sainte MARIA GORETTI
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FrancoiseF
violaine
Manuela
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Re: sainte MARIA GORETTI
Merci Pannetier
je ne trouve pas de mots pour exprimer ce que je ressens,
si seulement on pouvait de nos jours remontrer ces films à cette jeunesse dépravée
Violaine
je ne trouve pas de mots pour exprimer ce que je ressens,
si seulement on pouvait de nos jours remontrer ces films à cette jeunesse dépravée
Violaine
violaine- Avec les anges
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Re: sainte MARIA GORETTI
Violaine,
Il faut aimer cette jeunesse.
C'est la société qui la corrompt ; ce sont les idéologies qui l'abime...
On a une responsabilité énorme auprès des jeunes que l'on côtoie ; que leur proposons nous ?
Ayons chez nous des bons films, des bons cds, des bons livres...usons en et offrons en puis surtout parlons en.
Résistons à ce monde en offrant du beau et du bon ; Dieu pourvoiera !
STE. MARIA GORETTI,
Il faut aimer cette jeunesse.
C'est la société qui la corrompt ; ce sont les idéologies qui l'abime...
On a une responsabilité énorme auprès des jeunes que l'on côtoie ; que leur proposons nous ?
Ayons chez nous des bons films, des bons cds, des bons livres...usons en et offrons en puis surtout parlons en.
Résistons à ce monde en offrant du beau et du bon ; Dieu pourvoiera !
STE. MARIA GORETTI,
Dernière édition par panetier le Ven 8 Juil 2011 - 16:32, édité 1 fois
P4572- Dans la prière
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Re: sainte MARIA GORETTI
oui Panetier vous avez raison
Violaine
Violaine
violaine- Avec les anges
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Re: sainte MARIA GORETTI
Neuvaine à Sainte Maria Goretti
Prière à dire chaque jour
Sainte Maria Goretti, vous qui fortifiée par la Grâce de Dieu, n'avez pas hésité, même à l'âge de 12 ans, à répandre votre sang et à sacrifier votre vie pour défendre votre pureté virginale, jetez un regard sur la malheureuse race humaine qui s'est égarée loin du chemin du Salut éternel. Enseignez-nous à tous, et spécialement aux jeunes, avec quel courage et promptitude nous devons fuir, pour l'amour de Jésus, tout ce qui peut L'offenser ou souiller nos âmes par le péché. Obtenez-nous du Seigneur la victoire dans la tentation, le réconfort dans les peines de la vie et la grâce que nous vous demandons avec ferveur (nommer les intentions). Puissions-nous un jour jouir avec vous de la Gloire éternelle du Ciel. Amen.
Premier jour
Pureté
« Là domine, par-dessus tout, sa pureté. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Aimable petite Sainte, qui avez placé votre pureté au-dessus de tout bien terrestre et qui avez scellé votre choix par le martyre, obtenez-moi aussi un grand amour pour cette vertu si consolante pour le Cœur Sacré de Jésus et pour le Cœur Douloureux et Immaculé de Marie. Les plaisirs du monde m'entourent de nombreuses tentations. J'en appelle à votre puissante intercession afin qu'avec votre aide je puisse demeurer toujours et en tout fidèle à Dieu. Dans les danger, inspirez-moi de répéter avec vous « non, c'est un péché ». Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Deuxième jour
Obéissance
« Nous voyons (dans sa vie) un amour tendre et docile pour ses parents, qui est en même temps pratique et soumis ».
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Sainte Maria Goretti, modèle d'obéissance aimante envers les parents, enseignez-moi à imiter votre exemple. Aidez-moi à surmonter tout orgueil égoïste et têtu; attirez mes parents vers vus et enseignez-moi à accepter leur autorité comme la Voix de Dieu dans ma vie. Aidez-les à me guider dans la bonne voie et rendez-moi capable d'obéir à leur moindre désirs. Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Troisième jour
Renoncement à soi
« Il y avait le sacrifice qu'elle faisait dans son dur travail quotidien. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Chère petite Sainte! Vous étiez prête à pour le martyre parce que votre courte vie était vouée au renoncement quotidien et héroïque. Votre grand amour pour les Cœurs Sacrés a rendu cela possible. Enseignez-moi à aimer Jésus et Sa Très Sainte Mère afin que je parvienne, moi aussi, au renoncement quotidien. J'ai tendance à me choyer, à satisfaire mes sens, à trouver des excuses pour ne pas faire pénitence. Ceci m'empêche d'être un vrai disciple du Christ. Aidez-moi, aimable petite Sainte, à pratiquer sincèrement le renoncement, afin que je sois un disciple digne de vous et que je puisse ainsi gagner le Ciel pour l'éternité. Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Quatrième jour
Acceptation de la vie présente
« Il y avait cette pauvreté évangélique à laquelle elle s'est soumise librement. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Sainte Maria Goretti! Vos journées s'écoulaient dans la saleté des marais, aidant de bonne grâce votre famille terriblement pauvre. Obtenez-moi la grâce d'accepter les circonstances présentes de ma vie, même si elles sont difficiles et humiliantes. « Juste une petite goutte d'eau » fut la seule demande qui tomba de vos lèvres desséchées pendant ces dernières heures cruelles de votre vie. Comme je réclame, combien je suis malheureux quand je ne peux avoir ma part des biens du monde et des distractions tapageuses! Enseignez-moi par votre exemple héroïque à me contenter de ce que j'ai, d'être reconnaissant pour les grâces que Dieu a déjà déversées sur moi. Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Cinquième jour
Confiance en Dieu
« Elle était soutenue par sa confiance dans la Providence. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Aimable petite Saintes, dans les difficultés et la souffrance je compte beaucoup sur l'aide de mes amis. Je recherche leur approbation dans beaucoup de choses que je fais, et quand ils m'abandonnent, je suis inconsolable et seul. Par votre puissante intercession, obtenez-moi la grâce de mettre toute ma confiance en Dieu. C'est seulement en marchant continuellement en Sa présence et en comptant sur Son secours que j'aurai le courage de défendre Ses Lois, même si cela m'attire des critiques ou la perte de mes amis et de mon confort. Aidez-moi à trouver ma force en Lui seul. Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Prière à dire chaque jour
Sainte Maria Goretti, vous qui fortifiée par la Grâce de Dieu, n'avez pas hésité, même à l'âge de 12 ans, à répandre votre sang et à sacrifier votre vie pour défendre votre pureté virginale, jetez un regard sur la malheureuse race humaine qui s'est égarée loin du chemin du Salut éternel. Enseignez-nous à tous, et spécialement aux jeunes, avec quel courage et promptitude nous devons fuir, pour l'amour de Jésus, tout ce qui peut L'offenser ou souiller nos âmes par le péché. Obtenez-nous du Seigneur la victoire dans la tentation, le réconfort dans les peines de la vie et la grâce que nous vous demandons avec ferveur (nommer les intentions). Puissions-nous un jour jouir avec vous de la Gloire éternelle du Ciel. Amen.
Premier jour
Pureté
« Là domine, par-dessus tout, sa pureté. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Aimable petite Sainte, qui avez placé votre pureté au-dessus de tout bien terrestre et qui avez scellé votre choix par le martyre, obtenez-moi aussi un grand amour pour cette vertu si consolante pour le Cœur Sacré de Jésus et pour le Cœur Douloureux et Immaculé de Marie. Les plaisirs du monde m'entourent de nombreuses tentations. J'en appelle à votre puissante intercession afin qu'avec votre aide je puisse demeurer toujours et en tout fidèle à Dieu. Dans les danger, inspirez-moi de répéter avec vous « non, c'est un péché ». Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Deuxième jour
Obéissance
« Nous voyons (dans sa vie) un amour tendre et docile pour ses parents, qui est en même temps pratique et soumis ».
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Sainte Maria Goretti, modèle d'obéissance aimante envers les parents, enseignez-moi à imiter votre exemple. Aidez-moi à surmonter tout orgueil égoïste et têtu; attirez mes parents vers vus et enseignez-moi à accepter leur autorité comme la Voix de Dieu dans ma vie. Aidez-les à me guider dans la bonne voie et rendez-moi capable d'obéir à leur moindre désirs. Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Troisième jour
Renoncement à soi
« Il y avait le sacrifice qu'elle faisait dans son dur travail quotidien. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Chère petite Sainte! Vous étiez prête à pour le martyre parce que votre courte vie était vouée au renoncement quotidien et héroïque. Votre grand amour pour les Cœurs Sacrés a rendu cela possible. Enseignez-moi à aimer Jésus et Sa Très Sainte Mère afin que je parvienne, moi aussi, au renoncement quotidien. J'ai tendance à me choyer, à satisfaire mes sens, à trouver des excuses pour ne pas faire pénitence. Ceci m'empêche d'être un vrai disciple du Christ. Aidez-moi, aimable petite Sainte, à pratiquer sincèrement le renoncement, afin que je sois un disciple digne de vous et que je puisse ainsi gagner le Ciel pour l'éternité. Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Quatrième jour
Acceptation de la vie présente
« Il y avait cette pauvreté évangélique à laquelle elle s'est soumise librement. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Sainte Maria Goretti! Vos journées s'écoulaient dans la saleté des marais, aidant de bonne grâce votre famille terriblement pauvre. Obtenez-moi la grâce d'accepter les circonstances présentes de ma vie, même si elles sont difficiles et humiliantes. « Juste une petite goutte d'eau » fut la seule demande qui tomba de vos lèvres desséchées pendant ces dernières heures cruelles de votre vie. Comme je réclame, combien je suis malheureux quand je ne peux avoir ma part des biens du monde et des distractions tapageuses! Enseignez-moi par votre exemple héroïque à me contenter de ce que j'ai, d'être reconnaissant pour les grâces que Dieu a déjà déversées sur moi. Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Cinquième jour
Confiance en Dieu
« Elle était soutenue par sa confiance dans la Providence. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Aimable petite Saintes, dans les difficultés et la souffrance je compte beaucoup sur l'aide de mes amis. Je recherche leur approbation dans beaucoup de choses que je fais, et quand ils m'abandonnent, je suis inconsolable et seul. Par votre puissante intercession, obtenez-moi la grâce de mettre toute ma confiance en Dieu. C'est seulement en marchant continuellement en Sa présence et en comptant sur Son secours que j'aurai le courage de défendre Ses Lois, même si cela m'attire des critiques ou la perte de mes amis et de mon confort. Aidez-moi à trouver ma force en Lui seul. Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
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Re: sainte MARIA GORETTI
Sixième jour
Respect pour les enseignants
« Il y avait sa religion à laquelle elle tenait fermement et qu'elle désirait mieux comprendre de jour en jour. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Douce petite Sainte! Aidez-moi à avoir un plus grand amour pour ma religion. Dieu m'envoie maintes occasion de l'étudier, mais, quelle tristesse! Je les néglige. Je me permets même de critiquer des Prêtres, des Frères et des Religieuses qui offrent leur vie pour que je puisse connaître et aimer ma sainte religion. Aimable petite Sainte, enseignez-moi à remercier le Ciel de ces grâces que vous n'avez pas reçues. Rendez-moi fier de ma Foi et prêt à mourir pour pour Elle si Dieu me le demande. Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Septième jour
Amour de la Sainte Communion
« Il y avait son ardent désir de recevoir Jésus dans l'Eucharistie. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Chère petite Sainte, jamais Jésus ne fut mieux accueilli dans un Cœur humain que dans le vôtre. Le grand jour de votre Première Communion ne venait pas assez vite. Dans des vêtements empruntés et la tête couronnée de fleurs des champs, vous vous êtes agenouillée pour Le recevoir dans votre âme, si riche d'innocence et d'amour, après des mois d'attente impatiente! Vous dont l'intercession est puissante auprès de l'Agneau de Dieu, enflammez mon âme de votre « ardent désir de recevoir Jésus dans l'Eucharistie ». Obtenez-moi la grâce de fuir la paresse et l'indifférence, de sorte que je puisse souvent et même quotidiennement me laisser consumer dans « la fournaise ardente de Charité ». Enseignez-moi ce qu'est le véritable Amour! Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Huitième jour
Charité envers le prochain
« Il y avait, couronnement de sa Charité, le pardon héroïque qu'elle accorda à l'homme qui l'a tuée. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Douce petite Martyre! Jusqu'à la fin, vous avez suivi votre Jésus bien-aimé! Pendu à Sa Croix de souffrance, Il a murmuré à travers ses lèvres desséchées: « Père, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font! » Et vous, sur votre lit de douleur, brûlante de fièvre, vous avez pardonné à votre assassin par ces mots: « Je lui pardonne moi aussi. Je désire qu'il me rejoigne au Paradis! » Héroïque petite Sainte, accordez-moi la grâce d'être charitable envers les autres! La plupart de mon temps est absorbé par des pensées de vengeance, cherchant comment je peux faire payer aux autres le mal qu'ils m'ont fait. Enseignez-moi à pardonner, afin non seulement que je gagne le Ciel, mais que j'y entraîne aussi les autres qui, autrement, pourraient être condamnés à l'enfer. Comme je dois suivre le Christ, aidez-moi à imiter Sa Charité comme vous l'avez fait. Amen.
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Neuvième jour
Amour pour la Sainte Vierge
« En vous, tous les jeunes trouveront un refuge sûr. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Sainte Maria Goretti! Une fois de plus, j'ai recours à vous et vous supplie dans les mots de Sa Sainteté le Vénérable Pape Pie XII, de m'obtenir « la sérénité de l'esprit et la joie profonde qui est l'héritage des coeurs purs. » Aidez-moi à recourir à Notre Dame, confiant dans l'espoir qu'elle prendra ma main comme Elle l'a fait pour vous et me conduira au Paradis, dans ma céleste Patrie pour y jouir avec Elle et vous de la compagnie de Dieu le Père, le Fils et le Saint Esprit, pour l'éternité. Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Texte intégralement extrait de « Neuvaine à Sainte Maria Goretti », du P. Conroy, aux Ed. du Parvis
Respect pour les enseignants
« Il y avait sa religion à laquelle elle tenait fermement et qu'elle désirait mieux comprendre de jour en jour. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Douce petite Sainte! Aidez-moi à avoir un plus grand amour pour ma religion. Dieu m'envoie maintes occasion de l'étudier, mais, quelle tristesse! Je les néglige. Je me permets même de critiquer des Prêtres, des Frères et des Religieuses qui offrent leur vie pour que je puisse connaître et aimer ma sainte religion. Aimable petite Sainte, enseignez-moi à remercier le Ciel de ces grâces que vous n'avez pas reçues. Rendez-moi fier de ma Foi et prêt à mourir pour pour Elle si Dieu me le demande. Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Septième jour
Amour de la Sainte Communion
« Il y avait son ardent désir de recevoir Jésus dans l'Eucharistie. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Chère petite Sainte, jamais Jésus ne fut mieux accueilli dans un Cœur humain que dans le vôtre. Le grand jour de votre Première Communion ne venait pas assez vite. Dans des vêtements empruntés et la tête couronnée de fleurs des champs, vous vous êtes agenouillée pour Le recevoir dans votre âme, si riche d'innocence et d'amour, après des mois d'attente impatiente! Vous dont l'intercession est puissante auprès de l'Agneau de Dieu, enflammez mon âme de votre « ardent désir de recevoir Jésus dans l'Eucharistie ». Obtenez-moi la grâce de fuir la paresse et l'indifférence, de sorte que je puisse souvent et même quotidiennement me laisser consumer dans « la fournaise ardente de Charité ». Enseignez-moi ce qu'est le véritable Amour! Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Huitième jour
Charité envers le prochain
« Il y avait, couronnement de sa Charité, le pardon héroïque qu'elle accorda à l'homme qui l'a tuée. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Douce petite Martyre! Jusqu'à la fin, vous avez suivi votre Jésus bien-aimé! Pendu à Sa Croix de souffrance, Il a murmuré à travers ses lèvres desséchées: « Père, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font! » Et vous, sur votre lit de douleur, brûlante de fièvre, vous avez pardonné à votre assassin par ces mots: « Je lui pardonne moi aussi. Je désire qu'il me rejoigne au Paradis! » Héroïque petite Sainte, accordez-moi la grâce d'être charitable envers les autres! La plupart de mon temps est absorbé par des pensées de vengeance, cherchant comment je peux faire payer aux autres le mal qu'ils m'ont fait. Enseignez-moi à pardonner, afin non seulement que je gagne le Ciel, mais que j'y entraîne aussi les autres qui, autrement, pourraient être condamnés à l'enfer. Comme je dois suivre le Christ, aidez-moi à imiter Sa Charité comme vous l'avez fait. Amen.
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Neuvième jour
Amour pour la Sainte Vierge
« En vous, tous les jeunes trouveront un refuge sûr. »
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Prions
Sainte Maria Goretti! Une fois de plus, j'ai recours à vous et vous supplie dans les mots de Sa Sainteté le Vénérable Pape Pie XII, de m'obtenir « la sérénité de l'esprit et la joie profonde qui est l'héritage des coeurs purs. » Aidez-moi à recourir à Notre Dame, confiant dans l'espoir qu'elle prendra ma main comme Elle l'a fait pour vous et me conduira au Paradis, dans ma céleste Patrie pour y jouir avec Elle et vous de la compagnie de Dieu le Père, le Fils et le Saint Esprit, pour l'éternité. Amen.
Doux Cœur de Jésus, soyez mon Amour!
Doux Cœur de Marie, soyez mon Salut!
Dire la prière à dire chaque jour, suivie du Notre Père, d'un je Vous salue Marie et d'un Gloire au Père, suivi de l'invocation Sainte Maria Goretti, priez pour nous. Conclure par le signe de la Croix.
Texte intégralement extrait de « Neuvaine à Sainte Maria Goretti », du P. Conroy, aux Ed. du Parvis
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Re: sainte MARIA GORETTI
ALLESSANDRO SERENELLI fut l'assassin de Marietta.
Converti en prison, il vécut à sa sortie comme un homme très pieux dans une communauté de capucins.
Il mourut en 1970 à 88 ans ; soit 8 années après ce testament-témoignage qu'il nous laissa.
« Je suis âgé de presque 80 ans, et ma journée va bientôt se terminer. Si je jette un regard sur mon passé, je reconnais que dans ma première jeunesse j'ai pris un mauvais chemin : celui du mal qui m'a conduit à la ruine ; j'ai été influencé par la presse, les spectacles et les mauvais exemples que la plupart des jeunes suivent sans réfléchir, mais je ne m'en souciais pas. J'avais auprès de moi des personnes croyantes et pratiquantes, mais je ne faisais pas attention à elles, aveuglé par une force brutale qui me poussait sur une route mauvaise. À vingt ans j'ai commis un crime passionnel, dont le seul souvenir me fait encore frémir aujourd'hui.
Marie Goretti, qui est aujourd'hui une sainte, a été le bon ange que la Providence avait mis devant mes pas. Dans mon cœur j'ai encore l'impression de ses paroles de reproche et de pardon. Elle a prié pour moi, intercédé pour moi, son assassin.
Trente ans de prison ont suivi. Si je n'avais pas été mineur, j'aurais été condamné à vie. J'ai accepté la sentence méritée ; j'ai expié ma faute avec résignation. Marie a été vraiment ma lumière, ma Protectrice ; avec son aide j'ai acquis un bon comportement et j'ai cherché à vivre de façon honnête lorsque la société m'a accepté à nouveau parmi ses membres. Avec une charité séraphique les fils de saint François, les frères mineurs capucins des Marches, m'ont accueilli parmi eux non comme un serviteur, mais comme un frère. C'est avec eux que je vis depuis 1936.
Et maintenant j'attends avec sérénité le moment où je serai admis à la vision de Dieu, où j'embrasserai de nouveau ceux qui me sont chers, où je serai près de mon ange gardien et de sa chère maman, Assunta.
Puissent ceux qui liront ma lettre en tirer l'heureuse leçon de fuir dès l'enfance le mal et de suivre le bien. Qu'ils pensent que la religion avec ses préceptes n'est pas une chose dont on puisse se passer, mais qu'elle est le vrai réconfort, la seule voie sûre dans toutes les circonstances, même les plus douloureuses de la vie.
Paix et bien ! »
(Alessandro Serenelli, testament autographe, 5 mai 1961)
Converti en prison, il vécut à sa sortie comme un homme très pieux dans une communauté de capucins.
Il mourut en 1970 à 88 ans ; soit 8 années après ce testament-témoignage qu'il nous laissa.
« Je suis âgé de presque 80 ans, et ma journée va bientôt se terminer. Si je jette un regard sur mon passé, je reconnais que dans ma première jeunesse j'ai pris un mauvais chemin : celui du mal qui m'a conduit à la ruine ; j'ai été influencé par la presse, les spectacles et les mauvais exemples que la plupart des jeunes suivent sans réfléchir, mais je ne m'en souciais pas. J'avais auprès de moi des personnes croyantes et pratiquantes, mais je ne faisais pas attention à elles, aveuglé par une force brutale qui me poussait sur une route mauvaise. À vingt ans j'ai commis un crime passionnel, dont le seul souvenir me fait encore frémir aujourd'hui.
Marie Goretti, qui est aujourd'hui une sainte, a été le bon ange que la Providence avait mis devant mes pas. Dans mon cœur j'ai encore l'impression de ses paroles de reproche et de pardon. Elle a prié pour moi, intercédé pour moi, son assassin.
Trente ans de prison ont suivi. Si je n'avais pas été mineur, j'aurais été condamné à vie. J'ai accepté la sentence méritée ; j'ai expié ma faute avec résignation. Marie a été vraiment ma lumière, ma Protectrice ; avec son aide j'ai acquis un bon comportement et j'ai cherché à vivre de façon honnête lorsque la société m'a accepté à nouveau parmi ses membres. Avec une charité séraphique les fils de saint François, les frères mineurs capucins des Marches, m'ont accueilli parmi eux non comme un serviteur, mais comme un frère. C'est avec eux que je vis depuis 1936.
Et maintenant j'attends avec sérénité le moment où je serai admis à la vision de Dieu, où j'embrasserai de nouveau ceux qui me sont chers, où je serai près de mon ange gardien et de sa chère maman, Assunta.
Puissent ceux qui liront ma lettre en tirer l'heureuse leçon de fuir dès l'enfance le mal et de suivre le bien. Qu'ils pensent que la religion avec ses préceptes n'est pas une chose dont on puisse se passer, mais qu'elle est le vrai réconfort, la seule voie sûre dans toutes les circonstances, même les plus douloureuses de la vie.
Paix et bien ! »
(Alessandro Serenelli, testament autographe, 5 mai 1961)
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Re: sainte MARIA GORETTI
J'aime beaucoup cette sainte, j'ai eu l'occasion de voir le film sous titré français mais malheureusement il n'est plus sur le net j'aimerais savoir le retrouver.
Pourquoi la priez ?
Fraternellement
Pourquoi la priez ?
Fraternellement
mariejesus- En adoration
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Re: sainte MARIA GORETTI
http://www.librairietequi.com/I-Moyenne-5181-la-fille-des-marais-dvd-maria-goretti.aspx
C’est une très grande pauvreté qui conduit les époux Goretti et leurs six enfants à s’installer en 1899 dans une ferme, au bord de la Méditerranée, près de Nettuno en Italie. Dans la même maison, d’autres locataires sont également installés, les Serenelli, dont le fils Alexandre a déjà des regards troubles.
La terre est inculte à Nettuno, c’est une région de marais et il faut défricher, travailler dur pour nourrir toute la famille. Maria est l’aînée. Courageuse, obéissante, d’une piété toute simple, elle aide beaucoup sa mère, et davantage encore lorsque son père meurt subitement. Alexandre vient parfois aider aux durs travaux. Il a compris tout de suite que Maria est un ange de pureté, mais plus il voit son innocence, plus le garçon forme le triste projet de la lui faire perdre...
Histoire vraie racontée d’après les archives du Tribunal de Rome et les documents qui ont servis à établir l’acte de béatification de Maria Goretti. Adaptation cinématographique du roman traduit par André Maugé.
Vie de Sainte Maria Goretti, très beau modèle de pureté.
film en noir et blanc. durée: 1h30
C’est une très grande pauvreté qui conduit les époux Goretti et leurs six enfants à s’installer en 1899 dans une ferme, au bord de la Méditerranée, près de Nettuno en Italie. Dans la même maison, d’autres locataires sont également installés, les Serenelli, dont le fils Alexandre a déjà des regards troubles.
La terre est inculte à Nettuno, c’est une région de marais et il faut défricher, travailler dur pour nourrir toute la famille. Maria est l’aînée. Courageuse, obéissante, d’une piété toute simple, elle aide beaucoup sa mère, et davantage encore lorsque son père meurt subitement. Alexandre vient parfois aider aux durs travaux. Il a compris tout de suite que Maria est un ange de pureté, mais plus il voit son innocence, plus le garçon forme le triste projet de la lui faire perdre...
Histoire vraie racontée d’après les archives du Tribunal de Rome et les documents qui ont servis à établir l’acte de béatification de Maria Goretti. Adaptation cinématographique du roman traduit par André Maugé.
Vie de Sainte Maria Goretti, très beau modèle de pureté.
film en noir et blanc. durée: 1h30
Dernière édition par panetier le Lun 20 Jan 2014 - 22:51, édité 1 fois
P4572- Dans la prière
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Re: sainte MARIA GORETTI
Sur youtube, nous ne le trouvons qu'en Italien :
P4572- Dans la prière
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Re: sainte MARIA GORETTI
c'est la version plus récente sous titrée que je cherche
mariejesus- En adoration
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Re: sainte MARIA GORETTI
Née grâce à la prière de Maria Goretti
Témoignage du Canada
La vie est un don de Dieu. Et un témoignage en ce sens, est arrivé jusqu’à nous après avoir traversé les eaux de l’Atlantique. C’est l’histoire d’une grossesse inattendue, qui a défié un triste destin. Celui-ci semblait déjà écrit et a anéanti les certitudes très pessimistes des médecins. Le tout pour donner le jour à une petite fille tant désirée.
Les destinataires de cette émouvante grâce sont deux jeunes époux canadiens, d’une vingtaine d’années. La jeune fille, Marcy Julien, couve depuis longtemps l’amertume de ne pouvoir réaliser sa plus intime vocation de femme : devenir mère. A cause des violences répétées subies par la jeune fille durant son adolescence de la part de son beau-père, mari de sa mère. Désolée, Marcy Julien essaie de s’adresser à plusieurs médecins, experts en gynécologie, mais la réponse est toujours négative. Les dommages physiques et psychologique constatés sur la jeune fille l’empêchent de procréer. Grandes sont ses blessures, dans son corps et dans son cœur.
Le courage des époux d’y croire malgré tout, a néanmoins assaini ce qui, pour les hommes, paraissait irréparable. Ce fil d’espérance qui les encourageait à ne pas se résigner après le premier et douloureux verdict des médecins, était destiné à ne pas se briser, et à produire ses fruits après la rencontre non pas avec un médecin mais avec une sainte italienne. Elle aussi jeune, elle aussi victime de la plus lâche et de la plus ignoble des violences. Et elle aussi, profondément chrétienne et charitable, capable de pardonner son bourreau.
En juin 2012, le Canada accueille la statue de sainte Marie Goretti qui, après un long pèlerinage dans le pays, débarque aussi à Toronto, où résident les jeunes époux. Marcy Julien apprend la nouvelle par la tv et décide de se rendre chez elle, en compagnie de son époux. Dès leur arrivée aux pieds de la sainte, ils s’agenouillent et prient pour recevoir la grâce de pouvoir avoir un enfant. L’intense prière renvoie le couple chez eux au moins avec l’heureuse certitude de ne pas se sentir seuls. Mais quelques jours plus tard, il arrive à Marcy Julien quelque chose d’encore plus fort, extrêmement surprenant. La jeune femme affirme avoir eu un rêve prémonitoire, celui-ci suscite en elle un accès de confiance intense, nouveau, quant à son désir de devenir mère.
Peu après, Marcy découvre qu’elle est enceinte. La nouvelle désoriente les médecins, dissout leurs certitudes les laissant presque dans le désarroi. Le rêve est devenu réalité. Neuf mois après la merveilleuse nouvelle, naît Mercedes Maria Ferreira, la « petite fille du miracle », comme certains l’appelaient déjà. Un délicieux prix, pour des époux qui n’ont jamais cessé de regarder le ciel avec des yeux de confiance, malgré leur peine.
« Marcy raconte d’avoir rêvé de Maria Goretti et d’avoir senti sa présence aussi et surtout lors du procès à charge de son beau-père », explique à Il Tempo Roberto Porcari, président de l’association Santa Maria Goretti de Nettuno, qui est active de puis 2007 pour promouvoir son culte.
Les souvenirs du mal que lui avait fait son violeur de beau-père étaient si cuisants que Marcy Julien n’aurait jamais voulu participer à ce procès, mais l’aide que la sainte lui avait apportée lui avait donné la force d’affronter ces terribles moments passés dans la salle du procès.
« C’est pour cette raison que le couple, en signe de dévotion, nous a demandé la possibilité de venir à Nettuno et de baptiser la fillette », ajoute Roberto Porcari. « Nous avons choisi juillet car c’est le mois consacré à la sainte, maqué par des pèlerinages è pieds, fêtes et processions ».
Aindi, le 22 juillet prochain, la petite fille sera baptisée au sanctuaire de Nettuno, la localité où sainte Marie Goretti subit son martyre. La cérémonie sera animée par l’évêque d’Albano Marcello Semeraro, qui a été très frappé par cette histoire et a donc accepté que le baptême ait lieu au sanctuaire, bien que ce dernier ne soit jamais utilisé pour ce genre de cérémonie. La petite et ses parents resteront hôtes de la ville côtière jusqu’au 27 juillet.
Traduction d'Océane Le Gall
P4572- Dans la prière
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Re: sainte MARIA GORETTI
Très belle histoire !
anlise- Contemplatif
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Re: sainte MARIA GORETTI
La Fille des marais (titre original : Cielo sulla palude) film dramatique Italien réalisé par Augustino Genina sorti en 1949. C'est une très grande pauvreté qui conduit les époux Goretti et leurs six enfants à s'installer en 1899 dans une ferme, au bord de la Méditerranée, près de Nettuno en Italie. Dans la même maison, d'autres locataires sont également installés, les Serenelli, dont le fils Alexandre a déjà des regards troubles. La terre est inculte à Nettuno, c'est une région de marais et il faut défricher, travailler dur pour nourrir toute la famille. Maria est l'aînée. Courageuse, obéissante, d'une piété toute simple, elle aide beaucoup sa mère, et davantage encore lorsque son père meurt subitement. Alexandre vient parfois aider aux durs travaux. Il a compris tout de suite que Maria est un ange de pureté, mais plus il voit son innocence, plus le garçon forme le triste projet de la lui faire perdre... Histoire vraie racontée d'après les archives du Tribunal de Rome et les documents qui ont servi à établir l'acte de béatification de Maria Goretti. Adaptation cinématographique du roman traduit par André Maugé. Film en noir et blanc Durée : 1h30
Je te salue Marietta,
enfant toute pure.
Tu es devant le Seigneur,
vierge, martyre et miséricordieuse
et Jésus le lys de ton coeur est béni.
Sainte Marietta,
fille de Dieu,
prie pour nous pauvres pécheurs,
intercède pour notre pureté,
maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen
Enfant du Père- Combat avec Sainte Marie
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Re: sainte MARIA GORETTI
Malgré la pauvreté, la famille de Maria (Marietta) Goretti était d'une grande piété, comme en témoigne ce texte.
NOSTALGIE DU CIEL
Désormais, nulle route ne fut plus chère à Marietta que celle du cimetière de la Coma et, quand elle se rendait le dimanche à la sainte messe, elle cueillait toujours, chemin faisant, un bouquet de fleurs des champs pour en parer la tombe de son père. Elle priait de tout son cœur pour le cher défunt, puis engageait avec lui un silencieux dialogue, avec la certitude que son père entendait ses confidences.
Un immense désir s'éveillait dans son âme et avec lui grandissait la souffrance qu'il apportait. Elle n'avait pas encore pris part au banquet du Seigneur et, quand elle voyait les autres se rendre à la table de communion, elle était envahie par un si intense désir de cette divine nourriture qu'elle avait grand peine à s'empêcher
de les suivre. Un dimanche, en revenant de la messe avec son frère aîné, elle lui dit:
- Si nous pouvions, nous aussi, communier, Angelo! Le garçon s'arrêta brusquement et répondit en hochant la tête:
— Tu crois que je ne voudrais pas, moi aussi? Mais à quoi penses-tu? Qui nous fournirait les habits de communiants?
Il me faudrait un costume noir et un brassard blanc, et à toi une robe neuve et un voile de dentelle; il nous faut encore à tous deux des souliers et un cierge. Qui paiera tout cela?
— Crois-tu que Monsieur le Curé ne nous admettrait pas à la Sainte Table avec nos habits du dimanche, dit la fillette?
— Bien sûr que non! C'est absolument impossible. Cela, aucun curé au monde ne le fera jamais.
— Ah! j'espère pourtant qu'il le fera. Je veux lui demander!
— Ne t'en avise pas! Nous devrions avoir honte d'être si pauvres! bougonna le gamin.
— Alors, je demande à maman!
— Non, non, ne fais pas cela! s'écria Angelo avec emportement.
Tu veux qu'elle ait plus de peine encore! Il nous reste des dettes depuis la maladie et l'enterrement de notre père. Si la récolte n'est pas bonne, nous ne pourrons même pas payer le fermage et le comte nous chassera honteusement de sa ferme. Et c'est maintenant que tu veux aller trouver Maman pour les achats
coûteux de la première communion? Il lui est impossible de t'aider et tu ne feras qu'accroître ses soucis. D'ailleurs, qui va nous instruire? Il n'y a pas de prêtre aux Ferriere, Aller tous les jours à la
Conca, nous n'en avons pas le temps, à cause du travail aux champs et à l'étable. Il nous faut Maintenant travailler pour remplacer notre père. Tu ne comprends pas cela?
— Mais si, je le comprends, fit Marietta, le cœur serré.
— Il ne faut pas que les Serenelli puissent dire que nous ne faisons pas notre part du travail commun! s'écria Angelo, tandis qu'un pli profond apparaissait sur son jeune front. Il faut donc que
nous aidions tous maman, moi et toi aussi!
— Mais je le fais bien volontiers!
— Je le sais, Mariettal Dans un élan de tendresse, le jeune garçon lui passa le bras autour de l'épaule en disant : D'ailleurs, je crois qu'il faut savoir lire et écrire pour être admis à la première communion. Nous ne savons ni l'un ni l'autre, parce que nous ne sommes jamais allés à l'école. Allons, n'y pensons plus!
— Oh! mon Dieu! balbutia Marietta, qui devint toute pâle malgré la chaleur de cette journée de juillet. Tu dis que je n'y dois plus penser? Mais je ne puis m'empêcher d'y penser jour et nuit; hélas! je ne puis m'empêcher d'y penser sans cesse.
— Allons, peut-être que cela s'arrangera un jour, plus tard, quand tu seras grande, dit Angèle pour la consoler. Tu es si jeune encore; tu n'as pas encore tout à fait dix ans, tandis que moi j'en aurai douze, le mois prochain. Moi aussi, il faut bien que je prenne patience.
Ils continuèrent leur route en silence. Marietta renferma dans son âme son immense désir; mais, pourtant, à la longue, elle ne réussit plus à cacher à sa mère ce qui la tourmentait. Assunta voyait avec inquiétude l'aînée de ses fillettes devenir de plus en plus silencieuse. Son visage délicat s'amincissait et ses yeux trahissaient le chagrin que taisaient ses lèvres. La mère avait cru tout d'abord que c'était la tristesse causée par la mort du père qui avait
provoqué cet étrange changement d'attitude; mais ensuite, elle devina qu'il devait y avoir une autre cause à ses souffrances. Un matin donc, à l'issue de la messe du dimanche, elle demanda à la fillette ce qui lui pesait tant.
- Je ne puis pas te le dire! répondit Marietta et ses yeux se remplirent de larmes. J'ai promis à Angelo de ne pas te le dire. Mais pourquoi donc, mon enfant? demanda la maman, avec étonnement. Comment peux-tu avoir un secret pour ta maman?
— Nous ne voudrions pas te faire de peine, répondit la
fillette. Cela ne ferait que t'attrister, si je te le disais.
— Allons, faut-il que je te commande de me le dire?
— Ah! maman, gémit l'enfant, c'est tout simplement qu'Angelo et moi nous voudrions tellement faire notre première communion. Mais je le sais bien, nous sommes trop pauvres!
Pendant quelques minutes, la maman regarda fixement devant elle, d'un air las. Puis elle dit à voix basse
— Trop pauvres! Tu as bien raison! Même pour les dons du ciel, nous sommes trop pauvres!
— Maman! reprit l'enfant, est-ce que Notre Seigneur n'a pas appelé à lui les pauvres? Aujourd'hui encore, j'ai entendu à l'église ce qu'il a dit: Venez à moi, vous tous qui êtes las et accablés! C'est bien ce qu'a dit Monsieur le Curé. Tu ne l'as donc pas entendu?
— C'est vrai, tu as raison! fit Assunta.
— Et les enfants eux aussi, Il les a appelés à Lui, continua
Marietta, tandis qu'une tendre et délicate rougeur colorait ses joues. Laissez venir à moi les petits enfants et ne les écartez pas! C' est ce qu'Il a dit, tu me I'as raconté toi-même bien souvent.
— Oui, mon enfant, c'est ce qu'Il a dit!
— Alors, il m'appelle moi aussi et personne n'a le droit de m'écarter! dit Marietta avec vivacité.
— Ah! mon Dieu, mon Dieu! soupira Assunta. Comment pourras-tu recevoir Notre Seigneur, si tu ne sais rien, mon petit cœur? Tu ne sais pas lire. Nous n'avons pas d'argent pour te faire faire une robe,
acheter les souliers et le voile. Tu n'as pas non plus une seule minute de loisir, tellement tu as déjà de travail, ma pauvre chère enfant!
— Hélas! je ne pourrai donc jamais communier! Mais je ne puis plus vivre sans Jésus! s'écria Marietta avec un gros sanglot. Assunta la prit dans ses bras et se mit à soupirer, en fondant en larmes elle aussi.
— Que peut faire ta pauvre maman si éprouvée, mon petit cœur? Je ne puis même pas t'envoyer à l'école. J'en suis réduite à te voir grandir comme une petite bête.
Voyant pleurer sa maman, Marietta s'essuya les yeux et dit:
— Nous n'en parlerons plus: je savais bien que cela te ferait de
la peine. Mais, le dimanche suivant, elle prit son courage à deux mains, et, après la messe, se rendit à la sacristie pour confier sa peine à don Paliani.
— Je désire tellement communier, dit-elle, en regardant le
prêtre de ses profonds yeux bruns. Mais nous sommes pauvres. Maman ne peut pas nous acheter de chaussures ni de vêtements, à Angelo et à moi. Vous avez pourtant bien dit vous-même que Notre Seigneur appelle à Lui tous ceux qui sont las et accablés et qu'il a aussi appelé les enfants.
— C'est vrai, c'est vrai! dit le vieux curé, en considérant avec bienveillance l'enfant qui le suppliait. Mais quand les enfants viennent faire leur première communion, il faut qu'ils s'approchent de la sainte Table dans une tenue décente. Ce n'est pas possible autrement. Il ne convient pas que l'on se présente en habits de tous les jours. Le Seigneur lui-même a bien chassé de la salle du banquet l'insolent qui n'avait pas la robe nuptiale.
— Oh! monsieur le Curé, par ces paroles, c'est la robe de la grâce qu'Il a voulu dire, répliqua vivement Marietta.
— Tu sais cela? dit avec étonnement don Paliani.
— Maman me la déjà appris, fit l'enfant, et vous-même en avez
souvent parlé dans vos sermons.
— Oh! tu es bien attentive à l'église!
— Mais oui! Je crois que je pourrais encore vous répéter exactement votre sermon de dimanche dernier.
— Je serais bien curieux de voir si tu en es capable! dit le prêtre avec un sourire. Allons, commence!
Quel ne fut pas son étonnement, quand l'enfant put lui répéter non seulement les grandes lignes, mais des passages entiers, mot à mot.
— Oui, c'est vraiment très bien ! dit-il en complimentant l'enfant, quand elle se tut, toute rouge. Je ne me serais pas douté que j'avais des auditeurs aussi attentif.
— Notre maman nous fait dire chaque dimanche, à Angelo et à moi, ce que nous avons retenu du sermon. Il s'agit de faire attention. Je voudrais encore ajouter quelque chose, mais je me demande si ce n'est pas déplacé, dit avec hésitation Marietta.
— Dis-le tout simplement! répliqua le prêtre, d'un ton encourageant. Ce ne doit pas être quelque chose de mal.
— Quand le Sauveur a appelé les enfants, est-ce qu'Il a dit: Allez d'abord chez vous; apprenez à lire et à écrire; mettez un costume et des souliers neufs, un voile blanc, puis prenez un cierge et venez à moi?
— Hé! tu es une petite maligne! dit le prêtre un peu interloqué. Mais tu as raison, Il n'a pas dit cela. Aussi je te promets que tu ne seras pas laissée de côté, parce que tu es pauvre. Je parlerai à ta maman.
Allons, va-t-en, petit docteur de la Loi! Avec tes questions tu ferais perdre son latin à un vieux curé.
— Excusez-moi, si j'ai dit quelque chose de mal fit l'enfant en tendant la main au curé.
— Non, non, c'était très bien! dit don Paliani. Je vais y réfléchir sérieusement! Allons, va-t-en et salue bien ta maman!
— Et mon papa, non? car je vais aussi au cimetière.
— Mais oui, ton papa aussi! Le prêtre suivit longtemps des yeux la
fillette qui se rendait en hâte au cimetière. Certes, c'était une enfant de la grâce. Comme le Sauveur devait l'aimer! Non, rien ne devait désormais la séparer de Lui: c'est le serment qu'à cet instant se fit le prêtre.
Tandis que don Paliani en était encore à se demander comment il pourrait aider la fillette, le Seigneur lui même écartait de la route les premiers obstacles. En sortant de la cure, Marietta s'était rendue directement sur la tombe de son père et confiait au mort toute la détresse et toutes les aspirations de son cœur, dans un dialogue si sincère qu'elle se mit, sans s'en rendre compte, à parler à haute voix.
— À toi, cher papa, je puis bien dire que je voudrais aller à Jésus, s'écria-t-elle avec ferveur. Je ne veux pas faire davantage de
peine à maman. Mais toi, il faut que tu le saches. Tu es certainement dans la gloire céleste, tout près de Notre Seigneur.
Dis-lui donc que je voudrais aller à Lui. Je voudrais communier et, si c'est impossible, je voudrais aller au ciel, pour être près de Jésus. Une main se posa alors doucement sur l'épaule de Marietta;
elle se retourna et reconnut la femme de chambre de la comtesse Mazzoleni, Madame Elvira, qui lui fit un signe amical en disant : Allons, allons, comment une si petite fille peut-elle avoir de si gros chagrins? Mais n'es-tu pas la fillette de Goretti, le fermier des Ferriere? Il me semble t'avoir déjà vue au château, avec ton papa, chez le régisseur.
— Oui, c est vrai; mais papa est mort! dit l'enfant, qui refoulait
difficilement ses larmes.
— Il est certainement auprès du Bon Dieu; aussi il ne faut pas tant te désoler à son sujet, sinon tu vas lui faire de la peine, dans la gloire du ciel, dit Elvira pour la consoler.
— Hélas! il n'y a pas que cela, avoua l'enfant. Je voudrais tellement communier et cela m'est impossible, parce que je ne puis apprendre mon catéchisme. Je ne sais pas lire et ma maman ne peut non plus m'acheter une robe de communiante.
La femme de chambre réfléchit un instant, puis elle dit: Et si nous apprenions ensemble le catéchisme?
— Vous savez donc lire?
— Bien sûr! Et madame la comtesse ne s'opposera pas à ce que tu viennes chez moi de temps en temps.
— Madame la comtesse peut-être, mais en sera-t-il de même avec maman?
— Tu n'as qu'à lui demander de tout ton cœur; elle ne te refusera certainement pas cela, dit Elvira d'un ton encourageant.
Quand Marietta rentra à la maison, elle trouva sa maman seule dans la grande chambre. Elle, dont les mains s'affairaient d'ordinaire sans relâche du premier chant du coq jusqu'à la nuit, elle était assise à la table, la tête dans les mains, et, quand la petite entra, Assunta chercha vainement à cacher qu'elle avait
pleuré.
Marietta s'approcha, consternée, elle entoura tendrement du bras l'épaule de sa maman et murmura:
Pourquoi donc es-tu triste, maman? c'est à cause de papa que tu as pleuré? Il est au ciel auprès de Notre Seigneur, de la Très Sainte Vierge; et il est très heureux. Alors nous ne devons plus pleurer.
— Tu as raison, fit la veuve; mais c'est bien dur de rester toute seule.
— Mais tu n'es pas seule, répliqua l'enfant d'un ton de reproche. Nous sommes avec toi. Bientôt nous serons grands et nous veillerons sur toi. Tu verras la douce vie que tu auras alors.
— Oui, vous êtes là, vous! dit la maman, en souriant à travers ses
larmes.
— Et le Bon Dieu aussi est là. Tu me l'as souvent appris toi-même: c'est là où règne la plus grande détresse que Dieu est le plus proche.
— Je ne veux pas me plaindre, dit la femme. J'ai de bons enfants;
j'aime le travail, et tant que nous aurons la santé, cela ira. Mais j'ai de la peine de ne pouvoir combler le désir de ton cœur, Marietta. Nous sommes trop pauvres!
- Oh! maman, répliqua vivement la fillette, voici ce que j'allais justement te raconter: Madame Elvira du château va m'apprendre le catéchisme; il suffit que j'aille la voir de temps en temps. Elle sait lire.
— Et le travail? Tu as déjà tellement à faire, et depuis que
le papa n'est plus parmi nous, il faut bien que nous nous dépêchions tous, et toi aussi.
— Je ferai mon travail, bien sûr, maman, promit Marietta. Je ferai tout ce que tu voudras. Tu n as qu'à dire. Mais tu verras, je trouverai encore le temps d'aller à la Conca, plusieurs fois par semaine. D'ailleurs il y a toujours des commissions à y faire, je pourrai m'en charger en même temps.
— Alors, nous verrons comment arranger cela! dit Assunta.
Au même moment, une voiture entrait avec fracas dans la cour, et, quand Marietta se précipita à la porte pour voir qui arrivait, Don
Paliani descendait justement du véhicule.
Marietta brûlait d'entendre la conversation qu'il tenait avec sa
mère. Le cœur lui battait d'une intense émotion, mais elle n'osait écouter. Il ne se passa pas longtemps, avant que la maman ne l'appelât dans la chambre.
- Monsieur le curé veut bien t'accepter parmi les premiers communiants, dit Assunta, en introduisant l'enfant.
— Oui, tout est arrangé, ajouta avec vivacité le vieux curé. Elvira t'apprendra le catéchisme. Dorénavant, tu assisteras aussi à la leçon d'instruction religieuse que je fais le dimanche après la messe. Plus tard viendra l'enseignement préparatoire proprement dit, que le Père Girolamo donnera à Nettuno, car les Ferriere y sont rattachées et, comme tu sais bien retenir ce que tu entends, peu importe que tu ne saches pas lire.
— Mais les vêtements, objecta Marietta inquiète?
— Allons, allons, est-ce qu'on serait un peu vaniteuse? Un sourire passa sur le noble visage du prêtre. Tranquillise-toi. Je sais bien ce que tu veux dire. On s'occupera de cela aussi; compte là-dessus.
- Et Angelo? demanda la fillette anxieuse; il lui est tellement difficile de s'absenter de son travail et par suite il ne pourra guère assister au catéchisme.
— Eh bien, je pense qu'au début sa petite sœur pourrait l'instruire. Ce que tu apprendras à la Conca, tu le lui enseigneras. Le dimanche, il vient à la messe, il peut assister au cours d'instruction religieuse, et plus tard, après la récolte, il pourra peut-être se
rendre libre une fois ou l'autre, les jours ouvrables. Qu'en pensez-vous, Madame Goretti?
— Le Bon Dieu arrangera bien tout, soupira la maman; si les enfants réalisent leur saint désir, ce sera ma plus grande joie.
Se confondant en remerciements, elle accompagna le curé à sa voiture. Le cocher brandit son fouet et mit au trot sa haridelle.
—- Je crois que c'est papa lui-même qui dans le ciel nous a obtenu du Bon Dieu cette grâce, dit Marietta rayonnante, quand elle se retrouva seule avec sa mère.
- Tu as probablement raison, approuva la veuve. Et maintenant il faut bien vous préparer, toi et Angelo.
— Oui, maman, répondit l'enfant, et une clarté merveilleuse brilla dans son regard.
NOSTALGIE DU CIEL
Désormais, nulle route ne fut plus chère à Marietta que celle du cimetière de la Coma et, quand elle se rendait le dimanche à la sainte messe, elle cueillait toujours, chemin faisant, un bouquet de fleurs des champs pour en parer la tombe de son père. Elle priait de tout son cœur pour le cher défunt, puis engageait avec lui un silencieux dialogue, avec la certitude que son père entendait ses confidences.
Un immense désir s'éveillait dans son âme et avec lui grandissait la souffrance qu'il apportait. Elle n'avait pas encore pris part au banquet du Seigneur et, quand elle voyait les autres se rendre à la table de communion, elle était envahie par un si intense désir de cette divine nourriture qu'elle avait grand peine à s'empêcher
de les suivre. Un dimanche, en revenant de la messe avec son frère aîné, elle lui dit:
- Si nous pouvions, nous aussi, communier, Angelo! Le garçon s'arrêta brusquement et répondit en hochant la tête:
— Tu crois que je ne voudrais pas, moi aussi? Mais à quoi penses-tu? Qui nous fournirait les habits de communiants?
Il me faudrait un costume noir et un brassard blanc, et à toi une robe neuve et un voile de dentelle; il nous faut encore à tous deux des souliers et un cierge. Qui paiera tout cela?
— Crois-tu que Monsieur le Curé ne nous admettrait pas à la Sainte Table avec nos habits du dimanche, dit la fillette?
— Bien sûr que non! C'est absolument impossible. Cela, aucun curé au monde ne le fera jamais.
— Ah! j'espère pourtant qu'il le fera. Je veux lui demander!
— Ne t'en avise pas! Nous devrions avoir honte d'être si pauvres! bougonna le gamin.
— Alors, je demande à maman!
— Non, non, ne fais pas cela! s'écria Angelo avec emportement.
Tu veux qu'elle ait plus de peine encore! Il nous reste des dettes depuis la maladie et l'enterrement de notre père. Si la récolte n'est pas bonne, nous ne pourrons même pas payer le fermage et le comte nous chassera honteusement de sa ferme. Et c'est maintenant que tu veux aller trouver Maman pour les achats
coûteux de la première communion? Il lui est impossible de t'aider et tu ne feras qu'accroître ses soucis. D'ailleurs, qui va nous instruire? Il n'y a pas de prêtre aux Ferriere, Aller tous les jours à la
Conca, nous n'en avons pas le temps, à cause du travail aux champs et à l'étable. Il nous faut Maintenant travailler pour remplacer notre père. Tu ne comprends pas cela?
— Mais si, je le comprends, fit Marietta, le cœur serré.
— Il ne faut pas que les Serenelli puissent dire que nous ne faisons pas notre part du travail commun! s'écria Angelo, tandis qu'un pli profond apparaissait sur son jeune front. Il faut donc que
nous aidions tous maman, moi et toi aussi!
— Mais je le fais bien volontiers!
— Je le sais, Mariettal Dans un élan de tendresse, le jeune garçon lui passa le bras autour de l'épaule en disant : D'ailleurs, je crois qu'il faut savoir lire et écrire pour être admis à la première communion. Nous ne savons ni l'un ni l'autre, parce que nous ne sommes jamais allés à l'école. Allons, n'y pensons plus!
— Oh! mon Dieu! balbutia Marietta, qui devint toute pâle malgré la chaleur de cette journée de juillet. Tu dis que je n'y dois plus penser? Mais je ne puis m'empêcher d'y penser jour et nuit; hélas! je ne puis m'empêcher d'y penser sans cesse.
— Allons, peut-être que cela s'arrangera un jour, plus tard, quand tu seras grande, dit Angèle pour la consoler. Tu es si jeune encore; tu n'as pas encore tout à fait dix ans, tandis que moi j'en aurai douze, le mois prochain. Moi aussi, il faut bien que je prenne patience.
Ils continuèrent leur route en silence. Marietta renferma dans son âme son immense désir; mais, pourtant, à la longue, elle ne réussit plus à cacher à sa mère ce qui la tourmentait. Assunta voyait avec inquiétude l'aînée de ses fillettes devenir de plus en plus silencieuse. Son visage délicat s'amincissait et ses yeux trahissaient le chagrin que taisaient ses lèvres. La mère avait cru tout d'abord que c'était la tristesse causée par la mort du père qui avait
provoqué cet étrange changement d'attitude; mais ensuite, elle devina qu'il devait y avoir une autre cause à ses souffrances. Un matin donc, à l'issue de la messe du dimanche, elle demanda à la fillette ce qui lui pesait tant.
- Je ne puis pas te le dire! répondit Marietta et ses yeux se remplirent de larmes. J'ai promis à Angelo de ne pas te le dire. Mais pourquoi donc, mon enfant? demanda la maman, avec étonnement. Comment peux-tu avoir un secret pour ta maman?
— Nous ne voudrions pas te faire de peine, répondit la
fillette. Cela ne ferait que t'attrister, si je te le disais.
— Allons, faut-il que je te commande de me le dire?
— Ah! maman, gémit l'enfant, c'est tout simplement qu'Angelo et moi nous voudrions tellement faire notre première communion. Mais je le sais bien, nous sommes trop pauvres!
Pendant quelques minutes, la maman regarda fixement devant elle, d'un air las. Puis elle dit à voix basse
— Trop pauvres! Tu as bien raison! Même pour les dons du ciel, nous sommes trop pauvres!
— Maman! reprit l'enfant, est-ce que Notre Seigneur n'a pas appelé à lui les pauvres? Aujourd'hui encore, j'ai entendu à l'église ce qu'il a dit: Venez à moi, vous tous qui êtes las et accablés! C'est bien ce qu'a dit Monsieur le Curé. Tu ne l'as donc pas entendu?
— C'est vrai, tu as raison! fit Assunta.
— Et les enfants eux aussi, Il les a appelés à Lui, continua
Marietta, tandis qu'une tendre et délicate rougeur colorait ses joues. Laissez venir à moi les petits enfants et ne les écartez pas! C' est ce qu'Il a dit, tu me I'as raconté toi-même bien souvent.
— Oui, mon enfant, c'est ce qu'Il a dit!
— Alors, il m'appelle moi aussi et personne n'a le droit de m'écarter! dit Marietta avec vivacité.
— Ah! mon Dieu, mon Dieu! soupira Assunta. Comment pourras-tu recevoir Notre Seigneur, si tu ne sais rien, mon petit cœur? Tu ne sais pas lire. Nous n'avons pas d'argent pour te faire faire une robe,
acheter les souliers et le voile. Tu n'as pas non plus une seule minute de loisir, tellement tu as déjà de travail, ma pauvre chère enfant!
— Hélas! je ne pourrai donc jamais communier! Mais je ne puis plus vivre sans Jésus! s'écria Marietta avec un gros sanglot. Assunta la prit dans ses bras et se mit à soupirer, en fondant en larmes elle aussi.
— Que peut faire ta pauvre maman si éprouvée, mon petit cœur? Je ne puis même pas t'envoyer à l'école. J'en suis réduite à te voir grandir comme une petite bête.
Voyant pleurer sa maman, Marietta s'essuya les yeux et dit:
— Nous n'en parlerons plus: je savais bien que cela te ferait de
la peine. Mais, le dimanche suivant, elle prit son courage à deux mains, et, après la messe, se rendit à la sacristie pour confier sa peine à don Paliani.
— Je désire tellement communier, dit-elle, en regardant le
prêtre de ses profonds yeux bruns. Mais nous sommes pauvres. Maman ne peut pas nous acheter de chaussures ni de vêtements, à Angelo et à moi. Vous avez pourtant bien dit vous-même que Notre Seigneur appelle à Lui tous ceux qui sont las et accablés et qu'il a aussi appelé les enfants.
— C'est vrai, c'est vrai! dit le vieux curé, en considérant avec bienveillance l'enfant qui le suppliait. Mais quand les enfants viennent faire leur première communion, il faut qu'ils s'approchent de la sainte Table dans une tenue décente. Ce n'est pas possible autrement. Il ne convient pas que l'on se présente en habits de tous les jours. Le Seigneur lui-même a bien chassé de la salle du banquet l'insolent qui n'avait pas la robe nuptiale.
— Oh! monsieur le Curé, par ces paroles, c'est la robe de la grâce qu'Il a voulu dire, répliqua vivement Marietta.
— Tu sais cela? dit avec étonnement don Paliani.
— Maman me la déjà appris, fit l'enfant, et vous-même en avez
souvent parlé dans vos sermons.
— Oh! tu es bien attentive à l'église!
— Mais oui! Je crois que je pourrais encore vous répéter exactement votre sermon de dimanche dernier.
— Je serais bien curieux de voir si tu en es capable! dit le prêtre avec un sourire. Allons, commence!
Quel ne fut pas son étonnement, quand l'enfant put lui répéter non seulement les grandes lignes, mais des passages entiers, mot à mot.
— Oui, c'est vraiment très bien ! dit-il en complimentant l'enfant, quand elle se tut, toute rouge. Je ne me serais pas douté que j'avais des auditeurs aussi attentif.
— Notre maman nous fait dire chaque dimanche, à Angelo et à moi, ce que nous avons retenu du sermon. Il s'agit de faire attention. Je voudrais encore ajouter quelque chose, mais je me demande si ce n'est pas déplacé, dit avec hésitation Marietta.
— Dis-le tout simplement! répliqua le prêtre, d'un ton encourageant. Ce ne doit pas être quelque chose de mal.
— Quand le Sauveur a appelé les enfants, est-ce qu'Il a dit: Allez d'abord chez vous; apprenez à lire et à écrire; mettez un costume et des souliers neufs, un voile blanc, puis prenez un cierge et venez à moi?
— Hé! tu es une petite maligne! dit le prêtre un peu interloqué. Mais tu as raison, Il n'a pas dit cela. Aussi je te promets que tu ne seras pas laissée de côté, parce que tu es pauvre. Je parlerai à ta maman.
Allons, va-t-en, petit docteur de la Loi! Avec tes questions tu ferais perdre son latin à un vieux curé.
— Excusez-moi, si j'ai dit quelque chose de mal fit l'enfant en tendant la main au curé.
— Non, non, c'était très bien! dit don Paliani. Je vais y réfléchir sérieusement! Allons, va-t-en et salue bien ta maman!
— Et mon papa, non? car je vais aussi au cimetière.
— Mais oui, ton papa aussi! Le prêtre suivit longtemps des yeux la
fillette qui se rendait en hâte au cimetière. Certes, c'était une enfant de la grâce. Comme le Sauveur devait l'aimer! Non, rien ne devait désormais la séparer de Lui: c'est le serment qu'à cet instant se fit le prêtre.
Tandis que don Paliani en était encore à se demander comment il pourrait aider la fillette, le Seigneur lui même écartait de la route les premiers obstacles. En sortant de la cure, Marietta s'était rendue directement sur la tombe de son père et confiait au mort toute la détresse et toutes les aspirations de son cœur, dans un dialogue si sincère qu'elle se mit, sans s'en rendre compte, à parler à haute voix.
— À toi, cher papa, je puis bien dire que je voudrais aller à Jésus, s'écria-t-elle avec ferveur. Je ne veux pas faire davantage de
peine à maman. Mais toi, il faut que tu le saches. Tu es certainement dans la gloire céleste, tout près de Notre Seigneur.
Dis-lui donc que je voudrais aller à Lui. Je voudrais communier et, si c'est impossible, je voudrais aller au ciel, pour être près de Jésus. Une main se posa alors doucement sur l'épaule de Marietta;
elle se retourna et reconnut la femme de chambre de la comtesse Mazzoleni, Madame Elvira, qui lui fit un signe amical en disant : Allons, allons, comment une si petite fille peut-elle avoir de si gros chagrins? Mais n'es-tu pas la fillette de Goretti, le fermier des Ferriere? Il me semble t'avoir déjà vue au château, avec ton papa, chez le régisseur.
— Oui, c est vrai; mais papa est mort! dit l'enfant, qui refoulait
difficilement ses larmes.
— Il est certainement auprès du Bon Dieu; aussi il ne faut pas tant te désoler à son sujet, sinon tu vas lui faire de la peine, dans la gloire du ciel, dit Elvira pour la consoler.
— Hélas! il n'y a pas que cela, avoua l'enfant. Je voudrais tellement communier et cela m'est impossible, parce que je ne puis apprendre mon catéchisme. Je ne sais pas lire et ma maman ne peut non plus m'acheter une robe de communiante.
La femme de chambre réfléchit un instant, puis elle dit: Et si nous apprenions ensemble le catéchisme?
— Vous savez donc lire?
— Bien sûr! Et madame la comtesse ne s'opposera pas à ce que tu viennes chez moi de temps en temps.
— Madame la comtesse peut-être, mais en sera-t-il de même avec maman?
— Tu n'as qu'à lui demander de tout ton cœur; elle ne te refusera certainement pas cela, dit Elvira d'un ton encourageant.
Quand Marietta rentra à la maison, elle trouva sa maman seule dans la grande chambre. Elle, dont les mains s'affairaient d'ordinaire sans relâche du premier chant du coq jusqu'à la nuit, elle était assise à la table, la tête dans les mains, et, quand la petite entra, Assunta chercha vainement à cacher qu'elle avait
pleuré.
Marietta s'approcha, consternée, elle entoura tendrement du bras l'épaule de sa maman et murmura:
Pourquoi donc es-tu triste, maman? c'est à cause de papa que tu as pleuré? Il est au ciel auprès de Notre Seigneur, de la Très Sainte Vierge; et il est très heureux. Alors nous ne devons plus pleurer.
— Tu as raison, fit la veuve; mais c'est bien dur de rester toute seule.
— Mais tu n'es pas seule, répliqua l'enfant d'un ton de reproche. Nous sommes avec toi. Bientôt nous serons grands et nous veillerons sur toi. Tu verras la douce vie que tu auras alors.
— Oui, vous êtes là, vous! dit la maman, en souriant à travers ses
larmes.
— Et le Bon Dieu aussi est là. Tu me l'as souvent appris toi-même: c'est là où règne la plus grande détresse que Dieu est le plus proche.
— Je ne veux pas me plaindre, dit la femme. J'ai de bons enfants;
j'aime le travail, et tant que nous aurons la santé, cela ira. Mais j'ai de la peine de ne pouvoir combler le désir de ton cœur, Marietta. Nous sommes trop pauvres!
- Oh! maman, répliqua vivement la fillette, voici ce que j'allais justement te raconter: Madame Elvira du château va m'apprendre le catéchisme; il suffit que j'aille la voir de temps en temps. Elle sait lire.
— Et le travail? Tu as déjà tellement à faire, et depuis que
le papa n'est plus parmi nous, il faut bien que nous nous dépêchions tous, et toi aussi.
— Je ferai mon travail, bien sûr, maman, promit Marietta. Je ferai tout ce que tu voudras. Tu n as qu'à dire. Mais tu verras, je trouverai encore le temps d'aller à la Conca, plusieurs fois par semaine. D'ailleurs il y a toujours des commissions à y faire, je pourrai m'en charger en même temps.
— Alors, nous verrons comment arranger cela! dit Assunta.
Au même moment, une voiture entrait avec fracas dans la cour, et, quand Marietta se précipita à la porte pour voir qui arrivait, Don
Paliani descendait justement du véhicule.
Marietta brûlait d'entendre la conversation qu'il tenait avec sa
mère. Le cœur lui battait d'une intense émotion, mais elle n'osait écouter. Il ne se passa pas longtemps, avant que la maman ne l'appelât dans la chambre.
- Monsieur le curé veut bien t'accepter parmi les premiers communiants, dit Assunta, en introduisant l'enfant.
— Oui, tout est arrangé, ajouta avec vivacité le vieux curé. Elvira t'apprendra le catéchisme. Dorénavant, tu assisteras aussi à la leçon d'instruction religieuse que je fais le dimanche après la messe. Plus tard viendra l'enseignement préparatoire proprement dit, que le Père Girolamo donnera à Nettuno, car les Ferriere y sont rattachées et, comme tu sais bien retenir ce que tu entends, peu importe que tu ne saches pas lire.
— Mais les vêtements, objecta Marietta inquiète?
— Allons, allons, est-ce qu'on serait un peu vaniteuse? Un sourire passa sur le noble visage du prêtre. Tranquillise-toi. Je sais bien ce que tu veux dire. On s'occupera de cela aussi; compte là-dessus.
- Et Angelo? demanda la fillette anxieuse; il lui est tellement difficile de s'absenter de son travail et par suite il ne pourra guère assister au catéchisme.
— Eh bien, je pense qu'au début sa petite sœur pourrait l'instruire. Ce que tu apprendras à la Conca, tu le lui enseigneras. Le dimanche, il vient à la messe, il peut assister au cours d'instruction religieuse, et plus tard, après la récolte, il pourra peut-être se
rendre libre une fois ou l'autre, les jours ouvrables. Qu'en pensez-vous, Madame Goretti?
— Le Bon Dieu arrangera bien tout, soupira la maman; si les enfants réalisent leur saint désir, ce sera ma plus grande joie.
Se confondant en remerciements, elle accompagna le curé à sa voiture. Le cocher brandit son fouet et mit au trot sa haridelle.
—- Je crois que c'est papa lui-même qui dans le ciel nous a obtenu du Bon Dieu cette grâce, dit Marietta rayonnante, quand elle se retrouva seule avec sa mère.
- Tu as probablement raison, approuva la veuve. Et maintenant il faut bien vous préparer, toi et Angelo.
— Oui, maman, répondit l'enfant, et une clarté merveilleuse brilla dans son regard.
Enfant du Père- Combat avec Sainte Marie
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