamiyat al-Cham (banlieue sud-ouest de Damas) a fait l'objet de "raids aériens et d'un pilonnage aux obus de chars" qui ont fait des dégâts matériels, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Le pilonnage contre le quartier de Barzé à Damas s'est poursuivi pour la troisième journée consécutive. Les combats les plus violents depuis deux ans, s'y sont déroulés vendredi entre rebelles d'un côté, et armée et miliciens pro-régime de l'autre, selon l'OSDH.
Le ministre syrien de l'Information, Omrane al-Zohbi, a accusé samedi les Etats-Unis et la Grande-Bretagne de "mensonge éhonté" à propos de l'éventuelle utilisation d'armes chimiques en Syrie, dans une interview à la chaîne de télévision russe RT. (c) Afp
Armes chimiques en Syrie: Damas accuse Londres et Washington de mentir
MOSCOU (AFP) - Le ministre syrien de l'Information, Omrane al-Zohbi, a accusé samedi les Etats-Unis et la Grande-Bretagne de "mensonge éhonté" à propos de l'éventuelle utilisation d'armes chimiques en Syrie, dans une interview à la chaîne de télévision russe RT.
"Les déclarations du secrétaire d'Etat américain et du gouvernement britannique ne correspondent pas à la réalité et sont un mensonge éhonté", a déclaré le ministre syrien dans cette interview publiée en anglais sur le site de RT.
"Je tiens à insister une fois de plus sur le fait que la Syrie n'utiliserait jamais (d'armes chimiques), pas seulement parce qu'elle respecte la législation internationale et les règles d'une guerre, mais en raison de problèmes humanitaires et moraux", a ajouté M. al-Zohbi.
Le ministre a estimé que le lobby anti-Assad à l'ONU utilisait la peur de l'arme chimique comme un nouveau moyen de pression politique et économique sur le gouvernement syrien.
La Russie, qui soutient le régime de Damas, a été dans le même sens samedi que le ministre syrien, Moscou estimant que les informations faisant état de l'utilisation d'armes chimiques en Syrie ne doivent pas constituer un alibi pour une intervention militaire dans ce pays.
"S'il y a des preuves sérieuses sur l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, il faut les montrer immédiatement et ne pas les dissimuler", a prévenu Mikhail Bogdanov, l'émissaire du président russe Vladimir Poutine pour le Moyen-Orient.
"Il faut s'assurer de ces données immédiatement et conformément à des critères internationaux et non pas les utiliser pour atteindre d'autres objectifs. Il ne faut pas qu'elles soient un alibi pour une intervention en Syrie", a indiqué l'émissaire spécial selon des propos à la chaîne Al-Mayadeen traduits en arabe. M. Bogdanov se trouve en visite depuis jeudi à Beyrouth dans le cadre d'une tournée régionale
Vendredi, le Premier ministre britannique David Cameron avait fait état de "preuves croissantes" de l'usage d'armes chimiques par le régime syrien, une escalade "extrêmement grave" de nature à encourager la communauté internationale à "faire davantage".
De leur côté, les Etats-Unis ont reconnu pour la première fois jeudi que le régime syrien avait probablement utilisé des armes chimiques, tout en soulignant que leurs renseignements n'étaient pas suffisants pour avoir la certitude que Damas avait franchi la "ligne rouge" tracée par Washington.
Le président américain Barack Obama a promis une "enquête très solide" sur l'utilisation éventuelle d'armes chimiques en Syrie et mis à nouveau en garde Damas contre un recours à ces dernières, qui changerait selon lui "la règle du jeu" du conflit.
Le Royaume-Uni et la France ont demandé à l'ONU d'enquêter sur des accusations de l'opposition syrienne selon lesquelles Damas a utilisé des armes chimiques à Homs (centre) et dans les environs d'Alep (nord) et de Damas. Le gouvernement syrien a accusé les opposants d'avoir fait de même près d'Alep le 19 mars.
La Syrie a elle aussi demandé à l'ONU d'enquêter sur l'incident survenu à Khan al-Assal, a ajouté Omrane al-Zohbi.
"Cela prouve une fois de plus que la politique du gouvernement syrien est orientée contre l'utilisation de toute arme de destruction massive par qui que ce soit : des terroristes, Israël ou tout autre pays voisin", a-t-il déclaré.
Le ministre syrien a accusé les grandes puissances occidentales de vouloir répéter en Syrie le "scénario irakien" qui a mené à la chute du dictateur irakien Saddam Hussein, en prétextant la présence d'armes chimiques dans le pays.
L'argument des Etats-Unis de la présence d'armes de destruction massive en Irak avait servi à justifier l'invasion de ce pays en mars 2003. Cet argument s'était ensuite révélé faux.
Sur le terrain en Syrie, les forces de Bachar al-Assad ont bombardé samedi la ville de Douma, près de la capitale Damas, tuant dix personnes, dont un enfant, a rapporté une ONG syrienne.
Dans le même temps, la ville de Mouadamiyat al-Cham (banlieue sud-ouest de Damas) a fait l'objet de "raids aériens et d'un pilonnage aux obus de chars" qui ont fait des dégâts matériels, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Le pilonnage contre le quartier de Barzé à Damas s'est poursuivi pour la troisième journée consécutive. Les combats les plus violents depuis deux ans, s'y sont déroulés vendredi entre rebelles d'un côté, et armée et miliciens pro-régime de l'autre, selon l'OSDH.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
namish a écrit:J’espère que vous vous posez les bonnes questions sur cette pseudo guerre civile. J'en doute quand même car je n'ai vu que des sources anti Régime Syrien...
On nous rabâche tout le temps (je vous fais pas un dessin) que la religion est la source de tout les maux de la terre, et la Syrie n'en est pas exempt...mais quel bordel ils foutent dans le monde avec leur démoncratie à la con!!! On sait très bien que parmi les pseudo rebelles, à peine 10% sont de vrai rebelles syriens tout le reste n'est que djihadiste, criminels et j'en passe.
Je finis par me demander si ceux qu'on veux nous présenter comme l'axe du mal n'est pas en réalité le dernier rempart face aux démons qui oeuvre dans l'ombre........et dire...dire que la plupart des occidentaux soutienne, ou du moins cautionne ça!!!
Je ne crois plus en l'homme ni même en mes compatriotes...de plus quand je vois un homme d'église soutenir les djihadistes, je me dis que j'ai très bien fais de ne pas me faire baptiser, qu'en réalité je n'en ai pas besoin...je ne veux d'intermédiaire de cet espèce entre Dieu et moi.
moi aussi je ne comprends pas comment on peut soutenir les rebelles... Des dijhadistes enrolant les jeunes de nos pays pour aller au combat et mourir pour leur idéal.
Mais que deviendra la Syrie une fois au pouvoir ces gens là ? Un autre Iran ?
un autre Afghanistant ?
Quand on voit en Libye que les églises sont brulées ; qu'un prete copte a eu la vie sauve grace à des musulmans non intégristes...
Marieke- Avec Sainte Therese de l'Enfant Jésus
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
le nouvel observateur : pas super comme journal
Niko- J'adore l'Eucharistie
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Le soutien de l'Occident à la rébellion syrienne est purement géopolitique, à mon avis. Clairement, l'ONU est à la solde des Etats-Unis. Il n'y a qu'à voir le fait que l'Organisation vient de placer la Polynésie sur la liste des pays à décoloniser. C'est une manoeuvre parfaitement stratégique. En effet, les Etats-Unis ne seraient pas malheureux de voir la France, deuxième Etat maritime au monde, être fortement affaiblie sur ce point de vue-là, surtout dans le contexte actuel de course à l'énergie et aux métaux rares.
Le soutien à la rébellion syrienne s'inscrit dans cette volonté de puissance des Etats-Unis. En effet, depuis des dizaines d'années, ceux-ci bataillent contre l'influence de la Russie dans le monde. Or la Russie soutient le régime de Bachar et la chute de ce régime constituerait une forte perte d'influence dans la région.
Alors, tout comme ils l'ont fait en Afghanistan en soutenant les djihadistes avec l'appui des Saoudiens (et maintenant des Qataris), les Etats-Unis soutiennent, en Syrie, une population armée qui vomit l'Occident, quitte à le payer sur le long terme en obtenant des gains sur le court terme.
Le soutien à la rébellion syrienne s'inscrit dans cette volonté de puissance des Etats-Unis. En effet, depuis des dizaines d'années, ceux-ci bataillent contre l'influence de la Russie dans le monde. Or la Russie soutient le régime de Bachar et la chute de ce régime constituerait une forte perte d'influence dans la région.
Alors, tout comme ils l'ont fait en Afghanistan en soutenant les djihadistes avec l'appui des Saoudiens (et maintenant des Qataris), les Etats-Unis soutiennent, en Syrie, une population armée qui vomit l'Occident, quitte à le payer sur le long terme en obtenant des gains sur le court terme.
Fanlou- Va recevoir Jésus Christ
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
Mise à jour le mardi 18 juin 2013 à 12 h 31 HAE
Les présidents américain et russe, Barack Obama et Vladimir Poutine, lors d'une rencontre bilatérale lors du sommet du G8.
Le G8 parvient à une déclaration commune sur la Syrie
Les chefs d'État et de gouvernement du G8, réunis depuis deux jours en Irlande du Nord, sont parvenus à dégager une position commune sur le conflit syrien en dépit d'un désaccord entre les Occidentaux et la Russie, principal allié de la Syrie.
Le G8 s'est entendu sur la nécessité de tenir une rencontre de paix à Genève sans toutefois fixer de date. « Nous appuyons avec force la décision d'organiser dès que possible la conférence de Genève sur la Syrie », est-il écrit dans la déclaration publiée à l'issue du sommet de Lough Erne, en Irlande du Nord. Les dirigeants du G8 se disent également déterminés à trouver « une solution politique à la crise, basée sur une vision d'une Syrie démocratique » représentative de l'ensemble de la population.
Les dirigeants du G8 se sont également déclarés « très inquiets » de la « menace grandissante du terrorisme et de l'extrémisme en Syrie », tout en déplorant « la nature de plus en plus intercommunautaire du conflit ».
Les dirigeants du G8 lors d'une séance de discussion.
Le sort du président syrien Bachar Al-Assad est évacué de la déclaration finale puisque les Occidentaux et la Russie ne s'entendent pas sur le sujet. La Russie estime que c'est au peuple syrien de statuer sur son sort alors que les dirigeants des pays occidentaux réclament son départ.
Une fois sorti de la rencontre du G8, le président américain Barack Obama a déclaré qu'il était important de bâtir une solide opposition qui pourrait assurer la transition après la chute de Bachar Al-Assad.
Pendant ce temps, le président russe Vladimir Poutine a critiqué les livraisons d'armes aux insurgés tout en défendant les relations entre Moscou et Damas dans le domaine de l'armement. M. Poutine a même évoqué la possibilité de signer de nouvelles ententes avec le régime Al-Assad.
Le premier ministre Stephen Harper
À sa sortie de la réunion, le premier ministre canadien s'est réjoui des progrès réalisés au cours du sommet. Contrairement à ce qu'il déclarait plus tôt sur la présence de Vladimir Poutine, il estime que le G8 réussit à livrer une déclaration commune. Il précise que le G8 s'entend sur la nécessité pour la Syrie de se diriger vers une transition. « Je ne pense pas qu'on puisse imaginer le libellé comme un appui au régime en place en Syrie », a précisé M. Harper.
« Nous avons un résultat fort différent de ce que j'avais prévu. Nous n'avons non pas une déclaration 7+1, mais bien une déclaration appuyée par tout le G8 », a dit le premier ministre.
Le Canada a aussi annoncé une augmentation de son aide humanitaire aux victimes du conflit syrien.
Libre-échange
Le premier ministre Harper a également abordé les discussions de libre-échange avec l'Union européenne. Les négociations semblent avoir régressé avec l'Europe qui a, par ailleurs, entamé des négociations parallèles avec les États-Unis. Les Européens souhaiteraient notamment rouvrir des clauses sur lesquelles les deux parties étaient parvenues à des ententes. Le premier ministre s'est contenté de dire que les discussions se poursuivaient et qu'elles « demeuraient fructueuses ».
À lire aussi : Al-Assad met en garde les Européens
Lutte contre l'évasion fiscale
Outre la situation en Syrie, les dirigeants du G8 ont discuté de lutte contre l'évasion fiscale et les paradis fiscaux qui feraient perdre chaque année 1000 milliards d'euros à l'Europe et jusqu'à 30 000 milliards de dollars de taxes et impôts dans l'ensemble du monde.
Ce dossier est l'une des priorités du premier ministre de la Grande-Bretagne, David Cameron, qui est président du sommet cette année.
Les Européens, qui se sont engagés dans la lutte contre l'évasion fiscale, réclament des mécanismes internationaux en matière d'échange d'informations entre les pays sur l'évasion fiscale, considérée comme un véritable fléau par les gouvernements.
Par ailleurs, les dirigeants réunis à Enniskillen se sont entendus sur un refus commun de verser des rançons en cas d'enlèvement de leurs ressortissants par des terroristes.
D'après des experts britanniques, le réseau Al-Qaïda a engrangé quelque 70 millions de dollars au moyen de prises d'otages menées depuis deux ans.
Stephen Harper en tête-à-tête avec Barack Obama
Quant au premier ministre du Canada, Stephen Harper, il s'est entretenu en privé une douzaine de minutes avec son homologue américain, Barack Obama. La nature des sujets abordés par les deux hommes n'a cependant pas été révélée.
Les présidents américain et russe, Barack Obama et Vladimir Poutine, lors d'une rencontre bilatérale lors du sommet du G8.
Le G8 parvient à une déclaration commune sur la Syrie
Les chefs d'État et de gouvernement du G8, réunis depuis deux jours en Irlande du Nord, sont parvenus à dégager une position commune sur le conflit syrien en dépit d'un désaccord entre les Occidentaux et la Russie, principal allié de la Syrie.
Le G8 s'est entendu sur la nécessité de tenir une rencontre de paix à Genève sans toutefois fixer de date. « Nous appuyons avec force la décision d'organiser dès que possible la conférence de Genève sur la Syrie », est-il écrit dans la déclaration publiée à l'issue du sommet de Lough Erne, en Irlande du Nord. Les dirigeants du G8 se disent également déterminés à trouver « une solution politique à la crise, basée sur une vision d'une Syrie démocratique » représentative de l'ensemble de la population.
Les dirigeants du G8 se sont également déclarés « très inquiets » de la « menace grandissante du terrorisme et de l'extrémisme en Syrie », tout en déplorant « la nature de plus en plus intercommunautaire du conflit ».
Les dirigeants du G8 lors d'une séance de discussion.
Le sort du président syrien Bachar Al-Assad est évacué de la déclaration finale puisque les Occidentaux et la Russie ne s'entendent pas sur le sujet. La Russie estime que c'est au peuple syrien de statuer sur son sort alors que les dirigeants des pays occidentaux réclament son départ.
Une fois sorti de la rencontre du G8, le président américain Barack Obama a déclaré qu'il était important de bâtir une solide opposition qui pourrait assurer la transition après la chute de Bachar Al-Assad.
Pendant ce temps, le président russe Vladimir Poutine a critiqué les livraisons d'armes aux insurgés tout en défendant les relations entre Moscou et Damas dans le domaine de l'armement. M. Poutine a même évoqué la possibilité de signer de nouvelles ententes avec le régime Al-Assad.
Le premier ministre Stephen Harper
À sa sortie de la réunion, le premier ministre canadien s'est réjoui des progrès réalisés au cours du sommet. Contrairement à ce qu'il déclarait plus tôt sur la présence de Vladimir Poutine, il estime que le G8 réussit à livrer une déclaration commune. Il précise que le G8 s'entend sur la nécessité pour la Syrie de se diriger vers une transition. « Je ne pense pas qu'on puisse imaginer le libellé comme un appui au régime en place en Syrie », a précisé M. Harper.
« Nous avons un résultat fort différent de ce que j'avais prévu. Nous n'avons non pas une déclaration 7+1, mais bien une déclaration appuyée par tout le G8 », a dit le premier ministre.
Le Canada a aussi annoncé une augmentation de son aide humanitaire aux victimes du conflit syrien.
Libre-échange
Le premier ministre Harper a également abordé les discussions de libre-échange avec l'Union européenne. Les négociations semblent avoir régressé avec l'Europe qui a, par ailleurs, entamé des négociations parallèles avec les États-Unis. Les Européens souhaiteraient notamment rouvrir des clauses sur lesquelles les deux parties étaient parvenues à des ententes. Le premier ministre s'est contenté de dire que les discussions se poursuivaient et qu'elles « demeuraient fructueuses ».
À lire aussi : Al-Assad met en garde les Européens
Lutte contre l'évasion fiscale
Outre la situation en Syrie, les dirigeants du G8 ont discuté de lutte contre l'évasion fiscale et les paradis fiscaux qui feraient perdre chaque année 1000 milliards d'euros à l'Europe et jusqu'à 30 000 milliards de dollars de taxes et impôts dans l'ensemble du monde.
Ce dossier est l'une des priorités du premier ministre de la Grande-Bretagne, David Cameron, qui est président du sommet cette année.
Les Européens, qui se sont engagés dans la lutte contre l'évasion fiscale, réclament des mécanismes internationaux en matière d'échange d'informations entre les pays sur l'évasion fiscale, considérée comme un véritable fléau par les gouvernements.
Par ailleurs, les dirigeants réunis à Enniskillen se sont entendus sur un refus commun de verser des rançons en cas d'enlèvement de leurs ressortissants par des terroristes.
D'après des experts britanniques, le réseau Al-Qaïda a engrangé quelque 70 millions de dollars au moyen de prises d'otages menées depuis deux ans.
Stephen Harper en tête-à-tête avec Barack Obama
Quant au premier ministre du Canada, Stephen Harper, il s'est entretenu en privé une douzaine de minutes avec son homologue américain, Barack Obama. La nature des sujets abordés par les deux hommes n'a cependant pas été révélée.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Inscription : 25/03/2008
Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
La fin du regime syrien serait une catastrophe pr les chretiens d orient et les musulmans moderes...
sainttenma- Pour le roi
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Re: SYRIE : La Paix enfin possible dans ce pays ? Prions !
sainttenma a écrit:La fin du regime syrien serait une catastrophe pr les chretiens d orient et les musulmans moderés...
Absolument ,car on assiste en syrie à une contre révolution appuyée par l'Occident sauf la Russie.....
Je tiens à donner des précisions:
1- La première phase a aboutit à un échec du NOM en Syrie......La syrie c'est pire que l'Irak...çà il l'ont oublié....
Bientôt commencera la Deuxième phase qui commencera par l'accelération du rythme de la guerre,un coup d'Etat puis une Guerre avec l'Occident.....
2-Les Catholiques et Orthodoxes de Syrie doivent se défendre et défendre leur pays contre les Criminels les tueurs et les mercenaires-Espions Français Anglais et Américains pions du NOM ...comme il l'ont défendu de la Tutelle de la France (Période Coloniale)....
Il faut les attraper tous puis les remettre dans les mains des Soldats et les traduire en Justice.
NB:d'après l’eschatologie de l'Islam l'Avertissement viendra juste après le coup d'Etat en Syrie
Lotfi- Dans la prière
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