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Notre Dame de Guadalupe : N0 2 Bannie10

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Notre Dame de Guadalupe : N0 2

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Notre Dame de Guadalupe : N0 2 Empty Notre Dame de Guadalupe : N0 2

Message par Fabienne Guerrero Jeu 10 Jan 2008 - 11:24

Mais dès que j’en aurai terminé, je reviendrai ici pour prendre ton message.

Dame, mon amie, pardonne moi, prends patience avec moi ; Je ne te ments pas, mon amie, ma toute petite. Demain je viendrai ici à toutes jambes.

Ne suis-je pas là, moi qui suis ta mère ?

En entendant les paroles de don Diego, la pieuse vierge répondit :

Ecoute, et mets cela dans ton cœur, mon fils, le plus petit, ce qui t’afflige n’est rien puisque je t’assiste ; Que ne se troublent ni ton visage ni ton cœur, ne crains pas cette maladie ni aucune maladie ou angoisse.

Ne suis-je pas là ? Moi qui suis ta mère ?

N’es tu pas toujours sous mon ombre et ma sauvegarde ?

Ne suis-je pas la source de ta joie ?

N’es tu pas sous l’abri de mon manteau, dans le creux de mes bras ?

Que te faut-il de plus ?

Ne t’afflige ni ne te trouble de rien, ne te fais pas de souci pour la maladie de ton oncle, il ne mourra pas de celle-là : sois assuré qu’il est déjà guéri.

Dans le même moment, la vierge apparut à Jena Bernardino le guérit comme on l’apprit par la suite.

Lorsque juan Diego entendit ces aimables paroles de la reine du ciel, il fut tout consolé et demeura content.

Il la pria de l’envoyer vers Monseigneur l’évêque pour lui apporter le signe ou la preuve qu’il attendait pour qu’on le croie.

La vierge lui commanda de gravir le sommet de la colline, là ou il l’avait déjà rencontrée.

Elle lui dit : monte mon fils, mon tout petit, au sommet de la colline, là ou tu m’as déjà vue et ou je t’ai donne mes ordres ; Tu verras qu’il y poussent différentes fleurs : coupe-les, réunis les et fais en un bouquet, ensuite descend et apporte les moi.

Juan Diego grimpa sur la colline et quand il arriva en haut il s’émerveilla grandement qu’aient poussé tant de roses de Castille avant le temps où elles fleurissent, car en cette saison le froid était très rigoureux ; De plus, au sommet de la colline il ne venait ordinairement pas de fleurs, mais seulement des ronces, des épines, des cactus et des figues de Barbarie ; Elles embaumaient et pleines de la rosée de la nuit on aurait dit des perles précieuses.

Il s’empressa de les cueillir, les réunit toutes et les mit dans son manteau, puis il descendit rapidement pour les présenter à la reine du ciel comme elle l’avait demandé.

En les voyant la vierge les prit dans ses mains, puis elle les plaça de nouveau dans sa cape en lui disant :

Mon fils, le plus petit, cette variété de roses est la preuve et le signe que je donne à l’évêque. Tu lui diras en mon nom qu’il voit là ma volonté et qu’il doit l’accomplir. Tu es mon ambassadeur, très digne de confiance ; Je t’ordonne expressément de ne déployer ton manteau que devant l’évêque pour lui découvrir ce que tu portes.

Tu lui raconteras tout en détail., tu lui diras que je t’ai demandé de grimper au sommet de la colline pour aller cueillir les fleurs, et tu lui feras le récit de tout ce que tu as vu et admiré pour pouvoir ainsi convaincre l’évêque afin qu’il accomplisse ce qui lui incombe et fasse construire le sanctuaire que je lui ai demandé.

Après avoir reçu ce conseil de la dame du ciel, il se précipita à Mexico, tout content et sur que tout se passerait bien. Il marcha en faisant bien attention que rien de ce qu’il cachait dans son manteau ne lui tombe pas des mains, profitant par la même occasion du parfum de toutes ces belles fleurs.

Chers amis, je vais maintenant vous parler de la troisième entrevue avec l’évêque :

A son arrivée au palais de l’évêque, portiers et serviteurs le reçurent fort mal et quand il les pria que l’on veuille bien prévenir qu’il souhaitait voir l’évêque, ils n’en firent aucun cas, faisant la sourde oreille, soit parce qu’il était très tôt, soit parce qu’ils le connaissaient et trouvaient qu’ils venait les déranger avec ces histoires hors de saison.

Il attendit longtemps, debout sans rien faire, espérant qu’on l’introduirait.

Quand ils s’aperçurent qu’il paraissait porter quelque chose sous sa cape, les serviteurs furent curieux de savoir ce que c’était.

Voyant qu’il ne pouvait cacher ce qu’il portait, et qu’ils allaient le brutaliser, l’empoigner ou le traîner, juan Diego le leur laissa voir un tout petit peu.

A la vue de ces fleurs, toutes de différentes espèces de roses de Castille, alors que ce n’était certes pas la saison de leur floraison, ils s’étonnèrent grandement de cela et de ce qu’elles étaient si fraîches, si ouvertes, si parfumées et si ravissantes. Ils voulurent en prendre quelques unes ; mais ils ne purent y parvenir quoiqu’ils aient essayé à trois reprises, car chaque fois qu’ils y portaient la main, il semblait qu’elles étaient peintes ou brodées ou cousues dans le manteau.

Ils allèrent prévenir l’évêque et lui raconter ce qu’ils avaient vu, que le petit Indien qui était venu tant de fois voulait le voir et que cela faisait un long moment qu’il attendait.

En entendant cela, l’évêque réalisa que les fleurs étaient le signe qu’il avait demandé et il le reçut immédiatement.

Dès qu’il entra, juan Diego se prosterna devant lui comme il l’avait fait les autres fois et il raconta tout de la vision du matin et le miracle des fleurs.

Seigneur, dit-il, j’ai fais ce que tu m’as ordonné : Je suis allé trouver la Dame du ciel, sainte Marie, la véritable Mère de Dieu , lui demander un signe, afin que tu puisses croire que tu dois construire le sanctuaire qu’elle te réclame d’édifier, et de plus je lui ai dit que je t’avais donné ma parole que je te rapporterai un signe et une preuve pour que s’accomplisse sa volonté.

Aujourd’hui de bon matin, elle m’a dit de retourner te voir : je lui ai demandé le signe pour que tu me crois, car elle avait promis qu’elle me le donnerait et elle l’a fait ponctuellement : elle m’a envoyé au sommet de la colline, là ou je l’avais vue auparavant, cueillir différentes roses de Castille.

Après que je les ai eu coupées, je les lui ai portées ; Elle les a prises dans ses mains et les a remises dans ma cape pour que je te les apporte et te les donne, à toi en personne.

Bien que le sommet de la colline ne soit pas un endroit ou poussent les fleurs, car il n’y a la que des tas de pierres, des chardons, des épines, des figues de barbarie et des buissons, je n’ai pas douté pour autant. En arrivant en haut de la colline, j’ai cru que c’était le paradis, j’y trouvais réunies toutes les variétés des plus exquises roses de Castille, brillantes de rosée, et je me mis à les cueillir.

Elle me dit pourquoi je devais te les remettre ; et que j’agisse ainsi afin que tu voies en elles le signe que tu demandes, et que tu accomplisses sa volonté ; et aussi pour qu’apparaîsse la véracité de mes paroles et de mon message. Il gèle ici, reçois les.

Alors, juan Diego déroula son manteau blanc, et il tenait les fleurs dans sa cape.

A peine les roses de Castille se répandirent-elles sur le sol, qu’aussitôt apparût dessinée sur sa cape la belle image de la très sainte et toujours vierge Marie, Mère de Dieu, telle qu’elle se conserve encore aujourd’hui dans son sanctuaire du Tepeyac qu’on appelle Guadalupe.

Quand il la vit, Monseigneur l’évêque et les assistants s’agenouillèrent, ne se lassant pas de l’admirer, ils se levèrent, se lamentèrent, et s’affligèrent, donnant ainsi la preuve qu’ils la contemplaient vraiment avec le cœur et la pensée.

Monseigneur l’évêque, versant des larmes de tristesse, pria et demanda pardon pour son incrédulité et pour n’avoir pas tenu compte de la volonté de la Dame et de son message.

Lorsqu’il se releva, il détacha du cou de juan Diego la cape qui y était attaché et sur laquelle apparaissait le portrait de la dame du ciel. Puis il l’emporta dans son oratoire.

Juan Diego resta un jour de plus dans la maison de l’évêque car celui-ci ne le laissait plus partir.

Le jour suivant : il lui dit :

Ecoute, montre moi l’endroit ou la dame du ciel désire que s’élève son sanctuaire !

Aussitôt il les invita tous à venir voir.

Une fois que juan Diego eût indiqué le lieu ou la Dame du ciel souhaitait que l’on édifie son sanctuaire, il demanda la permission de s’en aller.

Il voulait retourner dans sa maison voir son oncle juan Bernardino, celui qui était si malade quand il l’avait laissé pour aller à Tlatilolco chercher un prêtre pour le confesser et le préparer à mourir.

Il était cependant allé à Mexico lorsque la dame du ciel lui avait dit qu’il était guéri.

Seulement, on ne le laissa pas aller seul, tout le monde l’accompagna à sa maison.

En arrivant, ils trouvèrent son oncle tout content et qui ne souffrait plus. Il s’émerveilla beaucoup de ce que son neveu revenait accompagné de tant de beau monde.

Suite au N° 3
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