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Notre Dame de Guadalupe

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Message par Fabienne Guerrero Jeu 10 Jan 2008 - 11:19

LES APPARITIONS DE NOTRE DAME DE GUADALUPE


Très chers frères et sœurs, si vous le permettez, je vais aborder la toute première apparition :

Le samedi 9 décembre 1531, juan Diego quitta sa maison de bon matin pour assister à la messe à Mexico et ouïr les enseignements de Dieu ; Il parcourut les 8 km qui séparaient la ville de son habitation de Cuautitlan.

En atteignant la colline du Tepeyac qui domine la ville, il entendit une mélodie pareille au chant des oiseaux, mais si belle qu’il crut rêver et pensa se trouver au paradis.

Par moment le chant s’interrompait et l’on aurait dit que la montagne lui répondait.

Il faut savoir que dans le monde des Indiens, tout message divin parvient à travers des chants et des fleurs.

Alors juan Diego s’arrêta et se dit en lui-même : Qui sait si je suis digne d’entendre ce que j’entends ? Qui sait si je dors ou si je suis éveillé ? Ou suis-je donc ?

Peut-être au paradis terrestre comme disaient les vieillards nos anciens ?

Peut-être même suis-je au ciel ?

Et puis il était en train de regarder vers l’Orient, vers le bas de la petite colline d’ou parvenait le merveilleux chant céleste lorsque soudain, il se fit un silence total et il entendit qu’on l’appelait en lui disant :

« Juanito… Petit juan Diego…. »

Alors il se rendit à l’endroit d’où on l’appelait.

Il ne ressentit aucune frayeur ; au contraire, tout heureux, il escalada la colline, et là, il vit une dame qui se tenait debout et le priait de s’approcher.

Et puis arrivé devant elle, il s’émerveilla beaucoup de sa beauté qui n’était pas de ce monde :

Ses vêtements resplendissaient comme le soleil ; le rocher sur lequel reposaient ses pieds était tout illuminé de rayons comme un bracelet de pierres précieuses et la terre était irisée comme un arc en ciel.

Les buissons d’épines, les nopals, et les herbes qui poussaient la semblaient d’émeraude, les feuilles des turquoises et branches et épines brillaient comme de l’or.

Juan Diego se prosterna devant la dame et écouta ses paroles, remplies de délicatesse et de courtoisie, comme celles de quelqu’un qui éprouve beaucoup d’attirance et d’affection.

Elle lui dit : Juanito, le plus petit de mes enfants, ou vas-tu ?

Et lui répondit : Ma dame et mon amie, je me rends à votre maison de Mexico Tlatilolco pour apprendre les choses divines que nous enseignent nos prêtres délégués par notre Seigneur.

Alors elle lui parla et lui découvrit sa sainte volonté, lui disant :

Il faut que tu saches et que tu comprennes, toi, le plus petit de mes enfants, que je suis la sainte vierge Marie, Mère du vrai Dieu pour qui l’on doit vivre ; Du créateur qui tient tout entre ses mains, Seigneur du ciel et de la terre.

Je souhaite vivement que l’on me construise ici un sanctuaire afin d’y montrer, puisque je suis votre pieuse Mère, tout mon amour, ma compassion, mon appui et ma protection envers vous tous les habitants de ce sol et à tous ceux qui m’aiment, qui m’invoquent et se confient en moi.

Dans ce lieu, j’écouterai leurs plaintes, et je porterai remède à toutes leurs misères peines et douleurs et pour réaliser ce que souhaite ma clémente bonté, va au palais de l’évêque de Mexico et dis lui que je t’envoie pour lui faire connaître mes désirs, à savoir qu’ici, sur cet espace de terrain plat, on me construise un sanctuaire.

Tu lui raconteras ponctuellement tout ce que tu as vu, admiré et entendu.

Sois sûr que je t’en serai reconnaissante et que je te le revaudrai bien parce que je t’en rendrai heureux et que tu auras bien mérité que je te récompense de la peine et de la fatigue que tu rencontreras en essayant de réaliser ce que je te recommande.

Voilà, tu as entendu mon message, mon Fils, le plus petit. Va, et mets y toute ta ténacité.

Alors il s’inclina devant elle et lui dit : Ma Dame, je vais faire ce que tu demandes ; Maintenant je prends conge de toi, moi, ton humble serviteur.

Frères et sœurs, aussitôt, il descendit la colline pour accomplir sa mission et prit le chemin qui mène directement à Mexico.

Arrive à la ville, il se rendit sans retard au palais de Don Juan de Zumarraga, religieux de l’ordre Franciscain.

A peine arrivé, il essaya de le voir, il demanda à ses serviteurs de bien vouloir l’annoncer, il se passa un long moment avant qu’ils ne reviennent l’appeler lui disant que l’évêque lui demandait d’entrer.

Mis en sa présence, il s’inclina et s’agenouilla devant lui et il lui transmis le message de la Dame du ciel ; Il raconta aussi tout ce qu’il avait admiré, vu et entendu.

Cet évêque missionnaire était un homme de grande vertu, mais peu amateur de visions et de plus, on comprendra qu’il éprouvait un peu de réticence.

A l’égard de la mentalité des indigènes depuis longtemps adonnés aux superstitions païennes.

Alors après avoir entendu sa requête et son message, il sembla ne pas y croire et lui répondit : Reviens une autre fois mon fils et je t’entendrai plus à loisir ; Pendant ce temps, je réfléchirai à tout cela et la volonté et au désir
avec lequel tu es venu.

Alors Juanito sortit et s’en retourna tout triste, parce que la mission qui lui avait été confiée ne s’était réalisée en aucune manière.

Chers frères et sœurs, je vais maintenant vous parler de la 2ème apparition : Etant reparti le jour même, il s’en fut tout droit au sommet de la colline, où il rencontra la Dame du ciel qui l’attendait la même où il l’avait vue la première fois.

En l’apercevant il se prosterna devant elle et lui dit :

Dame, ma chère fille, mon amie, je suis allé où tu m’avais envoyé pour accomplir ta demande ; Cependant je suis parvenu avec difficulté devant la chaire de l’évêque, je l’ai vu et lui ai exposé ton message comme tu me l’avais demandé ; Il m’a reçu aimablement et m’a écoute avec attention ;

Mais il m’a à peine répondu, il semblait ne pas m’entendre ou ne pas croire que tout cela était vrai, puis il m’a dit :

Reviens une autre fois mon fils, et je t’écouterai tranquillement ; En attendant, j’examinerai tout depuis le début et je réfléchirais à la volonté et au désir avec lequel tu es venu.

J’ai parfaitement compris, à la façon dont il m’a parlé, qu’il pensait que la maison que tu souhaites que l’on te construise ici était de mon invention et non d’un ordre émanant de toi.

C’est pourquoi, je te supplie, ma dame et mon amie, de charger de ton message quelque personne éminente, qui soit plus connue, respectée et estimée afin qu’on la croie ; En effet je ne suis qu’un petit homme, je suis un bout de ficelle, un escabeau de bois, une rognure, une feuille, du menu fretin ; Et toi mon amie, ma chère petite fille, ma dame tu m’envoies dans un milieu que je ne fréquente ni de près ni de loin.

Pardonne moi de te causer tant de désagréments et de mériter ton courroux, ma dame et ma maîtresse et c’est alors que la très sainte vierge lui répondit :

Ecoute, mon fils, le plus petit, comprends qu’ils sont nombreux mes serviteurs et les messagers que je peux charger de cette mission et d’accomplir ma volonté ; Mais de tous ceux là c’est précisément toi dont je sollicite l’assistance et l’intermédiaire.

Je te supplie encore, mon fils, le plus petit et même je te le commande rigoureusement, retourne encore voir l’évêque demain matin, fais lui savoir en mon nom qu’il doit accomplir mon désir et ma volonté de réaliser et construire le sanctuaire que je lui demande et redis lui, que c’est moi, en personne, la sainte et toujours vierge Marie, Mère de Dieu, qui t’envoie.

Juan Diego lui répondit : Ma dame et mon amie, je ne veux pas te causer de peine ; De bon cœur j’irai accomplir la mission que tu me confies, je ne manquerai en aucune manière à le faire, et le chemin ne me coûtera pas.

J’irai faire ta volonté ; mais cette fois peut être qu’on ne voudra pas m’écouter, ou bien s’ils m’entendent, ils ne me croiront pas.

Demain soir, à l’heure ou le soleil se couche, je viendrai t’apporter la réponse à ton message, selon ce que me dira l’évêque.

Et maintenant, je prends congé de toi, mon enfant, ma chère petite, mon amie, et ma dame. Repose toi en attendant.

Frères et sœurs, c’est ainsi que juan Diego prit congé puis il partit se reposer dans sa maison.

Le jour suivant, le dimanche, de très bonne heure, il sortit de sa maison et s’en fut tout droit à Mexico Tlatilolco, pour s’instruire des choses de Dieu, être l’un des premiers de l’assistance et voir tout de suite l’évêque.

Vers les 10 h. Du matin, après avoir assisté à la messe, l’assistance se dispersa. Juan Diego se présenta immédiatement au palais de Monseigneur l’évêque.

Aussitôt arrive, il mit toute son opiniâtreté à le rencontrer ; Ce à quoi il ne parvint qu’avec de grandes difficultés : Il s’agenouilla à ses pieds, s’affligea et pleura en lui exposant la volonté de la dame du ciel. Il lui dit qu’il devait croire son message et sa volonté que soit élevé un sanctuaire au lieu qu’elle indiquait.

Monseigneur l’évêque, pour être bien sûr, lui posa de nombreuses questions : ou avait-il vu la dame, et comment était-elle ?

Juan lui rapporta tout scrupuleusement.

Bien qu’il décrivit avec précision son aspect et tout ce qu’il avait vu et admiré, sans hésitation aucune, ni contradiction, de sorte qu’en tout cela on voyait bien qu’il s’agissait de la sainte et toujours vierge Mère du sauveur, notre Seigneur Jésus Christ, l’évêque ne le crut pas.

Il lui dit qu’un signe quelconque serait bien nécessaire pour que l’on puisse croire que la dame du ciel elle-même l’envoyait.

Après l’avoir écoute, juan Diego lui dit : Seigneur évêque, songez bien au signe que vous souhaitez, j’irai ensuite le demander à la dame du ciel qui m’a envoyé ici.

Quand il fut sorti, l’évêque ordonna à quelques personnes de confiance de le suivre.

Juan Diego partit droit son chemin ; Ceux qui le suivaient le perdirent de vue aux alentours du pont de Tepeyac et malgré qu’ils le cherchèrent de tous côtés il ne purent le trouver.

En voyant delà, ils retournèrent sur leurs pas, non seulement parce qu’ils étaient fatigués mais aussi parce que tout cela les avait contrariés et mis en colère.

Ils affèrent en informer monseigneur l’évêque, lui disant que juan Diego était un imposteur, un affabulateur ou un rêveur et que s’il revenait encore ils l’attraperaient et le châtieraient rudement pour lui faire passer à l’avenir l’envie de mentir et de duper le monde. Ces accusations impressionnèrent l’évêque.

Chers amis, je vais maintenant aborder la troisième apparition :

Pendant ce temps, juan Diego était avec la Sainte Vierge et lui donnait la réponse de Monseigneur l’évêque.

Après l’avoir écouté, la dame lui dit :

C’est bien mon petit enfant, demain tu reviendras ici pour porter à l’évêque le signe qu’il t’a demandé ; Ainsi il te croira il ne doutera plus en face de cela, et il ne suspectera plus ta bonne foi.

Il faut que tu sâches, mon petit enfant, que je te revaudrai tous les tracas, peines et soucis que tu supportes pour moi.

Allons ! Pars, demain je t’attendrai ici.

Le jour suivant, alors que juan devait recevoir le signe pour être enfin cru, il ne vint pourtant pas.

En effet, de retour à sa maison, il se trouva qu’un de ses oncles nommé juan Bernardino était tombé malade et se trouvait au plus mal.

D’abord il envoya chercher un médecin qui l’examina, mais il était déjà trop tard tant la maladie était grave.

Dans la nuit, son oncle le supplia de partir de bon matin à Tlalilolco chercher un prêtre pour qu’il vienne le confesser et le préparer à mourir, car il sentait bien que c’était la fin et que pour cette fois il ne se relèverait plus jamais.

Juan Diego s’en fut donc de bonne heure le mardi matin pour aller chercher un prêtre à Tlalilolco ; Et quand il approcha du chemin qui part sur le côté de la colline de Tepeyac, vers le couchant, et par lequel il avait l’habitude de passer et il se dit :

Mieux vaut que j’aille tout droit, sinon je vais rencontrer la dame qui me retiendra d’une façon ou d’une autre pour me remettre le signe de l’évêque comme elle l’a dit.

Il vaut mieux d’abord nous tirer de peine et que j’ailler chercher le prêtre puisque mon pauvre oncle l’attend.

Aussitôt il tourna le dos à la colline, grimpa et passa de l’autre côté, vers l’Est pour que la dame du ciel ne le retienne pas.

Chers amis, je vais maintenant vous parler de la 4ème apparition :

Il pensait que celle qui le cherchait partout ne pourrait pas le voir. Quand il passa de l’autre côté de la colline pour éviter de la rencontrer, il aperçut la dame qui descendait le sommet et venait à sa rencontre avec ces mots :
Que se passe-t-il mon fils, le plus petit ? Ou vas-tu ?

Lui, bien fâché et tout honteux s’inclina devant elle lui disant :

Ma dame, ma toute petite, mon amie, plut à Dieu que tu puisses être satisfaite. Tu es bien matinale, est-ce bien toi ma dame et mon amie ? Je vais te faire de la peine, mais tu dois savoir, mon amie qu’un de tes pauvres serviteurs, mon oncle, est au plus mal ; la peste l’a frappé et il est près de mourir.

A cette heure je vais en toute hâte à ta maison de Mexico pour appeler un des prêtres aimés de notre Seigneur, pour qu’il s’en vienne le confesser et le préparer, puisque depuis le jour de notre naissance nous attendons les souffrances de notre mort.


Suite au N0 2
FABIENNE GUERRERO
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