sainte MARIA GORETTI
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sainte MARIA GORETTI
Sainte Maria Goretti
Vierge et martyre (1890-1902)
Maria naquit dans le petit village de Corinaldo, le 16 octobre 1890, troisième d’une famille de sept enfants. En 1899, son père, cultivateur pauvre, déménagea dans une ferme au bord de la Méditerranée, près de Nettuno. Il mourut peu de temps après, laissant six enfants à nourrir.
Assunta, son épouse, décida de continuer la rude tâche à peine commencée et confia la garde des petits à Maria, âgée alors que de neuf ans. La petite fille d’une maturité précoce devint très vite une parfaite ménagère. Le jour de la Fête-Dieu, elle communia pour la première fois avec une ferveur angélique. Elle s’appliquait avec délices à la récitation quotidienne du chapelet. Maria Goretti ne put apprendre à lire, car la pauvreté et l’éloignement du village l’empêchèrent de fréquenter l’école.
La pieuse enfant ne tint cependant aucun compte des difficultés et des distances à parcourir lorsqu’il s’agissait de recevoir Jésus dans le Saint Sacrement. « Je puis à peine attendre le moment où demain j’irai à la communion », dit-elle l’après-midi même où elle allait sceller de son sang sa fidélité à l’Epoux des vierges.
Les Serenelli, proches voisins de la famille Goretti, étaient des gens serviables et honnêtes, mais leur fils Alessandro se laissait entraîner par des camarades corrompus et des lectures pernicieuses. Il venait aider la famille Goretti pour des travaux agricoles trop pénibles. Maria l’accueillait, reconnaissante, trop pure pour se méfier. Ce jeune homme ne tarda pas à lui tenir des propos abjects, en lui défendant de les répéter. Sans bien comprendre le péril qui la menaçait et craignant d’être en faute, Maria avoua tout à sa mère. Avertie d’un danger qu’elle ignorait, elle promit de ne jamais céder.
Alessandro Serenelli devenait de plus en plus pressant, mais prudente, l’adolescente s’esquivait le plus possible de sa présence. Furieux de cette sourde résistance, le jeune homme guettait le départ de la mère pour pouvoir réaliser ses desseins pervers.
L’occasion tant attendue se présenta le matin du 6 juillet. Alessandro se précipita brutalement sur Maria, alors seule et sans défense. Brandissant sous ses yeux un poinçon dont la lame acérée mesurait 24 centimètres, il lui fit cette menace : « Si tu ne cèdes pas, je vais te tuer ! » La jeune chrétienne s’écria : « Non ! c’est un péché, Dieu le défend ! Vous iriez en enfer ! » Déchaîné par la passion, n’obéissant plus qu’à son instinct, l’assassin se jette sur sa proie et la laboure de quatorze coups de poinçon.
Lorsqu’Assunta est mise au courant du drame, Maria git mourante à l’hôpital de Nettuno. Le prêtre au chevet de la martyre, lui rappelle la mort de Jésus en croix, le coup de lance et la conversion du bon larron : « Et toi, Maria, pardonnes-tu ? lui demanda-t-il. — Oh, oui ! murmura sans hésitation la douce victime, pour l’amour de Jésus, qu’il vienne avec moi au Paradis. » Les dernières paroles que la Sainte prononça au milieu d’atroces douleurs, furent celles-ci : « Que fais-tu Alessandro ? Tu vas en enfer ! » et comme elle se détournait dans un ultime effort, son coeur cessa de battre.
Le 24 juin 1950, le pape Pie XII canonisait Maria Goretti, martyre à douze ans pour avoir défendu sa pureté jusqu’à la mort. Dans son allocution, le Saint-Père déclarait : « Elle est le fruit mûr d’une famille où l’on a prié tous les jours, où les enfants furent élevés dans la crainte du Seigneur, l’obéissance aux parents, la sincérité et la pudeur, où ils furent habitués à se contenter de peu, toujours disposés à aider aux travaux des champs et à la maison, où les conditions naturelles de vie et l’atmosphère religieuse qui les entouraient les aidaient puissamment à s’unir à Dieu et à croître en vertu. Elle n’était ni ignorante, ni insensible, ni froide, mais elle avait la force d’âme des vierges et des martyrs, cette force d’âme qui est à la fois la protection et le fruit de la virginité. »
Vierge et martyre (1890-1902)
Maria naquit dans le petit village de Corinaldo, le 16 octobre 1890, troisième d’une famille de sept enfants. En 1899, son père, cultivateur pauvre, déménagea dans une ferme au bord de la Méditerranée, près de Nettuno. Il mourut peu de temps après, laissant six enfants à nourrir.
Assunta, son épouse, décida de continuer la rude tâche à peine commencée et confia la garde des petits à Maria, âgée alors que de neuf ans. La petite fille d’une maturité précoce devint très vite une parfaite ménagère. Le jour de la Fête-Dieu, elle communia pour la première fois avec une ferveur angélique. Elle s’appliquait avec délices à la récitation quotidienne du chapelet. Maria Goretti ne put apprendre à lire, car la pauvreté et l’éloignement du village l’empêchèrent de fréquenter l’école.
La pieuse enfant ne tint cependant aucun compte des difficultés et des distances à parcourir lorsqu’il s’agissait de recevoir Jésus dans le Saint Sacrement. « Je puis à peine attendre le moment où demain j’irai à la communion », dit-elle l’après-midi même où elle allait sceller de son sang sa fidélité à l’Epoux des vierges.
Les Serenelli, proches voisins de la famille Goretti, étaient des gens serviables et honnêtes, mais leur fils Alessandro se laissait entraîner par des camarades corrompus et des lectures pernicieuses. Il venait aider la famille Goretti pour des travaux agricoles trop pénibles. Maria l’accueillait, reconnaissante, trop pure pour se méfier. Ce jeune homme ne tarda pas à lui tenir des propos abjects, en lui défendant de les répéter. Sans bien comprendre le péril qui la menaçait et craignant d’être en faute, Maria avoua tout à sa mère. Avertie d’un danger qu’elle ignorait, elle promit de ne jamais céder.
Alessandro Serenelli devenait de plus en plus pressant, mais prudente, l’adolescente s’esquivait le plus possible de sa présence. Furieux de cette sourde résistance, le jeune homme guettait le départ de la mère pour pouvoir réaliser ses desseins pervers.
L’occasion tant attendue se présenta le matin du 6 juillet. Alessandro se précipita brutalement sur Maria, alors seule et sans défense. Brandissant sous ses yeux un poinçon dont la lame acérée mesurait 24 centimètres, il lui fit cette menace : « Si tu ne cèdes pas, je vais te tuer ! » La jeune chrétienne s’écria : « Non ! c’est un péché, Dieu le défend ! Vous iriez en enfer ! » Déchaîné par la passion, n’obéissant plus qu’à son instinct, l’assassin se jette sur sa proie et la laboure de quatorze coups de poinçon.
Lorsqu’Assunta est mise au courant du drame, Maria git mourante à l’hôpital de Nettuno. Le prêtre au chevet de la martyre, lui rappelle la mort de Jésus en croix, le coup de lance et la conversion du bon larron : « Et toi, Maria, pardonnes-tu ? lui demanda-t-il. — Oh, oui ! murmura sans hésitation la douce victime, pour l’amour de Jésus, qu’il vienne avec moi au Paradis. » Les dernières paroles que la Sainte prononça au milieu d’atroces douleurs, furent celles-ci : « Que fais-tu Alessandro ? Tu vas en enfer ! » et comme elle se détournait dans un ultime effort, son coeur cessa de battre.
Le 24 juin 1950, le pape Pie XII canonisait Maria Goretti, martyre à douze ans pour avoir défendu sa pureté jusqu’à la mort. Dans son allocution, le Saint-Père déclarait : « Elle est le fruit mûr d’une famille où l’on a prié tous les jours, où les enfants furent élevés dans la crainte du Seigneur, l’obéissance aux parents, la sincérité et la pudeur, où ils furent habitués à se contenter de peu, toujours disposés à aider aux travaux des champs et à la maison, où les conditions naturelles de vie et l’atmosphère religieuse qui les entouraient les aidaient puissamment à s’unir à Dieu et à croître en vertu. Elle n’était ni ignorante, ni insensible, ni froide, mais elle avait la force d’âme des vierges et des martyrs, cette force d’âme qui est à la fois la protection et le fruit de la virginité. »
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Re: sainte MARIA GORETTI
Sainte Marie GORETTI
Nom: GORETTI
Prénom: Marie (Maria)
Pays: Italie
Naissance: 16.10.1890 à Corinaldo (Province d'Ancône)
Mort: 06.07.1902 à Près de Nettuno (Marais Pontins - Diocèse d'Albano)
Etat: Laïque - Enfant - Martyre
Note: Fillette du Latium (Marais Pontins), martyre de sa fidélité à sa pureté.
Béatification: 27.04.1947 à Rome par Pie XII
Canonisation: 24.06.1950 à Rome par Pie XII
Fête: 6 juillet (Mémoire facultative)
Réf. dans l’Osservatore Romano: 1991 n.41 p.9
Réf. dans la Documentation Catholique: 1950 col.897-902
Notice brève
Maria Goretti naît en 1890 à Corinaldo, région montagneuse de la Province d'Ancône, d'une famille de cultivateurs. La pauvreté les pousse à émigrer non loin de là dans les marais Pontins, encore insalubres, à Nettuno, au diocèse d'Albano. Elle n'a que dix ans quand son père meurt de la malaria. Elle s'occupe alors de ses cinq frères et sœurs tandis que sa mère travaille aux champs. C'est dans l'Eucharistie et la communion fréquente qu'elle vient puiser consolation et réconfort, tant pour son travail que pour vivre en chrétienne. Elle n'a pas tout à fait douze ans lorsqu'un jeune homme habitant la même ferme se met à la solliciter. Exaspéré par la résistance de Marietta, il finit par la menacer d'un poinçon de 20 cm de long, et la frappe de coups répétés. La sainte meurt le lendemain, 6 juillet 1902, après avoir pardonné à son agresseur. Une foule immense assistait à sa canonisation par Pie XII en 1950 dans laquelle se trouvaient et sa mère et son meurtrier converti.
Notice développée
Maria Goretti naît le 16 otobre 1890 à Corinaldo, village perché entre deux monts sur une hauteur fouettée par le vent, situé au sud d'Ancône dans la province des Marches, sur l'Adriatique. Dans ce village, les habitants vénèrent une "Madone, Reine des Martyrs" (la dernière parole de Maria en mourant sera un cri d'amour: "ô Madonna"). Ses parents, Luigi et Assunta, sont pauvres mais très pieux: prière en famille le soir, éducation des enfants dans la crainte de Dieu et le respect de ses commandements. Mais le petit lopin de terre n'arrive pas à nourrir la nombreuse maisonnée: 7 enfants dont Maria est l'aînée. On leur fait miroiter des conditions de vie meilleure dans des exploitations vacantes au sud de Rome. Assunta est attachée à sa maisonnette qu'elle entretient avec un soin méticuleux et elle ne voudrait pas la quitter; mais nécessité fait loi: ils vendent leur ferme et partent.
Après un premier séjour au village de Colle Gianturco, ils se fixent en 1899 dans celui de Ferriere di Conca, au diocèse d'Albano, au sur de Rome sur le bord de la Méditerranée. C'est la région des "marais Pontins" (appelée maintenant Pontine). Malheureusement, à cette époque, les marais ne sont pas encore asséchés et la région est insalubre. Luigi travaille d'arrache-pied, mais il sera bientôt arrêté par le paludisme. Pour comble de malheur, la famille doit collaborer avec un veuf et son fils. Le père, Jean Serenelli, auquel Luigi est associé, est fainéant et buveur. Son fils Alessandro est un jeune homme de 19 ans grossier et vicieux. Luigi a compris le danger de cette proximité. Avant de mourir, en 1900, rongé par la fièvre paludéenne, le typhus et une pneumonie, il dit à sa femme: "Assunta, retourne à Corinaldo!" Mais c'est impossible car elle est liée par son fermage et endettée. La petite Marietta (Maria) n'a que dix ans à la mort de son père. Elle en est très affligée; elle va souvent au cimetière pour prier sur sa tombe. D'autre part elle fait tout pour consoler sa mère et la seconder dans sa lourde tâche. Elle lui dit: "Courage, maman, n'ayez pas peur, nous grandissons. Il suffit que Notre Seigneur nous donne la santé. La Providence nous aidera. Nous lutterons, nous lutterons!"
Marietta a été confirmée dès l'âge de 6 ans. Elle prie sans cesse, avec une prédilection pour le chapelet qu'elle tient toujours enroulé autour de son poignet. "Pourquoi pries-tu tant?" lui demande un jour une amie. "Je prie pour consoler Jésus et Marie de tant de péchés" répond-elle et elle se met à pleurer. Elle désire ardemment faire sa première communion. "Je veux Jésus - dit-elle à sa mère - je ne veux plus être sans Jésus." Mais elle a 10 ans et à l'époque, on ne communie pas avant 11 ans. De plus elle est illettrée et sa mère n'a pas de quoi lui acheter une robe de première communiante. Marietta insiste. Alors l'archiprêtre de Nettuno, la ville voisine, l'interroge et il est surpris par ses connaissances. Les habitants du village se cotisent pour lui fournir le nécessaire et le 29 mai 1902, en la solennité de la Fête-Dieu, maria, avec son frère Angelo et d'autres enfants fait sa première communion dans la petite église de Ferriere. En le recevant dans son cœur Marietta dit à Jésus qu'elle veut se conserver tout entière pour lui.
Le spectacle de cette famille pieuse a quelque influence sur Alessandro. Parfois il participe à la prière du soir et il va à l'église de temps en temps pour une grande fête. Mais peu à peu, la passion le prend à la vue de cette fille, qui, bien qu'elle n'ait pas encore 12 ans, est déjà grande et belle. Il lui fait des sollicitations que d'abord elle ne comprend pas. Puis il se fait menaçant tout en lui disant: "Si tu le dis à ta mère, je te tue." Maria, terrorisée, supplie souvent sa mère de ne pas la laisser seule, mais sans lui dire pourquoi, à cause des menaces d'Alessandro, et Assunta ne comprend pas. Le vendredi 5 juillet 1902, elle lui a réitéré sa demande. Croyant à un caprice, Assunta part tout de même au travail, non loin de là. Maria reste seule pour garder la petite Thérèse encore au berceau. A trois heure de l'après-midi, Alessandro demande à Assunta de le remplacer pour conduire les bœufs. Il gagne alors la maison toute proche et entraîne Maria de force dans la cuisine et exige qu'elle se plie à ses désirs. Maria se débat et lui dit: "Ne fais pas cela! C'est un péché! Tu iras en enfer!" Exaspéré par la résistance de Maria, il la menace d'un poinçon de 20 cm de long qu'il a fabriqué exprès et il la frappe de coups répétés. Il s'éloigne un peu, puis l'entendant encore gémir, il revient à la charge et lui porte de nouveaux coups: 14 en tout. Alerté par les cris de la petite Thérèse, le père Serenelli accourt suivi d'un ouvrier agricole et d'Assunta. Alessandro s'est barricadé dans sa chambre. Les gendarmes intrerviennent et l'emportent, lié, marchant entre deux chevaux. Ils empêchent ainsi la foule hostile qui s'est formée de le lyncher. Maria est conduite à l'hôpital de Nettuno, placée sur un char à bancs dont les secousses avivent la douleur de ses blessures. Le convoi n'arrive qu'à six heures du soir. Les médecins sont étonnés qu'elle vive encore car elle a été atteinte au cœur, au péricarde, aux intestins et au poumon gauche. Attachée sur la table d'opération, Maria a la consolation de voir arriver un prêtre; puis on l'opère pendant deux heures, sans l'endormir. Pendant l'opération et jusqu'à sa mort, Maria meurt de soif, comme Jésus sur la croix, mais on ne peut lui donner à boire par crainte de la péritonite. Avant de mourir, deux grandes grâces lui sont accordées: elle est inscrite dans la "Congrégation des enfants de Marie", et on en dépose la médaille sur sa poitrine haletante. La seconde grâce, c'est la Sainte communion avec l'Extrême Onction. Avant de lui donner l'hostie, le prêtre demande à la victime si elle pardonne à son agresseur comme Jésus a pardonné sur la croix à ses bourreaux. Surmontant un mouvement de répulsion, elle déclare: "Oui, pour l'amour de Jésus je pardonne. Je veux qu'il vienne lui aussi avec moi au Paradis. Que Dieu lui pardonne, car moi je lui ai déjà pardonné." Puis vient l'agonie. Elle meurt le 6 juillet à 3 heure de l'après-midi, premier samedi du mois.
Quant à Alessandro, il ne manifeste aucun repentir. Il est condamné à 30 ans de travaux forcés. Il est dans une prison en Sicile. Après un an, Mgr Blandini, l'évêque du lieu, vient le visiter. Le gardien lui dit: "Vous perdez votre temps. C'est un dur, vous verrez!" Effectivement, il est mal reçu, mais quand il lui parle de Maria et de son pardon, Alessandro se met à pleurer et il écrit une lettre de pardon à l'évêque. Une nuit, en 1910, Maria lui apparaît en songe. Elle est vêtue de blanc; elle cueille des fleurs au jardin du Paradis et lui en offre. Allessandro est libéré plus tôt, pour bonne conduite, après 27 ans de détention tout de même. En 1937 il se rend à Corinaldo où Assunta est retournée vivre. Il se jette à ses pieds. "C'est moi Alessandro! Je viens demander pardon pour l'assassin de votre fille." "Maria vous a pardonné, lui dit-elle, comment ne vous pardonnerais-je pas à mon tour?" Le lendemain - c'était Noël - ils communient côte à côte à la sainte table. Puis tous les deux sont invités à prendre leur repas chez l'archiprêtre. Par la suite Alessandro entre comme jardinier chez les Franciscains. Et c'est sous l'habit de religieux tertiaire franciscain qu'en 1947 il participe à la béatification de Maria, aux côtés d'Assunta et de la famille. Et de même pour la canonisation le 24 juin 1950.
Pour le 100e anniversaire de sa naissance, en 2002, Jean Paul II a adressé un Message spécial à l'Évêque d'Albano en soulignant l'actualité de cette Martyre de la pureté.
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Re: sainte MARIA GORETTI
ANGELUS
Sunday, 7 Juillet 2002
Chers Frères et Sœurs,
1. Maria Goretti est mort il ya 100 ans, le 6 Juillet 1902. Elle avait été mortellement blessé la veille par la violence aveugle de son agresseur. Mon vénéré Prédécesseur, le Serviteur de Dieu Pie XII, sa canonisation en 1950, la tenant à tout le monde comme un modèle de fidélité courageuse à la vocation chrétienne,jusqu'au sacrifice suprême de la vie. j'ai voulu rappeler cet événement important avec une spéciale Message adressé à l'évêque d'Albano, en soulignant l'actualité de ce martyr de la pureté, que j'espère les adolescents et les jeunes seront mieux connaître.
St Maria Goretti est un exemple pour les nouvelles générations qui sont menacés par une attitude non-commital qui a du mal à comprendre l'importance des valeurs qui n'admettent pas de compromis.
2. Même si elle était pauvre et privés d'une éducation scolaire, Maria, qui n'était pas encore 12 ans avait une forte personnalité et mature, façonné par l'enseignement religieux qu'elle avait reçu dans la famille. Ce fait ses capable non seulement de se défendre avec la chasteté héroïque, mais même de pardonner à son assassin.
Son martyre nous rappelle que l'être humain n'est pas remplie en suivant les impulsions de plaisir, mais en vivant la vie avec amour et responsabilité. Je sais bien, chers jeunes, comment vous êtes sensibles à ces idéaux. Comme j'ai hâte de vous rencontrer à Toronto dans deux semaines, je voudrais vous répéter aujourd'hui: ne laissez pas la culture de consommation et de plaisir endormir vos consciences! Soyez alertes et vigilants "Watchmen", soit les vrais champions d'une nouvelle humanité. 3. Voyons maintenant l'adresse Notre-Dame, dont le nom a été donné à St Maria Goretti. Mai la plus pure des créatures humaines aider les hommes et les femmes de notre temps, et particulièrement les jeunes, de redécouvrir la valeur de la chasteté et à vivre des relations interpersonnelles dans le respect réciproque et l'amour sincère.
Dernière édition par panetier le Lun 4 Juil 2011 - 15:56, édité 1 fois
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Re: sainte MARIA GORETTI
:
La Fille des marais (Cielo sulla palude), 1949, de Augusto Genina, avec Ines Orsini, dans le rôle de Maria Goretti. Prix de la Présidence du Conseil des Ministres pour le meilleur film italien. Prix international de la mise en scène. Prix international de l'Office Catholique International du Cinéma, à la Xe exposition Internationale d'Art Cinématographique de Venise, 1949. Histoire vraie racontée d'après les archives du Tribunal de Rome et les documents qui ont servi à établir l'acte de béatification de Maria Goretti. Adaptation cinématographique du roman traduit par André Maugé.
Résumé C’est une très grande pauvreté qui conduit les époux Goretti et leurs six enfants à s’installer en 1899 dans une ferme, au bord de la Méditerranée, près de Nettuno en Italie. Dans la même maison, d’autres locataires sont également installés, les Serenelli, dont le fils Alexandre a déjà des regards troubles.
La terre est inculte à Nettuno, c’est une région de marais et il faut défricher, travailler dur pour nourrir toute la famille. Maria est l’aînée. Courageuse, obéissante, d’une piété toute simple, elle aide beaucoup sa mère, et davantage encore lorsque son père meurt subitement. Alexandre vient parfois aider aux durs travaux. Il a compris tout de suite que Maria est un ange de pureté, mais plus il voit son innocence, plus le garçon forme le triste projet de la lui faire perdre...
Histoire vraie racontée d’après les archives du Tribunal de Rome et les documents qui ont servis à établir l’acte de béatification de Maria Goretti. Adaptation cinématographique du roman traduit par André Maugé.
Vie de Sainte Maria Goretti, très beau modèle de pureté.
film en noir et blanc. durée: 1h30
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Re: sainte MARIA GORETTI
SAINTE MARIA GORETTI
et le mystère de la Rédemption
Maria Goretti nous fait entrer de plain-pied dans la voie royale de la sainteté catholique romaine, où la grâce pénètre la vie de toute une société devenue d’Église, l'Église, dans laquelle la joie de la grâce, les fruits de la grâce, se cueillent tout naturellement dans le catéchisme et sont vécus au quotidien avec une perfection toute divine !
Luigi Goretti à l'âge de 21 ans (1859-1900)
Notre jeune martyre naquit le 16 octobre 1890 à Corinaldo, petit village de la campagne italienne, dans la Province d’Ancône, à peu de distance de Lorette. Ses parents, Luigi et Assunta Goretti, qui étaient des époux exemplaires, donnèrent naissance à six enfants. Mais bientôt, la gêne s’installa dans cet humble foyer. Le revenu d’un modeste champ n’était plus suffisant pour entretenir la famille croissante. Contraint par la nécessité, Luigi Goretti prit donc la décision d’émigrer dans la région de l’Agro Romano où il était facile de trouver du travail pour les pauvres gens. Il abandonnait ainsi l’air salubre dont les monts voisins enivraient sa ville natale pour se transférer avec sa famille dans cette région monotone et triste des Marais Pontins, terre marécageuse infestée par la malaria.
Comme si cela ne suffisait pas, la famille Goretti fut dans l’obligation de partager sa maison avec les Serenelli. Entre les deux familles, le contraste était total. Dans celle des Serenelli, un père brutal et buveur et son fils, orphelin de mère, qui a fait son éducation parmi les marins débauchés du port de Torrette. Chez les Goretti, la piété et la crainte de Dieu, une immense patience et un courage que rien ne rebute. Et, en exemple à tous, “ Marietta ”, qui était l’ange de consolation de la famille. Hélas, la première récolte n’avait pas encore mûri que Luigi était terrassé par la maladie impitoyable. Il rendit le dernier soupir le 6 mai 1900, à l’âge de quarante ans, après avoir reçu le réconfort des sacrements.
Luigi avait été pauvre toute sa vie, et pauvre il demeurait dans la mort. Mais Jésus-Christ, Père des pauvres, l’accueillit dans son Ciel de gloire d’où il allait pouvoir continuer à diriger sa famille, selon les desseins de Dieu qui ne sont pas les nôtres.
Cuisine de la Cascina Antica, habitée par la famille Goretti et la famille Serenelli.
Et ce fut alors un concours de générosité entre la mère et sa fille. Assunta au travail des champs parmi les journaliers pour arriver à nourrir ses six orphelins et Maria à la maison. Petite maîtresse de maison veillant à tout, supportant tout du caractère impossible du vieux Serenelli et consolant sa mère, plus pauvre encore après deux années de travail épuisant. Si parfois les larmes coulaient, Maria consolait sa mère de son mieux :
« Maman, ne pleurez pas ! Courage ! De quoi avez-vous peur ? Le bon Dieu ne nous abandonnera pas. Nous devenons grands, il suffit que le Seigneur nous donne la santé. La Providence nous aidera, nous nous en sortirons, nous nous en sortirons ! »
« À une heure déjà avancée, il était temps de prendre du repos. Mais auparavant, Maria, fidèle à sa résolution, s’agenouillait au pied de son lit et égrenait un dernier chapelet pour le repos de l’âme de son papa chéri. » Admirable mère, admirable enfant !
En mère de famille exemplaire, Assunta ne s’excusait pas de la pauvreté pour négliger ses devoirs d’éducatrice. Elle nous raconte cet épisode survenu avant la Première Communion de Maria :
« Une jeune fille qui se préparait comme elle à la Première Communion, mais plus âgée qu’elle, parlait un jour avec un jeune homme tandis que Marietta puisait de l’eau à la fontaine voisine. La conversation n’était pas correcte et ma fillette en resta scandalisée. Rentrée à la maison, elle me raconta tout, s’étonnant que sa compagne se prépare à sa première communion de cette manière. Je la grondai :
« Et toi, Marietta pourquoi es-tu restée à la fontaine à écouter ?
– Tant que mon broc n’était pas rempli, maman, comment pouvais-je faire ?
– Tâche que ce qui t’est entré par une oreille en sorte par l’autre. Vois-tu, ma fille, ce dont tu t’étonnes chez les autres, les autres pourraient s’en étonner chez toi si tu te conduisais mal.
– Oh ! maman ! plutôt mourir que de parler comme cela. »
Assunta ne pouvait pas supporter l’impureté. Et Maria comme sa mère eut préféré mourir que de pécher.
Mais la pénible promiscuité des Serenelli imposée à cette sainte famille ajoutait à toutes leurs souffrances une menace permanente. L’assassin lui-même dira, un jour, l’extrême pudeur et pureté qui régnait dans cette famille, humble et craignant Dieu, ôtant toute vraisemblance aux calomnies qu’il n’avait pas craint de proférer contre Maria au cours de son procès :
« Maria, rapporte Alessandro dans ses souvenirs, était instruite des rudiments de la religion et souvent, je l’ai vue, suivant les suggestions de sa maman, se transformer en maîtresse de ses frères et sœurs pour leur enseigner les prières. Tous les soirs, ils disaient le chapelet en commun et moi aussi j’y prenais part. Je l’ai connue toujours bonne, obéissante, pieuse, sérieuse et non pas légère et volubile comme les autres filles ; dans la rue, elle allait modestement et se hâtait d’exécuter les instructions qu’elle avait reçues. Elle était toujours gaie et prompte à obéir. Elle se contentait des vêtements que lui confectionnait sa maman. Elle était modeste. Elle portait des vêtements longs et même dans les plus chaudes heures de l’été, elle ne se mettait pas à l’aise. Quant à moi, j’avais des journaux ou des périodiques illustrés, mais jamais je n’ai remarqué qu’elle se soit attardée à les regarder par curiosité. Jamais je ne l’ai vu commettre d’actes contre la pureté. J’avais une très grande estime de sa correction. »
UN SERPENT TAPI DANS L'OMBRE
« Un jour, brutalement, comme elle était seule à la maison, assise à sa couture, Maria comprit qu’existait un danger, tapi dans l’ombre comme un serpent.
« Une main posée sur le dossier de sa chaise lui révéla tout à coup la présence d’Alessandro tandis qu’à son oreille parvenait le murmure de propos séducteurs qui la firent bondir sur ses pieds, indignée, le rouge au front.
« Alessandro, cria-t-elle, je n’écouterai pas ! »
« Son innocence fit qu’elle ne comprit pas vraiment le sens des paroles entendues, mais quelque chose en elle l’avertit du danger. Alessandro, quant à lui, vit aussitôt qu’il n’arriverait pas à la séduire par la flatterie. Alors, furieux, il lui interdit d’en rien dire à sa mère, sur un ton si dur et si sévère que Maria en resta terrorisée. »
Tableau représentant l’Annonciation, devant lequel Maria fit sa Première Communion, le 16 juin 1901. (Église de Conca, aujourd’hui Borgo Montello.)
Chapitre admirable que celui de la Première Communion de Maria. C’est d’abord Assunta avec ses scrupules : Marietta n’avait pas les douze ans requis. Aurait-elle assez de respect pour le Saint-Sacrement ? comprendrait-elle ce qu’elle allait faire ? L’archiprêtre don Signori dissipa le trouble d’Assunta en disant :
« Confiez-la à la Madone, placez-la sous son manteau et n’ayez plus aucune crainte ! »
Le matin du grand jour, Maria, selon la noble coutume presque liturgique, s’approcha de sa maman et lui demanda pardon de tous les manquements qu’elle avait pu commettre. Tout en accordant pardon et bénédiction, sa mère lui dit à l’oreille :
« Va en faire autant auprès des Serenelli. »
Fallait-il que la mère soit sûre de la force d’âme de son enfant pour lui imposer pareille humiliation !
« Alessandro, je te demande pardon.
– Pardon, mais pardon de quoi, tu n’as rien fait ! »
Avec un courage invincible, Maria l’aborda de nouveau au sortir de l’église et l’avertit :
« Alessandro, pense à ce que tu fais ! »
Nous entrons alors dans un mystère de grâce et de miséricorde : l’enfant prédestinée n’a plus en pensée que le salut de celui qui perd son âme. C’était dans ces sentiments qu’elle avait fait sa première communion, comme une fiancée s’offrant à son unique Époux pour la rédemption d’Alessandro. Elle mourra, vierge et martyre, violemment et douloureusement tuée par celui-ci, en pardonnant à son assassin, et demandant en grâce de l’avoir auprès d’elle en Paradis.
CONFIGURÉE À JÉSUS CRUCIFIÉ
Don Temistocle Signori,archiprêtre de Nettuno,de 1882 à 1919.
Ouvrons le chapitre de sa mort où notre petite martyre reproduit les traits de la Passion de Notre-Seigneur et tout particulièrement celui du pardon héroïque à son assassin. Nous y voyons le Père Signori, aumônier de l’hôpital tenu par les frères de Saint-Jean-de-Dieu assister Marietta dans ses derniers moments :
« Choisissant un moment où il était seul, il s’approcha du lit. Il contempla ce visage toujours serein en dépit des stigmates de la douleur et de l’expression d’une souffrance plus profonde qu’on ne la rencontre d’ordinaire à cet âge. Le Père connaissait le bon cœur de Maria, sa docilité, sa loyauté, son obéissance exemplaire. Il avait devant lui, dans ce corps virginal massacré, la preuve de la fidélité absolue de Maria à son Sauveur. Spectateur émerveillé de ce prodigieux dévoilement de vie spirituelle, don Signori pensa qu’il était temps avant tout, de savoir dans quelles dispositions était ce pauvre cœur meurtri vis-à-vis de son assassin. C’était au prêtre à conduire doucement cette âme sur le chemin évangélique du pardon des offenses.
Avant sa Première Communion, sur le conseil de sa mère, Maria avait demandé pardon pour ses fautes. Avant sa dernière Communion, sur le conseil de sa Mère l’Église, représentée par ce bon prêtre, Maria n’allait-elle pas pardonner à son tour ?
– Marietta, murmura-t-il, Notre-Seigneur va bientôt venir en toi dans la Sainte Communion.
Elle écoutait, très attentive, les yeux ouverts. Il lui prit délicatement une main et la tint dans les siennes.
– Rappelle-toi, Maria, comment Jésus mourut sur la croix, comment Il pardonna à ses ennemis. Rappelle-toi sa particulière miséricorde pour le larron repentant et la promesse qu’il lui fit : “Aujourd’hui, tu seras avec moi dans le Paradis.” Et toi, Maria, ajouta-t-il, pardonnes-tu à ton assassin de tout ton cœur ?
Surmontant toute hésitation et toute répugnance, elle renouvela résolument son pardon.
– Oui, répondit-elle. Oui, pour l’amour de Jésus, je lui pardonne, et je veux qu’il vienne lui aussi avec moi dans le Paradis.
Le Père Signori admira en silence ce pardon sublime. La grâce divine avait opéré des merveilles de mysticisme dans l’âme de cette petite fille héroïque.
Non loin de là, dans cette même ville de Nettuno, au premier étage de la gendarmerie, Alessandro subissait aussi un interrogatoire. Mais il se refusait absolument à livrer quelque explication de son crime et répondait obstinément à toutes les questions :
– Je ne me souviens pas.
Sans perdre de temps, don Signori disposa la chambre de Maria pour la venue de l’Hôte divin. La nouvelle du pardon accordé au meurtrier s’était vite répandue dans l’hôpital et, à nouveau, les gens entraient et maintenant déposaient des fleurs au pied du lit et sur le lit lui-même. Ils présentaient à Maria des crucifix et des images de la Sainte Vierge que l’enfant baisait avec tendresse et dévotion.
– Est-ce vrai, Marietta, lui demandait-on, que tu pardonnes à celui qui t’a tuée ?
– Oui, répondait-elle simplement. J’espère que Dieu lui aussi lui pardonne, parce que moi, je lui ai déjà pardonné. (…)
Puis, rompant un silence impressionnant, elle dit soudain :
– Portez-moi plus près de la Sainte Vierge !
– Où, Marietta ? demandèrent sœur Aurelia ainsi que d’autres assistants qui ne voyaient personne. Où est la Sainte Vierge ?
– Est-il possible que vous ne la voyiez pas? reprit-elle très surprise. Elle est si belle !... toute lumière, toutes fleurs ! Approchez-moi plus près de la Sainte Vierge !
Assunta revint enfin et entra dans la chambre. La vue des fleurs qui ornaient la pièce et le lit même la toucha au cœur. Tant d’événements consolants s’étaient déroulés en son absence !
Les religieuses s’empressèrent de lui raconter avec quelle ferveur sa fille avait souhaité devenir Enfant de Marie, avec quelle générosité héroïque elle avait pardonné à son assassin et avec quelle piété elle avait reçu la Sainte Communion et l’Extrême-Onction. À ces nouvelles, Assunta fut bouleversée. Une ineffable consolation inonda son cœur maternel. Elle vit, au cou de sa fille, la médaille des Enfants de Marie. Oui, Maria avait toujours été une enfant de Marie, depuis sa consécration à la Vierge lors de son baptême, jusqu’à son dernier jour de vie sur la terre.
Image sainte de la Madone au pied de laquelle la famille Goretti se recueillait chaque soir pour la récitation du chapelet.
« J’avais remarqué plusieurs fois au cours de la journée, rapporta Assunta, que ma petite fille tenait son regard fixé vers le cadre de la Madone, qui était au mur de sa chambre. » (…)
L’aumônier s’approchait de temps en temps de Maria, pour lui suggérer quelques brèves invocations. Mais dévorée par l’excès de ses souffrances qu’aucun allégement n’était venu apaiser depuis vingt-quatre heures, elle perdit bientôt connaissance et commença à délirer.
Son visage prit alors une expression de terreur que sa mère ne lui avait jamais vue, sa voix, un son qu’elle n’avait jamais entendu.
– Que vas-tu faire, Alessandro ? s’écria-t-elle. Tu iras en enfer !
Jusque dans son inconscience, son esprit revivait l’instant effroyable de son martyre. Puis elle ajouta :
– Teresa ! et fixa son regard sur sa mère, sans la reconnaître.
La religieuse prit la main de l’enfant et lui dit :
– Teresa n’est pas ici.
Maria laissa retomber sa tête sur l’oreiller et expira aussitôt, calmement. L’aumônier, qui était sorti peu auparavant, entendit des pleurs provenant de la chambre. Il revint vite et s’exclama :
– Je n’aurais jamais cru qu’elle allait mourir maintenant !
C’était le dimanche 6 juillet 1902, à 15 h 45, en la fête du Très Précieux Sang de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Notre petite martyre n’avait pas encore atteint ses douze ans. Elle sera béatifiée le 27 avril 1947 et canonisée par le Pape Pie XII, le 24 juin 1950.
Petit pavillon où mourut Maria, à Nettuno.
LES VOIES SUAVES DE LA MISÉRICORDE DIVINE
Nous allons voir maintenant Assunta compléter en son cœur de chair ce qui manquait à la Passion de Maria. Et ce sont ces deux âmes n’en faisant plus qu’une qui opéreront le miracle de la conversion d’Alessandro.
Ce fut d’abord le pardon prononcé dans la salle d’audience, au terme du procès :
« En ce qui me concerne, Monsieur le président, je lui pardonne du fond du cœur. »
Mais il fallut encore qu’Assunta impose ce pardon à la foule exaspérée :
« Et alors, si Jésus-Christ ne vous pardonnait pas non plus ? »
Condamné à la réclusion pour une peine de trente ans, Alessandro fut conduit en Sicile et interné dans le pénitencier de Noto. Peu à peu l’état d’esprit du détenu s’améliora. Mais comment pourrait-il changer radicalement, se convertir et retrouver, par le repentir sincère de son crime, l’amitié de Dieu et de ses frères ? Maria elle-même y veillait. Elle avait son plan de “ vengeance évangélique ”.
Une nuit de l’année 1910, Dieu permit qu’Alessandro eût un songe singulier :
« Ce fut la seule fois où je rêvais de Maria Goretti. Je rêvais que Maria, toute vêtue de blanc, cueillait, dans un jardin où je me trouvais, des lys d’une blancheur éclatante qu’elle m’offrait l’un après l’autre. Lorsqu’elle me les remettait, ils se transformaient en autant de lumignons allumés comme des cierges. Puis elle disparut. »
Alessandro en 1937
De son côté, Alessandro, n’était plus le même ; ce songe versa dans son âme le désir d’entrer dans de meilleures dispositions. Il se sentit renouvelé par une impulsion que le portait au bien. Il comprit bientôt que Dieu avait déjà mis tout en œuvre pour le sauver par égard pour le sacrifice de Marietta.
Il demanda publiquement pardon dans une lettre qu’il écrivit à l’initiative de l’évêque de Noto :
« Je regrette doublement le mal commis parce que j’ai conscience d’avoir enlevé la vie à une innocente qui, jusqu’au dernier moment, a voulu maintenir sauf son honneur, se sacrifiant plutôt que de céder à mes volontés. Je déteste publiquement le mal que j’ai fait et j’en demande pardon à Dieu d’abord, et ensuite à cette pauvre famille désolée, et j’ose espérer que, moi aussi, je pourrai obtenir le pardon.»
Dès lors, il accepta sa peine en esprit de pénitence, et de réparation, et quelques années plus tard, il voulut aussi réparer les calomnies proférées contre Maria au tribunal :
« La pauvre petite, elle était innocente comme l’eau et mes calomnies auraient empêché sa canonisation ; c’était comme si je l’avais tuée une seconde fois. »
Alessandro sortit de prison en 1929 et c’est longtemps après, en 1934, qu’il rencontra Assunta chez le curé de Corinaldo dont elle était la servante, et lui demanda pardon pour que son expiation soit véritablement complète...
« Un jour, au cœur de l’hiver 1934, raconte Assunta, on le vit tourner dans les rues du pays, s’asseoir en solitaire sur le petit mur qui entourait le parvis de Saint-Augustin, puis venir à la cure de l’archiprêtre et toquer à la porte. J’allais ouvrir : c’était lui.
Le cœur miséricordieux d'Assunta s'était laissé toucher...
– Assunta, dit-il, les yeux baissés, me reconnaissez-vous ?
– Oui, mon enfant.
– Me pardonnez-vous ?
– Mon fils, Dieu t’a pardonné, Marietta t’a pardonné... je te pardonne, moi aussi !...
« Et je lui entourai le cou de mes bras...
« Une fois monté dans la maison, il demanda pardon aussi à mes enfants. C’était Noël. Nous allâmes recevoir la Communion ensemble, l’un à côté de l’autre. »
« J’étais heureux, dira Alessandro, il me semblait, après tant de temps écoulé, avoir retrouvé ici sur terre l’affection de ma pauvre maman. »
Comment ne pas penser une nouvelle fois au Christ disant à sa Mère : « Femme, voici ton fils. »
« Aucune voix de s’éleva contre Alessandro. L’horreur que beaucoup d’habitants de Corinaldo avaient ressentie à la seule évocation de son nom se dissipa comme un mauvais rêve. On avait vu la mère de Maria et l’assassin repenti prier ensemble et s’agenouiller en cette nuit de Noël pour recevoir l’Enfant-Dieu, le Rédempteur du monde. Les cœurs s’étaient embrasés au feu dévorant de l’héroïque charité de Mamma Assunta.
Désormais, Alessandro menant une vie pénitente et obscure à l’ombre d’un monastère, sera comme un enfant, bien simple, mais toujours avec la pensée qu’il n’a pas assez expié sa faute, ne laissant passer aucune occasion de manifester son repentir, à Maria d’abord, dans la prière, et encore dans son Testament spirituel :
Alessandro peu avant sa mort, en 1970.
« Le 5 mai 1961.
« Je suis vieux, ayant presque quatre-vingts ans et suis proche de ma fin. En regardant le passé, je reconnais que dans ma première jeunesse, j’ai pris une mauvaise route : la route du mal qui m’a conduit à la ruine. Je voyais, à travers la presse, les spectacles et les mauvais exemples, que la majeure partie des jeunes suivaient cette route sans y réfléchir. Et moi non plus, je ne m’en souciais pas.
« J’avais tout près de moi des personnes croyantes et pratiquantes, mais je ne m’en préoccupais pas, aveuglé par une force mauvaise qui me poussait dans la voie du mal.
« À l’âge de vingt ans, je commis le crime passionnel dont aujourd’hui je suis horrifié à son seul rappel. Maria Goretti, aujourd'hui sainte Maria Goretti, fut le bon ange que la Providence avait mis sur mes pas. Ses paroles de reproche et de pardon sont encore imprimées dans mon cœur. Priez pour moi, intercédez pour moi, son assassin.
« Il s’ensuivit trente ans de prison. Si je n’avais pas été mineur, j’aurais été condamné à vie. J’acceptai la sentence méritée et j’expiai ma faute, rasséréné. Maria fut vraiment ma lumière, ma protectrice. Avec son aide, je me conduisis bien et cherchai à vivre honnêtement, quand la société m’a accepté à nouveau comme un de ses membres.
« Les fils de saint François, les frères mineurs des Marches, avec une charité séraphique, m’ont accueilli parmi eux, non comme un serviteur mais comme un frère. Je vis avec eux depuis 1936.
« Et maintenant, j’attends sereinement le moment d’être admis à la vision de Dieu, d’embrasser à nouveau les êtres qui me sont chers, d’être proche de mon ange protecteur et de sa chère maman, Assunta.
« Que ceux qui liront cette lettre de moi veuillent tirer l’heureux enseignement de fuir le mal, de suivre le bien, toujours, depuis l’enfance. Qu’ils pensent que la religion et ses préceptes ne sont pas une chose dont on peut faire l’économie, mais que c’est le vrai réconfort, la seule voie sûre en toutes circonstances, même les plus douloureuses de la vie. Pax et Bonum, la Paix et le Bien ! »
La conversion d’Alessandro par la médiation de Maria et d’Assunta indissociablement, est le chef-d’œuvre de la grâce, de la prière médiatrice, du sacrifice et du pardon. Au pied de la croix, Assunta a véritablement engendré Alessandro une seconde fois, le mot est venu tout naturellement aux lèvres de son enfant :
« J’ai retrouvé l’affection de ma pauvre Maman », comme si Marietta lui disait : « Fils, voici ta mère. »
Et on le voit accourir au chevet d’Assunta mourante, comme le fils qu’il était devenu, et repassant inlassablement les grâces dont il avait été favorisé.
Ce fut précisément le 7 octobre 1954, veille de sa mort, qu’Assunta avait lucidement et pieusement reçu les derniers sacrements et avait communié.
– Je veux aller près de Marietta ! avait-elle dit, d’une faible voix.
Et tandis que le jeune prêtre qui l’assistait lui avait renouvelé la sainte absolution, elle avait répété par trois fois, d’une voix toujours faible mais distincte :
– Sainte Maria Goretti, prie pour moi !
Mamma Assunta en prière devant la châsse de sa fille lors de la cérémonie de canonisation, le 24 juin 1950.
Lorsque vous refermerez le livre de sœur Françoise, vous voudrez ajouter : « Bienheureuse Assunta, mère admirable, priez pour nous ! » Et, comprenant enfin la largeur et la profondeur du Cœur de Jésus, nous ajouterons encore : « Alessandro, priez pour nous ! »Extraits de Résurrection n° 11, novembre 2001, p. 24-26
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Re: sainte MARIA GORETTI
Cette histoire me bouleverse extraordinairement.
Mon DIEU, que c'est beau !
C'est cela qu'il faut montrer à notre jeunesse.
C'est cela qu'il leur faut lire , avec des histoires comme celle ci qu'ils peuvent s'émerveiller, des exemples pareils qu'ils peuvent imiter.
Sainte Maria Goretti est un modèle de pureté et de misèricorde.
Prions la pour nous, pour nos enfants, nos jeunes et pour toute personne qui s'adonne à la perversité.
Je pense à cette jeune fille retrouvée brûlée dans une fosse le mois dernier et à ce jeune homme disparu à Pau dont on a retrouvé un membre.
La société d'aujourd'hui , érotisée comme jamais, doit retrouver le goût de la pureté et de la chasteté avant le mariage.
Désirons la pureté pour nous même et n'acceptons aucun compromis avec tout ce qui entâche cette pureté ; je pense en particulier à toutes images érotiques et à toutes histoires " grasses "...
Emerveillons nous de toute pureté où Dieu réside, demandons souvent le secours de la sainte vierge ( oui appelons la : ste vierge Marie plutôt que Marie ) et de Ste Maria Goretti.
Mon DIEU, que c'est beau !
C'est cela qu'il faut montrer à notre jeunesse.
C'est cela qu'il leur faut lire , avec des histoires comme celle ci qu'ils peuvent s'émerveiller, des exemples pareils qu'ils peuvent imiter.
Sainte Maria Goretti est un modèle de pureté et de misèricorde.
Prions la pour nous, pour nos enfants, nos jeunes et pour toute personne qui s'adonne à la perversité.
Je pense à cette jeune fille retrouvée brûlée dans une fosse le mois dernier et à ce jeune homme disparu à Pau dont on a retrouvé un membre.
La société d'aujourd'hui , érotisée comme jamais, doit retrouver le goût de la pureté et de la chasteté avant le mariage.
Désirons la pureté pour nous même et n'acceptons aucun compromis avec tout ce qui entâche cette pureté ; je pense en particulier à toutes images érotiques et à toutes histoires " grasses "...
Emerveillons nous de toute pureté où Dieu réside, demandons souvent le secours de la sainte vierge ( oui appelons la : ste vierge Marie plutôt que Marie ) et de Ste Maria Goretti.
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Re: sainte MARIA GORETTI
Bonjour Michel,
J`étais trés contente que pour tous ces textes sur Sainte Marie Groretti, je vous remercie beaucoup.
Il y à quelques années j`ai lu un des ses livres mais me souviens plus du titre, en tout cas j`ai beaucoup aimé et je n`oublirais jamais sa vie de pureté et sainteté.
Mes amitiés Michel.
J`étais trés contente que pour tous ces textes sur Sainte Marie Groretti, je vous remercie beaucoup.
Il y à quelques années j`ai lu un des ses livres mais me souviens plus du titre, en tout cas j`ai beaucoup aimé et je n`oublirais jamais sa vie de pureté et sainteté.
Mes amitiés Michel.
Manuela- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: sainte MARIA GORETTI
Merci Manuela,
Voici une prière : autre manière de penser à elle.
Sainte Maria Goretti,
Toi qui, fortifiée par la grâce de Dieu, n’as pas hésité, même l’âge de douze ans à répandre ton sang et à sacrifier ta vie pour défendre ta pureté virginale, jette un regard sur la malheureuse race humaine qui s’est égarée loin du chemin du Salut éternel.
Enseigne-nous à tous, et spécialement aux jeunes, avec quel courage et promptitude nous devons fuir, pour l’amour de Jésus, tout ce qui peut L’offenser ou souiller nos âmes par le péché. Obtiens-nous du Seigneur la victoire dans la tentation, le réconfort dans les peines de la vie et la grâce que nous te demandons avec ferveur…
Puissions-nous un jour jouir avec toi de la gloire éternelle du Ciel.
Ainsi soit-il.
Voici une prière : autre manière de penser à elle.
Sainte Maria Goretti,
Toi qui, fortifiée par la grâce de Dieu, n’as pas hésité, même l’âge de douze ans à répandre ton sang et à sacrifier ta vie pour défendre ta pureté virginale, jette un regard sur la malheureuse race humaine qui s’est égarée loin du chemin du Salut éternel.
Enseigne-nous à tous, et spécialement aux jeunes, avec quel courage et promptitude nous devons fuir, pour l’amour de Jésus, tout ce qui peut L’offenser ou souiller nos âmes par le péché. Obtiens-nous du Seigneur la victoire dans la tentation, le réconfort dans les peines de la vie et la grâce que nous te demandons avec ferveur…
Puissions-nous un jour jouir avec toi de la gloire éternelle du Ciel.
Ainsi soit-il.
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Re: sainte MARIA GORETTI
Prière à sainte Maria Goretti
Sainte Maria Goretti,
Toi
qui, fortifiée par la grâce de Dieu, n’as pas hésité, même l’âge de
douze
ans à répandre ton sang et à sacrifier ta vie pour défendre ta pureté
virginale, jette un regard sur la malheureuse race humaine qui
s’est égarée loin du chemin du Salut éternel.
Enseigne-nous
à tous, et spécialement aux jeunes, avec quel courage et promptitude
nous devons fuir, pour l’amour de Jésus, tout ce qui peut L’offenser
ou souiller nos âmes par le péché. Obtiens-nous du Seigneur la
victoire dans la tentation, le réconfort dans les peines de la vie et
la grâce que nous te demandons avec ferveur…
Puissions-nous
un jour jouir avec toi de la gloire éternelle du Ciel.
Ainsi soit-il.
Sainte Maria Goretti,
Toi
qui, fortifiée par la grâce de Dieu, n’as pas hésité, même l’âge de
douze
ans à répandre ton sang et à sacrifier ta vie pour défendre ta pureté
virginale, jette un regard sur la malheureuse race humaine qui
s’est égarée loin du chemin du Salut éternel.
Enseigne-nous
à tous, et spécialement aux jeunes, avec quel courage et promptitude
nous devons fuir, pour l’amour de Jésus, tout ce qui peut L’offenser
ou souiller nos âmes par le péché. Obtiens-nous du Seigneur la
victoire dans la tentation, le réconfort dans les peines de la vie et
la grâce que nous te demandons avec ferveur…
Puissions-nous
un jour jouir avec toi de la gloire éternelle du Ciel.
Ainsi soit-il.
Manuela- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: sainte MARIA GORETTI
Michel quel coïcidence je cherchais la même trés belle priéres peut-être au même moment que vous, on pourra ainsi les prié deux fois.
Manuela- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: sainte MARIA GORETTI
Les amis de Maria Goretti
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Sainte Maria Goretti, Patronne de la Jeunesse, secoue les consciences. Aide-nous à dire généreusement comme toi : "non" au péché; "oui" à tout ce que Dieu ...
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Re: sainte MARIA GORETTI
PROMESSE DE PURETE
Seigneur Jésus, jeune comme je suis, Maria Goretti a eu part à mes propres problèmes. Elle me comprend. Elle me connaît, elle m’aide. Elle sait mes difficultés. Mais elle, elle a vaincu; et, pour cette raison, elle m’enseigne la route.
Maria Goretti aimait la pureté parce que le Christ aime la pureté. En donnant sa propre vie pour la pureté, elle l'a donc donnée pour le Christ. Elle m’a démontré son amour héroïque pour le Christ en aimant jusqu'à l'héroïsme cette pureté que le Christ aime et commande.
Aide-moi, Seigneur, à regarder Maria Goretti. Que je sois comme elle, capable de défendre la pureté de mon cœur et de mon corps ; que je m’efforce de lutter contre le mal et le péché, en alimentant ma communion avec le Seigneur par la prière, les sacrements, l'exercice quotidien de la mortification et l’observance des commandements.
Que je n’aie pas peur d'aller à contre-courant, de rejeter les idoles du monde, lorsqu'il s'agit de témoigner par une conduite courageuse, de l'adhésion au Christ chaste et pauvre.
Aujourd’hui, Seigneur, sous la protection de Maria Goretti, je m’engage à vivre, à valoriser et à aimer la vertu de la pureté.
Ainsi-soit-il.
Seigneur Jésus, jeune comme je suis, Maria Goretti a eu part à mes propres problèmes. Elle me comprend. Elle me connaît, elle m’aide. Elle sait mes difficultés. Mais elle, elle a vaincu; et, pour cette raison, elle m’enseigne la route.
Maria Goretti aimait la pureté parce que le Christ aime la pureté. En donnant sa propre vie pour la pureté, elle l'a donc donnée pour le Christ. Elle m’a démontré son amour héroïque pour le Christ en aimant jusqu'à l'héroïsme cette pureté que le Christ aime et commande.
Aide-moi, Seigneur, à regarder Maria Goretti. Que je sois comme elle, capable de défendre la pureté de mon cœur et de mon corps ; que je m’efforce de lutter contre le mal et le péché, en alimentant ma communion avec le Seigneur par la prière, les sacrements, l'exercice quotidien de la mortification et l’observance des commandements.
Que je n’aie pas peur d'aller à contre-courant, de rejeter les idoles du monde, lorsqu'il s'agit de témoigner par une conduite courageuse, de l'adhésion au Christ chaste et pauvre.
Aujourd’hui, Seigneur, sous la protection de Maria Goretti, je m’engage à vivre, à valoriser et à aimer la vertu de la pureté.
Ainsi-soit-il.
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Re: sainte MARIA GORETTI
"A mio modesto giudizio, forse la figura più rassomigliante
(a Maria Goretti) è Ines Orsini, la protagonista del film
"Cielo sulla palude", nella veste di contadinella".
(Alessandro Serenelli) Qui, Ines Orsini e Alessandro,
ad Ascoli Piceno nel 1950.
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Re: sainte MARIA GORETTI
Il pentimento di Alessandro Serenelli
Mamma Assunta e Alessandro Serenelli
nel giugno 1954
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Re: sainte MARIA GORETTI
@ Panetier
merci Panetier pour ce post sur Maria Goretti, grande sainte, modèle de pureté,
gamine, à l'école , on nous avait passé un film sur la vie de Maria Goretti, il m'avait beaucoup marqué, je n'ai jamais oublié.
violaine
merci Panetier pour ce post sur Maria Goretti, grande sainte, modèle de pureté,
gamine, à l'école , on nous avait passé un film sur la vie de Maria Goretti, il m'avait beaucoup marqué, je n'ai jamais oublié.
violaine
violaine- Avec les anges
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Re: sainte MARIA GORETTI
Chère Violaine et tous,
Oui, en fait j'ai vu ce film " la fille des marais " dimanche soir et il m'a émerveillé.
On appelle aussi Maria Goretti " Marietta " et c'est demain sa fête.
J'aime l'âme de cette sainte qui pardonne à son assassin et qui en plus a l'audace de le réclamer avec elle en paradis.
Je suis donc sûr qu'on peut demander aussi l'intercession d'Alessandro, en particulier pour tous ces frères qui ont commis des viols et des crimes.
Ah puis je trouver des frères et soeurs pour prier pour ceux ci qui se perdent ?
Oh que l'exemple des saints nous tire vers le haut !
Oui, en fait j'ai vu ce film " la fille des marais " dimanche soir et il m'a émerveillé.
On appelle aussi Maria Goretti " Marietta " et c'est demain sa fête.
J'aime l'âme de cette sainte qui pardonne à son assassin et qui en plus a l'audace de le réclamer avec elle en paradis.
Je suis donc sûr qu'on peut demander aussi l'intercession d'Alessandro, en particulier pour tous ces frères qui ont commis des viols et des crimes.
Ah puis je trouver des frères et soeurs pour prier pour ceux ci qui se perdent ?
Oh que l'exemple des saints nous tire vers le haut !
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Re: sainte MARIA GORETTI
Sainte Maria Goretti : 60 ans de sa canonisation
publié le : 02 juillet 2010
Le 24 juin dernier, l'Eglise fêtait les 60 ans de la canonisation de la petite Maria Goretti, morte à peine âgée de 12 ans, pour avoir refusé de perdre la pureté dans son corps., quelques jours après sa première communion. Son agresseur, Alessandro, alors âgé de 16 ans, tua Maria de 14 coups de couteau.
- « Malheur au monde à cause des scandales. Malheur à ses corrupteurs conscients et volontaires du roman, du journal, de la revue, du théâtre, du film, de la mode indécente. Malheur à ces jeunes écervelés qui, par une blessure fine et légère, portent l'infection morale dans un coeur encore vierge. Malheur aux pères et mères qui, dépourvus d'énergie et de prudence, cèdent aux caprices de leurs fils et de leurs filles, renoncent à cette autorité paternelle qui est sur le front de l'homme et de la femme comme reflet de la majesté divine. Mais malheur aussi à tant de chrétiens de nom et d'illusion qui pourraient se dresser et qui verraient se lever derrière eux des légions de personnes intègres et droites, prêtes à lutter par tous les moyens contre le scandale. La Justice légale punit - et c'est son devoir - l'assassin d'un enfant. Mais ceux qui ont armé son bras, qui l'ont encouragé, qui, indifférents ou peut-être même avec un sourire indulgent l'ont laissé faire, quelle législation humaine osera jamais ou pourra, si elle le voulait, les punir comme ils le méritent ? Et pourtant, les vrais, les grands coupables, ce sont eux. Sur eux, corrupteurs conscients ou complices inertes, pèse terrible la Justice de Dieu.
Aucun pouvoir humain n'aura-t-il donc en soi-même la force d'émouvoir et de convertir ces coeurs corrompus ou corrupteurs ? La force d'ouvrir les yeux et de secouer la torpeur de tant de chrétiens insouciants ou timides ? Le sang de la martyre et les larmes du meurtrier repenti et pénitent feront ce miracle, Nous l'espérons.» - Pie XII, au lendemain de la Béatification de Maria Goretti.
"Jeune comme vous, Maria Goretti a eu part à vos propres problèmes. Elle vous comprend. Elle vous connaît, elle vous aide. Elle sait vos difficultés. Mais elle, elle a vaincu; et, pour cette raison, elle vous enseigne la route. Maria Goretti aimait la pureté parce que le Christ aime la pureté. En donnant sa propre vie pour la pureté, elle l'a donc donnée pour le Christ. Elle a démontré son amour héroïque pour le Christ en aimant jusqu'à l'héroïsme cette pureté que le Christ aime et commande" - Jean-Paul II - 27.9.1986
publié le : 02 juillet 2010
Le 24 juin dernier, l'Eglise fêtait les 60 ans de la canonisation de la petite Maria Goretti, morte à peine âgée de 12 ans, pour avoir refusé de perdre la pureté dans son corps., quelques jours après sa première communion. Son agresseur, Alessandro, alors âgé de 16 ans, tua Maria de 14 coups de couteau.
- « Malheur au monde à cause des scandales. Malheur à ses corrupteurs conscients et volontaires du roman, du journal, de la revue, du théâtre, du film, de la mode indécente. Malheur à ces jeunes écervelés qui, par une blessure fine et légère, portent l'infection morale dans un coeur encore vierge. Malheur aux pères et mères qui, dépourvus d'énergie et de prudence, cèdent aux caprices de leurs fils et de leurs filles, renoncent à cette autorité paternelle qui est sur le front de l'homme et de la femme comme reflet de la majesté divine. Mais malheur aussi à tant de chrétiens de nom et d'illusion qui pourraient se dresser et qui verraient se lever derrière eux des légions de personnes intègres et droites, prêtes à lutter par tous les moyens contre le scandale. La Justice légale punit - et c'est son devoir - l'assassin d'un enfant. Mais ceux qui ont armé son bras, qui l'ont encouragé, qui, indifférents ou peut-être même avec un sourire indulgent l'ont laissé faire, quelle législation humaine osera jamais ou pourra, si elle le voulait, les punir comme ils le méritent ? Et pourtant, les vrais, les grands coupables, ce sont eux. Sur eux, corrupteurs conscients ou complices inertes, pèse terrible la Justice de Dieu.
Aucun pouvoir humain n'aura-t-il donc en soi-même la force d'émouvoir et de convertir ces coeurs corrompus ou corrupteurs ? La force d'ouvrir les yeux et de secouer la torpeur de tant de chrétiens insouciants ou timides ? Le sang de la martyre et les larmes du meurtrier repenti et pénitent feront ce miracle, Nous l'espérons.» - Pie XII, au lendemain de la Béatification de Maria Goretti.
"Jeune comme vous, Maria Goretti a eu part à vos propres problèmes. Elle vous comprend. Elle vous connaît, elle vous aide. Elle sait vos difficultés. Mais elle, elle a vaincu; et, pour cette raison, elle vous enseigne la route. Maria Goretti aimait la pureté parce que le Christ aime la pureté. En donnant sa propre vie pour la pureté, elle l'a donc donnée pour le Christ. Elle a démontré son amour héroïque pour le Christ en aimant jusqu'à l'héroïsme cette pureté que le Christ aime et commande" - Jean-Paul II - 27.9.1986
Manuela- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: sainte MARIA GORETTI
Sainte Marietta Goretti, en ce 6 juillet.
Vierge et martyre italienne, Marietta est l'aînée de six enfants. Très pieuse, elle est victime, à l'âge de 12 ans, de la passion meurtrière d'Alessandro Serenelli, un adolescent qui vit sous le même toit et veut abuser d'elle. Frappée de 14 coups de couteau, elle pardonnera à Alessandro avant de mourir.
Vierge et martyre italienne, Marietta est l'aînée de six enfants. Très pieuse, elle est victime, à l'âge de 12 ans, de la passion meurtrière d'Alessandro Serenelli, un adolescent qui vit sous le même toit et veut abuser d'elle. Frappée de 14 coups de couteau, elle pardonnera à Alessandro avant de mourir.
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Re: sainte MARIA GORETTI
Merci Michel de nous faire découvrir Sainte Maria Goretti !
Magnificat en main, voici le psaume 32 !
Seigneur, ton Amour soit sur nous,
comme notre espoir est en Toi.
Rendez grâce au Seigneur sur la cithare,
jouez pour lui sur la harpe à dix cordes,
Chantez-lui le cantique nouveau,
de tout votre art, soutenez l'ovation.
Le Seigneur a déjoué les plans des nations,
anéanti les projets des peuples.
Le plan du Seigneur demeure pour toujours,
les projets de son coeur subsistent d'âge en âge.
Dieu Veille sur ceux qui le craignent,
qui mettent leur espoir en son amour,
pour les délivrer de la mort,
les garder en vie aux jours de famine.
Alléluia, Alléluia. Le règne de Dieu est venu jusqu'a vous : croyez à la Bonne Nouvelle ! Alléluia.
Magnificat en main, voici le psaume 32 !
Seigneur, ton Amour soit sur nous,
comme notre espoir est en Toi.
Rendez grâce au Seigneur sur la cithare,
jouez pour lui sur la harpe à dix cordes,
Chantez-lui le cantique nouveau,
de tout votre art, soutenez l'ovation.
Le Seigneur a déjoué les plans des nations,
anéanti les projets des peuples.
Le plan du Seigneur demeure pour toujours,
les projets de son coeur subsistent d'âge en âge.
Dieu Veille sur ceux qui le craignent,
qui mettent leur espoir en son amour,
pour les délivrer de la mort,
les garder en vie aux jours de famine.
Alléluia, Alléluia. Le règne de Dieu est venu jusqu'a vous : croyez à la Bonne Nouvelle ! Alléluia.
FrancoiseF- Avec Saint Joseph
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Re: sainte MARIA GORETTI
Sainte Marietta ou Maria Goretti
Mercredi 6 juillet 2011
Ils pleurent, ils pleurent, tous les deux. Elle, elle a 84 ans; lui, il a 66 ans. Elle s’appelle Assunta, lui Alessandro. Elle est ma maman de Marietta. Il est son meurtrier. Ils sont là, tous les deux, au premier rang de la Basilique Saint-Pierre. Pie XII est en train de canoniser la jeune Maria Goretti, assassinée en dans son petit village de Nettuno, au sud de Rome, le 6 juillet 1902. Elle a 12 ans, son papa est mort deux ans avant et la famille est pauvre. Alessandro a dix-huit ans. C’est un voisin que l’on connaît bien. Le 29 mai, elle venait de faire sa première communion. Elle est belle. Il la désire. Il veut abuser d’elle. Elle le supplie : « Non, Dieu ne le veut pas ! Si tu fais ça, Alessandro, tu iras en enfer. C’est un péché ! » Rien n’y fait. Elle est terrorisée et se défend ; il la poignarde de quatorze coups de poinçon effilé. Elle meurt le lendemain ayant préféré la mort au péché. Lui sera condamné à 30 ans de bagne. Il est cynique, brute et sans remord jusqu’à ce jour de 1910 où il se convertit à la suite d’une apparition de Marietta dans sa prison lui offrant une fleur. En 1937, il rencontre la maman de Marietta et lui demande pardon. Il terminera sa vie comme jardinier dans un couvent de capucins.
C’est, repentant, qu’il assiste ainsi à la canonisation, en 1950, de celle qu’il avait tué, modèle de pureté et de force intérieure. Sa Maman, ses quatre frères et soeurs, aux côtés d’ Alessandro le meurtrier entendent ces mots du pape Pacelli « Marietta, Agnès du XX° siècle, est le fruit mûr d’une famille où l’on a prié tous les jours, où les enfants furent élevés dans l’amour de Dieu, l’obéissance aux parents, la sincérité et la pudeur, où ils furent habitués à se contenter de peu, où les conditions naturelles de vie et l’atmosphère religieuse qui les entouraient les aidaient puissamment à s’unir à Dieu et à croître en vertu. ».
Juste avant de mourir, son curé lui demanda : « Et toi, Marietta, pardonnes-tu à ton bourreau comme Jésus au bon larron ? » Elle répondit : « Oh oui ! Pour l’amour de Jésus je lui pardonne et je veux qu’il vienne avec moi en paradis. »
Elle est patronne de la jeunesse.
Les assassins et le pardon :
» Les assassins… il faut les aimer…Vous ne pouvez pas ne pas essayer… Et vous y arriverez. Les assassins ne sont pas ce qu’ils ont l’air d’être. Ils ont aussi une âme divine. Elle est perdue? Mais justement ! Il s’agit de la retrouver, de les aider eux-mêmes à la dégager, et pour cela… il faut bien les aimer. Songez à leur état atroce. Si on ne les aime pas, ils n’ont rien… que la mort sur eux. Aimons les assassins. Le monde quand Dieu le créa, était une harmonie. Il faut la recomposer. Et ne jamais rien omettre de ce qui peut y aider. »
Pie XII cité dans « La Visite Angélique », de René Benjamin, éd. de L’Elan, Paris, 1948, transcris par Chrétienté.info.
Parole spirituelle de Pie XII au cours de la canonisation de Maria Goretti :
« Que l’enfance joyeuse et la jeunesse ardente apprennent à ne pas s’abandonner misérablement aux joies éphémères et vides du plaisir, à l’attirance fascinante du vice. »
Courte prière tirée de la messe de Sainte Maria Goretti :
« Seigneur tu es la source de l’innocence, tu aimes la pureté, donne-nous de garder tes commandements. »
dieumerci.direct8.fr/2011/07/06/sainte-marietta-ou-maria-goretti/
Mercredi 6 juillet 2011
Ils pleurent, ils pleurent, tous les deux. Elle, elle a 84 ans; lui, il a 66 ans. Elle s’appelle Assunta, lui Alessandro. Elle est ma maman de Marietta. Il est son meurtrier. Ils sont là, tous les deux, au premier rang de la Basilique Saint-Pierre. Pie XII est en train de canoniser la jeune Maria Goretti, assassinée en dans son petit village de Nettuno, au sud de Rome, le 6 juillet 1902. Elle a 12 ans, son papa est mort deux ans avant et la famille est pauvre. Alessandro a dix-huit ans. C’est un voisin que l’on connaît bien. Le 29 mai, elle venait de faire sa première communion. Elle est belle. Il la désire. Il veut abuser d’elle. Elle le supplie : « Non, Dieu ne le veut pas ! Si tu fais ça, Alessandro, tu iras en enfer. C’est un péché ! » Rien n’y fait. Elle est terrorisée et se défend ; il la poignarde de quatorze coups de poinçon effilé. Elle meurt le lendemain ayant préféré la mort au péché. Lui sera condamné à 30 ans de bagne. Il est cynique, brute et sans remord jusqu’à ce jour de 1910 où il se convertit à la suite d’une apparition de Marietta dans sa prison lui offrant une fleur. En 1937, il rencontre la maman de Marietta et lui demande pardon. Il terminera sa vie comme jardinier dans un couvent de capucins.
C’est, repentant, qu’il assiste ainsi à la canonisation, en 1950, de celle qu’il avait tué, modèle de pureté et de force intérieure. Sa Maman, ses quatre frères et soeurs, aux côtés d’ Alessandro le meurtrier entendent ces mots du pape Pacelli « Marietta, Agnès du XX° siècle, est le fruit mûr d’une famille où l’on a prié tous les jours, où les enfants furent élevés dans l’amour de Dieu, l’obéissance aux parents, la sincérité et la pudeur, où ils furent habitués à se contenter de peu, où les conditions naturelles de vie et l’atmosphère religieuse qui les entouraient les aidaient puissamment à s’unir à Dieu et à croître en vertu. ».
Juste avant de mourir, son curé lui demanda : « Et toi, Marietta, pardonnes-tu à ton bourreau comme Jésus au bon larron ? » Elle répondit : « Oh oui ! Pour l’amour de Jésus je lui pardonne et je veux qu’il vienne avec moi en paradis. »
Elle est patronne de la jeunesse.
Les assassins et le pardon :
» Les assassins… il faut les aimer…Vous ne pouvez pas ne pas essayer… Et vous y arriverez. Les assassins ne sont pas ce qu’ils ont l’air d’être. Ils ont aussi une âme divine. Elle est perdue? Mais justement ! Il s’agit de la retrouver, de les aider eux-mêmes à la dégager, et pour cela… il faut bien les aimer. Songez à leur état atroce. Si on ne les aime pas, ils n’ont rien… que la mort sur eux. Aimons les assassins. Le monde quand Dieu le créa, était une harmonie. Il faut la recomposer. Et ne jamais rien omettre de ce qui peut y aider. »
Pie XII cité dans « La Visite Angélique », de René Benjamin, éd. de L’Elan, Paris, 1948, transcris par Chrétienté.info.
Parole spirituelle de Pie XII au cours de la canonisation de Maria Goretti :
« Que l’enfance joyeuse et la jeunesse ardente apprennent à ne pas s’abandonner misérablement aux joies éphémères et vides du plaisir, à l’attirance fascinante du vice. »
Courte prière tirée de la messe de Sainte Maria Goretti :
« Seigneur tu es la source de l’innocence, tu aimes la pureté, donne-nous de garder tes commandements. »
dieumerci.direct8.fr/2011/07/06/sainte-marietta-ou-maria-goretti/
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Re: sainte MARIA GORETTI
Je te salue Marietta,
enfant toute pure.
Tu es devant le Seigneur,
vierge, martyre et miséricordieuse
et Jésus le lys de ton coeur est béni.
Sainte Marietta,
fille de Dieu,
prie pour nous pauvres pécheurs,
intercède pour notre pureté,
maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen
enfant toute pure.
Tu es devant le Seigneur,
vierge, martyre et miséricordieuse
et Jésus le lys de ton coeur est béni.
Sainte Marietta,
fille de Dieu,
prie pour nous pauvres pécheurs,
intercède pour notre pureté,
maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen
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Re: sainte MARIA GORETTI
Bonjour Panetier,
J'ose vous poser une question, car je perçois un lien assez fort et intime entre votre âme et celle de Sainte Marietta... comme si il s'était passé "quelque chose", peut être très récemment.
Je dois dire que les "liens d'âmes" entre les Saints et ceux qui "tendent vers le Ciel" sont quelque chose qui me touche beaucoup.
Ce sont des choses d'une grande beauté qui élève l'âme.
Cela relève de "la communion des Saint".
Voilà.
Par "pudeur" je ne vous ais pas posé de question...
Mais par joie de voir votre âme s'élancer de cette manière vers Sainte Marietta... je n'ai pu m'empêcher de saluer cet élan, et d'en apprécier la beauté intérieure...
Puisse Sainte Marietta vers laquelle vous vous tournez en toute confiance et innoncence répandre ENCORE de nombreuses bénédictions sur votre âme !
Bien fraternellement,
J'ose vous poser une question, car je perçois un lien assez fort et intime entre votre âme et celle de Sainte Marietta... comme si il s'était passé "quelque chose", peut être très récemment.
Je dois dire que les "liens d'âmes" entre les Saints et ceux qui "tendent vers le Ciel" sont quelque chose qui me touche beaucoup.
Ce sont des choses d'une grande beauté qui élève l'âme.
Cela relève de "la communion des Saint".
Voilà.
Par "pudeur" je ne vous ais pas posé de question...
Mais par joie de voir votre âme s'élancer de cette manière vers Sainte Marietta... je n'ai pu m'empêcher de saluer cet élan, et d'en apprécier la beauté intérieure...
Puisse Sainte Marietta vers laquelle vous vous tournez en toute confiance et innoncence répandre ENCORE de nombreuses bénédictions sur votre âme !
Bien fraternellement,
Re: sainte MARIA GORETTI
J'ai été bouleversé par elle et la conversion d'Alessandro, son assassin, en visionnant ce vieux film de 1949 " la fille des marais "; c'était dimanche soir dernier.
Oui je vis cela dans la communion des saints.
Je demande au Seigneur, un coeur de chair, un coeur pur, le don des larmes... et je ne suis pas étonné qu'il mette sur ma route des saints de cette grandeur.
Je suis amoureux de la petite Marietta et je veux la faire connaître et aimer.
Dans ma jeunesse, à l'armée j'avais écrit sur un mur " Amour pur = Vie " et c'est une jeune femme " caporal chef " qui plusieurs mois plus tard m'a dit avoir deviné que j'étais l'auteur de ces mots.
Pourtant hélas, je n'étais pas pur à cette époque mais j'y aspirais déjà.
Merci cher frère Simplet de m'écrire des mots qui me touchent autant.
Michel
Oui je vis cela dans la communion des saints.
Je demande au Seigneur, un coeur de chair, un coeur pur, le don des larmes... et je ne suis pas étonné qu'il mette sur ma route des saints de cette grandeur.
Je suis amoureux de la petite Marietta et je veux la faire connaître et aimer.
Dans ma jeunesse, à l'armée j'avais écrit sur un mur " Amour pur = Vie " et c'est une jeune femme " caporal chef " qui plusieurs mois plus tard m'a dit avoir deviné que j'étais l'auteur de ces mots.
Pourtant hélas, je n'étais pas pur à cette époque mais j'y aspirais déjà.
Merci cher frère Simplet de m'écrire des mots qui me touchent autant.
Michel
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Re: sainte MARIA GORETTI
Oui.
Je le vois cet "Amour pur".
Cet "Amour pur" est celui auquel aspire toutes les âmes.
Et c'est celui qui est "Tout Amour" qui le dispense entre les siens !
Cet "Amour pur" c'est le Divin Coeur !
C'est LUI qui uni les âmes qui partagent le même Amour pour Lui !
Et je vois cet Amour entre votre âme et celle de la petite Marietta... et c'est LUI que je vois et que je reconnais dans cet Amour !
Que Son pur Amour continue son oeuvre d'Amour en vous !
Je le vois cet "Amour pur".
Cet "Amour pur" est celui auquel aspire toutes les âmes.
Et c'est celui qui est "Tout Amour" qui le dispense entre les siens !
Cet "Amour pur" c'est le Divin Coeur !
C'est LUI qui uni les âmes qui partagent le même Amour pour Lui !
Et je vois cet Amour entre votre âme et celle de la petite Marietta... et c'est LUI que je vois et que je reconnais dans cet Amour !
Que Son pur Amour continue son oeuvre d'Amour en vous !
Re: sainte MARIA GORETTI
Soyez béni Simplet, encore plus béni, vous qui n'avez que bénédiction dans votre bouche !
Au nom du Père créateur, et du fils rédempteur et du saint esprit consolateur , amen !
Au nom du Père créateur, et du fils rédempteur et du saint esprit consolateur , amen !
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Re: sainte MARIA GORETTI
Cher Michel,
Je dois vous dire que je ne lis pas toujours tous les textes.
Je n'avais donc pas lu tout le sujet sur Maria Gorreti que vous avez ouvert ici.
Mais là je viens de regarder de plus prêt... et de me rendre compte que le 6 Juillet... aujourd'hui, c'est le jour anniversaire de son départ.
Je comprend mieux pourquoi je la sent toute proche.
J'invite tout un chacun à se tourner vers Elle aujourd'hui, car il y a une proximité particulière de ce fait.
Et je me sent appelé à faire part d'une expérience assez récente avec Sainte Rita de Cascia.
Une nuit j'entend le Nom de Sainte Rita de Cascia et je sent sa présence.
Je ne prête pas plus attention à cela.
Mais le lendemain matin, je me sent appelé à ouvrir le petit livre biographique (le seul que j'ai) sur Sainte Rita.
Et je me sent appelé à aller vers la fin pour regarder la "PRIERE TRES EFFICACE Dans les cas difficiles et désespérés".
Lorsque je suis arrivé sur cette prière, et que j'ai commencé à la lire... il s'est fait une lumière indicible tout au fond de mon âme... j'ai été comme "foudroyé" par un contact d'âme extrêmement profond et plein de grâce, tout au fond de mon coeur, avec Sainte Rita de Cascia.
Et dans la journée (alors que je ne le savais pas), je découvrais que nous étions le 22 mai, et que c'était précisément le jour de la fête de Sainte Rita !
Vous comprenez à présent pourquoi je fait état de cela en rapport avec Sainte Marietta... et avec le fait qu'aujourd'hui c'est un jour spécial vis à vis de cette Sainte.
Mon Coeur me dit qu'aujourd'hui elle est très proche...
Et il me dit encore que ceux qui se tourneront vers elle aujourd'hui, trouverons facilement le chemin de son coeur pur, et de son intercession.
Bien à vous tous,
Je dois vous dire que je ne lis pas toujours tous les textes.
Je n'avais donc pas lu tout le sujet sur Maria Gorreti que vous avez ouvert ici.
Mais là je viens de regarder de plus prêt... et de me rendre compte que le 6 Juillet... aujourd'hui, c'est le jour anniversaire de son départ.
Je comprend mieux pourquoi je la sent toute proche.
J'invite tout un chacun à se tourner vers Elle aujourd'hui, car il y a une proximité particulière de ce fait.
Et je me sent appelé à faire part d'une expérience assez récente avec Sainte Rita de Cascia.
Une nuit j'entend le Nom de Sainte Rita de Cascia et je sent sa présence.
Je ne prête pas plus attention à cela.
Mais le lendemain matin, je me sent appelé à ouvrir le petit livre biographique (le seul que j'ai) sur Sainte Rita.
Et je me sent appelé à aller vers la fin pour regarder la "PRIERE TRES EFFICACE Dans les cas difficiles et désespérés".
Lorsque je suis arrivé sur cette prière, et que j'ai commencé à la lire... il s'est fait une lumière indicible tout au fond de mon âme... j'ai été comme "foudroyé" par un contact d'âme extrêmement profond et plein de grâce, tout au fond de mon coeur, avec Sainte Rita de Cascia.
Et dans la journée (alors que je ne le savais pas), je découvrais que nous étions le 22 mai, et que c'était précisément le jour de la fête de Sainte Rita !
Vous comprenez à présent pourquoi je fait état de cela en rapport avec Sainte Marietta... et avec le fait qu'aujourd'hui c'est un jour spécial vis à vis de cette Sainte.
Mon Coeur me dit qu'aujourd'hui elle est très proche...
Et il me dit encore que ceux qui se tourneront vers elle aujourd'hui, trouverons facilement le chemin de son coeur pur, et de son intercession.
Bien à vous tous,
Re: sainte MARIA GORETTI
Cielo sulla palude - 1949 Italiano 10-11.avi youtube.com10 min - 23 nov. 2009 - Importé par MariaGoretti1902 Maria Goretti |
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