Croyants pratiquants - Croyants non pratiquants
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Croyants pratiquants - Croyants non pratiquants
DE L’ATTITUDE DES GENS DANS LA VIE
On pourrait classer le genre humain d’abord en deux grandes catégories. Les croyants et les non-croyants. Commençons par ceux-ci. Chez les non-croyants, il y a ceux qui sont portés au mal à l’état naturel. Ils le font malheureusement par goût, par plaisir. Ne croyant pas en Dieu, ils n’ont aucune barrière, aucun paramètre pour leur vie, tout est bon pour arriver à leur fin, pour obtenir tout ce que le monde est capable de produire pour la possession et la jouissance des biens terrestres et, pour l’obtenir, ils sont prêts à tout et même au pire si nécessaire. Les autres ne représentent en fait qu’un moyen d’obtenir ce qu’ils cherchent. En dehors de cela, ils n’existent pas.
Pour eux la vie n’est qu’un passage dans le temps qui durera peut-être un petit moment pouvant s’étirer jusqu’à une centaine d’années, si tout va bien. Après, il n’y a plus rien. On meurt et on est enterré dans un cercueil où le corps se décompose petit à petit mangé par les vers et la décomposition et l’individu repart dans le néant et l’oubli.
C’est pourquoi il est nécessaire, selon cet homme-là, de profiter un maximum de tout ce que la vie peut lui apporter car, comme il le dit lui-même : « la vie est courte, il faut en profiter ! » C’est un consommateur effréné ; il court dans tous les sens, la bouche ouverte, l’âme excitée par l’avidité, cherchant à asseoir sa vie dans un état démentiel de puissance et de possession et, quand il arrive à ses fins, il s’estime heureux, comblé et justifié.
Dans le cas contraire, c’est un révolté permanent qui injurie toute la société. Jaloux du succès des autres, le démon s’empare de lui pour s’en servir d’instrument afin de colporter le mal partout et porter atteinte à tous ceux qui font le bien. Désespérés, n’ayant rien à attendre d’un Dieu auquel ils ne croient pas, n’ayant rien obtenu d’agréable dans ce monde ; enfoncés dans la souffrance morale et les épreuves normales de la vie telles que la maladie ou la mort des proches, beaucoup d’entre eux finissent par se suicider pour en finir avec ce monde ingrat.
Quelle vie effrayante. Il n’est pas étonnant que ces gens là finissent ainsi. A quoi bon effectivement continuer à vivre et à souffrir d’une manière aussi stérile s’il n’y a rien après la vie et si seul le néant se présente comme destination finale. Pour sauver cette catégorie de désespérés, le Bon-Dieu devra trouver des âmes particulièrement saintes et héroïques qui devront offrir beaucoup de souffrances toute leur vie pour arracher ces malheureux à la damnation éternelle.
Ensuite, vous avez ceux qui ne sont pas croyants mais qui, mus par une sorte de loi naturelle, évitent de faire le mal Ces gens là pensent qu’on est sur terre par hasard. Ils adoptent la théorie de l’évolution. Le monde s’est créé à partir du big-bang et tout se serait développé à partir de cela pour en arriver à cette harmonie que nous admirons aujourd’hui. N’étant pas capables d’expliquer la naissance et l’origine des choses ils préfèrent s’en tenir à ces pseudos explications scientifiques qui les arrangent bien afin de n’avoir pas à faire plus d’efforts qu’ils n’en ont envie.
Cela étant, ils vivent leur vie en essayant, eux aussi de posséder le maximum de choses que la vie terrestre leur propose mais à la différence des premiers, ils ne marchent pas sur des cadavres pour arriver à leurs fins ; Ils respectent un certain nombre de règles de société. Ils cherchent à vivre en bonne société avec leur voisinage, rendent volontiers service aux autres. Ils s’occupent même quelquefois d’œuvres sociales civiles telles que les associations ou les œuvres humanitaires. Respectueux des règles de la société civile, ils ne portent pas atteinte au bien-être des autres et n’hésitent pas, si nécessaire à leur porter assistance.
Plutôt agréables à vivre, il manque malheureusement à tous ces gens l’essentiel pour donner à leur vie le véritable sens qui correspond à la réalité. Souvent irresponsables car bien souvent toutes ces personnes n’ont pas reçu d’éducation religieuse à la base et n’ont donc pas pu grandir dans le monde avec ce qu’il faut d’explication pour se faire une autre idée de l’origine du monde que celle qui est avancée par ces malheureux savants rationalistes. Pour cette catégorie, je pense que le Bon-Dieu les jugera sur leurs actes et en fonction de la responsabilité réelle qui est la leur et je souhaite de tout mon cœur qu’Il trouve chez eux suffisamment de bien pour pouvoir les sauver.
Dans la deuxième partie, nous pouvons encore trouver deux classes d’individus. Nous avons les croyants non pratiquants et les croyants pratiquants. Pour ce qui concerne les premiers, il y a chez ces gens là une forme de pensée incroyable, invraisemblable, d’un illogisme qui dépasse le simple raisonnement. Autrement dit : « oui je crois en Dieu, oui je confesse Son existence ; je crois également qu’Il est le Créateur et le Maître de toutes choses ; oui j’ai été créé par Lui, Il m’a donné une âme éternelle qui retournera à Lui dans l’autre monde. Je crois que le Christ est bien venu sur terre pour notre salut et qu’Il est vraiment ressuscité, je crois à la Vierge marie, au Ciel, au Purgatoire et à l’Enfer. J’affirme que l’évangile du Christ existe bien mais… mais je fais comme si tout cela ne me concernait pas. Les commandements de Dieu ? Oui bien sûr…mais que voulez-vous, je n’ai pas trop le temps ! Que voulez-vous mon bon monsieur avec la vie que je mène, ma famille, mes enfants, ma situation professionnelle, il ne me reste pas assez de temps pour mettre en application les préceptes Divins. Vous savez la vie est dure, trop de soucis dans le quotidien, l’avenir des enfants, leurs loisirs, le sport, la maison à tenir etc.etc… la liste est longue, je ne vais pas vous énumérer tout cela, cela risque d’être long, alors vous comprenez pour moi, aller à la messe tous les dimanches ; prier régulièrement, cela relève de l’exploit. Oh mais rassurez vous, je crois, çà c’est certain et tenez vous bien, j’ai même des paramètres de moralité. J’essaie d’aider les autres…enfin quand j’ai le temps bien sûr. Je ne dis pas de mal des autres… enfin pas trop! Je fais en sorte de bien élever mes enfants et de leur enseigner à éviter le mal et pour ce faire, je fais très attention à ne pas les laisser fréquenter n’importe qui ; je préfère les avoir à la maison devant l’ordinateur ou la télévision, ainsi je les protège plus facilement des dangers du monde extérieur, enfin je le crois du moins… !
Disons le tout net, il faut être particulièrement insensé pour en arriver à raisonner ainsi. Alors donc d’un côté, on est bien d’accord pour affirmer l’existence de Dieu et toute l’implication spirituelle qui va avec ; on admet la vie après la mort, l’éternité de l’âme et de l’autre côté, on décide de tourner le dos résolument à cette évidence pour ne s’intéresser réellement qu’à ce qui est palpable et visible.
Oui oui, c’est vrai monsieur, mais je vous le répète, je crois… !!!
Vous croyez ? Ah bon ? Mais vous croyez à quoi réellement ? A mon humble avis, pas vraiment à grand-chose. Ou peut-être qu’à ce qui vous arrange, je dirai même à ce qui vous dérange le moins pour le confort de votre vie terrestre. Finalement l’idée de l’existence de Dieu ne vous pose pas de problème particulier dans la mesure où cela n’implique pas pour vous des contraintes qui viendraient interférer dans votre vie avec tout ce que le monde moderne est capable de vous offrir. Vous êtes justement tellement absorbé par la vie qui s’offre à vous, travail, maison, loisirs, vacances, amis à recevoir et vous remplissez tellement votre vie d’un maximum de choses qu’il ne vous reste finalement plus rien pour ce Dieu auquel vous prétendez croire, rien qu’une pensée fugitive de temps en temps. Sur la balance de la spiritualité, ça ne pèse pas très lourd, ne croyez vous pas ?
Par contre, quand les épreuves tombent ou lorsqu’on espère quelque chose de très important du type réussite à un examen, guérison d’un enfant gravement malade etc. alors là, c’est curieux mais on se rappelle que Dieu existe, qu’Il est bien là au-dessus de nous et qu’il peut arranger nos petites affaires. On y va de son petit cierge à l’église, on promet un petit pèlerinage pas trop loin si on obtient ce que l’on demande, on murmure vaguement quelques ave Maria si on s’en souvient encore et en essayant de ne pas penser à autre chose en même temps et, une fois la chose obtenue, si toutefois on l’obtient, on s’empresse de retourner à ses occupations habituelles en rangeant le Bon Dieu dans un petit coin de sa tête. On le ressortira peut-être plus tard si nécessaire.
« Voila Seigneur merci pour tout, je vous rappellerai si j’ai besoin de vous, j’éteins la lumière, dormez bien dans ma conscience, à bientôt j’espère ! »
Voilà une attitude pour le moins curieuse ; une forme de pensée bizarre qui ne trouve pas d’explication réelle. Comment raisonnent ces gens là ? Qu’imaginent t-ils ? Quelle idée se font-ils de l’Au-delà, de l’éternité ? Y croient-ils vraiment au fond d’eux ? On pourrait légitimement en douter car sinon il serait impossible de comprendre comment ils font pour patauger dans un tel magma de contradictions.
Oui et alors ? …
Hé bien je pense que l’explication est que ces gens là se sont laissé aveugler et endormir petit à petit dans un monde qui a fini par accaparer la totalité de leur vie. Certainement déjà tièdes depuis très longtemps dans leur façon de pratiquer leur religion, ayant cessé
depuis l’adolescence de s’instruire des questions de la foi ; ayant oublié l’essentiel de leur catéchisme, ils sont devenus vulnérables et
des proies faciles pour le père du mensonge qui n’a eu certainement aucun mal à les engluer dans cette espèce de léthargie spirituelle et à leur donner comme quasi nourriture tous les artifices qu’il s’ingénie à développer dans le monde pour tuer la foi dans les âmes.
Notre-Seigneur Jésus-Christ a dit à ses apôtres : « Quand je reviendrai, retrouverai-je la foi sur terre ? » S’Il disait cela, ce n’est pas qu’il se posait la question, car en tant que Dieu Tout Puissant, Il connaissait obligatoirement la réponse et au vu de la dégradation effrayante de la foi d’aujourd’hui, on peut légitimement penser que son retour est proche. A partir de là, cette catégorie de personnes devrait y réfléchir sérieusement et se poser les bonnes questions :
« Que va-t-il se passer quand je mourrai et que je devrai laisser tout ce à quoi j’étais attaché ? Ma famille, mes amis, ma maison, mes loisirs, mes projets, mon compte en banque ? On va mettre mon corps en terre mais mon âme, est-ce qu’elle continue vraiment ? Où va-t-elle réellement ? Le fameux couloir de lumière par où l’on passe pour accéder dans l’autre monde selon la version donnée par ceux qui ont fait l’expérience de la vie après la vie, est-ce réel ? Est-ce possible ?
C’est là que l’on touche du doigt l’authenticité de la foi. Ces questions-là, on ne se les pose même pas quand on est profondément croyant ; On ne joue pas aux dés avec son éternité. C’est trop grave. Le temps est fugitif et ne laisse pas beaucoup de marge aux humains, car le temps ne se calcule qu’à l’échelle terrestre. Le soleil se lève le matin et se couche le soir, c’est seulement cela qui nous donne la journée que nous vivons quotidiennement. Une fois que la mort s’est présentée, c’est fini, le temps n’existe plus, on rentre dans l’éternel présent. Figés perpétuellement pour l’éternité, il ne sera plus possible de déterminer et de choisir ce que nous pourrons vivre là-haut. Le temps du choix est révolu…définitivement. Il sera impossible de revenir en arrière. Et c’est là que Dieu fouillera les replis de l’âme, qu’Il sondera les reins et les cœurs. A cet instant même ces malheureux devront obligatoirement regarder Dieu en face et confesser leur tiédeur. « Que n’est tu chaud ou froid mais parce que tu es tiède, je t’ai vomi de ma bouche ! », dit le Seigneur. Le temps de la vie sur terre c’est le temps des choix, après… c’est fini !
Et s’il y a toutefois des naïfs pour s’imaginer à la remorque de tous ces pauvres modernistes que Dieu est tellement bon, qu’Il est Amour et qu’Il sauvera tout le monde et que l’enfer n’existe pas, hé bien, je leur conseille vivement de modifier leur façon de penser car s’il est certain que Dieu est infiniment bon et Amour, il est aussi infiniment juste et c’est bien parce qu’Il est infiniment juste qu’Il appliquera Sa justice à l’égard de tous. Et comment en serait-il autrement car où montrerait-Il Sa justice s’il ne punissait pas les coupables qui auront passé leur vie à L’ignorer, à se moquer de Lui, et à passer leur temps à ne vivre que pour les biens terrestres. Vis-à-vis de ceux qui l’auront honoré, aimé servi, respecté Ses préceptes et confessé Son Nom à la face des autres, au mépris des moqueries, des vexations et des persécutions que cela aura pu engendrer, serait-il pensable qu’Il récompense tout le monde de la même manière sans tenir compte de la vie que chacun aura mené durant sa vie terrestre? C’est impossible et c’est pourquoi il est urgentissime de bien y réfléchir pendant le laps de temps qui nous est donné pour préparer efficacement ce que sera notre éternel présent avec Lui ou sans Lui. Il est vrai que pour ne pas voir, il suffit de fermer les yeux mais attention au péché contre le Saint Esprit qui n’est pardonné ni dans ce monde ni dans l’autre… !
La dernière partie concerne les croyants pratiquants. Chez ceux-là, on trouve de tout aussi. En général, ils font heureusement des efforts louables pour mettre en application ce que Dieu leur demande. Ils sont comme tous les humains remplis de faiblesse et les chutes sont fréquentes mais, pleins de bonnes résolutions et aidés par la grâce Divine, ils se relèvent et reprennent la route, se sanctifiant petit à petit, offrant leurs misères morales et leurs souffrances physiques quand la Providence leur envoie ces épreuves pour expier leurs fautes en ce monde, ce qui est déjà une grâce que le Bon-Dieu leur fait puisque ce qui est souffert en ce monde ne le sera pas dans l’autre.
La perfection n’est pas vraiment leur qualité première mais au moins en sont-ils conscients et, humblement, ils s’essaient chaque jour à se sanctifier, à s’améliorer en s’aidant des sacrements que l’Eglise met à leur disposition pour y parvenir. Petit à petit la grâce opère en eux et ils progressent régulièrement sur la voie qui leur est tracée par Notre-Seigneur Jésus-Christ Lui-même. A ceux là, Dieu donnera certainement toutes les bénédictions et les récompenses de l’éternelle béatitude pour laquelle, souvenons-nous en bien, ils ont été pensés et créés depuis toute éternité. Ceux là seront eux aussi figés mais dans l’éternel bonheur de la contemplation de Dieu au milieu des neuf chœurs des Anges, des Saints et des membres de leur famille qui les y auront précédés.
Alors quand on réfléchit intensément à tout cela, quand on prend cinq minutes pour mettre dans la balance les deux seules possibilités que nous ayons, à savoir « oui ou non ? » Est-il raisonnable de songer, ne serait-ce qu’à l’éventualité du non ? Je sais bien que Dieu nous ayant créés libres de nos choix, nous avons bien la faculté de choisir si nous voulons l’aimer ou pas, mais quand on pense aux conséquences d’un tel choix, n’est t-il pas fou de s’y résoudre et par là même d’engager notre salut dans la pire et la plus folle des solutions puisqu’une fois morts, il ne nous restera plus rien de ce que nous aurons préféré à Dieu durant notre passage sur terre.
Et puis soyons un peu honnêtes, même s’il arrive d’être souvent éprouvés dans notre vie sur terre, reconnaissons que nous avons aussi souvent des grâces pour nous assister quand nous savons les demander et les voir ; nous avons aussi des joies morales et matérielles avec tout ce que la Providence a mis à notre disposition pour rendre notre vie humaine sur terre le plus agréable possible et elle le serait sûrement si l’homme depuis le péché originel n’avait pas déclenché cet énorme chaos. Et loin d’en tirer les conséquences, plus on avance dans le temps et plus celui-ci continue de massacrer l’admirable création de Dieu pour en tirer le plus de profits personnels au mépris de tous les risques économiques et sanitaires que cela engendre. On peut hélas mesurer aujourd’hui les terribles conséquences qu’ont provoquées ces attitudes égoïstes et toutes les catastrophes écologiques que cela a entrainées.
Heureusement pour nous, Dieu est patient, infiniment patient et, après tout, Il se suffit à Lui-même et si, l’homme a décidé de s’autodétruire, çà le regarde, il a été créé libre. Cependant le mal reste le mal et il lui faudra en répondre un jour. Et là, il saura définitivement et sans aucune erreur possible que cette terre lui était seulement confiée pour en faire une bonne gestion pendant le temps de sa vie.
En conclusion, ne nous laissons par éblouir, étourdir ni influencer par tous les leurres et les artifices mensongers que le démon s’ingénie à semer sous nos pas pour essayer de nous faire douter de l’existence de Dieu, souvenons-nous de la prière invitatoire des complies qui nous prévient : « Fratres, sobrii estote et vigilate quia Adversarius vester diabolus, tamquam leonem rugiens circuit quaerens quem devoret, cui resistite fortes in fide ! » « Frères, soyez sobres et vigilants car votre adversaire le diable est comme un lion rugissant cherchant qui dévorer, c’est pourquoi, restez fermes dans la foi » faisons donc ainsi ; soyons vigilants, tournons nous sans cesse vers Dieu, offrons lui tout ce qui fait notre quotidien, nos joies et nos peines, parlons lui sans cesse et disons lui que nous l’aimons, que nous sommes fiers et infiniment heureux d’être ses enfants et que nous sommes impatients d’aller le retrouver Là-haut pour l’aimer et l’honorer éternellement ce pourquoi nous avons été pensés de toute éternité et c’est certainement le plus beau et le plus gratuit des cadeaux que pouvait nous faire le Bon-Dieu, Lui qui ne nous devait absolument rien. Donc une seule conclusion s’impose :
Ad Jesum, Per Crucem usque ad mortem
A Jésus, par la croix, jusqu’à la mort
On pourrait classer le genre humain d’abord en deux grandes catégories. Les croyants et les non-croyants. Commençons par ceux-ci. Chez les non-croyants, il y a ceux qui sont portés au mal à l’état naturel. Ils le font malheureusement par goût, par plaisir. Ne croyant pas en Dieu, ils n’ont aucune barrière, aucun paramètre pour leur vie, tout est bon pour arriver à leur fin, pour obtenir tout ce que le monde est capable de produire pour la possession et la jouissance des biens terrestres et, pour l’obtenir, ils sont prêts à tout et même au pire si nécessaire. Les autres ne représentent en fait qu’un moyen d’obtenir ce qu’ils cherchent. En dehors de cela, ils n’existent pas.
Pour eux la vie n’est qu’un passage dans le temps qui durera peut-être un petit moment pouvant s’étirer jusqu’à une centaine d’années, si tout va bien. Après, il n’y a plus rien. On meurt et on est enterré dans un cercueil où le corps se décompose petit à petit mangé par les vers et la décomposition et l’individu repart dans le néant et l’oubli.
C’est pourquoi il est nécessaire, selon cet homme-là, de profiter un maximum de tout ce que la vie peut lui apporter car, comme il le dit lui-même : « la vie est courte, il faut en profiter ! » C’est un consommateur effréné ; il court dans tous les sens, la bouche ouverte, l’âme excitée par l’avidité, cherchant à asseoir sa vie dans un état démentiel de puissance et de possession et, quand il arrive à ses fins, il s’estime heureux, comblé et justifié.
Dans le cas contraire, c’est un révolté permanent qui injurie toute la société. Jaloux du succès des autres, le démon s’empare de lui pour s’en servir d’instrument afin de colporter le mal partout et porter atteinte à tous ceux qui font le bien. Désespérés, n’ayant rien à attendre d’un Dieu auquel ils ne croient pas, n’ayant rien obtenu d’agréable dans ce monde ; enfoncés dans la souffrance morale et les épreuves normales de la vie telles que la maladie ou la mort des proches, beaucoup d’entre eux finissent par se suicider pour en finir avec ce monde ingrat.
Quelle vie effrayante. Il n’est pas étonnant que ces gens là finissent ainsi. A quoi bon effectivement continuer à vivre et à souffrir d’une manière aussi stérile s’il n’y a rien après la vie et si seul le néant se présente comme destination finale. Pour sauver cette catégorie de désespérés, le Bon-Dieu devra trouver des âmes particulièrement saintes et héroïques qui devront offrir beaucoup de souffrances toute leur vie pour arracher ces malheureux à la damnation éternelle.
Ensuite, vous avez ceux qui ne sont pas croyants mais qui, mus par une sorte de loi naturelle, évitent de faire le mal Ces gens là pensent qu’on est sur terre par hasard. Ils adoptent la théorie de l’évolution. Le monde s’est créé à partir du big-bang et tout se serait développé à partir de cela pour en arriver à cette harmonie que nous admirons aujourd’hui. N’étant pas capables d’expliquer la naissance et l’origine des choses ils préfèrent s’en tenir à ces pseudos explications scientifiques qui les arrangent bien afin de n’avoir pas à faire plus d’efforts qu’ils n’en ont envie.
Cela étant, ils vivent leur vie en essayant, eux aussi de posséder le maximum de choses que la vie terrestre leur propose mais à la différence des premiers, ils ne marchent pas sur des cadavres pour arriver à leurs fins ; Ils respectent un certain nombre de règles de société. Ils cherchent à vivre en bonne société avec leur voisinage, rendent volontiers service aux autres. Ils s’occupent même quelquefois d’œuvres sociales civiles telles que les associations ou les œuvres humanitaires. Respectueux des règles de la société civile, ils ne portent pas atteinte au bien-être des autres et n’hésitent pas, si nécessaire à leur porter assistance.
Plutôt agréables à vivre, il manque malheureusement à tous ces gens l’essentiel pour donner à leur vie le véritable sens qui correspond à la réalité. Souvent irresponsables car bien souvent toutes ces personnes n’ont pas reçu d’éducation religieuse à la base et n’ont donc pas pu grandir dans le monde avec ce qu’il faut d’explication pour se faire une autre idée de l’origine du monde que celle qui est avancée par ces malheureux savants rationalistes. Pour cette catégorie, je pense que le Bon-Dieu les jugera sur leurs actes et en fonction de la responsabilité réelle qui est la leur et je souhaite de tout mon cœur qu’Il trouve chez eux suffisamment de bien pour pouvoir les sauver.
Dans la deuxième partie, nous pouvons encore trouver deux classes d’individus. Nous avons les croyants non pratiquants et les croyants pratiquants. Pour ce qui concerne les premiers, il y a chez ces gens là une forme de pensée incroyable, invraisemblable, d’un illogisme qui dépasse le simple raisonnement. Autrement dit : « oui je crois en Dieu, oui je confesse Son existence ; je crois également qu’Il est le Créateur et le Maître de toutes choses ; oui j’ai été créé par Lui, Il m’a donné une âme éternelle qui retournera à Lui dans l’autre monde. Je crois que le Christ est bien venu sur terre pour notre salut et qu’Il est vraiment ressuscité, je crois à la Vierge marie, au Ciel, au Purgatoire et à l’Enfer. J’affirme que l’évangile du Christ existe bien mais… mais je fais comme si tout cela ne me concernait pas. Les commandements de Dieu ? Oui bien sûr…mais que voulez-vous, je n’ai pas trop le temps ! Que voulez-vous mon bon monsieur avec la vie que je mène, ma famille, mes enfants, ma situation professionnelle, il ne me reste pas assez de temps pour mettre en application les préceptes Divins. Vous savez la vie est dure, trop de soucis dans le quotidien, l’avenir des enfants, leurs loisirs, le sport, la maison à tenir etc.etc… la liste est longue, je ne vais pas vous énumérer tout cela, cela risque d’être long, alors vous comprenez pour moi, aller à la messe tous les dimanches ; prier régulièrement, cela relève de l’exploit. Oh mais rassurez vous, je crois, çà c’est certain et tenez vous bien, j’ai même des paramètres de moralité. J’essaie d’aider les autres…enfin quand j’ai le temps bien sûr. Je ne dis pas de mal des autres… enfin pas trop! Je fais en sorte de bien élever mes enfants et de leur enseigner à éviter le mal et pour ce faire, je fais très attention à ne pas les laisser fréquenter n’importe qui ; je préfère les avoir à la maison devant l’ordinateur ou la télévision, ainsi je les protège plus facilement des dangers du monde extérieur, enfin je le crois du moins… !
Disons le tout net, il faut être particulièrement insensé pour en arriver à raisonner ainsi. Alors donc d’un côté, on est bien d’accord pour affirmer l’existence de Dieu et toute l’implication spirituelle qui va avec ; on admet la vie après la mort, l’éternité de l’âme et de l’autre côté, on décide de tourner le dos résolument à cette évidence pour ne s’intéresser réellement qu’à ce qui est palpable et visible.
Oui oui, c’est vrai monsieur, mais je vous le répète, je crois… !!!
Vous croyez ? Ah bon ? Mais vous croyez à quoi réellement ? A mon humble avis, pas vraiment à grand-chose. Ou peut-être qu’à ce qui vous arrange, je dirai même à ce qui vous dérange le moins pour le confort de votre vie terrestre. Finalement l’idée de l’existence de Dieu ne vous pose pas de problème particulier dans la mesure où cela n’implique pas pour vous des contraintes qui viendraient interférer dans votre vie avec tout ce que le monde moderne est capable de vous offrir. Vous êtes justement tellement absorbé par la vie qui s’offre à vous, travail, maison, loisirs, vacances, amis à recevoir et vous remplissez tellement votre vie d’un maximum de choses qu’il ne vous reste finalement plus rien pour ce Dieu auquel vous prétendez croire, rien qu’une pensée fugitive de temps en temps. Sur la balance de la spiritualité, ça ne pèse pas très lourd, ne croyez vous pas ?
Par contre, quand les épreuves tombent ou lorsqu’on espère quelque chose de très important du type réussite à un examen, guérison d’un enfant gravement malade etc. alors là, c’est curieux mais on se rappelle que Dieu existe, qu’Il est bien là au-dessus de nous et qu’il peut arranger nos petites affaires. On y va de son petit cierge à l’église, on promet un petit pèlerinage pas trop loin si on obtient ce que l’on demande, on murmure vaguement quelques ave Maria si on s’en souvient encore et en essayant de ne pas penser à autre chose en même temps et, une fois la chose obtenue, si toutefois on l’obtient, on s’empresse de retourner à ses occupations habituelles en rangeant le Bon Dieu dans un petit coin de sa tête. On le ressortira peut-être plus tard si nécessaire.
« Voila Seigneur merci pour tout, je vous rappellerai si j’ai besoin de vous, j’éteins la lumière, dormez bien dans ma conscience, à bientôt j’espère ! »
Voilà une attitude pour le moins curieuse ; une forme de pensée bizarre qui ne trouve pas d’explication réelle. Comment raisonnent ces gens là ? Qu’imaginent t-ils ? Quelle idée se font-ils de l’Au-delà, de l’éternité ? Y croient-ils vraiment au fond d’eux ? On pourrait légitimement en douter car sinon il serait impossible de comprendre comment ils font pour patauger dans un tel magma de contradictions.
Oui et alors ? …
Hé bien je pense que l’explication est que ces gens là se sont laissé aveugler et endormir petit à petit dans un monde qui a fini par accaparer la totalité de leur vie. Certainement déjà tièdes depuis très longtemps dans leur façon de pratiquer leur religion, ayant cessé
depuis l’adolescence de s’instruire des questions de la foi ; ayant oublié l’essentiel de leur catéchisme, ils sont devenus vulnérables et
des proies faciles pour le père du mensonge qui n’a eu certainement aucun mal à les engluer dans cette espèce de léthargie spirituelle et à leur donner comme quasi nourriture tous les artifices qu’il s’ingénie à développer dans le monde pour tuer la foi dans les âmes.
Notre-Seigneur Jésus-Christ a dit à ses apôtres : « Quand je reviendrai, retrouverai-je la foi sur terre ? » S’Il disait cela, ce n’est pas qu’il se posait la question, car en tant que Dieu Tout Puissant, Il connaissait obligatoirement la réponse et au vu de la dégradation effrayante de la foi d’aujourd’hui, on peut légitimement penser que son retour est proche. A partir de là, cette catégorie de personnes devrait y réfléchir sérieusement et se poser les bonnes questions :
« Que va-t-il se passer quand je mourrai et que je devrai laisser tout ce à quoi j’étais attaché ? Ma famille, mes amis, ma maison, mes loisirs, mes projets, mon compte en banque ? On va mettre mon corps en terre mais mon âme, est-ce qu’elle continue vraiment ? Où va-t-elle réellement ? Le fameux couloir de lumière par où l’on passe pour accéder dans l’autre monde selon la version donnée par ceux qui ont fait l’expérience de la vie après la vie, est-ce réel ? Est-ce possible ?
C’est là que l’on touche du doigt l’authenticité de la foi. Ces questions-là, on ne se les pose même pas quand on est profondément croyant ; On ne joue pas aux dés avec son éternité. C’est trop grave. Le temps est fugitif et ne laisse pas beaucoup de marge aux humains, car le temps ne se calcule qu’à l’échelle terrestre. Le soleil se lève le matin et se couche le soir, c’est seulement cela qui nous donne la journée que nous vivons quotidiennement. Une fois que la mort s’est présentée, c’est fini, le temps n’existe plus, on rentre dans l’éternel présent. Figés perpétuellement pour l’éternité, il ne sera plus possible de déterminer et de choisir ce que nous pourrons vivre là-haut. Le temps du choix est révolu…définitivement. Il sera impossible de revenir en arrière. Et c’est là que Dieu fouillera les replis de l’âme, qu’Il sondera les reins et les cœurs. A cet instant même ces malheureux devront obligatoirement regarder Dieu en face et confesser leur tiédeur. « Que n’est tu chaud ou froid mais parce que tu es tiède, je t’ai vomi de ma bouche ! », dit le Seigneur. Le temps de la vie sur terre c’est le temps des choix, après… c’est fini !
Et s’il y a toutefois des naïfs pour s’imaginer à la remorque de tous ces pauvres modernistes que Dieu est tellement bon, qu’Il est Amour et qu’Il sauvera tout le monde et que l’enfer n’existe pas, hé bien, je leur conseille vivement de modifier leur façon de penser car s’il est certain que Dieu est infiniment bon et Amour, il est aussi infiniment juste et c’est bien parce qu’Il est infiniment juste qu’Il appliquera Sa justice à l’égard de tous. Et comment en serait-il autrement car où montrerait-Il Sa justice s’il ne punissait pas les coupables qui auront passé leur vie à L’ignorer, à se moquer de Lui, et à passer leur temps à ne vivre que pour les biens terrestres. Vis-à-vis de ceux qui l’auront honoré, aimé servi, respecté Ses préceptes et confessé Son Nom à la face des autres, au mépris des moqueries, des vexations et des persécutions que cela aura pu engendrer, serait-il pensable qu’Il récompense tout le monde de la même manière sans tenir compte de la vie que chacun aura mené durant sa vie terrestre? C’est impossible et c’est pourquoi il est urgentissime de bien y réfléchir pendant le laps de temps qui nous est donné pour préparer efficacement ce que sera notre éternel présent avec Lui ou sans Lui. Il est vrai que pour ne pas voir, il suffit de fermer les yeux mais attention au péché contre le Saint Esprit qui n’est pardonné ni dans ce monde ni dans l’autre… !
La dernière partie concerne les croyants pratiquants. Chez ceux-là, on trouve de tout aussi. En général, ils font heureusement des efforts louables pour mettre en application ce que Dieu leur demande. Ils sont comme tous les humains remplis de faiblesse et les chutes sont fréquentes mais, pleins de bonnes résolutions et aidés par la grâce Divine, ils se relèvent et reprennent la route, se sanctifiant petit à petit, offrant leurs misères morales et leurs souffrances physiques quand la Providence leur envoie ces épreuves pour expier leurs fautes en ce monde, ce qui est déjà une grâce que le Bon-Dieu leur fait puisque ce qui est souffert en ce monde ne le sera pas dans l’autre.
La perfection n’est pas vraiment leur qualité première mais au moins en sont-ils conscients et, humblement, ils s’essaient chaque jour à se sanctifier, à s’améliorer en s’aidant des sacrements que l’Eglise met à leur disposition pour y parvenir. Petit à petit la grâce opère en eux et ils progressent régulièrement sur la voie qui leur est tracée par Notre-Seigneur Jésus-Christ Lui-même. A ceux là, Dieu donnera certainement toutes les bénédictions et les récompenses de l’éternelle béatitude pour laquelle, souvenons-nous en bien, ils ont été pensés et créés depuis toute éternité. Ceux là seront eux aussi figés mais dans l’éternel bonheur de la contemplation de Dieu au milieu des neuf chœurs des Anges, des Saints et des membres de leur famille qui les y auront précédés.
Alors quand on réfléchit intensément à tout cela, quand on prend cinq minutes pour mettre dans la balance les deux seules possibilités que nous ayons, à savoir « oui ou non ? » Est-il raisonnable de songer, ne serait-ce qu’à l’éventualité du non ? Je sais bien que Dieu nous ayant créés libres de nos choix, nous avons bien la faculté de choisir si nous voulons l’aimer ou pas, mais quand on pense aux conséquences d’un tel choix, n’est t-il pas fou de s’y résoudre et par là même d’engager notre salut dans la pire et la plus folle des solutions puisqu’une fois morts, il ne nous restera plus rien de ce que nous aurons préféré à Dieu durant notre passage sur terre.
Et puis soyons un peu honnêtes, même s’il arrive d’être souvent éprouvés dans notre vie sur terre, reconnaissons que nous avons aussi souvent des grâces pour nous assister quand nous savons les demander et les voir ; nous avons aussi des joies morales et matérielles avec tout ce que la Providence a mis à notre disposition pour rendre notre vie humaine sur terre le plus agréable possible et elle le serait sûrement si l’homme depuis le péché originel n’avait pas déclenché cet énorme chaos. Et loin d’en tirer les conséquences, plus on avance dans le temps et plus celui-ci continue de massacrer l’admirable création de Dieu pour en tirer le plus de profits personnels au mépris de tous les risques économiques et sanitaires que cela engendre. On peut hélas mesurer aujourd’hui les terribles conséquences qu’ont provoquées ces attitudes égoïstes et toutes les catastrophes écologiques que cela a entrainées.
Heureusement pour nous, Dieu est patient, infiniment patient et, après tout, Il se suffit à Lui-même et si, l’homme a décidé de s’autodétruire, çà le regarde, il a été créé libre. Cependant le mal reste le mal et il lui faudra en répondre un jour. Et là, il saura définitivement et sans aucune erreur possible que cette terre lui était seulement confiée pour en faire une bonne gestion pendant le temps de sa vie.
En conclusion, ne nous laissons par éblouir, étourdir ni influencer par tous les leurres et les artifices mensongers que le démon s’ingénie à semer sous nos pas pour essayer de nous faire douter de l’existence de Dieu, souvenons-nous de la prière invitatoire des complies qui nous prévient : « Fratres, sobrii estote et vigilate quia Adversarius vester diabolus, tamquam leonem rugiens circuit quaerens quem devoret, cui resistite fortes in fide ! » « Frères, soyez sobres et vigilants car votre adversaire le diable est comme un lion rugissant cherchant qui dévorer, c’est pourquoi, restez fermes dans la foi » faisons donc ainsi ; soyons vigilants, tournons nous sans cesse vers Dieu, offrons lui tout ce qui fait notre quotidien, nos joies et nos peines, parlons lui sans cesse et disons lui que nous l’aimons, que nous sommes fiers et infiniment heureux d’être ses enfants et que nous sommes impatients d’aller le retrouver Là-haut pour l’aimer et l’honorer éternellement ce pourquoi nous avons été pensés de toute éternité et c’est certainement le plus beau et le plus gratuit des cadeaux que pouvait nous faire le Bon-Dieu, Lui qui ne nous devait absolument rien. Donc une seule conclusion s’impose :
Ad Jesum, Per Crucem usque ad mortem
A Jésus, par la croix, jusqu’à la mort
Antoine- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: Croyants pratiquants - Croyants non pratiquants
Oh, Mon Dieu, merci Antoine, de nous partager cette méditation profonde, et combien Vraie !
Merci de nous l'avoir mise là sur ce forum pour que chacun puisse la lire et la méditer !
J'étais arrivée dans mes nombreux questionnements à penser comme vous, mais ce développement que vous nous partagez, est très poussé et abouti.
Que Dieu vous bénisse !
Eu union de prières,
Françoise.
FrancoiseF- Avec Saint Joseph
- Messages : 1376
Inscription : 21/03/2010
Re: Croyants pratiquants - Croyants non pratiquants
Cher Antoine,j'ai lu avec intéret vos textes,il me viens à l'esprit un verset de la sainte bible,dans le nouveau testament,Epitre de St-Jacques chapitre 2,verset 19.''tu crois qu'il y'a un seul Dieu,tu fais bien;les démons le croient aussi...,et ils tremblent.''
Aussi cette pensée,si Dieu était''laxiste''Jesus-Christ n'aurais pas eu à donner sa Vie en Sacrifice expiatoire(L'agneau de Dieu immolé)afin que sa justice soit apaisée,car il est aussi dit,''que l'âme qui pêchera sera,l'âme qui mourra'' (Ezechiel chapitre 18 verset20a)...
Fraternellement à vous,
Yossi.
Aussi cette pensée,si Dieu était''laxiste''Jesus-Christ n'aurais pas eu à donner sa Vie en Sacrifice expiatoire(L'agneau de Dieu immolé)afin que sa justice soit apaisée,car il est aussi dit,''que l'âme qui pêchera sera,l'âme qui mourra'' (Ezechiel chapitre 18 verset20a)...
Fraternellement à vous,
Yossi.
yossi08- Avec l'Archange Gabriel
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Re: Croyants pratiquants - Croyants non pratiquants
@ Antoine
@ Françoise
@ Yossi 09
L'Esprit Saint inspire de sages réflexions... Deo Gracias !
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Bianca- Avec les chérubins
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